mystère des jardins perdus anthony eglin
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mystère des jardins perdus anthony eglin
Le Mystère des jardins perdus Un roman policier d’Anthony Eglin Les critiques des blogueurs En partenariat avec Blog-o-book Un suspense rondement mené Pascal Le Bibliomane, http://lebibliomane.blogspot.com/ Deuxième volet des enquêtes de Lawrence Kingston, le jardinier-détective, Le Mystère des jardins perdus a pour cadre la région du Somerset où une jeune américaine vient d'hériter de manière inexplicable d'un manoir du XVIIIe siècle. Entouré de magnifiques jardins qui ont fait sa renommée dans la première moitié du XXe siècle, et qui depuis ont été laissés à l'abandon pendant plusieurs décennies, Wickersham Priory nécessite un effort colossal, tant en bras qu'en argent, afin de retrouver ses fastes d'antan. La nouvelle propriétaire des lieux, Jamie Gibson, qui a quitté les États-Unis pour les vertes collines du Somerset, est fermement décidée à prendre le taureau par les cornes et à redonner aux jardins leur aspect originel. Elle fait donc appel à Lawrence Kingston, ancien professeur de botanique et directeur de recherches à l'Université d'Edimbourg, qui coule une retraite paisible dans son petit appartement de Chelsea. L'ampleur de la tâche à accomplir ne va pas rebuter Kingston qui sera chargé de superviser les équipes chargées de redonner vie aux jardins de Wickersham et apportera ses précieuses connaissances dans cette entreprise de restauration. Le travail s'avère titanesque, les jardins sont recouverts de plusieurs mètres de ronces, les plans originaux ont disparu et il faut avancer mètre par mètre pour distinguer les essences rares, exotiques et précieuses enfouies sous la végétation anarchique qui s'est développée au fil des ans. C' est sous un immense amas de ronces que, dès les premiers jours, Kingston et son équipe découvrent une chapelle dont la présence était devenue insoupçonnable sous la prolifération des mauvaises herbes. À l'intérieur de celle-ci, un puits. Et dans ce puits, un squelette humain qui semble avoir séjourné ici depuis de nombreuses années. Qui était l'homme dont on vient de retrouver les restes ? Sa mort est-elle la conséquence d'un suicide ou d'un assassinat ? Mais cette découverte n'est que l'un des nombreux mystères qui planent sur Wickersham Priory. Pourquoi en effet l'ancien propriétaire des lieux, le major Ryder a t-il décidé à sa mort de léguer son domaine à Jamie Gibson, une parfaite inconnue avec qui il n'existe aucun lien de parenté ? Quelle est cette ombre encapuchonnée qui rôde la nuit dans les jardins ? Est-ce le fantôme d'un de ces moines de l'ancien prieuré qui occupait l'emplacement du manoir avant qu' Henry VIII et Thomas Cromwell ne décident en 1536 la dissolution des ordres monastiques dans le royaume d'Angleterre ? Lawrence Kingston va cette fois-ci encore mettre à l'œuvre ses talents de détective afin de percer à jour les mystères des jardins de Wickersham. Meurtres, trafic d'œuvres d'art remontant à l'époque de la seconde guerre mondiale, passages secrets, souterrains, sont au programme de ce roman-policier très british qui ne cède pas, contrairement aux tendances actuelles du genre, aux tentations de la surenchère d'hémoglobine, aux descriptions sordides de meurtres et de mutilations, et qui nous évite la présence du serial-killer de service. Anthony Eglin, qui comme son héros est un passionné de jardinage, nous livre ici un polar qui fait plus référence à Agatha Christie qu'à Patricia Cornwell. Il nous gratifie, en plus, de quelques passages sur l'horticulture et l'élaboration des vins californiens qui dénotent une passion et un grand savoir dans ces domaines, digressions qui ne ralentissent en aucune manière le rythme de cette histoire au suspense rondement mené mais qui reste tout de même de facture relativement classique. ** Un vrai policier, où l'on découvre de nouveaux indices au fil des pages Miss Alfie, http://croqlivres.canalblog.com/ Lawrence Kingston, jardinier en retraite, accepte de reprendre du service lorsqu'il est contacté par une jeune américaine, Jamie Gibson, qui vient d'hériter d'un manoir possédant de nombreuses années auparavant de magnifiques jardins. Fraîchement débarquée de Californie dans le Somerset, Jamie va découvrir aux côté de Lawrence le mystère qui règne dans les allées de ce jardin en friche et, peu à peu, éclaircir l'origine de ce mystérieux héritage. Proposé dans le cadre d'un partenariat entre BOB et Le Livre de Poche, j'ai reçu ce livre d'Anthony Eglin à mon retour de congés. De format poche, il se glissait parfaitement dans mon sac à