concert - Maison de la Radio
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concert - Maison de la Radio
VENDREDI 11 NOVEMBRE 2016 20H MAISON DE LA RADIO - AUDITORIUM Chers amoureux et futurs amoureux de la musique, bienvenue ! Je suis heureux que les concerts du mois de novembre commencent par la célébration de l’anniversaire de Gilbert Amy, qui fut le premier directeur musical de notre orchestre, il y a quarante ans, à l’époque où il prit le nom de Nouvel Orchestre Philharmonique. Je vous proposerai pour ma part deux vastes symphonies, le 11 novembre, très différentes de forme et surtout d’atmosphère : la Deuxième Symphonie du jeune Sibelius et la dernière symphonie de Tchaïkovski, celle qu’on appelle « Pathétique », mais à laquelle j’essaierai de donner autre chose que du pathos ! La partition de ces deux symphonies, j’aurai le plaisir de l’emmener à l’occasion de la tournée de quatre concerts que nous donnerons, l’orchestre et moi, du 14 au 19 novembre, à Berlin, Munich, Cologne et Vienne. Je dirigerai deux fois la première et deux fois la seconde, en compagnie du célèbre Concerto pour violon de Bruch interprété par Hilary Hahn et de la délicieuse suite de Ma mère l’Oye de Ravel. Pour revenir aux programmes des concerts de Paris, vous serez conviés, le 19 novembre, à un concert étonnant fait de pages du répertoire écrites pour grand orchestre mais ici réduites aux dimensions d’une formation de chambre par Christophe Simonet et Marlijn Helder. Une autre manière d’écouter Rachmaninov et Debussy ! Nous retrouverons ensuite la traditionnelle soirée co-produite par la Sacem, qui célèbre le genre trop souvent décrié de la musique de film, et le mois s’achèvera sur l’apothéose des cordes de notre orchestre. Dans la Série des solistes en effet, c’est cette famille instrumentale qui sera à l’honneur. Svetlin Roussev, l’un de nos trois violons solos, et par ailleurs brillant concertiste, jouera et prendra la baguette pour l’occasion dans un programme consacré à Vladiguerov, Sarasate et Dvořák. Mikko Franck Directeur musical de l’Orchestre Philharmonique de Radio France ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE MIKKO FRANCK DIRECTEUR MUSICAL MIKKO FRANCK DIRECTION SVETLIN ROUSSEV VIOLON SOLO PROGRAMME Jean Sibelius Symphonie n° 2 en ré majeur opus 43 1. Allegretto - Poco allegro - Tranquillo, ma poco a poco ravivando il tempo al allegro 2. Tempo andante, ma rubato - Andante sostenuto 3. Vivacissimo - Lento e suave - Largamente 4. Finale. Allegro moderato (45 minutes environ) Entracte (20 minutes) Piotr Ilyitch Tchaïkovski Symphonie n° 6 en si mineur, opus 74 «Pathétique» 1. Adagio-Allegro non troppo 2. Allegro con grazia 3. Allegro Molto vivace 4. Adagio lamentoso (42 minutes environ) › Ce concert est diffusé en direct sur France Musique . Il est également disponible à l’écoute sur francemusique.fr › Retrouvez la page facebook des concerts de Radio France et de l’Orchestre Philharmonique de Radio France. › Consultez le site sur maisondelaradio.fr rubrique concerts. JEAN SIBELIUS 1865-1957 Symphonie n° 2 composée en voyage, notamment en Italie, en 1901-1902 / créée le 8 mars 1902 à Helsinki. Nomenclature : 2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, ; 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, 1 tuba ; timbale ; cordes. Le journaliste - Quel est selon vous le plus grand compositeur vivant ? Sibelius - Schoenberg; mais j'aime bien aussi ma propre musique. On prendrait volontiers la Deuxième Symphonie de Sibelius, à l'occasion d'une écoute encombrée de préjugés, pour une œuvre ardemment nationaliste, écho d'on ne sait quelles luttes menées par