Les Sorcières, vol. 1, 2000
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Les Sorcières, vol. 1, 2000
, L{/) w JVOTNE NAGE cE w F w T A E w w w âeu# W w rfrffit r#,f w ffigtrf#f L rr% Ë Ê rÉ (rû14 Ë (:ft Ë It ft )z; {r'.?4 û{?4 gér# { :q fl A t F ^ ft ,l lÈ H -; t ft IT I T I ! Jtli,I\\ JI -. av ffi , ' . u /:e*7 GT i'{ ],'il'f}\,Æ-.-xtt d*f ' H N I.!1, ' Et! | ' ; û L L 14..+? - 1 \ f i J,iiJ,\ -'lrlu 't-'-.. R ! /''h ; f z 6 rt?* i ffi /:lj ^ t i #di. '--Y --çil %r-i -T ,1'T Jl),111t, ^ - 7 - l l l D ' t " i !*,r7 ffi ffi ffi ffi b*7 %t*'l %*7 ht*t J"t pige 2 -$orcièrse UN COLLECTIFRADICAL ViVa queceriainesÏemmesde la gauchemiF lemme unlguemenl comme machine à la pnOpagandal itanre ,r lvurlr cner un ournr.e de prcpagande "T,j:::,:gli r4vrHlrsuye iijllji;pÉsenl, la hfte Jusqu'à esl me possibiltlé d'espace d'exPles- iste sion de débat d'anatyse' de crcativité et de subversMtq qut permet dans 1rc perspeetivede lutle, d'amener une inlltr eneeà trarrers la collectivitÉ gû permettra (du moins c'est ee gu€ nous espércns!), de lairc bougen de transTorrner,de eréenr.uredynamiqu€, loin de la stagnation dans Ïaguelle tenle de nous plonger l'ensemble des médias de r€Ilexlive bourgeoise tellemenf ils en mangenll(....).Un espace de crifigue apprclondt et permanenl du modèle de soeiété dominant esl une base :-9":^ gt d'organisation ;att. restrcinf so<,,æinr à à ceÉains ao;]sin= niwqrp qû niwarx, live 'rÏ;:. !:"""' tre an pratigue concrÈtemenl , ;:,,i] Ie.b:'proposqû alimenl€nl nofe poureorrr- ',ffii:ffffiTr:i: solidariser. '@Ë' Prendre et agir , ''i L'oppressiondes lemm€s,oppltsçien ROUS f€fuSOnS sur laguellereposel'ensembledes-rab . ,','1, porrshumains desmmieriaii. depuis .-- r- .",ii ra le et la sponlanë,lté.ils'agit n^ins de Ào détnir ,.,,Èain à à I'intÉrieur r,inrv'rriarrr j:i u moins collectil du même nom. Le €d*rslil 6'est-'r,,.'-. organicollectit des bas€s &'un d'abord Éunt sur une permetlanl de metsationnelles cise. leurs restriclions à des rôles de ménagères. de pondeuses. d'élweuses de mioehe,s, eet. Css exemples 5:,1 tiirdu rapport d'explottation qui sotrmet les lemmes à des stéréoh/p€s bien définis. laisserrt de Ïaçon évidenle une place bien reslrcinte aux libre*hoix de ehacune. he pahiarcat est dcnc ur sptème d'opprcssion gui nie la liberté des lemmes à disposer d'elles-mêmes conrme bon leur semble. mals gui les i ffi. :î,iji*?,:' pour erëer une organisalion dynamique. loin d'une slrueture amila- c"gs-S+Wffii donc é:mergé, dc la ÉeenqâBr€btt$-ff='.t:n,, et combattante ûgutà la Tois. I'idëe' du iournal LElt sff:Wry_'f,Àaeuai rzprodrûrr. que ee soil par le viol gue se soit par la violenc€laife aux lemm€s, renvoyée r#r.*!eà:;a*rsrl*i:*# p'.,s sowent gu.arfrsmenr i,Ï âu second plan et uu Ë* hadrdsait par des sous_ comités. des sous_thèmes, rcndanl difrcite la solidarisaliqn et la mise en plaez définie des objectils com_T * tl muns à '.organisation d.rme allemalive 'émintste r,t masae gui ne lonl gue vomir la pensée saitg se voyatt lémin_ ,pwoir l€ absolu du nêes. s'est irttégrëe aur relalion$_' , phallUS ,_ humaines à de multiples nivçaux qu',tl.' ,.1 ' ". s'avèrc importanl a'ifenttlfr;$ nutnlu "*nrmes donc ann-palriareat comms lous tel systaSes où c€ sr,uu*aLs. R";;hr"; s'érige le powoir d'indivldus sur,, ."-,-= ,---ï^:._^^"^:- ^, domination sù il esl d'autrcs, s'impose à une socierc-uàtJ; lg-oe udTÎ,, W les hommes prcnsanr ses assises à travere-fs";-les, powoir sur le dos des aspaets du conditionnemeoruo"iur'* TrT:5 L'homrne v conslitue chasue individu. prrnsl it devient;;; :iTi tu lemme' I'objet' saire de remettre ensuesrion ;;;; :^:Ï"t de suoi ? L'obiet sue taestte de nss rapporrs. même ;i;: ::"^T1 rhomme s'appropn'e el adapte tânerfr du milieu militanl, ut on o* u^-volonlés' qu'ellss soienl arriven à ænsrruira une sseicra éqati- 1 économlgue"sociale' taire sans ralalion de po'votr, Ë"" Ï-i:T* ou aulrs' gue ce soit prcssion de hiérarchie ni au *rcgoi ::li:lle parce qu'on considère la salion C'est dsnc un psu sur celte base Broc rECHNrquE le suisunefemm(. Jenesuisguecot(s, Pièce deviande. 0bietdedCsir. 7en'aiqu(faired'unc âm(, D'un(t€tesurlesipaules. lruit dup(,chë, R0ve dechair. taitssdemoiunân(, (Jolie, sois-sott(, tais-toi.) Animal decirque , Corps enpa(adc. ga'àeft(,brûlée. le nedemande Aubûcher, vilesorcière , Femme aufoyer, Genitrice, vipèrel J." obligent à se plier à une catégorisati,on de leur sexe laite sur la base des inleÉfs que petmenl bien en tir€r e€lx. qui s'apprcprienl le powoir -$crclùrtr, tisn sexuelle, le eapilalisme prctte de la lemme et la manie au gré des €xigsnces des goinlres de la plastre. Nous æmn es donc anfrapttallstcs et refusons .rae Ia L'histoire de I'humanité I'a IlDéraflon des femnw æ tasæ bien prowé. Àe pahiarcat a su se p€r à I'ûntérlur d'un swtènrc rral FÉtuer à fræerc les âges en s'arlicupirs n'admet tous ,es êlres lanl ars, difrérents systèmes d'exploilaftttmalns. Pas prus rrae nous tion que ce soif I'esclavagi;sme, le lé;oqu'elle æ fasæ à l'ltr aæpbns dalisme eu le capltalisme. C'esf pourquoi, en cette épogue où les rap ports d'explotfation sont délinis en grande partie par le rapport d'argenl. ll esf importanl de complrndre et de dénoncer les liens qui se ttssenl enlre le patrialrat et le capiialisme- tértutrde ætétdL l;' état viole. assassins. et réprime. L'état Le capifalisme ne tombera pas fouf ssul, aidons{eI c o n slilue un atûrz sptème d'of Le capitalisme. en tant gue sptème d'exploitation où les rapports de pouvolr s'érigenl sur la base de I'aceumulation croissante du capital au profit d'individus sur d'ardres, se jmtifie sorwent sur la base de l'état naturcl de l'être humain qui serait wué à la compétition el à la hiérarchie. f* discours dominanl nie liF téralemenl l'fualité des êh€s hwnains. En efret,ll serait confradictoirz de préttenù€ que nous potrvoffi, à l'intérieur du système capitalists, construirc das rapports fualttaines: l'égallté, est une ehimèr€ dans ce sloRme où les rap portô sonl gûdes par les prcEfs. I:e patriarcat s'insèrs donc trÈs bien dans le eapitalisme.La lemme dwienl soumise au grand capital et confinées aux l€les qui en découlent. Elle dsvienl consommatriee, objet de venle dz tous les aeablfs,... Elle va même jusqu'à dwsir se serryir de son cor?s conrme agant ssxuel pour sub. venir à ses besoins primairres.Encorr une lois sur la base d'une eafégorisa- prrssion et de répression gui se justifie par le grand principe de ( diviser pouP miers tégnen n. ton objeclil étanl de désolidarlser les individus enlr€s etg, el ell€s. L'éttat se verd le point central où totr les rapports humains s'élaborenl dans rm oldrz bien défini. modelê enære ure loi,s par les intéÉts de csux el cell€s gui détiennenl le pormoir. frargtnaltsée, la conlestation de eet ordre établi est vite téprrmén Dans I'histoire. les sorcières en sont rm exempla très prcbant : elles ont étét bÉlé€s au bteher, tortur€e.r. ulframarginalisées et mpfiEées parce gu'elles rcftrsaienl de s€ plier au modèle soctal de la temme-fipe. c'est-àdirr mariée, soumise au pouvoir de la religioa des hsmm€s el par exfension de l'éfiatl:'êtat ë,tèneau titrc de lois tous les aspects de la vie en société, Les lemmes. autanl que la soeiétédans sqn ensemble, ont é)tétet sont ensopg opprimées par la mainmise de l'état FoC. I sur lew vie. ?tinsi, nous rshsons qu€ l'égalttê des s€x(€sse détnissenl à I'intënieur d'un système qui sert dircctement le patriarcat. au prix de réIormettes qui ne sersnt gue réeupérê*,s par le pouvoir' établi du patriarcat. pensons Jrat'r, Noas faut s'organlser sar nos propres bases autogestlonà I'extérleur nalres dec structures soclales établles à partlr da patrlarcat, du capltallsme et de I'étaL Pour gue ces slrueturcs d'op przssion tqnrbent, il faû arriven à identilier el à comprendre les lormes gu'elles prennent el lenler de les dénoncer aelivement. poup signiter notre rcftrs et le conerÉtiser. Ire collectiÏ enlend done se déûnir par la rêIlexlon autant qu€ pan I'action directe et radicale. Rous eFoyons à I'olganisafion populairc et à la spontanéité. Cette plate-lorme n'est pas exhausftve puisgue noua tenons à demeur€r tur colleefil dynamiçrc, pÉl à la remise en question et aux débats. Toutelois, ezs bases libeÉaires demeur€nt le point de ralliemenl de nolrc collectil IESFEMMESAU COMBATDÉNERONS TOUTESVOS IOIS !!! J.* .$crcièrl*o pâfç | st E0lnbattilB rtililial0 astius" offsnslus Uns 200t: mars T queporlesremmes' et non le droit ô lo controceptiondonc, f:?j:i: por l'entremisede fédérotionsbidons celle-cine reconnoîtpos le droit des ou d'unltgl -":Piqlt I PqF!991 femmes à disposerde leur corps Forcequenousconsidérons, Nous PouRQLuoI rn 7 MÀRs ? ' en tonf que Iif n'y o pos qu'une seule journéedons l'on- née qui nous opportienne, Même si nous respectons lo journée du I mors, porce que nous sommes conscientes que cette journée, est porteuse de plusieurs luttes ouvrières, menées por des femmes ; il n'en reste pos moins,que cetle devonsdonc nousoçonis- comme elles le désirenl,Lo rellgion (peu importeque ce soitou Québec, en Afghonislon,ou Pokiston,en quotidienet qu'il lron,,,)o foitdes rovogessursonpossoge et porticulièrementsur le dos des femrnes, $'f#M {ûfrPfi,*srid ço chonge. T NEÀCTION RÀDICÀLE CONTRE tÀ. MÀ}IIF ET L'ÀCTION Lo monifestoTionque nous ovonsoçoniséele 7 mors2000,oinsi que l'octionrodicolequi s'enestsuivLEGLISE ? ie, visoitô dénoncerle ôle de l'Église dons le q6tème potriorcolet copifolDepuisles débuts du isJe,Nous sommes tout è foit con\ christionisme, l'Egliseo toujours scientes que l'oppression des pôné, lo supémotiede l'hommesur femmes ne se limitepos qu'ô lo relilo femme, Loreligion,outilpremierde gion.Porcontre,nouscroyonsqu'ilest dole cefte instilution, sertde véhiculelon- importontde continuerô se le ropo dis que, l'Églisesert de symbole peler,puisguecelle-ciprendénormééré suprême en complément ô ces menTde ploce, ouTontsur le plon récupéée por u sointes-véritées D, Cetle institution sociolque politiqueet ce portoutsur bien des instiTupor céée l'homme et dirigéemojori- cefte foutueplonète, tionsou fil des ons.LoJournéeinternopor (lessceurs toirement des hommes C'es1vers l5h, que les militionolede lo femme esten lroinde se que n'étont de simples servontes ou tontes et les militontsse sontrejointEs tronsformeren fête institutionnolisée o service de ces socro-soints détenteurs ou Sguore Philipsù, pour ensuite profit utiliséeou de l'Étote1des entreprisesprivées,Celui-ci peut oinsi se de lo \érlté obsolue!!),fhomme est débuter lo monif vers 15h30, Dès quosiun Dieu,tondisque lo femme notre orrivée, il y ovoiT déjô une déresponsobiliserde lo question est so douce et obéissonTe servonTe, voiturede flicspour nousoccueillir,Si femme tout en oyont droit ù une femme Lo ne doit en oucun cos militonteset militontssont reconnuEs pseudo-gentil-progressiste imoge de qui prendsoinde ses peTitesfemmes déroger ù son rôle, de mère- pour leursrefords,les porcs eux por contre sont reconune journéepor onnée, De plus,en m é n o g è r e Femmesde porfout, reproductrice nuspourleurponcu gentil popo ), l'Etot inscrirocette reprenonsle contrôlede nosvies, tuolitéextême, [un et surtout, elle dote ù son colendrierofin d'essoyer des porcs sortolors de notrecorps, de se foireun tout p'tit peu de copi- ne doil pos y s e s o e r pour deso voiture, lol polilique por l'entremisede so etdenotre.Ombqt lll d'outreposser portir ô lo Fédérofion des Femmes du Québec pense pos ces limites. femme ne Lo pormi recherche du responsoble les petit cousue sur le cul du P8, Un ll n'y o évidemment u speech ' prédéterminéen consen- por elle-mêmeeî ce qui es1bon pour monifeslonlEs, susesTlu et por lo suitetouslesmou- elle,seulson homrnele soit,llEgliseo pos de responsoble,puisque tout Le coch tonsse metlenlô opploudiren cæur, conlribué, por son discours, è l'monde es1responsoble, entreTenir cette imoge de lo femme report donc bredouille et frusté roide journée que Alors, cette dewoiTen être une de lutte ei de conteslotion, soumiseeT u protique " de pqr so de son expédition.pour ne revenir que force de reproductionou profiTde que quelquesminutesplustord ormé celle-ci en est réduiteô n'exister pour servircertoins intérêtspolitico- l'homme protecfeur,viril et fort, De de songros( pod deticketsr, plus,I'Egliserefusetoujoursde reconmolsoinsde politichiens en monque oinsique de pouvcir,Lo libérotiondes femmes noîtrele droitù l,ovorfement ,.,surfepoge 5,,. a J*r -$orclùrç*F nrte t.