concert - Maison de la Radio

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concert - Maison de la Radio
VENDREDI 11 NOVEMBRE 2016 20H
MAISON DE LA RADIO - AUDITORIUM
Chers amoureux et futurs amoureux de la musique, bienvenue !
Je suis heureux que les concerts du mois de novembre commencent
par la célébration de l’anniversaire de Gilbert Amy, qui fut le premier directeur
musical de notre orchestre, il y a quarante ans, à l’époque où il prit le nom de
Nouvel Orchestre Philharmonique.
Je vous proposerai pour ma part deux vastes symphonies, le 11 novembre, très différentes de forme et surtout d’atmosphère : la Deuxième Symphonie du jeune Sibelius et la dernière symphonie de Tchaïkovski, celle qu’on
appelle « Pathétique », mais à laquelle j’essaierai de donner autre chose que
du pathos !
La partition de ces deux symphonies, j’aurai le plaisir de l’emmener à
l’occasion de la tournée de quatre concerts que nous donnerons, l’orchestre
et moi, du 14 au 19 novembre, à Berlin, Munich, Cologne et Vienne. Je dirigerai deux fois la première et deux fois la seconde, en compagnie du célèbre
Concerto pour violon de Bruch interprété par Hilary Hahn et de la délicieuse
suite de Ma mère l’Oye de Ravel.
Pour revenir aux programmes des concerts de Paris, vous serez
conviés, le 19 novembre, à un concert étonnant fait de pages du répertoire
écrites pour grand orchestre mais ici réduites aux dimensions d’une formation
de chambre par Christophe Simonet et Marlijn Helder. Une autre manière
d’écouter Rachmaninov et Debussy !
Nous retrouverons ensuite la traditionnelle soirée co-produite par la
Sacem, qui célèbre le genre trop souvent décrié de la musique de film, et le
mois s’achèvera sur l’apothéose des cordes de notre orchestre. Dans la Série
des solistes en effet, c’est cette famille instrumentale qui sera à l’honneur.
Svetlin Roussev, l’un de nos trois violons solos, et par ailleurs brillant concertiste, jouera et prendra la baguette pour l’occasion dans un programme
consacré à Vladiguerov, Sarasate et Dvořák.
Mikko Franck
Directeur musical de l’Orchestre Philharmonique de Radio France
ORCHESTRE PHILHARMONIQUE
DE RADIO FRANCE
MIKKO FRANCK DIRECTEUR MUSICAL
MIKKO FRANCK DIRECTION
SVETLIN ROUSSEV VIOLON SOLO
PROGRAMME
Jean Sibelius
Symphonie n° 2 en ré majeur opus 43
1. Allegretto - Poco allegro - Tranquillo, ma poco a poco ravivando il tempo al allegro
2. Tempo andante, ma rubato - Andante sostenuto
3. Vivacissimo - Lento e suave - Largamente
4. Finale. Allegro moderato
(45 minutes environ)
Entracte (20 minutes)
Piotr Ilyitch Tchaïkovski
Symphonie n° 6 en si mineur, opus 74 «Pathétique»
1. Adagio-Allegro non troppo
2. Allegro con grazia
3. Allegro Molto vivace
4. Adagio lamentoso
(42 minutes environ)
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de Radio France.
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JEAN SIBELIUS 1865-1957
Symphonie n° 2
composée en voyage, notamment en Italie, en 1901-1902 / créée le 8 mars 1902
à Helsinki.
Nomenclature : 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, ; 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, 1 tuba ; timbale ; cordes.
Le journaliste - Quel est selon vous le plus grand compositeur vivant ?
Sibelius - Schoenberg; mais j'aime bien aussi ma propre musique.
On prendrait volontiers la Deuxième Symphonie de Sibelius, à l'occasion
d'une écoute encombrée de préjugés, pour une œuvre ardemment
nationaliste, écho d'on ne sait quelles luttes menées par les héroïques
Finlandais contre leurs ennemis russes. Or, cette partition datée de 19011902 est une œuvre du voyage. En 1900, Sibelius est à Paris, à l'occasion de
l'Exposition universelle ; en 1901, le voici à Heidelberg, en compagnie de
Richard Strauss ; en 1903, on le retrouve en Angleterre, non sans qu'il ait
entre-temps visité l'Italie.
