Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus Medienspiegel 2009
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Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus Medienspiegel 2009
Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus Medienspiegel 2009 Medienspiegel 2009 Inhaltsverzeichnis Januar 15.01. Plus axé sur la sécurité 21.01. Mit dem Steinbock-Label zum QIII GastroJournal Steinbock-News Februar 10.02. Gut, besser, besser sein - mit dem neuen Handbuch Zugbegleitung 15.02. ISO 9001:2000 ist revidiert Dialog SBB Newsletter hotelleriesuisse März 19.03. 23.03. 26.03. 26.03. 26.03. Schweizer «Q» präsentierte sich an der ITB Steinbock-Label plus und Qualitätsgütesiegel QIII Steinbock-Label: Enge Kooperation mit QIII Qualité: accord avec le label du «Capricorne» Ferienart mit fünf Steinböcken GastroJournal Bündner Tagblatt htr hotelrevue htr hotelrevue Walliserbote April 02.04. 09.04. 09.04. 09.04. 09.04. 09.04. 09.04. 09.04. 20.04. 23.04. 30.04. 30.04. Berner Oberländer Hoteliers setzen auf Qualität Q + Mensch = Qualität Auf den Spuren des «QIII» Die Schweizer Q-Labels haben die internationalen Normen gepusht Ökologie und technische Neuerungen integriert Manchmal wirkt das Q nur optisch Qualität von Anfang an Steinbock-Label und Qualitäts-Gütesiegel QIII Steinbock-Label und QIII Kritische Ereignisse Bereit für eine erfolgreiche Zukunft Namen / Géraldine Zuber htr hotelrevue htr hotelrevue htr hotelrevue htr hotelrevue htr hotelrevue htr hotelrevue htr hotelrevue Steinbock-News Hotelier GastroJournal GastroJournal GastroJournal Juni 15.06. QII-Auszeichnung Congress Center Basel 15.06. Beatenbergbahn mit QII congress.ch Jungfrau Zeitung Juli 02.07. 02.07. 02.07. 16.07. Müller ist Q-Person Motiviert zur Qualität Motivés pour la qualité Theoretiker des Tourismus htr hotelrevue GastroJournal GastroJournal htr hotelrevue August 13.08. Note verte pour le programme de qualité 20.08. Mit Q zu mehr Umsatz 25.08. Ökologische Aspekte sind wichtig htr hotelrevue GastroJournal expresso September 24.09. Label de qualité pour le personnel des trains CFF htr hotelrevue Oktober 01.10. 07.10. 07.10. 15.10. 15.10. 16.10. 22.10. 27.10. 28.10. 29.10. FIF-akzente 20 Minuten 20 Minutes htr hotelrevue GastroJournal Walliserbote GastroJournal expresso htr online Tages Anzeiger November 03.11. Labels im Doppelpack 09.11. Je mehr Sterne desto mehr Q‘s? expresso gastrofacts Dezember 02.12. 04.12. 04.12. 04.12. 09.12. 10.12. 17.12. 19.12. SZB-Information insight insight insight Management und Qualität htr hotelrevue GastroJournal jesus.ch Q+ - Das Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus wird grüner SBB-Zugpersonal mit Qualitäts-Gütesiegel unterwegs Qualité du service: les CFF récompensés Mittelklasse auf der Höhe Mariage à sept réussi Gemeinsam gewinnen Keine Konkurrenz Matterhorn Valley Hotels: Schritt um Schritt zum Erfolg QIII und Steinbock-Label im Kombi GDI auch auf dem Papier spitze Quality Meeting Das blaue Q wird grüner Le label Q bleu devient plus vert La Q blu diventa più verde Qualitäts-Zirkel auf dem Vormarsch Un guide pour l‘utilisation du label de qualité Qualitäts-Programm: Erfolreiches Jahr für die Qualität Gastfreundschaft als christlicher Auftrag Medienspiegel 2009 Januar 14 Hôtellerie & Tourisme 15 janvier 2009 No 3 Modification du premier niveau du Programme qualité pour le tourisme suisse FLASH Plus axé sur la sécurité Compagnie Swiss Davantage de vols et aussi de passagers Il est désormais plus facile d’accéder au niveau 1 du Programme qualité pour le tourisme suisse. Un avantage pour les petites entreprises. Marie-Thérèse Page Pinto Depuis l’automne dernier, le niveau 1 du programme qualité en facilite l’accès. Le «Profil de qualité» a été abandonné. Actuellement, seuls sont encore obligatoires les instruments «Chaîne de service», «Réclamations» et «Plan d’action». De plus, la procédure d’inscription a été simplifiée: les entreprises peuvent s’inscrire via l’extranet et télécharger les instruments. Dans sa nouvelle forme, le niveau 1 du Programme qualité accorde plus d’importance aux éléments concernant la qualité des animations et leur mise en scène d’une part, à la sécurité pour les hôtes de l’autre. A GastroSuisse, les séminaires de préparation au Label Q ont connu un vif succès l’an dernier avec des participants que Thomas Fahrni qualifie comme possédant un «très haut niveau». Dans le canton de Berne, par exemple, le séminaire de Muri a été pris d’assaut. Cette année aussi, plusieurs séminaires auront lieu en Suisse romande. Pour le niveau 1 ils sont programmés à Lausanne les 21et 22 avril ainsi que 1er et 2 décembre, à Fribourg les 13 et 14 octobre. Quant au niveau qui est consacré spécialement à la qualité de la gestion, fera l’objet d’un séminaire à Lausanne les 27 et 28 octobre. www.quality-our-passion.ch www.gastrosuisse.ch In Kürze Neuer Name für das Qualitätslabel des Schweizer Tourismusverbandes, welches auf der ersten Stufe des Qualitätsprogrammes den Einstieg erleichtert – das «Qualitätsprofil» wird nicht mehr verlangt! Neu heisst es jetzt «Qualitätsprogramm für den Schweizer Tourismus». Man kann sich über Extranet einschreiben und die benötigten Instrumente herunterladen. QUALITY-OUR-PASSION.CH «Les établissements doivent se donner la possibilité de garder leurs hôtes», dit Thomas Fahrni. Interrogé par GastroJournal sur l’importance du «programme qualité pour le tourisme suisse» (nouvelle appellation pour le label décerné par la FST, la Fédération suisse du tourisme), son responsable à GastroSuisse souligne l’impact de cette formation non seulement pour les hôtels et restaurants d’une certaine taille mais aussi pour les petites entreprises. Le programme de qualité du tourisme suisse concerne aussi les petites entreprises. Une série de sept projets de parcs naturels régionaux déposés à l’Office fédéral de l’environnement Lentement le train se met en marche Du Doubs au Val d’Hérens en pas- sant par la Gruyère Pays-d’Enhaut, sept projets de parcs naturels régionaux (PNR) ont été déposés vendredi dernier à l’Office fédéral de l’environnement (OFEV). Enjeu: la valorisation du patrimoine et des activités économiques sauce tourisme doux. La manne fédérale, compte tenu de la nouvelle loi sur les parcs naturels, couvrira environ la moitié des coûts (45-55%). Le parc naturel régional Gruyère Le Val d’Hérens est candidat PNR. PUBLICITE Pays-d’Enhaut concerne quatorze communes pour moitié fribour- geoises et vaudoises sur un territoire de 518 km2 où vivent 11800 habitants. Si la candidature est acceptée par l’OFEV, en septembre, les législatifs des communes membres du PNR devront se prononcer, avant la fin de l’année. Mais il faudra attendre septembre 2011 pour connaître le verdict fédéral et janvier 2012 pour l’entrée en vigueur du PNR qui espère un statut de parc d’importance nationale. En attendant, l’Association PNR Gruyère Pays-d’Enhaut a déjà concrétisé quelques fiches de réflexion en créant le Grand tour puis les Chemins du Gruyère. En Valais, après le projet du Binntal (accepté en 2008), ce sont ceux de Finges et du Val d’Hérens qui ont fait acte de candidature. Des projets qui bénéficient du soutien inconditionnel de tous les parlementaires fédéraux valaisans, relève «Le Nouvelliste» dans son édition du 10 janvier. Le quotidien valaisan y relate l’imposante délégation qui s’est déplacée en train (un wagon complet) à Berne présenter les projets. mtpp www.bafu.admin.ch/paerke Swiss a enregistré un nombre record de passagers en 2008. Elle a transporté 13,5 millions de personnes, soit une hausse de 10,3% par rapport à 2007. Le nombre de vols a progressé de 6,4% à 134 401, ce qui correspond à plus de 360 vols par jour. Le taux de remplissage des avions est stable à 80,3% (80,2% en 2007). Sur le réseau intercontinental, le coefficient a atteint 84,2%, contre 84,3% l’année précédente. En revanche, il s’est amélioré de 0,3 point sur le réseau européen à 72,1 pour cent. Les activités de fret (Swiss World Cargo) ont aussi progressé. Reste que la crise économique a laissé des traces en fin d’année. Si le nombre de passagers a encore progressé en décembre de 6,4% à 1,07 million, le coefficient d’occupation a reculé de 1,9 point par rapport à décembre 2007 à 76,3 pour cent. Lufthansa, a également vécu une année 2008 record. La compagnie a transporté au total 57 millions de personnes, soit 1,2% de plus qu’en 2007. Mais elle a moins bien rempli ses avions. Le coefficient d’occupation s’est replié de 1,1 point à 78,6%. Les effets de la crise se sont faits ressentir en fin d’année. Le nombre de passagers en décembre a reculé de 3,7% à 4 millions. Groupe Accor Le Mercure de Loèche rénové Le Mercure Hotel Bristol Loèche-lesBains a rouvert ses portes le 19 décembre 2008. Après des travaux de rénovation, ce 4 étoiles de 77 chambres, dirigé par Gisela Bolle, offre à ses hôtes, tout le long de l’année, les services et les soins de son nouvel espace bienêtre. Cet espace comprend un SPA spacieux avec massages et soins de beauté, des bassins en intérieur et extérieur, des stations de massage, une grotte, des soins de chromothérapie, bassins jacuzzi, soins aux jets massant pour le cou, un bassin d’eau froide naturelle, un sauna et une salle de sport. Le Bristol dispose du plus grand espace thermal privé de Loèche-les-Bains, réservé exclusivement à ses hôtes. www. mercure.com Medienspiegel 2009 Februar Medienspiegel 2009 März Hotellerie & Tourismus 19. März 2009 Nr. 12 Internationale Tourismus Börse ITB, Berlin FLASH Schweiz mit Chancen Auszeichnung an der ITB Besondere Ehrung für Emanuel Berger Die ITB hat dem ehemaligen Direktor des Grand Hotels Victoria Jungfrau, Interlaken, Emanuel Berger, die Ehrennadel «Goldene Weltkugel» verliehen. «Emanuel Berger ghört seit Anfang der 70er-Jahre zu unseren wichtigsten Partnern, der die ITB nicht nur als Hotelier, sondern auch als Vertreter der internationalen Spitzenhotellerie unterstützt», meinte David Ruetz, Senior Manager der ITB in seiner Würdigung. Einmal mehr zeigte die ITB in Berlin die wichtigsten Trends für die Branche auf. Die Schweiz hat Chancen. Matthias Nold Trotz oder gerade wegen der Krise: Die Internationale Tourismus Börse (ITB) in Berlin verzeichnete bei den Besucher- wie bei den Ausstellerzahlen einen Zuwachs. Insgesamt informierten sich knapp 111000 Fachbesucher aus aller Welt über die Entwicklungen im Reisemarkt. Ins Auge sprangen auch die immer stärkeren internet-bezogenen Angebote auf der Messe. Von Buchungsplattformen wie hrs bis hin zur Möglichkeit eigene Hotelangebote auf E-Bay zu versteigern. Eine Professionalisierung ist auch hier deutlich erkennbar. Der ITB World Travel Trends Report sagt denn auch voraus, dass die Internet-Buchungen steigen werden, ebenso wie die Nachfrage nach virtuellen Online-Konferenzen. Für 2009 sagt die ITB «einen Rückgang der Reisetätigkeit in den meisten Märkten» voraus. Profitieren würden vor allem die Binnenmärkte und die Nahmärkte. Die Strategie von ST, in der Krise vor allem darauf zu setzen, dürfte also einige Chancen haben. Allerdings: vor allem günstige Destinationen sollen gefragt sein. En français Page 15 World Travel Monitor Europa wuchs schwach FOTOS: M. NOLD Besonders auffällig – aus Schweizer Sicht – war unter anderem das stärkere Auftreten der ehemaligen Ostblock-Länder. So hat sich beispielsweise Slowenien, in den letzten Jahren eher bedeutungslos und mit kleinem Stand, zwischen die Schweiz und Österreich gedrängt. Mit einem sehr professionellen Auftritt. Die Folge davon: Der eigentlich kompakte Schweizer Stand franste an den Rändern noch stärker aus als letztes Jahr. Da zudem noch ein Aussteller fehlte, mussten die Swiss Quality Hotels so gänzlich losgelöst von der Schweiz – sozusagen schon fast in Slowenien – ausstellen, was dem Bild wenig zuträglich war. Als einzige der ST-Hotelgruppen wirklich vertreten war «Typically Swiss». Der Stand zeigte vor allem eines: Die vielen Angebote sind nur sehr schwer spiegelbar. Beschränkung ist angesagt, doch ebenfalls schwierig. Zudem sorgte das so genannte «Chalet» in der Mitte des Standes wiederum für Abschottung. Doch anscheinend soll der nächste Stand wesentlich offener werden. 7 Blick ins Schweizer Reduit: Nächstes Jahr soll es einen neuen Stand geben. Animation am Schweizer Stand. Schweizer «Q» präsentierte sich an der ITB Unter sich geblieben Laut dem Forschungsinstitut IPK, das jährlich zur ITB den so genannten «World Travel Monitor» herausgibt, stiegen 2008 die Auslandreisen der Weltbevölkerung um 2 Prozent. 2007 seien die Reisen noch um 6 Prozent gestiegen. Das schwächere Wachstum sei durch die sich ausbreitende Finanz- und Wirtschaftskrise ausgelöst, stellt die IPK fest. Am stärksten stiegen die Auslandsreiseankünfte in Afrika (+5%) und Nord- und Südamerika (+4%). Europa habe nur ein Wachstum von 1 Prozent zu verzeichnen gehabt. www.ipkinernational.com Wellness an der ITB Neue Studie zur Wellness Jürg Schmid spricht über Qualität. Hansruedi Müller (FIF), Peter Vollmer (VöV) und Marcel Perren (Luzern Tourismus). Zum zwölften Geburtstag präsen- system, wie Markus Luthe, Hauptgeschäftsführer des Hotelverbandes Deutschland (IHA) und Vorsitzender des Qualitätsausschusses an einem Podiumsgespräch im zweiten Teil der Veranstaltung festhielt. tierte sich das Qualitätsgütesiegel für den Schweizer Tourismus am Rande der ITB in Berlin. «Auch Qualitätsprogramme müssen sich entwickeln», stellte Hansruedi Müller vom Forschungsinstitut für Freizeit und Tourismus der Universität Bern (FIF) fest. Dass das «Q» sich in den letzten zwölf Jahren stark entwickelt hat, zeigt unter anderem, dass sieben Deutsche Bundesländer, Griechenland, Lettland, aber auch Tirol eine Lizenz erworben haben. Zudem ist das Schweizer «Q» Vorlage für das Europäische Qualitäts- Auch Jürg Schmid, Direktor von Schweiz Tourismus, hielt ausdrücklich fest, das «Q» habe der Schweiz einiges gebracht. In den zehn HotelMarketing-Gruppen, von denen ST bereits sieben gebildet hat, sei das «Q» eine der wichtigen Grundlagen. Schliesslich wolle man die «1000 besten Hotels der Schweiz» ver- markten. Schmid ging noch einen Schritt weiter und attestierte Portalen wie Holidaycheck, auf denen Gäste Hotels bewerten, sie beschleunigten den Qualitätswandel – nicht nur in der Schweiz. Denn, «die Höhe der Bewertung ist Matchentscheidend», meinte Schmid. Die Veranstaltung am Rande der ITB war (leider) nur relativ spärlich besucht. Trotzdem: Qualität ist und bleibt Thema. Nicht nur für die Schweiz, auch international. Zumindest dies war deutlich spürbar. Anlässlich der ITB hat der Deutsche Wellnessverband die erste Auflage eines «Wellness-Sensors» vorgestellt. Die Studie brachte einiges zutage. Klar war, dass Urlauber unter «Wellness» häufig Bewegung im Wasser verstehen. Weit abgefallen ist jedoch die noch vor kurzem hochgelobte «Medical Wellness». Sie wurde vom Verband als «extremes Nischenprodukt» bezeichnet. Neben Preis und geografischer Lage gehört auch ein Qualitätssiegel zu den Anforderungen, die Reisende an Wellness stellen (siehe Artikel links). Nicht zu vergessen: Wellness-Urlauber buchen häufig noch kurzfristiger als andere Ferienreisende. Velotourismus an der ITB Fahrrad wird Tourismustrend Gute Neuigkeiten für Schweiz Mobil: Laut einer Studie des Deutschen Fahrradclubs «radelt der Rubel». Immer mehr Urlauber scheinen bereit, Velo-Ferien zu unternehmen. Immerhin 21 Prozent aller Deutschen hätten schon einmal einen Radurlaub mit Übernachtung gemacht. Tendenz steigend. www.adfc.de mn ANZEIGE GJRI58849 Bündner Tagblatt, 23.03.2009 aktuell htr hotel revue Nr. 13 / 26. März 2009 3 Aus der Region Kurzarbeit als Notlösung K urzarbeit ist noch nicht sehr verbreitet», sagt Bettina Baltensperger vom Rechtsdienst bei hotelleriesuisse. «Eher gibt es Übergangsregelungen mit Kompensation. Das sieht in anderen Branchen anders aus.» Das Luzerner 5-Sterne-Hotel Palace konsultierte den Rechtsdienst, bevor es Anfang Februar für 30 Prozent der Belegschaft Kurzarbeit einführte. Im Park Hotel Weggis arbeitet die Hälfte der 120 Beschäftigten mindestens bis Mitte Mai zu 50 Prozent kurz, wie der «Sonntag» schrieb. Und wenn sich der Buchungsstand im Grand Hotel Victoria-Jungfrau in Interlaken nicht verbessere, müsse sich das Luxushotel gar Entlassungen überlegen. Kosten senken durch Synergien mit Partnerbetrieb Rücksichtsvoller Service braucht auch gutes Personal. Alain D. Boillat «BeiunsgibtesnochkeineKurzarbeit.Wir ersetzen allerdings normale personelle Abgänge nur, wenn es vom Geschäftsgang her vertretbar ist», sagt Maria Büeler Zischler, Direktorin des 5-SterneHauses Alden Hotel Splügenschloss in Zürich. Das Geschäft im JanuarundFebruarseischlechtgewesen und teils in das 4-SterneSegment abgewandert. Der März laufe gut. Auf der Kostenseite könne das Hotel die Synergie mit dem nahe gelegenen Hotel Ascot als Partnerbetrieb nutzen. Auf der Angebotsseite hält sich die Direktorin des Alden Hotels Splügenschloss an die Maxime: «Nicht einfach die Preise senken. Wir fangen die Si- Einzelne Schweizer Luxushotels haben aus Kostengründen Kurzarbeit eingeführt. Nicht gespart werden soll aber bei Qualität und Service, wie eine Umfrage der htr hotel revue ergab. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● KARL JOSEF VERDING tuation mit kreativen Ideen in der Preisgestaltung auf: Es gibt Preisnachlässe für Frühbucher – aber nur, wenn sofort bezahlt wird, und es gibt den Last-Minute-Preis.» «Kurzarbeit gibt es bei uns prinzipiell nicht. Allenfalls werden Ferien vorbezogen», sagt Manfred Hörger, General Manager des Zürcher «Savoy Baur enVille», Mitglied der Swiss Deluxe Hotels. Er betont: «Man muss sich darüber klar sein: Es geht in einem Luxushotel nicht um die 100 Gäste, sondern um den einen Gast, jeden einzelnen.»Und:«Esgibtjaauchnochdie Vorgaben der Hotelklassifikation für ein 5-Sterne-Haus, und wir müssendieentsprechendeDienstleistung aufrechterhalten.» «Im Moment haben wir keine Kurzarbeit geplant», sagt Clemens Hunziker, Direktor des 5-SterneHotels Schweizerhof in Luzern. «Aber bei Abgängen überlegt man sich zweimal, ob man einen Abgang ersetzt.» Hunziker hat eine Lösung gefunden, indem die einzelnen Abteilungen des Hotels enger zusammengeführt werden. «Ausserdem wurden die Kosten für Aushilfen dramatisch reduziert.» PersonelleEngpässeineinerAbteilung werden durch den Austausch mit anderen Abteilungen behoben. «Wir haben einen grossen Food&Beverage-Anteil, dadurch istdassehrgutmöglich»,sagtHunziker. Rund 100 Mitarbeiter beschäftigtseinHotelmomentan.Vor der durch die Finanzkrise bedingten Situation waren es 120. Diskutiertwerdejetzt,obspeziellepersonelle Saison-Kräfte im Sommer wirklich benötigt werden. «Die Gäste wollen immer denselben Service – Krise oder nicht» «Wir sollten in dieser Situation gut auf die Kosten aufpassen, aber nicht beim Personal sparen», mahnt Giuseppe Rossi, General Manager des Hotels Splendide Royal in Lugano. Dieser Betrieb der Swiss Deluxe Hotels hatte in den letzten Wochen einen Umsatzrückgang von rund 5 Prozent gegenüberdemVorjahr.«DieGäste wollen immer denselben Service – Krise oder nicht», betont Rossi. «ImSchweizerLuxus-Segmentgibt es da keinen Kompromiss.» Fiorenzo Fässler, Geschäftsführer der Swiss Deluxe Hotels, rät: «Die Direktoren müssen jetzt die Weichenstellen–betreffendPersonalkosten und andere. Aber es ist Vorsicht geboten.» Die Sonne als Tourismus-Partner Nachhaltig in die Zukunft und vor allem mit viel Sonnenenergie: So lautete die Perspektive für die Alpenregionen am 19. «Tourismusforum» in Pontresina. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● GUDRUN SCHLENCZEK Für Thomas Reisenzahn, Generalsekretär der Österreichischen Hoteliervereinigung ÖHV, ist sonnenklar: «Die beste Chance, der Wirtschaftskrise zu entkommen, ist, in die Umwelt zu investieren.» Denn, betonte Reisenzahn am diesjährigen «Tourismusforum» in Pontre- sina, das gestern zu Ende ging, bereits 20 Prozent der europäischen Gäste «buchen heute die Umwelt mit», suchen sich also bewusst ein nachhaltig geführtes Hotel aus. Der ÖHV hat sich dafür eingesetzt, dass Fördergelder nun vor allem in nachhaltige Projekte fliessen. Dass man sich profilieren und obendrein noch Kosten sparen kann, erzählte Armin Bützberger, der als Direktor des Hotels Europe in Champfèr von den Gästen selbst zum «Sonnenkönig» erkoren wurde: «In acht bis zehn Jahren ist unsere Solaranlage auf dem Dach amortisiert.» Sonnenenergie ist gerade für alpine Tourismusorte interessant. «Engadin und Wallis sind für die Gewinnung von Sonnenenergie genauso gute Standorte wie Spanien», erklärte Hansjürg Leibundgut, Professor für Gebäudetechnik an der ETH Zürich. So würde in St. Moritz fast die Hälfte der Solarenergie im Winter anfallen, wenn man sie am nötigsten brauche. In Zürich schaffe man im Winter knapp ein Viertel der Jahresproduktion, ergänzte Fritz Schuppisser von der Firma Soltop. Und die Berge hätten neben Nebelfreiheit noch weitere wichtige Vorteile für die Gewinnung alternativer Energie:grosseHöhendifferenzundviel Wasser. Beides kann man gut gebrauchen, um die Energie in Form von Speicherseen für sonnenarme soll Anfang 2010 veröffentlicht Stunden «zwischenzulagern». Hier werden. Eine andere Energiespeimachte Thomas Küng vom Ta- cherform wird Leibundgut beim gungskoordinator Grischconsulta Sawiris-Projekt in Andermatt ausSamnaunden einsetzen: Statt Link zur Bedem Boden wie «Engadin und schneiung auf bei der GeotherWallis sind für die der Skipiste: «Die mie Wärme zu SonnenenergieSpeicherseen für entziehen, will die Schneeanlaman in der Erde technik genauso gen kann man die Wärme speigut wie Spanien.» als Strombanken chern. Dass Sonnützen.» Das nenenergie nicht Hansjürg Leibundgut Professor an der ETH Zürich könnte auch eiausreiche, erklärnes der Ergebniste Leibundgut als sedervonGrischconsultaundSeil- Märchen.«Wirkönnten400-malso bahnen Schweiz gerade lancierten viel Solarstrom produzieren, wie Studie zum Energiemanagement dieMenschheitverbraucht»,soder der Bergbahnen sein. Die Studie Professor. Strategische Partnerschaft Neues Kontrollregime an den Schweizer Flughäfen Die drei Schwesterverbände Dehoga (Deutschland), hotelleriesuisse und der Fachverband Hotellerie (Österreich) haben am Dienstag inWien ihre strategische Partnerschaft besiegelt. Mit der Unterzeichnung des Letters of intent (LOI) erlangt die umfassende und langjährige Hotelklassifikationskompetenz der drei Partner eine neue Dimension. Die LeitideedesLOIistdieWeiterentwicklung der Klassifikationssysteme, deren Anwendung und die Schaffung weiterer Synergien. Die Ergebnisse der engen Zusammenarbeit sollen weiteren Ländern und Kulturkreisen offenstehen. (siehe auch Interview Seite 5) dst Mit dem Flugplanwechsel vom 29. März tritt auch für die Einreise am Flughafen die Schengenregelung in Kraft. www.htr.ch/htr-online zvg Obere Reihe (v.l.): Herbert Sidler (hotelleriesuisse), Helmut Otto (Deutsche Hotelklassifizierung), Klaus Ennemoser (Fachverband Hotellerie Österreich). Untere Reihe (v.l.): Matthias Koch (Fachverband Hotellerie Österreich), Annette Stoffel (hotelleriesuisse), Markus Luthe (Hotelverband Deutschland). Personenkontrollen auf BinnenflügenimSchengen-Raumkönnen wie geplant am 29. März 2009 aufgehoben werden. Denn die Schweizhatallefürdiedreigrossen Landesflughäfen von Zürich, Basel und Genf relevanten Schengener Bestimmungenkorrektumgesetzt. Zu diesem Schluss ist ein EU-Expertenbericht über die Nachevaluation der Schweizer Flughäfen gelangt, den die Arbeitsgruppe des Rates SCH-EVAL genehmigt hat. Eine erste Inspektion der Abläufe und der Einrichtungen an den Schweizer Flughäfen war im August 2008 vorgenommen worden. SchengenerfordertandenFlughäfeneineTrennungderPassagierströme zwischen Schengen-externen und Schengen-internen Flügen. Bei Flügen nach und aus Nicht-Schengen-Staaten sind systematische Personenkontrollen durchzuführen. Bei Schengen-internen Flügen dagegen entfallen die Personenkontrollen Die Personenkontrollen an den Landgrenzen sind bereits am 12. Dezember des vergangenen Jahres mit dem Beginn der operationellen Zusammenarbeit zwischen der Schweiz und der EU aufgehoben worden. dst Zentralschweiz Lucerne Festival auch bei Sawiris in Andermatt Alain D. Boillat Der ägyptische Hotelunternehmer Samih Sawiris steigt als Sponsor bei Lucerne Festival ein und erhält für seine Ferienanlage in Andermatt ein eigenes Musikfestival. «Lucerne Festival in Andermatt» startet voraussichtlich 2013. Die künstlerische Verantwortung für die neue VeranstaltungliegtbeiLucerneFestival.Für die Infrastruktur und die Kosten kommt Sawiris’ Orascom Development Holding AG auf. Die Konzerte sollen in der neuen 600plätzigen Kongresshalle des Resorts stattfinden. dst/sda Hotelfachschule baut Studios für Studenten Die Hotelfachschule Luzern (SHL)stocktdaseinstige«Palace»Personalhaus auf und schafft damit neuen Wohnraum. Laut der «Neuen Luzerner Zeitung» sollen die 100 bestehenden Zimmer zu Studiowohnungen umgebaut werden. Die Wohnungen sollen allen Studenten offen stehen. Mehr Platz für Schulungsräume soll die Erhöhung des früheren «Palace»-Personalhauses um ein bis zwei Etagen bringen. Für die Verbindung der beiden SHL-Liegenschaften ist eine Passerelle geplant. Die Gesamtinvestitionen werden mit 9 Mio. Franken beziffert. dst Graubünden Naturparks sollen mehr Geld erhalten zvg Der Kanton Graubünden will seine finanziellen Beiträge an die regionalen Naturparks Val Müstair, Parc Ela und Park Beverin rückwirkend auf Anfang 2009 erhöhen. Die Bündner Regierung hat beschlossen, die im Januar 2008 bei der Genehmigung der ersten beiden Bündner Parkprojekte festgelegte 60-Prozent-Anbindung des Kantonsbeitrags an die Höhe des Bundesbeitrags anzupassenundsomitneuauf100Prozent zu erhöhen. dst Steinbock-Label: Enge Kooperation mit QIII Die Anbieter der Qualitäts-Gütesiegel (Q) und des Steinbock-Labels wollen enger zusammenarbeiten. Einem Hotelbetrieb, der sichmitdemSteinbock-Labelzertifizieren lässt, soll es in Zukunft ermöglicht werden, mit einem Zusatzmodul zum SteinbockLabel das Qualitäts-Gütesiegel Stufe III zu erlangen. Bereits im Sommer/Herbst 2009 könnten die ersten Hotels in den Genuss der Neuerung kommen. dst actuel htr hotel revue No 13 / 26 mars 2009 21 En bref Quid du géomarketing? Provins utilise le géomarketing pour optimiser les tournées de ses représentants. Mais qu’est-ce exactement que le géomarketing? concentration horeca par quartier, ainsi que l’âge de la population. «Ensuite, ce sont eux qui nous ont proposé des critères complémentaires», explique David Genolet. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ldd La Fondation suisse pour la protection et l’aménagement du paysage (FP) propose de remettre à l’ordre du jour le «centime paysager». Ce «centime», estime la fondation, pourrait être utilisé comme instrument de compensation dans la pesée d’intérêts entre protection et utilisation du paysagedanslecadredesquelque mille projets actuels d’installations hydro-électriques et d’éoliennes. Le «centime paysager» avait été élaboré, dans cet esprit, dans les années nonante. mh ● P ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● MicroGIS, le spécialiste du géomarketing MicroGIS, fondée en 1996, propose divers produits liés au géomarketing. Elle vend aussi des logiciels qui permettent aux entreprises de réaliser elles-mêmes des analyses géomarketing, et propose des cours de formation aux SIG (systèmes d’information géographique), en français ou en allemand. Basée à St-Sulpice (VD), MicroGIS a ouvert en 2006 un bureau à Zurich. hk Qualité: accord avec le label du «Capricorne» Concrètement, ce projet d’atelier s’inscrit dans le cadre du nouveau programme de l’EHL, pour la spécialisation en entrepreneurship, donné en 3e année. Avec comme but de permettre aux étudiantsdetravaillersurdescasréels. Des contacts dans ce sens ont déjà été pris avec MicroGIS qui animerait cet atelier. «Le cas concret peut être: je veux ouvrir un hôtel et j’examine quels sont les zones de chalandise et les flux de déplacements», note Christophe Fischer. en géomarketing à l’EHL? Cela pourrait changer, avec l’idée de mettre en place un atelier de géomarketing destiné aux étudiants de l’EHL. C’est en tout cas le projet sur lequel planche Christine Demen Meier, professeur de marketing et docteur en sciences de gestion à l’EHL. «Cet atelier devra être d’abord peaufiné et ensuite être validé par la directrice des programmes», souligne-t-elle. «J’avais déjà fait appel à une autre société quiadonnéuneconférencedesensibilisation sur le géomarketing il y a trois ou quatre ans. Depuis, le géomarketing a progressé, aussi bien au niveau des logiciels que de l’analyse». Le géomarketing permet de mieux gérer le personnel L e géomarketing consiste à définir quel est le meilleur endroit géographique afin d’implanter une affaire. Le géomarketing est particulièrement utilisé par les entreprises qui ont de multiples établissements. Cela leur permet de déterminer si l’ouvertured’unenouvellestation service, par exemple, ne risque pas de cannibaliser les stations déjà existantes. Il en est de même des chaînes de restaurant. «Les Burger King et les McDonald’s utilisent le géomarketing», relève Christine Demen Meier, profes- seur de marketing à l’Ecole hôtelière de Lausanne (EHL). Les analyses de géomarketing se font avec des outils informatiques permettant de combiner des données de nature différente, par exemplelarépartitionpartranche d’âge des habitants d’un quartier, leurniveauderevenuetlenombre dependulairesquisontlàuniquement durant la journée. Selon les réponses à ces questions, il sera plus intéressant pour un restaurant d’avoir un maximum de personnel le soir et une équipe réduite à midi, ou l’inverse On intègre aussi souvent comme élément d’analyse le temps que mettent les gens à rejoindre un point donné (20 minutes par exemple). Regarder simplement les distances géographiques ne suffit pas en effet. Un quartier tout proche du futur restaurant projeté peut s’avérer mal desservi par les transports publics etpeupratiqued’accèsenvoiture. Malgré sa proximité cette zone sera donc une zone de chalandise moins intéressante qu’un autre quartier un peu plus éloigné, mais mieux desservi. hk La fumée aussi bannie à Neuchâtel L’interdiction de fumer dans les établissements publics neuchâtelois entrera en vigueur le 1er avril. Hôteliers et restaurateurs trouvent ce délai très court. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● VALÉRIE MARCHAND Le Grand Conseil neuchâtelois vient d’accepter l’initiative «fumée passive et santé». L’interdiction de fumer dans les lieux publics, avec possibilité de fumoirs sans service, entrera ainsi en vigueur le 1er avril prochain. Les restaurateurs prévoient quelques modifications pour leurs établissements sans toutefois tout réorganiser. En effet, la construction de fumoirs ne constitue pas une priorité. «L’Hôtel Alpes et Lac dispose d’une grande terrasse avec vue sur le lac. Les clients pourront aller y fumer. Si l’application de la loi n’a pas d’effets négatifs sur le chiffre d’affaires, j’envisagerai éventuelle- Pour une relance du «centime paysager» Déterminer quels sont les quartiers les plus intéressants LesreprésentantsdeProvinsont deux gammes principales de produits à placer, ce qui implique de prospecter des types d’établisseHÉLÈNE KOCH ments différents. La première gamme, «Maître de Chais», est rospecter au mieux un d’orientation gastronomique et territoire en ciblant au destinéeàuneclientèlede40anset mieux les établisse- plus relativement aisée. Le «Grand ments à visiter? C’est ce Métral», lui, cible davantage une qu’a réalisé MicroGis, une société clientèle de 25-40 ans qui fréspécialisée dans le géomarketing, quente des endroits à la mode de pour le compte de Provins. «Un des type café lounge. Pour déterminer buts était de donner à chaque re- concrètement quels sont les quarprésentant un support de travail tiers les plus intéressants, Microsous forme de carte qui lui montre GIS a utilisé les données de l’OFS, les quartiers les (office fédéral de plus intéressants la statistique) «Le but à prospecter», ainsi que le RFE est de donner note Christophe (recensement féFischer, géoun support de déral des entreéconomiste chez prises). travail à chaque MicroGIS. Comme les représentant.» L’étude a été données du RFE menée dans les sont actualisées Christophe Fischer Géo-économiste, MicroGIS seize plus tous les trois ans grandes aggloseulement, Mimérations de Suisse, de Genève à croGIS s’est aussi tourné vers un Zurich en passant par Berne. Dans fournisseur d’adresses afin d’avoir chaque ville, il s’agissait de per- des infos annualisées. «Ce filtre a mettre aux représentants de Pro- permis d’éliminer un certain nomvins d’optimiser leurs tournées. bre d’établissements qui n’étaient «C’estlapremièrefoisquenousfai- pas dans la cible », explique Chrissions une approche par quartier. tophe Fischer. Notamment les resAvant cela se faisait au niveau des taurants sans alcool. «Cela nous villes», explique David Genolet, di- permet de mieux cibler nos offres», recteur marketing chez Provins. résume David Genolet qui estime La coopérative vinicole a défini aussi que le géomarketing reste un les critères que MicroGIS devait outil «sous utilisé». prendre en compte, à savoir le nombre d’emplois tertiaires et la Bientôt une formation ● Suisse Fotolia La fumée ne sera autorisée que dans les fumoirs sans service. mentlaconstructiond’unfumoir», précise Martin Mayoly, gérant de l’établissement et président d’hotelleriesuisse Neuchâtel-Jura. Des coûts élevés, mais aussi des direc- tives nationales concernant les fumoirs qui devraient entrer en vigueur dans une année environ, laissent les professionnels hésitants. Et l’arrivée de la belle saison leurpermetdedemanderàlaclientèle qui en éprouve le besoin de fumer à l’extérieur. A la tête de l’Hôtel Palafitte à Neuchâtel, Antoine Chaumeron pense construire un fumoir si les autorisations nécessaires lui sont accordées, mais le plus pressant, pour lui, est d’expliquer à la clientèle les aspects positifs de l’interdiction de fumer. «Se retrouver ensemble pour fumer sur la terrasse, c’est convivial», estime-t-il. Le seul bémolestquelaloineprévoitpasla possibilité de fumer dans les bars des restaurants. En salle cependant, Antoine Chaumeron a déjà vécu des expériences bénéfiques: «Le 31 décembre, la plupart des tables étaient libellées nonfumeurs et la soirée s’est très bien déroulée.» Et le Palafitte n’est pas le premier hôtel qui a anticipé la loi. Le restaurant de l’Auberge de la Tène à Marin est ainsi non-fumeur Si,dansl’ensemblelaloiestbien depuis le 1er novembre. Des fau- acceptée, on déplore en revanche teuils avec des couvertures ont été la rapidité de sa mise en vigueur. installés sur la terrasse. Le tout à «Le délai est si court que nous proximité d’une pancarte «smoke n’avons pas le temps de créer des & flirt». fumoirs», regrette L’idée à plu et MichelVuillemin, elle a pu être conprésident de Gascrétisée à peu de troNeuchâtel. Il frais.