# Nous étions en troin de sortirdu murseTsurlessocrossointespeintures motériels (poncortes, bonnières ,puis,noussortonsde l'égliseet 5 croix etc,,, ,), d'une voiture visiblemenl sontbrûléessurles nrcrchesde cellegoée to lemporoirement,quond ce ci, en signe de proteslolionultime porcelet s'esf opproché et o com- contre ceToutil ou servicedu potriorfinir,nousnous remettonsen mencé ù remplir son foutu coT,Pour licket.Heureusement, celui-cin'o pos morche d'un pos occéléé, puisqu'ù eu le temps de compléterson gesle ce moment-lô,leseffectifsporcinsont de provocotionque lo voiture étoil déjà portie,Porlo suite,les renfortssontonivésô , gronds coups flê ..,. s,;*, sirène foisont leur , "',i; ushowd'intimidotion, I hobrtuel Environl0 chorsde flicspour lo vingtoine que de rrnnifestontEs nous élions à ce moment-lô,Tout ce que nous foisions, c'est d'ottendre le reslonl des sur le monifeslontEs coin d'une rue, I5h30,lo monif se meTen morche vers le sud (noussommes environune cinquontoine de monifeslontEs, en tout), suivi de so gorde personnelled'environl2 chors de coch, Nous onivonsdonc Ô lo Cothédrole Morie-Reinedu Monde, notrepointstrotégique,où nousdécidonsd'entrermolgé lo forteprésence de celle-ci. des cochs Ô l'extérieur quosi doublé et l'onti-émeuteest sur ploce, prête è intervenir Nous les ovons ou cul, et nous décidons de prendre une outre rue, Les chiens enrogé déborque de leursvonettes subiterrentet chorgent de tout bord touTcôté sur les monlfeslontEs. [un de l'église, des fourgons,fonce Ô toute olluresur Unefoisô l'intérieur qui essoientde fuir nousoccrochonsdes cintresun peu les monlfestonTEs portout, ceux-ci symbolisontl'instru- comme ellesllsle peurcnt.Unmilitont ment qu'utilisoitles femmes por le est ieté por tene eTmointenuou sol. posséeTencoreoujourd'huidonscer- Unoutremilitontessoiede le libérer,il onêté,C'est toinspoys,pour s'ovorterpor elles- éussit,moisil esToussitÔT olors qu'un mêmes. Nous loissons sonstorder con- ouTre militroîner serviettes eT Oroonisons-nous répression injustifioble,et tont essoie tre-cette tomponsupropresuici que jomois. d'intervenir plus fortEs le soyons et lô, poursymboliser pour ensemble C'est lo culte de lo sointe puretéde l'églisequi o que nouslesouronsl!! libérotionde son comocontribuéd ce que les femmes voienT leur menstruotions rode, pour se foire orrêterquelques comme éTontquelquechosede sole secondesplustord opres l'échec de qu'ilfout coct-eret dont il fout obsolu- songes1e,llsseronT Touttroisonêtéset ment éviterde porler,Nous mettons occusésd'ottroupementillégolet de quelques condoms sur les slotues, voie de foiT sur une pouvre souspour qnnboliserlespositionsonti-con- merde,Quqtrefemmes seronlégoletroceplione1pro-reproduction Ô n'im- menl orêTées, et occusées d'oÎpode quel prx,de cette institution, Des Iroupementillégol,[une d'entreelles oroffiTissont fqil sur les socrossoinls s'esifoit orrâée, porce que mêlée à lo foule,elle filmoitleschiensqui étoit entroinde brutoliserl'un des miliTonT, reprises en l'ossommqntô plusieurs sur le coin en béton d'une boîTeô fleurs, Les porcs étoient Troisô exercer différentespriseset presionssur le miliTontpendonTqu'une floque de song commençoità s'écoulerde lo Têtede celui-ci,Un ombur:,:. loncier eSt intervenu por cinq leur fois en disont : .. Anêtez, orrêtez,vous ollez me le mogoner plus, encore Orrâe2.,.D pour se finolement foire ,,1 . Ei:::,:.,,i-i{- por l'un des *ffi .r'Tosser ri'i'chiensqui en guise ffiÆF Fii:ril# -# réponse lui o dê e&tr' ,,.,,,1,*.i*s4 oit:<loisse-nous W vnnËmËBk# M*s*5a*rj f,ï'^'"**3ï:qïi ûw ,"Ô son lit -Ï menotlé ô n, "W** ot*"** qu'il se foit lire ses l3 i*nt,rirraÆdroits' -'' '.{.âf r,hôpitor, so so A l'hôpiïol, rÉ.- 'jru porte esl gordée porcinqcocheset il esi menotfé ô son lit,même lorsque l'infirmière luifero sespoinTs de sutures, fl nous sero impossiblede le voiç ni même d'orncirde l'informolionsurson étot, ovont qu'il ne sortede toule le lendemoin,C'éToitlo premièrernonifestotionde so vie !!! Dons les voiluresde flics, les militontsonêtésse foisoienttroiterde u fifis qui se loissentmener por les femmes, de petits cons ou servlce des femmesetc,,, u. Enplusde bien d'outrescomrnenloiresseXsteset discriminotoires, Voilè ce qu'une monif/qctionféministerodicoleo suscité comme réoctionchezces chiens de gorde de l'ÉtoT.Donsles médios bouçeois, l'offoire fut troitée d'une foçon complètementdérisoireeTqui relevoitdu délire,C'estpourcette roisonque l'ono cru bon de foirele tour de lo questionen profondeur. .f,"t -$orcières poge 6 Ul \ n rencontré des ?eprésentontes de lo /tÂarche. C o m m es i l e p o t r i o r c o t n ' é , t a i t p o s u n p r o b l è m ee n s o i , se vivont iluotidiennement dons le ropport de farce h o m m e -sf e m m e s , s o u t e n u por lq systàme copitoliste ,,fruef'Etat et ses f àrces de .,#,pressionn , e font gue ædintenir en ploce. due ;qatf*:oh olorà ottendre m o b f l i s o t i o nq u i n e . i o u r n o lf é m i n i s t ea u Québeë ne Deut molheureusem ent éviter lo question de lo l4arche des femmes de l'an 2OO0 conf re la pauvreté ef les vio-, lences' faifes au.x femmes. C e p r o . i e t ,q u i e s t à l ' o r i g ine und initiirtive d e la FRf eS femmes G é,dérotion'd Q u é . b e c ) ,o o t t e i n t . I omplgy.r internqtio.nole,r constitue ou Québ p r i n c i p a lé l é m e n t m o ïeur des milieux cr nautoires et syn( cette onnée 200( soulève un erttfi TTTSM.E :l,Q bien . . compréhgii{ Ç,,r''ri,,,-' question de l'o sston.l i p é c if i q u e d e s mes - ., élant ploliguep T,ôH jours r'eletéë à. lGf9* ,, scene,mats suscl gofçrnent lo méfic ae p l u s i e u r s., p ooumr pIr e elles r on ne peut ec le D o t r i o É c o t t o u T I uo,6'in 3crivont dons une i qu e d e p o rt e n o r i o t a v i les i n s t i t u t i o n s g u i l e Pe'"pé t u en t . rit ter s d Llrui'ee poP les femmes des 'fo"tre,ffions qui fes concer- 1enÈgûucune rupture ovec f e _ s, i n s t i T u t i o n sé' t a t i q u e s . s u i .n a i æ l i e n n e n te n p l o c e qur ne fr'ofre *,-ff-bpression. ' cher.dLÊ:;igu'à renloîcer 'de portenoriot fi *ie ;r dàs onnées cui,?r ..Hr,Âuf é d . de l'incapocité fqi.t6- des 'ufffi ntsmes communour @ d # 'to, rffi*#Utab I i r un ré,el roppo.!ir f or cç f ace ou e a e Porîti,irrtf,b potronat et à l'Etot? !x,."à orao l i t é d gs,,t érs| on retrouve lo même aberf inole ê S , r o t i o n :l o d e s t i n o t i o n L ' o p r e lss sl ioo n d e s ' t o R de fo iÂorcheest New York, ! m m lert!Su : re et ce, pour < consoI ider lo f o n d em lrne€ 3 nt (d ' u I S y S rËftfdËbtion f l é . q i it mi l t é p oI i t i q u e d e t è m e i njiuu sst e i i n o l i s h t i o n l ' d N U " . A u h a i t - o ho u b l i é )h, outgnt g u e l ' g N U n ' e s t g u e l e , l',o sou?çe dp pr:oblème s possËes r q s s e m b l e m e n T c t e t a .m a r c n e d e s l e m m ç s des encë Se situe au niveou de ; o p s ù s c e p t i - p o li t i c h i e n s d e t o u s l e s b r i s l e c o n s e n s u s .p a y s I ' o n o l y s eq u i e s t f o i t e d u ,,avec p g t r i ô r c o t 'e t d e s e s o r t i c otie dqt q r o n o e s D u: ut sp sr éam n c e so c c t i ,fq t i ç n s g v e c l ç s y s t è m e pgilTtco_-economtque ilentoles?' .Qlrql avonta.ge en La libérationdes b l o c e . P o u r t o n t .C e so r o û n - f e m m e s n e s e f e r a ^ p a s o u r s i e n t - i l sà f o i r e l e m o rn isotrices ont pcissénrô'che p a r l e s m a i n s d e l ' Ë t a t d r e q e s t e c o n t r e l e s y s d ç m e t t r c . l e ' d oi q t ' s u r l e tème-potriorcolet copit'olÇë?l Broblèng. ..?our une O n v o i t ï o l s , t a m o D t t t s û ï t onn? s e p r o b l è m e o l o r s l e s e c o n d i s t e q u i o s s u r el e u r p o d t ee t d e l a d é m o r c h e : leur fiouvoi r? foit pos outour d'une gecto r,te.lle î o u t e s t c f o i r e m e n td i r i g é , lgvendicç|!.on.. D r e n . o e t t m t ï e e ( o t c l e v e r s l e P o r fi Q u é b é c oi s , suite poge 7 s . o c i a l en, o r m e sd u t r o ù o i l , d o n t l e s d i f f é r è n t s m i n d ro it o-ulogement, ) mois i s t r e s o n t d ' o i l l e u r s d é j à ,FJ F; ,ffi; J.* .$orclèrc*o pÊ0r 7 s u i t e d e fo poge P o u r u ne l u t t e r é e l l em e n t a n t i p a t ri a r c a l e C e s c r it i q u e s f o i T e s , i I demeureeisentiel de faire fo d i s t i n c t i o n e n t r e l e s femmes qui orqanisent lo che ei cellei gui tlÂor ' y part i c i p e n T..d, ' o u t o n t p l u s g u e f ' e n b e m b l ed u D r b i e t s e dérouledons un c'odrëossez hiérorchisé. 5i les orqanisotrices de lo Maiche o p p o r t i e n n e n td a n s l e u r grondemajorité à lo bureouc r o t i e c o m m u n o u t o i r ee t souscrivent oinsi tout noturellementoux façons de penser et d'ogir propres à ce milteu,un nomoretmpress ionnont de f emmes vivant c o n c r è t e m e n tl ' o p p r e s s a o n ( f e m m e s à f o i bl è ' r e v e n u , i m m i g r a n t e s ,r n è r e s m o n o porentoles) participent octivement à cette démorche dons l'espoir. d.e renverser ou motns mtntmolement l'ordre des choses. La question qui se pose olori à un co'llectif f éntniste rodicol comme le nôtre est de sovoircomment n o u s p o u r r i o n sm o b i l i s e r , s u r d é s b o s e s r é e fl e m e n t onti-potriorcales,le nombre immehsede f emmesqui ne veulent plus de cet brdre s o c i o l ,g u i r e f u s e n t d e c o n tinuerà se toire. Il fout orrêter de croire gue nous sommes i s o f é e s , ' s e u f e sà ê t r e révoltées; le iour où nous r é u s s i r o n sà ê , l r e s u f f i s o m orqonisées et ment ouvertes, ndus réaliserons que l'écæ.urement des f emmes e nvers l'oDDression quotidienne est plusgjr'ond gu'il en o l'oir. Ajuo te nombrc vie meilleure, le rêve amêride vietirnes de I'eselavage eain, et ils les enferme.nt sexuel augmente toujours ensuite dans un mode de vie où clleslils perdent leur digUn raPP'ort de la CtA nitê, leur eorps et toute eon* stipule qu'envimn SO OCIO dc vie $aine. esclavesse,xuels*ellesdtorig- dition Ltexploitation de femmes ces ine asiatique, latino*amér{caine e.teuropéennc (de I'est) et enfants au ptofit des se font conduire de foree.aux hommes du monde entier doit État*unis pour y devenir des eesser immêdiatement. Il est prcstituêes solls haute sur- ineeceptable que ees femmes veillance. Ces femmes et et enfants soient exploitêEs enfants venant en majorité de physiquement et mentalela Thailande, du Vietnam, de ment pour le bon plaisir la Chine, du Mexique et de la dtautres hommes frustrés ou Rêpublique tchèque ont $up* insatisfaits sexuellement. On posé.ment r€pondu à des annonces de postes au pair, de senreu$csou de seer€taires aux Etats-Unis. Dans le rap* port de la ClA, publié dans The New York Time.s, les respCIn$eblesgouvememeRtaux, les policiers, les victimes et les experts améri* cains et étrangers ainsi qu'une. étude de la nevue de littérature internationale 2276s estiment que depuis deux an r plus de I OCI000 victimec de la prostitution $e sont ne parle plus uniqueme.nt de retrouvées dans des eondi- la commereialisation de lTmtions inimaginables. Iæs egp du coqp$ de la fenrme, emplois pruposés ntont bien mais bien de marçhandagÊ sûr jamais existê et les physique d'êtrcs hum&ins. femmes et enfants se retrouvent soit prisonnières*ers Cette forme eontern-. sous bonne garde et eoh- poraine d'eselavage.doit être traintes à la prestitution, soit dénonc.ée et les moyens venduEsà des maisonseloses. néeesseires pour la faire Paradoxalement, le nombre ee$se.r doivent être mis de l'a* de câ$ rapp,ortés ne stêlève vant. Dans ee pays qutest les qu'à eSOI I Etats-Unis, où lton prsne I'éLa condition de ce.s galité des femnnes,eR voilà femmes et enfants est inac- un bel e,xemple"." ceptable. Ces hommes eapi* talistes, saRsaucun scrupule, lenr font miroiter une.idêe de - Jr, .'ÇorcièreÉ poge I Contre te na ilrif,reat Lejournalr Lessorcières r seveutunoutilde propagande d'un BienquelesZorasn'existent plus,sabineBarbara E.a ffé anêtée groupedefemmes militantes pourquilarévolution radicales, nese lorsdeladescente police de surlesquatdeMehringhof, àBerlin,le ferapassanselleset pourquicelle.ci passera inéluctablement par 19 décembre 1999et est accusée d'avoirfait partiedu groupe. l'abolition du patriarcat cesfemmes ontdécidé des'organiser iur commeAlex H. et HaraldG., eltecroupitbujoursen prison. leurpropres baseset ce,sansteshommæ, màneradicaux queI'article et mili. Rappelons 12gaducodecriminet permet ailemand aux tants,carle fléaupatiarcalnefaitpasd'exception. ce groupeest aubritésd'anêtsr quiconque participe à uneassociation dontles unélément nouveau dupaysage miritant montréalais, etpourtant... buts ou lesactivitéspewentprovoquer ramort le meurtre, des Les mêrnespréoccupations ont motivédansræ annéesr0, les crimescontrela libertéindiûduelle (...)euiconque participe à un femmesdeZorala Rousse (Rotezoralà s'oryaniser surdesbases telleassociation estpassible d'unepeined'emprisonnement deI à semblables surlefondaveccependant desmoyens d'actions beau. 10ans.r coupplusradicaux, puisquelesZoraspronaient la luttearmée. r ' - a r l r r - r - l r t r r r l - t r l - a RoteZoraêtaitla branche féministe partie des grand dumouvement sedésolidarise de despetitsgroupes militants, lesZorass'organCellulesRévolutionnaires (voir Le poing faluttearmée militante, en 1977enAllemagne,isaientà longterme.Pourmotiverd'autres d'Exclamation vol.1#7).Legroupe a étécréé etenrnêrne polarisationfemmes tempsqu'une ærtaine às'organiser, detemps entemps, elles danslesannées 70enex-RFA, quià l'époquedumouvement desfemrnes etdeslesbiennes.présentaient leurgroupe, commequelgue comptait aumoinsdeuxaufesgroupes delutte LesZorasveulent quela résistance militantechosede tès fæileà mettresurpied,pour armée. laRAFetleMouvement du2juin. radicale confetoutemesure d'intégration etde monferquechaque femme pus'organaurait répression de l'étatperdure tanten theorie iseravecleursamies quand elleslevoulaient. qu'enpratique. À cetteépoquelà, l'état Leprimat Les Qote Zoras delapratique, leura permis, au-delà récupérait, d'un les côté, revendications les des Cegroupe difiérences, defemmes d'intégrer unpræessus décide interdoncdes'organconteslataire, et national isersur unebæeautonome delibération, dontcelledesfemmes. en 1972.Tout plusmollæde mowenænt l'dimination de l'aile Toutcomrne commeles Cellules, lesCellules, lesZoras, ellesagissent misaient surtrois d'unautrecôtépriorisait radicde du mouverent Pour les Zoræ <cela : fonts : 1- I'anti-impérialisme sur une muttiplication groupes de 2 l'antiSionisme semblables, quela h.rtte contelesystème motivês parbs actions 3 - le soutienauxluttesdestravailleurs, decelfes-ci. des rcusa confirmé principe devait êfe un fondmental, moins confemmes et desjeunes. partir À de fôlableet qu'ellenedevaitpasfouversafin 1977,leursactionsconcerSéparatlon d'avec les dansleslimitesétablies parl'étab,Lefart nent principalernent des Ceilules de garderdesliensavecla clandestnitê revendications fêministes, que groupe En tant defemmes indêpendant au devait< déranger le calmede cete ère sanspourcelaanêterde sein des Cellules, les Zoras vivaient en confa glaciaire politiqæ >. Les Zoras de la perpétrerdes actions diction : < d'uncôté,nousdéclarions publique ( propager espffaient et enracinsE une nentque communesavec les I'autonomie des femnres est indisrésistance militante, clandestine etorgan- pensable Cellufes. Auparavant ceret d'unaufecôté,nousnousarraniséedefemmes < Créeta gions et lesbiennes, tainesde ces femmes miliausiendenoteorganisation clandestine propre gang) étaitle slogan deleursdébrrts avecdeslpmrnas, tanbsradicales ontbiensûrparcertesentantquegroupe organisaient doncdesactions faciles indépendant ticipéauxcoupsd'éclat maistoujours liéà uneorganisa desCellules : la prise LesZoras provenant surdesthèmes dæmow+ tioncommune >.lly a plusieuns d'otages raisons desCellules à cela. en1975de11minisfes à imiter, solution defacilité, : Unecertaine ensereposant ausommet de|'OPEC à Vienne eten1976le nentspluslægedesfemneset testxennes etexpêriences le luttecontre déjàdévelopI'article 218,Égl+ surdessfuctures détoumement d'unavion d'AirFrance avæ257 pa exemple pées, mais pa aussi les Zorasneseæntaient pæ rnentant le droità I'avortenænt. hurs passagers à bord,Danslepremier cas,le but capables propres d'avoir leurs bases, vu le æ1ions, elles qtæ voulaient montrer tesresponétaitde metûede la pression surles pays nombre réduit de Éministes radicales. plus, De sabfes portée sont toujours à demain.: s Les pourqu'ilsprennent arabes, uneposition fenrp lesforæsmifitantes dela gauche à la findes ontdesnoms.Cherchons ler.radresse ! annéæ contrelsraël,le commando a disparu dansla po,rcs 70 debut des années B0 étaient tell+ p. Pour elles, il n'ya pasd'ætions plusinpor- mentlimitées natureDansle second cas,il s'agissdt de quefesfemnæs les et hommes qued'aufes: < ladlstibution deflyers, devaient revendiquer la libération pdi- tantes despriænniers rêunir leursforæs: < Certaines d'enles occupations graffitis, lesactions l'encollagetrenouss'imaginaient tiques enAllemagne quedansuneluttecometenlsraë|, touslesrrnlrF des serures,jeter des pienes,poserdes munela diflérence bresducommando de sexen'estpassi pire, ontétédescendus. oumetfelefeu,toutacbon fnportante Ellespensaient qrc le radicalisme La consbtution de RoteZora,en tantque bombes de nos poum,e qu'elle pounait camarades r. ræsemble par s Contrarenænt expnmer gr0upeautonome, remise une à qu s'efiectue alors une ;[.