C3M à Roanne - SUD Michelin

Transcription

C3M à Roanne - SUD Michelin
Le Cromagnon
Journal Interne de la section SUD Michelin Roanne
Novembre 2014 n° 117
CPPAP en cours. Directeur de publication : M. Lorton
C3M à Roanne ?
Rappel sur l’agenda du groupe de travail composé de :
SUD - CFDT - CGT – B. de La Bréteche (Directeur des relations sociales France) - E. Percie du Sert (Directeur UFR) - J.
F. Larue (Chef du personnel Roanne) - J. Mercier
(Responsable Formation UFR) - E. Legrand (Responsable
Communication UFR) - Cabinet Plein Sens 11 juillet :
Organisation du Groupe de travail
1er septembre : Diagnostic économique
3 octobre :
Diagnostic social
7 novembre :
Synthèse de la présentation des diagnostics pour information auprès des salariés.
18 novembre 2014 : Première réunion de négociation
en présence de J. Texeira (Directeur Industriel Europe)
Les différents diagnostics ont montré les forces et les faiblesses de l’usine de Roanne. La Direction Michelin a
avoué enfin qu’une restructuration était inéluctable
sans repositionnement de l’usine avec des investissements dans un projet structurel.
Cap sur le THP avec des C3M ?
Le scénario retenu par la Direction industrielle est le suivant : Michelin n’a pas retenu l’usine de Roanne ces dernières années dans l’accompagnement du marché haut de
gamme avec la massification de sites tourisme en Allemagne, Espagne... Notre usine est devenue en l’espace de
quelques années un petit site de production qui n’est plus
compétitif.
Ce ne sont pas les salariés qui sont responsables de la
stratégie industrielle européenne Michelin.
En 2009, la France était le premier producteur de pneus tourisme Michelin en Europe avec 5 usines. Aujourd’hui, l’entreprise ne compte plus que 3 sites (Roanne-GravanchesCholet).
L’annonce faite sur un projet de repositionnement d’UFR au
mois de juillet, et confirmée au mois de septembre lors de
l’anniversaire des 40 ans, sera sous conditions.
SUD Michelin a rappelé qu’il était de notre devoir d’être présent à cette négociation, hors cadre normal, dans la mesure
où c’est l’avenir de nos emplois qui en découle !
Cependant, ce sera à tous les salariés de décider de
leur avenir et non pas uniquement aux organisations
syndicales !
Etape 1 : Diagnostics et présentation aux salariés (du 11
juillet au 18 novembre 2014).
Etape 2 : Négociation du projet « Transformation –
Compétitivité ».
imprimé par nos soins
Etape 3 : Mars 2015 : Partage avec l’ensemble du
personnel.
Etape 4 : Avril 2015 : Validation du projet et de ses
investissements par J. D. Senard.
18 novembre : Début de l’étape 2
J. Texeira confirme la volonté de l’entreprise de
transformer l’usine pour être un pôle Très Haute
Performance en Europe. Les cibles à atteindre se
feront en 2 étapes (2017 puis 2019)
Extrait de la présentation :
« Le projet “transformation Roanne” est une vraie opportunité
pour le site en sachant que pour tout business/usine, la pérennité
est en fonction de la compétitivité dans les marchés fluctuants.
Impasse de compétitivité de l’usine dans sa mission actuelle.
Besoin de croissance des capacités THP de l’entreprise.
Volonté de repositionnement du site à condition de répondre aux
requis nécessaires spécialement dans les domaines de la flexibilité industrielle et de la réactivité.
Volonté de l’entreprise d’engager un dialogue social qui permette de réussir cette mutation. »
Le repositionnement se fera sur plusieurs années
pour arriver à termes à produire uniquement des
pneus THP avec des moyens individuels (OP) et
l’arrivée en masse de C3M.
Nous ne connaissons ni le nombre de C3M ni l’impact quantifié, métier par métier, sur l’emploi.
Nous sommes uniquement sur des déclarations
d’intentions !
