Du vent dans les branches de Sassafras
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Du vent dans les branches de Sassafras
www.theatrefoxcompagnie.com http://www.facebook.com/Foxcie Lien vidéo : www.youtube.com/watch?v=zbaba2lcwMo Contact Diffusion : En Votre Compagnie / Olivier Talpaert 0677325050 / [email protected] Contact Artistique : Théâtre Fox Compagnie / Céline Sorin 0663666434/ [email protected] L'HISTOIRE Cette pièce est une adaptation de «Simbad le marin», ce conte est tiré des Contes des mille et une nuits datant du IXème siècle, il apparait à la 537ème nuit... Le texte est librement inspiré de trois de ces voyages. Entre théâtre, vidéo, marionnettes et musique, embarquez avec Sindbâd vers des contrées lointaines, peuplées de personnages extraordinaires, de musiques inconnues, de paysages étranges. Sindbâd, est un jeune homme égoïste qui vit sans se poser de questions. Il rencontre Bass, chat philosophe, et décide de changer, de ne plus perdre son temps. Ils vont partir sur les mers du monde pour un merveilleux voyage, vers de nouvelles aventures. Il y rencontrera la peur et la solitude mais aussi l’entraide et la bonté. Sindbâd comprendra alors que l’amitié et l’amour sont les vraies valeurs de la vie. LES CONTES Le conte est un genre très rependu et que l’on peut trouver partout à travers le monde, il se divulgue par l’oral (les veillées…), mais aussi par l’écrit. Il a longtemps été le genre méprisé, relégué au rang de divertissement. C’est d’ailleurs un des premiers genres qu’une femme sera autorisée à écrire. Le conte se singularise par son caractère de fiction avouée. Le conte est un véritable hymne à la puissance de la parole et de l’imaginaire. On a souvent souligné la fonction éducative du conte : celle d’enseigner aux enfants les dangers de la vie, en les effrayant avec un discours moralisateur. Il est également porteur d’un message optimiste pour l’enfant, qui retrouve, dans les handicaps du héros, une image de sa situation dans l’univers des adultes. La psychanalyse y a vu l’expression des angoisses des enfants : le fantasme de dévoration, d’abandon… NOTE D'INTENTION Comment transposer ces voyages merveilleux sur scène? En faisant travailler l’imaginaire du spectateur. Nous sommes dans une société du «prédigéré», tout nous est offert et finalement parfois imposé, de manière insidieuse. Dans ce spectacle, nous voulons remettre l’imagination au pouvoir. Toutes les vidéos d' animation seront travaillées à partir de matériaux simples dits «de récupération». Des éléments usuels qui se transforment pour nous faire voir un navire dans la tempête, des fonds sous-marins, un vol d’oiseaux... Aider à changer le regard que nous portons sur les objets qui nous entourent, c'est aussi aiguiser notre regard sur les gens qui nous entourent, sur notre propre vie, sur nos valeurs. C'est l’expérience que vit Sindbâd et que nous partageons avec lui. Vue de la maquette du Souk, qui est vidéo projetée et dans lequel Sindbâd évolue au début du spectacle. La musique, élément prédominant du spectacle est un lien entre les différents univers, elle est le langage commun, elle casse les barrières et fait voyager l’esprit. La musique a cette faculté de créer les mêmes émotions, les mêmes sensations chez tout le monde, quel que soit l’âge, le statut social, la nationalité, la religion...Ici, le musicien est le conteur, il nous guide dans l’histoire. Pour accompagner Sindbâd, nous avons choisi les marionnettes car elles permettent une plus grande distanciation avec la réalité, ce qui décuple l’imaginaire .Chaque personnage devient à lui seul un univers, avec ses propres codes de gestuelle et de langage. Comme autant de visions, de facettes de l’être humain. SCENOGRAPHIE Un écran de tulle qui est le monde conté, la vision du conteur- musicien, le livre d’images. Les vidéoprojections permettent de mélanger images filmées et jeu en direct, créant ainsi des passerelles avec l’imaginaire. A droite de l’écran, le musicien-conteur et ses instruments, ses machines. MUSIQUE En parcourant un texte ou un récit, on se