les héroïques Finlandais contre leurs ennemis russes. Or, cette partition datée de 19011902 est une œuvre du voyage. En 1900, Sibelius est à Paris, à l'occasion de l'Exposition universelle ; en 1901, le voici à Heidelberg, en compagnie de Richard Strauss ; en 1903, on le retrouve en Angleterre, non sans qu'il ait entre-temps visité l'Italie. Œuvre buissonnière, la Deuxième Symphonie doit son profil épique à la seule musique. Nous sommes plus loin ici des chevauchées de Kullervo que de l'énergie héroïque dont la Cinquième Symphonie, quelques années plus tard, sera en grande partie innervée. Il est vrai que Sibelius, après une Première Symphonie à la fois extatique et tumultueuse, étrangement proche de la Première de Tchaïkovski, commence avec sa propre Deuxième à réfléchir sur la forme même de la symphonie. Et l'on sait que jusqu'à l'ultime Septième (une Huitième a-t-elle jamais été achevée ?), en un seul et vaste mouvement, ses symphonies renouvelleront toujours le genre. La Deuxième est la plus longue des symphonies de Sibelius. Elle se compose de quatre mouvements agencés d'une manière singulière. Le premier s'ouvre par une introduction allante, presque guillerette, qui prend très vite des couleurs inquiètes et se poursuit par des épisodes d'une tension croissante où la musique semble se nourrir d'elle-même. Suit un mouvement lent qui commence dans une ambiance de désolation : pizzicati, vents sinistres, puis éclats menaçants des cuivres annoncent les chaos souterrains qui viennent et, dans un combat déchirant entre la matière (celle de la nature et celle de la musique) et le désir d'envol, font de cette page l'une des plus poignantes jamais sorties de la plume de Sibelius. Le bref scherzo qui suit fait alterner une séquence où l'énergie des cordes, en particulier, fait merveille, et une plage centrale élégiaque et apaisée. Répit de courte durée toutefois : la musique retrouve peu à peu son allant et conduit sans interruption au finale héroïque. Celui-ci fait chanter l'orchestre dans une ivresse mêlée d'angoisse et aboutit à un vaste crescendo qui part d'un motif des instruments à cordes obstinément répété. Le finale de la Cinquième Symphonie, quoique plus abrupt, reprendra en partie le même schéma. Merveilles d'éloquence et de lyrisme, les symphonies de Sibelius sont aussi des œuvres secrètes où grondent des maelströms difficilement contenus, où le sentiment de la nature n'est pas synonyme d'amour béat de la campagne. La Deuxième porte en elle bien des éclats minéraux à venir. Christian Wasselin Ces années-là : 1901 : mort de Verdi. Création de la Quatrième Symphonie de Mahler. Naissance de Louis Armstrong et d'Henri Sauguet. Les 21 jours d'un neurasthénique d'Octave Mirbeau. Les trois sœurs de Tchekhov. Barbe-Bleue de Méliès. Naissance de Marlène Dietrich et de Walt Disney. Cuba devient un protectorat des Etats-Unis. 1902 : création de Pelléas et Mélisande de Debussy. Achèvement des Rückert-Lieder et de la Cinquième Symphonie de Mahler. Naissance de Maurice Duruflé. Exégèse des lieux communs de Léon Bloy, Le Chien des Baskerville de Conan Doyle. Effondrement du campanile de la place SaintMarc à Venise. En Russie, abolition de la peine de mort et achèvement du Transsibérien. Choix de lectures : - Marc Vignal, Jean Sibelius (Fayard, 2004). La somme des sommes. - Pierre Vidal, Jean Sibelius (Bleu Nuit, 2005). Pour s'initier, avant d'aborder l'ouvrage précédent. PIOTR ILYITCH TCHAÏKOVSKI 1840-1893 Symphonie n° 6 Créée sans grand succès à Saint-Pétersbourg, le 16 septembre 1893, sous la direction de l'auteur qui mourut neuf jours plus tard / Reçue avec un accueil triomphal