n°296 octobre 2016

Transcription

n°296 octobre 2016

L’ AC T UALI T E D E S CO N C ERTS E T D E L’ O PE R A
Francesco
Cavalli
Eliogabalo
[ n° 297 Sept/oct 2016 ]
Johannes
Brahms
Concerto
pour violon
© Gavin Evans
Daniel Harding
chef d’orchestre
Christian
Zacharias
Rei nou d Van
Mec hel en
© Neda Navaee
Le paysage musical parisien ne cesse
d’évoluer au gré de l’ouverture ou de la
fermeture des salles. Et à peine les
habitudes sont-elles prises qu’il faut déjà les
changer. Le Châtelet va fermer pour
presque trois ans et le Théâtre de la Ville
durant deux ans, tandis que l’Opéra
Comique ne rouvrira ses portes que début
2017. Il y a trois ans, le grand pari de le
Philharmonie née au Nord Est de Paris était
de convaincre les mélomanes des beaux
quartiers de l’Ouest Parisien d’abandonner
Pleyel pour s’aventurer dans des secteurs
considérés comme peu sûrs et mal
desservis. Certains Cassandre annonçaient
une catastrophe mais une politique tarifaire
audacieuse (notamment avec l’Orchestre de
Paris), une bonne communication sur les
transports et l’attrait de la nouveauté ont
séduit un public nombreux qui s’est vite
aperçu qu’accéder au nouveau site n’était
pas si compliqué. On peut aujourd’hui
affirmer que le pari est largement gagné.
Mais déjà se profile un nouveau
bouleversement… Une autre belle salle de
musique, encore plus excentrée, va voir le
jour. La Cité Musicale de l’Ile Seguin – la
« Cimu » pour les initiés – devrait ouvrir ses
portes en avril 2017. La question est sur
toutes les lèvres : ceux qui avaient quitté
Pleyel pour la Philharmonie, vont-ils de
nouveau se cantonner à l’Ouest de la ville ?
Réponse dans quelques mois.
En attendant, les concerts les plus
passionnants se profilent à l’horizon et
Cadences est là pour vous aider à faire les
meilleurs choix. Bonne lecture !
sommaire
Le dossier
Cavalli, Eliogabalo2
à Paris
Portrait6
Daniel Harding
6
© Senne Van der Ven
édito
DE Phili ppe Mai Llard
L’actualité des concerts8
VOIX 12
Reinoud Van Mechelen
CONCERTO14
Brahms, le Concerto pour violon
chef16
Christian Zacharias
en famille18
8
© Library of Congress’
L’
12
le guide des saisons
2016-2017 19
les concer ts
à paris
28
Les concer ts
en île-de-f rance
38
CD
44
Pratique
45
QUIZ Z 46
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septembre/octobre 2016 cadences
1
DO s s i e r
Cavalli
Eliogabalo
Pour l’un de ses derniers opéras,
Cavalli se pencha sur l’empereur
romain Héliogabale, dont la
férocité n’avait d’égal que
la décadence. Le personnage
transgressif et ambigu présenté
par le livret est le cœur d’une
intrigue sulfureuse, exaltée par
l’éloquence de la musique.
2
cadences septembre/octobre 2016
Un musicien
à succès
L
© D.R.
L
a carrière de Pietro Francesco Cavalli s’est épanouie avec le succès croissant des opéras à Venise. La ville,
berceau du style baroque, avait déjà
accueilli celui que l’on considère comme le
premier compositeur d’opéras : Monteverdi.
La renommée des opéras vénitiens s’était
développée à partir de là, notamment au
milieu du xviie siècle, où les visiteurs se pressaient pour contempler la Cité des Doges qui
accueillait le carnaval, un des événements les
plus courus de l’époque. L’opéra en était une
des attractions centrales. La saison lyrique
s’ouvrait avec la période des festivités, et les
étrangers de passage repartaient chez eux
raconter la magie de Venise et la qualité de
ses spectacles. C’est dans ce contexte que la
production d’ouvrages lyriques augmenta
de manière significative et que l’Eliogabalo
fut composé. Il devait être joué au carnaval
de 1668 mais ne fut jamais représenté, pour
des raisons encore floues aujourd’hui. On
soupçonne les Jésuites d’avoir interdit une
œuvre qui se concluait sur le meurtre d’un
empereur. Ou est-ce l’invention d’un sénat
de femmes dans l’intrigue qui avait choqué
l’époque ? Un autre facteur a sans doute
favorisé l’annulation de la représentation :
comme le rappelle Jean-François Lattarico,
expert incontesté pour cette période, le personnage dépravé d’Eliogabalo ne correspondait plus aux attentes du public. En cette fin
de xviie siècle, la mode des thématiques érotiques était en train de perdre du terrain en
faveur d’un retour du héros vertueux. Ce fut
d’ailleurs l’Eliogabalo de Giovanni Antonio
Boretti, dont le livret prévoyait une fin plus
morale, qui fut joué. Le jeune compositeur en
question avait par ailleurs
privilégié dans sa musique
des formes résolument plus
modernes que celles utilisées
par Cavalli. Celui-ci était resté fidèle au style qui avait fait
sa gloire, un style jugé peutêtre dépassé à ce moment-là.
Organiste virtuose,
Francesco Cavalli fut aussi
l’un des compositeurs les
plus acclamés en son temps.
Du 14 septembre au 15
octobre - Palais Garnier
Cappella Mediterranea, Leonardo García
Alarcón (direction), Thomas Jolly (mise
en scène).
Avec Franco Fagioli, Paul Groves, Nadine
Sierra, Valer Sabadus, Elin Rombo,
Mariana Flores...
’annulation de la représentation fut sans doute
vécue comme un affront par
le compositeur, qui n’avait
pas vu un seul de ses opéras
se faire interdire jusque-là et
dont la renommée touchait à
son apogée.
Né en 1602, il fut d’abord jeune choriste à la
chapelle Saint-Marc, avant de devenir organiste puis maître de chapelle, reprenant la
place qu’avait occupée Monteverdi. Son sens
de la théâtralité l’amena à composer des opéras, une quanrantaine selon les estimations.
Le premier ouvrage lyrique à voir le jour fut
Le Nozze di Teti e di Peleo en 1639. Cavalli produisit également des œuvres religieuses, notament un très beau requiem à la fin de sa vie,
la Missa pro defunctis. Sa musique fut surtout
jouée à Venise, Milan, Florence et Paris et il
devint rapidement une figure incontournable
de la vie musicale italienne. Son style, jugé plus
accessible que celui de Monteverdi, connut un
succès immense en son temps. Pour répondre
à une demande de plus en plus importante, il
instaura une série de conventions musicales et
de schémas narratifs qui l’aidaient à composer
rapidement. L’intrigue, par exemple, mettait
© D.R.
souvent en scène deux couples
de jeunes gens issus d’un milieu aristocratique, secondés
de leur doublure comique
incarnée par des valets. Cette
version parodique des couples
créait un climat de dérision
tout à fait apprécié à cette
époque. On retrouve dans
Eliogabalo ces règles de structure.
© D.R.
paris
Un tyran dévoyé
e livret de l’opéra, dont on ne connaît pas
de manière certaine l’auteur mais qui fut
en tout cas retravaillé par Aurelio Aureli, est
basé sur la vie de l’empereur romain Héliogabale et la prise de pouvoir d’Alexandre Sévère.
Le personnage apparaît dans un texte de l’historien Lampidirius du ive siècle qui le présente
comme un des pires tyrans de tous les temps.
Couronné empereur à quatorze ans, Héliogabale sera assassiné avec ses proches par un
peuple révolté suite à quatre ans de débauche
et de violence, permettant à Alexandre, son
cousin, de prendre sa place. Le personnage
dépeint par Cavalli est avant tout un irresponsable et un libertin, qui n’est pas sans rappeler le Don Juan de Tirso de Molina dont la
pièce Le trompeur de Séville avait été jouée en
1630. Une poignée de personnages gravitent
autour d’Eliogabalo, notamment deux couples
de jeunes Romains aristocrates, Alessandro et
Flavia Gemmira ainsi que Giuliano et Eritea,
conformément à la tradition. En courtisant les
deux jeunes femmes, Eliogabalo déclenche un
embrouillamini d’histoires amoureuses, où les
personnages se méfient les uns des autres, se
jalousent, se disputent, se séparent, et finalement se retrouvent. N’oublions pas d’évoquer
aussi Zotico, confident de l’empereur, et un
duo comique constitué de Nerbulone, serviteur
d’Eliogabalo, et de Lenia, la nourrice.
L’argument de l’opéra laisse imaginer un spectacle animé et extravagant nourri par l’omniprésence de la violence. L’œuvre s’ouvre sur
les plaintes d’Eritea qui demande à Eliogabalo
de l’épouser puisqu’il l’a violée, et se clôt sur un
quatuor où les couples se reforment mais qui
© Merri Cyr
L
De gauche à droite : Franco
Fagioli incarne Eliogabalo
alors que Paul Groves chante
le rôle d’Alessandro et
Nadine Sierra celui de Flavia.
repères
14 février 1602 : naissance
à Crema en Lombardie
1616 : chantre à la chapelle
San Marco de Venise
1639 : Le Nozze di Teti e di Peleo
1640 : second organiste
de la chapelle San Marco
1649 : Il Giasone
1660 : Serse représenté à Paris
au mariage de Louis XIV
1665 : premier organiste
de la chapelle San Marco
1668 : Maître de chapelle à San
Marco, composition de l’Eliogabalo
1669 : Il Coriolano
1675 : composition de la Missa
pro defunctis pour huit voix
14 janvier 1676 : décès à Venise
peine à adoucir le combat de gladiateur et l’assassinat de l’empereur qui précèdent. Même
Lenia est massacrée par la foule en colère, une
fin peu conventionnelle pour un personnage
destiné à faire rire. Mais la violence n’est pas
le seul élément qui étouffe le comique. Les enjeux sexuels prennent également le pas sur la
dérision.
Avec Le Couronnement de Poppée, la dimension
érotique prit une place importante dans l’opéra
vénitien, pour ne pas dire centrale. Des héros
lascifs et débauchés remplacèrent les traditionnels modèles de vertu. Comme l’explique JeanFrançois Lattarico, un protagoniste amoureux,
esclave de ses pulsions sexuelles, devint la clé
de voute des intrigues. À l’époque on l’appelait
l’effemminato. Les librettistes commençaient à
jouer sur la frontière entre les genres et donnaient souvent à voir des personnages travestis. Cette tendance allait de pair avec une grand
liberté de mœurs qui s’était installée à Venise,
notamment défendue par l’Académie des
Ingogniti. Pour le musicologue, ce serait d’ailleurs un des membres de cette communauté libertine qui aurait écrit le livret de l’Eliogabalo :
le librettiste Busenello, auquel il a consacré un
essai remarquable (Busenello, un théâtre de la
rhétorique) paru en 2013 chez Classiques Garnier. Cette mode du anti-héros à la sexualité
ambiguë était née aussi des distributions vocales elles-mêmes, avec le succès croissant des
castrats. Certains personnages masculins se
voyaient dotés d’une voix plus aiguë que celle
des femmes et brouillaient la différence entre
les genres. Chez Cavalli, l’opéra Il Giasone est
un des meilleurs exemples de la teinte érotique
qui balayait les ouvrages lyriques de l’époque,
mais l’Eliogabalo est également très intéressant
.../...
3
DO s s i e r
sur la question. L’empereur ne se préoccupe
que de sa jouissance, consacrant son temps à
élaborer des stratagèmes pour mettre dans
son lit les plus jolies femmes de la ville. C’est
avec cette idée en tête qu’il décide de créer un
sénat féminin. Poussant le vice et la subversion encore plus loin, il se déguise lui-même
en femme pour embrasser celle qu’il désire
lors d’un jeu où chacun a les yeux bandés. Les
femmes prennent la place des hommes tandis
que les hommes sont déguisés en femme, difficile de perturber plus les normes de l’époque
en matière de genre.
