DOSSIER DE PRESSE

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DOSSIER DE PRESSE

DOSSIER DE PRESSE
Pose de la première pierre
de
L’Institut de la Vision
Jeudi 21 septembre 2006
Institut de la Vision
SOMMAIRE

Communiqué de Presse
page 3

Le premier Partenariat Public-Privé (PPP)
page 5

Le projet immobilier
page 7

Bureaux et logements d’accueil
page 10

Présentation du Centre Hospitalier
National Ophtalmologique (CHNO)
page 12

Icade – Promoteur et investisseur
page 14

Caisse des Dépôts - Investisseur
page 15

Groupe Caisse d’Epargne - Investisseur
page 16

Les partenaires – le Conseil Régional d’Ile-de-France
page 17

Les partenaires – Ville de Paris
Page 18

Informations pratiques
page 20
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Communiqué de presse
Boulogne-Billancourt, le 21 septembre 2006
Pose de la première pierre de l’Institut de la Vision,
premier Partenariat Public-Privé (PPP) de l’ordonnance 2003
François Goulard, ministre délégué à l’Enseignement supérieur et à la recherche, Alain Lhostis, adjoint
au Maire de Paris chargé de la santé et des relations avec l’AP-HP, Marc Lipinski, vice-président du
Conseil régional d’Ile-de-France, Hervé Fabre-Aubrespy, Président du conseil d’administration du
Centre Hospitalier National Ophtalmologique (CHNO) des Quinze-Vingts et Etienne Bertier, présidentdirecteur général d’Icade ont posé aujourd’hui la première pierre de l’Institut de la Vision dans
l’enceinte du CHNO des Quinze-Vingts (Paris 12e).
L’institut de la Vision abritera un centre européen d’études et de recherches sur les pathologies
oculaires et regroupera, sur un même site, recherche fondamentale et recherche clinique, acteurs
publics, Inserm, Université Pierre et Marie Curie Paris 6, et entreprises privées .
Imaginée comme une vraie passerelle permettant de relier le monde de la recherche et celui de
l’entreprise, cette opération a fait l’objet d’un montage innovant. Il s’agit d’un tout premier Partenariat
Public-Privé réalisé dans le cadre du bail emphytéotique hospitalier (BEH) autorisé par l’Ordonnance
du 4 septembre 2003, pour lequel le groupement Caisse des Dépôts/Groupe Caisse d’Epargne/Icade
a été retenu comme investisseur, promoteur et exploitant pour une durée de 30 ans.
L’ensemble de la construction, d’une superficie de 11 000m², comprendra :
L’Institut de la Vision proprement dit, géré par le CHNO des Quinze-Vingts, bâtiment indépendant
spécifiquement dédié aux recherches biomédicales sur la vision, regroupant des locaux pour des
équipes de chercheurs et un secteur dédié aux jeunes entreprises innovantes. Des équipements
communs très complets seront mis à la disposition de ces équipes : animalerie, laboratoires
spécialisés et zones de réunions ou de détente.
Un immeuble de bureaux géré par le Groupement privé qui sera loué à des organismes ou des
entreprises dont l’activité est en synergie avec l’Institut de la Vision.
Une résidence hôtelière qui sera gérée par Icade Eurostudiomes et accueillera des patients du
CHNO des Quinze-Vingts et leur famille, mais aussi des chercheurs du futur institut.
Le coût total d’investissement est de trente millions d’euros. Le Conseil régional d’Ile-de France et la
Ville de Paris contribuent au financement de l’Institut de la Vision par des subventions
d’investissement et d’exploitation.
L’ouverture est prévue en janvier 2008 et ce nouveau campus devrait recevoir plus de 700 personnes
travaillant sur le site. Icade réalise l’opération en promotion, la conception du projet est assurée par le
cabinet d’architecture Brunet-Saunier avec le bureau d’études Icade Arcoba et la construction par
l’entreprise générale Rabot-Dutilleul.
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A propos du Centre Hospitalier National d’Ophtalmologie
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Dénommé CHNO (Centre Hospitalier National d’Ophtalmologie) à partir de 1992, l’hôpital devient, selon le
code de la santé publique, un établissement public national qui contribue à assurer en matière
d’ophtalmologie les missions du service public hospitalier, c’est-à-dire non seulement les soins, mais aussi
l’enseignement et la recherche, tout en conservant sa vocation initiale d’hébergement des personnes
aveugles ou malvoyantes.
Chiffres clés 2005 :
125 lits de chirurgie – 10 places de chirurgie ambulatoire
13 000 patients hospitalisés
près de 125 000 patients en consultations
près de 36 000 passages aux urgences
516 personnels non médicaux
231 médecins
A propos d’ICADE et des PPP
Icade dispose de solides références dans tous les domaines d’intervention de l’Etat et des collectivités
locales : équipements publics, sécurité intérieure, justice, enseignement, recherche, hôpitaux, maisons de
retraite, gendarmeries, sports, culture, loisirs, commerces. Icade est un opérateur immobilier complet qui
peut mettre tous ses métiers au service de ses clients publics dans le cadre d’un même contrat de
partenariat. Précurseur sur le marché des PPP, elle a gagné dix PPP au cours des dix-huit derniers mois :
• Centre Hospitalier de Poitiers (86) - Centre médico-psychiatrique Hôpital de jour.