* .$orclèrt*o F*SO \û\û\Û\t\Û\Û plusimportants liweuns d'arrnes augou\reme desPhiliPPinæ. patritr- ænûel'ambassade profonde de leuridentitê en quesûon estraté. l'attentat qui Malheureusement la ment turc. exercent reconlæ rnèdecins auraient Ellesfaquent leshommes caleetquequand horizons possibilites des d'élargissement forcée. nules stérilisation leurlutteen Ellesfontdesattentats ils orienteraient et desactions, descompagnies contre Qérrression >. Læ dis- pharmaceutiques, fonction de nosluttesféministæ particulier Shering,En décembre en et Ingrid 1987,UllaPenselin au cours compagnie putessansfin et démoralisantes, un Stroblsont anêtéeset accusées qui a produitle Duogynon, d'avoir defairecom- médicament lesZoras essayaient desquelles sur les soutenu difiormités des causant autæ les Zoras. les Cellules et Quatre n'estpas quela luttedesfemmes prendre nés. nouveaux personnes "disparaisces sont émis, mandats partie maisque qu'une du combat, simple contedesæmpag- sent'et n'ontjusqu'àmaintenant desactions pas été sine Ellesposent estuneændition dupatiarcat l'abolition que Siemens telles haute technologie de nies < Nous que prises. : femmes les Zoras écrivent les quanondechaque libération, À ce sujet à qui participent oufageusement Nixdorf et plus metne et elles trop entre Nous avons s'organiser voulaient avonscommisuneelTeur. deguene. longtemps desusines I'avancêe technologique inutiles dansdesconrcrsations fe d'ênergiæ rêveil de utilisé.la mêmesorte npné Lactionla plusconnudesZorasest celle comme ontfinalement vaines avecleshomrnes, auxflicsde minuterie, cequia permis < PendantconfeAdler, tex- metfesurpiedunprogramrne usines organisationnelle. à unes$aration unedesplusgrandes d'identification que nos tilesdAllemagne, cettephæe,nousavonscompris en 1987.Ellesfontentout desacheteuæs question. I C'est réveil en du deparleur hommes empêchaient cænarades qu'lngrid condamnée a étéanêtêe, comrne 'Lesfemmes ça paficomportements onftouiours façondepenseretleuns prison relâchêe après23 desa et 5 ans de à commun parleurentêtement, untravail arcaux, armés, peine. lulQda4s^dçgruupes lesZorasneæ répression, Suiteà cette des autonome richeet qu'uneorganisation plus ni en geste, mot leur ni mais manifestêesen sont étaitetresteunenécesfemmes etlesbienrcs jusqu'en 1993. Uneorganisation fondamentale. sitépolitique participation gaspille desles difnosénergies commune a trcp au combat et lesbidesfemmes férents surlæ positions Les années {le sllenoe processus de des dans embarque nous ennes , plusparlerdes on n'entend De1987à 1993, salscsfimé. éfé sowent nous discussionêtablispar des hommes, pensentquece groupe Zoras.Beaucoup rnènesur les railsdes normesmâles.Elle lesfempsûangent n'existe plus,mais,en décemhe 1993,les etd'évolution, depensée nosprocessus bloque glace publient < des La sur danse Zoras groupes defemnes ellenretdesbâtonsdanslesrouesde nofe r (Mili's TanzaufdemEis),quiparle militantes rêvoféministe formation dansuneperspective subversilb. du gnlupe,desses change de l'évolution n'exlesZoras >.Bienévidemnrent lutionnaire < danslarêpression. ments, desacontinuation ponctuelles desolidar-læ RofeZons,ily ena enëore peu,matbcela Le climatpolitique clæntpaslescoalitions profondément changé(la ou des arssiva dtangef ité avecdes groupesd'hommes , RoteZara1977 chutedumur,laguenedugolf,lachutedubloc groupes mdsc'estellesquilæ détermixtes, par la alimentêe de I'est),lié à l'insécurité la à deBerlin10attentab etles aveclesAmazones en19M,lesZoras Parexemple, minent. tous à mis court onttoutd'abord quivenddes répression, contecettecompagnie du bombe publient unecritique conjointement Cellules plus plans pratiques (...) de Pour sêcurité nos quisontproduits trèsbonmarché, pourla paix,qu'ellæ et ilsquali- vêtemenb mouvement internes étaientréduitsau miniles contacts Sri Cetteanalyse en Coréedu Sudet au Lankapardes mumet nousnenoussentions bourgeois. fientdemouvement passoutenues deftndu femmes dans parnotremilieupolitique. payées apocalyptiques lesprédictions à unsalairede misère critique quia euuneinflu' Ce mouvement mondede pitoyables, à lalutte encenêgative ensoutien Pourla Paix,qui desconditions surnotreenvieet nosforcesà laguenedeclasse. ignore totalernent les Zoras sÛpu- continuer À cesujet deæstravailleuses. doncle >.Plusieurs Zoras quittent lent: < ChezAdleren Corêedu Sud,les groupe. enquestion S'enestsuiviuneremise Actlons et le desZoræ: < la question estdesavoirsi une femmesluttentcontreI'exploitation pounait s'êlever contrel'â participé les actions commune la à toutes quotidien. fait à statégie ont appel Elles Aprèsavoir au æxisnve la réalité I'individualisation de et claternent que organZoras les les rêsulte les Cellules, ll en avec intemationale. organisées solidaritê qui au contribuerait Un stratêgie urbaine. propres en s'attaquant des actions vie et de defavail isentleurs modiques conditions libération de mouvement d'un développement production nspafiacdæ, aux femnesdecescenûes prioritai fois des rerne ntauxinstitutio de (...)c'està nousdesavoir si nous et con- continents pluslargement représentant con- desfemmes et individus compagnies sontdevenues générale partie ou si la résignation faisons de les nues,grâæauxflyers,auxactivités sexistequiexploite et aux sfuisantunesociété >. 20 ansplustardles nousla combattons entier. dumonde devantles entrepôtsZorasse trouvaient femmæ ætionsles dénonçant dansla mêmesitudion l'ordre de le Conseil incendient ellæ >. En1977, Adler qu'àleursdébuts. nesontplus Mais, lesforces pouruneréformeEnfin,lesZorasfontuntravaildesoutien quipoussait aux là.Biensûr,il y a quelques desmédecins groupes defemmes l'êtatturc,radicales militantes dudroità I'avortement. quiæsontcréês, mais restrictive kurdes dansleurluttecontre femmes jusqu'à prêsent. lesactions conteles surtoutaprèsl'interdiction du PKK en riendecomparable ellæmultiplient En1978, 1995,elles la nuitdu24juillet sex-sno0s. Affemagne.Dans de nombreuxfontun attentat LÛrssen, En 1982,lesZorasorganisent confe I'enÛepriæ KêZakô et prèsde Brême. defemnes, lescommerçant estun des contre attentats Cettecompagnie Jo, -$orciÈrcs poge tO JW: QuelleestI'importance devote rapportau'Tersmonde"? JungeWett(ournalanar): QuisontlesZoras? Zora1 : Noussommes desfemmes âgéesde20à 51ans.CertainesZara1 : A cesujet,nousavons étéclaires danstousnosattenta8, dont vendent passée leurforcedeûavailsurle marché. ce dont ceuxdel'année latraitedesbmmeset I'ambæsade conûe de ellesontbesoin. paspourlesfemmes Certaines ontdes t pas, Philippines. Nousneluttons despayslimifophes, Quelques-unes sontlesbiennes, les s des maisavecelles,confeparexemple l'exploitation dela femme entant supermarchés dégueulasses, nous s.On quemarchandise. Auniveau internatonal, la division entelesfemmes aimebiensepromener, aller leshommes correspond à ladivision enfelespaysriches etlespays enfinnerienfaire. Nousprofitons iersmonde'. deættedivision intemationale dufa tion,carla plupart voulons alleraudelàdecesystème et metteenvaleurles spontanêment, quenousavons ni pays. cômmuns aveclesfemmes desautres réussie. vousoomme considérez féministes ? JW: Pourquoi lenomdetËË# :'{".}Mnrg cen'estpasnotre seulcheval debataille, leraci sme, les HJI9totr P*t .d'"?.y19ti1g, .Tmme le dufavailselon Zora2:ZoralaRousse (un etsaBande qui Held)estunebande degosses pauvres. Noussommes r, des< bandites quisontfondamentalement et I'ordre, genre à-visdes visdesrebellæ 2: (...)Nous ne nousrefusons les souslecouvert dela JW : Quellessont les actionsque présent? Zora?: En1974, entantquefemmes nousavons faitundtentatà labombe de Karlsruhe, carnousvoulions toutes et réglementant I'avortement Leler mai1977 visd'exploitation et surtout vis-à despositions danslesystène : Danslesannées 70le femmes fort. étaitassez probnds,surdesbaseslégales, par deschangements dansla lutte cpntrearticle218,sur la violencefaite au (desmédecins)d'où seildel'ordre pasanêtê deI'avortement Nousn'avons sex-shops. Enfait,nousvoulions brûler jour.Pournous,il,estabsolument femmes entantqu'objet sexuel et privéet demontrer noûerageet (..) toute desrt sur le viol, la créationde sûuclurescontestataires etc.Pouquoiestimez vousquela luttearmée estune lemouvenænt desftmmesa gagné dutenaindans pas,carles ...)Maislesacteslêgaux nesuffiænt de I'oppression et de l'autorité : sontla légalité saftmme,c'estlêgal.Quand untenancier Zora1 : Toutefois, nousnenous sfuctures évidentes duTersrnonde" à untafiquant c'estlégal. d'oppression desfemrnes. noussommes Entant toutaussi Quand faireunfavaildemerde minimum. ausalaire parlesrapports qu'ils'agisse concernées de pourla de enruinant légal.Laconscientisation dupublic destruction deI'environnement environnement toutcourt videncefaite est uneamêlioration, maisça ne l'a pæ oubiendesformæde (...)l,lous pæ empêchêe (...) nevoulons n'estvisiblequeparle résistance. C'est principe de division dutravailàla : lesfemmes nous s'oc- pourquoi boycottons, nousendommageons, nous cupent desquestions detouslesautres thèmes nousvengeons lamainsurlesresponsables. politiques (...)C'est incendié le bureau d'avocats plusieurs de Miethai Kaussen, (...) JW: Faites\lous musclées évictions desfemmes, de la guérilla Nousavons lea appliquè endistibuant dansla région dela urôaine oudes Ruhr(rêgion minière deûansport, ) dewaisfauxtickets aveclesCellules. Zoral: Nous faisons ntdesfernmes etmenons une peut luttepourlalibération desfemmes,(...) Laradicdisation subjective Tora2 : Nos araientpourciblesSiernens peutænûibuer et Nixdorf donner à d'autesfemnæs le courage deseprotéger, à (rnultinationales de haute'technologie). prennent Leursrecherches serventà cequelesfemmes ausérieux cequ'elles fontæ qu'elles sont. dêtælopper (...)Cesontdesleadendelaresûuc- Ceæntiment l'industrie delaguene quelque deforcequand tu asrêussi donttu avais chose, turation dutravail,surtout surle dosdesfemrnes danslemonde entier. peuret quetu voisqueça faitbouger leschoæs,l,lousvoudrions du domaine et lesflanmes t*'*d r* d{* r* {* r* q* ,*. J.* uxr(e ftllette Soud-a.n: <fe ll a;tlsr rrlolée Le 5 mai 1999,une fillette de 11 ans vivant avec sa famille dans un camps pour personnes déplacées revenait d'une visite chez des membrès de sa famille habitant le camp voisin. S'étant perdue en chemin, elle fut interrogée-par des policiers qui I'avaient prise pour une enfant vagabonde. lls I'ont ensuite emmenée aq poste de-police de Soba, où quatre fonctionnaires lui ont.faitsubir des violences sexuelles.L'un d'eux I'a déshabilléede force, la menaçant de la frapper si elle résistait et I'a violée en présence des trois autres. lls I'ont ensuite conduite au centre hospitalier en déclarant qu'ils I'avaient trouvée alloirgée dehors atteinte de malaria et de ménin' gite. Personne n'avait informé sgq parents de Fendroitoù elle se trouvait. Les médecins lui ont administré un traitement de cinq jours contre la malaria avant de découvrir des signes probables de viol. Elle subit ensuite un examen complet au centre de gynécologie où ce fut confirmé. La jeune fille subit encore les séquelles psychologiques et physiques de cet événement. -De plus, elle est également exclue dans cette société où on tend à stigmatiser les victimes de viol. Aucune réponse n'a été donnée à sa famille qui a porté plainte au secrétaire du Conseil conCultatifsur les droits humains (organisation gouvernementale).Malgré tout, un groupe d'avocats s'acharne sur le cas et ont réussi à accuser le policier de viol et les trois autres de complicité. Cependant, afin de poursuivre le procès, la fil- lette devrait subir un nouvel examen gynécologique afin de constater le viol. En plus de I'aggravement des troubles - g o r c èt r s i â p 0 ! G t t V . i g * psy- chologiques que cette épreuve imposerait à la jeune fille, il serait impossible de confirmer les faits aussi longtemps après le viol, alors qu'un examen avait déjà confirmé I'acte. Beaucoup de résidentEs jugent que la majorité des viols ne sont jamais signalés à cause de l'exclusion sociale subie par les victimes. Plusieurs articles dans la convention des droits des enfants qu'a signée le Soudan le 2 aott 1993 obligent le gouvernement à <prendre toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger I'enfant contre toute foime de violence (....)y compris la violencesexuelle(...)t Voilà une des nombreuses bavures à travers lesquelles les policiers prennent avantagq de leurs rapports de force afin d'agresser ou d'exploiter des individus. Le problème de la stigmatisation des victimes de violences sexuelles les empêche de dénoncer ouvertement ces actes. partager Nousne ces expériences. pensons pæ que faire selon se doit ça {s:rgeç'irlLi$er, dernièrement noschoix.Parexemple, ontfaitdesgrafà Berlin, desfemmes, puantes lancé bombes fitiset ont des Eh bien,ce dansdes peep-shows. genred'actions et j'+ nousmotivent