Passer du rire
aux larmes
L
a partition de l’Eliogabalo, qui prévoit trois
heures de musique environ, réparties sur
trois actes, est fidèle au style de Cavalli. Si la parole y occupe une place importante, la musique
en elle-même est centrale car il s’agit pour le
compositeur de conquérir le public en jouant
sur l’émotion des lamenti. L’opéra vénitien en
est à cette période charnière où le recitar cantando permet de juger la maitrise technique
d’un compositeur mais où il faut également
assurer le succès des œuvres en amenant les
spectateurs à passer du rire aux larmes. Dans
l’Eliogabalo, onze lamenti se détachent ainsi
au milieu des récitatifs, teintant l’opéra de
couleurs variées. Le recitar cantando apporte
une vivacité qui tranche avec le lyrisme de
certaines pages de la partition, et l’omniprésence de ces passages parlés-chantés donne
une dynamique toute théâtrale à l’œuvre. Le
personnage comique de Lenia vient renforcer
cet aspect. Chanté par un ténor, la nourrice se
voit attribuer plusieurs airs où elle se plaint
successivement de ses déboires amoureux et
du déplaisir de la vieillesse. La dimension caricaturale de ce rôle est aussi une occasion pour
Cavalli de divertir et d’attirer toujours plus de
spectateurs.
En 2004, monté à la Monnaie par René Jacobs,
l’Eliogabalo avait su séduire par ses jeux de
contrastes. Aujourd’hui c’est l’Opéra de Paris
qui a décidé de reprendre l’œuvre de Cavalli.
Elle sera dirigée par Leonardo García Alarcón
et la mise en scène sera signée Thomas Jolly,
Avec la présence du contre-ténor Franco Fagioli qui incarnera Héliogabale, le spectacle
s’annonce saisissant.
• Elise Guignard
4
Leonardo García Alarcón : Spécialiste
indiscutable de la musique de Cavalli, le chef
argentin nous livre ses réflexions sur l’ultime
chef-d’œuvre du compositeur vénitien.
grande que dans ses premières œuvres, évitant
soigneusement les nouvelles formes. Pour moi,
ce n’est guère un manque d’imagination mais
une volonté explicite de se renfermer sur luimême : Cavalli semble déclarer que la création
lyrique est en train de prendre une autre voie,
néfaste pour elle, qu’il ne cautionne pas.
© Jean-Baptiste Millot
.../...
Cadences : Quelle place occupe Eliogabalo
dans la production de Cavalli ?
Leonardo García Alarcón : Il s’agit de son
dernier opéra connu, qui s’inscrit donc dans la
dernière partie de sa vie. Revenu de Paris où il
a vécu une expérience très douloureuse, Cavalli
se trouve confronté à un choix : soit il continue
d’écrire « à l’ancienne », c’est-à-dire dans un
style post-monteverdien, soit il s’adapte à tous
ces nouveaux courants nés pendant son séjour
parisien, entre 1660 et 1662, diffusée par des
compositeurs développant déjà l’aria da capo
et faisant appel à une grande virtuosité destinée aux castrats. Cavalli, lui, restait attaché à
un certain conservatisme. Cela explique l’accueil relativement tiède réservé à ses derniers
ouvrages par un public qui ne se préoccupait
plus vraiment de l’action théâtrale, et se passionnait surtout pour les chanteurs.
C. : Si la musique demeure conservatrice,
le livret est pour le moins sulfureux.
LGA : Le sujet d’Eliogabalo est évidemment lié
à l’intrigue de L’Incoronazione di Poppea. Cavalli veut composer un opéra sur un personnage
historique, encore plus décadent que celui de
Néron – de fait, on aura du mal à trouver pire
dans l’histoire de l’opéra. Il y a un parallèle clair
avec Monteverdi, son maître, et on le ressent
partout dans l’opéra, y compris le finale qui regarde vers Pur ti miro. Cavalli reste fidèle au recitar cantando, avec une concision encore plus
C. : Au final, la création d’Eliogabalo n’a pas
eu lieu. Cette décision fut-elle liée
à un livret choquant ?
LGA : On a donné, à la place de l’œuvre de
Cavalli, un autre opéra utilisant le même livret,
avec une musique de Boretti : ce fait prouve que
ce n’est pas le sujet mais bien la musique de
Cavalli qui a posé problème. Ce dernier continue à jouir d’un très grand respect, mais il n’est
clairement plus à la mode. On sait depuis très
peu de temps que le premier vrai opéra donné
en Angleterre en 1673, avant Venus and Adonis
de Blow ou Dido and Aeneas de Purcell, a été
L’Erismena. Certes, L’Erismena a été donnée en
anglais, on a retrouvé un manuscrit de l’époque
montrant le livret traduit mot à mot, la musique
étant conservée note par note. Cavalli demeure
donc considéré comme le plus grand compositeur de son époque au niveau européen mais
à Venise, les spectacles doivent avant tout être
rentables, le « cirque » des chanteurs virtuoses
rapportant beaucoup plus.
C. : Qu’est-ce qui vous passionne dans
cet ouvrage de Cavalli ?
LGA : Je suis fasciné par la manière dont il
compose pour des êtres humains. Je n’ai, pour
le moment, dirigé que des œuvres mettant en
scène surtout des personnages mythologiques
ou, du moins, évoquant des histoires mythologiques. Or, dans Eliogabalo, on rencontre toutes
les pulsions humaines illustrées d’une manière
très directe. Il en résulte une autre manière de
parler, une autre manière de traiter le recitar
cantando. Le résultat est d’une richesse inouïe.
S’immerger dans le Cavalli de la maturité revient d’une certaine manière à lire le compendium artistique de ce que Monteverdi a proposé
plusieurs décennies avant.
• propos recueillis par Yutha Tep
portrait
Daniel Harding
coup de foudre
Le jeune prodige de la direction d’orchestre s’est mué en
chef à la maturité glorieuse, Daniel Harding ensorcelant
les phalanges les plus prestigieuses du monde. Son arrivée
à la tête de l’Orchestre de Paris suscite une attente
évidemment immense.
16 & 17 septembre,
Philharmonie
Schumann, Scènes de Faust de Goethe
21 & 22 septembre,
Philharmonie
Mahler, Symphonie n°10
© Julian Hargreaves
28 & 29 septembre,
Philharmonie
Benjamin, Dream of the Song ; Brahms,
Symphonie n°1
S
a nomination en juin 2015 comme
Directeur musical de l’Orchestre de
Paris a pu surprendre car Daniel Harding ne partageait pas, avec la formation parisienne, une histoire commune
si développée. Toutefois, les collaborations
récentes avaient démontré une entente indéniable, aptes à effacer les souvenirs peu
amènes d’une première rencontre en 1997.
Plus encore, il fallait très certainement remplacer Paavo Järvi par une personnalité tout
aussi dynamique, dotée d’une conception
« moderne » du travail en équipe, éloignée en
tout cas de la poigne de fer incarnée jadis par
un Karajan.
Manifestement heureux de sa nomination, Daniel Harding se montre lucide sur le défi qu’elle
représente : « C’est évidemment un honneur de
m’inscrire dans la lignée des chefs qui ont dirigé
l’Orchestre. Cela étant dit, pour être honnête, il
6
s’agira pour moi d’une découverte car ma nomination résulte d’une sorte de coup de folie aussi
bien de ma part que de celle de l’Orchestre. Je
ne le connais pas intimement mais, en même
temps, le fait de devenir le Directeur musical
d’une formation modifie immédiatement votre
relation avec elle. Le mariage change tout. » Il
aborde son mandat avec sa propre vision du
phénomène que constitue une phalange telle
que l’Orchestre de Paris : « Un grand orchestre
a toujours besoin de grandes personnalités. Bien
sûr, quand on rassemble 100 à 150 musiciens extrêmement formés et possédant un certain avis
sur la musique, on a besoin d’un esprit d’équipe
et d’une discipline solides. Mais il est indispensable de trouver un juste équilibre entre ce sens
de l’équipe et la nécessité de ménager suffisamment d’espace pour les musiciens éprouvant le
besoin de s’exprimer. Cet équilibre, je le trouve
dans l’Orchestre de Paris, qui a des musiciens
exceptionnels, mais aussi une conscience très
forte de former un groupe ».
repères
« Qu’est-ce qu’on va
faire maintenant » ?
1975 : Naît le 31 août à Oxford
1993 : Assistant de Sir Simon Rattle
au City of Birmingham Symphony
Orchestra
1995 : Assistant de Claudio Abbado
au Berliner Philharmoniker
1997 : Directeur musical de
l’Orchestre Symphonique de
Trondheim
1999 : Directeur musical de la
Deutsche Kammerphilharmonie
Bremen
2002 : Chevalier de l’Ordre des Arts
& des Lettres
2003 : Directeur musical du Mahler
Chamber Orchestra
2006 : Chef principal de l’Orchestre
symphonique de la Radio suédoise
2007 : Premier chef invité du
London Symphony Orchestra
2016 : Directeur musical de
l’Orchestre de Paris
L
ui que n’ont jamais effrayé les répertoires
sortant des sentiers battus, se réjouit de
trouver dans les rangs de l’Orchestre des musiciens non moins avides d’aventures sonores :
« Ce que j’aime particulièrement dans cet orchestre, c’est qu’il garde une immense envie de
musique et ses membres demandent en permanence : « Alors, qu’est-ce qu’on va faire maintenant ? ». Cette qualité est absolument essentielle
car, si l’on a besoin de la plus grande confiance
et de la plus grande fierté, il faut aussi accepter
et être inspiré par le fait que la musique est un
cheminement éternel. » Dans cette perspective,
le chef anglais se réjouit hautement de retrouver comme chef associé celui qu’il appelle affectueusement « Tom » Hengelbrock, autre personnalité avide d’explorations.
Tombé en amour avec l’Orchestre de Paris,
pour reprendre une expression de la Belle Province, Daniel Harding a également éprouvé
un coup de foudre pour l’édifice qui l’abrite :
« Je m’installe à Paris dans un contexte exceptionnel. Alors que j’étais encore en discussion
avec l’Orchestre, j’ai longuement parlé avec
Daniel Barenboim. Il m’a dit qu’il avait passé
15 magnifiques années à la tête de l’Orchestre
de Paris et m’a avoué qu’en 50 ans d’activités
régulières dans la capitale, il n’avait jamais
imaginé qu’une salle comme la Philharmonie
puisse naître. C’est bien plus que le simple fait
acoustique : il y a l’investissement qu’on perçoit. On constate que la salle est remplie, avec
beaucoup de gens qui, auparavant, n’osaient
peut-être pas aller à Pleyel mais qui ont compris
que les concerts de la Philharmonie leur étaient
aussi destinés. Ce public arrive avec une grande
ouverture d’esprit, ce qui nous donne l’envie
mais aussi l’obligation de proposer des projets
artistiques dignes de cet investissement. Le plus
grand risque, d’une certaine manière, c’est de ne
prendre aucun risque. »
© William Beaucardet
en couverture
CD & DVD
Schumann
partout sous-estimé
L
a première saison d’un Directeur musical
fait naturellement l’objet d’une attention
particulière et celle de Daniel Harding fait
montre d’audaces à saluer. Avec Les Scènes de
Faust de Goethe et plus tard Le Paradis et la Péri
de Schumann, ou encore la Symphonie n°10 de
Mahler, les fidèles de l’Orchestre se verront proposer des œuvres singulières. Volonté délibérée
de ne pas tomber – déjà – dans la routine ? Bien
plutôt un désir d’être lui-même : « Je pense que
Mahler n’a pas vraiment besoin d’être défendu,
pour être honnête. En revanche, Schumann est
un compositeur partout sous-estimé. Les Scènes
de Faust figurent à mes yeux parmi ce qu’on a
fait de plus beau en musique. Je me suis beaucoup demandé ce que je pouvais diriger en ouverture de mandat : fallait-il une manière de festival,
ou plutôt une sorte de gala ? En choisissant ce
Schumann, certes, je dévoile un peu mes orientations musicales mais il s’agit avant tout de l’un
des plus grands défis artistiques qui soient, tant
sur le plan musical que sur le plan intellectuel.