• CHNO des Quinze-Vingts - Institut de la Vision (75012).
• Ville de Paris – Docks en Seine – Zac Rive Gauche (75013).
• Centre Hospitalier de Laval (57) - Maison de retraite de Saint Julien (57).
• Commune de Villerest (42) - Gendarmerie + logements + bureaux, locaux techniques et
garages.
• Commune de Feurs (42) - Gendarmerie + logements + locaux de services.
• Ville du Pont de l’arche (27) - Gendarmerie + maisons + appartements de fonction.
• Commune de Saint Bon Courchevel (73) -Gendarmerie + logements + parking public.
• Ministère de l’intérieur – Annexe de l’Hôtel de Police et Cantonnement de CRS de Meaux (77).
• Ministère des affaires étrangères – Archives diplomatiques - La Courneuve (93).
Contacts :
Mathieu Carré
Responsable Communication Externe
Tel.: 01 46 94 41 64
[email protected]
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LE PREMIER PARTENARIAT PUBLIC-PRIVÉ
Début 2008, Paris sera doté d’un centre de recherches sur les maladies de l’œil de dimension
internationale grâce à un partenariat public-privé (PPP).
Depuis quatre à cinq ans, l’Inserm, l’Université Pierre et Marie Curie Paris 6,
le ministère de la Recherche et le Centre Hospitalier National d’Ophtalmologie (CHNO) des
Quinze-Vingts affichent la volonté de structurer l’espace de recherche et de développement
consacré aux maladies de l’œil autour d’un pôle de dimension internationale. C’est ainsi qu’est né
le projet d’un centre de recherche sur les maladies oculaires, baptisé Institut de la vision. Au côté
de plusieurs laboratoires et services hospitaliers franciliens – CHNO des Quinze-Vingts,
départements d’ophtalmologie de l’AP-HP, fondation ophtalmologique Rothschild notamment, et
grâce au soutien de de la Région Ile- de -France, de la Ville de Paris, de l’INSERM, de l’Université
Pierre et Marie Curie Paris 6, de l’Association Française contre les Myopathies, de Rétina France,
de la Fédération des Aveugles & Handicapés visuels de France, de la Fondation pour la
Recherche Médicale, de la Fondation NRJ, de la Fondation Bettencourt-Schueller, de l’Agence
Nationale de la recherche), cet institut formera la branche vision, ou visiopôle, de MediCen Santé,
le pôle de compétitivité mondial Ile-de-France, dont une part est consacrée aux maladies du
système nerveux.
L’institut ouvrira ses portes début 2008 dans un ensemble immobilier d’une surface de
11 000 m² construit sur le site du CHNO des Quinze-Vingts, à Paris (12e) .Il sera dirigé par le
professeur Alain Sahel, directeur du Laboratoire de Physiopathologie Cellulaire et Moléculaire de
la rétine UMR 592- Inserm-Université Pierre et Marie Curie Paris 6 et porteur du projet depuis
2002.
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L’un des premiers PPP
L’opération constitue l’un des premiers partenariats public-privé (PPP) conclus en France. Ce PPP est
réalisé dans le cadre du bail emphytéotique hospitalier (BEH) autorisé par l’ordonnance santé du 4
septembre 2003. Il s’agit de la première opération de cette taille réalisée dans ce nouveau cadre
législatif qui démontre ainsi son utilité pour répondre à des situations d’urgence sur des projets
complexes.
Ce projet permettra de disposer, début 2008, sur un terrain disponible depuis plus de vingt ans, d’un
bâtiment dédié à la recherche clinique et biomédicale, pour l’Institut de la Vision, dont le coût
d’investissement et d’exploitation sera externalisé et optimisé par les recettes locatives d’un immeuble
de bureaux et d’une résidence hôtelière.
Ce premier PPP, d’environ 30M€ d’investissement, a fait l’objet d’un dialogue compétitif extrêmement
riche grâce aux exigences du CHNO et à la concurrence. C’est le groupement Caisse des Dépôts,
Groupe Caisse d’Epargne, Icade qui a été retenu comme investisseur, promoteur et exploitant pour une
durée de 30 ans.
CHNO des Quinze-Vingts
B.E.H.
et convention de location
Bail de location
( Unité complémentaire locative )
Prêteur :
Groupe Caisse d’Epargne
Société de projet = S.C.I.
