Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus Medienspiegel 2009

Transcription

Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus Medienspiegel 2009
Qualitäts-Programm
des Schweizer Tourismus
Medienspiegel 2009
Medienspiegel 2009
Inhaltsverzeichnis
Januar 15.01. Plus axé sur la sécurité 21.01. Mit dem Steinbock-Label zum QIII GastroJournal
Steinbock-News
Februar
10.02. Gut, besser, besser sein - mit dem neuen Handbuch Zugbegleitung 15.02. ISO 9001:2000 ist revidiert Dialog SBB
Newsletter hotelleriesuisse
März
19.03. 23.03.
26.03. 26.03.
26.03.
Schweizer «Q» präsentierte sich an der ITB
Steinbock-Label plus und Qualitätsgütesiegel QIII
Steinbock-Label: Enge Kooperation mit QIII
Qualité: accord avec le label du «Capricorne»
Ferienart mit fünf Steinböcken
GastroJournal
Bündner Tagblatt
htr hotelrevue
htr hotelrevue
Walliserbote
April
02.04. 09.04. 09.04. 09.04. 09.04. 09.04. 09.04. 09.04.
20.04.
23.04. 30.04. 30.04. Berner Oberländer Hoteliers setzen auf Qualität Q + Mensch = Qualität Auf den Spuren des «QIII» Die Schweizer Q-Labels haben die internationalen Normen gepusht Ökologie und technische Neuerungen integriert Manchmal wirkt das Q nur optisch Qualität von Anfang an Steinbock-Label und Qualitäts-Gütesiegel QIII
Steinbock-Label und QIII
Kritische Ereignisse Bereit für eine erfolgreiche Zukunft Namen / Géraldine Zuber htr hotelrevue
htr hotelrevue
htr hotelrevue
htr hotelrevue
htr hotelrevue
htr hotelrevue
htr hotelrevue
Steinbock-News
Hotelier
GastroJournal
GastroJournal
GastroJournal
Juni
15.06. QII-Auszeichnung Congress Center Basel
15.06. Beatenbergbahn mit QII congress.ch
Jungfrau Zeitung
Juli 02.07.
02.07.
02.07.
16.07.
Müller ist Q-Person Motiviert zur Qualität Motivés pour la qualité Theoretiker des Tourismus htr hotelrevue
GastroJournal
GastroJournal
htr hotelrevue
August 13.08. Note verte pour le programme de qualité 20.08. Mit Q zu mehr Umsatz 25.08. Ökologische Aspekte sind wichtig htr hotelrevue
GastroJournal
expresso
September 24.09. Label de qualité pour le personnel des trains CFF
htr hotelrevue
Oktober
01.10. 07.10.
07.10.
15.10. 15.10.
16.10.
22.10.
27.10.
28.10. 29.10. FIF-akzente
20 Minuten
20 Minutes
htr hotelrevue
GastroJournal
Walliserbote
GastroJournal
expresso
htr online
Tages Anzeiger
November 03.11. Labels im Doppelpack 09.11. Je mehr Sterne desto mehr Q‘s? expresso
gastrofacts
Dezember 02.12. 04.12. 04.12.
04.12.
09.12. 10.12. 17.12.
19.12.
SZB-Information
insight
insight
insight
Management und Qualität
htr hotelrevue
GastroJournal
jesus.ch
Q+ - Das Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus wird grüner
SBB-Zugpersonal mit Qualitäts-Gütesiegel unterwegs Qualité du service: les CFF récompensés
Mittelklasse auf der Höhe Mariage à sept réussi
Gemeinsam gewinnen
Keine Konkurrenz
Matterhorn Valley Hotels: Schritt um Schritt zum Erfolg
QIII und Steinbock-Label im Kombi GDI auch auf dem Papier spitze Quality Meeting Das blaue Q wird grüner Le label Q bleu devient plus vert
La Q blu diventa più verde
Qualitäts-Zirkel auf dem Vormarsch Un guide pour l‘utilisation du label de qualité Qualitäts-Programm: Erfolreiches Jahr für die Qualität
Gastfreundschaft als christlicher Auftrag
Medienspiegel 2009
Januar
14
Hôtellerie & Tourisme
15 janvier 2009 No 3
Modification du premier niveau du Programme qualité pour le tourisme suisse
FLASH
Plus axé sur la sécurité
Compagnie Swiss
Davantage de vols
et aussi de passagers
Il est désormais plus facile d’accéder
au niveau 1 du Programme qualité pour le tourisme suisse.
Un avantage pour les petites entreprises.
Marie-Thérèse Page Pinto
Depuis l’automne dernier, le niveau
1 du programme qualité en facilite
l’accès. Le «Profil de qualité» a été
abandonné. Actuellement, seuls
sont encore obligatoires les instruments «Chaîne de service», «Réclamations» et «Plan d’action». De
plus, la procédure d’inscription a
été simplifiée: les entreprises peuvent s’inscrire via l’extranet et télécharger les instruments.
Dans sa nouvelle forme, le niveau 1
du Programme qualité accorde plus
d’importance aux éléments concernant la qualité des animations et
leur mise en scène d’une part, à la
sécurité pour les hôtes de l’autre.
A GastroSuisse, les séminaires de
préparation au Label Q ont connu
un vif succès l’an dernier avec des
participants que Thomas Fahrni
qualifie comme possédant un «très
haut niveau». Dans le canton de
Berne, par exemple, le séminaire de
Muri a été pris d’assaut. Cette année aussi, plusieurs séminaires auront lieu en Suisse romande. Pour le
niveau 1 ils sont programmés à
Lausanne les 21et 22 avril ainsi que
1er et 2 décembre, à Fribourg les 13
et 14 octobre. Quant au niveau qui
est consacré spécialement à la qualité de la gestion, fera l’objet d’un
séminaire à Lausanne les 27 et 28
octobre.
www.quality-our-passion.ch
www.gastrosuisse.ch
In Kürze
Neuer Name für das Qualitätslabel des
Schweizer Tourismusverbandes, welches
auf der ersten Stufe des Qualitätsprogrammes den Einstieg erleichtert – das
«Qualitätsprofil» wird nicht mehr verlangt! Neu heisst es jetzt «Qualitätsprogramm für den Schweizer Tourismus».
Man kann sich über Extranet einschreiben und die benötigten Instrumente
herunterladen.
QUALITY-OUR-PASSION.CH
«Les établissements doivent se donner la possibilité de garder leurs
hôtes», dit Thomas Fahrni. Interrogé par GastroJournal sur l’importance du «programme qualité pour
le tourisme suisse» (nouvelle appellation pour le label décerné par la
FST, la Fédération suisse du tourisme), son responsable à GastroSuisse souligne l’impact de cette
formation non seulement pour les
hôtels et restaurants d’une certaine
taille mais aussi pour les petites entreprises.
Le programme de qualité du tourisme suisse concerne aussi les petites entreprises.
Une série de sept projets de parcs naturels régionaux déposés à l’Office fédéral de l’environnement
Lentement le train se met en marche
Du Doubs au Val d’Hérens en pas-
sant par la Gruyère Pays-d’Enhaut,
sept projets de parcs naturels régionaux (PNR) ont été déposés vendredi dernier à l’Office fédéral de
l’environnement (OFEV). Enjeu: la
valorisation du patrimoine et des
activités économiques sauce tourisme doux. La manne fédérale,
compte tenu de la nouvelle loi sur
les parcs naturels, couvrira environ
la moitié des coûts (45-55%).
Le parc naturel régional Gruyère
Le Val d’Hérens est candidat PNR.
PUBLICITE
Pays-d’Enhaut concerne quatorze
communes pour moitié fribour-
geoises et vaudoises sur un territoire de 518 km2 où vivent 11800
habitants. Si la candidature est acceptée par l’OFEV, en septembre,
les législatifs des communes membres du PNR devront se prononcer,
avant la fin de l’année. Mais il faudra attendre septembre 2011 pour
connaître le verdict fédéral et janvier 2012 pour l’entrée en vigueur
du PNR qui espère un statut de parc
d’importance nationale.
En attendant, l’Association PNR
Gruyère Pays-d’Enhaut
a déjà
concrétisé quelques fiches de
réflexion en créant le Grand tour
puis les Chemins du Gruyère.
En Valais, après le projet du Binntal
(accepté en 2008), ce sont ceux de
Finges et du Val d’Hérens qui ont
fait acte de candidature. Des projets
qui bénéficient du soutien inconditionnel de tous les parlementaires
fédéraux valaisans, relève «Le Nouvelliste» dans son édition du 10 janvier. Le quotidien valaisan y relate
l’imposante délégation qui s’est déplacée en train (un wagon complet)
à Berne présenter les projets. mtpp
www.bafu.admin.ch/paerke
Swiss a enregistré un nombre record
de passagers en 2008. Elle a transporté 13,5 millions de personnes,
soit une hausse de 10,3% par rapport à 2007. Le nombre de vols a
progressé de 6,4% à 134 401, ce
qui correspond à plus de 360 vols
par jour. Le taux de remplissage des
avions est stable à 80,3% (80,2%
en 2007). Sur le réseau intercontinental, le coefficient a atteint
84,2%, contre 84,3% l’année précédente. En revanche, il s’est amélioré de 0,3 point sur le réseau européen à 72,1 pour cent. Les activités
de fret (Swiss World Cargo) ont
aussi progressé. Reste que la crise
économique a laissé des traces en
fin d’année. Si le nombre de passagers a encore progressé en décembre de 6,4% à 1,07 million, le coefficient d’occupation a reculé de 1,9
point par rapport à décembre 2007
à 76,3 pour cent. Lufthansa, a également vécu une année 2008 record. La compagnie a transporté au
total 57 millions de personnes, soit
1,2% de plus qu’en 2007. Mais elle
a moins bien rempli ses avions. Le
coefficient d’occupation s’est replié
de 1,1 point à 78,6%. Les effets de
la crise se sont faits ressentir en fin
d’année. Le nombre de passagers en
décembre a reculé de 3,7% à 4 millions.
Groupe Accor
Le Mercure
de Loèche rénové
Le Mercure Hotel
Bristol Loèche-lesBains a rouvert
ses portes le 19
décembre 2008.
Après des travaux de rénovation, ce
4 étoiles de 77 chambres, dirigé par
Gisela Bolle, offre à ses hôtes, tout
le long de l’année, les services et les
soins de son nouvel espace bienêtre. Cet espace comprend un SPA
spacieux avec massages et soins de
beauté, des bassins en intérieur et
extérieur, des stations de massage,
une grotte, des soins de chromothérapie, bassins jacuzzi, soins aux jets
massant pour le cou, un bassin
d’eau froide naturelle, un sauna et
une salle de sport. Le Bristol dispose
du plus grand espace thermal privé
de Loèche-les-Bains, réservé exclusivement à ses hôtes. www. mercure.com
Medienspiegel 2009
Februar
Medienspiegel 2009
März
Hotellerie & Tourismus
19. März 2009 Nr. 12
Internationale Tourismus Börse ITB, Berlin
FLASH
Schweiz mit Chancen
Auszeichnung an der ITB
Besondere Ehrung
für Emanuel Berger
Die ITB hat dem ehemaligen Direktor des Grand Hotels Victoria Jungfrau, Interlaken, Emanuel Berger, die
Ehrennadel «Goldene Weltkugel»
verliehen. «Emanuel Berger ghört
seit Anfang der 70er-Jahre zu unseren wichtigsten Partnern, der die ITB
nicht nur als Hotelier, sondern auch
als Vertreter der internationalen
Spitzenhotellerie unterstützt»,
meinte David Ruetz, Senior Manager der ITB in seiner Würdigung.
Einmal mehr
zeigte die ITB in Berlin die
wichtigsten Trends für die
Branche auf. Die Schweiz
hat Chancen.
Matthias Nold
Trotz oder gerade wegen der Krise:
Die Internationale Tourismus Börse
(ITB) in Berlin verzeichnete bei den
Besucher- wie bei den Ausstellerzahlen einen Zuwachs. Insgesamt
informierten sich knapp 111000
Fachbesucher aus aller Welt über
die Entwicklungen im Reisemarkt.
Ins Auge sprangen auch die immer
stärkeren internet-bezogenen Angebote auf der Messe. Von Buchungsplattformen wie hrs bis hin
zur Möglichkeit eigene Hotelangebote auf E-Bay zu versteigern. Eine
Professionalisierung ist auch hier
deutlich erkennbar. Der ITB World
Travel Trends Report sagt denn
auch voraus, dass die Internet-Buchungen steigen werden, ebenso
wie die Nachfrage nach virtuellen
Online-Konferenzen. Für 2009 sagt
die ITB «einen Rückgang der Reisetätigkeit in den meisten Märkten»
voraus. Profitieren würden vor allem die Binnenmärkte und die Nahmärkte. Die Strategie von ST, in der
Krise vor allem darauf zu setzen,
dürfte also einige Chancen haben.
Allerdings: vor allem günstige Destinationen sollen gefragt sein.
En français
Page 15
World Travel Monitor
Europa
wuchs schwach
FOTOS: M. NOLD
Besonders auffällig – aus Schweizer
Sicht – war unter anderem das stärkere Auftreten der ehemaligen Ostblock-Länder. So hat sich beispielsweise Slowenien, in den letzten
Jahren eher bedeutungslos und
mit kleinem Stand, zwischen die
Schweiz und Österreich gedrängt.
Mit einem sehr professionellen Auftritt. Die Folge davon: Der eigentlich
kompakte Schweizer Stand franste
an den Rändern noch stärker aus
als letztes Jahr. Da zudem noch ein
Aussteller fehlte, mussten die Swiss
Quality Hotels so gänzlich losgelöst
von der Schweiz – sozusagen schon
fast in Slowenien – ausstellen, was
dem Bild wenig zuträglich war. Als
einzige der ST-Hotelgruppen wirklich vertreten war «Typically
Swiss». Der Stand zeigte vor allem
eines: Die vielen Angebote sind nur
sehr schwer spiegelbar. Beschränkung ist angesagt, doch ebenfalls
schwierig. Zudem sorgte das so genannte «Chalet» in der Mitte des
Standes wiederum für Abschottung.
Doch anscheinend soll der nächste
Stand wesentlich offener werden.
7
Blick ins Schweizer Reduit: Nächstes Jahr soll es einen neuen Stand geben.
Animation am Schweizer Stand.
Schweizer «Q» präsentierte sich an der ITB
Unter sich geblieben
Laut dem Forschungsinstitut IPK,
das jährlich zur ITB den so genannten «World Travel Monitor» herausgibt, stiegen 2008 die Auslandreisen
der Weltbevölkerung um 2 Prozent.
2007 seien die Reisen noch um 6
Prozent gestiegen. Das schwächere
Wachstum sei durch die sich ausbreitende Finanz- und Wirtschaftskrise ausgelöst, stellt die IPK fest.
Am stärksten stiegen die Auslandsreiseankünfte in Afrika (+5%) und
Nord- und Südamerika (+4%).
Europa habe nur ein Wachstum von
1 Prozent zu verzeichnen gehabt.
www.ipkinernational.com
Wellness an der ITB
Neue Studie
zur Wellness
Jürg Schmid spricht über Qualität.
Hansruedi Müller (FIF), Peter Vollmer (VöV) und Marcel Perren (Luzern Tourismus).
Zum zwölften Geburtstag präsen-
system, wie Markus Luthe, Hauptgeschäftsführer des Hotelverbandes
Deutschland (IHA) und Vorsitzender
des Qualitätsausschusses an einem
Podiumsgespräch im zweiten Teil
der Veranstaltung festhielt.
tierte sich das Qualitätsgütesiegel
für den Schweizer Tourismus am
Rande der ITB in Berlin. «Auch Qualitätsprogramme müssen sich entwickeln», stellte Hansruedi Müller
vom Forschungsinstitut für Freizeit
und Tourismus der Universität Bern
(FIF) fest. Dass das «Q» sich in den
letzten zwölf Jahren stark entwickelt hat, zeigt unter anderem, dass
sieben Deutsche Bundesländer,
Griechenland, Lettland, aber auch
Tirol eine Lizenz erworben haben.
Zudem ist das Schweizer «Q» Vorlage für das Europäische Qualitäts-
Auch Jürg Schmid, Direktor von
Schweiz Tourismus, hielt ausdrücklich fest, das «Q» habe der Schweiz
einiges gebracht. In den zehn HotelMarketing-Gruppen, von denen ST
bereits sieben gebildet hat, sei das
«Q» eine der wichtigen Grundlagen.
Schliesslich wolle man die «1000
besten Hotels der Schweiz» ver-
markten. Schmid ging noch einen
Schritt weiter und attestierte Portalen wie Holidaycheck, auf denen
Gäste Hotels bewerten, sie beschleunigten den Qualitätswandel –
nicht nur in der Schweiz. Denn,
«die Höhe der Bewertung ist Matchentscheidend», meinte Schmid.
Die Veranstaltung am Rande der
ITB war (leider) nur relativ spärlich
besucht. Trotzdem: Qualität ist und
bleibt Thema. Nicht nur für die
Schweiz, auch international. Zumindest dies war deutlich spürbar.
Anlässlich der ITB hat der Deutsche
Wellnessverband die erste Auflage
eines «Wellness-Sensors» vorgestellt.
Die Studie brachte einiges zutage.
Klar war, dass Urlauber unter «Wellness» häufig Bewegung im Wasser
verstehen. Weit abgefallen ist jedoch
die noch vor kurzem hochgelobte
«Medical Wellness». Sie wurde vom
Verband als «extremes Nischenprodukt» bezeichnet. Neben Preis und
geografischer Lage gehört auch ein
Qualitätssiegel zu den Anforderungen, die Reisende an Wellness stellen
(siehe Artikel links). Nicht zu vergessen: Wellness-Urlauber buchen häufig noch kurzfristiger als andere Ferienreisende.
Velotourismus an der ITB
Fahrrad wird
Tourismustrend
Gute Neuigkeiten für Schweiz Mobil: Laut einer Studie des Deutschen
Fahrradclubs «radelt der Rubel».
Immer mehr Urlauber scheinen bereit, Velo-Ferien zu unternehmen.
Immerhin 21 Prozent aller Deutschen hätten schon einmal einen
Radurlaub mit Übernachtung gemacht. Tendenz steigend.
www.adfc.de
mn
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Bündner Tagblatt, 23.03.2009
aktuell
htr hotel revue
Nr. 13 / 26. März 2009
3
Aus der Region
Kurzarbeit
als Notlösung
K
urzarbeit ist noch nicht
sehr verbreitet», sagt
Bettina Baltensperger
vom Rechtsdienst bei
hotelleriesuisse. «Eher gibt es
Übergangsregelungen mit Kompensation. Das sieht in anderen
Branchen anders aus.» Das Luzerner 5-Sterne-Hotel Palace konsultierte den Rechtsdienst, bevor es
Anfang Februar für 30 Prozent der
Belegschaft Kurzarbeit einführte.
Im Park Hotel Weggis arbeitet
die Hälfte der 120 Beschäftigten
mindestens bis Mitte Mai zu
50 Prozent kurz, wie der «Sonntag»
schrieb. Und wenn sich der Buchungsstand im Grand Hotel Victoria-Jungfrau in Interlaken nicht
verbessere, müsse sich das Luxushotel gar Entlassungen überlegen.
Kosten senken durch Synergien
mit Partnerbetrieb
Rücksichtsvoller Service braucht auch gutes Personal.
Alain D. Boillat
«BeiunsgibtesnochkeineKurzarbeit.Wir ersetzen allerdings normale personelle Abgänge nur,
wenn es vom Geschäftsgang her
vertretbar ist», sagt Maria Büeler
Zischler, Direktorin des 5-SterneHauses Alden Hotel Splügenschloss in Zürich. Das Geschäft im
JanuarundFebruarseischlechtgewesen und teils in das 4-SterneSegment abgewandert. Der März
laufe gut. Auf der Kostenseite könne das Hotel die Synergie mit dem
nahe gelegenen Hotel Ascot als
Partnerbetrieb nutzen. Auf der Angebotsseite hält sich die Direktorin
des Alden Hotels Splügenschloss
an die Maxime: «Nicht einfach die
Preise senken. Wir fangen die Si-
Einzelne Schweizer
Luxushotels haben
aus Kostengründen
Kurzarbeit eingeführt. Nicht gespart
werden soll aber bei
Qualität und Service,
wie eine Umfrage der
htr hotel revue ergab.
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KARL JOSEF VERDING
tuation mit kreativen Ideen in der
Preisgestaltung auf: Es gibt Preisnachlässe für Frühbucher – aber
nur, wenn sofort bezahlt wird, und
es gibt den Last-Minute-Preis.»
«Kurzarbeit gibt es bei uns prinzipiell nicht. Allenfalls werden Ferien vorbezogen», sagt Manfred
Hörger, General Manager des Zürcher «Savoy Baur enVille», Mitglied
der Swiss Deluxe Hotels. Er betont:
«Man muss sich darüber klar
sein: Es geht in einem Luxushotel
nicht um die 100 Gäste, sondern
um den einen Gast, jeden einzelnen.»Und:«Esgibtjaauchnochdie
Vorgaben der Hotelklassifikation
für ein 5-Sterne-Haus, und wir
müssendieentsprechendeDienstleistung aufrechterhalten.»
«Im Moment haben wir keine
Kurzarbeit geplant», sagt Clemens
Hunziker, Direktor des 5-SterneHotels Schweizerhof in Luzern.
«Aber bei Abgängen überlegt man
sich zweimal, ob man einen Abgang ersetzt.» Hunziker hat eine
Lösung gefunden, indem die einzelnen Abteilungen des Hotels enger zusammengeführt werden.
«Ausserdem wurden die Kosten für
Aushilfen dramatisch reduziert.»
PersonelleEngpässeineinerAbteilung werden durch den Austausch
mit anderen Abteilungen behoben. «Wir haben einen grossen
Food&Beverage-Anteil, dadurch
istdassehrgutmöglich»,sagtHunziker. Rund 100 Mitarbeiter beschäftigtseinHotelmomentan.Vor
der durch die Finanzkrise bedingten Situation waren es 120. Diskutiertwerdejetzt,obspeziellepersonelle Saison-Kräfte im Sommer
wirklich benötigt werden.
«Die Gäste wollen immer denselben Service – Krise oder nicht»
«Wir sollten in dieser Situation
gut auf die Kosten aufpassen, aber
nicht beim Personal sparen»,
mahnt Giuseppe Rossi, General
Manager des Hotels Splendide Royal in Lugano. Dieser Betrieb der
Swiss Deluxe Hotels hatte in den
letzten Wochen einen Umsatzrückgang von rund 5 Prozent
gegenüberdemVorjahr.«DieGäste
wollen immer denselben Service –
Krise oder nicht», betont Rossi.
«ImSchweizerLuxus-Segmentgibt
es da keinen Kompromiss.»
Fiorenzo Fässler, Geschäftsführer der Swiss Deluxe Hotels, rät:
«Die Direktoren müssen jetzt die
Weichenstellen–betreffendPersonalkosten und andere. Aber es ist
Vorsicht geboten.»
Die Sonne als Tourismus-Partner
Nachhaltig in die Zukunft
und vor allem mit viel Sonnenenergie: So lautete die
Perspektive für die Alpenregionen am 19. «Tourismusforum» in Pontresina.
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GUDRUN SCHLENCZEK
Für Thomas Reisenzahn, Generalsekretär der Österreichischen Hoteliervereinigung ÖHV, ist sonnenklar: «Die beste Chance, der Wirtschaftskrise zu entkommen, ist, in
die Umwelt zu investieren.» Denn,
betonte Reisenzahn am diesjährigen «Tourismusforum» in Pontre-
sina, das gestern zu Ende ging, bereits 20 Prozent der europäischen
Gäste «buchen heute die Umwelt
mit», suchen sich also bewusst ein
nachhaltig geführtes Hotel aus.
Der ÖHV hat sich dafür eingesetzt,
dass Fördergelder nun vor allem in
nachhaltige Projekte fliessen.
Dass man sich profilieren und
obendrein noch Kosten sparen
kann, erzählte Armin Bützberger,
der als Direktor des Hotels Europe
in Champfèr von den Gästen selbst
zum «Sonnenkönig» erkoren wurde: «In acht bis zehn Jahren ist unsere Solaranlage auf dem Dach
amortisiert.»
Sonnenenergie ist gerade für alpine Tourismusorte interessant.
«Engadin und Wallis sind für die
Gewinnung von Sonnenenergie
genauso gute Standorte wie Spanien», erklärte Hansjürg Leibundgut, Professor für Gebäudetechnik
an der ETH Zürich. So würde in
St. Moritz fast die Hälfte der Solarenergie im Winter anfallen, wenn
man sie am nötigsten brauche. In
Zürich schaffe man im Winter
knapp ein Viertel der Jahresproduktion, ergänzte Fritz Schuppisser von der Firma Soltop. Und die
Berge hätten neben Nebelfreiheit
noch weitere wichtige Vorteile für
die Gewinnung alternativer Energie:grosseHöhendifferenzundviel
Wasser. Beides kann man gut gebrauchen, um die Energie in Form
von Speicherseen für sonnenarme soll Anfang 2010 veröffentlicht
Stunden «zwischenzulagern». Hier werden. Eine andere Energiespeimachte Thomas Küng vom Ta- cherform wird Leibundgut beim
gungskoordinator Grischconsulta Sawiris-Projekt in Andermatt
ausSamnaunden
einsetzen: Statt
Link zur Bedem Boden wie
«Engadin und
schneiung
auf
bei der GeotherWallis
sind
für
die
der Skipiste: «Die
mie Wärme zu
SonnenenergieSpeicherseen für
entziehen, will
die Schneeanlaman in der Erde
technik genauso
gen kann man
die Wärme speigut wie Spanien.»
als Strombanken
chern. Dass Sonnützen.»
Das
nenenergie nicht
Hansjürg Leibundgut
Professor an der ETH Zürich
könnte auch eiausreiche, erklärnes der Ergebniste Leibundgut als
sedervonGrischconsultaundSeil- Märchen.«Wirkönnten400-malso
bahnen Schweiz gerade lancierten viel Solarstrom produzieren, wie
Studie zum Energiemanagement dieMenschheitverbraucht»,soder
der Bergbahnen sein. Die Studie Professor.
Strategische Partnerschaft
Neues Kontrollregime an den
Schweizer Flughäfen
Die drei Schwesterverbände Dehoga (Deutschland), hotelleriesuisse und der Fachverband Hotellerie (Österreich) haben am
Dienstag inWien ihre strategische
Partnerschaft besiegelt. Mit der
Unterzeichnung des Letters of intent (LOI) erlangt die umfassende
und langjährige Hotelklassifikationskompetenz der drei Partner
eine neue Dimension. Die LeitideedesLOIistdieWeiterentwicklung der Klassifikationssysteme,
deren Anwendung und die Schaffung weiterer Synergien. Die Ergebnisse der engen Zusammenarbeit sollen weiteren Ländern
und Kulturkreisen offenstehen.
(siehe auch Interview Seite 5) dst
Mit dem Flugplanwechsel vom 29. März tritt auch für die
Einreise am Flughafen die Schengenregelung in Kraft.
www.htr.ch/htr-online
zvg
Obere Reihe (v.l.): Herbert Sidler (hotelleriesuisse), Helmut Otto
(Deutsche Hotelklassifizierung), Klaus Ennemoser (Fachverband
Hotellerie Österreich). Untere Reihe (v.l.): Matthias Koch (Fachverband Hotellerie Österreich), Annette Stoffel (hotelleriesuisse), Markus Luthe (Hotelverband Deutschland).
Personenkontrollen auf BinnenflügenimSchengen-Raumkönnen
wie geplant am 29. März 2009
aufgehoben werden. Denn die
Schweizhatallefürdiedreigrossen
Landesflughäfen von Zürich, Basel
und Genf relevanten Schengener
Bestimmungenkorrektumgesetzt.
Zu diesem Schluss ist ein EU-Expertenbericht über die Nachevaluation der Schweizer Flughäfen gelangt, den die Arbeitsgruppe des
Rates SCH-EVAL genehmigt hat.
Eine erste Inspektion der Abläufe
und der Einrichtungen an den
Schweizer Flughäfen war im August 2008 vorgenommen worden.
SchengenerfordertandenFlughäfeneineTrennungderPassagierströme zwischen Schengen-externen und Schengen-internen Flügen. Bei Flügen nach und aus
Nicht-Schengen-Staaten sind systematische Personenkontrollen
durchzuführen. Bei Schengen-internen Flügen dagegen entfallen
die Personenkontrollen
Die Personenkontrollen an den
Landgrenzen sind bereits am
12. Dezember des vergangenen
Jahres mit dem Beginn der operationellen Zusammenarbeit zwischen der Schweiz und der EU aufgehoben worden.
dst
Zentralschweiz
Lucerne Festival
auch bei Sawiris
in Andermatt
Alain D. Boillat
Der ägyptische Hotelunternehmer Samih Sawiris steigt als
Sponsor bei Lucerne Festival ein
und erhält für seine Ferienanlage
in Andermatt ein eigenes Musikfestival. «Lucerne Festival in Andermatt» startet voraussichtlich
2013. Die künstlerische Verantwortung für die neue VeranstaltungliegtbeiLucerneFestival.Für
die Infrastruktur und die Kosten
kommt Sawiris’ Orascom Development Holding AG auf. Die
Konzerte sollen in der neuen 600plätzigen Kongresshalle des Resorts stattfinden.
dst/sda
Hotelfachschule
baut Studios für
Studenten
Die Hotelfachschule Luzern
(SHL)stocktdaseinstige«Palace»Personalhaus auf und schafft damit neuen Wohnraum. Laut der
«Neuen Luzerner Zeitung» sollen
die 100 bestehenden Zimmer zu
Studiowohnungen
umgebaut
werden. Die Wohnungen sollen
allen Studenten offen stehen.
Mehr Platz für Schulungsräume
soll die Erhöhung des früheren
«Palace»-Personalhauses um ein
bis zwei Etagen bringen. Für die
Verbindung der beiden SHL-Liegenschaften ist eine Passerelle geplant. Die Gesamtinvestitionen
werden mit 9 Mio. Franken beziffert.
dst
Graubünden
Naturparks
sollen mehr
Geld erhalten
zvg
Der Kanton Graubünden will seine finanziellen Beiträge an die regionalen Naturparks Val Müstair,
Parc Ela und Park Beverin rückwirkend auf Anfang 2009 erhöhen. Die Bündner Regierung hat
beschlossen, die im Januar 2008
bei der Genehmigung der ersten
beiden Bündner Parkprojekte
festgelegte
60-Prozent-Anbindung des Kantonsbeitrags an die
Höhe des Bundesbeitrags anzupassenundsomitneuauf100Prozent zu erhöhen.
dst
Steinbock-Label:
Enge Kooperation
mit QIII
Die Anbieter der Qualitäts-Gütesiegel (Q) und des Steinbock-Labels wollen enger zusammenarbeiten. Einem Hotelbetrieb, der
sichmitdemSteinbock-Labelzertifizieren lässt, soll es in Zukunft
ermöglicht werden, mit einem
Zusatzmodul zum SteinbockLabel das Qualitäts-Gütesiegel
Stufe III zu erlangen. Bereits im
Sommer/Herbst 2009 könnten
die ersten Hotels in den Genuss
der Neuerung kommen.
dst
actuel
htr hotel revue
No 13 / 26 mars 2009
21
En bref
Quid du géomarketing?
Provins utilise le
géomarketing pour
optimiser les tournées de ses représentants. Mais qu’est-ce
exactement que le
géomarketing?
concentration horeca par quartier,
ainsi que l’âge de la population.
«Ensuite, ce sont eux qui nous ont
proposé des critères complémentaires», explique David Genolet.
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ldd
La Fondation suisse pour la protection et l’aménagement du paysage (FP) propose de remettre à
l’ordre du jour le «centime paysager». Ce «centime», estime la fondation, pourrait être utilisé
comme instrument de compensation dans la pesée d’intérêts entre protection et utilisation du
paysagedanslecadredesquelque
mille projets actuels d’installations hydro-électriques et d’éoliennes. Le «centime paysager»
avait été élaboré, dans cet esprit,
dans les années nonante.
mh
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P
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MicroGIS, le
spécialiste du
géomarketing
MicroGIS, fondée en 1996,
propose divers produits liés au
géomarketing. Elle vend aussi
des logiciels qui permettent
aux entreprises de réaliser
elles-mêmes des analyses
géomarketing, et propose des
cours de formation aux SIG
(systèmes d’information géographique), en français ou en
allemand. Basée à St-Sulpice
(VD), MicroGIS a ouvert en 2006
un bureau à Zurich.
hk
Qualité: accord
avec le label
du «Capricorne»
Concrètement, ce projet d’atelier s’inscrit dans le cadre du nouveau programme de l’EHL, pour la
spécialisation en entrepreneurship, donné en 3e année. Avec
comme but de permettre aux étudiantsdetravaillersurdescasréels.
Des contacts dans ce sens ont déjà
été pris avec MicroGIS qui animerait cet atelier.
«Le cas concret peut être: je veux
ouvrir un hôtel et j’examine quels
sont les zones de chalandise et les
flux de déplacements», note Christophe Fischer.
en géomarketing à l’EHL?
Cela pourrait changer, avec
l’idée de mettre en place un atelier
de géomarketing destiné aux étudiants de l’EHL. C’est en tout cas le
projet sur lequel planche Christine
Demen Meier, professeur de marketing et docteur en sciences de
gestion à l’EHL. «Cet atelier devra
être d’abord peaufiné et ensuite
être validé par la directrice des programmes», souligne-t-elle. «J’avais
déjà fait appel à une autre société
quiadonnéuneconférencedesensibilisation sur le géomarketing il y
a trois ou quatre ans. Depuis, le
géomarketing a progressé, aussi
bien au niveau des logiciels que de
l’analyse».
Le géomarketing permet de mieux gérer le personnel
L
e géomarketing consiste à
définir quel est le meilleur
endroit géographique afin
d’implanter une affaire. Le géomarketing est particulièrement
utilisé par les entreprises qui ont
de multiples établissements. Cela
leur permet de déterminer si
l’ouvertured’unenouvellestation
service, par exemple, ne risque
pas de cannibaliser les stations
déjà existantes. Il en est de même
des chaînes de restaurant. «Les
Burger King et les McDonald’s
utilisent le géomarketing», relève
Christine Demen Meier, profes-
seur de marketing à l’Ecole hôtelière de Lausanne (EHL).
Les analyses de géomarketing
se font avec des outils informatiques permettant de combiner des
données de nature différente, par
exemplelarépartitionpartranche
d’âge des habitants d’un quartier,
leurniveauderevenuetlenombre
dependulairesquisontlàuniquement durant la journée. Selon les
réponses à ces questions, il sera
plus intéressant pour un restaurant d’avoir un maximum de personnel le soir et une équipe réduite à midi, ou l’inverse
On intègre aussi souvent
comme élément d’analyse le
temps que mettent les gens à rejoindre un point donné (20 minutes par exemple). Regarder simplement les distances géographiques ne suffit pas en effet. Un
quartier tout proche du futur restaurant projeté peut s’avérer mal
desservi par les transports publics
etpeupratiqued’accèsenvoiture.
Malgré sa proximité cette zone
sera donc une zone de chalandise
moins intéressante qu’un autre
quartier un peu plus éloigné, mais
mieux desservi.
hk
La fumée aussi bannie à Neuchâtel
L’interdiction de fumer
dans les établissements
publics neuchâtelois entrera en vigueur le 1er avril.
Hôteliers et restaurateurs
trouvent ce délai très court.
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VALÉRIE MARCHAND
Le Grand Conseil neuchâtelois
vient d’accepter l’initiative «fumée
passive et santé». L’interdiction de
fumer dans les lieux publics, avec
possibilité de fumoirs sans service,
entrera ainsi en vigueur le 1er avril
prochain. Les restaurateurs prévoient quelques modifications
pour leurs établissements sans
toutefois tout réorganiser. En effet,
la construction de fumoirs ne
constitue pas une priorité.
«L’Hôtel Alpes et Lac dispose
d’une grande terrasse avec vue sur
le lac. Les clients pourront aller y
fumer. Si l’application de la loi n’a
pas d’effets négatifs sur le chiffre
d’affaires, j’envisagerai éventuelle-
Pour une relance
du «centime
paysager»
Déterminer quels sont les
quartiers les plus intéressants
LesreprésentantsdeProvinsont
deux gammes principales de produits à placer, ce qui implique de
prospecter des types d’établisseHÉLÈNE KOCH ments différents. La première
gamme, «Maître de Chais», est
rospecter au mieux un d’orientation gastronomique et
territoire en ciblant au destinéeàuneclientèlede40anset
mieux les établisse- plus relativement aisée. Le «Grand
ments à visiter? C’est ce Métral», lui, cible davantage une
qu’a réalisé MicroGis, une société clientèle de 25-40 ans qui fréspécialisée dans le géomarketing, quente des endroits à la mode de
pour le compte de Provins. «Un des type café lounge. Pour déterminer
buts était de donner à chaque re- concrètement quels sont les quarprésentant un support de travail tiers les plus intéressants, Microsous forme de carte qui lui montre GIS a utilisé les données de l’OFS,
les quartiers les
(office fédéral de
plus intéressants
la
statistique)
«Le but
à
prospecter»,
ainsi que le RFE
est de donner
note Christophe
(recensement féFischer,
géoun support de
déral des entreéconomiste chez
prises).
travail à chaque
MicroGIS.
Comme
les
représentant.»
L’étude a été
données du RFE
menée dans les
sont actualisées
Christophe Fischer
Géo-économiste, MicroGIS
seize
plus
tous les trois ans
grandes aggloseulement, Mimérations de Suisse, de Genève à croGIS s’est aussi tourné vers un
Zurich en passant par Berne. Dans fournisseur d’adresses afin d’avoir
chaque ville, il s’agissait de per- des infos annualisées. «Ce filtre a
mettre aux représentants de Pro- permis d’éliminer un certain nomvins d’optimiser leurs tournées. bre d’établissements qui n’étaient
«C’estlapremièrefoisquenousfai- pas dans la cible », explique Chrissions une approche par quartier. tophe Fischer. Notamment les resAvant cela se faisait au niveau des taurants sans alcool. «Cela nous
villes», explique David Genolet, di- permet de mieux cibler nos offres»,
recteur marketing chez Provins.
résume David Genolet qui estime
La coopérative vinicole a défini aussi que le géomarketing reste un
les critères que MicroGIS devait outil «sous utilisé».
prendre en compte, à savoir le
nombre d’emplois tertiaires et la Bientôt une formation
●
Suisse
Fotolia
La fumée ne sera autorisée
que dans les fumoirs sans service.
mentlaconstructiond’unfumoir»,
précise Martin Mayoly, gérant de
l’établissement et président d’hotelleriesuisse Neuchâtel-Jura. Des
coûts élevés, mais aussi des direc-
tives nationales concernant les
fumoirs qui devraient entrer en
vigueur dans une année environ,
laissent les professionnels hésitants. Et l’arrivée de la belle saison
leurpermetdedemanderàlaclientèle qui en éprouve le besoin de
fumer à l’extérieur.