spère qu'ellesmotiventd'autres Noferèveestqu'ily aitdes femmes. quedans partout, gangsde femmes de villeun violeur, un batteur chaque unpropri$ femmes, unéditeur sexiste, porno,un porcde tairede magasins qu'une *'i r trr:ies*eHErl.,;[,.I gynêcologue dewaitredouter gang ne le femmes ne démasque, de "Violeurc,o, iorc auta!" mettela mainsur lui, ne le monte parexemple chezlui, enledênonçant publiquement neleridiculise, dudoigt, sursonlieudetavail,sursavoiture. de vos actionsvousmettezen dangerla vie JW : Danscertaines ? vousresponsabilisez.vous d'autui.Gomment justement desvies,qui endanger lefaitquenousmettons 7ora2:(...)C'est particulière (...)ll y a des duneresponsabilité nousobligeà fairepreuve qu'onnoUS CarOnn'auraitpaspuéviterdeSvicreproche toujours, actiOns pourquoi ellesse savent exactement entreprises innocentes. Certaines times quand habités. llsspéculent surlamorale dansdesbâtiments sontinstallées pourprotéger leurcapitaux. dansdetelsbâtimenb ilss'installent est selonlequella lute armée vousà cetargument JW: Querépondez du à uneétroitesurveillance ? Quelle contribue aumouvement néfaste qu'elleisoledelamajorité ? desfemmes mouvement c'est à cause dela rêpression, aumouvement nuisent Zara1: Nosactions quiy nuisent : auconfaire cequetu veuxdire.Cenesontpasnosaclions Parexemple, aumouvement. direct êtreunsoutien et peuvent ellesdoivent ont permisde rendre de femmes contreles commerçants nosactions sesentent publique Grâceà elles,cestrafiquants cegenredecommerce. ques'ilscontinuent conilsdevront leursûansactions, ilssavent menacés, qu'ils savent Et quandcesMessieurs la rêsistanæ desfemmes. fronter pourlemouvement c'estunevictoire compter Surunecontestation, doivent pourafiaiblir, partouslesmoyens, enfait radicaux lesgroupes Zora?:lsoler condumouvement dedesûuction stratégie estunevieille , le mouvement 70, dansles annêes Nousen avonsdêjàfait I'expérience testataire. celle partie lapropagande del'êtat,quand a repris dela gauche lorsqu'une dela rêpression sanscompromis, responsable, ceuxquiluttaient ci a rendu passeulement maislégitimise la causeet l'effet, Ellenemélange étrtique. positions. Elleréduit parlàmême Elleaffaiblit sespropres lateneur êtatique. résistance. sa de sa contestation, le cadre de elle-mèmes c'estunréalité. ontuneffetapeurant JW: Lesactionsarmées quand pourquoi unmecvendunefemrne, 7ora2:Jemedemande çan'apas qui qu'un violence Lun une est voiture brÛle, si. alors apeurant, d'effet quiestune alorsqueI'autre, elleestacceptêe êconomiquement, lêgitimisee quienontplusqueraslebold'être sans (..)Lesfemmes faitpeur. rêponse, (...) pouvoiç dansnosactions. seretrouvent Je* -$crelère*o Fe$o fl fireistîtutilln : mise è scc d'un prejet notamment uneétroitecoldelaprostitution danslequartierirritants, dedéjudiciarisation Lamiseà mortduprojet - organe police laboration possibilité avec la la d'une auradumême coupétouffé demier Centre-sud deMontréal enmars quartiers plus pauvres répression suprême de de I'Etat, les delamétrodeviedansl'undes amélioration desconditions proposait rappeler, propriétaires faut-il le il une quelques pole. decondos etdes des semaines, EnI'espace deseulement que la plusieurs alternative à criminalisation moisdes diversEs le travailde réussiront à anéantir commerçants Lesloiset leursintérêts économiques à ceuxdetouteviventles prostituées. intervenantEs enopposant surlaquestion, les mesures répressives ont lacommunauté duquartier. qu'àla suited'un ll fautrappeler colloque dusexe,laVitle surlesmétiers de Montréal créait,en 1996,le Comité montréalais derueetla surlaprostitution juvénile, prostitution En juin 1999,ce publichuitrecommandacomitérendait la de tions,dont fameusepolitique En non-judiciarisation de la prostitution. le projetserafinalement marsdernier, retirépar les responsables suiteaux pressions intenses despetitsbourgeoisest qui craignaient de voirla du quartier valeurde leur résidence et de leur commerce s'effriter. leur inefficacité dérnontré à faire laprostitution. disparaître Elles ontseulementcontribuê le à charger davantage judiciaire queI'onconcasier defemmes Deplus,lajudiciaridamne socialement. maintient la stigsationdecetteactivitê matisation destravailleuses du sexeet lesrendplusvulnérables. Cesfemmes sontpeuconsidérées socialement et la violence est le lot de nombred'entre elles.Prèsde 35% desprostituées ont pardes dejàétébrutalisées ou violées clients.Ces femmessontméprisées, par une société bafouées, violentées par la culturepatriarncoredominée ft sontellesqui sontles plus ,ffi,,,,. victimesde la répression. prinisquelques années, descomta pression Toutaucoursdudébat,lesdifiiciles conditions de vie des femmesqui se ontsuscité dernois? Comment exercent ce travailmarginal peuintérêts ëË1 de la partdesopposants,hostileaux prostituées, remettepase Dansl'êdition du 20-27avrilde I'hebdotion les madaire danslecourrilCl,LiseMillette, mêmesde cette'l nousapprend erdeslæteurs etlectrices, queI'opposition exploitation, au projeta mêmefait découlant d'un naître derésidentEs uneassociation système capiintolérant est dontle discours taliste et carrément misogyne. Ce patriarcal groupesuggère ? de *{ éréeideséëàles .\ l'Étatet sapolice du'qqry[lqr, à uneuêriffihopération-netle centre-fibit{ tre-viHe,'ltirÉrantEs, sont et prostituæs Beniet duæairêSt'1 tt t l:: n: &t'ç**citutie un tfi*rè ehei*? Reconnaîffi'la necessité de absolue Pourtant, de réforme *"-n' tr - pourperprostitution la déjudiciariser pourlest$ff vis-à-vis tolérance de auxfemmes de sortirde la clanprostituees{; : ' la prostitution à traversle mettre plustraitées destinité tout n'étant en en mondeprendde I'am@ur. Au leurs T î et pas pour ne criminelles cautionne lesgrandes villesontleur Mexique, c l i e n t sk La question de la (comme laprostitution redlight;enAutriche, a été autantcetteactivite. il existe prostitution pose I'oppression celle de (saufdansuneprovince); légalisée en déjà à Toronto) queviventles femmes. Ce biensûrauPays- spécifique ueirtorganiser Belgique, onla tolère; dàs qui rapports de sont des domination conau vigies itinérantes Bas,lesmaisons closes sontlégales; lesfondements decetteexploitapourintimider (et parle fait Danemark, lesbordels ontétélégalisêsstituent lesclients le souligne Comme tion sexuelle. même,lesprostituées) après20ansdetolérance; une cetteannee, et propose Armande Pour SainfJean dans en finir augmentation dela en Afriquedu Sud,le codedu travail deB0% deseffectifs patriarcat, << prostitution le La avec ef les policedansle quartier. danslecasdela prostitution, Ce genrede s'applique formes autres de comme sexploitation programme lesévénements de etc. rappelle la pornographie et le commerce d'objets juin1993ou unevéritable aux chasse que prolongement ne le êrotiques sonf & lrrepæott sorcières s'était engagée; desrésidentEs &ftûtnAæ d'unéchange sexueloù /es pilote mercantile Malgré lefaitquele pro1et encolère seruantdanslesappartements partenaires inésont comportait certains leurmiseà denon-judiciarisation desprostituees etproclamant ...suÉepagel3... Jtr ..$crcièrc*, Feûç tl et dignité etlasécurité. Elles ontledroitd'exla prostituti0n comme un les femmesperdenttoutecredibilité Considérer prostitution la ercer ce travail toute considération, sans se sentirhonnies, légitime adultes consenentre commerce humiliées du domaine de,l'exploitation d'un et avilies, le des derneure les femmes et corps c'estvoir tants, la police, le surun autre(l'Etat, Peut-on groupe femmes comrne unemarchandise, parler que nous les les contre Tantet aussilongtemps mafieux et clients réæau véritablement delibreconsentement près que vivrons un pourles femmes dans système capitaliste et de la femmes). alors patriarcal,"tant quelesfemmes se retrouelles(44%)onteudesrela moitié d'entre dansunesituation de pauvreté et forcées ouontétévictimes glrestïtutlrrn os prcs tituêÆs veront tionsæxuelles qu'elles quedevenn'auront quele tiersa subiunviol d'autre choix tandis d'inceste poursesortir nepeut dreleurcorps deleurmisère, ce travail? (Gagnon, Laluttecontrela prostitution avantd'exercer prostilutte les enune contre Tant ellesserontexploitées et abusées. ?, dans æ substituer Réprimer ou légaliser Claire, lesprostituées À I'heure actuelle, de quenossociétés tuées, seront sousle jougdes 1993) septembre, Réseau, aucun rapports marchands, touslesgroupes sociruen'ont,à toutesfinspratiques, pauvres, partduprincipedroit.Ellessontméprisées et excluesauxéconomiquement et particdeliberté Leconæpt lesfemmes, ellesviventunerépressionulièrement quetouslesmembres socialement; serontexploités. dela communauté générateurs ou vio- L'abolition si ellessontbrutalisés des systèmes égale. Orlaprostitu-constante; defaçon sonttnaitéEs par d'inêgalités de lées lesclienb,ellessontridiculisées estla seuleissuecontrel'option,c'estla libertédes hommes desfemmes. les femmes.Parcequ'elle parlesfliæ.Enfait,ellesontunesalejob. pression soumettre auraitpucon- Manue lesrapports d'iné- Leprojetdedéjudiciarisation et consolide encourage cettesituation. parcequ'elle Ces galité, à tribuerà changer réduitlesfemmes femrnes dansla ontle droitde travailler etqueparconséquent, desobjets sexuels I mar"s rue sfin de montrer à tous que se sont des femmes commeles outres gui ont un rôle à jouer donslo communouté,qu'ellessoientmères,sæurs,mariéns,partenoires ou voisines. Ellessont mêmeessentielles à la surviede lo communauté de Soho,ce quartier d'édificesà bureouet de restourqnts.Joon Martyr, une membrede la Soho Society(société,5oho),supportoiredestravoilleusesdu coin,nousexpliquecommentle quortier seroit tronsformé économiguement et socialement si on expulssittoutes ces membresde lo communouté ovec leur fomille. Elles contribuentoutont que tous les outres résidentset les outres résidentesà ls survie des commerceslocoux commeles épiceries,lesboulongeries, ect. Une femme est ovont tout une femme, peut o,ce ront importeson emploiet so conditionsociole.On lui doit znt, lion rdu des Les prostituéesdu Quartier Sohoà Londresnous disent : C'est assezI Cesfemmes,biensouventmèrede fomille,font de lo,,p lé,galeen 6ronde-Bretagne opportement.C*!!9" guelo prostitution nsdangereuse est ou moins1Ofots de rue,cond n '1 ers mois, cesfemmesse sont guientredansleur maison policiers hor foit sons Quortier tre dons veroient $snf,d iction, women womenin f.*ûÉ.l{ ion.[Alors violenceantl dis confrontéesà des expulsionsdo elfessont confrontéesà lo violence donslo rue.l" expligueNiki Adoms EnglishCollectiveof Prostitues( Prostituées). Lo policede Londresjustifte les interventions policièresen disantguedes femmesvenontde lo Russie ofin de se et de l'Europede l'Est rentrent illégalement gue lo priorité, eux, selon prostituer. C'estdonc une gue pofice gère le commercesexuel.Qu'est-ee ço veut plus prostituées d'ici misdire ? En rendantlo vie des érable,ils vont enleverle goût cux outres de faire de même? Le I mors,dons le codrede lo journée internodansla tionolede lo Femme,ellessontdoncdescendues soustoutessesformes.Ce n'estp6zn enfermontou gue les proben échongeantleur liberté conte r;ffi_;iffin, lèmes vont se ré,gler. Les prostf"ffi*, de Soho sont orgcnisées à l'intérieurd'un collecTif.Ëlles ont finolement décider de prendre lo rue pour dire ou monde entier ce qu'ellespensent.Lq solidorité,entre femmene doit foire oucunediscriminstion. J"t -$oreïèrGr, Fe0c liI MvrÈNE, travailleusedu sexe,raconte #### Dons le débot sur lq proslitution,oo o souventfendonce à porler des prosfituéessqns leur donner lo porole. Loin de penser que lo porole d'une seule prosfituée esl représenlotive de loules les qulles, nous ovons lrouvé primordiol de loisser lo fribune à Mylène qui o bien voulu porloger son vécu ef ses réflexions ovec nous. cel échonge q pris lo forme d'une discussionlibre, d'un échonge è deux sur le sujef... Sonia : Commeon a pu le constaterlors des consultations publiquessur le projet pilote de déjudiciarisation de la prostitutionau centre-sud,beaucoupde préjugés existent sur les prostituées.L'imagegue les gens se font d'ellesest-elleexacte? mais une prise de contrôle sur I'autre.ll faut replacer cela dans le contextede I'oppressionpatriarcale,le viol est du terrorismesocial contre les femmes.L'analyse féministeradicaledu viol et de la violence contre les femmesparle d'appropriationdu corps des femmeset du contrôlede leur sexualité,c'est un thèmequi revient NMène: [imoge qui Menten tête, c'estcelle de lo prosti- souventdans la discussionsur la prostitution... tuée de rue hobilléede foçon extrovogonte, en mini-jupe, ou coin de St-Lôet Ste-Coth.Premièrement, il y o d'outres tvlylène: Oui eI c'es1lô, que je visen controdicTion or,ec forrrresde prostiTution, J'oi déjù foit le trottoirquond j'étois moi-même,Je me suisfoit écrosertoute mo vie eTlo prosplusjeune,possurlo Moin, Moisoujourd'hui , je ne sollicite tilulionm'o déjù donné le moyende suMvrequond j'étois mes clientsque por lespetitesonnonces.Deuxièmement, en fugueô 14 ons,Je soisque c'esJun couteouô double il n'y o pas un style de prostiluée,rnoi$ tronchont,J'oilouioursossumémeschoix outont de sh/esque de prostituées, Je donslo vie moisje n'oijomoisrêvédêtre ne dis pos qu'ily en o pos qui ont l'oir proslituéeun jour,Soufque c'étoit mieux mogoné, mois d'outres ressemblent dons lo rue qu'ô lo moisot't,ou moins plusô lo voisined'ô côté qu'ô 'Pretty j'qvrrisun semblontde libertéet je choiWomen". C'esf ço que j'oime pos sissois souventmes clientstondisqu'ô lo quond on porle de stéréotypes,On moison.,.j'oime pos trop en porler, diroitque ço rossure lesgensde nous Disonsque je n'ovoispos une houle mettre dons une closse ô port, on me de moi-même et que ço devient un peu moins humoines,on ii le mol de ploce. nousgorrochedons lo cot{7orie des femrnes "soles"qui sont moinspire ô Sonia : Penses-tuque la prostitution mépriserI est un choix? Sonia : C'est encore la dichotomie vierge/putain. Certainespersonnesaffirmentque la prostitutionréduit le viol ou est une forme de préventionde violenceconjugale,qu'en penses-tu? llylène : Fourchoisir,il fout orroirplusieurs options,Sic'étoit ô refoireje ne soispos si,..lly o des femmesqui sontforcées ù se prostituerdons des éseoux mois lo pluportdu lemps c'estplussubtilque ço, Sourcnt,c'estle chum qui pousseso blonde ô vendresoncorps,je suisdéjô possée MVIène: Deséflexionscomme ço, ço m'ENI?AGE ! C'est por lô, On dit que lesfemmesvivontde lo violenceconjucomme si on étoitdes femmesde secondordre,comme gole ne sont pos toujoursconscientesde lo violence,ou sion disoiT: "C'estposgrovesilesclientsdéversentleurvio- ne veulentpos se l'ovouer,ie croisque c'étoit ço que je lence surlesputes,ou moinslesfemrres de bonnefomille vivoisovec lui. J'oi pu m'en sortiren porloçl ovec des sontéporgnées".On n'estpos le punching-bogde lo vio- ornieset des fillesde Stello.Je n'oi pos onêté.deme prosj'oi droitô lo dignitémoi oussi,Penses-tuliluermoisou moinsil ne pouvoitplusme conTôler,Je suis lence mosculine, que vroiment le gorsogressif ou obuseurvo l'êtremoinss'il possæ du père obusifou chum obusif,Pourmoi, c'étoit qui se défoule sur moi? Ce l'intéresse c'est lo positionde des relotionsnormoles,J'ovlis oppris que j'étois jusle bonneô boisereI que tont qu'ù me foireprendrede force pouvoit pos le sexeI j'oimoismieux choisirqui me possoilsur le corps, Pour Sonia : En effet, les hommes violents sont nespons- épondre ô to question,ço dépent de Io définitiondu ables de leursactes;ce n'est pas une pertede contrôle choix,Donsmon cos, je n'ovoispos beou.