Œuvre buissonnière, la Deuxième Symphonie doit son profil épique à la seule
musique. Nous sommes plus loin ici des chevauchées de Kullervo que de
l'énergie héroïque dont la Cinquième Symphonie, quelques années plus tard,
sera en grande partie innervée. Il est vrai que Sibelius, après une Première
Symphonie à la fois extatique et tumultueuse, étrangement proche de la
Première de Tchaïkovski, commence avec sa propre Deuxième à réfléchir sur
la forme même de la symphonie. Et l'on sait que jusqu'à l'ultime Septième
(une Huitième a-t-elle jamais été achevée ?), en un seul et vaste mouvement,
ses symphonies renouvelleront toujours le genre.
La Deuxième est la plus longue des symphonies de Sibelius. Elle se compose
de quatre mouvements agencés d'une manière singulière. Le premier s'ouvre
par une introduction allante, presque guillerette, qui prend très vite des
couleurs inquiètes et se poursuit par des épisodes d'une tension croissante
où la musique semble se nourrir d'elle-même. Suit un mouvement lent qui
commence dans une ambiance de désolation : pizzicati, vents sinistres, puis
éclats menaçants des cuivres annoncent les chaos souterrains qui viennent
et, dans un combat déchirant entre la matière (celle de la nature et celle de la
musique) et le désir d'envol, font de cette page l'une des plus poignantes
jamais sorties de la plume de Sibelius. Le bref scherzo qui suit fait alterner
une séquence où l'énergie des cordes, en particulier, fait merveille, et une
plage centrale élégiaque et apaisée. Répit de courte durée toutefois : la
musique retrouve peu à peu son allant et conduit sans interruption au finale
héroïque. Celui-ci fait chanter l'orchestre dans une ivresse mêlée d'angoisse
et aboutit à un vaste crescendo qui part d'un motif des instruments à cordes
obstinément répété. Le finale de la Cinquième Symphonie, quoique plus
abrupt, reprendra en partie le même schéma.
Merveilles d'éloquence et de lyrisme, les symphonies de Sibelius sont aussi
des œuvres secrètes où grondent des maelströms difficilement contenus,
où le sentiment de la nature n'est pas synonyme d'amour béat de la
campagne. La Deuxième porte en elle bien des éclats minéraux à venir.
Christian Wasselin
Ces années-là :
1901 : mort de Verdi. Création de la Quatrième Symphonie de Mahler.
Naissance de Louis Armstrong et d'Henri Sauguet. Les 21 jours d'un
neurasthénique d'Octave Mirbeau. Les trois sœurs de Tchekhov. Barbe-Bleue
de Méliès. Naissance de Marlène Dietrich et de Walt Disney. Cuba devient un
protectorat des Etats-Unis.
1902 : création de Pelléas et Mélisande de Debussy. Achèvement des
Rückert-Lieder et de la Cinquième Symphonie de Mahler. Naissance de
Maurice Duruflé. Exégèse des lieux communs de Léon Bloy, Le Chien des
Baskerville de Conan Doyle. Effondrement du campanile de la place SaintMarc à Venise. En Russie, abolition de la peine de mort et achèvement du
Transsibérien.
Choix de lectures :
- Marc Vignal, Jean Sibelius (Fayard, 2004). La somme des sommes.
- Pierre Vidal, Jean Sibelius (Bleu Nuit, 2005). Pour s'initier, avant d'aborder
l'ouvrage précédent.
PIOTR ILYITCH TCHAÏKOVSKI 1840-1893
Symphonie n° 6
Créée sans grand succès à Saint-Pétersbourg, le 16 septembre 1893, sous la direction de l'auteur qui mourut neuf jours plus tard / Reçue avec un accueil triomphal
lorsque Napravnik la dirigea à son tour de façon posthume.
Nomenclature : 3 flûtes (dont 1 piccolo), 2 hautbois, 2 clarinettes (dont 1 clarinette
basse), 2 bassons ; 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones, 1 tuba ; timbales ; percussions ; cordes.