lorsque Napravnik la dirigea à son tour de façon posthume. Nomenclature : 3 flûtes (dont 1 piccolo), 2 hautbois, 2 clarinettes (dont 1 clarinette basse), 2 bassons ; 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones, 1 tuba ; timbales ; percussions ; cordes. (La musique), c'est en effet l'absolu saisi dans le temps, mais incapable d'y demeurer, un contact à la fois suprême et fugitif. Pour qu'il demeure, il faudrait une émotion musicale ininterrompue. La fragilité de l'extase mystique est identique. Dans les deux cas, le même sentiment d'inachèvement, accompagné d'un regret déchirant, d'une nostalgie sans bornes. Cioran La Pathétique est une œuvre du crépuscule. Terminée moins de deux mois avant la mort du compositeur, elle exprime ses aspirations et ses tourments intérieurs dans un dernier élan passionné. La mort de Tchaïkovski, par suicide sans doute -- à cause d'un scandale de moeurs -- neuf jours après la création, donna rétrospectivement à l'œuvre une dimension tragique. Comme la Quatrième Symphonie, la Pathétique est une œuvre à «programme». Tchaïkovski entendait par ce terme «une possibilité d'expliquer verbalement ce que la musique cherche à exprimer». Il l'avait écrit en 1877 à son invisible et singulière mécène Nadejda von Meck. Dans cette lettre, Tchaïkovski commentait ensuite sa Quatrième Symphonie, en précisant qu'il fallait y entendre ici «le fatum», là «un rêve plein de douceur et de tendresse», et encore «de l'angoisse», des «arabesques capricieuses», des «images insaisissables», etc. Pour la Cinquième Symphonie, une feuille d'esquisse indique : «soumission totale devant le destin», «murmures, doutes, plaintes, reproches à XXX». Sans doute faut-il imaginer le même univers pour son ultime symphonie, même si Tchaïkovski tient à conserver le mystère : «Au cours de mes voyages, écrit-il à son neveu Vladimir Davydov, j'ai eu l'idée d'une autre symphonie, une symphonie à programme mais dont le programme restera secret pour tout le monde.» Il se met à sa partition au début du mois de février 1893. Le travail avance vite : quatre jours seulement pour le premier mouvement, six mois pour achever le tout. Si le deuxième et le troisième mouvements sont traversés par la légèreté et même la joie et l'énergie (valse à cinq temps du deuxième mouvement, marche déterminée que Tchaïkovski disait «solennellement jubilatoire» dans le troisième mouvement), l'impression générale est funèbre : thème lugubre du basson à l'ouverture du premier mouvement, puis halètement fiévreux des cordes et sonnerie des trombones dans laquelle on a voulu voir un appel au destin ; ou encore plainte des violons et grand choral des cuivres dans le Finale. Ceux qui possèdent une vraie sensibilité doivent savoir de bonne heure combien elle est dangereuse. Ann Radcliffe, Les Mystères d'Udolphe Du fait de ce caractère funèbre dominant, le frère du compositeur proposa le qualificatif «pathétique», que Tchaïkovski accepta. L'un des moments les plus impressionnants de l'œuvre reste la fin de l'Adagio lamentoso, qui s'éteint dans un murmure. C'est le premier finale lent d'une symphonie depuis celui de la Symphonie n° 45 de Haydn, intitulée, justement, «Les Adieux». Laetitia Le Guay Cette année-là : 1893 : Quatuor en sol de Debussy, Le Cri de Munch, Parution du Voyage d'Urien de Gide, illustré par Maurice Denis. En France, Léon Bouly dépose le brevet de son appareil appelé «Cinématographe». En Russie, inauguration du grand magasin Goum sur la place Rouge à Moscou, installation de Lénine à Saint-Pétersbourg. Mort de Gounod et de Tchaïkovski. Pour en savoir plus : Bien sûr l'incontournable biographie d'André