îp d'options I J** -$crelùr**, FegG lï TÉtqotçB,*&G€ o surr. quond j'oi commencé.C'estcomme ço que je l'onoly'se italiste. Dernièrement i'ai lu que de 70 à 90"/odes mointenontmois sur le coup je t'ouroisépondu que je femmes qui font de la prostltution ont été agressées pouvoisfoire ce que je veux ov€c mon corps,même le dans I'enfancepar leur pqrc ou un autre membrede la vendre, Esl-cede lo libertésexuelle?J'oimeroispouvoir lamille contre 25o/o dans l'ensemblede la population viwe mo sexuolitéselon mes besoinset mes désirspos (CEAF féminine RappoÉ et du Comité Montréalaissur ceux définispor leshommes, la prostitutionde rue et la prostitutionjuvénile)et que plus de la moitié viennentd'un mileu modesteou pauvre. Jusqu'à quel point on peut fairc un lien avec la prostitution? h/ylène: C'est sûrque j'oi opprisù mélongeroffectionet sexe,Avont,choque nouveouchum étoit le princechormonl venu me souver,J'oi oppris que je ne pouvois compter que sur moi, C'est une questionpos évidenTe porce que je n'oimepos me voirdonsune positionde victirre. J'oi vécu des chosesdifficilesmoisje soisme bottre et j'oi toujourssu me débrouiller. ll fout voirô qui ço profite dons lo sociétéet ciblerces personnes, Sonia : Et maintenant,quelles sont les raisons qui te poussentà continuer? Sonia: Le projet pilotede non-judiciarisation est tombé à I'eau à cause de la protestationde "citoyen-ne-s"et de commeçant-e-s. Certainespersonnes prônent une légalisationdans ceilains secteursou "red light" avec un contrôle de l'état des maisons de prostitutions, d'autres dont I'ASP (Alliance pour la Sécurité des Prostituées),POWER(Prostitutesand OtherWomenfor Egual Rights),le CEAF(Centred'éducationet d'action des femmes)et la SociétéElizabethFry necommandent la décriminalisationde la prostitution.C'est un débat qui te touche directement,qu'en penses-tu? Mylène: On n'estpos toulesd'occord lô-dessuslll y o des qui oimeroientprotiqueren poix sons horcèlement filles tvlylène: Aujourd'huije le fois en ottendontde finirmon policier.ll fout dire qu'on o surloutporlédes clienlsmois secondoire5 à l'erCucolion otx odulles,Lesfinsde rnois grosseporfiede lo violencevientdes flics,C'es1pour sontdifficileset c'estquelquechoseque je soisfoire,Alrec une que Îu m'os souvenlvue dons lesmonifscontrelo bruço lesonnéesj'opprendô mettrelesmoTssurce que ie vis,je policière, lolité c'est oussilo violenceou quotidien.On se lis de plusen plussur ço et j'oimeroiséiudieren trovoil foit menocer et rirede nousquond ilsnouspognent,ll y en sociolplustord.Tusois,c'estposporceque j'oi prislo déciqui o même échongent leur"silence"conlre une pipe. Le que je ne suispos conscientequ'on sionde me prostiluer pirec'eslque quond un clienlestviolent,on ne nousprend m'exploite, Ço m'écoeurede penserqu'un gors pense pouvoirm'ocheterovec son cosh, je lui vend mon corps pos ou sérieux,lescoches disenlque ço foit poriie de lo job, Au débuf j'étolsd'occord o\ec le red lighl,mois en y pos mon ôme, MoisJe ne suispos en posiliond'égoliTé pensonij'ouroispeur d'être encore plus isoléeet éIiquetovec lui:il o le cosh,pos moi. Apès ço, il retourneô son peTitbungolowovec so femme, son chor el sesenfonts, Îée dons un ghetlo de putes,Enplus,si l'étot prendle rôle -roi il fout que je me gèle pour oublierso sole foce de de pimp ço risqued'être encore pire, Apès tout, les cochesne sontque l'extension de l'étot,Non,,,ce que je richeet sonodeurde sruinget de sperme, veuxc'estqu'on me fiche lo poix,que lesflicsonêtenld'écoeurer les fillesdons lo rue, Peut-êtreque lo meilleure Sonia : Tu as dis que toutes les femmesqui font de la solutionÔ court terme seroitlo décriminolisoiion, mois il prostitutionsont différentes.Malgrétout, elles vivent foudroitque j'y réfléchisse plus. toutes dans la mêmesociétéqui est patriarcaleet cap milGll ( - Bravo Cérard, vous avez bien tiré, mais absolument mal jugé. - C'est la bavure, quoi ! - C'est la bavure.Très bonne explication, vous avez tiré les bonnes conclusions de vos leçons ... D (R. Binamé & Jules) L'appellation < policede proximité r a ro ans,elle est apparuepour la premièrefois densune note du directetrrcentral despolic'esurbainesfrançaisesen décembrerg9o. Mais I'idée de rapprocherla police de Ia population remonte à 1977. Depuis, les politichiens de gauchecornme de droite s'y sont penchés,pour pondre des pmjets voués à des édtecs cuisants.læ résultatde la dernièretentativede rapprochement,< llotage >,est lui aussinuL Elle consistaità parachuter desîlots non pasparadisiaques,mais policiers dansdescentresnévralgiquesdesbanlieues,aræcIa tâche clecréer des liens avecla population.Malgré tout, le sinistre de I'intérieur français,Jean-PierreChevènementParti Socialiste(PS),a décidéclemettre en placeIa < police de pro:<imité> d'tci à zoo5. La sécrrité, traditionnellement un thème de prédilection de la droite, est une priorité de son gouvernement. L'enjeu est donc purement politicard, surtout à I'approche des échéances municipale, législative et présidentielle. l,e 3o ma-rs2ooo, se tenaient, à Paris, les Assisesde la police de proximité rassemblant 4ooo hommes, lors desquelles Chevènement déclarait : <(Il faut renouer les liens avec la population, réinsérer la police dans le tissu social local et (lui) redorurer une autorité véritable au quotidien. C'est une nécessitéabsoluepour la police nationale, ce n'est pas une lubie. > Le projet, déjà expérimenté srrr 67 sites dans 33 départements, a connu une première vague d'élargissement le rer awil et en connaîtra une autre le rer juin, touchant ro millions d'habitantEs. < Lutter contre la délinquance de masse ))et ( répondre à une attente sociale > sont les deux directives du policier de proximité. Quoi de plus limpide : satisfaire un électorat de droite et d'extrême droite par I'arrestation de masse des petits délinquantEs...La police de proximité a trois objectifs : <( savoir anticiper > ou savoir tirer plus vite que son ombre, < connaître son te ritoire et ses habitants )) ou espionner et <<dialogueret écouter> ou réunir des renseignements. Iæ policier de proximité doit aussi prendre plus de responsabilités, faire preuve d'initiative, il ne doit plus se limiter à obéir aux ordres de ses supérieurs, tel que le déclare Ie commissairedivisionnaire Jean-Paul Faiwe : < Le nouveau policier doit remplir des missions de prévention et de répression, multiplier les contacts avec la population, collecter des renseignementstout en étant un acteur de la vie du quartier. Il doit sortir d'une logique de simple exécutionde consignes,et prendre toutes sesresporuabilités. > Donc le nouveau flic serait doté d'une certaine quantité de matière grise lui permettant de prendre des décisions et d'être responsablede celles-ci !!! En d'autres termes, il y aurait délégationde certainspouvoirs !!! Pourtant,la police tout comme I'armée sont des institutions de l'état, qui ne pewent manoeuwer que dans u:r encadrement d'extrême hiérarchisation, sans quoi la pyramide s'effondre... Chevènement a trouvé la solution à cette équation. II compte ( remplacer les 25 ooo départs en retraite en 5 ans par 20 ooo jeunes à façonner > et <(reprogrammer les gardiens de la paix en poste par la formation continue. > I1 compte mettre ses 20 ooo nouvelles recrues dans le moule de la proximité proxénète et former des robocops défenseur de la veuve et de I'orphelin. Une véritable production hollywoodienne intitulée le <<Che au pays des merveilles > !!! Et qui seront ces 20 ooo nouvelles recrues ? Des ADS (Adjoints De Sécurité), qui ne sont autres que desjeunes des quartiers en question, embauchés selon des programmes d'emploi-jeune, payés au SMIC (revenu minimum) et qui, après ro semaines de cours et 1 mois de formation, sillonneront les rues de leur quartier à la recherche des <<délinquants de masse> !!! La bonne vieille méthode : diviser pour mieux régner ! Et, Chevènement se donne les moyens, puisque le budget du ministère de l'intérieur, s'élevant à S+ $7 milliards de francs (r4 ooo milliars de $), * donne la priorité à la mise en oeuwe de Ia police de proximité. 4 $o ADS supplémentairesseront recrutés.D'autre part, 469 emplois de gardiens de la paix remplaceront des emplois de commissaires et d'officiers. Enfin, 1oo nouveaux emplois de police scientifique seront créés. Iæs crédits de fonctionnement de la police nationale augmententde r83 millions de francs - 4SZmillons de $ - (+S%) , et seront affectésen priorité au financement de la généralisationde la police de proximité (...) > Chevènements'est engagéà inenet à bien cette réforme, ( la plus grande réforme de la police nationale depuis 5o ans .)> Après I'arc de triomphe de Napoléon, le centre de Pompidou (Beaubourg), les Diamants de Valéry, €t les multiples monuments nationaux de I'empereur Louis François Mitterand, voici la PP, oeuvre titanesquede che' Kê zakô J"" -$orcièrss prge 17 .i ù\.\ .v -\! TOUIOE3G C'esten plein coeurde La cité de Touiousequele projet a étéimplânté depuismai 1999,au Mirail, plus exactementdans le quartier Bellefontaine,celui-]àmêmequi en décembre1998a connu4 jours d'émeute,aprèsla mort d'Habib, assassinépar la police.LesdeuxagentsJean-PierreBalanet Momo font leur tournée.Ils vont d'abordà la maisonde retraite, faire lesbonssamaritainsauprèsdesvieillesdamessansdéfense,pauvres,seuleset sansfamille, aveclesquellescbst un véritablejeu d'enfant,d'attiser le sentimentd'insécuritéet par là-même,de soutirer leur entièrecollaboration.Puis, ils sedirigent vers le cenbe commercial,en empruntantles passagescouvertsdesimmeubles< sinon les gossespeuvent nousbalancern'importe quoi sur la tête depuisles fenêtres>, déclareI'agentBalan.Au centrecommercial,lesagentsse sententchezeux. Iis se font payerle caféau resto turc, ils discutentle coup avecle couturier tunisien, ils vont faire la bise aux secrétairesde la mairie. Quellescènechampêtreet bon enfant ! Cependant,cheminfaisant, les colèguestrâvaillent. Ils écoutentles histoiresclesuns et desautr€s,ramâssentdesbdbes de récits çâet là et en font des< notesd'informations >, qui, < misesbout a bout, viennentde permettrede serrer rmebandequi volait desscooters.> Serrer des mains pour mieux coffrer ! Iæsjeunesdescitésne sont pasdupes,ils annoncentsur despanneauxde chantierla < fermeture du postede poiice > avecla mention < niqræles balances>. h commissariatde Bellefontaineexistedepuis 3cr ans,il comprendzo < ilotiers > et depuispeu 80 nouveauxagents< redéplot's > dansle cadrede la police de proxirnité. Le commissaireestun partisandela < tolérancezéro> : < uneboîte auxlettreséventrée,un carreaucassésont autant de signesd'incivilité à combathe.> ( Et si 1esdépôtsdesplaintesont doublém rm an, c'estquenousavonszu créer un râpportde confianceavecla population affrrmele commandantdu commissariatqui juge que < le climat a changé, ", A nt, les gens avaient peur des représaiiles. Maintenant, ils sentent qubn les protège et nous obtenons des témoignages.> L agentBalandit sesentir bien danscequartier, parmis cettepopulation,cependantil dit encore< je ne voutlraispasquema fille sepromènetoute seuledansle quartier après19h ll. Tdil0n C'està I'Escaillon,une cité de l'ouest de ToulorLque la police de proximité a été implantéedepuisun an Leseffectifs sont passésde 9 à 41 agentsdont la moitié sont desADS.Iætrio u Potiron So3 >, un titulaire et derx ADS,sepromène dansle quartier, dansleurs uniformestout neuf pour u rassurerles honnêtesgens> et répondreà leurs plaintes pour âvant19h heurede fenneturedu commissariat.u Gagnerla confrance,tout en exerçantla répression, bruit par e><emple, parcequ'on n?st pasdeséducateu$> estleur leitmotiv. Iæséducateurs,eux,prermentla relèvela nuit, cesontles < correspondantde nuit >. Un conseillergénéraldu PSest fier de déclarerque < les effectifsont rajeuni. Il y a desbruns, des blonds, desbrorzés, desblacks...> Ià encorele thermomètrede Ia éussite estle niveaudesplaintes,qui pour l'instant est restéle même.Pour ce qui est de la confiance, Nadia,une ADS du trio < Potiron Sog >, la reçoit en insultes et en rayuressur savoiture, ( ce sont les plus jeunes,les rz-16 ans.Ils nâpprécient pasqu'on soit policier, " Jo. -$orcïùrçt, p*!G t8 D E SB A V U R ETSO U ] O U REST E N C O R E àRis-0mngis suddePafis, BanlieuG Donslo nuil du sqmediler oudimonche2 avril,à 4 h du oppelezdu renfort, doncj'oppelledu renfort. >>Puis,il sudde Psris,cingfemmesd'orig- troite Hayot de < sole Arabe et sale pute >, Elle lui motin,donslo banlieue un contrôlepolicier.HoyotEl A., réplique<<connord>. L'ogentglisseso maindroite dons ine morocoine subissent de so mèreet unede ses rnenottesgui lui foit commeun poingaméri27 ans,rentred'unmoriageencompqgnie d'Hoyot, ses de ses trois cousines.Elles roulent dons une voifure coin.Foude ?age,il esscyede s'opprocher se rue il dégage, tentent de le retenir,mois se opportenontou frère d'Hayot.Juste ovont d'orriver à colfègues On ou thorax. Grigny,où elles vivent, les cing femmescroisent une sur Hoyot, la soisit ou cou et la frappe L'ogent voifure de plice, arrët,épù un carrefour,sonslumière. entendf impoctsur lo vidéo.Hoyot est enceinte. Hoyct roconte<<Commeelle VincentP.se frotte le poingcommes'il s'étoitfoit molet C'estlà guetout commence. crie à lo jeune femme ne passoitpos,j'oi foit mercide lo moinet Seme suis , LMointenant,tu vosolleroutrou. Ln loi c'estmoi,pos engagée.Un peu plus tord, j'oi vu dons le rétro' de chonce>>.læ,s renforts orrivent en visèurqu'ifsrouloientderrièremoi.Ensuite,ilsf,iM tenue de combot,neuf en tout, ont mis lo sirèneet le gyroPhore. mofraque ou poing. Hayot est Afors, je me suis garée.