Plateaux tertiaires :
entreprises
CDC (43%), ICADE (22%),
Groupe Caisse d’Epargne (35%)
Résidence « service » :
ICADE EUROSTUDIOMES
Gestionnaire
Contrat de maintenance et de services
Facility management :
ICADE EUROGEM
Contrat de promotion immobilière
ICADE
Autres intervenants :
CSPS,
CSSI
Contrôleur Technique
Concepteur :
Agence d’Architecture :
Constructeur :
Jérôme Brunet-Eric Saunier
Entreprise générale :
BET:
RABOT DUTILLEUL
ICADE ARCOBA
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LE PROJET IMMOBILIER
Les bâtiments
L’ensemble immobilier projeté, d’une surface hors œuvre nette de 11 426 m², valorise une emprise
foncière hospitalière disponible sur le site des Quinze-Vingts à Paris.
L’institut de la vision proprement dit représente 52% de la surface à construire.
Une unité complémentaire destinée à être louée sous la responsabilité de l’emphytéote propose deux
types d’activités en lien avec la mission générale du Centre hospitalier : des plateaux libres dédiés à
des activités tertiaires, pour 4 412 m² de surface utile locative, et une résidence de services offrant 26
unités d’hébergement.
L’intérêt et l’originalité du projet résident dans l’intégration sur le même site des fonctions de soin et de
recherche et dans la valorisation du foncier disponible sur le marché immobilier au profit de la
recherche.
La façade vitrail, image urbaine de l’Institut de la Vision
La démarche créative du projet architectural a été particulièrement nourrie et guidée par l’étude des
vitraux incolores. Dotés d’une vie diurne et nocturne grâce à leur lisibilité sur les deux faces, ils
transmettent un maximum de luminosité sans altérer le rendu des couleurs. L’objet de cette architecture
était de créer des sensations les plus fines, les plus émouvantes associées à la vision humaine :
translucidité, diffraction, réflexion et évanescence.
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FONCTIONNEMENT
Plateaux techniques
L’institut de la Vision fonctionnera avec des plateaux techniques communs : animalerie, analyse du
transcriptome,
du
protéome,
bio
informatique,
imagerie,
tests
comportementaux,
électrorétinogramme etc… La surface restante sera partagée à parité entre des laboratoires du
secteur académique - dont l’équipe fondatrice, l’unité Inserm 592 –Université Pierre et Marie Curie –
(Paris 6e) dirigée par J.A. Sahel - et les laboratoires de jeunes d’entreprises innovantes.
Indépendance et mutualisation
« Chaque équipe aura une totale autonomie de travail et de gestion, même s’il y aura une
mutualisation des moyens et un comité stratégique qui définira une politique commune, explique
J.A. Sahel. Notre souhait est que les chercheurs s’approprient l’institut, comme ils s’approprient leur
travail. Le fonctionnement en centre de recherche, tel qu’il est préconisé par l’Inserm, assurera un
fonctionnement qui a fait ses preuves, sous l’égide de cet organisme. »
Le versant industriel de l’institut, quant à lui, s’appuiera sur une « une pépinière » déployée sur
2 000 m² environ. Une dizaine de laboratoires de jeunes entreprises innovantes seront hébergées
dans l’Institut de la Vision pour une période renouvelable mais limitée.
Elles auront accès à l’ensemble des plates formes techniques, au Centre d’investigations cliniques
(CIC) des Quinze-Vingts - qui est impliqué actuellement dans une quinzaine d’essais cliniques en
ophtalmologie - ainsi qu’aux réseaux de recherche nationaux et internationaux liés à l’institut.
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CHIFFRES CLES
11 426 m²
200
chercheurs
516
employés non médicaux
26
unités d’hébergement
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BUREAUX ET LOGEMENTS D’ACCUEIL
Une architecture respectueuse des faubourgs
de la Bastille
L’architecture de ce bâtiment multifonctionnel se réfère
aux immeubles d’ateliers caractéristiques du quartier :
trame structurelle, ouvertures largement dimensionnées
favorisant la lumière naturelle, rythme vertical des
ensembles menuisés.
Des stores extérieurs en toile assurent une efficace
protection solaire.
Les espaces communs : lumière naturelle et clarté
des parcours
Le hall ainsi que tous les paliers d’étage sont
largement vitrés sur le jardin intérieur, bénéficiant
ainsi d’un éclairage naturel abondant.
Les parcours sont d’une grande lisibilité,
le repérage immédiat.
Les prestations, sobres et modernes, sont
caractérisées par des détails de mise en œuvre
particulièrement soignés.
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BUREAUX ET LOGEMENTS D’ACCUEIL
Des plateaux très polyvalents
Les plateaux de bureaux sont structurés en trois travées
de 6,5 m de portée.
Éclairage par de larges baies vitrées,
Positionnement des postes de travail en façade,
Faux plafond démontable,
Les façades épaisses offrent une très bonne inertie
thermique et limitent les besoins en chauffage,
La protection solaire est extérieure, gage d’efficacité
énergétique et de modération des coûts de climatisation.
26
unités d’hébergement
(avec services de petits déjeuners, ménage, blanchisserie, etc.)
