lia Popote électorale. - Bibliothèque municipale de Senlis
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lia Popote électorale. - Bibliothèque municipale de Senlis
if(F DIX CENTIMES Année— X" 22 JUV/ ^ u,‘i,cf0 — D ix CENTIMES Dimanche 19T Juin 1919. LE COURRIER JOURNAL : SENLIS Paraissant le Dimanche pA I « M il.» ■. - - • tin *o. 'a*jhumï.v. L ,et <)1«» Ow 9 AB9NNT* # » * « • aèp ^ ^ 4 fr ^^ S'tr A b o n n e m e n t* p a r te n t Im h p i l ’l r i x fi< «M 1“ «?o d u 16 MM. les A c tio n n a ire s de la Société a n o n y m e d u « C o u rrier de l ’O ise, J o u r n a l de S e n lis », so n t in v ité s à assister a u x assemblées g én éra les o r d i n a ir e et e x tr a o r d in a ire q u i a u r o n t lie u a u Sièg e social, à S en lis, place de V H ô tel-d e-V ü le, n° i l , le M a rd i i7 J u in 1919, à d e u x heures. O rdre du J our de l’assemblée générale ordinaire : 1° Vérification et approbation des comp tes s’il y a lieu ; 2° Renouvellement du Conseil d’admi nistration ; 3° Nomination d'un Commissaire des comptes. _____ O rdre db J our de l’assemblée générale extraordinaire : Prorogation de la Société. Ce qui était prévu pour rflllemagne. On lit dans M on D im a n c h e , du 20 oc lobre 1903 : L ’A L L E M A G N E RÉPUBLICAINE D A N S DIX A N S A propos de la maladie de l’empereur Guillaume, atteint, assure-t-on, du même mal q u e son père, un journal de Berlin, 1» V o n v a e rts, rapportait ces jours derniers une curieuse prédiction. E le aurait été faite en 1849 au roi de Prusse Frédéric Guillaume, par une b o h é mienne alors très connue à Berlin comme habile cartomenctenne. En réponse aux questions de FrédéricG uillaum esur l’avenir de la famille impé riale et du royaume, la bohémienne e pria simplement d’écrire le millésime de l’a n n é e . . . ............................................... 1849 — Maintenant. Sire,continua-t 1 elle, replacez l’un sous l’autre et 8 sous le 9, chacun des chiffres de 4 ce nombre et faites l’addition. 9 L orsq u e le roi eut écrit le to ta l. 1871 — Sire, lui dit la bohémienne, ce t o t a l indique l’année où le royaume de Prusse deviendra l’empire d’Allemagne. C’est en eflet en 1871, au château de Versailles, que Guillaume Ier fut proclam»5 empereur. — Maintenant, Sire, continua la bohé mienne, faites pour ce nom bre.. 1871 la m ê m e opération que précé 1 demment, en le reformant sous 8 son dernier chiffre en ligne d'ad7 dition, et considérez le total. 1 1888 « Ce total indique l’année ou m ourra le premier nouvel em pereur allemand. On sait qu’effectivement l’E m pereur Guillaume 1er m ourut en 1888. — Si vous le voulez encore, 1888 Sire, continua la bohémienne, 1 faites pour ce dernier nombre 8 la même opération que les deux 8 précédentes 8 Le roi, très vivement é t o n n é , -----it scrivit encore le t o t a l ............... 1913 — Sire, lui di alors la bohémienne, ce total, j ’ai le regret de vous l’annoncer, in dique l’année où Y E m p ire a lle m a n d de v ie n d ra u n e R é p u b liq u e , et ajouta-t-elle, le tègne des derniers empereurs sera court. Cette prédiction aurait-elle frappé l’i magination mobile du Kaiser allemand ? On sait que sa maladie du larynx reste in quiétante, malgré les bulletins d’opti misme d’ailleurs discret des médecins .. En tout cas, jusqu ’à cette date de 1913, il y a u 'a encore en Allemagne deux élec tions générales du Reichstag. Or, si les résultats de ces deux élections sont en proportion des résultats surprenants de la dernière, toute en faveur des socialistes qui form ent le parti républicain allemand ; alors, il est bien à croire que la prédiction de la bohémienne se vérifiera encore ; au moins en ce sens qu’à cette date la majerité du peuple allemand sera en faveur de la forme républicaine de gouverne ment. Encore un grand sujet d’inquiétude pour le soudieux empereur ; même si la santé revient. I e plus sfir des Placements Vous voulez que votre argent vous ra p porte et qu’il ne coure aucun risque? Rien de plus simple. Vous effectuerez le plus rém unérateur des placements sûrs ; en achetant des Bons de la D éfense N a tio n a le . V oici à q u el p rix on p eu t o b ten ir im m éd ia tem en t c e s titr e s, qui ra p p o rten t 5 0 /0 d ’in térét. P R IX N E T d i» BONSdekDÉFENSE NATIONALE MONTANT SOM M E A PAYER P O U R AVOIR UN BON R E MBOUR S AB L E à l’échéance 1 MOIS 3 MOIS 5 2i 100 500 1 ,0 0 0 1 0 ,0 0 0 25 » » » - . m o is , — -- 99 49 8 » 997 » 9 ,9 7 0 e 70 99 50 495 » 99 0 » 9 ,9 0 0 » 97 » 48 8 » 977 » 9 ,7 7 5 75 75 50 > DANS 1 AN 5 20 95 475 950 9 500 » » » » > » On trouve les Bons de la D éfense N a tio n a le partout : Agents du Trésor, P e r cepteurs, Bureaux de poste, A gents de Change, Banque de Fiance et ses Suceur sales, Sociétés de crédit et leurs Succur sales, dans toutes les Banques et chez les Notaires. r ADMINISTRATION .'in rç a iix dn •lo'irnai » OU». : (j.V h o T îîi. — ,.B ' • — L UAv»a<’e eWoootiai# de pttiii di’oit jusqu I l ’aTis contraire C haque Ü , i 'i a e e le -V ille , «Jr TÉL. fi o Les m a n u s c r its , insérés m m o is . lia Popote électorale. Avis aux Actionnaires. DES BONS BUREAUX, RÉDACV # ea ta fct M h : ta t; Nous lisons dans le J o u r n a l de Clerm ont : J ’ai term iné m a dern ière chronique en rap p elan t au distin g u é réd acteu r en chef de la R é p u b liq u e d e l’O ise, q u ’il ne faut pas p arler de cordes dans la m aison d ’un pendu, Qu’il me perm ette a u jo u rd ’hui de lui faire rem a rq u e r que si l’on re n contre des b o u r r e u r s d e cy'ânes, des profiteurs de la g u e rre et d ’anciens em busqués u n peu dans tous les coins et dans toutes les classes de n o tre so ciété, la proportion de ces F rançais nés m alins est loin d ’être la m êm e dans ces m ilieux divers. Laissons de côté les b o u fre u rs de crânes, le bourrage, pour ceux qui ne se paient pas de m ots, n ’étant que l’a rt de faire p ren d re aux naïfs et aux im béciles, des vessies pour des lanternes. Et. j ’avoue que depuis longtem ps, radicaux et socialistes sont passés m aîtres en l’a rt de ber n er ceux qui les écoutent. En ce qui concerne les profiteurs de la g u erre, pas besoin de lu nettes pour reconnaître à quelle catégorie ils a p p artien n en t. Ils ont tous ou à peu près tous leurs petites et grandes entrées dans les m inistères, les pré fectures, tout au m oins chez les dé putés et sén ateu rs influents. C’est ainsi que l’on a vu des m arch an d s de gants s’im proviser fabricants de gre nades ou d ’obus et réaliser d ’énorm es bénéfices en quelques m ois. L orsque au cours d ’une in te rp élla tion, un député signala certains m a r chés scandaleux, M. B riand, alors président du Conseil, rép o n d it que ces abus étaient l’exception, que si l’on avait acheté des chandails à une fem m e-peintre, du velours à un h e r boriste, des m itrailleuses à un ban quier véreux, co m m an d eu r de la Légion d ’h o n n e u r, des pneum atiques inutilisables à un sén ateu r tom bé en enfance, ces scandales fu ren t res tre in t et q u ’on n’en avait tro u v é que soixante-dix par tro p m alpropres. M. B riand n ’était pas difficile su r la question de propreté, et l’on eût pu dresser une assez jolie liste de m archés crim inels, en plus des soixante-dix avoués. Toute une basse m m a n ité s’est ruée à l’assaut d ’un budget dont les m in istres eux-m êm es donnaient l’exem ple du gaspillage le plus effréné. Quand une pau v re fem m e touchait in d û m en t l’allocation de v ingt-cinq ou tre n te sous par jour on lui faisait ren d re gorge. C’était juste, m ais à condition que l’on fit ren d re gorge aux forbans qui ont ram assé des di zaines et des centaines de m illons au to u r de l’im m ense cham p de bataille, su r les ruines et s u r la m isère du peuple. Faut-il donc a tte n d re les hypothé tiques réquisitoires de la Cour des Comptes vers 1930 ou 1935 p o u r per m ettre le ch âtim en t des pillards et em busqués com m e le neveu de ce très gros et très richissim e négociant parisien, qui touchait une com m is sion de 1.250.000 francs su r un con tra t, et de soldat de 2e classe, pas sait officier en s’en rich issan t, loin des tranchées. Ah ! les em busqués. Rien de plus instructif que de revoir dans la m asse touffue des in trig u es — dont on a beaucoup et pas assez parlé — tou jours les m êm es hom m es et dans le fond les m êm es om bres puissantes. Qui ne se souvient de Rochette, em busqué de p ar la h au te protection du g ran d polichinelle national-H-er^é».; de Cochon, le dém énageur, m ué com m e ta n t d ’a u tre s en to u rn e u r d ’o bus ; du fam eux G rafunkel, fam ilier des plus h au ts fonctionnaires de la préfecture de police, qui trafiquait de réform es frauduleuses, de l’espion nage ; de L om bard, conseiller d ’a r rondissem ent de Sceaux, président du com ité radical-socialiste de son canton, qui présidait une vaste e n tre prise d’em busquage dont G arfunkel était le principal rab a tte u r. Le 18 novem bre 1914, le président du Conseil était interpellé au sujet des agissem ents d ’un préfet, ou plus exactem ent des préfets, dans la com Directeur-Gérant : E. LANCIAUX la durée de la guerre. position des conseils de révision. L’un de ces préfets avait agi en la circonstance su r l’ord re d ’un hom m e politique, l’un des plus pré tentieux et des plus a u to rita ire s p ar m i ceux qui em pêchaient le d ésem busquage tout en em b u sq u an t leurs protégés. Le général com m andant la région avait obéi au préfet et le d ire c te u r du service de santé av ait obéi au géné ral, ce qui revient à dire que les dé cisions du conseil de révision avaient été conform es aux ordres donnés par le politicien, aussi radical q u ’in fluent. . Des scandales de ce genre se sont répétés p arto u t et les influences des puissants du jour ont co n tinué ju s q u ’à la fin de la guerre à em busquer leurs protégés. Au tem ps déjà lointain où les am is politique de la R é p u b liq u e d e l'O ise m archaient à la conquête d e « l ’as siette au b e u rre » ses réd a c te u rs bo u rraien t des crânes en dénonçant les fils d ’archevêques em busqués dans les grasses sinécures. La R é p u b liq u e dont MM. B oufïandeau, Deshays, Schm idt sont les pontifs dans l’Oise, ignore les neveux d ’archevêques, m ais les fils et les neveux des parents et des am is de tous ceux qui ont p a rt au go u v ern e m ent, les rem placent par su rcro ît, en tem ps de g u e rre com m e en tem ps de paix. A trav ers les dures épreuves de la Patrie, les p a rtis au pouvoir n ’ont jam ais perdu de vue la popoté élec t o r a l e , et les l e c t e u r s de la R é p u b liq u e d e l ’Oise auraient pu voir et reconnaître les em b u sq u eu rs d errière les em busqués, si, com m e le m aître Gilles de la fable, M. Raoul A ubaud, n ’avait oublié d ’allu m er sa lan te rn e ! E m il e GOUILLARD. n* 11 - S KIV L I S E^EeiX A nn o n ces lé e a l e s ............... c .-la lig u e. A n u o n cefi'v o lo iitaira s Q,2& L’Amnistie et M. Paisant Les socialistes elles radicaux-socialistes rélam ent avec violence l’amnistie Parmi eux on remarque M. Paisant, député de Senlis. Yoici le compte-rendu de la séance ' ce sujet : « M M . P ierre L a v a l, P a u l Constans it A ld y insistent pouJ l’amnistie imméiiate. MM A u g a g n e u r, A n d ré liesse, P aiiant, T ho m so n supplient le gouvernenent d'apaiser leurs angoisses en s’en,'ageant à proposer l’amnistie aussitôt ipiès la signature des préliminaires de paix. 4. N a il répond que telle est l’intention lu gouvernement. ., si les circonstances p e rm e tte n t. [E x c la m a tio n s.) Malgré :S démarches de nombreux députés, qui e pressent autour du banc des ministres W m i lesquels on remarque M. Vi‘ C', lt garde des sceaux refuse d’en dire .a wtuation du ministère parait mena cée ; socialistes et caillautistes se réjouis sent bruyamment. LE VOTE Enfin, on vote, et l'a jo u r n e m e n t est voté p a r 3 2 6 v o ix contre 1 76. I — Pantins ! s’écrient les socialistes, furieux. Les socialistes, ra d ic a u x -so c ia liste s et autres q u i o n t f a i t to u t leu r possible pour désarm er la France a v a n t e t p e n dant la guerre, c o n tin u e n t le u r a b o m i n a b le m étier. A la solde des Boches et [des bandtts b o lcheviks, ils p u b lie n t des yfftjxn a u x in fâ m e s , rilum an ité, d u dèm té C achin, l ’a m i de L enine, le Popu laire, de L o n g u e t et au tres. \ La Démocratie Nouvelle les co m b a t àvec vigueur. Voici u n a rtic le q u 'e lle p u b lie dans u n de ses derniers n u m é ro s, et que nous so m m es h e u r e u x de re p r o duire : les Diffamateurs de la France ; La campagne de calomnies entreprise oontre la France continue. On n’ose dire son plein, car tous les jours ses m etteurs en œuvre dépassent leur record de la veille. Aux ennemis de la France on prodigue tous les encouragements. On les avertit qu’ils ont dans les pays par eux envahis, ravagés et pillés, chez les peuples par eux attaqués, ruinés et décimés, des alliés qui sauront s’interposer entre la justice et l’Allemagne. On n’a même plus la pudeur de main tenir les démarcations établies hier entre « socialistes du kaiser » obstinés et re pentis. Les Scheidemann et les Ebert, dont M. Marcel Sembat disait, il n’y a pas si longtemps, qu’ « ils ne se distinguaient du gouvernement de Guillaume II qu’en Voici juin, les beaux jours d’été et bien tombant au-dessous », deviennent les tôt, au son joyeux des carillons, ies blancs chevaliers servants de la justice et du essaims de premières communiantes m et droit du seul fait qu’ils refusent à la France les restitutions, réparations et tro nt une note de lumière dans les rues de la vieille cité senlisienne. P o u r ce garanties , d’ailleurs si précaires et si insuffisantes que le traité de paix lui ac grand jo u r tant attendu, la coquetterie corde. des mamans, dont je suis, ne perd pas ses On a pu lire dans le P o p u la ire du 14 droits. Cependant quelle que soit la joie de p a mai 1919 ces lignes : « Le gouvernement rer nos enfants, n ’oublions pas que nous Scheidemann Ebert s’oppose à la paix imne les habillons pas pour une fête mon Mrialiste de Versailles en préconisant le daine et que cette blanche toilette doit 4?fus de signer, tandis que les indépen conserver une simplicité toute mona dants s’opposent au traité q u’ils proposent de signer, en fa is a n t a p p e l p o u r le decale. Comme étoffe, servons-nous de la fraî j j j d J r. Il n ’est pas d o u teu x que c e tte ta c che mousseline plus ou moins fine. — On ■uqùa prévale. N u l d o u te que le p e u p le a tenté quelques essais de robe en crêpe a lle m a n d , m o m e n ta n é m e n t ju g u l é p a r de Chine ou tulle, mais c’est une recher l’im p é ria lism e a llié , ne soit délivré a v a n t p e u p a r les p ro lé ta ria ts des p a y s che déplacée. La mpe se fait un peu plus courte de l'E n te n te . » Les anciens minoritaires, qui mènent u’autrefois et n ’est plus ballonnée par le parti à la cravache, sauront imposer à eux ou trois jupons. — Elle se porte gé néralement sur un fond en pongée qui quelques députés du groupe encore hési laisse à la silhouette de la jeune fille toute tants la politique abominable qui consiste à p ro cu rer à V A lle m a g n e p a r l'a g ita la souplesse voulue. Le bonnet permet quelque originalité. tio n pseudo-socialiste, la revanche de Cependant je ne saurais trop vous mettre sa d é fa ite , à l’exonérer du poids de ses responsabilités pour écraser de ce fardeau en garde contre l’excès de fanfreluches. Le voile en tulle ou mousseline se borde ses victimes. P ar avance la nouvelle « majorité » d’un léger picot ou d’un ourlet à jour. Posez-le aussi simplement que possible, de prend ses précautions contre d’éventuelles manière que l’enfant puisse le rabattre résistances. Le secrétaire du parti, L. 0 . facilement pendant la cérémonie, et le Froissard, dans un article du P o p u la ire (14 mai) est catégorique : « Le parti se relever pour sortir. Une jolie fantaisie est l’aumonière en déshonorerait s’il acceptait, par son si mousseline, pareille à la robe et bordée lence, de se rendre complice de l’agression qui se prépare contre le droit à la vie du en plumets. Si pour la toilette de l’héroïne de la cé peuple allemand » (sic). Pouvons-nous garder un espoir que le rémonie, nous devons conserver la plus classique simplicité, nous pourrons nous parti aimera mieux se « déshonorer » aux dédommager dans l’habillement des autres yeux des zimmerwaldiens qu’aux yeux de la nation ? Nous n ’en croyons rien. Une membres de la famihe. Par exemple, pour expérience amère et déjà longue empêche une fillette de 4 à 6 ans, je signale une d’attacher la moindre importance pradque robe en crêpe de Chine, bleu pâle, garnie au i déclarations de principe le plus sou de roses ; elle sera tout à fait, seyante. Le chapeau de paille de riz, doublé de bleu et vent saines et parfois excellentes, que les prodiguent dans la F rance L igarni de brides roses, encadrera déli-f ^Quarante ,v _ „___ _ cieusement les boucles blondes ou b r u n e i ^ t ï S t f e prose édifiante ne se mue jamais en action : sauf u n e seule e x c e p de bébé. tion les quarante agissent et parlent H ortence d 'A lsace. comme si c’étaient leurs sosies, et non pas eux-mêmes, qui ratiocinent dans les colonnes de la F rance L ibre. Hier, aux arènes de Nîmes, une « grande manifes talion » réunissait, sur la même estrade, Interrogé à la Chambre, M. Abrami une troupe panachée, composée de MM. avait chiffré nos pertes à un million Cachin (centriste), Marius Valette (mino 38o.3,A0 morts. ritaire), Compère-Morel et Pouher (majo Le 28 avril 1919, à la cinquième séance ritaires) et Alexandre Bianc, kienthalien plénière de le Conférence, M. Léon Bour intransigeant. Comment prendre au sé geois a rectifié officiellement : un million rieux les discussions où se plaisent, sans sept cent mille morts. doute pour tuer le temps, en attendant ^ -------------,ïAr entrée en scène, les comédiens qui fraternisent sur les tréteaux ? Les Commerçants et Industriels ont 0 » ne se contente pas de donner aux oui intérêt à s’adresser à notre Im p r im e À'Iemands l’assurance qu’ils seront dé rie, 11, Place Henri IV, à Senlis, pour fendus envers et contre tous, que les re connaissances de dettes qu’ils seraient es Imprimés dont ils ont besoin. I I I T S E K T I amenés à signer seront déchirées, que les provinces danoises, polonaises, tchèques qu ’ils seraient obligés de lâcher leur seraient rendues. On fait encore tout ce qui est possible pour donner aux alliés de la France l’idée que la France est indigne de leur solidarité et de leur amitié. On s’ingénie à aigrir les rapports entre les alliés et la France, à animer les premiers contre la seconde. 17H u m a n ité du 22 mai 1919 (p. 2, colonne 3) écrit par exemple : « Notre change vient de faire une n o u velle chute en Angleterre et en Amérique et M. Edouard Julia a la naïveté de s’en émouvoir. Il n’y a pourtant là rien que de très naturel. L a ch u te de notre change est u n e lé g itim e m esu re de rétorsion prise p a r nos a llié s à raison de l'a tti tu d e in q u a lifia b le que nous avons à le u r é g a rd ». La France est toujours cou pable ; elle a toujours tous les torts ; et les alliés eux-mêmes, qui se conduisent si mal envers l’Allemagne, ont d’avance et nécessairement raison si, sur quelques points, ils ne sont pas d ’accord avec la France. • ^ ULan» «n vérité, que ce p*vs Soit ! I grand, sa pensée bien ci" -, sa volonté [ bien pure, pour que l’é tranger la com prenne et la respecte quand toute une organisation de diffamation, appuyée sur dix jo urnau x et autant de revues, s’acharne ainsi sur elle. G’est un réconfort, après avoir pataugé dans cette triste littérature, de lire un article comme celui que la N e iv -Y o rc k T rib u n e publiait récemment sous ce titre : L a F ra n ce, la vraie p a c i fiste. « Les F rançais, écrivait le g rand journal américain, c o n te m p le n t leurs provinces dévastées, ils p e n s e n t à leurs 1 .2 0 0 .0 0 0 so ld a ts m assacrés ; ils se r a p p e lle n t c o m m e n t il a f a l l u p lu s de trois an s p o u r fa ir e rec u ler la bête sa u va g e. Ils ne v e u le n t p a s d ’un e n o u v e lle g u e r re, même s’ils sont sûrs de la gagner. Q u a n d u n e bête sa u va g e co u rt la c a m p a g n e , ils ju g e n t p lu s sage de la p o u r chasser et de l’a b a ttre , ou to u t a u m o in s de l ’en ch a în er. En certains milieux on accuse la France d’étroitesse. En réalité, c’est une nation qui a de larges vues. S i l ’on r e je tte son a vis, il n ’y aura pas de désarmement et sa génération actuelle reverra probablement l’horreu r d’une autre guerre mondiale. L a F rance p e u t à coup siîr se v a n te r d'être la vraie p a cifiste. » Voilà ce que le socialisme français au rait dit très haut au monde s’il y avait encore un socialisme français. C arie m al heur n ’est pas qu’il y ait dans tous les pays un parti socialiste : le malheur, c’est qu’il y ait, dans tous les pays, un parti allemand. E dmond LASKINE. A PROPOS du Vote de la Chambre concernant le vote et l’éligibilité des femmes. Premières Communions. On nous écrit : Monsieur le Rédacteur en chef, Alors la Chambre a voté le droit de vote et de l’égibilité des femmes. Nos intérêts politiques... vont doge être mis aux mains de quelques femmes. Je ne fais pas de politique, c’est po ur quoi je m’intéresse peu aux votes de nos d é p u té s, mais c ep en dan t, laissez-moi, Monsieur le Rédacteur, discuter un peu s u r le bouleversement qui se produirait dans notre vie si cette loi était ratifiée par le Sénat. Electrices ! De quelle importance sou daine nous voilà revêtues ! En temps d’élection, nulle quantité n ’est négligeable, les doigts les plus correctement gantés se tendent vers la main du m anant : n ’estil pas une voix ! Combien verrons-nous redoubler autour de nous les attentions gracieuses les prévenances discrètes I On pouvait oublier, délaisser la femme, mais l’éleclrice ! Que de soins pour obtenir nos suffrages ! et celles d’entre nous qui dis poseraient de quelque influence, de quelle cour (pardonnez-moi l’expression) ne les en to urerait-on pas ! Quelle f o n u n e pour les fleuristes et les confiseurs ! Il est tou jours permis d’offrir à une femme des fleurs et des bonbons ; quelle consomma tion n’en ferait-on pas pour nous rendre favorables à tel ou tel parti ? Electrices ! cela ne dit pas tout. Nous se ro nt candidates, nous serons députées, nous serons sénatrices (Que l’Académie me pardonne, si j'estropie ces noms). Une de nous, chères lectrices, devien dra peut être un jou r qui sait ? présidente de la République ! Quel changement aussi dans nos habi tudes. Déjà nous trouvions à peine le temps de caser dans nos journées tout ce que nous avions à faire ; que sera-ce lors qu’il faudra ajouter les préoccupations et les occupations politiques. La simple électrice, elle, s’en tirera à bon compte r ce n’est pas une tâche bien absorbante que d’aller à certaines pé riodes porter dans l’urne un papier plié. Mais pour s’éclairer sur le nom à inscrire su r ce papier, il faudra se tenir au cou rant, lire les journaux, suivre les confé rences, se faire une opinion, choisir son parti, sa nuance, son groupe. Et celles que l’ambition mordra au cœ ur (elles seront nombreuses), qui aspireront a un mandat de députée, quel temps ne dépenseront-elles, quelles peines ne p re n dront elles pas pour l’obtenir ? Avec quel art seront menées, alors les campagnes électorales, puisqu’il est convenu qu’en fait de diploma ie, les femmes en eussent remontré à 'falleyran d en personne. Après cela, l’insuccès, avec ses déceptions, ses humiliations, ses rancunes qui seront si lourdes à supporter à la nature de la femme, essentiellement impressionnable et susceptible, et qui engendreront des jalousies et des haines mortelles. Ou bien le succès, avec ses obligations. NOS PERTES : 0 , 6 0 c . la k e n v * fr. — Les annonces, réclames, etc., concernant Paris et les Départements sont reçues directcmoaî am bureaux du journal. C hronique F ém in in e, 3 OJN S R é clam es.............................................7 ^ .............. —j K aits d i v e r s . . . . . . . . : . . . . . . . ON N 'A C C E PTE p a s D ’IN SERTION A U -D ESSO U S DE 1 FRANO 4 ne so n t p a s ren d u s. D E S Elue ! C’est alors que la femme ne s’appartiendra plusl Les séances à la Chambre, les questions à étudier, les dis cours à prononcer! Car, ou bien elles re nieraient entièrement leur sexe, ou bien nos députées parleront. Elles ne se don neraient pas tant de peine pour faire partie de la représentation du pays à seule fin d’opiner du bonnet et d éfa ire la silencieuse La tribune I elles la p ren draient plutôt d’assaut? Il y aura aussi les demandes à taire, les visites à recevoir et à rendre, les sollici teurs à entendre, les réceptions et les dîners officiels, mais tout cela rentre trop aisément dans les attributions féminines pour mériter d’être relevé. Concluons seulement que, quelque soit le rang que la femme occupera dans la sphère poli tique qui lui sera ouverte, une grande partie de ses heures devra, forcément, être consacrée à ses nouveaux devoirs. Que retranchera-t-elle de sa.vie pour y faire p lace? Les mondaines «hm ddnnero n t- e I!es do noie u r .-4 ; Iaisi rs et teursfè'és? Les m èi^s dé f.mfiilA leur foyé'K leur’ mari. ;rs .e .faals : Lus ’ Inbcriem ns, ceues dont le pain quotidien est subor donné à leur travail, la profession ou l’in dustrie qui les fait vivre ?’ .Pour celles-là, le traitem ent de députée pourrait re m placer avantageusement leur gagne-pain. Non, ces dames concilieront tout. Les mondaines introduisant la politique après la tasse de thé traditionnelle. Les mères de famille, étudiant les projets de loi en surveillant tant bien que mai leur inté rieur et en apprenant à-lire à leurs enfants dans les comptes-rendus de la Chambre. Les ouvrières se rendront à l ’atelier en réfléchissant aux revendications sociales qu’elles déposeront le lendemain sur le bureau de la commission, ou q u’elles im poseront au programme de leur candidate. Dans tout cela, la partie essentiellement féminine, celle des chiffons, ne sera pas entièrem ent délaissée. Nos: mondaines trouveront toujours le temps d’aller chez la couturière, conférer sur la coupe d’une robe pour le Sénat ou la Chambre. Il y aura au Palais Bourbon des chroniqueurs de mode, comme au théâtre ou aux cours ; et on lira, dans ies feuilles pari siennes : « La toute gracieuse Mme X... a prononcé un merveilleux discours ; elle avait un chapeau mordoré dont l’aigrette hardie s’inclinait à chaque inflexion de sa jolie tête, ponctuait ses phrases d’un mou vement plein d’autorité ». Tout cela sera c harm ant !... Et lorsqu’à mes yeux s’évoquent toutes ces images, lorsque je lis dans les jour naux q u’il est nécessaire qu’aujourd hui nous devenions des électrn es et même des élues, je me rappelle une gravure qui, un jour, par hasard, m’est tombée sous la main. Un intérieur de famille, une cham bre le soir : au premier plan, près d’une table où une bougie achève de se consu mer, une femme vêtue d’un peignoir dé chiré, les cheveux mis en désordre par la main qui, dans le feu de la composition, y fourrage, une femme écrit. On devine, à la lueur de ses prunelles, au geste em porté et théâtral de son bras, qu’elle ré dige quelque véhément discours, quelque proclamation destinée à soulever les masses : c’esi la femme candidate ou dé putée. Et derrière elle, dans le désordre de la cham bre, non loin du berceau vide, un fiomme en manches de chemise, promène, tout en chantonnant, un pauvre bébé en larmes qui tend vainement vers sa mère ses petites mains désespérées, tandis que son père, r.h ab ile à le consoler, ignorant ces subtiles et puissantes caresses des mères, regarde d’un œil découragé son enfant, pleurant, souffrant, p e ut-être? Et sa compagne qui, toute à son inspiration, reste sourde à l’appel du petit être né de sa chair et de son sang. Le voilà, le revers de la médaille : voilà pourquoi, commé épouse, comme mère de famille, sans chercher d’autres raisons sociales ou philanthropiques, je prétends que la place de la femme n ’est pas plus autour de l’urne q u ’au Palais-Bourbon ou ailleurs, mais bien là où l’on ne saurait se passer d’elle, où est son devoir en même temps que la paix, la sécurité et la dignité de sa vie : au foyer. En m ’excusant de vous adresser une lettre si longue, et avec mes meilleurs remerciements pour l’hospitalité que vous voudrez bien, je pense, me donner dans vos colonnes, je vous prie d’agréer l’assu rance de mes sentiments distingués. Lucie X... Un Allemand touche plus îaeilement une indemnité qu’un Français sa prime Le lieutenant de Chassin, qui inculpait avant-hier d’espionnage une domestique A llem ande, Hélène Natzod, a fait arrêter, hier, le frère de cette dernière, Oscar Natzod, âgé de 21 ans, qui est parvenu à pénétrer en France d’une façon peu ba nale. Ayant fait son service militaire en Alle magne, il se glissa à Kehl au moment de l’armistice, dans un groupe de rapatriés beiges et prit le om de Maurice Lefèvre. On ne lui demanda ai papiers ni r é f é r e n ces. U fut hébergé à Strasbourg au S e cours de guerre de Saint-Suipice. Au centre de rapatriem ent de Satory, on lui remit un titre de congé de deux mois et une indemnité de 180 francs. Grâce au titre il parvint à s'embaucher dans une usine de produits chimiques de Montreuil, où il gagna 22 francs par jour ; il y serait en c ore, si un vol de bicyclette ne l’avait tait injustement soupçon œr. Oa le fouilla e ou trpuvà Sur lui ses p’apiers au nom de Natzod. C imbien sont-ils dans ce cas ? C lu b m o t o c y e l i s to OUVERTURE d a n s n o t r e v ille. V o l d ’u n e m a g n é to . D’UN LOffice national de la main-d’œ uvre' On a soustrait nuitamm ent une maNotre confrère parisien M o to cyclism e, agricole vient de prendre, à leur égard, g n é to d une automobile militaire Panhard oigane ofliciel de l’Union Motocycliste de les dispositions suivantes : du 7U* R. A., remisée dans la cour de là France, a entrepris l’organisation dans A partir du l “r juin, les travailleurs des coopérative, rue de la République. par MM. Pierre Rameil et Bergeon, dépu dl(Le président expose que, malgré tous ; deux sexes de l’agriculture, des industries - es les grandes villes de France de Auteur inconnu. tés viennent d’inviter le gouvernement à nouveaux clubs motocyclistes. les efforts déployés depuis vingt ans, j agiicoles et des exploitations forestières déposer un projet de loi pour faire dé L a m o r la y c . ans notre région il existe de nom'Union Nationale n’a pu obtenir la njoin- , à' quelque nationalité qu’ils a p p a rtie n s ut Ex-premiôres des Grandes Maisons c l a r e r jour de deuil national le 2 novem breux pratiquants du sport motocycliste, dre satisfaction sur aucune de ses légi- : devront, H ausse illic ite . obtenir demilU Ilb * lpour 'U lil VJ U C Q l l 1 1 le i O transport LI <V11 ï ) I l U 1 l .à / L IO U Jl * k 1 , »• I , T • a A 4 de Paris bre de chaque année. limes revendications dont la plus impor- j ta n f sur les grands léseaux français c i r e r - «9 ne doutons pas qu il crée bientôt « La France à la veille d’organiser la Le tribunal correctionnel de la Seine, v v , r» ♦ n n y t i I I n o /m I 11 r» o ln K rt n n i r / x <v i l dans notre ville, soit un club nouveau, tante est la stabilité, que les gouverne- | munis : vient de condamner à de fortes amendes fête de la victoire, dise >t les deux parle Ht une section spéciale faisant partie de ments qui se sont succédé ne lui ont 1° De la carte de l’Office national de la mentaires dans l’exposé des motifs de et à des peines de prison, des spécula mire AiUomobile-Glub toujours fait que des fallacieuses pro m ain-d’œuvre agricole pour travailleur Oü, r u e d e l a R é p u b l i q u e leur proposition, doit apporter sa pre teurs, la plupart représentants, courtiers i/ Nous prions tous les motocyclistes de messes et qu’il n’y a eu aucune chance de des deux sexes de l’agriuulture, des in mière pensée et consacrer son premier ou négociants, pour hausse illicite. Un SE N L IS voir cette situation s’améliorer tant que dustries agricoles et des exTdoTtalh'ns ^ r é g i o n de bien vouloir demander tous acte à ses morts, à ses grands morts ; elle marchand de charbon de Lamorlaye, M. 1 enseignements à c e sujet à notre confrèie la forme actuelle de l’Union sera conforestières. doit compatir à la douleur des familles Pollet, qui se trouvait dans cette série de ' io to c y c lism e , \ , cité Paradis, à Paris, 2° Pour l’aller, d’un titre d’embau servée, , , mercantis, a attrapé 500 francs d’amende. victimes de l’horrible guerre. Après une discution générale, 1 assem ch ge légalisé par le maire de la com ui s’empressera de répondre à toutes les « Ceux qui sont tombés pour elle ont emandes qui lui seront faites. blée, tout en réprouvant les moyens de mune dans laquelle réside l’employeur droit à sa reconnaissance et à son admira M ines D e n jc a n et M ailles ont IV ogen t-su r-O Ise. violence et de désordre, mais résolue à embaucheur. l’honneur d’informer les habitants de tion. » combattre avec la plus grande énergie R enversé p a r u n e a u to . 3° Pour les déplacements successifs, de F o n ts e t C h a u s s é e s . Mais il ne laut pas que cette reconnais Senlis q u’elles ont repris le Magasin de l’indifférence gouvernementale, décide, wtifhwiajde. c«ssaîion_i<LtiasâiiJÉsïaJ’ Le chef de.: service des tréfileries de sance et cette admiration soient passa ... -?&aiaLl919. M. llargm. inMe J e M i n e M b u î i u , 17, p la c e de à l'u n a n im ité , la transformation de l’A par le m aire du la com m une' du 'ï <u.' ■ génleur ordinaire des Ponts et Chaussées nftres. , la S e n tis, e t ifo e ~ l-Cft' t t üruvefa Çreil, M. Edouard L a n nette, revenait de micale en Syndicat avec affiliation à la yeu r et de n o u v ea u x titres d’embauohis£è Une journée des « morts pour la toujours dans leur magasin tous les a r cette lo ca lité eu b éca n e, lo rsq u e ufrivA * de S” classe, à Senhs, a été chargé, sur G G T lé g a lis é s, co n fo rm ém en t a u x dispositm ni près de F « Hôtel des Trois Rois », anev F r a n c e » sera lam eilleure manière de per ticles de M ercerie, L in g erie, B o n n eterie, sa demande à la résidence deM ontargis, Elle décide en môme temps d’englober du paragrap he 2. automobile venant derrière lui ayant pétuer le culte des victimes de la P a r fu m e r ie , G a n terie, L a in e, etc., etc., dans le syndicat tous 1 es employés agents Pour le retour (au point de départ pmf de l’arrondissem ent deM ontargis du s e r voulu se garer d une voiture venant en guerre. dans les meilleurs conditions de prix et vice ordinaire des Ponts et Chaussées du et ouvriers communaux nommés en con sens inverse, est venue serrer le cycliste E t MM. Pierre Rameil et Bergeon de les travailleurs résidant en France, à a que tout sera fait pour satisfaire la clien départem ent du Loiret, en remplacement formité de l’article 88 de la loi municim andent que, le 2 novembre, le pavillon qui a été renversé sur le trottoir et point frontière pour les travailleurs ératèle. de M. Gournel, appelé à une autre deslipale. blessé assez grièvement au bras gauche français soit mis en berne partout. Tou grés) d’un certilkut de cessation de travat Puis, après examen de la question de et à la cuisse. En outre, sa bécane a été chante idée qui ne peut qu’être approuvée légalisé par le maire de la commune & latiou. E ta t C ivil d e S e n lis Cette disposition aura son effet à partir relèvement des traitements et du projet endommagée. i’employeur. par tous. de loi déposé sur le bureau de la Cham du 23 au 30 mai 4919. Le conducteur de l’auto, M. Antoine Auguste Comte a dit justem ent que N o ta . — La femme et les enfants ci l ’une date qui sera lixée ultérieure bre par MM Bouveri et consorts, l’as Rose, chauffeur à l’usine des produits l’humanité était composée de plus de morts travailleur âgés de plus de 7 ans, seroit ment. *------Décés. semblée désigne les délégués chargés de chimiques de Villers-Saint-Paul, a dé que de vivants. C’est encore plus vrai également transportés à demi-tarif à :a 23 — Van Lierde Marie, 40 ans, manouvrier, A v ia te u r s c it é s à l’o r d r e la représenter au prochain Congres qui claré q u’il ne s’était pas aperça de cet maintenant. condition de voyager avec le chef de IV rue de la Poterne, 15. d e l ’A r m é e . se tiendra à Paris les 7, 8 et 9 juin p ro mille et d’être munis comme lui, de la accident. MM. Pierre Rameil et Bergeron ont 27 — Bégbin Adèle-AnneRe, verve Clin, chain. M. le docteur Belle a prodigué ses soins raison de vouloir q u ’on ne l’oublie h ’O ffic ie l publie un certain nombre de carte, mais ils sont dispensés de certificats. 84 ans, place de la Halle, 5 bis. Il est enfin procédé à la constitution au blessé, qui éprouve un préjudice d’en 27 — RechRabert-Louis, 4 mois,Faubourgcitations relatives à des officiers et sous pas. du bureau qui est composé des cama Saint-Martin, t. viron 250 francs. officiers morts glorieusement pour la 29 — Rogé Louis-IIubert, 68 ans, rentier, rades ci-aprés: France, parmi lesquelles nous relevons C oncours pour l’em ploi rue Saint-Framboarg. P ré sid en t, M. F. Lévêque (Beauvais); I s suivantes co icernant les héros avia d ’in sp ectrice d ép a rtem en ta le V ic e-p ré sid en t, M. G Trouvé (CompièPublicaHons de mariages. teurs inhumés dans notre cimetière : s ta g ia ir e du travail. C R E I P Y gne); S ecrétaire, M. Quentier (Beauvais); 30 — M. Cyrille-Amédée Goppé, demeurant F AGE OU (Françuib-Piem-Paui), capitm ie Un concours pour six emplois d’inspec au secteur a-ro auiiquedu 23e G. A. : officier T résorier, M Calais (Senlis); M enbres, à Senlis, actuellement aux armées, V ol en gare. et Mlle Marcelle-Joséphine Simon, trice départementale stagiaire du travail d’élite, supérieurement doue au point de vue MM. Cbaillier (Nogent sur Oise); Mersans profession, demeurant èGivet. au ra lieu à Paris, le 43 octobre prochain. lier (Clermont), Petit (Creil) et Seclève de l’intelligence1 admirable de sang-iroid et On a déplombé un wagon contenant des Les journ aux nous apprennent que les Le programme du concours est à la d’énergie, '.onstamment appelé pendant plus (Mouy). ___ denrées alimentaires appartenant à l’a r servantes anglaises viennent d’établir un disposition des intéressées à la Préfecture de trois ans aux points les plus exposés du mée et soustrait 40 kilogs de café d’une cahier de revendications, lesquelles sont et dans les Sous-Préfectures ou au Minis champ de bataille, n’a cessé au cours de plus V isites p a sto ra le s. valeur de 200 francs. momentanément au nombre de cinq. C’est tère du Travail (Direction du Travail, 2e de sept cent heures de vol sur l’ennemi, d aAuteur inconnu. évidemment peu, surtout si l’on considère On lit dans le B u lle tin re lig ie u x : bord comme observateur, puis comme pilote Bureau), à Paris, 80, rue de Varenne. F ê t e A tié tiq u e qu’il s’agit en l’espèce de réclam atio ns et commandant d ésca d n ile, enfin comme coin « Monseigneur a rempli, du 11 au 19 Vol de d e u x bécanes. mandant d’aéronautique de C. A., de faire purement féminines. mai, la première partie de son program m e, O rganisée p a r l ’A n n u a ir e des S p o rts L’homme d’équipe de la Gie du Nord, f’admiration de tous par sa grande bravoure et Yoici l’article 3 : en achevant la visite pastorale de l’arohide P icardie et N o rm a n d ie Paul Thellier, revenait avec son beauson ardeur infatiguable. Tombé glorieusement, a. Quand i no mai>>'‘>ss8 de maison ’ 'man or*iê do SenjiFvyiy.? les graves é ,,/’ 'm e n ts frère Albert Picart, livreur épicier, de L’A nnuaire des Sports de Picardie et .!«. 