La Chambre des officiers La naissance de Charlot Courts

Transcription

La Chambre des officiers La naissance de Charlot Courts
Médiathèque Jean Falala
Médiathèque Jean Falala
Médiathèque Croix-Rouge
Novembre 2014
Sur réservation en secteur jeunesse au 03 26 35 68 51.
SÉANCE IODESCRIPTION
EN AUD
Le Skate moderne
Proposée en partenariat avec l’Association Valentin Haüy comité de Reims.
Samedi 15 novembre à 15h
Les Enfants du marais
Un film de Jean Becker.
France, 1999, 1h55. Avec Jacques Villeret, Jacques Gamblin et André Dussollier.
Garris, un homme simple et généreux, quelque peu poète, vit au bord
d'un étang avec son ami Riton, qui élève trois enfants turbulents issus
de son second mariage. Riton, de temps en temps, noie son chagrin
dans le vin rouge pour tenter d'oublier sa première femme et grand amour.
Autour d'eux il y a également Amédée, un rêveur passionné de lecture, Pépé,
un ancien du marais devenu riche et Tane, le conducteur du petit train
local. Un jour, Garris rencontre une jeune femme, Marie. 
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ÉTRAGE ÉE
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AVEC L
Spécial Mois du film documentaire
Mardi 18 novembre à 19h
Adak
welcomebyzance.fr
Un film d’Amandine Faynot.
France, 2011, 23 min.
À Istanbul, le sacrifice du mouton, rituel encore
récemment orchestré par le père de famille, est
désormais accueilli dans une enceinte publique
municipale. Des sacrificateurs professionnels
y mettent en scène une mise à mort en série,
codifiée, parfaitement réalisée. La mutation des
codes régissant ces rites questionne : la catharsis provoquée
par le sacrifice existe-t-elle
encore lorsque la violence est
institutionnalisée ? 
Médiathèque Jean Falala
2 rue des Fuseliers - 03 26 35 68 00
Médiathèque Croix-Rouge
19 rue Jean-Louis Debar - 03 26 35 68 40
14-2014
CYCLE 19 OT A 100 ANS
CHARL
Un film d’Antoine Besse.
France, 2014, 7 min.
Le portrait d’un groupe de skaters qui n’hésitent pas à mettre leurs planches dans la
boue et rouler dans un environnement insolite et atypique, celui de nos campagnes.
Entre fiction et documentaire, la vidéo suit
de manière contemplative une bande de skaters-fermiers dans les coins les plus reculés
de la Dordogne. 
Daphné
ou la belle plante
Un film de Sébastien Laudenbach
et Sylvain Derosne.
France, 2014, 15 min.
Comme toute belle plante, Daphné bourgeonne,
éclot, embaume et s’effeuille. Mais ne se laisse
jamais cueillir… Combinant animation et prise
de vue en continu, ce documentaire dresse le
portrait d’une femme impudique et sensible,
qui nous parle d’abord de son corps, puis de son
cœur. Sans langue de bois. 
La naissance
de Charlot
SKA
KINOPOL
Vendredi 5 décembre à 19h
Samedi 6 décembre à 15h
Dimanche 7 décembre à 15h
e
7 édition
du festival
du film polonais
Le C.O.D.
et le coquelicot
Un film de Jeanne Paturle
et Cécile Rousset.
France, 2013, 24 min.
Dans une école primaire d’un quartier périphérique de Paris réputé difficile, où les équipes
d’enseignants s’épuisent et se succèdent d’année
en année, cinq jeunes maîtres sans expérience
ont fait le pari de rester. Cinq ans après, ils nous
parlent de leur quotidien dans ce lieu où ils tentent
de construire, dans une alternance de découragement et de projets, une école comme les autres. 
Mercredi 12 novembre
à 14h30
Tarzan,
Don Quichotte
et nous
Un film d’Hassen Ferhani.
Algérie, 2013, 18 min.
Une balade dans le quartier de Cervantès à
Alger, à la recherche des personnages et des
histoires qui y sont nés : de Tarzan et Jane à
Don Quichotte, réalité et fiction s’entremêlent.