> Julien arrëtée,ou momentoù son père orrive est à son bolcon,il voit lo scèneet ovecfs corTegrise.Elle posselo journéeen gordeà vue décidede filmer le contrôle.Hoyat pouroutrogeenversle et ressort ovecune convocotion sort de la voitureet tout de suite policier. f'ogentVincentP. s'enprendà elle. Lo policen'qposw Julienqui du houtde son bolconfilIf fui reprochedeneposovoircédé de ne Posovoir mis so ceinturetout comme rnait fo scène.Sur le chornp,il donnelo cassettevidéosu fe possage, Le policierdemondeolors leurs pièces pèred'Hoyot,qui lo remet à unde sesomimilitontdu P5. fes possogères. d'identité e'f les popiersdu véhicule.Hayat n's pqs lo Lo cossetteest oussidiffusée à lo télévision.l-o convoEllese porte parcorte grise et proposeà l'ogentVicent P. de téléphoner cotiond'Hoyotest aussitôtsuspendue. pourroitlui-aussi qui P., Vincent à son père pourgu'il lo lui opporte.Mois l'ogentne veut tie civile contrel'ogent ... Alors, gu'un troînent choses << les mois Normolernentj'oi 48 ërre suspendu, rien sovoir, Hqyot s'énerve: << mql.Juste ou oire tombe >> sff Cette heurespour présentermespopiers.Je connoislo loi. Le of ficier commente lo police de promouvoir de essoyons ton monte.Juliencontinuede filmer.Le policiermenoce momentoù nous >>... proximité d'emborquerHayat, gui oppelle son père svec son est très énervé:<<vousavez portoble.Le fonctionnoire t'rrrrrTrrr Il fout ormer les femmesPourgu'ellesse déborrsssent des personnogesintolérobles. a I r r a a a a a a a a a O a a O a a a a a a a a a a O a a a a a a a a a a a a t a a O a a a o a o o O o a a o o a a a o o a a a o o o o o o a o o a a o a a o o a o a o a o a o a o a a a a a l a o a a a a a a o a a a a a a a a o a a a a o t o a a a r a a a . a a I o a Duhomerden'est plus seulementle dénoncioteurprofessionneldes injustices. Il s'est trouvé une nouvellejob : conseilleren formoTionet emploi pour femmes.Après ovoir pris I'ovenirdes jeunesrnilitontEsen moin,il prend- de force - celuides femmes.Il nousconseillede nousengagerdons ... la police! Il déclore,en effet, donslTtinéroire(ovril 2000) : <<Il fout désormerles policiersel enEagerplus de femrnes,cor elles ont I'ort de désomorcerlessituotionsdélicotes.> En plus d'ëtreun socréconnord,gui les militontsovecsonintégrismenonviolentdépossé bcndede criminaliser dont il est le seulmoître,il est un ostie d'mochogui jouit de déglutirses À force de roter les occosionsde se toire, mégalovomissuresmisogynes. monieoblige,il s'enlisedonsses propresdé'iections. t J.. *$crcièrcto FcEe tç ETENC0RE DEsBAruREs TouJouRs n*Hi:#"^t!ï.ffiffiiff*i de Ryodest <<unmeurtreprénuÀité.Sinon,comlille$udlnolildelafrencel de CRs ment expfiquerlo pré*nce de tnois compognies 16onil à 0h30,dor ce guartierfrtppe por le chô- (Compognies Dimonche Reprblicoines de #atrité) donslas cirq minutes de lo plice de proximité,q/od quiont suivi? >. mggleel site expérirrrenfol Homoloui, un AlgÉriende 23 ors, o éTé abdrluà bout porfolt Lutdi, l'qgentAndolinoa été mis en excunen pourn homicide Arrdolino, rofontoire> - foit rqrissime- et écrvitté d'unebolledcrslonr4ueparle mdtre chienStéphone dcrs unortre dé-Wtelorsd'uneopérctionde rrcnr.Le proanreurjuge q,rcl'qanTo < tiré dcrs lo nugue,de un< plicier e;çÉ,rineslfré>. Ceste,ncore pourtentatirede relctirænrent rrutine,unbonolflqgrmt déltt,sotsviolence. prà æmptelenudu contexfedeslieux.Qnnd on sur l'oppeld'ut tire donscescondilions-là, rol de voifure,quedanxpliciers interviennent, onpeutoroir un intentionhomicide. et riræroin,boncitoyen.Unplicier scdiriç rrersle conductaJr Je cruissoroirqrc lo l'oufrerers le postête est un orgone sqer, Ryod. lÆ, vitol > et il affirrne conducteur eS t >>ten'esfposporse arr&é, il nbppse gue les gens sont sucune resispoliciers gue l'on torce. Quort à retient une qualifiRyod, il reste cationdifférente >. ossis un rnornent dela cité Les.lzunes de trop, ce qui lui ont réponduà cet vort une balle ossassinqf.Dsrs lo donslo nr4ua Le,s nuil du dimsrcheor jeunes nétoient lundi.lesvitrv-sde lo (sr pos ormés. Ils Gpo moirie onnexeont vouloient juste wlé sn éclots. sortir en bolte,ils plusieurs commistM?svoient besoin soriafs ont été dun whiarle.Çod nétoit posconrudesservicesde plice. Il errdommqgÉs erfhuit flics lé$rement blessés.Dorsle nuif du qu'ilo,rruitdû debuter lundior mordi,unevirgtoine&, voifuresont étéincpt:dliép.s,7l roufoitfùer c\æcsonomil'emploi-jeune, et ploceengsr& personnes fe lendernoin. Lqent Andolinosétésuspendu orfi été interpllé?s,dontunequinzoirc&, mineurs. à rare. Les incidentsont édsté dsrs ot rnoins4 ortres quortiers. Dorsle quortier,onporle&, ve:geurce.Le24 nars,rn plicier Pfusianrs cocktailsMolotovet desperres arrtété lancéss.tr les de fo brigodeoticriminalifé(gAC')wcit été bottuPorungrouPe CRSçi ont répliguépor desgnanodes locrynogÈnes. de jeunesolorsgull interpeflaitle petit frÈrc de l'u'td'anx. un Et unjeurreduquortierde déclozr : < L.esflics, iete le dis,ils < Deptis,lesflics font des con- vonttousgniller,unporw. Cetlefois,ils sontolléstroP loin.Ils hobitorrfdu quorfierexpligr'le tnôleset disnf ox jeures: vouswulezlogrrrc, vousl'otrez> muscherclroient. lesa misdonsle lytointanortgueCnevè:v;rv-rfi Urel"nsionr{4noitici guortier,ils nouscherchent,ils nousfilent. Vouscroyezqtr et unoutrcdqjouter< Cétcittprévisible. dansle c'esfnormal. temps.Despliciers de lo BACpassoiant depuisguelgues > qt en bt croclrof desgrs, quortieren prcvoguontfesj , ffi4m, En 1998,il y o eu 2 300 sonclionsdons lo policeet outont en 1999,dont 70 révocotionspour Et cetfe qnnée-là.L'écrosontemojorifé des ces sancfionssont des blâmesou des overtissêments. > < que volontoire un d'homicide procureur a d'occuser f lic pos porce qu'un décidé ce n'est iustice que trop bien les méandresde l'injustice.Lo policede proximité sero foite. Nous ne connoissons tout commelo policede guartier est une strotégie de quodrillogepolicier des villes.Elle trie les elle embouche bonscitoyenr.qui sont outrnf de déloteurspotentiels,de lo "fonge"des bonlieues, propriéfé privée commerçonïs. Ce protège jeunes lo des des des quatierspour nieux diviser. elle sontdes espionsou guotidiengui traguent les délinquontsdcnsles moindresrecoinsovecl'oidedes collobo-riveroins. Elleossainitle quartieren éliminonfles Îôchesles pluscorioces.Elleétoblif un pourlequelelle est Payée.Mois le pire est sentimentde suspicionet entretient celui d'insécurité., à tous les grodeset qu'elleo les gue lo policede proximilé est invertie de pouvoirsdécisionnels moyensfinonciersd'ogirà so 9uise.Et nênresi pour l'instantles comnissoriotsferment à 19h,c'est de romcomposée essentiellemenf lo BACquiprendlo relèvepourlo nuit.la BrigodeAnticriminolité bononiocs. J"* .$orclèreso Fale fO 'f^f*\ ,ffi W'ffi oesçernrnes LecoR.ps épque priuilégiela maigrcw et cultiue I-împtwion de frasilité qut s'end@age. Læ formæ sont menuæ, déIates, Ies poitrines sont petites, Ies hanches effafu, Ia gorye menue, Iesbns et Ie æu sont longs. Is rcbes longues et afirtfu acæntaent Ia hauteur et Ia fragilité de la silhouette. C'est l'époque de l'amour ehevaleræque,où lbn se fut Pur ces femmessi fragiles. desfemmæ àIa PIus atd lapaticipation -nnpise a ffins doute infruRéuolution ené Ia mode de ætte époque.Ia liguee sont éput&s, Ie sqde æt dépuillé' I"es rcbæ sontplus lqèrc, qowent Ie ærPs et mettent en Mdenæ s formæ ÉeIIæ. Cefiainesfemmæ adoptent un vêtement de tlpe "grèce antique". La taille est rcmontée et Ia poitine æt soutenue1nr uneptite bnssiùe. I-e êtement pennet alon tne plus gnnde ùibeté desgesteset æveutplus natutel, sanstoutefoismetùe en wleurles mndeurc frmininæ 'Yénus de qui Milo" palpiant contientdæseinsencaoutchou au moyen d'un rcssortsiné deniàe la taille.Siun bns Iefrôle,Iapoiainepalpite aussilongtempsWe Ia ptæsionæt exer- &. Verc6oq on voît appanÎne Ie faux<ul. Cest un æusin rcmbouné sut les fessæ qui æntorcionne Ia silhouette, Le corcet est ailorc plus Srand couwe Ie ærPs jusqu'en haut dæ cuisseshisant aranær les seins et rebondir les fesses.Pour 'Ia rcmqttique" du t\ème sièele: obtenir de funs ræalats etpÉsenter une "la majestuflrse" du rzème siècls Dlb'n les crcupe intâwante, Iesfemmes dewient et que la-silhouette dæ femmes soit lourde àn rcintqrc le ætæt, Iæ Pnierc péalahle avoir une bnne cvuche de au démesutément aussi touiours et plus opulente, on assisteau rrdræse- crinolines sur Iæ fesæ. Cexesilhouette fait aille la siæle ce de lottg au Tout taryes. Sr,;L#e les mènt fu maintien. On aPPrécie pnser au prcfrl des wlailles de bass* baut& m4iætueusæ. Le ærPs æt sem- setasoit allongee,nwurcie ou æntorcow. blable à unearmue et il æt maintenupar sionnée. des baleines,dæ tiges de bois ou deionc Tousæç m&anismes æncoulentà nîdir, In mtset se Iaæ devant, rejettant les In ærcet dessineune taille éaoite ente à handieaperet à mutilt Ie cutps tout en épaules en anièrc, afrn de solenniset Ia Ieshandtes gonfléæ par une crinoline. II Ie ffiuisant à la passiuité et en promoufaisant taiile' ]a et fe uenùe iæture. Lhxitude rigide et monle du æmprime uant sa frWilité. On entérine ainsi un disfemmæ des uille Ia Iæ æitts. ainsl saillir corps est important Puisqu'à cette m&ïcal décÉtant que Ia fugilité caurs janais fabdet lbn mince assez sera ne emue Iæ femmes exelænt un æftain partie intégrunte de la pouvoir en tant que rcgentes. çluen un ærcet se laçant dals h dos afrn féminine fait corp dæ femmæ. L'image guêpedu nature de aille aontenir une véritable en & une dImPw femmes des sociale les organes æmPriment cotsets "la réx'olutionnaire" du r8ème sièçle: &s et de ænsommation de dbbiet duction, thoncique' Ia age défonnent internes, .apparition du modèle imptæsioutiste: son Ie mngde EIIe rcpfuente dæ éranoukæments, la tes- faircraloir. ctæt une beauté en ligaæ douæs,Ia ten- pfiovoquent -pintion " sociale' s devanturc EIIe sen mari. a d'ailleun Ondre fermeté dbn ær7x fluide etpotelé, uif -rcfrouuééant oppæsée. des quelettes de femmes dont et familier, d'un ærps â foæettæ riant qui nous très révélatrices, ont été brÏsfu pat Ie pott du (Cesdescriptions, côtes Ies danssa chairblanche. des corps du contrôle du tfuohrtion tracent ætset. mots tirées sont l'histoire travers femmes à I^æ femmæ supeqposentà lat cuP de produit par Iæ laryes ærcJesdbsier twurrefts d'étoffæ, Ce siùle développeta également une pour mots d'un document DaigneaultVerdunFemmes de des Centre mæaniques d'apwrcils mnoplie Pour atteignant tn diamède de S à + mèaes. 'tædher WalshS.L, et D., Desstueault l'Archevêqu€, femmesdes corps Ie modeler et encombrantes, sont Ins robes sur Féministe Regarcl intitulé Un et rcsneignent a panlSænt k Ebeté de Dans son livrc Le tauail des apparcncæ, Minceur). la de I Obsession Ie dit conet rcPrcduit Philipp Penot mouvemerlt desfemmæ. .det .$crciùrr*, FaCa tt l*\\]:< Oesçernrneïsutte3*,*,',."i:: lrecoRps gants de vaisselle (pour garder mains douces et nos s o y e u s e s ) , d el a p â t e à d e n t s b l a n L'apparence physique et beauté féminin, des lentilles chissante, o"j.i I'idéal féminin imposés .,aux i"u....ribles. La o;|"r""ît publicité nous cornéennes,du Monsieur Net, des femmessont le reflets des valeurs ;iËi;i*ug. de corpsprépubères, c i g a r e t t e s m e n t h o l ( c ' e s t d o u x pour la gorge), de la peinture (dans les égalementimportant d'observer ,o.iul"*."t, plusieurs femmes tons de pasque certainespériodes ont des ,à"i -elles-même àeme juiqu'à se faire vio- t e l ) , ,9.9du lence mulgué-uneplus grandeliberté pour répondre stores vertiCût'fh{EHTIHG corps d"t femmes. Ces périodes .u* *turrdardsde beauté:r'égimes c a u x (ça coincidentavec une participation â ,epétition qui maintienneit les m e t en plus active des femmes à la wie i.*Â., en étàt de famine perma- r e l i e f les sociale, politique et sexuellet chirurgiesplastiqu*r (tipo- j o l i e s Cependant,ce! périodes_furent ";;t ,rr..iorr, rédîrction ou augmenta- c o u r b e s d e pièce), la les robots "récupérati-on"où I'on a contraint i;;à; .t à talons aiguillè qui c u l i n a i r e s et mutilé de nouveau leur .otPf_ àegàr,o."t les pieds etc. Dans (c'est multiPar exemple, I'appariti-on ; ; l ; ; s o c i é t é ,I ' i à é a l d e l a b e a u t é f o n c t i o n 9.t mouvements féministes dans EI.ITERTAIHlfrENT des ie-i"i". est si difficile à attein- n e l ) , l.t années tg6o-7o est venu ébranler àr., ï.ffement innaccessible,qu'il c a r t e s de quelque peu les rapports homml; des arrangements lié à la sôuf- c r é d i t , .ri'i-plicitement funêraires , des shampoings tTl; orgasmiques, des balais magnéoù aupaiavant elles étaient ,.rriorrD* u*t*iuo" ,irt"ilr*t tiques, des balayeuses, des absentesou effacées(le travail, la ir"ÀL"r. industrie qui gère des pastilles, des lames de rasoir ("la vie politique _et sociale, les rap- *iiii"ras de dollards^et {ui hante p e r f e c t i o n a u m a s c u l i n " ) . B r e f , ports de couple,etc.). Nous p9"I- i.r f"À-es et détruit parfois toute partout on nous apprend que nous rions croire que Ie mouvementde iàr' vie. Cette industiie est béné- s o m m e s c o n s o m m a b l e s , n o t r e "réduction"du corps des_femlçs liq;. principalement pour des corps est un attrait, une séducqui sévit à I'heure actuelle est le -----grr"ds frJÀ-.r, tu haute .ouirrr. (les tion, une stratégie de marketing. prix que I'on nous fait pay.t couturiers), la public- Mentionnons aussi que seuls les Po-YI avoir pris "un peu trop de place" ité, les photogiaphes, corps minces, sans vergeture, sans d';àis[ dans les .30ù^ cinéma,I'iidustrie culotte de cheval, bronzés, sans |ffi'tffiWle dernières anné"r.[f, j fËÉiÆiffnarmaceutieu€, res r i d e , s a n s v a r i c e s o n t i l l u s t r é s , san.sêtre putl^.F. i^ f-E/ I /il\t'eight \tratcherset sont montrés. Certaines thèsesféministes avancent I'hypothèse que le modelage du corps des femmes qui s'incarne présentement à travers le t-t'F entre mouvement de réduction de leurs D'autrepart, ffi It A7 montée du ,importani une façon de les désa" corps serait ff.r, .