QCM Introduction à l‟Information et à la Communication

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QCM Introduction à l‟Information et à la Communication
- Consolidation des fondamentaux QCM Introduction à l‟Information et à la Communication
Démarche en sciences humaines
1. Quelle est la démarche de l‟enseignement « Sciences de l‟information et de la
communication »
Prendre du recul : « Certains auteurs considèrent la communication comme cela … D’autres comme
cela… Et voilà la conception que je sélectionne »
2. Comment fonctionnent les sciences humaines (en général), et la communication (en
particulier) ?
Avec différentes théories, proposant différentes hypothèses, qu’il faut aller expérimenter sur le terrain,
pour voir ce qui fonctionne concrètement (pragmatisme, recul critique) : il n’est pas possible de
démontrer ou prouver d’emblée qu’une de ces théories est plus valable qu’une autre.
3. Que signifient ces citations ?
« C’est la théorie qui détermine ce qu’on peut observer » (A.Einstein)
« Nous n’observons pas la nature elle-même, mais la nature soumise à notre méthode
d’investigation » (W.Heisenberg).
Les théories et les méthodes permettent de voir le réel d’une certaine façon ; si l’on change de théorie
et de méthode, la réalité nous apparaît différemment.
Communication politique
4. Dans le champ de la communication politique, qu‟appelle-t-on le « storytelling » ?
La façon dont les candidats politiques transforment la politique en un « festival de narration
d’histoires », dans lequel la presse joue à la fois l’acteur, le chœur, et le public.
5. En communication politique, qu‟est-ce qui est le plus souvent reproché et critiqué ?
La volonté de « contrôler l’agenda », c'est-à-dire « occuper la scène », sans jamais laisser le temps à
la presse d’aller « au fond » de ce qui est dit, et sans laisser le temps à la presse de créer elle-même
l’évènement.
6. Quel élément tend de plus en plus à prendre la place centrale en communication politique ?
La politique ‘lato-sensu’ (au sens large), le marketing, l’image, l’apparence, les affects, la forme, le lien
(fusionnel) et la (bonne) « longueur d’ondes » qu’entretient le politique avec son électorat.
7. Comment évoluent – de nos jours - la communication politique, la communication
commerciale ou publicitaire, et le domaine dit « médiatique » ?
On assiste à une « déconsidération » de la communication, et à la déchéance patente (évidente,
palpable) de la notion de communication (de plus en plus discréditée et ramenée à la notion de
manipulation).
8. Qui a parlé d‟une « ère du soupçon » ?
(« Jamais les accusations portées contre les organes d’information […] n’ont été aussi
nombreuses et aussi graves, que depuis le début des années 90 (…) : c’est ainsi que s’ouvre
l’ère du soupçon »)
Francis Balle.
9. Depuis quand existe la communication ?
Depuis que les êtres humains sont êtres humains : les êtres humains ont toujours communiqué par
l’intermédiaire du langage et des signes non verbaux.
=> la communication est, depuis les origines, une « constante anthropologique ».
10. Est-il possible de ne pas communiquer ?
Non. « On ne peut pas ne pas communiquer » ; tout est communication, même un silence, même le
langage non verbal (gestes, attitudes, comportements…).
Fondements de la communication
11. La réflexion et les études sur la communication sont nées (dans les années 40) dans quel
„champ‟, dans quel domaine ?
Dans le champ scientifique (avec la cybernétique).
12. Qui est le « père fondateur » de la cybernétique ?
Norbert Wiener.
13. Quel est le postulat de la cybernétique ?
Le réel tout entier peut être interprété sous l’angle des relations, des échanges (d’information, etc…),
autrement dit sous l’angle de la ‘communication’.
=> Ainsi, les êtres humains n’existent pas par eux-mêmes, mais uniquement dans leurs rapports
humains. De même, les phénomènes en eux-mêmes sont moins importants que les relations qu’ils
entretiennent entre eux…
Utopie de la communication
Systémique
14. A quelle époque s‟est développée une « utopie de la communication » ?
Dans la deuxième moitié du XXème siècle (dans la société d’après-guerre).