Le souvenir collectif d’un quartier croise celui
de l’histoire du cinéma. Un court-métrage fantaisiste à mi-chemin entre comédie cinéphile
et légendes urbaines… 
À l’occasion du 25e anniversaire des premières
élections libres en Pologne, une sélection de
films, Transformation, donne à voir en version
restaurée, les classiques du cinéma polonais, souvent inédits en France. Le festival est également
l’occasion de découvrir les courts-métrages de
jeunes réalisateurs polonais, en partenariat avec
l’École de Cinéma de Łódz, et le Studio Munk. Et
pour clore le festival, un ciné-goûter pour les plus
jeunes, avec 5 courts-métrages d’animation polonaise, pour suivre les aventures du fameux petit
chien Reksio. 
Un documentaire de Serge Bromberg
et Éric Lange.
France, 2013, 1h.
C’est en 1914, sur le tournage de
L'étrange Aventure de Mabel, que Chaplin décide
de changer de costume. Il prend au hasard une
veste étriquée et un pantalon trop large… Charlot
est né. Sa réussite sera fulgurante. (…) « À part
la guerre, Charlot est la chose la plus chère de
l'histoire », titre un journal. Une guerre à laquelle
Charlie Chaplin, toujours citoyen britannique,
ne participera pas. On ne peut pas être sur tous
les fronts et ce génie multiforme contribua à sa
manière à l'effort de guerre, ne serait-ce qu'en
soutenant le moral des troupes… 
« Comment, il y a un siècle, un obscur
acteur de music-hall anglais devint une star
mondiale en réinventant le cinéma. Serge
Bromberg et Éric Lange nous font revivre
la naissance d’une icône dont la simple
silhouette résume à elle seule le cinéma
dans ce qu’il a de plus lumineux, de plus
émouvant et de plus inventif. » Le Monde.
Pour tous à partir de 12 ans.
Fin de séance : 15h30.
Samedi 15 novembre à 14h30
Courts-métrages
de Charlie Chaplin
États-Unis, 1916, 2 x 26 min.
Avec Charlie Chaplin et Edna Purviance.
Charlot musicien
Un musicien de rue sauve une jeune gitane d’un
« protecteur » violent et s’enfuit avec elle dans sa
roulotte. 
Charlot patine
Charlot est serveur dans une gargote et ne s’entend pas très bien avec son collègue. Pendant la
pause, il va patiner sur des patins à roulettes
dans la patinoire voisine… 
« Ces 2 films lumineux sont des mécaniques irrésistibles où petits et grands
découvriront pourquoi, aujourd’hui encore,
Charlot est synonyme de rire. » Télérama.
À partir de 8 ans.
Fin de séance : 15h30.
SÉANCE ROVERSE
CONT
Médiathèque Jean Falala
MIÈRE LE AU CINÉMA
E
R
P
A
L
CYCLE ERRE MONDIA
GU
Le rendez-vous mensuel du cinéma
impertinent, déroutant et touchant,
destiné à un public averti de 14 ans et plus.
Séance présentée et décryptée par Claude
Bégué, animateur de ciné-clubs.
Samedi 22 novembre à 14h30
Después de Lucia
Un film de Michel Franco.
Mexique / France, 2012, 1h43 min.
Lucia est morte dans un accident de voiture il y a
six mois. Depuis, son mari Roberto et sa fille Alejandra tentent de surmonter ce deuil. Afin de prendre
un nouveau départ, Roberto décide de s’installer à
Mexico. Alejandra se retrouve, nouvelle, dans une
classe. Plus jolie, plus brillante, elle est rapidement
la cible d’envie et de jalousie de la part de ses camarades. Refusant d’en parler à son père, elle devient
une proie, un bouc émissaire… 
Prix Un certain regard au Festival de Cannes
2012.
« Después de Lucia touche si juste, si fort, si
durablement… Des cadrages à la durée des
plans, du jeu des comédiens au scénario,
tout est précis, dense, déroutant, mais de
manière étonnamment fluide… » Télérama.
Film interdit aux moins de 12 ans.
Mardi 4 novembre à 19h
La Chambre des officiers
Un film de François Dupeyron.
France, 2002, 2h10 min.
Avec André Dussollier, Éric Caravaca et Sabine Azéma.