2E. juin 19i8, à '-a suite dlu» combat contre dera à une servante des oertiiica.s,' eu e uevra i ». de l’an derùîè, aient forcé ü'yJSJlâ-oaicinq âvio *s ennemis, au cours d’une reennfaire une p ro m en ad e, lo rsq u e pour se N orm an die dont nous venons de sa lu er elle-même,fournir des références. pre. Les doyennés de Creil, de Chantilly, uaissance importante que, se sachant lo m eil désaltérer, ils e n trè re n t au café Poulain, l’apparition poursuivant la réalisation de E v id e m m en t ces r é fé re n c e s s e ro n t conune partie de ceux de isenhs et de Nanleur il avait tenu a assurer personeltement. C o n se il M u n ic ip a l. sou program m e de rénovation et de diffu laissant leurs bécanes à la porte. Quand teuil-le-Haudouin ont été successivement tituées p ar des certificats que v o u d ro n t LE POUPON (Raoul), capitaine à l’escadrille sion, organise pour ie'45 Juin prochain ils sortirent quelques minutes après, ils Le Conseil municipal s’est réuni hier Spa 53 : officier d’une haute valeur morale, parcourus. P artout, les populations qui bien délivrer les se rv a n tes p ré c é d e n te s, eurent la désagréable surprise de consta une grande manifestation sportive à Creil vendredi, à 8 h. 1/2 du soir, pour délibé passé dans l’av.ation comme observateur après voyaient pour la première fois leur Evê lesquelles atte s te r o n t, p a r exe m ple , que (Oise) au profit d’une œuvre humanitaire ter que leurs machines n’étaient plus là. avoir reçu une blessure le rendant inapte à rer sur un certain nombre de questions à « m a d am e » est d ’h u m e u r plu tô t égale, se que, lui ont fait un chaleureux accueil. et patriotique : Les colonies Scolaires de P r é ju d ic e : 370 francs. — A uteur in l’infanterie. A toujours fait preuve, dans l’ex é l’ordre du jour. dispute r a r e m e n t avec « m o n s ie u r », n ’est Saut deux ou trois exceptions, tous les Vacances. cution des missions qui loi étaieut confiées, connu. Nous donnerons le compte-rendu dans! maires, à la tête de leurs municipalités, pas tro p curie use à l’e n d r o it des fluctua d’une conscience ab-olue, poussant au plus Cette manifestation p rend ra le nom de notre prochain numéro. tions du co u rs du b e u r r e , et q u ’elle ne ont tenu à saluer Sa G randeur, et à l’a s haut point la conception du devoir. Est g lo « Challenge de l’Annuaire ». B é th is y -S a in t-M ar lin surer du parfait accord qui règne entre reçoit pas de gen s ta ré s à son « jo u r », rieusement tombé, au cours d'un combat Les épreuves suivantes y seront disputées; S u ic id e l’autorité civile et religieuse. MM. les aérien, livré à la suite d’une liaison d’infante etc. 400 mètres plats ? ? ? Revendication n° 4 : Curés ont présenté sur l’état de leurs rie qu’il venait d’accomplir. Dans un accès de désespoir, le vannier 1500 mètres plats JULLIÈRE (Joseph-Paul), mie 560, adjudant paroisses des rapports précis, docum en 4. Ces domestiques recevront une indemnité Senlisiens qui, malgré les démarches Auguste Debaye 75 ans profilant de ce 3000 m. relais (équipe de 3 coureurs) (pilote), à 1 escadrille Spa 53 : sous-officier pi pour le travail supplémentaire causé par les tés. . . » que sa femme, née Aline Thieux, était sans cesse renouvelées que vous avet Saut en hauteur avec élan lote ayant toujours éié considéré dans son visiteurs. allée à son travail, s’est pendu dans son faites sans succès d’ailleurs, pendant la escadrille comme un modèle d’abnégation et Saut en longueur avec élan La fréquence et la durée des visites atelier et en outre s’est tirer un coup de guerre, pour obtenir marchandises, ftmrAllocation aux prison n iers civils. de devoir. Engagé volontaire pour la durée de Lancement du poids pourraient être inscrites soigneusement carabine Flobert à la tempe gauche. n itu re s, matières p rem ières, d e n ri^ F la guerre, déj i trois fois cité a l’ordre a trouvé Elles sont ouvertes à tous les clubs et Les habitants des régions libérées qui sur un regislre spécial numéroté et p a ra Le docteur Hazard de Bèthisy-Saintune mort glorieuse au cours d’un combat charbon, etc., savez-vous que vousavieî; individuels de la Picarcie et de la Nor ont été traités par les Allemands comme phé par une « autorité » quelconque ; de aèrisn livré à la suite d’une liaison d’infante Pierre, appelé aussitôt n’a pu que cons parmi vos concitoyens un « débrouillard». mandie. des prisonniers civils ont droit à une plus, une indemnité supplémentaire po ur rie qu’il venait d accomplir. Pourquoi n’avez-vous pas été lui de tater le décés. Le club ayant eu trois de ses représen allocation égale au rappel de prêt attribué EHRHARDT (Pierre-Edouard) lieutenant à rait être réclamée au cas bù les m aîtres mander des coflseils ? . ty tants les mieux classés dans les épreuves aux prisonniers militaires. l’escadrille Salm 17 : observa eur d’une ad de ta maison recevraient la visite de gens E m é v ille . I L pourrait peut-être donner mainieorganisées sera détenteur du « Challen Cette allocation sera payée sur les bases mirable bravoure ; a toujours été pour son qui salissent exagérément. nant aux démobilisés la marche à suivre U n d é p ô t de m u n itio n s q u i sa u te . ge ». Le classement sera fait par addition escadrille un exemple d’intrépidité, d e s m g suivantes : Terminons par l’article 5, le plus gros pour faire activer le paiement de leur froid et de dévouement Déjà trois fois cité à de poi*fô. D’août 1914 au 30 septembre 1915 : E ntre Eméville, petite commune située de conséquences pécuniaires pour les prime de démobilisation ! l’ordre dans la bataille des Flandres A trouvé L e r droits d’engagem ent sont les sui à l’extrémité est du département de l’Oise 0 fr. 05. gens que les articles précédents n ’auront une mort glorieuse, le 3 juillet 1918, en soute vants : Du 1er octobre 1915 au 30 septembre et Haramont (Aisne), sur la voie ferrée de pas découragés, et qui s’obstineraient n a n t, au cours d’un réglage, un combat contre 40 frs pour les sociétés concourant pour 1918 : 0 fr. 25. Compiègne à Viilers-Cotterets, un dépôt quand même à vouloir une ou des ser '5 avions en leiris. D é p ô t d ’a r m e s le « Challenge » non inscrites à l’A nnuaire Du l ,r octobre 1818 au 11 novembre de munitions a sauté. Le train partant de FILON (Fernand). mie 7559, sergent à l’esvantes : de 4949. Les personnes qui ont déposé des armes 1918 : 0 fr. 75. dadriile Salm. 17 : jeune pilote qui s’est im Compiègne n’a pu term iner son parcours, 5. Une maîtresse de maison qui, dînant en Ce décompte sera établi par la Préfec à la Mairie depuis 1914 sont instamment 5 frs pour les sociétés inscrites à l’Annu la voie ôtant obstruée. posé de suite par son allant et son courage. ville ou allant en soirée fait attendre sa seraire de 4919. ' Glorieusement tombé, le 3 juillet 19i8, en ture non par jo ur mais par mois ; tout priés de les reprendre le plus tôt va.oia D.cu'-i’. l’aider. sa. toilette de nuit, devra Le v illa g e de H aram ont a é té év a cu é. Il soutenant un combat contre cinq avions enne Elles devront s’entendre avec M. Beaufort, 0 fr 25 par coureur et pur épreuve. mois commence étant acquis à l’intéresséavoir au moins deux servantes pour assurer à n'y a pas de morts, mais les dégâts sont mis. chacune d’elles un nombre d’heures de som surveillant des travaux, pour le jour et Ceux-ci trouveront dans les mairies de Le program me sportif de la jo u rn é e im portants. meil sulfisant. l’heure de l’enlèvement. leur commune de résidence tous rensei sera complété par les épreuves suivantes; D é m é n a g e m e n t g r a tu it . En somme, pourquoi n ’y aurait-il pas gnements utiles pour établir les demandes 60 métrés minimes (coureurs de moins S a in t in e s . un article 6, qui serait à peu près conçu qu’ils auront à produire. de 46 ans préseutés par leur club) M. Henri Lagrange, maçon, habitait A la M a n u fa c tu r e . en ces termes : Un b e a u g e s t e . Combats de boxe avant sa mobilisation, en août 1914, un « Toute maîtresse de maison qui p re n Tournoi de tennis Sont nommés ouvriers titulaires du Le Conseil municipal de Beauvais, dans logement rue de la Poterne, n° 8. P en sion s m ilitaires. dra une servante devra obligatoirement Sport gai. cadre de la fabrication à la manufacture Quant il revint, démobilisé, le 30 avril une de ses dernières réunions, a décidé, se procurer une domestique qui sera mis Le règlement détaillé du « Challenge d'allumettes de Saintines, les candidats L’Union nationale des Anciens Mili suivant en cela l’exemple de l’Etat, de dernier, il constata que ses meubles, linge à la disposition de cette servante et ne de taires de tous grades (officiers, sous-offi sera envoyé gratuitem ent à tous les clubs militaires désignés ci-après : et outils avaient été enlevés sans qu’il majorer de 20 francs par mois la pension vra recevoir d’ordres que de cette der ciers et soldats) en retraite ou en instance qui en feront la demande. Biancardini, Acquaviva, Millpt, Car des petits retraités, sur les fonds de la soit prévenu. nière ». Les engagemeuts sont reçus dès à pré rière et Baldassari. Connaissant l’auteur de ce déménage de retraite, 2, rue d’Amsterdam, Paris, Caisse de retraites municipale. Il faudrait prévoir aussi que des m aî fa it un pressant appel à tous les intéressés sent et ju sq u ’au 40 Juin au siège de l’Anment gratuit, M. Lagrange, qui habite Il a porté de 3 à 5 francs par jour Fin tresses de maison seraient tentées de de V e r s ig u y nnaire des Sports, 48, rue Grenèta, Paris maintenant la commune de Vineuil, a in à la révision des pensions d’ancienneté et demnité de cherté de vie accordée aux venir à leur tour servantes et, faute de (2e), Tel Gut-65-38. formé les gendarm es à toutes fias proportionnelle, à l’augmentation des F ia n ç a ille s fonctionnaires municipaux. pouvoir le leur interdire, il serait tout au tarifs de toutes les pensions, à la réversi Ces décisions ont leur eflet du l ' r jan utiles. Nous apprenons les fiançailles de M*11» T a b le a u d 'a v a n c e m e n t. ». moins opportun, si elles voulaient faire bilité sur les veuves et en général sur vier 1919. Blanche de Kersaint, fille du comte de partie du syndicat, de leur faire verser Pat mi tes ingénieurs inscrits au tableau toutes les améliorations en faveur des L es P r é v o y a n t s d e l ’A v e n ir . Kersaint, oouseiller général du canton de une somme assez importante dans la d’avanceme ,t pour le grade d’ingénieur retraites. La recette mensuelle de la 585e Section Nanteuil-le-Haudoun et de la comtesse A la G a r e . caisse dudit syndicat, car il est assez juste en chef, nous avons le plaisir de relever Tous les nouveaux adhérents recevront aura lieu dimanche 4er juin, de 9 h. 4/2 à née Mailly-Vesle, avec le comte Ferdi que tout avantage se paie... Dans un de nos derniers numéros, le le nom de M. Tumerelle, de Creil. gratuitem ent un fascicule donnant des 11 heures du matin, chez M. Razet, rue de nand du Chastel, officier dans l’armée bel Cartage . C ourrier de l'Oise signalait les difficultés M. Tumerelle est un des meilleurs col détails importants sur les pensions, l’ac P a n s , à Senhs. ge, fils du comte Adolphe du Chastel et causées aux voyageurs qui pénétraient à laborateurs de M. l’Ingénieur en chef tion efficace de l’Union et la base sur L’Assemblée générale de la Section, qui de la comtesse, née princesse de Croy, l’intérieur de la gare, par suite de l’en Ninck, de Compiègne, pour le service de laquelle tous les retraités doivent s’a p n’a pas eu lieu depuis 1914, aura lieu le tous deux décédés. combrement du guichet de distribution la navigation entre la Belgique et Paris. puyer pour agir. dimanche 22 juin 1919, à 2 heures, dans des billets. , Cotisation annuelle : 3 francs. la salle de la Mairie de Sentis. V ez Nous sommes heureux de signaler qu» Tous les sociétaires doivent y assister S u icid e la Compagnie du Chemin de Fer duN ora Ecole P ratiq u e C oloniale du H avre. a bien voulu prendre notre requête en sous peine de l’amende de 1 franc qui sera A partir du 1er juillet prochain, la gen Veuf depuis 5 ans et ayant beaucoup rigoureusement appliquée. Les démobi considération en faisant reculer la porte darmerie va être dotée de motocyclettes et M . G eorges L a fe n e s tr e , c o n serva teu r L’Ecole Coloniale du Havre a été fondée de chagrins à la suite de la mort de sa lisés doivent tout particulièrement y asd ’entrée un peu plus su r la gauche, d’automobiles. Ainsi en a décidé M. Cle en 4908. d u M usée Condé, est m o rt. sœ ur Claire, survenue pendant l ’évacua -srster/il leur sera donné tous les rensei menceau. Chaque brigade recevra une Son enseignement est entièrem ent g ra Nous avons appris la m ort de M. Geor tion, le manouvrier Théodore Douy 70 gnements pour se mettre au pair de leurs motocyclette avec side-car, et chaque com tuit. ans, déclarait qu ’il se suiciderait, la veille ges Lafenestre, m embre de l’Institut, versements et ém ettre leurs votes sur les C h a m b r e S y n d ic a le pagnie aura une voiture automobile. Il a pour but de préparer les jeunes conservateur honoraire des musées natio il avait fait ses adieux à ses voisins. nouvelles propositions du Comité cen d u C o m m e r c e e n g r o s d e s V in s Jusqu’à présent nos gendarmes ne dis En effet, le lendemain à l’aide d’un fusil gens qui aspirent à la vie coloniale, à bien naux, professeur au Collège de France, tral. S p ir itu e u x e t L iq u e u r s posaient que de chevaux ou de bicyclettes. qu’il avait adroitement disposé et qu ’il rem plir les diverses fonctions qui peu conservateur du Musée Condé, à Chan Le p ré sid e n t de la 585* Sectio n , L ’expérience a montré que ces moyens de d e T O ise. fit fonctionner avec une ficelle, il se tira vent leur être confiées aux colonies au tilly, décédé