Dossier de presse

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Responsable presse et relations médias: Adrian Stiefel
Attachées de presse: Dominique Saudan, Sophie Eigenmann,
Katia Gandolfi & Caroline Corminboeuf
CINEMA TOUT ECRAN
Festival International du Film et de la Télévision
Maison des Arts du Grütli – 16, rue Général Dufour
Case Postale 5759 – 1211 Genève 11 – Suisse
Tél: +41 (0)22 809 69 04
Fax: +41 (0)22 329 37 47
Email: [email protected]
www.cinema-tout-ecran.ch
CINEMA TOUT ECRAN - FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM ET DE LA TELEVISION
Sommaire - Dossier de presse Cinéma Tout Ecran 2007
1. Éditorial
2
2. Communiqué de presse
3
3. Compétition Internationale
5
4. International Series
9
5. Collections & Long Dramas
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6. Regards d’aujourd’hui
14
7. Courts-métrages
17
8. Concours Cinéma Tout Mobile
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9. Jury International
22
10. Jurys des autres sections
23
11. Les Reflets d’Or
24
12. Grand Prix Swissperform du meilleur film de télévision suisse
25
13. Grand cinéaste sur petit écran : Michael Mann
26
14. Avant-premières
27
15. Le programme jeunesse avec la Lanterne Magique
28
16. Les colloques internationaux
29
17. Work in Progress
31
18. Geneva Select Market
32
19. ARTE & TCM
33
20. Informations pratiques
34
21. Organisation du Festival
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22. Partenaires du Festival
40
Cinéma Tout Ecran 2007 – Tél.+41 22 809 69 04 – Fax. +41 22 329 37 47 – www.cinema-tout-ecran.ch
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1. ÉDITORIAL
Le Vertige des écrans pluriels
Après avoir fait œuvre de pionnier en matière de promotion de films de télévision et de séries devenues
phénomène de société, Cinéma Tout Ecran porte désormais un regard privilégié sur la multiplicité des
écrans, créateurs d’imaginaire. Il s’agit sans conteste de débusquer les talents partout où ils émergent.
Avec les technologies de pointe, l’image est en révolution. Les jeunes générations se sont emparées sans
complexe de ces nouveaux outils de l’image - caméras numériques, téléphones mobiles et Internet –
comme source d’inventivité. Il nous paraît primordial de briser les frontières de l’inertie et d’ouvrir la voie à
un potentiel vertigineux. L’avenir de la création cinématographique passe par là : avancer ensemble avec
tous les écrans !
Le Festival International du Film et de la Télévision Cinéma Tout Ecran se veut donc un espace de
rencontre entre télévision, cinéma et nouveaux écrans, un panorama de la fiction contemporaine à
l’échelle internationale, avec pour devise la qualité artistique de l’œuvre. Cette démarche audacieuse
n’est pas sans risque puisque nous venons d’être pénalisés par la direction du cinéma de l’OFC qui a
décidé de privilégier les festivals de cinéma au détriment de Cinéma Tout Ecran le seul festival de
télévision en Suisse. Cette position est erronée et va à l’encontre d’une vision moderne du
développement de la culture audiovisuelle qui passe par le rapprochement des deux champs de création,
le cinéma et la télévision. Le décloisonnement, voilà l’objectif de Cinéma Tout Ecran.
Et cela à l’instar de certains cinéastes tels qu’Ursula Meier, Pascale Ferran ou Michael Mann qui passent
sans retenue d’un écran à l’autre - l’essentiel étant d’exprimer leur sensibilité artistique sans qu’aucune
frontière ne résiste à leur talent. Sur un plan purement économique, chacun sait qu’un film de cinéma ne
peut se produire sans l’apport financier de la télévision. De ce fait, il nous paraît primordial que le cinéma
collabore étroitement avec la télévision plutôt que de s’en éloigner.
Cette démarche a été bien comprise par Bruxelles puisque Cinéma Tout Ecran est le premier et le seul
festival de fiction en Suisse à bénéficier d’un soutien du programme MEDIA de l’Union Européenne.
Malgré les obstacles, Cinéma Tout Ecran compte relever le défi avec toujours davantage de succès
auprès du public et des professionnels, et contribuer à assurer la richesse et la diversité de l’offre des
films en Suisse en privilégiant, dans sa programmation, le film sur tous les supports de diffusion.
Leo Kaneman
Directeur Général
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COMMUNIQUE DE PRESSE – OCTOBRE 2007
Cinéma Tout Ecran innove, se transforme, accentue la pertinence de son regard et l’impertinence
de sa démarche. Pionnier en matière de promotion de films de télévision et de séries devenues
cultes, le Festival est maintenant une plateforme privilégiée de rencontre entre télévision, cinéma
e
et nouveaux écrans au niveau international. Pour sa 13 édition, il propose 15 longs-métrages en
Compétition Internationale et 10 en Regards d’Aujourd’hui. Ce tour du monde des cinémas nous
plonge, sans fioriture, au cœur de la réalité, de la beauté et de la misère humaine. Les 16 séries
présentées ne sont pas en reste. Entre humour, sarcasmes, faits-divers, intrigues policières et
cohabitation religieuse, elles témoignent de l’immense panel qu’on devrait découvrir
prochainement sur le petit écran. Sans oublier, une centaine de courts-métrages, des colloques,
des évènements spéciaux, autant de façon de questionner le format et de fêter les multiples
écrans.
Cinéma Tout Ecran vient d’être sélectionné par la prestigieuse revue Variety et apparaît dans les
cinquante meilleurs festivals de films au monde parmi 1'000 manifestations cinématographiques
internationales.
SÉLECTION OFFICIELLE
Le Jury International est constitué du célèbre directeur de la photographie tessinois, Renato Berta
(César pour Au revoir les enfants), de l’auteur cubaine Zoé Valdés (La douleur du dollar), de la
comédienne française Leila Bekhti (Pour l’amour de Dieu, Cinéma Tout Ecran 2006), du critique
cinématographique et réalisateur français Thierry Jousse (Les invisibles) et de l’acteur suisse Gilles
Tschudi (Grounding : Die letzten Tage der Swissair).
La Compétition Internationale est composée de longs-métrages produits tant pour la télévision que pour
le cinéma. Cette année, la sélection offre une programmation multiculturelle d’indéniable qualité artistique
avec, entre autres, le polémique The Mark of Cain de Marc Munden (Grande-Bretagne) qui revient sur
l’implication anglaise en Irak, une première œuvre de l’allemande Pia Marais, Die Unerzogenen, avec
Birol Ünel, ou encore avec une touche de poésie dans La Pluie des prunes du français Frédéric Fisbach
avec Gilbert Melki et Adriana Asti (production ARTE). Le film danois Under for Kaerligheden de Daniel
Espinosa, qui dépeint avec beaucoup de sensibilité la difficile coexistence de cultures différentes, et
l’oeuvre singulière de Don Askarian Ararat - 14 Tesaran (Arménie/Pays-Bas/Allemagne), témoignent
également de l’internationalité de la compétition.
La Compétition International Series, Collections & Long Dramas a conquis aussi bien le grand public
que la critique, avec des premières mondiales et internationales telles que 24 Heures Chrono, My Name
e
is Earl et Shark (USA). Pour sa 13 édition, Cinéma Tout Ecran propose en première internationale Bionic
Woman, remake de la série culte des années 70 produit par NBC Universal, Damages, avec Glenn Close,
produit par Sony Pictures Television International et Love you to Death, série canadienne avec John
Waters. L’Europe n’est pas en reste, avec notamment la mini-série française réalisée par le belge Lucas
Belvaux, Les prédateurs avec Nicole Garcia, œuvre explosive qui revisite l’affaire Elf.
Regards d’aujourd’hui présente des longs-métrages étroitement liés aux réalités du monde d’aujourd’hui
avec Kain no Matsuei (Japon) de Shutaro Oku, Mutum (Brésil) de Sandra Kogut, sans oublier l’Europe
avec la satire anglaise The Trial of Tony Blair de Simon Cellan Jones ou l’Iran avec l’étonnant Otobus-e
Shab de Kiumars Pourahmad.
La Sélection Internationale de Courts-Métrages est une fois de plus doublée par l’incontournable Nuit
du Court au Cinéma Titanium. Des courts-métrages suisses comme Le créneau de Frédéric Mermoud,
avec Hippolyte Girardot et Emmanuelle Devos, Einspruch V de Rolando Colla, La morsure du citron de
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Jean-François Amiguet y côtoient des inédits russes, tchèques ou encore brésiliens. À mentionner, un
programme spécial dédié au Québec et, en ouverture, le court-métrage Dans la peau de Zoltán Horvath.
Grand Cinéaste sur Petit Écran : après David Cronenberg, Atom Egoyan ou Ken Loach, le réalisateur,
producteur et scénariste américain Michael Mann est cette fois-ci à l’honneur. Des téléfilms inédits et des
épisodes de séries mythiques comme Starsky & Hutch ou Miami Vice font partie de cet hommage.
UNE PLATEFORME PROFESSIONNELLE
Cinéma Tout Ecran organise des colloques internationaux, des tables rondes et des lieux d'échanges
pour les professionnels de l’audiovisuel. Cette année, deux colloques sont proposés: Les séries, nouvel
eldorado de la création audiovisuelle ? et Produire et consommer de la fiction à l’époque d’Internet, lequel
sera complété par un programme novateur de films autoproduits.
Dans le cadre des échanges interprofessionnels, le Work in Progress, en partenariat avec l’Office
Fédéral de la Culture, Fonction Cinéma et Swiss Films, constitue un workshop unique destiné à
encourager des producteurs et distributeurs internationaux à s’engager dans des projets suisses.
Le Geneva Select Market, marché international du film et de la télévision organisé en collaboration avec
Swiss Films, est un rendez-vous incontournable pour la promotion de la fiction suisse et internationale. Le
Geneva Select Market propose dorénavant un service de vidéo on demand numérisé. Cela a été rendu
possible grâce au support technologique apporté par Bluewin, partenaire officiel de la 13ème édition de
Cinéma Tout Ecran.
PROGRAMME JEUNE ET ÉVÈNEMENTS SPÉCIAUX
Cinéma Tout Ecran, en association avec La Lanterne Magique, propose un Programme Jeunes,
composé de projections et ateliers, afin de sensibiliser les enfants et les adolescents à l’image et leur
donner les moyens d’exercer leur regard critique. Dans ce contexte, le Festival présente, hors compétition
et en première mondiale, la série événement Heidi (coproduite par la TSR) avec Elodie Bollée, Carlos
Leal et Cindy Santos.
Pour la première fois, le Festival, en partenariat avec Freestudios et Base-court, inaugure le concours
inédit de films pour téléphonie mobile Cinéma Tout Mobile. Les internautes peuvent voter pour leurs
films préférés sur le site www.cinematoutmobile.ch et les 15 films plébiscités participeront ensuite à la
grande finale du vendredi 2 novembre au Cinéma Titanium.
Autre grand concours, le Prix Swissperform récompense la meilleure œuvre télévisuelle suisse parmi
douze productions.
Enfin, des Avant-Premières sont au rendez-vous. Cette année, c’est au tour notamment du dernier film
de David Cronenberg, Eastern Promises, avec Viggo Mortensen, Naomi Watts et Vincent Cassel.
CINEMA TOUT ECRAN est le premier festival de fiction en Suisse à bénéficier d’un soutien du Programme MEDIA de l’Union
Européenne. Ce soutien vient renforcer la place de la Suisse sur la scène cinématographique européenne.
Partenaires Officiels : Bluewin, Ville de Genève, Etat de Genève, Office Fédéral de la Culture, la Loterie Romande, SRG SSR idée
suisse, la TSR, Programme MEDIA, TV5, ARTE, la Tribune de Genève, Manotel Hotel Group Geneva, Fonction:Cinéma,
Swissperform, Swiss Films, Aéroport International de Genève
Partenaires Média : France Culture, Ecran Total, Euronews, Léman Bleu, Radio Lac, Rouge FM
Direction du Festival : Léo Kaneman, Jasmin Basic, Celya Reverdin
Responsable Presse :
Adrian Stiefel, [email protected]
Attachées de presse :
Dominique Saudan, [email protected]
Sophie Eigenmann, [email protected]
Katia Gandolfi, [email protected]
Caroline Corminboeuf, [email protected]
Administrateur général : Jeffrey Hodgson
Maison des Arts du Grütli
16, rue du Général Dufour
Case Postale 5759
CH – 1211 Genève 11
Tel : +41 (0)22 809 69 04
Fax : +41 (0)22 329 37 47
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3. COMPETITION INTERNATIONALE
ARARAT-14 TESARAN (ARARAT – FOURTEEN VIEWS)
de Don Askarian, Arménie/Pays-Bas/Allemagne, DON film, 2007, 74’
avec Mikael Vatiyan, Artak Poghosyan, Sergei Tovmasyan
À travers ses quatorze points de vue, Don Askarian étudie le mont Ararat et dessine une nouvelle réalité.
Proche de la magie, il se dérobe à l’espace-temps et déplace une intrigue qui prend la tournure d’une
errance ou d’une fuite. Au fur et à mesure, le regard du réalisateur devient une vision, celle d’un cinéma
arménien puissant, hypnotique et d’une grande richesse.
Don Askarian est né en Arménie en 1949. Il étudie l’histoire de l’art à Moscou et travaille en tant
qu’assistant-réalisateur et critique de film jusqu’à son arrestation en 1975. En 1978, il émigre à Berlin où il
vit et travaille depuis.
BOLDOG UJ ELET (HAPPY NEW LIFE)
d’Arpàd Bogdàn, Hongrie, Laokoon Film-C/O Magyar Filmuniò, 2006, 80’
avec Lajos Orsòn, Michaela Göczi, Zsolt Koàks
Attila erre dans une ville anonyme, rêve dans un appartement vide, voyage dans sa tête. Par-dessus tout,
cet ex-pupille de l’état aimerait savoir qui étaient ses vrais parents. Le réalisateur livre les renseignements
au compte-gouttes, via une architecture fragile qui trouve son équilibre dans un entrelacs de flashes-back
fulgurants. Une œuvre à l’esthétique à la mesure de la souffrance du héros.
Né en 1976 à Nagykanizsa (Hongrie), Arpàd Bogdàn étudie la romologie et la pédagogie avant de
travailler au théâtre comme acteur et metteur en scène. Il a réalisé des courts-métrages et Happy New
Life est son premier long-métrage.