Août 1914, Adrien, jeune et séduisant lieutenant, part à cheval en reconnaissance. Un obus éclate
et lui arrache le bas du visage. La guerre, c’est au Val de Grâce qu’Adrien la passe, dans la chambre
des officiers. Une pièce sans miroir, où chacun se voit dans le regard de l’autre : il est devenu une
gueule cassée. Cinq années à nouer des amitiés irréductibles, cinq années pour se reconstruire, pour
se préparer à l’avenir… 
« Dupeyron refuse de souligner l’horreur. Il n’édulcore rien, mais c’est la vie qu’il
dramatise. Du lit de supplice à la chambre où les miroirs ont été
enlevés mais pas le reflet des vitres… c’est une bataille
qui se livre. Contre sa peur des autres, et contre la
haine, la honte de soi-même. C’est de la reconquête
d’une humanité que le film donne ainsi la mesure. »
Frédéric Strauss in Télérama.
Fin de la séance : 21h10.
Médiathèque Jean Falala
Mercredi 26 novembre à 15h
Suivi à 15h20 de
Joyeux Noël
Un film de Christian Carion.
France, 2006, 1h55 min.
Avec Diane Kruger, Guillaume Canet et Dany Boon.
Lorsque la guerre surgit au cœur de l'été 1914, elle surprend et emporte dans son tourbillon des millions
d'hommes. Nikolaus Sprink, prodigieux ténor à l'opéra de Berlin, va devoir renoncer à sa belle carrière
et surtout à celle qu'il aime. Le prêtre anglican Palmer s'est porté volontaire pour suivre Jonathan,
son jeune aide à l'église. Ils quittent leur Écosse, l'un comme soldat, l'autre comme brancardier. Le
lieutenant Audebert a dû laisser sa femme enceinte et alitée pour aller combattre l'ennemi. Et puis
arrive Noël, avec sa neige et son cortège de cadeaux des familles et des États-majors. Mais la surprise
ne viendra pas des colis généreux qui jonchent les tranchées françaises, écossaises et allemandes… 
À partir de 13 ans.
Fin de séance : 17h.
FI L M
MOIS DU ENTAIRE 2014
DOCUM
14-18, la Grande Guerre
dans le documentaire
Jeudi 6 novembre à 19h
Juste avant l’orage
Un film de Don Kent, Leslie Grunberg
et Marine Thellier.
France, 2013, 1h35 min.
C’est en retrouvant dans une vieille valise les
traces fugaces d’un oncle mort en France en
1915, que Don Kent entreprend son voyage à
travers l’Europe d’avant-guerre, à la découverte
de ce monde d’hier merveilleusement décrit par
Stefan Zweig. À quoi ressemblait-elle, cette Belle
Époque qui s’engouffrait, faussement confiante,
dans la modernité, faisant mine d’ignorer les
démons qui allaient précipiter sa chute ? Archives
rares, partitions musicales, extraits littéraires
ou cinématographiques, au fil de rencontres
et d’étapes, de Vienne à Paris en passant par
Saint-Pétersbourg, le réalisateur croise les regards
d’intellectuels singuliers pour recomposer ce
passé d’il y a tout juste cent ans. 
Fin de séance : 20h35.
Médiathèque Jean Falala
Samedi 8 novembre à 14h30
L’Héroïque
cinématographe
Un film de Laurent Veray
et Agnès de Sacy.
France, 2002, 48 min.
Entièrement réalisé à partir d’images d’archives
de la Première Guerre mondiale, le film se
présente comme le journal de guerre de deux
cameramen, un Français et un Allemand,
qui suivent le déroulement du conflit de part
et d’autre de la ligne de front. Il retrace cette
période où quelques pionniers inventent le
cinéma d’actualité et découvrent les questions
qu’il pose. Des questions de cinéastes dont
l’écho résonne encore aujourd’hui. 
Fusillés pour
l’exemple
Un film de Patrick Cabouat.
France, 2003, 52 min.
À l’issue de la première enquête historique
exhaustive menée sur la douloureuse question
des fusillés de la Grande Guerre, le général
André Bach, historien et ancien directeur du
Service historique de l’Armée de Terre, nous
conduit sur les traces que laissent encore
dans les mémoires ces faits dramatiques de la
Première Guerre mondiale et pose la question de
la réhabilitation de ces sacrifiés de l’Histoire. 
Fin de séance : 16h15.
Jeudi 13 novembre à 19h
Nom de code :
poilus d’Alaska
Un film de Marc Jampolsky.