à l’âge de 82 ans. A. R ouillé . locomotion devenaient de plus en plus in triple point de vue commercial, industriel une cartouche dans la bouche qui fit écla L’abondance des matières nous oblige à Poète, critique d’art, critique littéraire, suffisants pour permettre à la gendarm erie te r la boite crânienne. et agricole. renvoyer à notre prochain numéro le historien, romancier, il a publié de nom R e m e r c ie in e a t s . de remplir sa mission et d’intervenir en La m ort fut instantanée. Des bourses peuvent être attribuées aux compte-rendu de l’Assemblée générale de breux ouvrages, notamm ent les E s p é temps utile. Ses recherches restent sou Le docleur Mouffiier de Villers-Cotteélèves dont les familles sont dignes d’in cette Chambre qui vient de se tenir à M. et Mme Clin et leur famille rem er rances, Id y lle s et chansons, le M usée de vent sans résultat parce qu’elles ne peu térêt, rêts a constater le décès. Creil, sous la présidence de M. Soualle, cient bien sincèrement les personnes qui Haarlerr,, la P e in tu re ita lie n n e , T itie n , vent être conduites avec une rapidité suffi La durée des études est d’une année membre de fa Chambre de Commerce de leur ont donné des marques de sympathie sa vie et son œ u v re , J e a n de L a F o n sante. Il y a donc intérêt, pour la sécurité seulement. L’admission est prononcée en assistant aux funérailles de Mme veuve l’Oise. ta in e , A rtiste s et a m a te u rs. J e h a n F oupublique, à moderniser la gendarmerie à après examen des titres ou diplômes p ro Clin, leur mère, belle-mère et gran d’mère, uet, V ie u x m a ître s de F ra n ce et des NANTEUIL-LE-HAUDOUIN ? cet égard, en la dotant de moyens d’action duits par les candidats. et s’excusent près de celles qui, par oubli, 'ays-B as, la P e in tu re en E u ro p e , B arqui lui donneront la mobilité et larapidité C o n c e r t A r tis tiq u e . Le Comité de patronage s’occupe du n’auraient pas reçu de lettres de faireto lo m eo , etc . , et d’importants inven La direction de l’Etude de feu M” Piart, indispensables. placement des élèves munis du diplôme Dimanche 48 mai avait lieu, salle du part. taires et catologues de musées français et huissier à Nanteuil, est assurée par Telles sont les raisons qui ont amené le de sortie de l’Ecole et il convient de si Grand-Cerf, devant une élégante et nom é trangers II avait collaboré à {'H istoire M. Raoul BOILEAU, successeur désigné. m inistre de la guerre à doter la gendar gnaler que, ju sq u ’à ce jo u r, tous les élèves O b jets p e r d u s . breuse assistance, le premier Concert or des p e in tre s de Charles Blanc. (Visible particulièrem ent le vendredi). merie de 452 motocyclettes et de 104 voidiplômés ont ainsi trouvé des situations ganisé à Senlis par Mlle Moret, profes Il avait obtenu le prix Vitet, à l’Acadé Entre Senlis et Remy ont été perdus : turettes automobiles. très convenables dans les entreprises pri seur à Paris. Ce fut un gros succès pour deux côtés bois de lit, une table, chaises mie française, et le prix Bordin, à l’Aca L ’a cc id e n t d u j e u n e H erbain, vées aux colonies ou dans l’administra toutes et pour tous et l’auditoire, après démie des beaux-arts. une boîte lingerie et un mètre. tion, qui a classé le diplôme de l’Ecole Le jeune Alexandre Herbain, blessé avoir passé deux heures charmantes, s’en Avertir au bureau du journal. Bonne A c te de p ro b ité parmi les titres conférani des avantages dans les circonstances que le C ourrier de retourna ravi. récompense sera donnée. Il avait été perdu le samedi 24 Mai un pour entrer dans le Personnel des affaires l'Oise a relatées, par un jeune boy scout Une mention spéciale tout d’abord à portefeuille contenant une certaine som civiles coloniales. de Paris, est rentré ces jours derniers à Mlle Griffet de la Beaume, dont la voix me, carte d’identité et divers papiers La rentrée prochaine de l’Ecole aura l’hôpital de Lariboisière. Son état est très magnifique et le talent de comédienne appartenant à Mme Texier. amélioré, mais il est loin d’être guéri, car lieu cette année, comme d’habitude, le 1er firent la joie de tous dans les airs de Ma Nous sommes heureux d’apprendre que A ssociation A m icale le projectile qui est logé dans le conduit octobre. no n et de L a k m é . M. Deschamps, vio Mme L a p o r te prévient le public ce portefeuille ayant été trouvé le même auditif, peut provoquer des troubles graves Pour renseignements, écrire à M. le d e s S e c r é ta ir e s e t Em ployés loncelliste solo de l’Opéra Comique, fit qu’elle met en vente du porc frais de l’ouïe. Maire du Havre ou au Directeur de l’Ecole. vibrer et tour à tour chanter et pleurer depuis 4 f r . 5 0 la livre, le m a rd i et jou r par M. Confolant, a été remis à sa de Mairie d e l’O ise p ro priétaire £par Mme Confolant, confec Le père du jeune boy scout, pasteur pro son instrum ent avec un ta len t-sù r-^^é^ y V e n d re d i de chaque semaine, sur la place L’Association départementale des secré tionneuse, — Robes, manteaux et cos testant à Paris, ne paraît pas se soucier Mlle Robert, dont le charme et la bonne du Marché aux légumes. taires et employés de mairie s’est réu T ran sp ort d e b étail et de m atériel tumes — 44 rue du connétable à Chan d’endosser la responsabilité pécuniaire de grâce font la joie des yeux, dit des vers à nie à la mairie de Creil le dimanche 25 tilly, a qui nous transmettons nos com a g rico le l’accident. ravir : elle détailla délicieusement les mai dernier. pliments pour sou acte de probité. pour le s r é g io n s lib érées. F A B R I Q U E DE G LAC E P runes, de Daudet, et les P a p illo n s, de Après uu hommage anx membres do B aron. Rostand ; cette jeune fille est un petit Les demandes de transport de bétail et D E CHAMAI MT l’association morts pour la France et la greuze, elle me paraît destinée à inter de matériel agricole peuvent être adres M ort a c c id e n te lle . communication des démissions dos adhé préter les poètes de finesse et de grâce. sées par la poste à M. le Secrétaire géné La Fabrique de Glace alimentaire de sions et des excuses, le président rend L’ouvrier de culture Julien Coël, 75 ans, Mlle Moret, l’âme vibrante de ceUe ma MM. L é z i e r f r è r e s , à Chamant(Oise), ral de l’Office de Reconstitution agricole, E n tre ouvriers et concierge. compte du mandat des délégués au Con depuis quinze ans au service de M. Paul tinée est une artiste ardente et convain est remise en marche et peut fournir 223, rue Saint-Honoré, avec les indica grès de 1918 de l’Union Nationale. Mécontent d’avoir été congédié de l’u Robinet, travaillait au lieudit la Côte de cue ; elle déclame avec une voix profonde actuellement par g r a n d e q u a n t i t é . tions suivantes : L’assemblée exprime tous ses regrets sine W allut, Auguste Valette, 23 ans, Beaulieu, dans un champ d’avoine, a et une émotion intense les poèmes dramaNom et adresse de l’expéditeur. que l ’enquête prescrite par M. le Minis •—---proféra des menaces contre le concierge conduire un rouleau attelé de deux che liques ; son talent de pianiste est impecNom et adresse du destinataire. tre de l’Intérieur sur la situation des Denis Destaing, 33 ans. vaux, lorsqu’ayant tourné su r la route, le ta.ble, son jeu souple et délicat, et c’est ON D E M A N D E Gare de départ. employés et agents communaux, n'ait pas Ayant rencontré ce dernier, avenue de rouleau entraîné par la pente força les une accompagnatrice de tout premier Gare d’arrivée. fait dans l’Oise l’objet d’une consultation la Gare, Valette l’injuria et le frappa, — deux chevaux à prendre le trot et Coël perso n n e , h om m e ou femme, le samedi ordre. Nombre de wagons demandés et nature des municipalités, ainsi que cela s’est faire une distribuson père intervint, dit-il pour les séparer. tomba à terre sous le rouleau. Espérons qu ’il nous sera prochaine^ après-m idi, pour de la marchandise. pratiqué dans tous les autres déparie Les Valette prétendent qu'ils ont été inju tion de jo u rn a u x . Relevé grièvement blessé, il fut trans ment donné d’assister au deuxième Con Il est généralement donné satisfaction rnm ts, et elle charge sou président de riés par le concierge. S ’adresser au b u re a u du C ourrier de porté à son domicile par les soins de M. cert annoncé pour Je mois de juin et que une quinzaine de jo urs après l’arrivée des prendre cou naissance d js résultats par» Une enquête est ouverte. Robinet, mais malgré les soins prodigués l’Oise. tous accueilleront avec joie. demandes. ve. us au Ministère. UN J O U R DE D E U I L NATI ONAL Elle examine ensuite la . ^ esl.1° " pr), cipale portée à l’ordre du jour de U ré-,, mon, c’est-à-dire c est-a-Quo !e le projei projet _de, de transfor mation ^de l’association Tassociatiou amioale en Syn Pour le s tra v a illeu rs a g r ic o les Ho Salon de Modes Mesdemoiselles Laiirian et Werné B E t i lL & F A N T A tS I E A VJS Les revendications des Servantes Anglaises G R J S I I L , Nos p S a w s Toit avoir iss lotocyclBttss et des a ito ile s. CH A N TILLY AX ! S MONTAT AIRE par le docteur Viard, Coël mourut quel ques heures après des suites d’une hé morragie interne. Coël était un bon ouvrier et d’une so briété parfaite. T ^ o tx r* l e s h .é r it ie i's . spéciale, par les directeurs de ['Ecole U niverselle, qui ont bien voulu nous promettre de fournir gratuitement par lettre particulière à tous les lecteurs du Courrie. de l'O ise qui leur en feront la demande, toutes les indications complé mentaires qu’ils pourraient désirer au su jet de chaque emploi. Il suffit de joindre un timbre de 0 fr 15 à la demande de renseignements qui doit être adressée à MM. les Directeurs de l’E'iole Universelle, 10, rue Cardin, P a n s . Il est très impor tant de m entionner sa qualité de lecteur du C ourrier de l'O ise. de gens, par certains journaux à gros U’ag'i, se délectent d’une pareille m iiüc u â tu r M Maurice l> o n n a y ll[‘ l Académie française. lotte affaire ne m'intéresse pas; c’est f s tait divers, et rien plus. La un . run n a ’ J magine, en cette heure grave, q’aul.jCS soucis. l’intérêt que peutsoulever dans les masses ce fait divers, je n’en crois rien. Brockdorff reste tout de même pour Landru un concurrent sérieux. — Troisième Lot. Onze ares quatre-vingt-douze cen tiares de bois, lieudit les Sablons, tenant d’un côté le chemin de la Litière, d ’autre côté, Louis-Constant Véret, d’un bout veuve Richer et d’auire bout Hilaire Vallée ; Gauaslrés séctionE, numéros 1435 et 1436. — Le décret réglant l’attribution d'un pé H oraire des T rain s cule de mille francs aux héritiers des mili taires morts est bien précis : les bénéficiai m o d i f i é d e p u i s le 2 j u i n 1 9 1 9 . res sont dans l’ordre : veuves, descendants Mise à p r i x : 1 .8 7 0 fr. Fiançailles • D aniel-V incent et ascendants. Tous les collatéraux sont Quatrième Lot. • h enté, ancien ministre. 0,n annonce les ttanyailles de Mell« Marie P aris à Senlis et C rép y-en-V alois. donc exclus. Encore faut-il que les héri J hérèse d’Oeagne, ülte de M. Paul d’Ooa'■'>b.s Je trouve toutefois navrante Trente et un ares soixante-treize PA RIS........ 6 50 10 35 12 02 15 20 17 40 18 50 tiers prévus remplissent certaines condi centiares de bois, lieudit les S essegne, ingénieur des arts et manufactures, l i mp r ta n c e donnée aux faits divers. Survilliers. » » 11 27 13 02 10 04 » » 19 42 tions que la circulaire réglant le dé c re t rons, tenant d’un côté Louis D es Orry-la-V. » » H 35 13 03 16 12 18 17 19 50 et de Mine, née Thorailler, avec M. Mau du 9 février a nettement définies. SI. « F F sto u r n e lle s r t e C o n sta n t jardins, d’autre eôt Mahieux-Le Chantilly a. 7 35 H 42 13 20 1619 18 24 19 57 rice Hamelet, avocat à la cour d’appel Sénateur 11 y aurait cependant intérêt à savoir clerc, d’un bout Varlet-Mahii'ux et d. 7 57 H 56 13 37 16 40 18 26 20 10 P o u r le s C a n d id a ts de Paris, fils de M. Gustave Hamelet an si les sommes inscrites sur le carnet de d’autre haut le chemin des Iles ; — Je déplore que la publicité exagérée St-Maximin 8 02 12 01 13 42 16 45 18 31 20 15 a u x l'o u r lio n s p u b liq u e s . cien notaire et de Mme, née Cœuillot, Cadastrés section E, numéro 1541. pécule et qui sont la propriété du mili üolUe Cttanlll, » » 12 04 13 45 » » » 36 » » (■p.ries aux faits divers détourne le peutous deux décédés. E x a m e n et Concours à titre c iv il. taire décédé ne doivent pas revenir aux V ineuil. . 8 07 12 07 13 48 16 50 18 » 20 19 questions autrement plus intéresMise à prix : 4 9 8 0 fr. St-Firmin. 8 11 12 U 13 52 16 54 18 40 20 23 collatéraux à défaut d’autres héritiers, C om m is de la Trésorerie d ’A lg é rie . — Sl-Nieolas. 8 15 12 16 13 57 16 59 18 45 20 28 mais à l’exclusion de tout complément C lm in b ly . Date o ffic ie lle : première quinzaine de 1. H en ri W e ls c h in g e r Fait et rédigé par l’avoué pour SENLIS. . a. 8 20 12 21 14 02 17 04 18 50 20 33 jusqu’à mille francs. Académie des Sciences morales juillet 1919. — D élai d ’in sc rip tio n : suivant soussigné. — d. 14 06 V en te de ch a rité. 18 54 A Senlis (Oise), le l ,r juiu 1919. La loi des pensions prévoit les m éfies IB et' yolitOues. 16 juin 1919. — Aucun diplôme n ’est Montlévêq. 14 12 18 58 ne ‘’ète-Vente de iduindé aura heu le bénéficiaires : il n'y a oa* à dfocv**®» 1..Algfe. B o rest.. . . Signé : L. CHASTAING. . et /■ m ’indigne que des pa 14 17 19 02 sjetiles, les primes mensuejles et la l'ju’tu qu’ochain, i l’hote: Murât, lut In sp e cteu r d é p a r te m e n ta l d u tra v a il. Rarbery.. . 