Lischke chez Fayard. En poche : - à partir d'une enquête sur la mort du compositeur : Jérôme Bastinelli, Tchaïkovski, Actes sud, 2012 - pour une approche centrée sur l'écriture d'abord : Violaine Anger, Tchaïkovski, Éditions Jean-Paul Gisserot, coll. «Pour la musique», 1998 Enfin, voie de traverse, le roman de Klaus Mann Symphonie Pathétique, paru en 1935. «Nous faisant partager les incertitudes et les joies de la création qui ont bouleversé Tchaïkovski, Symphonie pathétique entraîne dans le tourbillon d'une Europe fin de siècle. Une Europe où les tournées triomphales nous font rencontrer le grand monde de la musique : Brahms, Schumann, Grieg, Mahler, Moussorgski...» http://placedeslibraires.epagine.fr MIKKO FRANCK direction 1979 : naît le 1er avril 1979 à Helsinki (Finlande), où il commence l’étude du violon à l’âge de cinq ans. 1992 : entre à l’Académie Sibelius d’Helsinki. Étudie ensuite à New York, en Israël et en Suède. 1995 : se forme à la direction d’orchestre auprès de Jorma Panula. 2001 : l’enregistrement de En saga et de la Lemminkaïnen Suite de Sibelius, avec l’Orchestre Symphonique de la Radio Suédoise, est nommé aux Grammy Awards (Meilleure interprétation orchestrale) et remporte un « Diapason d’or ». Depuis 2002 : directeur artistique du Festival de musique de Kangasniemi (Finlande). 2002-2007 : directeur musical et premier chef de l’Orchestre National de Belgique. 2003 : crée Rasputin d’Einojuhani Rautavaara à l’Opéra National de Finlande, qui donnera lieu à un enregistrement DVD (2005). Débuts avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France. 2006 : nommé directeur musical général de l’Opéra National de Finlande. 2008 : devient le directeur artistique de l’Opéra National de Finlande, où il dirigera notamment Parsifal, Thaïs, La Bohème, Manon Lescaut, Eugène Onéguine, Rigoletto, I pagliacci… 2009 : sortie de son premier enregistrement avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France (œuvres de Debussy chez RCA). A dirigé les orchestres philharmoniques de Berlin, Munich, New York, Los Angeles, Israël, Londres, les orchestres symphoniques de Bamberg, Dallas, Chicago, Tokyo, San Francisco… 2014 : dirige La Bohème et Lohengrin à l’Opéra de Vienne. Débuts avec l’Orchestre Philharmonique de Vienne dans Chostakovitch et Richard Strauss. Septembre 2015 : nouveau directeur musical de l’Orchestre Philharmonique de Radio France. Sortie du livre-CD La Boîte à joujoux de Debussy avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France (éditions RF / Actes Sud Junior), texte de Marie Desplechin dit par Éric Ruf. 2016 : dirige Elektra, Salome et le ballet Josephs Legende de Richard Strauss, et Tosca de Puccini à l’Opéra de Vienne. 2016-2017 : sortie à l’automne du CD Debussy (L’Enfant prodigue)/Ravel (L’Enfant et les Sortilèges) chez Warner avec avec l’Orchestre Philharmonique de Radio France et Karina Gauvin, Roberto Alagna, Jean-François Lapointe, Chloé Briot, Nathalie Stutzmann, Sabine Devieilhe, Jodie Devos, Julie Pasturaud, François Piolino, Nicolas Courjal. Dirigera La fanciulla del West de Puccini, Die tote Stadt de Korngold et Tristan und Isolde de Wagner à l’Opéra de Vienne. ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE Mikko Franck, directeur musical 1937 : fondation de l’orchestre par la radiodiffusion française. 1954 : le Théâtre des Champs-Élysées accueille la saison de l’orchestre, dirigé par Bigot, Cluytens, Dervaux, Desormières, Horenstein, Inghelbrecht, Krips, Kubelik, Leibowitz, Munch, Paray, Rosenthal, Sawallisch, Scherchen, etc., et les compositeurs Copland, Jolivet, Tomasi, Villa-Lobos… 1976 : refondation de l’orchestre, permettant à l’effectif de se partager simultanément en plusieurs formations ; Gilbert Amy en est le premier directeur musical, Emmanuel Krivine le premier chef invité. 