Vidy-L - Théâtre de Vidy

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Vidy-L - Théâtre de Vidy
Dossier
de presse
Misterioso-119
de Koffi Kwahulé
Mise en scène: Cédric Dorier
Du 11 au 30 mars 2014
Salle René Gonzalez
© Mario Del Curto
Vidy-L
Main sponsor :
http://www.richardmille.com
23
Théâtre Vidy-Lausanne
Presse et communication
Sarah Turin/
Marie-Odile Cornaz
Av. E.-Jaques-Dalcroze 5
1007 Lausanne
Tél. 021/619 45 21/74
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www.vidy.ch
Misterioso-119
de Koffi Kwahulé
du 11 au 30 mars 2014
Salle René Gonzalez
Mise en scène :
Cédric Dorier
Assistante à la
mise en scène :
Christine Laure Hirsig
Scénographie :
Adrien Moretti
Dramaturgie :
Denis Lavalou
Lumière :
Christophe Forey
Costumes :
Severine Besson
Maquillage et coiffures :
Katrine Zingg
Univers sonore :
David Scrufari
Chorégraphie :
Katy Hernan
Construction décor :
Ateliers du Théâtre Vidy-Lausanne
Avec :
Alexandra Camposampiero
Camille Giacobino
Nathalie Goussaud
Marie-Aude Guignard
Elima Héritier
Garance La Fata
Tiffany-Jane Madden
Safi Martin Yé
Anne Ottiger
Anne-Sophie Rohr Cettou
Anne-Catherine Savoy Rossier
Christiane Sordet
Durée :
1h35
Age conseillé :
dès 16 ans
Genre :
comédie tragique
Tournées 2013-2014:
Théâtre du Grütli – Genève
Du 3 au 16 avril 2014
Rencontre avec l’équipe
artistique et l’auteur le 28
mars 2014 à la Salle René
Gonzalez à l’issue de la
représentation.
Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche 11.03. 12.03. 13.03. 14.03. 15.03. 16.03. 17.03. 18.03. 19.03. 20.03. 21.03. 22.03. 23.03. 24.03. 25.03. 26.03. 27.03. 28.03. 29.03. 30.03. 19h30
19h30
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19h30
relâche
relâche
19h30
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18h30
relâche
19h30
19h30
19h30
19h30
19h30
18h30
Théâtre du Crochetan – Monthey
Le 30 avril 2014
Production déléguée :
Théâtre Vidy-Lausanne
Coproduction :
Compagnie Les Célébrants
Théâtre du Grütli
Nuithonie – Fribourg
Les 2 et 3 mai 2014
Avec le soutien de :
Etat de Vaud
Ville de Lausanne
Loterie Romande Vaud
Loterie Romande Genève
Fondation Leenaards
Fondation Sandoz
Pour-cent culturel Migros Vaud
Fondation Ernst Göhner
Stanley Thomas Johnson Foundation
CORODIS
La Compagnie Les Célébrants (CH) bénéficie de la convention de
subvention de durée déterminée de l’Etat de Vaud pour les saisons
2013-2014/2014-2015/2015-2016.
Création au Théâtre Vidy-Lausanne le 11 mars 2014
Misterioso-119
de Koffi Kwahulé
du 11 au 30 mars 2014
Résumé de la pièce
Une prison pour femmes. Une intervenante artistique y est envoyée pour monter
avec les prisonnières un spectacle conceptuel avec «pom-pom girls» sur un texte
d’une certaine Elena Hebrayova. Avant elle, deux autres intervenantes, envoyées
dans cette prison dans le même but, n’en sont jamais ressorties et n’ont jamais
été retrouvées. Des considérations les plus dérisoires aux événements les plus
tragiques, douze femmes dans un huis clos où se déchaînent les passions.
Tandis que la parole se libère, et que complexes, fantasmes et frustrations de
chacune s’expriment, les blessures saignent, les corps se rebiffent. Quelqu’un sera
inévitablement sacrifié.