14 21 19 06 liiliteèpuissent se laisser distraire par Et enregistré. prime de démobilisation, qui sont la pro 28, rue de Monceau, au profit des trois R ully......... 14 29 — D ate o ffic ie lle : 13 octobre 1919. —19 14 d’jussi ignobles histoires, des questions priété du militaire, sont touchées par les D élai d 'in scrip tio n : l 61' août 1919. — qui pois prem ent a la gorge et nous œuvres suivantes : Association des Veuves 14 34 Fresnoy-l-Lnat 19 18 S'adresser pour, les renscigneLe Luat. . . 14 38 19 20 dn la Grande Guerre, président : M. le héritiers légaux. Houe, à défaut de veuve, Aucun diplôme n ’est exigé. tiennent engoissés. ments : Auger-St-V 14 42 19 24 Général de Lacroix ; Protection de l’E n enfants ou ascendants, les frères et sœ urs A id e S ta tic tic ie n et S ta tic tic ie n n e #t. P a u l P a in le v é CREPY-EN-V. 14 50 19 32 1° M* Lucien CHASTAING, ont des droits nettements prévus par le a d jo in t a u M inistère d u T ra v a il. — fance de l’Oise, régions libérées, et Groupe léputé, ancien président du Conseil avoué, poursuivant la vente, d e C répy-en-V alois, S en lis et P aris. du VIII0 arrondissement de l’Association décret qui règle l’attribution de ces Date o ffic ie lle : l ,r octobre 1919. — Au membre de l'Institut. meurant à Senlis, rue Sainte-Gene Le F o u in eu r. des Infirmières Visiteuses de France, p ré primes. CREPY-EN-V. 6 34 18 39 cun diplôme n’est exigé. viève ; -- Je m’intéresse peu à Landru. Je sais Auger-St-V 6 43 sidées par S. A. la Princesse Murât. 18 48 Insp ectrice d é p a rte m e n ta le d u t r a qu c’est une espèce de Barbe-Bleue. 2° Et à Ht* G a l o y , notaire à Le L u a t... 6 46 18 51 Chaque œuvre aura sa boutique et celle Les m ilita ires b le ss é s ou m a la d e s v a il. — D ate o ffic ie lle : 13 octobre 1919. Mas je suis affreusement ennemi du fait Précy-sur-Oise, chargé de la vente,, Fresnoy-l-Luat 6 49 18 54 de l’Association dee Veuvas de la Grande — D é la i d 'in sc rip tio n : 1er août 1919. et déposita’redu cahier des charges. div rs et je déplore qu’il tienne tant de e t la nouvelle loi d e s pen sion s. R ully......... 6 54 18 57 Guerre sera dirigée par Mme la Maré E coles , N a tio n a le s P rofessio n n elles Barbery... 7 04 pla e dans les journaux. 19 07 Les militaires blessés ou malades chale Fooh. d’Epinal, Nantes, Vierzon ei Voiron — B o rest.. . . 7 07 19 10 >1. D r a u e n i croyant avoir des droits à la pension D ate des épreuves : 2 juillel 1919. — Dé Montlévêq. 7 11 19 14 instituée par la loi promulguée le 31 mars -Que d’os ! que d’eau ! la i d in scrip tio n : 15 juillet 1919. — Les S E N L IS.. a. 7 15 19 18 1919, doivent avant l’expiration d’un dé — d. 6 39 7 24 8 56 15 42 17 19 19 23 J'aime mieux être sous mon petit demandes de bourses devront être dépo lai de 6 mois, à partir de leur renvoi dans St-Nicolas. 6 44 7 30 9 02 15 48 17 25 19 28 ch teau que dans sa peau ». sées à la préfecture du département avant au x V eu ves d e la g u e r r e St- Firmin. 6 49 7 35 9 07 15 51 17 31 19 33 Chiens enragés. leurs foyers, adresser au d recteur du le 31 mai. l im e D u m o n t V ineuil. . . 9 11 6 53 7 39 17 35 15 58 19 37 service de santé de la région à laquelle Les lecteurs qui désirentdes renseigne Rue de la République, un chien d’assez marchande de marées aux Halles. — Mme Caron, à Thiers (Oise) ami de Cliaiitll » » » » » » » » 17 37 19 » ments au sujet des emplois indiqués ci forte taille et ne portant aucun collier ils appartiennent une demande par lettre C’est trop long, ça m’embête, je ne d e m a n d e p la c e d e v e n d e u s e St-Maximin 6 58 7 44 9 16 16 i») 17 41 19 44 recommandée, invitant ce service à cons dessus, ou d’une carrière admimstraiive s’est jeté su r un enfant q u’il a mordu à la Chantilly a. 7 02 7 48 9 20 16 04 17 45 19 47 dans un magasin. m ' retrouve plus. Quel bluff ! Je ne peux tater leur maladie ou leur infirmité (ar quelconque, peuvent s’adresser de notre jambe. — a. 7 15 7 50 9 35 16 08 18 19 20 35 seulement envelopper mon poisson — M. de Bernoville, château de ticle 5 de la nouvelle loi des pensions. part à M. le Directeur de l’Ecole Univer da s un journal sans voir, en première Orry-la-V. 7 26 » »» 9 46 16 27 18 29 20 5 On s’est em paré de cet animal qui a Venelle, d e m a n d e veuve de guerre Survilliers. 7 36 » »)> 9 56 16 48 18 39 20 2 1 selle, 10, rue Cardin, Paris. été conduit à la gendarmerie, où il a failli comme bonne d’enfant et cuisinière. pa s, sa « g... moche ». Si cette canaillePA RIS ......... 8 26 8 35 10 47 17 38 19 28 21 55 Joindre un timbre de 0 fr. 15 et ne pas encore se je te r sur le vétérinaire M. Cou L’in dem n ité de dém ob ilisation . là fait ce qu’on dit, qu’on nous le donna, — Mme de Brétizel, château de oubliér de m entionner sa qualité de lec tt oilà ce qu’on y fera .. sin, qui l’examinait. On a pu te tirer en Montroy, par Aumale, d e m a n d e Il arrive fréquemm ent que des dépôts teur du C ourrier de l'Oise. le serrant avec la porte au moment où il f e m m e d e c h a m b r e , veuvé de la Mme Angot, la main armée d’un coureçoivent des demandes relatives à l’in -+ tentait de faire une nouvelle victime. guerre. Etudes de îU° L C H VSTAINIG, laslattrape un poisson au dos rayé et lui demnité de démobilisation, ém anant de C’est te deuxième chien atteint de rage avoué à Senlis (Oise), ouvre énergiquement le ventre après lui M. Lacaille, receveur d’enre militaires qui n'appartiennent à aucun P ou r v isite r le s tom bes abattu dans Pont depuis trois jours. rue Sainte-Geneviève, successeur gistrement à Mouy, o f f r e p l a c e à avoir ocupé ia tête). corps relevant de ces dépôts, Ces errenrs de M* Sainte-Beuve, son bureau à veuve de guerre. des h éros. O utrages à g e n d a rm e . de destination retardent l’examen des m. N o ël et de M« G A L O Y , notaire à PrécyOn d e m a n d e , pour cPVtrÆO*"' droits des intéressés et il importe de les Député de, Verdun sur-Oise. — Ivre, quai Arsène-Berdin, le manoude Beauvais, veuve avec fils d’au éviter dans la mesure du possible. Il est M. Henry Paté, député, a adressé ài M. — uette affaire a dû être créée e t déveA vrier A rm and Térére, 49 ans, aperçoit un moins 17 ans, pour garder propriété. le président du conseil une lettre dont lopiée pour empêcher les Français qui gendarm e, « tiens voilà un fainéant ! » rappelé que les maires doivent adresser VENTE SUR LICITATION S’adresser à M. Fannart, villa les déclarations au dépôt du dernier corps voici les points essentiels : ont, eu le p lus à souffrir d e l à guerre de dit-il. DE u Jeanne d’Arc ” à Vineuil. d’affectation des démobilisés. Ce corps est penser à ce qui leur est dû.*l Qu’on s’en Il a été conduit au violon municipal et Monsieur le président, Q UATRE PIÈC ES indiqué à la première page du titre de persuade bien : le coup n ’a pas réussi. gratifié d’un double procès-verbal pour Les familles qui ont perdu un des leurs congé illimité ; le livret individuel de DE outrages et ivresse. dans la terrible g uerre que nous venons Mme M aria V é r o n e l’homme mentionne également le dernier Avocate. de subir, désirent, et cela est légitime, se corps auquel il était affecté. Si, par R n lly rendre sur la tombe de leurs glorieux — Pour avoir une opiuion su r l’inculpé exception, les indications qui précèdent L e m eu rtre morts. qui ne m’est guère sympathique — j ’at sises terroir de ne permettaient pas d’aiguiller la déclaJ ’ai écrit à M. le ministre des travaux tendrai l’audience publique. Comme avo S a in t-L e u -c T E sse r e n t V eu illez n o te r Daus notre dernier num éro nous avons tion dans la bonne direction, le maire publics pour que des billets réduits puis cate, je déplore la publication de ces a r ti (Oise). annoncé que Marin Van Lierde, arrêté peut l’adresser an dépôt démobilisateur ; sent être donnés à celles d’entre elles cles sensationnels, dans lesquels on corse sous l’inculpation de m eurtre et de te n il appartiendra ensuite au commandant L’adjudication aura lieu l e J e u d i dont les ressources sont modestes. Le une affaire souvent banale pour en a u g tative de meurtre, s’ôtait pendu aux b a r de ce dépôt de la transm ettre à l’autorité 2 6 J u i n 1 9 1 9 , à quatorze ministre a bien voulu me faire savoir que menter l’inlérêt ; cela fausse l’opinion pu reaux de sa prison. intéressée. S’il s’agit d’uu déclarant qui heures trente minutes, en la Mairie les compagnies de chemins de fer exami blique et comprumet gravement la bonne n’est pas passé par un dépôt démobilisa Le docteur Corpechot médecin légiste de la commune de Saint-Leuneraient avec la plus grande bienveillance adminjstralion de la justice, Comme fem d'Esserent (Oise), et par le m inis teur, lors de son renvoi dans ses foyers, a délivré le permis d’inhumer. tous les cas particuliers qui leur seraient me je pteseste contre tou te e qui pervertit tère de M» GALOY, notaire à le maire adresse la déclaration au général Van Lierde n’a laissé aucun papier, ni signalés. 'enfance... et, à ce point de vue, la r e Précy-sur-Oise, commis à cet commandant la région (service des effec fait aucune révélation concernant la dou Je crois qu’il serait possible d'organiser naissance du fait divers est déplorable. Au effet. ble inculpation dont il est l’objet. tifs). de pieux pèlerinages dans les conditions 'leu d’exciter les bas instincs, exaltons c e Le suicidé laisse une veuve et trois qui est beau, généreux et bon. En exécution d’un jugement rendu suivantes : enfants. Les p en sions d e s a sc en d a n ts. sur requête par le Tribunal civil de Le service de l’armée pourrait dresser M. F e r n a n d G r e g h L a P lu m e de V IC T O R M É R IC L’instruc ion du fait de la m ort de première instance séant à Senlis, le Les ascendants des militaires qui sont deux cartes. de i Académie française. R é d a c te u r e n C hef l’inculpé se trouve éteinte. trente avril mil neuf cent dix neuf, Sur la première figureraient les cime décédés des suites de blessures de guerre, — La guerre avait heureusem ent remis enregistré ; tières et les principaux endroits où ont d’accidents survenus en service, de mala L e C r a y o n d e H.=P. G A S S I E R sa place le fait divers. Il est scandaleux V e r b e r ie . Et aux requête, poursuites et dili eu lieu des inhumations, avec te rappel dies contractées ou aggravées par le ser que de nouveau on éprouvé le plaisir à se gences de : B a ra q u e d étériorée. des unités combatantes dont les officiers vice, ou les arcendants des militaires qui t° Monsieur Pierre-Onésipe Henvauffer dans « le sang et les os brûlés ». jouissaient d’une pension correspondant et hommes de troupes ont été inhumés. L e s M aîtres d u P a m p h l e t , d e i a Au cours d’une tournée, les g e o d ir m e s neguy, propriétaire, demeurant à LesFmrnaux devraient consacrer toute la Sur la seconde seraient indiqués les à une invalidité égale ou supérieure à Saint-Leu-d’Esserent ; ont constaté qu’une baraque en p lan ches placfe dont ils disposent pour les grandes S a t i r e e t d e l ’H u m o u r , l e s p l u s f i n s 60 0/0, ont droit à une allocation pe rm a lieux d’origine de ces unités avec le- rap2° Monsieur Gaston-Louis Barbier, utilisée autrefois pour un poste tél éphoquestions. E c h o tie r s , le s m e ille u r s D e s s in a t e u r s agriculteur, demeurant à Saint-Leuel des lièux d’inhumation des officiers et nente s’ils justifient : nique et actuellement abandonnée, située M. D allrïcz d’Esserent ; o m m es de trou n es de ces u n ités. 1° Qu’ils so n t de n a tion a lité fra n ç a ise ; lieudit ta Vieillo Côte de V e r b e rie , a été c o lla b o r e n t a u J o u r n a l Député. 3° Monsieur Henri Bailly fils, culti Ces deux documents établis, il serait 2° Qu’ils sont infirmes ou atteints d’une sérieusement détériorée. ■ L’aflaire Landru, c est Info rm e nou vateur, demeuaant à Cires-les Melio, facile aux compagnies de chemins de fer maladie incurable ou âgés de plus de Une enquête est ouverte. Une perqui velle du bourrage de cr Ine. « Agissant au nom et comme d’organiser des séries de trains à prix 60 ans pour les hommes, de plus de sition opérée au domiche d’un individu « tuteur ad hoc de Monsieur M. L o u is B o n n ie r réduits dans lesquels les familles des 55 ans pour les femmes. soupçonné n ’a donné aucun résultat. « Pierre Barbier, mineur issu Inspecteur g énéral morts auraient accès. Ces trains se diri « du mariage de Monsieur desservices de la Prélecture. geraient vers les lieux de sépulture et en « Gaston-Louis Barbier, su sJ ’étais à Neuville Saint-W aast, au L e R é e s le m e r P a r t o u t ramèneraient les familles dans des condi « nommé, avec Madame Hennord d’Arras, dans les ruines, la p r e « riette - Juliette H enneguy, tions fort avantageuses pour elles. son épouse, décédée, nom mière fois que je lus un article sur l’af B arbery. D’autre part, il y a de trop nombreuses mé à cette fonction suivant faire Landru : deux colonnes, j ’en fus familles qui, malheureusement, ne réus Un v o l de 8 0 0 fr a n c s . délibération du conseil de scandalisé. siront pas à retrouver la sépulture de r jif , famille dudit m ineur, en Après une absence de huit jours, Mlle Le régime des tickets de pain qui a » La presse manquerait-elle de copie? leurs morts. Ce sera pour elles une grande date du quatorze avril mil ‘ Georgette de Backer, 25 ans, monta dans permis de réaliser des économies sur les ABONNEM ENT : JJaurais cru que la conférence de la paix, consolation de savoir que toutes les no neuf cent dix neuf, enre sa cham bre et constata qu’une somme de céréales panifiables telles que la soudure le problème financier, la reconstitution bles dépouilles non identifiées seront F r a n c e : U n A n ................................... 