France, 2011, 1h30 min.
Hiver 1914, massif des Vosges. La situation des
soldats en première ligne est catastrophique :
coupés de leur base arrière par d’importantes
chutes de neige, il est impossible de les
ravitailler. Le front résiste mais des milliers
de chasseurs alpins y laissent la vie. Pour
éviter que ce désastre ne se reproduise l’hiver
suivant, deux officiers proposent alors d’utiliser
des chiens de traîneaux. Pour avoir vécu en
Alaska avant le conflit, le capitaine Louis
Moufflet et le lieutenant René Haas connaissent
en effet l’incroyable résistance de ces animaux.
En août 1915, ils partent donc pour l’Amérique
du Nord avec pour mission de ramener plus de
400 chiens, des traîneaux et harnachements !
Commence alors une incroyable aventure, à
laquelle s’associe dès le début le plus célèbre
des conducteurs de traîneaux à chiens, le
musher Scotty Allan, qui inspira Jack London.
L’aventure des poilus d’Alaska fait partie de
ces histoires oubliées où l’héroïsme individuel
fait écho à la folie et à la démesure du premier
conflit mondial. À la manière d’une grande
enquête, ce documentaire en livre le récit,
assemblant les indices dispersés entre la
France, l’Alaska et le Canada, des tranchées de
14-18 aux saloons du Klondike… 
Fin de séance : 20h30.
Samedi 22 novembre à 14h30
Dans les tranchées,
l’Afrique, l’aventure
ambiguë
Un film de Florida Sadki.
France, 2004, 52 min.
Pendant la Première Guerre mondiale, l’armée
française, qui manquait de soldats, enrôla
134 000 Africains dans ses rangs. Le film
retrace les principales opérations militaires
françaises sur le front occidental, en soulignant
cet aspect parfois méconnu. Pendant la bataille
de Verdun, de nombreux tirailleurs sénégalais
périrent. Il évoque le courage de ces soldats, le
mode de recrutement en Afrique, l’ambiguïté
du discours colonial républicain oscillant
entre paternalisme et goût de l’exotisme. Il
montre aussi le racisme des Allemands et des
Alliés critiquant une France défendue par
des « Nègres », s’interroge sur les relations qui
existaient entre les Noirs et les « poilus » au
front, sur les tensions entre la population et les
Africains quand, à l’Armistice, la Rhénanie fut
occupée.
Suivi à 15h30 de
Mourir pour
la patrie : de l’école
aux tranchées
Un film de Jérôme Lambert et Philippe
Picard.
France, 2014, 52 min.
La Première Guerre mondiale : plus d’un million
de morts côté français, des villages entiers
décimés, une cohorte d’éclopés, de « gueules
Médiathèque Jean Falala
cassées ». Comment expliquer le sens du devoir
et l’esprit de sacrifice de ces hommes partis en
1914 vers un massacre sans équivalent dans
l’histoire de France ? Ce film révèle comment
l’école publique, dès sa création, a préparé les
jeunes Français à devenir de bons citoyens et
de futurs soldats. L’instruction laïque, gratuite
et obligatoire n’avait pas comme seule mission
l’apprentissage de la lecture, de l’écriture et du
calcul. Entre 1871 et 1914, les manuels scolaires
et les livres pour la jeunesse n’ont cessé de
cultiver l’amour de la patrie, le sens du devoir et
le culte du sacrifice. 
Fin de séance : 16h30.
Jeudi 27 novembre à 19h
Paroles de Poilus
Captation de l’adaptation scénique
d’Ivan Morane.
France, 2007, 1h20 min.
« Le temps de notre représentation se situe
aujourd’hui ; une femme a retrouvé les secrets de
son grand-père : lettres, habits… et c’est dans
son imaginaire à elle que le public pénètre. Mais
c’est l’universalité et l’intemporalité des propos
tenus dans ces lettres écrites par des jeunes
gens, le plus souvent issus des campagnes,
qui a été le moteur de notre travail. La guerre
de 14 n’a pas seulement été une horreur « en
soi », achevée en 1918, et maintenant refermée.
