p aolo C on te | V endredi 5 et samedi 6 sep tembre
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vendredi 5 septembre – 20h samedi 6 septembre – 20h Psyché – Concert symphonique Première partie : Paolo Conte & ses musiciens entracte Paolo Conte & ses musiciens Daniele di Gregorio, piano, batterie, marimba Jino Touche, contrebasse, guitare Daniele dall’Omo, guitare Massimo Pitzianti, piano, clavier, accordéon, bandonéon, clarinette, saxophone baryton Claudio Chiara, guitare basse, clavier, accordéon, saxophone alto, saxophone ténor Luca Velotti, saxophone soprano, saxophone ténor, saxophone contralto, saxophone baryton, clarinette Lucio Caliendo, hautbois, basson, percussions Piergiorgio Rosso, violon Orchestre National d’Île-de-France Bruno Fontaine, arrangements et direction Coproduction Auditorium-Orchestre National de Lyon, Orchestre National d’Île-de-France et Salle Pleyel. Fin du concert vers 22h20. Paolo Conte | Vendredi 5 et samedi 6 septembre Deuxième partie : Paolo Conte & ses musiciens et l’Orchestre National d’Île-de-France vendredi 5 et samedi 6 septembre Le mystère de maître Conte Il nous est familier et, néanmoins, demeure un mystère. Paolo Conte s’ennuie sur les routes balisées. Il a grandi dans une famille de juristes, férue de musiques savante et populaire. Initié au piano et au vibraphone, il se passionnait pour les arts et souhaitait devenir médecin. Finalement, il embrassa des études de droit puis, pendant deux décennies, mena la double carrière d’artiste et d’avocat. Celui qui se destinait à la médecine soigne les âmes. Le monde a tellement besoin de ces thérapeutes qui pansent les plaies grâce aux bienfaits du rythme et de la rime. Homme de défi, il confronte aujourd’hui son répertoire aux arrangements conçus par le chef Bruno Fontaine pour l’Orchestre National d’Île-de-France. « Cet énorme projet, imaginé par des Français, rassemble mon groupe et un orchestre symphonique de… soixante musiciens ! Une expérience qui excite ma curiosité », confie-t-il. Avant d’être rejointe en seconde partie par l’Orchestre National d’Île-de-France, se produit sa formation historique dont l’instrumentation, originale et féconde, combine marimba, accordéon, bandonéon, percussions, clarinette, saxophone, violon, hautbois, basson… Outre quelques nouvelles chansons, la création Psyché – Concert symphonique nous emporte au gré de pièces emblématiques : « Via con me » (« Viens avec moi »), « Diavolo rosso » (« Diable rouge »), « Gli impermeabili » (« Les imperméables »), « Alle prese con una verde milonga » (« Aux prises d’une milonga verte »), « Hemingway », « Come-di »… Cet homme profondément attaché à la terre a toujours préféré les chemins buissonniers. Né en 1937 à Asti, au nord-ouest de l’Italie, il passe, durant la guerre, une bonne partie de son enfance dans la ferme de son grand-père. De ce séjour, il conservera un profond attachement aux êtres simples et aux cultures populaires. Celui qui a été comparé à un Jacques Brel transalpin sonde, à travers ses textes, la discrète grandeur des petites gens. Avec un sens aigu de l’observation, il sait croquer, en quelques traits, le quotidien et sa cohorte de quidams, traquer sans complaisance le dérisoire, l’illusoire. D’où lui vient sa lucidité aussi drue, piquetée d’ironie ou bien soudain illuminée de lyrisme ? La guerre a laissé en lui des empreintes indélébiles. Il a expliqué avoir gardé au plus profond de lui la mémoire de l’homme de l’après-guerre, qu’il a minutieusement examiné quand il était gosse : les drames engendrés par l’impitoyable belligérance, le désarroi, les rêves en ruines qu’il a fallu réinventer. Le jazz semble avoir