1984 : Marek Janowski prend la direction musicale de l’orchestre. Il dirigera la Tétralogie de Wagner (au Théâtre du Châtelet et au Théâtre des ChampsÉlysées) pour la première fois à Paris depuis 1957. 2000 : Myung-Whun Chung est nommé directeur musical. 2001 : Pierre Boulez dirige l’orchestre pour la première fois. 2003 : premier concert de Mikko Franck à la tête de l’orchestre. 2004-2005 : cycle Mahler au Théâtre des Champs-Élysées sous la direction de Myung-Whun Chung. 2005 : Gustavo Dudamel et Valery Gergiev dirigent l’orchestre pour la première fois. 2006 : réouverture de la Salle Pleyel qui accueille l’orchestre en résidence. Début du partenariat avec France Télévisions (« Les Clefs de l’orchestre » de Jean-François Zygel). 2007 : les musiciens de l’orchestre et Myung-Whun Chung sont nommés ambassadeurs de l’Unicef. 2008 : Myung-Whun Chung et l’orchestre fêtent le centenaire de Messiaen. 2009 : ArteLiveWeb et l’orchestre s’associent pour diffuser un concert par mois. 2010 : l’orchestre et Myung-Whun Chung sont invités sur les deux continents américains, à Shanghaï (dans le cadre de l’exposition universelle), à Taïwan, et en Russie (Moscou et Saint-Pétersbourg). 2011 : Esa-Pekka Salonen dirige quatre programmes en résidence avec l’orchestre dans le cadre du festival Présences. L’orchestre se produit en Allemagne et aux BBC Proms de Londres. 2012 : concert avec l’Orchestre Unhasu de Corée du Nord et Myung-Whun Chung. Intégrale des symphonies de Brahms dirigée par Gustavo Dudamel. 2013 : Mikko Franck est nommé pour succéder à Myung-Whun Chung à partir de septembre 2015. Tournée de trois semaines en Chine, en Corée et au Japon. 2014 : Gustavo Dudamel dirige le Requiem de Berlioz à Notre-Dame de Paris, Esa-Pekka Salonen les Gurrelieder de Schönberg Salle Pleyel. 2015 : Myung-Whun Chung dirige l’orchestre à Cologne puis au Musikverein de Vienne et à la Philharmonie de Berlin avec Maxim Vengerov en soliste. Septembre : Mikko Franck devient le directeur musical de l’orchestre. 2015-2016 : Mikko Franck présente sa première saison en tant que directeur musical en proposant quinze programmes, dont une carte blanche au compositeur Magnus Lindberg, des œuvres de Rautavaara, Sibelius, Debussy, Mahler, Messiaen, Dutilleux, etc., et Madama Butterfly aux Chorégies d’Orange. 2016-2017 : de prestigieux artistes tels que Karita Mattila, Hilary Hahn, Renaud Capuçon, Edgar Moreau, Lahav Shani, Dmitri Masleev, etc. participent à la saison de l’orchestre. Novembre : tournée européenne en compagnie d’Hilary Hahn (Philharmonie de Berlin, Munich, Cologne, Vienne). Mai : tournée en Asie (Chine, Corée du sud, Hong Kong). L’Orchestre Philharmonique de Radio France bénéficie du soutien d’un partenaire principal, Amundi, et de fidèles partenaires réunis au sein de la Fondation Musique et Radio. À consulter : maisondelaradio.fr ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE Mikko Franck directeur musical Chef assistante Marzena Diakun Violons Hélène Collerette Amaury Coeytaux Svetlin Roussev 1ers violons solos Virginie Buscail Ayako Tanaka Marie-Laurence Camilleri Mihaï Ritter Cécile Agator Pascal Oddon Juan-Firmin Ciriaco Guy Comentale Emmanuel André Joseph André Cyril Baleton Emmanuelle Blanche-Lormand Martin Blondeau Floriane Bonanni Florence Bouanchaud Florent Brannens Aurore Doise Françoise Feyler-Perrin Béatrice Gaugué-Natorp Rachel Givelet David Haroutunian Mireille Jardon Jean-Philippe Kuzma Jean-Christophe Lamacque