Les colonnes des pages internationales de nos
journaux sont pleines aujourd’hui de descriptions
quasi-identiques. (…) Faire revivre ces
poilus aujourd’hui sur une scène de
théâtre, c’est, pour moi, tenter de donner
un sens à leur mort, à celles de tous les
sacrifiés des guerres actuelles, à celle
de mon grand-père maternel, revenu des
tranchées en 1918, mais bientôt devenu
fou… » Ivan Morane. 
Fin de séance : 20h30.
Samedi 29 novembre à 14h30
La Grande Guerre
en chansons
Un film de Gilles Nadeau.
France, 1993, 57 min.
Ce documentaire compare l’histoire anglaise,
allemande et française des chansons de la
guerre 14-18. Les cultures de guerre, telles
qu'elles s'expriment à travers les chansons
de ces trois pays, présentent des similitudes
sans être identiques. Patriotique chez les
Français, la chanson oscille entre tradition
chorale et opposition née dans les cabarets,
chez les Allemands. Les chansons anglaises
ne présentent pas de culture militaire, on ne
songe pas à déserter une armée de volontaires.
Le temps passant, le manque affectif se fait
sentir ; les révoltes antimilitaristes pointent de
chaque côté du front. La Chanson de Craonne
restée anonyme et Der Graben (La Tranchée) de
Tucholsky en sont les meilleurs exemples. 
Suivi à 15h30 de
Les Français dans
la Grande Guerre
Un film de Cédric Condom.
France, 2008, 52 min.
Quatre ans de conflit. Quatre ans de privations
pour tous les Français touchés par une
guerre dite « totale ». Des images d’archives
d’une dimension rare nous projettent dans
le quotidien des soldats au front, mais aussi
des civils, à l’arrière, avec en particulier une
mobilisation sans précédent des femmes pour
l’effort de guerre. 
Fin de séance : 16h30.
Médiathèque Jean Falala
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STUDEN
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CINÉ-CL ANÇAIS CULTE
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L E S FI L M
LA NUIT RREUR…
DE L'HO
le retour !
Vendredi 7 novembre à 19h
Des hordes de zombies envahissent la
médiathèque pour une nuit de projection
riche en émotions : des bandes annonces,
des courts-métrages comico-horrifiques,
un concours de marche de zombies et
bien sûr des films culte ! N’hésitez pas à
venir déguisés !
Une soirée proposée en collaboration
avec Yann Oléjarz de Panic ! Cinéma.
À 19h30
Zombeavers
Le Service des Relations Internationales
de l’Université de Reims ChampagneArdenne (URCA) et le CRIJ ChampagneArdenne (Europe Direct) proposent tous
les mois des projections de grands films
français, sous-titrés en français ou en
anglais. Ces projections s’adressent
tout particulièrement aux étudiants
internationaux et aux personnes d’origine
étrangère.
Mercredi 12 novembre à 19h
Inédit
en
France !
Un film de Jordan Rubin.
États-Unis, 2014, 1h25 min.
Version originale sous-titrée en français.
Une horde de castors zombies s'attaque à des
adolescents en vacances… 
Film interdit aux moins de 12 ans.
À 22h
Braindead
Un film de Peter Jackson.
Nouvelle-Zélande, 1993, 1h44 min.
Version française.
Lionel Cosgrove, un jeune homme
timide flanqué d'une mère envahissante, fait la connaissance
de la belle Paquita, dont il tombe
amoureux. Ce qui n'est pas du goût de sa chère
maman, bien décidée à gâcher cette relation.
Alors qu'elle espionne l'un de leurs rendez-vous
galants au zoo, cette dernière est mordue par
un singe-rat de Sumatra. Succombant à ses
blessures, elle se transforme alors en zombie
cannibale et contamine peu à peu la ville. Seul
Lionel peut stopper l'invasion… 
Grand prix au Festival international du film
fantastique d'Avoriaz 1993.
Film interdit aux moins de 16 ans.
La Haine
Un film de Mathieu Kassovitz.
France, 1995, 1h35 min. Avec Vincent
Cassel, Saïd Taghmaoui et Hubert Koundé.
Trois copains d'une banlieue ordinaire traînent
leur ennui et leur jeunesse qui se perd. Ils vont
vivre la journée la plus importante de leur vie
après une nuit d'émeutes provoquée par le
passage à tabac d'un jeune par un inspecteur de
police lors d'un interrogatoire. 
Film interdit aux moins de 12 ans.