délivré le jeune Paolo de la désillusion que la rude réalité du monde aurait pu définitivement clouer dans son cœur. « Longtemps considéré avec mépris par une certaine intelligentsia, le jazz a peu à peu imposé la richesse de sa démarche et sa complexité, j’ai été tôt interpellé par la formidable ouverture d’esprit qu’il incarne », précise maître Conte. De ses disques et concerts, on se souvient de boogie-woogies bouillonnants, d’allègres envolées de cuivres, d’onomatopées dispensées dans la veine du scat. Un saxophone instille sa sensualité au célébrissime « Sotto le stelle del jazz » (« Sous les étoiles du jazz ») ou encore à « Hemingway ». Ce clin d’œil au fameux écrivain américain nous emporte de Zanzibar à Tombouctou, sur des pistes parfois grêlées par le sel du désenchantement. « Cette route muette qui s’en va, comme un papillon, une nostalgie… », entonne la voix dont la raucité cache un velours secret, une tendresse infinie. La rocaille de ses cordes vocales charrie les errances de la condition humaine. Les chansons du troubadour transalpin piémontais ressemblent aux cailloux du petit Poucet. En les écoutant, nous posons nos pieds dans les pas du parolier – ses rencontres, ses questionnements, ses pérégrinations intérieures. « Je pourrais avoir l’air d’un comptable / Ou alors d’un géomètre / Mais j’entends crier un tango / Dans les tréfonds de mes sentiments », chante Paolo dans « Il regno del tango » (« Le royaume du tango »). La presse l’a quelquefois comparé à un crooner : un vocable qu’il faut appréhender dans sa signification la plus noble et sans nulle synonymie avec le terme « séducteur ». Chez lui, le désappointement coudoie le burlesque ou la mélancolie. L’érudit d’Asti cultive l’héritage de la commedia dell’arte. Notons que ce genre théâtral recourt à l’improvisation, à l’instar du jazz si cher à l’artiste. Paolo Conte s’est fait connaître en signant des œuvres, devenues des tubes, pour des vedettes italiennes, Bruno Lauzi (« Azzurro », repris par Régine), Adriano Celentano (« Genova per noi »)… Préférant remettre son ouvrage sur le métier, il n’a pas cédé au chant des sirènes du showbusiness. Au fil des mots et des notes, il joue ici sur l’assonance, là avec la dissonance, ou encore fait claquer dans sa bouche des allitérations. Et, quand le swing lance une invitation, les pieds de ses vers se mettent à danser. L’artiste publia assez tardivement son premier album, sobrement intitulé Paolo Conte (1974), puisqu’il avait trente-sept ans. En 1979, le LP Un gelato al limon (« Une glace au citron ») remporta les suffrages du grand public. Paris milonga le propulsa, deux ans plus tard, sur la scène internationale. Aquaplano en 1987, Novecento en 1992, Una faccia in prestito (1995) confortèrent sa progression. En France, dès les premiers galas, le chanteur remplit sans faiblir le Théâtre de la Ville (en 1985, puis à d’autres reprises). À l’Olympia, il effectua trois semaines à guichets fermés. Même le légendaire club de jazz new-yorkais le Blue Note lui ouvrit ses portes. En 1999, Paolo Conte fut décoré de l’ordre des Cavaliere di Gran Croce, récompense artistique italienne. La France, en 2001, le nomma chevalier dans l’ordre des Arts et des Lettres. Le sémillant septuagénaire n’est pas sans évoquer le vin d’Asti. Verve pétillante, élégance, éclats malicieux, fines fragrances poétiques. Mais avec lui, la modération ne s’impose pas. On boit jusqu’à l’ivresse son cocktail sucré-salé, tandis que la nuit s’installe lentement. Son groupe, bientôt rallié par l’orchestre symphonique, donne le la. Et sonne, pour nous, l’heure d’un bonheur simple et pourtant raffiné, lorsque chanson d’auteur, souffle