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INTRODUCTION AUX TICE 1. Définitions Les expressions technologies de l'information et de la communication (TIC), nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) ou encore information technologies (IT) désignent tout ce qui relève des techniques utilisées dans le traitement et la transmission des informations, principalement l'informatique, l'Internet et les télécommunications. TICE est le sigle de Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Éducation. Ce sigle recouvre les projets et les actions visant à introduire les nouvelles technologies dans le cadre de l'enseignement (TICE=TIC+Éducation). Par extension, elles désignent aussi le secteur d'activité économique de technologies de l'information et de la communication. Le concept de « technologies de l'information et de la communication », le terme technologie, qui signifie discours sur la technique, est utilisé à la place de technique qui serait à la fois plus simple et plus exact. Ce concept est à rapprocher de celui de société de l'information qui signifie désigne une société dans laquelle les technologies de l'information jouent un rôle central. Les sigles anglais correspondants sont IT (pour Information Technology) et NICT (pour New Information and Communication Technology/Technologies). Les TIC regroupent un ensemble de ressources nécessaires pour manipuler de l'information et particulièrement les ordinateurs, programmes et réseaux nécessaires pour la convertir, la stocker, la gérer, la transmettre et la retrouver. On peut regrouper les TIC par secteurs suivants : • L'équipement informatique, serveurs, matériel informatique ; • La microélectronique et les composants ; • Les télécommunications et les réseaux informatiques ; • Le multimédia ; • Les services informatiques et les logiciels ; • Le commerce électronique et les médias électroniques. Les premiers pas vers une société de l'information furent entamés lors de l'invention du télégraphe électrique, du téléphone fixe, de la radiotéléphonie et, enfin, de la télévision. L'Internet, la télécommunication mobile et le GPS peuvent être considérés comme des NTIC. Le rapprochement entre l'informatique et les télécoms date de la dernière décennie du XXe siècle ; les appareils miniaturisés « multifonctions » sont sur le marché en 2005-6 (suivi de programmes télévisuels sur téléphone portable). On aura constaté que dans le sigle TIC, il existe trois concepts principaux qui sont : la technologie, l’information et la communication. 1.1. Définition des concepts 1.1.1. La communication Dans tout acte de communication on retrouve un émetteur qui codifie un message pour un récepteur. Si cette définition restreint le rôle de récepteur à l’acte de décodification du message, il en est autrement dans les technologies numériques, qui, elles confèrent une dimension d’interactivité à l’acte de communication. En effet, dans cette perspective, l’émetteur n’est pas seul à produire et à codifier un message ; le récepteur participe à la production du sens, à la codification du message. Ainsi, nous constatons que dans le domaine de l’éducation, l’élève interagit, il est actif. Les outils de communication que mettent à son service la technologie l’aident à construire son savoir et à le structurer, ce cas de figure ne laisse pas de place à la passivité dans laquelle les méthodes béhavioristes l’enfermaient. La dimension « communication » dans les TIC appliquées à l’enseignement modifie le comportement de celui qui apprend et dépasse largement l’audiovisuel et la télévision qui restent des moyens de communication de masse. 1.1.2. L’information Il va sans dire que les TIC offrent un accès à d’innombrables banques de données. Ces dernières ne sont considérées comme des informations qu’une fois traitées. Comme les TIC utilisent comme support l’ordinateur, le traitement des données est possible. On assiste alors à la production d’informations. Dans l’exemple de l’apprentissage, les données sont traitées en fonction de tâches précises afin de produire des informations. 1.1.3. La technologie Le mot technique signifie les méthodes et les procédés d'un métier, d'un art tandis que le terme technologie désigne l'étude de ces méthodes et de ces procédés. Par ailleurs, les technologies de l'information et de la communication désignent des procédés et des méthodes employés pour traiter l'information et pour communiquer. Pour de nombreux spécialistes du domaine des TIC, il est clair que les outils qu’offrent ces technologies favorisent l’interactivité et par conséquent facilitent l’acquisition de compétences nouvelles. En ce sens qu’elles aident à l’organisation des connaissances, au travail en collaboration, à la gestion de l’apprentissage et à la réalisation de projets personnels. Tout cela mène progressivement l’élève ou l’apprenant à une réelle autonomie. (Lebrun, Marcel et Vigano R, "De l'"Educationnel Technology" à la technologie pour l'éducation", Les Cahiers de la recherche en éducation, Université de Sherbrooke, vol. 2, n. 2, 1996, p.1.) Conclusion En définitive, la synthèse des dimensions «communication», «information» et «technologies» permet de définir les TIC comme étant un domaine qui regroupe à la fois les technologies utilisant de plus en plus l’informatique, par le biais de laquelle l’informations est traitée puis transmise. L’avantage principal des TIC est qu’elles permettent l’organisation des savoirs, le travail en groupe, la réalisation des projets et la résolution de problèmes, d’où la pertinence de leur application à l’enseignement ou à l’éducation. Nous ne pouvons évoquer les TIC sans parler de la formation à distance qui, durant toute son histoire, n’a jamais cessé de s’approprier les moyens de communication de masse (les mass médias), ce jusqu’à l’apparition des TIC. 2. Histoire de la formation à distance L’enseignement à distance a une longue histoire : les cours privés par correspondance existaient déjà au XIXème siècle. Les organismes spécialisés sont apparus au début du XXème siècle, dès 1909 en Australie. Le CNED a été fondé en 1939. D’autres organismes similaires ont été créés jusque dans les années 60 dans différents pays, aux antipodes ou en Europe du nord. Ces organismes d’enseignement à distance avaient essentiellement pour objectif de préparer les personnes qui ne pouvaient suivre physiquement les cours de l’enseignement secondaire préparatoires aux examens, notamment le baccalauréat. La deuxième phase a commencé au début des années 70 avec la création de l’université ouverte de Grande-Bretagne. Il existe actuellement dans le monde un grand nombre d’universités ouvertes de taille variables. Dans tous ces établissements d’enseignement supérieur, les formations se déroulent en totalité ou partiellement à distance, en opposition avec les établissements classiques où tous les enseignements sont dispensés en présence (en face à face). En revanche, les universités ouvertes disposent des mêmes infrastructures (facultés, conseils…) et développent les mêmes missions (laboratoires de recherche, certifications) que les universités traditionnelles. On a pu constater une hybridation (mélange) progressive des moyens de formation utilisés. Cette hybridation affecte le mode (présence, distance), les supports (texte, vidéo, cassette, cédérom) et les moyens de distribution (courrier, télévision). En matière d’accompagnement, un glissement s’est opéré de la correction des devoirs à une approche hybride centrée sur les contenus mais aussi sur la prise en charge de l’apprenant, notamment par le biais du tutorat. Il est à noter que les médias ont été utilisés dans le domaine de l’EOAD au fur et à mesure de leur apparition. 3. L’apparition des TIC Dès 1958, les physiciens ont été parmi les premiers à utiliser l’ordinateur dans le cadre de l’enseignement. Les QCM sont également utilisés dans les facultés de médecine depuis longtemps. L’enseignement programmé et assisté par ordinateur s’est développé jusqu’au début des années 80. Toutefois, cette forme d’enseignement ne résolvait pas tous les problèmes et différentes techniques ont ensuite été mises en œuvre : - un modèle constructiviste de l’apprentissage avec une approche liée aux simulations, aux jeux d’entreprise ou aux systèmes de diagnostics ; - des logiciels spécifiques ; - des progiciels pour les apprentissages ; - l’intégration de l’information sur des supports de type cédérom. Avant l’apparition d’Internet, il y avait donc déjà une diversification des méthodes et des modes d’utilisation de l’informatique dans la formation. L’EOAD (Enseignement Ouvert et À Distance) est le mariage de l’enseignement ouvert et de l’enseignement à distance. En formation initiale, l’EAOD permet aux personnes qui ne peuvent être présentes physiquement aux cours de les suivre. Il faut noter le rôle croissant des TIC dans l’EOAD. Une bonne partie des ressources, des recherches et des expérimentations consacrées à l’EOAD s’effectue dans l’enseignement supérieur en raison de l’autonomie et de la motivation du public et du lien existant entre le monde professionnel et l’enseignement supérieur. Son évolution se traduit par une amélioration de la communication et par des évolutions qualitatives, étudiants et enseignants ayant désormais de nouveaux rôles. Une fois les cours diffusés sur Internet, le professeur peut se concentrer davantage sur l’animation, l’approfondissement des connaissances, etc. La FOAD (Formation Ouverte et À Distance) participe à la formation continue des adultes en répondant à différents besoins en matière de qualification professionnelle, de perfectionnement et d’accompagnement des évolutions professionnelles. Elle regroupe trois sortes de public : des personnes qui font une démarche individuelle, des grandes entreprises qui souhaitent créer des universités d’entreprise et des PME-PMI dont l’accès à la formation est limitée et pour lesquelles la FOAD constitue une solution intéressante pour des raisons organisationnelles et financières (réduction des déplacements et des frais qu’ils engendrent, pas de frais d’infrastructures). La FOAD intéresse ces différents publics par son ouverture : suivi de modules adaptés à leurs besoins spécifiques, méthodes pédagogiques valorisant l’expérience des stagiaires. Pour améliorer les compétences des salariés dans le domaine des TIC, il existe trois approches : la formation, l’aide sur le poste de travail ou l’adaptation des logiciels. On peut jouer sur l’une ou l’autre de celles-ci. La frontière entre elles est toutefois de plus en plus floue : la formation est une approche parmi d’autres. Selon le type de public, les avantages du type d'assistance choisi diffèrent. 