Présentation
Salle René Gonzalez
Il ne s’agit que de cela, d’amour… Toujours l’amour.
Dans «Misterioso-119» comme dans la plupart de ses pièces, Koffi Kwahulé nous
offre les notes et c’est à nous de choisir le nombre de musiciennes. C’est ainsi qu’à
chaque nouvelle production de sa pièce, l’orchestration proposée est totalement
originale et ne lui appartient plus. Le metteur en scène s’en empare et le public
après lui. Il précise aussi que la construction de la pièce s’inspire de la structure du
morceau très connu de Thelonius Monk «Misterioso», où alternent des parties solo
et des parties plus orchestrées, sur une mélodie très obsessive. Il nous dit enfin
que le 11 septembre 2001 a tout à voir avec cette pièce parce que l’amour et la
haine sont deux sœurs jumelles et que tout meurtre est un mystère dont une part
demeurera toujours inexplicable et inexpliquée.
Partant de ces trois prémisses, il y a essentiellement deux énigmes dans
«Misterioso-119»:
- Pourquoi ces femmes tuent les intervenantes qui, au fond, souhaitent travailler à
leur réinsertion future?
- Et quelle est la fonction de cette musique obsédante dont parlent toutes les filles?
Pour ce qui est de la première interrogation, une lecture possible est à découvrir
dans la peur que certaines détenues manifestent à l’idée d’être libérées et de devoir
retrouver la société du dehors. Le dedans, mieux connu, à la fois plus exclusif et plus
solidaire, est finalement moins effrayant que le dehors. C’est ainsi que par rapport
à l’enfer du dehors, l’enfer du dedans semble être un moindre mal. L’imagination
peut s’y développer sans craindre la déconvenue due au choc du réel. Pourtant
quelque chose de plus complexe et de plus souterrain semble se jouer derrière les
mots qui ne sont plus que des signes: un jeu constant de relations, d’alliances et
de trahisons se tisse devant nos yeux intrigués et nos cœurs perplexes. Et c’est
alors l’histoire du monde, du rapport complexe, violent et toujours recommencé
entre les êtres humains qui se dit dans cette prison, métaphore du monde fermé
parce que géographiquement limité où nous sommes tous condamnés à vivre.
Quant à l’énigme de la musique, l’état de prisonnière, aussi rassurant soit-il, ne
saurait être aucunement satisfaisant, mais est-ce simplement parce qu’elles ne
peuvent identifier son interprète qu’elles enragent contre le phénomène, ou est-ce
parce que ce chant harcèle leur sensibilité, leur parle d’un ailleurs, d’un inconnu,
l’évidence de quelque chose auquel elles n’ont pas accès et qui serait une clé?
Chant de la vie ou chant de la mort? Pas de réponse à cela ou plutôt la réponse que
chacune – et chacun – gardera, informulée, à l’intérieur de soi.
Cédric Dorier
Misterioso-119
de Koffi Kwahulé
du 11 au 30 mars 2014
Salle René Gonzalez
Interview de Denis Lavalou
Quel est le point de départ de l’écriture de «Misterioso-119»?
Koffi Kwahulé: Le point de départ, comme pour mes autres textes, est flou. J’ai
eu le désir d’un bilan, plus exactement d’une récapitulation. D’une certaine manière
«Misterioso-119» est un rendez-vous, celui de toutes les figures féminines qui
traversent mes autres textes. Le désir aussi d’interroger le chœur des pom-pom
girls. Malgré la fascination quasi tyrannique qu’elles exercent sur moi, je ne peux
m’empêcher de voir en elles l’avatar ultime du chœur grec antique, un choeur qui
n’a plus rien à dire et qui se contente de bribes de chants vides de sens, des sortes
de jappements, le choeur d’une humanité qui ne parvient plus à faire communauté
en dépit de toutes nos machines de mise en relation.
Qu’est-ce qui vous interpelle le plus dans l’exploration de l’univers carcéral?