SUD a insisté sur les efforts consentis par les salariés
qui ne seront pas prêts à accepter sans contre partie
en terme de pérennité, conditions de travail, emploi...
Nous martelons depuis le début de ces réunions que la
flexibilité doit être choisie et non imposée.
Prochaine réunion prévue le 28 novembre 2014.
La rédaction
Sommaire
 Edito
 Pénibilité/Mesures fin de




carrière
Elections Montceau/
Golbey
Cherche RI
Spectacle de Noël
Livret Voyages/Sorties
Pénibilité. De la négociation de branche aux décrets.
L’exemple de la convention collective Caoutchouc
Les décrets pénibilité viennent de paraître. La délégation Solidaires de la branche Caoutchouc en
profite pour faire le point sur les batailles à ce sujet, au niveau de la convention collective.
L’OBLIGATION de négocier la pénibilité(1) au niveau des branches(2) a amené le patronat à ouvrir des
« négociations » ces derniers mois dans plusieurs secteurs, notamment industriels. Ce fut le cas dans la
convention collective du Caoutchouc, où l’Union syndicale Solidaires est représentative depuis 2013, la
coordination se composant de trois structures : SUD-chimie, SUD-Michelin, et Solidaires industrie. Conscientes de l’importance de la négociation collective au niveau de la branche - qui s’applique à de nombreuses PME où le rapport de force est plus faible que dans les grandes entreprises - et de l’articulation avec les
pratiques syndicales de « terrain », les revendications nationales et même interprofessionnelles, ces trois
organisations ont porté une dynamique de mobilisation et un positionnement fort sur la pénibilité.
Des discussions au niveau de la convention collective...
Lors de la première CPP (Commission Paritaire Plénière) il y a quelques mois, la chambre patronale
(composée des organisations patronales du secteur, SNCP pour le syndicat majoritaire et UCAPLAST pour
les PME, sans aucune affiliation au MEDEF pour les deux) avait affiché une position très dogmatique, refusant d’aborder toute discussion sur l’aspect des « réparations », privilégiant le volet « prévention » en restant
évasif et ne souhaitant pas articuler ces deux dispositifs pourtant liés. Bien que ces notions de prévention et
de réparation doivent être davantage questionnées, il s’agit avant tout du même principe, celui du système
économique capitaliste. La réponse des organisations syndicales de la branche (CGT-Solidaires-FO-CFTCCFDT-CGC) et donc représentatives au niveau national avait été sans ambiguité : pas question d’ouvrir une
discussion sur ces bases et sur un projet d’accord limité à l’aspect prévention et truffé de grandes intentions
générales (« Prévenir les risques » mais sans les identifier ou dire comment, ni aborder la question des
moyens). Une deuxième CPP tenue avant l’été a été la parfaite démonstration de ce qu’est le « dialogue
social », (cf. le dossier central des Cahiers n°67) dans le cadre du système capitaliste : une mascarade où il
faudrait se considérer comme des « partenaires sociaux » et abandonner toute idée d’affrontement, et où il
serait possible de discuter sur les seuls intérêts de classe du patronat. Se limitant aux obligations légales de
négociation, se retranchant derrière la future mise en place du compte pénibilité présentée comme un acquis, prétextant que le législateur a déjà fait le nécessaire, la délégation patronale s’est bornée à quelques
grands principes très flous. Les organisations syndicales, même si des divergences existent entre elles, ont
néanmoins affiché leur désaccord unanime avec la position patronale.
A notre sens, il y a trois problèmes majeurs :
Tout d’abord, la conception même du rôle des conventions collectives et la remise en cause de la hiérarchie des normes. La convention collective est censée déroger au code du travail de manière plus favorable,
ne pas se cantonner au minimum légal et prendre en compte les spécificités du secteur, comme le caoutchouc qui est à la
croisée de la chimie et de l’industrie.