4. Les TIC dans l’enseignement Autant, au XIXe siècle, savoir lire, écrire et compter étaient jugés nécessaires pour accéder à la vie d’une future société en quête de modernité, autant les TIC sont, actuellement, une compétence primordiale dans une société en mutation. Le défi est, pour ainsi dire, énorme pour l’école qui est considérée toujours comme un vecteur de connaissances à faire acquérir à l’apprenant pour mieux le préparer à son insertion sociale et professionnelle. Les technologies de l’information et de la communication mettent au service de l’éducation de nombreux outils que nous énumérons ci-dessus : • Des logiciels, pédagogiques ou non (didacticiels, bases de données, produits culturels, ludo-éducatifs (intégrant le jeu), parascolaires...). • Des sites ou des portails sur la Internet (information pour enseignants, sites pédagogiques, sites grand public, campus numériques...). • Des dispositifs de visioconférence. • Le courrier électronique (échanges individuels, listes de diffusion...). Les "chats" (dispositifs de bavardage, de "tchatche"), les forums de discussion, les MOOs et les univers virtuels. • Les plates-formes de "e-learning", mais aussi des logiciels de "laboratoires de langues multimédia", des logiciels ou systèmes-auteurs pour la création de matériaux pédagogiques (pour Internet, cédéroms, laboratoires de langues). PowerPoint (outil de présentation) Que se soit pour des présentations d’affaire, des rapports à montrer aux supérieurs, pour démontrer la progression d’un projet, d’un plan d’affaires, de conférences scientifiques ou autres, présenter est toujours l’une des expériences les plus stressantes de la vie. Vous voulez donner la meilleure présentation possible mais vous ne connaissez pas de logiciels de présentation. Ce cours vous aide non seulement à savoir utiliser PowerPoint, mais aussi à vous aider à préparer une présentation professionnelle. Ce que vous pouvez accomplir avec PowerPoint. Créer une présentation sur papier ou la présenter sur ordinateur. Organiser vos idées pour la présentation. Embellir votre présentation pour lui donner une allure « professionnelle ». Ajouter des graphiques, tableaux, organigrammes et autres objets pour améliorer la compréhension des idées que vous voulez présenter. Les 4 modes de présentation Pour vous aider à la création de votre présentation, PowerPoint sépare les fonctions du logiciel en 4 catégories ou 4 « modes ». Vous pouvez passer d’un mode à l’autre en utilisant les boutons que vous retrouvez au coin inférieur gauche de l’écran de PowerPoint ou en utilisant le menu Affichage et l’une des 4 premières options du menu. a. Le mode normal C’est une combinaison des anciens modes Diapositive et Plan. Il permet la création des pages ou des « diapositives » tout en voyant la structure de votre présentation. Vous pouvez changer tous les aspects des diapositives; tel que sa mise en page, les couleurs et la taille du texte, ajouter ou enlever des graphiques, des tableaux et d’autres éléments de présentation et plus encore. En mode plan, vous pouvez aussi ajouter le texte structuré qui composera votre présentation. Vous pouvez en tout temps changer l’ordre ou l’importance des idées. b. Le mode trieuse de diapositives Ce mode permet d’ajouter des effets de transition, pour le passage d’une diapositive à une autre, à votre présentation si vous songez la présenter en utilisant un ordinateur. Vous pouvez aussi chronométrer le temps que vous prenez pour donner votre présentation. Vous pourrez ainsi ajuster votre présentation selon le temps qui vous est alloué. c. Le mode diaporama Ce mode affiche votre présentation à l’écran de l’ordinateur. Même dans ce mode, vous avez accès à des options pour mieux présenter. d. Le mode page commentaire Ce mode permet de préparer un document supplémentaire qui inclut votre présentation. Vous pourrez ensuite le remettre à l’auditoire à titre de rappel de votre présentation ou pour l’aider à suivre votre présentation. e. Volet Office un des nouveaux éléments de cette version d’Office d Office est le volet Office. Il regroupe les L’un options des assistants ainsi que les options, ou propriétés, des objets placés dans votre présentation. Les assistants sont très pratiques pour insérer des éléments éléments plus complexes dans des documents. Mais ceux-ci ci avaient la fâcheuse habitude de se placer au milieu de l’écran l et de cacher le document sur lequel vous travailliez. Cette version d’Office d Office offre le volet Office qui se place à la droite de l’écran. écran. Ceci Ce libère le milieu de l’écran écran pour mieux voir l’impact l de vos changements sur le document. f. Aide sur PowerPoint Si vous avez des questions au sujet d’un bouton ou d’une icône qui