C’est aussi pour moi l’occasion de m’entourer de
chanteurs éminemment inspirants. »
Daniel Harding se révèle intarissable lorsqu’on
évoque l’un des solistes de ce Faust, le baryton allemand Christian Gerharer : « Christian,
étrangement, n’a jamais chanté avec l’Orchestre
de Paris mais il compte parmi les plus grands
Robert Schumann
Scènes de Faust de Goethe
Orchestre & Chœur de la Radio
Bavaroise
Avec Christiane Karg, Christian
Gerhaher, Alastair Miles.
2 CD Bayerische Rundfunk Klassik
Béla Bartók
Concertos pour violon n°1 & n°2
Orchestre de la Radio suédoise
Isabelle Faust (violon)
1 Cd Harmonia mundi
Benjamin Britten
Billy Budd
London Symphony Orchestra
& Chorus
Avec Nathan Gunn, Ian Bostridge,
Gidon Saks, Neal Davies…
3 CD Warner-Erato
musiciens que j’ai jamais rencontrés dans ma
vie. Ce qui le rend exceptionnel dans un récital
de lieder, c’est sa subtilité, son travail sur les
paroles, sa volonté de faire de la musique de
chambre, autant de qualités qui demeurent intactes quand il chante avec un grand orchestre.
J’espère moi aussi préserver cet état d’esprit que
j’ai appris auprès de mon grand maître Claudio
Abbado. »
Nulle langue de bois ici, tant les interprétations de Daniel Harding ont démontré, année
après année, et pour tous les répertoires, un art
éblouissant de ciseleur, trouvant dans les plus
grands paroxysmes orchestraux des trésors
d’intimité, faisant scintiller les joyaux contenus
dans les partitions. Il ne fait nul doute que les
talents individuels tant célébrés de l’Orchestre
de Paris trouveront à s’épanouir pleinement.
Première démonstration ce 16 septembre.
• Yutha Tep
7
les concerts
du mois
Olivier Fortin, clavecin
le 17 septembre (Salle Erard)
© Maïlis Snoeck
Pour sa troisième édition, le Festival
Terpsichore, qui se déroule du 17 septembre au 16 octobre et que dirige
Skip Sempé, a confié le concert d’ouverture au talentueux claveciniste
Olivier Fortin et à son ensemble
Masques. Pour ce Grand Tour, inspiré de la très riche correspondance
(lu par le comédien Julien Campani)
de ces mélomanes fortunés qui faisaient au xviiie siècle le tour
d’Europe pour entendre les plus grands compositeurs et interprètes, les virtuoses de Masques déploient l’extrême diversité
de leur esthétique avec des partitions de Marais, Rameau, Vivaldi, Bach et Telemann. Un voyage absolument passionnant,
avec les meilleurs guides qui soient.
Justin Taylor,
clavecin
le 22 septembre (Auditorium du Louvre)
© Jean-Baptiste Millot
Le Concours de Bruges 2015 confirma
un talent qu’on pressentait depuis
quelque temps : en remportant le
Premier Prix, Justin Taylor s’inscrivait dans une prestigieuse lignée,
rejoignant les illustres aînés français
également couronnés par Bruges
(Christophe Rousset, Béatrice Martin,
Benjamin Alard et Jean Rondeau).
Brillant et poétique, libre mais tenu, avec une sonorité savamment maîtrisée, le jeu de Justin Taylor s’exprimera pleinement
dans ce programme consacré à des compositeurs – Bach, Forqueray, Couperin – aux univers extrêmement personnels et
demandant des qualités très différentes.
Håkan Hardenberger, trompette
le 30 septembre (Maison de Radio France)
© Marco Borggreve
Voilà des décennies que le musicien
suédois règne sur le monde de la
trompette (il est un virtuose transcendant), posant rapidement un pied
dans celui de la direction d’orchestre.
Pour sa Série des Solistes, Radio
France lui a confié l’Orchestre Philharmonique, que Håkan Hardenberger dirige donc de sa trompette. Le
programme est à l’image de cette personnalité bouillonnante :
grands classiques (Concerto pour trompette de Haydn ou Symphonie n°1 de Prokofiev) et pièces rares (La Création du monde
de Milhaud), sans oublier des clins d’œil aux autres traditions
musicales (Sans Toi de Legrand, Oblivion de Piazzolla, arrangements de musiques de Joni Mitchell ou Jan Lundgren).
8
paris
Christian Tetzlaff, violon
le 16 octobre (Théâtre des Champs-Élysées)
© Giorgia Bertazzi
Nul besoin de présenter l’art du violoniste allemand, d’une maîtrise technique légendaire, personnalité véritablement unique dont les fulgurances
ne bousculent jamais l’élégance
solaire. Le duo musical qu’il forme
avec son compatriote et pianiste Lars
Vogt ne cesse de fasciner, comme le
prouve un disque Brahms sous étiquette Ondine qui paraît en ce moment. Ce tandem est rejoint
ici par Tanja Tetztlaff au violoncelle (il s’agit bien de la sœur de
Christian) : on ne saurait rêver meilleure équipe pour magnifier la perfection formelle pourtant si inventive du Trio op.87
de Brahms ou, à l’autre bout du spectre poétique, les sombres
tourments intérieurs du gigantesque Trio op.65 de Dvořák.
Beatrice Rana, piano
le 23 octobre (Théâtre des Champs-Élysées)
Gilbert Amy, compositeur
les 5 & 6 novembre (Maison de Radio France)
© Alvaro Yanez
Radio France fête dignement les
quatre-vingts ans de Gilbert Amy
dont on ne peut que rappeler le rôle
éminent de compositeur mais aussi de
chef – en 1976, il joua un rôle crucial
dans la naissance du Nouvel Orchestre
Philharmonique de Radio France, actuel « Philhar ». Élève de Milhaud et
Messiaen, remarqué aussi par Pierre
Boulez, il est l’auteur d’une littérature musicale à la modernité
affirmée. Le week-end qui lui est consacré aura pour cœur battant le concert du 5 novembre, lors duquel le « Philhar » dirigé
par Stefan Asbury donnera son Concerto pour violoncelle avec
Leonard Elschenbroich comme soliste, puis L’Espace du souffle,
vaste page aux couleurs scintillantes.
Cathédrale Saint-Louis • Salle Turenne
REQUIEM DE FAURÉ
Amel Brahim Djelloul, les Forces Majeures
• vendredi 30 septembre •
ALEXANDRE KNIAZEV
Prokofiev, Chostakovitch, Bach
• mardi 29 novembre •
MICHEL PORTAL & PAUL MEYER
Mendelssohn, C.P.E. Bach, Mozart, Schumann...
• mardi 21 février •
MICHEL DALBERTO
Wagner, Brahms, Bizet
• Jeudi 25 avril •
QUATUOR PARISII & PHILIPPE BIANCONI
Brahms, Schumann, Franck
• lundi 29 mai •
KARINE DESHAYES & PHILIPPE CASSARD
Brahms, Wagner, Duparc, Chausson...
• vendredi 9 juin •
GERARD OPPITZ
Bizet, Saint-Saëns, Franck, Brahms
• vendredi 16 juin •
50 CONCERTS À DÉCOUVRIR
musee-armee.fr
Informations et billets
[email protected] • 01 44 42 54 66
Conception et réalisation : vivacitas.fr - Lic. Entrepreneur Spectacles Vivants - Cat. 1-1074313 - Cat. 1-1074314 - Cat. 2-1074315 - Cat. 3-1074316
© Neda Navaee
Ses prestations au Concours de Montréal 2011 (Premier Prix et tous les
prix spéciaux) puis, surtout, à celui
Van Cliburn aux États-Unis (Deuxième Prix et Prix du Public) en 2013
suscitèrent une immense attente,
que la pianiste italienne se chargea
de satisfaire les saisons suivantes.
Capable de déclencher une véritable
tempête sonore, la belle Beatrice plie volontiers ses moyens
pianistiques époustouflants aux raffinements contrapuntiques
des Variations Goldberg de Bach, dont elle maîtrise supérieurement les plans sonores et qu’elle pare d’ornements scintillants.
Vous l’avez compris, voila une artiste enthousiasmante.
9
les concerts
du mois
Collegium 1704
Versailles
le 25 septembre (Chapelle Royale)
© Martin Straka
Pour fêter les 1100 ans de la fondation de l’archevêché de Salzbourg,
le compositeur autrichien Heinrich
Ignaz Franz Biber composa la Missa
Salisburgensis, œuvre d’une ampleur
et d’une richesse exceptionnelles rarement montée aujourd’hui. L’effectif
démesuré qu’elle requiert porte une
musique qui proclame la grandeur de
Salzbourg. Avec six chœurs repartis dans l’espace de la Chapelle Royale, la musique éblouissante de Biber revivra avec le
Collegium 1704 de Vaclav Luks. On pourra aussi écouter les
très belles Selva morale e spirituale de Monteverdi.
Ensemble Pygmalion
Royaumont
le 1er octobre (Réfectoire des moines)
© Francois Sechet
En résidence à Royaumont depuis
trois ans, l’ensemble Pygmalion présente un nouveau programme particulièrement attrayant. C’est la musique jouée aux différents mariages
des Médicis que Raphaël Pichon a
choisi d’aborder. Composées pour le
faste des cérémonies florentines, les
différentes œuvres brillent de raffinement. Des parties polychorales grandioses alternent avec
des passages au caractère plus doux, laissant l’auditeur sous le
charme. Dans les intermèdes de La Pellegrina, cœur du concert,
on peut même entrevoir, de loin, la naissance de l’opéra.
Orchestre Pasdeloup
Poissy
le 7 octobre (Théâtre)
© D.R.
Solenne Païdassi est la nouvelle violoniste dont on observe la carrière
avec attention. Depuis qu’elle a été
lauréate du Concours Long-Thibaud
en 2010, la jeune Française suscite
de grands espoirs. Avec une sonorité
lumineuse et un jeu très spontané, elle
a enregistré un premier disque qui a
reçu un « Choc » Classica. L’Orchestre
Pasdeloup sera à ses côtés pour interpréter le Concerto pour
violon de Tchaïkovski à la musique si éclatante. L’œuvre viendra souligner par contraste le caractère plus intimiste de la
Sérénade mélancolique du même compositeur.
10 cadences septembre/octobre 2016
île-de-france
Edgar Moreau, violoncelle
Massy
les 8 et 9 octobre (Opéra)
© Julien Mignot
Le jeune violoncelliste Edgar Moreau interprètera avec l’Orchestre
de l’Opéra de Massy le Concerto pour
violoncelle d’Elgar, œuvre mariant
l’élégie à l’héroïsme. A vingt-deux ans
à peine, ce prodige ne cesse d’étonner
le milieu musical en remportant tous
les prix des concours internationaux
les plus prestigieux. Sa maturité artistique n’entame en rien sa fougue, et son sens du phrasé en fait
un des instrumentistes les plus prometteurs de sa génération.
La soirée permettra aussi de réentendre la Marche n°1 de Pomp
and Circumstance d’Elgar et la Symphonie n°3 de Brahms.
Véronique Gens, soprano
Versailles
le 11 octobre (Opéra Royal)
© M. Ribes & A. Vo Van Tao
Le drame lyrique Proserpine sort
aujourd’hui de l’ombre dans une production du Palazzetto Bru-Zane, portée par le prestigieux Orchestre de la
Radio de Munich. L’occasion de découvrir une œuvre de Saint-Saëns d’une
grande intensité expressive. Drame
et musique ne font qu’un, laissant
transparaître l’influence de Wagner.