«Nousavons pense par ailleurs reçu plus de reque la clientèle marques posipourrait modifier tives que négases habitudes et tives», déclare se déplacer dans Esther Widmer, les cantons voiassistante de sins qui n’ont pas «Nous avons direction. Gilles encore banni la une grande Montandon, le fumée dans les directeur de lieux publics. terrasse et les l’Hôtel du 1er «Cette interclients peuvent Mars à La Chauxdiction incitera aller y fumer.» de-Fonds, aurait néanmoins les souhaité une telle personnes qui Martin Mayoly Dir. de l’Hôtel Alpes et Lac à Neuchâtel loi être appliquée avaient renoncé à plus tôt. «Si je sortirenraisonde n’avais pas eu une clientèle de la fumée à fréquenter à nouveau fumeurs très réguliers, j’aurais déjà des restaurants», remarque Michel prévu d’avoir un établissement Vuillemin en guise de conclusion. sans fumée», explique -t-il. Lire aussi en page 8 Les entreprises hôtelières, qui obtiendront le label du «Capricorne» (Steinbock-Label), label qui certifie les efforts en matière de développementdurable,pourront,dès cet été, obtenir le label de niveau III du Programme de qualité pour le tourisme suisse. Pour faire valoir cette reconnaissance, les candidats devront toutefois suivre un module de formation spécifique qui doit encore être créé, ont indiqué les partenaires du projet. mh Valais Swiss Alpina: les nouvelles dates seraient «bonnes» ldd Contrairement aux années précédentes, Swiss Alpina, le Salon international des technologies de la montagne, seul du genre en Suisse, se tiendra, cette année, en été, soit du 26 au 28 août. Le choix de ces nouvelles dates, qui permettra au salon d’éviter la concurrence d’Interalpin à Innsbruck (A),«sembleavoirétélebon»,écrivent les organisateurs. Les «exposants fidèles sont pratiquement tousinscrits»,ajoutent-ils.Cesont donc quelque 220 exposants et marques qui seront présents cet été au centre d’exposition de Martigny. mh Vaud Signalisation touristique: le projet peine Le projet de signalisation touristique uniforme, lancé par l’Office du tourisme du canton de Vaud, n’est pas encore sur le point d’être réalisé. Le dossier est entre les mains de l’Office fédéral des routes qui a demandé de revoir le graphisme et de réduire le nombre de pôles touristiques susceptibles d’être signalés le long des autoroutesvaudoises,arévélélequotidien «24 Heures». Ce dossier est aussi sur le bureau d’un institut européen basé à Paris. mh Walliserbote 26.03.2009 Medienspiegel 2009 April aktuell htr hotel revue Nr. 14 / 2. April 2009 3 Aus der Region Interhome pusht Luxus Interhome ist das beste Pferd im Stall der Hotelplan AG. Neu fokussiert der FerienwohnungsVermittler auf Luxus. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● SIMONE LEITNER D ie Ferienwohnungssparte von Hotelplan läuft gut. Nach einem geglückten MarkenRelaunch ist Interhome im letzten Geschäftsjahr im Buchungsgeschäftum5,7Prozentauf196,4Millionen Franken gewachsen und hat mit 211,9 Millionen Franken (+1,4%) einen Rekordumsatz er- zielt. Mit Innovationen und Neulancierungen hat Simon Lehman, CEO der Interhome AG, «das verstaubte Image des Ferienhausvermittlers abgelegt». Diverse Kooperationen mit grossen Partnern, wie jüngst mit Schweiz Tourismus, oder auch die Erschliessung der Quellmärkte Indien und GolfstaatenhabenzumgutenGelingenbeigetragen. «Und werden es auch weiterhin tun», ist der Boss von Interhome überzeugt. Gerade in diesen turbulenten Zeiten richtet sich der Fokus bei Familien vermehrt aufFerienwohnungen.Zumneuen ImagevonInterhomegehörteinerseits der Ausbau der Dienstleistungen und andererseits die WeiterentwicklungderProdukte.ImKlartext:Interhomewillvoralleminder Schweiz mehrWohnungen im Premium-Segment anbieten. Dies be- dinge aber auch novation. «Die ein ausgefeiltes grosse Stärke ist Dienstleistungsunser ausgefeilpaket, das Intertes Distributionshome den Gästen netz.» Simon bieten müsse. Lehmann sieht «Zu einer luxuriödaher auch in all sen Ferienwohden neuen Ferinung gehört ein en-Resorts, die umfassendesSergebaut werden «Eine luxuriöse viceangebot», be(siehe «fokus»Ferienwohnung tont Simon LehBund), ein grosbraucht auch ein mann.Dasserdases Potenzial für für keine zusätzInterhome. Geumfassendes lichen Stellen wisse Gespräche Serviceangebot.» schaffen werde, hätten bereits sei klar. «Vielstattgefunden. Simon Lehmann CEO Interhome mehr werden wir Interhome ist mit bestehenden zudem an einem Anbietern weitere Partnerschaften weiteren Vertriebskanal, der Intereingehen.»DiePhilosophievonIn- netplattform Vacando.com beteiterhome war immer das Netzwerk ligt. «Wir haben festgestellt, dass mit Profis. Und die technische In- die Eigentümer die Vermarktung Bern ihrer Ferienunterkunft vermehrt selber in die Hand nehmen wollen. Die Interhome-Tochter Vacando richtetsichinersterLinieanEigentümer, die selber vermieten möchten, ohne die Services eines Vermittlers in Anspruch zu nehmen», sagt Lehmann, VR-Präsident der Vacando AG. Tönt das nicht nach Kannibalisierung? «Interhome ist ein Full-Service-Anbieter, der die gesamte Vermarktung der Ferienunterkunft inklusive Betreuung der anreisenden Gäste übernimmt, Vacando versteht sich als Do-it-yourself Plattform. Somit gibt es eine klare Abgrenzung», so Lehmann. Die Dachgesellschaft Interhome AG wird zu 100 Prozent von der Hotelplan Holding AG gehalten. Diese wiederum ist zu 100 Prozent im Besitz der Migros. SlowUp startet in die zehnte Saison. Das einstige Expo-Pilotprojekt vom Murtensee hat sich zu einer schweizweiten, nachhaltigen Bewegung entwickelt. Den Auftakt ins 2009 macht am 26. April denn auch der 10. SlowUp Murtensee. Neu ist der SlowUp Jura. Die 15 SlowUp-Erlebnistage dieses Jahres dürften rund 500 000 Freunde des Langsamverkehrs in Bewegung setzen. Darunter dank derPartnerschaftmitProcapauch vieleMenschenmitBehinderung. Im Jahre 2000 wurde SlowUp als Pilotprojekt der damals für 2001 geplanten Expo am Murtensee aus derTaufe gehoben. ck «Schweizer putzen sogar ihre Berge.» Diese Geschichte sorgte gestern national und international für Aufsehen. Es handelte sich dabei jedoch um einen Aprilscherz von Schweiz Tourismus. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● Berner Oberländer Hoteliers setzen auf Qualität Eine zweite Staffel von Hoteliers aus dem Berner Oberland bereiten sich auf die ISO-9001-Zertifizierung vor – um dann auch das QIII zu erhalten. Die wirtschaftlich «stürmischen» Zeiten erachten die sechs teilnehmenden Hoteliers als Herausforderung und machen deshalb finanzielle und personelle Ressourcen frei, um auch in Zukunft erfolgreich zu sein. Bis zum Jahreswechsel wollen sie ihre Visionen, Strategien und Vorgehensweisen analysieren, ergänzen und optimieren. ck Die Freiwilligenorganisation der Felsenputzer stiess am 1. April auf grosses mediales Echo. Hotel macht diffusen Appetit Die Eigentümer des berühmten Grand Hotels Locarno warten auf ein konkretes Angebot. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● GERHARD LOB Seit Denner-Erbe René Schweri Anfang Februar als potenzieller Käufer das Handtuch geschmissen und sein Vorkaufsrecht nicht verlängert hat, ranken sich neue Gerüchte um potenzielle Interessenten für das Grand Hotel Locarno. Auf das mittlerweile seit drei Jahren geschlossene Traditionshaus hätten die Grossbank Credit Alain D. Boillat Der Regierungsrat des Kantons Bern unterstützt den Verein Berner Wanderwege in den Jahren 2009 bis 2013 mit einem Kantonsbeitrag von jährlich 1,1 Millionen Franken, wie er den Medien mitteilt. Der Verein Berner Wanderwege ist für die Kontrolle des rund 10 000 Kilometer langen Wanderwegnetzes im Kanton Bern zuständig. Er koordiniert die Unterhaltsarbeiten mit den zuständigen Behörden und stellt die Markierung derWege sicher. ck 10 Jahre SlowUp – eine erfolgreiche Geschichte Der Scherz stiess auf viel Resonanz delt sich dabei um eine Equipe, welchedieSchweizerBergevonallfälligen Vogel-Exkrementen säubert, damit Feriengäste stets schöne Berge bewundern können. Am gestrigen 1. April erschien das Video erstmals auf dem Videoportal YouTube. Die Felsenputzer waren aber auch bereits ein Thema etwa in englischen Morgenshows oder beim französischen Fernsehkanal DANIEL STAMPFLI TF1. Im Video suchen die Felsenputzer unter anderem Nachwuchs «Selbstverständlich braucht die und verweisen auf die Website Schweiz keine Felsenputzer, um www.MySwitzerland.com/felsendie Berge sauber zu halten», sagt putzer. Auf dieser können InteresJürg Schmid, Disenten einen Felrektor von senputzer-Eig«Unsere Berge Schweiz Tourismasind von Natur aus nungstest mus (ST). «Unsechen. Den re Berge sind von schön, da braucht Teilnehmern dieNaturausschön.» ses Eignungstests es keine FelsenDie Felsenputzer blüht nun zwar putzer.» seien erfunden keine Karriere als worden, um auf Felsenputzer, sie Jürg Schmid Direktor Schweiz Tourismus überraschende können aber eine und augenzwinWoche Ferien in kernde Art die Botschaft «Wir tun den Schweizer Bergen gewinnen. alles für perfekte Ferien» auch bei ZurneuenWerbekampagnevon jüngeren, Web-affinen und inter- ST unter dem Motto «Wir tun alles nationalen Zielgruppen rüberzu- für perfekte Ferien» kommen ab bringen. Und dies sei bestens ge- sofort zwei weitere Sujets in den lungen, wie die vielen Reaktionen Märkten zum Einsatz: Ein Bauer, an nur einemTag zeigten. der unter einer seiner Kühe liegt In einem am 1. April verbreite- und ihre Glocke richtig stimmt und ten Video stellen sich die so ge- ein Hüttenwart, der die Schweizer nannten Felsenputzer vor. Es han- Fahne am Masten glattbügelt. Unterstützung für die Berner Wanderwege Suisse, eine Hotelkette sowie Ikea ein Auge geworfen, berichtete die katholische Tageszeitung «Giornale del Popolo.» Ikea? Dieses GerüchthatderschwedischeMöbelherstelleraufAnfragederhtrhotel revue umgehend dementiert. «Ein Grand Hotel passt gar nicht zu unserer Firmenphilosophie», sagt Sonja Blöchlinger, Sprecherin von Ikea Schweiz. Bei Credit Suisse gibt man sich zugeknöpft. «Wir können weder bestätigen noch dementieren», sagt Tobias Egli, Sprecher der Immobilienfonds Credit Suisse Real Estate Fund Living Plus. Der Bellinzoneser Anwalt Franco Gianoni, einer der fünf Eigentümer des Grand Hotels, bestätigt hingegen: «Credit Suisse hat nach dem Rückzieher Schweris eine Besichtigung der Immobilie durchgeführt.» Doch ein konkretes Angebot sei seither nicht eingegangen. Überhaupt gebe es bisher keine konkreten Angebote. Und genau darauf warteten die Eigentümer, die laut Gianoni jedes Jahr 400 000 FrankenfürdenUnterhaltderleer stehenden Immobilie aufbringen müssen. «Einen zweiten Fall Schweri wollen wir vermeiden», so Franco Gianoni. Der offizielle Verkaufspreis für das Hotel beträgt 22 Millionen Franken. zvg Was soll aus dem historischen Schloss werden? hoteljob.ch bietet mit der Neulancierung attraktive Vorteile Mit neuem Namen und neuem Kleid in die Zukunft: für Stellensuchende und Stellenanbieter Seit gestern erscheint der OnlineStellenmarkt der htr hotel revue unter dem Namen www.hoteljob.ch. Das neue Jobportal für Stellen in Hotellerie, Gastronomie und Tourismus bietet eine moderne und übersichtlich gestaltete Benutzeroberfläche. «Die Funktionen und die damit verbundene Benutzerführung sind selbsterklärend und ermöglichen eine einfache Anwendung», umschreibt Barbara König, Verlagsleiterin der htr hotel revue, die Vorteile des neuen Portals. Für die Stellenaus- schreibungen gibt es neue Preisangebote. Arbeitgeber können für die Stellenausschreibung zwischen Einzelinseraten, Kontingenten oder einer Jahres-Flatrate wählen. Die Stellensuchenden können bei hoteljob.ch ihr Profil kostenlos hinterlegen oder gezielt ein Suchabo aufgeben. Die bisherige Express-Stellenvermittlung wurde ebenfalls ins neue Portal integriert. «So ist auf einen Blick ersichtlich, wie viele Bewerber respektive Stellenangebote per sofort verfügbar sind», so Barbara König. dst picswiss/zvg Der Kanton Bern sucht innovative Ideen für die Nutzung der vier SchlösserBürena.d.A.,Burgdorf, LaupenundTrachselwald.Erstartet dafür das Projekt «Idee sucht Schloss» und will mit den Standortgemeinden eng zusammenarbeiten. Das Projekt verfolgt das Ziel, nachhaltige und zukunftsfähige Nutzungskonzepte zu erarbeiten, die den langjährigen Fortbestand dieser vier Schlösser von nationaler Bedeutung sichern. Erste Ergebnisse liegen frühestens im Frühjahr 2010 vor. ck htr 9. April 2009 Nr. 15 Fr. 4.30 / € 2.90 AZA/JAA – 3001 Bern / Berne www.htr.ch avec cahier français hotelrevue Die Schweizer Fachzeitung für Tourismus Heute mit 264 Stellenangeboten Q+ Mensch = Qualität Fisch Auch auf das Netz kommt es an: Welche Fische darf man wo noch bedenkenlos geniessen? Seite 13 bis 15 Zug Mit dem neuen Hotel City Garden soll die Stadt Zug dringend benötigte zusätzliche Hotelzimmer erhalten. Seite 2 Alle sprechen von Qualität. Viele tun auch etwas dafür und setzen in ihrem Betrieb ein Qualitätsprogramm um. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● CHRISTINE KÜNZLER San Bernardino H oteliers und Gastronomen machen mit dem Qualitäts-Gütesiegel für den Schweizer Tourismus der Stufen I bis III grundsätzlich gute Erfahrungen. Dies zeigt eine Umfrage. Manchmal braucht der Massnahmenkatalog jedoch Korrekturen, so auch im seit 18 Monaten ISO-zertifizierten «Hof Weissbad» im Appenzell. Direktor Christian Lienhard sagt: «Ich beobachte, dass dabei die Innovation auf der Strecke bleibt.» Deshalb will er die Standards nun anpassen. Der Weg zur ISO-Zertifizierung und damit zum Q III ist nicht ganz einfach, Vorurteile beim Personal müssen abgebaut werden. Der Im kleinen Bündner Skiort droht zwei von vier Hotels die Schliessung – wegen Konkurs der Betreiberfirma. Seite 4 Ferientag «Quantität lässt sich zählen, die Qualität zählt.» «Schweizerhof» in St. Moritz hat den Prozess bald geschafft: Am 14. und15.ApriltestetderZertifizierer, ob die Hoteldirektorin Yvonne Urban Scherer und ihr Team ihre Hausaufgaben gemacht haben. Einen immer höheren Stellenwert im Hotel kommt der Ökologie zu. An Zertifizierungsmöglichkeiten mangelt es nicht. Die umfassendste Variante ist der «Steinbock», der ursprünglich für Bündner Betriebe entwickelt worden ist. 13 Schweizer Betriebe haben diesesLabel.NeuistdasSystem«Swiss Climate»: Es basiert auf der internationalen Norm ISO 14064. Im Zentrum steht dort die Reduktion derTreibhausgas-Emissionen. Qualität ermöglicht dem Unternehmer, seine Mitkonkurrenten zu überflügeln. Das Qualitätsmanagementsystem allein genügt dafür jedoch nicht. «Eine der besten Investitionen ist jene in die Mitarbeitenden», sagt Chris Brügger, ehemaliger Hoteltester bei Richey. «Die Art und Auswahl an Dienstleistungen und damit verbunden der Faktor Mensch» sind für ihn ausschlaggebend für herausragende Qualität. Seite 7 bis 11 Bundesrätin Eveline Widmer-Schlumpf Alain D. Boillat Seite 3, 6, 19, 24 Glattalbahn Grand Resort Bad Ragaz Erste Bilanz fällt mehrheitlich positiv aus Es tut sich was in Bad Ragaz: Das grösste Spa der Schweiz Die Glattalbahn verbindet seit Dezember den Flughafen Kloten mit der Zürcher City. Ein Dutzend Hotels liegt an der neuenTramlinie. Entsprechend positiv sind die Reaktionen der Hoteliers und Gäste. Der Erfolg der neuen Verbindung führt auch dazu, dass das Novotel in Opfikon den hoteleigenen Airport-Shuttle Ende Juni einstellen wird.DasbenachbarteRenaissance Hotel tat dies bereits im vergangenen Dezember. Neben der grundsätzlich positiven Beurteilung wird aber auch Kritik laut. Etwa dass die Automaten kein Euro-Kleingeld, keine Euro-Noten und nur beschränkt Geldscheine in Franken akzeptieren. ag/dst Seite 4 Morgen Freitag wird in Bad Ragaz einewichtigeEtappegefeiert:Das Grand Hotel Hof Ragaz präsentiert sich als rundum erneuertes, komplettrenoviertesFünfsternehotel mitsamt «to B.»-Wellbeing & Spa-Bereich. Mit der Eröffnung von fünf neuen Balancing & Harmonising-Suiten ist die Umgestaltung des «Leading Spa of the World» abgeschlossen, das mit seinen 5500 Quadratmetern das grösste Spa der Schweiz darstellt. Aussergewöhnlich ist auch das mit Swarovski-Kristallen verzierte Kräuterdampfbad. Im neuen Restaurant «Namun» wird original thailändische und chinesische Küche serviert. Eines der neuen Zimmer im Grand Hotel Hof Ragaz. zvg «Es war der schwierigste Umbau meines Lebens», sagt Peter Tschirky, CEO und Vorsitzender der Geschäftsleitung des Grand Resorts Bad Ragaz. Unter seiner Ägide wurden stolze 160 Millionen Franken verbaut – ein guter Teil davon ging in die neue Tamina-Therme, welche als Meisterstück am 12. Juni eröffnet wird. Für den Ansturm auf dieses Thermen-«Zugpferd» rüsten sich auch kleinere Hotels in Bad Ragaz: So eröffnete das Dreisternehaus «Rössli» vor zehn Tagen17geräumige,kostengünstige und architektonisch überraschend gestaltete Zimmer. eho Seite 5 und 17 Kommentar Fisch essen ohne Bedenken? Die Biozucht macht es möglich. RENATE DUBACH D ieTatsachen zum Fischkonsum: 54 000Tonnen Fische importiert die Schweiz jährlich, 3000Tonnen stammen aus inländischen Gewässern. Das ergibt einen jährlichen Fischkonsum von 7 Kilogramm pro Person. Man rechnet damit, dass die weltweite Nachfrage nach Fisch jährlich um 1,5 Prozent steigt. Der Bereich der noch wenig erschlossenen Fischbestände liegt bei erschreckend tiefen drei Prozent. Der grosse Rest ist erschlossen, überfischt, erschöpft oder in der Erholungsphase. So weit, so schlecht. «Ein Koch muss wissen, wo und wie der Fisch aufgewachsen ist, den er auf die Karte nimmt.» Es gibt leider keine Märchenfee, die helfen kann. Aber es gibt Unternehmen, die Fische nach strengen Regeln fangen oder züchten. Mehrere Labels geben Auskunft über Produktion und Herkunft von Fischprodukten. Und es gibt BioZuchtanlagen, welche die Kriterien für eine umweltgerechte, nachhaltige Fischhaltung erfüllen. Schön wäre, wenn es noch mehr solche Anlagen in unserem Land gäbe. Nicht riesige Zuchtfabriken, in denen Fische gemästet und auf zweifelhafte Art getötet werden. Wie auch immer: Ein Küchenchef oder Koch muss nicht nur wissen, wie er einen Fisch zubereitet und wie dieser schmeckt. Er muss auch wissen, wo und wie der Fisch aufgewachsen ist, den er auf seine Menükarte schreibt. Der Gast muss ihm uneingeschränkt vertrauen können.Wer gerne Fische und Meeresfrüchte als nicht alltägliche Delikatesse geniessen will, soll dies weiterhin bedenkenlos tun dürfen. Seite 13 bis 15 www.htr.ch Adresse: Monbijoustrasse 130 Postfach, 3001 Bern Redaktion: Tel: 031 370 42 16 Fax: 031 370 42 24 E-Mail: [email protected] Verlag: Tel: 031 370 42 22 Fax: 031 370 42 23 E-Mail: [email protected] 9 771662 334000 15 fokus REKLAME htr hotel revue Nr. 15 / 9. April 2009 Qualität. Prozess. Lässt sich ein Hotel ISO-zertifizieren, dann ist das ein komplexes Unterfangen. Davon weiss die Direktorin des «Schweizerhofs» in St. Moritz, Yvonne Urban Scherer, ein Lied zu singen. Auf den Spuren des «Q III» land Berger die einzelnen Prozesse transparent gemacht. So wurden heikle Punkte mit den Angestellten besprochen und wenn nötig auch mal ein Prozess korrigiert. Dass es aber etwas mehr «Schreibkram» gibt,seieinelogischeFolge.«Essind wichtige Notizen, die nicht viel Zeit beanspruchen, aber viel bleibende Information für einen Betrieb beinhalten.» Das sei ein wichtiger Aspekt, meint Yvonne Urban und erklärt, dass mit den schriftlichen Dokumenten dasWissen im Unternehmen bleibe. «Davon profitierten wir bereits in der Wintersaison: WirhabeneineneueRéceptionistin eingestellt, die sich mit den festgehaltenen Arbeitsvorgängen sofort im Betrieb zurecht fand.» Die Wintersaison sei ohnehin die interne Zerreissprobe für die ISO-Zertifizierung gewesen, betont Yvonne Definierte Prozesse sollen jeden Bereich einzeln optimieren. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● Tätigkeit: Zuständig für den Tourismus bei der Schweizerischen Vereinigung für Qualitäts- und Management-Systeme SQS. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● Hubert Rizzi ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● 3. Was entgegnen Sie der Kritik, dass dieses Q viel koste und nur wenig bringen soll? Ich bin überzeugt, dass keine oder schlechte Qualität das Un- Nachgefragt ● Für welche Hotelbetriebe macht dieses Gütesiegel überhaupt Sinn? Das Q ist grundsätzlich für alle Unternehmen geeignet, die im Wettbewerb stehen und eine marktfähige Leistung erbringen wollen und können. ● 2. ● D ie Spannung ist gross. Nächste Woche geht die ISO-Zertifizierung im Hotel Schweizerhof St. Moritz über die Bühne. «Wir haben natürlich ein gutes Gefühl, sind aber dennoch etwas angespannt», sagt Yvonne Urban Scherer, Direktorin des «Schweizerhofs». Der Betriebseisehrgutvorbereitetunddie Mitarbeitenden alle vom QualitätsGütesiegel überzeugt, betont die Hoteldirektorin. Der Startschuss zum Q III fiel vor einemJahr.AnsThemageführtwurde das Direktionsehepaar Yvonne Urban Scherer und Martin Scherer allerdings schon länger. Die Jahres- ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● 1. Warum soll ein Betrieb ein Qualitäts-Gütesiegel erarbeiten? Wenn ein Hotelier gezielt an seiner Produkte- und Dienstleistungsqualität arbeiten möchte, kann er dies mit Hilfe des Qualitäts-Gütesiegels tun, denn dieses hilft ihm, das Thema systematisch und prozessorientiert anzugehen. ● ● SIMONE LEITNER aus demWeg räumen oder ins richtigeLichtrücken.YvonneUrbanhat gemeinsam mit ihrem Coach Ro- ● ● zeitplanung, die hatte. «Die Hersie seit vier Jahren ausforderung war gemeinsam mit eigentlich nur einem externen noch, diese InBerater erarbeiformationen zu ten, war die vernetzen und Grundlage. «Roanzupassen», so land Berger von Yvonne Urban. derTuneManageDas Führungsment & Training team im Hotel AG kennt sich mit Schweizerhof St. «80 Prozent der QualitätsmanageMoritz ist vom Arbeitsprozesse mentsystemen Nutzen des Q III aus und hat uns überzeugt. Es war hatten wir bereits sanft auf den ihre Aufgabe, das dokumentiert und Weg zum Q III geVorhaben den hinterlegt.» führt.» Darüber Mitarbeitenden ist Yvonne Urban beliebt zu maYvonne Urban Scherer Direktion Schweizerhof St. Moritz heute froh. Und chen. Einfach war darüber, dass der das nicht, denn Verwaltungsrat sie voll unterstützt eine ISO-Zertifizierung ist nicht hat. Die Kosten sind kein Pappen- bei allen Hotelangestellten beliebt. stiel, aber über deren Höhe möchte «Aber die meisten Vorurteile entniemand sprechen. «Wir sind alle stehen aus Unwissenheit oder sicher, dass sich die Investition schlechter Information», so die Dilohnt», soYvonne Urban. rektorin. Also wurde im «SchweiAls der Prozess vor einem Jahr zerhof» viel und sehr genau inforbegann, gab es auch Überraschun- miert.Kritikpunktewie«dannmüsgen: Es sei spannend und erstaun- sen wir unendlich viel Schreibkram lich gewesen, dass der Betrieb etwa erledigen» oder auch «wir können 80 Prozent der Arbeitsprozesse be- keine spontanen Entscheide mehr reits dokumentiert und hinterlegt fällen», konnte das Direktionsteam ● Das Hotel Schweizerhof St. Moritz wird am 14. und 15. April ISO-zertifiziert. Dann wird geprüft, was ein Jahr lang erarbeitet wurde. Bilder zvg ● Das Hotel Schweizerhof in St. Moritz hat sich für die Sommersaison gerüstet: Nächste Woche wird der Betrieb ISO-zertifiziert. Urban. «Erst in der Praxis wird klar, ob sich die theoretischen Abläufe bewähren.»FürdieMitarbeitenden eine wichtige Erfahrung: «Wir haben auch Korrekturen vorgenommen und gewisse Punkte angepasst.» Flexibilität sei immer noch, auch mit dem Q III möglich. Das Qualitäts-Gütesiegel fordert zudem eine interne Kontrolle. Das Viersternehaus hat sich ein Jahr auf das Q III vorbereitet. Und wie werden diese so genannten Auditoren vom Team aufgenommen? Hoteldirektorin Yvonne Urban hat nie eine schlechte Erfahrung gemacht. «Schliesslich werden diese Auditoren nach vorgegebenen Kriterien ausgewählt und müssen auch grosse soziale Kompetenz vorweisen. So hätte sichdieStimmungunterdenMitarbeitenden im Hotel Schweizerhof St. Moritz in den der letzten 12 Monaten «eigentlich nur positiv entwickelt». «Schweizerhof» setzt auf Qualität und wirbt mit guten Aussichten. ternehmen ungleich viel mehr kostet als ein Q. Im Übrigen ist das Q die Auszeichnung für Initiativen, welche ein Team ergreift, um die Qualität im Betrieb kontinuierlich weiter zu entwickeln. Das Q an sich kann also nicht schlecht sein, sondern lediglich die Anwendung des Systems. 4. Sehen Sie das Q auch als Marketinginstrument für ein Hotel? Ja, absolut. Eine Auszeichnung ist immer auch eine Verpflichtung, die man gegenüber seinen Kunden eingeht, und das ist heute wichtiger denn je. Wichtig ist auch, dass sich der ausgezeichnete Betrieb dieser Verantwortung bewusst ist und sich in der Marktleistung entsprechend von den Mitbewerbern differenziert. Der Kunde will schliesslich wissen: «Ist Q drin, wo Q drauf steht?» sls fokus 8 htr hotel revue Nr. 15 / 9. April 2009 Qualität. Hotels. Was macht Qualität im Hotel aus? Es sind die kleinen Dinge und es ist die Gesamtheit der Dienstleistung. In einem guten Hotel fühlt man sich sofort wohl, sagt der frühere Hoteltester Chris Brügger. «Entscheidend ist der Faktor Mensch» Chris Brügger, was verstehen Sie unter Qualität in einem Hotel? Aus Sicht des Hoteliers bedeutet Qualität die Gesamtheit aller Dinge, die einen guten Hotelbetrieb ausmachen. Von der Architektur des Hauses über die Infrastruktur sowie Freundlichkeit und Qualifikation der Mitarbeitenden bis zum Speiseund Getränkeangebot, das auch überraschen kann. Sie kennen als ehemaliger «Mystery-Tester» die besten Hotels der Welt. Was ist für Sie ein «gutes Hotel»? Es sind die Hotels, wo man sich nach kurzer Zeit sehr gut aufgehoben oder «at home» fühlt. Selbst wenn man zum ersten Mal da ist, kann sich ein solches Gefühl schnell einstellen. Einige Faktoren müssen zusammenspielen. Dann ergibt sich dieser harmonische Zustand von Zufriedenheit und Entspanntheit. Die «Seele des Hauses» wird spürbar. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ROBERT WILDI «Kurzfristige WowEffekte werden von der Wirkung eines Service am Gast übertroffen.» Chris Brügger Qualitätsmanager Worauf achten Sie zuerst, wenn Sie ein Hotel betreten? ● Für den Qualitätsmanager Chris Brügger gibt es keine Standardrezepte. Wichtig sei es, dem Gast bei jeder Gelegenheit Mehrwert zu bieten. ● ● ● ● Zur Person Manager der Qualität war einst «Mystery Man» Chris Brügger (43) ist diplomierter Hotelier und Qualitätsmanager, seit 2006 Partner der Denkmotor GmbH (www.denkmotor.com) in Zürich, Büro für strukturierte Kreativität und Innovation. Als Senior Consultant bei Richey International testete er die besten Hotels rund um den Globus als so genannter «Mystery Man». row Es sind viele Dinge, die teilweise auch unbewusst sofort analysiert werden. Generelle Atmosphäre, Licht, Stimmung, Luft und immer die Sauberkeit gehören dazu. Dann auch ganz praktische Dinge, zum Beispiel: Finde ich den Weg zum Front-Desk intuitiv, oder ist die Beschilderung zumindest hilfreich? Wie werde ich vom ersten Mitarbeitenden begrüsst, bietet man mir Hilfe an mit dem Gepäck? An welchen Merkmalen erkennen Sie sofort, ob ein Hotel echte Qualität bietet? Ist die Uniform des Bellmans oder Empfangsmitarbeitenden abgewetzt oder ungepflegt, sind das bereits mögliche Hinweise auf Qualitätsdefizite. Auch an kleinen Dingen, wie Frischblumen und Material von Dekorationselementen, Kugelschreiber, Guest-Stationary oder Toilettenartikel. Ganz zentral ist auch das Thema Nachhaltigkeit und Sensibilität mit der Umwelt. Wenn mir als Gast der schonende Umgang mit natürlichen Ressourcen näher gebracht wird, ist das für mich ein hohes Qualitätsmerkmal. Hat Qualität etwas mit Detailpflege zu tun? Unbedingt. «Attention to detail» auf jeder Stufe resultiert fast zwingend in einer besseren, qualitativ hochstehenden Dienstleistung. Eine der wichtigsten Eigenschaften, die dabei helfen kann: Gut zuhören. Welchen Anteil am qualitativen Wert eines Hotels haben materielle Infrastrukturen, welchen die Dienstleistungen? Persönlich haben für mich Art und Auswahl an Dienstleistungen – und damit verbunden der Faktor Mensch – den bedeutend wichtigeren Anteil am qualitativen Wert des Hotels als eine State-of-the-Art-Infrastruktur. Wenn mir als Gast etwas in Erinnerung geblieben ist, dann sind es immer Erlebnisse einer Dienstleistung, die mich begeistert haben. Auch eine TopInfrastruktur und tolle Gästezimmer mögen kurzfristig WowEffekte auslösen, aber kaum mit dieser Wirkung eines Service am Gast, der Erwartungen übertrifft. Die Qualität steckt im Detail: kleine Aufmerksamkeit im Bad und grösste Sauberkeit. Wie wichtig ist der erste Eindruck, den ein Gast am HotelEmpfang erfährt, und wie stark beeinflusst dieser die qualitative Beurteilung? Die Schweizer Q-Labels haben die internationalen Normen gepusht M enschen welche die Dienstleistungen in der Hotellerie umsetzen, bleiben unverzichtbar: immer mehr sind es die Softfaktoren, die den entscheidenden Unterschied eines Hotels ausmachen. Mittels Qualität kann sich ein Hotel abheben oder eben nicht. Ein gut eingeführtes Qualitätsmanagement-System unterstützt eineganzheitlichequalitativhochstehendeDienstleistungmassgeblich. Betriebe, welche ein umfassendes Qulitätsmanagement-System (QMS) einführen, versetzen sich damit nämlich in die Lage, die Prozesse zu beherrschen und zukunftsgerichtete Entscheide aufgrund systematischer und marktorientierten Fakten zu fällen. Zudem – und nicht unwesentlich – bleiben damit Betriebs- und Markt-Know-how vermehrt im Betrieb: Unbezahlbares Wissen wird dadurch weniger von einzelnen Personen abhängig. In der Schweizer Hotellerie haben sich verschiedene Qualitäts- Labels durchgesetzt, welche entweder vom Qualitätsprogramm für den Schweizer Tourismus selber entwickelt wurden (Q I und Q II) oder international anerkannte Normen (Q III) integrieren. Das Schweizer Qualitätsprogramm hat ganz klar auch zurVerbreitung von international anerkannten Normen beigetragen. DasQ IsollimBetriebdasQualitäts-Virus setzen. Die Hürde ist bewusst tief angesetzt, damit sich auch kleine Hotels auszeichnen lassen können. Die Stufe für das Q II ist bereits höher. Das Programm liefert Instrumente, welche die Führungsund Dienstleistungsqualität eines Betriebes beleuchten. DasQ IIIzeigtdieProzesseeines Unternehmens umfassend auf. Wer diese Auszeichnung anstrebt, muss sich ISO-zertifizieren lassen, das Label Valais Excellence oder das EFQM erarbeiten. Daniel Beerli, Leiter Mitgliederservice und Kooperationen, hotelleriesuisse Der erste Eindruck ist wichtig, meine ich. Sofortiger Augenkontakt und eine freundliche Begrüssung sind ein «Must». Das schlichte Rezitieren von Service-Standards genügt nicht. Fotolia international zur Spitze gehören – solche, die in vielen Bereichen auch Qualitäts-Benchmarks setzen. Ich kenne kein anderes Land, das auf so kleinem Raum eine solche Dichte an Luxushotels wie die Schweiz bietet. Tragen die Hotels diesem UmIn welchen Bereichen ist die stand genügend Rechnung? Schweizer Hotellerie top, wo In den Top-Hotels ist man sich besteht im internationalen dieses Umstandes sicher bewusst. Oft sind die Mitarbeiten- Vergleich Nachholbedarf? Ausbildung und berufliche den gut trainiert, mehrsprachig Qualifikationen der Mitarbeiund sehr serviceorientiert. Da tenden sehe ich als Stärken. aber viele junge Mitarbeitende Auch Ausstatin diesem Betung der Zimreich arbeiten «Eine der besten mer und die und die FluktuaInvestitionen moderne Infration dadurch reist diejenige struktur. Von lativ hoch ist, ist einigen Auses eine permain die nahmen abgenente HerausMitarbeitenden.» sehen, gibt es forderung, die in den BereiQualität auf Chris Brügger Qualitätsmanager chen Spa/Welldem angestrebt ness oder Food hohen Niveau & Beverage-Konzepte im interzu halten. nationalen Vergleich noch eher wenig Überraschendes oder Wo stehen Ihrer Meinung nach Trendsetzendes. die qualitativ hochwertigsten Hotels? Wie kann ein Hotel ohne riesiWenn es nicht nach Infrastruktur und Dienstleistung zu unter- ge Investitionen rasche Qualitätsverbesserungen erzielen? scheiden gilt, bin ich bei dieser Eine der besten Investitionen Frage gedanklich im asiatiist diejenige in die Mitarbeischen Raum. tenden. Kontinuierliche Weiterbildung und Training mit dem Wie schneidet die Schweizer Ziel, dem Gast auf jeder Stufe Hotellerie im qualitativen Verund bei jeder sich bietenden gleich mit der ausländischen Gelegenheit eine erstklassige Konkurrenz ab? Dienstleistung oder einen Im Top-Segment gibt es in der Schweiz einige Häuser, die auch Mehrwert zu bieten. fokus htr hotel revue Nr. 15 / 9. April 2009 9 Qualität. Ökologie. Der «Steinbock» ist in der Schweiz das anspruchsvollste Öko-Qualitätslabel. Das ist mit ein Grund, das bis heute erst 13 Betriebe «Steinbock»-zertifiziert sind. Eine Reihe von Öko-Labels Bei den zertifizierten Umweltlabels im Tourismus ist eine Harmonisierung im Gange. Das erspart dem Hotelier Aufwand und Kosten. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● schen Ebene ist «The Green Key», das verschiedene andere nationale Öko-Marken für den Tourismus in den letzten Jahren geschluckt hat. In der Schweiz könne heute ein Hotel, das den «Steinbock» trägt, auch das EU-Umweltlabel bekommen, erklärt Domenico Saladino, Mitentwickler des Steinbock-Labels. Im Umweltbereich wären die beiden Auszeichnungen zu 70 Prozent deckungsgleich. ● GUDRUN SCHLENCZEK Umweltlabels bei Schweizer Hoteliers wenig gefragt A n Möglichkeiten, sein HotelinSachenUmweltverträglichkeit zertifizieren zu lassen, mangelt es nicht. Schweizer Hoteliers haben gleichmehrere:DievondenKriterien her restriktivste Variante ist der im 2001 zuerst für Graubünden, dann die Schweiz entwickelte «Steinbock».Wer europaweite Konformitätsucht,erreichtdasmitdem EU-Umweltlabel. Und wer sogar auf der internationalen Bühne der Umweltgerechtigkeit mitspielen will, dem ist eine ISO-14001-Zertifizierung zu empfehlen. Angenähert hat man sich auch an das Qualitätsprogramm des Schweizer Tourismus: «Statt über dieISO-NormkönnenBetriebenun über das Steinbock-Label mit einem Zusatzmodul das Qualitätsgütesiegel III des Schweizer Tourismus erlangen», betont Saladino. Möglich ist dies, da der «Steinbock» nebst dem Ökologischen auch Nachhaltigkeit auf den ganzen Betriebsablaufbezieht,dasheisstvom Management über die BetriebswirtschaftbiszumSozialen.Zudem willmanindieSteinbock-Zertifizierung noch Tools des Qualitätsgütesiegels wie die Mystery-Tests einbauen. Der «Steinbock»-Initiator hofft, über das Zusammengehen mit dem Q-System, mehr Betriebe zum Mitmachen zu bewegen. Heute sind gerade mal 13 Hotels «Steinbock»-zertifiziert. «Alle aktuellen 250 Q II-Betriebe wären potenzielle Steinbock-Träger», so Saladino. «My Climate» bekommt mit «Swiss Climate» Konkurrenz Ganz neu auf dem Markt ist «SwissClimate»:DasSystembasiert auf der internationalen Norm ISO 14064. Im Zentrum steht ähnlich wie bei «My Climate» die Reduktion der Treibhausgas-Emissionen. Doch im Gegensatz zum bereits bekannten Pendant, legt man vor allem auf die interne Verbesserung Wert, die Kompensation anhand von Klimaschutzprojekten ist dann derletzteSchritt.Abervorallemunterscheidet sich «Swiss Climate» mit einer externen Verifizierung durch die Schweizer Vereinigung für Qualitäts- und ManagementSysteme (SQS), was Seriosität garantiert.Nochzählt«SwissClimate» kein Hotel, bei «My Climate » kompensieren dagegen bereits alle Sunstar-Hotels sowie das «Giardino» in Ascona und das «Ferienart» in SaasFee ihren CO2-Ausstoss und dürfen sich somit klimaneutral nennen. Auf der europäischen Ebene pflegen viele Länder ihre eigenen Labels (siehe Liste). Das liegt nicht zuletzt am Timing: Die privaten Labels entstanden zuerst, die EU lancierte ihr Umweltlabel erst 2003. Labels bringen System in den Betrieb, aber nicht mehr Gäste Es ist jedoch eine Tendenz zu einer Harmonisierung unter den ÖkoAuszeichnungen festzustellen. Das inzwischenamweitestenverbreitete private Label auf der europäi- Weit besseren Zulauf geniessen die Umweltanstrengungen im Ausland. Das wundert Saladino wenig: «Dort unterstützt der Staat.» Zum Beispiel in Österreich oder in Italien. Denn so ein Audit geht ins Geld und fordert den Betrieb. Das weiss Beat Anthamatten, Inhaber des 5-Sterne-Hotels Ferienart in SaasFee,derseinenBetriebgleichmehrfach hat zertifizieren lassen. Die MarkeValais Excellence, deren System sich an ISO 9001 und 14001 anlehnt, kostete ihn im Startjahr rund 50 000 Franken (externe und interne Kosten). Die laufenden Kosten sind für das «Ferienart» tiefer: 1500 Franken pro Jahr für «Valais Excellence», 1800 Franken fürs EU-Umweltlabel, 2450 Franken für den Zusammen nachhaltig wirken Die Direktoren der touristischen Dachverbände und der Regionaldirektorenkonferenz haben eine Charta unterzeichnet. Und damit ein Bekenntnis zur Nachhaltigkeit abgelegt. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● Eingang des 5-Sterne-Hotels Ferienart in Saas-Fee, das mehrfach zertifiziert worden ist. «Steinbock»plusalledreiJahre4900 Franken fürs Audit. Was bringt ihm das Zertifizieren? «Vor allem System», so Anthamatten. Prozesse festlegen sei nachhaltiger als ein- Ab diesem Jahr ist einiges neu beim Qualitätsgütesiegel für den Schweizer Tourismus Q I, Q II und Q III. Zum Beispiel wird der ökologische Aspekt höher gewichtet. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● CHRISTINE KÜNZLER Alain D. Boillat Die Direktoren der touristischen Dachverbände und der Regionaldirektorenkonferenz nach Unterzeichnung der Nachhaltigkeits-Charta. Unterzeichner bis Ende 2002 den Grundstein für eine nachhaltige Sektor- und Unternehmenspolitik. Verankerung in der Branche mittels Sensibilisierung und Unterstützung: Sicherstellung durch verschiedene Massnahmen, dass die Nachhaltigkeit bei allen Marktteilnehmern ein Bestandteil der «Corporate Culture» wird. Regelmässige Überprüfung und Evaluation der Fortschritte: Gemeinsame Erarbeitung eines Umsetzungsprogramms mit Aktionsplänen im Rahmen der Mittelfristplanung. schätzt, dass nur 3 bis 5 Prozent der Gäste deswegen zu ihm kommen. «Die LOHAS gibt es nur in den Köpfen der Marketingleute, aber nicht in der Realität.» Ökologie und technische Neuerungen integriert DANIEL STAMPFLI Mit der am am vergangenen Freitag anlässlich des 12. Schweizer Ferientages unterzeichneten Nachhaltigkeits-Charta bekennt sich der Schweizer Tourismus zur Nachhaltigkeit auf den drei Ebenen Umwelt, Wirtschaft und Gesellschaft. Dabei wird ein besonderes Gewicht auf den Faktor Umwelt gelegt. Mit einem 3-Punkte-Programm soll sichergestellt werden, dass dieses Bekenntnis umgesetzt wird. Verpflichtung der Unterzeichner zur Nachhaltigkeit im Schweizer Tourismus: Mit verschiedenen Aktionen legen die fach mal drauflos agieren. «Jede getroffene Massnahme war für uns auch ökonomisch sinnvoll.» Mehr Gäste zähle er durch das Umweltengagement nicht. Anthamatten zvg NeuwirdinderStufeQIauchdieErlebnisqualität in der Schulung und in der Servicekette thematisiert. Das Qualitätsprofil mit den sechs zentralen Q-Aspekten wird nur nochempfohlenundnichtmehrals obligatorisch vorausgesetzt. Auch werden dort neu nun ökologische Aspektemiteinbezogen.Sowohlbei der Schulung als auch beim Aktionsplan. Leitfaden und Handbuch sind neu überarbeitet. Fazit: Der ZugangzumQ Iisteinfachergeworden, Erlebnisqualität und Ökologie erhalten mehr Gewicht. Die Stufe II wird demnächst mit einem neuen Prozess-Modul, einem E-Tool, ergänzt. Damit entwickelt sich das Q II auch zu einem Trainingssystem für die nächsthöhere Stufe, der Stufe III. Das Führungsprofil mit den acht bis zehn Aspekten bleibt obligatorisch, dafürwirddasBasisprofilmitmaximal acht statt wie bisher zehn Aspekten nur noch empfohlen. Der ökologischeAspektwirdauchbeiQ IIhöher gewichtet. Alles in allem macht damit das Qualitäts-Gütesiegel der zweiten Stufe den Betrieb fit für das Q III, obwohl weder das Q I noch das Q IIVoraussetzung für die dritte Stufe sind. DieBasisderStufeIIIbleibenISO 9001:2008 und EFQM. Generell ist das gesamte Q-Programm flexibler geworden und akzeptiert nach festgelegten Kriterien auch so genannte externe Qualitätsinstrumente, wie zum Beispiel Mystery-Checks oder interne Qualitätssysteme von Hotelketten. In der Schweiz sind bis heute 1587 Unternehmen mit dem Qualitäts-Gütesiegel für den Schweizer Tourismus ausgestattet. Die meisten ausgezeichneten Betriebe sind im Bereich Hotellerie zu finden: 667. 106 Hotels haben das Q III erarbeitet, 151 das Q II und 411 das Q I. Auf Platz zwei stehen die Parahotellerie-Anbietermit234Qs.Acht von ihnen haben das Q III erhalten. Von den Tourismus-Organisationen haben 160 das Q-Programm eingeführt, 21 davon das Q der drittenStufe.In106derSchweizerGastronomie-Betriebe wird heute mit dem Q gearbeitet. Sieben Restaurants haben das Q III realisiert. ANZEIGE fokus 10 htr hotel revue Nr. 15 / 9. April 2009 Qualität. Kontrolle. Wer kontrolliert, ob ein Betrieb, der sich auf seiner Internet-Site mit dem «Q» schmückt, das Qualitätsprogramm auch wirklich erarbeitet oder erneuert hat? Bis anhin niemand. Manchmal wirkt das Q nur optisch Nicht überall wo Q draufsteht ist auch Q drin. Wenn ein Hotelier das Gütesiegel nicht mehr erneuert, kontrolliert niemand, ob das Logo weiterhin an der Eingangstür klebt. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● Was aber im diesem Fall keinesfalls heisst, dass in diesem Hotel keine Qualität gelebt wird. Vielmehr ist das Hotelierspaar Ines Linder und Peter Scheffer gerade dran, das Q III zu erarbeiten. «Wir werden im August ausgezeichnet», sagt Ines Linder. Und versichert, dass die Gästezufriedenheit, die sie mittels Fragebogen ermittelt, bei ihnen hoch sei. «Wir haben schon im letzen Betrieb das Q II erarbeitet, deshalb richten wir uns auch hier nach diesen Richtlinien. Der Gast wird also bei uns nicht getäuscht.» CHRISTINE KÜNZLER Die Prüfstelle kontrolliert nicht, ob das Q weiter verwendet wird K Der «Grächerhof» schmückt sich zurzeit noch mit dem ungültigen Q. zvg lickt sich der Gast über www.matterhornvalley.ch zum 3-Sterne-Superior Turm Hotel Grächerhof in Grächen, sieht er, dass dasHausmitdemQ Iausgezeichnet ist.KlickterdasgleicheHotelaufder Walliser Hotelplattform www.hotel-wallis.ch an oder auf myswitzerland.com von Schweiz Tourismus, schmückt sich das gleiche Hotel sogar mit dem Q II. In Realität hat das Haus weder das eine noch das andere, sondern gar kein gültiges Q. Nichtsdestotrotz: Korrekterweise darf das Hotel das Q-Logo nicht mehr verwenden. Ines Linder ist überrascht: «Als wir das Hotel im letzten November übernahmen, gingenwirdavonaus,dassdasHaus mit dem Q II ausgezeichnet ist. Wir wollen nicht absichtlich etwas Falsches vortäuschen.» Nach der Übernahme eines Hotels gebe es eben wichtigere Dinge zu tun als zu kontrollieren, ob die Auszeichnungen noch gültig sind, versichert die junge Hotelière glaubhaft. ZuUnrechtgetragenhatdasGrächener Hotel die Auszeichnung schon unter der frühere Pächterin, der Hotelière Jacqueline Fux. Sie hatte das Q II im Jahr 2000 erarbeitet,im2004erneuertund2007dann abgebrochen, erklärt Siegfried Schmidt von der Prüf- und Koordinationsstelle beim Schweizer Tourismus-Verband(STV)inBern.«Abgebrochen möglicherweise deshalb, weil die Hotelière das Q III erarbeiten wollte.» Seit 2008 also dürfte das Hotel das Logo nicht mehr kommunizieren. Weder an der Eingangstüre noch im Internet. «Wer das Q nicht mehr erneuert, erhält von uns ein Schreibenindemwirihmmitteilen, dasserdasQnichtmehrverwenden darf», so Schmidt. Kontrolliert, ob der Hotelier der Aufforderung auch Folge leistet, wird indes nicht. «Wenn wir aus irgendeinem Grund einen Missbrauch feststellen oder uns jemand darauf aufmerksam macht, bekommt der betreffende Hotelier nochmals einen Brief.» Vier- bis fünfmal im Jahr trifft beim STV eine Gäste-Reklamation ein, der das Team der Prüfstelle dann nachgeht. Hier fliegt auf, wenn ein Hotelier sich mit fremden Federn schmückt. Dass es einige Hoteliers gibt, die das Q abgebrochen haben und das Logo trotzdem weiter benutzen, davon geht Schmidt aus. Zusätzliche Kontrolle seitens der Swiss-Quality-Hotels-Gruppe Der «Grächerhof» ist seit 1. April 2009 Mitglied bei den Swiss Quality Hotels der Kategorie Value. Wer der Gruppe beitreten will, muss im Minimum das Q I erarbeiten. Häuser, die der Kategorie Superior oder Excellence angehören, brauchen das Q II. «Der Hotelier hat ein Jahr Zeit, das Qualitätslabel zu erarbeiten», sagt die Geschäftsführerin Eva Fischer.«90ProzentunsererHoteliers haben ihr Q bereits.» Der «Grächerhof» setzt also freiwillig auf das Q III und könnte sich dafür ein Jahr Zeit lassen. «Wir achten sehr strikte darauf, dass kein Hotelier sein Qualitätslabel zu Unrecht trägt», so Eva Fischer.Dafürstehesieregelmässigin Kontakt mit der Prüf- und Koordinationsstelle beim STV. «Wir wollen nicht, dass sich unsere Hotels mit fremden Federn schmücken.» «Angst vor Entscheidungen» Christian Lienhard hat seinen 4-SterneBetrieb, den «Hof Weissbad» in Weissbad, zertifizieren lassen. Ganz glücklich ist er mit dem Q III nicht. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ELSBETH HOBMEIER CHRISTINE KÜNZLER Christian Lienhard, das Hotel Hof Weissbad ist seit Herbst ANZEIGE ● ● ● 2007 ISO-zertifiziert. Welche Erfahrungen machen Sie mit dem Q III? Wir wollen in diesem Jahr den Massnahmenkatalog auf jenes Niveau herunterfahren, auf dem er uns noch etwas bringt. Das bedeutet eine Reduktion auf rund die Hälfte. Die Mär von mehr Effizienz stimmt für mich sonst nicht. Wir müssen uns fragen: Weshalb machen wir das Q III? Für den Betrieb oder nur für das Label? Für das Label allein muss man die Zertifizierung nicht erarbeiten, das macht keinen Sinn. Wo liegen Ihrer Ansicht nach die grössten Schwierigkeiten nach der Einführung des Q der Stufe III? Wir haben mit Q III grundsätzlich ein perfektes System. Aber ich mache die Beobachtung, dass damit die Innovation auf der Strecke bleibt. Der Mitarbeitende muss meiner Ansicht nach mehr Kompetenzen bekommen, um selber entscheiden zu können. Heute haben wir die Situation, dass der Mitarbeitende vorher in drei Ordnern nachschlägt, bevor er sich traut, eine Entscheidung zu fällen. Ein weiterer Punkt ist der Zeitaufwand für das Ausfüllen der Formulare. Der Küchenchef füllt heute Formular um Formular aus und verliert damit einen halben Tag pro Woche. Gibt es nicht die Möglichkeit, den Standard so festzulegen, dass der Mitarbeitende in einem vorgegebenen Rahmen selber entscheiden darf? Natürlich, jeder Betrieb kann seine Standards so festlegen, dass sie für den Betrieb stimmen. Beispielsweise könnte es heis- sen: «Bei einer Beanstandung entscheidet jeder Mitarbeitende selbstständig über die Wiedergutmachung dem Gast gegenüber.» Gibt es Bereiche, in denen sich das Qualitätsprogramm positiv auswirkt? Das System ist sehr gut für Berei- Hoteldirektor Christian Lienhard will den Massnahmenkatalog abspecken. che wie Schulung, Lebensmittelkontrolle, Gesundheit und Hygiene. Wie viel hat die ISO-Zertifizierung für Ihren Betrieb gekostet? Insgesamt haben wir für die Zertifizierung etwa 150 000 Franken investiert. Wirkt sich diese Investition auch positiv auf Ihren Umsatz aus? Eine direkte Umsatzsteigerung gibt es mit dem Qualitätsprogramm nicht. Es ist hingegen möglich, verbesserte Warenkosten und tiefere Mitarbeiterkosten zu erreichen. fokus htr hotel revue Nr. 15 / 9. April 2009 11 Qualität. Praxis. Drei Betriebe , drei Qualitäts-Labels. Jeder Unternehmer hat das Qualitätsprogramm implementiert, das ihm dient. Die drei Direktoren sprechen von positiven Erfahrungen. ren sollen, werden jährlich überprüft.» «In Theorie sind wir nicht gut. Jede Verbesserung wird gelebt» Bilder zvg Die eigene Location für Events direkt neben dem Hotel-, Seminar- und Kongresszentrum «Seedamm Plaza» in Pfäffikon SZ ist der «EventDome». Qualität von Anfang an Eine ganze Geschichte von geprüfter Qualität und ExcellenceAwards weist das Hotel-, Seminar- und Kongresszentrum Seedamm Plaza auf. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● KARL JOSEF VERDING D ie ISO-Zertifikation gibt uns eine gute Basis, eine gute Struktur, die auch bei Mitarbeiter-Fluktuation festgehalten wird», sagt Peter H. Ernst, Leiter des «Seedamm Plaza» in Pfäffikon SZ, mit seinen UnternehmensBereichen Meetings, Hotel, Restaurant und Events. Die ISOZertifizierung gibt dem Unternehmen das Recht, für alle seine Bereiche das Qualitätsgütesiegel III zu führen. Ernst so zusammen: «Uns wurde bewusst: Der Gast steht im Mittelpunkt, wir müssen alles vom Gast her anschauen. Wir haben unser ganzes Programm aufgrund dieser Prozesse infrage gestellt und alles auf den Gast ausgerichtet. Die Mitarbeitenden sollten Wünsche bereits erkennen können, wenn der Gast vor ihnen steht.» «Einen unheimlichen Impuls im Betrieb gaben die Assessments» Für Organisationen mit einem reifen Qualitätsmanagementsystem, welches noch weiter verbessert werden soll, hat die Schweizerische Vereinigung für Qualitätsund Management-Systeme SQS das Modell 9004 entwickelt (Bewertung von Qualitätsmanagementsystemen). «Alle bei uns haben mitgemacht. Das war das Highlight, da gab es Assessments, und nicht Ein Gästezimmer des Hotels im Zentrum «Seedamm Plaza». Andeer, Q II: Management mit System im Hotel von 1827 I m Jahre 1827 wurde es gebaut, 1828 als Bade- und Kurhotel eröffnet, und 1907 erweitert: Das Hotel Fravi in Andeer im Val Schons gehört seit der Gründung durch Landammann Johann Jakob Fravi Gondini der Familie Fravi. Gegenwärtig setzt das 3-SterneSuperior-Hotel mit 47 Zimmern und Meeting-Kapazität für 10 bis 100 Personen seine Marksteine in der Qualitätssicherung. Im 1999 erarbeitete es sich das Q I. Seit 2006 hatesdasQ II.DenPlanfürdasQualitätsgütesiegel III hat Reto Rey, der Direktor des Hotels, bereits gefasst. rapieabteilung,dieeinereigenständigen AG gehören, ist das Hotel durch einen direkten Zugang verbunden. Alle Übernachtungspreise schliessen den Mineralbad-Eintritt ein. Zusätzliche Prüfung von Küche, Restaurant und Arbeitssicherheit Alle Zimmer sind seit 2001 renoviert worden. Jedes Jahr, in den drei «Seedamm Plaza»-Chef Ernst betont: «Wir wollen uns permanent verbessern und haben hohe Ziele. Der Verwaltungsrat wird einbezogen, jedeVision wird gemeinsam mit der operativen Leitung angeschaut. Die Elemente, die zu den Verbesserungs-Zielen hin füh- Dezember-Wochen vor den Feiertagen, wird im Hotel Fravi etwas erneuert, seien es Böden oder Zimmer oder Infrastruktur. Das Restaurant wurde im 2002 erneuert. Vor allem Restauration, Küche und Arbeitssicherheit im Haus werden vier- bis fünfmal pro Jahr von Eurofin Schweiz angeschaut. Das betreffende Zertifikat hängt wie das Q II-Diplom in der Réception. kjv Grosse Fenster für den Blick der Gäste in Richtung Süden. W Moderner Komfort in einem historischen Pionier-Hotel. Diese Auszeichnung war für das «Seedamm Plaza» so wertvoll, weil sie das seit Beginn eingeführte und gelebte Qualitätsmanagement spektakulär würdigte. Peter H. Ernst stellt fest: «Beim EsprixGewinn war es das Eindrücklichste, dass man auch jene ins Boot holen konnte, die immer negativ gegenüber ISO waren. ‹Hey, wir sind die Besten!› – Diese Mitarbeitenden wurden zu Botschaftern, nachdem sie sich jahrelang gesträubt hatten.» Das Zentrum wird auch für private Bankette gebucht. Die mit dem «Esprix» gewürdigte Vorgehensweise und die Erfahrungen der Teambildung gab das «Seedamm Plaza» von diesem Zeitpunkt an zahlreiche interessierte Unternehmen und Organisationen weiter – zum Beispiel als Rahmenprogramm einer von diesen Kunden gebuchten Veranstaltung im «Seedamm Plaza». Bern, Q I: Kultur-Casino hat ein sensibles Publikum «Die mit dem QII gewonnene Beständigkeit gibt uns Sicherheit» Rey, seit Dezember 2008 im Amt, ist selber Beispiel für eine wichtige Eigenschaft des «Führungsinstruments» Q II, so wie er es nennt: «Fast alle Abläufe sind schriftlich festgehalten. Bei Personal- und Führungswechsel wird die Kontinuität bewahrt. So kommt eine Beständigkeit hinein, welche den Mitarbeitenden Sicherheit gibt.» Mit dem Mineralhallen- und Aussenbad (34 °C) und seiner The- «Wir holten auch die ins Boot, die negativ gegenüber ISO waren» Eigene Teambildungs-Erfahrung wird an Kunden weitergegeben «Uns wurde bewusst: Wir müssen alles vom Gast her anschauen» nur Audits. Bis zu 20 Personen sassen abteilungs-übergreifend und quer durch die Hierarchie um einen Tisch. Das hat im Betrieb einen unheimlichen Impuls gegeben», stellt Peter H. Ernst fest. Die Essenz der Qualitäts-Bemühungen seines Hauses fasst Peter H. «Wir sind keine Theoretiker. In Theorie sind wir nicht gut», sagt «Seedamm-Plaza»-Chef Peter H. Ernst. «Qualitäts-Verbesserung ist bei uns ein dauerhafter Prozess, der vomerstenTagangelebtwordenist. Unsere Mitarbeiter machen pro Jahr400Verbesserungs-Vorschläge. 80 Prozent davon werden unmittelbar umgesetzt. Alle haben den Erfolg gespürt, den uns der Verbesserungsprozess einbringt.» FürdenWeghinzumQIIIwarfolgenderVorgang als Anregung wichtig: Angespornt durch guten Resultate bei Qualitäts-Zertifizierungen seit der Eröffnung 1999, entschied sich das «Plaza»-Führungsteam für eine Bewerbung um den «Esprix – Swiss Excellence Award» des Jahres 2006. Um «Business Excellence» zu erreichen, mussten alle Mitarbeitenden vom entsprechenden Geist beseelt sein. Das Hotel-, Seminarund Kongresszentrum Seedamm PlazawurdedannanlässlichdesEsprix-Forums vom März 2006 in Luzern nicht nur zum Finalisten, sondern zum Preisträger für Mitarbeiterentwicklung auserkoren. zvg zvg ir sind Mieter im Haus des Kultur-Casinos Bern, Pächter für den Bankettbereich und zwei Restaurants«, sagt Tobias Burkhalter. Er ist Direktor der seit gut einem Jahr mit dem Qualitätsgütesiegel I zertifizierten Casino Restaurants Bern AG. Der zur Q-Zertifizierung hin führende Prozess hat laut Burkhalter für das Unternehmen zwei wirksame Seiten. Erstens «eine interne Seite: dass man es anpackt und jeder Mitarbeiter mitmacht.» Und zweitens: «Es bringt eine Aussenwirkung für das Kultur-Casino, dass man das Qualitäts-Siegel hat. Gerade jetzt, in der heutigen Zeit, wo es Nachrichten über schlechte Resultate bei Lebensmittelkontrollen gibt, sind die Leute für die Wahl einer sicheren Qualität sensibilisiert.» MitvielAusblickanderSüdseite derBernerAltstadtgelegen,beherbergt das Kultur-Casino hinter neoklassizistischer Fassade eine moderne Infrastruktur. Event-, Bankett- oder Meeting-Veranstalter können aus sechs Sälen, dem Casino-Restaurant und dem neuenSpezialitäten-RestaurantRelais sowie der Gartenterrasse wählen. schliesslich, seien aus allen Abteilungen Vorschläge gekommen, um die Abläufe zu verbessern. Daraus habe sich ein Massnahmenplan ergeben, «der von den Mitarbeitern getragen wird: Auch die Küche ist mit drin, sowie die Hauswirtschaft und die Administration». Massnahmenplan und neue festeStandardssinddaseine–aber deutlichzumachen,dassdasGanze kein ruhender Prozess (also ein Widerspruch insich) ist, das istdas andere. Burkhalter sorgt dafür, dass alles, was dazu gehört, auf einer Pinnwand mit Piktogrammen und Fotogalerie in einem Gang dokumentiert wird, den die Mitarbeitendenvier-bisfünfmalproTag passieren. Zuerst war der Q-Prozess für die Mitarbeitenden nur Papier «Unterdessen», verrät Tobias Burkhalter,«habenwirvonderLeitung her bereits das Q II im Köcher. Meine Frau Nilgün macht eine Weiterbildung mit Abschluss im Sommer, und dann sind wir frei für die Lancierung des Prozesses hin zum Qualitätsgütesiegel II.» kjv WasdieMitarbeitendenbetrifft, so Tobias Burkhalter, sei es «am Anfang nicht so einfach» gewesen, «den Kick-off für den Q-Prozess zu machen. Zuerst war der Prozess für sie nur Papier.» Aber dann, «Wir haben bereits das Q II im Köcher» Steinbock-Label News Ausgabe, April 2009 Das Steinbock-Label blüht auf und ... • … ist auf dem Weg, die Anerkennung für das Qualitätsgütesiegel Stufe III zu erhalten • … konnte vor 150 Forumsteilnehmern 10 Betrieben Ihr Zertifikat überreichen • … war beim TourismusForum Alpenregionen vertreten • … wird als internes Controlling-System erkannt • … war beim Schweizer Ferientag in Luzern dabei • … unterstützte die CD-Recycling Aktion der Migros Südostschweiz und des Vereins reDisk Das SteinbockLabel Nachhaltigkeit im Tourismus hat einen Namen • … erhält den Support der Bündner Hoteliers • … erschien gross in der SAB montagna • … wird in der nächsten Ausgabe der „Schweizer Tourismus in Zahlen“ erscheinen • … hat ein grosses Medienecho Steinbock-Label und Qualitäts-Gütesiegel QIII: gemeinsam für mehr Qualität und Nachhaltigkeit im Tourismus Interview mit: Christoph Müri, Hof de Planis, 5 Steinböcke Das Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus (Qualitäts-Gütesiegel Stufe I, II und III) beinhaltet schon heute verschiedene Nachhaltigkeitsaspekte. Das Steinbock-Label ist das Schweizer Gütesiegel für Nachhaltigkeit im Tourismus; es zeichnet Hotelbetriebe für ihr ganzheitliches Nachhaltigkeitsmanagement mit bis zu 5 Steinböcken aus. Da liegt es nahe, dass die Anbieter der beiden Labels, die sich so hervorragend ergänzen, enger zusammenarbeiten wollen. So soll es einem Hotelbetrieb, der sich mit dem Steinbock-Label zertifizieren lässt, in Zukunft ermöglicht werden, mit einem Zusatzmodul zum Steinbock-Label das QualitätsGütesiegel Stufe III zu erlangen. Das Steinbock-Label wäre damit das erste Nachhaltigkeitslabel, dem diese Anerkennung durch das QualitätsGütesiegel zuteil wird. Nach mehreren intensiven Vorabklärungen zwischen dem Steinbock-Label und Vertretern der Prüfstelle des Qualitäts-Programms hat man sich in der letzten Sitzung des Qualitätsrates dafür ausgesprochen, die Arbeiten in Bezug auf eine Anerkennung des Steinbock-Labels als Möglichkeit zur Erlangung des Qualitäts-Gütesiegels Stufe III weiter voranzutreiben. Dieser Beschluss gibt dem Steinbock-Label nun „grünes Licht“ für die Entwicklung des entsprechenden Zusatzmoduls. Bereits im Sommer/Herbst 2009 könnten die ersten Hotels mit dem Steinbock-Labelplus zertifiziert werden und so zeitgleich das Qualitäts-Gütesiegel Stufe III erhalten. Steinbock-Label: Herr Müri, Sie sind schon seit 2002 Mitglied beim SteinbockLabel. Dies war Ihre 2. Rezertifizierung. Was motiviert Sie immer wieder zur Rezertifizierung? Steinbock-Label vergibt Zertifikate vor 150 begeisterten Teilnehmern des TourismusForum Alpenregionen Steinbock-Label: Wo sehen Sie den Nutzen des Steinbock-Labels für Ihren Betrieb? Am 24. März 2009 wurden 10 Betrie- Darüber hinaus wurden das Ch. Müri: Nachhaltigkeit ist kein Luxus Ch. Müri: Im 2004 haben wir von der Techn. Hochschule Wädenswil einen Vergleich verschiedener Zertifizierungen und Gütesiegel vornehmen lassen. Das Steinbock-Label hat dabei das beste Aufwand/Nutzen-Verhältnis erzielt, da es auf alle Betriebsbereiche anwendbar ist, von der Personalpolitik zum Umgang mit Ressourcen, vom Wareneinkauf bis zur Finanzplanung. Bild: Lena Hubert (SteinbockLabel) überreicht Christoph Müri (Hof de Planis) am TFA 09 das Steinbock-Label Zertifikat mit der Auszeichnung von 5 Steinböcken Steinbock-Label und Q III - - Hotelier Page 1 of 1 B+L Verlags AG Steinwiesenstrasse 3 CH-8952 Schlieren Tel. 044 733 39 99 Fax 044 733 39 89 info@architektur-technik www.architektur-technik.ch Steinbock-Label und Q III Das Qualitäts-Programm von Schweiz Tourismus (Qualitäts-Gütesiegel Stufe I, II und III) beinhaltet schon heute verschiedene Nachhaltigkeitsaspekte. Das SteinbockLabel ist das Schweizer Gütesiegel für Nachhaltigkeit im Tourismus; es zeichnet Hotelbetriebe für ihr ganzheitliches Nachhaltigkeitsma?nagement mit bis zu fünf Steinböcken aus. Da liegt es nahe, dass die Anbieter der beiden Labels, die sich so hervorragend ergänzen, enger zusammenarbeiten wollen. So soll es einem Hotelbetrieb, der sich mit dem Steinbock-Label zertifizieren lässt, in Zukunft ermöglicht werden, mit einem Zusatzmodul zum Steinbock-Label das QualitätsGütesiegel Stufe III zu erlangen. Das Steinbock-Label wäre damit das erste Nachhaltigkeitslabel, dem diese Anerkennung durch das Qualitäts-Gütesiegel zuteil wird. Nach intensiven Vorabklärungen zwischen dem Steinbock-Label und Vertretern der Prüfstelle des Qualitäts-Programms hat man sich in der letzten Sitzung des Qualitätsrates dafür ausgesprochen, die Arbeiten in Bezug auf eine Anerkennung des Steinbock-Labels als Möglichkeit zur Erlangung des Qualitäts-Gütesiegels Stufe III weiter voranzutreiben. Dieser Beschluss gibt dem Steinbock-Label nun grünes Licht für die Entwicklung des entsprechenden Zusatzmoduls. Bereits im Sommer/Herbst 2009 könnten die ersten Hotels mit dem Steinbock-Labelplus zertifiziert werden und so zeitgleich das Qualitäts-Gütesiegel Stufe III erhalten. (zvg/eb) http://www.hotelier.ch/Web/internetHO.nsf/0/0428E937BE82E00BC12575EF003174... 20.04.2009 Restauration 23. April 2009 Nr. 17 Qualität im Gastgewerbe SZENE Kritische Ereignisse Abgeschlossener Umbau Erneuerung der Kartause Ittingen Die Kartause Ittingen hat von Oktober 2008 bis Ostern 2009 das grösste Umbau- und Renovationsvorhaben seit Gründung der Stiftung realisiert. Beim Umbau galt es, die unterschiedlichen Bedürfnisse der Seminar- und Bankettgäste, der Individualgäste und der Wohnheimbewohner zu berücksichtigen. Umfassende Qualität ist im Gastgewerbe ein ständiges Bemühen. Peter Mathias Grunder Nach dem Rundgang geht es los. Während das ungeübte Auge im Gasthof Rössli zu Adligenswil vielleicht das gepflegte Gebäude wahrnimmt, die schönen Blumenkästen oder das tolle Wirtshausschild, sehen die Fachleute mehr: Von Büschen ist die Rede, die den Eingang verengen, von einem etwas nachlässig bestückten Menükasten oder dem Container hinterm Haus, der allzu sehr ins Auge sticht. Euro 2008 Nachspielzeit für Public-Viewing-Tarif P. GRUNDER Markus Sager, Gastgeber im Rössli, nimmt die Kritik aufmerksam entgegen. Die Kritiker sind seine Kollegen von der Schweizerischen Gilde etablierter Köche. Rafael Saupe, Referent von GastroSuisse, hat sie mit dem Auftrag auf den Rundgang geschickt, «kritische Ereignisse» auszumachen. Es sei «Kritik auf hohem Niveau», stellen die Kollegen zuvorderst klar, das Rössli gehört gewiss nicht zu den Betrieben, die zu viel sind im Schweizer Gastgewerbe. Aber als Übungsanlage ist der Gasthof ideal. Kathrin Fässler Grossen, im Vorstand der Gilde zuständig für Weiterbildung, hat die Veranstaltung organisiert; es geht darum, wie 5 Geballte Kompetenz: Referent, Teilnehmende, Gäste und Gastgeber der Gilde bei einer Schulung in Sachen Qualität. man Qualität messbar und vergleichbar macht, knapp zwei dutzend engagierte Gilde-Mitglieder sind gekommen, darunter der ganze Vorstand um Präsident René-François Maeder. Das Ziel sei letztlich «ein einheitliches, einfaches und messbares Servicequalitäts-Kontrollsystem», sagt Saupe, der seit Jahren Weiterbildungen durchführt. Auf Grundlage des Qualitätsförderungsprogrammes für den Schweizer Tourismus erhalten die Gilde-Mitglieder aus erster Hand Informationen und konkrete Anleitungen für die Praxis. Schlüssel des Programms sind die Ser- vicekette und ihre schwachen Glieder, die «kritischen Ereignisse». Die Servicekette besteht aus sämtlichen Teilen einer Dienstleistung, wie sie ein gastgewerblicher Betrieb anbietet: von der Information über die Reservation und Anreise bis zum Essen, dem Service, der Rechnungsstellung, Verabschiedung und Nachbetreuung. Mit Blick auf die Gilde fiel dabei besonders auf, wie komplex und anforderungsreich einerseits das Gastgewerbe ist. Andererseits und insofern mussten selbst bestandene Gastgeber feststellen, wie viele kritische Ereignisse im gastgewerblichen Alltag selbst vorbildlicher Betriebe einfach passieren. En bref La Guilde suisse des restaurateurs-cuisiniers a organisé un cours de perfectionnement sur la sécurité de la qualité. Il a révélé qu'il est possible de faire mieux, même dans les établissements exemplaires. Das Bundesgericht hat kürzlich die Beschwerde von Uefa und SRG bezüglich Public-Viewing-Tarif gutgeheissen. Damit geht der Tarifstreit zurück ans Bundesverwaltungsgericht, welches die Sache nun neu beurteilen muss. Nicht vom Urteil betroffen ist der Tarif GT 3a (Hintergrundunterhaltung), der für Bilddiagonalen von weniger als drei Metern gilt. Für grössere Bildschirme will die Uefa neben unverhältnismässigen Sponsoringauflagen auch höhere Gebühren einkassieren als jene, welche die Verwertungsgesellschaften (u.a. Suisa) und die Nutzer (u.a. GastroSuisse) ausgehandelt haben. Erst wenn der Rechtsstreit entschieden ist, herrscht auch Klarheit darüber, wie sich die Tarife und Bedingungen für die Fussball-Weltmeisterschaft in Südafrika gestalten. ANZEIGE GJGM58482 Hotellerie 30. April 2009 Nr. 18 9 Mit einer gelungenen Zimmer-Dekoration die Gäste verzaubern CHECK IN Welches Bild darfs sein? Tourismusresorts Andermatt Die Inneneinrichtung eines Hotels ist genau so wichtig wie der Service. Warum? Einrichtungs-Profis geben Antwort. Zimmer umschaut, soll es überraschend, spannend, ja fast schon eine Entdeckungsreise sein.» Jedes Zimmer könne, passend zu einem Thema, anders gestaltet werden. Als Beispiele nennt Zaugg ein «Dornröschen-Zimmer» oder ein «DreiMusketiere-Zimmer». Tabu seien politische und pornographische Anspielungen. Luzia Hug «Das Zimmer ist wunderschön, aber ich vermisse die Bilder», bemängelt eine Besucherin am Tag der offenen Tür des Hotel Rose in Baden. Der Gastgeber Patrik Erne verteidigt sich: «Meine Mutter hätte wohl auch überall Bilder aufgehängt. Ich habe es aber lieber schlicht.» Eine andere Besucherin kommt ihm zu Hilfe: Bilder seien Geschmackssache. Da man es sowieso nicht jedem Gast recht machen könne, sei es wohl besser, darauf zu verzichten. Das Thema Bilder ist ein heikles. GESCHENKE-GIFTS.DE «Man kann damit erschrecken oder begeistern», erklärt André Schneider von APS Design. Der Innenarchitekt vertritt die Ansicht, dass ein Bild provozieren darf. Letzthin habe er in einem Restaurant ein Röntgenbild von einer Schildkröte angebracht. An gleicher Stelle sei früher ein Landschaftsbild gehangen. «Jetzt können die Gäste beim Essen ein Skelett betrachten», sagt Schneider. Die Meinungen zum Bild seien zwar geteilt, aber so spreche man wenigstens darüber. Ein Bild ist für den Innenarchitekten immer Kunstsache. Über das geeignete Bild an der Wand eines Hotelzimmers lässt sich streiten. onsberufe an der Gewerblich- Industriellen Berufsschule in Bern (GIBB). Angepasst an die generelle Ausrichtung des Hotels finde sich mit neutralen Bildern immer eine Dekorationsmöglichkeit. Mit einer geschickten Farbgestaltung und Möblierung könne aber auch, ohne Ein- «Bilder können enorm polarisieren», sagt Daniel Zaugg, eidgenössisch diplomierter Innendekorateur und Berufsschullehrer für Innendekorati- schränkung eines guten Gesamtbilds auf Bilder verzichtet werden. Zaugg rät den Hoteliers zu einem aktuellen Design, das der Kundschaft angepasst ist, und er appelliert zu etwas mehr Mut: «Im Hotel darf es ruhig etwas gewagter sein als Zuhause. Wenn sich der Gast im «Eine gute Innendekoration ist genau so wichtig wie eine freundliche Bedienung», sagt André Schneider von APS Design. Wieder einmal die Wände zu streichen, sei ein Zeichen dafür, dass man die Gäste ernst nehme. Vom eigenhändigen Einrichten rät der Profi ab: «Wenn der Hotelier im Estrich fünf Bilder findet und die dann aufhängt, kommt es nicht gut.» Auch Daniel Zaugg gibt den Tipp, sich mit einem Innendekorateur zusammen