Les architectes
Le cabinet Brunet-Saunier développe depuis 1994 son
activité dans le domaine de la santé. Sur le concept « déarchitecturer l’hôpital », le prix Dexia « Hôpital 2010 » lui
est décerné en 2003. Aujourd’hui, les centres hospitaliers
de Lagny-la-Vallée, de Toulon-laSeyne et de Châlon-surSaône, un immeuble de bureaux - Zac Thiers à Lyon ainsi que le centre commercial de Tourcoing sont en
phase d’études.
Entreprise de construction
Rabot Dutilleul est spécialisé dans la réalisation de tout
type de bâtiment de taille supérieure à 5 000 m² en région
parisienne et se développe dans les pays de l’Est. Son
activité est particulièrement orientée vers les bâtiments
tertiaires, les établissements de santé, les bâtiments
scolaires et les centres commerciaux.
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De la Fondation Royale au Centre National d’Ophtalmologie
Une légende veut que Saint-Louis, ayant rencontré au cours de ses
voyages en Lieux Saints un nombre important d’aveugles, en fut ému au
point de faire construire à son retour un hospice près du Louvre pour
soulager 15 fois 20 de ses chevaliers qui risquaient de perdre la vue car
atteints de trachome.
Il y avait plus certainement chez le bon roi un souci d’ordre public :
réduire la mendicité dans Paris, et ce faisant, répondre à des impératifs
de charité.
Fin 1779, le Cardinal de Rohan fit transférer les QuinzeVingts dans la caserne des Mousquetaires Noirs de la
Reine, rue de Charenton.
La Révolution, la Terreur, les changements de régime
épargnèrent les privilèges de l’institution.
A la fin du 18ème siècle, Valentin Haüy proposa du travail
aux aveugles afin de lutter contre leur oisiveté. Louis
Braille leur permit de lire grâce à son alphabet.
En 1873, le Docteur Fieuzal créa sur le site une clinique
pour traiter gratuitement les maladies des yeux. En 1880,
grâce au soutien de Gambetta, un bâtiment
d’hospitalisation de 25 lits ouvrit ses portes. Sa capacité
progressa de manière constante, passant de 65 lits en
1886 à 171 lits en 1942.
Simultanément, le premier enseignement d’ophtalmologie y fut donné, comportant quatre conférences
par semaine.
Après la seconde Guerre Mondiale, et malgré de nombreuses modernisations, la clinique s’avéra
inadaptée pour pallier l’afflux sans cesse croissant des malades ; une reconstruction devenait donc
indispensable.
L’Etat prit en charge l’installation d’un complexe
permettant à la fois l’hébergement des aveugles
et malvoyants (la vocation initiale de l’institution),
l’hospitalisation des patients et l’implantation d’un
plateau technique de grande qualité.
Après une longue période de travaux, le Centre
National d’Ophtalmologie dans sa nouvelle
configuration architecturale fut achevé en 1974.
Aujourd’hui, il ne reste plus du bâtiment d’origine
que le porche d’entrée de la caserne des
mousquetaires et la chapelle.
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Le CHNO d’aujourd’hui et de demain
Dénommé CHNO (Centre Hospitalier National d’Ophtalmologie) à partir de 1992, l’hôpital devient,
selon le code de la santé publique, un établissement public national qui contribue à assurer en
matière d’ophtalmologie les missions du service public hospitalier, c’est-à-dire non seulement les
soins, mais aussi l’enseignement et la recherche, tout en conservant sa vocation initiale
d’hébergement des personnes aveugles ou malvoyantes.
S’agissant de la recherche en ophtalmologie, l’hôpital a déjà montré sa détermination : il a obtenu
la labellisation de son CIC (Centre d’Investigations Cliniques) en 2004. Il coordonne plusieurs
PHRC (programme hospitalier de recherche clinique). Il accueille un « centre de référence de
maladies rares » : les dystrophies rétiniennes héréditaires. Toutefois, l’allongement de l’espérance
de vie impose désormais une forte mobilisation des chercheurs pour lutter contre ses
conséquences, en particulier l’aggravation des altérations de la rétine, le risque de cécité après 80
ans. Le CHNO des Quinze-Vingts a décidé de relever ce défi : un bâtiment totalement dédié à la
recherche est en cours de construction sur le site de l’hôpital. Par ailleurs, les dispositions
récentes de l’ordonnance du 4 septembre 2003 ont permis de lancer cette opération
d’investissement dans le cadre d’un partenariat public-privé.
L’Institut de la Vision, dénomination de cette structure dédiée à la recherche, sera ainsi
opérationnel début 2008. Ce projet, soutenu par la Région Ile-de-France, la Mairie de Paris,
l’INSERM, l’Université et la Faculté de Médecine Pierre et Marie Curie, a pour vocation non
seulement de regrouper sur un seul site recherche fondamentale et recherche clinique sur la
vision, mais aussi de permettre le développement des entreprises de biotechnologies impliquées
dans la prévention et le traitement des affections oculaires. Ainsi, sera créé, en plein cœur de
Paris, un pôle d’excellence, à vocations nationale et internationale, dans le domaine de la vision.