CUANDO ME TOQUE A MI (MY TIME WILL COME)
de Victor Arregui, Equateur, CMTAM Producciones, 2007, 92’
avec Manuel Calisto, Juan Martin Cueva, Anita Miranda
À Quito, en Equateur, la société est régie par la loi du plus fort. Un enfant a un accident. Un conducteur
de taxi disparaît tandis qu’un jeune homme arrivé de la côte se fait tuer. Les protagonistes se croisent à la
morgue suite à ces évènements tragiques. Parfois, une communication s’installe. A l’extérieur, le désordre
et la mafia colombienne règnent. Une peinture implacable et rare de la société de Quito.
Né en Equateur, Victor Arregui a réalisé en 2003 son premier long-métrage de fiction, Fuera de juego,
primé au Festival de San Sebastian. Il a travaillé également en tant que directeur de la photographie et
photographe pour l’UNICEF.
DEN MAN ÄLSKAR (TO LOVE SOMEONE)
de Ake Sandgren, Suède, Nordisk Film Production, 2007, 92’
avec Sofia Ledarp, Jonas Karlsson, Rolf Lassgärd
La belle Lena vit une existence paisible avec Alf, un homme plus âgé qu’elle. Pourtant, elle est victime de
malaises car elle sait que son ex-mari sort de prison, où il a été enfermé pour violence conjugale. Lena se
met à guetter sa présence en ville. Un film d’une grande tension sur la dépendance de l’amour, entre le
documentaire et le mélodrame.
Né à Umea en Suède, Ake Sandgren étudie le cinéma et la philosophie à l’Université de Stockholm puis à
la Danish Film School. Il a réalisé des courts et longs-métrages et des films « dogma » comme Truly
Human (2001).
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DIE UNERZOGENEN (THE UNPOLISHED)
de Pia Marais, Allemagne, Pandora Film, 2006, 95’
avec Céci Chuh, Birol Ünel, Pascale Schiller
Stevie n’est pas une adolescente comme les autres. Elle surfe sur le chaos indescriptible créé par ses
parents, dealers ratés qui voguent de plan foireux en plan foireux, et puise sa force dans une imagination
débordante. Si seulement elle pouvait aller à l’école, avoir un domicile fixe et se faire des amis… Un film
sans complaisance et des personnages d’une grande justesse.
Pia Marais est née à Johannesburg en Afrique du Sud et a étudié la sculpture et la photographie à
Londres, Amsterdam, puis le cinéma à Berlin. Pour ce premier long-métrage, elle s’inspire de sa propre
enfance et de l’éducation chaotique qu’elle a reçue de ses parents hippies.
FRANZ + POLINA
de Mikhaïl Segal, Russie, Ugra Film, 2006, 120’
avec Adrian Topol, Svetlana Ivanova, Andrei Merzlikin
Biélorussie, 1943. Les détachements de SS occupent les villages des steppes et pourchassent les
partisans. Franz, jeune soldat, ne prend pas trop sa mission à cœur. Il est amoureux de Polina, une belle
et innocente fermière. Le réalisateur allie le sens de l’image d’une Leni Riefenstahl aux mouvements de
caméra d’un Mikhaïl Kalatozov, pour une belle histoire, celle de ce « Roméo et Juliette de la toundra ».
Né en Russie en 1974, Mikhaïl Segal suit un cursus de mise en scène théâtrale aux Beaux-Arts d'Oryol,
puis étudie à l'Institut National de cinématographie (VGIK). Avec ce premier long-métrage, il a remporté
plusieurs prix, notamment au Festival de littérature et cinéma de Gatchina (2007).
LA PLUIE DES PRUNES (PLUM RAIN)
de Frédéric Fisbach, France, Arte, 2007, 84’
avec Gilbert Melki, Adriana Asti, Marie Riva
François, un écrivain français, est invité à Tokyo par une troupe qui monte un de ses textes. Dans ses
bagages, il a emmené Tina, sa grand-mère qui, suite à une attaque cérébrale, ne prononce plus un mot
cohérent. Elle sera le détonateur qui sortira François de sa torpeur. Un périple à l’autre bout du monde qui
met le spectateur sans dessus dessous.
Frédéric Fisbach est né en France en 1966. Il a étudié au Conservatoire National Supérieur d’Art
Dramatique. À la fois comédien, metteur en scène et réalisateur, il sera codirecteur du lieu culturel « 104 »
qui ouvrira en 2008 à Paris.
LOW WINTER SUN
PREMIERE INTERNATIONALE
de Adrian Shergold, Grande-Bretagne/Etats-Unis, BBC worldwide limited, 2006, 120’
avec Mark Strong, Brian McCardie, Neve Mackintosh
Ambiance poisseuse, flics corrompus, flics honnêtes qui semblent avoir commis le crime parfait et qui se
retrouvent au centre d’une enquête des plus glauques, dans un Edimbourg nocturne où même Dieu ne
reconnaît plus les siens. Une œuvre sombre, violente, crue et terriblement captivante.
Réalisateur, acteur et scénariste britannique, Adrian Shergold a commencé sa carrière en tant que
directeur artistique au Soho Poly Theatre. Il a réalisé de nombreux films, autant pour la télévision que le
cinéma, notamment Will You Love Me Tomorrow (1987) et Dirty Filthy Love (2004).
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MAMAN EST FOLLE
de Jean-Pierre Améris, France, Escazal films, 2007, 90’
avec Isabelle Carré, Marc Citti, Nazmir Kirik
«Vous ne trouvez-pas qu’on s’emmerde ?» Elle est comme ça Sylvie. Elle dit tout ce qu’elle pense, sans
réfléchir. Et lorsqu’elle rencontre Jallal, elle découvre la misère des immigrés clandestins. Jean-Pierre
Améris démonte habilement la politique de fermeté du gouvernement Sarkozy, en se concentrant sur le
quotidien des bénévoles qui s’activent dans l’ombre pour venir en aide aux clandestins.
Diplômé de l’IDHEC, Jean-Pierre Améris est né à Lyon en 1961. Les Aveux de l'innocent a été primé
plusieurs fois au Festival de Cannes en 1996 et Mauvaises fréquentations à San Sebastian en 1998.
MENG NA LI SHA (MONA LISA)
de Ying Li, Chine/Japon, Dragon Films inc., 2007, 110’
avec Xiu Xiu, Ah Qiong
Atteinte d’une tumeur au cerveau, la grand-mère de Ah Qiong est en phase terminale. Elle aimerait bien
que la mère de Ah Qiong, qui est en prison, bénéficie d’une permission exceptionnelle pour la voir une
dernière fois. Mais les choses ne sont pas simples dans cette famille et dans la province du Fujan, loin de
tout. On découvre au générique de fin que les acteurs jouent leur propre rôle.
Né en 1963, Li Ying débute en réalisant des films documentaires. Il part au Japon en 1989 pour des
recherches en anthropologie visuelle. Son premier long-métrage 2H (1998), primé aux Berlinales et au
Hong Kong Film Festival, a été le premier film chinois tourné au Japon.
RAVAGES
de Christophe Lamotte, France, Arte, 2006, 95’
avec Laurie Lefret, Marie Kremer, Iris Vincent
Deux adolescentes échangent un dernier sourire tendu avant de franchir la porte d’une supérette et d’en
braquer la caisse. Trois plans plus tard, l’une d’elles se retrouve dans un centre aéré de rééducation,
l’ultime pause avant la case prison. Avec beaucoup d’intelligence, Ravages s’empare d’un sujet de
société : la délinquance juvénile. Une œuvre amère et dure sans doute, mais bigrement clairvoyante.
Auteur-réalisateur et scénariste, Christophe Lamotte réalise notamment le documentaire HEC, derrière la
porte étroite (1998). Il réalise plusieurs fictions dont Un possible amour, Dérives (2000) ainsi que deux
épisodes de la série Avocats et associés (2002).
TAKVA
de Özer Kiziltan, Allemagne/Turquie, Yeni Sinemacilar - Corazon international, 2006, 96’
avec Erkan Can, Güven Kiraç, Meray Ülgen
Dans un ancien quartier d’Istanbul, Muharrem mène une existence solitaire et ascétique. Il est repéré par
les dirigeants d’un groupe religieux et accepte de travailler pour eux. Habillé de neuf, muni d’un téléphone
portable et d’un ordinateur, il découvre le monde moderne ainsi que ses propres défauts. Produit par
l’allemand Fatih Akin, Takva nous ouvre les portes d’un univers inconnu entre foi religieuse et monde
moderne.
Özer Kiziltan est né à Istanbul en 1963. Après des études de droit à l’Université d’Istanbul, il obtient en
1994 le diplôme du département Cinéma et Télévision de l’Université de Mimar Sinan. Il a réalisé
plusieurs séries et mini-séries en Turquie.
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THE MARK OF CAIN
de Marc Munden, Angleterre, Channel 4, 2007, 95’
avec Matthew McNulty, Gerard Kearns, Shaun Dooley
Angleterre. Cour d’un tribunal militaire. Flanqué de deux gardes renfrognés, un jeune soldat est appelé à
témoigner. Envers et contre tous, il raconte des horreurs. Comment, avec ses copains, là-bas, en Irak, il a
frappé, torturé, humilié des hommes. Avec brio et efficacité, Marc Munden règle ses comptes avec la
violence et l’hypocrisie.
Marc Munden a réalisé plusieurs séries télévisées. En 2002, le film Miranda (avec Christina Ricci) marque
ses débuts au cinéma. Lors de sa diffusion sur Channel 4 en Angleterre, The Mark of Cain a créé une
vaste polémique sur la présence armée en Irak et le sujet de la torture.
UNDER FOR KAERLIGHEDEN (OUTSIDE LOVE)
de Daniel Espinosa, Danemark, DRTV /Nordic Fim & Tv Fund, 2007, 90’
avec David Dencik, Nicolas Bro, Louise Hart
Schmuli vit chez ses parents, rescapés d’Auschwitz, avec son fils. Fan de baseball, il rêve de partir à New
York. Un jour, il croise le regard d’Amina, une pakistanaise fan de cricket. Via la trajectoire d’un
«schmuck» perdu dans ses rêves de grand gamin. Under For Kaerligheden aborde la mort, la mémoire, le
poids des traditions et, bien sûr, la violence. Un film fort et bouleversant.
Né en 1977 au Danemark, Daniel Espinosa obtient son diplôme de la National Film School of Denmark en
2003. Son film de fin d’études, Bokseren (The Fighter), a reçu plusieurs prix. En 2004, il a réalisé le longmétrage The Babylon Disease.
WAS AM ENDE ZÄHLT (NOTHING ELSE MATTERS)
FILM DE CLOTURE
de Julia von Heinz, Allemagne, Missing Films, 2007, 100’
avec Paula Kalenberg, Marie Luise Schramm, Benjamin Kramme
Carla veut quitter Berlin pour Lyon afin de commencer une école de stylisme. Au moment de partir, elle se
fait voler tous ses biens et ses projets volent en éclat. Dans la rue, elle tombe sur Rico qui lui propose de
travailler sur un chantier situé dans un bâteau. Une nouvelle vie commence alors pour elle. Avec
intelligence et douceur, la réalisatrice présente le dénuement total qui est parfois lié à la marginalité.
Née à Berlin en 1976, Julia von Heinz étudie le droit à Bonn. De 1997 à 2000, elle a suivi une formation
de technicienne son et image à la WDR à Cologne. Elle réalise des courts-métrages tels que Lucie & Vera
(2003). Was am Ende zählt est son premier long-métrage.
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4. INTERNATIONAL SERIES
BIONIC WOMAN
NBC Universal Television, créé par David Eick, Etats-Unis, 2007, 45’
avec Michelle Ryan, Mark Sheppard, Lucy Hale
Jamie Sommers est une femme tranquille qui vit sa vie comme beaucoup d’autres. Jusqu’au jour où,
après un terrible accident, son fiancé décide de la sauver en la transformant en une femme dotée de
super pouvoirs. Remake de la série culte des années 70 Super Jamie, Bionic Woman est un concentré
d’énergie pure, un mélange explosif de science-fiction et d’action.
David Eick est né aux Etats-Unis en 1968. Après des études de science politique, il se tourne vers la
réalisation, la production et l’écriture de scénarios. Il a signé la série de science-fiction Battlestar
Galactica, en collaboration avec Ronald D. Moore.
BURN NOTICE
Fox Television Studios, de Jace Alexander, Etats-Unis, 2007, 63’
avec Jeffrey Donovan, Gabrielle Anwar, Sharon Gless
Ce que vous avez toujours voulu savoir sur un agent secret au chômage, Micheal Weston, mais que vous
n’avez jamais osé demander ! Burn Notice répond à vos questions avec ironie et autodérision, sans
oublier une bonne dose d’adrénaline et d’effets spéciaux dignes des meilleurs films d’action. Weston doit
désormais « vendre » son savoir-faire pour gagner sa vie et pouvoir enfin découvrir la raison de son
mystérieux licenciement.
Né à New York en 1964, Jace Alexander a fréquenté la Field School (Washington) et l’American Film
Institute. Il a réalisé des épisodes pour les séries Ally McBeal (1997), Prison Break (2005-2006) et House
M.D. (2006).
CAPE WRATH
Company Pictures, de Duane Clark, Grande-Bretagne, 2006, 43’
avec David Morrissey, Lucy Cohu, Felicity Jones
Cape Wrath est l’histoire de la famille Brogan et de leur nouveau départ dans une petite ville en
apparence «parfaite» qui va vite dévoiler son côté obscur. Détrompez-vous, le clan des Brogan n’a rien de
la famille parfaite ! Une série qui ravira les fans de Twin Peaks et American Beauty.
Le canadien Duane Clark a réalisé des épisodes pour de nombreuses séries telles que Highlander (1995),
Stargate SG-1 (1998) ou Les Experts. Cape Wrath est diffusée par la chaîne Showtime aux Etats-Unis,
sous le titre Meadowlands.
DAMAGES
Sony Pictures Television International, d’Allen Coulter, Etats-Unis, 2007, 50’
avec Glenn Close, Rose Byrne, Ted Danson
Damages met en scène, avec force et cynisme, les péripéties d’une jeune avocate ambitieuse qui se
trouve mêlée à une dangereuse histoire de manipulation et de corruption. Glenn Close, dans le rôle du
pygmalion cruel et sans scrupules, est époustouflante. Une écriture qui joue parfaitement avec les
flashes-back et qui arrive à créer un suspense digne des meilleurs thrillers.