15. Quel sociologue a traité - dans un ouvrage notamment - de l‟« utopie de la
communication » ?
Philippe Breton.
16. Que signifie le terme « utopie » ?
L’ « utopie » est une représentation d’une réalité idéale et sans défaut, un projet idéal dont la
réalisation est impossible.
17. Que signifie donc le terme « utopie de la communication » ?
Que la communication est considérée comme un ‘projet idéal’, une nouvelle valeur à portée
universelle, une clef unique qui résoudrait tous les dysfonctionnements de la société, et « ouvrirait
toutes les portes » (harmonie, bonheur, …).
18. Quel est l‟effet pervers d‟une « utopie de la communication » ?
L’utopie de la communication indique que la communication va tout résoudre (les dysfonctionnements
de la société, les discordes, les polémiques, les relations entre les êtres humains), alors que la
communication ne peut pas TOUT résoudre.
19. Comment la communication est devenue une « utopie » ?
La communication est devenue une utopie en remplaçant les idéologies obsolètes (scientisme,
communisme, libéralisme), en proposant une nouvelle vision de l‟homme (‘les êtres n’existent pas
par eux-mêmes, mais uniquement dans leurs rapports mutuels’) et en proposant une nouvelle vision
de la société (plus aucun « secret », société transparente pour les individus, et individus transparents
pour la société).
20. Pourquoi la communication est devenue une « utopie » ?
La communication est devenue une utopie, parce qu’elle est apparue comme une nouvelle valeur
‘post-traumatique’ (elle est ‘arrivée’ après les traumatismes laissés par la crise profonde du XXème
siècle : crise des valeurs, des systèmes de représentation politique, refus du politique dans lequel on
ne croit plus, barbarie moderne,…).
Déconsidération de la communication
21. Comment est considérée la communication aujourd‟hui (dans notre société actuelle, depuis
les 90‟s) ?
La communication est considérée comme un fléau ; il existe de nos jours une déconsidération patente
de la notion de communication.
22. Pourquoi la communication a été peu à peu déconsidérée ?
Parce que « l’utopie de la communication » (connue dès les années 40) s’est transformée en
désenchantement : tous les espoirs qui avaient été placés dans la communication ne se sont pas
concrétisés : ces « espoirs déçus » sont retombés sur la communication, comme un « retour de
bâton ».
23. Que signifie cette citation d‟Edgar Morin : « Ce qui semblait devoir assurer le progrès
certain apporte certes des possibilités de progrès futur, mais aussi crée et accroit des périls.
Les communications se multiplient sur la planète, mais les incompréhensions s’accroissent.
Les sociétés sont de plus en plus interdépendantes, mais elles sont de plus en plus prêtes à se
déchirer. »
Que « l’utopie de communication » dont on parlait dans les années 40 ne s’est pas réalisée, et s’est
au contraire inversée en « hantise de la communication ». La communication ne représente plus un
idéal comme dans les années 40 : elle suscite la méfiance, le sentiment de tromperie, et un réel
pessimisme.
24. Qu‟appelle-t-on l‟ « énantiodromie » (Héraclite) ?
Le fait qu’une chose se transforme en son contraire, et passe « d’un extrême à son extrême opposé »
(comme le passage de l’amour à la haine par exemple)
25. Peut-on dire qu‟il s‟est passé une « énantiodromie » au niveau de la communication ?
Oui. La communication était appréciée et est devenue dépréciée, elle était idéalisée et est devenue
dévalorisée, elle était une ‘valeur universelle’ et est devenue un ‘danger universel’: elle était la
‘potentielle sauveuse de l’humanité’ et est devenue la ‘potentielle coupable de la déshumanisation de
l’humanité’ : ‘trop de communication’ (la communication poussée à l’extrême) a ‘tué la communication’
(s’est transformée en son extrême opposé).