apparaît à l’écran, appuyez sur les touches Ctrl et F1. Vous allez remarquer remarquer que le pointeur change de forme. Ensuite cliquez sur l’objet sur lequel vous voulez avoir plus d’informations. PowerPoint va ouvrir le menu d’aide en vous donnant une description de l’objet en question. Vous pouvez aussi utiliser l’aide (?) qui se retrouve retrouve sur la barre d’outils menu ou appuyez sur la touche F1. Une autre façon d’avoir de l’aide aide est de tapez votre question dans la case pour cet effet dans le coin supérieur droit de l’écran. écran. Plusieurs possibilités pour répondre à votre question devraient apparaître dans le volet Office. Vous pouvez aussi passer rapidement entre les trois premiers modes en appuyant sur l’un des boutons suivants qui se trouve dans le coin inférieur gauche de l’écran. En cas d’erreur, vous pouvez appuyer sur le l bouton Annuler pour annuler les dernières commandes que vous avez accomplies. Il y a aussi l’option Annuler dans le menu Édition. Utilisation d’Internet 1. Le World Wide Web (www) a. Internet, qu’est-ce ce que c’est ? Internet est un réseau de millions millio d’ordinateurs reliés entre eux par des lignes téléphoniques, qui permettent la libre circulation des données, des fichiers, des messages, des images, des sons… b. Petit historique Ce réseau est né en 1957. C’est le département Américain de la défense qui qu a conceptualisé et développé ce nouveau type de réseau d’ordinateurs qui pourrait fonctionner même en cas de défaillance de l’un de ses éléments. La fiabilité d’Internet repose sur deux principes : Le Paquet : le message envoyé est scindé en de nombreux morceaux qui transitent par des chemins différents vers leur destination finale, pour se reconstituer à l’arrivée. Le maillage ou la toile d’araignée : Dans le cas du schéma ci-dessous, ci dessous, si la connexion entre A et B est coupée, ils ne peuvent plus communiquer. niquer. A B Mais, dans le cas du principe du maillage, si la connexion entre A et B est coupée, ils peuvent continuer à communiquer, les messages transitant via C et D. A B ë C D En 1989, le Centre Européen de Recherche Nucléaire, invente le World Wide Wi Web (WWW), le système de consultation des documents stockés sur Internet. c. Le matériel nécessaire Un ordinateur Un modem interne ou externe Une ligne téléphonique Un Fournisseur d’Accès à Internet (FAI) Un navigateur : Netscape Navigator Navigator et Internet Explorer étant les plus fréquents. Une messagerie e-mail. mail. On la trouve intégrée dans les deux navigateurs précédents. 2. Surfer, ou comment découvrir le Web a. Les navigateurs Un navigateur est un programme qui permet d’accéder à Internet Internet et de visualiser les pages Web. Les plus utilisés sont Netscape Navigator et Internet Explorer. Quelques procédures : Pour accéder à un site quand on possède son adresse (URL) il suffit de taper, ou de copier/coller l’URL dans la zone d’adressage (11) et de valider en tapant sur la touche entrée du clavier. Lorsque vous découvrez un site intéressant sur lequel vous aimeriez revenir ultérieurement, vous pouvez archiver l’adresse du site dans votre navigateur en cliquant sur signets (Netscape) ou favoris favoris (Internet Explorer). Votre navigateur mémorise l’adresse sous le titre que vous choisissez et le range dans le dossier que vous souhaitez. Il est ensuite très simple en cliquant su r le titre de retourner sur le site désiré. b. Surfer avec Internet Explorer Explo Extrait du magazine Internet Pratique N°5 décembre 2000 P. 106 c. Surfer avec Netscape Navigator Extrait du magazine Internet Pratique N°5 décembre 2000 3. Rechercher sur le Web : a. Moteurs, méta-moteurs, moteurs, annuaires, et portails po : a.1 Moteur : Sites utilisant des « robots » qui parcourent le net, lisent les pages Web puis les indexent en fonction des mots qu’elles contiennent. Ces sites effectuent, à partir de vos mots clés, une recherche sur l’ensemble du contenu des pages indexées . La forme que va prendre votre requête a une grande incidence sur le résultat obtenu. En effet, le logiciel ne « comprend » pas la question. Il recherche si la chaîne de caractères demandée est présente ou non dans la page Web. Les logiciels de recherche identifient donc les documents qui répondent au critère de présence des mots demandés et selon la combinaison logique demandée (voir les opérateurs de logique booléenne en annexe). Remarque: une simple faute de frappe, une orthographe différente, un synonyme, un accent, peuvent faire toute la différence... a.2 Méta-Moteur Moteurs de recherche lançant votre requête sur plusieurs moteurs de recherche en même temps. Ils peuvent donc vous faire gagner un temps précieux si vos mots-clés ont été judicieusement définis. Annuaire : Sites proposant d’effectuer une recherche à partir d’une sorte de « gros catalogue ». Les sites y sont classés en catégories puis en sous catégories de plus en plus fines, et ce par intervention humaine. Portail : Site Web ne répertoriant que des sites de même thème. Exemple : le portail de l’Education, le portail des sports, le portail de l’informatique etc.