L’aspect prévention est certes important, mais la vie quotidienne des salarié-e-s et de leurs représentante-s syndicaux au CHSCT et en CE (ou DP dans les petites entreprises) illustre bien les difficultés : dans les
secteurs industriels, le CHSCT et le CE, que ce soit dans la prévention des risques, dans la consultation sur
l’organisation du travail (et plus que la consultation, la question de la finalité du travail et de la reprise en
main de l’outil de production) ou dans leurs missions définies par le code du travail, sont attaqués et entravés par les directions. Les instances existent et, alors si elles ne bénéficient pas de prérogatives suffisantes
(comme un droit de veto au lieu d’un rôle consultatif), elles sont méprisées par le patronat mais aussi par le
gouvernement, qui font tout pour les empêcher de défendre les intérêts des salarié-e-s et de poser les bases
de mobilisations solides. Les outils à disposition des équipes syndicales, comme les fiches produites par
Solidaires(3), doivent être liées à la volonté de construire le rapport de force également hors des IRP - qui
sont des outils et non une finalité.
L’aspect réparations est essentiel dans nos secteurs. L’espérance de vie en bonne santé diminue, l’organisation de travail spécifique (postures, gestes répétitifs, travail posté, bruits, etc.) montre que la pénibilité est
de la responsabilité du patronat et met en avant le « coût du capitalisme »(4) en matière de santé : les objectifs de compétitivité, de rendement, d’efficience, de productivité sont pris au détriment des conditions de travail des salarié-e-s. Les capitalistes nous coûtent cher !(4) Le plus choquant reste l’analyse du patronat, très
violemment critiquée par Solidaires, la CGT et Fo. La réunion s’est finie sur un débat houleux : la délégation
patronale mélange réparations et compensations (« les primes » en guise de pénibilité et l’espérance de vie
en moins !) et oppose un refus de négocier sur cette partie, notamment les départs anticipés, concluant avec
une sentence qui vaut d’être diffusée : "L’espérance de vie n’est pas dûe en premier lieu au travail et à sa
pénibilité, mais aux choix personnels du salarié et à son mode de vie. ». Une position qui en dit long sur le
rapport capital et travail...
...à l’action et la construction de la mobilisation intersyndicale
La troisième et dernière réunion sur le sujet, juste avant celle sur l’examen annuel du rapport de branche, s’est
déroulée dans une ambiance très tendue. Le patronat est revenu avec un nouveau projet en forme de provocation, insistant notamment sur les distributeurs d’eau, les ventilateurs qui pouvaient être mis en place, et prétendant aussi que l’organisation du travail n’était pas vraiment responsable et qu’il fallait accepter une situation de
fait uniquement due au secteur. Tout cela pour proposer une forme de « réparation » au gré à gré et seulement
avec accord de l’employeur, et la possibilité d’une légère modification du poste ou des horaires pour les derniers
mois. Non pas une surprise, mais un choc devant le cynisme affiché par le patronat pour ces questions liées à
l’intégrité et la dignité humaines. Après une suspension de séance, et devant le refus absolu de la délégation
patronale d’entamer de réelles négociations, 4 organisations syndicales qui représentent à elles seules la majorité absolue des salarié-e-s du secteur ont quitté la réunion en pleine séance pour exprimer leur profond désaccord. Un courrier intersyndical a suivi pour saisir la DGT de cette situation et construire un front d’unité autour de
cette thématique, qui représente non pas une résolution de la souffrance - subjective, souvent individualisée, et
affirmant qu’il serait possible d’être « bien » dans le cadre de la société capitaliste - mais bel et bien une modification de l’organisation du travail en tant que telle.