de jazz et commedia dell’arte s’unissent dans un écrin symphonique. Fara C. vendredi 5 et samedi 6 septembre Bruno Fontaine Bruno Fontaine est pianiste concertiste, chef d’orchestre, arrangeur et compositeur. Né à Épinal, il débute le piano à l’âge de 4 ans et intègre le Conservatoire de Paris (CNSMDP), sur dispense spéciale, à l’âge de 11 ans, pour étudier avec, entre autres, Jean Hubeau et Pierre Sancan. Il en sort à l’âge de 15 ans, titulaire de 5 premiers prix. Il se rend alors aux ÉtatsUnis où il rencontre Don Costa, le célèbre arrangeur de Franck Sinatra, avec lequel il travaille, ce qui confirme son goût pour la découverte d’autres musiques. Dès lors s’enchaînent des collaborations artistiques qui l’amènent, parallèlement à sa carrière classique, à travailler avec des artistes aussi divers que Johnny Hallyday, Mylène Farmer, Alain Chamfort, ou plus récemment Jérôme Deschamps. Les Rita Mitsouko lui demandent de créer des arrangements pour orchestre symphonique de leurs chansons ; d’autres réalisations de ce genre suivront, avec Barbara Hendricks, Mísia, Paolo Conte. Michel Portal, Richard Galliano, Mino l’Orchestre des Pays de Savoie, l’Orchestre National de Lyon. Il a également dirigé le London Symphony Orchestra pour un enregistrement avec le guitariste John Williams (Sony Classical). Ses partenaires en musique de chambre sont le Quatuor Ysaÿe, Michel Portal, les violoncellistes Sonia Wieder-Atherton et Ophélie Gaillard, avec laquelle il a enregistré une intégrale Fauré chez Ambroisie, le violoniste Guillaume Sutre et l’altiste Miguel Da Silva (ils enregistrent ensemble Max Bruch pour le label Transart Live). Bruno Fontaine joue en soliste sous la direction de Yutaka Sado, Philippe Bender, Edmon Colomer, David Wroe… Il a gravé pour Transart Live un récital Mozart qui reçoit un accueil élogieux, notamment les ffff de Télérama. Un récital Bach sous le même label vient de paraître. Il a également enregistré pour le label Ambroisie un disque d’improvisation intitulé Saisons. Bruno Fontaine est nommé aux Victoires de la Musique et aux Césars pour la musique du film On connaît la chanson (1997) d’Alain Resnais, qui lui confie ensuite les Cinelu, Louis Sclavis deviennent ses partenaires de prédilection en jazz, et il assure la direction musicale des spectacles de Ute Lemper, Lambert Wilson et Julia Migenes pendant de nombreuses années. En 2004 et 2005, Bruno Fontaine donne à Paris et en province plus de 160 représentations du spectacle Heureux avec Jean Rochefort, autour de la musique d’Erik Satie. Parallèlement, il poursuit sa carrière de soliste et de chef : il se produit régulièrement avec l’Orchestre Lamoureux, l’Ensemble Orchestral de Paris, l’Orchestre de Cannes, l’Orchestre de la Suisse Romande, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, l’Orchestre National de Lille, l’Orchestre National des Pays de la Loire, nouveaux arrangements et la musique originale du film Pas sur la bouche en 2003. On lui doit également les musiques originales de Tangos volés de Eduardo de Gregorio, La vie ne me fait pas peur de Noémie Lvovsky, Ça ira mieux demain, C’est le bouquet et Cause toujours, réalisés par Jeanne Labrune, ainsi que Cavaliers seuls (2008), réalisé par Delphine Gleize et Jean Rochefort. auprès de nouveaux publics. De 2002 à 2008, le compositeur Marc-Olivier Dupin assure la direction générale de la formation ; il l’ouvre à de prestigieux chefs et solistes, élargit son répertoire et rénove son approche du concert et du public. L’orchestre compte désormais parmi les formations nationales les plus dynamiques. Composé de quatre-vingtquinze musiciens permanents, l’orchestre donne chaque