…. b. La meilleure technique avec un moteur La recherche se fait en plusieurs étapes : b.1 Identifier le sujet Il vous faut identifier précisément ce que vous cherchez. Inscrivez votre question (Exemple : « Je cherche des histoires illustrées pour ma classe, et plus particulièrement sur l’écologie ») b.2 Traduire en mots clés : Il faut à présent traduire votre question en mots clés, en l’allégeant des mots superflus. Évitez les requêtes trop précises ou trop vagues, les articles, les verbes et les adjectifs qualificatifs. b.3 Précisez la recherche : En recherchant des synonymes vous allez ajouter de nouveaux mots clés à votre liste. b.4 Choisir un moteur ou un méta-moteur : Parmi la liste proposée en annexe, choisissez un moteur de recherche. Inscrivez son URL dans la zone d’adressage de votre navigateur. b.5 Taper votre requête : Vous pouvez le faire soit en utilisant : Un mot clé Plusieurs mots clés Plusieurs mots clés entre guillemets Plusieurs mots clés et des opérateurs de logique booléenne appropriés ( voir en annexe). b.6 Choisir un site : Regardez rapidement la description des sites proposés et effectuer une première sélection. Vous pouvez ensuite découvrir un des sites sélectionnés, en restant vigilant et critique quant aux informations trouvées. c. La meilleure technique avec un annuaire Dans un annuaire les recherches s’effectuent en cliquant de liens en liens et en passant ainsi de la catégorie principale à plusieurs sous- catégories hiérarchisées de la plus large à la plus précise. Exemple sur le site www.voilà.fr Catégorie : Sous catégorie 1 : Sous catégorie 2 : Sous catégorie 3 : Enseignement Enseignement primaire et secondaire Ecoles maternelles et primaires Alsace Et parmi les sites proposés vous pouvez visiter celui de l’école de Schirrhein….. 4. Petit Lexique : Voici un petit lexique des termes les plus couramment utilisés. @ Adresse électronique Annuaire Bookmark Carnet d’adresse Chargement d’un site E-mail FAI Fichier attaché gif HTML HTTP Internet Internet Protocole Symbole utilisé dans les adresses de courrier électronique pour séparer les références de l’utilisateur et du fournisseur. Il est appelé arobase, et se lit « AT ». Il est devenu le symbole de l’Internet. Permet de désigner un utilisateur pour qu’il puisse envoyer et recevoir des e-mails. Site qui référence et classe des sites. Mot anglais signifiant « marque page », désignant les sites que vous avez fait conserver à votre navigateur sous favoris ou signets. Dossier du logiciel de messagerie regroupant les adresses électroniques de vos interlocuteurs. Temps nécessaire à l’affichage de la page Web dans sa totalité sur votre écran. Messages électroniques circulant entre différents utilisateurs via Internet. Fournisseur d’Accès à Internet. Ou fichier joint. Ce sont les fichiers que vous envoyez en accompagnement de vos e-mails. Format d’image fixe ou animée. Hyper Text Mark-up Langage : le langage de programmation des pages Web. Protocole de transfert d’informations inventé pour le Web. Ensemble de réseaux interconnectés, utilisant le protocole IP. Ou IP : règles d’échange des données qui régissent la circulation de l’information sur Internet. JPEG Kit de connexion Lien Logiciel Modem Moteur de recherche MP3 Portail Réseau Site Web Télécharger Toile (d’araignée) URL Webmèstre WWW. Zone d’adresse Zone de recherche Format d’image compressé. Ensemble de logiciels généralement fournis par votre FAI et permettant de se connecter à Internet Liaison hypertexte entre deux pages Web ou deux sites. Sur de nombreuses pages Web les mots des liens sont soulignés et de couleurs bleue. Par ailleurs, lorsque vous passez dessus, le pointeur de votre souris se transforme en main. Programme ou application. Appareil interne ou externe à votre ordinateur et qui transforme des données analogiques en données numériques pour faire transiter ou recevoir des informations au moyen d’une ligne téléphonique. Site effectuant une recherche sur une partie ou l’ensemble du Web en fonction des mots-clés que vous lui avez proposés. Format de fichier de son Site Web proposant des liens vers de nombreux sites Web classés par thèmes. Ensemble d’ordinateurs reliés entre eux. Ensemble d’informations crées en HTML dans un but d’information, mis à distance librement sur le Web et pouvant être constitué d’une ou de plusieurs pages Web. Action de récupérer sur son disque dur un fichier (texte, image, son) situé sur un ordinateur distant. Ou maillage. Terme imagé employé pour désigner l’ensemble des connexions entre ordinateurs qui est la bas de l’organisation du Web. Adresse Internet d’un site Web De l’anglais Webmaster : la personne responsable d’un site Web. World Wide Web Fenêtre du navigateur, dans laquelle est inscrite l’adresse du site Web, en cours de chargement ou que vous êtes en train de visiter. En inscrivant une adresse dans cette zone en la tapant au clavier ou par copier/coller, et si vous êtes en connexion, vous pouvez atteindre directement le site Web souhaité. Fenêtre d’un moteur de recherche dans laquelle vous pouvez taper un ou plusieurs mots clés pour lancer une recherche de sites Web. 5. Liste des moteurs, annuaires et portails Moteurs