Né aux Etas-Unis (Texas), Allen Coulter a réalisé et produit des épisodes pour de nombreuses séries dont
Les Sopranos (2002-2003), Six Feet Under et Sex & the City. En 2006, il a produit son premier longmétrage Hollywoodland, avec Ben Affleck.
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FORESTILLINGER (PERFORMANCES)
Zentropa Entertainments, de Per Fly, Danemark, 2007, 2 x 59’
avec Mads Wille, Sonja Richter, Pernilla August
Produite par Zentropa et créée par Per Fly, cette nouvelle série, où chaque épisode a son protagoniste
indépendant, ravira les aficionados de Lars von Trier… mais pas seulement. On y parle de rencontres
entre êtres humains et de comment ces rencontres nous influencent. Une série de classe, incroyablement
bien tournée, qui nous plonge dans les méandres d’une troupe de théâtre hors du commun.
Réalisateur acclamé par la critique et le public danois, Per Fly est né en 1960. Après des études à la
National Film School of Denmark, il débute une trilogie, constituée de Bœnken (The Bench) en 2000,
Arven (The Inheritance) en 2003 et Drabet (Manslaughter) en 2005.
KRIMINALDAUERDIENST (STREETS OF BERLIN)
Hoffman & Voges Entertainment, de Matthias Glasner, Allemagne, 2007, 88’
avec Götz Schubert, Manfred Zapatka, Saskia Vester
Un commissariat berlinois comme tant d’autres ? Et bien non, la normalité cache parfois des secrets
insoupçonnés ! Cette série réussit parfaitement à capter les tensions, mais aussi les moments de joie qui
caractérisent cette brigade criminelle pas comme les autres. Une belle preuve de la force du nouveau
cinéma allemand.
Né à Hambourg en 1965, Matthias Glasner a réalisé des téléfilms policiers, puis des longs-métrages tels
que Fandango (2000) et Der freie Wille, film controversé pour lequel il a reçu l’Ours d’or au Festival de
Berlin en 2006.
LES HAUTS ET LES BAS DE SOPHIE PAQUIN
Sphere Media Plus, de Claude Desrosiers, Canada, 2006, 45’
avec Suzanne Clément, Thiéra Dubé, Catherine de Léan
Sophie Paquin, jeune femme comblée par la vie, future maman et héritière de l’agence artistique de son
père, doit faire face aux surprises que le destin lui réserve: son compagnon la quitte pour sa meilleure
amie, l’agence risque la faillite et sa mère est complètement folle. Série dynamique et intrigante avec,
comme protagoniste une Bridget Jones made in Canada, drôle et touchante.
Le réalisateur québécois Claude Desrosiers a d’abord travaillé comme acteur avant d’étudier le cinéma à
l’Université de New York. On lui doit notamment le télé-théâtre Traces d’étoiles, la série dramatique
Delirium (Télé-Québec, 2000), ainsi que 14 épisodes de la série Vice caché (2005).
LITTLE MOSQUE IN THE PRAIRIE
Little Mosque Productions, créé par Zarqa Nawaz, Canada, 2006-07, 2 x 22’
avec Carlo Rota, Zaib Shaikh, Sitara Hewitt
Oubliez tout ce que vous croyez connaître sur la communauté musulmane et laissez-vous guider dans
l’univers hilarant, mais en même temps émouvant, de cette série canadienne. Un humour grinçant mais
toujours respectueux dont le but principal est de faire ressortir les points communs entre les différentes
communautés religieuses. Un phénomène outre-Atlantique !
Née en Angleterre, Zarqa Nawaz est productrice, réalisatrice et scénariste indépendante au Canada. Elle
a réalisé notamment des courts-métrages qui traitent du terrorisme, de burqas et de fatwas. Musulmane
pratiquante et mère de quatre enfants, elle s’est inspirée de sa propre expérience pour écrire la série.
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WALTZ
Bos Bros. Film & Productions, de Norbert ter Hall, Pays-Bas, 2006, 50’
avec Aart Staartjes, Olga Louzgina, Theo Maassen
Willy Waltz, patron du déglingué cirque Waltz, est atteint d’une forme incurable de cancer et voit sa fin
proche. Il ne baisse pas les bras pour autant et décide de faire tout ce qui est en son pouvoir pour sauver
son cirque de la faillite. Une série passionnante qui met en scène une galerie de personnages émouvants
et intrigants.
Après son diplôme de graphisme à Arnhem, aux Pays-Bas, Norbert ter Hall a suivi des cours de
réalisation à l'Université de Santbergen. Il a réalisé de nombreux films pour la télévision néerlandaise,
ainsi que plusieurs séries télévisées dont Madame la Ministre présentée à Cinéma Tout Ecran en 2003.
WHEN WE WERE BLACK
Born free media (pty) ltd., de Khalo Matabane, Afrique du Sud, 2006, 48’
avec Matli Mohapeloa, Lali Dangazele, Harriet Manamela
Tout y est dans cette série sud-africaine : la beauté de l’adolescence avec ses premiers amours, des
personnages complexes et émouvants, une vision réaliste et sans tabous de l’histoire. Fistos, le héros de
cette épopée, nous accompagne dans les tumultes et la violence de Soweto pendant les années 70 où
l’Apartheid sévit depuis de nombreuses années.
Khalo Matabane est né en 1974 en Afrique du Sud. Il a réalisé plus d’une dizaine de documentaires sur
son pays, illustrant le problème du sida, de la mondialisation, et liant intimement politique et vécu
personnel.
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5. COLLECTIONS & LONG DRAMAS
COLLECTIONS :
LOVE YOU TO DEATH
FILM D’OUVERTURE - PREMIERE INTERNATIONALE
Blueprint Entertainment Production, de J.Miles Dale, Canada, 2007, 2 x 22’
avec John Waters, Peter Oldring, Olivia Palenstein
Un époustouflant John Waters nous amène pas à pas dans la vie intime d’une série de couples qui
éternisent leur amour… mais le mariage se révèle bien plus dangereux de ce que l’on pense ! Macabre
mais toujours ironique, Waters nous conte ces histoires d’amour extrêmes, basées sur des affaires
criminelles réelles, où les fondements de la famille traditionnelle sont complètement bafoués.
J. Miles Dale a produit notamment The Skulls 3 (2003) et réalisé des épisodes de FX, effets spéciaux et
Friday the 13th. Le scénariste et réalisateur Jeff Lieberman est né à Brooklyn en 1947. Formé à l’école
d’arts visuels de New York, il est le créateur entre autres des films d’horreur Squirm (1976) et Satan’s
Little Helper (2004).
MUJERES ASESINAS
Pol-Ka, de Daniel Barone, Argentine, 2005-07, 43’
avec Cristina Banegas, Norman Briski, Patricio Contreras
Mujeres asesinas met en scène une galerie de femmes cruelles, désespérées mais aussi terriblement
attachantes qui, lassées de subir humiliation sur humiliation, décident de commettre un geste extrême : le
meurtre. Une série inspirée de faits-divers qu’on regarde avec les tripes, mélange de tragédie et d’humour
noir qui ravira les fans de sensations fortes.
Né à Buenos Aires en 1965, Daniel Barone étudie le théâtre à l’école Raul Serrano puis le cinéma à
Sarku. Il remporte le prix Konex du Meilleur réalisateur de télévision de la décennie 1991-2001 et Mujeres
Asesinas gagne le prix Martin Fierro de Oro en 2005.
8X45 - BRUDERLIEBE (BROTHERLY LOVE)
ORF / Filmhaus Films & Stalker Film Autriche, de Olivier Kartak, Autriche, 2005, 45’
avec Johannes Windisch, Björn Zimmermann, Beatrix Brunscko
Une ferme isolée dans les montagnes autrichiennes sert de décor à une morbide histoire de fratricide.
Kaspar, fils muet d’une famille de montagnards, tue son frère Michael après une bagarre. Le jour suivant,
Michael rentre à la maison, vivant! Il commence à harceler Kaspar… c’est le début du cauchemar. Un
mélange de terreur et de fanatisme religieux qui détruit l’image « carte postale » de la vie à la montagne.
Olivier Kartak est né en Autriche en 1968. Il travaille comme graphiste, designer, réalisateur et
photographe. Il a collaboré au Festival International du Film à Vienne de 1992 à 1996. Son travail a été
primé aux CreativClubAustria, ainsi qu’à l’ArtDirectorsClub. Il enseigne le design à l’Ecole d’Art Appliqué
de Vienne.
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LONG DRAMAS :
LES PREDATEURS
Scarlett Productions, de Lucas Belvaux, France, 2007, 2 x 120’
avec Nicole Garcia, Claude Brasseur, Aladin Reibel
En 1988, Loïk Le Floch-Prigent accède à la Présidence d’Elf. En quelques mois, lui et ses acolytes
s’enrichissent démesurément. Quand en 1993, le parti du RPR gagne les élections, Philippe Jaffré est
placé à la présidence de la compagnie et porte alors plainte contre les anciens dirigeants. C’est le début
d’une longue enquête qui conduira au procès du plus grand scandale politico-financier jamais mis à jour
en France.
Le réalisateur, scénariste et comédien Lucas Belvaux est né en Belgique en 1961. Il joue notamment
dans Poulet au vinaigre de Claude Chabrol et Hurlevent de Jacques Rivette. Il réalise le triptyque Un
couple parfait - Cavale - Après la vie (Prix Louis-Delluc) ou encore La raison du plus faible (2006).
SOUS LES VENTS DE NEPTUNE
Passion Films, de Josée Dayan, France, 2007, 2 x 90’
avec Jean-Hugues Anglade, Jeanne Moreau, Jacques Spiesser
Policier tourmenté de la brigade criminelle de Paris, Adamsberg doit résoudre le cas d’un meurtrier en
série qui l’obsède depuis son enfance. En effet, son frère a été accusé d’un de ces meurtres et il cherche
par tous les moyens à l’innocenter. Josée Dayan réussit une intrigue fascinante soutenue par des
personnages complexes et attachants qui ne décevra pas les passionnés d’affaires criminelles.
Née à Alger en 1943, la réalisatrice, actrice et scénariste Josée Dayan fait ses études en France à
l’Institut des hautes études cinématographiques. Elle réalise notamment les mini-séries Le Comte de
Monte-Cristo et Les Misérables.
EN FRAGA OM LIV OCH DÖD (A MATTER OF LIFE AND DEATH)
Garage Film ab, de Håkan Lindhé, Suède, 2006, 2 x 90’
avec Goran Ragnerstam, Gunnel Fred, Michaela Berner
Le docteur David Bendricks n’oubliera pas facilement le jour fatidique où, lors son jogging, il est le témoin
clé d’un meurtre lié à la mafia locale. Sa vie, et celle de sa famille, est alors mise en péril et il doit faire
tout ce qui est en son pouvoir afin de mettre un terme à cette situation. Mélange explosif d’angoisse et
d’action, ce thriller suédois joue avec nos peurs les plus cachées.
Réalisateur et scénariste, Håkan Lindhé est né en Suède en 1965. Il collabore aux films Fucking
Amal (1998) et réalise notamment Clinch (1999). Suivent quelques mini-séries dont Lokalreportern,
présentée à Cinéma Tout Ecran en 2004.
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6. REGARDS D'AUJOURD'HUI
HADERSFILD (HUDDERSFIELD)
d’Ivan Zivkovic, Serbie, Eye to Eye, 2007, 95’
avec Goran Susljic, Nebojsa Glogovac, Vojin Cetkovic
Un homme d’une trentaine d’années vit seul avec son père alcoolique dans une banlieue serbe. La visite
inattendue d’un ancien ami vivant à Huddersfield, en Angleterre, les amène à parler de leur vie et à
affronter leurs échecs. Ivan Zivkovic réalise un film sur les trentenaires dans une Serbie en reconstruction.
Malgré leur situation difficile, un souffle d’espoir passe sur leurs visages.
Diplômé en cinéma et télévision de l’Académie de Belgrade pour les Arts du spectacle (1988), Ivan
Zivkovic a poursuivi ses études à l’American Film Institute de Los Angeles. Il a obtenu son master en
réalisation puis réalisé des séries télévisées et des publicités. Huddersfield est son premier long-métrage.
HEARTLINES
de Angus Gibson, Afrique du Sud, Curious Pictures, 2006, 95’
avec Mpho Joseph Molepo, Mduduzi Mabaso, S'Thandiwe Kgogoro
Pas facile de changer de milieu social. A sa sortie de prison, Manyisa est recueilli par Jacob, un ancien
boxeur devenu pasteur. Ce dernier tente de lui donner une deuxième chance. Réticent au début, le jeune
homme s’intègre. Tout bascule quand il se fait rattraper par son ancien gang et ses vieux démons. La
confiance du jeune fils de Jacob suffira-t-elle à l’en préserver ?
Le réalisateur sud-africain Angus Gibson réalise dès 1984 des documentaires, dont Freedom Square &
Back of the Moon, Soweto, a History et 14 Up South Africa. Il a co-réalisé Mandela, Son of Africa, Father
of a Nation (nominé aux Oscars) et la série TV Yizo Yizo (primée à Cinéma Tout Ecran en 2001).
KAIN NO MATSUEI (CAIN’S DESCENDANT)
de Oku Shutaro, Japon, Nega CO, 2006, 90’
avec Kaori Adachi, Kazushi Watanabe
Un horizon peuplé de cheminées d’usines qui nourrissent un ciel nuageux et gris. Un jeune homme,
Munakata, sort de prison et cherche du travail. Il en trouve dans une drôle de fabrique de circuits
imprimés où il peut loger sur place. Il découvre rapidement le comportement étrange de ses voisins. La
caméra d’Oku Shutaro ne nous épargne rien de la face sordide du Japon champion de la réussite.
Oku Shutaro est né à Tokyo en 1975. Depuis 1996, il travaille d’une part comme scénographe pour des
représentations de théâtre, de danse et des comédies musicales. D’autre part, il réalise des
documentaires, des films de fiction et d’animation depuis 2002, dont notamment Kai-On et Labor Cop.
MIEHEN TYO (A MAN’S JOB)
de Aleksi Salmenperä, Finlande, Blind Spot Pictures Oy, 2007, 100’
avec Tommi Korpela, Maria Heiskanen, Jani Volanen
Juha, un père de famille, perd son emploi. Honteux, il commence à gagner sa vie en faisant de menus
travaux chez des particuliers. Sous pression financière, il passe de la menuiserie à la prostitution et
rencontre les femmes dans toute leur violence et leur insatisfaction. Très sobre, Miehen Tyo raconte
l’expérience d’un homme intègre qui pensait bien faire.