A la tête de l’Hôtel Palafitte à
Neuchâtel, Antoine Chaumeron
pense construire un fumoir si les
autorisations nécessaires lui sont
accordées, mais le plus pressant,
pour lui, est d’expliquer à la clientèle les aspects positifs de l’interdiction de fumer. «Se retrouver ensemble pour fumer sur la terrasse,
c’est convivial», estime-t-il. Le seul
bémolestquelaloineprévoitpasla
possibilité de fumer dans les bars
des restaurants. En salle cependant, Antoine Chaumeron a déjà
vécu des expériences bénéfiques:
«Le 31 décembre, la plupart des
tables étaient libellées nonfumeurs et la soirée s’est très bien
déroulée.» Et le Palafitte n’est pas le
premier hôtel qui a anticipé la loi.
Le restaurant de l’Auberge de la
Tène à Marin est ainsi non-fumeur
Si,dansl’ensemblelaloiestbien
depuis le 1er novembre. Des fau- acceptée, on déplore en revanche
teuils avec des couvertures ont été la rapidité de sa mise en vigueur.
installés sur la terrasse. Le tout à «Le délai est si court que nous
proximité d’une pancarte «smoke n’avons pas le temps de créer des
& flirt».
fumoirs», regrette
L’idée à plu et
MichelVuillemin,
elle a pu être conprésident de Gascrétisée à peu de
troNeuchâtel. Il
frais.«Nousavons
pense par ailleurs
reçu plus de reque la clientèle
marques posipourrait modifier
tives que négases habitudes et
tives»,
déclare
se déplacer dans
Esther Widmer,
les cantons voiassistante
de
sins qui n’ont pas
«Nous avons
direction. Gilles
encore banni la
une grande
Montandon, le
fumée dans les
directeur
de
lieux publics.
terrasse et les
l’Hôtel du 1er
«Cette interclients
peuvent
Mars à La Chauxdiction incitera
aller y fumer.»
de-Fonds, aurait
néanmoins les
souhaité une telle
personnes
qui
Martin Mayoly
Dir. de l’Hôtel Alpes et Lac à Neuchâtel
loi être appliquée
avaient renoncé à
plus tôt. «Si je
sortirenraisonde
n’avais pas eu une clientèle de la fumée à fréquenter à nouveau
fumeurs très réguliers, j’aurais déjà des restaurants», remarque Michel
prévu d’avoir un établissement Vuillemin en guise de conclusion.
sans fumée», explique -t-il.
Lire aussi en page 8
Les entreprises hôtelières, qui obtiendront le label du «Capricorne»
(Steinbock-Label), label qui certifie les efforts en matière de développementdurable,pourront,dès
cet été, obtenir le label de niveau
III du Programme de qualité pour
le tourisme suisse. Pour faire valoir cette reconnaissance, les candidats devront toutefois suivre un
module de formation spécifique
qui doit encore être créé, ont indiqué les partenaires du projet. mh
Valais
Swiss Alpina: les
nouvelles dates
seraient «bonnes»
ldd
Contrairement aux années précédentes, Swiss Alpina, le Salon international des technologies de la
montagne, seul du genre en
Suisse, se tiendra, cette année, en
été, soit du 26 au 28 août. Le choix
de ces nouvelles dates, qui permettra au salon d’éviter la concurrence d’Interalpin à Innsbruck
(A),«sembleavoirétélebon»,écrivent les organisateurs. Les «exposants fidèles sont pratiquement
tousinscrits»,ajoutent-ils.Cesont
donc quelque 220 exposants et
marques qui seront présents cet
été au centre d’exposition de Martigny.
mh
Vaud
Signalisation
touristique: le
projet peine
Le projet de signalisation touristique uniforme, lancé par l’Office
du tourisme du canton de Vaud,
n’est pas encore sur le point d’être
réalisé. Le dossier est entre les
mains de l’Office fédéral des routes qui a demandé de revoir le graphisme et de réduire le nombre de
pôles touristiques susceptibles
d’être signalés le long des autoroutesvaudoises,arévélélequotidien «24 Heures». Ce dossier est
aussi sur le bureau d’un institut
européen basé à Paris.
mh
Walliserbote 26.03.2009
Medienspiegel 2009
April
aktuell
htr hotel revue
Nr. 14 / 2. April 2009
3
Aus der Region
Interhome pusht Luxus
Interhome ist das
beste Pferd im Stall
der Hotelplan AG.
Neu fokussiert der
FerienwohnungsVermittler auf Luxus.
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SIMONE LEITNER
D
ie Ferienwohnungssparte von Hotelplan
läuft gut. Nach einem
geglückten MarkenRelaunch ist Interhome im letzten
Geschäftsjahr im Buchungsgeschäftum5,7Prozentauf196,4Millionen Franken gewachsen und
hat mit 211,9 Millionen Franken
(+1,4%) einen Rekordumsatz er-
zielt. Mit Innovationen und Neulancierungen hat Simon Lehman,
CEO der Interhome AG, «das verstaubte Image des Ferienhausvermittlers abgelegt». Diverse Kooperationen mit grossen Partnern, wie
jüngst mit Schweiz Tourismus,
oder auch die Erschliessung der
Quellmärkte Indien und GolfstaatenhabenzumgutenGelingenbeigetragen. «Und werden es auch
weiterhin tun», ist der Boss von Interhome überzeugt. Gerade in diesen turbulenten Zeiten richtet sich
der Fokus bei Familien vermehrt
aufFerienwohnungen.Zumneuen
ImagevonInterhomegehörteinerseits der Ausbau der Dienstleistungen und andererseits die WeiterentwicklungderProdukte.ImKlartext:Interhomewillvoralleminder
Schweiz mehrWohnungen im Premium-Segment anbieten. Dies be-
dinge aber auch
novation. «Die
ein ausgefeiltes
grosse Stärke ist
Dienstleistungsunser ausgefeilpaket, das Intertes Distributionshome den Gästen
netz.»
Simon
bieten
müsse.
Lehmann sieht
«Zu einer luxuriödaher auch in all
sen Ferienwohden neuen Ferinung gehört ein
en-Resorts, die
umfassendesSergebaut werden
«Eine luxuriöse
viceangebot», be(siehe «fokus»Ferienwohnung
tont Simon LehBund), ein grosbraucht auch ein
mann.Dasserdases Potenzial für
für keine zusätzInterhome. Geumfassendes
lichen
Stellen
wisse Gespräche
Serviceangebot.»
schaffen werde,
hätten
bereits
sei klar. «Vielstattgefunden.
Simon Lehmann
CEO Interhome
mehr werden wir
Interhome ist
mit bestehenden
zudem an einem
Anbietern weitere Partnerschaften weiteren Vertriebskanal, der Intereingehen.»DiePhilosophievonIn- netplattform Vacando.com beteiterhome war immer das Netzwerk ligt. «Wir haben festgestellt, dass
mit Profis. Und die technische In- die Eigentümer die Vermarktung
Bern
ihrer Ferienunterkunft vermehrt
selber in die Hand nehmen wollen.
Die Interhome-Tochter Vacando
richtetsichinersterLinieanEigentümer, die selber vermieten möchten, ohne die Services eines Vermittlers in Anspruch zu nehmen»,
sagt Lehmann, VR-Präsident der
Vacando AG. Tönt das nicht nach
Kannibalisierung? «Interhome ist
ein Full-Service-Anbieter, der die
gesamte Vermarktung der Ferienunterkunft inklusive Betreuung
der anreisenden Gäste übernimmt, Vacando versteht sich als
Do-it-yourself Plattform. Somit
gibt es eine klare Abgrenzung», so
Lehmann.
Die Dachgesellschaft Interhome AG wird zu 100 Prozent von
der Hotelplan Holding AG gehalten. Diese wiederum ist zu 100 Prozent im Besitz der Migros.
SlowUp startet in die zehnte Saison. Das einstige Expo-Pilotprojekt vom Murtensee hat sich zu einer schweizweiten, nachhaltigen
Bewegung entwickelt. Den Auftakt ins 2009 macht am 26. April
denn auch der 10. SlowUp Murtensee. Neu ist der SlowUp Jura.
Die 15 SlowUp-Erlebnistage dieses Jahres dürften rund 500 000
Freunde des Langsamverkehrs in
Bewegung setzen. Darunter dank
derPartnerschaftmitProcapauch
vieleMenschenmitBehinderung.
Im Jahre 2000 wurde SlowUp als
Pilotprojekt der damals für 2001
geplanten Expo am Murtensee
aus derTaufe gehoben.
ck
«Schweizer putzen sogar
ihre Berge.» Diese
Geschichte sorgte gestern
national und international
für Aufsehen. Es handelte
sich dabei jedoch um
einen Aprilscherz von
Schweiz Tourismus.
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Berner Oberländer
Hoteliers setzen
auf Qualität
Eine zweite Staffel von Hoteliers
aus dem Berner Oberland bereiten sich auf die ISO-9001-Zertifizierung vor – um dann auch das
QIII zu erhalten. Die wirtschaftlich «stürmischen» Zeiten erachten die sechs teilnehmenden Hoteliers als Herausforderung und
machen deshalb finanzielle und
personelle Ressourcen frei, um
auch in Zukunft erfolgreich zu
sein. Bis zum Jahreswechsel wollen sie ihre Visionen, Strategien
und Vorgehensweisen analysieren, ergänzen und optimieren. ck
Die Freiwilligenorganisation der Felsenputzer stiess am 1. April auf grosses mediales Echo.
Hotel macht diffusen Appetit
Die Eigentümer des berühmten Grand Hotels
Locarno warten auf ein
konkretes Angebot.
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GERHARD LOB
Seit Denner-Erbe René Schweri
Anfang Februar als potenzieller
Käufer das Handtuch geschmissen und sein Vorkaufsrecht nicht
verlängert hat, ranken sich neue
Gerüchte um potenzielle Interessenten für das Grand Hotel Locarno. Auf das mittlerweile seit drei
Jahren geschlossene Traditionshaus hätten die Grossbank Credit
Alain D. Boillat
Der Regierungsrat des Kantons
Bern unterstützt den Verein Berner Wanderwege in den Jahren
2009 bis 2013 mit einem Kantonsbeitrag von jährlich 1,1 Millionen
Franken, wie er den Medien mitteilt. Der Verein Berner Wanderwege ist für die Kontrolle des rund
10 000 Kilometer langen Wanderwegnetzes im Kanton Bern zuständig. Er koordiniert die Unterhaltsarbeiten mit den zuständigen Behörden und stellt die Markierung derWege sicher.
ck
10 Jahre SlowUp
– eine erfolgreiche
Geschichte
Der Scherz
stiess auf viel
Resonanz
delt sich dabei um eine Equipe,
welchedieSchweizerBergevonallfälligen Vogel-Exkrementen säubert, damit Feriengäste stets schöne Berge bewundern können. Am
gestrigen 1. April erschien das Video erstmals auf dem Videoportal
YouTube. Die Felsenputzer waren
aber auch bereits ein Thema etwa
in englischen Morgenshows oder
beim französischen Fernsehkanal
DANIEL STAMPFLI TF1.
Im Video suchen die Felsenputzer unter anderem Nachwuchs
«Selbstverständlich braucht die und verweisen auf die Website
Schweiz keine Felsenputzer, um www.MySwitzerland.com/felsendie Berge sauber zu halten», sagt putzer. Auf dieser können InteresJürg Schmid, Disenten einen Felrektor
von
senputzer-Eig«Unsere Berge
Schweiz Tourismasind von Natur aus nungstest
mus (ST). «Unsechen.
Den
re Berge sind von
schön, da braucht
Teilnehmern dieNaturausschön.»
ses Eignungstests
es keine FelsenDie Felsenputzer
blüht nun zwar
putzer.»
seien erfunden
keine Karriere als
worden, um auf
Felsenputzer, sie
Jürg Schmid
Direktor Schweiz Tourismus
überraschende
können aber eine
und augenzwinWoche Ferien in
kernde Art die Botschaft «Wir tun den Schweizer Bergen gewinnen.
alles für perfekte Ferien» auch bei
ZurneuenWerbekampagnevon
jüngeren, Web-affinen und inter- ST unter dem Motto «Wir tun alles
nationalen Zielgruppen rüberzu- für perfekte Ferien» kommen ab
bringen. Und dies sei bestens ge- sofort zwei weitere Sujets in den
lungen, wie die vielen Reaktionen Märkten zum Einsatz: Ein Bauer,
an nur einemTag zeigten.
der unter einer seiner Kühe liegt
In einem am 1. April verbreite- und ihre Glocke richtig stimmt und
ten Video stellen sich die so ge- ein Hüttenwart, der die Schweizer
nannten Felsenputzer vor. Es han- Fahne am Masten glattbügelt.
Unterstützung für
die Berner
Wanderwege
Suisse, eine Hotelkette sowie Ikea
ein Auge geworfen, berichtete die
katholische Tageszeitung «Giornale del Popolo.» Ikea? Dieses GerüchthatderschwedischeMöbelherstelleraufAnfragederhtrhotel
revue umgehend dementiert.
«Ein Grand Hotel passt gar nicht
zu unserer Firmenphilosophie»,
sagt Sonja Blöchlinger, Sprecherin von Ikea Schweiz. Bei Credit
Suisse gibt man sich zugeknöpft.
«Wir können weder bestätigen
noch dementieren», sagt Tobias
Egli, Sprecher der Immobilienfonds Credit Suisse Real Estate
Fund Living Plus. Der Bellinzoneser Anwalt Franco Gianoni, einer
der fünf Eigentümer des Grand
Hotels, bestätigt hingegen: «Credit Suisse hat nach dem Rückzieher Schweris eine Besichtigung
der Immobilie durchgeführt.»
Doch ein konkretes Angebot sei
seither nicht eingegangen. Überhaupt gebe es bisher keine konkreten Angebote. Und genau darauf warteten die Eigentümer, die
laut Gianoni jedes Jahr 400 000
FrankenfürdenUnterhaltderleer
stehenden Immobilie aufbringen
müssen. «Einen zweiten Fall
Schweri wollen wir vermeiden»,
so Franco Gianoni. Der offizielle
Verkaufspreis für das Hotel beträgt 22 Millionen Franken.
zvg
Was soll aus dem
historischen
Schloss werden?
hoteljob.ch bietet mit der
Neulancierung attraktive Vorteile
Mit neuem Namen und neuem Kleid in die Zukunft:
für Stellensuchende und Stellenanbieter
Seit gestern erscheint der OnlineStellenmarkt der htr hotel revue
unter dem Namen www.hoteljob.ch. Das neue Jobportal für Stellen in Hotellerie, Gastronomie und
Tourismus bietet eine moderne
und übersichtlich gestaltete Benutzeroberfläche. «Die Funktionen und die damit verbundene Benutzerführung sind selbsterklärend und ermöglichen eine einfache Anwendung», umschreibt
Barbara König, Verlagsleiterin der
htr hotel revue, die Vorteile des
neuen Portals. Für die Stellenaus-
schreibungen gibt es neue Preisangebote. Arbeitgeber können für
die Stellenausschreibung zwischen Einzelinseraten, Kontingenten oder einer Jahres-Flatrate wählen. Die Stellensuchenden können
bei hoteljob.ch ihr Profil kostenlos
hinterlegen oder gezielt ein Suchabo aufgeben. Die bisherige Express-Stellenvermittlung wurde
ebenfalls ins neue Portal integriert.
«So ist auf einen Blick ersichtlich,
wie viele Bewerber respektive Stellenangebote per sofort verfügbar
sind», so Barbara König.
dst
picswiss/zvg
Der Kanton Bern sucht innovative
Ideen für die Nutzung der vier
SchlösserBürena.d.A.,Burgdorf,
LaupenundTrachselwald.Erstartet dafür das Projekt «Idee sucht
Schloss» und will mit den Standortgemeinden eng zusammenarbeiten. Das Projekt verfolgt das
Ziel, nachhaltige und zukunftsfähige Nutzungskonzepte zu erarbeiten, die den langjährigen Fortbestand dieser vier Schlösser von
nationaler Bedeutung sichern.
Erste Ergebnisse liegen frühestens im Frühjahr 2010 vor.
ck
htr
9. April 2009
Nr. 15 Fr. 4.30 / € 2.90
AZA/JAA – 3001 Bern / Berne
www.htr.ch
avec cahier français
hotelrevue
Die Schweizer Fachzeitung für Tourismus Heute mit 264 Stellenangeboten
Q+
Mensch =
Qualität
Fisch
Auch auf das Netz
kommt es an: Welche
Fische darf man wo
noch bedenkenlos
geniessen?
Seite 13 bis 15
Zug
Mit dem neuen
Hotel City Garden
soll die Stadt Zug
dringend benötigte
zusätzliche Hotelzimmer erhalten.
Seite 2
Alle sprechen von
Qualität. Viele tun
auch etwas dafür
und setzen in ihrem
Betrieb ein Qualitätsprogramm um.
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CHRISTINE KÜNZLER
San Bernardino
H
oteliers und Gastronomen machen mit
dem Qualitäts-Gütesiegel für den Schweizer Tourismus der Stufen I bis III
grundsätzlich gute Erfahrungen.
Dies zeigt eine Umfrage. Manchmal braucht der Massnahmenkatalog jedoch Korrekturen, so auch
im seit 18 Monaten ISO-zertifizierten «Hof Weissbad» im Appenzell.
Direktor Christian Lienhard sagt:
«Ich beobachte, dass dabei die Innovation auf der Strecke bleibt.»
Deshalb will er die Standards nun
anpassen.
Der Weg zur ISO-Zertifizierung
und damit zum Q III ist nicht ganz
einfach, Vorurteile beim Personal
müssen abgebaut werden. Der
Im kleinen Bündner Skiort droht zwei
von vier Hotels die
Schliessung – wegen
Konkurs der
Betreiberfirma.
Seite 4
Ferientag
«Quantität lässt
sich zählen, die
Qualität zählt.»
«Schweizerhof» in St. Moritz hat
den Prozess bald geschafft: Am 14.
und15.ApriltestetderZertifizierer,
ob die Hoteldirektorin Yvonne
Urban Scherer und ihr Team ihre
Hausaufgaben gemacht haben.
Einen immer höheren Stellenwert im Hotel kommt der Ökologie
zu. An Zertifizierungsmöglichkeiten mangelt es nicht. Die umfassendste Variante ist der «Steinbock», der ursprünglich für Bündner Betriebe entwickelt worden ist.
13 Schweizer Betriebe haben diesesLabel.NeuistdasSystem«Swiss
Climate»: Es basiert auf der internationalen Norm ISO 14064. Im
Zentrum steht dort die Reduktion
derTreibhausgas-Emissionen.
Qualität ermöglicht dem Unternehmer, seine Mitkonkurrenten
zu überflügeln. Das Qualitätsmanagementsystem allein genügt
dafür jedoch nicht. «Eine der besten Investitionen ist jene in die
Mitarbeitenden», sagt Chris Brügger, ehemaliger Hoteltester bei
Richey. «Die Art und Auswahl an
Dienstleistungen und damit verbunden der Faktor Mensch» sind
für ihn ausschlaggebend für herausragende Qualität.
Seite 7 bis 11
Bundesrätin Eveline Widmer-Schlumpf
Alain D. Boillat
Seite 3, 6, 19, 24
Glattalbahn
Grand Resort Bad Ragaz
Erste Bilanz fällt
mehrheitlich
positiv aus
Es tut sich was in Bad Ragaz:
Das grösste Spa der Schweiz
Die Glattalbahn verbindet seit
Dezember den Flughafen Kloten
mit der Zürcher City. Ein Dutzend
Hotels liegt an der neuenTramlinie.
Entsprechend positiv sind die Reaktionen der Hoteliers und Gäste.
Der Erfolg der neuen Verbindung
führt auch dazu, dass das Novotel
in Opfikon den hoteleigenen Airport-Shuttle Ende Juni einstellen
wird.DasbenachbarteRenaissance
Hotel tat dies bereits im vergangenen Dezember. Neben der grundsätzlich positiven Beurteilung wird
aber auch Kritik laut. Etwa dass die
Automaten kein Euro-Kleingeld,
keine Euro-Noten und nur beschränkt Geldscheine in Franken
akzeptieren.
ag/dst
Seite 4
Morgen Freitag wird in Bad Ragaz
einewichtigeEtappegefeiert:Das
Grand Hotel Hof Ragaz präsentiert sich als rundum erneuertes,
komplettrenoviertesFünfsternehotel mitsamt «to B.»-Wellbeing
& Spa-Bereich. Mit der Eröffnung
von fünf neuen Balancing & Harmonising-Suiten ist die Umgestaltung des «Leading Spa of the
World» abgeschlossen, das mit
seinen 5500 Quadratmetern das
grösste Spa der Schweiz darstellt.
Aussergewöhnlich ist auch das
mit Swarovski-Kristallen verzierte Kräuterdampfbad. Im neuen
Restaurant «Namun» wird original thailändische und chinesische Küche serviert.
Eines der neuen Zimmer im
Grand Hotel Hof Ragaz.
zvg
«Es war der schwierigste Umbau meines Lebens», sagt Peter
Tschirky, CEO und Vorsitzender
der Geschäftsleitung des Grand
Resorts Bad Ragaz. Unter seiner
Ägide wurden stolze 160 Millionen Franken verbaut – ein guter
Teil davon ging in die neue Tamina-Therme, welche als Meisterstück am 12. Juni eröffnet wird.
Für den Ansturm auf dieses
Thermen-«Zugpferd» rüsten sich
auch kleinere Hotels in Bad
Ragaz:
So
eröffnete
das
Dreisternehaus «Rössli» vor zehn
Tagen17geräumige,kostengünstige und architektonisch überraschend gestaltete Zimmer. eho
Seite 5 und 17
Kommentar
Fisch essen ohne
Bedenken? Die
Biozucht macht
es möglich.
RENATE
DUBACH
D
ieTatsachen zum Fischkonsum: 54 000Tonnen
Fische importiert die
Schweiz jährlich, 3000Tonnen
stammen aus inländischen Gewässern. Das ergibt einen jährlichen
Fischkonsum von 7 Kilogramm pro
Person. Man rechnet damit, dass
die weltweite Nachfrage nach Fisch
jährlich um 1,5 Prozent steigt. Der
Bereich der noch wenig erschlossenen Fischbestände liegt bei
erschreckend tiefen drei Prozent.
Der grosse Rest ist erschlossen,
überfischt, erschöpft oder in der Erholungsphase. So weit, so schlecht.
«Ein Koch muss wissen,
wo und wie der Fisch
aufgewachsen ist, den
er auf die Karte nimmt.»
Es gibt leider keine Märchenfee,
die helfen kann. Aber es gibt Unternehmen, die Fische nach strengen
Regeln fangen oder züchten. Mehrere Labels geben Auskunft über
Produktion und Herkunft von
Fischprodukten. Und es gibt BioZuchtanlagen, welche die Kriterien
für eine umweltgerechte, nachhaltige Fischhaltung erfüllen. Schön
wäre, wenn es noch mehr solche
Anlagen in unserem Land gäbe.
Nicht riesige Zuchtfabriken, in denen Fische gemästet und auf zweifelhafte Art getötet werden.
Wie auch immer: Ein Küchenchef oder Koch muss nicht nur wissen, wie er einen Fisch zubereitet
und wie dieser schmeckt. Er muss
auch wissen, wo und wie der Fisch
aufgewachsen ist, den er auf seine
Menükarte schreibt. Der Gast muss
ihm uneingeschränkt vertrauen
können.Wer gerne Fische und
Meeresfrüchte als nicht alltägliche
Delikatesse geniessen will, soll dies
weiterhin bedenkenlos tun dürfen.
Seite 13 bis 15
www.htr.ch
Adresse: Monbijoustrasse 130
Postfach, 3001 Bern
Redaktion: Tel: 031 370 42 16
Fax: 031 370 42 24
E-Mail: [email protected]
Verlag: Tel: 031 370 42 22
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9 771662
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15
fokus
REKLAME
htr hotel revue
Nr. 15 / 9. April 2009
Qualität. Prozess. Lässt sich ein Hotel ISO-zertifizieren, dann ist das ein komplexes Unterfangen. Davon weiss
die Direktorin des «Schweizerhofs» in St. Moritz, Yvonne Urban Scherer, ein Lied zu singen.
Auf den Spuren des «Q III»
land Berger die einzelnen Prozesse
transparent gemacht. So wurden
heikle Punkte mit den Angestellten
besprochen und wenn nötig auch
mal ein Prozess korrigiert. Dass es
aber etwas mehr «Schreibkram»
gibt,seieinelogischeFolge.«Essind
wichtige Notizen, die nicht viel Zeit
beanspruchen, aber viel bleibende
Information für einen Betrieb beinhalten.» Das sei ein wichtiger
Aspekt, meint Yvonne Urban und
erklärt, dass mit den schriftlichen
Dokumenten dasWissen im Unternehmen bleibe. «Davon profitierten wir bereits in der Wintersaison:
WirhabeneineneueRéceptionistin
eingestellt, die sich mit den festgehaltenen Arbeitsvorgängen sofort
im Betrieb zurecht fand.» Die Wintersaison sei ohnehin die interne
Zerreissprobe für die ISO-Zertifizierung gewesen, betont Yvonne
Definierte Prozesse sollen jeden
Bereich einzeln optimieren.
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Tätigkeit: Zuständig
für den Tourismus bei der
Schweizerischen Vereinigung für Qualitäts- und
Management-Systeme SQS.
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Hubert
Rizzi
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3.
Was entgegnen Sie der
Kritik, dass dieses Q viel
koste und nur wenig bringen
soll?
Ich bin überzeugt, dass keine
oder schlechte Qualität das Un-
Nachgefragt
●
Für welche Hotelbetriebe
macht dieses Gütesiegel
überhaupt Sinn?
Das Q ist grundsätzlich für alle
Unternehmen geeignet, die im
Wettbewerb stehen und eine
marktfähige Leistung erbringen
wollen und können.
●
2.
●
D
ie Spannung ist gross.
Nächste Woche geht
die ISO-Zertifizierung
im Hotel Schweizerhof
St. Moritz über die Bühne. «Wir haben natürlich ein gutes Gefühl, sind
aber dennoch etwas angespannt»,
sagt Yvonne Urban Scherer, Direktorin des «Schweizerhofs». Der Betriebseisehrgutvorbereitetunddie
Mitarbeitenden alle vom QualitätsGütesiegel überzeugt, betont die
Hoteldirektorin.
Der Startschuss zum Q III fiel vor
einemJahr.AnsThemageführtwurde das Direktionsehepaar Yvonne
Urban Scherer und Martin Scherer
allerdings schon länger. Die Jahres-
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1.
Warum soll ein Betrieb ein
Qualitäts-Gütesiegel
erarbeiten?
Wenn ein Hotelier gezielt an
seiner Produkte- und Dienstleistungsqualität arbeiten möchte,
kann er dies mit Hilfe des Qualitäts-Gütesiegels tun, denn dieses hilft ihm, das Thema systematisch und prozessorientiert
anzugehen.
●
●
SIMONE LEITNER
aus demWeg räumen oder ins richtigeLichtrücken.YvonneUrbanhat
gemeinsam mit ihrem Coach Ro-
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zeitplanung, die
hatte. «Die Hersie seit vier Jahren
ausforderung war
gemeinsam mit
eigentlich
nur
einem externen
noch, diese InBerater erarbeiformationen zu
ten,
war
die
vernetzen
und
Grundlage. «Roanzupassen», so
land Berger von
Yvonne Urban.
derTuneManageDas Führungsment & Training
team im Hotel
AG kennt sich mit
Schweizerhof St.
«80 Prozent der
QualitätsmanageMoritz ist vom
Arbeitsprozesse
mentsystemen
Nutzen des Q III
aus und hat uns
überzeugt. Es war
hatten wir bereits
sanft auf den
ihre Aufgabe, das
dokumentiert und
Weg zum Q III geVorhaben
den
hinterlegt.»
führt.» Darüber
Mitarbeitenden
ist Yvonne Urban
beliebt zu maYvonne Urban Scherer
Direktion Schweizerhof St. Moritz
heute froh. Und
chen. Einfach war
darüber, dass der
das nicht, denn
Verwaltungsrat sie voll unterstützt eine ISO-Zertifizierung ist nicht
hat. Die Kosten sind kein Pappen- bei allen Hotelangestellten beliebt.
stiel, aber über deren Höhe möchte «Aber die meisten Vorurteile entniemand sprechen. «Wir sind alle stehen aus Unwissenheit oder
sicher, dass sich die Investition schlechter Information», so die Dilohnt», soYvonne Urban.
rektorin. Also wurde im «SchweiAls der Prozess vor einem Jahr zerhof» viel und sehr genau inforbegann, gab es auch Überraschun- miert.Kritikpunktewie«dannmüsgen: Es sei spannend und erstaun- sen wir unendlich viel Schreibkram
lich gewesen, dass der Betrieb etwa erledigen» oder auch «wir können
80 Prozent der Arbeitsprozesse be- keine spontanen Entscheide mehr
reits dokumentiert und hinterlegt fällen», konnte das Direktionsteam
●
Das Hotel Schweizerhof St. Moritz wird
am 14. und 15. April
ISO-zertifiziert. Dann
wird geprüft, was ein
Jahr lang erarbeitet
wurde.
Bilder zvg
●
Das Hotel Schweizerhof in St. Moritz hat sich für die Sommersaison gerüstet: Nächste Woche wird der Betrieb ISO-zertifiziert.
Urban. «Erst in der Praxis wird klar,
ob sich die theoretischen Abläufe
bewähren.»FürdieMitarbeitenden
eine wichtige Erfahrung: «Wir haben auch Korrekturen vorgenommen und gewisse Punkte angepasst.» Flexibilität sei immer noch,
auch mit dem Q III möglich. Das
Qualitäts-Gütesiegel fordert zudem eine interne Kontrolle.
Das Viersternehaus hat sich ein
Jahr auf das Q III vorbereitet.
Und wie werden diese so genannten Auditoren vom Team aufgenommen? Hoteldirektorin Yvonne Urban hat nie eine schlechte Erfahrung gemacht. «Schliesslich
werden diese Auditoren nach vorgegebenen Kriterien ausgewählt
und müssen auch grosse soziale
Kompetenz vorweisen. So hätte
sichdieStimmungunterdenMitarbeitenden im Hotel Schweizerhof
St. Moritz in den der letzten 12 Monaten «eigentlich nur positiv entwickelt».
«Schweizerhof» setzt auf Qualität
und wirbt mit guten Aussichten.
ternehmen ungleich viel mehr
kostet als ein Q. Im Übrigen ist
das Q die Auszeichnung für
Initiativen, welche ein Team
ergreift, um die Qualität im
Betrieb kontinuierlich weiter zu
entwickeln. Das Q an sich kann
also nicht schlecht sein, sondern
lediglich die Anwendung des
Systems.
4.
Sehen Sie das Q auch als
Marketinginstrument für
ein Hotel?
Ja, absolut. Eine Auszeichnung
ist immer auch eine Verpflichtung, die man gegenüber seinen
Kunden eingeht, und das ist heute wichtiger denn je. Wichtig ist
auch, dass sich der ausgezeichnete Betrieb dieser Verantwortung bewusst ist und sich in der
Marktleistung entsprechend
von den Mitbewerbern differenziert. Der Kunde will schliesslich
wissen: «Ist Q drin, wo Q drauf
steht?»
sls
fokus
8
htr hotel revue
Nr. 15 / 9. April 2009
Qualität. Hotels. Was macht Qualität im Hotel aus? Es sind die kleinen Dinge und es ist die Gesamtheit der
Dienstleistung. In einem guten Hotel fühlt man sich sofort wohl, sagt der frühere Hoteltester Chris Brügger.
«Entscheidend
ist der Faktor
Mensch»
Chris Brügger, was verstehen
Sie unter Qualität in einem
Hotel?
Aus Sicht des Hoteliers bedeutet Qualität die Gesamtheit aller
Dinge, die einen guten Hotelbetrieb ausmachen. Von der
Architektur des Hauses über die
Infrastruktur sowie Freundlichkeit und Qualifikation der
Mitarbeitenden bis zum Speiseund Getränkeangebot, das auch
überraschen kann.
Sie kennen als ehemaliger
«Mystery-Tester» die besten
Hotels der Welt. Was ist für Sie
ein «gutes Hotel»?
Es sind die Hotels, wo man sich
nach kurzer Zeit sehr gut aufgehoben oder «at home» fühlt.
Selbst wenn man zum ersten
Mal da ist, kann sich ein solches
Gefühl schnell einstellen. Einige
Faktoren müssen zusammenspielen. Dann ergibt sich dieser
harmonische Zustand von Zufriedenheit und Entspanntheit.
Die «Seele des Hauses» wird
spürbar.
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ROBERT WILDI
«Kurzfristige WowEffekte werden
von der Wirkung
eines Service am
Gast übertroffen.»
Chris Brügger
Qualitätsmanager
Worauf achten Sie zuerst,
wenn Sie ein Hotel betreten?
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Für den Qualitätsmanager Chris Brügger
gibt es keine Standardrezepte. Wichtig
sei es, dem Gast bei
jeder Gelegenheit
Mehrwert zu bieten.
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Zur Person Manager
der Qualität war
einst «Mystery Man»
Chris Brügger (43) ist diplomierter Hotelier und Qualitätsmanager, seit 2006 Partner der
Denkmotor GmbH (www.denkmotor.com) in Zürich, Büro für
strukturierte Kreativität und Innovation. Als Senior Consultant
bei Richey International testete
er die besten Hotels rund um
den Globus als so genannter
«Mystery Man».
row
Es sind viele Dinge, die teilweise auch unbewusst sofort analysiert werden. Generelle Atmosphäre, Licht, Stimmung, Luft
und immer die Sauberkeit gehören dazu. Dann auch ganz praktische Dinge, zum Beispiel: Finde ich den Weg zum Front-Desk
intuitiv, oder ist die Beschilderung zumindest hilfreich? Wie
werde ich vom ersten Mitarbeitenden begrüsst, bietet man mir
Hilfe an mit dem Gepäck?
An welchen Merkmalen erkennen Sie sofort, ob ein Hotel
echte Qualität bietet?
Ist die Uniform des Bellmans
oder Empfangsmitarbeitenden
abgewetzt oder ungepflegt,
sind das bereits mögliche Hinweise auf Qualitätsdefizite.
Auch an kleinen Dingen, wie
Frischblumen und Material von
Dekorationselementen, Kugelschreiber, Guest-Stationary
oder Toilettenartikel. Ganz zentral ist auch das Thema Nachhaltigkeit und Sensibilität mit
der Umwelt. Wenn mir als Gast
der schonende Umgang mit natürlichen Ressourcen näher gebracht wird, ist das für mich ein
hohes Qualitätsmerkmal.
Hat Qualität etwas mit Detailpflege zu tun?
Unbedingt. «Attention to detail» auf jeder Stufe resultiert
fast zwingend in einer besseren, qualitativ hochstehenden
Dienstleistung. Eine der wichtigsten Eigenschaften, die dabei helfen kann: Gut zuhören.
Welchen Anteil am qualitativen Wert eines Hotels haben
materielle Infrastrukturen,
welchen die Dienstleistungen?
Persönlich haben für mich Art
und Auswahl an Dienstleistungen – und damit verbunden der
Faktor Mensch – den bedeutend
wichtigeren Anteil am qualitativen Wert des Hotels als eine
State-of-the-Art-Infrastruktur.
Wenn mir als Gast etwas in Erinnerung geblieben ist, dann
sind es immer Erlebnisse einer
Dienstleistung, die mich begeistert haben. Auch eine TopInfrastruktur und tolle Gästezimmer mögen kurzfristig WowEffekte auslösen, aber kaum mit
dieser Wirkung eines Service
am Gast, der Erwartungen
übertrifft.
Die Qualität steckt im Detail: kleine Aufmerksamkeit im Bad und grösste Sauberkeit.
Wie wichtig ist der erste Eindruck, den ein Gast am HotelEmpfang erfährt, und wie
stark beeinflusst dieser die
qualitative Beurteilung?
Die Schweizer Q-Labels haben die
internationalen Normen gepusht
M
enschen welche die
Dienstleistungen in der
Hotellerie umsetzen,
bleiben unverzichtbar: immer
mehr sind es die Softfaktoren, die
den entscheidenden Unterschied
eines Hotels ausmachen. Mittels
Qualität kann sich ein Hotel abheben oder eben nicht.
Ein gut eingeführtes Qualitätsmanagement-System unterstützt
eineganzheitlichequalitativhochstehendeDienstleistungmassgeblich. Betriebe, welche ein umfassendes Qulitätsmanagement-System (QMS) einführen, versetzen
sich damit nämlich in die Lage, die
Prozesse zu beherrschen und zukunftsgerichtete Entscheide aufgrund systematischer und marktorientierten Fakten zu fällen. Zudem – und nicht unwesentlich –
bleiben damit Betriebs- und
Markt-Know-how vermehrt im
Betrieb: Unbezahlbares Wissen
wird dadurch weniger von einzelnen Personen abhängig.
In der Schweizer Hotellerie haben sich verschiedene Qualitäts-
Labels durchgesetzt, welche entweder vom Qualitätsprogramm
für den Schweizer Tourismus selber entwickelt wurden (Q I und
Q II) oder international anerkannte Normen (Q III) integrieren. Das
Schweizer Qualitätsprogramm hat
ganz klar auch zurVerbreitung von
international anerkannten Normen beigetragen.
DasQ IsollimBetriebdasQualitäts-Virus setzen. Die Hürde ist
bewusst tief angesetzt, damit sich
auch kleine Hotels auszeichnen
lassen können.
Die Stufe für das Q II ist bereits
höher. Das Programm liefert Instrumente, welche die Führungsund Dienstleistungsqualität eines
Betriebes beleuchten.
DasQ IIIzeigtdieProzesseeines
Unternehmens umfassend auf.
Wer diese Auszeichnung anstrebt,
muss sich ISO-zertifizieren lassen,
das Label Valais Excellence oder
das EFQM erarbeiten.
Daniel Beerli, Leiter Mitgliederservice und Kooperationen, hotelleriesuisse
Der erste Eindruck ist wichtig,
meine ich. Sofortiger Augenkontakt und eine freundliche
Begrüssung sind ein «Must».
Das schlichte Rezitieren von
Service-Standards genügt nicht.
Fotolia
international zur Spitze gehören
– solche, die in vielen Bereichen
auch Qualitäts-Benchmarks
setzen. Ich kenne kein anderes
Land, das auf so kleinem Raum
eine solche Dichte an Luxushotels wie die Schweiz bietet.
Tragen die Hotels diesem UmIn welchen Bereichen ist die
stand genügend Rechnung?
Schweizer Hotellerie top, wo
In den Top-Hotels ist man sich
besteht im internationalen
dieses Umstandes sicher bewusst. Oft sind die Mitarbeiten- Vergleich Nachholbedarf?
Ausbildung und berufliche
den gut trainiert, mehrsprachig
Qualifikationen der Mitarbeiund sehr serviceorientiert. Da
tenden sehe ich als Stärken.
aber viele junge Mitarbeitende
Auch Ausstatin diesem Betung der Zimreich arbeiten
«Eine der besten
mer und die
und die FluktuaInvestitionen
moderne Infration dadurch reist diejenige
struktur. Von
lativ hoch ist, ist
einigen Auses eine permain die
nahmen abgenente HerausMitarbeitenden.»
sehen, gibt es
forderung, die
in den BereiQualität auf
Chris Brügger
Qualitätsmanager
chen Spa/Welldem angestrebt
ness oder Food
hohen Niveau
& Beverage-Konzepte im interzu halten.
nationalen Vergleich noch eher
wenig Überraschendes oder
Wo stehen Ihrer Meinung nach
Trendsetzendes.
die qualitativ hochwertigsten
Hotels?