7 .5 0 gistrée; » 800 francs consistant en huit billets de 1917 1918 put, si péniblement que ce fut, des régions martyres, l'avenir du pays, réunies dans des m onuments élevés sur Poursuivants, ayant pour avoué S i x M o i s ................. *............ 4 . * 100 francs, placée dans une douille de être assurée, va être suspendu dans le lui en fournissaient suffisamment. » constitué M Lucien thastaing, de les champs de bataille, avec les indica canon de 37 mm, avait disparu. E t r a n g e r : U n A n ................ 10. * but de revenir progressivement à la li tions des régiments, compagnies et for meurant à Senlis (Oise) ; M lle G e o r g e M a ld a g u e Elle a porté plainte à la gendarmerie En présence ou lui dûment appelé berté dans la consommation, M. Victor S i x M o is ............................ 6 . » mations de ceux qui y ont appartenu. Romancière. de : qui s’est rendue sur les lieux et a constaté BORET vient, en effet, de décider que La troisième question me paraît devoir — Si je lis l’affaire L andru? A peine. (Envoi gratuit d’un Numéro Spécimen) Monsieur Jules-Arthur Drouard, que la chambre de la domestique, située œs tickets de pain de Juin ne seraient également attirer votre attention. Il y a Quelques lignes me suffisent. Cet homme rentier, demeurant àSaint-Leu-d’Esau prem ier étage d’une maison cour des pas distribués aux consommateurs. des sépultures isolées déjà connues des serent (Oise), est une monstruosité sociale, mais qui dis M aronniers, ne fermait pas à clé, le vo Mais le sucre doit contiuuer à être, familles, que les batailles et les in te m p é parait devant les grands responsables de R É D A C T IO N ET ADMINISTRATION « Pris au nom et comme leur n’a donc pas eu beaucoup de mal dans toute la France, réparti par le ries ont partiellement détruites. Il serait « subrogé-tuteur ad hoc du la tragédie que nous vivrons toujours. pour s’em parer du magot. moyen du coupon N° 2 de la carte Indi indispensable de les rem ettre en état, de « dit mineur Barbier ; » Rue Montmartre, PARIS (2e) Malsaine, en tout cas, la publicité faite 1 142, Rue, viduelle d’Alimentation; certaines denrées ne les déplacer qu’après avoir informé N’ayant pas constitué avoué ; aujour de lui, surtout dans un m om en t Il o r t e f o n t a in e . sont, dans le nomdre de départements, les familles avec la déférence qui leur est Il sera, aux jour, heure et lieu suscorime cet après-guerre ! i Ebuuggèèn n e M E R L E , D irecteu r N écrologie. réparties au moyen d’autres coupons de indiqués, procédé h la vente sur lici due par, l’intermédiaire du corps auquel ‘ M. Le R o y tation, aux plus offrants et derniers M. Adolphe Chantrier, ancien horticul cette carte, en conséquence la « feuille appartenait le mort. • Député du Nord. f»g'ggagesaak enchérisseurs et à l’extinction des de coupons » du 2omi Semestre 1919 sera Toutefois, la mère veuve peut deman te u r, qui avait quitté Senlis dans les pre feux, des immeubles ci-après dési- W a ^ e v i e n s du Nord, et, dans mon distribuée aux consommateurs, dans les der cette allocation, sans condition d’âge, miers temps de la guerre en raison de la Mairies, aux dates üxées par elles, contre si elle a à sa charge un ou plusieurs i n aê(Séfff‘flke,r>t , on se moque complètsanté de Mme Chantrier, est décédé chez LIVRAISON DANS LES de l’affaire Landru. Au-dessus du fait di D E S IG rN A T IG N simple remise du « coupon d’échange » fants infirmes ou âgés de moins de l’une de ses filles, à Gonesse, à l’âge de DÉLAIS MINIMUM vers, il a pour nous le fait du jour, qui de la feuille de coupons actuellement en C o m m u n e et terroir de S a in t16 ans 76 ans. est la reconstitution de notre pays. Ce fait service. Cette dernière restera aux mains L e u -d ’E sserent, 3° Qu’ils ne sont pas inscrits au rôle de Ses obsèques ont eu lieu à Mortefon divers n’est-il pas exploité pour détour canton de Creil, des consommateurs pour leur permettre l’impôt sur le revenu. taine, le jeudi 22 mai, à onze h e u re s et arrondissement de Senlis (Oise). ner l’atlention du traité de paix et de la de recevoir, ju squ ’à fin de Juin, les den L’allocation est de 400 francs pour le demie, au milieu de toute la population. TEL \9A fiçon dont les dommages de guerre serées dont les coupons permettent la répar père ou pour la mère veuve remariée, Premier Lot. Nous adressons à MM. et Mmes Meu rin t payés ? tition. de 800 francs pour le père et la mère Soixante-dix-neuf ares huit cen n i e r , Ernest Chantrier et Albert Chantrier A partir du 1er Juin, les quantités de fa conjointement, ou pour la m ère veuve tiares de terre, lieudit la Garenne, M. M artial B o y e r et à Mlle Marie Chantrier, nos plus sin tenant d’un côté le chemin de Précy, rine livrées aux boulangers ainsi que les Directeur du Cabaret des Noctambules. divorcée ou non remariée. En outre cères condoléances. d’autre côté plusieurs, d’un bout blés et farines attribués aux départements l’allocation est augmentée de 100 francs — Bourrage de crâne. veuve Vantroys, et d’autre bout Léon devront correspondre à la moyenne des pour chaque enfant décédé sous les d ra » Landru est un pharmacien. Il veut Renoult. V accination. quantités cédées pendant le mois d’Avril peaux, à partir du second. laicer une marque, je parle d’une marque Cadastrés section E, numéros 1318, et la première quinzaine de Mai, ces La variole, qui a sévi l’année dernière A défaut de parents, les grands-parents d| coricide : le coricide Landru. N’a-t-il 1319 et 1320. sur divers points du département de l’Oise, quantités ont* en effet, été reconnues ont droit à l’allocation, qui dans ce cas pis prouvé qu’en employant ce procédé, Mise à prix : 1 1 2 . 4 1 5 fr. a fait de nouveau son apparition en suffisantes pour faire face aux besoins est de 300 francs pour le grand-père ou la 11pouvait foire disparaître les « cors » des Deuxième Lot. de la consommation en céréales pani grand ’mère remariée ; de 600 francs pour France. * femmes ». Cette maladie est une de celles dont 1 on Cinquante-deux ares vingt-deux fiables. la g ra n d’mère veuve ou le grand-père et M. R o b a g lia SANS MAJORATION centiares de terre, lieuditla Garenne,» peut se préserver le plus facilement : il La suspension du régime des tickets ( Conseiller municipal. la grand ’mère conjointement. DE PRIX tenant d’un côté Mahieux-Leclerc, suffit, pour cela, de se soumettre â la aura pour effet d ’allèger la charge des Ces allocations sont renouvelées d’office — Cette débauche d’articles su r Land’autre côté Hilaire Vallée et Henri vaccination. Lorsque cette opération a Municipalités, A cette occasion, le Minis tous l.es deux ans ; elles sont incessibles dffi établit que la presse considère que la Izard, d’un bout Louis Bruxelles, été suivie de succès (c’est-à-dire de bou tre de l’agriculture et du ravitaillement et insaisissables. ntalité du public, depuis la guerre, n’a Mahieux-Leclerc et Vailiant-Ruffior, tons blancs et non seulement de croûtes tient à leur adresser, afùsi qu’à tous p»s changé. Si la presse ne se trompe pas d’autre le chemin des Iles ; noires, même volumineuses), on est imuceux qui, dans un intérêt national et en cest fort malheureux. Cadastrés section E, numéros m m u nisé pendant un temps variable, qui n ’est des circonstances parfois fort difficiles, 1463 bis partie et 1463 ter partie. ) PARIS M. P a u l N u z b a u n e r (Métro pas inférieur à cinq ans. Si, même avec W v t . ’ace Tour Salnt-Jacciueï- tMétr Chàtelet) ont assuré le fonctionnement du régi Mise à prix : 8 . 2 9 0 fr. Garçon de restaurant, 20, boulevard l e s ca*r» C o n su lta tio n s dans une réaction assez importante, gonfle me, les remerciements du Gouverne de Clichy. ment. gêne, etc., le vaccin n’a pas réelle ment. — Gela tient beaucoup trop de place, ment « pris », ce que seul un médecin ------------------------quand il y a des choses si graves. peut affirmer, il est utile de se faire vac M. H e n r y P â t é ciner de nouveau. D an s un très b ref d éla i, d es sé a n c e s Député, publiques de vaccinations vont être insti « Que pensez-vous de la renaissance du porteur de la Commission de l’Armée. Nous sommes h eureux de pouvoir tuées dans chaque commune du départe fait-divers dans les préoccupations de la l a n d r u a posé une question assez anoncer à nos lecteurs que nous publie-' grande presse... et de Landru ? » ment. Cette opération est légalement habile en guise de réponse au juge d’ins 2, P l a c e L a n a v it , S E N L I S (O ise ) rons chaque semaine la liste des concours obligatoire au cours de la première, de la Telle est la questioi dans laquelle truction qui lui demandait ce qu ’étaient universitaires ainsi que celle des concours onzième et de la vingt et unième années Y E c la ir se livre en ce moment à u n e en devenues ses anciennes amies : « Savezpour l’admission aux fonctions publiques de la vie ; il est particulièrem ent recom quête. Ont été interrogés des hom m es po vous, Monsieur le juge, ce que sont deve devant avoir lieu prochainement. mandé aux autres de s’y soumettre égale litiques, des académiciens, des écrivains, nues les vôtres ? » Cette liste com prendra aussi les em ment, car c’est seulement ainsi qu ’on des médecins, des avocats, des arti sles à » peut-être ce mot lui est-il prêté. La plois réservés aux militaires, aux réfor peut être assuré d’éviter la variole. divers degrés. presse est, sur ce sujet, abondante et su més et mutilés de la guerre. Cette précaution est plus indispensable Yoici quelques-unes des réponses : jette à caution ju s q u ’à l’extravagance. Je Nous indiquerons, pour chaque emploi, encore à prendre par les personnes âgées, lui reproche de mettre en concurrence ce M. L o u is R o llin . les conditions à remplir et les avantages qui sont beaucoup plus susceptibles que roman policier avec les événements où Vice-président du Conseil municipal. attachés à la fonction. les autres de contracter la maladie ; 1 an notre avenir, avec l’avenir du monde, se — Je ne lis pas l’affaire Landru. Nous ne doutons point que nos lecteurs, dernier, dans le département, sur 21 ma joue... ». « Je déplore nettement la renaissance dont beauesup se destinent à une carrière lades, plus de la moitié avaient dépassé PRÉPARATION A TOUS LES EXAMENS M. L é o n R é r a r d du fait divers dans les préoccupations administrative ou bien y destinent leurs 50 ans. Député, ancien sous-secrétaire d ’Etat. actuelles de la presse. G’est grave ou enfants, n’accueillent avec plaisir notre Faites-vous vacciner sans crainte grotesque. » •*“vJe n’ai pas d'opinion sur Landru, initiative mieux vaut quelques jours d’une gène Langues étrangères — Arts d'agrément mais je suppose que ce doit être un mon M. le c h a n o in e Colin Les renseignements, dont nous com légère éventuelle que le risque de comraesieur hostile au vote des femmes. Quant à Directeur du « Lorrain de Metz ». Coyrs par correspondance avec révision hebdomadaire mençons à donner la publication, sont ter une maladie qui vous défigure, quand communiqués à la suite d’une entente — Je déplore que des milliers et des elle ne vous tue pas. NEUILLY-EN-THELLL Association d’Aide PONT-Ste-MAXENCB T erre& B ois S.W. P, SIFFLE et PERSIFLE TOUS les SAM EDIS SE 3ST L X S Carie d'alimeotaiion et Tickets de pain Pour choisir une carrière. 