Compte pénibilité : six décrets
Bien entendu, l’obligation de mener des négociations a été rappelée. Mais ce courrier intersyndical résume bien
le point de vue du patronat : « Les +négociations+ entamées au niveau de la branche, et ceci depuis plusieurs
mois concernant la pénibilité, ressemblent davantage à une vaste fumisterie qu’à un exercice de démocratie
sociale et de réelles négociations avec la chambre patronale. L’attitude de blocage permanent, de dédain, voire
de mépris ou de provocation du SNCP et d’UCAPLAST nous a contraints à quitter la dernière paritaire plénière
du 24 septembre 2014. » Si cette négociation existe uniquement grâce à l’action du législateur, on oublie que la
« réforme » sur la pénibilité sert aussi de prétexte au patronat pour ne pas aller au-delà de la loi. Il nous semblait
donc logique de nous pencher sur les 6 décrets publiés (5) au JO du 10 octobre 2014, avec trois mois de retard
sur la date prévue. Ils fixent notamment les facteurs de pénibilité et leurs seuils d’exposition. Ces derniers devront être pris en compte dès janvier 2015, puisque quatre des dix facteurs de pénibilité entreront en application
à cette date (travail de nuit, travail en équipes successives alternantes, risque hyperbare, travail répétitif), et six
en 2016. En conséquence, l’employeur devra consigner l’exposition du salarié à la pénibilité dès lors que ce dernier aura été exposé à un ou plusieurs facteurs de pénibilité, en application de l’article L. 4161-1 du code du travail. Les décrets associent à chacun de ces risques un ou plusieurs seuils annuels d’exposition - portant à la fois
sur une durée minimale et sur l’intensité. Faudra t-il demander à travailler davantage sur des postes pénibles s’il
nous manque 50 heures ? Il est aussi fait référence aux accords de branche étendus, pris en charge s’ils
contiennent des référentiels spécifiques, pour que l’employeur consigne en fin d’année de manière individuelle la
pénibilité. On peut remarquer que les discussions au sein de la branche Caoutchouc font totalement l’impasse
sur les modalités concrètes et pratiques et le contrôle. Elles n’apportent aucune cohésion ou reconnaissance
spécifique au niveau du secteur. Les équipes syndicales, en CE et CHSCT, devront prendre grand soin de vérifier que l’employeur, chaque année civile et avant le 31 janvier, a bien déclaré les facteurs de pénibilité auxquels
ont été exposés les salariés au-delà des seuils prévus, dans le cadre de la Déclaration Annuelle des Données
Sociales. Si deux cotisations patronales sont prévues pour financer les comptes pénibilité, leurs montants restent faibles : 0, 01% des rémunérations pour tous les employeurs (à partir de 2017), et une cotisation additionnelle dûe par les entreprises ayant exposé au moins un de leurs salarié-e-s à la pénibilité, égale à 0,1% des rémunérations des salarié-e-s.... exposé-e-s ! Pas de quoi apeurer le patronat, qui s’imagine déjà se défausser en
reportant une partie de la pénibilité vers des filiales ou des prestataires de services, toujours dans cette même
logique de coût du capital. Il faudra attendre 2018 pour l’obligation de négocier un plan d’action (encore un !) ou
un accord pour certaines entreprises sur le sujet. Un point d’étape est prévu par le gouvernement en 2015, mais
dans l’immédiat, se pose surtout la question du crédit « des points » au compte pénibilité, qui ressemblera à une
grand chasse aux oeufs : quatre points par an en cas d’exposition à un seul facteur de risque ; le double avec
plusieurs facteurs ; un plafond de 100 points sur toute la carrière du salarié, et l’équivalent de 25 ans de
« pénibilité » avec un seul critère.
Ces points pourront servir à :
financer une formation pour un poste non ou moins pénible
bénéficier d’un départ anticipé à la retraite (à partir de 55 ans, dix points valant un trimestre).
Réduction du temps de travail avec maintien du salaire (10 points valant un trimestre à mi-temps). L’âge entre en compte : nés avant juillet 1956, les points sont doublés ; avant 1962, le droit à la formation est amputé
suivant conditions.
Le Caoutchouc est un exemple parmi tant d’autres, mais rappelle à quel point il est essentiel de construire des
mobilisations et de compter avant tout et uniquement sur nous-mêmes, puisque le législateur et le patronat
continuent de faire en sorte que nous perdions notre vie à la gagner. Le changement, c’est qui nous le ferons !