(La musique), c'est en effet l'absolu saisi dans le temps, mais incapable
d'y demeurer, un contact à la fois suprême et fugitif. Pour qu'il demeure,
il faudrait une émotion musicale ininterrompue. La fragilité de l'extase
mystique est identique. Dans les deux cas, le même sentiment d'inachèvement,
accompagné d'un regret déchirant, d'une nostalgie sans bornes. Cioran
La Pathétique est une œuvre du crépuscule. Terminée moins de deux mois
avant la mort du compositeur, elle exprime ses aspirations et ses tourments
intérieurs dans un dernier élan passionné. La mort de Tchaïkovski, par suicide
sans doute -- à cause d'un scandale de moeurs -- neuf jours après la création,
donna rétrospectivement à l'œuvre une dimension tragique.
Comme la Quatrième Symphonie, la Pathétique est une œuvre à «programme».
Tchaïkovski entendait par ce terme «une possibilité d'expliquer verbalement
ce que la musique cherche à exprimer». Il l'avait écrit en 1877 à son invisible et
singulière mécène Nadejda von Meck. Dans cette lettre, Tchaïkovski
commentait ensuite sa Quatrième Symphonie, en précisant qu'il fallait y
entendre ici «le fatum», là «un rêve plein de douceur et de tendresse», et
encore «de l'angoisse», des «arabesques capricieuses», des «images
insaisissables», etc. Pour la Cinquième Symphonie, une feuille d'esquisse
indique : «soumission totale devant le destin», «murmures, doutes, plaintes,
reproches à XXX».
Sans doute faut-il imaginer le même univers pour son ultime symphonie,
même si Tchaïkovski tient à conserver le mystère : «Au cours de mes voyages,
écrit-il à son neveu Vladimir Davydov, j'ai eu l'idée d'une autre symphonie,
une symphonie à programme mais dont le programme restera secret pour
tout le monde.»
Il se met à sa partition au début du mois de février 1893. Le travail avance vite :
quatre jours seulement pour le premier mouvement, six mois pour achever le
tout. Si le deuxième et le troisième mouvements sont traversés par la légèreté
et même la joie et l'énergie (valse à cinq temps du deuxième mouvement,
marche déterminée que Tchaïkovski disait «solennellement jubilatoire» dans le
troisième mouvement), l'impression générale est funèbre : thème lugubre du
basson à l'ouverture du premier mouvement, puis halètement fiévreux des
cordes et sonnerie des trombones dans laquelle on a voulu voir un appel au
destin ; ou encore plainte des violons et grand choral des cuivres dans le
Finale.
Ceux qui possèdent une vraie sensibilité doivent savoir de bonne heure
combien elle est dangereuse. Ann Radcliffe, Les Mystères d'Udolphe
Du fait de ce caractère funèbre dominant, le frère du compositeur proposa le
qualificatif «pathétique», que Tchaïkovski accepta. L'un des moments les plus
impressionnants de l'œuvre reste la fin de l'Adagio lamentoso, qui s'éteint
dans un murmure. C'est le premier finale lent d'une symphonie depuis celui
de la Symphonie n° 45 de Haydn, intitulée, justement, «Les Adieux».
Laetitia Le Guay
Cette année-là :
1893 : Quatuor en sol de Debussy, Le Cri de Munch, Parution du Voyage
d'Urien de Gide, illustré par Maurice Denis. En France, Léon Bouly dépose le
brevet de son appareil appelé «Cinématographe». En Russie, inauguration du
grand magasin Goum sur la place Rouge à Moscou, installation de Lénine à
Saint-Pétersbourg. Mort de Gounod et de Tchaïkovski.
Pour en savoir plus :
Bien sûr l'incontournable biographie d'André Lischke chez Fayard.
En poche :
- à partir d'une enquête sur la mort du compositeur : Jérôme Bastinelli,
Tchaïkovski, Actes sud, 2012
- pour une approche centrée sur l'écriture d'abord : Violaine Anger,
Tchaïkovski, Éditions Jean-Paul Gisserot, coll. «Pour la musique», 1998
Enfin, voie de traverse, le roman de Klaus Mann Symphonie Pathétique,
paru en 1935. «Nous faisant partager les incertitudes et les joies de la
création qui ont bouleversé Tchaïkovski, Symphonie pathétique entraîne
dans le tourbillon d'une Europe fin de siècle. Une Europe où les tournées
triomphales nous font rencontrer le grand monde de la musique : Brahms,
Schumann, Grieg, Mahler, Moussorgski...»
http://placedeslibraires.epagine.fr
MIKKO FRANCK direction
1979 : naît le 1er avril 1979 à Helsinki (Finlande), où il commence l’étude du
violon à l’âge de cinq ans.