rend très vite compte de sa portée musicale; Sindbâd le marin de par sa forme littéraire, est une véritable aubaine pour un compositeur à la recherche de nouvelles sonorités et d'un propos musical plus personnel. C’est une sorte de malle à tiroirs où l'on peut retrouver le symbolisme, la féérie ou l'onirisme qui ont toujours été des éléments sûrs et porteurs à une création musicale. La partition de Sindbâd se déclinera sous trois angles : orchestral, électronique et chanté ; jouée sur scène par un musicien. Cette partition sera composée en adéquation avec des instruments classiques et les nouvelles technologies musicales. LA COMPAGNIE Créée en 1995, La Fox Compagnie est une troupe professionnelle implantée à Annemasse (74). Elle est en résidence permanente au Théâtre Michel Servet-Annemasse (74). Elle bénéficie du soutien de Château Rouge-Scène Régionale, de la ville d'Annemasse, du Conseil général de Haute Savoie, de l'Assemblée des Pays de Savoie et du Conseil régional Rhône-Alpes. Elle se produit dans toute la France. Elle forme également à la pratique théâtrale. Elle tend vers un travail scénique très visuel et musical, contribuant ainsi à donner goût, notamment aux adolescents, au spectacle vivant. Ses créations 1997-1998 1998-1999 2001-2006 2003 2004-2006 2005-2007 2005-2007 2006-2007 2008-2010 2010-2011 2012 Le Marathon de Claude Confortès. Comment Harponner le requin ? de V. Haim. Festival d’Avignon 1999(L’Alizé). Un éléphant dans le jardin d'Éric Westphal. Festival d’Avignon 2001(Le Balcon). Avec le soutien de l’Adami. Tournée de 105 représentations. Bal- Trap de Xavier Durringer. Festival d’Avignon 2003 (L’Alizé). Passeport de Pierre Bourgeade. Festival d’Avignon 2004 (Le Balcon). Ce spectacle a été représenté plus de 100 fois. Une journée quelconque de Dario Fo et Franca Rame Festival d’Avignon 2007 (Théâtre du Bourg-Neuf). Antigone à New York de Janusz Glowacki (Editions théâtrales) ; traduction de Olivier Cohen et Urszula Mikos. Festival d’Avignon 2007 (La Luna) Les 7 jours de Simon Labrosse de Carole Fréchette Spectacle créé en résidence à Yseure (03) et à Annemasse. Le Médecin malgré lui de Molière, Festival d’Avignon 2008 et 2009 (Espace Alya et La Luna). Spectacle pour comédiens marionnettisés. Tournée nationale (135 représentations). Coprod : Théâtre des Marionnettes de Genève, Château Rouge – Annemasse et L’Esplanade du lac - Divonne les Bains. Volpone de Ben Jonson, Festival d' Avignon 2010 et 2011(La Luna), Tournée nationale (163 représentations), dont 60 dates au Théâtre du Ranelagh ( Paris). Coprod : Château Rouge -Annemasse et L’Esplanade du Lac – Divonne les Bains Du vent dans les branches de Sassafras de René De Obaldia, Coprod : Château Rouge -Annemasse et L’Esplanade du Lac – Divonne les Bains Festival d'Avignon 2012 (La Luna) Revue de Presse ° Le médecin malgré lui Une réussite totale, de quoi faire aimer Molière au plus grincheux. La compagnie Fox propose un dispositif scénique inventif, entre le Guignol et le théâtre de masque… d’une richesse visuelle surprenante, d'une fantaisie qui s’accordent bien avec la truculence du verbe de Molière. Farce virtuose sur le thème de la manipulation et de la crédulité, Le Médecin malgré lui se refait une nouvelle jeunesse. N’y allez pas, courez-y ! Rue du théâtre (Coup de cœur du Off 2008) L'idée lumineuse est d'avoir confié les rôles à des acteurs "marionnettisés". Le résultat est désopilant. Et comme la mise en scène est soignée et le jeu des acteurs irréprochable, le texte de Molière en ressort dynamisé. Tribune de Genève Une farce animée, futée, qui file de subterfuges en rebondissements. Un rythme et une folie que la Fox Cie entretient avec talent. Le Temps ° Volpone … La mise en scène est moderne et originale...Au programme, un décor à roulettes totalement acteur du spectacle, deux bonnes lubriques, un Samir Dib parfait en Volpone grunge...La brochette des assoiffés d'argent est digne des meilleurs héros de séries B... Céline Sorin explose le plateau en une Mosca machiavélique qui mène sa barque à souhait...La scénographie est à