Cédric Dorier: Ce qui m’a intéressé tout d’abord dans le texte de Koffi est que
nous ne sommes pas dans un univers réaliste. La pièce n’est pas un témoignage
sur ce qui se passe dans les prisons mais une fable cruelle et drôle ancrée dans
cet univers. C’est aussi ce que proximité et promiscuité provoquent en matière
de relations et de réactions humaines qui m’interpelle. Mais le plus troublant dans
«Misterioso-119», est que, par de nombreux indices, l’auteur semble vouloir nous
dire que la vraie liberté n’est pas forcément là où nous la situons nous-mêmes.
Koffi Kwahulé: Presque toutes mes pièces se passent dans des lieux étroits
et fermés – des pré-prisons, en quelque sorte. La prison, en tant que fermeture
institutionnalisée, officielle, en constitue l’aboutissement, si j’ose dire, naturel,
car les figures que je traite sont essentiellement des personnages qui n’ont plus
d’espace pour reculer, des personnages dos au mur.
On a l’impression que l’incarcération est pour un grand nombre de ces
femmes une véritable «usine à rêves», serait-ce que le monde «libre» ne leur
(ne nous) permet plus de rêver?
Koffi Kwahulé: Non, on rêve partout, en prison comme dans le monde «libre».
Simplement, «Misterioso-119» exprime la primauté du rêve sur le réel. L’esclave, dit
un dicton ivoirien, appartient au maître, mais les rêves de l’esclave appartiennent à
l’esclave seul. La société, dans son fonctionnement, s’impose comme un espace
nécessairement coercitif, un autel sacrificiel où je suis invité à aliéner des parts de
moi-même. Une prison «nécessaire» pour ne pas retourner à l’in-civilisation. Face à
cette prison intériorisée, le rêve intervient comme un élan prométhéen, la marge où
l’inédit est encore possible.
Quelles difficultés et quel défi cela représente-t-il pour un metteur en scène
d’aborder un texte où répliques et nombre d’interprètes sont à définir?
Cédric Dorier: C’est très agréable au départ, car on a l’impression de pouvoir
vraiment créer un projet original, une pièce jamais représentée. Ensuite, le travail
est très ardu et insécurisant. Avec mon dramaturge, on cherchait une logique tout
en se méfiant des systèmes. Nous avons élaboré toutes sortes de versions autour
de divers types de regroupements – thèmes et variations de répliques, échos d’une
scène à l’autre, différences de niveaux de langue, thématiques obsessionnelles,
mais aussi vrais dialogues, vraies réponses.
Qu’est-ce qui vous a amené à privilégier le nombre douze?
Cédric Dorier: On a commencé à huit puis neuf et dix. On avait du mal à faire
Misterioso-119
de Koffi Kwahulé
du 11 au 30 mars 2014
Salle René Gonzalez
Interview de Denis Lavalou
fusionner un ensemble de répliques que l’on croyait devoir attribuer à un
personnage avec un autre alors plutôt que de forcer le dialogue et de devoir aller
trop dans l’absurde, on a préféré vraiment continuer à ouvrir. Et lorsqu’on est
arrivé à douze, forcément cela nous a interpellés. On pense spontanément aux
références chrétiennes, mais la symbolique du douze, est beaucoup plus ancienne
et universelle: les douze vies de l’hindouisme, les douze animaux de l’horoscope
chinois, les douze noms du Soleil en sanscrit, etc. Partout et en tout temps, le
douze est le nombre des cycles parfaits, immuables, de la nature et de la vie, le
cycle des renaissances. Et dans «Misterioso-119», c’est de cela dont il est question,
le sacrifice, la répétition du même pour conserver une forme d’harmonie, de logique
et de mystère. Et donc, on s’est arrêté à ce nombre.
Koffi Kwahulé: Dès le départ, je voulais qu’elles soient douze peut-être parce
que je suis chrétien. Pas religieux, je ne suis même pas sûr de croire en Dieu,
simplement chrétien. Mais ce chiffre n’est écrit nulle part. Cédric Dorier est d’ailleurs
le premier à avoir découvert qu’elles étaient douze.