Chiffres clés 2005
125
Près de 125 000
patients en consultations
10
Près de 36 000
passages aux urgences
lits de chirurgie
places de chirurgie ambulatoire
13 000
patients hospitalisés
516
personnels non médicaux
231
médecins
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ICADE, l’opérateur immobilier intégré
Icade est le développeur immobilier de la Caisse des dépôts dans le secteur concurrentiel. Opérateur
immobilier intégré, Icade se déploie autour de trois grands marchés : le logement, le tertiaire et les
partenariats publics et la santé. Dans chacun des trois marchés, Icade exerce trois métiers : concevoir et
développer (promotion), investir, détenir et arbitrer (foncières), exploiter et gérer (services).
La diversité de ses métiers, son implication dans la mixité sociale, ses ambitions en matière
d’architecture, son expérience auprès des collectivités publiques et territoriales, sa position d’acteur
significatif sur les nouvelles donnes de l’immobilier (notamment les partenariats public- privé), la force de
son image dans le secteur de la santé, en font un acteur de référence de l’immobilier, présent dans toute
la France.
En 2005, Icade a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 1 179 M€ et un EBO de 201 M€.
LES FAITS MARQUANTS
Le logement
Le tertiaire
Icade a poursuivi sa progression sur le marché logement en 2005 avec une croissance
de 9% de son chiffre d’affaires. Près de 4 300 logements ont été mis en chantier en 2005
et les premiers programmes d’accession à la propriété en zone urbaine sensible livrées
en 2005 (Mantes-la-Jolie et Toulouse) sont des succès commerciaux. Les 45 000
logements locatifs intermédiaires qu’elle détient en Île-de-France ont bénéficié d’un taux
d’occupation de 98%. Icade a par ailleurs poursuivi le développement de son activité
d’administration de biens par l’intégration à 100 % du Cabinet Villa.
Icade a renforcé de manière significative sa position dans le secteur tertiaire avec une
hausse de son chiffre d’affaires de 87% sur ce marché. Elle a livré en VEFA l’ensemble
immobilier d’Antony 2, tandis que deux opérations de bureaux ont été livrées « L’Espace
Marceau » et « Le Lagny » à Montreuil-sous-Bois. Le « bâtiment 270 », un des premiers
immeubles labellisés Haute Qualité Environnementale®, a été inauguré (Parc des Portes
de Paris). Le permis de construire du centre commercial de la Porte d’Aubervilliers
(45 000 m²) a été délivré alors que les « parcs du millénaire »,
(Paris 19e) continuent
leur expansion. Enfin Icade a développé ses activités de property management en
remportant le prestigieux mandat de l’ensemble immobilier de la Tour Montparnasse
(300 000 m²).
Icade continue à se développer dans le cadre des partenariats public-santé, avec un
Les partenariats chiffre d’affaires de 94,6M€. Elle a remporté plusieurs appels d’offres dont les « Docks
publics-santé en Seine », « L’Institut de la Vision – CHNO des Quinze-Vingts ». Six opérations d’une
surface totale de 33 647 m² ont été livrées dont « Le Parvis » à Clermont-Ferrand et les
« Portes d’Espagne » à Toulouse. Huit nouvelles opérations ont été lancées dont une
résidence médicalisée de 7 000 m² à Laval, dans le cadre d’un PPP.
Icade a créé en 2005 la marque Icade Santé regroupant les activités d’Icade G3A et
d’Icade Setrhi-Sétaé.
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La Caisse des dépôts, investisseur majeur sur le marché des PPP
La Caisse des Dépôts, aux côtés d’autres acteurs financiers et industriels, promeut
le développement du marché des PPP en France.
Son intervention en investisseur financier se porte sur des projets d’intérêt général
et de long terme, dimensions fondatrices de son action. Elle vise une rentabilité « de
marché », fût-elle sur le long terme, et une participation active aux projets, sa part
dans les fonds propres nécessaires au projet se situant toujours entre 30 et 40%. La
solidité financière et le rating AAA de la Caisse des Dépôts sont ainsi mis au service
du développement local et des investissements/réinvestissements en équipements
publics.
Aujourd’hui, l’action de la Caisse des Dépôts s’est largement concrétisée dans de
nombreux domaines comme l’immobilier public (Locaux d’archivage du ministère
des affaires étrangères), l’hospitalier (L’institut de la Vision – CHNO des QuinzeVingts), le ferroviaire (Autoroute ferroviaire Lorry Rail) et les transports en commun
(Tramway de Reims).
La Caisse des dépôts, investisseur pionnier dans des projets
structurants
La Caisse des dépôts investit dans des programmes structurants qui répondent aux
attentes des collectivités locales, aux côtés de professionnels reconnus, opérateurs
et investisseurs, afin de créer de nouvelles dynamiques de développement. Ses
investissements divers (logements, bureaux, commerces, loisirs urbains, cliniques,
énergies renouvelables etc.) ont rapidement monté en puissance pour représenter
ces deux dernières années 400 M d’€ de fonds propres permettant de réaliser un
volume d’opérations de 2,5 Mds d’€.