26. Quelle est l‟opinion de l‟Ecole de Francfort sur les techniques de communication ?
Elles provoquent la dépendance, et l’addiction des citoyens.
Elles conditionnent, standardisent, et formatent les façons d’être et de faire.
Elles « industrialisent » la culture.
Elles diffusent massivement les mêmes infos à tout le monde (pensée unique).
Elles ne sont pas neutres et exercent une influence sur les citoyens en « massant » leurs cerveaux
(the medium is the message – the message is the massage »).
Elles portent atteinte aux libertés individuelles.
27. Que veut dire la citation suivante de Marshall Mac Luhan : “The medium is the message,
and the message is the massage” ? (“Le medium est le message” et “le message est le
massage”) ?
« Le media est le message, et le message est le massage » :
Le média est encore plus important que le message qu’il diffuse, car le media exerce une influence
(un « massage ») irrésistible sur nos façons d’appréhender le monde sensible.
28. Avec le développement des techniques de communication, qu‟a dû faire, de plus en plus, la
CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés) ?
« Traquer » les atteintes portées aux libertés individuelles (identité, intimité,…) : traçage des
personnes, vidéosurveillance, géolocalisation des personnes, systèmes biométriques, moteurs de
recherche, réseaux sociaux, nanotechnologies…
29. Comment a été vue, au fil du temps, la publicité ?
Comme une « machine de guerre », de conditionnement, et de manipulation, colonisant l’imaginaire
des masses, induisant une normalisation économique sociale et médiatique, déstructurant les valeurs
de l’humanisme, et conduisant à l’enfermement de nos vies dans l’optique production-consommation
(Ramonet).
30. Comment a été définie, peu à peu, la communication ?
De plus en plus, on a donné à la communication une définition négative et péjorative : manipulation,
conditionnement, propagande, tromperie, qui ne permet pas d’appendre la vérité, d’enrichir ses
connaissances, et qui ne permet pas non plus aux individus de se comprendre et de vivre en
harmonie.
Point de vue communicationnel sur le réel
Systémique
31. Que signifie « avoir un point de vue communicationnel sur le réel » ?
Avoir une certaine représentation du monde (façon de le voir et de se le représenter), qui repose sur
certains postulats philosophiques/épistémologiques, qui s’expérimente avec des méthodes adaptées,
et qui implique une réflexion éthique.
32. En communication, qu‟est-ce que la dimension „philosophique et épistémologique‟ d‟un
point de vue communicationnel ?
Les postulats (philosophiques et épistémologiques) sur lesquels s’appuie un point de vue
(communicationnel) sur le réel.
33. En communication, que représente la dimension „méthodologique‟ d‟un point de vue
communicationnel ?
La dimension méthodologique regroupe toutes les méthodes à utiliser pour expérimenter – sur le
terrain – un point de vue communicationnel sur le réel (et les postulats philosophiques et
épistémologiques qu’il soutient).
34. En communication, que représente la dimension „éthique‟ d‟un point de vue
communicationnel ?
La dimension éthique consiste à réfléchir sur les conséquences pratiques que l’on peut tirer des
dimensions philosophique et méthodologique : elle incite à se demander – au quotidien – comment
agir de la façon la plus intègre, probe, convenable.
35. Parmi les schémas suivants, lequel illustre correctement la façon dont s‟élabore un « point
de vue communicationnel sur le réel » ?
Point de vue communicationnel
sur le réel
Dimension
‘philosophique & épistémologique’
Dimension
‘méthodologique’
Dimension éthique
36. Combien compte-t-on de point de vue de communicationnel sur le réel ?
Il existe une multitude de points de vue communicationnels sur le réel.
Travaux théoriques en communication
Systémique
37. Selon Yves Winkin, quelles sont les deux grandes conceptions de la communication ?
Communication télégraphique et orchestrale.