-\Ëlf[i E féminismeet le mouvement q,r'.r, de la maternité, " de tant approprier t'^,roùis*, t o o r n e - leur dénier ce pouvoir ". Le patride réductiondu corpl d":.&, mil ,r ffi\ S-â_--:Cà arcat, depuis son instauration, a \{$ LA que les femmes prennent.ifl.;ll. f{_ a. la femme tenté (toujours par la force) de du poids sociale\.{if"rt utilisé contrôler le corps de la femme. En lujours G ment,lamode'I'3*"æ'pourséduire1escoàsommateurs. effet, nos corps " reproducteurs ", à réduire le ir* pour f e m m e bien servir le capitalisme et c'est Le corps de la corps des ,'|trlF vendeurl Une "belle" femme pour le patriarcat, doivent être confemmes' cuËff.vaisselle,du sàvon trôlés. Nos corps sont des réceptavendrede la . Fphénomène l en, e cles à bébé (c'est sûrement pour à Ëil., du savonàvaisselu serait donc la réaction d'une pizia nAéCain, des vêtements,des cette raison que la mère de Jésus sociétépatriarcaledans laquelle proa"it, po.r. bébés, des ôort le Christ était vierge - elle n'était, les femmesrevendiquentdu,pou- -firt"r, a., jus d'oiange, des en fait, qu'un gros contenant pour voir dans les sphèrestradition- i"".it.r, des vitaminàs,' des recevoir le fils de Dieu sur terre). u rt"ïT iiili'u',xxi ;:*:,;i'ii ii "', :'".;nîî:: :il.:' ull"' :itx"' " """"; " .'{ *"t***; j:*,i"'*"i'îi},l: fflJ;î''iiTl.3'.uï"T:,,Xï:' :ii#:: il";; llt*: ffJj::"*ili,'u""', ÏrTi't"H.æïffiI ;;* ù;;i l\ lc.'4frË* //,iiil"Jfil ,,1:! nellementréservéesaux hommes. -eai.rments contre la toux, des çffi,,'* J"* -$orclèçcl, pâgç 22 Lecopqlst>es çelraïrrels FD Ëtih,f'tifJ*$iffi:,.|'tiff; dansI'histoire,eu€ la silhouetteféminine a étémontréedansdesformesun peuplus représentativede la réalitédu corps des femmes(un peu plus rondes), c'êtait pour sym.boliserI'abondanceet la féconditédansdespériodes féminins est une assurancequ'on Le contrôle des naissances (que ce soit leur expansionou leur pourra ralentir ou diminuerle nombre diminution) dans une communauté de naissancespotentielles dans une donnée passe nécessairementpar le communautédonnée. D'autre part, Dour illustrer cette hypothèse,nous où les menacesde famine planaient et contrôle du corps des femmes en où la survivanced'une commutant que n reproductrice " de I'epubs sexistes, massacrezles nauté, d'une population était spèce humaine. Par exemple, Graffitez les pour stopper le phénomène de compagniesde publicitésqui présentent menacée. surpopulation, les dirigeants chiune imagede la femmedégradanteet nois ont mis en place une poli soumise,dénoncezhaut et fort tout ce qui On voit bien qu'à travers I'histique de " réduction des nais(mais pas de beauté!) à opprimer toire, lesfemmesont toujoursété sances", oo demandait alors atx concoure déposédées de leur proprecorps. les femmes ! femmes de se restreindre à S Celui-ci fut, depuis toujours, enfants. Fait important, la con- modelé, faconné,mutilé, violé, le violenté, " mécanisé ", instrumentalisé aussi observer traception était alors quasi inexistante, pourrions donc une fois let:r " quota " dépassé,les phénomène de la colonisation du con- pour servir des intérêts de domination femmes qui tombaient enceintesutili- tinent " américain " par les pays et de conquête, des intérêts qui ont saient toutes sortes de moyens pour impérialistes européens. En Nouvelle- avantageà maintenir les femmes dans s'avorter elles-mêmes. D'autres France par exemple, les femmes des positions d'infériorité et de Chinoiseslaissaient mourir leurs bébés étaient littéralement contraintes à la " soum$sron. de sexe féminin : parce que selon la reproduction " massive -nn'était-ce pas division sexuelle du travail tradition- le rôle des " filles du Roi de venir peunellement imposé par le capitalisme et pler la colonie? (ro-u-re-zo et même le patriarcat superposés,un mâle con- davantage de bébés pour une seule stitue une force de travail beaucoup femme). En terminant, à chaque fois s dê. tr.v.lllqrrs. L€ 8 û.r. E rt ddo de Xew-Ïcl dû têr|ll€ eû dt| t3l'it .Ln te lo*er v€ûqrcæ nadl€ûelrt cGÉe ta lourtr& dc t:! heurc.,lGr bas r.L|!cs etler neuvrlree condl6ocrr p.ûyrcr vccr lcr .cc!er8r ?ltr| rtch€r dc t vttrq L dc t!.vdl. Qurod lo rlédlé .ct dcs q|trfltcr. Pludcurs rmt .rirêûé6, cclrt lnca 3ont Ofëbécl lûûervlGt €rt .ttaguc leo nanllertrntc. Dollcc qrrl r'corntt. lmtr enr plur tardt e|t nûa r8ôo, cer fenmee tqr lrel ler chovrur dana la cotl[dm nG|É leur t'rolrrc alDdlc.t. rter aoafuttrtcûi dG. rn rt.'. dc l€tr|trcr dG lTn k t oar. rgoq tûn lltt ialgrttc ilc d|lt à lr81dr du lowcr ErrG Eldc de Ncw.Yorts A durtrtc dc l'.latr[le dc roLc.tr, eûcoas nrecrhcot 5t arta dê d33.trce, lGr rrGvqrdca|loûa ao|tc aoltribl€ûeût lcr rn€rner : hc|rrer dc travau fDlEacoûr. Èr Gt nrlu3olcr t|trc coodrmetlon dû tsav.tl dc. crLnt Gtla cond lonr do ts.vatl. Sv.lo[tc tdchrrltm du &olt dovoûc. Denr eûr pluc t sd à CoD.|ûb.guc, eu Gongrtr .fc h tèûG lût€!?oalto|lale :oclellrce, Gtslr læZg dloD.ûd t lt .t lFouvca uttc rDo||l6 ecCæotee InG d.. ddae.trtcr du P.rll rod.tktG Cn lc t rerq Jo||rrtée l'rteûn ttoosfc d€a lcmsq ernÉrlcdncr l|rocLDaat lrer ler dlttaûtc. du tc[ttlc dGNcw-ïorL cmDéûc.ttoû dc t. vtolate aÉve d€. tr.v.lll€Er$ dec lcms ere célaûûéc 8vcc écLt €o E|t 19rt, lrDtrr L tFcdêûe iol* tr Journê tnûcmrÉomlc Altcorgne, eû AEtrlclrcr art lt.|rcd.rL, ell Sdaac crt alr Etûtr.lrnls. le I rnrrr 1914, CLr. Z.û*lr cgr||lc une rrrrilrtcst tlon à |.qtrcuc tr.rrEctrcnt dce dltleffi de ienarc. pour trlotacter coûtrc l. courre à le gucrre on Allenrgnct et l'.lfeit Éoô da Roar Luronbotrrti n ltartc.ocfdbte. Lea Dar.c rt17,1G3 tfrv.illelrlrcr c6drr texltle dc Pétrograd æ DGttG|rt G|r grè[/o lrour !|rd€ter tro teûri r[aûv.lree condtllmr dG travaur t lùttns ct let longuee Slécc d'.|ûarte pour ae Dûo' qrrca du lralû De3 rrllllcra do lcû|lc| dc.ccûdcrrt dene le trre. nÉlppnornroN$ltous Lsrsrorxg rru I II|ARS, Eu.r x'ApDAntrENr xr À r,Érrr, rl rux cnaNDEc rtDÉu.foxa. LE t xÀss cbsr LÀ GourrÉrof,lfloN nEs Dunrs Luttta Ort'oNr rEr|ÉE3 DEgouvrrÈnr.3 r1 r a t4O ^x3. t&rExorllÎ, xous DErvroNs rÂttE rrE r|.o[E eu(ynDrEtf UNErrrrrE Gox!| Nrr, nÉarpsopiroNs.xous r,Ë !!ô4 arrrrEs ,ror,Ixtnc or I.'ANNÉE.Ure gæ E;srt Et cr,Atû4 gEAtu E dy auna Æus D'@ptE't'ox æs EEUÆq rL x? aan^ jtaê DE Jen J& IxraxartoxAr.E rrE LA tNvD. DELbsrre xbxtcar NE von3 DtgxaNDazDÀ3pouneuot LA JærrrÉr fxrrnxet|oxrr.r "As! t . . - î " r - - Ç o r e i è r c r p. â S e t t : _E Femm@mstrPuetf,om WWWW Le dernier des tobous...le pire couchemor, r o u x d e d o c t e u r g u e l ' o n c r o i t s s n s q u e s t i o n n e r . outant pour les gcminesde douze ons dons leurs Porce que le song est si sole gu'on ne le montre cours de gym, que pour les strippeuses,gue les mê,mepos à la télé. Celui-ciest remplscédons les femmes d'offoire (f emmesô crqvote) pendontun p u b l i c i T é p, so r u n p e t i t l i q u i d eb l e u ,p o u r m o n t r e rà " m e e t i n g" , g u e l e s p o l i t i c h i e n n e sà l ' o s s e m b l é equef point les femmes sont libérées, de foutes l é g i s l a t i v e , n o n s e u l e m e n t f o u t - i l c o c h e r c e s controintes. Surtout, elles n'ont plus besoin de potenfiellestoches rougessi honteuses,mois les p e n s e rq u ' e l l e ss o n t f e m m e se t g u ' e l l e ss o i g n e n t . outils dont on se sert pour les cocher : lo t i o n , c e s p r o d u i t sd e p r o t e c t i o nm e n g i è n e s o n i t a i r e ,l e p l u s i n c o g n i t o porler des damnéssymptômes. temps ont lellementcho s , où les (fem)menstruotions en porler de ces symptômes e f i f l e s , d e m è r e se n f i l l e s . menstruels,on peut mêmé.,erf,r Ï faire, mais nous n'qvons pour tout celo,nos choix et des commentoirestou-iou nt plus toujours. N'oyez pris lo relève!Lo symOn en o foit nos grond-rnères,o schetée por Proctor & servieftes à ceintu depuis , plus de 55% gronde eau glacéeo ont des tournées dons de ce songsole et t rge des inf irmièresou jeunes filles de tous Aujourd'hui, rs règles, ovec des gent pour nous: tampons€t ,* ë6 big,,fsûr! De plus, il ne fout à nos culottes, de nog'cutoTt r r . " e,'larder d tout celo secret. même se solir les mci ffi, pour qccrocherde nouq-triË'i$S::iiCependont , i I rest e p l u s p r o p r e sg u e o o u b l i éd e s b o u t s , reco {éTeHcqu'ellesoublient souvent t A u j o u r d ' h u i ,o n I (Tompoxet Ploytex), s'en *jgiKe*'='f6g s c o m m e r c i o u sx o n t b l a n c h i so u d ê b l o n c h i m e nct o u r o m m e nut f i l û besoi n. De notre poche à lo rie des pôteset popiers.Le chlore phormocies,elles ont besoinde no { ' ' t r o c e s d e d i o x i n e , u n c o mp o s é rnent, les pouvres.Du soc à lo boîte : chforé houtementtoxigue. En foit, c'est le soc pour les transporter,ou bien pour les cacher... c o m p o s éc h i m i g u el e p l u s t o x i g u e c o n n u e t u n e De fq boîte à I'embollage1 Pour nousf aire croire goutte peut tuer mille (1000) êtres humoins. e seuf que c'est stérile. De l'embollogeoux tampons et " d'hygiène" fé,minines Por contre,les compagnies serviettes : Plus bloncsqu'il fout, porce gu'ono c e t t e v i e i l l eh o b i T u d e d ' o s s o c i e rl e b l o n cà l o p r o - considèrentgue les troces présentes dons leurs preté. Porce gue surembolléset bloncs comme produits ne sont pos nocives , porce qu'en trop neige, porce gue le blqnc est plus propre gue le petites guontités. Les problèmessont cependant noir et que le rouge.Voyons, c'est évident ! Bloncs, nombreux: premièrement,por monguede législocommedes tomponschirurgicûux,commedes sor- tion de nos bonsgouvernements; ne les compognies sonsdoute, ellessoventmieux*'W& ndu LE:ffi*-i ks* ç_ arEE.: 'G\- rr=.ff 1_- -] -il t Yr-. Je* *$orclùrç*, Feis t4 .-\.*Eæ-;'P- -'- sont pas forcées de tester leurs nouveoux produits. Étont donné gue lo sonté menstruelle(pour ne posdire lo sonlé des femmes ou même lo sonté des ê,tres humainsen générol!) h'est pos tout à t i s s u s s p o n g i e u x .P o u r p l u s d e d é t o i l s , l i s e z l e f o i t à l ' o r d r e d u j o u r d e s c o r p o r o t i o n s L. o r s q u e prochoin numéro des Sorcières, ou oppelez Etood ceffes-ci f inoncentles rechercheset les tests de Sisters/Zone rouge, réfé,rences à la fin de cet toxi cité des produits menstruels,les résultots ne orticle. Certoinesf emmesutilisent des épongesde m e r ,q u i s o n t r é u t i l i s o b l e sp o u r u n ed u r é ed e 3 è 6 s ' o v è r e n tp o s c o n c l u o n T se,t q u o n di l s l e s o n t , i l s mois; c'est nofurel, et beoucoupmoins nocif gue n e s o n t p o s r e n d u sp u b l i c s .D e p l u s , l o d i o x i n e s e des tampons. Por contre, ces épongessont de bio-occumule dons notre système;ce gui veut dire p e t i l s o n i m a u xg u i s o n t c u l t i v é s e n m e r , c e g u i qu'elle s'ottoche oux tissus odipeux (gras) dons n'est pos très " vegon ". De plus, ces petites Le é,ponges, notre orgonismeet gu'elle n'est jomois évacuê,e. sont l'un des produifs (fem)menstruelles est p l u s u t i l i s é s s u r l o p l o n è t e .I l e x i s t e o u s s i d e s vogin,surtout durant les (fem)menstruotions, lc portie lo plus obsorbontedu corps. La dioxine tomponsen coton bio, il est à noter gue le coton nécessite est donc obsorbée directement dans l'orgonisme est un des produits dont lo monoculTure pesticides. plus Ces lompons ne de sont pos le e t e l l e s ' y i n c r u s t e .P e r s o n n e l l e m e nj e t, ne crois s o n t dans les o u d i s p o n i b l e s b l o n c h i s c h l o r e , e t pos gue Proctor & 6omble (corporation reconnue prêtes à noturels...si vous êtes d'oliments mcgosins pour, entre outre , ces payer la prix. en tests sur les onimoux) devroit a v oi r lo Ceci n'est qu'un légitimité de décider début, lq dioxinen'est quel toux de produits qu'une petite porfie chimigues cond u p r o b l è m ed e l ' i n de dustrie cérigènesest sécuri' l'hygiène" féminine, toire, pour des proil yobeoucoupplus. portés d ui t s si n'ci pos enco?e Je intimement. Sons obordé lo questiondu oublier gue les composontesde ces produits, ne ' " , de lc pollutiondirectementreliée toxigue choc s o n t p a s s t é r i l i s é e s ,m o i s b l a n c h i e se t s u r e m b o l qui aux produitsjeTobles,des rcisonséconomigues lé.es.Toute cette moscorqdeaf in de nous donner poussent certoines fenmes à choisir certoines une impressionde sécurité. Que fait notre cher o l t e r n a t i v e se, t b i e n p l u s .P o u rp l u sd ' i n f o r m o t i o n s gouvernement, pendontce lemps?Il tqxe ces pro- o f i n d ' o r g o n i s eur n o t e l i e r s u r l e s u j e t , p o u r s o v o i r duits commeitem de luxe tobornock.alors que le comment fobriguer vos propre serviettes, pour b o u m e à l è v r e s ( l i p s i l ) e t t o u t o u t r e p r o d u i T ovoir des potrons et des modèlesde serviettes, stérile (le foit gue ces produits ne soient même p o u r d e s c o n s e i l s ,o u p o u r s i m p l e m e ndt i s c u t e r . . . Pos stériles est déjà suffisomment révoltonts) contoctez Blood Sisters,/Zone Pouge. Bosé à Montréal,le groupeexiste depuisquotre ons et o sont exemptsde toxes. p o u r b u t d e s e n s i b i l i s e rl e s f e m m e ss u r l e s d i f Il existe des olternotives.Choque{emme f é r e n t e s p o l i t i q u e s r n e n s t r u e l l e s .D e p l u s, c e esT différente, et il existe sûrementune option groupeest en mesurede suggéreret de distribuer p l u s s o i n e p o u r c h o c u n e d ' e n t r e n o u s . T o u t des produits olternatifs, dont le . Keeper" et les d'abord, il y a les serviettes en coton réutilisobles serviettes réutilisobles. Ne vous gênez surtout fobriguée moison, ou achetées de diîférentes p o s ! ! ! E T s u r v e i l l e z l e p r o c h o i n n u m é r o d e s i n d u s t r i e sl o c o l e s E . l l e ss o n t d u r o b l e se t c o n f o r t - Sorcièrei pour un deuxièmeorticle sur le sujet. o b f e s .E n s u i t e , i l y o l e " K e e p e r" , u n e c o u p er n e n Rito s t r u e l l e f o i t e d e c a o u t c h o u cs o u p l e ,g u i e x i s t e depuis le milieu des onnées80, mois dont