Wie kann ein Hotel ohne riesiWenn es nicht nach Infrastruktur und Dienstleistung zu unter- ge Investitionen rasche Qualitätsverbesserungen erzielen?
scheiden gilt, bin ich bei dieser
Eine der besten Investitionen
Frage gedanklich im asiatiist diejenige in die Mitarbeischen Raum.
tenden. Kontinuierliche Weiterbildung und Training mit dem
Wie schneidet die Schweizer
Ziel, dem Gast auf jeder Stufe
Hotellerie im qualitativen Verund bei jeder sich bietenden
gleich mit der ausländischen
Gelegenheit eine erstklassige
Konkurrenz ab?
Dienstleistung oder einen
Im Top-Segment gibt es in der
Schweiz einige Häuser, die auch Mehrwert zu bieten.
fokus
htr hotel revue
Nr. 15 / 9. April 2009
9
Qualität. Ökologie. Der «Steinbock» ist in der Schweiz das anspruchsvollste Öko-Qualitätslabel. Das ist mit ein
Grund, das bis heute erst 13 Betriebe «Steinbock»-zertifiziert sind.
Eine Reihe von Öko-Labels
Bei den zertifizierten
Umweltlabels im
Tourismus ist eine
Harmonisierung im
Gange. Das erspart
dem Hotelier Aufwand und Kosten.
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schen Ebene ist «The Green Key»,
das verschiedene andere nationale
Öko-Marken für den Tourismus in
den letzten Jahren geschluckt hat.
In der Schweiz könne heute ein
Hotel, das den «Steinbock» trägt,
auch das EU-Umweltlabel bekommen, erklärt Domenico Saladino,
Mitentwickler des Steinbock-Labels. Im Umweltbereich wären die
beiden Auszeichnungen zu 70 Prozent deckungsgleich.
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GUDRUN SCHLENCZEK
Umweltlabels bei Schweizer
Hoteliers wenig gefragt
A
n Möglichkeiten, sein
HotelinSachenUmweltverträglichkeit zertifizieren zu lassen, mangelt es
nicht. Schweizer Hoteliers haben
gleichmehrere:DievondenKriterien her restriktivste Variante ist der
im 2001 zuerst für Graubünden,
dann die Schweiz entwickelte
«Steinbock».Wer europaweite Konformitätsucht,erreichtdasmitdem
EU-Umweltlabel. Und wer sogar
auf der internationalen Bühne der
Umweltgerechtigkeit mitspielen
will, dem ist eine ISO-14001-Zertifizierung zu empfehlen.
Angenähert hat man sich auch
an das Qualitätsprogramm des
Schweizer Tourismus: «Statt über
dieISO-NormkönnenBetriebenun
über das Steinbock-Label mit einem Zusatzmodul das Qualitätsgütesiegel III des Schweizer Tourismus erlangen», betont Saladino.
Möglich ist dies, da der «Steinbock»
nebst dem Ökologischen auch
Nachhaltigkeit auf den ganzen Betriebsablaufbezieht,dasheisstvom
Management über die BetriebswirtschaftbiszumSozialen.Zudem
willmanindieSteinbock-Zertifizierung noch Tools des Qualitätsgütesiegels wie die Mystery-Tests einbauen. Der «Steinbock»-Initiator
hofft, über das Zusammengehen
mit dem Q-System, mehr Betriebe
zum Mitmachen zu bewegen. Heute sind gerade mal 13 Hotels «Steinbock»-zertifiziert. «Alle aktuellen
250 Q II-Betriebe wären potenzielle
Steinbock-Träger», so Saladino.
«My Climate» bekommt mit
«Swiss Climate» Konkurrenz
Ganz neu auf dem Markt ist
«SwissClimate»:DasSystembasiert
auf der internationalen Norm ISO
14064. Im Zentrum steht ähnlich
wie bei «My Climate» die Reduktion der Treibhausgas-Emissionen.
Doch im Gegensatz zum bereits bekannten Pendant, legt man vor allem auf die interne Verbesserung
Wert, die Kompensation anhand
von Klimaschutzprojekten ist dann
derletzteSchritt.Abervorallemunterscheidet sich «Swiss Climate»
mit einer externen Verifizierung
durch die Schweizer Vereinigung
für Qualitäts- und ManagementSysteme (SQS), was Seriosität garantiert.Nochzählt«SwissClimate»
kein Hotel, bei «My Climate » kompensieren dagegen bereits alle Sunstar-Hotels sowie das «Giardino» in
Ascona und das «Ferienart» in SaasFee ihren CO2-Ausstoss und dürfen
sich somit klimaneutral nennen.
Auf der europäischen Ebene
pflegen viele Länder ihre eigenen
Labels (siehe Liste). Das liegt nicht
zuletzt am Timing: Die privaten
Labels entstanden zuerst, die EU
lancierte ihr Umweltlabel erst 2003.
Labels bringen System in den
Betrieb, aber nicht mehr Gäste
Es ist jedoch eine Tendenz zu einer
Harmonisierung unter den ÖkoAuszeichnungen festzustellen. Das
inzwischenamweitestenverbreitete private Label auf der europäi-
Weit besseren Zulauf geniessen
die Umweltanstrengungen im Ausland. Das wundert Saladino wenig:
«Dort unterstützt der Staat.» Zum
Beispiel in Österreich oder in Italien. Denn so ein Audit geht ins Geld
und fordert den Betrieb. Das weiss
Beat Anthamatten, Inhaber des
5-Sterne-Hotels Ferienart in SaasFee,derseinenBetriebgleichmehrfach hat zertifizieren lassen. Die
MarkeValais Excellence, deren System sich an ISO 9001 und 14001 anlehnt, kostete ihn im Startjahr rund
50 000 Franken (externe und interne Kosten). Die laufenden Kosten
sind für das «Ferienart» tiefer: 1500
Franken pro Jahr für «Valais Excellence», 1800 Franken fürs EU-Umweltlabel, 2450 Franken für den
Zusammen nachhaltig wirken
Die Direktoren der touristischen Dachverbände und
der Regionaldirektorenkonferenz haben eine
Charta unterzeichnet. Und
damit ein Bekenntnis zur
Nachhaltigkeit abgelegt.
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Eingang des 5-Sterne-Hotels Ferienart in Saas-Fee, das mehrfach zertifiziert worden ist.
«Steinbock»plusalledreiJahre4900
Franken fürs Audit. Was bringt ihm
das Zertifizieren? «Vor allem System», so Anthamatten. Prozesse
festlegen sei nachhaltiger als ein-
Ab diesem Jahr ist einiges
neu beim Qualitätsgütesiegel für den Schweizer
Tourismus Q I, Q II und
Q III. Zum Beispiel wird
der ökologische Aspekt
höher gewichtet.
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CHRISTINE KÜNZLER
Alain D. Boillat
Die Direktoren der touristischen Dachverbände und der Regionaldirektorenkonferenz nach Unterzeichnung der Nachhaltigkeits-Charta.
Unterzeichner bis Ende 2002 den
Grundstein für eine nachhaltige
Sektor- und Unternehmenspolitik.
Verankerung in der Branche
mittels Sensibilisierung und
Unterstützung: Sicherstellung
durch verschiedene Massnahmen, dass die Nachhaltigkeit bei
allen Marktteilnehmern ein Bestandteil der «Corporate Culture»
wird.
Regelmässige
Überprüfung
und Evaluation der Fortschritte: Gemeinsame Erarbeitung eines Umsetzungsprogramms mit
Aktionsplänen im Rahmen der
Mittelfristplanung.
schätzt, dass nur 3 bis 5 Prozent der
Gäste deswegen zu ihm kommen.
«Die LOHAS gibt es nur in den Köpfen der Marketingleute, aber nicht
in der Realität.»
Ökologie und technische
Neuerungen integriert
DANIEL STAMPFLI
Mit der am am vergangenen Freitag anlässlich des 12. Schweizer
Ferientages
unterzeichneten
Nachhaltigkeits-Charta bekennt
sich der Schweizer Tourismus zur
Nachhaltigkeit auf den drei Ebenen Umwelt, Wirtschaft und
Gesellschaft. Dabei wird ein besonderes Gewicht auf den Faktor
Umwelt gelegt. Mit einem 3-Punkte-Programm soll sichergestellt
werden, dass dieses Bekenntnis
umgesetzt wird.
Verpflichtung der Unterzeichner zur Nachhaltigkeit im
Schweizer Tourismus: Mit verschiedenen Aktionen legen die
fach mal drauflos agieren. «Jede getroffene Massnahme war für uns
auch ökonomisch sinnvoll.» Mehr
Gäste zähle er durch das Umweltengagement nicht. Anthamatten
zvg
NeuwirdinderStufeQIauchdieErlebnisqualität in der Schulung und
in der Servicekette thematisiert.
Das Qualitätsprofil mit den sechs
zentralen Q-Aspekten wird nur
nochempfohlenundnichtmehrals
obligatorisch vorausgesetzt. Auch
werden dort neu nun ökologische
Aspektemiteinbezogen.Sowohlbei
der Schulung als auch beim Aktionsplan. Leitfaden und Handbuch
sind neu überarbeitet. Fazit: Der
ZugangzumQ Iisteinfachergeworden, Erlebnisqualität und Ökologie
erhalten mehr Gewicht.
Die Stufe II wird demnächst mit
einem neuen Prozess-Modul, einem E-Tool, ergänzt. Damit entwickelt sich das Q II auch zu einem
Trainingssystem für die nächsthöhere Stufe, der Stufe III. Das Führungsprofil mit den acht bis zehn
Aspekten bleibt obligatorisch, dafürwirddasBasisprofilmitmaximal
acht statt wie bisher zehn Aspekten
nur noch empfohlen. Der ökologischeAspektwirdauchbeiQ IIhöher
gewichtet. Alles in allem macht damit das Qualitäts-Gütesiegel der
zweiten Stufe den Betrieb fit für das
Q III, obwohl weder das Q I noch
das Q IIVoraussetzung für die dritte
Stufe sind.
DieBasisderStufeIIIbleibenISO
9001:2008 und EFQM. Generell ist
das gesamte Q-Programm flexibler
geworden und akzeptiert nach festgelegten Kriterien auch so genannte externe Qualitätsinstrumente,
wie zum Beispiel Mystery-Checks
oder interne Qualitätssysteme von
Hotelketten.
In der Schweiz sind bis heute
1587 Unternehmen mit dem Qualitäts-Gütesiegel für den Schweizer
Tourismus ausgestattet. Die meisten ausgezeichneten Betriebe sind
im Bereich Hotellerie zu finden:
667. 106 Hotels haben das Q III erarbeitet, 151 das Q II und 411 das Q I.
Auf Platz zwei stehen die Parahotellerie-Anbietermit234Qs.Acht
von ihnen haben das Q III erhalten.
Von den Tourismus-Organisationen haben 160 das Q-Programm
eingeführt, 21 davon das Q der drittenStufe.In106derSchweizerGastronomie-Betriebe wird heute mit
dem Q gearbeitet. Sieben Restaurants haben das Q III realisiert.
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fokus
10
htr hotel revue
Nr. 15 / 9. April 2009
Qualität. Kontrolle. Wer kontrolliert, ob ein Betrieb, der sich auf seiner Internet-Site mit dem «Q» schmückt,
das Qualitätsprogramm auch wirklich erarbeitet oder erneuert hat? Bis anhin niemand.
Manchmal wirkt
das Q nur optisch
Nicht überall wo Q
draufsteht ist auch
Q drin. Wenn ein Hotelier das Gütesiegel
nicht mehr erneuert,
kontrolliert niemand, ob das Logo
weiterhin an der
Eingangstür klebt.
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Was aber im diesem Fall keinesfalls
heisst, dass in diesem Hotel keine
Qualität gelebt wird. Vielmehr ist
das Hotelierspaar Ines Linder und
Peter Scheffer gerade dran, das Q III
zu erarbeiten. «Wir werden im August ausgezeichnet», sagt Ines Linder. Und versichert, dass die Gästezufriedenheit, die sie mittels Fragebogen ermittelt, bei ihnen hoch sei.
«Wir haben schon im letzen Betrieb
das Q II erarbeitet, deshalb richten
wir uns auch hier nach diesen
Richtlinien. Der Gast wird also bei
uns nicht getäuscht.»
CHRISTINE KÜNZLER
Die Prüfstelle kontrolliert nicht, ob
das Q weiter verwendet wird
K
Der «Grächerhof» schmückt sich zurzeit noch mit dem ungültigen Q.
zvg
lickt sich der Gast über
www.matterhornvalley.ch zum 3-Sterne-Superior Turm Hotel Grächerhof in Grächen, sieht er, dass
dasHausmitdemQ Iausgezeichnet
ist.KlickterdasgleicheHotelaufder
Walliser Hotelplattform www.hotel-wallis.ch an oder auf myswitzerland.com von Schweiz Tourismus,
schmückt sich das gleiche Hotel sogar mit dem Q II. In Realität hat das
Haus weder das eine noch das andere, sondern gar kein gültiges Q.
Nichtsdestotrotz: Korrekterweise darf das Hotel das Q-Logo nicht
mehr verwenden. Ines Linder ist
überrascht: «Als wir das Hotel im
letzten November übernahmen,
gingenwirdavonaus,dassdasHaus
mit dem Q II ausgezeichnet ist. Wir
wollen nicht absichtlich etwas
Falsches vortäuschen.» Nach der
Übernahme eines Hotels gebe es
eben wichtigere Dinge zu tun als zu
kontrollieren, ob die Auszeichnungen noch gültig sind, versichert die
junge Hotelière glaubhaft.
ZuUnrechtgetragenhatdasGrächener Hotel die Auszeichnung
schon unter der frühere Pächterin,
der Hotelière Jacqueline Fux. Sie
hatte das Q II im Jahr 2000 erarbeitet,im2004erneuertund2007dann
abgebrochen, erklärt Siegfried
Schmidt von der Prüf- und Koordinationsstelle beim Schweizer Tourismus-Verband(STV)inBern.«Abgebrochen möglicherweise deshalb, weil die Hotelière das Q III erarbeiten wollte.»
Seit 2008 also dürfte das Hotel
das Logo nicht mehr kommunizieren. Weder an der Eingangstüre
noch im Internet. «Wer das Q nicht
mehr erneuert, erhält von uns ein
Schreibenindemwirihmmitteilen,
dasserdasQnichtmehrverwenden
darf», so Schmidt. Kontrolliert, ob
der Hotelier der Aufforderung auch
Folge leistet, wird indes nicht.
«Wenn wir aus irgendeinem Grund
einen Missbrauch feststellen oder
uns jemand darauf aufmerksam
macht, bekommt der betreffende
Hotelier nochmals einen Brief.»
Vier- bis fünfmal im Jahr trifft
beim STV eine Gäste-Reklamation
ein, der das Team der Prüfstelle
dann nachgeht. Hier fliegt auf,
wenn ein Hotelier sich mit fremden
Federn schmückt. Dass es einige
Hoteliers gibt, die das Q abgebrochen haben und das Logo trotzdem
weiter benutzen, davon geht
Schmidt aus.
Zusätzliche Kontrolle seitens der
Swiss-Quality-Hotels-Gruppe
Der «Grächerhof» ist seit 1. April
2009 Mitglied bei den Swiss Quality
Hotels der Kategorie Value. Wer der
Gruppe beitreten will, muss im Minimum das Q I erarbeiten. Häuser,
die der Kategorie Superior oder Excellence angehören, brauchen das
Q II. «Der Hotelier hat ein Jahr Zeit,
das Qualitätslabel zu erarbeiten»,
sagt die Geschäftsführerin Eva Fischer.«90ProzentunsererHoteliers
haben ihr Q bereits.» Der «Grächerhof» setzt also freiwillig auf das Q III
und könnte sich dafür ein Jahr Zeit
lassen.
«Wir achten sehr strikte darauf,
dass kein Hotelier sein Qualitätslabel zu Unrecht trägt», so Eva Fischer.Dafürstehesieregelmässigin
Kontakt mit der Prüf- und Koordinationsstelle beim STV. «Wir wollen
nicht, dass sich unsere Hotels mit
fremden Federn schmücken.»
«Angst vor Entscheidungen»
Christian Lienhard
hat seinen 4-SterneBetrieb, den «Hof
Weissbad» in Weissbad, zertifizieren
lassen. Ganz glücklich ist er mit dem
Q III nicht.
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ELSBETH HOBMEIER
CHRISTINE KÜNZLER
Christian Lienhard, das Hotel
Hof Weissbad ist seit Herbst
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2007 ISO-zertifiziert. Welche
Erfahrungen machen Sie mit
dem Q III?
Wir wollen in diesem Jahr den
Massnahmenkatalog auf jenes
Niveau herunterfahren, auf dem
er uns noch etwas bringt. Das
bedeutet eine Reduktion auf
rund die Hälfte. Die Mär von
mehr Effizienz stimmt für mich
sonst nicht. Wir müssen uns fragen: Weshalb machen wir das
Q III? Für den Betrieb oder nur
für das Label? Für das Label allein muss man die Zertifizierung
nicht erarbeiten, das macht keinen Sinn.
Wo liegen Ihrer Ansicht nach
die grössten Schwierigkeiten
nach der Einführung des Q der
Stufe III?
Wir haben mit Q III grundsätzlich ein perfektes System. Aber
ich mache die Beobachtung,
dass damit die Innovation auf
der Strecke bleibt. Der Mitarbeitende muss meiner Ansicht
nach mehr Kompetenzen bekommen, um selber entscheiden zu können. Heute haben
wir die Situation, dass der Mitarbeitende vorher in drei Ordnern nachschlägt, bevor er sich
traut, eine Entscheidung zu fällen. Ein weiterer Punkt ist der
Zeitaufwand für das Ausfüllen
der Formulare. Der Küchenchef
füllt heute Formular um Formular aus und verliert damit
einen halben Tag pro
Woche.
Gibt es nicht die Möglichkeit, den Standard
so festzulegen, dass
der Mitarbeitende in einem
vorgegebenen
Rahmen selber
entscheiden
darf?
Natürlich, jeder
Betrieb kann seine Standards so
festlegen, dass
sie für den Betrieb stimmen.
Beispielsweise
könnte es heis-
sen: «Bei einer Beanstandung entscheidet jeder Mitarbeitende selbstständig
über die Wiedergutmachung dem Gast gegenüber.»
Gibt es Bereiche,
in denen sich
das Qualitätsprogramm positiv auswirkt?
Das System ist
sehr gut für Berei-
Hoteldirektor
Christian Lienhard
will den Massnahmenkatalog
abspecken.
che wie Schulung, Lebensmittelkontrolle, Gesundheit und
Hygiene.
Wie viel hat die ISO-Zertifizierung für Ihren Betrieb gekostet?
Insgesamt haben wir für die
Zertifizierung etwa 150 000
Franken investiert.
Wirkt sich diese Investition
auch positiv auf Ihren Umsatz
aus?
Eine direkte Umsatzsteigerung
gibt es mit dem Qualitätsprogramm nicht. Es ist hingegen
möglich, verbesserte Warenkosten und tiefere Mitarbeiterkosten zu erreichen.
fokus
htr hotel revue
Nr. 15 / 9. April 2009
11
Qualität. Praxis. Drei Betriebe , drei Qualitäts-Labels. Jeder Unternehmer hat das Qualitätsprogramm
implementiert, das ihm dient. Die drei Direktoren sprechen von positiven Erfahrungen.
ren sollen, werden jährlich überprüft.»
«In Theorie sind wir nicht gut.
Jede Verbesserung wird gelebt»
Bilder zvg
Die eigene Location für Events direkt neben dem Hotel-, Seminar- und Kongresszentrum «Seedamm Plaza» in Pfäffikon SZ ist der «EventDome».
Qualität von Anfang an
Eine ganze Geschichte von geprüfter Qualität und ExcellenceAwards weist das
Hotel-, Seminar- und
Kongresszentrum
Seedamm Plaza auf.
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KARL JOSEF VERDING
D
ie
ISO-Zertifikation
gibt uns eine gute Basis, eine gute Struktur,
die auch bei Mitarbeiter-Fluktuation festgehalten wird»,
sagt Peter H. Ernst, Leiter des «Seedamm Plaza» in Pfäffikon SZ,
mit
seinen
UnternehmensBereichen
Meetings,
Hotel,
Restaurant und Events. Die ISOZertifizierung gibt dem Unternehmen das Recht, für alle seine Bereiche das Qualitätsgütesiegel III zu
führen.
Ernst so zusammen: «Uns wurde
bewusst: Der Gast steht im Mittelpunkt, wir müssen alles vom Gast
her anschauen. Wir haben unser
ganzes Programm aufgrund dieser
Prozesse infrage gestellt und alles
auf den Gast ausgerichtet. Die
Mitarbeitenden sollten Wünsche
bereits erkennen können, wenn der
Gast vor ihnen steht.»
«Einen unheimlichen Impuls im
Betrieb gaben die Assessments»
Für Organisationen mit einem
reifen
Qualitätsmanagementsystem, welches noch weiter verbessert werden soll, hat die Schweizerische Vereinigung für Qualitätsund Management-Systeme SQS
das Modell 9004 entwickelt (Bewertung von Qualitätsmanagementsystemen). «Alle bei uns haben mitgemacht. Das war das Highlight,
da gab es Assessments, und nicht
Ein Gästezimmer des Hotels im
Zentrum «Seedamm Plaza».
Andeer, Q II: Management
mit System im Hotel von 1827
I
m Jahre 1827 wurde es gebaut,
1828 als Bade- und Kurhotel
eröffnet, und 1907 erweitert:
Das Hotel Fravi in Andeer im Val
Schons gehört seit der Gründung
durch Landammann Johann Jakob
Fravi Gondini der Familie Fravi.
Gegenwärtig setzt das 3-SterneSuperior-Hotel mit 47 Zimmern
und Meeting-Kapazität für 10 bis
100 Personen seine Marksteine in
der Qualitätssicherung. Im 1999
erarbeitete es sich das Q I. Seit 2006
hatesdasQ II.DenPlanfürdasQualitätsgütesiegel III hat Reto Rey, der
Direktor des Hotels, bereits gefasst.
rapieabteilung,dieeinereigenständigen AG gehören, ist das Hotel
durch einen direkten Zugang verbunden. Alle Übernachtungspreise
schliessen den Mineralbad-Eintritt
ein.
Zusätzliche Prüfung von Küche,
Restaurant und Arbeitssicherheit
Alle Zimmer sind seit 2001 renoviert worden. Jedes Jahr, in den drei
«Seedamm Plaza»-Chef Ernst
betont: «Wir wollen uns permanent
verbessern und haben hohe Ziele.
Der Verwaltungsrat wird einbezogen, jedeVision wird gemeinsam
mit der operativen Leitung angeschaut. Die Elemente, die zu
den Verbesserungs-Zielen hin füh-
Dezember-Wochen vor den Feiertagen, wird im Hotel Fravi etwas erneuert, seien es Böden oder Zimmer oder Infrastruktur. Das Restaurant wurde im 2002 erneuert.
Vor allem Restauration, Küche
und Arbeitssicherheit im Haus werden vier- bis fünfmal pro Jahr von
Eurofin Schweiz angeschaut. Das
betreffende Zertifikat hängt wie das
Q II-Diplom in der Réception. kjv
Grosse Fenster für den Blick
der Gäste in Richtung Süden.
W
Moderner Komfort in einem historischen Pionier-Hotel.
Diese Auszeichnung war für das
«Seedamm Plaza» so wertvoll,
weil sie das seit Beginn eingeführte
und gelebte Qualitätsmanagement
spektakulär würdigte. Peter H.
Ernst stellt fest: «Beim EsprixGewinn war es das Eindrücklichste,
dass man auch jene ins Boot
holen konnte, die immer negativ
gegenüber ISO waren. ‹Hey, wir
sind die Besten!› – Diese Mitarbeitenden wurden zu Botschaftern,
nachdem sie sich jahrelang
gesträubt hatten.»
Das Zentrum wird auch für private
Bankette gebucht.
Die mit dem «Esprix» gewürdigte
Vorgehensweise und die Erfahrungen der Teambildung gab das
«Seedamm Plaza» von diesem Zeitpunkt an zahlreiche interessierte
Unternehmen und Organisationen
weiter – zum Beispiel als Rahmenprogramm einer von diesen Kunden gebuchten Veranstaltung im
«Seedamm Plaza».
Bern, Q I: Kultur-Casino hat
ein sensibles Publikum
«Die mit dem QII gewonnene
Beständigkeit gibt uns Sicherheit»
Rey, seit Dezember 2008 im
Amt, ist selber Beispiel für eine
wichtige Eigenschaft des «Führungsinstruments» Q II, so wie er es
nennt: «Fast alle Abläufe sind
schriftlich festgehalten. Bei Personal- und Führungswechsel wird die
Kontinuität bewahrt. So kommt eine Beständigkeit hinein, welche
den Mitarbeitenden Sicherheit
gibt.»
Mit dem Mineralhallen- und
Aussenbad (34 °C) und seiner The-
«Wir holten auch die ins Boot, die
negativ gegenüber ISO waren»
Eigene Teambildungs-Erfahrung
wird an Kunden weitergegeben
«Uns wurde bewusst: Wir müssen
alles vom Gast her anschauen»
nur Audits. Bis zu 20 Personen sassen abteilungs-übergreifend und
quer durch die Hierarchie um einen
Tisch. Das hat im Betrieb einen
unheimlichen Impuls gegeben»,
stellt Peter H. Ernst fest.
Die Essenz der Qualitäts-Bemühungen seines Hauses fasst Peter H.
«Wir sind keine Theoretiker. In
Theorie sind wir nicht gut», sagt
«Seedamm-Plaza»-Chef Peter H.
Ernst. «Qualitäts-Verbesserung ist
bei uns ein dauerhafter Prozess, der
vomerstenTagangelebtwordenist.
Unsere Mitarbeiter machen pro
Jahr400Verbesserungs-Vorschläge.
80 Prozent davon werden unmittelbar umgesetzt. Alle haben den
Erfolg gespürt, den uns der Verbesserungsprozess einbringt.»
FürdenWeghinzumQIIIwarfolgenderVorgang als Anregung wichtig: Angespornt durch guten Resultate bei Qualitäts-Zertifizierungen
seit der Eröffnung 1999, entschied
sich das «Plaza»-Führungsteam für
eine Bewerbung um den «Esprix –
Swiss Excellence Award» des Jahres
2006. Um «Business Excellence» zu
erreichen, mussten alle Mitarbeitenden vom entsprechenden Geist
beseelt sein. Das Hotel-, Seminarund Kongresszentrum Seedamm
PlazawurdedannanlässlichdesEsprix-Forums vom März 2006 in Luzern nicht nur zum Finalisten, sondern
zum
Preisträger
für
Mitarbeiterentwicklung auserkoren.
zvg
zvg
ir sind Mieter im Haus
des
Kultur-Casinos
Bern, Pächter für den
Bankettbereich und zwei Restaurants«, sagt Tobias Burkhalter. Er
ist Direktor der seit gut einem Jahr
mit dem Qualitätsgütesiegel I zertifizierten Casino Restaurants
Bern AG. Der zur Q-Zertifizierung
hin führende Prozess hat laut
Burkhalter für das Unternehmen
zwei wirksame Seiten. Erstens «eine interne Seite: dass man es anpackt und jeder Mitarbeiter mitmacht.» Und zweitens: «Es bringt
eine Aussenwirkung für das Kultur-Casino, dass man das Qualitäts-Siegel hat. Gerade jetzt, in der
heutigen Zeit, wo es Nachrichten
über schlechte Resultate bei
Lebensmittelkontrollen gibt, sind
die Leute für die Wahl einer sicheren Qualität sensibilisiert.»
MitvielAusblickanderSüdseite
derBernerAltstadtgelegen,beherbergt das Kultur-Casino hinter
neoklassizistischer Fassade eine
moderne Infrastruktur. Event-,
Bankett- oder Meeting-Veranstalter können aus sechs Sälen, dem
Casino-Restaurant und dem neuenSpezialitäten-RestaurantRelais
sowie der Gartenterrasse wählen.
schliesslich, seien aus allen Abteilungen Vorschläge gekommen,
um die Abläufe zu verbessern.
Daraus habe sich ein Massnahmenplan ergeben, «der von den
Mitarbeitern getragen wird: Auch
die Küche ist mit drin, sowie die
Hauswirtschaft und die Administration».
Massnahmenplan und neue
festeStandardssinddaseine–aber
deutlichzumachen,dassdasGanze kein ruhender Prozess (also ein
Widerspruch insich) ist, das istdas
andere. Burkhalter sorgt dafür,
dass alles, was dazu gehört, auf einer Pinnwand mit Piktogrammen
und Fotogalerie in einem Gang
dokumentiert wird, den die Mitarbeitendenvier-bisfünfmalproTag
passieren.
Zuerst war der Q-Prozess für die
Mitarbeitenden nur Papier
«Unterdessen», verrät Tobias
Burkhalter,«habenwirvonderLeitung her bereits das Q II im Köcher.
Meine Frau Nilgün macht eine
Weiterbildung mit Abschluss im
Sommer, und dann sind wir frei für
die Lancierung des Prozesses hin
zum Qualitätsgütesiegel II.» kjv
WasdieMitarbeitendenbetrifft,
so Tobias Burkhalter, sei es «am
Anfang nicht so einfach» gewesen,
«den Kick-off für den Q-Prozess zu
machen. Zuerst war der Prozess
für sie nur Papier.» Aber dann,
«Wir haben bereits das Q II
im Köcher»
Steinbock-Label News
Ausgabe,
April 2009
Das Steinbock-Label blüht auf und ...
• … ist auf dem Weg, die Anerkennung für das Qualitätsgütesiegel Stufe III zu erhalten
• … konnte vor 150 Forumsteilnehmern 10 Betrieben Ihr Zertifikat überreichen
• … war beim TourismusForum Alpenregionen vertreten
• … wird als internes Controlling-System erkannt
• … war beim Schweizer Ferientag in Luzern dabei
• … unterstützte die CD-Recycling Aktion der Migros Südostschweiz und des Vereins reDisk
Das SteinbockLabel
Nachhaltigkeit
im Tourismus hat
einen Namen
• … erhält den Support der Bündner Hoteliers
• … erschien gross in der SAB montagna
• … wird in der nächsten Ausgabe der „Schweizer Tourismus in Zahlen“ erscheinen
• … hat ein grosses Medienecho
Steinbock-Label und Qualitäts-Gütesiegel QIII:
gemeinsam für mehr Qualität und Nachhaltigkeit im Tourismus
Interview mit: Christoph Müri, Hof
de Planis, 5 Steinböcke
Das Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus
(Qualitäts-Gütesiegel Stufe I, II und III) beinhaltet schon heute
verschiedene Nachhaltigkeitsaspekte.
Das Steinbock-Label ist das Schweizer Gütesiegel für Nachhaltigkeit im Tourismus; es zeichnet Hotelbetriebe für ihr
ganzheitliches Nachhaltigkeitsmanagement mit bis zu 5
Steinböcken aus.
Da liegt es nahe, dass die Anbieter der beiden Labels, die sich so hervorragend ergänzen, enger zusammenarbeiten wollen. So soll es einem Hotelbetrieb, der sich mit dem Steinbock-Label zertifizieren lässt, in Zukunft ermöglicht werden, mit einem Zusatzmodul zum Steinbock-Label das QualitätsGütesiegel Stufe III zu erlangen. Das Steinbock-Label wäre damit das erste
Nachhaltigkeitslabel, dem diese Anerkennung durch das QualitätsGütesiegel zuteil wird.
Nach mehreren intensiven Vorabklärungen zwischen dem Steinbock-Label
und Vertretern der Prüfstelle des Qualitäts-Programms hat man sich in der
letzten Sitzung des Qualitätsrates dafür ausgesprochen, die Arbeiten in Bezug auf eine Anerkennung des Steinbock-Labels als Möglichkeit zur Erlangung des Qualitäts-Gütesiegels Stufe III weiter voranzutreiben. Dieser Beschluss gibt dem Steinbock-Label nun „grünes Licht“ für die Entwicklung des
entsprechenden Zusatzmoduls.
Bereits im Sommer/Herbst 2009 könnten die ersten Hotels mit dem Steinbock-Labelplus zertifiziert werden und so zeitgleich das Qualitäts-Gütesiegel
Stufe III erhalten.
Steinbock-Label: Herr Müri, Sie sind
schon seit 2002 Mitglied beim SteinbockLabel. Dies war Ihre 2. Rezertifizierung.
Was motiviert Sie immer wieder zur Rezertifizierung?
Steinbock-Label vergibt Zertifikate vor 150 begeisterten
Teilnehmern des TourismusForum Alpenregionen
Steinbock-Label: Wo sehen Sie den
Nutzen des Steinbock-Labels für Ihren
Betrieb?
Am 24. März 2009 wurden 10 Betrie- Darüber hinaus wurden das
Ch. Müri: Nachhaltigkeit ist kein Luxus
Ch. Müri: Im 2004 haben wir von der
Techn. Hochschule Wädenswil einen
Vergleich verschiedener Zertifizierungen
und Gütesiegel vornehmen lassen. Das
Steinbock-Label hat dabei das beste
Aufwand/Nutzen-Verhältnis erzielt, da es
auf alle Betriebsbereiche anwendbar ist,
von der Personalpolitik zum Umgang mit
Ressourcen, vom Wareneinkauf bis zur
Finanzplanung.
Bild:
Lena Hubert (SteinbockLabel) überreicht Christoph Müri (Hof de Planis)
am TFA 09 das Steinbock-Label Zertifikat mit
der Auszeichnung von 5
Steinböcken
Steinbock-Label und Q III - - Hotelier
Page 1 of 1
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Steinbock-Label und Q III
Das Qualitäts-Programm von Schweiz Tourismus (Qualitäts-Gütesiegel Stufe I, II und
III) beinhaltet schon heute verschiedene Nachhaltigkeitsaspekte. Das SteinbockLabel ist das Schweizer Gütesiegel für Nachhaltigkeit im Tourismus; es zeichnet
Hotelbetriebe für ihr ganzheitliches Nachhaltigkeitsma?nagement mit bis zu fünf
Steinböcken aus. Da liegt es nahe, dass die Anbieter der beiden Labels, die sich so
hervorragend ergänzen, enger zusammenarbeiten wollen. So soll es einem
Hotelbetrieb, der sich mit dem Steinbock-Label zertifizieren lässt, in Zukunft
ermöglicht werden, mit einem Zusatzmodul zum Steinbock-Label das QualitätsGütesiegel Stufe III zu erlangen. Das Steinbock-Label wäre damit das erste
Nachhaltigkeitslabel, dem diese Anerkennung durch das Qualitäts-Gütesiegel zuteil
wird.
Nach intensiven Vorabklärungen zwischen dem Steinbock-Label und Vertretern der
Prüfstelle des Qualitäts-Programms hat man sich in der letzten Sitzung des
Qualitätsrates dafür ausgesprochen, die Arbeiten in Bezug auf eine Anerkennung des
Steinbock-Labels als Möglichkeit zur Erlangung des Qualitäts-Gütesiegels Stufe III
weiter voranzutreiben. Dieser Beschluss gibt dem Steinbock-Label nun grünes Licht
für die Entwicklung des entsprechenden Zusatzmoduls. Bereits im Sommer/Herbst
2009 könnten die ersten Hotels mit dem Steinbock-Labelplus zertifiziert werden und
so zeitgleich das Qualitäts-Gütesiegel Stufe III erhalten.
(zvg/eb)
http://www.hotelier.ch/Web/internetHO.nsf/0/0428E937BE82E00BC12575EF003174... 20.04.2009
Restauration
23. April 2009 Nr. 17
Qualität im Gastgewerbe
SZENE
Kritische Ereignisse
Abgeschlossener Umbau
Erneuerung der
Kartause Ittingen
Die Kartause Ittingen hat von Oktober 2008 bis Ostern 2009 das grösste Umbau- und Renovationsvorhaben seit Gründung der Stiftung
realisiert. Beim Umbau galt es, die
unterschiedlichen Bedürfnisse der
Seminar- und Bankettgäste, der
Individualgäste und der Wohnheimbewohner zu berücksichtigen.
Umfassende Qualität ist im Gastgewerbe ein ständiges Bemühen.
Peter Mathias Grunder
Nach dem Rundgang geht es los.
Während das ungeübte Auge im
Gasthof Rössli zu Adligenswil vielleicht das gepflegte Gebäude wahrnimmt, die schönen Blumenkästen
oder das tolle Wirtshausschild, sehen die Fachleute mehr: Von Büschen ist die Rede, die den Eingang
verengen, von einem etwas nachlässig bestückten Menükasten oder
dem Container hinterm Haus, der
allzu sehr ins Auge sticht.
Euro 2008
Nachspielzeit für
Public-Viewing-Tarif
P. GRUNDER
Markus Sager, Gastgeber im Rössli,
nimmt die Kritik aufmerksam entgegen. Die Kritiker sind seine Kollegen von der Schweizerischen Gilde
etablierter Köche. Rafael Saupe, Referent von GastroSuisse, hat sie mit
dem Auftrag auf den Rundgang geschickt, «kritische Ereignisse» auszumachen. Es sei «Kritik auf hohem
Niveau», stellen die Kollegen zuvorderst klar, das Rössli gehört gewiss
nicht zu den Betrieben, die zu viel
sind im Schweizer Gastgewerbe.
Aber als Übungsanlage ist der Gasthof ideal. Kathrin Fässler Grossen,
im Vorstand der Gilde zuständig für
Weiterbildung, hat die Veranstaltung organisiert; es geht darum, wie
5
Geballte Kompetenz: Referent, Teilnehmende, Gäste und Gastgeber der Gilde bei einer Schulung in Sachen Qualität.
man Qualität messbar und vergleichbar macht, knapp zwei dutzend engagierte Gilde-Mitglieder
sind gekommen, darunter der ganze
Vorstand um Präsident René-François Maeder.
Das Ziel sei letztlich «ein einheitliches, einfaches und messbares Servicequalitäts-Kontrollsystem», sagt
Saupe, der seit Jahren Weiterbildungen durchführt. Auf Grundlage
des Qualitätsförderungsprogrammes
für den Schweizer Tourismus erhalten die Gilde-Mitglieder aus erster
Hand Informationen und konkrete
Anleitungen für die Praxis.
Schlüssel des Programms sind die Ser-
vicekette und ihre schwachen Glieder, die «kritischen Ereignisse». Die
Servicekette besteht aus sämtlichen
Teilen einer Dienstleistung, wie sie
ein gastgewerblicher Betrieb anbietet: von der Information über die
Reservation und Anreise bis zum
Essen, dem Service, der Rechnungsstellung, Verabschiedung und Nachbetreuung. Mit Blick auf die Gilde fiel
dabei besonders auf, wie komplex
und anforderungsreich einerseits das
Gastgewerbe ist. Andererseits und
insofern mussten selbst bestandene
Gastgeber feststellen, wie viele kritische Ereignisse im gastgewerblichen
Alltag selbst vorbildlicher Betriebe
einfach passieren.
En bref
La Guilde suisse des restaurateurs-cuisiniers a organisé un cours de perfectionnement sur la sécurité de la qualité. Il a révélé
qu'il est possible de faire mieux, même
dans les établissements exemplaires.