Né en Finlande en 1973, Aleksi Salmenperä est diplômé de l’Université des Arts et du Design d'Helsinki. Il
a réalisé des courts-métrages récompensés au niveau international et mis en scène des épisodes de la
série télévisée Tie Eedeniin. Miehen Tyo est nominé pour représenter la Finlande aux Oscars 2008.
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MUTUM
de Sandra Kogut, France/Brésil, Arte/Gloria Films, 2007, 95’
avec Thiago da Silva Mariz, Walisson Felipe Leal Barroso, Luis Carlos Vasconcelos
Si Mutum veut dire muet en brésilien, c’est aussi un village isolé dans les montagnes où vivent Thiago et
sa famille. Agé de dix ans, ce jeune garçon, doté d’un regard perçant et attentif, n’est pas comme les
autres. Confronté à la maladie foudroyante de son frère, Thiago gagne en indépendance. À travers son
expérience se dessine le monde nébuleux des adultes, entre trahison, violence et silence.
Née à Rio de Janeiro, Sandra Kogut a vécu et travaillé en France et aux Etats-Unis. Elle a commencé
dans les arts plastiques, mais son travail se situe souvent à la frontière entre le documentaire et la fiction.
Il a notamment été montré au MoMA, au Guggenheim Museum (NY) et au Forum des Images (Paris).
NEBENWIRKUNGEN (SIDE EFFECTS)
de Samuel Siebenmann, Suisse, Maximage GmbH/SF, 2007, 89’
avec Sabine Timoteo, Jean-Pierre Cornu, Michael Neuenschwander
Claudia travaille au département de la recherche d’une grande entreprise pharmaceutique qui s’apprête à
sortir une pilule amincissante révolutionnaire. Peu avant son lancement, Claudia commence à avoir des
doutes à propos des potentiels effets secondaires et essaie de persuader la direction de retenir la sortie
du médicament, mais personne ne l’écoute.
Né aux Etats-Unis, Matthias Siebenmann a grandi en Suisse. Il étudie le théâtre et la réalisation à Berlin
avant de poursuivre sa formation à l’American Film Institute de Los Angeles. Il réalise des séries et des
films pour la télévision dont Ein mörderisches Mädchen (nominé au Prix Grimme en 2002).
OTOBUS-E SHAB (NIGHTBUS)
de Kiumars Pourhamad, Iran, Cima Media International, 2007, 90’
avec Khosro Shakibai, Mehrdad Seddiqian, Elnaz Shakerdoust
Chronique de guerre. Un jeune soldat iranien inexpérimenté est responsable d’amener un bus de
prisonniers irakiens de la ligne de front à la base militaire. Sur le trajet, une roue explose, le bus se perd,
ils sont obligés de déminer un champ. Le jeune soldat fait appel à l’aide du chauffeur et de certains
prisonniers car, dans ce voyage à rebondissements, tous sont en sursis.
Né en Iran en 1949, Kiumars Pourahmad commence sa carrière en 1973 en écrivant pour des revues de
films. Trois ans plus tard, il se met à l’écriture et à la réalisation de films et séries télévisées. Il a
notamment réalisé Strange Sisters (1996), The Long Line (2001), Edelweiss (2005) et Yasukuni (2007).
PARTES USADAS (USED PARTS)
d’Aarón Fernández, Mexique/France/Espagne, Producciones Cinta Negra, 2007, 95’
avec Granados Eduardo, Chavez Alan, Ceja Carlos
Jeune adolescent, Iván vit avec son oncle Jaime, un commerçant de pièces détachées pour voitures.
Ensemble, ils économisent pour émigrer aux Etats-Unis. Afin de payer le «passeur», Jaime décide
d’introduire son neveu dans le milieu du vol de pièces détachées. Iván apprend le métier mais se rend
compte rapidement que les intentions de son oncle concernant leur voyage ont évolué.
Aarón Fernández est né en 1972 à Chihuahua, Mexique. Il obtient une Maîtrise d’études
cinématographiques et audiovisuelles à Paris et se spécialise dans l’écriture de scénarios et la réalisation.
Partes Usadas est son premier long-métrage.
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PRZEBACZ (FACING UP)
de Marek Stacharski, Pologne, Federico Film, 2006, 90’
avec Bartosz Turzynski, Janusz Chabior, Gabriela Kownacka
Dans une banlieue polonaise, une bande de jeunes traîne. Une jeune fille passe. Ils l’interceptent. Poussé
par la masse, le plus faible de la bande la viole sans qu’elle ait vu son visage. Quelques jours plus tard, il
se casse la jambe et se retrouve soigné à l’hôpital par une infirmière qui n’est autre que la jeune fille ellemême. Voyage orchestré par le réalisateur Marek Stacharski, Facing up interroge la notion de culpabilité.
Marek Stacharsky a étudié la photographie et la réalisation à Lodz (Pologne), ainsi qu’à la National Film
and Television School de Beaconsfield (G-B). Il a travaillé en tant que reporter pour la télévision polonaise
et réalisé une cinquantaine de reportages et de documentaires. Facing Up est son premier long-métrage.
THE TRIAL OF TONY BLAIR
de Simon Cellan-Jones, Grande-Bretagne, Target entertainment, 2007, 90’
avec Peter Mullan, Robert Lindsay, Adrian Scarborough
En 2010, Tony Blair accomplit son dernier mandat de Premier Ministre. De retour à la vie normale, il
réalise qu’il n’a ni argent, ni utilité. Persécuté par les anciens opposants à la guerre en Irak, il se donne
une contenance en dictant ses mémoires à une secrétaire agacée. Face au silence de son téléphone
portable et à la révolte de sa femme, Cherie, Tony Blair tente de garder la face.
Né en Grande-Bretagne, Simon Cellan-Jones a débuté sa carrière en tant qu’assistant de production pour
la série Edge of Darkness. Il accède à la notoriété en réalisant des épisodes de Cracker (1993) et Our
Friend in the North (1996). En 2000, il réalise son premier long-métrage Some Voices.
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7. COURTS-METRAGES
Cinéma Tout Ecran continue son exploration du court-métrage à la recherche de nouvelles pistes
d’expression et de débouchés inédits.
Pour l’édition 2007, nous serons au Cinéma Titanium pour les projections et élargirons la sélection des
films courts qui seront proposés au Geneva Select Market. D’autre part, nous lançons un concours de
films de moins de 2 minutes pour téléphones mobiles et nous continuerons aussi à présenter des courts
en avant-programme des séances principales du Festival.
Nous souhaitons mêler notre petit grain de sel à la réflexion sur l’image, laquelle envahit de plus en plus
l’espace, alors qu’elle se visionne sur des supports toujours moins grands. L’idée est aussi de prendre
clairement une position plus commerciale au sein du monde merveilleux des festivals liés au courtmétrage dans notre pays.
Cinéma Tout Ecran est fier de présenter sa sélection composée d’une centaine de films issus d’une
trentaine de pays répartis sur les 5 continents, pour un tour d’horizon non exhaustif de la production 2006
et 2007. 47 de ces courts sont en Compétition internationale, parmi lesquels 6 suisses, auxquels
s’ajoutent 19 autres productions helvétiques pour la Compétition suisse. Un programme spécial Semaine
de la critique de Cannes, un regard sur le Québec, un programme spécial de la DFFB de Berlin et une
série de 6 courts suisses sur les droits de l’homme complètent cette sélection. Comme chaque année,
des réalisateurs, des acteurs, des professionnels du film court seront présents au Festival et au marché
du film.
Cinéma Tout Ecran vous convie au voyage à travers les images qu’Annie Lefèvre, Massia Pougatch,
Valérie Debeaumont (Fonction : Cinéma), Michel Schopfer, Bruno Quiblier et Philippe Clivaz ont
sélectionné. Elles vous sont proposées durant les soirées du mercredi 31 octobre au samedi 4 novembre
et le Festival se réjouit de vous y croiser.
Philippe Clivaz
Responsable courts-métrages
Bruno Quiblier
Assistant courts-métrages
COMPÉTITION SUISSE PROGRAMME 1 - MERCREDI 31 OCTOBRE, 19H15
René, Tobias Nölle, 29’, Zürich
Total Burn Out, Léo Maillard, 2’, Vaud
Clandestins, Shirin Mashayekh, 15’, Vaud
Hannah, Vincianne Moeschler, 11’, Jura, PREMIERE MONDIALE
Botteoubateau, Marina Rosset, 3’, Lucerne
L'improbable odyssée, Pascal Forney, 15’, Vaud/ Fribourg, PREMIERE MONDIALE
Orloj, Jeanne Rektorik, 13’, Vaud/ Genève
Ménagerie Intérieure, Nadège De Benoit-Luthy, 18’, Vaud
Il Davos Capetel, Carla Hitz, 5’, Lucerne
COMPÉTITION SUISSE PROGRAMME 2 - MERCREDI 31 OCTOBRE, 21H30
La vraie vie d’Arthur, Gesenn Rosset & Erline O'Donovan, 21’, Genève, PREMIERE MONDIALE
(Alp)Traum, This Lüscher, 3’, Zürich
Icebergs, Germinal Roaux, 15’, Vaud
Null Grad, Claudia Lorenz, 3’, Zürich
Ferien, Memi Beltrame, 16’, Zürich
Elvira, Sabine Lattmann, 6’, Zürich
Ex’pire, Pierre Zufferey, 16’, Valais, PREMIERE MONDIALE
Giraffes don’t go to Heaven, Philip Delaquis & John Timms, 7’, Zürich
La petite fille et la mort, Pascale Rocard, 14’, Genève, PREMIERE MONDIALE
Casting, Olivier Yglesias, 9’, Genève, PREMIERE MONDIALE
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COMPÉTITION INTERNATIONALE / PROGRAMME 1 - JEUDI 1ER NOVEMBRE, 19H15
Waltzes and Tangos from the village of Whitewater, Ivan Vladimirov, 30’, Bulgarie, PREMIERE
MONDIALE
Burst, Juliet Lamont, 7’, Australie
Tout est bon dans le cochon, Emma Perret, avec Serge Riaboukine, 19’, France
Hoy no estoy, Gustavo Taretto, 7’, Argentine
La valise, Kaveh Bakhtiari, 12’, Suisse
Dernier voyage, Pierre Duculot, 17’, Belgique
Donkeygirl, Ties Schenk, 14’, Pays-Bas
COMPÉTITION INTERNATIONALE / PROGRAMME 2 - JEUDI 1ER NOVEMBRE, 21H30
La morsure du citron, Jean-François Amiguet, 26’, Suisse
Breeze, Sue Whitting, 3’, Grande-Bretagne
Pysäkki (Plateau), Antti Pirinen, 23’, Finlande
Chute libre, Olivier Dorigan, avec Jean-François Stévenin, 17’, France
Kav Tefer (Dead End), Imri Matalon, 15’, Israël
Tyger, Guilherme Marcondes, 5’, Brésil
Sur la ligne, Frédéric Desager, 15’, Canada
En el bosque, Maja Djokic, 8’, Espagne
VENDREDI 2 NOVEMBRE - LA NUIT DU COURT
FINALE CINÉMA TOUT MOBILE / 18H00 séance gratuite
Projection des films sélectionnés pour la finale avec vote du public. Voir dossier p. 21
COMPÉTITION INTERNATIONALE / PROGRAMME 3 / 19H15
BlodsØstre (Blood Sisters), Louise N. D. Friedberg, 29’, Danemark
Guide Dog, Bill Plympton, 6’, Etats-unis
BrÆdrabylta (Wrestling), Grimur Hakonarson, 21’, Islande
The white Dress, Vanessa Gildea, 4’, Irlande
Le créneau, Frédéric Mermoud, avec Hyppolyte Girardot et Emmanuelle Devos, 13’, Suisse
Soft, Simon Ellis, 14’, Angleterre
Tricko, Hossein Martin Fazeli, 11’, Tchéquie
Bende Sira (Ich bin dran), Ismet Ergün, 11’, Allemagne/Turquie
Moya Luybov (Mon amour), Alexander Petrov, 26’, Russie
Einspruch V, Rolando Colla, 7’, Suisse
Milan, Michaela Kezele, 23’, Allemagne
Tanghi Argentini, Guido Thys, 13’, Belgique
Entresol, Julie Durand, 12’, France
Dust Bowl Ha ! Ha !, Sébastien Pilote, 14’, Canada
El relevo, David Gonzãlez, 8’, Espagne
BerØrt (Touched), Marcelino Martin-Valiente, 9’, Norvège
18
Dime lo que sientes, Iria Gomez Concheiro, 24’, Mexique
Sainte Barbe, Claude Barras & Cédric Louis, 5’, Suisse, PREMIERE EUROPEENNE
Parz (Duty of the Son), Temir Birnazarov, 23’, Kyrgistan
Out of Milk, Nicola Morris, 9’, Angleterre
Voix de garage, Samuel Tilman, 16’, Belgique
Wing, the Fish that talked back, Ricky Rijneke, 13’, Pays-Bas
Rewind, Atul Taishete, 9’, Inde
The Barrows, Tori Garrett, 10’, Australie
Le café des pêcheurs, Al Hadi Ulad Mohand, 23’, Maroc
Krawattenfänger, Miguel Macaya, 5’, Suisse, PREMIERE MONDIALE
Pig & Shakespeare, Geon Kim, 22’, Corée du Sud
Même pas mort, Claudine Natkin, 15’, France
Zudusi Sniega (Lost in Snow), Vladimir Leschiov, 8’, Lettonie/Suède
Mein Vater schläft, Grzegorz Muskala, 14’, Allemagne
Azraa wa ahmar (Red and Blue), Mahmood Soliman, 12’, Egypte
One Way or the Other, Andy Wolff, 5’, USA
PROGRAMME SPÉCIAL
ÉCOLE INSTRUMENT DE PAIX DROITS ET LIBERTÉS TOUT COURTS
MARDI 30 OCTOBRE, 19H15 - séance gratuite
6 courts-métrages réalisés par des auteurs suisses qui abordent la question des droits humains. Chacun
a choisi un ou plusieurs articles de la Déclaration universelle. Ecole Instrument de Paix, l’ONG à l’origine
du projet, et Base-court ont posé les règles du jeu : un film de moins de 10 minutes, destiné aux
adolescents. Les 6 œuvres sont réunies sur un DVD qui contient aussi un dossier pédagogique.