Modèle télégraphique
Systémique
38. Comment est considérée l‟information dans le modèle (la conception) télégraphique ?
Comme une quantité qui transite, bien ou mal, par la communication et ses canaux (‘tuyaux’).
39. Quels autres noms peut-on donner au modèle « télégraphique » de la communication ?
Modèle « du code », « technique », « mathématique », « technique », « linéaire », « mécaniste ».
40. Quels scientifiques sont associés au modèle « télégraphique » de la communication ?
L’ingénieur mathématicien Claude Shannon et le biologiste Warren Weaver (d’où l’appellation du
modèle télégraphique : « modèle de Shannon et Weaver »).
41. Comment est vue la communication dans le modèle « télégraphique » ?
La communication est vue comme un transfert d’information : une information est expédiée d’un
émetteur à un récepteur, à travers des ‘canaux’.
42. Comment peut-on
communication ?
modéliser
(„schématiser‟)
Emetteur
modèle
télégraphique
de
la
Signal reçu
Signal émis
Source
D’info
le
Bruit
technique
Récepteur
Destination
de l’info
43. Quelles sont les critiques faites au modèle « télégraphique » de la communication ?
Le modèle télégraphique considère la communication comme une « simple » transmission
(performante ou non) de signaux (messages, formes, signes, symboles).
Alors que pour comprendre la communication humaine, il faudrait considérer les individus (pensant et
parlant) qui sont aux extrémités (source/destination) de la chaîne communicationnelle, la signification
donnée à l’information à la source, la compréhension de l’information par le destinataire, le contexte
général dans lequel s’effectue la communication…
Modèle orchestral
Systémique
44. Qu‟est-ce que le modèle « orchestral » de la communication ?
L’opposé du modèle télégraphique de la communication (une alternative nouvelle pour modéliser la
communication).
45. Quelle autre appellation peut-on donner au modèle « orchestral » de la communication ?
Modèle « circulaire », « systémique », « constructiviste », « de la Nouvelle Communication ».
46. Comment est vue la communication dans le modèle « orchestral » de la communication ?
La communication est vue comme une activité humaine, exigeant donc de prendre en compte la
complexité humaine (processus de « communication d’informations » ou « mise en scène de mises en
forme », individus pensant et parlant, sens donné à l’information à la source, compréhension de
l’information par le destinataire, contexte général dans lequel se fait la communication…).
47. On peut dire que le modèle « orchestral » est…
Constructiviste (la communication construit le réel).
Réalisme / Constructivisme
Systémique
48. Comment est vue la communication dans une conception « réaliste » ?
Communication => Transfert neutre d’informations (données objectives, savoirs, nouvelles,
connaissances vraies…) d’un destinateur vers un destinataire, chaine communicationnelle reliant (par
un canal) l’émetteur au récepteur…
49. Comment est vue la communication dans une conception constructiviste ?
Communication => « Mise en scène » (qui est influencée / qui influence) d’informations (mises en
forme), chaine communicationnelle avec individus pensant et parlant aux extremités, sens donné au
message à la source, compréhension du message par le destinataire, contexte...
50. Selon Roman Jackobson, toute communication verbale requiert la présence de certains
facteurs, que sont :
Destinateur, destinataire, contact, code, référent, message.
51. Selon Roman Jackobson, toute communication verbale est étroitement liée à différentes
fonctions :
Expressive, conative, phatique, métalinguistique, référentielle, poétique/émotive.
Réalité, Réalités
Systémique
52. Selon Paul Watzlawick, qu‟est-ce que la « réalité » ?
C’est ce que nous construisons (c’est une interprétation construite par et à travers la communication).
er
53. D‟après Paul Watzlawick, qu‟est-ce que la réalité de 1 ordre ?
Tous les aspects accessibles à un consensus de perception et en particulier à une preuve (sur quoi
une majorité d’individus est d’accord).
ème
54. D‟après Paul Watzlawick, qu‟est-ce que la réalité de 2
ordre ?