saison une centaine de concerts, offrant ainsi aux franciliens une grande variété de programmes sur trois siècles de musique, du grand symphonique à la musique contemporaine, du baroque aux diverses musiques de notre temps (Lenine, Pink Martini, Craig Armstrong, Paolo Conte ou encore Nosfell). L’orchestre a créé, depuis une quinzaine d’années, une centaine de pièces contemporaines et un festival, Île de découvertes, dont la troisième édition aura lieu à SaintQuentin-en-Yvelines en mai 2010. Depuis la rentrée 2005, Yoel Levi est le chef principal de la formation. Son arrivée a renforcé l’exigence de qualité, la volonté d’élargir le répertoire symphonique et la cohésion musicale de l’orchestre, ainsi que son rayonnement national et international. Après quatre saisons fructueuses passées à la tête de l’orchestre, Yoel Levi vient d’être reconduit dans ses fonctions jusqu’en 2012. L’orchestre est très engagé en faveur du jeune public. Il élabore et développe des actions ambitieuses : ateliers, rencontres avec les artistes, concerts éducatifs et spectacles musicaux Orchestre National d’Île-de-France placent les jeunes au cœur de l’orchestre L’Orchestre National d’Île-de-France, créé et les éveillent au répertoire symphonique en 1974, est financé par le conseil régional et au spectacle vivant. Les concerts d’Île-de-France et le ministère de la culture. Oi Brasil, La Fontaine de l’île, Renard Sa mission principale est de diffuser et, plus récemment, Chantons avec l’art symphonique sur l’ensemble du l’orchestre à la salle Pleyel ont réuni territoire régional et tout particulièrement plusieurs milliers de jeunes choristes. Premier violon supersoliste Ann-Estelle Médouze David Vainsot Jean-Michel Vernier Clarinette basse Alexandre Ringeval Violons solos Stefan Rodescu Bernard Le Monnier Violoncelles Frédéric Dupuis, 1er solo Anne-Marie Rochard, co-soliste Bertrand Braillard, 2e solo Jean-Marie Gabard, 2e solo Béatrice Chirinian Jean-Michel Chrétien Céline Flamen Sébastien Hurtaud Camilo Peralta Bernard Vandenbroucque Petite clarinette Sandrine Vasseur Violons Jean-Michel Jalinière, chef d’attaque Flore Nicquevert, chef d’attaque Maryse Thiery, 2e solo Yoko Lévy-Kobayashi, 2e solo Virginie Dupont, 2e solo Grzegorz Szydlo, 2e solo Jérôme Arger-Lefèvre Marie-Claude Cachot Marie Clouet Delphine Douillet Isabelle Durin Anne-Marie Gamard Domitille Gilon Bernadette Jarry-Guillamot Léon Kuzka Marie-Anne Pichard-Le Bars Mathieu Lecce Jean-François Marcel Laëtitia Martin Geneviève Melet Julie Oddou Marie-Laure Rodescu Pierre-Emmanuel Sombret Sylviane Touratier Justine Zieziulewicz Altos Muriel Jollis-Dimitriu, 1er solo Renaud Stahl, 1er solo Sonia Badets, 2e solo Inès Karsenty, 2e solo Anne-Marie Arduini Benachir Boukhatem Frédéric Gondot Catherine Méron Lilla Michel-Peron François Riou Contrebasses Robert Pelatan, 1er solo Didier Goury, co-soliste Pierre Maindive, 2e solo Jean-Philippe Vo Dinh, 2e solo Philippe Bonnefond Tom Gélineaud Florian Godard Pierre Herbaux Flûtes Hélène Giraud, 1er solo Jean-Michel Varache, 1er solo Pierre Blazy Piccolo Nathalie Rozat Hautbois Jean-Michel Penot, 1er solo Jean-Philippe Thiébaut, co-soliste Hélène Gueuret Cor anglais Marianne Legendre Clarinettes Jean-Claude Falietti, 1er solo Myriam Carrier, co-soliste Bassons Henri Lescourret, 1er solo Frédéric Bouteille, co-soliste Gwendal Villeloup Contrebasson Cyril Exposito Cors Robin Paillette, 1er solo Tristan Aragau, co-soliste Marianne Tilquin Jean-Pierre Saint-Dizier Annouck Eudeline Trompettes Yohan Chetail, 1er solo Nadine Schneider, co-soliste Patrick Lagorce Pierre Greffin Trombones Patrick Hanss, 1er solo Laurent Madeuf, 1er