Angiola, la jeune fille pure, et Proserpine, présentée comme
une courtisane, seront incarnées respectivement par MarieAdeline Henry, d’une présence rayonnante et Véronique Gens,
dont la voix si sensuelle n’est plus à présenter.
Orchestre Les Siècles
Sénart
le 18 octobre (Théâtre)
© Francois Sechet
Une mosaïque de mondes sonores
nous attend pour ce concert des
Siècles dirigé par François-Xavier
Roth. Debussy tisse des liens entre
musique et poésie en composant le
Prélude à l’après-midi d’un faune, Jeux
et La Mer. La première pièce est inspirée d’un poème de Mallarmé, ami
proche du musicien, et revêt un caractère pastoral tandis que Jeux prend des accents vifs et radieux.
La Mer éveille l’imaginaire en créant un espace sonore tout
à fait fascinant. Pour compléter ce programme, Jean-Efflam
Bavouzet interprète le Concerto pour la main gauche de Ravel.
11
voix
Reinoud
Van Mechelen
L
a course ! Voilà comment Reinoud
Van Mechelen – capturé, le temps
d’un entretien, alors qu’il s’apprête
à rejoindre Raphaël Pichon pour
répéter le Zoroastre donné en version de
concert au Festival d’Aix-en-Provence où il
doit faire ses débuts entre Beaune et Montpellier – résume son agenda estival de jeune
ténor très demandé. Un été chargé, à l’image
de cette année 2016, qui offre au jeune homme
de 29 ans, outre des engagements prestigieux,
un premier disque solo consacré à Johann Sebastian Bach, à paraître à l’automne.
Bach, justement, qui occupera une grande partie du planning du chanteur pour la suite d’une
tournée avec William Christie autour d’un
programme de cantates sacrées et profanes :
« Bien que je cherche toujours à rendre compréhensible aux non croyants le message d’une
œuvre sacrée, le contraste est assez frappant
entre ces cantates. Après la BWV55 Ich armer
Mensch, ich Sündenknecht qui porte un message très fort, où l’être humain remet en question sa place dans le monde, nous interprétons
la Cantate dite « du café », qui est particulièrement comique – le café étant à l’époque de Bach
réputé aphrodisiaque. Cette cohabitation entre
les genres exprime bien ma façon de concevoir
la musique sacrée. Un requiem n’existe pas que
pour ceux qui croient en Dieu. »
Pour cette série de concerts, Reinoud Van Mechelen retrouvera les musiciens des Arts Florissants qu’il côtoie régulièrement depuis le
Jardin des Voix dont il fut lauréat en 2011 : « Je
suis avec eux comme dans une famille. J’ai appris aux côtés de William Christie à comprendre
comment incarner de vraies émotions dans ma
musique, ce que j’avais toujours inconsciemment recherché dans mon approche. La tenta-
tive d’expression d’une émotion vécue, est souvent très
proche de la caricature, c’est
pourquoi il faut savoir rester
sincère sans tomber dans
le ‘kitsch’. Un équilibre que
je tente encore d’atteindre
aujourd’hui. Si on surdramatise l’interprétation d’une
œuvre sur toute sa longueur,
il n’y a plus de relief. Il faut
doser, savoir quoi mettre en
valeur et Monsieur Christie
sait. »
Une question
d’équilibre
U
© Senne Van der Ven
ténor éclairé
ne notion de dosage que le jeune homme
s’impose aussi de respecter dans sa manière de gérer une carrière déjà bien remplie :
« Je m’oblige à ne pas tout accepter. Il faut trouver un équilibre en considérant ces trois données : gagner sa vie, se faire musicalement du
bien et se faire humainement du bien. On dit souvent qu’il faut cocher deux cases sur ces trois-là
avant d’accepter un projet ! C’est ce que je m’efforce de faire, tout en ménageant du temps pour
ma vie personnelle. Prendre du recul, réfléchir
aussi à la bonne place à donner à son métier est
primordial pour ne pas se laisser envahir par sa
passion. »
Le ténor prend donc le temps d’élargir doucement mais sûrement son répertoire qui, de
cette musique française du xviie siècle qui le
fait tant « vibrer », l’a déjà mené vers Mozart,
avec un premier Requiem la saison dernière,
et bientôt vers l’opéra romantique, puisqu’il
Né en 1987 à Louvain,
Reinoud van Mechelen
étudie le chant à Bruxelles
et intègre le Jardin
des Voix en 2011.
27 septembre Cité de la musique
Les Arts Florissants, William Christie
(direction)
Bach, cantates
30 novembre - Salle Cortot
Anna Besson (flûte), Ronan Kernoa
(viole), Benjamin Alard (orgue & clavecin)
Bach, airs de cantates
paris
Récemment remarqué dans « Castor et
Pollux » au Théâtre des Champs-Élysées et
« Les fêtes vénitiennes » à l’Opéra Comique,
le ténor flamand s’est fait un nom dans la
galaxie baroque depuis sa sortie du Jardin
des Voix en 2011, mais tient à rester fidèle à
celui qui a donné ses lettres de noblesse au
répertoire ancien : William Christie…
chantera Lakmé en 2017 : « Mais la musique
ancienne fera toujours partie de ma vie. C’est un
répertoire qui met l’accent sur le verbe, plus que
le bel canto qui privilégie la voix avant tout. Un
air où le texte prime me touchera toujours plus.
Je préfère que ma voix dise autre chose que simplement « écoutez-moi ». De plus, c’est un répertoire qui laisse une grande liberté à l’interprète.
Les partitions anciennes comprennent moins
d’indications, ce qui laisse à la fois plus de place,
mais aussi, peut-être, plus de responsabilités. »
Servir la muse
C
elui qui a intégré Sciences Po avant de décider de se consacrer entièrement au chant
tient à utiliser le mot « responsabilité » avec
prudence, ajoute qu’un musicien « n’est pas diplomate aux Nations Unies » et apporte ensuite
une précision : « Qui suis-je, moi petit chanteur,
pour m’octroyer la charge de faire perdurer un
répertoire ? Disons que j’ai envie d’être le meilleur serviteur possible de la musique, plus qu’elle
ne me sert moi-même. Ma seule vraie responsabilité est celle de véhiculer la beauté auprès du
plus grand nombre. »
Conscient de devoir lutter contre des préjugés qui relèguent la culture en général et la
musique en particulier au rang de simples divertissements, Reinoud Van Mechelen met en
perspective ce qui anime son engagement, audelà du plaisir égoïste de vivre de sa passion :
« Je suis très conscient de la relativité de tout
cela. La musique classique est déjà une niche,
le baroque une niche encore plus petite, mais ce
n’est pas pour cela qu’elle ne compte pas. L’art
et la culture sont indispensables dans notre société, bien que la classe politique semble malheureusement considérer de plus en plus volontiers
le contraire. Mais il n’y a pas que les chiffres de
la croissance économique qui comptent, le bonheur et le bien-être procurés par la culture sont
au moins aussi rentables pour une société. »
• Albina Belabiod
13
concerto
Brahms
Concerto
pour violon
Le concerto pour violon
de Brahms déconcerta les
contemporains par son ampleur
symphonique, sa rhétorique et
son formalisme sophistiqués.
Son lyrisme à la fois généreux et
retenu a cependant fini
par l’imposer comme l’un des
sommets du genre.
11 octobre – Philharmonie
Orchestre National d’Île-de-France
Sergej Krylov (violon), Tadaaki Otaka
(direction)
9 novembre – Philharmonie
Orchestre de Paris
Joshua Bell (violon), Daniel Harding
(direction)
© Library of Congress’
B
rahms a laissé quatre contributions de taille au genre concertant :
deux concertos pour piano, un pour
violon, et le Double Concerto pour
violon, violoncelle et orchestre. Chacune de
ces partitions affirme une conception symphonique du genre héritée de Beethoven.
C’est d’ailleurs ce qui valut au Concerto n° 1
pour piano en ré mineur un accueil hostile
de la part du public, lorsque le compositeur
(lui-même un formidable pianiste) le créa
à Hanovre en janvier 1859, sous la direction du dédicataire, son ami le violoniste et
chef d’orchestre Joseph Joachim. Ce n’est
qu’après une exécution à Mannheim sous la
baguette d’Hermann Levi, que le public cessa
de condamner l’œuvre comme trop symphonique. Cela explique qu’il s’écoula près de
20 ans avant que le compositeur ne revienne
au genre concertant. Dans l’intervalle, sa
nomination comme chef de l’orchestre de la
Gesellschaft der Musikfreunde à Vienne avait
ravivé son désir d’écrire pour l’orchestre : les
variations sur un thème de Haydn et les deux
premières symphonies ayant imposé une fois
pour toutes son très grand talent de constructeur et d’orchestrateur, il se sentit enfin prêt
à s’atteler au concerto que Joachim attendait
depuis si longtemps. Il en entama la composi-
tion au retour de son premier voyage en Italie, au cours de l’été 1878, à Pörtschach, sur
les rives du Wörthersee, « là où les mélodies
naissent en si grand nombre qu’il faut prendre
garde, en marchant, de n’en point écraser. »
Si Brahms était un grand pianiste, il n’avait
qu’une connaissance superficielle du violon.
Aussi consulta-t-il Joachim pour l’écriture de
la partie soliste. Il fut loin cependant d’accepter toutes ses suggestions de simplification. Il
en résulta une partie de violon ingrate et très
exigeante pour l’interprète : l’œuvre passa au
début pour injouable (un critique proclamant
même qu’elle était écrite « contre le violon »),
et ne s’imposa comme le seul réel successeur
du concerto de Mendelssohn et surtout de
celui de Beethoven dans la même tonalité de
ré majeur que grâce à l’apostolat de Joachim.
Ce dernier l’imposa dans toutes les salles de
concert d’Allemagne et d’Angleterre, opposant courageusement à l’aversion du public
Johannes Brahms a réalisé
la difficile synthèse de la
rhétorique et du lyrisme,
du classicisme et du
romantisme.
de nouvelles programmations de l’œuvre,
jusqu’à ce que les préjugés se dissipent et
que la victoire soit enfin gagnée « à la pointe
de l’épée » (Richard Specht). Le célèbre critique viennois Hanslick, ardent supporter de
paris
borées et complexes. La partie centrale
en fa dièse majeur est plus dramatique ; elle a recours à des variations
rythmiques dans la partie soliste qui
attestent une fois de plus la référence
à Beethoven. À son retour, la première
partie s’envole vers les hauteurs, dans
une transparence et une clarté vraiment élyséennes.
© Richard Ascroft
Brahms et adversaire impitoyable de
Bruckner, réserva à l’œuvre un accueil mitigé, parvenant à concilier un
point de vue délibérément réticent
avec son enthousiasme sans nuance
pour le maître allemand : il doutait
que le concerto parvienne à s’imposer et lui reprochait une inspiration
hésitante et fatiguée, à la manière
d’un navire dérivant toutes voiles
carguées…
La silhouette
d’une vestale
Le violoniste américain
Joshua Bell sera entouré
par l’Orchestre de Paris
à la Philharmonie.
I
l était loin du compte. Déjà, l’exposition du
matériau thématique dans l’introduction orchestrale se caractérise par une plénitude des
motifs et une largeur tranquille à l’opposé de la
tendance mesquine à exploiter chaque thème
jusqu’à l’épuisement dont Brahms est coutumier. Elle y ajoute le trait de génie d’enclore le
chaleureux thème subsidiaire dans une simple
figuration, réservant son plein épanouissement
au cours ultérieur du mouvement. Et l’entrée
en matière du soliste, essayant chaque thème
en une libre improvisation et se décidant finalement pour le premier, « qui évoque l’image de
la silhouette élancée et sévère d’une vestale en
train de gravir les marches élevées d’un temple
d’albâtre » (Specht), rappelle le chant d’adieu
de la ballade de Senta dans le Vaisseau fantôme : une preuve supplémentaire que l’inspiration des deux maîtres allemands se recoupe.