Pour la seule année 2005, ce sont 215 M d’€ qui ont été engagés soit, avec les coinvestissements en partenariats et les financements bancaires, 1,7 Md€
d’investissement immobilier.
■ Chiffres-clés 2005 - La Caisse des Dépôts
Bilan consolidé : 215 Md€
Résultat net part du groupe : 2,1 Md€
Capitaux propres : 16,2 Md€
ROE : 13,5 %
Contacts Presse :
Annabelle Cazes – 01 58 50 82 95. [email protected]
Responsable adjointe des Partenariats Publics Privés
Nathalie Di Piro – 01 58 50 86 23. [email protected]
Chargée de développement Investissements et Participations
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La banque du développement régional
Avec 28 Caisses d’Epargne couvrant l’ensemble du territoire, le Groupe est constitué de banques de
proximité étroitement associées au développement de leurs régions et dans le capital desquelles une
très grande partie des collectivités territoriales sont présentes. Grâce à l’expertise financière des
équipes de la Caisse Nationale des Caisses d’Epargne (CNCE) et de ses filiales IXIS Corporate &
Investment Bank (banque de financement et d’investissement) et Crédit Foncier, expert en
financements immobiliers, il conjugue l’implication régionale avec la force et la puissance financière
de l’un des plus grands groupes bancaires français.
Le Groupe Caisse d’Epargne est, en flux, le premier prêteur du secteur public territorial avec près de
8 Md€ consentis en 2005 aux collectivités et établissements publics de santé. Le volume de prêts aux
colléctivités étrangères ressort à 2,9 Md€. L‘encours de prêts accordés par le Groupe s’établit à 25
Md€ pour les collectivités.
L’offre de crédits et services aux organismes du secteur public territorial est complète : de la gestion
de trésorerie à l’assistance financière, en passant par les crédits structurés.
Le Groupe Caisse d’Epargne a complété son offre en tissant des partenariats avec la Banque
européenne d’investissement (BEI), l’institution financière de l’Union européenne, pour permettre aux
collectivités locales de se financer auprès de lui à des conditions financières optimisées. Depuis
2000, 2,2 Md€ ont ainsi été accordés par la BEI, notamment dans le cadre du Programme Transport
Urbain Durable (PTUD) pour le financement de programmes de transport en commun en site propre
(500 M€). Le Groupe est également présent dans le cadre des programmes « Hôpitaux de France »
(350 M€).
Le Groupe Caisse d’Epargne est par ailleurs l’un des leaders français des partenariats public-privé
(PPP)*. Il est présent aujourd’hui sur tous les appels d’offres en PPP quels que soit leur taille ou leur
secteur. Il a signé 500 M€ de contrats en deux ans. Le Groupe intervient en qualité de conseiller
financier avec IXIS CIB, de financeur avec les Caisses d’Epargne, le Crédit Foncier et IXIS CIB, et
d’investisseur en fonds propres, notamment au travers du FIDEPPP. Ce fonds permet (par effet de
levier) au Groupe de participer au financement de projets publics impliquant 4 à 5 Md€
d’investissements dans les 5 ans à venir. Doté de 200 M€, il a vocation à investir en fonds propres
dans des projets d’infrastructures de taille significative en France.
Le Groupe compte parmi ses réussites l’Institut de la Vision à Paris, la mise à la disposition du
Ministère de la Défense de deux avions de transport à long rayon d’action, l’Ecole Nationale
Supérieure de Police de Saint Cyr au Mont d’Or et dernièrement le tramway de Reims. Il a également
participé au financement de l’autoroute A28 et de la ligne de TGV Perpignan-Figueras …
Partenaire du WWF depuis 2003, le Groupe travaille en outre avec la Fédération Nationale des
Travaux Publics pour inciter les collectivités locales à prendre en compte la préservation de
l’environnement dans leurs investissements, grâce à des produits de financement spécifiques.
Le Groupe Caisse d'Epargne assure la quasi-totalité du financement de la réalisation de l'Institut de la
Vision : investisseur en fonds propres pour une part significative (35 %), il apporte la totalité de la
dette, dette qu'il a structurée pour répondre parfaitement aux besoins du projet.
Il met également à la disposition du projet les services financiers répondant à ses besoins, la Caisse
d'Epargne Ile-de-France Paris assurant notamment la tenue du compte bancaire de la société titulaire
du bail emphytéotique hospitalier tandis que la CEGI, organisme spécialisé du Groupe, a consenti, au
bénéfice de cette dernière, une garantie financière d'achèvement des travaux.
•5e conseil financier du classement du magazine Project Finance International en 2004 sur la zone Europe Moyen-Orient
Afrique (IXIS CIB)
Contacts Presse :
Ignace de Bettignies – Tél : (+33) 1 58 40 45 97
e-mail : [email protected]
www.groupe.caisse-epargne.com
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La Région Ile de France, partenaire de l’Institut de la Vision
La cécité représente une menace pour la santé la plus redoutée dans nos sociétés. La prise en
charge des pathologies menaçant la vision se révèle donc une préoccupation prioritaire au plan
national. Les progrès récents de l’ophtalmologie ont été majeurs, laissant cependant inchangé
le nombre de personnes affectées chaque année de cécité.