solo Matthieu Dubray Sylvain Delvaux Contre-tuba/tuba basse André Gilbert Timbales Jacques Deshaulle Percussions Gérard Deléger Pascal Chapelon Didier Keck Harpe Florence Dumont Salle Pleyel | Chanson, rock, musiques de films | 08|09 Vendredi 10 octobre, 20h MERCREDI 3 DÉCEMBRE, 20H SAMEDI 28 FÉVRIER, 20H Herbie Hancock, piano Terence Blanchard, trompette James Genus, contrebasse Lionel Loueke, guitare Gregoire Maret, harmonica Kendrick Scott, batterie Étienne Daho Michel Legrand back in Paris : Le Grand Jazz MERCREDI 25 FÉVRIER, 20H John Zorn & Tzadik présentent la musique de Serge Gainsbourg Avec Sean Lennon, Elysian Fields, Marc Ribot & Ceramic Dog / Esther Balint, Cyro Baptista & Banquet of the Spirits, John Zorn... Dans le cadre de la 12e édition du JVC Jazz Festival. Production Loop Production. SAMEDI 11 OCTOBRE, 20H C’est en conviant des figures d’exception de l’underground new-yorkais que John Zorn et son foisonnant label Tzadik revisitent, de manière forcément décalée, l’univers de l’artiste français. MARDI 23 JUIN, 20H Hommage à Boris Vian Avec la participation du Big band Le Sacre du tympan vendredi 27 FÉVRIER, 20H Sous le regard complice de Jean-Christophe Averty, plusieurs artistes incontournables de la chanson française se réunissent à l’occasion du cinquantième anniversaire de la disparition du grand écrivain, poète, chanteur et musicien de jazz. Michel Legrand back in Paris : Le cinéma LUNDI 29 JUIN, 20H Avec la participation de l’Orchetre National d’Île-de-France Nosfell Le Lac aux vélies Michel Legrand a composé la musique de plus de deux cents films réalisés par les plus grands cinéastes. À la tête d’un orchestre symphonique et en présence de ses amis musiciens, il nous fait revivre cinquante ans d’aventures musicales et cinématographiques. Labyala Nosfell, chant, guitare, narration Ensemble Bourgeois Orchestre National d’Île-de-France Christophe Mangou, direction Air Close Up Groupe essentiel de la scène française, reconnu internationalement, Air présente une facette de son univers singulier à l’occasion d’un projet spécial à la Salle Pleyel. En 1960, sortait l’album Le Grand Jazz réunissant autour de Michel Legrand le must du jazz de l’époque. Un nouvel album à paraître fin 2008 propose le second volet de cette aventure. À cette occasion, un concert exceptionnel avec Le Big Band Michel Legrand réunit autour de cet artiste international ses amis jazzmen et propose une synthèse de son art. SAMEDI 8 NOVEMBRE, 20H Noa Genes & Jeans L’univers de Noa trouve sa source auprès d'artistes tels que Paul Simon, Joni Mitchell et Leonard Cohen, enrichi par ses origines yéménites et la culture jazz/rock. Portée par une voix unique, elle présente son nouvel album Genes & Jeans. Nosfell, artiste polymorphe, déploie ses talents de conteur et de chanteur dans Le Lac aux vélies, un conte musical où se mêlent images, musique et danse. Production Encore Productions. Mécène de l’art de la voix Les partenaires média de la Salle Pleyel Imprimeur SIC | Imprimeur BAF | Licences 7503078, 7503079, 7503080 Herbie Hancock est l’un des pianistes et compositeur de jazz les plus importants et influents du XXe siècle. Pianiste de Miles Davis au sein de son illustre quintet, il a ensuite joué un rôle primordial dans l’introduction d’autres musiques dans le jazz, réussissant à allier sophistication et accessibilité. C’est en quartet qu’il viendra cet Automne à la salle Pleyel nous présenter son tout nouvel opus. Chanteur et compositeur d’exception, Étienne Daho a su imposer un style unique dans le paysage de la pop française, que l’on retrouve dans L’Invitation, son dernier album. !" # $ % " &"' "! " " ( ) * + ,