Article 03, Frédéric Choffat, Julie Gilbert, 5’
Bouly le campeur, Anthony Vouardoux, 4’
Croire, François Rossier, 8’
Der Illestrist, Oliver Paulus, Stefan Hillebrand, 10’
Selma, Bernie Forster, 10’
Un altro mondo, Mohamed Soudani, 5’
PROGRAMME SPÉCIAL - ÉCOLE DE CINÉMA DE BERLIN DFFB
SAMEDI 3 NOVEMBRE, 17H00
La Deutsche Film und Fernsehakademie Berlin est l’une des plus anciennes écoles de cinéma
d’Allemagne. Elle fête en 2007 ses 40 ans, toujours avec le même entrain et la même devise : apprendre
en faisant avec peu de moyens et beaucoup d’énergie. Nous présentons ici une sélection de films de
diplôme des deux dernières années.
Der kleine Ben, Piotr Reimer, 16’
Sarah geht spazieren, Roberto Anjari-Rossi, 20’
Innen (Nachts), Eva Stolz, 10’
Hundefutter, Till Kleinert, 15’
Gimmy your Shoes, Anika Wangard, 10’
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PROGRAMME SPÉCIAL QUÉBEC
Le cinéma court du Québec est à l’honneur cette année à Cinéma Tout Ecran. Ce programme spécial en
forme de tour d’horizon de la Belle Province propose autant des regards acides que des traits d’esprit
aussi fins qu’une ligne de sirop d’érable sur la neige. Sans oublier, bien sûr, le zeste de sérieux de mise
pour tout événement culturel digne de ce nom.
Précédé de la cérémonie de remise des prix.
Dead Dolls, Jean-François Pilon, 5’
Eau Boy, Eric Gravel, 6’
L'abri, Radu Juster, 10’
Laura, Guillaume Fortin, 8’
L'éducation nautique, Christian Laurence, 5’
Moi, Yan England, 17’
Neuf (A Fresh Start), Martin Talbot, 20’
Normand, from the Top, Simon Laganière, 13’
Petit dimanche, Nicolas Roy, 12’
Terreur au 3918, Mathieu Fontaine, 14’
PROGRAMME SPÉCIAL - SEMAINE DE LA CRITIQUE, CANNES
La Semaine de la critique de Cannes propose chaque année un court-métrage en avant-programme des
longs-métrages qu’elle sélectionne. Comme il se doit, nous accueillons depuis plusieurs éditions certains
de ces films courts pour en faire un programme spécial.
Madame Tutli-Putli, Chris Lavis & Maciek Szcerbowski, 18’, Canada
Rabbit Troubles, Dimitar Mitovski & Kamen Kalev, 9’, Bulgarie
Saliva, Esmir Filho, 15’, Brésil
Situation Frank, Patrik Eklund, 27’, Suède
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8. CONCOURS CINEMA TOUT MOBILE
En partenariat avec Freestudios et Base-Court, Cinéma Tout Ecran inaugure cette année Cinéma Tout
Mobile, un concours international inédit de films pour téléphonie mobile. L’objectif du concours est de
présenter en compétition des films de qualité produits pour la téléphonie mobile qui reflètent la création
contemporaine, tout en mettant en avant les nouvelles technologies.
Le comité de sélection choisira une cinquantaine de films qui seront mis en ligne pour un vote public via
Internet : www.cinematoutmobile.ch. Les 15 plébiscités seront projetés sur des téléphones portables
individuels le 2 novembre 2007 pour la grande finale, qui se déroulera au cinéma Titanium à Genève et
qui sera animée par Anne Carrard (animatrice Rouge FM). Le public présent élira son film préféré à main
levée.
LES PRIX :
Prix du Jury :
Prix du Public :
Prix ToutLeContenu.com :
Un téléphone mobile Nokia N93i offert par Bluewin
Un téléphone mobile Nokia N93i offert par Bluewin
Un contrat de distribution internationale vers les opérateurs mobiles et les
plateformes web, IPTV et TV
« Imaginez la scène : les gens sont assis dans une salle où le grand écran blanc est vide, même pas un
miroir qui reflèterait une image déformée de la réalité. Chacun a le regard penché sur ses genoux. La
salle est dans la pénombre, mais on voit bien une vague lueur sur les visages concentrés. Pas un bruit.
Les spectateurs visionnent tous le même film sur l’écran de leur téléphone portable; ils le font ensemble !
Si l’on part de l’idée que le cinéma est une émotion vécue dans un espace commun en regardant défiler
des images en mouvement, il faut bien avouer qu’on assiste là à une séance de cinéma… Le débat est
ouvert, les érudits vont y réfléchir…
En attendant, Cinéma Tout Mobile est né et le pari de présenter des films pensés et réalisés pour être vus
sur un tout petit écran est lancé. Chargés tout d’abord sur Internet (dans un format qui ne peut pas être
agrandi) et offerts en pâture aux votes du public, les films sélectionnés se disputent une des quinze
places de la finale.
La finale, c’est le présent à l’état brut. Juste le temps de regarder le film et dire ses émotions (j’ai aimé ou
pas) avant de passer au suivant. Chacun dans son coin, comme une addition de solitude, face à ce grand
écran blanc et vide… »
Philippe Clivaz
Responsable courts-métrages
« Freestudios a toujours eu comme ambition d’être un véritable outil pluridisciplinaire et de représenter
une sorte de “one-stop-shop” audiovisuel au sens large. Dans cette optique, il nous paraît indispensable
d’intégrer aujourd’hui tous les supports de diffusion quand on pense production audiovisuelle, car les
habitudes de consommation sont en profonde évolution. Il suffit de voir les derniers modèles pour se
rendre compte que la vidéo va prendre de plus en plus de place dans notre vie de tous les jours, sans
parler de la téléphonie naturellement.
C’est dans ce sens que nous nous sommes associés à Cinéma Tout Ecran : pour que ce type de
production soit également reconnu et récompensé. Ceci peut être vu à travers une plateforme Internet
(www.cinematoutmobile.ch) développée pour cette première occasion. Nous avons pour objectif de
poursuivre ces développements et d’assister nos divers clients dans leur réflexion quant aux nouveaux
supports de diffusion et de distribution de contenu. »
Marc-André Deschoux
Producteur, Freestudios SA
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9. LE JURY INTERNATIONAL
Renato Berta, directeur de la photographie, Suisse
Renato Berta est né à Bellinzone en 1945. Après un apprentissage de mécanicien, il étudie au Centre
expérimental de cinématographie de Rome où il obtient le diplôme de chef opérateur. Il travaille avec
Jean-Luc Godard (Sauve qui peut, la vie, 1980), André Téchiné (Rendez-vous, 1985), Louis Malle (Au
revoir les enfants), film pour lequel il reçoit le César comme directeur de la photographie en 1987, ou
encore Alain Resnais (Smoking, No smoking, 1993). Le réalisateur portugais Manoel de Oliveira et le
cinéaste israélien Amos Gitaï font également appel à son talent. Jusqu’à ce jour, il a collaboré à une
centaine de longs-métrages. En 2007, il fait partie du jury Caméra d’or du Festival de Cannes.
Leila Bekhti, actrice, France
Après des études littéraires, Leila Bekhti suit des cours de comédienne dans différentes écoles en France.
En 2005, elle joue dans Pour l’amour de dieu, téléfilm de Zakia et Ahmed Bouchaâla primé au Festival
Cinéma Tout Ecran 2006, ainsi que dans Les tricheurs de Benoît d’Aubert et Madame le proviseur de
Philippe Bérenger. La même année, elle apparaît au cinéma notamment dans Sheitan de Kim Chapiron
avec Vincent Cassel. En 2006, elle joue dans la partie de Paris, je t’aime réalisée par Gurinder Chadha et
dans Harkis d’Alain Tasma. Cette année, elle travaille autant pour le petit écran (Ali Baba de Pierre
Aknine), que pour le grand écran (Des poupées et des anges de Nora Hamdi).
Thierry Jousse, critique cinématographique, réalisateur, scénariste, France
Né à Nantes en 1961, il a été rédacteur en chef des Cahiers du Cinéma de 1991 à 1996 et collaborateur
régulier aux Inrockuptibles et à Jazz Magazine. Il a publié plusieurs ouvrages sur le cinéma, dont John
Cassavetes. Dès 1998, il passe à la réalisation et tourne trois courts-métrages : Le jour de Noël (1998),
Nom de code : Sacha (2001) et Julia et les hommes (2003) primés dans divers festivals. Son univers se
nourrit d’une réflexion autour de la musique et du cinéma. En 2005, il réalise son premier long-métrage
Les Invisibles.
Gilles Tschudi, comédien, Suisse
Né en 1957 à Bâle, Gilles Tschudi s’est formé à la Schauspiel-Akademie de Zürich. Il travaille en tant que
comédien et metteur en scène sur les planches de différents théâtres en Suisse, en Allemagne ainsi qu’en
France. Il est apparu également dans diverses productions cinématographiques et télévisées. Connu en
Suisse alémanique pour son rôle dans le sitcom Lüthi und Blanc, il se distingue aussi dans des films tels
que Komiker de Markus Imboden (1999), Mein Name ist Bach de Dominique de Rivaz (2003) - pour
lequel il a reçu le Prix du film suisse pour le meilleur second rôle - ou encore Grounding : les derniers
jours de Swissair (2006).
Zoé Valdés, poète, romancière et scénariste, Cuba
Poète, romancière et scénariste, Zoé Valdés est née en 1959 à Cuba. Après des études de philologie à
l’Université de La Havane puis à l’Alliance Française à Paris, elle travaille de 1983 à 1988 à la délégation
cubaine de l’UNESCO et à l’Office Culturel de Cuba à Paris, puis co-dirige la revue Cine cubano. En
1995, après la publication en France de son roman Le néant quotidien elle est contrainte à l’exil pour
insoumission au régime castriste. Avec La douleur du dollar (1997), elle signe son plus grand succès
littéraire. Zoé Valdés réside actuellement en France.
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10. LES JURYS DES AUTRES SECTIONS
LE JURY PRIX DU PUBLIC BLUEWIN
Les spectateurs, les cinéphiles et le grand public auront la possibilité de voter pour la compétition
inernationale.
LE JURY FIPRESCI
Jean-Max Méjean, auteur, journaliste, Jeune Cinéma, Médiamorphoses, France
Kalinka Stoynovska, journaliste, critique de cinéma, Revue Kino, Radio Hristo Botev, Bulgarie
Cristina Trezzini, responsable de rédaction, RTSI (Televisione Svizzera), Suisse
LE JURY INTERNATIONAL SERIES, COLLECTIONS & LONG DRAMAS
Fulvio Bernasconi, réalisateur, Suisse
Céline Bolomey, comédienne , Suisse
Olivier Joyard, critique de cinéma, Les Inrockuptibles, France
Suzanne Laverdière, directrice générale adjointe, TV5 Monde, Canada
LE JURY REGARDS D’AUJOURD’HUI
Olivier Dutoit, distributeur, Agora Films, Suisse
Luc Peter, cinéaste, Suisse
Chahnaz Sibai, responsable programmation, World Dreams SA, Suisse
LE JURY DES COURTS-METRAGES
Julia Batinova, actrice, Suisse
Louis Bélanger, réalisateur, Canada
Isabelle Favez, réalisatrice de films d’animation, Suisse
Alice Kharoubi, responsable Shortfilm Corner, Marché du film de Cannes, France
Tiziana Soudani, productrice, Amka Films, Suisse
LE JURY TOUT MOBILE
Roberto Bestazzoni, acteur, Suisse
Michel Chevrolet, rédacteur en chef, Léman bleu, Suisse
Florence Heiniger, responsable unité création artistique, TSR, Suisse
Massimo Isotta, producteur, animateur, Illico, Suisse
Victoria Marchand, rédactrice en chef, Magazine Com'in, Suisse
Camille Martin, directrice agence de communication, Sixty-six, Suisse
Angèle Paolino, acheteuse courts-métrages, TV5 Monde, France
LE JURY TV5
Christophe Assezat, chargé des acquisitions fiction et documentaire, TV5MONDE, France
Anne Cuneo, écrivain, journaliste, Suisse
Clara Rousseau, directrice marketing Europe francophone, TV5MONDE, France
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11. LES REFLETS D’OR
Comme chaque année depuis 2004, CINEMA TOUT ECRAN attribuera ses Reflets d’Or.
LONGS-METRAGES - COMPETITION OFFICIELLE
Reflet d'Or Cinéma Tout Ecran pour
le meilleur film offert par la Ville de Genève
10'000.-
Reflet d'Or Cinéma Tout Ecran pour
la meilleure réalisation offert par l'Etat de Genève
10'000.-
Reflet Bleu Prix du Public Bluewin - Audience Award
Prix Titra-Film SA pour l'encouragement à la distribution cinéma
5’000.Sous-titrage
(d’une valeur de 5’000.-)
Prix Tudor d'Interprétation féminine
Une montre Tudor
Prix Tudor d'Interprétation masculine
Une montre Tudor
Prix Fipresci de la Critique Internationale
Honorifique
Prix Cinéma Tout Ecran du Jury des jeunes
Honorifique
Prix TV5MONDE du meilleur long-métrage francophone
Achat
LONGS-METRAGES – SECTION REGARDS D’AUJOURD’HUI
Reflet d’Or Cinéma Tout Ecran de la Section Regards d’aujourd’hui
Prix Egli-Swiss Effects pour l'encouragement
à une large diffusion d'une œuvre sur support DVD
Honorifique
3’000.-
INTERNATIONAL SERIES, COLLECTIONS AND LONG DRAMAS
Reflet d’Or Cinéma Tout Ecran de la meilleure série
offert par l'Aéroport International de Genève
5'000.-
Reflet d’Or de la meilleure Collection and Long Drama
Honorifique
Prix du Public CINEMA TOUT ECRAN de la meilleure série
Honorifique
COURTS-METRAGES - COMPETITION INTERNATIONALE ET SUISSE
Reflet d’Or Cinéma Tout Ecran du meilleur court-métrage
Prix TSR du meilleur court-métrage
Prix Kodak pour le meilleur court-métrage suisse
(plus une caméra numérique offerte par KODAK)
Prix du public CINEMA TOUT ECRAN du meilleur court-métrage
5'000.Achat
2'000.(en pellicule)
Honorifique
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12. GRAND PRIX SWISSPERFORM DU MEILLEUR FILM DE TELEVISION SUISSE
Parmi douze longs-métrages de télévision suisses, trois prix seront décernés :
Prix Swissperform pour le meilleur film de télévision suisse
Prix Swissperform pour le meilleur acteur
Prix Swissperform pour la meilleure actrice
20'000.5’000.5’000.-
JURY POUR LE PRIX SWISSPERFORM
Michele Andreoli, Cinéaste, Suisse
Cyril Jost, Journaliste, Suisse
Francine Lusser, Productrice, Suisse
Yves Raeber, Comédien, Suisse
Rudolf Santschi, Producteur, Suisse
LES NOMINES
Briefe und andere Geheimnisse
de Judith Kennel, Production Carac Film AG
Flanke ins All
de Marie-Louise Bless, Production Cobra Film AG
Kein Zurück – Studers neuster Fall
de Sabine Boss, Production Dschoint Ventschr AG
Kleine Fische
de Petra Volpe, Production C-Films AG
La grande peur dans la montagne
de Claudio Tonetti, Production Bohemian Films
Liebe und Wahn
de Michael Huber, Production C-Films AG
Marameo
de Rolando Colla, Production Peacock Films AG
Nebenwirkungen
de Manuel Siebenmann, Production Maximage GmbH
Pas de panique
de Denis Rabaglia, Production Point Prod SA
Roulette
de Mohammed Soudani, Production Amka Films SA
Tod in der Lochmatt
de Daniel Helfer – Rudi Burkhalter, Production HesseGreutert AG
Voltaire et l’affaire Calas
de Francis Reusser, Production Point Prod SA
La remise du Prix Swissperform se déroulera dans le cadre de la Cérémonie d’ouverture du
Festival Cinéma Tout Ecran, le lundi 29 octobre 2007 à 20h30, à l’Auditorium Arditi (sur invitation
uniquement).