zusetzen und seine Wünsche darzulegen. So könne der Profi Lösungsvorschläge machen und Tipps geben. Seine Erfahrung habe gezeigt, dass Eigenleistungen nicht unbedingt günstiger sind. En bref Garten als zusätzlichen Wohnraum und schönsten Gartenwirtschaft der Region», mit einem idyllischen Weiher und grossen Kastanienbäumen. wächst auch das Bedürfnis, sich im Freien aufzuhalten. Das Mittagessen wird auf der Terrasse eingenommen, das Feierabend-Bier im Garten getrunken. «Was gibt es Besseres, als an einem lauen Sommerabend in der Gartenlounge einen Caipirinha zu geniessen?», schwärmt Roland Tischhauser, Gastgeber im Hotel Bad Bubendorf. Im Sommer lockt er mit «der grössten Oftmals fehlt den Hotels allerdings der nötige Platz, um die Gäste unter blauem Himmel zu verwöhnen. Mit kleinen Tischen, einem Steinbelag, Blumen und Pflanzen könne aber auch mit kleinen Mitteln viel erreicht werden, erklärt Ruth Klaus von Klaus-Gartenbau. «Wenn man will, findet man immer einen Weg», ist auch Gärtnermeister und Pflanzenkenner Pit Altwegg überzeugt. Er rät den Hoteliers, einen Kräutergarten anzupflanzen. Der Vorteil: Die Mitarbeiter können in ein Projekt miteinbezogen werden, und indem der Betrieb frische Kräuter verwende, eigenes Öl oder Pesto-Sauce einmache, könnten erst noch Kosten eingespart werden. In den Sommermonaten werde der Garten so zum Das Projekt des milliardenschweren Tourismusresorts ist, trotz gegenteiligen Gerüchten, auf Kurs, wie der ägyptische Investor Samih Sawiris vergangene Woche mit Zahlen und Fakten bewies. Im Herbst wird gebaut, die Eröffnung erfolgt in Schritten ab 2013. Geplant ist in Andermatt der Bau von 6 Hotels mit total 844 Zimmern und Appartements, 2000 unterirdische Parkplätze sowie bis zu 30 Villen. Sawiris hat rund 30 Millionen Franken in das Projekt investiert, die Gesamtkosten liegen bei über 1 Milliarde Franken. Hotels wollen Zertifizierung Bereit für eine erfolgreiche Zukunft Eine zweite Staffel von Hotels aus dem Berner Oberland bereitet sich auf die Zertifizierung nach ISO 9001 (Qualität) und ISO 14001 (Umwelt) vor, um dann auch das Q3 des Schweizer Tourismus zu erhalten. Diese sind: Hotel Kirchbühl, Grindelwald; Hotel Jungfrau, Mürren; Hotel Interlaken, Hotel Krebs (Foto), beide Interlaken; Solbad-Hotel, Sigriswil und Hotel Eden, Spiez. Humorwoche L'aménagement intérieur d'un hôtel est aussi important que le service. Selon des architectes d'intérieur, on doit pas négliger ces aménagements pour prouver aux clients qu'ils sont pris au sérieux. Les tableaux constituent un chapitre particulièrement délicat. Souvent, le moins est le mieux. Les architectes d'intérieur conseillent aux hôteliers un peu de courage. Une chambre d'hôtel doit pouvoir surprendre le client. Grosser Hunger, blauer Himmel und ein schöner Hotelgarten Mit den steigenden Temperaturen Im Herbst fahren Baumaschinen auf Luzern Hotels nehmens mit Humor Luzern Hotels und Zentralschweiz Hotels laden die Mitarbeitenden der Mitgliederbetriebe erneut an eine gemeinsame Veranstaltung ein. Das Jahresmotto lautet: «mehrWert dank persönlichem Engagement». An diesem Leitgedanken orientiert sich auch die Humorwoche. Sie richtet sich an sämtliche Berufsleute aus der Zentralschweizer Hotellerie, unabhängig von ihrer Tätigkeit. Der Anlass findet in der ersten Maiwowww.luzern-hotels.ch che statt. Lotteriegesetz soll bleiben erweiterten Wohnraum. Klaus findet, ein Garten solle zehn Prozent vom Hauswert ausmachen, damit es professionell wirke. Sie ist sich aber bewusst, dass diese Grundregel nicht immer angewendet werden kann. Aber insgesamt gewinnt bereits mit wenigen Pflanzen ein grauer Platz an Farbe, was zusammen mit sommerlichen Temperaturen die Gäste anspricht. Luzia Hug Kommission gegen Überarbeitung Die Kommission für Rechtsfragen des Nationalrates will im Bereich des Lotteriewesens nicht tätig werden (GJ 16). Sie beantragt, zwei parlamentarischen Initiativen keine Folge zu geben. Dies auch deshalb, weil der Bundesrat bis 2011 die Situation eingehend überprüfen will. L. HUG ANZEIGE Garten im Hotel Bad Bubendorf. GJRI54875 24 Schlusspunkt / Point final 30. April / 30 avril 2009 Nr. / No 18 Portrait MARKT/ MARCHÉ Claudine Maillat CHF +/– Gemüse / Légumes Aubergine Neu Aubergine kg 2,60 Nouveau Gurke Salat Concombre sal. St. 0.90 +0% Kabis rot Chou rouge kg 2.20 +0% Kabis weiss Chou blanc kg 2.20 +0% Karotten (Bund) Carottes (bouquet) 2.50 +0% Kohlrabi Chou rave 1.40 +0% Krautstiel Côtes de bettes kg 3.50 –17% Kresse Cresson kg 10.00 +0% Lattich Laitue kg 3.20 -16% Lauch Stangen Poireau branche kg 4.50 +0% Lauch grün Poireau vert kg 2.30 –18% Randen Betterave kg 1.80 +0% Randen ged/past/vac Betterave sec. kg 2.30 +0% Rübe Herbst weiss Carottes blanches kg 2.50 +0% Sellerie Knollen Céleri pomme kg 2.75 +0% Spinat (Blatt) Epinards kg 4.00 –11% Spargel grün Asperges vertes kg 12.50 +0% Tomate Rispe Tomate panic. kg 3.00 +0% Wirz leicht Chou frisé léger kg 2.80 +0% Zwiebeln Oignons kg 1.25 +0% Jacques Stadelmann L’an prochain, Claudine Maillat fêtera ses vingt ans de propriétaire et exploitante de l’Hôtelrestaurant du Bœuf à Saint-Ursanne. disposer d’un site aussi remarquable que le nôtre ne suffit pas à attirer les touristes et visiteurs. Il faut encore l’animer, le faire vivre, s’inspirer peut-être d’exemples venus d’ailleurs». Ainsi, elle se réjouit des efforts et initiatives prises ces dernières années sur les plan local et se «J’ignore, raconte Claudine Maillat, depuis quand l’Hôtelrestaurant du Bœuf est exploité. L’immeuble remonte loin dans le temps, à 1709 si j’en crois l’inscription sculptée sur le linteau d’une de ses portes. Il devait s’agir alors d’un bâtiment rural qui a subi «La Maison du tourisme apportera un plus » ensuite de nombreuses transformations avant d’abriter un établissement public. Ce n’est qu’en 1995 que le restaurant, jusque-là situé au 1er étage et auquel on accédait par un escalier extérieur, a pris la place de la boucherie ouverte au rez-de-chaussée.» Propriétaire de l’immeuble depuis 1990, Claudine Maillat ne cache pas sa fierté devant les transformations réalisées. De belle et noble allure, le Bœuf se dresse au cœur de la petite cité médiévale et ses portes s’ouvrent directement sur la rue centrale, celle du 23 Juin. Le restaurant fort avenant dispose d’une cinquantaine de places et son aménagement révèle un souci marqué pour le confort des hôtes. Un escalier intérieur donne accès au 1er étage et à trois salles indépendantes de 15, 30 et 120 places. Douze chambres (simples, doubles et tri- J. STADELMANN «Saint-Ursanne ne peut compter que sur l’effort du tourisme» Dans un environnement certes difficile, Claudine Maillat se bat pour attirer des touristes. ples) dotées d’une douche et d’un w.c. occupent les étages supérieurs. Deux terrasses, l’une installée sous une vaste voûte, l’autre grande ouverte au soleil complètent le décor. Un hôtel-restaurant cossu, planté au cœur d’un lieu emblématique: tout paraît réuni pour réussir. «Ce n’est pas aussi évident», rétorque Clau- «Un site aussi remarquable que le nôtre ne suffit pas» dine Maillat. «Saint-Ursanne, explique-t-elle, possède sans doute de réels atouts touristiques, liés à son caractère, bien préservé, de cité médiévale et à la présence du Doubs, la plus belle rivière de la région. Mais avec 700 habitants, Saint-Ursanne reste une petite localité. Du coup, pour tirer leur épingle du jeu, les restaurateurs et hôteliers du lieu – nous sommes six au total! – ne peuvent compter que sur les visiteurs et, partant, sur l’essor du tourisme». Secondée, depuis 2004, par son Yves, chef de cuisine, Claudine Maillat voue toute son attention à l’accueil des touristes et s’efforce de répondre à leurs attentes. Les transformations opérées dans son établissement et le renfort apporté par son fils s’inscrivent dans le droit fil de son désir de retenir l’attention des hôtes de passage. Et les amener à découvrir les saveurs du terroir – à commencer par la truite dans tous ses états – inscrites à sa carte. Parmi les moyens retenus pour répondre aux attentes de ses hôtes, Claudine Mail- lat, met en évidence sa douzaine de chambres et la hiérarchie des capacités de ses trois salles indépendantes, capables d’accueillir le même jour un petit groupe de contemporains, les participants à un séminaire et les passagers de deux autocars. Elle ne cache son souhait de développer les relations avec les autocaristes et souligne que son fils a préparé dix propositions de menus à leur intention, ainsi qu’en prévision de banquets. S’agissant de la «carte du tourisme», Claudine Maillat, pragmatique, retient cette évidence: «Une telle carte ne vaut que si les touristes sont là». Et à ses yeux, Saint-Ursanne peine encore à sortir d’une certaine léthargie. Elle voudrait la voir plus conquérante. «Aujourd’hui, le fait de félicite des retombées entraînées par les Médiévales, manifestation phare biennale (du 10 au 12 juillet cette année) et qui attirent chaque fois entre 30 000 et 40 000 personnes. Selon elle, la dynamisation touristique dépasse les moyens locaux et exige un engagement résolu de la part des autorités cantonales. «A ce propos, souligne-t-elle, je me réjouis du bon signe qu’elles viennent de donner avec l’appui apporté à la construction et à l’ouverture d’une Maison du tourisme à Saint-Ursanne (lire en page 17). Une telle réalisation va dans le bon sens. Avec ses promoteurs, je crois que les touristes attendent aujourd’hui qu’on leur propose des activités et des découvertes, à la carte ou sous forme de menus tout compris. Je veux croire que La Maison du tourisme apportera un plus aux prestataires du tourisme de SaintUrsanne. A commencer par les hôteliers et les restaurateurs!» In Kürze Das Hotel-Restaurant du Bœuf in St. Ursanne ist einer von sechs Betrieben in der malerischen Ortschaft mit 700 Einwohnern. Ohne Tourismus könnte es nicht überleben. NAMEN / NOMS Géraldine Zuber (Foto) arbeitet seit Anfang April für Schweiz Tourismus (ST). Die Tourismus- fachfrau begleitet bei ST die weltweite Einführung des Q3-Prozessmanagements. Zur neu geschaffenen Stelle gehört die Weiterentwicklung des von ST geförderten Hotelbewertungssystems. Zuber ist französischer Muttersprache und hat beim Schweizer Tourismus-Verband (STV) den Bereich Qualitäts-Gütesiegel entwickelt und geleitet. Kai Simon (Foto), Absolvent der Hotel Management School Heidelberg und später unter anderem PR Manager im Ritz-Carlton im deutschen Wolfsburg, wird Nachfolger von Valérie Burnier als Leiter Kommunikation der Victoria-Jungfrau Collection. Burnier war 1995 als Direktionsassistentin von Emanuel Berger ins Interlakner Stammhaus der Gruppe eingetreten, wurde PR-Managerin und war seit 2004 Leiterin Kommunikation. Brunier verlässt die Collection Ende April 2009, um sich zu orientieren. Konrad Graber (Foto), Ständerat des Kantons Luzern, Betriebsökonom und Wirtschaftsprüfer, soll neuer Verwaltungsratspräsident bei Emmi werden, dem aktuellen Schweizer Milchkoloss. Der Verwaltungsrat der Emmi AG schlägt Graber als Nachfolger von Fritz Wyss vor, der als VRPräsident nicht mehr zur Verfügung steht. Eine weitere Rochade betrifft Verwaltungsrat Peter Bühlmann, der durch Thomas Oehen-Bühlmann abgelöst werden soll. Wladimir Putin, starker Mann Russlands, ist auch kulinarisch zu haben: Unter dem Namen des Premiers gibt es sinnigerweise Eis mit dem Geschmack gebrannter Creme zu kaufen. Die Glace, eingewickelt in die russische Trikolore, stösst manchen sauer auf; Putins Partei spricht von einer «Geschmacklosigkeit». Der Protest verwundert, denn die Konserven und der Wodka, die ebenfalls Putins Namen tragen, finden offenbar Gefallen. Denise und Daniel Wälti, Gastgeber im Landgasthof Wassberg in Forch, gehören zu den 20 Betrieben aus der ganzen Ostschweiz, die zurzeit kulinarische Wochen mit Spargel und Ribelmaispoularden durchführen. Träger der Reihe ist der Verein Culinarium, der vorbildlich regionale Erzeugnisse und Restaurants verbindet. L’Office fédéral de l’aviation civile (OFAC) a délivré à Alpar AG, société exploitant l’aérodrome de BernBelp, le certificat son nouvel emploi, elle doit développer le système d’évaluation des hôtels qu’exploite ST. attestant que l’organisation et la documentation des processus liés à la sécurité de l’infrastructure aéroportuaire répondent aux exigences de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). Vice-directeur de l’OFAC, Daniel Hügli a remis vendredi dernier le document au directeur d’Alpar AG, Mathias Häberli (photo). l’aval de ses actionnaires sur son rapport de politique de rémunération. Un vote consultatif, conforme à la procédure alternative prévue par le Code suisse de bonne pratique, est intervenu pour la 1re fois. «Il s’agit d’une solution temporaire en attendant l’issue de la révision en cours du droit des sociétés», a expliqué Peter Brabeck, président de Nestlé. A l’origine de la croisade lancée pour plus de transparence dans la rémunération des dirigeants, la Fondation Ethos a reconnu les efforts de Nestlé tout en encourageant les actionnaires à donner un signal clair au conseil d’administration «en votant non». Géraldine Zuber (photo 1re colonne) travaille depuis le 1er avril pour Suisse Tourisme (ST). Auparavant, elle avait dirigé pendant près de dix ans le label de qualité auprès de la Fédération suisse du tourisme (FST). Agée de 37 ans, elle accompagne l’introduction mondiale du QIII. Dans Nestlé a obtenu Salate / Salades Chicorée Chicorée kg 3.23 +0% Eichblatt grün Chêne vert St. 1.00 +0% Eichblatt rot Chêne rouge St. 1.10 +0% Kopfsalat Laitue pommée St. 1.00 +0% Lollo rot/grün Lollo rouge/verte kg 3.00 –40% Nüsslisalat Doucette kg 11.00 –8% Radieschen (Bund) Radis (bouquet) 1.00 +0% Spinat Salat Epinard salade kg 6.00 –25% Gemüse/Salat: Nationale Richtpreise franko Grossverteiler Légumes/Salades: prix indicatifs nationaux franco grands distributeurs Früchte / Fruits Rhabarber Rhubarbe kg 3.80 –12% Zwetschgen Pruneaux Ø kg 3.75 Äpfel Gruppe A Pommes groupe A Ø kg 3.20 Birnen Gruppe A Poires groupe A Ø kg 3.30 Früchte: Richtpreise Direktverkauf Fruits: prix indicatifs pour la vente directe Spezielles / En particulier Salate: Angebot nimmt nach sehr guten Ernten stark ab. Salades: après de très bonnes récoltes, l’offre est en forte diminution. ANZEIGE FÜR DEKO-MIETE 079 218 93 73 Medienspiegel 2009 Juni Congress Center | Basel - QII Auszeichnung Page 1 of 1 15. Juni 2009 QII Auszeichnung Grösstes Kongresszentrum der Schweiz mit Qualitäts-Gütesiegel Stufe II ausgezeichnet Schweiz Tourismus hat das Congress Center Basel mit dem „Qualitäts-Gütesiegel für den Schweizer Tourismus“ Stufe II ausgezeichnet. „Diese Auszeichnung werten wir als Bestätigung der Bemühungen, unser Qualitätsverständnis gegenüber dem Kunden spürbar zu machen“, meint der Leiter des Congress Center Basel, Jonas Schaf. „In den nächsten Monaten werden wir weitere Massnahmen zur Verbesserung unserer Dienstleistung umsetzen, um die erzielte Qualitätsstufe in einem Jahr wiederzuerlangen und das Qualitätsbewusstsein bei den Mitarbeitern noch zu festigen.“ Weitere Informationen und Unterlagen zum Qualitätsprogamm und zum „Qualitäts-Gütesiegel für den Schweizer Tourismus“ finden Sie unter www.quality-our-passion.ch. Die Medienmitteilung und ein Bild sind auf dem Internet abrufbar: www.congress.ch | Medien Services | Bilder Medienmitteilung http://www.congress.ch/go/id/fkv/ 15.06.2009 Jungfrau Zeitung - Wasserleitung ermöglicht schöneres Berghaus Montag, 22. Juni 2009 Beatenberg | 15. Juni 2009 Wasserleitung ermöglicht schöneres Berghaus Beatenberger Bahnen mit sehr guten Frequenzen Für die AG Sportbahn Beatenberg-Niederhorn SBN war 2008 ein Rekordjahr. Mit einem neuen Pistenfahrzeug sicherte die Verwaltung die Qualität des Winterangebots. In Planung ist der Um- und Neubau des Bergrestaurants. Neu in den Verwaltungsrat wurde Fritz Grossniklaus gewählt, der neue Verwaltungsratspräsident der STI. Der neue Verwaltungsrat Fritz Grossniklaus, VR-Präsident Fritz Haldimann, und Hugo Birri, der den Neu- und Umbau plant (vlnr). Foto: Anne-Marie Günter Die Profilstangen beim Zwischentrakt auf dem Niederhorn zeigten den Aktionären an der Generalversammlung die Dimensionen, in denen die Sportbahn Beatenberg-Niederhorn ihren Restaurant-Neubau erstellen wird. Das Baugesuch hat in der Gemeinde Beatenberg aufgelegen (diese Zeitung berichtete). Es gab keine Einsprachen gegen das Bauprojekt. Die Pläne sehen den Neubau des heutigen Zwischentrakts vor, der ursprünglich eine offene Liegehalle gewesen ist. Das Berghaus wird saniert, im Zentrum ist ein bedientes Restaurant. Die Selbstbedienung und eine neue Toilettenanlage werden im neuen Zwischentrakt http://www.jungfrauzeitung.ch/artikel/print/95317/ (1 von 3) [22.06.2009 11:16:20] Jungfrau Zeitung - Wasserleitung ermöglicht schöneres Berghaus eingerichtet. Verwaltungsratspräsident Fritz Haldimann wies darauf hin, dass mit der Planung erst ernsthaft begonnen werden konnte, seit das Wasser per Leitung und nicht mehr per Bahn auf das Niederhorn kommt. Die Wasserleitung wurde am 13. Juni 2008 eingeweiht und funktioniert perfekt, bis Ende 2008 wurden 1045 Kubikmeter Wasser auf das Niederhorn gepumpt. Der Verwaltungsrat hat den Bauentscheid für das Bergrestaurant noch nicht gefällt. Projektleiter Hugo Birri war zwar an der Generalversammlung anwesend, auf Informationen in Sachen Neubau wurde aber verzichtet. Der Verwaltungsrat setzt nach wie vor auch auf die Skifahrer: auf den Winter 2008 hat er ein Pistenfahrzeug angeschafft, das die Pisten auch von unten nach oben bearbeiten kann. Fritz Grossniklaus im Verwaltungsrat Als Vertreter der Verkehrsbetriebe STI wurde an der Versammlung auf dem Niederhorn der neue STI-Verwaltungsratspräsident Fritz Grossniklaus in den Verwaltungsrat gewählt. 2008 war für die Sportbahn Beatenberg-Niederhorn ein Rekordjahr. Mit 140'223 Bergfahrten wurde das zweitbeste Jahresergebnis aller Zeiten erreicht. Der Verkehrsertrag stieg um 19,4 Prozent auf 2,296 Millionen Franken. Der Nebenertrag stieg dank Trotti- und Schlitten-Vermietung und Mehreinnahmen beim Parkhaus um 16,6 Prozent. Das positive Resultat mit einem Betriebsergebnis 1 von 1,07 Millionen Franken erlaubte Abschreibungen von 0,888 Millionen Franken. Ausgewiesen wurde ein Jahresgewinn von 46'594 Franken. Den Bilanzgewinn von 102'810 Franken übertrugen die Aktionäre hauptsächlich auf die neue Rechnung. Die SBN und die TBB beschäftigten zusammen 16,47 Mitarbeitende, im Vorjahr waren es 14,9. Die «Beatenbergbahn» Die Drahtseilbahn Thunersee-Beatenberg wird wie die SBN von der STI betrieben. Bei den beiden Bahnen wurde das Personal zusammengelegt, wobei es die TBB ist, welche der SBN die Arbeitsstunden verrechnet. Das gesetzte Ziel «Frequenzsteigerung von zehn Prozent gegenüber dem 5-Jahresmittel vor Bahnneubau» ist bei der TBB 2008 erreicht worden. 219'587 Personen wurden befördert, was das beste Ergebnis der letzten 50 Jahren bedeutet. Der gepflegte Buffetneubau am Thunersee hat an schönen Tagen Kapazitätsengpässe, der Verwaltungsrat prüft weitere wetterfeste Aussenplätze. Für die beiden Bahnen wurde das Touristische Qualitätsgütesiegel Stufe II erarbeitet. Die Zahlen des Bahnduos SBN Betriebsertrag: 2,805 Millionen Franken Verkehrsertrag: 2,296 Millionen Franken Betriebsaufwand: 1,736 Millionen Franken davon Personalaufwand: 0,870 Millionen Franken Cashflow: 0,937 Millionen Franken Jahresgewinn: 46'595 Franken TBB Betriebsertrag: 1,269 Millionen Franken Verkehrsertrag: 677'883 Franken Abgeltung: 457'638 Franken Aufwand: 754'912 Franken Personalaufwand: 379'369 Franken Cashflow: 488'850 Franken Jahresgewinn: 20'669 Franken http://www.jungfrauzeitung.ch/artikel/print/95317/ (2 von 3) [22.06.2009 11:16:20] Jungfrau Zeitung - Wasserleitung ermöglicht schöneres Berghaus Mehr zum Thema ● Schöner in die Alpenwelt blicken - Beatenberg | 14. Mai 2009 ● Knapp am Rekordwinter vorbei - Bergbahnen | 16. April 2009 Artikelinfo ● Artikel Nr. 95317 15.06.2009, 14.00 Uhr Autor/in: Anne-Marie Günter ● Seitenaufrufe: 125 ● ● © 2001 - 2009 by Jungfrau Zeitung http://www.jungfrauzeitung.ch/artikel/print/95317/ (3 von 3) [22.06.2009 11:16:20] Medienspiegel 2009 Juli people htr hotel revue «Als Spanierin hätte ich bei diesen Temperaturen unbedingt einen Fächer mitnehmen sollen.» 6 Sandra Studer, Moderatorin Nr. 27/28 / 2. Juli 2009 Grand Opening in Bad Ragaz Sie kamen gerne, die 700 geladenen Gäste, und feierten das Grand Opening des Grand Resorts in Bad Ragaz. Ein Event mit Stil, Prominenz und schönen Momenten. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● W zvg ohl waren es die rund 700 begeisterten Gäste aus Wirtschaft, Politik und Sport, die das unsichere Wetter am vergangenenFreitagabendbeiLaune hielten. Am Grand Opening des Grand Resorts in Bad Ragaz stimmte einfach alles. Auch die sommerlichen Temperaturen. Einigen Gästen machten diese zu Beginn des Abendssogaretwaszuschaffen:Die feierlichen Eröffnungsansprachen fanden in der neuen Tamina Therme bei über 36 Grad statt. Dieses tropische Ambiente liess so manche Schweissperle kullern, was zu witzigen Bemerkungen führte. So nahm Moderatorin Sandra Studer, die durch den offiziellenTeil führte, das Raumklima auf, fächerte selber engagiert mit ihren Moderationskarten und sorgte für einige Lacher. Die Stimmung war auch bei Verwaltungsratspräsident Willy Kissling und bei Financier Thomas Schmidheiny sehr gut. «Wir sind seit den 1950er-Jahren Aktionär im Grand Resort Bad Ragaz», sagte Schmidheiny und versicherte, dass er gleich am nächsten Morgen die neueTherme selber testen werde. Das grosse Eröffnungsevent des neu gestalteten Resorts in Bad Ragaz war ein gelungener Erfolg. Die Gäste freuten sich, lobten die freundlichen Mitarbeitenden und genossen die entspannte Stimmung. Vor allem die Architektur erntete querbeet viel Applaus. Die Besucher waren sich einig: Neukonzeptionen müssen nicht immer schrill und laut sein. Das Grand Resort Bad Ragaz besticht durch seine schlichten Neubauten, die ein harmonisches Ganzes bilden. Nach einem ausführlichen Rundgang durch die neuen Hallen, dem Genuss von kulinarischen Le- Willy Kissling, VR-Präsident der Grand Hotels Bad Ragaz (r.), übergibt dem Vorsitzenden der Geschäftsleitung, Peter Tschirky, ein Erinnerungsstück. Das Hoteliersehepaar Annelise und Hans Peter Julen von Zermatt. Der Financier und Unternehmer Thomas Schmidheiny (l.) und der Gemeindepräsident von Bad Ragaz, Guido Germann. Der Direktor und sein Vorgänger: Riet Pfister, heutiger Hoteldirektor Grand Resort Bad Ragaz, und Hans Geiger, der das Haus bis 2001 führte. Alle drei lieben Golf: Victor H. Zindel und Karin Vesti von den Swiss Golf Hotels und Karl Wild, Publizist. Müller ist Q-Person von motivierten Mitarbeitern. Wichtig sei vor allem eine starke, klare und verantwortungsvolle Führung. ZumAbschlussdesMeetingsunterschrieben die Q-Botschafter der Regionen ein Credo, dass sie das Q-Programm weiterhin aktiv fördern und unterstützen werden. ck Der Berner Tourismusprofessor Hansruedi Müller ist am Quality Meeting in Luzern, organisiert vom Schweizer Tourismus-Verband (STV), als «Quality Person» ausgezeichnet worden. Die Teilnehmenden konnten Personen vorschlagen,diedieseAuszeichnungverdienen, weil sie sich im besonderen Mass für die Qualitätsentwicklung im Schweizer Tourismus starkmachen. Nominiert waren auch einige Hoteliers. Müller erhielt jedoch die meisten Stimmen. Der Direktor des Forschungsinstituts für Freizeit und Tourismus (FIF) an der Uni Bern war von Anfang an massgeblich an der Entwicklung des Q-Programms für den Schweizer Tourismus beteiligt und gilt als «Vater» des Qualitäts-Programms. Müller hob im Anschluss an seine Auszeichnung die verstärkte In- tegration von ökologischen Aspekten in das Q-Programm hervor. Peter B. Grossholz, LeiterWeiterbildung bei hotelleriesuisse, betonte, Qualität sei nicht nur eine Frage befestigtschwebtenzweiTänzerinnen, die zu Puccinis «Turandot» in luftiger Höhe akrobatische Improvisationen boten. Improvisiert habendannauchdieGäste,zuheissen Rhythmen tanzte die Prominenz bis in die frühen Morgenstunden. ● SIMONE LEITNER Das Grande Finale: An einem Riesenballon schwebte und improvisierte eine Tänzerin zu Puccinis «Turandot» in luftiger Höhe. ckerbissen und guten Gesprächen trafensichdieGästeum23Uhrzum Grande Finale im Garten vor dem Kursaal. Ein imposantes Feuerwerk und «Lichtgestalten», begeisterten dasPublikumvollends.Andenzwei Fesselballons «Sonne» und «Mond» Beide sind Zigarren-Liebhaber: Reto Cina, CEO Oettinger Davidoff Group, und Guglielmo L. Brentel, Präsident hotelleriesuisse. Sesselrücken Neue Gastgeber im Liefeith verwöhnt Sunstar Parkhotel in die Gäste im Arosa Waldhotel Davos Jacoline und Matthias Lutzvon Reeken (Bild) sind die Nachfolger von Thomas Keel, Gastgeber im Sunstar Parkhotel Arosa. Lutz war Direktor einer Senioren- zvg zvg Andrea Haid, Leiterin Q-Programm, überreicht Müller die Auszeichnung. Bilder Elsbeth Hobmeier residenz und führte zuvor, teilweise mit seiner Frau, mehrere Hotelbetriebe.KeelbleibtaufTeilzeitbasis als Projektverantwortlicher bei den Sunstar Hotels in Liestal. Martin Liefeith (34) ist neuer Spitzenkoch im Waldhotel Davos. Er will im 15-Gault-Millau-Punkte-Restaurant «Mann und Co.» die Gäste mit kulinarischen Expeditionen zwischen klassisch modern, mediterran und experimentell überraschen. Liefeith war unteranderemimLindnerGrandHotel Beau Rivage Interlaken tätig. Kamber präsidiert die Chaîne des Rôtisseurs Schweiz René Kamber (Bild) ist neuer Präsident der Bailliage de Suisse der Chaîne des Rôtisseurs. Sein zvg Vorgänger Peter Musa war acht Jahre in diesem Amt. Kamber ist Sohn einer Hotelier-Familie. Park de Gstaad: Der Vizedirektor wird Generaldirektor JeanYvesBlatt, bisherigerVizedirektor,wirdnunGeneraldirektor des Grand Hotel Park de Gstaad. Er ist Nachfolger von Thomas Brugnatelli, der zum Generaldirektor des neuen Starling Hotels in Lausanne gewählt worden ist. ck Hotellerie 2. Juli 2009 Nr. 27 Erstes Quality Meeting in Luzern 7 ANZEIGE GJRI58485 Motiviert zur Qualität Beim ersten Quality Meeting in Luzern blickten Vertreter des QualitätsProgramms des Schweizer Tourismus in die Vergangenheit und wagten dabei auch Blicke in die Zukunft. Luzia Hug Seit der Entstehung haben sich ver- schiedenste Leute für das QualitätsProgramm eingesetzt. Beim ersten Quality Meeting wurde eine so genannte «Quality Person» gewählt. Um die Auszeichnung zu erhalten, CHECK IN Bern Positive Schlussbilanz L. HUG 12 Jahre gemeinschaftliches Engagement für die Qualitätsförderung im Schweizer Tourismus. Der Schweizer Tourismus-Verband (STV) nahm dies zum Anlass, Vertreter des Qualitäts-Programms im Art Deco Hotel Montana in Luzern zusammenzubringen. Verschiedene Referenten informierten über Änderungen, Entwicklungen, Neuerungen und Strategien des Programms. STVDirektor Mario Lütolf liess zu Beginn der Veranstaltung vom vergangenen Freitag den Blick zurückschweifen und berichtete über die Entwicklung des Qualitätsprogramms. Die drei Qualitäts-Gütesiegel QI, QII und QIII hätten sich gut etabliert und würden sich in den Tourismus-Kreisen grosser Beliebtheit erfreuen. So seien die gesetzten Ziele – die Qualität im Tourismus schweizweit zu verbessern, das Qualitäts-Bewusstsein der Mitarbeitenden zu stärken und die Förderung der Zusammenarbeit zwischen touristischen Betrieben – mehrheitlich erreicht worden. In den 12 Jahren wurden über 4400 Q-Gütesiegel verliehen, wobei der Anteil bei der Hotellerie mit 37 Prozent am höchsten ist. Aktuell sind rund 1600 Betriebe im Besitz eines Gütesiegels. Seit 2004 werden die Inhalte des Schweizer Qualitäts-Programms auch im Ausland umgesetzt. Mehrere Länder haben das System gekauft. Thomas Fahrni, Leiter Gastro-Unternehmerausbildung GastroSuisse; Andrea Haid, Leiterin Prüf- und Koordinationsstelle, und Hansruedi Müller, Direktor des Forschungsinstitutes für Freizeit und Tourismus (v.l.). muss sich die Person in der Vergangenheit beim Aufbau und der Entwicklung des Q-Programms engagiert haben und sich noch heute aktiv für das Programm und die Qualität im Tourismus einsetzen. Die Auszeichnung ging an Professor Doktor Hansruedi Müller, Direktor des Forschungsinstitutes für Freizeit und Tourismus (FIF) an der Universität Bern (Kasten), der sich gegen 36 Nominationen behauptete. Der Schweizer Tourismus stehe vor grossen Herausforderungen, sagte Müller in seiner Rede und nannte unter anderem die Globalisierung, die Klimaveränderung, die Finanzkrise sowie das veränderte Reiseverhalten. «Wer aufhört, besser zu werden, hört auf, gut zu sein», sagte Müller und erklärte, dass aktuell die Qualitätsstufen II und III überarbeitet werden. So werden beispielsweise auf Stufe II die Prozesse vereinfacht und beim QIII die Vorgaben für die Anerkennung anderer Qualitätsmanagement-Systeme diskutiert. Dass Qualität auch blinden Men- schen auffällt und demzufolge alleine mit Schönheit nicht erreicht ist, zeigte die sehbehinderte Christina Fasser, Geschäftsführerin von Retina Suisse, auf. Unter dem Motto: «Qualität sieht man nicht. Man spürt sie», stellte sie die Bedeutung von Qualität aus Sicht eines blinden Menschen dar. Peter B. Grossholz, Leiter Weiterbildung bei Hotelleriesuisse, machte sich in seinem Referat auf die Suche nach der Seele in gastgewerblichen Betrieben und stellte klar, dass die motivierten Menschen die Seele des Q-Programms sind. Zum Abschluss des Treffens unter- schrieben die Q-Botschafter aus den Regionen ein Credo, das ihren Einsatz für die Qualität im Schweizer Tourismus unterstreicht. En français Page 15 Hansruedi Müller Hansruedi Müller, geboren 1947, lehrt Freizeit und Tourismus an der Universität Bern und leitet das Forschungsinstitut für Freizeit und Tourismus (FIF) seit 1989. Seine wissenschaftliche Laufbahn begann er dort 1982 als Assistent des legendären Jost Krippendorf. Müller befasst sich in seinen Forschungsarbeiten mit allen Belangen von Freizeit und Tourismus. In den letzten Jahren hat er besonders die Gebiete der Erlebnisökonomie, der touristischen Wertschöpfung und des Qualitäts- und Ökomanagements vertieft. Das Qualitätsprogramm des Schweizer Tourismus wurde 1997 als Antwort auf den Einbruch der Logiernächte in der Schweiz lanciert. Heute unterstützen 12 touristische Trägerorganisationen, darunter GastroSuisse, das Programm. Enjoy Switzerland in der Kartause Ittingen Gutes Produkt ist bestes Marketing Wallis World Nature Forum mit Hotel In Naters bei Brig ist das Siegerprojekt des Wettbewerbs um ein 45Millionen-Bauprojekt präsentiert worden. Italienische Architekten aus Bozen und Padua planen demnach ein halbes Dutzend Gebäude, in denen sich öffentliche und private Interessen verschränken: Neben Wohnungen, Büros und Amtsstuben sind ein Kongresshotel und ein «World Nature Forum» als Zentrum des Weltnatur-Erbes Jungfrau-Aletsch geplant. Die Finanzierung steht noch nicht fest; man hofft auf einen Gesamtinvestor und rechnet vorderhand mit 6 Millionen Franken Unterstützung aus der Regionalpolitik von Bund und Kanton. Basel An einer ersten öffentlichen Infor- mationsveranstaltung in der Kartause Ittingen ist über den aktuellen Stand des gemeinschaftlichen Qualitätsmanagementprojektes «Enjoy Switzerland» von Thurgau, Schaffhausen und Untersee informiert worden. Ziel des zwei Jahre dauernden Projektes ist, die touristischen Leistungen auf die Kundenbedürfnisse auszurichten und in der Bevölkerung das Tourismusbewusstsein zu stärken. L. HUG «Enjoy Switzerland» «Der Tourismus in unserer Region lebt!», sagte der Thurgauer Regierungsrat Kaspar Schläpfer in seiner Ansprache und betonte nebst dem «weiten Blick und der reinen Luft» die Schifffahrtsgesellschaften, das Connyland und den Rheinfall, welche neben der Beherbergung die touristischen Einnahmequellen bilden. Eine Tourismusregion könne langfristig nur dann erfolgreich sein, wenn alle Akteure sich an den Kundenbedürfnissen ausrichten, um ein Stadt und Kanton Bern haben eine positive Bilanz der Eishockey-WM vom letzten Frühling in Bern gezogen. Gewerbe und die Hotellerie hätten mehr profitiert als bei der Euro 2008, teilten die Behörden Anfang Woche mit. Eine Umfrage von Bern Tourismus bei 27 Berner Hotels habe ergeben, dass diese im Vergleich zur gleichen Vorjahresperiode ein Viertel mehr Logiernächte verzeichneten und die Aufenthaltsdauer während der WM 4 statt 1,8 Tage betrug. Werner Fritschi, Thurbo AG; Martin Nydegger, Schweiz Tourismus; Moderator Christoph Tobler, Thurgau Tourismus; Lucia Kamp, Tourismus Untersee; Kaspar Schläpfer, Thurgauer Regierungsrat und Patronat «Enjoy Switzerland» (v.l.). zielgerichtetes Angebot zu entwickeln, erklärte Schläpfer weiter. Martin Nydegger von Schweiz Tou- rismus präsentierte die aktuellen Gästetrends wie Sehnsucht nach Werten, jung sein, schön sein, fit sein, Naturerlebnis und Entspan- nung und betonte insbesondere, dass der erste Eindruck zählt. In einer Podiumsdiskussion, geführt von Christoph Tobler, Präsident Thurgau Tourismus, kamen die Diskussionsteilnehmenden zum Schluss, dass ein gutes Produkt das beste lh Marketing sei. Das Projekt hat zum Ziel, alle touristischen Leistungen auf die Kundenbedürfnisse auszurichten. Bei der Förderung von Qualitätsverbesserung setzt es auf drei Qualitätsebenen. Betriebliche Qualität: Optimierung von Leistungsprozessen gegenüber dem Kunden im Einzelbetrieb Erlebnisqualität: Die Region und die Betriebe als Ganzes werden durch die Aufarbeitung eines destinationsweiten Themas erlebbar gemacht Destinationsqualität: Angebotsoptimierung und Schliessung der Lücken im Bezug auf die Erlebniskette des Gastes. Das Projekt startete am 1. März 2009, im September finden erste Mitarbeiterschulungen und Q-Coach-Kurse statt. Viele neue Hotels geplant Der anhaltende Erfolg des Tourismusstandorts Basel hat Folgen fürs Hotelangebot: Die grosse Nachfrage führt zu einem grösseren Angebot. Ein Ibis der Accor-Kette am SBB-Bahnhof ist bereits eröffnet und auf einem alten Industrie-Areal in Kleinhüningen entsteht ein Freizeitzentrum samt Hotel. Überdies gibt es Pläne für ein Boutiquehotel in der Stadt, für ein Courtyard