1992 : entre à l’Académie Sibelius d’Helsinki. Étudie ensuite à New York, en
Israël et en Suède.
1995 : se forme à la direction d’orchestre auprès de Jorma Panula.
2001 : l’enregistrement de En saga et de la Lemminkaïnen Suite de Sibelius,
avec l’Orchestre Symphonique de la Radio Suédoise, est nommé aux
Grammy Awards (Meilleure interprétation orchestrale) et remporte un « Diapason d’or ».
Depuis 2002 : directeur artistique du Festival de musique de Kangasniemi
(Finlande).
2002-2007 : directeur musical et premier chef de l’Orchestre National de Belgique.
2003 : crée Rasputin d’Einojuhani Rautavaara à l’Opéra National de Finlande,
qui donnera lieu à un enregistrement DVD (2005). Débuts avec l’Orchestre
Philharmonique de Radio France.
2006 : nommé directeur musical général de l’Opéra National de Finlande.
2008 : devient le directeur artistique de l’Opéra National de Finlande, où il dirigera
notamment Parsifal, Thaïs, La Bohème, Manon Lescaut, Eugène Onéguine,
Rigoletto, I pagliacci…
2009 : sortie de son premier enregistrement avec l’Orchestre Philharmonique
de Radio France (œuvres de Debussy chez RCA).
A dirigé les orchestres philharmoniques de Berlin, Munich, New York, Los Angeles,
Israël, Londres, les orchestres symphoniques de Bamberg, Dallas, Chicago,
Tokyo, San Francisco…
2014 : dirige La Bohème et Lohengrin à l’Opéra de Vienne. Débuts avec l’Orchestre
Philharmonique de Vienne dans Chostakovitch et Richard Strauss.
Septembre 2015 : nouveau directeur musical de l’Orchestre Philharmonique
de Radio France.
Sortie du livre-CD La Boîte à joujoux de Debussy avec l’Orchestre Philharmonique
de Radio France (éditions RF / Actes Sud Junior), texte de Marie Desplechin
dit par Éric Ruf.
2016 : dirige Elektra, Salome et le ballet Josephs Legende de Richard Strauss,
et Tosca de Puccini à l’Opéra de Vienne.
2016-2017 : sortie à l’automne du CD Debussy (L’Enfant prodigue)/Ravel
(L’Enfant et les Sortilèges) chez Warner avec avec l’Orchestre Philharmonique
de Radio France et Karina Gauvin, Roberto Alagna, Jean-François Lapointe,
Chloé Briot, Nathalie Stutzmann, Sabine Devieilhe, Jodie Devos, Julie Pasturaud,
François Piolino, Nicolas Courjal.
Dirigera La fanciulla del West de Puccini, Die tote Stadt de Korngold et Tristan und
Isolde de Wagner à l’Opéra de Vienne.
ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE
Mikko Franck, directeur musical
1937 : fondation de l’orchestre par la radiodiffusion française.
1954 : le Théâtre des Champs-Élysées accueille la saison de l’orchestre, dirigé
par Bigot, Cluytens, Dervaux, Desormières, Horenstein, Inghelbrecht, Krips,
Kubelik, Leibowitz, Munch, Paray, Rosenthal, Sawallisch, Scherchen, etc.,
et les compositeurs Copland, Jolivet, Tomasi, Villa-Lobos…
1976 : refondation de l’orchestre, permettant à l’effectif de se partager simultanément en plusieurs formations ; Gilbert Amy en est le premier directeur musical, Emmanuel Krivine le premier chef invité.
1984 : Marek Janowski prend la direction musicale de l’orchestre. Il dirigera
la Tétralogie de Wagner (au Théâtre du Châtelet et au Théâtre des ChampsÉlysées) pour la première fois à Paris depuis 1957.
2000 : Myung-Whun Chung est nommé directeur musical.
2001 : Pierre Boulez dirige l’orchestre pour la première fois.
2003 : premier concert de Mikko Franck à la tête de l’orchestre.
2004-2005 : cycle Mahler au Théâtre des Champs-Élysées sous la direction
de Myung-Whun Chung.