Connaissez-vous l’histoire intime de chacune de ces femmes?
Koffi Kwahulé: Non, d’elles, je ne sais rien d’autre que les mots qui les construisent.
De toute façon, je ne les pense pas comme des personnages, mais comme des
énergies. Mettre des énergies côte à côte, les faire se rencontrer, s’affronter pour
créer un espace sonore où proposer à l’autre l’émotion que je crois, candidement
je le sais, urgent de partager.
Je sais que Caravage est un de vos peintres préférés, qu’est-ce qui vous
interpelle le plus dans sa peinture?
Koffi Kwahulé: Le mouvement et la lumière de la violence. Le fait que je ne peux
voir un tableau du Caravage sans aussitôt penser à Francis Bacon.
Cédric Dorier: L’originalité dans le choix du cadrage – quasi photographique –, la
force d’évocation des regards, la sensualité des corps exacerbée par la lumière. Ce
sont les lignes de force, l’énergie de sa peinture mais aussi la fragilité, une forme
d’abandon et la surprise qui émanent des personnages. Il sait saisir l’instant et le
théâtraliser sans raideur ni lourdeur. C’est une grande source d’inspiration pour
mon travail théâtral.
Misterioso-119
de Koffi Kwahulé
du 11 au 30 mars 2014
Koffi Kwahulé
Auteur de plus d’une vingtaine de pièces, Koffi Kwahulé est inspiré dans son travail
d’écriture par la rigueur et l’improvisation de la musique jazz. Elève de l’Institut
national des arts d’Abidjan, le jeune Ivoirien débarque en France afin de poursuivre
sa formation théâtrale à l’Ecole nationale supérieure des arts et des techniques du
théâtre. Docteur en arts du spectacle à la Sorbonne-Nouvelle, il publie sa première
pièce «Cette vieille magie noire» en 1992, ce texte fait l’objet d’une mise en espace
par le Ubu Theater de New York, l’année suivante. L’écriture forte de Koffi Kwahulé
s’oppose à l’usage habituel de la parole. Par le biais de rythmes saccadés, d’un
travail en profondeur sur la brutalité de l’oralité et d’une musicalité de la langue,
les textes sont habités de l’intérieur par le jazz. Traduites dans plusieurs langues,
ses pièces sont jouées à travers le monde: en 2004, «Big Shoot» est monté par
Michael Johnson-Chase au Lark Theater de New York: une seconde mise en
scène du texte est proposée en France et à Montréal par Kristian Frédric en 2005.
En 2006, l’auteur de théâtre publie son premier roman, «Babyface» qui reçoit de
nombreux prix littéraires. En 2007, «Jaz» est présenté au Teatro Palladium de Rome
par Daniela Giordano. Kristian Frédric, trouvant une naturelle complicité scénique
avec le dramaturge, présente sa version de «Jaz» au Québec et en Suisse en
2010-2011. Nourri par des éléments hétérogènes qu’il emprunte aux continents
africain et européen, Koffi Kwahulé additionne les cultures pour écrire un théâtre qui
traverse les frontières et se place parmi les auteurs africains les plus représentés à
l’international. Koffi Kwahulé vient de recevoir le Prix Edouard Glissant 2013 pour
l’ensemble de son œuvre. Décerné chaque année par un comité scientifique, le
Prix Édouard Glissant a été créé en 2002 à l’instigation de l’Université Paris VIII, en
partenariat avec l’Institut du Tout-Monde et la Maison de l’Amérique latine, pour
honorer une œuvre contemporaine en affinité avec l’esprit de relation.