http://fr.abacho.com/ http://www.eureka-fr.com/ http://janas.tiscalinet.fr/ http://web.caloga.com/ http://fr.altavista.com/ http://www.antisearch.net/ http://www.google.fr/ http://www.hotbot.lycos.fr/ http://www.lycos.fr/ http://www.maximini.net/ http://www.netscan.fr/ http://www.voila.fr/ Méta moteurs http://2loq.com/ http://debriefing.ixquick.com/ http://ixquick.com/fra/ http://mega.francite.com/fr/mega_fr.asp http://metamoteur.free.fr/ http://perso.infonie.fr/ponspuch/Sambafr.htm http://search.siw.ch/ http://www.absolumentoo.com/metasearch.htm http://www.123trouve.com/ http://www.800go.com/800go-fr.html http://www.akooe.com/akooe.php/index.html http://www.apocalx.com/ http://www.arbo.com/Search/ http://www.ariane6.com/ http://www.francoweb.com/ http://www.francoweb.com/ http://www.ithaki.net/indexf.htm http://www.kamus.it/usefr.htm http://www.kartoo.com/ (constellations) http://search.mapstan.net/ (plan) http://www.lbb.org/ http://www.metafrance.com/ http://www.supramoteur.com/recherche/ http://www.yoofind.com/ Annuaires http://guide.voila.fr/ http://search.msn.fr/ http://www.adminet.com/index_fr.html http://www.annuaire.org/ http://www.ctrouve.com/ http://www.dmoz.fr/ http://www.francite.com/ http://www.looksmart.fr/ http://www.lycos.fr/dir/ http://www.nomade.tiscali.fr/ http://www.recherche.aol.fr/ http://www.sharelook.fr/ http://fr.yahoo.com/ Portails Education et enseignement http://www.educavie.francetelecom.com/ http://www.wanadoo-edu.com/ http://isef.ntic.org/ Educavie: éducation anciennement Le portail des TIC Wanadoo http://www.letotem.com/ http://www.educasites.com/ http://www.educasource.education.fr/ http://www.pedagonet.com/ext/ http://www.planete-education.fr.st/ L’annuaire des sites éducatifs Portail de l’éducatif et de l’éducation Des ressources l’enseignement électroniques pour Centre de ressources pédagogiques Les applications d’Internet pédagogiques 6. Astuces et opérateurs booléens : Les opérateurs booléens doivent être écrits en lettres majuscules. Ils peuvent être combinés aux parenthèses utilisées comme en mathématique et ils sont cumulables. Deux mots séparés par un La recherche va s’effectuer sur les pages contenant l’un ou intervalle l’autre des mots. Ensemble des sites contenant les deux mots. + +poèmes+chants Sert à exclure ce que vous ne désirez pas trouver dans le réponse. +sports-natation (des sports mais pas la natation) A utiliser lorsque vous recherchez un groupe de mots. « » (expression, citation, phrase, paragraphe) Si vous tapez fruits, vous obtiendrez les pages contenant fruits, et Fruits. Majuscules ou minuscules Mais si vous tapez Fruits, vous n’obtiendrez que les pages contenant Fruits. A insérer entre vos mots clés pour que le navigateur recherche AND les documents contenant l’ensemble des mots clés. Lorsque vos mots clés sont des termes synonymes pour que le OR moteur cherche des textes contenant l’un ou l’autre terme Il permet d’être sûr que le document va contenir tous les termes NEAR demandés et que ces termes vont être à proximité les uns des autres. A placer avant un terme de votre requête que vous voulez exclure NOT de la recherche : AND NOT Des poèmes mais pas ceux de Verlaine : poèmes AND NOT Verlaine 7. Récupérer des documents sur Internet : Pour ce faire vous pouvez : Imprimer le document. (Avec la possibilité d’utiliser l’intéressante fonction « aperçu avant impression » avec le navigateur Internet Explorer 6. ) Sélectionner un texte ou une partie de texte, puis faire un Copier/coller dans Word (ou dans le bloc-notes). 8. Enregistrer une page Web : Clic droit sur la page et « enregistrez sous ». Vous pouvez alors enregistrer la page Web sur votre disque dur, et dans le dossier de votre choix. 9. Enregistrer une image : Pour enregistrer une image : clic droit sur l’image, puis « enregistrer l’image ». Vous pouvez alors archiver l’image sur votre disque dur, dans le dossier de votre choix. Ressources libres (Open Source) La désignation Open Source (source ouverte en français) s’applique aux logiciels dont la licence respecte des critères précisément établis par l’Open Source Initiative, c’est-à-dire la possibilité de libre redistribution, d’accès au code source, et de travaux dérivés. On qualifie souvent un logiciel libre d’Open Source, car les licences compatibles Open Source englobent les licences libres selon la définition de la FSF. Le terme Open Source est en concurrence avec le terme Free Software recommandé par la FSF. Le terme Freeware (graticiel) désigne des logiciels gratuits qui ne sont ni nécessairement ouverts, ni libres. L’« Open Source » implique plus que la simple diffusion du code source. La licence d’un programme « open-source » doit correspondre aux critères suivants : 1. Libre redistribution. La licence ne doit pas empêcher de vendre ou de donner le logiciel en tant que composant d’une distribution d’un ensemble contenant des programmes de diverses origines. La licence ne doit pas exiger que cette vente soit soumise à l’acquittement de droits d’auteur ou de royalties. 