2005 : Gustavo Dudamel et Valery Gergiev dirigent l’orchestre pour la première fois.
2006 : réouverture de la Salle Pleyel qui accueille l’orchestre en résidence.
Début du partenariat avec France Télévisions (« Les Clefs de l’orchestre »
de Jean-François Zygel).
2007 : les musiciens de l’orchestre et Myung-Whun Chung sont nommés
ambassadeurs de l’Unicef.
2008 : Myung-Whun Chung et l’orchestre fêtent le centenaire de Messiaen.
2009 : ArteLiveWeb et l’orchestre s’associent pour diffuser un concert par mois.
2010 : l’orchestre et Myung-Whun Chung sont invités sur les deux continents américains, à Shanghaï (dans le cadre de l’exposition universelle), à
Taïwan, et en Russie (Moscou et Saint-Pétersbourg).
2011 : Esa-Pekka Salonen dirige quatre programmes en résidence avec
l’orchestre dans le cadre du festival Présences. L’orchestre se produit en Allemagne
et aux BBC Proms de Londres.
2012 : concert avec l’Orchestre Unhasu de Corée du Nord et
Myung-Whun Chung. Intégrale des symphonies de Brahms dirigée par
Gustavo Dudamel.
2013 : Mikko Franck est nommé pour succéder à Myung-Whun Chung
à partir de septembre 2015. Tournée de trois semaines en Chine, en Corée
et au Japon.
2014 : Gustavo Dudamel dirige le Requiem de Berlioz à Notre-Dame de
Paris, Esa-Pekka Salonen les Gurrelieder de Schönberg Salle Pleyel.
2015 : Myung-Whun Chung dirige l’orchestre à Cologne puis au Musikverein de
Vienne et à la Philharmonie de Berlin avec Maxim Vengerov en soliste. Septembre :
Mikko Franck devient le directeur musical de l’orchestre.
2015-2016 : Mikko Franck présente sa première saison en tant que directeur
musical en proposant quinze programmes, dont une carte blanche au compositeur Magnus Lindberg, des œuvres de Rautavaara, Sibelius, Debussy, Mahler,
Messiaen, Dutilleux, etc., et Madama Butterfly aux Chorégies d’Orange.
2016-2017 : de prestigieux artistes tels que Karita Mattila, Hilary Hahn, Renaud
Capuçon, Edgar Moreau, Lahav Shani, Dmitri Masleev, etc. participent à la
saison de l’orchestre. Novembre : tournée européenne en compagnie d’Hilary
Hahn (Philharmonie de Berlin, Munich, Cologne, Vienne). Mai : tournée en
Asie (Chine, Corée du sud, Hong Kong).
L’Orchestre Philharmonique de Radio France bénéficie du soutien d’un partenaire principal, Amundi, et de fidèles partenaires réunis au sein de la Fondation
Musique et Radio.
À consulter : maisondelaradio.fr
ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE
Mikko Franck directeur musical
Chef assistante
Marzena Diakun
Violons
Hélène Collerette
Amaury Coeytaux
Svetlin Roussev
1ers violons solos
Virginie Buscail
Ayako Tanaka
Marie-Laurence Camilleri
Mihaï Ritter
Cécile Agator
Pascal Oddon
Juan-Firmin Ciriaco
Guy Comentale
Emmanuel André
Joseph André
Cyril Baleton
Emmanuelle Blanche-Lormand
Martin Blondeau
Floriane Bonanni
Florence Bouanchaud
Florent Brannens
Aurore Doise
Françoise Feyler-Perrin
Béatrice Gaugué-Natorp
Rachel Givelet
David Haroutunian
Mireille Jardon
Jean-Philippe Kuzma
Jean-Christophe Lamacque
François Laprévote
Amandine Ley
Arno Madoni
Virginie Michel
Ana Millet
Céline Planes
Sophie Pradel
Marie-Josée Romain-Ritchot
Mihaëla Smolean
Isabelle Souvignet
Thomas Tercieux
Véronique Tercieux-Engelhard
Anne Villette
Altos
Jean-Baptiste Brunier
Marc Desmons
Christophe Gaugué
Fanny Coupé
Aurélia Souvignet-Kowalski