Ce vaste mouvement se déroule dans l’atmosphère héroïque nimbée de légendes habituelles
au compositeur de la Symphonie n°4. Dans
l’Adagio, le passage au ton de fa majeur et le
silence des trompettes et des tambours créent
une atmosphère de calme et de pureté paradisiaques. Il s’agit d’une forme lied. Après une
introduction orchestrale, le hautbois expose
une ample et sereine mélodie. Sarasate, particulièrement réfractaire à cette œuvre, y voyait
la seule mélodie digne de ce nom du concerto :
« Me croyez-vous assez dépourvu de goût pour
me tenir sur l’estrade en auditeur, le violon à
la main, pendant que le hautbois joue la seule
mélodie de toute l’œuvre ? » Le violon reprend
cette mélodie et l’amplifie, en arabesques éla-
repères
7 mai 1833 : naissance à
Hambourg dans un milieu modeste
1843-1853 : élève d’Eduard
Marxsen (piano, harmonie,
composition)
1853 : rencontre Franz Liszt, Joseph
Joachim et Robert Schumann ;
Sonate pour piano no3
1858 : Concerto pour piano no 1
1868 : Un Requiem allemand
1876 : Symphonie no 1
1881 : Concerto pour piano no 2
3 avril 1897 : mort à Vienne
L’équilibre
d’un temple grec
J
oachim était d’origine hongroise : il n’est pas
étonnant dès lors que le final du concerto
prenne ses quartiers en terre hongroise. L’inspiration hongroises est récurrente dans toute
l’œuvre de Brahms : dès son adolescence, il
avait sympathisé avec les tournures et les
rythmes hongrois en accompagnant le brillant
violoniste hongrois itinérant Edouard Remenyi
(qui lui fit connaître Joachim). Ce finale adopte
la forme d’un rondo : Le refrain est un thème
exubérant, prenant son essor en double corde
sous les coups bien rythmés de l’archet du soliste. Une montée en octaves de ce dernier annonce le premier épisode en mi, aussi mouvementé que le refrain. Après le retour du refrain
en un brillant tutti orchestral, la coda atteste de
la prodigieuse capacité du compositeur à varier
ses thèmes par une métamorphose rythmique
du refrain et du premier épisode, couronnant
l’édifice par une triomphante et jubilante
« marche hongroise. »
Les proportions inhabituelles du premier
mouvement (à lui seul aussi long que les deux
autres mouvements) ont également surpris et
suscité l’hostilité initiale du public. Brahms
avait aussi esquissé un scherzo, qui fut finalement abandonné et sans doute réutilisé dans
le Concerto pour piano n° 2. Avec le recul du
temps, l’architecture du concerto nous semble
aujourd’hui posséder tout l’équilibre magistral
d’un temple grec : une transposition sonore
particulièrement convaincante du retour à la
majesté antique alors en vogue chez certains
architectes allemands (Schinkel), et parfaitement adapté à son contenu alliant la densité de
l’inspiration à la grande rhétorique.
• Michel Fleury
15
chef
Christian Zacharias
en toute liberté
Pianiste, chef d’orchestre, mais aussi peintre, Christian
Zacharias a plusieurs cordes à son arc, donnant du temps
au temps et diversifiant son activité. Il est invité comme
chef et soliste en octobre à la Philharmonie et à la Cité
de la Musique dans le cadre thématique d’une grande
P
assionné par les époques classique
et romantique, Christian Zacharias
remet continuellement sur le métier
les partitions fondamentales dont il
s’est fait la spécialité. On l’a connu déjà immense pianiste, élève de Vlado Perlemuter,
défricheur des sonates de Scarlatti ou de Carl
Philipp Emanuel Bach, interprète habité des
vingt-sept concertos pour clavier de Mozart –
qu’il a gravés au disque à deux reprises – ou
encore des sonates schubertiennes. À partir
de 2000 et durant treize ans, l’Orchestre de
Chambre de Lausanne l’a adoubé comme
directeur d’une formation qu’il a su dynamiser, conjuguant son immense expérience de
soliste à celle de chef. Il a repris sa liberté
mais il continue de se produire auprès des
plus grandes phalanges, s’investissant dans
le domaine de l’opéra, un genre dans lequel
il fait l’unanimité. Avec les musiciens de
l’Orchestre de Paris, il donnera un aperçu
de son talent polymorphe en s’attachant à
l’un de ses compositeurs fétiches, Ludwig
van Beethoven, dont il ne cesse de percer
les secrets : « J’ai déjà dirigé du piano ses
cinq concertos et les ai enregistrés en compagnie de l’Orchestre de Chambre de Lausanne
après en avoir jadis gravé une première mouture avec Armin Jordan, qui m’a suivi très tôt
dans ma jeune carrière de chef. Dans une intégrale filmée par Medici, j’explique ma relation
avec le Titan de Bonn et la manière dont j’en
conçois l’interprétation. Pour le Concerto n° 1
que je jouerai à la Philharmonie, j’ai composé
les cadences pour le premier mouvement et,
dans le final, écrit quelques
mesures au moment où, sur
un trille, l’orchestre rejoint
le piano. Il me semble que
dans cette œuvre on peut
éviter certaines vulgarités
du premier Beethoven venu
à Vienne pour s’imposer
face au public et montrer ce
dont il était capable sur le
plan de la virtuosité pure. »
Une totale
osmose
J
© Marc van Appelghem
exposition consacrée à Beethoven.
adis rétif à l’idée de diriger depuis le clavier,
Zacharias a changé d’opinion sur ce sujet :
« Je n’envisage plus de revenir en arrière car la
possibilité de contrôle est bien plus grande avec
l’impression de s’intégrer davantage à l’ensemble
du groupe. Il s’établit, comme cela est le cas
avec l’Orchestre de Chambre de Lausanne, une
écoute commune, une confiance mutuelle, qui
n’existent pas de la même façon dans la relation
avec un chef d’orchestre accompagnateur. » La
Symphonie n°6 « Pastorale » est également inscrite au programme du premier concert. Sur ce
plan, Zacharias se plie aux exigences métronomiques de Beethoven : « Plus encore qu’avec les
concertos, je pense que Beethoven savait exactement ce qu’il voulait en écrivant ses symphonies
aussi bien en matière de phrasé, de dynamique,
que dans le domaine de l’articulation, avec une
idée précise de la notion de structure globale.
Christian Zacharias mène
une grande carrière au piano
dès les années 70 puis de
chef à partir des années 90.
Les 15 & 16 octobre –
Philharmonie
Orchestre de Paris
Beethoven, Concerto pour piano n°1 &
Symphonie n°6 « Pastorale »
Le 16 octobre – Cité de la
musique
Musiciens de l’Orchestre de Paris.
Quintette pour piano & vents
Le 7 novembre – Théâtre des
Champs-Élysées
Récital : Schubert, Beethoven, Schumann.
paris
Le matériel de l’époque de Breitkopf me paraît
assez documenté. Les baroqueux – en particulier
Harnoncourt – ont beaucoup fait évoluer la recherche en retrouvant des tempos beaucoup plus
près de la réalité, en dépoussiérant une tradition
postromantique. Evidemment, j’en tiens compte
comme, par exemple, au moment de l’Orage
quand survient la tempête. » En musicien de
chambre accompli, il se fondra le lendemain
dans les rangs des vents de l’Orchestre de Paris
pour le juvénile Quintette pour piano et vents en
mi bémol majeur op. 16 : « Je me réjouis de cette
proximité avec de remarquables musiciens, que
je connais pour la plupart. Cela m’inspire dans
mon travail et m’enrichit dans mon approche. »
Actif et serein
S
’il parcourt toujours le monde, il sait trier
le grain de l’ivraie : « En matière d’enregistrements, il y a aujourd’hui pléthore et je suis de
plus en plus dubitatif sur l’obligation de refaire
ce que d’autres avant moi ont parfaitement réussi. Je préfère donner du temps au temps et profiter de mon jardin. Il y a en projet des concertos
pour piano de Carl Philipp Emanuel Bach, mais
à mon âge on peut prendre de la distance. Claustrophobe, je n’aime pas non plus être enfermé
et participer à des jurys bien que j’aie accepté
en 2017, pour la seconde fois, de présider le
Concours Clara Haskil. » Ce pédagogue capable
de rendre claires par ses explications les partitions les plus complexes n’entend pas pour
l’heure se consacrer aux master class de piano :
« À Göteborg où je suis premier chef invité de
l’Orchestre depuis de nombreuses années, j’ai
une classe uniquement de musiciens d’orchestre.
Le Curtis Institute de Philadelphie m’a fait des
propositions que j’ai finalement refusées. Cela
me déprime de voir des élèves quitter la salle de
cours dès qu’ils ont reçu leur enseignement, sans
avoir la patience d’écouter les autres. »
Quoi qu’il en soit, l’aventure parisienne de ce
pianiste marqué au sceau de l’évidence et de
l’intelligence se poursuivra pour notre plus
grand bonheur le 7 novembre au Théâtre des
Champs-Élysées dans un programme dont il
a le secret entre Schubert, Beethoven et Schumann ; en mars, on le retrouvera avec les musiciens de l’Orchestre de Paris dans un cycle
Mozart. Cet orfèvre hors pair saura comme
personne combiner son éloquence souveraine
à une élégance quintessenciée qui était également celle de ses références : Clara Haskil,
Géza Anda ou Dinu Lipatti. Excusez du peu !
• Michel Le Naour
17
en famille
La musique classique à découvrir en famille
Éclatant
Dès 9 ans
CasseNoisette
S’il est une œuvre féérique entre toutes, c’est bien Casse-Noisette. On y ressent la joie d’un enfant au milieu des préparatifs
de Noël, on frissonne quand le jouet défie en duel le roi des
souris et on rêve du royaume des sucreries. Le ballet de Tchaïkovski nous rappelle qu’il y a de la magie dans notre quotidien.
Le duo de pianistes Jatekok en propose une version à quatre
mains, croisée avec des extraits d’œuvres de Borodine, Grieg et
Saint-Saëns. Pour illustrer le conte, Marina Sosnina trace des
dessins sur le sable d’une grande poésie.
© D.R.
© Marina Sosnina
Charmant
Dès 6 ans
Pétrouchka
En 1653, pour les festivités de la diète de Ratisbonne, les meilleurs musiciens de l’Empire jouèrent. L’ensemble Les Cyclopes
nous raconte l’épisode, avec des œuvres de Froberger mais
aussi de Bertali, Valentini et Schmelzer. Leur musique, élaborée
et rigoureuse, permettra de prendre contact avec les sonorités
des claviers anciens et d’initier les plus petits comme les plus
grands à ce répertoire. Pour les enfants, l’atelier qui précède le
concert sera une opportunité d’observer de plus près de lointains cousins du piano, comme le clavicythérium ou encore le
clavicorde.
Alors qu’il songeait déjà au Sacre du Printemps, Stravinski composa Pétrouchka. L’œuvre prit d’abord la forme d’une pièce de
concert pour orchestre et piano avant de devenir le ballet que
l’on connait, sous l’impulsion de Serge Diaghilev. Comique, touchant et révolté, Pétrouchka est une marionnette douée de sentiments, empruntée à un conte populaire russe. Stravinski avait
une idée précise de ce qu’il cherchait à obtenir : « J’avais nettement la vision d’un pantin subitement déchaîné qui, par ses cascades d’arpèges diaboliques, exaspère la patience de l’orchestre,
lequel, à son tour, lui réplique par des fanfares menaçantes. Il
s’ensuit une terrible bagarre qui, arrivée à son paroxysme, se termine par l’affaissement douloureux et plaintif du pauvre pantin. »
Autour de ce schéma tragique, une intrigue s’ébauche : dans
un théâtre de marionnettes, au beau milieu du carnaval de la
« Semaine grasse » à Saint-Petersbourg, l’éternelle histoire du
triangle amoureux se rejoue, et ne peut que finir mal. Pétrouchka aime une ballerine qui s’est éprise du Maure. Pierrot, Colombine et Arlequin de la Commedia dell’arte ne sont pas loin. Stravinski traite ses personnages avec un ton caustique assumé et
se penche sur le thème de l’existence impossible. Sa musique,
haute en couleur, reprend des airs et des chansons populaires.