Citation du mois
« La société de l’argent et de l’exploitation n’a jamais été chargée, que je sache de faire régner
la Liberté et la justice »
Albert CAMUS
Pénibilité/Mesures de fin de carrière :
Rien ne va plus !
Extrait des propos de la Direction Michelin lors
de la dernière réunion de négociations sur la Pénibilité :
« Le contexte n’est pas favorable, les décrets ne
sont pas sortis, nous sommes dans le flou, on
en reparlera dans 6 mois dans le cadre de la
GPEC... »
Notre organisation syndicale SUD Michelin a
martelé pendant toutes les négociations, qui durent depuis plusieurs mois, qu’il était urgent de
mettre en place un plan de départ anticipé !
Nous avons, dans toutes les usines, des personnes en grande souffrance physique et psychologique qui ne pourront pas attendre le départ à la
retraite. Où est PRM (Performance Responsabilité Michelin) dans ce comportement ? Et arrêtez
d’essayer de nous faire croire que la conjoncture
n’est pas favorable à la mise en place de ce dispositif.
L’entreprise ne s’est jamais portée aussi bien
financièrement qu’en 2014 avec pour exemple
un taux d’endettement faible comme jamais.
Alors ce n’est pas les quelques euros de baisse
de l’action en bourse qui justifie cette décision
irresponsable !
En conclusion, SUD Michelin ne signera pas l’accord sur la pénibilité, vide de contenu, et qui ne
répond en rien aux attentes des salariés !
NOUVEAU SITE INTERNET SUD MICHELIN
Vous pouvez désormais accéder à notre nouveau site internet (sudmichelin.org). Vous
trouverez toutes les informations sur les différents établissements Michelin en France ainsi
que les différents Cromagnon que nous mettrons en ligne.
ELECTIONS MONTCEAU ET GOLBEY :
SUD première organisation syndicale
Un nouveau souffle syndical est apparu lors des
dernières élections professionnelles à Blanzy et
Golbey.
Ils ont respectivement obtenu 45 % et 82 %
des suffrages.
Nous souhaitons bon courage aux équipes locales qui auront beaucoup de travail à réaliser tant
au niveau de la gestion du Comité que dans la
multiplication des réunions.
Cherche RI désespérément !
Vous êtes jeune, malléable à souhait, et vous
vous ennuyez dans votre vie, alors laissez-vous
tenter par une expérience RI. Ne vous inquiétez
pas des différents entretiens ou tests de sélection, c’est un peu comme à l ’école des fans :
tout le monde obtient 10/10.
Vous pouvez accéder à ce poste même si vous
ne connaissez rien au monde industriel. En ce
qui concerne votre formation, sachez que vous
serez entre de bonnes mains !
Une fois cette expérience réussie vous ferez partie des élites de l’entreprise et vous pourrez alors
postuler à de nombreux postes.
Alors si vous êtes tenté, envoyez votre candidature à J. F. Chadeyras, nouveau RPC
(Responsable Personnel Collaborateur), qui se
fera une joie de vous recevoir.
Spectacle de Noël
Depuis une quinzaine d’années, nous organisons
notre arbre de Noël à la salle Fontalon qui est
en cours de réfection.
Les travaux ont pris du retard ce qui nous a
amené en cours d’année à envisager une autre
solution.
La Municipalité et le Grand Roanne n’ont pas réussi à nous sortir de cette impasse. C’est pourquoi nous avons opté pour 3 séances de cinéma,
spécialement pour les salariés Michelin et leurs
enfants :
Dimanche 7 décembre 13 h / 15 h / 17 h
Mais bonne nouvelle, le Père Noel nous a fait savoir qu’il ferait en sorte d’être présent.
Livret Voyages et sorties 2015
Le nouveau livret tant attendu par le
personnel de l’usine est disponible au
C. E.
Permanences pour les inscriptions :
24 novembre : 11 h 30 / 13 h 30
1er décembre :17 h 30 / 18 h 30
8 décembre : 17 h 00 / 18 h 30
5 janvier 2015 : 11 h 30 / 13 h 30