2. Code source. Le programme doit inclure le code source, et la distribution sous forme de code source comme sous forme compilée doit être autorisée. Quand une forme d’un produit n’est pas distribuée avec le code source correspondant, il doit exister un moyen clairement indiqué de télécharger le code source, depuis l’Internet, sans frais supplémentaires. Le code source est la forme la plus adéquate pour qu’un programmeur modifie le programme. Il n’est pas autorisé de proposer un code source rendu difficile à comprendre. Il n’est pas autorisé de proposer des formes intermédiaires, comme ce qu’engendre un préprocesseur ou un traducteur automatique. 3. Travaux dérivés. La licence doit autoriser les modifications et les travaux dérivés, et leur distribution sous les mêmes conditions que celles qu’autorise la licence du programme original. 4. Intégrité du code source de l’auteur. La licence ne peut restreindre la redistribution du code source sous forme modifiée que si elle autorise la distribution de fichiers « patch » aux côtés du code source dans le but de modifier le programme au moment de la construction. La licence doit explicitement permettre la distribution de logiciel construit à partir du code source modifié. La licence peut exiger que les travaux dérivés portent un nom différent ou un numéro de version distinct de ceux du logiciel original. 5. Pas de discrimination entre les personnes ou les groupes. La licence ne doit opérer aucune discrimination à l’encontre de personnes ou de groupes de personnes. 6. Pas de discrimination entre les domaines d’application. La licence ne doit pas limiter le champ d’application du programme. Par exemple, elle ne doit pas interdire l’utilisation du programme pour faire des affaires ou dans le cadre de la recherche génétique. 7. Distribution de la licence. Les droits attachés au programme doivent s’appliquer à tous ceux à qui le programme est redistribué sans que ces parties ne doivent remplir les conditions d’une licence supplémentaire. 8. La licence ne doit pas être spécifique à un produit. Les droits attachés au programme ne doivent pas dépendre du fait que le programme fait partie d’une distribution logicielle spécifique. Si le programme est extrait de cette distribution et utilisé ou distribué selon les conditions de la licence du programme, toutes les parties auxquelles le programme est redistribué doivent bénéficier des droits accordés lorsque le programme est au sein de la distribution originale de logiciels. 9. La licence ne doit pas contaminer d’autres logiciels. La licence ne doit pas apposer de restrictions sur d’autres logiciels distribués avec le programme qu’elle couvre. Par exemple, la licence ne doit pas exiger que tous les programmes distribués grâce au même médium soient des logiciels « open-source ». 10. Exemples de licences. Les licences suivantes sont des exemples de licences que nous considérons conformes à la définition de l’« Open Source » : GNU GPL, BSD, X Consortium, et Artistic. C’est aussi le cas de la MPL. Glossaire Voici un glossaire de mots les plus fréquemment utilisés dans le domaine des TIC. Durant tout le cours nous ferons appel à ces termes. Asynchrone Se dit de processus qui ne se déroulent pas au même moment. Par exemple, les différents individus qui coopèrent à l'édition d'un texte peuvent le faire au fur et à mesure de leurs disponibilité et corriger, modifier, abonder le document de manière non simultanée. Synonyme : en temps différé Avatar Incarnation virtuelle à travers laquelle un individu réel, utilisateur d'un espace de travail, de jeux ou d'apprentissage désire se présenter à la communauté des autres utilisateurs. Selon les fonctionnalités offertes par la plate forme on s'incarne dans une image, une photographie, un objet 3D (forme plus ou moins humaine) Lorsque les avatars sont prescrits, on le choisit dans une liste pré-établie, ce qui limite les possibilités et amène des sitations où différents utilisateurs possèdent la même incarnation. Pour des raisons psychologiques il semble primordial de pouvoir à minima personnaliser son avatar, sinon le choisir et le modeler, l'habiller et en faire une création traduisant sa personnalité. Awareness Anglais : /aouarnèss/ Littéralement : la "conscience L'"awareness" c'est la connaissance de l'autre, dans l'espace et le remps, à travers les signaux qu'il génère en interagissant dans un environnement. Dans le cas d'une collaboration à distance, cet environnement est virtuel et la connaissance de l'autre n'est pas aussi immédiate que dans un environnement réel. La perception de ces signaux permet de déduire les intentions de l'autre, et les partenaires peuvent ainsi adapter et planifier leurs comportements en fonction de ce qu'ils savent réciproquement l'un de l'autre. L'awareness n'est pas un but en soi mais il participe à la résolution d'une tâche commune. Chat Anglais : /tchat/ Littéralement « bavardage ». Désigne les systèmes permettant de discuter de manière synchrone avec quelqu'un sur un réseau comme l'Internet. Synonyme : Causerie Collecticiel Classe de logiciels permettant le travail en groupe à l'intérieur d'un réseau de télécommunications : Information réciproque, organisation du travail, rédaction et échange de documents, prise