Das Bundesgericht hat kürzlich die
Beschwerde von Uefa und SRG bezüglich Public-Viewing-Tarif gutgeheissen. Damit geht der Tarifstreit
zurück ans Bundesverwaltungsgericht, welches die Sache nun neu
beurteilen muss. Nicht vom Urteil
betroffen ist der Tarif GT 3a (Hintergrundunterhaltung), der für Bilddiagonalen von weniger als drei Metern gilt. Für grössere Bildschirme
will die Uefa neben unverhältnismässigen Sponsoringauflagen auch
höhere Gebühren einkassieren als
jene, welche die Verwertungsgesellschaften (u.a. Suisa) und die Nutzer
(u.a. GastroSuisse) ausgehandelt
haben. Erst wenn der Rechtsstreit
entschieden ist, herrscht auch Klarheit darüber, wie sich die Tarife und
Bedingungen für die Fussball-Weltmeisterschaft in Südafrika gestalten.
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GJGM58482
Hotellerie
30. April 2009 Nr. 18
9
Mit einer gelungenen Zimmer-Dekoration die Gäste verzaubern
CHECK IN
Welches Bild darfs sein?
Tourismusresorts Andermatt
Die Inneneinrichtung eines Hotels ist genau
so wichtig wie der Service.
Warum? Einrichtungs-Profis
geben Antwort.
Zimmer umschaut, soll es überraschend, spannend, ja fast schon eine
Entdeckungsreise sein.» Jedes Zimmer könne, passend zu einem
Thema, anders gestaltet werden. Als
Beispiele nennt Zaugg ein «Dornröschen-Zimmer» oder ein «DreiMusketiere-Zimmer». Tabu seien
politische und pornographische Anspielungen.
Luzia Hug
«Das Zimmer ist wunderschön, aber
ich vermisse die Bilder», bemängelt
eine Besucherin am Tag der offenen
Tür des Hotel Rose in Baden. Der
Gastgeber Patrik Erne verteidigt
sich: «Meine Mutter hätte wohl auch
überall Bilder aufgehängt. Ich habe
es aber lieber schlicht.» Eine andere
Besucherin kommt ihm zu Hilfe: Bilder seien Geschmackssache. Da
man es sowieso nicht jedem Gast
recht machen könne, sei es wohl
besser, darauf zu verzichten.
Das Thema Bilder ist ein heikles.
GESCHENKE-GIFTS.DE
«Man kann damit erschrecken oder
begeistern», erklärt André Schneider von APS Design. Der Innenarchitekt vertritt die Ansicht, dass
ein Bild provozieren darf. Letzthin
habe er in einem Restaurant ein
Röntgenbild von einer Schildkröte
angebracht. An gleicher Stelle sei
früher ein Landschaftsbild gehangen. «Jetzt können die Gäste beim
Essen ein Skelett betrachten», sagt
Schneider. Die Meinungen zum Bild
seien zwar geteilt, aber so spreche
man wenigstens darüber. Ein Bild
ist für den Innenarchitekten immer
Kunstsache.
Über das geeignete Bild an der Wand eines Hotelzimmers lässt sich streiten.
onsberufe an der Gewerblich- Industriellen Berufsschule in Bern
(GIBB). Angepasst an die generelle
Ausrichtung des Hotels finde sich
mit neutralen Bildern immer eine
Dekorationsmöglichkeit. Mit einer
geschickten Farbgestaltung und Möblierung könne aber auch, ohne Ein-
«Bilder können enorm polarisieren»,
sagt Daniel Zaugg, eidgenössisch diplomierter Innendekorateur und Berufsschullehrer für Innendekorati-
schränkung eines guten Gesamtbilds auf Bilder verzichtet werden.
Zaugg rät den Hoteliers zu einem
aktuellen Design, das der Kundschaft angepasst ist, und er appelliert zu etwas mehr Mut: «Im Hotel
darf es ruhig etwas gewagter sein
als Zuhause. Wenn sich der Gast im
«Eine gute Innendekoration ist genau so wichtig wie eine freundliche
Bedienung», sagt André Schneider
von APS Design. Wieder einmal die
Wände zu streichen, sei ein Zeichen
dafür, dass man die Gäste ernst
nehme. Vom eigenhändigen Einrichten rät der Profi ab: «Wenn der
Hotelier im Estrich fünf Bilder findet
und die dann aufhängt, kommt es
nicht gut.» Auch Daniel Zaugg gibt
den Tipp, sich mit einem Innendekorateur zusammen zusetzen und
seine Wünsche darzulegen. So
könne der Profi Lösungsvorschläge
machen und Tipps geben. Seine Erfahrung habe gezeigt, dass Eigenleistungen nicht unbedingt günstiger sind.
En bref
Garten als zusätzlichen Wohnraum
und schönsten Gartenwirtschaft der
Region», mit einem idyllischen Weiher und grossen Kastanienbäumen.
wächst auch das Bedürfnis, sich im
Freien aufzuhalten. Das Mittagessen wird auf der Terrasse eingenommen, das Feierabend-Bier im
Garten getrunken. «Was gibt es Besseres, als an einem lauen Sommerabend in der Gartenlounge einen
Caipirinha
zu
geniessen?»,
schwärmt Roland Tischhauser, Gastgeber im Hotel Bad Bubendorf. Im
Sommer lockt er mit «der grössten
Oftmals fehlt den Hotels allerdings
der nötige Platz, um die Gäste unter
blauem Himmel zu verwöhnen. Mit
kleinen Tischen, einem Steinbelag,
Blumen und Pflanzen könne aber
auch mit kleinen Mitteln viel erreicht werden, erklärt Ruth Klaus
von Klaus-Gartenbau. «Wenn man
will, findet man immer einen Weg»,
ist auch Gärtnermeister und Pflanzenkenner Pit Altwegg überzeugt.
Er rät den Hoteliers, einen Kräutergarten anzupflanzen. Der Vorteil:
Die Mitarbeiter können in ein Projekt miteinbezogen werden, und indem der Betrieb frische Kräuter verwende, eigenes Öl oder Pesto-Sauce
einmache, könnten erst noch Kosten
eingespart werden. In den Sommermonaten werde der Garten so zum
Das Projekt des milliardenschweren
Tourismusresorts ist, trotz gegenteiligen Gerüchten, auf Kurs, wie der
ägyptische Investor Samih Sawiris
vergangene Woche mit Zahlen und
Fakten bewies. Im Herbst wird gebaut, die Eröffnung erfolgt in Schritten ab 2013. Geplant ist in Andermatt der Bau von 6 Hotels mit total
844 Zimmern und Appartements,
2000 unterirdische Parkplätze sowie
bis zu 30 Villen. Sawiris hat rund 30
Millionen Franken in das Projekt investiert, die Gesamtkosten liegen
bei über 1 Milliarde Franken.
Hotels wollen Zertifizierung
Bereit für eine
erfolgreiche Zukunft
Eine zweite Staffel von Hotels aus
dem Berner Oberland bereitet sich
auf die Zertifizierung nach ISO 9001
(Qualität) und ISO 14001 (Umwelt)
vor, um dann auch das Q3 des
Schweizer Tourismus zu erhalten.
Diese sind: Hotel Kirchbühl, Grindelwald; Hotel Jungfrau, Mürren; Hotel
Interlaken, Hotel Krebs (Foto), beide
Interlaken; Solbad-Hotel, Sigriswil
und Hotel Eden, Spiez.
Humorwoche
L'aménagement intérieur d'un hôtel est
aussi important que le service. Selon des
architectes d'intérieur, on doit pas négliger ces aménagements pour prouver aux
clients qu'ils sont pris au sérieux. Les tableaux constituent un chapitre particulièrement délicat. Souvent, le moins est le
mieux. Les architectes d'intérieur conseillent aux hôteliers un peu de courage.
Une chambre d'hôtel doit pouvoir surprendre le client.
Grosser Hunger, blauer Himmel und ein schöner Hotelgarten
Mit den steigenden Temperaturen
Im Herbst fahren
Baumaschinen auf
Luzern Hotels
nehmens mit Humor
Luzern Hotels und Zentralschweiz
Hotels laden die Mitarbeitenden der
Mitgliederbetriebe erneut an eine
gemeinsame Veranstaltung ein. Das
Jahresmotto lautet: «mehrWert
dank persönlichem Engagement».
An diesem Leitgedanken orientiert
sich auch die Humorwoche. Sie richtet sich an sämtliche Berufsleute aus
der Zentralschweizer Hotellerie, unabhängig von ihrer Tätigkeit. Der
Anlass findet in der ersten Maiwowww.luzern-hotels.ch
che statt.
Lotteriegesetz soll bleiben
erweiterten Wohnraum. Klaus findet, ein Garten solle zehn Prozent
vom Hauswert ausmachen, damit es
professionell wirke. Sie ist sich aber
bewusst, dass diese Grundregel
nicht immer angewendet werden
kann. Aber insgesamt gewinnt bereits mit wenigen Pflanzen ein
grauer Platz an Farbe, was zusammen mit sommerlichen Temperaturen die Gäste anspricht.
Luzia Hug
Kommission gegen
Überarbeitung
Die Kommission für Rechtsfragen
des Nationalrates will im Bereich des
Lotteriewesens nicht tätig werden
(GJ 16). Sie beantragt, zwei parlamentarischen Initiativen keine Folge
zu geben. Dies auch deshalb, weil
der Bundesrat bis 2011 die Situation
eingehend überprüfen will.
L. HUG
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Garten im Hotel Bad Bubendorf.
GJRI54875
24
Schlusspunkt / Point final
30. April / 30 avril 2009 Nr. / No 18
Portrait
MARKT/ MARCHÉ
Claudine Maillat
CHF
+/–
Gemüse / Légumes
Aubergine
Neu
Aubergine kg 2,60 Nouveau
Gurke Salat
Concombre sal. St. 0.90 +0%
Kabis rot
Chou rouge
kg 2.20 +0%
Kabis weiss
Chou blanc
kg 2.20
+0%
Karotten (Bund)
Carottes (bouquet) 2.50
+0%
Kohlrabi
Chou rave
1.40 +0%
Krautstiel
Côtes de bettes kg 3.50 –17%
Kresse
Cresson
kg 10.00 +0%
Lattich
Laitue
kg 3.20 -16%
Lauch Stangen
Poireau branche kg 4.50 +0%
Lauch grün
Poireau vert
kg 2.30 –18%
Randen
Betterave
kg 1.80 +0%
Randen ged/past/vac
Betterave sec. kg 2.30 +0%
Rübe Herbst weiss
Carottes blanches kg 2.50 +0%
Sellerie Knollen
Céleri pomme kg 2.75 +0%
Spinat (Blatt)
Epinards
kg 4.00 –11%
Spargel grün
Asperges vertes kg 12.50 +0%
Tomate Rispe
Tomate panic. kg 3.00 +0%
Wirz leicht
Chou frisé léger kg 2.80 +0%
Zwiebeln
Oignons
kg 1.25 +0%
Jacques Stadelmann L’an
prochain, Claudine
Maillat fêtera ses vingt
ans de propriétaire et
exploitante de l’Hôtelrestaurant du Bœuf à
Saint-Ursanne.
disposer d’un site aussi remarquable que le nôtre ne
suffit pas à attirer les touristes
et visiteurs. Il faut encore
l’animer, le faire vivre, s’inspirer peut-être d’exemples
venus d’ailleurs». Ainsi, elle
se réjouit des efforts et initiatives prises ces dernières
années sur les plan local et se
«J’ignore, raconte Claudine
Maillat, depuis quand l’Hôtelrestaurant du Bœuf est exploité. L’immeuble remonte
loin dans le temps, à 1709 si
j’en crois l’inscription sculptée sur le linteau d’une de ses
portes. Il devait s’agir alors
d’un bâtiment rural qui a subi
«La Maison du
tourisme apportera
un plus »
ensuite de nombreuses transformations avant d’abriter un
établissement public. Ce n’est
qu’en 1995 que le restaurant,
jusque-là situé au 1er étage et
auquel on accédait par un escalier extérieur, a pris la place
de la boucherie ouverte au
rez-de-chaussée.»
Propriétaire de l’immeuble
depuis 1990, Claudine Maillat
ne cache pas sa fierté devant
les transformations réalisées.
De belle et noble allure, le
Bœuf se dresse au cœur de la
petite cité médiévale et ses
portes s’ouvrent directement
sur la rue centrale, celle du
23 Juin.
Le restaurant fort avenant
dispose d’une cinquantaine
de places et son aménagement révèle un souci marqué
pour le confort des hôtes. Un
escalier intérieur donne accès au 1er étage et à trois salles indépendantes de 15, 30
et 120 places. Douze chambres (simples, doubles et tri-
J. STADELMANN
«Saint-Ursanne ne
peut compter que sur
l’effort du tourisme»
Dans un environnement certes difficile, Claudine Maillat se bat pour attirer des touristes.
ples) dotées d’une douche et
d’un w.c. occupent les étages
supérieurs. Deux terrasses,
l’une installée sous une vaste
voûte, l’autre grande ouverte
au soleil complètent le décor.
Un hôtel-restaurant cossu,
planté au cœur d’un lieu emblématique: tout paraît réuni
pour réussir. «Ce n’est pas
aussi évident», rétorque Clau-
«Un site aussi
remarquable que le
nôtre ne suffit pas»
dine Maillat. «Saint-Ursanne,
explique-t-elle, possède sans
doute de réels atouts touristiques, liés à son caractère,
bien préservé, de cité médiévale et à la présence du
Doubs, la plus belle rivière de
la région. Mais avec 700 habitants, Saint-Ursanne reste
une petite localité. Du coup,
pour tirer leur épingle du jeu,
les restaurateurs et hôteliers
du lieu – nous sommes six au
total! – ne peuvent compter
que sur les visiteurs et, partant, sur l’essor du tourisme».
Secondée, depuis 2004, par
son Yves, chef de cuisine,
Claudine Maillat voue toute
son attention à l’accueil des
touristes et s’efforce de répondre à leurs attentes. Les
transformations opérées dans
son établissement et le renfort apporté par son fils s’inscrivent dans le droit fil de son
désir de retenir l’attention
des hôtes de passage. Et les
amener à découvrir les saveurs du terroir – à commencer par la truite dans tous ses
états – inscrites à sa carte.
Parmi les moyens retenus
pour répondre aux attentes
de ses hôtes, Claudine Mail-
lat, met en évidence sa douzaine de chambres et la hiérarchie des capacités de ses
trois salles indépendantes,
capables d’accueillir le même
jour un petit groupe de contemporains, les participants
à un séminaire et les passagers de deux autocars. Elle
ne cache son souhait de développer les relations avec les
autocaristes et souligne que
son fils a préparé dix propositions de menus à leur intention, ainsi qu’en prévision
de banquets.
S’agissant de la «carte du tourisme», Claudine Maillat,
pragmatique, retient cette évidence: «Une telle carte ne
vaut que si les touristes sont
là». Et à ses yeux, Saint-Ursanne peine encore à sortir
d’une certaine léthargie. Elle
voudrait la voir plus conquérante. «Aujourd’hui, le fait de
félicite des retombées entraînées par les Médiévales, manifestation phare biennale (du
10 au 12 juillet cette année) et
qui attirent chaque fois entre
30 000 et 40 000 personnes.
Selon elle, la dynamisation
touristique dépasse les moyens locaux et exige un engagement résolu de la part des
autorités cantonales. «A ce
propos, souligne-t-elle, je me
réjouis du bon signe qu’elles
viennent de donner avec l’appui apporté à la construction
et à l’ouverture d’une Maison
du tourisme à Saint-Ursanne
(lire en page 17). Une telle
réalisation va dans le bon
sens. Avec ses promoteurs, je
crois que les touristes attendent aujourd’hui qu’on leur
propose des activités et des
découvertes, à la carte ou
sous forme de menus tout
compris. Je veux croire que
La Maison du tourisme apportera un plus aux prestataires du tourisme de SaintUrsanne. A commencer par
les hôteliers et les restaurateurs!»
In Kürze
Das Hotel-Restaurant du Bœuf in
St. Ursanne ist einer von sechs
Betrieben in der malerischen Ortschaft mit 700 Einwohnern.
Ohne Tourismus könnte es nicht
überleben.
NAMEN / NOMS
Géraldine Zuber (Foto) arbeitet
seit Anfang April für Schweiz
Tourismus (ST). Die Tourismus-
fachfrau begleitet bei ST die
weltweite Einführung des Q3-Prozessmanagements. Zur neu
geschaffenen
Stelle gehört die Weiterentwicklung des von ST geförderten Hotelbewertungssystems.
Zuber ist französischer Muttersprache und hat beim Schweizer Tourismus-Verband (STV)
den Bereich Qualitäts-Gütesiegel entwickelt und geleitet.
Kai Simon (Foto), Absolvent
der Hotel Management
School Heidelberg und später
unter anderem
PR Manager im Ritz-Carlton
im deutschen Wolfsburg, wird
Nachfolger von Valérie Burnier als Leiter Kommunikation
der Victoria-Jungfrau Collection. Burnier war 1995 als Direktionsassistentin von Emanuel Berger ins Interlakner
Stammhaus der Gruppe eingetreten, wurde PR-Managerin
und war seit 2004 Leiterin
Kommunikation. Brunier verlässt die Collection Ende April
2009, um sich zu orientieren.
Konrad Graber
(Foto), Ständerat
des Kantons Luzern, Betriebsökonom und
Wirtschaftsprüfer, soll neuer
Verwaltungsratspräsident bei
Emmi werden, dem aktuellen
Schweizer Milchkoloss. Der
Verwaltungsrat der Emmi AG
schlägt Graber als Nachfolger
von Fritz Wyss vor, der als VRPräsident nicht mehr zur Verfügung steht. Eine weitere Rochade betrifft Verwaltungsrat
Peter Bühlmann, der durch
Thomas Oehen-Bühlmann abgelöst werden soll.
Wladimir Putin, starker Mann
Russlands, ist auch kulinarisch
zu haben: Unter
dem Namen des
Premiers gibt es
sinnigerweise Eis
mit dem Geschmack gebrannter Creme
zu kaufen. Die Glace, eingewickelt in die russische Trikolore, stösst manchen sauer auf;
Putins Partei spricht von einer
«Geschmacklosigkeit». Der
Protest verwundert, denn die
Konserven und der Wodka, die
ebenfalls Putins Namen tragen, finden offenbar Gefallen.
Denise und Daniel Wälti,
Gastgeber im Landgasthof
Wassberg in Forch, gehören
zu den 20 Betrieben aus der
ganzen Ostschweiz, die zurzeit
kulinarische Wochen mit Spargel und Ribelmaispoularden
durchführen. Träger der Reihe
ist der Verein Culinarium, der
vorbildlich regionale Erzeugnisse und Restaurants verbindet.
L’Office fédéral de l’aviation
civile (OFAC) a délivré à Alpar
AG, société exploitant l’aérodrome de BernBelp, le certificat
son nouvel emploi, elle doit
développer le système d’évaluation des hôtels qu’exploite
ST.
attestant que
l’organisation et
la documentation des processus liés à la sécurité de l’infrastructure aéroportuaire répondent aux
exigences de l’Organisation de
l’aviation civile internationale
(OACI). Vice-directeur de
l’OFAC, Daniel Hügli a remis
vendredi dernier le document
au directeur d’Alpar AG,
Mathias Häberli (photo).
l’aval de ses actionnaires sur
son rapport de
politique de rémunération. Un
vote consultatif,
conforme à la procédure alternative prévue par le Code
suisse de bonne pratique, est
intervenu pour la 1re fois. «Il
s’agit d’une solution temporaire en attendant l’issue de la
révision en cours du droit des
sociétés», a expliqué Peter
Brabeck, président de Nestlé.
A l’origine de la croisade lancée pour plus de transparence
dans la rémunération des dirigeants, la Fondation Ethos a
reconnu les efforts de Nestlé
tout en encourageant les actionnaires à donner un signal
clair au conseil d’administration «en votant non».
Géraldine Zuber (photo 1re colonne) travaille depuis le 1er
avril pour Suisse Tourisme
(ST). Auparavant, elle avait dirigé pendant près de dix ans le
label de qualité auprès de la
Fédération suisse du tourisme (FST). Agée de 37 ans,
elle accompagne l’introduction mondiale du QIII. Dans
Nestlé a obtenu
Salate / Salades
Chicorée
Chicorée
kg 3.23 +0%
Eichblatt grün
Chêne vert
St. 1.00 +0%
Eichblatt rot
Chêne rouge
St. 1.10 +0%
Kopfsalat
Laitue pommée St. 1.00 +0%
Lollo rot/grün
Lollo rouge/verte kg 3.00 –40%
Nüsslisalat
Doucette
kg 11.00
–8%
Radieschen (Bund)
Radis (bouquet)
1.00 +0%
Spinat Salat
Epinard salade kg 6.00 –25%
Gemüse/Salat: Nationale Richtpreise franko Grossverteiler
Légumes/Salades: prix indicatifs
nationaux franco
grands distributeurs
Früchte / Fruits
Rhabarber
Rhubarbe
kg 3.80 –12%
Zwetschgen
Pruneaux
Ø kg 3.75
Äpfel Gruppe A
Pommes groupe A
Ø kg 3.20
Birnen Gruppe A
Poires groupe A
Ø kg 3.30
Früchte: Richtpreise
Direktverkauf
Fruits: prix indicatifs
pour la vente directe
Spezielles / En particulier
Salate: Angebot nimmt nach sehr
guten Ernten stark ab.
Salades: après de très bonnes récoltes, l’offre est en forte diminution.
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Medienspiegel 2009
Juni
Congress Center | Basel - QII Auszeichnung
Page 1 of 1
15. Juni 2009
QII Auszeichnung
Grösstes Kongresszentrum der Schweiz mit Qualitäts-Gütesiegel Stufe II ausgezeichnet
Schweiz Tourismus hat das Congress Center Basel mit dem „Qualitäts-Gütesiegel
für den Schweizer Tourismus“ Stufe II ausgezeichnet. „Diese Auszeichnung
werten wir als Bestätigung der Bemühungen, unser Qualitätsverständnis
gegenüber dem Kunden spürbar zu machen“, meint der Leiter des Congress
Center Basel, Jonas Schaf. „In den nächsten Monaten werden wir weitere
Massnahmen zur Verbesserung unserer Dienstleistung umsetzen, um die erzielte
Qualitätsstufe in einem Jahr wiederzuerlangen und das Qualitätsbewusstsein bei
den Mitarbeitern noch zu festigen.“
Weitere Informationen und Unterlagen zum Qualitätsprogamm und zum
„Qualitäts-Gütesiegel für den Schweizer Tourismus“ finden Sie unter
www.quality-our-passion.ch.
Die Medienmitteilung und ein Bild sind auf dem Internet abrufbar: www.congress.ch |
Medien Services | Bilder Medienmitteilung
http://www.congress.ch/go/id/fkv/
15.06.2009
Jungfrau Zeitung - Wasserleitung ermöglicht schöneres Berghaus
Montag, 22. Juni 2009
Beatenberg | 15. Juni 2009
Wasserleitung ermöglicht schöneres Berghaus
Beatenberger Bahnen mit sehr guten Frequenzen
Für die AG Sportbahn Beatenberg-Niederhorn SBN war 2008 ein
Rekordjahr. Mit einem neuen Pistenfahrzeug sicherte die Verwaltung die
Qualität des Winterangebots. In Planung ist der Um- und Neubau des
Bergrestaurants. Neu in den Verwaltungsrat wurde Fritz Grossniklaus
gewählt, der neue Verwaltungsratspräsident der STI.
Der neue Verwaltungsrat Fritz Grossniklaus, VR-Präsident Fritz Haldimann,
und Hugo Birri, der den Neu- und Umbau plant (vlnr).
Foto: Anne-Marie Günter
Die Profilstangen beim Zwischentrakt auf dem Niederhorn zeigten den Aktionären
an der Generalversammlung die Dimensionen, in denen die Sportbahn
Beatenberg-Niederhorn ihren Restaurant-Neubau erstellen wird. Das Baugesuch
hat in der Gemeinde Beatenberg aufgelegen (diese Zeitung berichtete). Es gab
keine Einsprachen gegen das Bauprojekt. Die Pläne sehen den Neubau des
heutigen Zwischentrakts vor, der ursprünglich eine offene Liegehalle gewesen ist.
Das Berghaus wird saniert, im Zentrum ist ein bedientes Restaurant. Die
Selbstbedienung und eine neue Toilettenanlage werden im neuen Zwischentrakt
http://www.jungfrauzeitung.ch/artikel/print/95317/ (1 von 3) [22.06.2009 11:16:20]
Jungfrau Zeitung - Wasserleitung ermöglicht schöneres Berghaus
eingerichtet. Verwaltungsratspräsident Fritz Haldimann wies darauf hin, dass mit
der Planung erst ernsthaft begonnen werden konnte, seit das Wasser per Leitung
und nicht mehr per Bahn auf das Niederhorn kommt. Die Wasserleitung wurde am
13. Juni 2008 eingeweiht und funktioniert perfekt, bis Ende 2008 wurden 1045
Kubikmeter Wasser auf das Niederhorn gepumpt. Der Verwaltungsrat hat den
Bauentscheid für das Bergrestaurant noch nicht gefällt. Projektleiter Hugo Birri
war zwar an der Generalversammlung anwesend, auf Informationen in Sachen
Neubau wurde aber verzichtet. Der Verwaltungsrat setzt nach wie vor auch auf
die Skifahrer: auf den Winter 2008 hat er ein Pistenfahrzeug angeschafft, das die
Pisten auch von unten nach oben bearbeiten kann.
Fritz Grossniklaus im Verwaltungsrat
Als Vertreter der Verkehrsbetriebe STI wurde an der Versammlung auf dem
Niederhorn der neue STI-Verwaltungsratspräsident Fritz Grossniklaus in den
Verwaltungsrat gewählt. 2008 war für die Sportbahn Beatenberg-Niederhorn ein
Rekordjahr. Mit 140'223 Bergfahrten wurde das zweitbeste Jahresergebnis aller
Zeiten erreicht. Der Verkehrsertrag stieg um 19,4 Prozent auf 2,296 Millionen
Franken. Der Nebenertrag stieg dank Trotti- und Schlitten-Vermietung und
Mehreinnahmen beim Parkhaus um 16,6 Prozent. Das positive Resultat mit einem
Betriebsergebnis 1 von 1,07 Millionen Franken erlaubte Abschreibungen von
0,888 Millionen Franken. Ausgewiesen wurde ein Jahresgewinn von 46'594
Franken. Den Bilanzgewinn von 102'810 Franken übertrugen die Aktionäre
hauptsächlich auf die neue Rechnung. Die SBN und die TBB beschäftigten
zusammen 16,47 Mitarbeitende, im Vorjahr waren es 14,9.
Die «Beatenbergbahn»
Die Drahtseilbahn Thunersee-Beatenberg wird wie die SBN von der STI betrieben.
Bei den beiden Bahnen wurde das Personal zusammengelegt, wobei es die TBB
ist, welche der SBN die Arbeitsstunden verrechnet. Das gesetzte Ziel
«Frequenzsteigerung von zehn Prozent gegenüber dem 5-Jahresmittel vor
Bahnneubau» ist bei der TBB 2008 erreicht worden. 219'587 Personen wurden
befördert, was das beste Ergebnis der letzten 50 Jahren bedeutet. Der gepflegte
Buffetneubau am Thunersee hat an schönen Tagen Kapazitätsengpässe, der
Verwaltungsrat prüft weitere wetterfeste Aussenplätze. Für die beiden Bahnen
wurde das Touristische Qualitätsgütesiegel Stufe II erarbeitet.
Die Zahlen des Bahnduos
SBN
Betriebsertrag: 2,805 Millionen Franken
Verkehrsertrag: 2,296 Millionen Franken
Betriebsaufwand: 1,736 Millionen Franken
davon Personalaufwand: 0,870 Millionen Franken
Cashflow: 0,937 Millionen Franken
Jahresgewinn: 46'595 Franken
TBB
Betriebsertrag: 1,269 Millionen Franken
Verkehrsertrag: 677'883 Franken
Abgeltung: 457'638 Franken
Aufwand: 754'912 Franken
Personalaufwand: 379'369 Franken
Cashflow: 488'850 Franken
Jahresgewinn: 20'669 Franken
http://www.jungfrauzeitung.ch/artikel/print/95317/ (2 von 3) [22.06.2009 11:16:20]
Jungfrau Zeitung - Wasserleitung ermöglicht schöneres Berghaus
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Schöner in die Alpenwelt blicken - Beatenberg | 14. Mai 2009
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Knapp am Rekordwinter vorbei - Bergbahnen | 16. April 2009
Artikelinfo
●
Artikel Nr. 95317
15.06.2009, 14.00 Uhr
Autor/in: Anne-Marie Günter
●
Seitenaufrufe: 125
●
●
© 2001 - 2009 by Jungfrau Zeitung
http://www.jungfrauzeitung.ch/artikel/print/95317/ (3 von 3) [22.06.2009 11:16:20]
Medienspiegel 2009
Juli
people
htr hotel revue
«Als Spanierin hätte ich
bei diesen Temperaturen
unbedingt einen Fächer
mitnehmen sollen.»
6
Sandra Studer, Moderatorin
Nr. 27/28 / 2. Juli 2009
Grand Opening
in Bad Ragaz
Sie kamen gerne, die 700 geladenen Gäste, und
feierten das Grand Opening des Grand Resorts
in Bad Ragaz. Ein Event mit Stil, Prominenz
und schönen Momenten.
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W
zvg
ohl waren es die
rund 700 begeisterten Gäste aus Wirtschaft, Politik und
Sport, die das unsichere Wetter am
vergangenenFreitagabendbeiLaune hielten. Am Grand Opening des
Grand Resorts in Bad Ragaz stimmte einfach alles. Auch die sommerlichen Temperaturen. Einigen Gästen machten diese zu Beginn des
Abendssogaretwaszuschaffen:Die
feierlichen Eröffnungsansprachen
fanden in der neuen Tamina Therme bei über 36 Grad statt. Dieses
tropische Ambiente liess so manche Schweissperle kullern, was zu
witzigen Bemerkungen führte. So
nahm Moderatorin Sandra Studer,
die durch den offiziellenTeil führte,
das Raumklima auf, fächerte selber
engagiert mit ihren Moderationskarten und sorgte für einige Lacher.
Die Stimmung war auch bei Verwaltungsratspräsident Willy Kissling und bei Financier Thomas
Schmidheiny sehr gut. «Wir sind
seit den 1950er-Jahren Aktionär im
Grand Resort Bad Ragaz», sagte
Schmidheiny und versicherte, dass
er gleich am nächsten Morgen die
neueTherme selber testen werde.
Das grosse Eröffnungsevent des
neu gestalteten Resorts in Bad Ragaz war ein gelungener Erfolg. Die
Gäste freuten sich, lobten die
freundlichen Mitarbeitenden und
genossen die entspannte Stimmung. Vor allem die Architektur
erntete querbeet viel Applaus. Die
Besucher waren sich einig: Neukonzeptionen müssen nicht immer
schrill und laut sein. Das Grand Resort Bad Ragaz besticht durch seine
schlichten Neubauten, die ein harmonisches Ganzes bilden.
Nach einem ausführlichen
Rundgang durch die neuen Hallen,
dem Genuss von kulinarischen Le-
Willy Kissling, VR-Präsident der Grand Hotels Bad Ragaz (r.), übergibt dem
Vorsitzenden der Geschäftsleitung, Peter Tschirky, ein Erinnerungsstück.
Das Hoteliersehepaar Annelise und
Hans Peter Julen von Zermatt.
Der Financier und Unternehmer Thomas Schmidheiny (l.) und der
Gemeindepräsident von Bad Ragaz, Guido Germann.
Der Direktor und sein Vorgänger: Riet Pfister, heutiger Hoteldirektor Grand
Resort Bad Ragaz, und Hans Geiger, der das Haus bis 2001 führte.
Alle drei lieben Golf: Victor H. Zindel und Karin Vesti von den
Swiss Golf Hotels und Karl Wild, Publizist.
Müller ist Q-Person
von motivierten Mitarbeitern.
Wichtig sei vor allem eine starke,
klare und verantwortungsvolle
Führung.
ZumAbschlussdesMeetingsunterschrieben die Q-Botschafter der
Regionen ein Credo, dass sie das
Q-Programm weiterhin aktiv fördern und unterstützen werden. ck
Der Berner Tourismusprofessor
Hansruedi Müller ist am Quality
Meeting in Luzern, organisiert vom
Schweizer
Tourismus-Verband
(STV), als «Quality Person» ausgezeichnet worden. Die Teilnehmenden konnten Personen vorschlagen,diedieseAuszeichnungverdienen, weil sie sich im besonderen
Mass für die Qualitätsentwicklung
im Schweizer Tourismus starkmachen. Nominiert waren auch einige
Hoteliers. Müller erhielt jedoch die
meisten Stimmen. Der Direktor des
Forschungsinstituts für Freizeit
und Tourismus (FIF) an der Uni
Bern war von Anfang an massgeblich an der Entwicklung des Q-Programms für den Schweizer Tourismus beteiligt und gilt als «Vater» des
Qualitäts-Programms.
Müller hob im Anschluss an seine Auszeichnung die verstärkte In-
tegration von ökologischen Aspekten in das Q-Programm hervor.
Peter B. Grossholz, LeiterWeiterbildung bei hotelleriesuisse, betonte, Qualität sei nicht nur eine Frage
befestigtschwebtenzweiTänzerinnen, die zu Puccinis «Turandot» in
luftiger Höhe akrobatische Improvisationen boten. Improvisiert habendannauchdieGäste,zuheissen
Rhythmen tanzte die Prominenz
bis in die frühen Morgenstunden.
●
SIMONE LEITNER
Das Grande Finale: An einem Riesenballon schwebte und improvisierte
eine Tänzerin zu Puccinis «Turandot» in luftiger Höhe.
ckerbissen und guten Gesprächen
trafensichdieGästeum23Uhrzum
Grande Finale im Garten vor dem
Kursaal. Ein imposantes Feuerwerk
und «Lichtgestalten», begeisterten
dasPublikumvollends.Andenzwei
Fesselballons «Sonne» und «Mond»
Beide sind Zigarren-Liebhaber: Reto Cina, CEO Oettinger Davidoff Group, und
Guglielmo L. Brentel, Präsident hotelleriesuisse.
Sesselrücken
Neue Gastgeber im
Liefeith verwöhnt
Sunstar Parkhotel in die Gäste im
Arosa
Waldhotel Davos
Jacoline und Matthias Lutzvon Reeken (Bild) sind die Nachfolger von Thomas Keel, Gastgeber im Sunstar Parkhotel Arosa.
Lutz war Direktor einer Senioren-
zvg
zvg
Andrea Haid, Leiterin Q-Programm, überreicht Müller die Auszeichnung.
Bilder Elsbeth Hobmeier
residenz und führte zuvor, teilweise mit seiner Frau, mehrere Hotelbetriebe.KeelbleibtaufTeilzeitbasis als Projektverantwortlicher bei
den Sunstar Hotels in Liestal.
Martin Liefeith (34) ist neuer
Spitzenkoch im Waldhotel Davos.
Er will im 15-Gault-Millau-Punkte-Restaurant «Mann und Co.» die
Gäste mit kulinarischen Expeditionen zwischen klassisch modern, mediterran und experimentell überraschen. Liefeith war unteranderemimLindnerGrandHotel Beau Rivage Interlaken tätig.
Kamber präsidiert
die Chaîne des
Rôtisseurs Schweiz
René Kamber (Bild) ist neuer
Präsident der Bailliage de Suisse
der Chaîne des Rôtisseurs. Sein
zvg
Vorgänger Peter Musa war acht
Jahre in diesem Amt. Kamber ist
Sohn einer Hotelier-Familie.
Park de Gstaad: Der
Vizedirektor wird
Generaldirektor
JeanYvesBlatt, bisherigerVizedirektor,wirdnunGeneraldirektor
des Grand Hotel Park de Gstaad. Er
ist Nachfolger von Thomas
Brugnatelli, der zum Generaldirektor des neuen Starling Hotels in
Lausanne gewählt worden ist. ck
Hotellerie
2. Juli 2009 Nr. 27
Erstes Quality Meeting in Luzern
7
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GJRI58485
Motiviert zur Qualität
Beim ersten Quality
Meeting in Luzern blickten
Vertreter des QualitätsProgramms des Schweizer
Tourismus in die Vergangenheit und wagten dabei auch
Blicke in die Zukunft.
Luzia Hug
Seit der Entstehung haben sich ver-
schiedenste Leute für das QualitätsProgramm eingesetzt. Beim ersten
Quality Meeting wurde eine so genannte «Quality Person» gewählt.
Um die Auszeichnung zu erhalten,
CHECK IN
Bern
Positive
Schlussbilanz
L. HUG
12 Jahre gemeinschaftliches Engagement für die Qualitätsförderung
im Schweizer Tourismus. Der
Schweizer Tourismus-Verband (STV)
nahm dies zum Anlass, Vertreter des
Qualitäts-Programms im Art Deco
Hotel Montana in Luzern zusammenzubringen. Verschiedene Referenten informierten über Änderungen, Entwicklungen, Neuerungen
und Strategien des Programms. STVDirektor Mario Lütolf liess zu Beginn
der Veranstaltung vom vergangenen
Freitag den Blick zurückschweifen
und berichtete über die Entwicklung des Qualitätsprogramms. Die
drei Qualitäts-Gütesiegel QI, QII und
QIII hätten sich gut etabliert und
würden sich in den Tourismus-Kreisen grosser Beliebtheit erfreuen. So
seien die gesetzten Ziele – die Qualität im Tourismus schweizweit zu
verbessern, das Qualitäts-Bewusstsein der Mitarbeitenden zu stärken
und die Förderung der Zusammenarbeit zwischen touristischen Betrieben – mehrheitlich erreicht worden. In den 12 Jahren wurden über
4400 Q-Gütesiegel verliehen, wobei
der Anteil bei der Hotellerie mit 37
Prozent am höchsten ist. Aktuell sind
rund 1600 Betriebe im Besitz eines
Gütesiegels. Seit 2004 werden die
Inhalte des Schweizer Qualitäts-Programms auch im Ausland umgesetzt. Mehrere Länder haben das
System gekauft.
Thomas Fahrni, Leiter Gastro-Unternehmerausbildung GastroSuisse; Andrea Haid, Leiterin Prüf- und Koordinationsstelle, und
Hansruedi Müller, Direktor des Forschungsinstitutes für Freizeit und Tourismus (v.l.).
muss sich die Person in der Vergangenheit beim Aufbau und der Entwicklung des Q-Programms engagiert haben und sich noch heute
aktiv für das Programm und die
Qualität im Tourismus einsetzen. Die
Auszeichnung ging an Professor
Doktor Hansruedi Müller, Direktor
des Forschungsinstitutes für Freizeit
und Tourismus (FIF) an der Universität Bern (Kasten), der sich gegen
36 Nominationen behauptete. Der
Schweizer Tourismus stehe vor grossen Herausforderungen, sagte Müller in seiner Rede und nannte unter
anderem die Globalisierung, die Klimaveränderung, die Finanzkrise sowie das veränderte Reiseverhalten.
«Wer aufhört, besser zu werden,
hört auf, gut zu sein», sagte Müller
und erklärte, dass aktuell die Qualitätsstufen II und III überarbeitet werden. So werden beispielsweise auf
Stufe II die Prozesse vereinfacht und
beim QIII die Vorgaben für die Anerkennung anderer Qualitätsmanagement-Systeme diskutiert.