Rouge f ' o n c ê t r e , l at o s s e t t e , d o t e d e s o n n é , e2s0 . P o r t é à BloodSisters/Zone (514)273-s933 " f intérieur du vogin,le " Keeper se logeen bos du cof de f'utéruset recueillele songau lieu de l'sb- E m o i :l r e d z o n e @ b l o o d s i s t e r s . o r g s o r b e r . E n e f f e t , i l y o d ' o u t r e sp r o b l è m e sr e l i é s à f ' o b s o r p t i o nd e s l o r n p o n s c, e l u i - c id é s é g u i l i b r el e pH du vagin,ce gui provoqueun assèchementdes suîfre lF'emmemstpuafrîotn$o #, .fr"t -$orcièrespege2l ù.4ffi *frç* fçmmçt ç0 âfgh0nlst0nt unç rltsatloF I be gourernemenfofghon mènelo guerneoux femmes. [n sifuotion s'est dâ,târiorêeà un tel poirt gue dons un éditoriol du Times , quelqu'uno comporé lc troitement des femmeslà-bos ou troitcment des juifs dons lo Polognedu pné-holocousfe. Depr.rislo prisc de pouvoir des Tolibons en 1996, les femmes doiverf porter lc buttuq, sort bqttues et lopidées en public si elles n'ont pas l'hobit odéqucf, ne fût-ce gue si le file? ne pos leurc yeux. Une femme o corrvr.rc été bottue à mort por un€ foule de fondomentolisfespor.rrovoir incidemment exposé son bros en conduisoff. Unc outrcea êtê lapidée à mort pour ovoir ftrrtê de çitter le poys owc un hommegui ne faisait pos porti de so fqmille. t€s femmes ne sont mâme pos outorisées à trovoiller ni mâmeà sortir sons un pcrerf de sexe mosculin. L.esfemmes gui tnovaillerf en tont que professeurs, troductrices, médecins, ovocotes, artistes et écrivoincs ont êtâ contraintes de çitter feur lnonoil et qrt êtê, renvayêesà la moison,de sorte que les dépressions deviennent tellement Épordues gue le phénomènea otfeint un scuil d'urgence.Il n'est pos possibla dons una sociéfé islomQueà l'extnêmc de connoîtrc le toux de suicide avec cerfitude, les mois reprâsenton?Esd'orgonismeshumonitaires estimerf que les fcmmesqui ne powiennentpos à tror,rverles médicoments et traitemerts odéguats pour dépnession grove, prâfèreroient mourir çe vivrredons ces cordifions. Cest oinsi que le Toux de suicide a ougmenléde foçon significative. Lcs moisons occupées por des femmes doivent ovoir leur ferÉtre peinfes de sorte que les femmes ne puisserf jomois être vr.resde l'extérieur. Elles ârur0çnçe doivcrt por'fen des choussunesgui ne Jusqu'en t996, les fàmmes jouisfont pos de bruit, de monière à na sqient d'une rclative liberié pour trojomois êtne entendues. lcs femmes voiller, porn s'habillencommeelles le croignenf pour leur vie à lo moindre souhaitqienf, poun conduire et oppo<<mouvuiseconduite >>.Le,lrovoil leun raîine seule en prblic. La rapidité de âonf interdit, les femmes célila tronsition constitue la roison prin- ":l,ffi tt ?:l:ii:= i'î'l"Ti:, m#{t 'r;ï#ri " f, fl!,Ë ffiff r:rh"xr r{i,"i: meurart de fqim on mendi- tL ent dqns lo nre. Il n'y o -r cfs-ricn.Dles pour" es ] TeT'nes eT t"tffi - - "rsi?ees cilnme ces sq.rs- err-s e1 ce ou ncm oe I rs- représenfontEsd.o49an.E|omfondamento|isteet .f. ismes humonitoinesont por lo rétrogr.ode. rl nc s'agit pos de pluport guitté le poys. Dqns l'un I trodition q.r dc cultune, ou conpour des norrcshfuitoux femmes, flf troire. lcs mesunes sont un jorrnoliste o tr.ouvé des corysI exfr€mes, mêmc dons les culfur.es immôiles, presgu€sons yie, ccruchées or,r le fondomentolisme consfitue lo sur des lits enwlopÉes dons leur règle. Por qilleuns, s'il était possible burquo, rÉlicentes à parler ou à foine de touf excuser por fo cultune, ?rous ne dewions pos êtæ horrifiéEs de ce çoi gue cc soil, déçÉrissont à petif feu. D'outres sont devsnuesfolles, on que les Corfhoginoissacrifioicrf leurs les o wes tapies dans des coins, se ndJveoux-nés,de ce que les petiles bolanç4nf ou pleuront, pour lo plu- filles sont excisécs dons ccrloines porf, de peun. Un médecin envisoç régions d'Afri4re, de ce gue lcs de lqisser ces femmesfoce à lo ÉsinoirEs dans les annéas3O, ou fin fond dence du PÉsident en sigræ de des Étots-Unis étoient lynchéEs, protestotion guord le pau de médica- irterdits de vsfe et foncéEs à se trcn?s reslorf sero épuisé. La situosoumettrre à des lois rocisfes. Tout tion esf orrivée à un point où le terme être humoino lc drcit à une exisience <<violotion des drcils humoins> est décetrte, y compris les femmcs d'un un euphémisme.tes moris ont droits ptys musulmonsitué dqns une porlie de vic et de morf sur les femmes de du morde que lcs occidertauxn€ comfo fomille, en particulier sur leurs prcnnent pas. Nous nousoccordonsà épases, mois une foule cn colène o r"econnqÎircguc le trcitement octuel totrf outont le droit de lopider ou de des femm€s en Afghonistan es? tout botfre une femme, scrvefif Jusqu'àce à fqit INACCEPTABIE.[-es Droits de que mort s'en suive, por.r'ovoir exposé lo Femmcne corstifuent nrlle part un une once de choir ou ovoir offensê sujet mineur. Nous REFUSONSqu'en l'un d'entre eux de la moniènelo plus l'on 20@ des femmessoient trsitées irsignifionte. Selon David Cornwell, comme des sous-êtres et des prcfes Occidenïoux ne devrqienf pas priétés. L'âpolitê et lo décencesont juger le peuple ofghon pdr ces un DROIT, rlon une liber'fé gue l'on troitements, cor celo foif partie de vive en Afghonislonou oillcurs. feur << culfure D, ce gui est faux. J"= - $ o r e i èr c s prg e 26 estdevenu illégal !!! lvlontréaf , lavilleoùmanifester Cette année, les militanEs radbau de tvlonféal orrt Épondu à tappellnternationald.r "Mayday'',Le PrerniertUai.lls ont doræoçanisé rne manibstationcoloréeet volmtalrement"caknd' dans le qmrtier le phs richede Nlonfealet fu Canada,le qtartier de \ êsffiount. ll s'agissaittont simplementd aller cherchernos ennemisou ilsse tenent,de denicherlæ vâïhbles exploitzursdes havailleursSEs,de denoncerrcellernentla pauwetéet læ lnegalites sociabsg.r la basedune analysede luttede classes.LesmilimEs arraientainsi prâru se rendrelà otr nos "l"Joss" crèchent Loinde la misàe, loinde la puarrtewdes basquartiers,hrindestardis, là ou il n'y a pas de fils élecfiques en del'rorsde la terre,là orl il n'y a pas de cordeà linge(paræ qæ ça defaltle pqpage), là ou il ny a que des "cabarÊs"qui valenten luut de 900 000$,là orl la hautebourgoisiedu Canadaa élu domicile. C'était urle premiàe à Morrftial. Les militarûsradicauo< ont ffié de ne pks essayerde detournerh manifestatbn debilitantedes syndicatslèchesculdr pouvoiret se sontoqanisæ soL idairernentpcur allerfaire tembler les murs de la forteressedu fb. Cette manif se voiait dorn une expression d'une rupture radicale avec les grandes centrîalessyndkxles et lanrs dirigeants. Quelquesfeuræ p[Àstot, un carnavalmanife$antayaitaussizu liar, oçanlsépardesehrdiantEs dms le cackede l'acmilitantEs, tion"Redaimfie sffeet'(repercnsla næ). militantEs,les 3y4des manifestantEs. Elbs et ils sont amrséEs de méFaits,daroir troubléla "pait'' publiqueet datfcuæm$t illégal. Les anestationsmt été fes bnrtales,m enterdait des crisau bin. De phs, certainesdes personnesqui ont pris la fuite se sont blessees.Au moinst-nremilitanteesl aduellenrentfrospitalisee a!€c ure jarnbe cass(ie, en état danestatirn. Dauhes militantEsen voiturequi wivaiert de loinont eu droità une irbntificationd à une fouilb du vehitrle. Le 2 mai, le lendemainde la manif,une hentainede militantEsse sontrenduEsà la courmuniopabde lAêsfnount afind'assisterà la cornparutiondes 10 pnsmnias politiquesnon{ibérésde la veille. Loh dêtre anivéEsau bor;tdeleuæzurpnses,lesmilitanEsquis'ê taietrtdeplaoeEs tacces sesorrtwEs r€fiJser à b æur murcipab. Les efiedifspoliciers étabt en nombredemesurenrent éh\€ (30 + 4Owagpnretesrernplies arrti-ânzutes de flicsdu pos{e12).Cetteartillsb srhre montaitférocernent la gardeen noL6empÈfmt (uneæmpil.tdassisterà uneærnparution tionæt selonleursprçres bis bourgeoises corrmeétant'pr.blque). ænsicÉrée Cette Épressions'inscritdarxsla réænte vaguedecrfunlnallsatlon systernatiWe deto.Jt : en septembre mouvernentcontestataire 1999,270drrdiantEs deséco|æsecondaires pouranir bloryele pont.lquesCartier (manilqui sontamêtéEs voulaitclâroncerla"cross" desgouernernenFpa napport au( ænventimscdbdivs de leursprcÉ);n.24novernbre svim 70 perconhela prblioté sonnessontandées lorsdune manifestatkrn dans les universités; le le dr.neadion 7 mars dans cadre eri!'ee fémlnistefu groupeLesSorcià'es,les poli:iersont bnnabrnent anâé 7 personnes; ænle 15marspcurla JoLrnéeInternatbnab policiàe,112manifestantEs he labrutalité furentarrêtéEs. Apress'êtreretowéEs à une statklnde méto dans fcxJe$de Monféal,les manifesiantEs, ernriron 200,ontprb deshs po.r se rcndredansle haut\AêstnotrntEnefietce quartier æt unevérit+ bb forteræse,nreséhoiteset siruanses,fès par de ûarsportert communet senrices de policesFÉciau.Maisils.ellesn étaientpas et doncle enæreanivéEsque les flicsont intercepté h hJs de tête et les ll est évidentque le droità la libertéd'expression motardsde flbs les ont esærté. DescerduEsdes b,rls,bs droitde manifester esttotalement bafouépar la soidisante manibstantEs ontà peirezu b ternpsdese metteenmarcheque démocratie,qui tremblede savoirque les gens peuvent Iantiérnzuteæt intenrenue en force,plts dune centainede flics s'organisersur des basesautonomeset qui écrasetout casquesbâtons, elle arait clâà pnéparéle tenainen formantun mouvement contestataire impunément. quadrilatère. ontessaÉ Cesarrestations Se sentantenærdéEs,bs manifestanEs démontrent la faiblessedu pouvoiret augdéviterlæ cordonsdeflbs,maisce quartierestbatis.rruneælline mente la rage des révoltéEs ! qt/il ny a queffi peude choix et lesmaisonsontsi bourgeoises pourprmdrelafuile.llfautobl(Tatoirement passerparlespropnetes voMrR vscÈRes, Tous LEURs eu'rLss'ÉtourreNT prrues. Enun mot,Cestunevâitablesarriciràre ! Onapprenda.rssi Fetsows-t-EUR AVEc LANGUE, sE DANs excnÉueruts, RouLeNT LEURS eu'rrs qu'uncamarade par qui zuraitétémenæé unflic araitclé4airÉson DANsLESMURs flinguedanssadiredkrn,le ss.rlcrimedu camæde:avolressayé eu'tls sE prssENTDEssus,eu'rls sE cTMENTENT eu'rLs de sesauver.Trèspel de militantEs ontrâssià sesauver.Lepr+ DE LEURScRossES prAULEs,eu'rLs sE surcrDENT...ET miermaise soldedorc parunenouvelle demasse,157 EMpoRTENT anestatbn EN ENFER LEURssALEseÊres DE cANrcHEs... La eouncosrEoor cRrveRt NOUSSOMMESPLUSQU'EUX! ) c k L i € ( É t { rJcrqAde-t^-- J"t.$orcières ?oge 27 du. mond.e, d.ela casse, d.es érnerrtêÊt... Chicogo,USA : LesmanifestantEs ontprislesruesducenfefin Vienne, Autriche : environ 100000personnes ontparticipé à la pourtousles manifdupremier ancier et commercial I'amnistie dela villeenrêclamant mai. immigrantEs illfuaux. Zurich, Suisse : après la manifofficielle, environ unecentaine de New York, USA : 600personnes sesontrassemblèes auUnion militantEs améEsdebriques et debâtons ontdécidê des'attaquer au 19anarchistes Square, ontétéarrêtéEs, sousle seulprétexte d'être centre-ville. Denornbreuses vitrines et vitresdecharsontvoléenéclat. cagouléEs et deressembler auxmanifestantEs Elleset ils Lapolicea banélesrueset a utilisédesgazlacrymogènes deSeaffie. crnfe les public sontaccusées I'ordre defoubler etderésister manifestants. à leurs anestations. Plusieurs autonomes ontétéarrêtés. Londnes,êralde-Bretogne : Desaffiontements ontéclaté entre police policiers manifestantEs masquéEs la et antiémeute, I blessés, 95 anestations. Un flic a reçuunebriqueen pleinefæe lorsque les manifestantEs ontsaccagé ! Environ unMcDonald 5000flicsavaient pourI'occasion. étédéployés Apres avoir<jardinê> leparcduparlement lesmilitantEs lastatontdécapité pendant uedeChurchill etontbloquê lecenfe-ville heures. delongues L'antiémeute a étéreçuà grandjet de projectiles divers: briques, bouteilles debière,panneaux designalisation, etc. Plustôt dansla journée environ 200manifestantEs sesont attaquéEs à larêsidence dupremier minisûe, Tony Blaiçavec desbouteilles. iionchester, êronde-Bretogne : afirontements enfe police. 200 manifestantEs la Plusieurs et commerces et bureaux ontétélacibledesprotestantEs, 20personnes ontêté anêtées. Berlin-Kreuzbz?9, Allemagne : environ 5 500personnes ontparticipê au1ermairévo lutionnaire. 26 anestations du côté quis'attaquaient desautonomes aux né-nazis. Berfin Est, âllemagrne : afrontements violents enfeautonomes et néonazis. dansle quartier deHellersdorf, oùenviron 750néo-nazis rassemblés. s'étaient 150autonomes ontétêarrêtéEs, Homboulg, Allemagne : Environ 500autonomes ontlancédes dansdesvitrines Plustard,environ briques 100autonomes debanques ontérigédesbarricades danslequartier deSchanzen ety ontmislefeu. La policea utilisédescanons à eauet lesaffiontements ont duré plusieurs 16flicsontétéblessés, heures. dontunbrûléetunecentaine d'autonomes arrêtés. Cnocovie violentes entre , Polqtv, : échaufiourêes lesmanifestantEs et la police. Plusieurs manifestantEs ontétéblessés et 14anarchistes anêtéEs, alorsqu'ilset ellesserendaient devant laprison oirestenfermé unde leurscamarades. êdonsk et Vorsovie, Pologne : afrontements entre militantEs etl'extrême droite. Progue, Réprbligue Tchègue : afironternenB enfe400manifestantEs et la police, 53anêtéEs. Belgroda, Serbie : environ 5000manifestantEs ont défilédanslesruesdu centre-ville en réclamant la démission deMilosevic. Bulgorie, Sofia : environ 7 000favailleurs etfavailleuses ontdénoncé la pauvreté et la cor- ruption dugouvernement. : Plusde10000personnes ontprotestê contre iianilles, Philippines : affrontements entre manifestantEs 10blessés. etlapolice, Lapolice les a utilisé gazlacrymogènes et desmatraques ænûeles 12 000 quiontrépondu pardesjeb depienes, manifestantEs, 7 personnes ontêtéanêtês. âÀedon,Sumatro : 10000personnes sesontrassemblêesà Medan.Malgréla tanquillitéde la manifestation, la policea ouvertlefeusurlesétudiantEs faisant deuxmortset unevingtaine de blesséEs. se , Zimbobwe : 3 000manifestantEs sontrassembléEs dansla capitale, bienquela pourla première manifdu premier aitétêinterdite foisdepuis 1980, la année Dresde, Allemagrne: lesmilitantEs autonomes ontattaqué deI'indépendance, manifde 450néo-nazis avecdespaveset desfeuxd'artifices,12 autonomes anêtêEs. Ouagrodougou, BurkinoFoso : desmilliers demanifestantEs ont protesté legouvernement contre etonréclamê desêclaircissements sur Ludwigshofen, Allemogne : échauffourêes enfe les 400 lamortmystérieuse, en1998,dujournaliste d'investigation del'opposiautonomes etles300néonazis. ton,Norbert Zongo.