main. Quant à la quatrième de couverture, elle avait eu le bon goût de m'appâter. C'est donc rapidement que je me suis plongée dans ce roman policier à l'atmosphère so british, où l'on prend le thé avec de bons cookies bien installés dans des bergères tout en feuilletant quelques magazines de vie à la campagne ! La première agréable surprise fut qu'au bout de la vingtième page, j'avais fait connaissance avec les personnages mentionnés sur la quatrième de couverture, et que les faits relatés avaient déjà été nommés. Bonne surprise après la lecture de la quatrième de couverture de L’Amour comme par hasard qui résumait bien la moitié du livre... Non, là, passées les vingt premières pages, on découvre du nouveau et des intrigues ! A préciser également : Le Mystère des jardins perdus est un vrai roman policier comme je les aime, où l'on découvre de nouveaux indices au fil des pages, au fur et à mesure des investigations de Lawrence, personnage principal que nous suivons tout au long de l'histoire. Personnage qui s'est d'ailleurs déjà illustré dans une précédente enquête autour d'une rose bleue. Un bémol à ce sujet : les nombreuses références qui y sont faites, bien qu'elles n'empêchent pas la compréhension directe de l'histoire. Ceci dit, l'ensemble fut un agréable moment passé dans ce jardin anglais en pleine restauration. Et les amateurs de jardinage apprécieront certainement la précision d'Anthony Eglin en la matière, passionné de jardinage et créateur d'une société de film vidéo sur l'art de jardiner si j'en crois la courte notice biographique au début du livre. ** Un parfait roman pour débuter les vacances ! Kali, http://kalistina.over-blog.com/ J'aime les romans policiers et j'attache autant d'importance aux personnages et au contexte dans lequel se déroule l'histoire qu'à l'intrigue elle-même. J'ai donc tout de suite été séduite par le héros du roman : un expert en horticulture ! Autrement dit, une promesse d'originalité. Kingston est donc un as des arbres, plantes, fleurs et tout autre élément pouvant composer les jardins... Ce qui donne au roman une petite touche particulière, notamment lors des passages où il présente son travail à Jamie, la jeune américaine qui l'a engagé pour réaménager ses jardins. On se laisse donc volontiers aller à imaginer sa splendide propriété, au gré des descriptions, ainsi que les autres magnifiques jardins que les deux personnages sont amenés à visiter. C'est à d'autres moments le monde viticole qui est évoqué : n'utilisant le vin que pour y faire mijoter bœuf ou volaille, je me suis moins facilement laissée embarquer par ces passages-là. Cela dit, ils contribuent à donner au roman une atmosphère très « nature », on nage au milieu des plantes, et c'est vraiment très plaisant – et nouveau pour moi. J'en viens à l'intrigue – quoi que j'en aie dit, ça compte beaucoup, quand même ! On aurait pu penser que l'auteur, lui-même expert en jardinage, aurait mis sa passion pour l'horticulture au premier plan et aurait laissé le coté policier un peu de côté. J'ai justement eu l'agréable surprise de suivre une véritable énigme, et de raisonner avec Kingston, sans tomber dans aucun des deux travers qui m'agacent : à savoir, soit découvrir le pot aux roses avec l'impression d'avoir été bernée tout le long (quand l'auteur sort sa révélation finale de derrière les fagots), soit justement ne pas avoir de surprise, parce que les choses auraient été trop évidentes. Ici, j'ai suivi les divers rebondissements en me posant des questions, sans deviner leurs causes, mais tout en les trouvant parfaitement justes lorsqu'elles m'ont été révélées. Bref, un parfait roman pour débuter les vacances ! Mon seul regret va au fait qu'il s'agit de la deuxième histoire mettant en scène Lawrence Kingston et que je n'ai donc pas eu la primeur de son travail d'enquêteur. ** Ceux qui aiment les jardins et les bons vins y trouveront leur compte Virginie, http://chrestomanci.over-blog.com/ J'ai reçu ce livre par Le Livre de Poche, via le Blog-O-Book, BOB pour les intimes., que je remercie tout deux d'ailleurs. J'ai mis du temps à le lire, mais heureusement je ne suis pas hors délai ☺ J'ai mis du temps à le lire pour deux raisons. D'une part, j'ai perdu l'habitude de lire en français, et je sais, c'est malheureux, sachant que c'est tout de même ma langue maternelle. Mais je me rends compte que j'ai de plus en plus de mal avec l'écriture française, qui est bien trop pompeuse à mon goût par rapport à l'anglais qui ne s'embête pas avec des tournures de phrases interminables. Rien à voir avec Le Mystère des jardins perdus, me direz-vous, mais en fait si. Le style ne m'a pas aidée