Dass Qualität auch blinden Men-
schen auffällt und demzufolge alleine mit Schönheit nicht erreicht
ist, zeigte die sehbehinderte Christina Fasser, Geschäftsführerin von
Retina Suisse, auf. Unter dem Motto:
«Qualität sieht man nicht. Man spürt
sie», stellte sie die Bedeutung von
Qualität aus Sicht eines blinden
Menschen dar. Peter B. Grossholz,
Leiter Weiterbildung bei Hotelleriesuisse, machte sich in seinem Referat auf die Suche nach der Seele in
gastgewerblichen Betrieben und
stellte klar, dass die motivierten
Menschen die Seele des Q-Programms sind.
Zum Abschluss des Treffens unter-
schrieben die Q-Botschafter aus den
Regionen ein Credo, das ihren Einsatz für die Qualität im Schweizer
Tourismus unterstreicht.
En français
Page 15
Hansruedi Müller
Hansruedi Müller, geboren 1947,
lehrt Freizeit und Tourismus an
der Universität Bern und leitet
das Forschungsinstitut für Freizeit und Tourismus (FIF) seit
1989. Seine wissenschaftliche
Laufbahn begann er dort 1982 als
Assistent des legendären Jost
Krippendorf. Müller befasst sich
in seinen Forschungsarbeiten mit
allen Belangen von Freizeit und
Tourismus. In den letzten Jahren
hat er besonders die Gebiete der
Erlebnisökonomie, der touristischen Wertschöpfung und des
Qualitäts- und Ökomanagements
vertieft.
Das Qualitätsprogramm des
Schweizer Tourismus wurde
1997 als Antwort auf den Einbruch der Logiernächte in der
Schweiz lanciert. Heute unterstützen 12 touristische Trägerorganisationen, darunter GastroSuisse,
das Programm.
Enjoy Switzerland in der Kartause Ittingen
Gutes Produkt ist bestes Marketing
Wallis
World Nature
Forum mit Hotel
In Naters bei Brig ist das Siegerprojekt des Wettbewerbs um ein 45Millionen-Bauprojekt präsentiert
worden. Italienische Architekten aus
Bozen und Padua planen demnach
ein halbes Dutzend Gebäude, in denen sich öffentliche und private Interessen verschränken: Neben Wohnungen, Büros und Amtsstuben sind
ein Kongresshotel und ein «World
Nature Forum» als Zentrum des
Weltnatur-Erbes Jungfrau-Aletsch
geplant. Die Finanzierung steht
noch nicht fest; man hofft auf einen
Gesamtinvestor und rechnet vorderhand mit 6 Millionen Franken Unterstützung aus der Regionalpolitik von
Bund und Kanton.
Basel
An einer ersten öffentlichen Infor-
mationsveranstaltung in der Kartause Ittingen ist über den aktuellen
Stand des gemeinschaftlichen Qualitätsmanagementprojektes «Enjoy
Switzerland» von Thurgau, Schaffhausen und Untersee informiert
worden. Ziel des zwei Jahre dauernden Projektes ist, die touristischen Leistungen auf die Kundenbedürfnisse auszurichten und in der
Bevölkerung das Tourismusbewusstsein zu stärken.
L. HUG
«Enjoy Switzerland»
«Der Tourismus in unserer Region
lebt!», sagte der Thurgauer Regierungsrat Kaspar Schläpfer in seiner
Ansprache und betonte nebst dem
«weiten Blick und der reinen Luft»
die Schifffahrtsgesellschaften, das
Connyland und den Rheinfall, welche neben der Beherbergung die
touristischen Einnahmequellen bilden. Eine Tourismusregion könne
langfristig nur dann erfolgreich sein,
wenn alle Akteure sich an den Kundenbedürfnissen ausrichten, um ein
Stadt und Kanton Bern haben eine
positive Bilanz der Eishockey-WM
vom letzten Frühling in Bern gezogen. Gewerbe und die Hotellerie
hätten mehr profitiert als bei der
Euro 2008, teilten die Behörden Anfang Woche mit. Eine Umfrage von
Bern Tourismus bei 27 Berner Hotels
habe ergeben, dass diese im Vergleich zur gleichen Vorjahresperiode ein Viertel mehr Logiernächte verzeichneten und die Aufenthaltsdauer während der WM 4 statt
1,8 Tage betrug.
Werner Fritschi, Thurbo AG; Martin Nydegger, Schweiz Tourismus; Moderator
Christoph Tobler, Thurgau Tourismus; Lucia Kamp, Tourismus Untersee; Kaspar
Schläpfer, Thurgauer Regierungsrat und Patronat «Enjoy Switzerland» (v.l.).
zielgerichtetes Angebot zu entwickeln, erklärte Schläpfer weiter.
Martin Nydegger von Schweiz Tou-
rismus präsentierte die aktuellen
Gästetrends wie Sehnsucht nach
Werten, jung sein, schön sein, fit
sein, Naturerlebnis und Entspan-
nung und betonte insbesondere,
dass der erste Eindruck zählt. In einer Podiumsdiskussion, geführt von
Christoph Tobler, Präsident Thurgau Tourismus, kamen die Diskussionsteilnehmenden zum Schluss,
dass ein gutes Produkt das beste
lh
Marketing sei.
Das Projekt hat zum Ziel, alle touristischen Leistungen auf die
Kundenbedürfnisse auszurichten.
Bei der Förderung von Qualitätsverbesserung setzt es auf drei
Qualitätsebenen.
Betriebliche Qualität: Optimierung von Leistungsprozessen gegenüber dem Kunden im Einzelbetrieb
Erlebnisqualität: Die Region
und die Betriebe als Ganzes werden durch die Aufarbeitung eines
destinationsweiten Themas erlebbar gemacht
Destinationsqualität: Angebotsoptimierung und Schliessung der
Lücken im Bezug auf die Erlebniskette des Gastes.
Das Projekt startete am 1. März
2009, im September finden erste
Mitarbeiterschulungen und
Q-Coach-Kurse statt.
Viele neue
Hotels geplant
Der anhaltende Erfolg des
Tourismusstandorts
Basel hat
Folgen fürs
Hotelangebot: Die
grosse
Nachfrage
führt zu einem grösseren Angebot. Ein Ibis der
Accor-Kette am SBB-Bahnhof ist bereits eröffnet und auf einem alten
Industrie-Areal in Kleinhüningen
entsteht ein Freizeitzentrum samt
Hotel. Überdies gibt es Pläne für ein
Boutiquehotel in der Stadt, für ein
Courtyard von Marriot sowie ein
Best Western ausserhalb der Stadt
und für ein weiteres Flughafenhotel.
Hôtellerie & Tourisme
2 juillet 2009 No 27
La Fédération suisse du tourisme (FST) en symposium à Lucerne
FLASH
Motivés pour la qualité
Douze ans d’engagement commun
en faveur de la promotion de la qualité dans le tourisme suisse. La FST
a profité de l’occasion pour réunir à
l’Art Deco Hotel Montana à Lucerne
des représentants du programme
qualité. Divers orateurs ont informé
sur les changements, les développements, les innovations et les stratégies du programme.
Mario Lütolf, le directeur de la FST,
a rappelé l’évolution du programme
qualité. Les trois labels de qualité
QI, QII et QIII se sont bien établis et
sont très appréciés dans les milieux
du tourisme. Ainsi, les objectifs fixés
–améliorer dans toute la Suisse la
qualité du tourisme, renforcer la
conscience des collaborateurs en
matière de qualité et promouvoir la
collaboration entre établissements
touristiques – ont été atteints en
grande partie. En douze ans, plus de
4400 labels Q ont été décernés, l’hôtellerie, avec 37%, en obtenant la
plus grande part. Depuis 2004, les
contenus des programmes suisses
de qualité sont également mis en
oeuvre à l’étranger. Plusieurs pays et
lands allemands ont acheté ce système.
Depuis la création, des personnes
Hansruedi Müller nommé Quality Person
Hansruedi Müller, né en 1947, enseigne les loisirs et le tourisme à
l’Université de Berne et dirige l’Institut de recherches sur les loisirs et le
tourisme (FIF) depuis 1989. Sa carrière scientifique y a débuté en 1982
comme assistant de Jost Krippendorf. Il s’est occupé de tous les aspects des loisirs et du tourisme. Au
cours des dernières années, il a ap-
profondi les domaines de l’économie
de l’événement, de la plus-value
dans le tourisme et du management
de la qualité et de l’écologie.Le programme de qualité du tourisme
suisse a été lancé en 1997 comme
réponse à la chute des nuitées en
Suisse. Aujourd’hui, douze organisations touristique soutiennent le programme, dont GastroSuisse.
lh
très diverses se sont engagées en faveur du programme de qualité. Une
«Quality Person» a été élue lors du
premier Quality Meeting. La distinction a été remise (parmi 37 nominés) au professeur Hansruedi
Müller, directeur de l’Institut de recherches sur les loisirs et le tourisme (FIF) de l’Université de Berne
(encadré). Le tourisme suisse se
trouve face à de gros défis, a dit
Hansruedi Müller. Nommant, notamment, la globalisation, le changement climatique, la crise financière ainsi que le comportement
changé des voyageurs. «Celui qui
s’arrête de s’améliorer, arrête d’être
bon.» Le professeur a encore déclaré que les niveaux de qualité II et
III devaient sont revus. Ainsi, au niveau II, les processus sont simplifiés
et pour le QIII, les conditions de reconnaissance d’autres systèmes de
qualité discutées.
Que même des aveugles remarquent
la qualité, qu’elle ne peut donc être
atteinte que par la beauté, a été démontré par Cristina Fasser, la directrice aveugle de Retina Suisse.
Sous la devise «La qualité ne se voit
pas. On la sent», elle a présenté l’importance de la qualité telle que ressentie par un aveugle. Dans son
exposé, Peter B. Grossholz, chef perfectionnement à hotelleriesuisse, a
Patrimoine mondial Unesco
Une grande
diversité de sites
L'Unesco a retenu seize nouveaux sites pour figurer sur sa liste du patrimoine mondial de l'humanité. Des
sites d’une grande diversité, allant,
pour l’Europe, des Dolomites en Italie, au Palais Stoclet en Belgique, en
passant par la saline de Salins-lesBains et la saline royale d’Arc-et-Senans en France avec pour la Suisse,
La Chaux-de-Fonds et Le Locle, urbanisme horloger, mais sans l’oeuvre
architecturale de Le Corbusier.
Vallée de Joux
Carte journalière
pour circuler gratis
SP
Lors du premier Quality Meeting, à Lucerne, les
représentants du programme qualité du tourisme suisse ont
jeté un regard vers le passé et osé un coup d’oeil vers l’avenir.
Luzia Hug
15
La qualité ne se voit pas. On la sent.
précisé que les gens motivés étaient
l’âme du programme Q.
Les ambassadeurs Q ont signé un
credo qui souligne leur engagement
pour la qualité dans le tourisme
suisse. Comme interlocuteur dans
les régions, ils ont promis de continuer de promouvoir le programme
de qualité.
Auf Deutsch
Seite 7
Les hôtes de la
Vallée de Joux séjournant plus
d’une nuit en hôtel ou en appartement de vacances
ont désormais
droit à la carte
journalière ValPass. Valable du
1er juillet au 1er novembre, elle est financée par la taxe
de séjour. Elle offre la libre circulation sur le train Le Pont-Le Brassus
ainsi que sur la ligne de bus entre Le
Pont et Le Sentier, indique Cédric
Paillard, directeur de Vallée de Joux
Tourisme.
www.myvalleedejoux.ch
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fokus
htr hotel revue
Nr. 29/30 / 16. Juli 2009
11
Pioniere und Wegbereiter. Theorie. Die drei Deutschschweizer Professoren Krippendorf, Müller und Bieger
lehrten und lehren Tourismus. Sie formen die künftigen Touristiker.
Theoretiker
des Tourismus
Die drei Professoren
Jost Krippendorf,
Hansruedi Müller
und Thomas Bieger
prägten den Schweizer Tourismus. Jeder
auf eine andere Art.
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CHRISTINE KÜNZLER
E
litätsprogramms für den Schweizer
Tourismus, mit dem mittlerweile
auch im Ausland gearbeitet wird.
Müller entwickelt Inszenierungskonzepte und hilft Destinationen, sich besser in Szene zu setzen. Untersucht hat das FIF auch
die Nachhaltigkeit grosser Sport-
in streitbarer Visionär ist
gestorben.» Das schrieb
Hansruedi Müller, Leiter
des Forschungsinstituts
für Freizeit und Tourismus an der
UniBern(FIF),nachdemTodseines
Vorgängers Jost Krippendorf im
Februar 2003. «Wir haben die verdammte Pflicht und Schuldigkeit,
weitsichtig, kritisch und unpopulär
zu sein», hatte Krippendorf einmal
gesagt und damit die Professoren
gemeint. Er, der das FIF während
25 Jahren entscheidend geprägt
hatte, wies schon 1975 in seinem
Buch «Landschaftsfresser» auf die
ökologischen Gefahren der touristischen Entwicklung hin. «Damals
wurdeeralsNestbeschmutzerkritisiert, inzwischen sind seine düsteren Szenarien zum TeilWirklichkeit
geworden», hält Müller fest.
Zum 50. Geburtstag des SchweizerTourismus-Verbands–Krippendorf war dort damals Direktor –
sprach dieser vom immer grösser
werdenden Graben zwischen Zielen und Wirklichkeit. «Wenn sich
einige Gräben heute verkleinert
haben, dann, weil die Ziele korrigiertwordensindundnichtderEntwicklungspfad», sagt Müller. Krippendorf wünschte sich ein neues
Verständnis von Freizeit und Reisen: Weg vom (Massen-)Tourismus
hin zu sanftem Reisen und beseelten Ferien. Heute läge er mit seiner
Müller: Nachhaltigkeit, Qualität,
Destinationsmanagement
Hansruedi Müller führt nach
Krippendorf nun schon seit 20 Jahren das FIF. Seine Schwerpunkte
lassen sich in acht Kernthemen
einteilen: Ganzheitlicher Ansatz,
Umwelt- und Öko-Management,
Destinationsmanagement, Tourismuspolitik,WertschöpfungimTourismus, Qualität, Erlebnisqualität
und Nachhaltigkeit von Grosssportveranstaltungen.
Mit seinem Bericht «Alpsegen
Alptraum – Für eine nachhaltige
Entwicklung im Einklang mit
Mensch und Natur» etablierte MüllerMitteder80er-Jahredienachhaltige Entwicklung als Basis aller Forschungs- und Beratungsprojekte
am FIF. Als dasWaldsterben Thema
wurde, entwickelt er Vorschläge für
Destinationen und touristische Organisationen, wie sich diese umweltverantwortlicher
verhalten
können. «Wir thematisierten als
erste Uni die Bedrohung des Klimas
durch den Tourismus», sagt Müller.
Drei Jahre später erarbeitete er mit
dem St. Galler Tourismusprofessor
Thomas Bieger die Destinationsmanagement-Strategie.
Tourismuspolitische Leitbilder für Destinationen und ein Verfahren zur
Berechnung touristischer Wertschöpfung sind weitere Projekte.
Stark macht sich Müller für qualitätsorientiertes Tourismusmanagement. Er gilt alsVater des Qua-
Pragmatisch: Thomas Bieger
zvg
Alain D. Boillat
Ganzheitlich: Hansruedi Müller
Christine Künzler
Kritisch: Jost Krippendorf
veranstaltungen. Ende dieses Jahrs
legt Müller den Schlussbericht bezüglich der Auswirkungen der Euro
2008 vor.
Bieger: Fachschulen, Tourismuslehre, Marketing und Finanzierung
«Geprägt haben mich meine
praktischen Tätigkeiten beim Ver-
Mit diesem Plakat
von Emil
Cardinaux warb
die Jungfraubahn
im Jahr 1911.
Schweiz. Nationalbibliothek/Emil Cardinaux
●
Vision voll im Trend. In seinem
Buch «Alpsegen» plädiert er dafür,
die touristische Entwicklung im
Berggebiet mit Mensch und Natur
in Einklang zu bringen. Damit wies
er den Weg zu Nachhaltigkeit und
Authentizität. Laut Wikipedia ist
Krippendorf ein «Vordenker eines
sozial- und umweltverträglichen
Tourismus und einer der wichtigstenVertreter derTourismuskritik.»
kehrsverein Basel, wo ich nach Studienabschluss das erste Marketingkonzept entwickeln durfte», sagt
Thomas Bieger, Direktor des Institutes für öffentliche Dienstleistungen und Tourismus der Universität
St. Gallen. Als Gründer der Höheren
Fachschule für Tourismus Luzern
entwickelte er das erste Konzept für
das dortige Institut für Tourismus.
Danach baute er als Direktor der
heutigen Academia Engiadina die
Höhere Fachschule für Tourismus
auf. «Es erfüllt mich heute noch mit
Stolz, dass ich so die Wurzeln der
beiden Fachhochschul-StudiengängeLuzernundChurlegenkonnte», so Bieger.
Erkam1997andieUniSt. Gallen,
um dieTourismusforschung neu zu
positionieren, die Paradigmen der
TourismuslehreunddieMarketingforschung weiter zu entwickeln.
Eines der «wichtigen Forschungsthemen, mit denen wir die Praxis
geprägt haben», sind für Bieger
die
DestinationsmanagementKonzepte, die er mit Müller erarbeitethat,dieForschungzumKundenverhalten, die Finanzierung im
Tourismus sowie die Entwicklung
eines modernen Dienstleistungsmanagements, dynamischer Konzepte des Tourismussystems und
Geschäftsmodelle im Tourismus.
Neue Forschungsthemen sind Pri-
cing-Modelle im Tourismus, hybride Beherbergungsformen, ImpactStudien des Tourismus sowie der
Bereich Aviation Management.
Neben der Institutsleitung
nimmtBiegerandereFührungsaufgaben wahr. Unter anderem trägt er
als Prorektor der Uni St. Gallen die
Verantwortung für das Thema Globalisierung. «Als VR-Präsident der
Jungfraubahn und Vizepräsident
der Schweizerischen Gesellschaft
für Hotelkredit und der Bergbahnen habe ich direkten Kontakt mit
Tourismusunternehmen.
Aufgrund dieser Praxiserfahrung ist
mein Wissenschaftsansatz pragmatisch.»
ANZEIGE
Medienspiegel 2009
August
actuel
htr hotel revue
No 33 / 13 août 2009
21
En bref
Suisse
Note verte pour
le programme
de qualité
Le Programme de qualité du tourisme suisse tiendra davantage
compte que par le passé du développement durable. Ainsi, à partir
de ce mois, tous les établissements candidats à l’obtention du
label de qualité de niveau I devront présenter un plan d’action
comportant «au moins une mesureécologique»,indiquelaFédération suisse du tourisme, coordinatrice du programme de qualité. Cette orientation écologique
concrétise l’engagement pris par
les associations touristiques avec
la signature de la «Charte du développement durable».
mh
Résidences
secondaires:
un guide bienvenu
ldd
Les fromages du canton du Jura et du Jura bernois, ici ceux de la fromagerie de Corgémont (BE), évolueront à domicile lors des 6e Olympiades des fromages de montagne.
Le fromage à l’honneur
Du 22 au 25 octobre,
les Olympiades des
fromages de montagne prendront leurs
quartiers dans le Jura
et le Jura bernois
pour leur sixième
édition. Découverte.
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EUGENIO D’ALESSIO
L
e Jura et le Jura bernois
frétillent d’impatience.
Un trio de choc, Saignelégier (Jura), Tramelan et
Bellelay (Jura bernois), accueillera
fin octobre les 6e Olympiades des
fromages de montagne (www.caseusmontanus.ch). Chapeautée
parl’InterprofessionTêtedemoine
et les artisans suisses du fromage
(Fromarte),cettemanifestationinternationale prestigieuse, organisée tous les deux ans, promet d’être
grandiose. Avec près de 60 000 visiteurs attendus et de nombreuses
animations, elle mobilise toutes
les fromageries de la région, mais
également les milieux touristiques
et hôteliers. Cerise sur le gâteau,
elle est placée sous le patronage de
la ministre de l’économie Doris
Leuthard qui sera présente en terre
jurassienne.
Alain D. Boillat
Des découvertes aussi bien
gastronomiques que touristiques
touristiques, les professionnels de
la branche, les milieux hôteliers
Point d’orgue de ce rendez-vous ainsiquelecantondeBerneetcelui
gastronomique, le concours inter- du Jura marchent main dans la
national des fromages de mon- main. Et les préparatifs vont bon
tagne fera halte à l’abbatiale de train.
Bellelay, berceau du célèbre tête
Jura Tourisme et Jura bernois
de moine. Environ 80 jurés, issus Tourisme ont notamment bloqué
de la branche fromagère, des com- des contingents hôteliers de 1500
merces, de la restauration et du lits: «Les Olympiades devraient
journalisme,
soupèseront
la attirer près de 700 professionnels.
qualité de huit
Ces visiteurs pocents produits inLes 6e Olympiades tentiels ont reçu
ternationaux réun dossier de
des fromages
partis en seize capresse avec un
tégories.
Les
devraient attirer
formulaire qui
gagnants seront
permet de réser60 000 visiteurs à
honorés
le
ver une chambre
Bellelay, Tramelan d’hôtel dans la rédimanche 25 octobre.
gion. Les particuet Saignelégier.
La compétiliers peuvent en
tion ira de pair
faire de même en
avec les découvertes gastronomi- consultant nos sites internet. Par
ques et touristiques, les anima- ailleurs, nous collaborons avec les
tions en tout genre et l’effort de ré- CFFavecdesoffresRailAwaysurles
flexion. Ainsi, une soixantaine de billets de train à destination de Saichalets gavés de fromages et de gnelégier, Bellelay et Tramelan»,
produits du terroir formeront la expliquent de concert ToinetteWiscénographie d’un immense mar- sard, responsable du marketing de
chéplantéaucœurdeSaignelégier. Jura Tourisme, et Carole Sallot, son
Un marché du Moyen Age (Belle- homologue de Jura bernois Toulay), des spectacles folkloriques, risme. Et de préciser: «Les actions
des présentations de chevaux des promotionnelles visent également
Franches-Montagnes et un sémi- la presse étrangère. C’est Switzernaire sur l’avenir des régions de land Cheese Marketing, spécialisé
montagne (Tramelan) complète- danslemarketinghorsdenosfronront, entre autres, le programme.
tières,quigèrecedossierenorganiPour l’organisation de cet évé- sant, entre autres, des visites d’hônement majeur, les opérateurs tels.»
Photopress/ldd
La cérémonie de passage de la flamme des Olympiades des
fromages de montagne a eu lieu samedi, à Saignelégier, en présence
du président de la Confédération Hans-Rudolf Merz (au milieu).
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Une opportunité de promouvoir
le Jura bernois et le canton du Jura
Il va sans dire que les milieux
touristiquesentendentprofiterdes
Olympiades pour promouvoir le
Jura bernois et le canton du Jura.
«Nous voulons associer cet événementàlarégion.Nousallonsdès
lorsmettreenavantl’imagedel’abbatiale de Bellelay, celle du cheval
dans les Franches-Montagnes,
mais également celle du Chasseral
pour marquer l’esprit des visiteurs.
Nous ciblons un public situé dans
un périmètre de 100 km autour des
sites de la manifestation. Et à l’approche des Olympiades, nous lancerons des vagues publicitaires en
collaboration avec RailAway en
distribuant des flyers notamment»,déclarentToinetteWisardet
Carole Sallot.
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La flamme est
arrivée samedi
à Saignelégier
La cérémonie de passage de la
flamme des Olympiades des
fromages de montagne a eu lieu
samedi dernier, au marchéconcours de Saignelégier, en
présence du président de la
Confédération Hans-Rudolf
Merz. Une délégation d’Oberstdorf (All), théâtre des dernières
Olympiades, a transmis la
flamme à la délégation jurassienne. Outre ces Olympiades,
Delémont-Courtemelon accueillera les 26 et 27 septembre
le 3e Concours suisse des produits du terroir. Mille produits,
en provenance de tous les cantons, seront en lice.
lm/eda
Le problème des résidences secondaires devrait perdre un peu
de son acuité avec la publication,
par les autorités fédérales, d’un
«guide pour la planification directrice cantonale». Pour la Fédération suisse du tourisme (FST), ce
guide – actuellement en consultation–constitueune«contribution
constructive» à la mise en place
d’unepolitiqueenmatièrederésidencessecondairesorientéesurla
valeur ajoutée. La FST est toutefois d’avis que la Confédération
pourrait apporter une aide à la
planification en mettant à disposition des cantons et de l’économie touristique une banque
de données fiable consacrée aux
résidences secondaires.
mh
Valais
Mayens de
Bruson: le projet
est maintenu
Le projet de construction de trois
cents chalets-appartements, proposant deux mille lits touristiques, aux Mayens de Bruson, sur
la commune de Bagnes (VS), est
maintenu, malgré le désengagement en Europe de la société
canadienne Intrawest. «Des démarches sont en cours pour trouver de nouveaux partenaires», a
indiqué la semaine dernière la
commune de Bagnes.
mh
France
Genève: comme sur un paquebot
Le Beau-Rivage dispose
désormais de nouvelles
suites. Situées au premier
étage, elles bénéficient
d’une très grande terrasse.
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MICHEL BLOCH
Les propriétaires de l’Hôtel BeauRivage de Genève souhaitaient
aller plus loin encore en matière de
confort que les rénovations réalisées ces dernières années. Le défi
constituant à aménager la toiture
qui prolonge les suites du premier
étage, valait aujourd’hui la peine
d’être relevé.
Les suites royales et impériales
ontétéprolongéespard’immenses
terrassessuperbementaménagées
et offrant une vue magique sur la
rade. Le Beau-Rivage, avec ses
nouveaux «sun decks», se donne
ainsi un air de Riviera et de dolce
farniente. Grâce à ces terrasses,
les suites concernées semblent
«ouvertes sur le large». Le «room
service» prend alors une dimension différente que le client se fasse
livrer une boisson ou un thé, ou
qu’il y organise un apéritif.
Elément particulièrement original, et qui fait toute la différence,
une rambarde transparente donne
aux clients l’impression d’avoir
effectivement le lac et le jet d’eau à
Les suites royales et impériales ont été prolongées par
de très grandes terrasses équipées d’une rambarde transparente.
ldd
leurs pieds. Ces nouveaux agencements viennent renforcer le
sympathique sentiment de naviguer sur un yacht. Larges parasols,
meubles de jardin, chaises longues
confortables, fleurs et plantes
d’agrément, éclairage tamisé et
planchers en teck: des détails qui
ont leur importance et qui constituenteffectivementuneréelleinvitation à la croisière.
«Les clients de l’hôtel apprécient de plus en plus ces terrasses
qui, grâce à leurs aménagements,
font pour ainsi dire partie de la
chambre ou en l’occurrence de la
suite», confirme Xavier Collange,
les sous- directeur de l’Hôtel BeauRivage.
Bonne tenue des
palaces parisiens
et cannois
Le mois de juillet a été favorable
aux palaces de Paris et de Cannes.
Le consultant touristique MKG
Hospitality a constaté que les
hôtelsdeluxedecesdeuxvillesont
enregistré, respectivement, des
hausses du revenu par chambre
disponible (RevPAR) de 5 et de
10,8%. C’est la première fois depuis septembre 2008 qu’une évolutionpositiveduRevPARapuêtre
mesurée. Le taux d’occupation
des palaces parisiens s’est élevé à
85,2% et celui des palaces de
Cannes à 78,1%. Pour l’ensemble
du parc hôtelier français, MKG
Hospitality a relevé un recul du
RevPAR de 6,3%. C’est la baisse la
moins forte de cette année. mh
Restauration
20. August 2009 Nr. 34
Q-Programm schreckt Restaurateure ab – dabei könnten sie damit Zeit und Geld sparen
Mit Q zu mehr Umsatz
ber. Jetzt gehe es darum, «dranzubleiben, damit es nicht im Sand verläuft». Leemann wünscht sich deshalb vom STV eine härtere Gangart
und vermehrt Kontrollen.
Das QualitätsProgramm des Schweizer
Tourismus will die Qualität
in den Betrieben verbessern.
Nur wenige Gastronomen
konnten sich allerdings
bisher dafür begeistern.
Luzia Hug
Eine Namensänderung des Pro-
gramms sei nicht die Lösung. Viel-
L. HUG
Seit 12 Jahren setzt sich GastroSuisse, einer der 12 Trägerverbände,
zusammen mit dem Schweizer Tourismus Verband (STV) gezielt für die
Qualitätsförderung im Schweizer
Tourismus ein. 4400 Q-Gütesiegel
wurden insgesamt verliehen, aktuell
besitzen rund 1600 Betriebe diese
Auszeichnung. Dabei fällt auf: Mit einem Anteil von 42 Prozent wurden
im Bereich Hotellerie am meisten Gütesiegel vergeben – die Gastronomie
jedoch kommt nicht einmal auf 7 Prozent. Ist das Erlangen eines Q-Gütesiegels für Restaurateure demzufolge
nicht attraktiv? Andrea Haid, Leiterin
des Qualitäts-Programmes, verneint.
Sie sieht dahinter ein anderes Problem: «Kleinstbetriebe sind bereits mit
administrativen Aufgaben zugedeckt,
da betrachten sie das Q-Programm
als zusätzlichen Aufwand und
scheuen sich davor.» Auch sei der
konkrete Nutzen nicht auf den ersten
Blick ersichtlich, sagt der Leiter der
Gastro-Unternehmerausbildung GastroSuisse, Thomas Fahrni, und
spricht einen weiteren Punkt an:
«Oftmals fühlen sich die Restaurateure nicht angesprochen, da sie verkennen, dass sie Teil der touristischen Dienstleistungskette sind.» Der
Name, Qualitäts-Programm des
Schweizer Tourismus, impliziere Tourismus und Ferien. «Da denken sie,
ich habe ja gar keine Touristen.»
Die Gefahr, das Gelernte nicht um-
zusetzen oder nach drei Jahren nicht
zu erneuern, besteht tatsächlich.
Grosse Schwierigkeit dabei: die Eigendisziplin. Denn Kontrollen werden mittels Stichproben durchgeführt und einzig 5 bis 10 Prozent der
QI-Betriebe werden im zweiten Jahr
kontrolliert. Thomas Fahrni von GastroSuisse verteidigt jedoch das Vorgehen: «Je mehr Fremdkontrolle,
desto kleiner die Eigenverantwortung.» Es gehe aber nicht darum,
dass die Verantwortung fremdgesteuert werde. Vielmehr steigen mit
der Verantwortung das Engagement
und das eigene Interesse, etwas im
Betrieb zu verbessern.
Rebe-Gastgeber Stefan Leemann hat seine Türe dem Q-Programm geöffnet.
En bref
mehr gehe es darum, Gastronomen
dafür zu sensibilisieren, dass auch
sie zum Tourismussektor gehören,
sagt Fahrni. Andrea Haid ihrerseits
versucht, «die Unternehmer mitzureissen und zu motivieren», ihnen
klar zu machen, dass sie dank dem
Q-Programm Zeit sparen können,
was zu zufriedeneren Gästen und
Mitarbeitenden führe.
Le programme qualité de la Fédération
suisse du tourisme veut améliorer la qualité dans les établissements. Toutefois,
jusqu'à présent, seuls quelques rares restaurateurs se sont enthousiasmés pour
ce programme. Le temps à lui consacrer
et le manque de réflexion touristique sont
cités. Experts et restaurateurs Q sont par
contre convaincus de gagner du temps et
d'augmenter leurs chiffres d'affaires.
Einer, der seit einem halben Jahr im
Besitz des QI-Gütesiegels ist, ist Stefan Leemann, Gastgeber im Restaurant Rebe in Neftenbach. «Meine
Frau und ich haben uns gefragt, wie
wir die Qualität im Betrieb steigern
können», begründet Leemann den
Entscheid, sich fürs Programm anzumelden. Inspiriert habe ihn auch
sein früherer Arbeitgeber, der ebenfalls die Q-Auszeichnung besitze. Seit
dem Kurs habe sich in der Rebe ei-
niges verändert: «Wir sprechen über
Qualität und die Mitarbeiter sind dafür sensibilisiert.» So setzen sich Chef
und Mitarbeitende jeden Mittag fünf
Minuten zusammen und diskutieren,
was noch verbessert werden kann.
Sei es ein spezieller Drink oder eine
neue Sorte Cordon bleu – Leemann
ist überzeugt: «Dank den Tipps zur
Qualitätsverbesserung habe ich den
Umsatz mittels Zusatzverkäufen klar
erhöht. Wir geben dem Gast vermehrt Empfehlungen ab, machen
ihm das Dessert oder den Drink
schmackhaft.» Eine Strategie, die bei
jedem zweiten Gast funktioniere.
Für Stefan Leemann hat sich der QI-
Kurs gelohnt. «Es bringt allerdings
nichts, fertige Listen zu kopieren,
man muss das Gelernte so umsetzen, damit es dem eigenen Betrieb
etwas bringt», erklärt der Gastge-
5
SZENE
Marktaustritt
Restaurant
wird Wohnhaus
1904, es herrschte Hochkonjunktur,
investierte ein Landwirt im Freiburger Weiler Fendringen ins Gastgewerbe. Er liess das Restaurant Adler
bauen, musste aber zwei Jahre warten, bis überhaupt die Betriebsbewilligung vorlag. Ein schlechtes
Omen: Immer wieder wechselten in
der Folge die Betreiber, bis gut 100
Jahre später das Restaurant geschlossen wurde und eine Baufirma
die Liegenschaft übernahm. Nun hat
sie die Zukunft des Adlers publiziert:
Das Restaurant wird zu einem
Wohnhaus umfunktioniert.
Umnutzung
Lebensschule
Gastgewerbe
Gadmen auf der
Berner Seite des
Sustenpasses
liegt nur an einem Verkehrsstrom: Töff- und Velofahrer sowie
Bergwanderer im Sommer. Umso
schwerer hat es das Gastgewerbe,
zumal das Militär auch nicht mehr
so viel hergibt wie einstmals. Aus
der Not hat man im Hotel-Restaurant Alpenrose eine Tugend gemacht: Der Betrieb ist auch Betreuungsplatz für orientierungsschwache Jugendliche – in beiden
Bereichen recht erfolgreich.
Qualität
Stufe 1: Konzentriert
sich auf Qualitätsentwicklung und widmet
sich insbesondere der
Servicequalität.
Stufe 2: Konzentriert sich auf die
Führungsqualität.
Stufe 3: Betriebe, die ein umfassendes und anerkanntes Qualitätsmanagementsystem eingeführt haben, können das QIII beantragen.
Menschliche
Schwächen
Das Deutsche Institut für ServiceQualität hat Kaffee-Ketten unter die
Lupe genommen. Als grösste
Schwäche erwies sich die Kompetenz der Beschäftigten. Sie zeichneten sich «oft durch Unkenntnis der
eigenen Produkte aus», kommentierte die Studienverantwortliche.
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Amtsschimmel
Tuurbärg?
In fünfter Generation bewirten Jrene
und Daniel Franz ihre Gäste im Restaurant Thurberg in der Nähe von
Weinfelden. Die Thurgauer Nomenklatur-Kommission hat den Berg
aber umgetauft in «Tuurbärg», dies
im Auftrag der Regierung und im
Rahmen der Bereinigung der Flurund Siedlungsnamen. Jrene und Daniel Franz winzern zudem neu am
«Tuurbärg». Denn der Wein muss
mit dem entsprechenden Ortsnamen
versehen sein, also neu «Tuurbärg».
Jrene Franz ist darob gar nicht begeistert: «Das ist ein Hafenkäse! In
der 100-jährigen Geschichte unseres
Restaurants haben wir den Namen
Thurberg aufgebaut. Durch die Umbenennung ist die Wiedererkennung
gefährdet.» Sogar ein schriftliches
Dokument aus dem 18. Jahrhundert
weist bereits einen Thurberg und
keinen «Tuurbärg» aus. Übrigens:
Der «Tuurbärg» mit dem Restaurant
Thurberg und dem Weingut «Tuurbärg» steht an der Thurbergstrasse,
vielleicht bald an der «Tuurbärg»Strasse.
Mittlerweile hat die Thurgauer Re-
gierung für die Umbenennungen einen Marschhalt verordnet.
mmo
GJR59692
Medienspiegel 2009
September
actuel
htr hotel revue
No 39 / 24 septembre 2009
25
En bref
Les cabanes, nouvelles
stars des montagnes
Très 21e siècle, elles
en jettent, les nouvelles cabanes du Club
Alpin Suisse (CAS).
Rien à voir pourtant
avec des hôtels
quatre étoiles.
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GENEVIÈVE ZUBER
L
a nouvelle cabane du
Mont Rose, qui sera inauguréesouspeu(lireencadré), est d’ores et déjà
médiatisée bien au-delà des Alpes.
Si toutes les cabanes du Club Alpin
Suisse (CAS) ne sont de loin pas
aussifuturistes,cegroscristalhightech symbolise bien la tendance: le
monde des cabanes de haute montagne est en pleine mutation. Aujourd’hui, elles affichent souvent
des lignes architecturales contemporaines qui en font, en soi, des
objets de découverte touristique.
D’autre part, elles bénéficient de
nouvelles technologies, très précieuses sur les plans énergétique et
écologique.Parexemple,lescontenus des WC sont traités autant que
faire se peut pour protéger l’environnement.
Pas de chambres individuelles,
et alors?
Quant au confort d’hébergement, il s’améliore aussi pour ré●
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Mont Rose Cabane
la plus futuriste
et la plus chère
La nouvelle cabane du Mont
Rose sera ouverte le 25 septembre. Située à 2900 m d’altitude,
au-dessus de Zermatt, elle est le
fruit de recherches menées par
l’EPF de Zurich avec l’appui de
la Haute école de technique de
Lucerne et le Laboratoire fédéral d’essai des matériaux. Ce
projet novateur se distingue par
son architecture mais aussi par
son concept porteur d’avenir du
point de vue écologico-énergétique. Cette cabane offrant
120 places d’hébergement est
la plus chère jamais cofinancée
par le CAS. Son coût s’est élevé
à 6,5 millions de francs.
gz
pondre à des exigences nouvelles.
Ulrich Delang, responsable du secteur cabanes du CAS: «Nous accueillons de plus en plus de familles et d’urbains. Par rapport aux
alpinistes classiques, quasiment
nos seuls hôtes il y a une vingtaine
d’années encore, il s’agit d’une clientèle autre, avec des attentes plus
fortes». Pour y répondre, les grands
dortoirs de 20 à 30 couchettes cèdent la place à des chambres plus
petites, plus «familiales» de quatre
à douze places, les sanitaires et les
douches deviennent plus confortablesetlesduvetssuédoisontsuccédé aux couvertures en laine. De
plus, il n’est pas rare qu’à côté
des spaghettis, le gardien propose
aussi un menu à quatre plats.
Mais cet effort de modernisation est-il suffisant, alors que certaines cabanes de haute montagne
des pays voisins offrent désormais,
entre autres, des chambres individuelles? Pour Ulrich Delang, pas
question de se faire des complexes:
«Notre but n’est absolument pas
d’offrir des chambres individuelles. La simplicité est l’une des valeurs fondatrices du CAS, qui fêtera
bientôt ses 150 ans. Cette valeur est
toujours d’actualité, même si nous
nepouvonsplusnouscontenterde
proposer une bâche avec une bougie dans une lanterne pour tout
éclairage. Mais nous tenons à cette
notion de simplicité, qui est en
accord avec nos moyens. Nous
sommes une organisation à but
non lucratif et la rentabilité n’est
pas un but en soi.»