La signification, la valeur, le rôle attribués par un sujet (en fonction de ses propres expériences) à la
er
réalité de 1 ordre.
Systémique
55. Selon la systémique communicationnelle…
ème
… Selon les différentes réalités de 2
ordre des individus concernés, une même information peut
prendre un sens radicalement différent et posséder des effets extrêmement divers.
56. Quel autre nom peut-on donner à la « systémique » ?
La « théorie des systèmes » (Bertalanffy).
57. Quelle est la définition la plus courante d‟un « système » ?
Un ensemble d’objets (éléments interdépendants composant le système), et les relations (messages)
entre ces objets et entre leurs attributs (caractéristiques).
58. Comment sont considérés les systèmes dans l‟analyse « systémique » ?
Comme des ensembles d’éléments interdépendants, qu’il faut étudier dans leur totalité, leur
complexité, et leur dynamique propre.
59. Comment procède l‟analyse « systémique » ?
Prendre en compte l’«infiniment complexe » : relier les éléments entre eux, considérer le nombre, la
variété des éléments, leurs relations, leurs interdépendances, leurs interactions, leurs combinaisons,
leur dynamique…
60. Quelle citation illustre relativement bien l‟analyse « systémique » ?
La citation de Pascal : « Toutes choses […] s’entretenant par un lien naturel et insensible qui lie les
plus éloignées et les plus différentes, je tiens impossible de connaître les parties sans connaître le
tout, non plus de connaître le tout sans connaître particulièrement les parties ».
61. Quel reproche est fait à l‟analyse « systémique » ?
Complexité de l’approche, nécessité d’éclaircir la complexité.
62. Que représentent les 3 schémas de Minati (ci-dessous) ?
Schéma 1 :
Schéma 2 :
Schéma 3 :
1. Ensemble 2. Système à logique ensembliste 3. Système.
63. Quelles systémiques peut-on distinguer ?
La systémique « classique » et la systémique « communicationnelle ».
64. Que prend en compte la « systémique communicationnelle » ?
Les interactions entre humains, mais également les interactions entre les humains et les éléments
particuliers du contexte.
65. Pour la systémique « communicationnelle », qu‟est-ce qui est « constituant et vecteur de
communication » ?
TOUT est constituant et vecteur de communication pour la systémique communicationnelle
=> en systémique communicationnelle, « tout communique » : les êtres humains, les objets,
l’environnement, le verbal, le non verbal, etc….
66. Dans la systémique « communicationnelle », qu‟est-ce qui peut expliquer le réel ?
L’information et la communication, car l’information est toujours construite et communiquée par la
personne qui la prend en charge (la façon dont elle est communiquée est donc étroitement liée à la
subjective perception de cette personne).
67. Que met en avant la systémique « communicationnelle » ?
La nécessité de sortir la communication de son schéma « balistique » et « linéaire », ainsi que le
besoin de prendre en compte les interactions (relations) et plus seulement les messages (contenus)
transférés/transmis.
La systémique communicationnelle met également en avant la subjectivité des individus qui
échangent des informations, la nature « construite » et « émergente » des informations, la nature
globale et dynamique des systèmes.
68. Quels sont les principes fondamentaux en systémique ?
Les principes de totalité, homéostasie, rétroaction, causalité circulaire, équifinalité.
69. Quels sont les 5 axiomes de l‟approche systémique de la communication ?
1. « On ne peut pas ne pas communiquer ».
2. « Toute communication prend deux aspects : le contenu et la relation ».
3. « La nature d’une relation dépend de la ponctuation des échanges ».
4. « Les êtres utilisent deux modes de communication : digital et analogique ».
5. « Tout échange de communication est symétrique ou complémentaire ».
70. L‟analyse analytique et l‟analyse systémique sont…
Complémentaires (l’une renvoie perpétuellement à l’autre qui renvoie perpétuellement à l’une, ad
infinitum…, la systémique a recours à la méthode analytique,…).