Le compositeur prend un malin plaisir à déboussoler l’auditeur
par des ruptures de rythmes et de dynamiques, laissant éclater
des danses sauvages. Cet hommage au folklore russe est une
porte d’entrée attrayante pour découvrir l’orchestre symphonique, d’autant plus que la compagnie Per Poc recrée le contexte
de l’histoire en donnant vie à des marionnettes.
Le 1er octobre (15h) - Royaumont
Loris Barrucand, clavecin. Les Cyclopes, Bibiane
Lapointe et Thierry Maeder (claviers et direction).
Tél. : 01 30 35 58 00
Les 1er et 2 octobre (16h) – Maison de la Radio
Orchestre Philharmonique de Radio France, Mikko Franck
(direction). Compagnie Per Poc, marionnettes.
Tel. : 01 56 40 15 16
Le 25 septembre (11h) – Théâtre du Châtelet
Adélaïde Panaget et Naïri Badal, piano. Marina Sosnina, sand-artist.
Tel. : 01 40 28 28 40
© Agathe Poupeney
Surprenant
Dès 6 ans
À la
découverte
des claviers
anciens
saisons
16 -17
Auditorium du Louvre
Musée du Louvre - Paris 1er
Rés. 01 40 20 55 00 - www.louvre.fr
Cathédrale Notre-Dame
6, Parvis Notre-Dame - Paris 4e
Rés. 01 44 41 49 99
www.musique-sacree-notredamedeparis.fr
Musée de l’Armée
129, rue de Grenelle - Paris 7e
Rés. 01 44 42 32 72 - www.musee-armee.fr
Musée d’Orsay
1, rue de la Légion-d’Honneur - Paris 7e
Rés. 01 40 49 47 50 - www.musee-orsay.fr
Opéra Bastille
Place de la Bastille - Paris 12e
Rés. 0 892 89 90 90 - www.operadeparis.fr
Les concerts à ne
pas manquer à PARIS
Palais Garnier
Place de l’Opéra - Paris 9e
Rés. 0 892 89 90 90 - www.operadeparis.fr
Philharmonie de Paris
221, avenue Jean-Jaurès - Paris 19e
Rés. 01 44 84 44 84 - www.philharmoniedeparis.com
Maison de la Radio
L'abondance de concerts à Paris (il y en a parfois
plus de 100 par semaine !) confirme la bonne santé
de la musique classique mais rend bien difficile le choix
des mélomanes. Quelle musique écouter ? Où aller ?
Quels orchestres ? Quels solistes ? Autant de questions,
autant de dilemnes. La rédaction de Cadences
a sélectionné 69 concerts d'exception parmi
les saisons proposées.
Salle Cortot
78, rue Cardinet - Paris 17e
Rés. 01 47 63 47 48 - www.sallecortot.com
Salle Gaveau
45, rue la Boétie - Paris 8e
Rés. 01 49 53 05 07 - www.sallegaveau.com
37 bis, boulevard de la Chapelle - Paris 10e
Rés. 01 46 07 34 50 - www.bouffesdunord.com
Théâtre des Champs-Élysées
15, avenue Montaigne - Paris 8e
Rés. 01 49 52 50 50
www.theatrechampselysees.fr
© D.R.
Théâtre des Bouffes du Nord
© Monika Hoefler
116, avenue du Président Kennedy - Paris 16e
Rés. 01 56 40 15 16 - www.concerts.radiofrance.fr
© Molina visuals
145, rue Saint-Honoré – Paris 1er
Rés. 01 48 24 16 97
www.philippemaillardproductions.fr
© D.R.
Oratoire du Louvre
Théâtre du Châtelet
1, place du Châtelet - Paris 1er
Rés. 01 40 28 28 40 - www.chatelet-theatre.com
mai 2015 cadences
19
C'est l'excellence qui caractérise
le collectif Les Forces Majeures, et
lorsqu'il nous propose un concert
autour de Fauré, Debussy et Ravel,
on court découvrir cet orchestre si
prometteur.
16 septembre > 15 octobre
Palais Garnier
Eliogabalo
Opéra de Francesco Cavalli
octobre
Cappella Mediterranea, Chœur de
chambre de Namur, Leonardo García
Alarcón (direction). Thomas Jolly (mise en
scène). Avec Franco Fagioli, Paul Groves,
Nadine Sierra, Valer Sabadus...
Subversion et sensualité seront les
maîtres-mots pour la recréation
d'Eliogabalo à l'Opéra de Paris.
Avec Franco Fagioli dans le rôletitre, la saison commence fort !
Samson et Dalila
Opéra de Camille Saint-Saëns
Orchestre & Chœurs de l'Opéra,
Philippe Jordan (direction). Damiano
Michieletto (mise en scène). Avec Anita
Rachvelishvili (photo), Aleksandrs
Antonenko, Egils Silins, Nicolas Testé...
Samson et Dalila commençait à
se faire oublier sur les planches
de Bastille. Le mal est réparé avec
cette nouvelle production où l'on
verra la très demandée Anita Rachvelishvili.
Oratorio de Robert Schumann
Orchestre de Paris, Chœur & Chœur
d'enfants de l'Orchestre de Paris,
Daniel Harding (direction). Avec Mari
Eriksmoen, Andrew Staples, Christian
Gerhaher et Franz-Josef Selig.
Pour son premier concert en tant
que Directeur musical de l'Orchestre de Paris, Daniel Harding
dirigera un des chefs-d'œuvre de
Schumann, véritable sommet de
romantisme.
Ensemble Les Surprises, Louis-Noël
Bestion de Camboulas (direction).
Avec Hasnaa Bennani, Eugénie Lefebvre et
Étienne Bazola.
Delalande et Destouches travaillèrent ensemble pour ce ballet spectaculaire donné devant
Louis XV. Adapté pour un effectif
de chambre, il ne perd rien de sa
splendeur.
13 octobre
Théâtre des
Champs-Élysées
Sergey Khachatryan,
violon
Orchestre National de France,
Giancarlo Guerrero (direction).
Sierra, Fandangos ; Sibelius, Concerto
pour violon ; Ravel, Valses nobles &
sentimentales ; Piazzolla, Sinfonia Buenos
Aires.
Vieille Europe et Nouveau Monde
se télescopent pour un concert
hors des sentiers battus. Mais la
présence de Khachatryan dans
Sibelius et celle de Giancarlo
Guerrero, issu de El Sistema et lui
aussi à cheval entre deux mondes,
valent assurément le détour.
14 octobre
Philharmonie
12 > 18 octobre
Théâtre des
Champs-Élysées
Jonas Kaufmann, ténor
Helmut Deutsch (piano). Lieder.
Jonas Kaufmann revient dans un
théâtre qu'il connaît bien pour ce récital de lieder. On sait d'ores et déjà
qu'il enflammera la foule, comme à
chacune de ses apparitions.
13 octobre
30 septembre
© D.R.
Sumi Jo, soprano
Norma
Opéra de Vincenzo Bellini
I Barrochisti, Chœur de la Radio
italienne, Diego Fasolis (direction).
Patrice Caurier & Moshe Leiser (mise en
scène). Avec Cecilia Bartoli (photo), Rebeca
Jeff Cohen (piano), Krzysztof Meisinger
(guitare).
Bishop, Purcell, Cimarosa, Bach, Debussy,
Villa-Lobos, Adam...
La renommée de la soprano colorature sud-coréenne a fait le tour
du monde. Ce récital au Châtelet
est une des rares occasions de la
voir à Paris.
© Marco Borggrev
John Dowland, Anthony Holborne,
John Johnson.
La période élisabéthaine fut un
véritable âge d'or musical en Angleterre. Hopkinson Smith viendra nous jouer des pièces de luth
d'une grande délicatesse.
Orchestre de Paris, Daniel Harding
(direction).
Si Mahler n'eut le temps de composer que l'adagio de cette symphonie, Daniel Harding nous la
fera entendre dans son intégralité, reconstruite par Cooke. Une
musique qu'affectionne profondément le chef.
Opéra-ballet de Michel Richard
Delalande et André Cardinal
Destouches
Salle Cortot
Hopkinson Smith, luth
Philharmonie
Symphonie n°10,
Gustav Mahler
Les Forces Majeures, Le Jeune Chœur de
Paris, Raphaël Merlin (direction).
Avec Amel Brahim Djelloul et Alexandre
Duhamel.
Ravel, Le Tombeau de Couperin ; Debussy,
Clair de Lune…
Les Éléments
Maison de la Radio
4 octobre
21 & 22 septembre
Musée de l'Armée,
Cathédrale
Requiem, Gabriel Fauré
12 octobre
© DR
Philharmonie
Scènes de Faust
de Goethe
Opéra Bastille
© D.R.
16 & 18 septembre
4 octobre > 5 novembre
13 octobre
Olvera, Norman Reinhardt, Péter Kálmán...
Cette Norma est l'un des spectacles les plus attendus de la rentrée, avec la présence de Cecilia
Bartoli qui fut déjà très acclamée
à Salzbourg pour cette prise de
rôle audacieuse.
© D.R.
saisons
septembre
16 -17
Concertgebouw
Orchestra Amsterdam
Andris Nelsons (direction).
Wagner, Prélude de Lohengrin et de
Parsifal ; Strauss, Mort & Transfiguration,
Till l'Espiègle.
Le public de la Philharmonie ne
semble plus pouvoir se passer de
la conjonction Concertgebouw/
Nelsons : il a une nouvelle occasion de goûter à une véritable orgie sonore, notamment dans les
deux chefs-d'œuvre de Strauss.
24 novembre
Philharmonie
Philharmonie
Fidelio
8 novembre
© D.R.
Salle Gaveau
Lucas Debargue, piano
Orchestre symphonique de Minsk,
Evgeny Bushkov (direction).
Grieg, Deux mélodies nordiques op.63 ;
Tchaïkovski, Sérénade pour cordes op.48 ;
Beethoven, Concerto pour piano n°2.
Récompensé du très prestigieux
« Prix spécial de la Critique Musicale de Moscou » au concours
Tchaïkovski 2015, Lucas Debargue subjugue le milieu musical. Il est très attendu Salle Gaveau.
10 novembre
Dmitri Hvorostovsky,
baryton
Ivari Ilja (piano).
Glinka, Rimski-Korsakov, Tchaïkovski,
R. Strauss...
Entre Simon Boccanegra et La
Traviata à Vienne, le célèbre baryton donne un récital au Châtelet,
avant de repartir en Russie pour
ses débuts au Bolchoï... Un succès mérité pour le chanteur russe.
© Sheila Rock
Accentus, Orchestre de Chambre
de Paris, Douglas Boyd (direction).
Peter Mumford (mise en espace). Avec
Peter Wedd, Rebecca von Lipinski,
Stephen Richardson, Jennifer France...
Une équipe artistique de tout premier ordre nous propose cette
représentation de Fidelio, seul
opéra de Beethoven. Une mise en
espace de Peter Mumford viendra
habiller le concert.
John Eliot Gardiner,
direction
Orchestre Révolutionnaire
& Romantique. Kristian Bezuidenhout
(pianoforte).
Brahms, Sérénade n°2 ; Beethoven,
Concerto pour piano n°4 ; Schubert,
Symphonie n°5.
Les sonorités aériennes sur instruments d'époque de l'ORR constituent en soi un atout grâce auquel
Sir John Eliot Gardiner impose un
romantisme tendu comme un arc,
haletant, sans mièvrerie.
15 novembre
Auditorium
du Musée d'Orsay
Edgar Moreau
et Aurélien Pascal,
violoncelles
Offenbach, Cours méthodique de duos
pour deux violoncelles, lettre « F » « très
difficile » op.54.