von Marriot sowie ein Best Western ausserhalb der Stadt und für ein weiteres Flughafenhotel. Hôtellerie & Tourisme 2 juillet 2009 No 27 La Fédération suisse du tourisme (FST) en symposium à Lucerne FLASH Motivés pour la qualité Douze ans d’engagement commun en faveur de la promotion de la qualité dans le tourisme suisse. La FST a profité de l’occasion pour réunir à l’Art Deco Hotel Montana à Lucerne des représentants du programme qualité. Divers orateurs ont informé sur les changements, les développements, les innovations et les stratégies du programme. Mario Lütolf, le directeur de la FST, a rappelé l’évolution du programme qualité. Les trois labels de qualité QI, QII et QIII se sont bien établis et sont très appréciés dans les milieux du tourisme. Ainsi, les objectifs fixés –améliorer dans toute la Suisse la qualité du tourisme, renforcer la conscience des collaborateurs en matière de qualité et promouvoir la collaboration entre établissements touristiques – ont été atteints en grande partie. En douze ans, plus de 4400 labels Q ont été décernés, l’hôtellerie, avec 37%, en obtenant la plus grande part. Depuis 2004, les contenus des programmes suisses de qualité sont également mis en oeuvre à l’étranger. Plusieurs pays et lands allemands ont acheté ce système. Depuis la création, des personnes Hansruedi Müller nommé Quality Person Hansruedi Müller, né en 1947, enseigne les loisirs et le tourisme à l’Université de Berne et dirige l’Institut de recherches sur les loisirs et le tourisme (FIF) depuis 1989. Sa carrière scientifique y a débuté en 1982 comme assistant de Jost Krippendorf. Il s’est occupé de tous les aspects des loisirs et du tourisme. Au cours des dernières années, il a ap- profondi les domaines de l’économie de l’événement, de la plus-value dans le tourisme et du management de la qualité et de l’écologie.Le programme de qualité du tourisme suisse a été lancé en 1997 comme réponse à la chute des nuitées en Suisse. Aujourd’hui, douze organisations touristique soutiennent le programme, dont GastroSuisse. lh très diverses se sont engagées en faveur du programme de qualité. Une «Quality Person» a été élue lors du premier Quality Meeting. La distinction a été remise (parmi 37 nominés) au professeur Hansruedi Müller, directeur de l’Institut de recherches sur les loisirs et le tourisme (FIF) de l’Université de Berne (encadré). Le tourisme suisse se trouve face à de gros défis, a dit Hansruedi Müller. Nommant, notamment, la globalisation, le changement climatique, la crise financière ainsi que le comportement changé des voyageurs. «Celui qui s’arrête de s’améliorer, arrête d’être bon.» Le professeur a encore déclaré que les niveaux de qualité II et III devaient sont revus. Ainsi, au niveau II, les processus sont simplifiés et pour le QIII, les conditions de reconnaissance d’autres systèmes de qualité discutées. Que même des aveugles remarquent la qualité, qu’elle ne peut donc être atteinte que par la beauté, a été démontré par Cristina Fasser, la directrice aveugle de Retina Suisse. Sous la devise «La qualité ne se voit pas. On la sent», elle a présenté l’importance de la qualité telle que ressentie par un aveugle. Dans son exposé, Peter B. Grossholz, chef perfectionnement à hotelleriesuisse, a Patrimoine mondial Unesco Une grande diversité de sites L'Unesco a retenu seize nouveaux sites pour figurer sur sa liste du patrimoine mondial de l'humanité. Des sites d’une grande diversité, allant, pour l’Europe, des Dolomites en Italie, au Palais Stoclet en Belgique, en passant par la saline de Salins-lesBains et la saline royale d’Arc-et-Senans en France avec pour la Suisse, La Chaux-de-Fonds et Le Locle, urbanisme horloger, mais sans l’oeuvre architecturale de Le Corbusier. Vallée de Joux Carte journalière pour circuler gratis SP Lors du premier Quality Meeting, à Lucerne, les représentants du programme qualité du tourisme suisse ont jeté un regard vers le passé et osé un coup d’oeil vers l’avenir. Luzia Hug 15 La qualité ne se voit pas. On la sent. précisé que les gens motivés étaient l’âme du programme Q. Les ambassadeurs Q ont signé un credo qui souligne leur engagement pour la qualité dans le tourisme suisse. Comme interlocuteur dans les régions, ils ont promis de continuer de promouvoir le programme de qualité. Auf Deutsch Seite 7 Les hôtes de la Vallée de Joux séjournant plus d’une nuit en hôtel ou en appartement de vacances ont désormais droit à la carte journalière ValPass. Valable du 1er juillet au 1er novembre, elle est financée par la taxe de séjour. Elle offre la libre circulation sur le train Le Pont-Le Brassus ainsi que sur la ligne de bus entre Le Pont et Le Sentier, indique Cédric Paillard, directeur de Vallée de Joux Tourisme. www.myvalleedejoux.ch PUBLICITE GJRI59394 fokus htr hotel revue Nr. 29/30 / 16. Juli 2009 11 Pioniere und Wegbereiter. Theorie. Die drei Deutschschweizer Professoren Krippendorf, Müller und Bieger lehrten und lehren Tourismus. Sie formen die künftigen Touristiker. Theoretiker des Tourismus Die drei Professoren Jost Krippendorf, Hansruedi Müller und Thomas Bieger prägten den Schweizer Tourismus. Jeder auf eine andere Art. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● CHRISTINE KÜNZLER E litätsprogramms für den Schweizer Tourismus, mit dem mittlerweile auch im Ausland gearbeitet wird. Müller entwickelt Inszenierungskonzepte und hilft Destinationen, sich besser in Szene zu setzen. Untersucht hat das FIF auch die Nachhaltigkeit grosser Sport- in streitbarer Visionär ist gestorben.» Das schrieb Hansruedi Müller, Leiter des Forschungsinstituts für Freizeit und Tourismus an der UniBern(FIF),nachdemTodseines Vorgängers Jost Krippendorf im Februar 2003. «Wir haben die verdammte Pflicht und Schuldigkeit, weitsichtig, kritisch und unpopulär zu sein», hatte Krippendorf einmal gesagt und damit die Professoren gemeint. Er, der das FIF während 25 Jahren entscheidend geprägt hatte, wies schon 1975 in seinem Buch «Landschaftsfresser» auf die ökologischen Gefahren der touristischen Entwicklung hin. «Damals wurdeeralsNestbeschmutzerkritisiert, inzwischen sind seine düsteren Szenarien zum TeilWirklichkeit geworden», hält Müller fest. Zum 50. Geburtstag des SchweizerTourismus-Verbands–Krippendorf war dort damals Direktor – sprach dieser vom immer grösser werdenden Graben zwischen Zielen und Wirklichkeit. «Wenn sich einige Gräben heute verkleinert haben, dann, weil die Ziele korrigiertwordensindundnichtderEntwicklungspfad», sagt Müller. Krippendorf wünschte sich ein neues Verständnis von Freizeit und Reisen: Weg vom (Massen-)Tourismus hin zu sanftem Reisen und beseelten Ferien. Heute läge er mit seiner Müller: Nachhaltigkeit, Qualität, Destinationsmanagement Hansruedi Müller führt nach Krippendorf nun schon seit 20 Jahren das FIF. Seine Schwerpunkte lassen sich in acht Kernthemen einteilen: Ganzheitlicher Ansatz, Umwelt- und Öko-Management, Destinationsmanagement, Tourismuspolitik,WertschöpfungimTourismus, Qualität, Erlebnisqualität und Nachhaltigkeit von Grosssportveranstaltungen. Mit seinem Bericht «Alpsegen Alptraum – Für eine nachhaltige Entwicklung im Einklang mit Mensch und Natur» etablierte MüllerMitteder80er-Jahredienachhaltige Entwicklung als Basis aller Forschungs- und Beratungsprojekte am FIF. Als dasWaldsterben Thema wurde, entwickelt er Vorschläge für Destinationen und touristische Organisationen, wie sich diese umweltverantwortlicher verhalten können. «Wir thematisierten als erste Uni die Bedrohung des Klimas durch den Tourismus», sagt Müller. Drei Jahre später erarbeitete er mit dem St. Galler Tourismusprofessor Thomas Bieger die Destinationsmanagement-Strategie. Tourismuspolitische Leitbilder für Destinationen und ein Verfahren zur Berechnung touristischer Wertschöpfung sind weitere Projekte. Stark macht sich Müller für qualitätsorientiertes Tourismusmanagement. Er gilt alsVater des Qua- Pragmatisch: Thomas Bieger zvg Alain D. Boillat Ganzheitlich: Hansruedi Müller Christine Künzler Kritisch: Jost Krippendorf veranstaltungen. Ende dieses Jahrs legt Müller den Schlussbericht bezüglich der Auswirkungen der Euro 2008 vor. Bieger: Fachschulen, Tourismuslehre, Marketing und Finanzierung «Geprägt haben mich meine praktischen Tätigkeiten beim Ver- Mit diesem Plakat von Emil Cardinaux warb die Jungfraubahn im Jahr 1911. Schweiz. Nationalbibliothek/Emil Cardinaux ● Vision voll im Trend. In seinem Buch «Alpsegen» plädiert er dafür, die touristische Entwicklung im Berggebiet mit Mensch und Natur in Einklang zu bringen. Damit wies er den Weg zu Nachhaltigkeit und Authentizität. Laut Wikipedia ist Krippendorf ein «Vordenker eines sozial- und umweltverträglichen Tourismus und einer der wichtigstenVertreter derTourismuskritik.» kehrsverein Basel, wo ich nach Studienabschluss das erste Marketingkonzept entwickeln durfte», sagt Thomas Bieger, Direktor des Institutes für öffentliche Dienstleistungen und Tourismus der Universität St. Gallen. Als Gründer der Höheren Fachschule für Tourismus Luzern entwickelte er das erste Konzept für das dortige Institut für Tourismus. Danach baute er als Direktor der heutigen Academia Engiadina die Höhere Fachschule für Tourismus auf. «Es erfüllt mich heute noch mit Stolz, dass ich so die Wurzeln der beiden Fachhochschul-StudiengängeLuzernundChurlegenkonnte», so Bieger. Erkam1997andieUniSt. Gallen, um dieTourismusforschung neu zu positionieren, die Paradigmen der TourismuslehreunddieMarketingforschung weiter zu entwickeln. Eines der «wichtigen Forschungsthemen, mit denen wir die Praxis geprägt haben», sind für Bieger die DestinationsmanagementKonzepte, die er mit Müller erarbeitethat,dieForschungzumKundenverhalten, die Finanzierung im Tourismus sowie die Entwicklung eines modernen Dienstleistungsmanagements, dynamischer Konzepte des Tourismussystems und Geschäftsmodelle im Tourismus. Neue Forschungsthemen sind Pri- cing-Modelle im Tourismus, hybride Beherbergungsformen, ImpactStudien des Tourismus sowie der Bereich Aviation Management. Neben der Institutsleitung nimmtBiegerandereFührungsaufgaben wahr. Unter anderem trägt er als Prorektor der Uni St. Gallen die Verantwortung für das Thema Globalisierung. «Als VR-Präsident der Jungfraubahn und Vizepräsident der Schweizerischen Gesellschaft für Hotelkredit und der Bergbahnen habe ich direkten Kontakt mit Tourismusunternehmen. Aufgrund dieser Praxiserfahrung ist mein Wissenschaftsansatz pragmatisch.» ANZEIGE Medienspiegel 2009 August actuel htr hotel revue No 33 / 13 août 2009 21 En bref Suisse Note verte pour le programme de qualité Le Programme de qualité du tourisme suisse tiendra davantage compte que par le passé du développement durable. Ainsi, à partir de ce mois, tous les établissements candidats à l’obtention du label de qualité de niveau I devront présenter un plan d’action comportant «au moins une mesureécologique»,indiquelaFédération suisse du tourisme, coordinatrice du programme de qualité. Cette orientation écologique concrétise l’engagement pris par les associations touristiques avec la signature de la «Charte du développement durable». mh Résidences secondaires: un guide bienvenu ldd Les fromages du canton du Jura et du Jura bernois, ici ceux de la fromagerie de Corgémont (BE), évolueront à domicile lors des 6e Olympiades des fromages de montagne. Le fromage à l’honneur Du 22 au 25 octobre, les Olympiades des fromages de montagne prendront leurs quartiers dans le Jura et le Jura bernois pour leur sixième édition. Découverte. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● EUGENIO D’ALESSIO L e Jura et le Jura bernois frétillent d’impatience. Un trio de choc, Saignelégier (Jura), Tramelan et Bellelay (Jura bernois), accueillera fin octobre les 6e Olympiades des fromages de montagne (www.caseusmontanus.ch). Chapeautée parl’InterprofessionTêtedemoine et les artisans suisses du fromage (Fromarte),cettemanifestationinternationale prestigieuse, organisée tous les deux ans, promet d’être grandiose. Avec près de 60 000 visiteurs attendus et de nombreuses animations, elle mobilise toutes les fromageries de la région, mais également les milieux touristiques et hôteliers. Cerise sur le gâteau, elle est placée sous le patronage de la ministre de l’économie Doris Leuthard qui sera présente en terre jurassienne. Alain D. Boillat Des découvertes aussi bien gastronomiques que touristiques touristiques, les professionnels de la branche, les milieux hôteliers Point d’orgue de ce rendez-vous ainsiquelecantondeBerneetcelui gastronomique, le concours inter- du Jura marchent main dans la national des fromages de mon- main. Et les préparatifs vont bon tagne fera halte à l’abbatiale de train. Bellelay, berceau du célèbre tête Jura Tourisme et Jura bernois de moine. Environ 80 jurés, issus Tourisme ont notamment bloqué de la branche fromagère, des com- des contingents hôteliers de 1500 merces, de la restauration et du lits: «Les Olympiades devraient journalisme, soupèseront la attirer près de 700 professionnels. qualité de huit Ces visiteurs pocents produits inLes 6e Olympiades tentiels ont reçu ternationaux réun dossier de des fromages partis en seize capresse avec un tégories. Les devraient attirer formulaire qui gagnants seront permet de réser60 000 visiteurs à honorés le ver une chambre Bellelay, Tramelan d’hôtel dans la rédimanche 25 octobre. gion. Les particuet Saignelégier. La compétiliers peuvent en tion ira de pair faire de même en avec les découvertes gastronomi- consultant nos sites internet. Par ques et touristiques, les anima- ailleurs, nous collaborons avec les tions en tout genre et l’effort de ré- CFFavecdesoffresRailAwaysurles flexion. Ainsi, une soixantaine de billets de train à destination de Saichalets gavés de fromages et de gnelégier, Bellelay et Tramelan», produits du terroir formeront la expliquent de concert ToinetteWiscénographie d’un immense mar- sard, responsable du marketing de chéplantéaucœurdeSaignelégier. Jura Tourisme, et Carole Sallot, son Un marché du Moyen Age (Belle- homologue de Jura bernois Toulay), des spectacles folkloriques, risme. Et de préciser: «Les actions des présentations de chevaux des promotionnelles visent également Franches-Montagnes et un sémi- la presse étrangère. C’est Switzernaire sur l’avenir des régions de land Cheese Marketing, spécialisé montagne (Tramelan) complète- danslemarketinghorsdenosfronront, entre autres, le programme. tières,quigèrecedossierenorganiPour l’organisation de cet évé- sant, entre autres, des visites d’hônement majeur, les opérateurs tels.» Photopress/ldd La cérémonie de passage de la flamme des Olympiades des fromages de montagne a eu lieu samedi, à Saignelégier, en présence du président de la Confédération Hans-Rudolf Merz (au milieu). ● Une opportunité de promouvoir le Jura bernois et le canton du Jura Il va sans dire que les milieux touristiquesentendentprofiterdes Olympiades pour promouvoir le Jura bernois et le canton du Jura. «Nous voulons associer cet événementàlarégion.Nousallonsdès lorsmettreenavantl’imagedel’abbatiale de Bellelay, celle du cheval dans les Franches-Montagnes, mais également celle du Chasseral pour marquer l’esprit des visiteurs. Nous ciblons un public situé dans un périmètre de 100 km autour des sites de la manifestation. Et à l’approche des Olympiades, nous lancerons des vagues publicitaires en collaboration avec RailAway en distribuant des flyers notamment»,déclarentToinetteWisardet Carole Sallot. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● La flamme est arrivée samedi à Saignelégier La cérémonie de passage de la flamme des Olympiades des fromages de montagne a eu lieu samedi dernier, au marchéconcours de Saignelégier, en présence du président de la Confédération Hans-Rudolf Merz. Une délégation d’Oberstdorf (All), théâtre des dernières Olympiades, a transmis la flamme à la délégation jurassienne. Outre ces Olympiades, Delémont-Courtemelon accueillera les 26 et 27 septembre le 3e Concours suisse des produits du terroir. Mille produits, en provenance de tous les cantons, seront en lice. lm/eda Le problème des résidences secondaires devrait perdre un peu de son acuité avec la publication, par les autorités fédérales, d’un «guide pour la planification directrice cantonale». Pour la Fédération suisse du tourisme (FST), ce guide – actuellement en consultation–constitueune«contribution constructive» à la mise en place d’unepolitiqueenmatièrederésidencessecondairesorientéesurla valeur ajoutée. La FST est toutefois d’avis que la Confédération pourrait apporter une aide à la planification en mettant à disposition des cantons et de l’économie touristique une banque de données fiable consacrée aux résidences secondaires. mh Valais Mayens de Bruson: le projet est maintenu Le projet de construction de trois cents chalets-appartements, proposant deux mille lits touristiques, aux Mayens de Bruson, sur la commune de Bagnes (VS), est maintenu, malgré le désengagement en Europe de la société canadienne Intrawest. «Des démarches sont en cours pour trouver de nouveaux partenaires», a indiqué la semaine dernière la commune de Bagnes. mh France Genève: comme sur un paquebot Le Beau-Rivage dispose désormais de nouvelles suites. Situées au premier étage, elles bénéficient d’une très grande terrasse. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● MICHEL BLOCH Les propriétaires de l’Hôtel BeauRivage de Genève souhaitaient aller plus loin encore en matière de confort que les rénovations réalisées ces dernières années. Le défi constituant à aménager la toiture qui prolonge les suites du premier étage, valait aujourd’hui la peine d’être relevé. Les suites royales et impériales ontétéprolongéespard’immenses terrassessuperbementaménagées et offrant une vue magique sur la rade. Le Beau-Rivage, avec ses nouveaux «sun decks», se donne ainsi un air de Riviera et de dolce farniente. Grâce à ces terrasses, les suites concernées semblent «ouvertes sur le large». Le «room service» prend alors une dimension différente que le client se fasse livrer une boisson ou un thé, ou qu’il y organise un apéritif. Elément particulièrement original, et qui fait toute la différence, une rambarde transparente donne aux clients l’impression d’avoir effectivement le lac et le jet d’eau à Les suites royales et impériales ont été prolongées par de très grandes terrasses équipées d’une rambarde transparente. ldd leurs pieds. Ces nouveaux agencements viennent renforcer le sympathique sentiment de naviguer sur un yacht. Larges parasols, meubles de jardin, chaises longues confortables, fleurs et plantes d’agrément, éclairage tamisé et planchers en teck: des détails qui ont leur importance et qui constituenteffectivementuneréelleinvitation à la croisière. «Les clients de l’hôtel apprécient de plus en plus ces terrasses qui, grâce à leurs aménagements, font pour ainsi dire partie de la chambre ou en l’occurrence de la suite», confirme Xavier Collange, les sous- directeur de l’Hôtel BeauRivage. Bonne tenue des palaces parisiens et cannois Le mois de juillet a été favorable aux palaces de Paris et de Cannes. Le consultant touristique MKG Hospitality a constaté que les hôtelsdeluxedecesdeuxvillesont enregistré, respectivement, des hausses du revenu par chambre disponible (RevPAR) de 5 et de 10,8%. C’est la première fois depuis septembre 2008 qu’une évolutionpositiveduRevPARapuêtre mesurée. Le taux d’occupation des palaces parisiens s’est élevé à 85,2% et celui des palaces de Cannes à 78,1%. Pour l’ensemble du parc hôtelier français, MKG Hospitality a relevé un recul du RevPAR de 6,3%. C’est la baisse la moins forte de cette année. mh Restauration 20. August 2009 Nr. 34 Q-Programm schreckt Restaurateure ab – dabei könnten sie damit Zeit und Geld sparen Mit Q zu mehr Umsatz ber. Jetzt gehe es darum, «dranzubleiben, damit es nicht im Sand verläuft». Leemann wünscht sich deshalb vom STV eine härtere Gangart und vermehrt Kontrollen. Das QualitätsProgramm des Schweizer Tourismus will die Qualität in den Betrieben verbessern. Nur wenige Gastronomen konnten sich allerdings bisher dafür begeistern. Luzia Hug Eine Namensänderung des Pro- gramms sei nicht die Lösung. Viel- L. HUG Seit 12 Jahren setzt sich GastroSuisse, einer der 12 Trägerverbände, zusammen mit dem Schweizer Tourismus Verband (STV) gezielt für die Qualitätsförderung im Schweizer Tourismus ein. 4400 Q-Gütesiegel wurden insgesamt verliehen, aktuell besitzen rund 1600 Betriebe diese Auszeichnung. Dabei fällt auf: Mit einem Anteil von 42 Prozent wurden im Bereich Hotellerie am meisten Gütesiegel vergeben – die Gastronomie jedoch kommt nicht einmal auf 7 Prozent. Ist das Erlangen eines Q-Gütesiegels für Restaurateure demzufolge nicht attraktiv? Andrea Haid, Leiterin des Qualitäts-Programmes, verneint. Sie sieht dahinter ein anderes Problem: «Kleinstbetriebe sind bereits mit administrativen Aufgaben zugedeckt, da betrachten sie das Q-Programm als zusätzlichen Aufwand und scheuen sich davor.» Auch sei der konkrete Nutzen nicht auf den ersten Blick ersichtlich, sagt der Leiter der Gastro-Unternehmerausbildung GastroSuisse, Thomas Fahrni, und spricht einen weiteren Punkt an: «Oftmals fühlen sich die Restaurateure nicht angesprochen, da sie verkennen, dass sie Teil der touristischen Dienstleistungskette sind.» Der Name, Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus, impliziere Tourismus und Ferien. «Da denken sie, ich habe ja gar keine Touristen.» Die Gefahr, das Gelernte nicht um- zusetzen oder nach drei Jahren nicht zu erneuern, besteht tatsächlich. Grosse Schwierigkeit dabei: die Eigendisziplin. Denn Kontrollen werden mittels Stichproben durchgeführt und einzig 5 bis 10 Prozent der QI-Betriebe werden im zweiten Jahr kontrolliert. Thomas Fahrni von GastroSuisse verteidigt jedoch das Vorgehen: «Je mehr Fremdkontrolle, desto kleiner die Eigenverantwortung.» Es gehe aber nicht darum, dass die Verantwortung fremdgesteuert werde. Vielmehr steigen mit der Verantwortung das Engagement und das eigene Interesse, etwas im Betrieb zu verbessern. Rebe-Gastgeber Stefan Leemann hat seine Türe dem Q-Programm geöffnet. En bref mehr gehe es darum, Gastronomen dafür zu sensibilisieren, dass auch sie zum Tourismussektor gehören, sagt Fahrni. Andrea Haid ihrerseits versucht, «die Unternehmer mitzureissen und zu motivieren», ihnen klar zu machen, dass sie dank dem Q-Programm Zeit sparen können, was zu zufriedeneren Gästen und Mitarbeitenden führe. Le programme qualité de la Fédération suisse du tourisme veut améliorer la qualité dans les établissements. Toutefois, jusqu'à présent, seuls quelques rares restaurateurs se sont enthousiasmés pour ce programme. Le temps à lui consacrer et le manque de réflexion touristique sont cités. Experts et restaurateurs Q sont par contre convaincus de gagner du temps et d'augmenter leurs chiffres d'affaires. Einer, der seit einem halben Jahr im Besitz des QI-Gütesiegels ist, ist Stefan Leemann, Gastgeber im Restaurant Rebe in Neftenbach. «Meine Frau und ich haben uns gefragt, wie wir die Qualität im Betrieb steigern können», begründet Leemann den Entscheid, sich fürs Programm anzumelden. Inspiriert habe ihn auch sein früherer Arbeitgeber, der ebenfalls die Q-Auszeichnung besitze. Seit dem Kurs habe sich in der Rebe ei- niges verändert: «Wir sprechen über Qualität und die Mitarbeiter sind dafür sensibilisiert.» So setzen sich Chef und Mitarbeitende jeden Mittag fünf Minuten zusammen und diskutieren, was noch verbessert werden kann. Sei es ein spezieller Drink oder eine neue Sorte Cordon bleu – Leemann ist überzeugt: «Dank den Tipps zur Qualitätsverbesserung habe ich den Umsatz mittels Zusatzverkäufen klar erhöht. Wir geben dem Gast vermehrt Empfehlungen ab, machen ihm das Dessert oder den Drink schmackhaft.» Eine Strategie, die bei jedem zweiten Gast funktioniere. Für Stefan Leemann hat sich der QI- Kurs gelohnt. «Es bringt allerdings nichts, fertige Listen zu kopieren, man muss das Gelernte so umsetzen, damit es dem eigenen Betrieb etwas bringt», erklärt der Gastge- 5 SZENE Marktaustritt Restaurant wird Wohnhaus 1904, es herrschte Hochkonjunktur, investierte ein Landwirt im Freiburger Weiler Fendringen ins Gastgewerbe. Er liess das Restaurant Adler bauen, musste aber zwei Jahre warten, bis überhaupt die Betriebsbewilligung vorlag. Ein schlechtes Omen: Immer wieder wechselten in der Folge die Betreiber, bis gut 100 Jahre später das Restaurant geschlossen wurde und eine Baufirma die Liegenschaft übernahm. Nun hat sie die Zukunft des Adlers publiziert: Das Restaurant wird zu einem Wohnhaus umfunktioniert. Umnutzung Lebensschule Gastgewerbe Gadmen auf der Berner Seite des Sustenpasses liegt nur an einem Verkehrsstrom: Töff- und Velofahrer sowie Bergwanderer im Sommer. Umso schwerer hat es das Gastgewerbe, zumal das Militär auch nicht mehr so viel hergibt wie einstmals. Aus der Not hat man im Hotel-Restaurant Alpenrose eine Tugend gemacht: Der Betrieb ist auch Betreuungsplatz für orientierungsschwache Jugendliche – in beiden Bereichen recht erfolgreich. Qualität Stufe 1: Konzentriert sich auf Qualitätsentwicklung und widmet sich insbesondere der Servicequalität. Stufe 2: Konzentriert sich auf die Führungsqualität. Stufe 3: Betriebe, die ein umfassendes und anerkanntes Qualitätsmanagementsystem eingeführt haben, können das QIII beantragen. Menschliche Schwächen Das Deutsche Institut für ServiceQualität hat Kaffee-Ketten unter die Lupe genommen. Als grösste Schwäche erwies sich die Kompetenz der Beschäftigten. Sie zeichneten sich «oft durch Unkenntnis der eigenen Produkte aus», kommentierte die Studienverantwortliche. ANZEIGE Amtsschimmel Tuurbärg? In fünfter Generation bewirten Jrene und Daniel Franz ihre Gäste im Restaurant Thurberg in der Nähe von Weinfelden. Die Thurgauer Nomenklatur-Kommission hat den Berg aber umgetauft in «Tuurbärg», dies im Auftrag der Regierung und im Rahmen der Bereinigung der Flurund Siedlungsnamen. Jrene und Daniel Franz winzern zudem neu am «Tuurbärg». Denn der Wein muss mit dem entsprechenden Ortsnamen versehen sein, also neu «Tuurbärg». Jrene Franz ist darob gar nicht begeistert: «Das ist ein Hafenkäse! In der 100-jährigen Geschichte unseres Restaurants haben wir den Namen Thurberg aufgebaut. Durch die Umbenennung ist die Wiedererkennung gefährdet.» Sogar ein schriftliches Dokument aus dem 18. Jahrhundert weist bereits einen Thurberg und keinen «Tuurbärg» aus. Übrigens: Der «Tuurbärg» mit dem Restaurant Thurberg und dem Weingut «Tuurbärg» steht an der Thurbergstrasse, vielleicht bald an der «Tuurbärg»Strasse. Mittlerweile hat die Thurgauer Re- gierung für die Umbenennungen einen Marschhalt verordnet. mmo GJR59692 Medienspiegel 2009 September actuel htr hotel revue No 39 / 24 septembre 2009 25 En bref Les cabanes, nouvelles stars des montagnes Très 21e siècle, elles en jettent, les nouvelles cabanes du Club Alpin Suisse (CAS). Rien à voir pourtant avec des hôtels quatre étoiles. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● GENEVIÈVE ZUBER L a nouvelle cabane du Mont Rose, qui sera inauguréesouspeu(lireencadré), est d’ores et déjà médiatisée bien au-delà des Alpes. Si toutes les cabanes du Club Alpin Suisse (CAS) ne sont de loin pas aussifuturistes,cegroscristalhightech symbolise bien la tendance: le monde des cabanes de haute montagne est en pleine mutation. Aujourd’hui, elles affichent souvent des lignes architecturales contemporaines qui en font, en soi, des objets de découverte touristique. D’autre part, elles bénéficient de nouvelles technologies, très précieuses sur les plans énergétique et écologique.Parexemple,lescontenus des WC sont traités autant que faire se peut pour protéger l’environnement. Pas de chambres individuelles, et alors? Quant au confort d’hébergement, il s’améliore aussi pour ré● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● Mont Rose Cabane la plus futuriste et la plus chère La nouvelle cabane du Mont Rose sera ouverte le 25 septembre. Située à 2900 m d’altitude, au-dessus de Zermatt, elle est le fruit de recherches menées par l’EPF de Zurich avec l’appui de la Haute école de technique de Lucerne et le Laboratoire fédéral d’essai des matériaux. Ce projet novateur se distingue par son architecture mais aussi par son concept porteur d’avenir du point de vue écologico-énergétique. Cette cabane offrant 120 places d’hébergement est la plus chère jamais cofinancée par le CAS. Son coût s’est élevé à 6,5 millions de francs. gz pondre à des exigences nouvelles. Ulrich Delang, responsable du secteur cabanes du CAS: «Nous accueillons de plus en plus de familles et d’urbains. Par rapport aux alpinistes classiques, quasiment nos seuls hôtes il y a une vingtaine d’années encore, il s’agit d’une clientèle autre, avec des attentes plus fortes». Pour y répondre, les grands dortoirs de 20 à 30 couchettes cèdent la place à des chambres plus petites, plus «familiales» de quatre à douze places, les sanitaires et les douches deviennent plus confortablesetlesduvetssuédoisontsuccédé aux couvertures en laine. De plus, il n’est pas rare qu’à côté des spaghettis, le gardien propose aussi un menu à quatre plats. Mais cet effort de modernisation est-il suffisant, alors que certaines cabanes de haute montagne des pays voisins offrent désormais, entre autres, des chambres individuelles? Pour Ulrich Delang, pas question de se faire des complexes: «Notre but n’est absolument pas d’offrir des chambres individuelles. La simplicité est l’une des valeurs fondatrices du CAS, qui fêtera bientôt ses 150 ans. Cette valeur est toujours d’actualité, même si nous nepouvonsplusnouscontenterde proposer une bâche avec une bougie dans une lanterne pour tout éclairage. Mais nous tenons à cette notion de simplicité, qui est en accord avec nos moyens. Nous sommes une organisation à but non lucratif et la rentabilité n’est pas un but en soi.» La FST pour la libéralisation des «duty free» La Fédération suisse du tourisme (FST) approuve le principe d’une libéralisationdes«dutyfree»àl’arrivée dans les aéroports suisses. Répondant à la consultation sur la nouvelle loi fédérale sur l’achat de marchandises dans les boutiques hors taxe, elle a indiqué qu’une restriction des possibilités d’achats n’est plus admissible du point de vue touristique. Ceci d’autant plus que d’autres pays vont également introduire dans les aéroports des boutiques «duty free» à l’arrivée. mh Label de qualité pour le personnel des trains CFF ldd Le service d’accompagnement des trains dans la division voyageurs des CFF s’est vu remettre le labeldeniveauIduProgrammede qualité du tourisme suisse. Le certificat a été décerné par Andrea Haid, responsable du programme, à Vincent Ducrot (à g.), chef de la division voyageurs, et à Anton Häne, responsable de la gestion du trafic, qui représentaient une soixantaine de chefs du personnel des trains et 2200 accompagnateurs de train. mh Courts métrages: l’Alimentarium lance un concours «Les prix doivent rester populaires» D’autre part, faire simple permet de limiter l’impact sur le sol et l’environnement ainsi que sur les prixdesnuitées,quis’élèvententre 17 et 28 francs pour les membres (majoration de 140 à 200% pour les non membres). Ceux-ci sont quelque 120 000 aujourd’hui, un effectif en croissance régulière, «parce que la montagne et la nature et les nouveaux sports de grimpe sont des valeurs qui montent mais aussi parce que nos prix sont populaires». C’est pour toutes ces raisons quelescabanesduCASnesontpas prêtesàsetransformeren«établissements hôteliers avec jaccuzzi». Avec 153 cabanes et bivouacs, le CAS estime disposer d’un parc suf- Suisse Les cabanes du CAS, ici celle de Turtmann, améliorent sans cesse leur confort. fisant;aprèsletempsdesconstructions, il y a quelques décennies, est maintenant venu celui des rénovations et des remplacements des bâtiments obsolètes. Et c’est dans ce contexte que s’inscrivent les réalisations actuel- les et futures. Simplicité, modernité, mais également professionnalisme des gardiens: tel est le défi. Sécurité, hygiène, marketing, maîtrisedesnouveauxéquipements:le métier est, lui aussi, en mutation. Ce qui a incité le CAS à lancer cette Swiss-Image année une formation spécifique en cours d’emploi dispensée dans le cadre de l’Ecole hôtelière de Thoune. Un cours semblable, pour lesfrancophones,s’ouvriraen2010 en Suisse romande, dans un lieu encore à déterminer. Le film et le court métrage en particulier est un vecteur publicitaire qui a de plus en plus de succès en Suisse. Ainsi, après hotelleriesuisse, qui vient de remettre les prix de son Swiss Hotel Film Award, après les Auberges suisses de jeunesse, c’est l’Alimentarium à Vevey qui lance un concours de courts métrages à l’occasion de son 25e anniversaire qui sera fêté l’an prochain. En collaboration avec l’association Base-court, le Musée de l’alimentation invite les cinéastes à présenter au jury un film sur le thème de l’«alimentation humaine». mh ANNONCE Medienspiegel 2009 Oktober 20 Minuten, 7.10.09 MEETING POINT. SBB RailCity: Da ist immer was los! Ein Oktoberfest in Zürich oder bärenstarke Aktionen in Bern – das alles und viel mehr gibt es in den RailCityBahnhöfen der SBB. Publireportage von Günstiger Städteplausch mit den City-Hit-Billetten !")5/!Q1 /!" / &1*!!*' [ <<3 1! !" "! `11' &+1! Abend und sogar sonntags 6 ! [ ! ! & !Q1 ! ! 13 !"" " "0: ( :" " / ' !" 6 :=Sf( <3 !!"" ' <3 [ : !" ( 1 !"" !;:\?S( 4>>@ 6 !")5 / / /+ ! 1 + ! &+1 einer spannenden Ausstellung und einem tollen Wettbewerb. ""91 www.railcity.ch !:!")5 + !( *X3 " ! *'// : 6 2! "! 2! "" 6 91 !' &+1 *!Q11' *!"! !3 " ' !"" 0:": +"! 1! 2 3 ! %teure, die Bil" "" die Arbeit des < !""' D! :" 6 J 44>> <" <" // 1! % : ! 6 ! K!"+ Eigenverantwortung bewusst 1Q !<""! % "" < 6" 13" // :"13 % % S 6 +" !" 1 2 3'3 '6 !! " '+'" '8! "" /!"' 0!' " !" X+ < !" !1 6 +:: 9 0 1!"" "" ! ! "1 ! 6 ! /" ! 13 4>S> ! "" www.sbb.ch 2!"")""1 Q 9 &!!1 !// /""!! !' 6'!/!1!7! Y 4Z !! =! [ 91 www.sbb.ch/coopmobile Das 2 Tage gültige City-HitBillett macht einen spontanen Städteplausch noch attraktiver. Eine tolle Möglichkeit, jetzt mit den Metropolen im nahen Ausland Bekanntschaft zu schliessen. Mailand als Hit unter den City staurants sowie die neusten !"