de décision. Classe de logiciels prévus pour être exploités par plusieurs utilisateurs en même temps, sur un même projet - logiciel de travail en groupe. Façon de travailler, basée sur les relations entre les membres d'un groupe (reliés par un réseau). Ensemble des techniques et des méthodes qui contribuent à la réalisation d'un objectif commun à plusieurs acteurs séparés ou réunis par l'espace et le temps à l'aide de tout dispositif interactif faisant appel à l'informatique, aux télécommunications et aux méthodes de conduite de groupe. Syn. jamais employé : Synergiciel (BO (Bulletin Officiel)). CSCW Anglais: "Computer supported collaborative work" Français : "Travail Collaboratif Assité par Ordinateur". On trouve indifféremment "Coopératif" et "Collaboratif" CSCL Anglais : "Computer supported collaborative learning" Forum Outil de communication asynchrone qui permet des discussions filaires. Les messages correspondant aux différents échanges sont localisés sur un serveur. Ils sont disposés selon un fil conducteur permettant de les retrouver soit chronologiquement, soit par ordre alphabetique des sujets, soit, plus souvent, selon les réponses données à un message initial. Les réponses sont alors présentées légèrement décalées par rapport un message initial. Il peut y avoir un message de réponse à une réponse. etc... Groupware Anglais : /group-ouaiyr/ voir Collecticiel HCI Anglais : "Human Computer Interface" voir IHM IHM Interface Homme Machine (anglo-saxon : HCI) Les travaux dans ce domaine tendent à améliorer l'interaction entre l'homme et la machine. La psychologie cognitive et l'ergonomie permettent de mieux adapter les systèmes informatiques à leurs utilisateurs (aide à l'apprentissage, assistance à la conduite d'installations, postes de pilotage). L'intelligence artificielle joue aujourd'hui un rôle central dans ce domaine. Exemple historique : L'interface graphique du Macinthosh, fondée sur une métaphore de "bureau", fut une des premières tentatives pour mettre naturellement les données à la portée de l'utilisateur. IRC Anglais : Internet Relay Chat. Serveur permettant de dialoguer en direct avec plusieurs personnes (en s'envoyant des chaînes de caractères sur des « channels » thématiques). kbps kilobits par seconde. Unité de vitesse de transfert des informations Netmeeting Ce logiciel vous permet, grâce à un serveur d'annuaire, d'appeler ou d'être appelé par tous. Vous pouvez également faire de la vidéoconférence avec votre correspondant, si vous êtes équipé d'une caméra de type Webcam Noir et Blanc ou Couleur. Newsgroup Groupe de discussions sur internet, sorte de forum permettant d'échanger des informations sur un thème précis. Réseauté Adjectif, indique qu'un ordinateur est relié à un réseau RNIS Réseau Numérique à Intégration de Services. Réseau permettant de transporter à la fois de la voix, des images, des données, à l'aide d'un téléphone. Exemple chez France Télécom : Numéris. Synchrone Se dit d'un processus qui se déroule au même moment, en même temps (en parlant de travail, d'apprentissage ou de communication). Contraire : asynchrone. Exemple : Le chat est un moyen de communication synchrone Téléchargement Possibilité de faire transiter des fichiers entre deux ordinateurs par l'intermédiaire du réseau . On distingue le téléchargement vers le bas - du serveur vers le poste de travail (anglais : download), de celui vers le haut - du poste de travail vers le serveur - (anglais : upload) Téléconférence Réunion de travail ou échange réalisé en temps réel sur un réseau informatique, entre des individus pouvant être à une très grande distance les uns des autres. URL Uniform Resource Locator. Adresse pour accéder à un document distant. Exemples : http://nom-de l'hote.nom-du-domaine.fr/mon-site/index.html/ ftp://machine.domaine.edu/pub/logiciel/ Vidéoconférence Téléconférence incorporant des images vidéographiques, en continu ou ponctuelles, selon un certain ratio par seconde ou par minute. Nous décrirons par vidéoconférence tous les systèmes de transmission y compris en utilisant un satellite. Réunion de personnes par l'intermédiaire d'un réseau, lors de laquelle on s'échange du texte mais surtout des images animées des participants ainsi que leurs voix. Visioconférence est un terme surtout utilisé par France Télécom. Visioconférence Un système de communication réunissant plusieurs médias. Ceux-ci sont utilisés soient simultanément, soient séparément. Les différentes applications de visioconférence utilisent un ou plusieurs médias tels que le son, l'image et le texte. Nous réservons le terme visioconférence au dispositif utilisant exclusivement la transmission RNIS. Webcam Anglais : /ouebcam/ Caméra reliée au réseau et permettant d'observer le monde en temps réel, tout comme avec une caméra de télésurveillance, sauf que là, tout se passe en public, sur l'Internet. Synonymes : netcam, spycam. Sitographie 1. http://www.edu.ge.ch/CPTIC/integration/tic-dip.html 2. http://eduscol.education.fr/D0126/acte_foad2.htm 3. http://netasp.1i2c.net/tic.htm 4. http://didatic.net/article.php3?id_article=16
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