François Laprévote Amandine Ley Arno Madoni Virginie Michel Ana Millet Céline Planes Sophie Pradel Marie-Josée Romain-Ritchot Mihaëla Smolean Isabelle Souvignet Thomas Tercieux Véronique Tercieux-Engelhard Anne Villette Altos Jean-Baptiste Brunier Marc Desmons Christophe Gaugué Fanny Coupé Aurélia Souvignet-Kowalski Daniel Vagner Julien Dabonneville Marie-Emeline Charpentier Sophie Groseil Elodie Guillot Anne-Michèle Liénard Frédéric Maindive Benoît Marin Jérémy Pasquier Martine Schouman Marie-France Vigneron Violoncelles Eric Levionnois Nadine Pierre Daniel Raclot Pauline Bartissol Jérôme Pinget Anita Barbereau-Pudleitner Jean-Claude Auclin Catherine de Vençay Marion Gailland Renaud Guieu Karine Jean-Baptiste Jérémie Maillard Clémentine Meyer Nicolas Saint-Yves Contrebasses Christophe Dinaut Yann Dubost Lorraine Campet Marie Van Wynsberge Edouard Macarez Daniel Bonne Etienne Durantel Lucas Henri Boris Trouchaud Flûtes Magali Mosnier Thomas Prévost Michel Rousseau Nels Lindeblad Anne-Sophie Neves Hautbois Hélène Devilleneuve Olivier Doise Stéphane Part Stéphane Suchanek Clarinettes Nicolas Baldeyrou Jérôme Voisin Jean-Pascal Post Manuel Metzger Didier Pernoit Christelle Pochet Bassons Jean-François Duquesnoy Julien Hardy Stéphane Coutaz Wladimir Weimer Cors Antoine Dreyfuss Matthieu Romand Sylvain Delcroix Hugues Viallon Xavier Agogué Stéphane Bridoux Isabelle Bigaré Bruno Fayolle Trompettes Alexandre Baty Bruno Nouvion Jean-Pierre Odasso Gilles Mercier Gérard Boulanger Trombones Patrice Buecher Antoine Ganaye Alain Manfrin David Maquet Raphaël Lemaire Franz Masson Tuba Victor Letter Timbales Jean-Claude Gengembre Percussions Renaud Muzzolini Francis Petit Gabriel Benlolo Benoît Gaudelette Nicolas Lamothe Harpes Nicolas Tulliez Claviers Catherine Cournot Directeur musical Mikko Franck Assistante Bénédicte Bezault Délégué général Jean-Marc Bador Régie d'orchestre Philippe Le Bour Adrien Hippolyte Responsable du service des moyens logistiques de production musicale Nicolas Gilly Chargées de production musicale Céleste Simonet Responsable du parc instruAurélie Kuan mental Patrice Thomas Administratrice déléguée Magali Rousseau Administration Elisabeth Fouquet Régisseur principal Patrice Jean-Noël Responsable de la Adjointe par intérim bibliothèque des formations Assistante Chloé Van-Hoorde Maud Rolland Attachée de presse et communication Laurence Lesne-Paillot Relations publiques et projets audiovisuels Annick Nogues Responsable du programme pédagogique Cécile Kauffmann-Nègre Chargée des relations avec les publics Floriane Gauffre Professeur relais de l'Éducation nationale Myriam Zanutto Bibliothécaires Noémie Larrieu Cloé Tomietto SAMEDI 19 NOVEMBRE 2016 20H MAISON DE LA RADIO - AUDITORIUM ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE Grandes œuvres écrites pour petits ensembles Marlijn Helder Spring Rain (CM-CRF) Serge Rachmaninov Concerto pour piano n° 2, arrangemement pour piano et orchestre de chambre de Christophe Simonet Claude Debussy / Marlijn Helder La Mer, arrangement pour orchestre de chambre de Marlijn Helder (CM-CRF) Christophe Simonet piano Adrien Perruchon direction SAMEDI 26 NOVEMBRE 2016 20H MAISON DE LA RADIO - AUDITORIUM ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE Le 10e prix France Musique – Sacem de la musique de film sera remis le samedi 26 novembre 2016 à l’auditorium de la Maison de la Radio à Paris, au cours d’un concert de l’Orchestre Philharmonique de Radio France. Benjamin Ellin direction Retrouvez le programme complet sur maisondelaradio.fr Renseignements : 01 56 40 15 16 - maisondelaradio.fr Impression Reprographie Radio France