! oder Leonardo da Vincis Fres- #!!"$ % !!! !""& !' ( "!""! )! * von Freiburg im Breisgau. Ent "! #&+"$, #/+"$ 0!1!! ( ! +2 3 ! 4 ! 3" )5 /""!!!""! ' "6 2 3 ! S +!//< !" 1'"" ! K!"+ &3" : 6' #! < !" 6 /!" : 6' $ ! !"+" ; 3 ! ! * K!"+ ! 6' 0 1 " ! // ! 8 ! " ! K!"+6: + U * // 8 : ! 63 '!" " 13 ! < !"#K!"+! 113 <1!"" $ // ! 13 !""% !!"5 13 6<" :R!"+ ! : ! #0 - Entdecken Sie im Oktober fremde Welten 7'"! 3 8! ! )"! 2" ' /"! !"' 9 / / : ; 31 ! <" "1 9 !//3 )5 ! !"! stet mit dem Halbtaxabo ab &"! => 2 ! Freiburg im Breisgau errei ! /!" ! ?@2 ! 91 www.railaway.ch/city-hit SBB-Zugpersonal mit Qualitätssiegel unterwegs Das Zugpersonal der SBB verfügt seit dem 1. August über das Qualitäts-Gütesiegel von Schweiz Tourismus. Sicherheitspersonal auf kritischen Frühzügen Neu: CoopMobile-Guthaben am Billettautomaten laden Dank des City-Hit-Billetts bleibt Ihnen mehr Geld zum shoppen in Mailand übrig. Neue Homepage: Mehr Übersicht und Infos NEWS. 06!1 3 6 " 6! ! 2 " /!"" 9 ( : \> 8 ' 0 + !1 /!1! 0 13 6 !!73/ ( "!6( !! :?>8 '<33 !1 D1 ! ! " ! & "6!" 2 ( Q "! & "! *Q / www.sbb.ch/entdecken Telefon 166: Jederzeit alle Infos zum Bahnverkehr ( '! 6 ! ; : 13! /!: 1 ! 3 "1 S]] ^\> 1 _ Q 3 !"" R 3 !"" / "! Das SBB-Zugpersonal schreibt Qualität im Kundenservice / Q11" gross. Schweiz Tourismus anerkennt die Bemühungen. U 1 !"1 " 6!6 1- 6 6 !1 " 3 Q""! < - * &3" !1 6' !" ! aus. Wir arbeiten weiter an ' ! 6 :K!"+ !1- :: 13 - 3 / 6 ' 6$!+* %$ /" "! www.sbb.ch U !! # www.sbb.ch/166 20 Minutes, 7.10.2009 aktuell htr hotel revue Nr. 42 / 15. Oktober 2009 3 Aus der Region mit der ganz grossen Kelle angerichtet werden kann, betont aber: «In einer ersten Phase geht es darum, Einheit zu demonstrieren.» Er verspricht sich vom gemeinsamen Auftritt mehr Aufmerksamkeit im Ausland, will aber auch die lokalen Aktivitäten nicht vernachlässigen. So prüft Tschirky eine Kooperation des Stiftsbezirks mit der Insel Reichenau (D), die ebenfalls zum Welterbe gehört. Zentralschweiz Katar hält alle Anteile an den Schweizer Hotels Nicht Massen- sondern Qualitätstourismus Der Stiftsbezirk St. Gallen ist seit 1983 Unesco-Weltkulturerbe. Der neue Marketingverein soll auch hier für mehr Gäste sorgen. Swiss-Image Gemeinsam stark Die Welterbe-Stätten und Biosphären der Schweiz wollen sich besser vermarkten. Sie suchen eine enge Kooperation mit Schweiz Tourismus. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● THERES LAGLER D ie Dichte der UnescoWelterbe-Stätten und Biosphären in der Schweiz ist hoch. Elf sind es an der Zahl (siehe Box), schön verteilt auf die Deutschschweiz, die Romandie und das Tessin. Diese Trumpfkarte wollen die Touristiker nun vermehrt ausspielen. Sie haben gestern denVerein «Unesco Destination Schweiz» gegründet.Dieseneuetouristische Dachorganisation soll den Bekanntheitsgrad der Welterbe-Stätten im In- und Ausland mit gezielten Marketingaktivitäten steigern. Bis Ende Jahr wird der Marketingplan für 2010 erarbeitet, wie Thomas Lüthi, Vizedirektor von Bern Tourismus und Präsident des neuenVereins,inAussichtstellt.Solaufen beispielsweise bereits Gespräche mit Schweiz Tourismus (ST). Lüthi erhofft sich von der Zusammenarbeit mit ST optimale Kommunikatios- und Distributionskanäle, könnte sich aber auch eine eigene Kampagne zum Thema Unesco-Welterbe vorstellen. «Ich gehe davon aus, dass wir im ersten Jahr 200 000 bis 250 000 Franken fürs Marketing zur Verfügung ha- Doch ist eine stärkere Vermarktung von schützenswerten Naturund Kulturgütern nicht problematisch? Beat Ruppen, Leiter des Managementzentrums Schweizer Alpen Jungfrau Aletsch, verneint: «Wir können einen nachhaltigen Bildungstourismus generieren, der grosses Potenzial hat.WerWerte kennt, setzt sich auch für deren Erhaltung ein», ist er überzeugt. Interesse zeigt auch ST. «Wir können uns sowohl eine Integration der Welterbe-Stätten in eine Hauptkampagne als auch punktuelle Zusatzaktivitäten vorstellen», hält Marketingleiter Rafael Enzler gegenüber der hotel revue fest. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● Fakten Das Schweizer Welterbe auf einen Blick ben», so Lüthi. Finanziert wird das Ganze über Mitgliederbeiträge und Beiträge von Marketingpartnern. Eine Mitgliedschaft kostet 500 Franken pro Jahr, Marketingpartner der Kategorie A zahlen 20 000 Franken, Marketingpartner der Kategorie B 10 000 Franken. Einheit demonstrieren, aber auch lokal agieren Boris Tschirky, Direktor von St. Gallen-BodenseeTourismus, ist Marketingpartner der Kategorie A und Mitglied des neuenVereins. Er ist sich bewusst, dass noch nicht Die Schweiz zählt zurzeit zehn Unesco-Welterbe-Stätten und eine Unesco-Biosphäre: – Kloster St. Johann in Müstair – Stiftsbezirk St. Gallen – Burgen von Bellinzona – Schweizer Alpen Jungfrau– Aletsch – Berner Altstadt – Monte San Giorgio – Lavaux, Weinberg-Terrassen – Tektonikarena Sardona – Rhätische Bahn – La Chauds-de-Fonds/Le Locle – Biosphäre Entlebuch Alle sind Mitglied der «Unesco Destination Schweiz». tl ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● CHRISTINE KÜNZLER Die Logiernächteentwicklung macht den Erfolg sichtbar: Zwischen 2005 und 2008 schrieben die Matterhorn Valley Hotels ein Plus von 21 Prozent, Grächen legte 16 Bundesrat kann Bezugsdauer für Kurzarbeit erhöhen Das Eidgenössische Volkswirtschaftsdepartement (EVD) bestätigtgegenüberdemWalliserStaatsrat, dass der Bundesrat die Kompetenz hat, im Rahmen des dritten Konjunktur-Pakets eine Erhöhung der maximalen Bezugsdauer für Kurzarbeit innerhalb von zwei Jahren auf 24 Monate vorzunehmen. Aufgrund der wirtschaftlichen Lage hatte die Walliser Regierung dem EVD die Verlängerung der Bezugsdauer vorgeschlagen. ck Geldspiel-Initiative: «Gesetzgeberisches Chaos» Der Schweizer Casino Verband (SCV) lehnt dieVolksinitiative «Für Prozent zu, das Wallis 9 Prozent und die Schweiz 13 Prozent. Der Umsatz der Matterhorn-ValleyGruppe stieg dank des Logiernächte-Plus um 30 Prozent. Fünf Eigentümer, einer davon mit zwei Hotels, hatten die Gruppe 2003 lanciert. Alle fünf sind Mitglied im Verwaltungsrat. Nun ist neudasAparthotelDesAlpesdazugestossen. «Damit wir neue und vermietete Hotels aufnehmen können, ohne den Verwaltungsrat verändern zu müssen, führen wir Franchiseverträge ein», erklärt Oliver Andenmatten, Besitzer der Geldspiele im Dienste des Gemeinwohls» ab, «weil sie überflüssig ist, keine Probleme löst und zu einem gesetzgeberischen Chaos zwischen Bund und Kantonen führt.» Das Glücksspiel solle einheitlich und widerspruchfrei durch den Bund auf Gesetzesebene geregelt werden. ck Schweizer Bäcker neu bei der Hotel & Gastro Union Die Berufsorganisation Hotel & Gastro Union in Sursee hat den Schweizerischen Bäckerei- und Konditorei-Personalverband als fünften Berufsverband aufgenommen.Mitden2800Bäckernkommt die Hotel & Gastro Union neu auf 21 000 Mitglieder. Georges Knecht, Leiter Küchenchef Inselspital, wurde an der DV zum neuen Präsidenten gewählt. ck «Hannigalp». «Wir sind alle Franchisenehmer und der Matterhorn Valley AG unterstellt. Damit haben wir die operative und die strategische Ebene klar getrennt.» Das Kooperationskonzept wird nicht gegen aussen verkauft. «Das geht gar nicht, denn wir haben Staatsund Kantonsgelder für den Aufbau erhalten. Interessierte Hotels bekommen dieTools kostenlos». Gesamthaft erzielen die sieben Betriebe einen Umsatz von rund 6 Mio. Davon werden ab 2010 1,5 Prozent ins Basismarketing gesteckt.Dassind0,5Prozentmehr Neustes Mitglied der Gruppe: Aparthotel des Alpes, Grächen. zvg für alle Hotels einen gemeinsamen Nenner zu finden», so Andenmatten. Zwei Hotels sind mit 3 Sternen Superior ausgezeichnet, die übrigenmit3Sternen.«Alsomussteder Standard zwischen 3 und 4 Sternen liegen. Wo es möglich war, setzten wir den höheren Standard um.» Doch noch mehr Geld für ST? zvg THERES LAGLER Dominique de Buman, Präsident Schweizer Tourismus-Verband. Eine Fortsetzung des Impulsprogramms von Schweiz Tourismus (ST) im Jahr 2010 scheint immer noch im Bereich des Möglichen. Der Antrag, die Marketingorganisation mit zusätzlichen 25 Millionen Franken auszustatten, fand zwar im Rahmen des dritten Stabilisierungspakets des Bundes kein Gehör, soll nun aber im Rah- men des Budgets 2010 geprüft werden. Dominique de Buman, Nationalrat und neuer Präsident des Schweizer Tourismus-Verbands (STV), ist überzeugt, dass er nicht auf verlorenem Posten kämpft. «Für dieWirtschaftskommission des Nationalrats war das Stabilisierungspaket das falsche Instrument zur touristischen ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● Vielleicht gibt es doch noch einen Retter für das seit zwei Jahren stillgelegte Skigebiet Winterhorn: Eine chisesische Firma bekundet Interesse, in das marode Skigebiet in Hospental zu investieren, wie die «Zentralschweiz am Sonntag» meldete. Eine Delegation habe sich bereits ein Bild vor Ort gemacht. Das Winterhorn, das seit Jahren mit finanziellen Problemen kämpft, versuchte via Auktionsplattform Ricardo einen Käufer zu finden. Die Skigebietbetreiber hatten auch einen an der Angel. Doch die interessierte Schweizer Gesellschaft ist im letzten Moment abgesprungen. ck Erfolg für die GiacomettiAusstellung alsbisanhin.NeuistauchdasMulti Property Front Office System mit Web Booking Engine, eine gemeinsame Buchungsplattform mit einem zentralen Rechenzentrumsdienst, die für eine optimale Auslastung der Häuser sorgt. WachsenwilldieGruppenurbedingt.Dochbeitretenkönnenauch Hotels aus umliegenden Gemeinden, «wenn sie unsere Auflagen erfüllen». Und die sind nicht ohne: Jedes Matterhorn-Valley-Hotel hat im letzten Jahr das Q III beziehungsweise ISO 9001 und 14001 erarbeitet. «Am schwierigsten war, Im 3. Stabilisierungspaket des Bundes ging der Tourismus leer aus. Die beantragten 25 Mio. zur Nachfrageförderung kommen nun in der Budgetdebatte 2010 erneut aufs Tapet. Kommen die Chinesen nach Hospental? Basel Mittelklasse auf der Höhe Sechs Jahre besteht die Kooperation der Grächener Matterhorn Valley Hotels. Ein neues Haus ist dazugestossen. Eine Erfolgsgeschichte. zvg Das Luxusresort auf dem Bürgenstock und die Hotels Royal Savoy in Lausanne und Schweizerhof in Bern kommen vollständig in den Besitz des Emirats Katar. Die Immobiliengesellschaft Barwa Real Estate Company hat das Hotelportfolio an die Qatari Diar Real Estate Investment Company transferiert, an der Katar sämtliche Anteile hält. Die Schweizer Hotelprojektefirmierenneuunter Qatari Diar Hotel & Property Swiss Management. ck/sda Nachfrageförderung», erklärt der CVP-Politiker, der selber Mitglied der Wirtschaftskommission ist. «Die Mehrheit der Kommission äusserte aber den Wunsch, dass die Finanzkommission die Anliegen des Tourismus im Budget 2010 so gut wie möglich berücksichtigt.» Die Beratungen der Finanzkommission laufen im Oktober an, da das Budget 2010 in der Dezembersession behandelt wird. Das bedeutet, dass auch das Lobbying bereits am Anlaufen ist. Ein Punkt ist dem neuen STV-Präsidenten dabei sehr wichtig: «Ich werdeunserenDirektorMarioLütolf bitten, mit der Exportförderorganisation Osec Kontakt aufzunehmen. Es darf nicht sein, dass wir eine Rivalität entwickeln. Wir müssen am selben Strick ziehen.» Musée d'Art et d'Histoire, Genf 152 894 Besucher haben die Ausstellung «Giacometti» in der Fondation Beyeler in Riehen gesehen. Sie ist nach über vier Monaten am Wochenende zu Ende gegangen. 150WerkevonGiacomettiundFamilienmitgliedern des Künstlers waren zu sehen. Sie gilt als eine derbedeutendstenAusstellungen über Giacometti. ck/sda Zürich Noch mehr Russen sollen die Stadt besuchen Zürich sei bei den Russen die beliebteste Reisedestination der Schweiz, teilte Zürich Tourismus am Dienstag mit. Durch gezielte Marketinganstrengungen will die Organisation die Chance dieses Marktes nutzen. In einem ersten Schritt wurden die wichtigsten Informationen im Internet auch in russischer Sprache verfasst. Dies soll das Auffinden der Website von Zürich Tourismus durch Suchmaschinen vereinfachen. Neu sollen auch die Märkte Polen, TschechienundRumänienbesser erschlossen werden. dst/sda actuel 22 htr hotel revue No 42 / 15 octobre 2009 En bref Valais «Movies in the Pool» à Loèche-les-Bains ldd L’Hôtel Lindner Alpentherme, à Loèche-les-Bains (VS), mettra à nouveau sur pied son festival «Movies in the Pool». Du 6 au 21 novembre,leshôtesdecetétablissement thermal valaisan pourront assister à la projection de six films, installés sur des chaises longues ou dans la piscine. Les films, de catégories diverses, ayant pour vedettes Sandra Bullock ou Brad Pitt, sont projetés sur un écran géant de huit mètres sur quatre. L’organisateur de cette animation est l’un des trentedeux hôtels de quatre ou de cinq étoiles du groupe familial allemand Lindner. mh Monde Mövenpick étoffe son offre en Tunisie La société helvétique de gestion d’hôtels de haut de gamme, MövenpickHotels & Resorts,s’appête à étoffer son offre en Tunisie. Elle vient, en effet, de signer un contrat de gestion pour une propriété appartenant au Consortium tuniso-koweitien de développement, propriété qui ouvrira ses portes au printemps 2010 à Gammarth, dans la banlieue de Tunis. Le Mövenpick Hotel Gammarth disposera de 102 chambres et de 15 suites, la majorité offrant une vue sur la baie deTunis. Il aura trois restaurants, un spa avec une piscine intérieure, une salle de conférence et de banquet pour quelque 350 personnes et trois salles de réunion. En Tunisie, le groupe exploite déjà le Mövenpick Resort and Marine Spa à Sousse. mh Mariage à sept réussi Les Matterhorn Valley Hotels, à Grächen, ont osé: jamais collaboration entre trois étoiles n’avait été aussi loin. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● GENEVIÈVE ZUBER S ix hôtels familiaux d’une même station qui se «déshabillent» complètement les uns devant les autres et qui mettent tout sur la table, leur comptabilité, leurs résultats, sans mentir sur les taux d’occupation: il fallait le faire! «C’est ce que nous appelons le principe du sauna, explique Otto Andenmatten, président du conseil d’administration du Matterhorn Valley Hotels (MVH). Il a fallu ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● Successions Les MVH ont une solution «maison» Les questions de successions hypothèquent souvent l’avenir des petits hôtels familiaux indépendants. Les enfants, les héritiers, ne sont pas toujours intéressés à reprendre l’exploitation, si bien que ces établissements risquent d’être transformés en logements. Pour y remédier, les MVH ont ficelé un concept de succession «maison»: les propriétaires qui ne souhaitent pas ou plus gérer eux-mêmes leur affaire peuvent la mettre en location auprès du groupe lui-même, qui en assurera la gestion grâce à un management commun. gz trois années de gestation, sous l’arbitrage d’un coach toujours en fonction d’ailleurs au sein du groupe, pour que la coopération devienne effective, il y a trois ans. Planification, management, exploitation,venteetmarketing,packages d’offres… Cette expérience pilote de collaboration, soutenue parInnotour,n’acessédes’intensifier pour franchir, cet automne, une nouvelle étape: les MVH ont décroché les labels de qualité de niveau III et Valais Excellence, le groupe vient de passer de six à sept hôtelset,deplus,ilétrenneunnouveau système de gestion des informations servant de plateforme commune de réservations. Le chiffre d’affaires des MVH a progressé de 30% Quant aux résultats, «dans la balance, les avantages pèsent davantage que la part d’indépendance que chaque hôtel a dû céder», résume Otto Andenmatten. «Prenez la planification des investissements: le poids du groupe a été déterminant pour obtenir un financement auprès du Centre de compétences financières (CCFValais), puis des banques.» En ce qui concerne les nuitées, en trois ans, celles des MVH (six établissements sur six à Grächen) ont augmenté de 21%, contre 16% dans la station et 9% en Valais. Dans le même temps, le chiffre d’affaires des MVH a progressé de 30%. Et cet été, il n’y a pas eu de recul des nuitées, malgré la crise. Au niveau de l’exploitation, les différentes collaborations ont induit des économies de l’ordre de 20%. Deux exemples parmi d’autres: les MVH négocient collectivement leur contrat d’assurance, ce qui leur permet d’épargner 35 000 francs, et avec une seule et unique La station valaisanne de Grächen est devenue le laboratoire d’une synergie hôtelière très poussée. fiduciaire, c’est se fait ensemble. «Les petites encore 12 000 Quant aux prostructures francs de gagné. chainsobjectifs,il hôtelières Enfin, les MVH s’agit, pour ces ont opté pour un hôtels indépenont encore corporate design dants, d’intenside l’avenir.» uniformisé et un fier encore la seul site-portail, collaboration en Patrick Bérod Directeur de l’AHV «un pas détermipassant à un seul nant pour améet unique manaliorer notre visibilité». gement. Citons encore le dernierLepotcommunestalimentépar né de cette série de projets: une 1,5 à 2% du chiffre d’affaires et, dé- coopération hôtelière en matière sormais, près de 90% du marketing d’économies d’énergies forte ldd d’unedouzainedemembresetqui, espère Patrick Bérod, directeur de l’AssociationhôtelièreduValais,en comptera 30 à la fin 2009. «En incitant les hôteliers à collaborer, nous voulons leur donner l’envie et le goût de travailler ensemble. Contrairement à ce que clament certains, les petites structures hôtelières ont de l’avenir, pour autant qu’elles coopèrent. En ces temps de crise, c’est le moment d’y penser. Et la success story des MVH ne peut être que motivante.» ANNONCE WALLIS Freitag, 16. Oktober 2009 3 Gemeinsam gewinnen Matterhorn Valley Hotels (MVH) in Grächen auf Erfolgskurs G r ä c h e n. – Der Trend der Hotellerie im Alpenraum geht klar in Richtung weniger, dafür grösserer Betriebe. Die MVH beweisen indes, dass auch kleine Hotels erfolgreich sein können. 3000 Franken einsparen kann.» Mittlerweile liessen sich auch die Kollegen eine entsprechende Offerte unterbreiten. Zufriedene Gäste für nachhaltigen Erfolg Ein gebündeltes Leistungsangebot verbessert die Marktschlagkraft. Andenmatten stellt beispielsweise sein Hallenbad für alle Gäste der MVH zur Verfügung. Weiter erhält die Kundschaft eine Gästekarte und profitierte so von einer 10-ProzentErmässigung auf das kulinarische Angebot und auf dasjenige von lokalen Sportgeschäften. Zusammen mit einem gezielten Marketing sorgt das für zufriedene Gäste und damit für nachhaltigen Erfolg. Das prozessorientierte Managementsystem ISO hilft ausserdem, die betrieblichen Abläufe kontinuierlich zu verbessern. Nebst dem ISO 9001 und 14001 erlangen die MVH auch das Q-Gütesiegel der Stufe III inklusive Valais-Excellence-Label. Ausgerechnet im vom Neid durchtränkten Wallis gründete vor sechs Jahren eine Handvoll Grächner Hoteliers die Hotelkooperation der MVH. Inzwischen hat sich der ambitionierte Zusammenschluss auf dem Markt stark positioniert und gilt als Leuchtturmprojekt für die ganze Schweiz. Stärken und Schwächen kennen Kleine und mittelgrosse Hotels bekunden oft Mühe, die vom Markt geforderten Investitionen zu tätigen. «Ein Kooperationsansatz ist eine Chance, die Kosten zu senken und gleichzeitig den Umsatz zu steigern», ist Dr. Marcus Frey, Projektmanager und Coach der MVH, überzeugt. In Grächen seien sieben unabhängige 3-Sterne-Familienbetriebe willig und fähig, mit ihren Nachbarn zusammenzuarbeiten. Betriebswirtschaftliche und -technische Analysen bei jedem einzelnen Betrieb hätten dafür gesorgt, die Transparenz auf einzel- und überbetrieblicher Ebene zu verbessern. Bilanzen, Erfolgsrechnungen, Kennzahlen, Kreditverträge, Liefer- und Serviceverträge sowie Logiernächtestatistiken und Gästestrukturen wurden systematisch miteinander verglichen und diskutiert. «Nur wer seine Stärken und Schwächen kennt, kann erfolgreich sein», so Frey. Seit 2005 setzen die MVH ent- 21Prozent mehr Logiernächte Olivier Andenmatten (rechts), Geschäftsführer vom Hotel Hannigalp, bei der Übergabe des ISO-Zertifikats. sprechende Module zielführend um. Vernetzung des Gesamtsystems In einem ersten Schritt verbesserten die MVH die interne und externe Transparenz. Das eingeführte Management-Informations-System (MIS) standardisiert das Finanz- und Rechnungswe- sen der einzelnen Betriebe. Die Buchführung erfolgt in Zusammenarbeit mit einem gemeinsamen Treuhänder und einer einheitlichen Software. Zudem dient ein «Multi Front Office System» inklusive «Web Booking Engine» als gemeinsame Buchungsplattform. Kosteneffizienz auf ganzer Linie wird bei den MVH grossge- schrieben. So hilft auch ein gemeinsames Beschaffungs- und Einkaufswesen, Kosten zu senken. «Zusammen mit den Sicherheitsleistungen sparen die MVH damit rund 115 000 Franken pro Jahr», sagt Frey. Hotels sind energieintensiv. In vier von sieben MVH wurde deshalb eine Energieanalyse durchgeführt. Frey erwähnt diesbezüglich ein Foto wb Musterbeispiel von transparenter Kommunikation zwischen den einzelnen Betrieben: «Am 13. Oktober schrieb Olivier Andenmatten, Geschäftsführer vom Hotel Hannigalp, eine E-Mail an seine Kollegen. Er machte sie darauf aufmerksam, dass er einen alternativen Stromlieferanten ausfindig machen konnte und so allein für sich jährlich Und wie siehts mit dem messbaren Erfolg der MVH aus? «2005 bis 2008 ist die Bettenauslastung um acht Prozent angestiegen; die Logiernächte wuchsen um 21 Prozent. Daraus resultiert eine Erhöhung des Markenanteils um drei Prozent», spricht Frey Klartext. Die verbesserte Auslastung wirkt sich denn auch auf den konsolidierten Betriebsertrag aus; konkret ein Plus von 30 Prozent. Diese positive Entwicklung gehe laut Frey mit der Kundenzufriedenheit einher. Die Hotels seien attraktiver geworden und der Bekanntheitsgrad gestiegen. mk Werden die Mieten sinken? Im Oberwallis boomt der Mietwohnungsbau. Was sind die Folgen? O b e r w a l l i s. – Die Zahl der leer stehenden Wohnungen in der Schweiz ist weiter zurückgegangen. Auch im Wallis, sagt zumindest das Bundesamt für Statistik. Dies wird sich in Zukunft ändern. nen Projekte der Pensionskassen tragen dazu bei, dass das Angebot an Mietwohnungen in naher Zukunft erweitert wird. «Mittelfristig wird es im Oberwallis wohl eher zu viele Mietwohnungen im Angebot haben», sagt denn auch Walter Jossen von der Immobilienagentur Betterhomes. Gleicher Ansicht ist Immobilienexperte Viktor Kämpfen: «Es wurde und wird derzeit viel in den Oberwalliser Mietwohnungsmarkt investiert.» Da stelle sich natürlich die Frage, ob nicht bald eine Sättigung erreicht werde. Künftig müsse man wohl mit einem gewissen Leerbestand rech- nen, was sich dann wohl auch auf die Mieten auswirken werde, so Kämpfen. Es kann jedoch auch sein, dass die Mietwohnungen nicht um «jeden Preis» vermietet werden, nämlich dann, wenn die Vermieter die Wertminderung der Objekte mitberücksichtigen. Trotzdem zeichnet sich ab, dass Mieten künftig sinken werden. Eine Konsequenz dieses attraktiveren Angebots an Mietwohnungen wird laut Kämpfen weiter sein, dass diese Überbauungen neben Neuzuzügern aus der weiteren Umgebung auch Leute aus den Rändern der Siedlungsgebiete nach Brig-Glis, Naters oder Visp lockt. Der im Oberwallis feststellbare Trend in die städtischen Agglomerationen könnte sich verstärken. Luxus kostet Keine Verschärfung im Oberwallis Betrachtet man die aktuelle Statistik des BFS, stellt sich die Frage, wie es derzeit in Sachen Mietpreise im Oberwallis aussieht? Markus Furrer von der RE/MAX Oberwallis sagt, dass vor allem im Raum Brig die Mietwohnungen für viele Interessenten doch eher zu teuer seien. «Viele überlegen sich dann, ein Objekt zu kaufen, wenn die Mietkosten eine gewisse Limite übersteigen, denn die Zinsen sind günstig.» Und Walter Jossen hält fest: «Klar sind die Mieten in der Region Brig über dem Oberwalliser Durchschnitt.» Aber das habe auch mit dem Ausbaustandard und dem Standort zu tun. «Jeder will heutzutage Luxus. Das kostet nun mal», so Jossen. Der Mieterschutzverband Wallis war für eine diesbezügliche Stellungnahme gestern nicht erreichbar. Obwohl sich auch im Kanton Wallis das Angebot an leer stehenden Mietwohnungen innerhalb eines Jahres um mehr als 20 Prozent reduziert hat, rechnen Immobilienexperten nicht damit, dass sich die Mietwohnungssituation im Oberwallis verschärfen wird. Im Gegenteil. Im Oberwallis wird gebaut. Mehrere Projekte sollen die Nachfrage nach Mietwohnungen stillen. So entstehen etwa in Visp mit der Überbauung «Weidlösser» 102 Mietwohnungen. Auch die verschiede- Der Wohnungsmarkt für Mieter im Oberwallis scheint sich zu entspannen, obwohl das Bundesamt für Statistik den entgegengesetzten Trend festhält. Viktor Kämpfen hat eine Erklärung: «Immobilienmärkte funktionieren immer auf lokaler oder regionaler Ebene, nicht auf kantonaler.» Es gebe indes Regionen im Unterwallis, in denen in der Tat eine sehr grosse Nachfrage nach Mietwohnungen bestehe, so Kämpfen. bra Erneut ist die Zahl der leer stehenden Wohnungen in der Schweiz zurückgegangen. Am vergangenen 1. Juni waren rund 0,9 Prozent aller Wohnungen frei, wie das Bundesamt für Statistik (BFS) kürzlich mitteilte. Dies sind über sechs Prozent weniger als am Stichtag des Vorjahres. Der Schweizerische Mieterinnen- und Mieterverband der Deutschschweiz forderte daher Bund, Kantone und Gemeinden zum Handeln auf. Die Wohnungsnot müsse aktiver bekämpft werden, teilte er mit. Ansonsten treibe das knappe Angebot an Mietwohnungen die Preise in die Höhe. Regionaler Markt Gut für Mieter: Derzeit wird viel in den Oberwalliser Mietwohnungsmarkt investiert. Foto Archiv wb Hotellerie 22. Oktober 2009 Nr. 43 Ein Dorf, sieben Hotels und ein Ziel: erfolgreich arbeiten CHECK IN Keine Konkurrenz Best Western Hotel Grauholz Zimmerpreis würfeln gegen Krebs Die Gäste des Best Western Hotels Grauholz in Ittigen hatten während 100 Tagen die Möglichkeit, mit Würfeln einen Rabatt von 1 bis 12 Prozent auf ihren Zimmerpreis zu erhalten. Fast alle Gäste waren bereit, den erspielten Rabatt der Berner Stiftung für krebskranke Kinder und Jugendliche des Inselspitals Bern zu spenden. Wie das Hotel schreibt, spielte die Aktion 3800 Franken ein und wurde von der Direktion auf 4000 Franken aufgerundet. Zusammenarbeit statt Konkurrenzdenken. Dass dies möglich ist, zeigt die Hotelkooperation der Matterhorn Valley Hotels. Luzia Hug Hinter den Bergen, bei den sieben KMHs, da findet man eine beispielhafte Zusammenarbeit, wie sie für die Schweiz Pilotcharakter hat. Die Grächner Hoteliers haben erkannt, dass sie miteinander mehr ausrichten können, als wenn sie gegeneinander arbeiten. «Ich kann mir vorstellen, dass die Halbpension-Gäste eines Hotels jeweils bei den anderen sechs Kollegen das Nachtessen einnehmen», sagt Peter Schetter vom Turm Hotel Grächerhof (Foto ganz rechts). Ganz so weit geht die Hotelkooperation der Matterhorn Valley Hotels (MVH) zwar (noch) nicht, doch die Aussage zeigt, wie weit die Bereitschaft zur Zusammenarbeit geht. www.bestwestern-grauholz.ch Seminargeschäft L. HUG Starker Ausbau trotz Umsatzeinbussen Ein Beispiel von gelungener Kom- munikation liefert Oliver Andermatten vom Hotel Hannigalp (Foto 2. v.l). Per E-Mail machte er seine Mitbewerber auf einen alternativen Stromlieferanten aufmerksam, bei dem er jährlich bis zu 3000 Franken einsparen kann. Die Kollegen dankten für den Tipp und liessen sich eine entsprechende Offerte anfertigen. Die Hotels Hannigalp, Elite, La Collina, Des Alpes, Alpina, Desirée und das Turm Hotel Grächerhof sind QIII-ausgezeichnet. Mehrwert geboten. So steht das Hallenbad im Hotel Hannigalp allen Gästen der MVH zur Verfügung. Mit einer Gästekarte kann zudem mit einem 10-Prozent-Rabatt bei den anderen Mitgliedern gespeist werden. Auch saisonale AngebotsPackages wie Schneeschuhwandern oder Snow-biking stehen auf dem gemeinsamen Programm. timierter und effizienter MarketingMix erreicht werden. Den Gästen wird mittels eines ge- bündelten Leistungsangbots ein 20% Einheitliche Strukturen werden im 15 10 5 0 MVH Grächen Wallis Schweiz Der Zuwachs an Logiernächten (2005 bis 2008) ist bei den Matterhorn Valley Hotels (MVH) am grössten. QUELLE: MVH; GRAFIK: O. KREJCI täglichen Geschäft der sieben Hoteliers umgesetzt und bilden die Basis der Zusammenarbeit. So unterhalten die MVH ein koordiniertes Finanz- und Rechnungswesen. Die Buchführung erfolgt in Zusammenarbeit mit einem gemeinsamen Treuhänder. Da sie auf einheitlicher Software basiert, fördert dies den Erfahrungsaustausch und erhöht gleichzeitig das Know-how. Durch ein gemeinsames Beschaffungs- und Einkaufswesen ergeben sich für die Partner Einkaufsvorteile. Eine koordinierte Investitions- und Finanzplanung ermöglicht die Sicherstellung der Marktfähigkeit. Die erhöhte Kreditwürdigkeit bringt den Mitgliedern Finanzierungsvorteile. Wie die MVH in einer Medienmitteilung schreiben, konnte dank einer gemeinsamen Homepage und einheitlicher Corporate Identity ein op- 9 «Eine Kooperation ist für die KMHs eine Chance», sagt Marcus Frey, Projektmanager und Coach der MHV. Denn so können Kosten gesenkt, der Umsatz gesteigert sowie Stärken und Schwächen verbessert werden. «Die sieben Familienbetriebe haben sich von den klassischen Strukturen verabschiedet, um einen Mehrwert zu generieren.» Die Zahlen zeigen, dass sich eine Hotelkooperation auszahlen kann. Die Bettenauslastung ist zwischen 2005 und 2008 um 8 Prozent gestiegen. Im selben Zeitraum nahmen die Logiernächte um 21 Prozent zu. Im nationalen Vergleich weist Grächen ein Plus der Logiernächte von 16 Prozent auf, das Wallis liegt bei 9 Prozent. Gesamtschweizerisch resultierte ein Plus von 13 Prozent (siehe Grafik). In den letzten sechs Jahren haben sich sieben der insgesamt 17 Hotels in Grächen zur Kooperation Matterhorn Valley Hotels zusammengeschlossen. Geplante Investitionen für die Jahre 2006 bis 2010 von 5,6 Millionen Franken und eine Steigerung der Bettenauslastung sowie der Logiernächte zeigen, dass die MHV auf gutem Weg sind. Um erfolgreich miteinander arbeiten zu können, muss viel diskutiert und manchmal auch akzeptiert werden. Nicht immer sind sich die sieben einig, doch sie beissen gelegentlich in den sauren Apfel, damit die Zusammenarbeit sich weiterentwickeln kann. Und so muss man nicht einmal Schneewittchen heissen, um von den sieben KMHs liebevoll umsorgt zu werden. En bref Collaboration plutôt qu’esprit de concurrence. La coopération entre les établissements de Matterhorn Valley Hotels (MHV) démontre que c’est possible. Depuis la fondation, en 2003, à Grächen, cette philosophie commune a permis d’améliorer le taux d’occupation des lits ainsi que le nombre de nuitées. Das Seminarund Kongressgeschäft leidet unter der Wirtschaftskrise. Trotzdem wird weiter investiert. In der Zentralschweiz beispielsweise werden auf dem Pilatus im Hotel Kulm für 14 Millionen Franken neue Konferenzräume gebaut. Wie Stefan Gächter, Geschäftsführer der Luzerner Incoming GmbH erklärt, will die Branche für den erwarteten Aufschwung 2010/2011 gerüstet sein und das Feld nicht kampflos den Grossinvestoren überlassen. Alpine Kinderklinik Davos Wiedergeburt im Winter Die 1922 gegründete, im vergangenen Frühling mangels ärztlicher Leitung geschlossene Alpine Kinderklinik Davos erlebt eine spezielle Wiedergeburt: Diesen Winter wird die Klinik dem WEF dienen und im Übrigen als Sporthotel genutzt. Obwohl eine Wiederaufnahme des Klinikbetriebes vorgesehen und angekündigt war, erscheint fraglich, ob die Verantwortlichen die Umnutzung dereinst wieder rückgängig machen werden. ANZEIGE GJRI60188 htr hotel revue - Das Onlineportal der Schweizer Fachzeitung für Tourismus: QIII und... Page 1 of 1 htr-online 28.10.2009 QIII und Steinbock-Label im Kombi Das Steinbock-Label, das Schweizer Gütesiegel für Nachhaltigkeit, hat die Anerkennung für das QualitätsGütesiegel Stufe III des Schweizer Tourismus erhalten. Über die KombiZertifizierung können Hotelbetriebe ab sofort beide Gütesiegel zeitgleich erhalten. Das Steinbock-Label ist nach intensiven Vorabklärungen und der Anpassung der Zertifizierungsmethodik als Möglichkeit zur Erlangung des QualitätsGütesiegels Stufe III anerkannt worden. Einem Hotelbetrieb, der sich mit dem (© zvg) Steinbock-Label zertifizieren lässt, ist es so sofort möglich, mit dem Steinbock- Label direkt das Qualitäts-Gütesiegel Stufe III zu erlangen, wenn die entsprechenden Zusatzkriterien erfüllt werden. Das Steinbock-Label sei das erste Nachhaltigkeitslabel, dem diese Anerkennung durch das Qualitäts-Gütesiegel zuteil wurde, heisst es weiter. (rom) Werbung http://www.htr.ch/artikel_17034.html?print=1 03.11.2009 Jetzt ist das GDI auch auf dem Papier spitze - News Zürich: Linkes Ufer - tagesanzeig... Page 1 of 3 ZÜRICH Jetzt ist das GDI auch auf dem Papier spitze Von Patrick Gut. Aktualisiert am 29.10.2009 Das Gottlieb-Duttweiler-Institut in Rüschlikon hat von Schweiz Tourismus das höchste Qualitätslabel erhalten. Ein Vorteil gegenüber der Konkurrenz. Die Lage des GDI ist ohnehin aussergewöhnlich, jetzt garantiert ein Label dem Kunden zudem höchste Qualität. k Bild: Sabine Rock Das Gottlieb-Duttweiler-Institut (GDI) ist international Links www.quality-our-passion.ch bekannt für seine Trendforschung. In Rüschlikon wird aber nicht nur in die Zukunft geschaut. Das GDI bietet sei je Räumlichkeiten für Tagungen und Konferenzen. Und Qualitäts-Gütesiegel von der Küche des GDI kann man sich verwöhnen lassen. Schweiz Tourismus vergibt das Qualitäts- Jetzt ist der Veranstaltungsbereich des GDI von Schweiz Gütesiegel in drei Stufen. Bei Stufe I steht die Qualitätsentwicklung im Vordergrund. Insbesondere die Servicequalität. Die Betriebe Tourismus mit dem Gütesiegel QIII ausgezeichnet worden. Vor der Verleihung stand ein zweijähriger dieser Stufe werden stichprobenartig überprüft. Prozess, in dem das GDI eine umfassende Liste von Bei Stufe II geht es um die Qualitätssicherung. Qualitätsnormen erfüllen musste. Im Bezirk gibt es nur zwei Betriebe, die diese höchste Qualitätsstufe erreicht http://www.tagesanzeiger.ch/zuerich/linkes-ufer/Jetzt-ist-das-GDI-auch-auf-dem-Papi... 30.10.2009 Jetzt ist das GDI auch auf dem Papier spitze - News Zürich: Linkes Ufer - tagesanzeig... Page 2 of 3 Betriebe in dieser Kategorie werden regelmässig haben (siehe Kasten). von externen Testpersonen überprüft. Das Qualitätssiegel der Stufe III können Betriebe erwerben, die ein umfassendes international anerkanntes Qualitäts-Management-System Wirkung nach innen und aussen umsetzen. Im Kanton Zürich besitzt als reiner Beim Lokaltermin begrüsst mich die Dame am Empfang Veranstaltungsort neben dem Gottlieb- sehr freundlich und mit Namen. Von der Eingangshalle Duttweiler-Institut einzig das Horgner aus bietet sich ein grandioser Ausblick über den Zürichsee Bockengut der CS das Gütesiegel der Stufe III. Eine Ledersitzgruppe lädt zum Verweilen. Auf dem (pag) Sofatisch sind drei Tageszeitungen gestapelt. Zuoberst liegt der «Tages-Anzeiger». GDI-Sprecher Alain Egli und Leo Nold, der Leiter Veranstaltungen, erklären mir, was es mit dem Qualitätssiegel auf sich hat. Das Siegel soll nach innen und nach aussen wirken. «Unsere Kunden haben jetzt die Sicherheit, dass wir eine hohe Qualitätsnorm erfüllen», sagt Nold. Der Markt im Bereich der Veranstaltungen sei hart umkämpft. Für Kunden sei das Label ein gutes Argument. Gegen innen habe die Zertifizierung mit dem Q-Label die Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter zusätzlich motiviert. Sie hätten die letzten zwei Jahre auf dieses Ziel hingearbeitet. Die Qualitätsstandards würden jetzt von internen und externen Stellen laufend überprüft. «Mich hat das System überzeugt, weil wir jetzt dranbleiben müssen. Die Dienstleistungen müssen sich laufend verbessern», sagt Nold. Das Gütesiegel setzt auf Standardisierung. Für die verschiedenen Funktionen gibt es ausführliche Pflichtenhefte. «Die Qualität steht und fällt also nicht mit dem Weggang einer einzelnen Person», sagt Nold. Ein Nachfolger orientiere sich am festgehaltenen Standard. Das System ist derart ausgeklügelt, dass der Hauswart genau weiss, wann er Laub wischen oder Schnee räumen muss. «Für uns wäre es sehr unangenehm, wenn ein Kunde auf dem Laub ausrutschen und sich ein Bein brechen würde», sagt Egli. Aufwand enorm «Der Aufwand war überraschend gross», sagt Leo Nold, wenn er auf die letzten zwei Jahre zurückschaut. Immerhin sei das meiste schon vorhanden gewesen, viele Prozesse hätten aber standardisiert werden müssen. «Wir wollen den Kunden die Wünsche von den Augen ablesen, ohne aufdringlich zu wirken», sagt Nold. Der Kunde solle sich wohlfühlen. Dazu müsse die Dienstleistung perfekt sein, sonst würden di Besucher von ihrer Aufgabe abgelenkt. Einen Wahlspruch von Gottlieb Duttweiler – «Der Mensch im Mittelpunkt» – habe man für den Veranstaltungsbereich abgewandelt in «Der Gast im Mittelpunkt». Als ich das GDI verlasse, verabschiedet mich die Dame am Empfang. «Auf Wiedersehen Herr Gut.» http://www.tagesanzeiger.ch/zuerich/linkes-ufer/Jetzt-ist-das-GDI-auch-auf-dem-Papi... 30.10.2009 Jetzt ist das GDI auch auf dem Papier spitze - News Zürich: Linkes Ufer - tagesanzeig... Page 3 of 3 Jetzt bin ich mir sicher: Der «Tages-Anzeiger» auf dem Sofatisch lag absichtlich zuoberst. Mehr Nachrichten und Hintergründe vom linken Seeufer gibt es täglich auf den Regionalseiten im zweiten Bund des Tages-Anzeigers. Schreiben Sie direkt an [email protected] (Tages-Anzeiger) Erstellt: 29.10.2009, 04:00 Uhr © Tamedia AG 2009 Alle Rechte vorbehalten http://www.tagesanzeiger.ch/zuerich/linkes-ufer/Jetzt-ist-das-GDI-auch-auf-dem-Papi... 30.10.2009 Medienspiegel 2009 November 022 | HOTELLERIE JE MEHR STERNE DESTO MEHR Q’S? FAMILIE SCHWEIZER MÖCHTE DIESES JAHR DIE FERIEN IN DEN BERGEN VERBRINGEN. IM INTERNET UND IN PROSPEKTEN SUCHT SIE NACH EINER PASSENDEN UNTERKUNFT. DAS ANGEBOT IST GROSS; ABER WELCHES HOTEL IST DIE RICHTIGE UNTERKUNFT FÜR SIE? HERR SCHWEIZER BETONT, DAS HOTEL MÜSSE MINDESTENS DREI STERNE HABEN. UND FRAU SCHWEIZER HAT SCHON EINMAL ETWAS VOM QUALITÄTSGÜTESIEGEL Q GEHÖRT, AUF DAS MAN ACHTEN MÜSSE. Zunächst sollten sich die beiden (fiktiven) Personen entscheiden, welche Faktoren für sie wichtig sind. Neben der Lage kommt es natürlich darauf an, wie sie sich ihren Aufenthalt vorstellen. Möchten sie einen Wellnessbereich vorfinden, ein grosses Zimmer oder gar einen Kinderclub im Hotel zur Verfügung haben? Diese Faktoren gehören zu den Ausstattungsmerkmalen eines Hotels, der sogenannten Hardware. Mit Spezialangeboten und Investitionen in neue Infrastruktur buhlen die Hotels um die Gunst der Kunden. Dabei wird es für diese immer schwieriger, sich für eine Unterkunft zu entscheiden. Die Ausstattung ist oft austauschbar und je nach Hotelkategorie sind bestimmte Dienstleistungen sowieso selbstverständlich. Deshalb wird es für die Hotels auch immer wichtiger, auf die weichen Faktoren – die Software – zu setzen, um sich damit von der Konkurrenz abzuheben. Hier geht es um die Qualität von Freundlichkeit und besonderer Aufmerksamkeit. Wer heute als professioneller Gastgeber erfolgreich sein will, muss die Sicht der Gäste kennen. Ein unzufriedener Gast gibt seinem Unmut nicht unbedingt verbal Ausdruck – er kommt schlicht nicht wieder. Ist jemand aber von der Qualität des Services in einem Betrieb überzeugt und weiss, dass er sich darauf verlassen kann, dann wird er auch wieder kommen. << WELLNESSBEREICH ODER KINDERCLUB GEHÖREN ZUR HARDWARE EINES HOTELS. WIE SIEHT´S MIT DER SOFTWARE AUS? >> Qualität ist, wenn auch das Drumherum stimmt. HOTELLERIE | 023 << IN DER HOTELLERIE WERDEN DIE WEICHEN FAKTOREN ZUNEHMEND WICHTIGER >> SCHWEIZ TOURISMUS SETZT AUF DREI QUALITÄTSSTUFEN Hier setzt das Qualitätsprogramm 1 von Schweiz Tourismus an. Es wird von zwölf Trägerorganisationen, darunter «hotelleriesuisse» und «GastroSuisse», unterstützt. Ziel: Das Qualitätsbewusstsein innerhalb der touristischen Betriebe zu stärken und später auch zu überprüfen. Das Programm umfasst drei Stufen: Stufe eins konzentriert sich auf die Servicequalität. Sie basiert auf einer Selbstdeklaration der Betriebe und garantiert fortwährende Aufmerksamkeit. Die zweite Stufe zielt auf eine Verbesserung der Führungsqualität. Im Rahmen von Kunden- und Mitarbeiterbefragungen sowie der Kontrolle durch eine anonyme Testperson wird das Qualitätsniveau kontinuierlich gesichert und verbessert. Mit der Stufe drei wird schliesslich ein umfassendes Qualitätsmanagement-System wie die ISO-Zertifizierung oder das EFQM-Modell eingeleitet. Auf allen Stufen sollen Gäste wie Mitarbeiter das Ergebnis in Form einer besseren Dienstleistung spüren. In einer Studie 2 im Auftrag von Hotelleriesuisse, wurden Kunden gebeten, die Bedeutung verschiedener Aspekte bei der Hotelwahl in Prozent zu beurteilen. Daraus geht hervor, dass neben Merkmalen wie Ausstattung (30%) oder Preis (29%) beim Entscheid auch die Tatsache eine Rolle spielt, ob der Betrieb ein Qualitätsgütesiegel besitzt (10%). Die Bedeutung der Auszeichnung mit dem Qualitätsgütesiegel von Schweiz Tourismus wurde in der Schweizer Hotellerie erkannt und das Q (aufgeteilt in drei Stufen) erfreut sich seit seiner Lancierung 1997 grosser Beliebtheit. Beim neuen Hotelgütesiegel «Typically Swiss Hotels» ist das Q Voraussetzung, um dabeizusein. EIN Q IST MEHR ALS DIE SUMME DER STERNE Heute sind rund 680 Hotellerie-Betriebe mit einem der drei Q’s zertifiziert. Damit hat die Branche einen Anteil von etwa 42% an den gesamten Q-Auszeichnungen in der Schweiz. Vom Einstern- bis Fünfstern-Hotel sind alle Kategorien vertreten. Hinter dem Q steht denn auch mehr als die Anzahl Sterne, die ein Hotel aufweisen kann. Die Sterneklassifikation oder auch die Auszeichnung «Hotel Categorical C1 bis C5» von GastroSuisse sind natürlich weltweit bekannt und unverzichtbar. Um sich aber wirklich abzuheben, braucht es mehr. Im Gegensatz zu den Sternen steht das Q nicht für einen Ausstattungsstandard, sondern zeigt, dass in diesem Betrieb zur Sicherung der Qualität seiner Dienstleistungen ein ständiger Prozess im Gang ist. Mit dem Qualitätsprogramm wird an den weichen Faktoren gearbeitet und Servicequalität, Freundlichkeit oder das Reklamationsmanagement werden optimiert. STERNE UND Q’S GEHEN HAND IN HAND Die Hotelklassifikation in der Schweiz honoriert Anstrengungen im Bereich Qualitätsmanagement, indem sie das Qualitätsgütesiegel von Schweiz Tourismus oder gleichwertiger Systeme bei der Vergabe des Klassifikationszusatzes «superior» berücksichtigt. Das Q-Gütesiegel und die Sterneklassifikation gehen also Hand in Hand. Es muss nicht sein, dass ein Hotel mit wenig Sternen nur das Q1 erhält und ein grosses automatisch das Q3. Allerdings haben grössere Häuser oft mehr Mittel und Zeit, um ein umfassendes Qualitätsmanagement-System wie die ISO-Zertifizierung einzuführen. Das Q-Programm ist dreistufig, damit auch kleine Betriebe ein passendes Instrumentfinden und sich mit einem Q auszeichnen lassen können. Andrerseits gibt es durchaus auch Zwei- oder Drei-Sternehotels, denen eine Gäste- und Mitarbeiterbefragung wichtig ist und die das Qualitätsgütesiegel der Stufe zwei bei sich umsetzen. Dies ist zum Beispiel beim Hotel City Weissenstein in St. Gallen der Fall: Dieses setzt sowohl im Logo wie in der Werbung konsequent das Q2Logo neben seine drei Sterne. Ein anderes Beispiel ist die Matterhorn Valley Hotels AG, eine Kooperation von Drei-Sternehotels in Grächen, die soeben mit dem Q3 ausgezeichnet worden ist. Statistiken zeigen, dass die meisten Q-Auszeichnungen bei den Drei-Sternehotels zu finden sind. << GROSSE HOTELS HABEN MEHR MITTEL UND ZEIT FÜR EIN ECHTES QUALITÄTSMANAGEMENT >> Egal wie viele Q’s ein Betrieb nun erreicht – wichtig ist, dass sich vom Hoteldirektor über den Chefkoch bis zur Etagen-Mitarbeiterin alle für die ständige Arbeit an der Qualität einsetzen. Auch wenn heute die Mittel knapp sind und Investitionen dreimal überlegt werden, wäre die Vernachlässigung der Qualitätsbemühungen fatal. Gerade jetzt sollen sich die Reisenden ihres Aufenthalts und der Qualität der Dienstleistungen im Ferienland Schweiz positiv erinnern. Mit dem Qualitätsprogramm steht ein Instrument zur Verfügung, mit dem die Qualität nachhaltig gesichert werden kann. 1 Vgl. www.quality-our-passion.ch 2 Vgl. «Hotellerie der Zukunft», 2008 ZUR PERSON: Chantal Beck und Andrea Haid Die Autorinnen arbeiten in leitender Funktion für das Qualitätsprogramm des Schweizer Tourismus-Verbandes STV www.swisstourfed.ch Medienspiegel 2009 Dezember Aktuelles / Interessenvertretung Quality Meeting Zum ersten Mal fand in Luzern ein Quality Meeting des Schweizer Tourismus statt. Christina Fasser, Geschäftsleiterin von Retina Suisse, referierte über die Bedeutung von Qualität aus Sicht eines blinden Menschen. Ein Auszug aus der Rede. "Qualität sieht man nicht nur, man spürt sie" – dieser triviale Satz ist nicht nur wahr, sondern auch täglich erfahrbar. Um Ihnen meine persönlichen Reiseerfahrungen und damit Qualitätserfahrungen näher zu bringen, nehme ich Sie in Gedanken auf meine letzte Reise nach Italien mit. Ich bin mit Freunden in die Gegend von Mantua zum Velofahren gefahren. Ich benutzte das Tandem, meine sehenden Kollegen Einzelräder. So erkundeten wir die schöne Gegend zwischen den Flüssen Minunzio und Olio und den Seen. Rund um Mantua gibt es viele schöne kleine Orte im RenaissanceStil, wie z.B. Sabbionetta. Früher habe ich einmal gesehen. Als junger Mensch bekam ich noch eine traditionelle humanistische Bildung und damit sind mir die Prinzipien und Bilder der Renaissance bekannt und auch noch mehr oder weniger präsent. Daher haben meine Freunde keine Hemmungen, mich in Museen und zu Besichtigungen mitzunehmen. Um Ihnen zu zeigen, was Qualität für blinde Menschen im Zusammenhang mit Museen sein kann, nehme ich Sie mit in den Palazzo del Te in Mantua. Der Palazzo del Te wurde von Frederico II. Gonzaga um 1530 erbaut als Sommerresidenz und Stallungen für die grosse Pferdezucht, eines der grossen Hobbies des Fürsten. Erbaut und mit Bildern versehen wurde er von Giulio Romano, einem Schüler Raffaelo’s. Da der Palast völlig ausgeraubt wurde, ist er heute ein wundervolles Denkmal reinster Renaissance. Meine erste Überraschung: Am Eingang wurde mir sofort ein taktiler Plan ausgehändigt. So konnte ich versuchen, mir ein 24 • SZB-Information 148 / 2009 erstes Bild zu machen. Ich muss gestehen, ich habe etwas Mühe, einen Plan zu entziffern, der nicht angeschrieben ist. Zusammen mit meinen sehenden Freunden konnte ich mir dann doch ein erstes Bild machen. Umso überraschter waren wir, als uns die Führerin im nächsten Saal als erstes zu einem grossen Relief der Palastanlage führte. Für mich, aber auch für meine sehenden Freunde, gab das eine tolle Übersicht über die grossen Anlagen, und die Begehung des Palastes war somit in unserer Vorstellung immer im Zusammenhang mit der ganzen Anlage. Der Palast ist mit wunderbaren Bildern aus der griechischen Mythologie, aber auch aus dem täglichen Leben ausgestattet. Eindrücklich in seiner Perspektive ist der Saal der Pferde, wo man glaubt, sie seien lebendig oder dann der Saal der Unternehmen mit den Szenen aus dem Alltag der Renaissance. Im Zusammenhang mit unserem Thema hat mich der Saal mit der Allegorie von Psyche und Amor fasziniert. Psyche ist so wunderschön, dass sich niemand getraut sie zu heiraten. So wird sie in eine reiche Familie verheiratet, deren Sohn ein Monster sei. Bedingung für Psyche, sie darf ihren Mann nie sehen und er kommt nur nachts zu ihr. Psyche verliebt sich in ihren Ehemann und empfindet ihn als den schönsten Menschen. Obwohl er sie vor ihren Schwestern warnt, lässt sie sich von diesen überreden, ihn im Schlaf anzusehen. In ihrer Vorstellung und dem was sie bis jetzt spürte, war ihr Mann schön und blieb es auch bei Licht. Unglücklicherweise verletzte sie ihren Aktuelles / Interessenvertretung Mann durch ein Missgeschick mit einem Tropfen Wachs und damit nahmen die menschlichen und göttlichen Verwicklungen und Verwirrungen ihren Lauf.... Was brauchen sehbehinderte Menschen um Qualität zu spüren? Als erstes ganz einfach, Freundlichkeit und Sinn für das Praktische oder einfach gesagt: gesunder Menschenverstand. Das beginnt damit, dass an der Reception gefragt wird, ob die Receptionistin das Formular ausfüllen soll und man bei der Übergabe trotz Sicherheitsbestimmungen und Diskretion die Zimmernummer sagt. Hilfreich ist es natürlich, wenn die elektronischen Karten taktil so markiert werden, dass man auf den ersten Griff weiss, wie man sie hineinstecken muss, damit sich die Türe öffnet. Zur Autonomie von sehbehinderten Menschen trägt es bei, wenn die Zimmernummern taktil, gross und in gutem Kontrast angebracht sind und der Gang gut beleuchtet ist. Spürbare Qualität für mich selber ist, wenn es im Zimmer keine Ecken auf Kopfhöhe gibt, wie z.B. ein Fernseher, der aus Platzgründen in Kopfhöhe in einer Ecke angebracht wird. Alle Instruktionen für Telefon und Fernseher sollten mit grosser Schrift gedruckt sein (Arial 14). Gute Beleuchtung, welche Lesen erlaubt, sollte eine Selbstverständlichkeit sein. Diese Dinge helfen nicht nur sehbehinderten Menschen, jeder Kunde über 50, der eine Lesebrille braucht, wird Ihnen dafür dankbar sein. Speisekarten in Blindenschrift sind Luxus, es ist aber auch schon angenehm, wenn der Kellner oder die Kellnerin die Karte vorliest. Hingegen eine Speisekarte mit genügend grosser Schrift und kontrastreicher Gestaltung ist kein Luxus, sondern sollte zum Standard gehören! Dieses Kriterium lässt sich ohne weiteres mit einem attraktiven Layout verbinden. Bei Qualität und Behinderung denkt man im Allgemeinen an bauliche Barrieren: Treppen in unserem Fall sind nicht a priori Hindernisse, werden aber zu solchen, wenn die erste und letzte Stufe nicht kontrastreich markiert ist oder wenn der Handlauf bei der zweituntersten Stufe fertig ist. Sehbehinderung und Qualität spüren: Ein Produkt kann noch so ausgereift sein, wenn wir uns mit schlechtem Kontrast, schlechter Beleuchtung oder nicht bedienbaren Automaten konfrontiert sehen, wird auch das schönste Produkt hässlich! Quelle: Schweizer Tourismus-Verband Die gesamte Rede von Christina Fasser steht auf der Website www.qualityour-passion.ch im Medienbereich zum Download bereit. Unter der Dunkelbrille des SZB verfolgen die Zuhörer die Rede von Christina Fasser. Bild: Schweizer Tourismus SZB-Information 148 / 2009 • 25 I n n o t o u r i n s i g h t N r . 3 | W i n t e r 2 0 0 9 Nachhaltige Entwicklung im Tourismus: Hintergrund D er Klimawandel stellt den Schweizer Tourismus vor riesige Herausforderungen. Eine Entwicklung hin zu mehr Nachhaltigkeit ist unabdingbar. Dabei sollen alle Beteiligten an einem Strick ziehen. Mario Lütolf, Direktor Schweizer Tourismus-Verband Braunes Gras statt Pulverschnee, schwindende Gletscher und tauender Permafrost: Der Schweizer Tourismus ist vom Klimawandel direkt betroffen. Gefragt ist ein hohes ökologisches Verantwortungsbewusstsein in Einklang mit ökonomischer Leistungsfähigkeit. Kurz: Wir brauchen eine nachhaltige Entwicklung (siehe unten). Diese muss mit grossem Engagement angegangen werden. Lippenbekenntnisse würden schnell als Versuch, sich ein grünes Mäntelchen umzuhängen, entlarvt. Engagement für die Nachhaltigkeit Mit der «Nachhaltigkeits-Charta des Schweizer Tourismus» bekennen sich die Spitzen der touristischen Verbände, alle Tourismusregionen und die SBB zur Nachhaltigkeit (siehe unten rechts). Der Schweizer Tourismus-Verband STV koordiniert die zurzeit anlaufenden Projektarbeiten und sorgt für die Institutionalisierung des Erfahrungsaustausches unter den Partnern. Nachhaltigkeit ist messbar Eine nachhaltige Entwicklung stellt Ansprüche an das Marketing: In Kommunikation und Distribution, Angebots- und Preispolitik müssen Weichen gestellt werden. Ausserdem ist Nachhaltigkeit ein messbarer Teil des Qualitätsmanagements. Der STV setzt sich an der tourismuspolitischen Front für die Weiterführung von Innotour ein und engagiert sich für die spezifische Weiterentwicklung des Qualitätsprogramms (siehe Artikel S. 5). Was ist Nachhaltigkeit? Eine nachhaltige Entwicklung wird den Bedürfnissen der jetzigen Generation gerecht, ohne die Möglichkeiten künftiger Generationen zu gefährden, ihre eigenen Bedürfnisse zu befriedigen. So definiert die UNO den Begriff. Im Tourismus hat das Forschungsinstitut für Freizeit und Tourismus (FIF) der Universität Bern die so genannte magische Fünfeck-Pyramide einer nachhaltigen touristischen Entwicklung entworfen: Nachhaltigkeits-Charta des Schweizer Tourismus Mit einem Drei-Punkte-Programm soll sichergestellt werden, dass die Unterzeichnenden ihr Bekenntnis zur Nachhaltigkeit umsetzen: 1. Verpflichtung der Unterzeichner zu Nachhaltigkeit im Schweizer Tourismus:Mit derAufnahme des Bekenntnisses zur Nachhaltigkeit in Verbandsstrategie und Leitbild legen die Unterzeichner den Grundstein für eine nachhaltige Sektorund Unternehmenspolitik. Gestaltungsrecht zukünftiger Generationen 2. Verankerung in der Branche mittels Sensibilisierung und Unterstützung: Die Unterzeichner unterstützen und begleiten ihre Mitglieder bei der Entwicklung der notwendigen Prozesse zur Umsetzung der Nachhaltigkeit. Wirtschaftlicher Wohlstand Subjektives Wohlbefinden Gästezufriedenheit Nein Natur- und Ressourcenschutz Ein unschätzbarer Wert: sauberes Wasser vom Bergbach. swiss-image.ch/Christof Sonderegger Weichen stellen für eine nachhaltige Entwicklung 3. Regelmässige Überprüfung und Auswertung der Fortschritte: Die unterzeichnenden Verbände und Organisationen entwickeln gemeinsam ein Umsetzungsprogramm mit Aktionsplänen im Rahmen der Mittelfristplanungen. Kulturelle Vielfalt 3 I n n o t o u r i n s i g h t N r . 3 | W i n t e r 2 0 0 9 Nachhaltige Entwicklung im Tourismus: Projekte Das blaue Q wird grüner S swiss-image.ch/Christian Perret tatt neue, komplizierte Nachhaltigkeits-Labels ins Leben zu rufen, setzt der Schweizer Tourismus auf die Weiterentwicklung seines bewährten QualitätsGütesiegels.Ab sofort haben ökologische Fragen beim blauen Q mehr Gewicht. Hansruedi Müller, Direktor Forschungsinstitut für Freizeit und Tourismus, Universität Bern «Quality. Our Passion» – Dieses Motto nimmt sich der Schweizer Tourismus auch bei der Nachhaltigkeit zu Herzen. Mit ihrer Nachhaltigkeits-Charta verpflichteten sich die Spitzen der touristischen Verbände, alle Tourismusregionen und die SBB zu einer ökonomisch leistungsfähigen, gesellschaftlich verträglichen und ökologisch verantwortlichen Entwicklung (siehe S. 3, rechts unten). Das Grundsatzpapier fordert unter anderem Anreize zur Einführung von nachhaltig ausgerichteten Managementsystemen. Das Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus soll entsprechend weiterentwickelt werden. Kein neues Label Schon seit dem Start vor zwölf Jahren müssen Bewerber für das blaue Q verschiedene auf Nachhaltigkeit ausgerichtete Voraussetzungen erfüllen. Beispiele sind der Einbezug der Mitarbeitenden auf allen Ebenen, die Messung der Mitarbeiterzufriedenheit oder die Einsparungen im Abfall- und Energiebereich. Angesichts dieser viel versprechenden Ausgangslage verzichtete der Qualitätsrat, der Vorstand des Q-Programms, auf ein neues Nachhaltigkeitslabel. Auch der Erwerb eines zusätzlichen, teuren Gütesiegels wie zum Beispiel des EU-Umweltzeichens schien für den Rat keine Lösung. Stattdessen hat er beschlossen, das bestehende QualitätsGütesiegel ökologischer zu gestalten. Panorama Pluspunkt Innotour: Das Qualitäts-Gütesiegel steht vermehrt auch für Nachhaltigkeit. Projektdauer: 2007 bis 2010 Kontakt: Schweizer Tourismus-Verband, Finkenhubelweg 11, 3001 Bern, T +41 31 307 47 41, www.quality-our-passion.ch Auf einer Fackelwanderung lässt sich das Obertoggenburg nachhaltig erleben. Teil des Projekts Q+ Nachhaltiges Handeln ist gefragt Die nachhaltige Weiterentwicklung des blauen Q war Teil des Konzepts Q+, das eine umfassende Aktualisierung des Gütesiegels zum Ziel hat. Über Innotour unterstützt das SECO dieses Projekt. Schon beim Start von Q+ vor zwei Jahren hatten die Verantwortlichen festgelegt, dass das Q-Programm schlanker, flexibler, aktueller, erlebnisreicher, prozessorientierter, offener und eben auch grüner werden soll. Dementsprechend hat der Qualitätsrat die drei Stufen des Q-Programms nachhaltiger ausgerichtet (siehe unten). Das Q-Programm bringt zahlreiche Anforderungen an Tourismus-Dienstleister unter einen Hut. Einige Kriterien, die zu einem umfassenden Nachhaltigkeits-Managementsystem gehören, wurden deshalb nur am Rande berücksichtigt oder ganz ausgeblendet. Nichtsdestotrotz gelang es, mit dem überarbeiteten Qualitäts-Programm viele zentrale Bereiche der Nachhaltigkeit abzudecken. Das Bewusstsein für Nachhaltigkeit in der touristischen Erlebniskette allein genügt nicht: Touristiker müssen einen ernsthaften Beitrag zur Erhaltung dieser natürlichen Qualitäten leisten. Mehr Nachhaltigkeit auf allen drei Stufen des Qualitäts-Gütesiegels Stufe I In der Ausbildung zum Qualitäts-Coach des Labels erhält das Thema Nachhaltigkeit besondere Aufmerksamkeit. Zudem wird den Verantwortlichen eines Betriebs erläutert, wie sie ihre Servicekette ökologischer gestalten können und dass ihr Aktionsplan mindestens eine Umwelt-Massnahme enthalten muss. Stufe II Im Führungs- und Basisprofil sind zusätzliche Fragen zu sozialen und ökologischen Themen zu beantworten. Das neu geschaffene Zusatzmodul «Prozesse» soll unter anderem auch Vorgänge verbessern, welche die Nachhaltigkeit betreffen. Stufe III Betriebe können künftig das Gütesiegel QIII mithilfe des nachhaltig ausgerichteten Steinbocklabels (siehe S. 6, rechts oben) und eines Zusatzmoduls erlangen. Bislang führte der Weg ausschliesslich über die Qualitätsmanagement-Modelle EFQM und ISO 9001:2008. Die Umweltmanagementnorm ISO 14001 ist zwar weiterhin nicht obligatorisch, der Qualitätsrat empfiehlt sie aber wärmstens. Auf allen Stufen wird zudem verlangt, dass mindestens eine der sechs Massnahmen im jeweiligen Aktionsplan dem Umweltschutz dient. 5 I n n o t o u r i n s i g h t N° 3 | H i v e r 2 0 0 9 Développement durable dans le domaine du tourisme: arrière-plan L e changement climatique pose d’énormes défis au tourisme suisse. Au point qu’il est indispensable de tendre vers davantage de durabilité. Un objectif pour lequel toutes les parties doivent tirer à la même corde. Mario Lütolf, directeur de la Fédération suisse du tourisme De l’herbe brune au lieu de la neige poudreuse, des glaciers qui s’amenuisent et le pergélisol qui disparaît: le tourisme suisse est directement concerné par le changement climatique. Il est donc impératif de prendre conscience de ses responsabilités écologiques tout en ne perdant pas de vue la rentabilité économique. En bref: nous avons besoin d’un développement durable (voir ci-dessous). Ce dernier doit être abordé avec résolution et faire l’objet d’un engagement de tous les instants. Les simples déclarations du bout des lèvres se révèleraient rapidement n’être que des tentatives de se prévaloir d’une petite touche verte et rien d’autre. Engagement en faveur de la durabilité Avec la «Charte du développement durable du tourisme suisse», les responsables des associations touristiques, toutes les régions touristiques et les CFF se déclarent être en faveur du développement durable (voir ci-dessous à droite). La Fédération suisse du tourisme FST coordonne les travaux de projets actuellement en cours et se charge d’institutionnaliser l’échange d’expériences entre les partenaires. La durabilité est mesurable Un développement durable pose des exigences spécifiques en termes de marketing: des jalons doivent en effet être posés en matière de communication et de distribution, de politique de l’offre et des prix. En outre, la durabilité est une partie de la gestion de la qualité que l’on peut mesurer. La FST est à la pointe de la politique touristique en faveur de la continuation du programme Innotour et de la poursuite du développement spécifique du programme qualité (voir article p. 5). Qu’est-ce que la durabilité? Un développement durable tient compte des besoins de la génération actuelle sans mettre en danger les possibilités que doivent avoir les générations futures de satisfaire leurs propres besoins. C’est ainsi que l’ONU définit cette notion. Dans le domaine du tourisme, l’Institut de recherche sur les loisirs et le tourisme de l’Université de Berne a élaboré la soi-disant pyramide magique à cinq côtés pour un développement touristique durable: Bien-être économique Protection de la nature et des ressources La charte du développement durable du tourisme suisse Il s’agit d’assurer, avec un programme en trois points, que les parties signataires appliquent leur déclaration en faveur du développement durable: 1. Engagement des soussignés en faveur du développement durable dans le tourisme suisse: avec l’engagement pris en faveur du développement durable dans la stratégie associative et la gestion de l’entreprise, les soussignés posent la première pierre d’une politique sectorielle et d’entreprise durable. Droit de modifier des futures générations Bien-être subjectif Une valeur inestimable: l’eau pure du ruisseau de montagne. swiss-image.ch/Christof Sonderegger Poser des jalons pour un développement durable Satisfaction des hôtes Diversité culturelle 2. Intégration dans la branche par la sensibilisation et le soutien: les soussignés soutiennent et accompagnent leurs membres dans l’élaboration de processus nécessaires pour mettre en oeuvre le développement durable. 3. Réexamen régulier et évaluation des progrès: les associations et organisations soussignées élaborent en commun un programme de mise en oeuvre assorti de plans d’actions dans le cadre des planifications à moyen terme. 3 I n n o t o u r i n s i g h t N° 3 | H i v e r 2 0 0 9 Développement durable dans le domaine du tourisme: projets Le label Q bleu devient plus vert E swiss-image.ch/Christian Perret n lieu et place de créer un nouveau label compliqué que désignerait la durabilité, le tourisme suisse mise sur le développement de son label de qualité qui a fait ses preuves. Et les questions écologiques ont désormais plus d’importance pour le label Q bleu. Hansruedi Müller, directeur de l’Institut de recherche sur les loisirs et le tourisme, Université de Berne «Quality. Our Passion» – Ce slogan, le tourisme suisse le prend également au sérieux pour ce qui est de la durabilité. Avec leur charte de la durabilité, les associations touristiques les plus importantes, toutes les régions touristiques et les CFF optent en effet désormais pour un développement économiquement compétitif, socialement supportable et écologiquement responsable (voir encadré, p. 3, en bas, à droite). Le document de base exige notamment des incitations à introduire des systèmes de management orientés vers la durabilité. Le programme Qualité du tourisme suisse doit continuer à être développé dans ce sens. Pas un nouveau label Depuis son lancement il y a douze ans déjà, les candidats à l’obtention du label Q doivent remplir diverses conditions concernant la durabilité. Par exemple: l’implication des collaborateurs à tous les niveaux, l’évaluation de la satisfaction des collaborateurs ou encore les économies dans le domaine des déchets et de l’énergie. Eu égard à cette situation initiale très prometteuse, le conseil Qualité – le Comité du programme Q – a renoncé à créer un nouveau label désignant la durabilité. L’obtention d’un label de qualité supplémentaire, et cher de surcroît, comme par exemple le label écologique de l’UE, n’a pas semblé être une solution aux yeux du Conseil. Ce dernier a au contraire décidé de Panorama Atout Innotour: Le label de qualité désigne de plus en plus la durabilité. Durée du projet: 2007 à 2010 Contact: Fédération suisse du tourisme, Finkenhubelweg 11, 3001 Berne,T +41 31 307 47 41, www.quality-our-passion.ch Une promenade aux flambeaux pour vivre une expérience inédite dans le haut Toggenbourg. donner une dimension plus écologique au label Q existant. Partie du projet Q+ Le développement durable du label Q bleu faisait partie du concept Q+, qui a pour objectif une actualisation complète du label de qualité. Le SECO soutient ce projet via Innotour. Dès le début de Q+ il y a deux ans, les responsables avaient estimé que le programme Q devait être plus souple, plus flexible, plus actuel, plus riche en événements, plus orienté vers les processus, plus ouvert et, justement, plus vert aussi. Le Conseil Qualité a donc décidé d’instiller plus de durabilité dans les trois niveaux du programme (voir encadré). On veut des actions durables Le programme Q place sous un même concept les nombreuses exigences auxquelles les prestataires de services touristiques sont confrontés. Certains critères, qui appartiennent à un système de management global de la durabilité, n’ont été pris en compte que marginalement, voire passé sous silence. L’on n’en a pas moins réussi à couvrir de nombreux domaines centraux avec le programme Qualité une fois remanié. La prise de conscience de l’importance de la durabilité dans la chaîne des prestations touristiques ne suffit pas à elle seule: les milieux concernés doivent en effet également fournir une contribution sérieuse pour obtenir ces qualités naturelles. Davantage de durabilité aux trois niveaux du label Qualité Niveau I Dans la formation des coaches Qualité du label, le thème de la durabilité se voit attribuer une attention particulière. En outre, les responsables d’une entreprise se voient expliquer comment ils peuvent organiser de manière plus écologique leur chaîne de services et que leur plan d’action doit au moins contenir une mesure en faveur de l’environnement. Niveau II Dans le profil de gestion et de base, il faut répondre à des questions supplémentaires portant sur des thèmes sociaux et écologiques. Le module supplémentaire «Processus» nouvellement cré doit notamment permettre d’améliorer des procédures qui concernent la durabilité. Niveau III Les entreprises pourront obtenir à l’avenir le label QIII au moyen du label Bouquetin orienté vers le développement durable (voir encadré, p. 6, en haut, à droite) et un module supplémentaire. Jusqu’ici le chemin passait exclusivement par les modèles de management de la qualité comme EFQM et ISO 9001:2008. La norme de management de l’environnement ISO 14001 n’est certes toujours pas obligatoire, mais le Conseil Qualité la recommande néanmoins vivement. On exige en outre à tous les niveaux qu’au moins une des six mesures de chaque plan d’action serve à la protection de l’environnement. 5 I n n o t o u r i n s i g h t N . 3 | I n v e r n o 2 0 0 9 Sviluppo sostenibile nel turismo: informazioni generali I cambiamenti climatici pongono il turismo svizzero di fronte a sfide ambiziose. È indispensabile che lo sviluppo segua la strada della sostenibilità. E che tutti gli interessati si muovano nella stessa direzione. Mario Lütolf, direttore della Federazione Svizzera Turismo Pendii ricoperti di erba secca invece che di neve farinosa, ghiacciai che si assottigliano e il permafrost che si scioglie: i cambiamenti climatici hanno un impatto diretto sul turismo svizzero. Quel che ci vuole è una buona dose di coscienza ecologica abbinata all’efficienza economica. Insomma, serve uno sviluppo sostenibile (cfr. riquadro in basso a sinistra). Il problema va affrontato seriamente. Le belle parole da sole non bastano e chi si finge ecologista è presto smascherato. Impegno per la sostenibilità Sottoscrivendo la «Carta di sostenibilità del turismo svizzero», i vertici delle associazioni turistiche, tutte le regioni turistiche e le FFS si impegnano in favore di uno sviluppo sostenibile (cfr. riquadro in basso a destra). La Federazione Svizzera Turismo FST coordina i lavori di progettazione attualmente in corso e provvede a istituzionalizzare lo scambio di esperienze tra i partner. La sostenibilità è quantificabile Uno sviluppo sostenibile pone dei requisiti al marketing: è necessario preparare il terreno sia a livello di comunicazione e distribuzione che di politica dei prezzi e dell’offerta. Inoltre, la sostenibilità è una parte quantificabile del management della qualità. Sul fronte della politica del turismo, la FST é attiva sul fronte del turismo affinché Innotour continui a svolgere il suo ruolo cardine e si impegna in favore di uno sviluppo specifico del programma di qualità (cfr. articolo a pag. 5). Che cos’è la sostenibilità? Lo sviluppo sostenibile deve rispondere alle necessità delle generazioni attuali senza compromettere la capacità delle generazioni future di soddisfare i propri bisogni. È questa la definizione che l’ONU dà del concetto di sostenibilità. Nel turismo, l’Istituto di ricerca sul tempo libero e il turismo dell’Università di Berna ha messo a punto la cosiddetta «piramide magica pentagonale» dello sviluppo sostenibile: Diritto di partecipazione delle generazioni future La Carta di sostenibilità del turismo svizzero Un programma articolato in tre punti garantisce che i firmatari della Carta mantengano la loro promessa di sostenibilità: 1. Impegno da parte dei firmatari in favore di uno sviluppo sostenibile nel turismo svizzero: recependo l’impegno in favore della sostenibilità nella propria strategia e nelle proprie linee guida, i firmatari pongono la prima pietra di una politica aziendale e settoriale sostenibile. 