L’Ile de France compte à elle seule 16 000 non voyants et 150 000 mal voyants.
Ce paradoxe traduit d’une part l’inaccessibilité d’un certain nombre d’affections à une
thérapeutique et d’autre part et surtout, l’accroissement de la durée de la vie, avec en corollaire
le nombre de sujets atteints de dégénérescence maculaire liée à l’âge.
La Région Ile de France a donc répondu présente au projet de création d’un Institut de la Vision
au Quinze-Vingts afin de développer la recherche clinique et la recherche fondamentale et
appliquée.
Cet Institut répond parfaitement aux objectifs de la Région Ile-de-France qui attache la plus
grande importance à la conduite de politiques volontaristes de valorisation de la production
scientifique et technologique en Ile de France, devant aboutir à la création d’entreprises
technologiques innovantes (incubateurs) et susceptibles de se développer harmonieusement.
Une telle structure, regroupant un Service Clinique et un Laboratoire de Recherche de l’Institut
National de Santé et de Recherche Médicale (INSERM) agissant en synergie, des praticiens et
des chercheurs de haut niveau venant d’horizons différents et développant des approches
novatrices, sera une première en Ile de France, et en France.
De plus, le projet de l'Institut de la Vision trouve toute sa place dans le cadre du Pôle francilien
de compétitivité, Medicen Santé. Les interactions entre l'industrie et la recherche "académique"
sont directement explorées dans le cadre de ce pôle à vocation mondiale. La mise en place
d’un axe thématique « Neurosciences » dont l’Institut de la Vision joue un rôle central, atteste à
la fois du dynamisme de ce domaine et de son fort potentiel de valorisation. Depuis l’automne
2005, le pôle de compétitivité Medicen Santé a labellisé un projet porté par l’Institut de la Vision
et financé par la DGE et la Région Ile de France : Rétinopathies, pour le développement d'un
instrument fournissant des marqueurs cliniques permettant l'identification de populations dans
des études cliniques.
La Région Ile de France a apporté au projet, par la voix de Marc Lipinski, vice-Président chargé
de l’enseignement supérieur et de la recherche, la somme de 2 millions d’euros.
Contact presse :
Ghislaine Collinet au 01 53 85 66 66
17
Paris s’engage pour l’innovation dans la recherche médicale à travers
son soutien à l’Institut de la Vision et au pôle de compétitivité MEDICEN
Avec un engagement de soutien annuel à hauteur de 500 000 €, la Mairie de Paris est le
premier financeur public de l’Institut de la Vision. Ce projet s’insère dans une dynamique globale
impulsée depuis 2001. La municipalité a multiplié les dispositifs de soutien aux projets innovants de
recherche-développement et a décidé en 2005 de regrouper ses aides à l’innovation biomédicale dans
le cadre du pôle de compétitivité MEDITECH, dénommé plus récemment MEDICEN. Dans le cadre de
ce projet, un financement de 1,08 M€ a été accordé fin 2005 par le département de Paris aux projets
Rétinopathies et ATHIM.
1)
Premier partenariat public privé de cette envergure en France avec 30 M€ d’investissement du
groupe formé par la Caisse des Dépôts, ICADE et le groupe caisse d’épargne, ainsi qu’une
participation importante de la Mairie de Paris (500 000 € par an) de la Région Ile de France (subvention
globale 2M€) et de l’Inserm (200 000 € par an), l’Institut de la Vision se déploiera sur une surface de 11
426 m2 comprenant 5000 m2 de laboratoires publics et d’entreprises de biotechnologie et 4410 m2 de
bureaux.
Installé au cœur du CHNO des Quinze Vingts (12 00 patients hospitalisés par an, 100 000
patients en consultation), l’Institut de la Vision sera placé sous l’autorité du Professeur José-Alain
Sahel, spécialiste mondial de la rétine, et regroupera sur un même site des unités de l’INSERM et du
CNRS, un service clinique et 2000 m2 de surfaces dédiées aux jeunes entreprises.
Une dizaine de laboratoires et d’entreprises innovantes seront hébergés et auront accès à
l’ensemble des plates-formes techniques, au Centre d’investigations cliniques (CIC) des Quinze-Vingts
– qui est impliqué actuellement dans une quinzaine d’essais cliniques en ophtalmologie – ainsi qu’aux
réseaux de recherche liés à l’institut. Plusieurs sociétés comme Essilor, Mauna Kea Technologies,
EyeGate Pharma ou Fovea Pharmaceuticals ont d’ores et déjà fait acte de candidature.
« 400 à 500 personnes travailleront à terme sur le site, l’investissement de la Ville est largement
autofinancé par le nombre des emplois créés », indique Alain Lhostis, adjoint au maire de Paris chargé
de la santé et des relations avec l’AP-HP.