Les films primés seront projetés le mardi 30 octobre à 12h30 et 20h30 au CAC-Simon.
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13. GRAND CINEASTE SUR PETIT ECRAN
MICHAEL MANN
Cette année, Cinéma Tout Écran et le CAC-Voltaire vont rendre hommage à un cinéaste américain
majeur qui personnalise, par son travail, l’essence même du Festival. En effet, Michael Mann a su, depuis
ses débuts, se distinguer à tous les stades d’élaboration d’un film et ce, aussi bien à la télévision qu’au
cinéma. Ce producteur, scénariste et réalisateur émérite a, sans nul pareil depuis plusieurs décennies,
offert d’inoubliables perles télévisuelles et cinématographiques.
Né à Chicago en 1943, Michael Mann étudie la littérature anglaise à l’Université du Wisconsin avant de
partir à la London International Film School. Fraîchement diplômé, Michael Mann monte une petite société
de production et fait ses premières armes sur des spots publicitaires, des courts-métrages et des
documentaires (dont Insurrection, sur les événements de mai 68, et Janpuri, pour lequel il est couronné
en 1970 aux festivals de Cannes, Melbourne et Sydney). En 1972, il s’établit à Hollywood et signe les
scénarii des premiers épisodes de séries télévisées telles que Starsky & Hutch, Police Story et Vegas. En
1978, Michael Mann écrit le téléfilm The Jericho Mile (Comme un homme libre) qu’il tourne au quartier de
haute sécurité de Folsom, avec la collaboration des détenus. Cet opus remporte notamment l’Emmy du
meilleur scénario et le Directors Guild Award du meilleur réalisateur.
Fort de ces réussites télévisuelles, Michael Mann se tourne vers le grand écran. Il écrit, produit et réalise
une pléthore de longs-métrages de fiction : Thief (Le Solitaire, 1980) avec James Caan, The Keep (La
Forteresse noire, 1982), Manhunter (Le Sixième sens, 1986), The Last of The Mohicans (Le Dernier des
Mohicans, 1992), Heat (avec le duo de choc Robert De Niro et Al Pacino, 1995), The Insider (avec Al
Pacino et Russell Crowe, 1999), Ali (Will Smith et Jon Voight, 2001), Collateral (avec Tom Cruise et Jamie
Foxx, 2004) et enfin, Miami Vice (2006). À côté de ses propres œuvres, Michael Mann participe, en tant
que producteur exécutif, à de nombreuses aventures, dont Badasssss ! de Mario Van Peebles (2003), ou
The Aviator de Martin Scorsese (2004). Bien entendu, ces productions cinématographiques ne l’ont pas
empêché d’œuvrer tout azimut à la télévision, multipliant l’écriture et la production d’une multitude de
séries à succès, notamment Miami Vice – Deux flics à Miami (qu’il adapte aussi pour le cinéma) et
Robbery Homicide Division (présenté à CTE en 2002). Actuellement, ce prolifique cinéaste planche sur
deux longs-métrages dont The Few, une superproduction avec Tom Cruise, sur la bataille d’Angleterre.
Œuvres présentées par Cinéma Tout Ecran dans le cadre de l’hommage à Michael Mann
Crime Story (p/s/r), série, épisode : Top of the World (1987)
Miami Vice (p/s), série, épisodes : The Golden Triangle 1+2 (1985)
Swan Song (s), (1980)
The Jericho Mile (s/r), (1979)
Police Story (s), série, épisode : Eamon Kinsella Royce (1976)
Police Woman (r), série, épisode : The Buttercup Killer (1977)
Starsky & Hutch (s), série, épisode : Texas Longhorn (1975)
Gibbsville (s), série, épisode : All the Young Girls (1976)
p = producteur / s = scénariste / r = réalisateur
À l’issue du Festival, dès le 5 novembre, le CAC-Voltaire prolongera l’hommage à Michael
Mann en projetant une sélection d’œuvres cinématographiques du réalisateur :
Thief (1981)
Manhunter (1986)
Heat (1995)
The Insider (1999)
Ali (2001)
Collateral (2004)
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14. LES AVANTS-PREMIERES
EASTERN PROMISES (Les promesses de l'ombre)
de David Cronenberg, Grande-Bretagne/Canada/Etats-Unis, Focus Production, 2007, 100’
avec Naomi Watts, Viggo Mortensen, Vincent Cassel
Bouleversée par la mort d'une jeune fille qu'elle aidait à accoucher, Anna (Naomi Watts) tente de
retrouver la famille du nouveau-né en s'aidant du journal intime - écrit en russe - de la disparue. En
remontant la piste de l'ouvrage, la sage-femme se retrouve plongée à l’intérieur d’un gigantesque réseau
de prostitution géré par la «mafia» russe. Une nouvelle fois, le génial réalisateur canadien détruit nos
certitudes, en allant au-delà des apparences, en dévoilant l’horreur intérieure des êtres humains et leur
nature cachée.
Avant-première - mardi 30 octobre à 21h00 - Les Scala
HEIDI
de Pierre-Antoine Hiroz et Anne Deluz, France/Suisse, TSR/ Dune/ Rita Productions/ France 2/ UER
Fiction, 2007, 26’
avec Elodie Bollée, Anne-Sophie Franck, Cindy Santos, Carlos Leal
À une époque où les valeurs traditionnelles s’éloignent, la mythique petite fille des montagnes, Heidi
(Elodie Bollée), a grandi et est devenue adolescente. Scolarisée, elle rencontre au lycée de nouveaux
amis citadins. Entre ses valeurs montagnardes et le système scolaire, elle va devoir s’adapter et gérer un
vrai choc culturel. Au départ très mal comprise - sa sincérité passe pour de l’insolence, son innocence
pour des gaffes - Heidi est perçue comme rebelle et audacieuse. Esprit libre, elle dit tout ce qu’elle pense.
Soutenue par son amie Sara (Cindy Santos), Heidi réussira-t-elle à s’inspirer des valeurs de la société
actuelle sans perdre de vue ce qui lui a été transmis ? Revisitée, Heidi raconte l’histoire d’une intégration
plus ou moins douloureuse d’une jeune fille dotée de codes différents.
Avant-première mondiale - mercredi 31 octobre à 20h45 - Auditorium Arditi
UN HOMME PERDU
de Danielle Arbid, Liban/France, mk2, 2007, 90’
avec Melvil Poupaud, Alexander Siddig
1985. Après avoir lâché un couteau, un homme s’enfuit dans un Beyrouth en feu. 2005, à la frontière
syrio-jordanienne, le même homme, Fouad, est happé par un photographe français, Thomas, qui
l’emmène dans une quête frénétique des plaisirs extrêmes. L’Arabe et le Français, un couple pour le
moins inhabituel. Si le premier erre, se laisse porter par les événements, le second force les situations.
Lequel des deux est l’homme perdu du titre ? Celui qui a oublié et ne veut pas se souvenir ou celui qui ne
s’est pas encore trouvé, qui se livre avec excès à une débauche des sens ? Les deux sans doute.
Danielle Arbid, caméra à l’épaule, livre une œuvre fougueuse et tendre à la fois, sur l’amitié, la mémoire,
sur la passion et ses errances. Pour Thomas, elle s’est inspirée du photographe Antoine d’Agata, un
personnage qu’incarne un Melvil Poupaud borderline à souhait. Face à lui, Alexander Siddig est
formidable de sobriété et de retenue.
Avant-première – jeudi 1er novembre à 21h00 – Cinéma Titanium
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15. LE PROGRAMME JEUNESSE AVEC LA LANTERNE MAGIQUE
Pour sa 13e édition, le Festival prévoit de restructurer et réorienter sa section jeunesse. En renouvelant le
partenariat avec l’association La Lanterne Magique, le Festival proposera des ateliers et des projections
afin de sensibiliser les enfants et les adolescents à l’image.
Activité pédagogique « La suite au prochain épisode »
Les séries télévisées suscitent aujourd’hui un formidable engouement chez les jeunes, au point de faire
partie intégrante de leur culture. Face à cette évolution, il importe de donner aux adolescents la possibilité
d’exercer un regard critique sur ces émissions qui résultent souvent d’un dosage subtil en matière
d’innovation et de stéréotypage.
Prenant parti de la spécificité télévisuelle de Cinéma Tout Ecran, l’objectif est d’initier les enfants à ce
format en animant les séances par des discussions et de proposer, lors de cet atelier, une approche de
lecture spécifique au genre. Sur un mode ludique, reflétant les réalités de production, l’activité «La suite
au prochain épisode… » a pour but de sensibiliser les enfants au processus de création collectif qui
caractérise ces séries et permet de créer un lien concret entre culture et éducation.
À cette occasion, le Festival présente, hors compétition et en première mondiale, la série événement
Heidi (coproduite par la TSR) avec Elodie Bollée, Carlos Leal et Cindy Santos. (Plus de détails, page 27)
Les inventions extraordinaires de Charley Bowers
Projection de trois courts-métrages exceptionnels du créateur américain
Une machine à rendre les œufs incassables, un arbre à chats pour contrer une invasion de souris, une
formule-miracle permettant d’obtenir des peaux de bananes antidérapantes… Ces inventions surréalistes,
nous les devons à Charley Bowers, cinéaste génial longtemps oublié, avant d’être miraculeusement
redécouvert par un rat de cinémathèque, à cinq francs le kilo de bobines récupérées.
Charley Bowers est l’une des figures les plus énigmatiques de l’histoire du cinéma américain. Né en 1889,
enlevé à cinq ans par un directeur de cirque, Bowers est tour à tour funambule, jardinier, jockey, garçon
d’ascenseur et dresseur de chevaux. Caricaturiste de talent, il collabore dès 1912 avec le pionnier du
cinéma d’animation Raoul Barré, pour lequel il tourne plusieurs centaines de dessins animés.
Dans les années vingt, Bowers réalise une série de courts-métrages fabuleux où il joue le rôle principal,
celui d’un inventeur loufoque dont les trouvailles sont aussi burlesques que poétiques. Mêlant prises de
vue réelles et animation image par image avec une inventivité inouïe, ces chefs-d’œuvre sont tombés
dans l’oubli le plus complet, jusqu’au jour où Raymond Borde, directeur de la Cinémathèque de Toulouse,
déniche chez un forain quatre boîtes rouillées…
Petits et grands pourront découvrir en musique trois «sommets» de l’œuvre comique et invraisemblable
de Charley Bowers, ce cinéaste qui faisait du surréalisme sans le savoir… Et, comme toujours à La
Lanterne Magique, les séances commenceront par un petit spectacle en lien avec les films présentés,
lesquels seront ensuite accompagnés en direct par un pianiste un brin échevelé!
Many A Slip (Bricolo inventeur), Etats-Unis, 1927, 12’
Now You Tell One (Non, tu exagères), Etats-Unis, 1926, 22’
Egged On (Pour épater les poules), Etats-Unis, 1926, 24’
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16. LES COLLOQUES INTERNATIONAUX
Vendredi 2 novembre 2007 – Colloque International
PRODUIRE ET CONSOMMER DE LA FICTION A L’EPOQUE D’INTERNET
Comment le WEB est en train de changer l’industrie des contenus audiovisuels
Proposé par le Geneva Select Market et Cinéma Tout Ecran
Lieu : Hôtel Royal Manotel,
41, rue de Lausanne, Genève
Horaires : 14h30 – 18h30
Langues : français, anglais
Intervenants (sous réserve) :
BBC, Interactive Drama & Entertainment «Jamie Kane» : Sophie Walpole, responsable de département
VRT, «EMMA» : Stef Wouters, PH manager Fiction VRT
Channel 4, (E4 ) «SKINS» : Bryan Elsley, créateur et scénariste
Parisienne d’Images : Catou Lairet, productrice
TSR : Philippe Berthet, responsable département Fiction, Françoise Mayor, Unité Production Fiction
EBU – UER : Nicoletta Jacobacci, responsable Télévision Interactive
Les étudiants des Écoles de Cinéma et Arts Visuels
FIPRESCI : Jean-Max Méjean, auteur et journaliste
La généralisation de l’usage d’Internet, dans les pratiques professionnelles comme dans les habitudes
privées, ne pouvait pas durer longtemps sans produire des effets et engendrer des évolutions dans la
manière de créer et consommer l’imaginaire audiovisuel.
Dans l’attitude même des auteurs et des cinéastes les plus « classiques » apparaissent de plus en plus
des approches et des comportements nouveaux, inspirés par les rapports nouveaux, que la présence
quotidienne d’Internet permet et suggère, avec l’ensemble du public et avec chaque spectateur.
