JACQUES A DIT PETIT THÉÂTRE DE PARIS

Transcription

JACQUES A DIT PETIT THÉÂTRE DE PARIS
JACQUES A DIT
une comédie de Marc Fayet
avec
Anne Loiret, Lysiane Meis, Eliza Maillot,
Marc Fayet, Gérard Loussine, Stéphan Wojtowicz
Mise en scène de José Paul et Agnès Boury
Lumière: Laurent Béal
Décor : Edouard Laug
Costumes : Brigitte Faur-Perdigou
Musique : François Bréant
au
PETIT THÉÂTRE DE PARIS
15, rue Blanche – 75009 PARIS
métro : Trinité, Blanche, Saint-Lazare
à partir du 3 septembre 2004
du mardi au samedi à 21h,
matinées : samedi à 17h, dimanche à 15h
LOCATION :
01 42 80 01 81
magasins Fnac, Virgin, agences et résathéâtre
www.theatredeparis.com
Relation médias :
Brigitte BERTHELOT
tél : 01 46 26 32 06 - fax : 01 46 26 04 09 [email protected]
4, villa des Grimettes - 92 190 MEUDON
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JACQUES A DIT
Ils étaient une joyeuse bande, il y a 20 ans. Est-ce qu’ils le sont toujours
aujourd’hui ? C’est ce qu’ils vont découvrir ce soir en se réunissant grâce à la
cassette vidéo que Jacques, le seul absent, leur a fait parvenir et qu’il leur intime
de visionner ensemble. Alors ils sont venus, un peu contraints, un peu méfiants
mais ils sont là. Et puis Jacques a dit et quand Jacques a dit…
La petite bande du Val Fleuri
A peine échappé du cocon familial, il n’est pas rare de rechercher une nouvelle fratrie, celle qui fera le lien
entre adolescence et âge adulte.
Copains de quartier, de lycée ou de loisirs, selon les affinités, on devient rapidement un clan, une bande
où le besoin de se réunir, de se rapprocher, de se rassurer, d’être ensemble, devient une nécessité. Dès
lors, cette rencontre apparaît comme une évidence.
Dans la comédie de Marc Fayet, la petite bande du Val Fleuri, qui n’a pas failli à toutes ses étapes, se
retrouve des années plus tard, un soir d’été, suite à une bouffée de nostalgie de l’un de ses membres.
Dès la première lecture de “Jacques a dit”, se dégage une savoureuse proximité entre nous et les
différents protagonistes de cette comédie amère et drôlatique à la fois. Mais derrière l’apparente et
délicate retenue de
l’auteur, il se cache un être plus facétieux qu’il n’y paraît. Pour preuve, ne nous raconte-t-il pas aussi
l’histoire d’une bande sympathique piégée par une “bande” magnétique ?
José PAUL, metteur en scène
Six destins avec un septième pour témoin
Au début il y avait une histoire qui me trottait dans la tête … J’ai imaginé des personnages, je les ai mis
dans cette situation qui m’amusait et les ai laissés se débrouiller tout seuls. Pour commencer il faut
avouer qu’ils n’étaient pas très clairs dans leurs propos alors je les ai bousculés, je les ai même injuriés.
Leurs caractères se sont imposés, ils m’ont mâché le travail en quelque sorte. Peu à peu, ils m’ont fait
confiance, ont acquis une certaine autonomie et commencé à vivre sous ma relative responsabilité. S’en
est suivie une véritable complicité où je devinais leurs pensées, ils anticipaient les miennes, je leur
proposais alors des contradictions, des pièges, ils les évitaient ou s’y plongeaient avec bonheur… au final,
on a réalisé ensemble un curieux mélange d’amitié, de mensonge, de trahison, de chips, d’amour, de
vin... comme dans la vie.
Marc FAYET, auteur
JACQUES A DIT
une histoire de famille
Eliza Maillot, José Paul et Marc Fayet c’est déjà plus de mille représentations ensemble “Accalmies
Passagères”, “Les gagneurs”, “Un petit jeu sans conséquence” et chaque fois ils se disent : « ce serait
bien qu’on continue à faire des spectacles ensemble ».
Stéphan Wojtowicz et Marc Fayet c’est des centaines d’heures à écrire des sketches peu joués, une
pièce injouable mais toujours avec une complicité enjouée. Et déjà Marc lui disait : « ce serait bien que
tu viennes jouer avec nous un de ces quatre ».