Deux artistes aussi jeunes que
talentueux s'associent pour ce
concert. Ayant reçu chacun une
pléiade de prix internationaux, on
a hâte de voir l'évolution de ces
deux prodiges du violoncelle.
21 novembre
Salle Gaveau
Marianne Crebassa,
mezzo
Les Ambassadeurs, Alexis Kossenko
(flûte et direction).
Mozart, airs d'opéras, Concerto pour flûte
en ré majeur.
C’est une étoile montante du chant
qu'on aura le plaisir d'entendre.
Marianne Crebassa incarnera des
rôles travestis mozartiens, dévoilant toute la richesse de sa voix.
El Niño
Oratorio de John Adams
Maîtrise de Radio France, London
Symphony Chorus & Orchestra. John
Adams (direction). Avec Joèlle Harvey,
Jennifer Johnson Cano, Davone Tines,
Daniel Bubeck...
Le London Symphony Orchestra
ouvre ce week-end exceptionnel
consacré à John Adams avec un
oratorio atypique, que le compositeur dirigera lui-même.
décembre
8 décembre
Maison de la Radio
12 décembre
© D.R.
novembre
Philharmonie
Opéra de Ludwig van Beethoven
Opéra de Kurt Weill
Orchestre du Berliner Ensemble
« The Threepenny Orchestra »,
Hans-Jörg Brandenburg et Stefan
Rager (direction). Robert Wilson
(mise en scène). Avec Angela Winker,
Christopher Nell, Jürgen Holtz…
Robert Wilson s'approprie l'œuvre
la plus populaire de Weill dans une
mise en scène moderne et subtile.
Le triomphe de 2009 méritait bien
cette reprise.
11 décembre
© D.R.
Théâtre des
Champs-Élysées
L'Opéra de Quat'sous
11 novembre
Sol Gabetta, violoncelle
David Afkham (direction).
Ravel, Une barque sur l'océan ; Elgar,
Concerto pour violoncelle ; Britten, Quatre
interludes marins de Peter Grimes ;
Debussy, La Mer.
Afkham figure parmi les baguettes
les plus médiatisées à l'heure actuelle, grâce à une capacité indéniable à faire sonner un orchestre
de façon glorieuse et une fougue
de tous les instants – Elgar sera
peut-être plus percutant que de
coutume.
9 décembre
Salle Wagram
Baptiste Trotignon,
piano
© D.R.
25 > 31 octobre
Karita Mattila, soprano
Martin Katz (piano).
Airs de Brahms, Wagner, Berg, R. Strauss...
La présence scénique puissante
de la soprano finlandaise émeut
toujours, et en fait une personnalité incontournable du paysage
lyrique actuel.
15 décembre
Musée de l’Armée,
Cathédrale
Une soirée à l’opéra
Airs d’opéras de Giuseppe Verdi,
Giacomo Puccini, Wolfgang
Amadeus Mozart
Orchestre Colonne, Marc Tardue
(direction).
Adams, The Chairman Dances ; Gershwin,
Rhapsody in Blue ; Bernstein, Ouverture
de Candide, West Side Story.
Passionné de jazz et d'improvisation, le pianiste multi-récompensé
nous propose un programme de
musique américaine ébouriffant.
Ça va swinguer Salle Wagram !
Avec Karen Vourc’h, Isabelle
Druet, Thomas Dolié, Kévin Amiel. Liya
Petrova, David Petrlik (violons), Adrien La
Marca (alto), Christian-Pierre La Marca
(violoncelle), Adam Laloum (piano).
Un aréopage de lauréats des Victoires de la Musique Classique
se rassemblent pour cette soirée
consacrée aux grands airs d’opéra. Gageons que l’émotion sera au
rendez-vous.
21
saisons
16 -17
janvier
15 décembre
Maison de la Radio
Semyon Bychkov,
direction
5 janvier
Philharmonie
Orchestre National de France.
Jean-Yves Thibaudet (piano).
Khatchatourian, Concerto pour piano ;
Tchaïkovski, Manfred Symphony.
Bychkov donne un sens et une couleur à chaque mesure. De quoi faire
scintiller le concerto de Khatchatourian (avec l’aide du clavier vif-argent
de Thibaudet) et exalter le dramatisme de la Manfred Symphony.
Staatskapelle Berlin. Yulia Deyneka
(alto).
Mozart, Symphonie concertante K 364 ;
Bruckner, Symphonie n°1.
Face à Daniel Barenboim et sa
Staatskapelle Berlin, le plus grand
respect s’impose. Il poursuit le
cycle autour de Mozart et Bruckner entamé en septembre, avec
trois nouveaux concerts.
Les Brigands, Christophe Grapperon
(direction). Pierre-André Weitz (mise en
scène). Avec Damien Bigourdan, Chantal
Santon, Lara Neumann, Ingrid Perruche,
Arnaud Marzorati...
Quand Hervé s’attaque à la littérature arthurienne, on obtient
une œuvre pétillante et loufoque.
Le Palazzetto Bru Zane nous fait
redécouvrir cette musique pleine
de grâce.
Philharmonique de Radio France,
Mikko Franck (direction).
Sibelius, Tapiola, Luonnotar ;
Beethoven, Ah perfido ; Chostakovitch,
Symphonie n°1.
Sibelius dépeint une nature mystique tout à fait fascinante dans
Tapiola et Luonnotar. C’est la formidable Karita Mattila qui chantera le second poème symphonique. Une belle ouverture pour
ce week-end « Sur les rivages de
la Baltique ».
26 janvier > 18 février
Palais Garnier
12 janvier
Maison de la Radio
21 & 22 décembre
Denis Matsuev, piano
Emmanuel Krivine (direction).
Rachmaninov, Concerto pour piano n°3 ;
Dvořák, Symphonie n°7.
Dans Rachmaninov, au grand
piano déployé par Matsuev répondra l’art des masses orchestrales
de Krivine, qui devrait également
convenir à la Symphonie n°7 de
Dvořák, si difficile à réussir de par
la diversité de ses univers sonores.
18 janvier > 18 février
Opéra Bastille
Lohengrin
Opéra de Richard Wagner
Orchestre & Chœur de l’Opéra de
Paris, Philippe Jordan (direction). Claus
Guth (mise en scène). Avec René Pape,
© Herman Sorgeloos
© D.R.
© D.R.
Philharmonie
Così fan tutte
Opéra de Wolfgang Amadeus
Mozart
Paris, Philippe Jordan (direction).
Anne Teresa De Keersmaeker (mise
en scène & chorégraphie) (photo).
Avec Jacquelyn Wagner/Ida Falk-Winland,
Michèle Losier/Stéphanie Lauricella,
Frédéric Antoun/Cyrille Dubois, Philippe
Sly/Edwin Crossley-Mercer…
Anne Teresa de Keersmaeker
signe la nouvelle mise en scène
de ce Così fan tutte. La dimension
chorégraphique du spectacle jette
un éclairage inhabituel sur les
personnages qu’on est curieux de
découvrir.
29 janvier
Cité de la musique
© D.R.
© DR
Daniel Barenboim,
piano et direction
Opéra bouffe de Hervé
Chœur de l’Orchestre de Paris,
Orchestre de Paris, Daniel Harding
(direction). Avec Christiane Karg, Kate
Royal (photo), Gerhild Romberger, Andrew
Staples, Sean Clayton et Matthias Goerne.
Poursuivant ce début de saison à
la gloire de Schumann, l’Orchestre
de Paris nous invite dans des
contrées orientales. Laissonsnous bercer par ce conte à la poésie enchanteresse.
Ismaël Margain (piano), Amaury Coeytaux,
Verena Chen, Perceval Gilles, David Petrlik
(violons), Adrien La Marca, Léa Hennino
(altos), Yan Levionnois, Victor JulienLaferrière (violoncelles).
Mendelssohn, Quatuor avec piano n°3
op.3, Octuor à cordes op.20.
Le Louvre propose deux concerts
consacrés à la musique de
chambre de Mendelssohn. L’Octuor à cordes, composé alors que
le musicien n’avait que seize ans,
est un des premiers en son genre.
Maison de la Radio
Karita Mattila, soprano
Théâtre de l’Athénée
Les chevaliers
de la Table ronde
Oratorio de Robert Schumann
Felix Mendelssohn
20 janvier
16 décembre > 7 janvier
Le Paradis et la Péri
27 & 28 janvier
Jonas Kaufmann/Stuart Skelton, Martina
Serafin/Edith Haller, Wolfgang Koch/
Tomasz Konieczny...
Si Wagner nous parle de la solitude des génies avec Lohengrin,
c’est parce que c’est aussi la
sienne. La bouleversante production de la Scala de Milan arrive
à Paris dans une distribution de
grande classe.
Le Chant de la terre,
Gustav Mahler
Orchestre de Chambre de Paris,
Douglas Boyd (direction). Avec Bernarda
Fink (photo) et Michael Schade.
Schönberg, Symphonie de chambre n°1.
L’Orchestre de Chambre de Paris
nous livre la version de Schönberg d’une des dernières compositions de Mahler. On sait qu’on
peut compter sur la voix souple
de Bernarda Fink pour souligner
les caractères variés de ce chefd’œuvre.
31 janvier & 2 février
Théâtre des
Champs-Élysées
Carmen
Opéra de Georges Bizet,
version de concert
Chœur de Radio France, Maîtrise
de Radio France, Orchestre
National de France. Simone Young
(direction). Avec Marie-Nicole Lemieux,
Michael Spyres, Vannina Santoni, JeanSébastien Bou, Chantal Santon Jeffery,
Jean Teitgen...
Le brillant livret d’Halévy et de
Meilhac nous plonge dans un tourbillon qui mène l’amour à la mort.
Pour la première fois, c’est MarieNicole Lemieux qui endosse le
rôle de la séduisante gitane.
orchestre nati¢nal
d’île-de-france
Abonnez-vous !
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J¢UEZ!
Sais¢n 16.17
130 c¢ncerts
partout et pour tous
en île-de-france
LE B¢NHEUR
SELON BRAHMS
V¢YAGE AVEC
MARCEL KHALIFÉ
Direction Tadaaki Otaka
Violon Sergej Krylov
MaR 11 oct — 20h30
Direction Julien Leroy
Oud, chant Marcel Khalifé
Avec Rami Khalifé et Bachar Mar-Khalifé
Vend 5 mai — 20h30
BRAHMS
Grande salle – Philharmonie
¢MBRES ET LUMIÈRE
CHOPIN | WILLIAMS | BARTóK
STABAT MATER
Direction Enrique Mazzola
Chœur de l’Orchestre de Paris
Chef de chœur Lionel Sow
Mar 16 mai — 20h30
Piano Louis Lortie
Violon Ann-Estelle Médouze
Jeu 17 nov — 20h30
CLASSIC¢
BEETHOVEN | HAYDN
Direction Michael Hofstetter
Violoncelle Natalie Clein
MaR 29 nov — 20h
SallE Gaveau
EL FUEG¢ LATINO
CHAVEZ | SAINT-SAËNS | RAVEL
ROMERO | VILLA-LOBOS
Direction Alondra de la Parra
Violon Alexis Cardenas
Ensemble Recoveco
Mar 13 déc — 20h30
Salle des concerts - Cité de la musique
ÉCLATS
VIVALDI | MOZART | CASTÉRÈDE
DELERUE | GERSHWIN
Direction et violon Ann-Estelle Médouze
Direction et trompette David Guerrier
Récitant Vincent Grass
Solistes de l’Orchestre
Mar 10 janv — 20h30
Salle des concerts – Cité de la musique
PRINCES DES NEIGES
NELSON | GRIEG | TCHAÏKOVSKI
Belleville 2016 - photographie Christophe Urbain licence d’entrepreneur du spectacle n°2-1043164/APE 90.01Z
BEETHOVEN | KODÁLY | KHALIFÉ
Piano Alexander Gavrylyuk
Mar 24 janv — 20h30
ROSSINI
Grande salle - Philharmonie
CONCERTS
EN FAMILLE
LA JEUNE FILLE
SANS MAINS
Un conte de Grimm
WALTER | CORDOLIANI
Direction David Walter
Soprano Sandrine Buendia
Conteur Olivier Boudrand
Mise en espace Emmanuelle Cordoliani
Dim 18 déc — 16h30
Salle des concerts – Cité de la musique
EVA, PAS À PAS
GRIOTTO | PIERRE
Direction Christophe Mangou
Récitante Rosemary Standley
Sam 25 fév — 10h30 et 11h30
Salle de répétition 1 - Philharmonie
LE PETIT BARBIER
ROSSINI | Adaptation PÉPIN
Direction Quentin Hindley
Choristes et instrumentistes d’Île-de-France
Sam 3 juin — 16h
SI TU M’AIMES…
AUBER | CANTELOUBE | RAVEL
Mezzo-soprano Marianne Crebassa
Mar 14 mars — 20h30
AMERICAN
ST¢RIES
BERNSTEIN | BARBER | COPLAND
Direction Alexandre Bloch
Violon Nemanja Radulovic
Récitant Peter Coyote
Dim 26 mars — 16h30
places
de 8 à 30€
MUSIQUE
DE CHAMBRE
SHAKER LOOPS
ADAMS
Solistes de l’orchestre
Dim 11 déC — 11h
Salle de répétition 1 - Philharmonie
LA B¢NNE CHANSON
CHAUSSON | FAURÉ
Soprano Omo Bello
Piano Jérôme Ducros
Sam 28 JANV — 15h
Amphithéâtre - Cité de la musique
Orchestre Philharmonique de Radio
France. Xavier Phillips (violoncelle).