L’ambition de ce colloque est d’enregistrer, classer et analyser les premiers changements que le WEB
semble déterminer dans une typologie centrale de la famille des objets audiovisuels : les programmes de
télévision, et en particulier les programmes de fiction et de divertissement.
La présence quotidienne du WEB agit sur ces programmes à deux niveaux :
•
•
comme outil de production inédit pour les professionnels de la télé.
comme nouvelle expérience pour le spectateur (ou web-tateur = webber ?) dans sa manière de
«consommer» ces programmes.
Sur le premier point, force est de constater que le WEB intervient désormais dans le processus de
création et de fabrication de contenus audiovisuels : dans la fiction aussi, comme il le fait déjà depuis
quelque temps dans les news et dans le domaine éducatif. Il fournit un support formidable et une ampleur
décisive :
•
•
•
au scouting des nouveaux talents, à travers des mécanismes classiques ou innovants : du
concours au Festival (le Cinéma Brut en France), du modèle YouTube à ses versions localisées
(moncinema.ch).
à la multiplication des sujets créateurs d’imaginaire, même au-delà des lieux et des formes
traditionnelles, comme les films courts, les programmes télé, la création vidéo.
au phénomène de la création collective, à distance, concurrentielle, ou de ses variations
«dérivées», comme le sampling, le re-editing, etc. (les puristes appellent ça de la génération,
plutôt que de la création de contenus = UGC // UCC).
Sur le deuxième aspect, on s’aperçoit que le WEB modifie les caractères mêmes de l’objet audiovisuel
(dans notre cas, des programmes TV de fiction) par le biais de nombreuses influences directes ou
indirectes. Dans la pratique courante de l’offre et de la consommation de télévision, tout comme dans
d’autres domaines audiovisuels (de la pub à l’édition vidéo), il produit entre autres :
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•
•
•
l’ouverture du texte audiovisuel (film, programme, jeu, fiction, etc.) à la dimension de l’hypertexte
(le déroulement linéaire n’est plus une obligation, mais une option à choisir et construire parmi
plusieurs possibilités).
l’inscription du «travail du spectateur» dans l’objet audiovisuel lui-même, dans sa structure et son
texte, qui est désormais conçu pour accueillir les réactions/contributions/modifications du
consommateur.
la nouvelle expérience du spectateur, qui n’est plus solitaire, enfermé dans sa dimension
individuelle, mais se nourrit de la relation aux buddies, qui partagent le choix du même
programme (voilà la community comme nouvelle unité de mesure, pas simplement quantitative,
de l’audience TV).
Pour essayer de cerner certains éléments en jeu dans cette évolution, nous allons faire appel à quelques
cas d’étude, et à leurs témoins directs : les producteurs, les auteurs de ces nouveaux objets télévisuels ;
mais aussi ces spectateurs, qui ont changé leur attitude et leur rôle en face de ces objets, qui sont
devenus «pro-sumers» (plutôt que consumers), en passant d’une certaine manière «de l’autre coté de
l’écran».
Dans le cadre de ce colloque, conçu et animé par Gaetano Stucchi et en collaboration avec la
FIPRESCI, un programme de films autoproduits sera présenté le vendredi 2 novembre dès 12h30,
au CAC Voltaire, salle Simon.
Samedi 3 novembre 2007 – Colloque International
LES SERIES, NOUVEL ELDORADO DE LA CREATION AUDIOVISUELLE ?
Proposé par Cinéma Tout Ecran, en collaboration avec SRG SSR idée suisse et la TSR
Lieu : Hotel Royal Manotel,
41, rue de Lausanne, Genève
Horaires : 13h00 – 17h00
Langues : français, anglais
Intervenants (sous réserve) :
Thierry Jousse, critique et réalisateur, France
Olivier Joyard, critique, Les Inrockuptibles, France
Robert Murphy, scénariste de Cape Wrath, Grande-Bretagne
Philippe Berthet, responsable département fiction, TSR
Alberto Chollet, directeur des affaires générales TV, SSR SRG idée suisse
Alix Nicole, achat et programmation fiction, TSR
Stéphane Mitchell, scénariste de Heidi
Rita Productions, producteurs de Heidi
Yaka productions, producteurs de Petits déballages entre amis
Évolution marquante du paysage audiovisuel, la présence des séries ne cesse de croître sur les chaînes
de télévision. Ce colloque offre un cadre de discussions entre les spécialistes des séries et le public,
autour des orientations actuelles de ce phénomène de société et du rapport entre séries et cinéma.
Les questions suivantes, entre autres, seront abordées :
•
•
•
•
•
Comment les séries s’inspirent du cinéma (langage, dispositif, écriture, etc.) et comment
influencent-elles à leur tour le cinéma ?
Comment expliquer l’engouement de certains cinéphiles, critiques ou universitaires par rapport
aux séries ?
Les séries peuvent-elles donner une nouvelle énergie créative au cinéma d’auteur ?
Assiste-t-on à une nouvelle politique des auteurs, notamment avec le rôle prépondérant du
concepteur (showrunner) et du scénariste ?
La situation en Suisse romande : présentation de la méthode de travail appliquée aux séries
Heidi et Petits déballages entre amis.
La discussion sera précédée de la projection du documentaire Hollywood : le règne des séries
réalisé par le critique Olivier Joyard (France, 2005, 53’)
La participation aux colloques est gratuite, mais l'inscription obligatoire auprès de:
Nina Bevar, [email protected], Fax +41 22 329 37 47
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17. WORK IN PROGRESS
Vendredi 2 novembre 2007 – Work in Progress
UNE PLATEFORME INTERNATIONALE POUR LE CINEMA SUISSE
Lieu : Théâtre Les Salons,
Rue Bartholoni 6, Genève
Horaires : 9h30 à 13h
Langues : français, anglais (avec
traduction simultanée)
Le Work In Progress est un workshop soutenu par l’Office fédéral de la culture et organisé en
collaboration avec Swiss Films et Fonction:Cinéma dans le cadre du Festival Cinéma Tout Ecran à
Genève. Il est ouvert à cinq réalisateurs et producteurs suisses développant un projet original de longmétrage de fiction.
L’atelier réunit cette année encore un panel d’exception chargé d’expertiser les projets de long-métrages
suisses, entre autres des professionnels de France, Belgique, Luxembourg, Canada, Autriche, Allemagne,
Hongrie et Chine. Il regroupe des représentants de chaînes de télévision, de sociétés de production
ambitieuses, d’institutions prestigieuses ou encore de sociétés de vente et de distribution.
Contenu (Work in Progress se déroule sur une demi-journée) :
•
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•
•
•
L’atelier commence avec l’analyse du cas pratique d’un film suisse coproduit avec l’étranger.
Les auteurs-réalisateurs viennent défendre leur projet.
Chaque présentation est suivie de la projection d’images déjà tournées par le réalisateur (pour ce
film ou pour un film précédent).
Elle est suivie d’une discussion et d’une évaluation des experts présents.
Le public a également la possibilité de poser des questions.
Objectifs :
•
•
•
•
Convaincre les producteurs étrangers de compléter le financement de films suisses en cours de
production.
Favoriser la réflexion sur le développement de projets originaux de longs-métrages de fiction.
Encourager une relation créative entre auteurs, réalisateurs et producteurs.
Mettre en réseau des professionnels suisses et étrangers et proposer ainsi aux candidats de
réelles perspectives de financement.
Les projets suivants sont pitchés :
BORDU FILMS (Genève) présente Ausencias de Milagros Mumenthaler
Producteurs : Eugenia Mumenthaler / David Epiney
PACIFIC FILMS (Genève) présente Début de fin de soirée de Frédéric Baillif et Mehdi Zollo
Producteur : Eric Garoyan
PLAN B FILM GMBH (Zürich) présente Lengua Madre de Barbara Kulcsar
Producteur : Chris Niemeyer
POINTPROD (Genève) présente Mémoire Blanche de Lorenzo Gabriele
Producteur : Jean-Marc Fröhle
VENTURA FILMS (Meride) présente Corps libre de Elena Hazanov
Producteur/Producer : Elda Guidinetti
Informations & inscriptions : auprès d’Isabelle Gattiker, [email protected]
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18. GENEVA SELECT MARKET
e
La 7 édition du Geneva Select Market se déroulera du 29 octobre au 4 novembre 2007. Premier
marché sélectif international de fiction en Suisse, le Geneva Select Market présente une sélection de
films de qualité pour le cinéma et la télévision.
Equipé cette année d’un serveur de streaming vidéo digital, le Geneva Select Market se dote d’un outil de
e
travail performant. Bluewin, partenaire officiel de la 13 édition de Cinéma Tout Ecran, a activement
collaboré à ce développement en apportant ce support technologique et grâce auquel le Geneva Select
Market peut dorénavant proposer une infrastructure à la pointe de la technologie. Grâce à la numérisation
des films, 362 œuvres sont disponibles simultanément sur 28 postes terminaux vidéo.
PROGRAMME ET CONTENU (les films de toute la Sélection officielle sont disponibles au Geneva
Select Market) :
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La Compétition officielle internationale est composée de longs-métrages internationaux
produits pour la télévision et le cinéma, et dont la qualité artistique répond aux exigences
cinématographiques.
Grand cinéaste sur petit écran, Michael Mann sera cette année à l’honneur. Des oeuvres TV
rares de Michael Mann seront présentées lors de l’hommage qui lui sera consacré.
International Series, Collections & Long dramas, véritable phénomène de société, ces formats
connaissent tous un succès retentissant sur les chaînes.
Regards d’aujourd’hui, la représentation du réel par la fiction. Des sujets forts et d’actualité.
La Sélection internationale des courts-métrages ainsi que la Nuit du Court
Cinéma Tout Mobile, le nouveau concours international de courts-métrages pour téléphonie
mobile (www.cinematoutmobile.ch), organisé par Cinéma Tout Ecran, Freestudios et Base-court.
Le Prix Swissperform, grand concours du film de télévision suisse.
Le programme jeunesse avec la Lanterne Magique : programme spécial et animations pour les
enfants, en partenariat avec La Lanterne Magique.
GENEVA SELECT MARKET
Programmes, séries et collections, courts-métrages
SWISS FICTION en partenariat avec Swiss Films : courts et longs-métrages, téléfilms. Catalogue
regroupant un large choix de courts-métrages suisses de fiction (2006-2007)
FIFDH en collaboration avec le Festival et Forum International sur les Droits Humains : sélection de
programmes présentés dans le cadre de la 5ème édition du FIFDH
CONTEMPORARY MEXICAN CINEMA
En collaboration avec le Festival Internacional de Cine Contemporaneo de la Ciudad de Mexico
PROJECTION PROFESSIONNELLE : PREMIERE MONDIALE
L’autre moitié, de Rolando Colla, Suisse, 2007, 35mm, 90’
er
En collaboration avec Regio Distrib et Peacock Film, jeudi 1 novembre 2007, 10h00, Cinéma Titanium
COCKTAIL ET DEJEUNERS
Traditionnel déjeuner Swiss Films et cocktail du Geneva Select Market/ Déjeuners quotidiens
Opportunités offertes par le GENEVA SELECT MARKET
- Vidéo librairie numérisée
- Catalogue spécifique répertoriant les films et les programmes
Heures d’ouverture : Accueil au desk du Festival de 9h00 à 19h00
Celya Larré - Reverdin, Coordinatrice : [email protected], Tél. +41 22 809 69 02
32
19. ARTE & TCM
ARTE, CHAINE CULTURELLE EUROPEENNE
Résolument tournée vers l’ouverture et la diversité culturelles, la chaîne franco-allemande ARTE est
diffusée en plusieurs langues à travers toute l’Europe et dans plus de vingt pays d’Afrique francophone.
En partenariat avec de nombreuses télévisions publiques européennes – RTBF en Belgique, TVE en
Espagne, SRG SSR Idée suisse, TVP en Pologne, STV en Suède – elle renouvelle chaque jour ses efforts
afin de créer de nouvelles pistes dans le traitement de l’image et de l’information. Dans sa programmation,
elle favorise chaque jour l’audace, la prise de risques et la liberté de création. Partenaire de Cinéma tout
Ecran depuis plusieurs années, ARTE partage avec le festival l’ambition de dépasser les frontières et les
catégorisations faciles. L’un comme l’autre privilégient ainsi le talent et la qualité, quels que soient les
formats, les supports et les origines des programmes qu’ils proposent au public, ils cherchent à faire
partager la singularité et le dynamisme de l’époque actuelle.
Cette année quatre Films ARTE sont présentés :
En Compétition Internationale :
•
•
•
La Pluie des Prunes de Frédéric Fisbach
Ravages de Christophe Lamotte
Was am Ende Zählt (Nothing Else Matter) de Julia von Heinz
Dans la section Regards d’aujourd’hui:
•
Mutum de Sandra Kogut
TCM
TCM, c’est la chaîne du grand cinéma. Tout simplement de grands films, de grands acteurs, des grandes
histoires, des grands moments de suspens, de rire et de plaisir. Avec une programmation de films
toujours plus récents et acquis auprès des grands studios américains et européens, TCM c’est plus de
100 films par mois qui vous emmènent, à chaque instant, dans un univers infini d’émotions à découvrir et
à partager.
Hommage à l’un des monstres sacrés du cinéma, Marlon Brando.
Brando, un documentaire inédit, produit par TCM en 2007 et sélectionné dans les festivals les plus
prestigieux. Pour compléter ce portrait saisissant et très personnel qui retrace la vie et la carrière de ce
personnage incomparable, TCM diffusera tout au long du mois de décembre huit de ses films.