Daniel Vagner
Julien Dabonneville
Marie-Emeline Charpentier
Sophie Groseil
Elodie Guillot
Anne-Michèle Liénard
Frédéric Maindive
Benoît Marin
Jérémy Pasquier
Martine Schouman
Marie-France Vigneron
Violoncelles
Eric Levionnois
Nadine Pierre
Daniel Raclot
Pauline Bartissol
Jérôme Pinget
Anita Barbereau-Pudleitner
Jean-Claude Auclin
Catherine de Vençay
Marion Gailland
Renaud Guieu
Karine Jean-Baptiste
Jérémie Maillard
Clémentine Meyer
Nicolas Saint-Yves
Contrebasses
Christophe Dinaut
Yann Dubost
Lorraine Campet
Marie Van Wynsberge
Edouard Macarez
Daniel Bonne
Etienne Durantel
Lucas Henri
Boris Trouchaud
Flûtes
Magali Mosnier
Thomas Prévost
Michel Rousseau
Nels Lindeblad
Anne-Sophie Neves
Hautbois
Hélène Devilleneuve
Olivier Doise
Stéphane Part
Stéphane Suchanek
Clarinettes
Nicolas Baldeyrou
Jérôme Voisin
Jean-Pascal Post
Manuel Metzger
Didier Pernoit
Christelle Pochet
Bassons
Jean-François Duquesnoy
Julien Hardy
Stéphane Coutaz
Wladimir Weimer
Cors
Antoine Dreyfuss
Matthieu Romand
Sylvain Delcroix
Hugues Viallon
Xavier Agogué
Stéphane Bridoux
Isabelle Bigaré
Bruno Fayolle
Trompettes
Alexandre Baty
Bruno Nouvion
Jean-Pierre Odasso
Gilles Mercier
Gérard Boulanger
Trombones
Patrice Buecher
Antoine Ganaye
Alain Manfrin
David Maquet
Raphaël Lemaire
Franz Masson
Tuba
Victor Letter
Timbales
Jean-Claude Gengembre
Percussions
Renaud Muzzolini
Francis Petit
Gabriel Benlolo
Benoît Gaudelette
Nicolas Lamothe
Harpes
Nicolas Tulliez
Claviers
Catherine Cournot
Directeur musical
Mikko Franck
Assistante
Bénédicte Bezault
Délégué général
Jean-Marc Bador
Régie d'orchestre
Philippe Le Bour
Adrien Hippolyte
Responsable du service des
moyens logistiques de production musicale
Nicolas Gilly
Chargées de production musicale
Céleste Simonet
Responsable du parc instruAurélie Kuan
mental
Patrice Thomas
Administratrice déléguée
Magali Rousseau
Administration
Elisabeth Fouquet
Régisseur principal
Patrice Jean-Noël
Responsable de la
Adjointe par intérim
bibliothèque des formations
Assistante Chloé Van-Hoorde
Maud Rolland
Attachée de presse
et communication
Laurence Lesne-Paillot
Relations publiques
et projets audiovisuels
Annick Nogues
Responsable du programme
pédagogique
Cécile Kauffmann-Nègre
Chargée des relations
avec les publics
Floriane Gauffre
Professeur relais
de l'Éducation nationale
Myriam Zanutto
Bibliothécaires
Noémie Larrieu
Cloé Tomietto
SAMEDI 19 NOVEMBRE 2016 20H
MAISON DE LA RADIO - AUDITORIUM
ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE
Grandes œuvres écrites pour petits ensembles
Marlijn Helder
Spring Rain (CM-CRF)
Serge Rachmaninov
Concerto pour piano n° 2, arrangemement pour piano et orchestre de chambre
de Christophe Simonet
Claude Debussy / Marlijn Helder
La Mer, arrangement pour orchestre de chambre de Marlijn Helder (CM-CRF)
Christophe Simonet piano
Adrien Perruchon direction
SAMEDI 26 NOVEMBRE 2016 20H
MAISON DE LA RADIO - AUDITORIUM
ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE
Le 10e prix France Musique – Sacem de la musique de film sera remis le
samedi 26 novembre 2016 à l’auditorium de la Maison de la Radio à Paris,
au cours d’un concert de l’Orchestre Philharmonique de Radio France.
Benjamin Ellin direction
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Renseignements : 01 56 40 15 16 - maisondelaradio.fr
Impression Reprographie Radio France