La FST pour la
libéralisation
des «duty free»
La Fédération suisse du tourisme
(FST) approuve le principe d’une
libéralisationdes«dutyfree»àl’arrivée dans les aéroports suisses.
Répondant à la consultation sur
la nouvelle loi fédérale sur l’achat
de marchandises dans les boutiques hors taxe, elle a indiqué
qu’une restriction des possibilités
d’achats n’est plus admissible du
point de vue touristique. Ceci
d’autant plus que d’autres pays
vont également introduire dans
les aéroports des boutiques «duty
free» à l’arrivée.
mh
Label de qualité
pour le personnel
des trains CFF
ldd
Le service d’accompagnement
des trains dans la division voyageurs des CFF s’est vu remettre le
labeldeniveauIduProgrammede
qualité du tourisme suisse. Le certificat a été décerné par Andrea
Haid, responsable du programme, à Vincent Ducrot (à g.),
chef de la division voyageurs, et à
Anton Häne, responsable de la
gestion du trafic, qui représentaient une soixantaine de chefs du
personnel des trains et 2200 accompagnateurs de train.
mh
Courts métrages:
l’Alimentarium
lance un concours
«Les prix doivent rester
populaires»
D’autre part, faire simple permet de limiter l’impact sur le sol et
l’environnement ainsi que sur les
prixdesnuitées,quis’élèvententre
17 et 28 francs pour les membres
(majoration de 140 à 200% pour les
non membres).
Ceux-ci sont quelque 120 000
aujourd’hui, un effectif en croissance régulière, «parce que la
montagne et la nature et les nouveaux sports de grimpe sont des
valeurs qui montent mais aussi
parce que nos prix sont populaires». C’est pour toutes ces raisons
quelescabanesduCASnesontpas
prêtesàsetransformeren«établissements hôteliers avec jaccuzzi».
Avec 153 cabanes et bivouacs, le
CAS estime disposer d’un parc suf-
Suisse
Les cabanes du CAS, ici celle de Turtmann, améliorent sans cesse leur confort.
fisant;aprèsletempsdesconstructions, il y a quelques décennies, est
maintenant venu celui des rénovations et des remplacements des
bâtiments obsolètes.
Et c’est dans ce contexte que
s’inscrivent les réalisations actuel-
les et futures. Simplicité, modernité, mais également professionnalisme des gardiens: tel est le défi.
Sécurité, hygiène, marketing, maîtrisedesnouveauxéquipements:le
métier est, lui aussi, en mutation.
Ce qui a incité le CAS à lancer cette
Swiss-Image
année une formation spécifique
en cours d’emploi dispensée dans
le cadre de l’Ecole hôtelière de
Thoune. Un cours semblable, pour
lesfrancophones,s’ouvriraen2010
en Suisse romande, dans un lieu
encore à déterminer.
Le film et le court métrage en particulier est un vecteur publicitaire
qui a de plus en plus de succès en
Suisse. Ainsi, après hotelleriesuisse, qui vient de remettre les
prix de son Swiss Hotel Film
Award, après les Auberges suisses
de jeunesse, c’est l’Alimentarium
à Vevey qui lance un concours de
courts métrages à l’occasion de
son 25e anniversaire qui sera fêté
l’an prochain. En collaboration
avec l’association Base-court, le
Musée de l’alimentation invite les
cinéastes à présenter au jury un
film sur le thème de l’«alimentation humaine».
mh
ANNONCE
Medienspiegel 2009
Oktober
20 Minuten, 7.10.09
MEETING POINT.
SBB RailCity: Da ist
immer was los!
Ein Oktoberfest in Zürich
oder bärenstarke Aktionen
in Bern – das alles und viel
mehr gibt es in den RailCityBahnhöfen der SBB.
Publireportage von
Günstiger Städteplausch
mit den City-Hit-Billetten
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Das Zugpersonal der SBB
verfügt seit dem 1. August
über das Qualitäts-Gütesiegel von Schweiz Tourismus.
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Neue Homepage: Mehr
Übersicht und Infos
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20 Minutes, 7.10.2009
aktuell
htr hotel revue
Nr. 42 / 15. Oktober 2009
3
Aus der Region
mit der ganz grossen Kelle angerichtet werden kann, betont aber:
«In einer ersten Phase geht es darum, Einheit zu demonstrieren.» Er
verspricht sich vom gemeinsamen
Auftritt mehr Aufmerksamkeit im
Ausland, will aber auch die lokalen
Aktivitäten nicht vernachlässigen.
So prüft Tschirky eine Kooperation
des Stiftsbezirks mit der Insel Reichenau (D), die ebenfalls zum
Welterbe gehört.
Zentralschweiz
Katar hält alle
Anteile an den
Schweizer Hotels
Nicht Massen- sondern
Qualitätstourismus
Der Stiftsbezirk St. Gallen ist seit 1983 Unesco-Weltkulturerbe. Der neue Marketingverein soll auch hier für mehr Gäste sorgen.
Swiss-Image
Gemeinsam stark
Die Welterbe-Stätten
und Biosphären der
Schweiz wollen sich
besser vermarkten.
Sie suchen eine enge
Kooperation mit
Schweiz Tourismus.
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THERES LAGLER
D
ie Dichte der UnescoWelterbe-Stätten und
Biosphären in der
Schweiz ist hoch. Elf
sind es an der Zahl (siehe Box),
schön verteilt auf die Deutschschweiz, die Romandie und das
Tessin. Diese Trumpfkarte wollen
die Touristiker nun vermehrt ausspielen. Sie haben gestern denVerein «Unesco Destination Schweiz»
gegründet.Dieseneuetouristische
Dachorganisation soll den Bekanntheitsgrad der Welterbe-Stätten im In- und Ausland mit gezielten Marketingaktivitäten steigern.
Bis Ende Jahr wird der Marketingplan für 2010 erarbeitet, wie Thomas Lüthi, Vizedirektor von Bern
Tourismus und Präsident des neuenVereins,inAussichtstellt.Solaufen beispielsweise bereits Gespräche mit Schweiz Tourismus (ST).
Lüthi erhofft sich von der Zusammenarbeit mit ST optimale Kommunikatios- und Distributionskanäle, könnte sich aber auch eine
eigene Kampagne zum Thema
Unesco-Welterbe vorstellen. «Ich
gehe davon aus, dass wir im ersten
Jahr 200 000 bis 250 000 Franken
fürs Marketing zur Verfügung ha-
Doch ist eine stärkere Vermarktung von schützenswerten Naturund Kulturgütern nicht problematisch? Beat Ruppen, Leiter des
Managementzentrums Schweizer
Alpen Jungfrau Aletsch, verneint:
«Wir können einen nachhaltigen
Bildungstourismus
generieren,
der grosses Potenzial hat.WerWerte kennt, setzt sich auch für deren
Erhaltung ein», ist er überzeugt. Interesse zeigt auch ST. «Wir können
uns sowohl eine Integration der
Welterbe-Stätten in eine Hauptkampagne als auch punktuelle Zusatzaktivitäten vorstellen», hält
Marketingleiter Rafael Enzler gegenüber der hotel revue fest.
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Fakten Das
Schweizer Welterbe
auf einen Blick
ben», so Lüthi. Finanziert wird das
Ganze über Mitgliederbeiträge
und Beiträge von Marketingpartnern. Eine Mitgliedschaft kostet
500 Franken pro Jahr, Marketingpartner der Kategorie A zahlen
20 000 Franken, Marketingpartner
der Kategorie B 10 000 Franken.
Einheit demonstrieren,
aber auch lokal agieren
Boris Tschirky, Direktor von
St. Gallen-BodenseeTourismus, ist
Marketingpartner der Kategorie A
und Mitglied des neuenVereins. Er
ist sich bewusst, dass noch nicht
Die Schweiz zählt zurzeit zehn
Unesco-Welterbe-Stätten und
eine Unesco-Biosphäre:
– Kloster St. Johann in Müstair
– Stiftsbezirk St. Gallen
– Burgen von Bellinzona
– Schweizer Alpen Jungfrau– Aletsch
– Berner Altstadt
– Monte San Giorgio
– Lavaux, Weinberg-Terrassen
– Tektonikarena Sardona
– Rhätische Bahn
– La Chauds-de-Fonds/Le Locle
– Biosphäre Entlebuch
Alle sind Mitglied der «Unesco
Destination Schweiz».
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CHRISTINE KÜNZLER
Die
Logiernächteentwicklung
macht den Erfolg sichtbar: Zwischen 2005 und 2008 schrieben die
Matterhorn Valley Hotels ein Plus
von 21 Prozent, Grächen legte 16
Bundesrat kann
Bezugsdauer für
Kurzarbeit erhöhen
Das Eidgenössische Volkswirtschaftsdepartement (EVD) bestätigtgegenüberdemWalliserStaatsrat, dass der Bundesrat die Kompetenz hat, im Rahmen des dritten
Konjunktur-Pakets eine Erhöhung
der maximalen Bezugsdauer für
Kurzarbeit innerhalb von zwei Jahren auf 24 Monate vorzunehmen.
Aufgrund der wirtschaftlichen Lage hatte die Walliser Regierung
dem EVD die Verlängerung der
Bezugsdauer vorgeschlagen.
ck
Geldspiel-Initiative:
«Gesetzgeberisches
Chaos»
Der Schweizer Casino Verband
(SCV) lehnt dieVolksinitiative «Für
Prozent zu, das Wallis 9 Prozent
und die Schweiz 13 Prozent. Der
Umsatz der Matterhorn-ValleyGruppe stieg dank des Logiernächte-Plus um 30 Prozent.
Fünf Eigentümer, einer davon
mit zwei Hotels, hatten die Gruppe
2003 lanciert. Alle fünf sind Mitglied im Verwaltungsrat. Nun ist
neudasAparthotelDesAlpesdazugestossen. «Damit wir neue und
vermietete Hotels aufnehmen
können, ohne den Verwaltungsrat
verändern zu müssen, führen wir
Franchiseverträge ein», erklärt
Oliver Andenmatten, Besitzer der
Geldspiele im Dienste des Gemeinwohls» ab, «weil sie überflüssig ist, keine Probleme löst und zu
einem gesetzgeberischen Chaos
zwischen Bund und Kantonen
führt.» Das Glücksspiel solle einheitlich und widerspruchfrei
durch den Bund auf Gesetzesebene geregelt werden.
ck
Schweizer Bäcker
neu bei der Hotel &
Gastro Union
Die Berufsorganisation Hotel &
Gastro Union in Sursee hat den
Schweizerischen Bäckerei- und
Konditorei-Personalverband als
fünften Berufsverband aufgenommen.Mitden2800Bäckernkommt
die Hotel & Gastro Union neu auf
21 000 Mitglieder. Georges Knecht,
Leiter Küchenchef Inselspital,
wurde an der DV zum neuen Präsidenten gewählt.
ck
«Hannigalp». «Wir sind alle Franchisenehmer und der Matterhorn
Valley AG unterstellt. Damit haben
wir die operative und die strategische Ebene klar getrennt.» Das
Kooperationskonzept wird nicht
gegen aussen verkauft. «Das geht
gar nicht, denn wir haben Staatsund Kantonsgelder für den Aufbau
erhalten. Interessierte Hotels bekommen dieTools kostenlos».
Gesamthaft erzielen die sieben
Betriebe einen Umsatz von rund
6 Mio. Davon werden ab 2010
1,5 Prozent ins Basismarketing
gesteckt.Dassind0,5Prozentmehr
Neustes Mitglied der Gruppe:
Aparthotel des Alpes, Grächen.
zvg
für alle Hotels einen gemeinsamen
Nenner zu finden», so Andenmatten. Zwei Hotels sind mit 3 Sternen
Superior ausgezeichnet, die übrigenmit3Sternen.«Alsomussteder
Standard zwischen 3 und 4 Sternen
liegen. Wo es möglich war, setzten
wir den höheren Standard um.»
Doch noch mehr Geld für ST?
zvg
THERES LAGLER
Dominique de Buman, Präsident
Schweizer Tourismus-Verband.
Eine Fortsetzung des Impulsprogramms von Schweiz Tourismus
(ST) im Jahr 2010 scheint immer
noch im Bereich des Möglichen.
Der Antrag, die Marketingorganisation mit zusätzlichen 25 Millionen Franken auszustatten, fand
zwar im Rahmen des dritten Stabilisierungspakets des Bundes
kein Gehör, soll nun aber im Rah-
men des Budgets 2010 geprüft
werden. Dominique de Buman,
Nationalrat und neuer Präsident
des Schweizer Tourismus-Verbands (STV), ist überzeugt, dass
er nicht auf verlorenem Posten
kämpft. «Für dieWirtschaftskommission des Nationalrats war das
Stabilisierungspaket das falsche
Instrument zur touristischen
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Vielleicht gibt es doch noch einen
Retter für das seit zwei Jahren stillgelegte Skigebiet Winterhorn:
Eine chisesische Firma bekundet
Interesse, in das marode Skigebiet
in Hospental zu investieren, wie
die «Zentralschweiz am Sonntag»
meldete. Eine Delegation habe
sich bereits ein Bild vor Ort gemacht. Das Winterhorn, das seit
Jahren mit finanziellen Problemen kämpft, versuchte via Auktionsplattform Ricardo einen Käufer zu finden. Die Skigebietbetreiber hatten auch einen an der
Angel. Doch die interessierte
Schweizer Gesellschaft ist im letzten Moment abgesprungen. ck
Erfolg für die
GiacomettiAusstellung
alsbisanhin.NeuistauchdasMulti
Property Front Office System mit
Web Booking Engine, eine gemeinsame Buchungsplattform mit einem zentralen Rechenzentrumsdienst, die für eine optimale Auslastung der Häuser sorgt.
WachsenwilldieGruppenurbedingt.Dochbeitretenkönnenauch
Hotels aus umliegenden Gemeinden, «wenn sie unsere Auflagen
erfüllen». Und die sind nicht ohne:
Jedes Matterhorn-Valley-Hotel hat
im letzten Jahr das Q III beziehungsweise ISO 9001 und 14001
erarbeitet. «Am schwierigsten war,
Im 3. Stabilisierungspaket
des Bundes ging der Tourismus leer aus. Die beantragten 25 Mio. zur Nachfrageförderung kommen
nun in der Budgetdebatte
2010 erneut aufs Tapet.
Kommen die
Chinesen nach
Hospental?
Basel
Mittelklasse auf der Höhe
Sechs Jahre besteht
die Kooperation der
Grächener Matterhorn
Valley Hotels. Ein neues
Haus ist dazugestossen.
Eine Erfolgsgeschichte.
zvg
Das Luxusresort auf dem Bürgenstock und die Hotels Royal Savoy
in Lausanne und Schweizerhof in
Bern kommen vollständig in den
Besitz des Emirats Katar. Die Immobiliengesellschaft Barwa Real
Estate Company hat das Hotelportfolio an die Qatari Diar Real
Estate Investment Company
transferiert, an der Katar sämtliche Anteile hält. Die Schweizer
Hotelprojektefirmierenneuunter
Qatari Diar Hotel & Property Swiss
Management.
ck/sda
Nachfrageförderung», erklärt der
CVP-Politiker, der selber Mitglied
der Wirtschaftskommission ist.
«Die Mehrheit der Kommission
äusserte aber den Wunsch, dass
die Finanzkommission die Anliegen des Tourismus im Budget
2010 so gut wie möglich berücksichtigt.» Die Beratungen der Finanzkommission laufen im Oktober an, da das Budget 2010 in
der Dezembersession behandelt
wird. Das bedeutet, dass auch das
Lobbying bereits am Anlaufen ist.
Ein Punkt ist dem neuen STV-Präsidenten dabei sehr wichtig: «Ich
werdeunserenDirektorMarioLütolf bitten, mit der Exportförderorganisation Osec Kontakt aufzunehmen. Es darf nicht sein, dass
wir eine Rivalität entwickeln. Wir
müssen am selben Strick ziehen.»
Musée d'Art et d'Histoire, Genf
152 894 Besucher haben die Ausstellung «Giacometti» in der Fondation Beyeler in Riehen gesehen.
Sie ist nach über vier Monaten am
Wochenende zu Ende gegangen.
150WerkevonGiacomettiundFamilienmitgliedern des Künstlers
waren zu sehen. Sie gilt als eine
derbedeutendstenAusstellungen
über Giacometti.
ck/sda
Zürich
Noch mehr
Russen sollen die
Stadt besuchen
Zürich sei bei den Russen die
beliebteste Reisedestination der
Schweiz, teilte Zürich Tourismus
am Dienstag mit. Durch gezielte
Marketinganstrengungen will die
Organisation die Chance dieses
Marktes nutzen. In einem ersten
Schritt wurden die wichtigsten
Informationen im Internet auch
in russischer Sprache verfasst.
Dies soll das Auffinden der Website von Zürich Tourismus durch
Suchmaschinen vereinfachen.
Neu sollen auch die Märkte Polen,
TschechienundRumänienbesser
erschlossen werden.
dst/sda
actuel
22
htr hotel revue
No 42 / 15 octobre 2009
En bref
Valais
«Movies in
the Pool» à
Loèche-les-Bains
ldd
L’Hôtel Lindner Alpentherme, à
Loèche-les-Bains (VS), mettra à
nouveau sur pied son festival
«Movies in the Pool». Du 6 au 21
novembre,leshôtesdecetétablissement thermal valaisan pourront assister à la projection de six
films, installés sur des chaises
longues ou dans la piscine. Les
films, de catégories diverses,
ayant pour vedettes Sandra Bullock ou Brad Pitt, sont projetés sur
un écran géant de huit mètres sur
quatre. L’organisateur de cette
animation est l’un des trentedeux hôtels de quatre ou de cinq
étoiles du groupe familial allemand Lindner.
mh
Monde
Mövenpick
étoffe son offre
en Tunisie
La société helvétique de gestion
d’hôtels de haut de gamme,
MövenpickHotels & Resorts,s’appête à étoffer son offre en Tunisie.
Elle vient, en effet, de signer un
contrat de gestion pour une propriété appartenant au Consortium tuniso-koweitien de développement, propriété qui ouvrira
ses portes au printemps 2010 à
Gammarth, dans la banlieue de
Tunis. Le Mövenpick Hotel Gammarth disposera de 102 chambres
et de 15 suites, la majorité offrant
une vue sur la baie deTunis. Il aura
trois restaurants, un spa avec une
piscine intérieure, une salle de
conférence et de banquet pour
quelque 350 personnes et trois
salles de réunion. En Tunisie, le
groupe exploite déjà le Mövenpick Resort and Marine Spa à
Sousse.
mh
Mariage
à sept
réussi
Les Matterhorn
Valley Hotels, à
Grächen, ont osé:
jamais collaboration
entre trois étoiles
n’avait été aussi loin.
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GENEVIÈVE ZUBER
S
ix hôtels familiaux d’une
même station qui se
«déshabillent» complètement les uns devant les
autres et qui mettent tout sur la
table, leur comptabilité, leurs résultats, sans mentir sur les taux
d’occupation: il fallait le faire!
«C’est ce que nous appelons le
principe du sauna, explique Otto
Andenmatten, président du conseil d’administration du Matterhorn Valley Hotels (MVH). Il a fallu
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Successions
Les MVH ont une
solution «maison»
Les questions de successions
hypothèquent souvent l’avenir
des petits hôtels familiaux
indépendants. Les enfants, les
héritiers, ne sont pas toujours
intéressés à reprendre l’exploitation, si bien que ces établissements risquent d’être transformés en logements. Pour y remédier, les MVH ont ficelé un
concept de succession «maison»: les propriétaires qui ne
souhaitent pas ou plus gérer
eux-mêmes leur affaire peuvent
la mettre en location auprès du
groupe lui-même, qui en assurera la gestion grâce à un management commun.
gz
trois années de gestation, sous l’arbitrage d’un coach toujours en
fonction d’ailleurs au sein du
groupe, pour que la coopération
devienne effective, il y a trois ans.
Planification, management, exploitation,venteetmarketing,packages d’offres… Cette expérience
pilote de collaboration, soutenue
parInnotour,n’acessédes’intensifier pour franchir, cet automne,
une nouvelle étape: les MVH ont
décroché les labels de qualité de
niveau III et Valais Excellence, le
groupe vient de passer de six à sept
hôtelset,deplus,ilétrenneunnouveau système de gestion des informations servant de plateforme
commune de réservations.
Le chiffre d’affaires des MVH
a progressé de 30%
Quant aux résultats, «dans la balance, les avantages pèsent davantage que la part d’indépendance
que chaque hôtel a dû céder», résume Otto Andenmatten. «Prenez
la planification des investissements: le poids du groupe a été
déterminant pour obtenir un financement auprès du Centre de
compétences financières (CCFValais), puis des banques.»
En ce qui concerne les nuitées,
en trois ans, celles des MVH (six
établissements sur six à Grächen)
ont augmenté de 21%, contre 16%
dans la station et 9% en Valais.
Dans le même temps, le chiffre
d’affaires des MVH a progressé de
30%. Et cet été, il n’y a pas eu de recul des nuitées, malgré la crise.
Au niveau de l’exploitation, les différentes collaborations ont induit
des économies de l’ordre de 20%.
Deux exemples parmi d’autres: les
MVH négocient collectivement
leur contrat d’assurance, ce qui
leur permet d’épargner 35 000
francs, et avec une seule et unique
La station valaisanne de Grächen est devenue le laboratoire d’une synergie hôtelière très poussée.
fiduciaire, c’est
se fait ensemble.
«Les petites
encore
12 000
Quant aux prostructures
francs de gagné.
chainsobjectifs,il
hôtelières
Enfin, les MVH
s’agit, pour ces
ont opté pour un
hôtels indépenont encore
corporate design
dants, d’intenside l’avenir.»
uniformisé et un
fier encore la
seul site-portail,
collaboration en
Patrick Bérod
Directeur de l’AHV
«un pas détermipassant à un seul
nant pour améet unique manaliorer notre visibilité».
gement. Citons encore le dernierLepotcommunestalimentépar né de cette série de projets: une
1,5 à 2% du chiffre d’affaires et, dé- coopération hôtelière en matière
sormais, près de 90% du marketing d’économies d’énergies forte
ldd
d’unedouzainedemembresetqui,
espère Patrick Bérod, directeur de
l’AssociationhôtelièreduValais,en
comptera 30 à la fin 2009. «En incitant les hôteliers à collaborer, nous
voulons leur donner l’envie et le
goût de travailler ensemble. Contrairement à ce que clament certains, les petites structures hôtelières ont de l’avenir, pour autant
qu’elles coopèrent. En ces temps
de crise, c’est le moment d’y penser. Et la success story des MVH ne
peut être que motivante.»
ANNONCE
WALLIS
Freitag, 16. Oktober 2009
3
Gemeinsam gewinnen
Matterhorn Valley Hotels (MVH) in Grächen auf Erfolgskurs
G r ä c h e n. – Der Trend
der Hotellerie im Alpenraum geht klar in Richtung weniger, dafür grösserer Betriebe. Die MVH beweisen indes, dass auch
kleine Hotels erfolgreich
sein können.
3000 Franken einsparen kann.»
Mittlerweile liessen sich auch
die Kollegen eine entsprechende
Offerte unterbreiten.
Zufriedene Gäste für
nachhaltigen Erfolg
Ein gebündeltes Leistungsangebot verbessert die Marktschlagkraft. Andenmatten stellt beispielsweise sein Hallenbad für
alle Gäste der MVH zur Verfügung. Weiter erhält die Kundschaft eine Gästekarte und profitierte so von einer 10-ProzentErmässigung auf das kulinarische Angebot und auf dasjenige
von lokalen Sportgeschäften.
Zusammen mit einem gezielten
Marketing sorgt das für zufriedene Gäste und damit für nachhaltigen Erfolg. Das prozessorientierte
Managementsystem
ISO hilft ausserdem, die betrieblichen Abläufe kontinuierlich zu verbessern. Nebst dem
ISO 9001 und 14001 erlangen
die MVH auch das Q-Gütesiegel der Stufe III inklusive Valais-Excellence-Label.
Ausgerechnet im vom Neid
durchtränkten Wallis gründete
vor sechs Jahren eine Handvoll
Grächner Hoteliers die Hotelkooperation der MVH. Inzwischen hat sich der ambitionierte
Zusammenschluss auf dem
Markt stark positioniert und gilt
als Leuchtturmprojekt für die
ganze Schweiz.
Stärken und
Schwächen kennen
Kleine und mittelgrosse Hotels
bekunden oft Mühe, die vom
Markt geforderten Investitionen
zu tätigen. «Ein Kooperationsansatz ist eine Chance, die Kosten zu senken und gleichzeitig
den Umsatz zu steigern», ist Dr.
Marcus Frey, Projektmanager
und Coach der MVH, überzeugt. In Grächen seien sieben
unabhängige 3-Sterne-Familienbetriebe willig und fähig, mit
ihren Nachbarn zusammenzuarbeiten. Betriebswirtschaftliche
und -technische Analysen bei
jedem einzelnen Betrieb hätten
dafür gesorgt, die Transparenz
auf einzel- und überbetrieblicher Ebene zu verbessern. Bilanzen,
Erfolgsrechnungen,
Kennzahlen,
Kreditverträge,
Liefer- und Serviceverträge sowie Logiernächtestatistiken und
Gästestrukturen wurden systematisch miteinander verglichen
und diskutiert. «Nur wer seine
Stärken und Schwächen kennt,
kann erfolgreich sein», so Frey.
Seit 2005 setzen die MVH ent-
21Prozent
mehr Logiernächte
Olivier Andenmatten (rechts), Geschäftsführer vom Hotel Hannigalp, bei der Übergabe des ISO-Zertifikats.
sprechende Module zielführend
um.
Vernetzung
des Gesamtsystems
In einem ersten Schritt verbesserten die MVH die interne und
externe Transparenz. Das eingeführte Management-Informations-System (MIS) standardisiert
das Finanz- und Rechnungswe-
sen der einzelnen Betriebe. Die
Buchführung erfolgt in Zusammenarbeit mit einem gemeinsamen Treuhänder und einer einheitlichen Software. Zudem
dient ein «Multi Front Office
System» inklusive «Web Booking Engine» als gemeinsame
Buchungsplattform.
Kosteneffizienz auf ganzer Linie
wird bei den MVH grossge-
schrieben. So hilft auch ein gemeinsames Beschaffungs- und
Einkaufswesen, Kosten zu senken. «Zusammen mit den Sicherheitsleistungen sparen die
MVH damit rund 115 000 Franken pro Jahr», sagt Frey. Hotels
sind energieintensiv. In vier von
sieben MVH wurde deshalb eine
Energieanalyse
durchgeführt.
Frey erwähnt diesbezüglich ein
Foto wb
Musterbeispiel von transparenter Kommunikation zwischen
den einzelnen Betrieben: «Am
13. Oktober schrieb Olivier Andenmatten, Geschäftsführer vom
Hotel Hannigalp, eine E-Mail an
seine Kollegen. Er machte sie
darauf aufmerksam, dass er einen alternativen Stromlieferanten ausfindig machen konnte
und so allein für sich jährlich
Und wie siehts mit dem messbaren Erfolg der MVH aus? «2005
bis 2008 ist die Bettenauslastung um acht Prozent angestiegen; die Logiernächte wuchsen
um 21 Prozent. Daraus resultiert
eine Erhöhung des Markenanteils um drei Prozent», spricht
Frey Klartext. Die verbesserte
Auslastung wirkt sich denn auch
auf den konsolidierten Betriebsertrag aus; konkret ein Plus von
30 Prozent. Diese positive Entwicklung gehe laut Frey mit der
Kundenzufriedenheit
einher.
Die Hotels seien attraktiver geworden und der Bekanntheitsgrad gestiegen.
mk
Werden die Mieten sinken?
Im Oberwallis boomt der Mietwohnungsbau. Was sind die Folgen?
O b e r w a l l i s. – Die Zahl
der leer stehenden Wohnungen in der Schweiz ist
weiter zurückgegangen.
Auch im Wallis, sagt zumindest das Bundesamt
für Statistik. Dies wird
sich in Zukunft ändern.
nen Projekte der Pensionskassen tragen dazu bei, dass das
Angebot an Mietwohnungen in
naher Zukunft erweitert wird.
«Mittelfristig wird es im Oberwallis wohl eher zu viele Mietwohnungen im Angebot haben», sagt denn auch Walter
Jossen von der Immobilienagentur Betterhomes.
Gleicher Ansicht ist Immobilienexperte Viktor Kämpfen:
«Es wurde und wird derzeit
viel in den Oberwalliser Mietwohnungsmarkt investiert.»
Da stelle sich natürlich die
Frage, ob nicht bald eine Sättigung erreicht werde. Künftig
müsse man wohl mit einem
gewissen Leerbestand rech-
nen, was sich dann wohl auch
auf die Mieten auswirken werde, so Kämpfen. Es kann jedoch auch sein, dass die Mietwohnungen nicht um «jeden
Preis» vermietet werden, nämlich dann, wenn die Vermieter
die Wertminderung der Objekte mitberücksichtigen. Trotzdem zeichnet sich ab, dass
Mieten künftig sinken werden.
Eine Konsequenz dieses attraktiveren Angebots an Mietwohnungen wird laut Kämpfen weiter sein, dass diese
Überbauungen neben Neuzuzügern aus der weiteren Umgebung auch Leute aus den
Rändern der Siedlungsgebiete
nach Brig-Glis, Naters oder
Visp lockt. Der im Oberwallis
feststellbare Trend in die städtischen
Agglomerationen
könnte sich verstärken.
Luxus kostet
Keine Verschärfung
im Oberwallis
Betrachtet man die aktuelle
Statistik des BFS, stellt sich die
Frage, wie es derzeit in Sachen
Mietpreise im Oberwallis aussieht? Markus Furrer von der
RE/MAX Oberwallis sagt,
dass vor allem im Raum Brig
die Mietwohnungen für viele
Interessenten doch eher zu teuer seien. «Viele überlegen sich
dann, ein Objekt zu kaufen,
wenn die Mietkosten eine gewisse Limite übersteigen, denn
die Zinsen sind günstig.» Und
Walter Jossen hält fest: «Klar
sind die Mieten in der Region
Brig über dem Oberwalliser
Durchschnitt.» Aber das habe
auch mit dem Ausbaustandard
und dem Standort zu tun. «Jeder will heutzutage Luxus. Das
kostet nun mal», so Jossen. Der
Mieterschutzverband
Wallis
war für eine diesbezügliche
Stellungnahme gestern nicht
erreichbar.
Obwohl sich auch im Kanton
Wallis das Angebot an leer stehenden Mietwohnungen innerhalb eines Jahres um mehr als
20 Prozent reduziert hat, rechnen Immobilienexperten nicht
damit, dass sich die Mietwohnungssituation im Oberwallis
verschärfen wird. Im Gegenteil. Im Oberwallis wird gebaut. Mehrere Projekte sollen
die Nachfrage nach Mietwohnungen stillen. So entstehen etwa in Visp mit der Überbauung
«Weidlösser» 102 Mietwohnungen. Auch die verschiede-
Der Wohnungsmarkt für Mieter
im Oberwallis scheint sich zu
entspannen, obwohl das Bundesamt für Statistik den entgegengesetzten Trend festhält.
Viktor Kämpfen hat eine Erklärung: «Immobilienmärkte funktionieren immer auf lokaler oder
regionaler Ebene, nicht auf kantonaler.» Es gebe indes Regionen im Unterwallis, in denen in
der Tat eine sehr grosse Nachfrage nach Mietwohnungen bestehe, so Kämpfen.
bra
Erneut ist die Zahl der leer stehenden Wohnungen in der
Schweiz zurückgegangen. Am
vergangenen 1. Juni waren
rund 0,9 Prozent aller Wohnungen frei, wie das Bundesamt
für Statistik (BFS) kürzlich
mitteilte. Dies sind über sechs
Prozent weniger als am Stichtag des Vorjahres. Der Schweizerische Mieterinnen- und
Mieterverband der Deutschschweiz forderte daher Bund,
Kantone und Gemeinden zum
Handeln auf. Die Wohnungsnot müsse aktiver bekämpft
werden, teilte er mit. Ansonsten treibe das knappe Angebot
an Mietwohnungen die Preise
in die Höhe.
Regionaler Markt
Gut für Mieter: Derzeit wird viel in den Oberwalliser Mietwohnungsmarkt investiert.
Foto Archiv wb
Hotellerie
22. Oktober 2009 Nr. 43
Ein Dorf, sieben Hotels und ein Ziel: erfolgreich arbeiten
CHECK IN
Keine Konkurrenz
Best Western Hotel Grauholz
Zimmerpreis
würfeln gegen Krebs
Die Gäste
des Best
Western
Hotels
Grauholz in
Ittigen hatten während 100 Tagen die Möglichkeit, mit
Würfeln einen Rabatt von 1 bis 12
Prozent auf ihren Zimmerpreis zu erhalten. Fast alle Gäste waren bereit,
den erspielten Rabatt der Berner
Stiftung für krebskranke Kinder und
Jugendliche des Inselspitals Bern zu
spenden. Wie das Hotel schreibt,
spielte die Aktion 3800 Franken ein
und wurde von der Direktion auf
4000 Franken aufgerundet.
Zusammenarbeit
statt Konkurrenzdenken.
Dass dies möglich ist, zeigt
die Hotelkooperation der
Matterhorn Valley Hotels.
Luzia Hug
Hinter den Bergen, bei den sieben
KMHs, da findet man eine beispielhafte Zusammenarbeit, wie sie für
die Schweiz Pilotcharakter hat. Die
Grächner Hoteliers haben erkannt,
dass sie miteinander mehr ausrichten können, als wenn sie gegeneinander arbeiten. «Ich kann mir vorstellen, dass die Halbpension-Gäste
eines Hotels jeweils bei den anderen
sechs Kollegen das Nachtessen einnehmen», sagt Peter Schetter vom
Turm Hotel Grächerhof (Foto ganz
rechts). Ganz so weit geht die Hotelkooperation der Matterhorn Valley
Hotels (MVH) zwar (noch) nicht,
doch die Aussage zeigt, wie weit die
Bereitschaft zur Zusammenarbeit
geht.
www.bestwestern-grauholz.ch
Seminargeschäft
L. HUG
Starker Ausbau trotz
Umsatzeinbussen
Ein Beispiel von gelungener Kom-
munikation liefert Oliver Andermatten vom Hotel Hannigalp (Foto 2. v.l).
Per E-Mail machte er seine Mitbewerber auf einen alternativen
Stromlieferanten aufmerksam, bei
dem er jährlich bis zu 3000 Franken
einsparen kann. Die Kollegen dankten für den Tipp und liessen sich
eine entsprechende Offerte anfertigen.
Die Hotels Hannigalp, Elite, La Collina, Des Alpes, Alpina, Desirée und das Turm Hotel Grächerhof sind QIII-ausgezeichnet.
Mehrwert geboten. So steht das Hallenbad im Hotel Hannigalp allen Gästen der MVH zur Verfügung. Mit einer Gästekarte kann zudem mit
einem 10-Prozent-Rabatt bei den
anderen Mitgliedern gespeist werden. Auch saisonale AngebotsPackages wie Schneeschuhwandern
oder Snow-biking stehen auf dem
gemeinsamen Programm.
timierter und effizienter MarketingMix erreicht werden.
Den Gästen wird mittels eines ge-
bündelten Leistungsangbots ein
20%
Einheitliche Strukturen werden im
15
10
5
0
MVH Grächen Wallis Schweiz
Der Zuwachs an Logiernächten
(2005 bis 2008) ist bei den Matterhorn
Valley Hotels (MVH) am grössten.
QUELLE: MVH; GRAFIK: O. KREJCI
täglichen Geschäft der sieben Hoteliers umgesetzt und bilden die Basis
der Zusammenarbeit. So unterhalten die MVH ein koordiniertes Finanz- und Rechnungswesen. Die
Buchführung erfolgt in Zusammenarbeit mit einem gemeinsamen
Treuhänder. Da sie auf einheitlicher
Software basiert, fördert dies den
Erfahrungsaustausch und erhöht
gleichzeitig das Know-how. Durch
ein gemeinsames Beschaffungs- und
Einkaufswesen ergeben sich für die
Partner Einkaufsvorteile. Eine koordinierte Investitions- und Finanzplanung ermöglicht die Sicherstellung der Marktfähigkeit. Die erhöhte
Kreditwürdigkeit bringt den Mitgliedern Finanzierungsvorteile. Wie die
MVH in einer Medienmitteilung
schreiben, konnte dank einer
gemeinsamen Homepage und einheitlicher Corporate Identity ein op-
9
«Eine Kooperation ist für die KMHs
eine Chance», sagt Marcus Frey,
Projektmanager und Coach der
MHV. Denn so können Kosten gesenkt, der Umsatz gesteigert sowie
Stärken und Schwächen verbessert
werden. «Die sieben Familienbetriebe haben sich von den klassischen Strukturen verabschiedet, um
einen Mehrwert zu generieren.» Die
Zahlen zeigen, dass sich eine Hotelkooperation auszahlen kann. Die
Bettenauslastung ist zwischen 2005
und 2008 um 8 Prozent gestiegen.
Im selben Zeitraum nahmen die Logiernächte um 21 Prozent zu. Im
nationalen Vergleich weist Grächen
ein Plus der Logiernächte von
16 Prozent auf, das Wallis liegt bei
9 Prozent. Gesamtschweizerisch resultierte ein Plus von 13 Prozent
(siehe Grafik).
In den letzten sechs Jahren haben
sich sieben der insgesamt 17 Hotels
in Grächen zur Kooperation Matterhorn Valley Hotels zusammengeschlossen. Geplante Investitionen
für die Jahre 2006 bis 2010 von
5,6 Millionen Franken und eine Steigerung der Bettenauslastung sowie
der Logiernächte zeigen, dass die
MHV auf gutem Weg sind. Um erfolgreich miteinander arbeiten zu
können, muss viel diskutiert und
manchmal auch akzeptiert werden.
Nicht immer sind sich die sieben einig, doch sie beissen gelegentlich in
den sauren Apfel, damit die Zusammenarbeit sich weiterentwickeln
kann. Und so muss man nicht einmal Schneewittchen heissen, um
von den sieben KMHs liebevoll umsorgt zu werden.
En bref
Collaboration plutôt qu’esprit de
concurrence. La coopération entre les
établissements de Matterhorn Valley
Hotels (MHV) démontre que c’est
possible. Depuis la fondation, en 2003,
à Grächen, cette philosophie commune
a permis d’améliorer le taux d’occupation des lits ainsi que le nombre de nuitées.
Das Seminarund Kongressgeschäft leidet
unter der
Wirtschaftskrise. Trotzdem wird
weiter investiert. In der
Zentralschweiz beispielsweise werden auf
dem Pilatus im Hotel Kulm für 14
Millionen Franken neue Konferenzräume gebaut. Wie Stefan Gächter,
Geschäftsführer der Luzerner Incoming GmbH erklärt, will die Branche
für den erwarteten Aufschwung
2010/2011 gerüstet sein und das
Feld nicht kampflos den Grossinvestoren überlassen.
Alpine Kinderklinik Davos
Wiedergeburt
im Winter
Die 1922 gegründete, im vergangenen Frühling mangels ärztlicher Leitung geschlossene Alpine Kinderklinik Davos erlebt eine spezielle
Wiedergeburt: Diesen Winter wird
die Klinik dem WEF dienen und im
Übrigen als Sporthotel genutzt. Obwohl eine Wiederaufnahme des Klinikbetriebes vorgesehen und angekündigt war, erscheint fraglich, ob
die Verantwortlichen die Umnutzung dereinst wieder rückgängig
machen werden.