2. Affermazione della sostenibilità nel settore mediante la sensibilizzazione e il sostegno: i firmatari sostengono e assistono i loro membri nella messa a punto dei processi necessari per attuare uno sviluppo sostenibile. Benessere economico Soddisfazione dei turisti Sensazione di benessere soggettivo Nein Protezione della natura e delle risorse Un valore inestimabile: l’acqua cristallina del torrente. swiss-image.ch/Christof Sonderegger Preparare il terreno allo sviluppo sostenibile 3. Regolare verifica e valutazione dei progressi: le associazioni e le organizzazioni firmatarie sviluppano assieme un programma di attuazione con piani d’azione a medio termine. Varietà culturale 3 I n n o t o u r i n s i g h t N . 3 | I n v e r n o 2 0 0 9 Sviluppo sostenibile nel turismo: progetti La Q blu diventa più verde A swiss-image.ch/Christian Perret nziché creare nuovi e complicati label di sostenibilità, il turismo svizzero opta per l’evoluzione del suo collaudato marchio di qualità. Con la Q blu, le questioni ecologiche acquistano immediatamente un maggior peso. Hansruedi Müller, direttore dell’Istituto di ricerca sul tempo libero e il turismo dell’Università di Berna «Quality. Our Passion» – Il turismo svizzero fa suo questo motto anche in fatto di sostenibilità. Con la Carta della sostenibilità, i vertici delle associazioni turistiche, di tutte le regioni turistiche e delle FFS si sono impegnati in favore di uno sviluppo economicamente efficiente, socialmente sostenibile ed ecologicamente responsabile (cfr. riquadro a pag. 3, in basso a destra). Questa carta di principi sollecita, tra le altre cose, un’introduzione di sistemi di gestione improntati alla sostenibilità. Il programma di qualità del turismo svizzero verrà quindi perfezionato in tal senso. No a un nuovo label Già all’avvio del programma, avvenuto dodici anni fa, chi aspira a conquistare la Q blu deve soddisfare diversi requisiti di sostenibilità, come il coinvolgimento dei collaboratori a tutti i livelli, la misurazione della soddisfazione dei dipendenti e il risparmio nel consumo di energia e nella produzione di rifiuti. Vista la validità di questi presupposti, il Consiglio della qualità, ovvero il comitato direttivo del programma Q, non ha ritenuto opportuno creare un nuovo label di sostenibilità e nemmeno aderire a un altro costoso marchio di qualità come, ad esempio, l’ecolabel europeo, decidendo piuttosto di rendere più ecologico il marchio di qualità già esistente. Panorama Atout Innotour: il marchio di qualità è ancora più sinonimo di sostenibilità. Durata del progetto: dal 2007 al 2010 Contatto: Federazione svizzera del turismo, Finkenhubelweg 11, 3001 Berna, T +41 31 307 47 41, www.quality-our-passion.ch Una fiaccolata per dare un’immagine sostenibile all’Alto Toggenburgo. Parte del progetto Q+ Occorre agire in maniera sostenibile L’evoluzione in chiave sostenibile della Q blu faceva parte del progetto Q+, che prevede un aggiornamento completo del marchio di qualità. La SECO sostiene questo progetto attraverso Innotour. Già un paio di anni fa, all’avvio di Q+, i responsabili avevano stabilito che il programma Q sarebbe stato più snello, flessibile, attuale, avvincente, orientato ai processi, aperto e persino più verde. Per questo motivo, il Consiglio della qualità ha impresso ai tre livelli del programma Q una maggiore sostenibilità (cfr. riquadro). Il programma Q è un compendio dei numerosi requisiti che gli operatori turistici devono soddisfare. Alcuni criteri contemplati nell’ambito di un sistema completo di gestione della sostenibilità sono stati considerati solo a margine o sono stati addirittura lasciati da parte. Ciò nonostante, con la rivisitazione del programma di qualità si è riusciti a coprire molti aspetti centrali della sostenibilità. Nella filiera turistica, non basta avere una mentalità sostenibile: gli operatori turistici devono contribuire seriamente alla conservazione delle ricchezze naturali. Più sostenibilità a tutti e tre i livelli del marchio di qualità Livello I Nella formazione di coach della qualità, il tema della sostenibilità occupa un posto privilegiato. Inoltre, ai responsabili d’impresa viene spiegato come rendere più ecologici i loro servizi. Il loro piano d’azione deve assolutamente prevedere almeno una misura in favore dell’ambiente. Livello II Il profilo di gestione e il profilo di base prevedono la soddisfazione di altri requisiti a livello sociale ed ecologico. Il neonato modulo supplementare «Processi» migliorerà anche le procedure di sostenibilità. Livello III In futuro, le imprese potranno richiedere il marchio di qualità QIII con l’ausilio del marchio dello stambecco (cfr. box a pag. 6, in alto a destra) e di un modulo supplementare. Finora si poteva passare esclusivamente per i modelli di gestione della qualità EFQM e ISO 9001:2008. La norma di gestione ambientale ISO 14001 continua ad essere facoltativa, ma è vivamente raccomandata dal Consiglio della qualità. A tutti i livelli, inoltre, si chiede che almeno una delle sei misure previste da ciascun piano d’azione serva alla protezione dell’ambiente. 5 actuel 20 htr hotel revue No 50 / 10 décembre 2009 En bref Un manager à vélo Suisse L’appréciation du franc suisse menace toujours Quelle pourrait être l’évolution prochaine du franc suisse par rapport à l’euro notamment? Dans leur dernier bulletin d’information, les experts du Centre de recherches conjoncturelles de l’ETHdeZurich(KOF)notentqu’il y a actuellement «une pression persistante à l’appréciation» de notremonnaie.Silecoursdufranc parrapportàl’euroétaitencorede 1 fr. 48 à mi-mars, il a tendance à s’orienter à nouveau aux environs de 1 fr. 50. mh Décisions rapides, structures légères: c’est la devise des hôtels Fassbind. La plus grande chaîne familiale de Suisse lorgne du côté de Zurich et de Bâle. Le directeur fait le point. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● Les minibars des hôtels montrés du doigt Eric Fassbind avoue aimer les chantiers. Alain D. Boillat L’Officefédéraldel’énergiepointe du doigt les minibars installés dansleshôtelssuisses.Cesréfrigérateurs, indique l’office, consomment, en effet, quatre fois plus d’énergiequeceuxdétenusparles ménages du pays. Quelque 55 000 minibars sont en usage dans les établissements hôteliers suisses. Ils consomment près de 24 millions de kilowattheures par an, soit autant que 6000 ménages. Pour l’office fédéral, l’utilisation de «minibars plus efficaces sur le plan énergétique» et qui existent sur le marché, permettrait d’économiser plus de deux millions de francs. mh Un guide pour l’utilisation du label de qualité Pour les organisations qui l’ont créé, le Label de qualité du tourisme suisse doit être communiqué au public. Plusieurs manières permettent de le faire. Celles-ci ontétérassembléesdansunguide qui vient de sortir et qui est téléchargeable sur l’Extranet de la Fédération suisse du tourisme (FST).Cemanuelexistepourl’instant en allemand. Une version française pourrait toutefois être éditée si l’intérêt est suffisant. mh De nouveaux trains à deux niveaux dès 2013 ldd Atout touristique important, l’offre de transport ferroviaire est en passe de s’améliorer. Les CFF ont annoncé qu’ils mettront en service, probablement lors du changementd’horairede2013,denouveaux trains à deux niveaux, entre Genève et Saint-Gall, dans un premier temps. Ces nouvelles compositions comprendront notamment des prises de courant à chaque place assise, des écrans plats pour l’information, un nouveau compartiment familles. Ces trainspermettentd’augmenterde 40%l’offredeplacesassises,précisent les CFF. mh ● ● ● ANDREAS GÜNTERT Q uelles sont les forces loin,selonEricFassbind:«LesFassd’un groupe hôtelier bind sont une dynastie hôtelière en mains familiales? depuis sept générations.» Eric Fassbind, réfléchit longtemps, avant Le succès est de concéder: «Ma foi, nous fonc- au rendez-vous Quand le manager est un patron tionnons depuis toujours ainsi.» Eric,43ans,estledirecteurdestrois qui connaît tous ses employés, cela hôtels Fassbind, à Lausanne, et peut avoir des incidences positives sur la stabilité du veille au développersonnel. «Il y a pement de la «Celui qui peu, raconte Eric chaîne familiale, règne sur son Fassbind, une de qui compte sept nos gouvernanterritoire établissements, tes a pris sa re750 chambres et peur décider traite. Elle avait 170 collaborarapidement.» été ma nurse teurs. Son frère, autrefois.» Au Marc, s’occupe Eric Fassbind Directeur de la chaîne éponyme pouvoir familial des deux hôtels s’ajoute la rentagenevois du groupe, sa mère, Doris, se consacre bilité. Avec un chiffre d’affaire de au housekeeping et aux ressources 45 millions, les hôtels Fassbind ont humaines. Le père, Georges, est réaliséen2008unrésultatd’exploipour sa part le partenaire de tou- tation I de 56,7%. «L’année 2008 jours de ses fils en matière d’inves- fut extraordinaire», se réjouit Eric tissements. L’entreprise appartient aux parents. Une solide tribu familiale, pas des «actionnaires» impatients de suivre la rentabilité de leurs investissements. «Celui qui règne sur son territoire peut décider rapidement et être flexible, voilà notre force, dit Eric Fassbind. Le groupe, qui voue son activité à des hôtels trois et quatre étoiles en zone urbaine, a été fondé en 1964. Mais les ldd gènes de l’hospi- L’Alpha Palmiers, à Lausanne, talité remontent un des fleurons de Fassbind. Fassbind. En 2009, les trois-étoiles ont connu le même succès qu’en 2008, alors que les quatre-étoiles ont subi un léger fléchissement. Avec un chiffre d’affaires à peine plus faible et les mêmes coûts fixes, «on pourrait quand même afficher un résultat d’exploitation I d’environ 50%», souligne Eric Fassbind. Encore un résultat remarquable. L’undessecretsdecetterentabilité réside dans une hiérarchie aussi simple que possible permettant un management pointu. Et un patron qui intervient là où bat le cœur de l’hôtel. Avec une telle structure, un parc automobile lourd ne conviendrait pas. Pour gérer les trois hôtelslausannois(leCity,l’Agoraet l’Alpha Palmiers), Eric Fassbind a donc trouvé: «En temps normal, je roule à vélo d’un hôtel à l’autre.» Le groupe cherche à s’étendre Mais pour les projets futurs, la bécane ne sera pas très adaptée: «Il y a quelque mois, nous avons décidédenousdévelopperàZurichet à Bâle.» Idéalement, le groupe vise des établissements trois et quatre étoiles, dans la même veine que le Cristal ou le Cornavin de Genève. Des établissements en fin d’exploitationquiauraientbesoind’êtrerénovés. Des bruits de chantier, des ouvriers dans le lobby – un cauchemar pour l’hôtelier. Pas pour Eric Fassbind: «J’aime les chantiers. Et pour cela, j’enfile volontiers des bottes en caoutchouc». Adaptation Françoise Zimmerli sur la base d’un article de la page 10. Voir également le dossier Fokus ainsi que l’article ci-dessous. ldd La pérennité comme guide L’Hôtel Beau-Rivage est un des fleurons de l’hôtellerie genevoise. Il est aussi un exemple fort de tradition hôtelière familiale. ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● MIROSLAW HALABA Il a accueilli dans ses murs l’impératrice Sissi, Richard Wagner ou encore le Maharadjah de Patiala, pour citer quelques-uns de ses hôtes célèbres. Assurément, l’Hôtel Beau-Rivage est un témoin essentiel de l’histoire de Genève. Outre son cachet historique, ce cinq-étoiles construit en 1865 a la particularité d’être, depuis quatre générations entre les mains de la dynastie Mayer. Il est, d’ailleurs, ledernierpalaceindépendantdela CitédeCalvin.PourJacquesMayer, l’actuel propriétaire de l’établis- facile». «Les descendants ne choisement avec sa sœur Catherine, sissentpastousl’hôtelleriecomme cette situation le profession», exdistingue des hôplique Jacques tels appartenant Mayer. A cela à des sociétés. s’ajoute le fait que «Toutes nos déciles moyens destisions sont prises nés à rémunérer dans une perle capital ont touspective à long jours été relativeterme. Tous les ment modestes, investissements ceci compte tenu sont faits pour de la nécessité de «Tous les assurer la pérenréinvestir dans investissements nité de l’hôtel», l’établissement note-t-il. sont faits pour pour assurer son Si la «passion entretien.Renonassurer la pérenpour la maison» a çant aux grands nité de l’hôtel.» toujours guidé les travaux, la famille membres de la fas’est toujours atJacques Mayer Copropriétaire de l’Hôtel Beau-Rivage mille qui se sont tachée à faire des succédé à la tête rénovations perde l’établissement, la transmission manentes. Ainsi, le printemps prode ce patrimoine «n’a jamais été chain, s’achèvera un programme ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● ● MIROSLAW HALABA Située à Malvilliers, commune de Boudevilliers, l’Hôtel-Restaurant de La Croisée est placé, depuis un mois, sous la houlette de Raphaël Stoppa, le directeur, et de JeanFrançois Badet, administrateur du restaurant des Rives-du- Doubs, aux Brenets. Ceci suite au départ en retraite des tenanciers précédents. «L’idée est de développer l’aspect touristique de la région du Val-de-Ruz», indique Claude Borel, propriétaire des Rives-du-Doubs, cité par le quotidien «L’Express». Le même quotidien a aussi révélé que l’entreprise de construction fribourgeoise Gilbert Brodard&Filsavaitmisàl’enquêteun projetimmobilierethôtelierde30 millions de francs qui prendrait place sur le terrain de l’Hôtel Pattus, à Saint-Aubin, anéanti par un incendie en 1991. Un fleuron datant de 1865. Photos ldd Un cachet historique préservé. Les hôtes chinois embellissent la statistique hôtelière Ça bouge dans le canton Quelques bonnes nouvelles sont tombées ces derniers jours portant sur l’offre hôtelière du canton de Neuchâtel. de travaux qui aura duré plus de dix ans. Jacques Mayer ne se fait pas de soucis pour la succession. La jeune génération devrait prendre le relais. Le passage de témoin devra toutefois être bien préparé. «L’entreprise doit s’assurer que les successeurs aient une très bonne formation professionnelle et qu’ils aient l’occasion de faire leurs preuves dans des fonctions de management qui ne doit pas forcément être hôtelier», indique-t-il. Sicertainsgrandshôtelsdoivent beaucoup à l’existence de mécènes, le Beau-Rivage n’est pas de ceux-là. «Les investissements sont assurés par les finances de l’entreprise», explique encore Jacques Mayer. Il ajoute cependant: «Nous prenons très peu de dividende. Alors, sur ce plan-là, nous sommes des mécènes.» En octobre et durant l’été, les baisses de fréquentation ont largement marqué l’activité hôtelière helvétique. Christian Galley /ldd Nouvelle direction à l’Hôtel-Restaurant de La Croisée. Durantlasaisonestivale,quiaduré de mai à octobre, les hôtels suisses ont enregistré 19,7 millions de nuitées, soit un recul de 4,2% par rapport à l’été 2008. La demande indigène a diminué de 2,1% à 8,6 millions d’unités et la demande étrangère de 5,8% à 11,1 millions. La plupartdesmarchésontconnudes baisses.Toutefois, une embellie est venue de la Chine (sans HongKong). Les hôtes de ce pays ont, en effet, affiché la hausse absolue la plus marquée avec une croissance de 28,9% à 160 258 nuitées. Cette performance a été particulièrement remarquable en octobre. Seize mille nuitées de plus ont été recensées par rapport à octobre de l’an passé, ce qui représente une progression en valeur absolue de 85%. Les visiteurs de Hong-Kong ontaussiétéplusnombreux:+ 8000 nuitées ou + 30%. On notera que la Suisse centrale a connu la baisse la plus forte, tant durant le mois d’octobre que durant l’été. mh l Aktuell 17. Dezember 2009 Nr. 51 / 52 24. GastroForum für die Frau in Lenzerheide 3 ANZEIGE Gefahren und Genüsse Namens. Wissenschaftlich ist der Genuss also (noch) nicht gänzlich ausgestorben. Matthias Nold Um Genuss und Gefahren dreht sich das 24. GastroForum für die Frau im Januar in Lenzerheide. Von der Gefahr des Genusses. Einfach gesagt, geniessen wir zu viel vom Gleichen, haben wir bald genug. Die komplizierte Version stammt von einem Volkswirtschafter namens Hermann Heinrich Gossen, der 1854 (!) sein Werk «Entwickelung der Gesetze des menschlichen Verkehrs und der darauf fliessenden Regeln für menschliches Handeln» veröffentlichte. Das sogenannte erste Gossensche Ge- FOTOLIA Wer nicht geniesst, bleibt ungeniessbar, sang Konstantin Wecker einst. Allerdings, wer geniesst, dem kann der Genuss ungeniessbar werden: «Die Grösse ein und desselben Genusses nimmt, wenn wir mit der Bereitung des Genusses ununterbrochen fortfahren, fortwährend ab, bis zuletzt Sättigung eintritt.» Schokolade und Whisky: Zwei der Genüsse am GastroForum für die Frau. geht, nur sehr gute Restaurants frequentiert, wird irgendwann genug vom feinen Essen bekommen und Fast Food oder zumindest Hausmannskost suchen. So liesse sich auch der viel zitierte Gästewunsch nach mehr Echtheit (Neudeutsch: Authentizität) erklären. Zu viel Convenience und Fast Food erzeugen ein Bedürfnis nach frischer, einfacher und feiner Küche. heutzutage von «Genuss». Habe ich es aber, beginnt mir irgendwann etwas anderes zu mangeln: Genuss ist ein gefährliches Gut; und ein wenig erforschtes dazu. Bis vor einigen Jahren gab es in Nürnberg ein Institut für Genussforschung. Es fand beispielsweise heraus, dass Frauen gesünder seien, weil sie bewusster genössen. Das Institut scheint laut Internet heute nicht mehr zu exisitieren. In Bremen allerdings gibt es einen Verein gleichen Und dann ist da noch Alfred Reimann. Selfmademan, Multimillionär a.D., wie er selber schreibt, und Erfinder einer «Genusswirtschaftslehre». Vor gut zwei Jahren hat er am «Institut für Unternehmerische Freiheit» in Berlin einen Vortrag über seine Lehre gehalten. Sein Ansatz ist ein unwissenschaftlicher, aber sozusagen ein genüsslicher: «Die meisten neuen Erkenntnisse ergeben sich aus einer neuen Perspektive auf meine praktischen Erfahrungen.» Das Neue an seiner Lehre sei «die konsequente Erforschung der individuellen Welt aus der Ich-Perspektive». Entsprechend dann auch die Web-Adresse Reimanns: www.ich.io Genuss lässt sich also am besten selbst erforschen: Am GastroForum für die Frau. Von 10. bis 14. Januar 2010 in Lenzerheide. Der Genuss der Damen liesse sich noch steigern: mit einem Gutschein fürs Forum als Weihnachtsgeschenk. setz scheint einfach und klar. Zu viel des Guten kann es jedoch auch bei längerer Konsumation kleinerer Mengen geben. Aus Gästesicht mag das dann so aussehen: Wer über längere Zeit immer, wenn er auswärts essen Was mir mangelt, das möchte ich haben; bekomme ich es, spricht man Hygienetestat in Zug Medienkonferenz des Schweizer Cafetier Verbandes Umstritten Gewinn ist geschrumpft An seiner Medienkonferenz preschte der Cafetier Verband vor: Er setzte die Lebensmittelkontrollen von Basel-Stadt, Bern, Luzern und Aargau auf eine «graue Liste». Die Restaurants in diesen Kantonen schneiden bei Kontrollen offenbar am schlechtesten ab. Beim Cafetier Verband denkt man, dass dies weniger mit der Qualität der Betriebe als mit der Qualität der Kontrollen zusammenhängt. Die Vermutung liege nahe, schreibt der Cafetier Verband, «dass beim Vollzug zu viele subjektive Kriterien einfliessen», obwohl das Lebensmittelgesetz in der ganzen Schweiz gleich gelte. Trotzdem das Gesetz risikobasierte Kontrollen vorschreibe, werde zu wenig unterschieden zwischen Industrie und Kleinbetrieb, bemängelt der Verband. Die Kantone messen mit verschieden langen Ellen. Alle Jahre wieder: «Rein betriebs- wirtschaftlich betrachtet, müssten die meisten Betriebe den Preis anheben», meinte Hans-Peter Oettli, Präsident des Schweizer Cafetier Verbandes, anlässlich der Jahresmedienkonferenz letzten Montag in Zürich. Über die Hälfte der Mitglieder-Betriebe hätten den Kaffeepreis 2009 unverändert belassen, knapp über 3 Prozent hätten den Preis sogar herabgesetzt. Oettli vermutete, dass auch 2010 viele Betriebe die steigenden Kosten nicht weitergeben würden und den Preis für eine Tasse Kaffee unverändert liessen. Die Botschaft scheint angekommen zu sein. Für einmal blieb der kollektive Kaffeepreis-Aufschrei der Mas- Das 24. GastroForum findet im Hotel Schweizerhof, Lenzerheide statt. Infos und Anmeldung: www.gastrosuisse.ch E-Mail: [email protected] Tel. 0848 377 111 senmedien aus. Vielleicht auch, weil Oettli vorrechnete, dass in der Kaffeetasse laut verbandseigener Statistik nur 1,7 Prozent Gewinn liegen. 2008 waren es laut Cafetier Verband noch 2,2 Prozent. Zwar ist der Warenaufwand leicht gesunken. Doch die Löhne (inkl. Unternehmerlohn), die allgemeinen Unkosten und anderes sind gleichzeitig angestiegen. Der Kaffee wird wohl trotz höheren Kosten nicht teurer. Der Cafetier Verband machte sich an seiner Medienkonferenz auch stark gegen das Vorgehen der Behörden bei Alkoholtestkäufen. Man bezweifle nicht die Wirksamkeit der Testkäufe, hielt Geschäftsführerin Johanna Bartholdi fest. Sünder fänden sich allerdings wesentlich häufiger in den Reihen der Kioske, an Vereinsanlässen oder in Kleinläden. Das Gastgewerbe stehe vergleichsweise gut da und es gehe nicht an, gastgewerbliche Betriebe, die keine Jugendlichen zu ihren Gästen zählen, unverhältnismässig in die Testreihen einzubeziehen. Ebenfalls sprach sich der Cafetier Verband gegen Täuschungen mit speziell gestylten Jugendlichen aus. mn BLICKPUNKTE Qualitäts-Programm Erfolgreiches Jahr für die Qualität Das Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus bleibt eine Erfolgsgeschichte. 2009 konnten insgesamt 431 Betriebe ausgezeichnet werden, wie es beim Schweizer TourismusVerband heisst. 91 davon erlangten die Stufe QIII, das sind 20 mehr als im letzten Jahr. Unter den QIII-Betrieben finden sich auch vier Restaurants, darunter die Hotelfachschule Belvoirpark von GastroSuisse. 267 Betriebe (davon 38 Restaurants) erhielten ein QI, 73 ein Q II – nur einer davon war ein Restaurant. Schweiz Tourismus Auszeichnung für besten Event Schweiz Tourismus (ST) wird derzeit mit Awards sozusagen überschüttet: Nach der silbernen Auszeichnung beim EPICA-Award hat sie in Italien den Best Event Award für ihre Railshow «La Svizzera a casa tua» geholt. Kornhaus Burgdorf Vom Debakel zur Jugendherberge Einst war das Kornhaus in Burgdorf ein Jugendhaus, dann wurde es für viel Geld zum Trachtenmuseum umgebaut. Das Unternehmen war ein einziges Debakel. Nachdem das Kornhaus nun länger leerstand, prüft die Stadt die Herrichtung zu einer Jugendherberge. ANZEIGE Fast gleichzeitig liess der Kanton Zug Anfang dieser Woche verlauten, man versende dieser Tage Bescheinigungen zur Lebensmittelsicherheit unter anderem auch an Restaurants. Das Aufhängen sei freiwillig, jedoch gute Werbung für den Betrieb. Die Bestätigung stösst auf harsche Kritik. Laut der Pendlerzeitung 20 Minuten sind auch Kantonschemiker nicht glücklich mit dem Testat. GastroSuisse wehrt sich ebenfalls: «Ich halte diese Kategorisierung für eine Art des Voyeurismus, die nichts mit Hygiene zu tun hat», meint Direktor Anton Schmutz. Er bezeichnet das Vorgehen Zugs sogar als Prangerwirtschaft. Es sei sinnvoller, auf Eigenverantwortung zu setzen. Johanna Bartholdi vom Cafetier Verband nennt Veröffentlichungen von Kontrollresultaten einen «Rückfall mn ins Mittelalter». GJRI59541 Gastfreundschaft als christlicher Auftrag News Home Page 1 of 4 Wirtschaft Wer ist Jesus? Forum Chat Newsletter E-Mail Support Kontakt 04.01.2010 News TopStorys Schweiz Mehr Beachtung für christliche Kunst und Kultur International Kirche & Werke Hintergrund Religiöses Wirtschaft Gesundheit & Umwelt Wissen & Technik Freizeit & Sport Vermischtes Kurzmeldungen YouthTicker Audio-Beiträge Video-Beiträge Artikelpool Magazin Jesus Ratgeber Information Service Glaubensfragen & Lebenshilfe [email protected] Internet-Zugang Cartoons Cards Links & Adressen Das Livenet & Jesus.ch-Team wünscht Ihnen Gottes reichen Segen, gute Gesundheit und viele wertvolle Begegnungen im neuen Jahr! Jahreslosung 2010: Jesus Christus spricht: Euer Herz erschrecke nicht. Glaubt an Gott und glaubt an mich (Johannes 14,1). Gastfreundschaft als christlicher Auftrag Rund fünfzig Hotels und Gästehäuser in der Schweiz gehören dem Verband christlicher Hotels (VCH) an. «Christlich» wird in diesen Häusern nicht nur auf die Fahne geschrieben, sondern mit Inhalten Das Hotel «Artos» in Interlaken. gefüllt. Zudem setzt der VCH auf Offenheit, Qualität und ein gutes PreisLeistungsverhältnis. Was bedeutet es, wenn ein christliches Hotel Sie willkommen heisst? Sind Zimmer nicht einfach grosszügig und sauber, oder im schlechten Fall halt - eng und schmutzig? Was bieten christliche Hotels? Lea und Markus Hafner, die das Dreistern-Hotel «Artos» in Interlaken seit rund neun Jahren leiten, sagen: «Die etwas andere Ausrichtung von VCH-Hotels wirkt sich auf die Atmosphäre in unseren Häusern aus. Ausgehend von unserem christlichen Glauben leiten wir unsere ethischen Werte ab.» Mit Überzeugung werde eine ganzheitliche Erholung für Körper, Seele und Geist angeboten. Buch & Musik «Einen guten Lebensraum schaffen» Anzeigen Markus Hari, der Leiter der Réception im Hotel Artos, formuliert den VCH-Gedanken so: «Menschen sollen sich bei uns begegnen und sich erholen, aber auch Unterstützung finden können, falls dies gefragt ist.» Damit gemeint sind unter anderem kleine Hilfeleistungen im Alltag. Wichtig sei aber auch die Bereitschaft zu Gesprächen und zu offenen Begegnungen. Jobs Kontakte Video-Andachten > mehr Service Werbung Der Gemeinschaft wird eine grosse Bedeutung beigemessen. Vor allem dürfe Gastfreundschaft aber kein ein leeres Schlagwort sein. Der Leiter der Réception möchte «einen guten Lebensraum für alle Gäste schaffen». Um das christliche Gedankengut nicht nur zu predigen, sondern auch konkret umzusetzen, sind Personen in Leitungsfunktionen in VCH-Häusern generell «bekennende Christen». Sie schämen sich ihrer Überzeugung nicht und reden auch unverkrampft über ihren Glauben, falls dies gewünscht wird. Christlich und marktwirtschaftlich Pakistans bedrängte Christen Integration: Muslime, reformierte Kirchen und die Gesellschaft Schlagzeilen, die wir 2010 lesen wollen Aktuell Gastfreundschaft als christlicher Auftrag Jobportal für kirchliche Arbeitsstellen Wirtschaftskrise schlägt auf Psyche «Religion zu bekennen erregt keinen Anstoss mehr» Umfrage Von wem wurden die meisten Sprüche geschrieben? David Salomo Saul Nehemia Go Ergebnis Weitere Umfragen Suche Newsletter Profitieren Sie von unseren gratis E-Mail Angeboten: Newsticker Topstories Pressekommentar go Hier klicken um zum ganzen News-Angebot zu gelangen Erlebt VCH-Hotels sind aber nicht einseitig auf den Himmel ausgerichtet: «Um Erfolg zu haben», so meinen Markus Hafner und Markus Hari, «braucht es auch ansprechende Räume, eine gute Küche und attraktive hauseigene Angebote». Das Marktwirtschaftliche http://www.jesus.ch/index.php/D/article/159-Wirtschaft/49611-Gastfreundschaft_als_... 04.01.2010 Gastfreundschaft als christlicher Auftrag Page 2 of 4 dürfe auch beim VCH nicht ausser Acht gelassen werden. Bei den Angeboten haben solche, die christliche Impulse vermitteln, einen grossen Stellenwert: Regelmässige Andachten, Gottesdienste oder Bibelwochen haben darum in VCH-Hotels Tradition. Sie verstehen sich als ermutigendes Angebot - nicht als Verpflichtung -, und sie sind freiwillig. Kompostieranlage Wiedlisbach Das Hotel SEEBLiCK - Hoch über dem Alltag! Special Jahreswechsel Mein Blog Jesus.ch-Print Pixel4Jesus.com Meditation Youthmag Kreativgalerie Beten tut gut! Bild der Woche Daneben ist in den rund 50 VCH-Häusern in der Schweiz und 400 in Europa für Unterhaltung und Weiterbildung gesorgt. Die Angebote sind abhängig von Grösse und Struktur der Häuser. Auch die Region bietet unterschiedliche Möglichkeiten zu Erholung, Unterhaltung, Plausch und Ausflügen aller Art. Ursula Bruhin: Niederlage und Sieg im Leben mehr Im Hotel «Artos» etwa gibt es Kurse in Musik (Wochenkurse in Chorsingen, Hausmusik, Rhythmik), Gedächtnistraining, Computertechnik oder Kunsthandwerk. Oft sind Gruppen von Kirchgemeinden - etwa für Altersferien - oder Gemeinschaften von Menschen mit einem Handicap - manchmal zusammen mit ihren Angehörigen - zu Gast im Haus. Qualität angestrebt In VCH-Hotels geht es aber auch um Professionalität, Qualität und um ein gutes Preis-Leistungsverhältnis. Erfreulich ist, wenn es gelingt, die Gäste nicht nur ein einziges Mal begrüssen zu dürfen. Der VCH ist in diesem Sektor erfolgreich: Viele dem Verband angeschlossene Betriebe weisen einen hohen Anteil an Stammgästen aus. Auch die Rückmeldungen von Gästen dürfen sich sehen lassen. Bei unserer spontanen Umfrage wurde das Personal in VCH-Hotels als «überdurchschnittlich freundlich», «hilfsbereit» und als «nicht profitgierig» beschrieben. Die Qualität der Hotels wird durch Zertifizierungen überprüft. Gütesiegel erhielten bis jetzt 60 Prozent der VCH-Hotels. Der Durchschnitt in der Schweizer Hotellerie liegt derzeit bei 13,4 Prozent. Zusammen mit zwei andern Häusern wurde das «Artos» mit dem Qualitäts-Gütesiegel der höchsten Stufe 3 ausgezeichnet. Webseite: www.vch.ch Ältester Hotelverband der Schweiz 1895 wurde der Schweizer Verband Christlicher Herbergen und Hospize gegründet. Damit ist der VCH mit seinen rund 50 Betrieben der älteste Hotelverband der Schweiz. Auch in Deutschland, Österreich, Italien, Frankreich, Holland sowie in vielen nördlichen Ländern und anderen mehr gibt es rund 400 Hotels, die dem VCH angehören. Sie setzten bei der Gründung auf das Leitmotiv «Herberget gerne!», was heute mit «Gastlichkeit mit Herz» übersetzt wird. Ermutigen und innerlich stärken Hans-Beat Buol, Präsident des Verbandes christlicher Hotels (VCH), und Geschäftsführer Falk Pfleiderer zur Philosophie der VCH-Hotels. Was bedeutet denn «christlich» in der Hotelbranche: Ist man in christlichen Häusern besonders freundlich, besonders hilfsbereit oder besonders fromm? Hans-Beat Buol: Besonders freundlich und hilfsbereit ist unser Bestreben entsprechend der VCH-Maxime «Gastlichkeit mit Herz». Fromme Eingrenzungen oder Reglementierungen erwarten den Gast natürlich nicht, er kann Ferien machen wie in jedem anderen Hotel auch, hat jedoch zusätzlich noch die Möglichkeit, auch christliche Angebote zu nutzen, soweit er dies wünscht. Welche besonderen Angebote zeichnen VCH-Hotels aus? Falk Pfleiderer: Der Hauptunterschied liegt darin, dass Gästebedürfnissen ganzheitlich Rechnung getragen wird. Wir http://www.jesus.ch/index.php/D/article/159-Wirtschaft/49611-Gastfreundschaft_als_... 04.01.2010 Gastfreundschaft als christlicher Auftrag Page 3 of 4 möchten ermutigen und in unseren Häusern einen wohltuenden Kontrast bieten zum hektischen und belastenden Alltag. Wird von der Trägerschaft der VCH-Hotels darauf geachtet, dass «praktizierende Christen» die Häuser leiten? Pfleiderer: Es ist uns sehr wichtig, dass wir die gleiche Basis haben: Jesus Christus und die Bibel. Dies schenkt gleichzeitig gegenseitige Stärkung auf unserem gemeinsamen Weg. Wie sieht die Preisstruktur in VCH-Hotels aus? Pfleiderer: Wenn Sie konkrete Beispiele vergleichen, werden Sie feststellen, dass der VCH ein enorm starkes PreisLeistungsverhältnis aufweist. Dabei ist noch nicht berücksichtigt, dass Gästen in diesen Hotels gerade durch die christlichen Angebote Mehrwert verfügbar gemacht wird, der in anderen Gästehäusern nicht zu finden ist. Wie ist der Anteil der verschiedenen Konfessionen bei den VCH-Hotels in der Schweiz? Buol: Es gibt im VCH Hotels von Freikirchen, ebenso reformierte und katholische Häuser. Gerade diese Einheit über Denominationen und Konfessionsgrenzen hinweg ist eine der speziellen Stärken des Verbandes. In dieser Vielfalt kann der Gast wählen, alles prüfen und das Gute behalten. Quelle: Kipa Datum: 19.12.2009 Artikel versenden Druckansicht Letzte Meldungen: Kultur Mehr Beachtung für christliche Kunst und Kultur Was hat sich 2009 in der christlichen Kreativ-Szene getan? Und wohin will sie sich im neuen Jahr entwickeln? Wir haben drei Kulturschaffende um einen Rück- und Ausblick gebeten.Peter Wild von... Kirchen, Gemeinden, Werke Taizé-Treffen mit 30‘000 Jugendliche: Stille in der Industriestadt Das Schweigen der etwa 7000 Jugendlichen in der Posener Messehalle 3a ist gut hörbar: Lauter als vereinzeltes Husten oder Schuhequietschen donnert die Klimaanlage über ihren Köpfen.... International Kirgistan: Menschenrechtsverletzungen und Einschränkungen der Religionsfreiheit Kurz vor dem Länderüberprüfungsverfahren durch den UN Menschenrechtsrat im Mai 2010 musste Forum 18 feststellen, dass Kirgistan seinen internationalen Verpflichtungen, zum Beispiel zur Achtung der... Vermischtes Zweite christliche Konferenz für Schweizer Bauern Vom 19. bis 21. März 2010 findet die zweite Bauernkonferenz der Stiftung Schleife statt. Der Schwerpunkt soll erneut auf den biblischen Werten liegen, «welche Bäuerinnen und Bauern so... Video-News Video-News: 4. Januar 2010 Sehen Sie hier das Aktuelle vom Tag in einer Video-Zusammenfassung.Ihre Meinung ist uns... http://www.jesus.ch/index.php/D/article/159-Wirtschaft/49611-Gastfreundschaft_als_... 04.01.2010