à accrocher à ce policier. Je ne sais pas si cela vient du traducteur ou bien si c'est le style voulu par l'auteur, mais honnêtement, j'ai trouvé ça un peu trop lourd. Et j'ai trouvé que ça rendait les personnages fades. Il sont censés parler avec passion de ces sujets qui les intéressent (jardin, plantes, vignobles), mais pour moi ça reste plat, je n'ai pas ressenti cette passion. Je ne pense pas que ce roman me laissera un souvenir impérissable, je me suis beaucoup ennuyée dans ma lecture. J'aime beaucoup le genre policier, mais j'avoue que je préfère quand il y a un peu plus « d'action ». Mais ce n'est pas une critique envers le roman, juste qu'il n'était pas fait pour moi. Ceux qui aiment les jardins et les bons vins pourront y trouver leur compte, mais ce n'est pas spécialement mon cas. J'aime les jardins et les bons vins, mais pas au point d'en connaître tous les termes techniques, ce qui fait que l'auteur m'a perdue dans ses passages, surtout au niveau des jardins, j'avais du mal à me les représenter, parce que je n'ai pas une bonne culture horticole. En plus de tout cela, les trois-quarts du roman sont très lents, l'intrigue n'avance que très peu, et d'un coup le dernier quart passe à une vitesse folle, la découverte d'un souterrain sous la chapelle et le manoir, les peintures volées, le méchant qui arrive, la police. Et dans tout ça, il reste des questions sans réponse concrète, notamment à qui est le squelette retrouvé dans le puits. On suppose d'après toutes les suppositions faites par Kingston que c'est Kershaw, un ancien combattant de la seconde Guerre Mondiale qui a été emprisonnée pendant 20 ans à cause de Ryder. On s'en doute à cause d'une montre qu'il portait avec les initiales CMA, Christopher M. Archer, son cousin. Mais rien au final ne prouve réellement que c'est bien lui. Bref, un livre qui ne m'a pas plu plus que ça, mais qui plaira sans aucun doute à d'autres. D'ailleurs c'est le cas, et pour cela je vous invite à lire d'autres critiques plus enthousiastes que la mienne sur le Blog-O-Book. ** Mystère et secret … Saxaoul, http://saxaoul.canalblog.com/ Jamie, une jeune californienne, vient d'hériter d'un manoir du dix-huitième siècle dans le Somerset. Ce qui est incroyable, c'est qu'elle ne connaît pas le major Ryder, l'homme qui lui légué sa fortune. Le manoir, et surtout ses vastes jardins qui faisaient jadis partie des plus beaux d'Angleterre, sont dans un état lamentable – ils ressemblent à une véritable jungle – mais Jamie décide de quitter les États-Unis pour venir s'installer dans sa nouvelle demeure. Elle embauche Lawrence Kingston, un professeur de botanique, et se lance avec lui dans un projet extrêmement ambitieux de remise en état des jardins. La découverte d'un squelette dans le puits de la chapelle et les divers « incidents » qui s'en suivent transforment ce projet d'envergure en enquête policière. Kingston, expert en horticulture, devient petit à petit un véritable détective, aussi curieux que déterminé. Qui est donc le major Ryder dont Jamie a hérité ? Comment a t-il construit sa fortune ? A qui appartient le squelette retrouvé dans le puits ? Autant de questions auxquelles Kingston va s'efforcer de répondre. Voilà un petit roman sans prétention dans lequel je me suis laissée entraîner avec joie même si, c'est certain, je l'oublierai bien vite. Mais c'est aussi ça le lecture : passer de bons moments à s'évader même si c'est éphémère et sans suite. Je ne suis pas une grande fan de polars. Mon avis ne rejoindra donc peut être pas celui des spécialistes... D'ailleurs, s'il y en a parmi mes lecteurs, qu'ils n'hésitent pas à laisser un commentaire ! Les amateurs de jardins se régaleront sans doute à la lecture de ce roman. Ils pourront suivre avec moult détails l'avancée des travaux de restauration, les recherches dans les archives pour savoir à quoi ressemblaient les jardins au temps de leur splendeur, le projet de création de la roseraie et du vignoble, le travail d'équipe de tout le personnel, etc. L'auteur est un fin connaisseur du sujet, ça se sent ! Personnellement, ce n'est pas ce qui m'a le plus intéressée dans Le Mystère des jardins perdus. J'ai été plus sensible à la personnalité de Kingston, à sa relation avec Jamie et surtout à tout ce mystère qui plane autour du manoir et de son ancien propriétaire. Plus je réfléchis, et plus je m'aperçois que le mystère et le secret sont des thèmes que j'affectionne particulièrement en littérature. Merci à Blog-o-Book et au Livre de poche pour cet envoi. ** Et pour retrouver toutes les critiques sur Blog-o-book, http://www.blog-o-book.com/le-mystere-des-jardins-perdus ! cliquez ici :