© DR
Cédric Dorier
© Yann Amstutz
Salle René Gonzalez
Né en 1976, Cédric Dorier est diplômé du Conservatoire d’art dramatique de
Lausanne en 2001. Depuis, il a joué sous la direction de nombreux metteurs en
scène parmi lesquels Philippe Sireuil, Marc Liebens, Hervé Loichemol, Philippe
Morand, Geneviève Pasquier, Nicolas Rossier, Philippe Mentha, Richard Vachoux,
François Marin, Jean Liermier… Il aborde ainsi des auteurs aussi variés que Laplace,
Mallarmé, Molière, Musil, N’Diaye, Piemme, Racine, Scimone, Shakespeare,
Tchekhov, Voltaire, Walser ou Zahnd.
Parallèlement à son travail de comédien, il s’intéresse très tôt à la mise en scène.
Assistant de Patrice Caurier et Moshe Leiser tant au théâtre qu’à l’opéra, il travaille
également aux côtés de Philippe Mentha, Olivier Py, Philippe Sireuil et Jean-Yves Ruf.
Ressentant l’urgence de faire ses propres choix, Cédric Dorier crée la Compagnie
Les Célébrants en octobre 2005. Premier projet des Célébrants, «Moitié-moitié»
de Daniel Keene, dans lequel il interprète l’un des deux frères ennemis, réalisé
en coproduction avec le Théâtre Complice à Montréal et la Compagnie Lézards
qui bougent à Bayonne. En mai 2011, il met en scène «Titus Andronicus» de
Shakespeare au Théâtre du Grütli à Genève, ainsi qu’une adaptation du conte des
frères Grimm, «Hänsel et Gretel» de Denis Lavalou au Petit Théâtre de Lausanne
pour Noël 2011 et en tournée suisse romande en 2012. En septembre 2012,
il met en scène son premier opéra «La petite renarde rusée» de Leos Janacek
avec l’Atelier Lyrique/HEMU, Conservatoire de Lausanne. A l’invitation de Fabrice
Melquiot, il met en scène le monologue «La Nouvelle» de Marion Aubert au Théâtre
Am Stram Gram en janvier 2013.
A titre de pédagogue, il propose dès 2006 des stages d’interprétation pour
comédiens professionnels et pour apprentis-comédiens dans les trois écoles de
formation de Suisse Romande. (Les Teintureries, école de théâtre – La Manufacture/
HETSR à Lausanne – Ecole de théâtre Serge Martin à Genève).
A l’automne 2013, il joue sous la direction de Denis Marleau dans «Les Femmes
savantes» de Molière au Théâtre de Vidy-Lausanne et en tournée franco-belge.
En mars 2014, il met en scène «Misterioso-119» de Koffi Kwahulé avec douze
comédiennes romandes au Théâtre Vidy-Lausanne et au Théâtre du Grütli à
Genève, puis en tournée suisse romande.
Théâtre Vidy-Lausanne
Saison 2013-2014
Chapiteau Vidy-L
Du 11 au 22 mars 2014
Journal de ma nouvelle oreille
Salle Charles Apothéloz
Du 18 au 23 mars 2014
Seule la mer
Salle Charles Apothéloz
Du 3 au 11 avril 2014
La Passerelle
Du 29 avril au 18 mai 2014
Chapiteau Vidy-L
Le 4 et 5 mai 2014
de et avec Isabelle Fruchart
Adaptation et mise en scène :
Zabou Breitman
d’Amos Oz
Mise en scène :
Denis Maillefer
De nos jours [Notes On The Circus]
un spectacle d’Ivan Mosjoukine
Les demeurées
de Jeanne Benameur
Mise en scène :
Didier Carrier
Goldfish
par Inbal Pinto & Avshalom Pollak
Dance Company
Renseignements :
Théâtre Vidy-Lausanne
Av. E. Jaques-Dalcroze 5
1007 Lausanne
du mardi au samedi
de 10h00 à 19h00
Tél : 021/619 45 45
Fax : 021/619 45 99
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internet : www.vidy.ch
Point de vente :
Payot Librairie
Place Pépinet 4, Lausanne
du mardi au vendredi
de 13h00 à 18h30
le samedi
de 10h00 à 14h00 et de 14h30 à
18h00
(pas d’achat par téléphone chez
Payot)