0 .1 5 .c e n t i m e s Une enquête sur la chronique du crime. CAGE-FEMME, 94». Pensionnat Notre-Dame des Victoires ^ D ù tectT lce : ^ )T t 3 T L . - d s . J ^ e n o zm a a c L e® *® t t a i i i T Augustine GILLET, son épouse, d e Etude de IW“ F é l i x L o u â t , notaire Etude de M* L o u i s ESC A V Y , Etude de M- M a u r ic e LEiYO i» à Senlis (Oise), docteur en: droit, avoué à Sentis, meurant ensemble à Ponl-Saintohuissier à Senlis. ’ A vendre au* enchères Maxence, ont vendu à Mademoiselle 7, rue de Villevert. AFleurines, au domicile de M. Tesson Fernande-Léonie VERVIN, sans pro Æ fession, demeurant à Pont-Saintes o i s r s L e D im a n c h e il J u i n I I I I O , DIVORCE Maxence. à l’amlablo a ueux heures. Une Maison de cultuie m e u b l e s L e l'o m is d e c o m m e r c e d ’é p ic ie r m archand d e v in exploité par eux à Pont-SainteSise à Villers-Saint-Frambourg, Maxence, rue de Cavillél numé en la rue de Pont. ro 46. L’entrée en jouissance a été fixée S’adresser à M- Louât, notaire. au quinze mai mômes mois et an. La présente insertion renouvelle M ÊM E ÉTU D E celle parue dans le “ Courrier de l’Oise ” le dix-huit mai mil neuf cent dix neuf, et les oppositions, s ’il y a i V e n d r e à l ’A m i a b l e lieu, devront être faites dans les dix D’une part ; Et : Monsieur Ernest Walquier, jours de la présente insertion, à peine de forclusion, et seront re demeurant k Chambly ; d’hab itation Défendeur, ayant M» Chastaing çues en l’étude de Me Boilet, no taire, où domicile est élu à cet pour avoué ; Sises ù Orry la-Ville, rue de La eflet. D’autre part ; Chapelle-en-Serval. Pour deuxième insertion, 11 appert : S adresser à M’ Louai, notaire. Robert BOILET. Que le divorce a été prononcé d’entre les époux Walquier, à la re quête et au profit de Madame Wal Etude de M' M é z i è r e , notaire quier. Etude de M« L a n ^ l o i s , notaire à Retz (Oise). à Senlis. Senlis, le vingt-huit mai mil neuf cent dix-neuf. d e u x iè m e INSERTION Pour extrait : A V e n d r e à l 'A m ia b lt* Louis ESCAVY. UNE Suivant acte reçu par M' Mézière. Enregistré è Senlis, le vingt-huit notaire à Belz (Oise), les huit et dix mai mil neuf cent dix neuf, I V mil neuf cent dix neuf. Monsieur I V E A I S O folio 58, case 14 . Reçu 1 fr. 88, Sise à Senlis, décimes compris. ^ r tn in f et w[adame Glara-Marie LEROUX, son épouse, demeurant rue du Chat-IIaret, numéro 9. Le Receveur, ci-devant à lyors et actuellement à Signé : Rayle. S’adresser à M« Langlois, notaire Crépy-en-Valois, „ Ont vendu à Monsieur AdrienElude de M« L o u is E S C A V Y é x MERjGUET et Madame Hélène Docteur en droit, avoué à Senlis. JOL1VET, son épouse, demeurant à Ivors, 7, rue de Villevert. Qfea c o o a n a L e fo n d s d e c o m m e r c e P our entrer en jou issan ce d é p ic e r ie , m e r c e r ie , ro u en DIVORCE le 1 er O ctobre 1919 n e r i e e t d é b i t d e v i n s , exploité P .ar eax à Ivors, et comprenant : la D’un jugement rendu par défaut par le tribunal civil de première clientèle, l’achalandage, le matériel instance de Senlis, le vingt-six no serva it à son exploitation et les marav ec ou sans vembre mil neuf cent dix neuf, en cnandises existant e^ magasin. L entrée en jouissance est fixée registré ei signifié; REM ISE ET ÉCURIE au premier mai mil neuf cent dix Entre : Monsieur Edouard Fags neuf. A S E N L IS demeurant à Montataire, 9, rue dé Les oppositions, s ’il y a lieu, de Gournay, actuellement mobilisé ; vront etre faiies, à peine de forclu- 1 avouéia 'ldeUr’ ayant Me Escavy pour sion, dans les dix jours de la pré- ! Etude de M‘ F e r r y , notaire à senie insertion et seront reçues à Béthisy-Saint-Pierre. Et : Madame Clémence Duchatel, Retz, en l’Etude de M» Mézière, n o fon épouse, domiciliée de droit aveé taire. lui, actuellement à Montataire, 25 t.fclte insertion est faite en renou- 1 ■ue L o u r '’ianc : ’ vjmement de celle parue dans 5e Défenderesse défaillante ; rneme journal, à la date du vioetS is e à Y’AUCIXVLES-,Il appert : cinq mai mil neuf cent dix-neuf. com m une de N éry, Que le divorce a été prononcé en Pour insertion : tre les époux Fage-Duchatel, à la A Vendre par Adjudication MÉZIÈRE. requête et au profit de Monsieur A B éth isy -S a in t-P ierre, en l ’étude l’âge. de M- Ferry, notaire Senlis, le vingt-lrois mai mil neuf D’un jugement contradictoirement rendu par le tribunal civil de pre mière instance de Senlis, le trois décembre mil neuf cent dix neuf, enregistré et signifié ; Entre : Madame Ernestine Rouzée, épouse de Monsieur Walquier, débi tante, demeurant à Chambly ; Demanderesse, ayant M“ Escavy pour avoué ; TROIS MAISONS Maison Bourgeoise M A ISO N cent dix-neuf. Pour extrait : Louis ESCAVY. E tu ie de !M' T J s s e r a n t , nolaire L e D im a n c h e 1er J u in 1 9 1 9 , à une heu re. à Chambly (Oise). Par le ministère de M* Dherbe, huissier à Pont. comprenant notamment : B o is d e P e u p lie r La Manufacture d’allumettes de oaintines (Oise), est acheteur de MATÉCIAUX DE CONSTROCTION Peupliers en grumes Entrepôts - Vente et Commission - P RI X Buffet et chaises de salle à m àniL la des a thé, couverts ruoîtz Etude de M* G u é t in , gradué en pour la labrication des allumettes par déroulage. chetie acajou et sommier, matelas, droit, huissier â Chantilly (Oise). couvertures, fables de nuit u n t Pour offres et renseignements c o m m o d e a n c i e n n e , pe'ndules «>.. 1950 « » W J m~c Htm s adresser au Directeur. diverses, armoires a gmee et autres, chaises, petits bahuts, meub es de A V B JST D TR B salon, un b e a u b u r e a u m i n i s t r e e n c h é u e s c u l p t é , biblioih éq u esft volum es,glaces, fauteuils, u n g r a n d c o l l V e - f o r t F ic h e t , Co n t c n a n c e u n h e c t a r e C h assis-cloch e meub es de cuisine avec b itteri ' E c u r ie , tte m is c s cuisine en cuivre, vaisselle, e t A rceaux d e jard in b e a u m e u b le d e to ile tt e n P a rc , J a rd in d ’ag rém en t S’adresser à M. 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Tables de nuit - —^ p par le ministère de M’ ROBERT, a u m ois Prix dem mdé 43 000 fr. Belle occadix jours de la deuxièm e insertion Les oppositions, s ’il y a lieu, d e Glaces. Pendules et garnitures de Sion. notaire à Baron, C h e z M. P O R E A U X , à Senlis. 194 6 renouvelant la présente. vront, à peine ce forclusion, être cheminée. DE ■MAISON D ’.VLI O fi\T A T IO .Y faites aans les dix jours de la pré Paravent. Ecran. BAUDON. sente insertion et seront reçues en f asier à musique. Cave à liqueurs Se spécialisant dans la vente de l’étude de M* Tisserant, notaire, où Quantité de chaises de salle à man quelques a’ticles de grande consom Etude de M“ C h a r l e s B a u d o n , mation. Point de concurrent sérieux. domicile a été élu à cet effet. pouvant servir à usage ger et de chambre it coucher. notaire au P lessis-B elleville. A V E N D R A Chaise longue. Plusieurs fauteuils. 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Installation mo Pour tous renseignem ents, s’adres Monsieur Léon-Georges JENNER, a On d e m a n d e uu bon derne : près de 5 ) chambres. Fordivers. ser à Me R o b e r t , notaire. vendu à Monsieur Lom's-Âlphonse c h a r r e t i e r sérieux, pour charroi tune assurée en quelques années. Suivant acte reçu par M* Thierson, MERLETTE, boucher et Madame A conclure avec 80.000 fr. comme des bois. On p o u r r a visiter la veille Louise-Adèle LEBEAUX, son épouse, notaire à Nanteui’-le-Haudouin, le . S’adr. au bureau du journal. 1881 Etude de M' R o b e r t B O IL E T , et le jo u r de la Pentecôte. fraclion comptant. demeurant à Ambleny (Aisne), l e dix-sept mai mil neuf cent dix neuf, L a p la c e d e c a n to n notaire à Pont Sainte Maxence. Monsieur Albert R1DARD et Madame fo n d s d e c o m m e r c e d e m a r e r -g ard e ch a m p être e s t v a A u c o m p t a n t . - 1 0 % e n su s . V oie c h a n d b o u c h e r e t c h a r c u Augustine-Marie GUYOT, demeurant CHOQUET m c a n te d a n s la c o m m u n e d e t i e r , qui était exploité à Ver par à .--enneviôres, commune de ChevreM2, rue A le x a n d re -F a tto n M o n ta g n y - S a in te - F é lic ité . Monsieur et Madame JENNER e n ville, ont cédé à Monsieur ThéodorePour tous renseignements com A m ie n s . sem ble clientèle, achalandage, ma Joseph CARTIER, demeurant à CheS’adresser à la Mairie de Mo itaplémentaires , s'adresser à M* Situées au territoire de Pontpoint DELIMOGES, commissaire-priseur tériel et droit au bail moyennant vreville, l e f o n d s d e c o m m e r c e Fny1927 prix et conditions indiqués au dit d ’é p i c e r i e , m e r c e r i e e t d é b i t 14, rue de Beauvais, à Senlis. • « r ~ Chef jardinier, veuf, d e acte. d e b o i s s o n s , exploité par eux à A Louer p ar A djudication GENTILLE m a n d e p l a c e maison bourgeo se Les oppositions, s ’il y a lieu, se Sennevières, Grande Rue, compre En la mairie de Pontpoint ou autre (logé, nourri si possible). ront reçues en l’élude de M= Bou- nant la clientèle, l’achalandage, le Etude de DELIMOGES,» Par le ministère de M» Boilet, no aire : Références ae premier ordre. don et devront être faites dans les matériel et les marchandises en dé commissame-priseur 5 L e D i m a n c h e 1 er J u in 1 9 1 9 , J S’adr. au bureau du journal. 1926 dix jours de la deuxièm e insertion pendant. de l’Arrondissement de Senlsi A V E I W jD jH M S Les oppositions, s’il y a lieu, de renouve ant la présente. à une heure. I O n d e m a n d e retraité oj vront être faites, à peine de forclu P o u r cause de dép a rt, BAUDON. personne présentant de sérieuses sion, dans les dix jours de la pré garanties pour emploi de bureau. P r ix m o d é r é . M ÊM E ÉTU D Esente insertion et seront reçues en Vente aux enchères p-- AtWes S’adr. au bureau du journal. .1932 l'Etude de Me Thierson, notaire à S’adresser à M. BEAUCOURT, gé Etude de M* B o i l e t , notaire L e D i m a n c h e 1 er J u i n , «afT“ Me BLAMOUTIER, notaire Nantcuil-le-Haudouin. rant de propriétés à Chantilly. 1921 à Pont-Sainte-Maxence. à 2 heures de l’après-midi, à Soissons, d e m a n d e d e s u i t e Pour deuxième insertion, c l e r c sérieux pour inventaires et et s’il y a lieu le L u n d i 2 J u i» , THIERSON. à Pont-Sainte-Maxence, DEUXIÈME INSERTION liquidations, et c o m p t a b le exp é à la même heure, A VJEJVjD R J^ rue Charles-Lescot, n. 25, ditionnaire. D’UN Ecrire à Soissons, et pendant le Suivant contrat reçu par Me Boi Par le ministère de M* B O ILLE T, BON mois de juin à Soissons et à Paris, let, notaire à Pont-Sainte-Maxence notaire à Pont-Sainte-Maxence. Etude de M' G a z e a u , notaire 6 , rue Blaise-D esgoffes. 19 (Oise), le neuf mai mil neuf cent à Senlis, L e D im a n c h e 2 2 J u in 1 9 1 » dix-neuf. Monsieur Charles-Auguste60, rue de la République. à 2 h eu re s de l ’après-m idi. aaW ”' .O n d e m a n d e femme sé- , G. orges DEVAU négociant, et Ma Une Voiture dite “ Sociable ” 8 ressorts rieuse et de confiance pour faire la dame Marguerite GUETTIER, son ■A I—i O i i e r ’ d © s u i t © cuisine et le m énage de trois enfants. I épouse, demeurant ensemble au UN C O U PÉ Etude de M e S O U R D E L , notaico garnissart la propriété habitée 100 francs par mois. Monce1,commune de Pontpoint,arron j par M. le Commandant D.., et située à Pont-Sainte-Maxence. Une Voiture b elge S’adresser Hôtel du Grand-Cerf I dissement de Senlis, ont vendu et r u e d e s C o r d e lie r s , n° 8 Senlis. iç f cédé à la Société en nom collectif, Un Chariot A S E N L IS ayant pour raison sociale J CO- A u s a g e d ’a n c i e n n e f e r m e V ille de P o n t-S a in te -M a x en c e U n g r u n d C a d r e d o r é La perception de Chamant MOIT-VINCENT, et pou- objet la fa Sis à SENLIS, à Senlis d e m a n d e d e s u i t e uni hauteur 147, largeur 117 A VM1M D R 05 brication des tabatières, avec siè°-e MÊME £ T V3 J 8 , rue du Moulin-dujGué-de-Pont petit jeune pour les écritures. 1971 épaisseur 24 cent. social actuel à Saint-Claude (Jura)0 BELLE Comprenant L e fo n d s d e c o m m e r c e a y a n t •RB""’ O n d e m a n d e u n p e t i t j A v e n d r e a u x enchère** S'adresser à M. BEAUCOURT, gé logem ents d’habitation, écurie, p o u r o b je t la fa b r ic a tio n e t c o m m i s â l'Epicerie F. Potin, p u b liq u e s rant de propriétés, à Chantilly. 1956 rem ise, gra ge, cour. la v e n t e d e to u s jo u e t s e n Senlis. 1945 L e M A R D I 17 J U I N 1 9 1 9 , b o i s , sous la dénomination « Jouets S’adresser à Mc GAZEAU, notaire D ite V illa Bœ r, de l'Oise », exploité par Monsieur à Senlis. à deux heures du soir, \ sise à P o n t-S a in te-M a x en ce, Devau, au Moncel, commune de A S E N L IS rue de l’Ile, n“ 23. Pontpoint, comprenant 1“ son ensei-j au n° 7 de la rue du Haulbergier, gn e, le nom commercial, la clientèle et ' Etude de M* P e t i t , notaire à Senlis l’achalandage y attachés, y compris U IV B O N (Oise). tous procédés et marques relatifs à Etude de M- B a l é z e a u .v , notaire la fabrication des jouets ; 2° le ma à Chantilly (Oise). A. V E N D R E tériel ; 3° les marchandises. ©n to u s (je n r e s à l’a m ia b le , L’entrée en jouissance a été fixée garnissaut la propriété .4 D J U D I C A TIOIM au jour dudit contrat de vente. qu’habitait Mme veuve CUEL. 1 8 , ru e du T o u r - d e - V il le, SIJAM.IS en l’étude et par le ministère La présente insertion renouvelle de M» BALEXEAU, notaire celle parue dans le •* Courrier de à Chantilly l’Oise ” le dix-huit mai mil neuf cent Etude de Me I > h e r b e , Sise à Senlis, dix-neuf, et les oppositions, s ’il y a à Pont-Sam te-M axencei L e m e r c r e d i I I Juin 1 9 1 » rue du Moulin-Saint Rieul, n 0 20, lieu, devront ê'.re faiies dans les dix -A -S S X X r 'O Z - V O T JL S à quatorze h e u res p récises avec jours de la présente insertion, à A K V S E I N R R ^ DE peine de forclusion, et seront re terrain boisé et jardin potager à l ’amiable çues en l’étude de M- Boilet, no Superficie ; 5.000 mètres euviron. laire, où domicile est élu. S’adresser à M’ Petit, notaire. 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Maire de la Villa de Senlis, pour légalisation de la signature de V apposée a i article „ Le dans le elioix de vos VINS ett Le tout en bon état. voua adressant V i c t o r M tM* ÉTUBS 2 bons Chevaux à ta MfAISOJW SJPÉCI f CE Ü U M Fondée en 1838 E N I I j t> Ë Vf L C A Y IC IL Y ’ Successeur J 1 6 , V l a e e U e n r i - i V, S E J \ L , i S (Oise) (L TÉLÉPHONE n* 50 Ë (F Seul R eprésentant pour le canton d e S en lis des A g e n c es : Ë | ^ F rançaise-X fianjant, Çladiator Zriumpli 4 Cerroi R éparations so ig n ées. - Prix avan la g eu x A PONT-SAINTE-MAX ENCE Matériel de Bouclierie-diarciiierà - état de neuf Enregistré Reçu à Senlis, L i e s r o . o i l l e u i r ' s V AUTO-TRANSPORT 29, rue Anne-Barratin St-Germain-en-Laye (S.-81-0 .) A partir du 2 3 MAI, S ervice de m e s s a g e r ie Mimentanénerit tous les v e n d r e d i s , prochainement tous les ionrs Les colis remis le jeudi au Bureau de Paris avant 4 heures seront distribués le vendredi dans la journée. 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