José Paul et Agnès Boury c’est une vieille histoire sans fin car avant de se quitter ils se disent toujours :
« c’est peut-être la dernière »... et ce n’est jamais la dernière.
Gérard Loussine et Marc Fayet, c’est des hectolitres de thé à discuter sur la meilleure façon d’être
heureux au théâtre et déjà ils se racontaient « ce serait bien qu’on entreprenne des trucs vraiment
indépendants un jour ».
Lysiane Meis et José Paul, c’est plus de 250 “Fil à la patte” en commun avant que José ne lui fasse
admettre que “L’amour est enfant de salaud” plus de 400 fois. Et déjà ils se disaient « et pourquoi on
recommencerait pas ? ».
Anne Loiret et Marc Fayet, c’est deux années à habiter dans le même immeuble, il y a vingt ans et à se
croiser dans l’escalier en se disant « peut-être qu’un jour on fera des spectacles ensemble… peut-être !
».
Gérard Loussine, José Paul et Marc Fayet, c’est des jours et des nuits à réfléchir au nom qu’ils
donneraient à leur société de production qui est devenu “J’habite au 21” - on a pas le temps ici
d’expliquer pourquoi - mais depuis longtemps ils se répétaient « ce serait bien qu’on joue toujour avec
tous les copains qu’on aime bien ».
Alors tous les noms sont ressortis, et tous les « ce serait bien » tous les « peut-être » tous les «
pourquoi pas » sont devenus « on va le faire », voilà pourquoi ils sont réunis aujourd’hui pour une
nouvelle aventure comme ils les aiment tant.
L’aventure se réalise au petit Théâtre de Paris grâce à Stéphane Hillel qui a plusieurs fois travaillé avec
certains d’entre eux pour “Les Gagneurs”, “Un petit jeu sans conséquence” et qui, à une époque, avait
dit : « ce serait bien que vous veniez jouer chez moi si je dirige un théâtre un jour »… tout s’est réalisé.
Anne LOIRET, rôle de Lili
On l’a vue notamment dans “Qui a peur de Virginia Woolf” d’Edward Albee, mise en scène de Pierre Constant au
Théâtre de l’Œuvre, “On ne refait pas l’avenir” de et mise en scène Anne-Marie Etienne au Théâtre des Bouffes
Parisiens, “La preuve” de David Auburn, mise en scène de Bernard Murat au Théâtre des Mathurins. Au cinéma,
elle a tourné sous la direction de Nicole Garcia dans “L’Adversaire”, de Jean-Jacques Beineix dans “Mortel
transfert” et de Bertrand Tavernier dans “Holy Lola” (sortie nov. 2004). A la télévision, elle a tourné sous la direction
entre autres de Patrick Dromgoole, Sébastien Grall, Jacques Fansten, Patrick Dewolf, Luc Beraud, Jean Sagols,
Patrice Martineau, Bruno Gantillon…
Eliza MAILLOT, rôle de Marie
Au théâtre, on l’a vue dans “Accalmies passagères”, “Pop Corn” ainsi que “Un homme à la mer” et “Un petit
jeu sans conséquence” au Théâtre La Bruyère repris en 2004 au Petit Théâtre de Paris.
Elle a travaillé sous la direction de nombreux metteurs en scène parmi lesquels Bruno Sachel, José Paul,
Pierre Mondy, Stéphane Hillel, Alain Sachs ou bien encore Stephan Meldegg.
Pour la télévision et le cinéma, elle a tourné avec Edouard Molinaro, Marc Angelo, Denis Amar, Gilles Behat,
Philomène Esposito, Didier Albert, Caroline Huppert et Charlotte Brandstrom et Joyce Buñuel.
En 2001, elle est nommée aux Molières dans la catégorie Meilleure comédienne dans un second rôle et
en 2003, dans la catégorie Meilleure comédienne dans un second rôle pour le rôle d’Axelle dans “Un petit
jeu sans conséquence”.
Lysiane MEIS, rôle de Victoire
Au théâtre elle a joué Woody Allen, Marcel Aymé, Molière, Goldoni, Marivaux, Ionesco, Hugo et Minyana.
Dernièrement on l’a vue dans “Une table pour six” et “Le fil à la patte” mis en scène par Alain Sachs, dans
“Monsieur chasse”, au Palais Royal et la saison dernière dans “L’amour est enfant de salaud” au Tristan
Bernard déjà sous la direction de José Paul.