•
Brando de Mimi Freedman et Leslie Greif, Etats-Unis, 2007, 165’
Mercredi 31 octobre - 20h15 – CAC-Langlois
33
20. INFORMATIONS PRATIQUES
CENTRE DU FESTIVAL
16, rue du Général-Dufour
1204 Genève
Informations – Accréditations – Accueil – Voyages
16, rue du Général-Dufour
CP 5759 - 1211 Genève 11
Avant le Festival : Tél. +41 22 800 15 54
Pendant le Festival : Tél. + 41 22 809 69 19
Fax : +41 22 329 37 47
www.cinema-tout-ecran.ch
Le 81/2
Bar du Festival à la Maison des Arts du Grütli
Heures d’ouverture :
de lundi à jeudi de 9h à 1h et vendredi et samedi de 9h à 2h
Tous les soirs : DJ’s, cocktails, dancefloor, ambiance lounge…
Un point de rencontre incontournable au cœur du festival
CENTRE DE PRESSE - Média Bus Bluewin
situé devant la Maison des Arts du Grütli
16, rue du Général-Dufour, 1205 Genève
Heures d’ouverture :
Du lundi 29 octobre au samedi 3 novembre de 10h00 à 19h00
Le dimanche 4 novembre de 12h00 à 16h00
Tél. +41 22 809 69 04
Fax +41 22 329 37 47
E-mail : [email protected]
Organisation presse :
Responsable presse et relations médias :
Adrian Stiefel (mob. +41 79 214 29 08)
Attachées de presse :
Dominique Saudan (mob. +41 79 215 30 24)
Katia Gandolfi (mob. +41 79 205 05 30)
Sophie Eigenmann (mob. +41 78 726 67 00)
Caroline Corminboeuf (mob. +41 79 237 47 07)
Dossier de presse - Conception et rédaction
Caroline Corminboeuf, Sophie Eigenmann, Katia Gandolfi, Dominique Saudan, Adrian Stiefel
34
ACCREDITATIONS PRESSE & PROJECTIONS
Votre accréditation vous donne le droit d'assister à toutes les séances de presse ainsi qu’à toutes les
séances du Festival (sauf celles prévues aux Scala et au Rialto Cornavin et à l’avant-première d’Eastern
Promises où un nombre limité de billets gratuits sont à disposition des journalistes au Centre de presse).
Pour les projections publiques et les avant-premières, une contremarque est nécessaire pour les
journalistes et pourra être retirée à la billetterie de la Maison des Arts du Grütli.
NUIT DU COURT-METRAGE
Votre carte d'accréditation ne vous permet pas d’assister à la Nuit du Court-Métrage. Un nombre limité de
billets gratuits sont à disposition des journalistes au Centre de presse. Une fois ce nombre écoulé, les
billets seront en vente au cinéma Titanium, dans la limite des places disponibles.
CABINES DE VISIONNEMENT
ème
Des cabines de visionnement sont à votre disposition à l’espace Marché - Geneva Select Market, au 3
étage de la Maison des Arts du Grütli, de 9h30 à 18h30. Pour tout visionnement, merci de consulter la liste
des VHS/DVD disponibles et de vous inscrire directement à l’espace Marché. Les places étant limitées,
nous vous recommandons de vous inscrire à l'avance.
INTERVIEWS
Une liste de présence des invités est à votre disposition. Veuillez faire vos demandes au service de
presse au plus vite (au moyen du formulaire qui vous sera fourni). Le lieu et l’heure des interviews vous
seront précisés ultérieurement.
APERITIFS PRESSE
Chaque jour, à 11h30, un apéritif est organisé à l’Espace Presse situé au rez-de-chaussée de la Maison
des Arts du Grütli (bureaux Swiss Films).
PHOTOS
Des photos en haute définition des films sont à votre disposition sur le site Internet du Festival :
www.cinema-tout-ecran.ch - nom : presse – mot de passe : CTE2007
PALMARES 2007 – CONFERENCE DE PRESSE
La conférence de presse finale aura lieu, samedi 3 novembre à 12h30, au Royal Manotel, Salon Eauxe
Vives Bertrand, et annoncera le palmarès de la 13 édition du Festival (embargo jusqu’à 20h).
PRIX DES PLACES
Plein tarif
CHF 13.-
Étudiants, chômeurs, membres Fonction:Cinéma
CHF 10.-
AVS, membres CAC Voltaire,
Carte 20ans/20Francs, écoliers
CHF 8.-
Abonnement - 5 entrées
CHF 40.-
Abonnement - 10 entrées
CHF 70.-
Pass général - plein tarif
CHF 80.-
Pass général - tarif réduit
CHF 60.-
35
COURTS-METRAGES
Tarifs des séances au Titanium
Une séance, tarifs et réductions en vigueur au cinéma
Soirée complète (mercredi, jeudi, samedi) :
CHF 25.-
Nuit (vendredi) :
CHF 30.-
BILLETERIE
Pass en vente au stand accréditations à la Maison des Arts du Grütli. Ils sont valables à toutes les
séances, sauf aux avant-premières, aux séances courts-métrages, à la Nuit du Court ainsi qu’aux
séances des Scala et du Rialto Cornavin. Pour ces deux salles, les tarifs appliqués par Pathé seront en
vigueur. Sinon, il est possible d’acquérir un forfait pour les soirées de vendredi et samedi au prix forfaitaire
de CHF 30.-.
Les personnes accréditées doivent se munir d’une contremarque à la billetterie pour entrer dans les salles
de projections. Pas de réservation possible.
Toutes les séances du matin de 10h à 12h30 sont gratuites.
LES LIEUX DU FESTIVAL
CENTRE DU FESTIVAL
Information, accueil, voyages, accréditations : ouvert de 10h à 20h
CENTRE DE PRESSE
Média Bus Bluewin, en face de la Maison des Arts du Grütli, devant le restaurant « Le Lyrique »
Tél +41 22 809 69 04 - E-mail: [email protected]
Horaires : du lundi au samedi de 10h00 à 19h00 - le dimanche de 12h00 à 16h00.
CAFE DU GRUTLI
Maison des Arts du Grütli, Rue Général-Dufour 16, Genève
Horaires : de dimanche à jeudi de 8h à 1h du matin – le vendredi et samedi de 8h à 2h du matin.
Le restaurant du Grütli vous invite à découvrir sa cuisine créative et proposera durant le Festival, des
menus, à midi et le soir, qui vous feront voyager de par le monde grâce aux épices et aux saveurs
d’ailleurs. Une petite restauration non-stop ainsi que des viennoiseries bio seront proposées dans une
ambiance chaleureuse.
1/2
8 / BAR DU FESTIVAL
Maison des Arts du Grütli, Rue Général-Dufour 16 - Tente du festival
Horaires : de dimanche à jeudi de 9h à 1h du matin – le vendredi et samedi de 9h à 2h du matin.
ROYAL MANOTEL
Rue de Lausanne 41, Genève
LES SALONS
Rue Bartholoni 6, Genève
36
LES SALLES DE PROJECTION
AUDITORIUM ARDITI
Avenue du Mail 1, Genève
CAC Voltaire (Salles Michel Simon & Henri Langlois)
Centre du Festival, Maison des Arts du Grütli, Rue Général-Dufour 16, Genève
FONCTION:CINEMA
Centre du Festival, Maison des Arts du Grütli, Rue Général-Dufour 16, Genève
PATHE RIALTO CORNAVIN
Bd James-Fazy 33, Genève
CINEMA TITANIUM
Rue de la Servette 2, Genève
LES SCALA
Rue des Eaux-Vives 23, Genève
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21. ORGANISATION DU FESTIVAL
Directeur général et artistique
Léo Kaneman
Adjointe à la direction générale
Celya Reverdin
Adjointe à la direction artistique
Jasmin Basic
Administrateur
Coordinateur général
Jeffrey Hodgson
Assistante
Anouchka Kuhni
Collaboratrice
Erika Lillo
Responsable organisation
André Gribi
Technique
Ismaïl Ozturk, Grégory Pédat
Logistique
Florian Lòpez, Fabienne Baudraz,
Marcel Conus, Nicolas Donnet
Sélection
Jasmin Basic, Edmée Cuttat, Léo Kaneman,
Serge Lachat, Sophie Eigenmann, Muriel Del
Don, Rosa Merlini, Alexandrine Neury, Giorgia
Del Don, Philippe Clivaz, Bruno Quiblier,
Massia Pougatch, Annie Lefèvre, Michel
Schopfer
Responsable presse et relations médias
Adrian Stiefel
Attachées de presse
Dominique Saudan, Sophie Eigenmann,
Katia Gandolfi, Caroline Corminboeuf
Coordination soirées
Thierry Bouscayrol
Cinéma pour tous et promotion
Nicolas Donnet
Responsable écoles
Dominique Hartmann
Responsable programmation
Jasmin Basic
Collaboratrice
Giorgia Del Don
Coordinatrice des jurys
Mireille Vouillamoz
Responsable jury des jeunes
Dominique Hartmann
Colloque International « Les séries, nouvel
Eldorado de la création audiovisuelle ? »
Jasmin Basic
Responsable accueil invités
Gabriella Zalapi
Responsable accueil accréditations
Mi-Yun Park
Collaboratrice accueil et responsable
bénévoles
Nina Bevar
Voyages
Caterina Mondo
Hôtels
Mireille Vouillamoz
Lisa Yahia-Cherif
Partenariat hommage
Rui Nogueira, Alfio Di Guardo
(CAC Voltaire)
Responsable programme courts-métrages
Philippe Clivaz
Collaborateur
Bruno Quiblier
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Responsable Geneva Select Market
Celya Reverdin
Collaboratrices
Jessica Dayan, Gisella Dufey
Colloque International «Produire et
consommer de la fiction à l’époque
d’Internet. Comment le WEB est en
train de changer l’industrie des
contenus audiovisuels »
Celya Reverdin, Gaetano Stucchi
Collaboration FIPRESCI
Pamela Biénzobas
Photolito
Bombie
Site Internet
David de Buck
Monoloco : Frédéric Reverdin
Gestion contenu
Florence Lacroix, Manuela Lienhard
Réalisation bande-annonce
Labelprod, Sandrine Garnier, Emilie Sion
Coordination
Anouchka Kuhni
Work In Progress
Isabelle Gattiker
Décoration
Love and Trust, Michel Rochat
Swissfilms
Micha Schiwow, Francine Brücher, Simon
Koenig, Marcel Müller, Sylvain Vaucher,
Sabine Rosset
Lumières
Déco-Light, Yvon Besson, Jean-Louis Besson
Chef opérateur vidéo
Thierry-Pier Graindorge
Administration des salles
Alfio Di Guardo, Dominique Marti-Dubois
Responsables chauffeurs
Guillaume Lagger, Guillaume Lambert
Responsable transport films
Emmanuelle Tréhard
Comptable
Nicole Mudry
Responsable catalogue et magazine
Florence Lacroix
Collaboratrice
Manuela Lienhard
Photographe
Miguel Bueno
Rédaction
Philippe Clivaz, Muriel Del Don, Alfio Di
Guardo, Sophie Eigenmann, Manuela
Lienhard, Bruno Quiblier
Traductions
Angela Bennett, Lia Lambert, Rebecca
Nakache, Jennifer Gay, Emmanuelle Chauvet
Régie publicitaire
Mediapresse
Graphisme
Lelgo, Elise Gaud, Gieri Cosson,
Céline Privet, Coline Davaud
Comité de Direction
Françoise Mayor (TSR), Alberto Chollet (SRG
SSR idée suisse), Willi Egloff (Swissperform),
Giulia Fretta (TSI), Madeleine Hirsiger (SF),
Léo Kaneman
Partenariat
SRG SSR idée suisse
Max Gurtner, Simon Meyer et Cécile Haas
Comité Association
Cédric Herbez, Léo Kaneman, Serge Lachat,
Alexandrine Neury, Mireille Vouillamoz,
Isabelle Gattiker, Philippe Berthet
39
22. PARTENAIRES DU FESTIVAL
PARTENAIRES OFFICIELS :
BLUEWIN, LOTERIE ROMANDE, SRG SSR IDEE SUISSE, TELEVISION SUISSE ROMANDE, LA
TRIBUNE DE GENEVE, ARTE, TV5MONDE, FONCTION:CINEMA, MANOTEL GROUP
PARTENAIRES INSTITUTIONNELS :
OFFICE FEDERAL DE LA CULTURE, PROGRAMME MEDIA, SWISSPERFORM, SWISSFILMS,
FIPRESCI, REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE, DEPARTEMENT DE LA CULTURE DE LA
VILLE DE GENEVE
PARTENAIRES MEDIA :
FRANCE CULTURE, ECRAN TOTAL, EURONEWS, LEMAN BLEU, RADIO LAC, ROUGE FM,
TOUTLECONTENU.COM, ACTIVITES CULTURELLES DE L’UNIVERSITE DE GENEVE,
TRAJECTOIRE MAGAZINE, MURMURES MAGAZINE
PARTENAIRES TECHNIQUES :
ACTION LIGHT, ACTUA FILMS, KODAK, DORIER, EGLIFILM, VIDEO-HIFITEC, TITRA FILM SA,
PARTY PARTNER SA, RAGGIO VERDE, AGILITY, SOSMAC.CH, APPLE, DECO-LIGHT,
LOVE&TRUST, SECURITAS
PARTENAIRES SALLES DE CINEMA :
CAC VOLTAIRE, AUDITORIUM ARDITI, PATHE, WORLD-DREAMS SA, CHEQUIER CULTURE,
20ANS 20FRANCS
PARTENAIRE SERIE :
AEROPORT INTERNATIONAL DE GENEVE
PARTENAIRE PROGRAMME ENFANTS :
LA LANTERNE MAGIQUE
PROGRAMMES SPECIAUX :
TCM, ORGANISATION MONDIALE CONTRE LA TORTURE
PARTENAIRES COURTS-METRAGES :
WALLONIE BRUXELLES IMAGES, UNIFRANCE, MIGROS POUR-CENT CULTUREL, SEMAINE
INTERNATIONALE DE LA CRITIQUE, KODAK, BASE-COURT
PARTENAIRES GENEVA SELECT MARKET :
OFFICE FEDERAL DE LA CULTURE, SWISSFILMS, FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM SUR
LES DROITS HUMAINS, REGIO DISTRIBUTION, FESTIVAL INTERNACIONAL DE CINE
CONTEMPORANEO DE LA CIUDAD DE MEXICO
PARTENAIRES CINEMA TOUT MOBILE :
BLUEWIN, FREESTUDIOS, BASE-COURT, LA
TOUTLECONTENU.COM, FNAC, MONCINEMA.CH
TRIBUNE
DE
GENEVE,
TV5MONDE,
PARTENAIRES VOYAGES :
AEROPORT INTERNATIONAL DE GENEVE, SIXT, GENEVE TOURISME
PARTENAIRES BARS ET SOIREES :
GENECAND, MARTINI BRUT, CARLSBERG, CARASSO, FREESTUDIOS, CAFE DU GRUTLI
PARTENAIRES COMMUNICATION :
LELGO (ELISE GAUD), DAVID DE BUCK, TRADEXPOR, SRO-KUNDIG, MEDIAPRESSE,
VELOPOSTALE,
MONOLOCO,
LABELPROD
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Dossier de presse

Transcription

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