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Macroéconomie – 2011
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Questions supplémentaires
Série 5 - Correction
Question 1
If you take X units of foreign currency per Big Mac divided by $3 per Big Mac, you get X/3 units of the
foreign currency per dollar, that’s the predicted exchange rate.
a) Indonesia: 14,550/3 = 4,850 rupiah/$
Hungary: 536/3 = 179 forint/$
Czech Republic: 57.10/3 = 19 koruna/$
Canada: 3.20/3 = 1.07C$/$
Purchasing power parity explains the actual observed exchange rates quite well for Hungary
and the Czech Republic, but it does not appear to explain so well the exchange rates of the
Indonesian rupiah or the Canadian dollar.
b) Under purchasing-power parity, the exchange rate of the Hungarian forint to the Canadian
dollar is 536 forints per Big Mac divided by 3.20 Canadian dollars per Big Mac equals 167
forints per Canadian dollar. The actual exchange rate is 188 forints per US dollar divided by
1.23 Canadian dollars per US dollar equals 153 forints per Canadian dollar. That is pretty
close!
Question 2
Si la consommation autonome est de 250 milliards d’euros et que la propension marginale à
consommer est de 2/3, la fonction de consommation agrégée est : C = 250 milliards d’euros + 2/3 ×
Yd
a) La demande effective est égale à la consommation plus l’investissement prévu :
DEffective = C + IPrévu
DEffective = (250 milliards d’euros + 2/3 × Yd) + 350 milliards d’euros
DEffective = 600 milliards d’euros + 2/3 × Yd
b) Lorsque le PIB réel est égal à 600 milliards d’euros, la demande effective est de 2000 milliards
d’euros (600 milliards d’euros + 2/3 × 600 milliards d’euros). L’investissement en stocks
involontaire est égal au PIB réel moins la demande effective, soit –400 milliards d’euros.
c) Y* se situe au point où le PIB réel est égal à la demande effective. À partir du graphique, on
peut voir que c’est le cas pour un PIB réel égal à 1800 milliards d’euros.
d) La valeur du multiplicateur est de 3 (1/(1 – 2/3).
e) Si l’investissement prévu augmente à 450 milliards d’euros, cela correspondra à une
augmentation de 100 milliards d’euros de l’investissement prévu. Étant donné un
multiplicateur de 3, Y*augmentera de 300 milliards d’euros à 2100 milliards d’euros.
Question 3
Higher real interest rates in Europe lead to increased US net capital outflow. Higher net capital
outflow leads to higher net exports, since in equilibrium net exports equal net capital outflow (NX =
NCO). Figure 8 shows that the increase in net capital outflow leads to a lower real exchange rate,
higher real interest rate, and increased net exports.
Question 4
a) En conséquence de l’augmentation du prix du pétrole et du déplacement vers la gauche
de la courbe d’offre globale de court terme, le PIB réel diminue à Y2 (et le chômage
augmente) et le niveau général des prix augmente à P2 comme l’indique le graphique
suivant. Cette combinaison d’inflation et de chômage est appelée stagflation.
b) L’État peut utiliser des politiques budgétaires et monétaires soit pour augmenter le PIB
réel soit pour diminuer le niveau général des prix, mais pas les deux à la fois. Si l’État
augmente les dépenses publiques, diminue les impôts ou augmente la quantité de
monnaie en circulation, il peut faire augmenter le PIB réel mais il peut également faire
augmenter le niveau général des prix. Ceci est illustré au graphique de la question a par
le déplacement vers la droite de DG1 en DG2. Si l’État diminue les dépenses publiques,
augmente les impôts ou diminue la quantité de monnaie en circulation, il peut faire
baisser le niveau général des prix mais diminuera également le PIB réel, aggravant l’écart
récessionniste. Ceci est illustré au graphique suivant par le déplacement vers la gauche
de DG1 en DG3.
c) L’État ne peut pas utiliser les politiques budgétaires et monétaires pour corriger le PIB
réel trop faible et niveau général des prix trop élevé simultanément. On peut seulement
utiliser des politiques pour remédier à un problème mais aux dépens d’une aggravation
de l’autre.
Question 5
If the central bank increases the money supply and people expect a higher price level, the aggregate
demand curve shifts to the right and the short-run aggregate supply curve shifts to the left, as shown
in Figure 7. The economy moves from point A to point B, with no change in output and a rise in the
price level (to P2). If the public does not change its expectation of the price level, the short-run
aggregate supply curve does not shift, the economy ends up at point C, and output increases along
with the price level (to P3).
Question 6
a) Le tableau suivant indique l’impact de chaque euro dépensé par l’État en biens et
services pour chaque groupe de revenus. Il est calculé par la formule 1/(1 – PmC).
b) Puisque l’impact est le plus élevé pour le groupe de revenus les plus faibles, les politiques
budgétaires destinées à ce groupe de revenus devraient nécessiter la variation la plus
faible d’achats de biens et services par l’État pour réduire un écart récessionniste ou
inflationniste.