saluer, la mise en lumière et la mise en espace sonore sont deux réussites... » Amélie Blaustein Niddam. La boite à sorties – le webzine des sorties culturelles (16 juillet 2010) Le spectacle du jour : Volpone Cette comédie humaine est magnifiquement restituée par la Fox Compagnie: la mise en espace est intelligemment concentrée autour d'un décor-cube qui se prête à toutes les transformations...les comédiens sont parfaits dans leurs rôles, baroques et décalés; costumes, masques, déplacements, mimiques relèvent à la fois de Fellini et de la commedia dell'arte. C'est un spectacle conçu avec pertinence et réalisé avec efficacité. Vaucluse matin (17 juillet 2010) Le spectacle est baroque. Les comédiens avec leurs costumes bigarrés et des coiffures en bec de perroquet, ressemblent à des oiseaux bizarres. La scène est un cube qui se déplie. Une sorte de coffret géant qui s'ouvre et se referme au gré des scènes. Il s'agit d'une farce à l'italienne dont le caractère volontairement outré du jeu convient bien à l'exubérance et à la jovialité latine Claude Kraif. Revue-spectacles.com (17 juillet 2010) Entre Trash et théâtre masqué, une version aussi colorée qu'expressionniste du classique de Ben Jonson. Le jeu de dupes à Venise devient farce cruelle où vénalité et manipulations se hissent au rang des beaux arst... Michel Flandrin. Radio-france bleu Vaucluse ... Habile comédie sur les relations humaines corrompues par l'appât du gain, cette adaptation de « Volpone » est sans doute moins morale que l'original. Mais tout aussi divertissante. Sans temps mort ni longueur. Les comédiens jouent à merveille leurs personnages démesurément vains, donnent la réplique avec un égal bonheur à leurs acolytes de chairs comme à ceux de chiffons, les entrées et sorties se font avec une virevoltante légèreté. Jusqu'au décor qui participe au succès de la comédie. Pièce maîtresse du spectacle, le décor est en effet un vrai bijou d'inventivité. Vaste boîte à malice dont sortent idées et personnages, il concourt à la rafraîchissante dynamique de l'ensemble... ce Volpone est décidément une belle réussite. Karine PROST. Rue du Théâtre (29 juillet 2010) ° Du vent dans les branches de Sassafras: ... habillé dans des costumes d’une grande classe par Marie-Ange Soresina et installé dans le décor magistral à transformation de Daniel Martin... La mise en scène au rythme exemplaire et la direction d’acteurs sont d’une grande intelligence, et Céline Sorin a donné à la bande-son de Samir Dib, une place essentielle qui accompagne le jeu des comédiens avec une rare efficacité. C’est, comment dire les choses, une mise en scène théâtrale au second degré, voire au troisième, d’une sorte de film burlesque à souhait, mais tout en subtilités... Mais Céline Sorin ne triche pas: on est bien sur un plateau de théâtre. Et il y a des images d’une grande beauté, qui font parfois penser à celle qu’inventait le grand Tadeusz Kantor, comme cette scène où toute la famille regarde derrière une fenêtre. Ne rougissez pas de bonheur pour cette comparaison, Céline Sorin: on n’en rajoute pas… C’est la stricte vérité, même si les genres en sont pas les mêmes! La Compagnie Fox d’Annemasse avait déjà créé un Volpone qui lui avait valu un beau succès un peu partout en France. Mais là il faut saluer la performance de cette mise en scène de la pièce la plus connue de René de Obaldia, parfaitement rodée qui reçoit un accueil chaleureux. Après tout, Obaldia, comme on l’a dit, avait été monté par Vilar. Et il aurait sans doute bien aimé ce Vent dans les branches de sassafras. Bref, allez-y sans faire la fine bouche: c’est le genre de spectacle, intelligent et vraiment drôle, que l’on aimerait découvrir aussi dans le in mais cette année, du moins, il faudra repasser… Philippe du Vignal, Théâtre en Blog (Juillet 2012) Sindbâd
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DP SASSAFRAS
1998-1999 :«Comment Harponner le requin ?» de Victor Haim. Festival d’Avignon 1999.
2001-2006 :«Un éléphant dans le jardin» d'Éric Westphal. Festival d’Avignon 2001.
Avec le soutien de l’Adami. Tou...