A la télévision elle a tourné avec Mocky, Gawin Millar, Bruno Gantillon, Sébastien Graal, Dominique Tabuteau,
au cinéma, avec Chad Chenouga, Valérie Minetto, J.P. Husson, Thierry Boscheron, Laurent Firode, Philippe
Harel, Eric Toledano et Olivier Nakache.
En 1998, elle est nommée aux Molières dans la catégorie Révélation, en 2004, dans la catégorie
Meilleure comédienne dans un second rôle pour “L’amour est enfant de salaud”.
Marc FAYET, rôle de JeanJean
On l’a vu au Théâtre La Bruyère dans cinq spectacles, notamment : “Un coin d’azur” de Jean Bouchaud,
“Accalmies passagères” de Xavier Daugreilh, mise en scène d’Alain Sachs, “Pop corn” de Ben Elton, mise en
scène de Stephan Meldegg et “Un petit jeu sans conséquence” repris en 2004 au Petit Théâtre de Paris.
Au cinéma et à la télévision, il a tourné notamment avec Marcel Bluwal, Gilles Behat, Jacques Otmezguine,
Jean-Pierre Vergne, Charles Nemes, Bertrand van Effenterre et Henri Helman.
En 1999, il est nommé aux Molières dans la catégorie Révélation.
En 2003, il reçoit le Molière de la Révélation théâtrale masculine pour le rôle de Bruno dans “Un petit jeu
sans conséquence”.
Gérard LOUSSINE, rôle de Romain
Au théâtre, il a joué sous la direction de Robert Dhéry “le Petit fils du Cheik”, “Monsieur Chasse”, “Vive Offenbach”
à l’Opéra Comique et “en Sourdine les sardines” aux Bouffes Parisiens. Au Théâtre La Bruyère, on l’a vu dans
“l’Ampoule magique” de Woody Allen et récemment dans “Un petit jeu sans conséquence” repris en 2004 au Petit
Théâtre de Paris. Il a participé à de nombreuses pièces avec Gérard Caillaud. Au cinéma et à la télévision, il a
tourné une soixantaine de films avec de nombreux réalisateurs tels que Pierre Tchernia, Alain Corneau, Marc
Simenon, Jacques Bral, Gérard Jugnot, Didier le Pêcheur, Jacques Rouffio. En 2003, il est nommé aux Molières
dans la catégorie Meilleur comédien dans un second rôle pour le rôle de Patrick dans “Un petit jeu sans
conséquence”.
Stéphan WOJTOWICZ, rôle de Bertrand
Au théâtre, on l’a vu récemment dans “L’inscription” de Gérald Sibleyras au Petit Montparnasse mis en scène par
Jacques Échantillon ainsi que dans “Zoo” de Vercors, mise en scène Jean-Paul Tribout. Il a également joué sous la
direction de Christophe Lidon, Panchika Velez, Guillaume Hasson... Auteur, sa première pièce “La photo de Papa”
a été créée en 1997 dans une mise en scène de Panchika Velez, deux autres de ses pièces sont en cours de
montage.
José PAUL et Agnès BOURY, metteurs en scène
José Paul a mis en scène une quinzaine de pièces dont, dernièrement, “Les esprits superficiels” d’Alphonse Allais
avec Jacques Fontanel et “L’ amour est enfant de salaud ” d'Alan Ayckbourn, adaptation de Michel Blanc, au
Théâtre Tristan Bernard. Comédien, on l’a vu dans “Un fil à la patte” de Feydeau, “Colombe” de Jean Anouilh,
“Accalmies passagères” de Xavier Daugreilh, “Un petit jeu sans conséquence”. Il a joué sous la direction de
Stéphane Hillel, Gérard Caillaud, Michel Fagadau, Stephan Meldegg, Alain Sachs, Eliza Maillot... En 2003, il est
nommé aux Molières dans la catégorie Meilleur comédien dans un second rôle pour le rôle de Serge dans
“Un petit jeu sans conséquence”, en 2004 dans la catégorie Meilleur metteur en scène pour “L’amour est
enfant de salaud”.
Agnès Boury met en scène, ces dernières années, des spectacles musicaux tels que “Créatures”, “Duel”,
“Juliette”, “Chanson Plus Bifluorée”, des humoristes comme Virginie Lemoine, Laurent Gerra, Choc Frontal et
diverses comédies dont “La presse est unanime” de Laurent Ruquier et “L’éloge de ma paresse” de et avec Maria
Pacôme. Parallèlement, elle collabore avec Stéphane Hillel et José Paul, notamment pour “Les gagneurs”, “Un petit
jeu sans conséquence” et “L’amour est enfant de salaud”.