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GJRI60188
htr hotel revue - Das Onlineportal der Schweizer Fachzeitung für Tourismus: QIII und... Page 1 of 1
htr-online
28.10.2009
QIII und Steinbock-Label im Kombi
Das Steinbock-Label, das Schweizer
Gütesiegel für Nachhaltigkeit, hat die
Anerkennung für das QualitätsGütesiegel Stufe III des Schweizer
Tourismus erhalten. Über die KombiZertifizierung können Hotelbetriebe
ab sofort beide Gütesiegel zeitgleich
erhalten.
Das Steinbock-Label ist nach intensiven
Vorabklärungen und der Anpassung der
Zertifizierungsmethodik als Möglichkeit
zur Erlangung des QualitätsGütesiegels Stufe III anerkannt worden.
Einem Hotelbetrieb, der sich mit dem
(© zvg)
Steinbock-Label zertifizieren lässt, ist es
so sofort möglich, mit dem Steinbock-
Label direkt das Qualitäts-Gütesiegel Stufe III zu erlangen, wenn die
entsprechenden Zusatzkriterien erfüllt werden. Das Steinbock-Label sei das erste
Nachhaltigkeitslabel, dem diese Anerkennung durch das Qualitäts-Gütesiegel
zuteil wurde, heisst es weiter. (rom)
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http://www.htr.ch/artikel_17034.html?print=1
03.11.2009
Jetzt ist das GDI auch auf dem Papier spitze - News Zürich: Linkes Ufer - tagesanzeig... Page 1 of 3
ZÜRICH
Jetzt ist das GDI auch auf dem Papier spitze
Von Patrick Gut. Aktualisiert am 29.10.2009
Das Gottlieb-Duttweiler-Institut in Rüschlikon hat von Schweiz Tourismus das höchste
Qualitätslabel erhalten. Ein Vorteil gegenüber der Konkurrenz.
Die Lage des GDI ist ohnehin aussergewöhnlich, jetzt garantiert ein Label dem Kunden zudem höchste Qualität. k
Bild: Sabine Rock
Das Gottlieb-Duttweiler-Institut (GDI) ist international
Links
www.quality-our-passion.ch
bekannt für seine Trendforschung. In Rüschlikon wird
aber nicht nur in die Zukunft geschaut. Das GDI bietet sei
je Räumlichkeiten für Tagungen und Konferenzen. Und
Qualitäts-Gütesiegel
von der Küche des GDI kann man sich verwöhnen lassen.
Schweiz Tourismus vergibt das Qualitäts-
Jetzt ist der Veranstaltungsbereich des GDI von Schweiz
Gütesiegel in drei Stufen. Bei Stufe I steht die
Qualitätsentwicklung im Vordergrund.
Insbesondere die Servicequalität. Die Betriebe
Tourismus mit dem Gütesiegel QIII ausgezeichnet
worden. Vor der Verleihung stand ein zweijähriger
dieser Stufe werden stichprobenartig überprüft.
Prozess, in dem das GDI eine umfassende Liste von
Bei Stufe II geht es um die Qualitätssicherung.
Qualitätsnormen erfüllen musste. Im Bezirk gibt es nur
zwei Betriebe, die diese höchste Qualitätsstufe erreicht
http://www.tagesanzeiger.ch/zuerich/linkes-ufer/Jetzt-ist-das-GDI-auch-auf-dem-Papi... 30.10.2009
Jetzt ist das GDI auch auf dem Papier spitze - News Zürich: Linkes Ufer - tagesanzeig... Page 2 of 3
Betriebe in dieser Kategorie werden regelmässig
haben (siehe Kasten).
von externen Testpersonen überprüft. Das
Qualitätssiegel der Stufe III können Betriebe
erwerben, die ein umfassendes international
anerkanntes Qualitäts-Management-System
Wirkung nach innen und aussen
umsetzen. Im Kanton Zürich besitzt als reiner
Beim Lokaltermin begrüsst mich die Dame am Empfang
Veranstaltungsort neben dem Gottlieb-
sehr freundlich und mit Namen. Von der Eingangshalle
Duttweiler-Institut einzig das Horgner
aus bietet sich ein grandioser Ausblick über den Zürichsee
Bockengut der CS das Gütesiegel der Stufe III.
Eine Ledersitzgruppe lädt zum Verweilen. Auf dem
(pag)
Sofatisch sind drei Tageszeitungen gestapelt. Zuoberst
liegt der «Tages-Anzeiger».
GDI-Sprecher Alain Egli und Leo Nold, der Leiter
Veranstaltungen, erklären mir, was es mit dem
Qualitätssiegel auf sich hat. Das Siegel soll nach innen und
nach aussen wirken. «Unsere Kunden haben jetzt die Sicherheit, dass wir eine hohe Qualitätsnorm
erfüllen», sagt Nold. Der Markt im Bereich der Veranstaltungen sei hart umkämpft. Für Kunden sei
das Label ein gutes Argument.
Gegen innen habe die Zertifizierung mit dem Q-Label die Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter
zusätzlich motiviert. Sie hätten die letzten zwei Jahre auf dieses Ziel hingearbeitet. Die
Qualitätsstandards würden jetzt von internen und externen Stellen laufend überprüft. «Mich hat das
System überzeugt, weil wir jetzt dranbleiben müssen. Die Dienstleistungen müssen sich laufend
verbessern», sagt Nold. Das Gütesiegel setzt auf Standardisierung. Für die verschiedenen
Funktionen gibt es ausführliche Pflichtenhefte. «Die Qualität steht und fällt also nicht mit dem
Weggang einer einzelnen Person», sagt Nold. Ein Nachfolger orientiere sich am festgehaltenen
Standard. Das System ist derart ausgeklügelt, dass der Hauswart genau weiss, wann er Laub wischen
oder Schnee räumen muss. «Für uns wäre es sehr unangenehm, wenn ein Kunde auf dem Laub
ausrutschen und sich ein Bein brechen würde», sagt Egli.
Aufwand enorm
«Der Aufwand war überraschend gross», sagt Leo Nold, wenn er auf die letzten zwei Jahre
zurückschaut. Immerhin sei das meiste schon vorhanden gewesen, viele Prozesse hätten aber
standardisiert werden müssen.
«Wir wollen den Kunden die Wünsche von den Augen ablesen, ohne aufdringlich zu wirken», sagt
Nold. Der Kunde solle sich wohlfühlen. Dazu müsse die Dienstleistung perfekt sein, sonst würden di
Besucher von ihrer Aufgabe abgelenkt. Einen Wahlspruch von Gottlieb Duttweiler – «Der Mensch
im Mittelpunkt» – habe man für den Veranstaltungsbereich abgewandelt in «Der Gast im
Mittelpunkt».
Als ich das GDI verlasse, verabschiedet mich die Dame am Empfang. «Auf Wiedersehen Herr Gut.»
http://www.tagesanzeiger.ch/zuerich/linkes-ufer/Jetzt-ist-das-GDI-auch-auf-dem-Papi... 30.10.2009
Jetzt ist das GDI auch auf dem Papier spitze - News Zürich: Linkes Ufer - tagesanzeig... Page 3 of 3
Jetzt bin ich mir sicher: Der «Tages-Anzeiger» auf dem Sofatisch lag absichtlich zuoberst.
Mehr Nachrichten und Hintergründe vom linken Seeufer gibt es täglich auf den
Regionalseiten im zweiten Bund des Tages-Anzeigers. Schreiben Sie direkt an
[email protected]
(Tages-Anzeiger)
Erstellt: 29.10.2009, 04:00 Uhr
© Tamedia AG 2009 Alle Rechte vorbehalten
http://www.tagesanzeiger.ch/zuerich/linkes-ufer/Jetzt-ist-das-GDI-auch-auf-dem-Papi... 30.10.2009
Medienspiegel 2009
November
022 | HOTELLERIE
JE MEHR STERNE DESTO MEHR Q’S?
FAMILIE SCHWEIZER MÖCHTE DIESES JAHR DIE FERIEN IN DEN BERGEN
VERBRINGEN. IM INTERNET UND IN PROSPEKTEN SUCHT SIE NACH EINER PASSENDEN UNTERKUNFT. DAS ANGEBOT IST GROSS; ABER WELCHES HOTEL
IST DIE RICHTIGE UNTERKUNFT FÜR SIE? HERR SCHWEIZER BETONT, DAS HOTEL
MÜSSE MINDESTENS DREI STERNE HABEN. UND FRAU SCHWEIZER HAT
SCHON EINMAL ETWAS VOM QUALITÄTSGÜTESIEGEL Q GEHÖRT, AUF DAS MAN
ACHTEN MÜSSE.
Zunächst sollten sich die beiden (fiktiven) Personen entscheiden, welche Faktoren für sie wichtig
sind. Neben der Lage kommt es natürlich darauf an, wie sie sich ihren Aufenthalt vorstellen.
Möchten sie einen Wellnessbereich vorfinden, ein grosses Zimmer oder gar einen Kinderclub im
Hotel zur Verfügung haben? Diese Faktoren gehören zu den Ausstattungsmerkmalen eines
Hotels, der sogenannten Hardware. Mit Spezialangeboten und Investitionen in neue Infrastruktur
buhlen die Hotels um die Gunst der Kunden. Dabei wird es für diese immer schwieriger,
sich für eine Unterkunft zu entscheiden. Die Ausstattung ist oft austauschbar und je nach Hotelkategorie sind bestimmte Dienstleistungen sowieso selbstverständlich. Deshalb wird es
für die Hotels auch immer wichtiger, auf die weichen Faktoren – die Software – zu setzen, um sich
damit von der Konkurrenz abzuheben. Hier geht es um die Qualität von Freundlichkeit
und besonderer Aufmerksamkeit. Wer heute als professioneller Gastgeber erfolgreich sein will,
muss die Sicht der Gäste kennen. Ein unzufriedener Gast gibt seinem Unmut nicht unbedingt verbal Ausdruck – er kommt schlicht nicht wieder. Ist jemand aber von der Qualität des
Services in einem Betrieb überzeugt und weiss, dass er sich darauf verlassen kann,
dann wird er auch wieder kommen.
<<
WELLNESSBEREICH ODER KINDERCLUB
GEHÖREN ZUR HARDWARE EINES HOTELS.
WIE SIEHT´S MIT DER SOFTWARE AUS? >>
Qualität ist, wenn auch das Drumherum stimmt.
HOTELLERIE | 023
<< IN DER HOTELLERIE WERDEN DIE
WEICHEN FAKTOREN ZUNEHMEND
WICHTIGER >>
SCHWEIZ TOURISMUS SETZT AUF DREI QUALITÄTSSTUFEN
Hier setzt das Qualitätsprogramm 1 von Schweiz Tourismus an.
Es wird von zwölf Trägerorganisationen, darunter «hotelleriesuisse» und
«GastroSuisse», unterstützt. Ziel: Das Qualitätsbewusstsein innerhalb der touristischen Betriebe zu stärken und später auch zu überprüfen. Das Programm umfasst drei Stufen: Stufe eins konzentriert
sich auf die Servicequalität. Sie basiert auf einer Selbstdeklaration
der Betriebe und garantiert fortwährende Aufmerksamkeit. Die zweite
Stufe zielt auf eine Verbesserung der Führungsqualität. Im Rahmen
von Kunden- und Mitarbeiterbefragungen sowie der Kontrolle durch eine
anonyme Testperson wird das Qualitätsniveau kontinuierlich
gesichert und verbessert. Mit der Stufe drei wird schliesslich ein umfassendes Qualitätsmanagement-System wie die ISO-Zertifizierung
oder das EFQM-Modell eingeleitet. Auf allen Stufen sollen Gäste wie
Mitarbeiter das Ergebnis in Form einer besseren Dienstleistung
spüren.
In einer Studie 2 im Auftrag von Hotelleriesuisse, wurden Kunden
gebeten, die Bedeutung verschiedener Aspekte bei der Hotelwahl in Prozent zu beurteilen. Daraus geht hervor, dass neben Merkmalen
wie Ausstattung (30%) oder Preis (29%) beim Entscheid auch die
Tatsache eine Rolle spielt, ob der Betrieb ein Qualitätsgütesiegel besitzt
(10%). Die Bedeutung der Auszeichnung mit dem Qualitätsgütesiegel von Schweiz Tourismus wurde in der Schweizer Hotellerie erkannt
und das Q (aufgeteilt in drei Stufen) erfreut sich seit seiner Lancierung
1997 grosser Beliebtheit. Beim neuen Hotelgütesiegel «Typically Swiss
Hotels» ist das Q Voraussetzung, um dabeizusein.
EIN Q IST MEHR ALS DIE SUMME DER STERNE
Heute sind rund 680 Hotellerie-Betriebe mit einem der drei Q’s
zertifiziert. Damit hat die Branche einen Anteil von etwa 42% an den gesamten Q-Auszeichnungen in der Schweiz. Vom Einstern- bis
Fünfstern-Hotel sind alle Kategorien vertreten. Hinter dem Q steht denn
auch mehr als die Anzahl Sterne, die ein Hotel aufweisen kann.
Die Sterneklassifikation oder auch die Auszeichnung «Hotel Categorical
C1 bis C5» von GastroSuisse sind natürlich weltweit bekannt und
unverzichtbar. Um sich aber wirklich abzuheben, braucht es mehr. Im
Gegensatz zu den Sternen steht das Q nicht für einen Ausstattungsstandard, sondern zeigt, dass in diesem Betrieb zur Sicherung der Qualität
seiner Dienstleistungen ein ständiger Prozess im Gang ist. Mit dem
Qualitätsprogramm wird an den weichen Faktoren gearbeitet und Servicequalität, Freundlichkeit oder das Reklamationsmanagement werden
optimiert.
STERNE UND Q’S GEHEN HAND IN HAND
Die Hotelklassifikation in der Schweiz honoriert Anstrengungen
im Bereich Qualitätsmanagement, indem sie das Qualitätsgütesiegel
von Schweiz Tourismus oder gleichwertiger Systeme bei der Vergabe
des Klassifikationszusatzes «superior» berücksichtigt. Das Q-Gütesiegel
und die Sterneklassifikation gehen also Hand in Hand. Es muss nicht
sein, dass ein Hotel mit wenig Sternen nur das Q1 erhält und ein grosses
automatisch das Q3. Allerdings haben grössere Häuser oft mehr
Mittel und Zeit, um ein umfassendes Qualitätsmanagement-System wie die ISO-Zertifizierung einzuführen.
Das Q-Programm ist dreistufig, damit auch kleine Betriebe ein passendes Instrumentfinden und sich mit
einem Q auszeichnen lassen können. Andrerseits gibt
es durchaus auch Zwei- oder Drei-Sternehotels,
denen eine Gäste- und Mitarbeiterbefragung wichtig
ist und die das Qualitätsgütesiegel der Stufe zwei
bei sich umsetzen. Dies ist zum Beispiel beim Hotel City
Weissenstein in St. Gallen der Fall: Dieses setzt
sowohl im Logo wie in der Werbung konsequent das Q2Logo neben seine drei Sterne. Ein anderes Beispiel
ist die Matterhorn Valley Hotels AG, eine Kooperation
von Drei-Sternehotels in Grächen, die soeben mit
dem Q3 ausgezeichnet worden ist. Statistiken zeigen, dass
die meisten Q-Auszeichnungen bei den Drei-Sternehotels zu finden sind.
<< GROSSE HOTELS HABEN
MEHR MITTEL UND ZEIT
FÜR EIN ECHTES QUALITÄTSMANAGEMENT >>
Egal wie viele Q’s ein Betrieb nun erreicht – wichtig ist,
dass sich vom Hoteldirektor über den Chefkoch bis
zur Etagen-Mitarbeiterin alle für die ständige Arbeit an
der Qualität einsetzen. Auch wenn heute die Mittel
knapp sind und Investitionen dreimal überlegt werden,
wäre die Vernachlässigung der Qualitätsbemühungen
fatal. Gerade jetzt sollen sich die Reisenden ihres Aufenthalts und der Qualität der Dienstleistungen im
Ferienland Schweiz positiv erinnern. Mit dem Qualitätsprogramm steht ein Instrument zur Verfügung,
mit dem die Qualität nachhaltig gesichert werden kann.
1 Vgl. www.quality-our-passion.ch
2 Vgl. «Hotellerie der Zukunft», 2008
ZUR PERSON:
Chantal Beck und Andrea Haid
Die Autorinnen arbeiten in leitender
Funktion für das Qualitätsprogramm des
Schweizer Tourismus-Verbandes STV
www.swisstourfed.ch
Medienspiegel 2009
Dezember
Aktuelles / Interessenvertretung
Quality Meeting
Zum ersten Mal fand in Luzern ein Quality Meeting des Schweizer Tourismus statt.
Christina Fasser, Geschäftsleiterin von Retina Suisse, referierte über die Bedeutung
von Qualität aus Sicht eines blinden Menschen. Ein Auszug aus der Rede.
"Qualität sieht man nicht nur, man spürt
sie" – dieser triviale Satz ist nicht nur
wahr, sondern auch täglich erfahrbar.
Um Ihnen meine persönlichen Reiseerfahrungen und damit Qualitätserfahrungen näher zu bringen, nehme ich
Sie in Gedanken auf meine letzte Reise
nach Italien mit. Ich bin mit Freunden in
die Gegend von Mantua zum Velofahren gefahren. Ich benutzte das Tandem,
meine sehenden Kollegen Einzelräder.
So erkundeten wir die schöne Gegend
zwischen den Flüssen Minunzio und Olio
und den Seen. Rund um Mantua gibt es
viele schöne kleine Orte im RenaissanceStil, wie z.B. Sabbionetta. Früher habe
ich einmal gesehen. Als junger Mensch
bekam ich noch eine traditionelle humanistische Bildung und damit sind mir die
Prinzipien und Bilder der Renaissance
bekannt und auch noch mehr oder weniger präsent. Daher haben meine Freunde
keine Hemmungen, mich in Museen und
zu Besichtigungen mitzunehmen. Um
Ihnen zu zeigen, was Qualität für blinde
Menschen im Zusammenhang mit Museen sein kann, nehme ich Sie mit in den
Palazzo del Te in Mantua. Der Palazzo
del Te wurde von Frederico II. Gonzaga
um 1530 erbaut als Sommerresidenz und
Stallungen für die grosse Pferdezucht,
eines der grossen Hobbies des Fürsten.
Erbaut und mit Bildern versehen wurde
er von Giulio Romano, einem Schüler
Raffaelo’s. Da der Palast völlig ausgeraubt wurde, ist er heute ein wundervolles Denkmal reinster Renaissance. Meine
erste Überraschung: Am Eingang wurde
mir sofort ein taktiler Plan ausgehändigt. So konnte ich versuchen, mir ein
24 • SZB-Information 148 / 2009
erstes Bild zu machen. Ich muss gestehen, ich habe etwas Mühe, einen Plan zu
entziffern, der nicht angeschrieben ist.
Zusammen mit meinen sehenden Freunden konnte ich mir dann doch ein erstes
Bild machen. Umso überraschter waren
wir, als uns die Führerin im nächsten
Saal als erstes zu einem grossen Relief
der Palastanlage führte. Für mich, aber
auch für meine sehenden Freunde, gab
das eine tolle Übersicht über die grossen
Anlagen, und die Begehung des Palastes
war somit in unserer Vorstellung immer
im Zusammenhang mit der ganzen Anlage.
Der Palast ist mit wunderbaren Bildern aus der griechischen Mythologie,
aber auch aus dem täglichen Leben
ausgestattet. Eindrücklich in seiner Perspektive ist der Saal der Pferde, wo man
glaubt, sie seien lebendig oder dann der
Saal der Unternehmen mit den Szenen
aus dem Alltag der Renaissance. Im Zusammenhang mit unserem Thema hat
mich der Saal mit der Allegorie von
Psyche und Amor fasziniert. Psyche ist
so wunderschön, dass sich niemand getraut sie zu heiraten. So wird sie in eine
reiche Familie verheiratet, deren Sohn
ein Monster sei. Bedingung für Psyche,
sie darf ihren Mann nie sehen und er
kommt nur nachts zu ihr. Psyche verliebt
sich in ihren Ehemann und empfindet
ihn als den schönsten Menschen. Obwohl er sie vor ihren Schwestern warnt,
lässt sie sich von diesen überreden, ihn
im Schlaf anzusehen. In ihrer Vorstellung
und dem was sie bis jetzt spürte, war ihr
Mann schön und blieb es auch bei Licht.
Unglücklicherweise verletzte sie ihren
Aktuelles / Interessenvertretung
Mann durch ein Missgeschick mit einem
Tropfen Wachs und damit nahmen die
menschlichen und göttlichen Verwicklungen und Verwirrungen ihren Lauf....
Was brauchen sehbehinderte Menschen um Qualität zu spüren? Als erstes
ganz einfach, Freundlichkeit und Sinn
für das Praktische oder einfach gesagt:
gesunder Menschenverstand.
Das beginnt damit, dass an der Reception gefragt wird, ob die Receptionistin
das Formular ausfüllen soll und man bei
der Übergabe trotz Sicherheitsbestimmungen und Diskretion die Zimmernummer sagt. Hilfreich ist es natürlich,
wenn die elektronischen Karten taktil
so markiert werden, dass man auf den
ersten Griff weiss, wie man sie hineinstecken muss, damit sich die Türe öffnet. Zur Autonomie von sehbehinderten
Menschen trägt es bei, wenn die Zimmernummern taktil, gross und in gutem
Kontrast angebracht sind und der Gang
gut beleuchtet ist.
Spürbare Qualität für mich selber
ist, wenn es im Zimmer keine Ecken auf
Kopfhöhe gibt, wie z.B. ein Fernseher,
der aus Platzgründen in Kopfhöhe in einer Ecke angebracht wird. Alle Instruktionen für Telefon und Fernseher sollten
mit grosser Schrift gedruckt sein (Arial
14). Gute Beleuchtung, welche Lesen erlaubt, sollte eine Selbstverständlichkeit
sein. Diese Dinge helfen nicht nur sehbehinderten Menschen, jeder Kunde über
50, der eine Lesebrille braucht, wird Ihnen dafür dankbar sein.
Speisekarten in Blindenschrift sind
Luxus, es ist aber auch schon angenehm,
wenn der Kellner oder die Kellnerin
die Karte vorliest. Hingegen eine Speisekarte mit genügend grosser Schrift
und kontrastreicher Gestaltung ist kein
Luxus, sondern sollte zum Standard gehören! Dieses Kriterium lässt sich ohne
weiteres mit einem attraktiven Layout
verbinden.
Bei Qualität und Behinderung denkt
man im Allgemeinen an bauliche Barrieren: Treppen in unserem Fall sind nicht
a priori Hindernisse, werden aber zu
solchen, wenn die erste und letzte Stufe nicht kontrastreich markiert ist oder
wenn der Handlauf bei der zweituntersten Stufe fertig ist.
Sehbehinderung und Qualität spüren:
Ein Produkt kann noch so ausgereift
sein, wenn wir uns mit schlechtem Kontrast, schlechter Beleuchtung oder nicht
bedienbaren Automaten konfrontiert
sehen, wird auch das schönste Produkt
hässlich!
Quelle: Schweizer Tourismus-Verband
Die gesamte Rede von Christina Fasser
steht auf der Website www.qualityour-passion.ch im Medienbereich zum
Download bereit.
Unter der Dunkelbrille des SZB verfolgen die Zuhörer die Rede von Christina Fasser.
Bild: Schweizer Tourismus
SZB-Information 148 / 2009 • 25
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Nachhaltige Entwicklung im Tourismus: Hintergrund
D
er Klimawandel stellt den Schweizer
Tourismus vor riesige Herausforderungen. Eine Entwicklung hin zu mehr
Nachhaltigkeit ist unabdingbar. Dabei
sollen alle Beteiligten an einem Strick
ziehen.
Mario Lütolf, Direktor Schweizer Tourismus-Verband
Braunes Gras statt Pulverschnee, schwindende Gletscher und tauender Permafrost:
Der Schweizer Tourismus ist vom Klimawandel direkt betroffen. Gefragt ist ein
hohes ökologisches Verantwortungsbewusstsein in Einklang mit ökonomischer
Leistungsfähigkeit. Kurz: Wir brauchen
eine nachhaltige Entwicklung (siehe unten). Diese muss mit grossem Engagement
angegangen werden. Lippenbekenntnisse
würden schnell als Versuch, sich ein grünes
Mäntelchen umzuhängen, entlarvt.
Engagement für die Nachhaltigkeit
Mit der «Nachhaltigkeits-Charta des
Schweizer Tourismus» bekennen sich die
Spitzen der touristischen Verbände, alle
Tourismusregionen und die SBB zur Nachhaltigkeit (siehe unten rechts). Der Schweizer Tourismus-Verband STV koordiniert die
zurzeit anlaufenden Projektarbeiten und
sorgt für die Institutionalisierung des Erfahrungsaustausches unter den Partnern.
Nachhaltigkeit ist messbar
Eine nachhaltige Entwicklung stellt Ansprüche an das Marketing: In Kommunikation und Distribution, Angebots- und
Preispolitik müssen Weichen gestellt werden. Ausserdem ist Nachhaltigkeit ein
messbarer Teil des Qualitätsmanagements.
Der STV setzt sich an der tourismuspolitischen Front für die Weiterführung von
Innotour ein und engagiert sich für die
spezifische Weiterentwicklung des Qualitätsprogramms (siehe Artikel S. 5). €
Was ist Nachhaltigkeit?
Eine nachhaltige Entwicklung wird den Bedürfnissen der jetzigen Generation gerecht, ohne
die Möglichkeiten künftiger Generationen zu gefährden, ihre eigenen Bedürfnisse zu befriedigen. So definiert die UNO den Begriff. Im Tourismus hat das Forschungsinstitut für Freizeit
und Tourismus (FIF) der Universität Bern die so genannte magische Fünfeck-Pyramide einer
nachhaltigen touristischen Entwicklung entworfen:
Nachhaltigkeits-Charta des Schweizer
Tourismus
Mit einem Drei-Punkte-Programm soll sichergestellt werden, dass die Unterzeichnenden ihr Bekenntnis zur Nachhaltigkeit
umsetzen:
1. Verpflichtung der Unterzeichner zu
Nachhaltigkeit im Schweizer Tourismus:Mit derAufnahme des Bekenntnisses
zur Nachhaltigkeit in Verbandsstrategie
und Leitbild legen die Unterzeichner den
Grundstein für eine nachhaltige Sektorund Unternehmenspolitik.
Gestaltungsrecht zukünftiger Generationen
2. Verankerung in der Branche mittels
Sensibilisierung und Unterstützung:
Die Unterzeichner unterstützen und
begleiten ihre Mitglieder bei der Entwicklung der notwendigen Prozesse zur
Umsetzung der Nachhaltigkeit.
Wirtschaftlicher
Wohlstand
Subjektives
Wohlbefinden
Gästezufriedenheit
Nein
Natur- und
Ressourcenschutz
Ein unschätzbarer
Wert: sauberes Wasser vom Bergbach.
swiss-image.ch/Christof Sonderegger
Weichen stellen für eine nachhaltige
Entwicklung
3. Regelmässige Überprüfung und Auswertung der Fortschritte: Die unterzeichnenden Verbände und Organisationen entwickeln gemeinsam ein Umsetzungsprogramm mit Aktionsplänen
im Rahmen der Mittelfristplanungen.
Kulturelle Vielfalt
3
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Nachhaltige Entwicklung im Tourismus: Projekte
Das blaue Q wird grüner
S
swiss-image.ch/Christian Perret
tatt neue, komplizierte Nachhaltigkeits-Labels ins Leben zu rufen, setzt
der Schweizer Tourismus auf die Weiterentwicklung seines bewährten QualitätsGütesiegels.Ab sofort haben ökologische
Fragen beim blauen Q mehr Gewicht.
Hansruedi Müller, Direktor Forschungsinstitut für Freizeit und Tourismus, Universität
Bern
«Quality. Our Passion» – Dieses Motto
nimmt sich der Schweizer Tourismus auch
bei der Nachhaltigkeit zu Herzen. Mit ihrer Nachhaltigkeits-Charta verpflichteten
sich die Spitzen der touristischen Verbände, alle Tourismusregionen und die SBB
zu einer ökonomisch leistungsfähigen, gesellschaftlich verträglichen und ökologisch
verantwortlichen Entwicklung (siehe S. 3,
rechts unten). Das Grundsatzpapier fordert
unter anderem Anreize zur Einführung von
nachhaltig ausgerichteten Managementsystemen. Das Qualitäts-Programm des
Schweizer Tourismus soll entsprechend
weiterentwickelt werden.
Kein neues Label
Schon seit dem Start vor zwölf Jahren
müssen Bewerber für das blaue Q verschiedene auf Nachhaltigkeit ausgerichtete Voraussetzungen erfüllen. Beispiele
sind der Einbezug der Mitarbeitenden auf
allen Ebenen, die Messung der Mitarbeiterzufriedenheit oder die Einsparungen
im Abfall- und Energiebereich. Angesichts
dieser viel versprechenden Ausgangslage
verzichtete der Qualitätsrat, der Vorstand
des Q-Programms, auf ein neues Nachhaltigkeitslabel. Auch der Erwerb eines
zusätzlichen, teuren Gütesiegels wie zum
Beispiel des EU-Umweltzeichens schien
für den Rat keine Lösung. Stattdessen hat
er beschlossen, das bestehende QualitätsGütesiegel ökologischer zu gestalten.
Panorama
Pluspunkt Innotour: Das Qualitäts-Gütesiegel steht vermehrt auch für Nachhaltigkeit.
Projektdauer: 2007 bis 2010
Kontakt: Schweizer Tourismus-Verband,
Finkenhubelweg 11, 3001 Bern, T +41 31
307 47 41, www.quality-our-passion.ch
Auf einer Fackelwanderung
lässt sich das Obertoggenburg nachhaltig erleben.
Teil des Projekts Q+
Nachhaltiges Handeln ist gefragt
Die nachhaltige Weiterentwicklung des
blauen Q war Teil des Konzepts Q+, das
eine umfassende Aktualisierung des Gütesiegels zum Ziel hat. Über Innotour unterstützt das SECO dieses Projekt. Schon
beim Start von Q+ vor zwei Jahren hatten
die Verantwortlichen festgelegt, dass das
Q-Programm schlanker, flexibler, aktueller, erlebnisreicher, prozessorientierter,
offener und eben auch grüner werden soll.
Dementsprechend hat der Qualitätsrat die
drei Stufen des Q-Programms nachhaltiger
ausgerichtet (siehe unten).
Das Q-Programm bringt zahlreiche Anforderungen an Tourismus-Dienstleister unter
einen Hut. Einige Kriterien, die zu einem
umfassenden
Nachhaltigkeits-Managementsystem gehören, wurden deshalb nur
am Rande berücksichtigt oder ganz ausgeblendet. Nichtsdestotrotz gelang es, mit
dem überarbeiteten Qualitäts-Programm
viele zentrale Bereiche der Nachhaltigkeit
abzudecken. Das Bewusstsein für Nachhaltigkeit in der touristischen Erlebniskette allein genügt nicht: Touristiker müssen
einen ernsthaften Beitrag zur Erhaltung
dieser natürlichen Qualitäten leisten. €
Mehr Nachhaltigkeit auf allen drei Stufen des Qualitäts-Gütesiegels
Stufe I
In der Ausbildung zum Qualitäts-Coach des Labels erhält das Thema Nachhaltigkeit besondere Aufmerksamkeit. Zudem wird den Verantwortlichen
eines Betriebs erläutert, wie sie ihre Servicekette ökologischer gestalten
können und dass ihr Aktionsplan mindestens eine Umwelt-Massnahme enthalten muss.
Stufe II
Im Führungs- und Basisprofil sind zusätzliche Fragen zu sozialen und ökologischen Themen zu
beantworten. Das neu geschaffene Zusatzmodul «Prozesse» soll unter anderem auch Vorgänge verbessern, welche die Nachhaltigkeit betreffen.
Stufe III
Betriebe können künftig das Gütesiegel QIII mithilfe des nachhaltig ausgerichteten Steinbocklabels (siehe S. 6, rechts oben) und eines Zusatzmoduls erlangen. Bislang führte der
Weg ausschliesslich über die Qualitätsmanagement-Modelle EFQM und ISO 9001:2008. Die
Umweltmanagementnorm ISO 14001 ist zwar weiterhin nicht obligatorisch, der Qualitätsrat
empfiehlt sie aber wärmstens.
Auf allen Stufen wird zudem verlangt, dass mindestens eine der sechs Massnahmen im jeweiligen Aktionsplan dem Umweltschutz dient.
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Développement durable dans le domaine du tourisme: arrière-plan
L
e changement climatique pose
d’énormes défis au tourisme suisse.
Au point qu’il est indispensable de tendre
vers davantage de durabilité. Un objectif
pour lequel toutes les parties doivent tirer à la même corde.
Mario Lütolf, directeur de la Fédération
suisse du tourisme
De l’herbe brune au lieu de la neige poudreuse, des glaciers qui s’amenuisent et le
pergélisol qui disparaît: le tourisme suisse
est directement concerné par le changement climatique. Il est donc impératif de
prendre conscience de ses responsabilités
écologiques tout en ne perdant pas de vue la
rentabilité économique. En bref: nous avons
besoin d’un développement durable (voir
ci-dessous). Ce dernier doit être abordé avec
résolution et faire l’objet d’un engagement
de tous les instants. Les simples déclarations
du bout des lèvres se révèleraient rapidement n’être que des tentatives de se prévaloir d’une petite touche verte et rien d’autre.
Engagement en faveur de la durabilité
Avec la «Charte du développement durable du tourisme suisse», les responsables
des associations touristiques, toutes les
régions touristiques et les CFF se déclarent
être en faveur du développement durable
(voir ci-dessous à droite). La Fédération
suisse du tourisme FST coordonne les travaux de projets actuellement en cours et se
charge d’institutionnaliser l’échange d’expériences entre les partenaires.
La durabilité est mesurable
Un développement durable pose des exigences spécifiques en termes de marketing: des jalons doivent en effet être posés
en matière de communication et de distribution, de politique de l’offre et des prix.
En outre, la durabilité est une partie de la
gestion de la qualité que l’on peut mesurer. La FST est à la pointe de la politique
touristique en faveur de la continuation du
programme Innotour et de la poursuite du
développement spécifique du programme
qualité (voir article p. 5). €
Qu’est-ce que la durabilité?
Un développement durable tient compte des besoins de la génération actuelle sans mettre en
danger les possibilités que doivent avoir les générations futures de satisfaire leurs propres
besoins. C’est ainsi que l’ONU définit cette notion. Dans le domaine du tourisme, l’Institut de
recherche sur les loisirs et le tourisme de l’Université de Berne a élaboré la soi-disant pyramide magique à cinq côtés pour un développement touristique durable:
Bien-être
économique
Protection de la nature
et des ressources
La charte du développement durable
du tourisme suisse
Il s’agit d’assurer, avec un programme en
trois points, que les parties signataires appliquent leur déclaration en faveur du développement durable:
1. Engagement des soussignés en faveur
du développement durable dans le tourisme suisse: avec l’engagement pris en
faveur du développement durable dans
la stratégie associative et la gestion de
l’entreprise, les soussignés posent la première pierre d’une politique sectorielle
et d’entreprise durable.
Droit de modifier
des futures générations
Bien-être subjectif
Une valeur
inestimable: l’eau
pure du ruisseau de
montagne.
swiss-image.ch/Christof Sonderegger
Poser des jalons pour un développement durable
Satisfaction des hôtes
Diversité culturelle
2. Intégration dans la branche par la sensibilisation et le soutien: les soussignés soutiennent et accompagnent leurs
membres dans l’élaboration de processus
nécessaires pour mettre en oeuvre le développement durable.
3. Réexamen régulier et évaluation des
progrès: les associations et organisations
soussignées élaborent en commun un
programme de mise en oeuvre assorti de
plans d’actions dans le cadre des planifications à moyen terme.
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Développement durable dans le domaine du tourisme: projets
Le label Q bleu devient plus vert
E
swiss-image.ch/Christian Perret
n lieu et place de créer un nouveau
label compliqué que désignerait la
durabilité, le tourisme suisse mise sur le
développement de son label de qualité
qui a fait ses preuves. Et les questions
écologiques ont désormais plus d’importance pour le label Q bleu.
Hansruedi Müller, directeur de l’Institut de
recherche sur les loisirs et le tourisme, Université de Berne
«Quality. Our Passion» – Ce slogan, le tourisme suisse le prend également au sérieux
pour ce qui est de la durabilité. Avec leur
charte de la durabilité, les associations touristiques les plus importantes, toutes les
régions touristiques et les CFF optent en
effet désormais pour un développement
économiquement compétitif, socialement
supportable et écologiquement responsable (voir encadré, p. 3, en bas, à droite). Le
document de base exige notamment des
incitations à introduire des systèmes de
management orientés vers la durabilité. Le
programme Qualité du tourisme suisse doit
continuer à être développé dans ce sens.
Pas un nouveau label
Depuis son lancement il y a douze ans déjà,
les candidats à l’obtention du label Q doivent remplir diverses conditions concernant
la durabilité. Par exemple: l’implication des
collaborateurs à tous les niveaux, l’évaluation de la satisfaction des collaborateurs ou
encore les économies dans le domaine des
déchets et de l’énergie. Eu égard à cette situation initiale très prometteuse, le conseil
Qualité – le Comité du programme Q – a renoncé à créer un nouveau label désignant la
durabilité. L’obtention d’un label de qualité
supplémentaire, et cher de surcroît, comme
par exemple le label écologique de l’UE, n’a
pas semblé être une solution aux yeux du
Conseil. Ce dernier a au contraire décidé de
Panorama
Atout Innotour: Le label de qualité désigne
de plus en plus la durabilité.
Durée du projet: 2007 à 2010
Contact: Fédération suisse du tourisme, Finkenhubelweg 11, 3001 Berne,T +41 31 307
47 41, www.quality-our-passion.ch
Une promenade aux
flambeaux pour vivre une
expérience inédite dans le
haut Toggenbourg.
donner une dimension plus écologique au
label Q existant.
Partie du projet Q+
Le développement durable du label Q bleu
faisait partie du concept Q+, qui a pour objectif une actualisation complète du label
de qualité. Le SECO soutient ce projet via
Innotour. Dès le début de Q+ il y a deux
ans, les responsables avaient estimé que
le programme Q devait être plus souple,
plus flexible, plus actuel, plus riche en événements, plus orienté vers les processus,
plus ouvert et, justement, plus vert aussi.
Le Conseil Qualité a donc décidé d’instiller
plus de durabilité dans les trois niveaux du
programme (voir encadré).
On veut des actions durables
Le programme Q place sous un même
concept les nombreuses exigences auxquelles les prestataires de services touristiques sont confrontés. Certains critères, qui
appartiennent à un système de management global de la durabilité, n’ont été pris
en compte que marginalement, voire passé
sous silence. L’on n’en a pas moins réussi à
couvrir de nombreux domaines centraux
avec le programme Qualité une fois remanié. La prise de conscience de l’importance
de la durabilité dans la chaîne des prestations touristiques ne suffit pas à elle seule:
les milieux concernés doivent en effet également fournir une contribution sérieuse
pour obtenir ces qualités naturelles. €
Davantage de durabilité aux trois niveaux du label Qualité
Niveau I
Dans la formation des coaches Qualité du label, le thème de la durabilité se
voit attribuer une attention particulière. En outre, les responsables d’une
entreprise se voient expliquer comment ils peuvent organiser de manière
plus écologique leur chaîne de services et que leur plan d’action doit au moins contenir une
mesure en faveur de l’environnement.