2) Le Pôle de compétitivité MEDICEN: 1,1 M € en 2005
Qu’est-ce qu’un pôle de compétitivité ?
Un « Pôle de Compétitivité » est une combinaison d'entreprises, d’universités et de centres de
recherche publiques ou privés sur un territoire donné, qui travaillent ensemble autour de projets
communs très innovants. C’est l’alliance de ces différents acteurs qui permet d’optimiser leur potentiel
de recherche global, car ces projets s'organisent tous autour d'un marché, et d'un domaine
technologique et scientifique qui leur est propre.
Seul ce principe de partenariat peut leur permettre d’atteindre la masse critique nécessaire pour
devenir compétitifs au niveau européen, et même mondial. La visibilité acquise se concrétise alors par
de nombreuses créations d’emploi à forte valeur ajoutée, et une offre nouvelle de biens et de services.
Suite à un appel à projets, l’Etat a labellisé en juillet 2005 trois « Pôles de Compétitivité » à
vocation mondiale pour Paris et sa région : Meditech Santé, Image Multimédia & Vie numérique, et
System@tic.
18
Les missions du pôle Medicen
Paris Ile de France, c’est aujourd’hui :
- 50 % du potentiel de recherche français en sciences du vivant.
- Le premier rang européen et le cinquième rang mondial pour l'importance de son secteur de recherche
et de développement (126 000 personnes)
- 9 universités, (dont 6 dans Paris intra-muros) qui proposent des cursus complets en biologie et sciences
connexes
Des écoles d'ingénieurs de premier ordre
- Près de la moitié des entreprises françaises de hautes technologies en biologie, et plus de 50 industriels
du secteur pharmaceutique dont 3 du G5 (Sanofi-Aventis, Servier, Ipsen)
Le 1er réseau hospitalier européen avec l’AP-HP (Assistance Publique-Hopitaux de Paris, plus de 39
établissements) qui représentent quelque 25 000 lits.
- Plusieurs instituts et laboratoires prestigieux (Institut Pasteur, Institut Curie, INSERM…) dans le secteur
des sciences du vivant.
-De nombreux projets innovants en cours tels que l’Institut de la Vision, l’Institut du Cerveau et de la
Moelle, l’Institut du Diabète, le pôle d’entreprises spécialisées Paris-Biopark, etc…
Objectifs du pôle Meditech :
- Faire de Paris-Ile de France l’un des grands pôles mondiaux de la santé humaine en s’appuyant sur ses
atouts, en particulier dans le domaine de la recherche (hôpitaux, Instituts, universités) et son tissu
d’entreprise.
- A terme, créer ainsi plusieurs milliers de créations d’emplois de haut niveau.
- Faire bénéficier la recherche clinique francilienne d’un environnement scientifique et technique de pointe
grâce à une coopération accrue avec l’industrie, et par la mise en place de plates-formes technologiques
de haut niveau international.
L’intervention du Département de Paris
Les acteurs du pôle Meditech ont choisi de porter en priorité leurs efforts sur six thématiques-phares, soit
dans le domaine médical, soit vers la technologie. Sur les cinq projets qui ont été retenus pour l’instant
pour Meditech, deux ont été soutenus financièrement dès janvier 2006 à hauteur de 1,080 M€ par le
Département de Paris : Rétinopathies ; piloté par Mauna Kéa technologies et Athim, piloté par Guerbet.
Contact presse
Service de presse : 01 42 76 49 61
www.paris.fr
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INFORMATIONS PRATIQUES
Icade
Hôpital des Quinze-Vingts
Centre Hospitalier
National d’Ophtalmologie
Caisse des Dépôts
Groupe Caisse d’Epargne
Ville de Paris
Conseil Régional d’Ile-de-France
Cabinet d’architectes Brunet-Saunier
Entreprise Rabot Dutilleul
L’Atrium
6, place Abel Gance
92652 Boulogne Billancourt
Tél : 01 46 94 42 11
www.icade.fr
28, rue de Charenton
75572 Paris cedex 12
Tél : 01 40 02 11 03
56, rue de Lille
75356 Paris 07
Tél : 01 58 50 00 00
www.caissedesdepots.fr
50, avenue Pierre Mendes France
75013 Paris
Tél : 01 58 40 45 97
www.groupe.caisse-epargne.com
Place de l’Hôtel de ville
5, rue Lobeau
75004 Paris
33, avenue Barbet de Jouy
75007 Paris
17, rue Dupetit-Thouars
75003 Paris
Tél : 01 44 61 88 00
10, avenue de Flandres
59442 Wasquehal
Tél : 03 20 81 53 53
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ICADE
Hôpital des Quinze-Vingts
L’Atrium
6, place Abel Gance
92652 Boulogne-Billancourt Cedex ● France
Tél : +33 (0)1 46 94 42 11 ● Fax : +33 (0)1 46 94 42 98
Centre Hospitalier National d’Ophtalmologie
28, rue de Charenton
75572 Paris cedex 12
Tél : +33 (0)1 40 02 11 03 ● Fax : +33 (0)1 40 02
www.icade.fr
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