Niveau II
Dans le profil de gestion et de base, il faut répondre à des questions supplémentaires portant
sur des thèmes sociaux et écologiques. Le module supplémentaire «Processus» nouvellement
cré doit notamment permettre d’améliorer des procédures qui concernent la durabilité.
Niveau III
Les entreprises pourront obtenir à l’avenir le label QIII au moyen du label Bouquetin orienté
vers le développement durable (voir encadré, p. 6, en haut, à droite) et un module supplémentaire. Jusqu’ici le chemin passait exclusivement par les modèles de management de la qualité
comme EFQM et ISO 9001:2008. La norme de management de l’environnement ISO 14001
n’est certes toujours pas obligatoire, mais le Conseil Qualité la recommande néanmoins vivement.
On exige en outre à tous les niveaux qu’au moins une des six mesures de chaque plan d’action
serve à la protection de l’environnement.
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Sviluppo sostenibile nel turismo: informazioni generali
I
cambiamenti climatici pongono il turismo svizzero di fronte a sfide ambiziose. È indispensabile che lo sviluppo
segua la strada della sostenibilità. E che
tutti gli interessati si muovano nella
stessa direzione.
Mario Lütolf, direttore della Federazione
Svizzera Turismo
Pendii ricoperti di erba secca invece che di
neve farinosa, ghiacciai che si assottigliano e il permafrost che si scioglie: i cambiamenti climatici hanno un impatto diretto
sul turismo svizzero. Quel che ci vuole è
una buona dose di coscienza ecologica abbinata all’efficienza economica. Insomma,
serve uno sviluppo sostenibile (cfr. riquadro in basso a sinistra). Il problema va
affrontato seriamente. Le belle parole da
sole non bastano e chi si finge ecologista è
presto smascherato.
Impegno per la sostenibilità
Sottoscrivendo la «Carta di sostenibilità del
turismo svizzero», i vertici delle associazioni turistiche, tutte le regioni turistiche e le
FFS si impegnano in favore di uno sviluppo
sostenibile (cfr. riquadro in basso a destra).
La Federazione Svizzera Turismo FST coordina i lavori di progettazione attualmente
in corso e provvede a istituzionalizzare lo
scambio di esperienze tra i partner.
La sostenibilità è quantificabile
Uno sviluppo sostenibile pone dei requisiti al marketing: è necessario preparare
il terreno sia a livello di comunicazione e
distribuzione che di politica dei prezzi e
dell’offerta. Inoltre, la sostenibilità è una
parte quantificabile del management della
qualità. Sul fronte della politica del turismo, la FST é attiva sul fronte del turismo
affinché Innotour continui a svolgere il suo
ruolo cardine e si impegna in favore di uno
sviluppo specifico del programma di qualità (cfr. articolo a pag. 5). €
Che cos’è la sostenibilità?
Lo sviluppo sostenibile deve rispondere alle necessità delle generazioni attuali senza compromettere la capacità delle generazioni future di soddisfare i propri bisogni. È questa la definizione che l’ONU dà del concetto di sostenibilità. Nel turismo, l’Istituto di ricerca sul tempo
libero e il turismo dell’Università di Berna ha messo a punto la cosiddetta «piramide magica
pentagonale» dello sviluppo sostenibile:
Diritto di partecipazione
delle generazioni future
La Carta di sostenibilità del turismo
svizzero
Un programma articolato in tre punti garantisce che i firmatari della Carta mantengano
la loro promessa di sostenibilità:
1. Impegno da parte dei firmatari in favore di uno sviluppo sostenibile nel turismo svizzero: recependo l’impegno in
favore della sostenibilità nella propria
strategia e nelle proprie linee guida, i
firmatari pongono la prima pietra di una
politica aziendale e settoriale sostenibile.
2. Affermazione della sostenibilità nel
settore mediante la sensibilizzazione e
il sostegno: i firmatari sostengono e assistono i loro membri nella messa a punto
dei processi necessari per attuare uno
sviluppo sostenibile.
Benessere
economico
Soddisfazione
dei turisti
Sensazione di
benessere soggettivo
Nein
Protezione della natura
e delle risorse
Un valore inestimabile: l’acqua cristallina del torrente.
swiss-image.ch/Christof Sonderegger
Preparare il terreno allo sviluppo
sostenibile
3. Regolare verifica e valutazione dei progressi: le associazioni e le organizzazioni firmatarie sviluppano assieme un programma di attuazione con piani d’azione
a medio termine.
Varietà culturale
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N . 3 | I n v e r n o
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Sviluppo sostenibile nel turismo: progetti
La Q blu diventa più verde
A
swiss-image.ch/Christian Perret
nziché creare nuovi e complicati label
di sostenibilità, il turismo svizzero
opta per l’evoluzione del suo collaudato
marchio di qualità. Con la Q blu, le questioni ecologiche acquistano immediatamente un maggior peso.
Hansruedi Müller, direttore dell’Istituto di
ricerca sul tempo libero e il turismo dell’Università di Berna
«Quality. Our Passion» – Il turismo svizzero fa suo questo motto anche in fatto di
sostenibilità. Con la Carta della sostenibilità, i vertici delle associazioni turistiche,
di tutte le regioni turistiche e delle FFS si
sono impegnati in favore di uno sviluppo
economicamente efficiente, socialmente
sostenibile ed ecologicamente responsabile (cfr. riquadro a pag. 3, in basso a destra). Questa carta di principi sollecita, tra
le altre cose, un’introduzione di sistemi di
gestione improntati alla sostenibilità. Il
programma di qualità del turismo svizzero
verrà quindi perfezionato in tal senso.
No a un nuovo label
Già all’avvio del programma, avvenuto dodici anni fa, chi aspira a conquistare la Q blu
deve soddisfare diversi requisiti di sostenibilità, come il coinvolgimento dei collaboratori a tutti i livelli, la misurazione della
soddisfazione dei dipendenti e il risparmio
nel consumo di energia e nella produzione
di rifiuti. Vista la validità di questi presupposti, il Consiglio della qualità, ovvero il
comitato direttivo del programma Q, non
ha ritenuto opportuno creare un nuovo
label di sostenibilità e nemmeno aderire a
un altro costoso marchio di qualità come,
ad esempio, l’ecolabel europeo, decidendo
piuttosto di rendere più ecologico il marchio di qualità già esistente.
Panorama
Atout Innotour: il marchio di qualità è
ancora più sinonimo di sostenibilità.
Durata del progetto: dal 2007 al 2010
Contatto: Federazione svizzera del turismo,
Finkenhubelweg 11, 3001 Berna, T +41 31
307 47 41, www.quality-our-passion.ch
Una fiaccolata per dare
un’immagine sostenibile
all’Alto Toggenburgo.
Parte del progetto Q+
Occorre agire in maniera sostenibile
L’evoluzione in chiave sostenibile della
Q blu faceva parte del progetto Q+, che
prevede un aggiornamento completo del
marchio di qualità. La SECO sostiene questo progetto attraverso Innotour. Già un
paio di anni fa, all’avvio di Q+, i responsabili avevano stabilito che il programma Q
sarebbe stato più snello, flessibile, attuale,
avvincente, orientato ai processi, aperto
e persino più verde. Per questo motivo, il
Consiglio della qualità ha impresso ai tre
livelli del programma Q una maggiore sostenibilità (cfr. riquadro).
Il programma Q è un compendio dei numerosi requisiti che gli operatori turistici
devono soddisfare. Alcuni criteri contemplati nell’ambito di un sistema completo di
gestione della sostenibilità sono stati considerati solo a margine o sono stati addirittura lasciati da parte. Ciò nonostante, con
la rivisitazione del programma di qualità
si è riusciti a coprire molti aspetti centrali della sostenibilità. Nella filiera turistica,
non basta avere una mentalità sostenibile:
gli operatori turistici devono contribuire
seriamente alla conservazione delle ricchezze naturali. €
Più sostenibilità a tutti e tre i livelli del marchio di qualità
Livello I
Nella formazione di coach della qualità, il tema della sostenibilità occupa
un posto privilegiato. Inoltre, ai responsabili d’impresa viene spiegato come
rendere più ecologici i loro servizi. Il loro piano d’azione deve assolutamente prevedere almeno una misura in favore dell’ambiente.
Livello II
Il profilo di gestione e il profilo di base prevedono la soddisfazione di altri requisiti a livello
sociale ed ecologico. Il neonato modulo supplementare «Processi» migliorerà anche le procedure di sostenibilità.
Livello III
In futuro, le imprese potranno richiedere il marchio di qualità QIII con l’ausilio del marchio
dello stambecco (cfr. box a pag. 6, in alto a destra) e di un modulo supplementare. Finora si poteva passare esclusivamente per i modelli di gestione della qualità EFQM e ISO
9001:2008. La norma di gestione ambientale ISO 14001 continua ad essere facoltativa, ma
è vivamente raccomandata dal Consiglio della qualità.
A tutti i livelli, inoltre, si chiede che almeno una delle sei misure previste da ciascun piano
d’azione serva alla protezione dell’ambiente.
5
actuel
20
htr hotel revue
No 50 / 10 décembre 2009
En bref
Un manager à vélo
Suisse
L’appréciation
du franc suisse
menace toujours
Quelle pourrait être l’évolution
prochaine du franc suisse par rapport à l’euro notamment? Dans
leur dernier bulletin d’information, les experts du Centre de recherches conjoncturelles de
l’ETHdeZurich(KOF)notentqu’il
y a actuellement «une pression
persistante à l’appréciation» de
notremonnaie.Silecoursdufranc
parrapportàl’euroétaitencorede
1 fr. 48 à mi-mars, il a tendance à
s’orienter à nouveau aux environs
de 1 fr. 50.
mh
Décisions rapides, structures légères: c’est la
devise des hôtels Fassbind. La plus grande
chaîne familiale de Suisse lorgne du côté de
Zurich et de Bâle. Le directeur fait le point.
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Les minibars des
hôtels montrés
du doigt
Eric Fassbind
avoue aimer
les chantiers.
Alain D. Boillat
L’Officefédéraldel’énergiepointe
du doigt les minibars installés
dansleshôtelssuisses.Cesréfrigérateurs, indique l’office, consomment, en effet, quatre fois plus
d’énergiequeceuxdétenusparles
ménages du pays. Quelque 55 000
minibars sont en usage dans les
établissements hôteliers suisses.
Ils consomment près de 24 millions de kilowattheures par an,
soit autant que 6000 ménages.
Pour l’office fédéral, l’utilisation
de «minibars plus efficaces sur le
plan énergétique» et qui existent
sur le marché, permettrait d’économiser plus de deux millions de
francs.
mh
Un guide pour
l’utilisation du
label de qualité
Pour les organisations qui l’ont
créé, le Label de qualité du tourisme suisse doit être communiqué au public. Plusieurs manières
permettent de le faire. Celles-ci
ontétérassembléesdansunguide
qui vient de sortir et qui est
téléchargeable sur l’Extranet de la
Fédération suisse du tourisme
(FST).Cemanuelexistepourl’instant en allemand. Une version
française pourrait toutefois être
éditée si l’intérêt est suffisant. mh
De nouveaux
trains à deux
niveaux dès 2013
ldd
Atout touristique important, l’offre de transport ferroviaire est en
passe de s’améliorer. Les CFF ont
annoncé qu’ils mettront en service, probablement lors du changementd’horairede2013,denouveaux trains à deux niveaux,
entre Genève et Saint-Gall, dans
un premier temps. Ces nouvelles
compositions comprendront notamment des prises de courant à
chaque place assise, des écrans
plats pour l’information, un nouveau compartiment familles. Ces
trainspermettentd’augmenterde
40%l’offredeplacesassises,précisent les CFF.
mh
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ANDREAS GÜNTERT
Q
uelles sont les forces loin,selonEricFassbind:«LesFassd’un groupe hôtelier bind sont une dynastie hôtelière
en mains familiales? depuis sept générations.»
Eric Fassbind, réfléchit longtemps, avant Le succès est
de concéder: «Ma foi, nous fonc- au rendez-vous
Quand le manager est un patron
tionnons depuis toujours ainsi.»
Eric,43ans,estledirecteurdestrois qui connaît tous ses employés, cela
hôtels Fassbind, à Lausanne, et peut avoir des incidences positives
sur la stabilité du
veille au développersonnel. «Il y a
pement de la
«Celui qui
peu, raconte Eric
chaîne familiale,
règne sur son
Fassbind, une de
qui compte sept
nos gouvernanterritoire
établissements,
tes a pris sa re750 chambres et
peur décider
traite. Elle avait
170
collaborarapidement.»
été ma nurse
teurs. Son frère,
autrefois.»
Au
Marc, s’occupe
Eric Fassbind
Directeur de la chaîne éponyme
pouvoir familial
des deux hôtels
s’ajoute la rentagenevois
du
groupe, sa mère, Doris, se consacre bilité. Avec un chiffre d’affaire de
au housekeeping et aux ressources 45 millions, les hôtels Fassbind ont
humaines. Le père, Georges, est réaliséen2008unrésultatd’exploipour sa part le partenaire de tou- tation I de 56,7%. «L’année 2008
jours de ses fils en matière d’inves- fut extraordinaire», se réjouit Eric
tissements.
L’entreprise appartient aux parents. Une solide tribu familiale,
pas des «actionnaires» impatients
de suivre la rentabilité de leurs investissements. «Celui qui règne
sur son territoire peut décider rapidement et être
flexible, voilà notre
force, dit Eric Fassbind. Le groupe,
qui voue son
activité à des
hôtels trois
et
quatre
étoiles
en
zone urbaine,
a été fondé en
1964. Mais les
ldd
gènes de l’hospi- L’Alpha Palmiers, à Lausanne,
talité remontent un des fleurons de Fassbind.
Fassbind. En 2009, les trois-étoiles
ont connu le même succès qu’en
2008, alors que les quatre-étoiles
ont subi un léger fléchissement.
Avec un chiffre d’affaires à peine
plus faible et les mêmes coûts fixes,
«on pourrait quand même afficher
un résultat d’exploitation I d’environ 50%», souligne Eric Fassbind.
Encore un résultat remarquable.
L’undessecretsdecetterentabilité réside dans une hiérarchie aussi simple que possible permettant
un management pointu. Et un patron qui intervient là où bat le cœur
de l’hôtel. Avec une telle structure,
un parc automobile lourd ne conviendrait pas. Pour gérer les trois
hôtelslausannois(leCity,l’Agoraet
l’Alpha Palmiers), Eric Fassbind a
donc trouvé: «En temps normal, je
roule à vélo d’un hôtel à l’autre.»
Le groupe
cherche à s’étendre
Mais pour les projets futurs, la
bécane ne sera pas très adaptée: «Il
y a quelque mois, nous avons décidédenousdévelopperàZurichet
à Bâle.» Idéalement, le groupe vise
des établissements trois et quatre
étoiles, dans la même veine que le
Cristal ou le Cornavin de Genève.
Des établissements en fin d’exploitationquiauraientbesoind’êtrerénovés. Des bruits de chantier, des
ouvriers dans le lobby – un cauchemar pour l’hôtelier. Pas pour Eric
Fassbind: «J’aime les chantiers. Et
pour cela, j’enfile volontiers des
bottes en caoutchouc».
Adaptation Françoise Zimmerli
sur la base d’un article de la page 10.
Voir également le dossier Fokus
ainsi que l’article ci-dessous.
ldd
La pérennité comme guide
L’Hôtel Beau-Rivage est un
des fleurons de l’hôtellerie
genevoise. Il est aussi un
exemple fort de tradition
hôtelière familiale.
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MIROSLAW HALABA
Il a accueilli dans ses murs l’impératrice Sissi, Richard Wagner ou
encore le Maharadjah de Patiala,
pour citer quelques-uns de ses
hôtes célèbres. Assurément, l’Hôtel Beau-Rivage est un témoin
essentiel de l’histoire de Genève.
Outre son cachet historique, ce
cinq-étoiles construit en 1865 a la
particularité d’être, depuis quatre
générations entre les mains de la
dynastie Mayer. Il est, d’ailleurs,
ledernierpalaceindépendantdela
CitédeCalvin.PourJacquesMayer,
l’actuel propriétaire de l’établis- facile». «Les descendants ne choisement avec sa sœur Catherine, sissentpastousl’hôtelleriecomme
cette situation le
profession», exdistingue des hôplique Jacques
tels appartenant
Mayer. A cela
à des sociétés.
s’ajoute le fait que
«Toutes nos déciles moyens destisions sont prises
nés à rémunérer
dans une perle capital ont touspective à long
jours été relativeterme. Tous les
ment modestes,
investissements
ceci compte tenu
sont faits pour
de la nécessité de
«Tous les
assurer la pérenréinvestir dans
investissements
nité de l’hôtel»,
l’établissement
note-t-il.
sont faits pour
pour assurer son
Si la «passion
entretien.Renonassurer la pérenpour la maison» a
çant aux grands
nité de l’hôtel.»
toujours guidé les
travaux, la famille
membres de la fas’est toujours atJacques Mayer
Copropriétaire de l’Hôtel Beau-Rivage
mille qui se sont
tachée à faire des
succédé à la tête
rénovations perde l’établissement, la transmission manentes. Ainsi, le printemps prode ce patrimoine «n’a jamais été chain, s’achèvera un programme
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MIROSLAW HALABA
Située à Malvilliers, commune de
Boudevilliers, l’Hôtel-Restaurant
de La Croisée est placé, depuis un
mois, sous la houlette de Raphaël
Stoppa, le directeur, et de JeanFrançois Badet, administrateur
du restaurant des Rives-du-
Doubs, aux Brenets. Ceci suite au
départ en retraite des tenanciers
précédents. «L’idée est de développer l’aspect touristique de la
région du Val-de-Ruz», indique
Claude Borel, propriétaire des
Rives-du-Doubs, cité par le quotidien «L’Express».
Le même quotidien a aussi révélé que l’entreprise de construction fribourgeoise Gilbert Brodard&Filsavaitmisàl’enquêteun
projetimmobilierethôtelierde30
millions de francs qui prendrait
place sur le terrain de l’Hôtel Pattus, à Saint-Aubin, anéanti par un
incendie en 1991.
Un fleuron datant de 1865.
Photos ldd
Un cachet historique préservé.
Les hôtes chinois embellissent
la statistique hôtelière
Ça bouge dans le canton
Quelques bonnes
nouvelles sont tombées
ces derniers jours portant
sur l’offre hôtelière du
canton de Neuchâtel.
de travaux qui aura duré plus de
dix ans.
Jacques Mayer ne se fait pas de
soucis pour la succession. La jeune
génération devrait prendre le relais. Le passage de témoin devra
toutefois être bien préparé. «L’entreprise doit s’assurer que les
successeurs aient une très bonne
formation professionnelle et qu’ils
aient l’occasion de faire leurs
preuves dans des fonctions de management qui ne doit pas forcément être hôtelier», indique-t-il.
Sicertainsgrandshôtelsdoivent
beaucoup à l’existence de mécènes, le Beau-Rivage n’est pas de
ceux-là. «Les investissements sont
assurés par les finances de l’entreprise», explique encore Jacques
Mayer. Il ajoute cependant: «Nous
prenons très peu de dividende.
Alors, sur ce plan-là, nous sommes
des mécènes.»
En octobre et durant l’été, les baisses de fréquentation
ont largement marqué l’activité hôtelière helvétique.
Christian Galley /ldd
Nouvelle direction à l’Hôtel-Restaurant de La Croisée.
Durantlasaisonestivale,quiaduré
de mai à octobre, les hôtels suisses
ont enregistré 19,7 millions de nuitées, soit un recul de 4,2% par rapport à l’été 2008. La demande indigène a diminué de 2,1% à 8,6 millions d’unités et la demande étrangère de 5,8% à 11,1 millions. La
plupartdesmarchésontconnudes
baisses.Toutefois, une embellie est
venue de la Chine (sans HongKong). Les hôtes de ce pays ont, en
effet, affiché la hausse absolue la
plus marquée avec une croissance
de 28,9% à 160 258 nuitées. Cette
performance a été particulièrement remarquable en octobre.
Seize mille nuitées de plus ont été
recensées par rapport à octobre de
l’an passé, ce qui représente une
progression en valeur absolue de
85%. Les visiteurs de Hong-Kong
ontaussiétéplusnombreux:+ 8000
nuitées ou + 30%.
On notera que la Suisse centrale
a connu la baisse la plus forte, tant
durant le mois d’octobre que durant l’été.
mh
l
Aktuell
17. Dezember 2009 Nr. 51 / 52
24. GastroForum für die Frau in Lenzerheide
3
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Gefahren und Genüsse
Namens. Wissenschaftlich ist der Genuss also (noch) nicht gänzlich ausgestorben.
Matthias Nold Um Genuss und
Gefahren dreht sich das
24. GastroForum für die Frau
im Januar in Lenzerheide. Von
der Gefahr des Genusses.
Einfach gesagt, geniessen wir zu viel
vom Gleichen, haben wir bald genug.
Die komplizierte Version stammt von
einem Volkswirtschafter namens Hermann Heinrich Gossen, der 1854 (!)
sein Werk «Entwickelung der Gesetze
des menschlichen Verkehrs und der
darauf fliessenden Regeln für
menschliches Handeln» veröffentlichte.
Das sogenannte erste Gossensche Ge-
FOTOLIA
Wer nicht geniesst, bleibt ungeniessbar, sang Konstantin Wecker einst.
Allerdings, wer geniesst, dem kann
der Genuss ungeniessbar werden:
«Die Grösse ein und desselben Genusses nimmt, wenn wir mit der Bereitung des Genusses ununterbrochen fortfahren, fortwährend ab, bis
zuletzt Sättigung eintritt.»
Schokolade und Whisky: Zwei der Genüsse am GastroForum für die Frau.
geht, nur sehr gute Restaurants frequentiert, wird irgendwann genug
vom feinen Essen bekommen und
Fast Food oder zumindest Hausmannskost suchen. So liesse sich
auch der viel zitierte Gästewunsch
nach mehr Echtheit (Neudeutsch: Authentizität) erklären. Zu viel Convenience und Fast Food erzeugen ein
Bedürfnis nach frischer, einfacher
und feiner Küche.
heutzutage von «Genuss». Habe ich
es aber, beginnt mir irgendwann etwas anderes zu mangeln: Genuss ist
ein gefährliches Gut; und ein wenig
erforschtes dazu.
Bis vor einigen Jahren gab es in
Nürnberg ein Institut für Genussforschung. Es fand beispielsweise heraus, dass Frauen gesünder seien,
weil sie bewusster genössen. Das Institut scheint laut Internet heute nicht
mehr zu exisitieren. In Bremen allerdings gibt es einen Verein gleichen
Und dann ist da noch Alfred Reimann. Selfmademan, Multimillionär
a.D., wie er selber schreibt, und Erfinder einer «Genusswirtschaftslehre». Vor gut zwei Jahren hat er
am «Institut für Unternehmerische
Freiheit» in Berlin einen Vortrag über
seine Lehre gehalten. Sein Ansatz ist
ein unwissenschaftlicher, aber sozusagen ein genüsslicher: «Die meisten
neuen Erkenntnisse ergeben sich aus
einer neuen Perspektive auf meine
praktischen Erfahrungen.» Das Neue
an seiner Lehre sei «die konsequente
Erforschung der individuellen Welt
aus der Ich-Perspektive». Entsprechend dann auch die Web-Adresse
Reimanns: www.ich.io
Genuss lässt sich also am besten
selbst erforschen: Am GastroForum
für die Frau. Von 10. bis 14. Januar
2010 in Lenzerheide. Der Genuss der
Damen liesse sich noch steigern: mit
einem Gutschein fürs Forum als
Weihnachtsgeschenk.
setz scheint einfach und klar. Zu viel
des Guten kann es jedoch auch bei
längerer Konsumation kleinerer Mengen geben. Aus Gästesicht mag das
dann so aussehen: Wer über längere
Zeit immer, wenn er auswärts essen
Was mir mangelt, das möchte ich haben; bekomme ich es, spricht man
Hygienetestat in Zug
Medienkonferenz des Schweizer Cafetier Verbandes
Umstritten
Gewinn ist geschrumpft
An seiner Medienkonferenz preschte
der Cafetier Verband vor: Er setzte
die Lebensmittelkontrollen von Basel-Stadt, Bern, Luzern und Aargau
auf eine «graue Liste». Die Restaurants in diesen Kantonen schneiden
bei Kontrollen offenbar am schlechtesten ab. Beim Cafetier Verband
denkt man, dass dies weniger mit der
Qualität der Betriebe als mit der Qualität der Kontrollen zusammenhängt.
Die Vermutung liege nahe, schreibt
der Cafetier Verband, «dass beim
Vollzug zu viele subjektive Kriterien
einfliessen», obwohl das Lebensmittelgesetz in der ganzen Schweiz
gleich gelte. Trotzdem das Gesetz risikobasierte Kontrollen vorschreibe,
werde zu wenig unterschieden zwischen Industrie und Kleinbetrieb, bemängelt der Verband. Die Kantone
messen mit verschieden langen Ellen.
Alle Jahre wieder: «Rein betriebs-
wirtschaftlich betrachtet, müssten
die meisten Betriebe den Preis anheben», meinte Hans-Peter Oettli,
Präsident des Schweizer Cafetier
Verbandes, anlässlich der Jahresmedienkonferenz letzten Montag in
Zürich. Über die Hälfte der Mitglieder-Betriebe hätten den Kaffeepreis
2009 unverändert belassen, knapp
über 3 Prozent hätten den Preis sogar herabgesetzt. Oettli vermutete,
dass auch 2010 viele Betriebe die
steigenden Kosten nicht weitergeben würden und den Preis für eine
Tasse Kaffee unverändert liessen.
Die Botschaft scheint angekommen
zu sein. Für einmal blieb der kollektive Kaffeepreis-Aufschrei der Mas-
Das 24. GastroForum findet im Hotel
Schweizerhof, Lenzerheide statt.
Infos und Anmeldung:
www.gastrosuisse.ch
E-Mail: [email protected]
Tel. 0848 377 111
senmedien aus. Vielleicht auch, weil
Oettli vorrechnete, dass in der Kaffeetasse laut verbandseigener Statistik nur 1,7 Prozent Gewinn liegen.
2008 waren es laut Cafetier Verband
noch 2,2 Prozent. Zwar ist der Warenaufwand leicht gesunken. Doch
die Löhne (inkl. Unternehmerlohn),
die allgemeinen Unkosten und anderes sind gleichzeitig angestiegen.
Der Kaffee wird wohl trotz höheren
Kosten nicht teurer.
Der Cafetier Verband machte sich an
seiner Medienkonferenz auch stark
gegen das Vorgehen der Behörden
bei Alkoholtestkäufen. Man bezweifle
nicht die Wirksamkeit der Testkäufe,
hielt Geschäftsführerin Johanna Bartholdi fest. Sünder fänden sich allerdings wesentlich häufiger in den Reihen der Kioske, an Vereinsanlässen
oder in Kleinläden. Das Gastgewerbe
stehe vergleichsweise gut da und es
gehe nicht an, gastgewerbliche Betriebe, die keine Jugendlichen zu ihren Gästen zählen, unverhältnismässig in die Testreihen einzubeziehen.
Ebenfalls sprach sich der Cafetier
Verband gegen Täuschungen mit speziell gestylten Jugendlichen aus. mn
BLICKPUNKTE
Qualitäts-Programm
Erfolgreiches Jahr
für die Qualität
Das Qualitäts-Programm des Schweizer Tourismus bleibt
eine Erfolgsgeschichte. 2009
konnten insgesamt
431 Betriebe ausgezeichnet werden,
wie es beim Schweizer TourismusVerband heisst. 91 davon erlangten
die Stufe QIII, das sind 20 mehr als
im letzten Jahr. Unter den QIII-Betrieben finden sich auch vier Restaurants, darunter die Hotelfachschule
Belvoirpark von GastroSuisse. 267
Betriebe (davon 38 Restaurants) erhielten ein QI, 73 ein Q II – nur einer
davon war ein Restaurant.
Schweiz Tourismus
Auszeichnung
für besten Event
Schweiz Tourismus (ST)
wird derzeit mit Awards
sozusagen überschüttet: Nach der silbernen
Auszeichnung beim EPICA-Award
hat sie in Italien den Best Event
Award für ihre Railshow «La Svizzera
a casa tua» geholt.
Kornhaus Burgdorf
Vom Debakel zur
Jugendherberge
Einst war das Kornhaus in Burgdorf
ein Jugendhaus, dann wurde es für
viel Geld zum Trachtenmuseum umgebaut. Das Unternehmen war ein
einziges Debakel. Nachdem das
Kornhaus nun länger leerstand,
prüft die Stadt die Herrichtung zu
einer Jugendherberge.
ANZEIGE
Fast gleichzeitig liess der Kanton Zug
Anfang dieser Woche verlauten, man
versende dieser Tage Bescheinigungen zur Lebensmittelsicherheit unter anderem auch an Restaurants.
Das Aufhängen sei freiwillig, jedoch
gute Werbung für den Betrieb.
Die Bestätigung stösst auf harsche
Kritik. Laut der Pendlerzeitung 20
Minuten sind auch Kantonschemiker nicht glücklich mit dem Testat.
GastroSuisse wehrt sich ebenfalls:
«Ich halte diese Kategorisierung für
eine Art des Voyeurismus, die nichts
mit Hygiene zu tun hat», meint Direktor Anton Schmutz. Er bezeichnet das Vorgehen Zugs sogar als
Prangerwirtschaft. Es sei sinnvoller,
auf Eigenverantwortung zu setzen.
Johanna Bartholdi vom Cafetier Verband nennt Veröffentlichungen von
Kontrollresultaten einen «Rückfall
mn
ins Mittelalter».
GJRI59541
Gastfreundschaft als christlicher Auftrag
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Das Livenet & Jesus.ch-Team wünscht Ihnen Gottes reichen
Segen, gute Gesundheit und viele wertvolle Begegnungen
im neuen Jahr!
Jahreslosung 2010: Jesus Christus spricht: Euer Herz
erschrecke nicht. Glaubt an Gott und glaubt an mich
(Johannes 14,1).
Gastfreundschaft als christlicher
Auftrag
Rund fünfzig Hotels und
Gästehäuser in der Schweiz
gehören
dem
Verband
christlicher Hotels (VCH)
an. «Christlich» wird in
diesen Häusern nicht nur
auf die Fahne geschrieben,
sondern
mit
Inhalten Das Hotel «Artos» in Interlaken.
gefüllt. Zudem setzt der
VCH auf Offenheit, Qualität und ein gutes PreisLeistungsverhältnis.
Was bedeutet es, wenn ein christliches Hotel Sie willkommen
heisst? Sind Zimmer nicht einfach grosszügig und sauber, oder im schlechten Fall halt - eng und schmutzig? Was bieten
christliche Hotels?
Lea und Markus Hafner, die das Dreistern-Hotel «Artos» in
Interlaken seit rund neun Jahren leiten, sagen: «Die etwas andere
Ausrichtung von VCH-Hotels wirkt sich auf die Atmosphäre in
unseren Häusern aus. Ausgehend von unserem christlichen
Glauben leiten wir unsere ethischen Werte ab.» Mit Überzeugung
werde eine ganzheitliche Erholung für Körper, Seele und Geist
angeboten.
Buch & Musik
«Einen guten Lebensraum schaffen»
Anzeigen
Markus Hari, der Leiter der Réception im Hotel Artos, formuliert
den VCH-Gedanken so: «Menschen sollen sich bei uns begegnen
und sich erholen, aber auch Unterstützung finden können, falls
dies gefragt ist.» Damit gemeint sind unter anderem kleine
Hilfeleistungen im Alltag. Wichtig sei aber auch die Bereitschaft zu
Gesprächen und zu offenen Begegnungen.
Jobs
Kontakte
Video-Andachten
> mehr Service
Werbung
Der Gemeinschaft wird eine grosse Bedeutung beigemessen. Vor
allem dürfe Gastfreundschaft aber kein ein leeres Schlagwort sein.
Der Leiter der Réception möchte «einen guten Lebensraum für
alle Gäste schaffen».
Um das christliche Gedankengut nicht nur zu predigen, sondern
auch konkret umzusetzen, sind Personen in Leitungsfunktionen in
VCH-Häusern generell «bekennende Christen». Sie schämen sich
ihrer Überzeugung nicht und reden auch unverkrampft über ihren
Glauben, falls dies gewünscht wird.
Christlich und marktwirtschaftlich
Pakistans bedrängte
Christen
Integration: Muslime,
reformierte Kirchen und
die Gesellschaft
Schlagzeilen, die wir 2010
lesen wollen
Aktuell
Gastfreundschaft als
christlicher Auftrag
Jobportal für kirchliche
Arbeitsstellen
Wirtschaftskrise schlägt
auf Psyche
«Religion zu bekennen
erregt keinen Anstoss
mehr»
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Erlebt
VCH-Hotels sind aber nicht einseitig auf den Himmel ausgerichtet:
«Um Erfolg zu haben», so meinen Markus Hafner und Markus
Hari, «braucht es auch ansprechende Räume, eine gute Küche
und attraktive hauseigene Angebote». Das Marktwirtschaftliche
http://www.jesus.ch/index.php/D/article/159-Wirtschaft/49611-Gastfreundschaft_als_... 04.01.2010
Gastfreundschaft als christlicher Auftrag
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dürfe auch beim VCH nicht ausser Acht gelassen werden. Bei den
Angeboten haben solche, die christliche Impulse vermitteln, einen
grossen Stellenwert: Regelmässige Andachten, Gottesdienste oder
Bibelwochen haben darum in VCH-Hotels Tradition. Sie verstehen
sich als ermutigendes Angebot - nicht als Verpflichtung -, und sie
sind freiwillig.
Kompostieranlage
Wiedlisbach
Das Hotel
SEEBLiCK - Hoch
über dem Alltag!
Special
Jahreswechsel
Mein Blog
Jesus.ch-Print
Pixel4Jesus.com
Meditation
Youthmag
Kreativgalerie
Beten tut gut!
Bild der Woche
Daneben ist in den rund 50 VCH-Häusern in der Schweiz und 400
in Europa für Unterhaltung und Weiterbildung gesorgt. Die
Angebote sind abhängig von Grösse und Struktur der Häuser.
Auch die Region bietet unterschiedliche Möglichkeiten zu Erholung,
Unterhaltung, Plausch und Ausflügen aller Art.
Ursula Bruhin: Niederlage und
Sieg im Leben mehr
Im Hotel «Artos» etwa gibt es Kurse in Musik (Wochenkurse in
Chorsingen,
Hausmusik,
Rhythmik),
Gedächtnistraining,
Computertechnik oder Kunsthandwerk. Oft sind Gruppen von
Kirchgemeinden - etwa für Altersferien - oder Gemeinschaften von
Menschen mit einem Handicap - manchmal zusammen mit ihren
Angehörigen - zu Gast im Haus.
Qualität angestrebt
In VCH-Hotels geht es aber auch um Professionalität, Qualität und
um ein gutes Preis-Leistungsverhältnis. Erfreulich ist, wenn es
gelingt, die Gäste nicht nur ein einziges Mal begrüssen zu dürfen.
Der VCH ist in diesem Sektor erfolgreich: Viele dem Verband
angeschlossene Betriebe weisen einen hohen Anteil an
Stammgästen aus.
Auch die Rückmeldungen von Gästen dürfen sich sehen lassen. Bei
unserer spontanen Umfrage wurde das Personal in VCH-Hotels als
«überdurchschnittlich freundlich», «hilfsbereit» und als «nicht
profitgierig» beschrieben.
Die Qualität der Hotels wird durch Zertifizierungen überprüft.
Gütesiegel erhielten bis jetzt 60 Prozent der VCH-Hotels. Der
Durchschnitt in der Schweizer Hotellerie liegt derzeit bei 13,4
Prozent. Zusammen mit zwei andern Häusern wurde das «Artos»
mit dem Qualitäts-Gütesiegel der höchsten Stufe 3 ausgezeichnet.
Webseite: www.vch.ch
Ältester Hotelverband der Schweiz
1895 wurde der Schweizer Verband Christlicher Herbergen und
Hospize gegründet. Damit ist der VCH mit seinen rund 50
Betrieben der älteste Hotelverband der Schweiz. Auch in
Deutschland, Österreich, Italien, Frankreich, Holland sowie in
vielen nördlichen Ländern und anderen mehr gibt es rund 400
Hotels, die dem VCH angehören. Sie setzten bei der Gründung auf
das Leitmotiv «Herberget gerne!», was heute mit «Gastlichkeit mit
Herz» übersetzt wird.
Ermutigen und innerlich stärken
Hans-Beat Buol, Präsident des Verbandes christlicher Hotels
(VCH), und Geschäftsführer Falk Pfleiderer zur Philosophie der
VCH-Hotels.
Was bedeutet denn «christlich» in der Hotelbranche: Ist
man in christlichen Häusern besonders freundlich,
besonders hilfsbereit oder besonders fromm?
Hans-Beat Buol: Besonders freundlich und hilfsbereit ist unser
Bestreben entsprechend der VCH-Maxime «Gastlichkeit mit Herz».
Fromme Eingrenzungen oder Reglementierungen erwarten den
Gast natürlich nicht, er kann Ferien machen wie in jedem anderen
Hotel auch, hat jedoch zusätzlich noch die Möglichkeit, auch
christliche Angebote zu nutzen, soweit er dies wünscht.
Welche besonderen Angebote zeichnen VCH-Hotels aus?
Falk Pfleiderer: Der Hauptunterschied liegt darin, dass
Gästebedürfnissen ganzheitlich Rechnung getragen wird. Wir
http://www.jesus.ch/index.php/D/article/159-Wirtschaft/49611-Gastfreundschaft_als_... 04.01.2010
Gastfreundschaft als christlicher Auftrag
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möchten ermutigen und in unseren Häusern einen wohltuenden
Kontrast bieten zum hektischen und belastenden Alltag.
Wird von der Trägerschaft der VCH-Hotels darauf geachtet,
dass «praktizierende Christen» die Häuser leiten?
Pfleiderer: Es ist uns sehr wichtig, dass wir die gleiche Basis
haben: Jesus Christus und die Bibel. Dies schenkt gleichzeitig
gegenseitige Stärkung auf unserem gemeinsamen Weg.
Wie sieht die Preisstruktur in VCH-Hotels aus?
Pfleiderer: Wenn Sie konkrete Beispiele vergleichen, werden Sie
feststellen,
dass
der
VCH
ein
enorm
starkes
PreisLeistungsverhältnis aufweist. Dabei ist noch nicht berücksichtigt,
dass Gästen in diesen Hotels gerade durch die christlichen
Angebote Mehrwert verfügbar gemacht wird, der in anderen
Gästehäusern nicht zu finden ist.
Wie ist der Anteil der verschiedenen Konfessionen bei den
VCH-Hotels in der Schweiz?
Buol: Es gibt im VCH Hotels von Freikirchen, ebenso reformierte
und
katholische
Häuser.
Gerade
diese
Einheit
über
Denominationen und Konfessionsgrenzen hinweg ist eine der
speziellen Stärken des Verbandes. In dieser Vielfalt kann der Gast
wählen, alles prüfen und das Gute behalten.
Quelle: Kipa
Datum: 19.12.2009
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