Prokofiev, L’Amour des trois oranges
(suite) ; Chostakovitch, Concerto
pour violoncelle n°1 ; Beethoven,
Symphonie n°3.
Morlot est l’un des chefs français
les plus reconnus sur le plan international. Prokofiev et Chostakovitch bénéficieront de sa direction
incisive, alors que l’ « Eroica » fera
certainement souffler un vent
épique et sans sentimentalisme.
24 & 25 février
© D.R.
Salle Wagram
Bruno Mantovani,
direction
Orchestre Colonne. Marc Coppey
(violoncelle).
Mantovani, Concerto pour violoncelle ;
Schumann, Concerto pour violoncelle,
Symphonie n°3.
Intéressante mise en perspective
avec deux concertos pour violoncelle : celui de Schumann et
celui de Mantovani, qui dirigera luimême sa pièce, pensée comme un
hommage au maître romantique.
27 février
Philharmonie
Anna Netrebko, soprano
Orchestre national de Belgique,
Jader Bignamini (direction). Avec Yusif
Eyvazov.
Airs & duos d’opéras italiens.
La coqueluche des théâtres lyriques donne un récital à la Philharmonie... Un événement que
tout amoureux de l’opéra ne manquerait pour rien au monde !
Philharmonie
Christian Zacharias,
piano et direction
Orchestre National d’Île-de-France.
Avec Marianne Crebassa.
Auber, Ouverture de Manon Lescaut ;
Canteloube, Chants d’Auvergne ; Ravel,
Valses nobles & sentimentales…
Quelques grands tubes pour ce
concert (le Boléro de Ravel) mais
aussi des mélodies de Canteloube
qu’on est impatient d’entendre
dans la voix opulente de Marianne
Crebassa.
Orchestre de Paris. Avec Sandrine
Piau.
Mozart, Concerto pour piano n°25, Airs
de concert « Ch’io mi scordi di te » &
« Bella mia fiamma », Symphonie n°38
« Prague ».
On est comblé de pouvoir entendre ce programme Mozart par
deux grands spécialistes du répertoire. La soirée est une valeur
sûre !
Il ritorno d’Ulisse
in Patria
24 mars
Théâtre des ChampsÉlysées
9 mars
Opéra de Claudio Monteverdi
Salle Gaveau
Patricia Petibon,
soprano
Le Concert d’Astrée, Emmanuelle
Haïm (direction). Mariame Clément
(mise en scène). Avec Rolando Villazón
(photo), Magdalena Kožená, Katherine
Watson, Kresimir Spicer, Anne-Catherine
Gillet, Isabelle Druet…
On retourne aux sources de
l’opéra avec cette œuvre de Monteverdi. Emmanuelle Haïm s’est
entourée de chanteurs exceptionnels pour mettre en relief la force
de ce mythe.
Susan Manoff (piano).
Poulenc, Satie, Debussy, Barber,
Sondheim...
La pétillante soprano fait du récital un exercice autant musical que
théâtral. On l’imagine déjà irrésistible dans ce programme francoaméricain.
10 mars > 16 juillet
28 février
Opéra Bastille
de Paris
Westminster Choir &
Maîtrise Notre-Dame
de Paris
Emilie Fleury & Martin Baker (direction).
Yves Castagnet (orgue).
Fauré, Cantique de Jean Racine ; Poulenc,
Litanies à la Vierge noire ; Britten, Jehan
Alain, Holst...
La Maîtrise Notre-Dame de Paris
s’associe au Westminster Choir le
temps d’un concert. La collaboration de ces deux chœurs de prestige présage une performance
magistrale.
Philharmonie
Enrique Mazzola,
direction
4 mars
Marie-Nicole Lemieux,
contralto
Orchestre National de Montpellier,
Jean-Marie Zeitouni (direction). Airs
d’opéras de Rossini.
Avec son tempérament vocal explosif, Marie-Nicole Lemieux sait
secouer son public. Et quand elle
goûte la musique de Rossini, sa
joie est communicative.
28 mars
© D.R.
Maison de la Radio
Ludovic Morlot,
direction
Théâtre des
Champs-Élysées
14 mars
© D.R.
saisons
24 février
mars
28 février > 13 mars
© Monika Hoefler
février
16 -17
Carmen
Opéra de Georges Bizet
Orchestre & Chœur de l’Opéra
de Paris, Lionel Bringuier/Mark Elder
(direction). Calixto Bieito (mise en scène).
Avec Roberto Alagna/Brian Hymel, Roberto
Tagliavini/Ildar Abdrazakov, Clémentine
Margaine (photo)/Varduhi Abrahamyan/
Anita Rachvelishvili/Elīna Garanča,
Aleksandra Kurzak/Nicole Car/Maria
Agresta...
Un temps fort de la saison arrive
avec Carmen. Une nouvelle distribution impressionnante garantit
un triomphe pour cet opéra si populaire. Quant à la mise en scène
de Calixto Bieito, elle fera sûrement
couler encore beaucoup d’encre.
de Paris
Cantigas, Maurice Ohana
Maîtrise Notre-Dame de Paris,
Emilie Fleury & Henri Chalet (direction).
L’écho d’un Moyen-Age à la croisée des cultures résonne dans la
musique des Cantigas. À la Cathédrale Notre-Dame, les époques et
les civilisations se rencontreront.
Orchestre de Paris, Christoph von
Dohnányi (direction) (photo). Emanuel
Ax (piano). Avec Christiane Karg et
Michael Nagy.
Mozart, Concerto pour piano n°22.
Avec son Requiem, Brahms nous
a légué une méditation profondément humaine sur la vie et la
mort. L’excellent Christoph von
Dohnányi dirigera cette œuvre si
émouvante.
avril
1er avril
Maison de la Radio
L’Affaire Makropoulos
Opéra de Leoš Janáček, version
de concert
Chœur d’hommes de Radio France,
Mikko Franck (direction). Avec Laura Aikin.
Distribution communiquée ultérieurement.
La recherche de la jeunesse éternelle hante l’héroïne de cet opéra
captivant de Janáček. Le compositeur nous transporte dans un
monde étrange qui deviendra le
théâtre d’un drame.
Ophélie Gaillard (violoncelle
et direction). Avec Raquel Camarinha
et Stéphanie d’Oustrac.
Pergolesi/Bach, Tilge, Höchster,
meine Sünden ; Vivaldi, Sinfonia al Santo
Sepolcro, .
Ophélie Gaillard et les talentueux
solistes du collectif Pulcinella
continuent de nous émerveiller
dans leur répertoire de prédilection. Ce Stabat Mater s’annonce
sous les meilleures auspices.
13 avril
Maison de la Radio
Symphonie n°9,
Ludwig van Beethoven
Chœur de Radio France, Orchestre
National de France, Christoph
Eschenbach (direction). Avec Genia
Kühmeier soprano, Varduhi Abrahamyan,
Nikolaï Schukoff, Dmitry Belosselskiy.
Bruckner, Te Deum.
Celle qui devait être la dernière des
symphonies selon Wagner retentira
de toute sa puissance à la Maison
de la Radio. La dimension colossale de l’œuvre est toujours l’assurance d’un concert spectaculaire.
14 avril
Philharmonie
Philharmonique de Radio
France. Avec Ekaterina Gubanova et
Dietrich Henschel. Mahler, Des Knaben
Wunderhorn ; Bruckner, Symphonie n°4.
Inbal dans deux compositeurs
dont il est un interprète de prédilection, avec son sens légendaire
des proportions et son peu de
goût pour les effets de manche.
Dans Mahler comme dans Bruckner, cette honnêteté proverbiale
est à louer sans réserve.
Vivaldi, Concertos pour violons.
Vivaldi a livré des concertos pour
deux violons ébouriffants de
virtuosité technique. Avec deux
archets de la stature de Giuliano
Carmignola et d’Amandine Beyer,
la soirée sera inoubliable.
15 avril > 3 mai
mai
Opéra Bastille
La fille des neiges
5 mai
Opéra de Nikolaï RimskiKorsakov
La Passion selon
Saint Matthieu
Oratorio de Johann Sebastian
Bach
RIAS Kammerchor, Akademie für
Alte Musik Berlin, René Jacobs
(direction) (photo). Avec Sunhae Im,
Benno Schachtner, Julian Prégardien,
Johannes Weisser.
L’enregistrement Harmonia mundi
Maison de la Radio
Shéhérazade,
Maurice Ravel
Paris, Mikhail Tatarnikov (direction).
Dmitri Tcherniakov (mise en scène). Avec
Aida Garifullina, Rupert Enticknap, Martina
Serafin, Luciana d’Intino, Ramón Vargas,
Thomas Johannes Mayer, Franz Hawlata...
Un univers pittoresque et merveilleux sert de toile de fond à cet
opéra inspiré du folklore russe.
Rimski-Korsakov tenait en haute
estime cette partition qui recèle
de vrais trésors.
Mikko Franck (direction). Avec Alisa
Kolosova.
Ravel, Ma Mère l’Oye (suite), Daphnis &
Chloé (suite n°2).
Le chef finlandais est à son meilleur dans les combinaisons de
timbres complexes et il rendra justice à l’orchestre ravélien. Kolosova sera sans doute plus sensuelle
que mystérieuse, mais la beauté
de timbre est indéniable.
18 avril
Philharmonie
9 > 17 mai
Théâtre des
Champs-Élysées
Pelléas et Mélisande
Opéra de Claude Debussy
Chœur de Radio France, Orchestre
National de France, Louis Langrée
Sonya Yoncheva,
soprano
7 avril
Philharmonie
Eliahu Inbal, direction
a été l’un des grands événements
de la saison passée : au-delà des
révélations de type musicologique,
le chef belge nous livre une vision
intense mais humble, colorée mais
construite, avec des chanteurs à
l’engagement superlatif.
© D.R.
Ein deutsches Requiem,
Johannes Brahms
Cathédrale
Stabat Mater, Giovanni
Battista Pergolesi
© Molina visuals
© D.R.
Philharmonie
12 avril
© Gregor Hohenberg
29 & 30 mars
Accademia Montis Regalis.
Händel, airs de Giulio Cesare, Agrippina &
Theodora ; Rameau, Castor & Pollux.
La soprano bulgare a fait du chemin
depuis ses débuts auprès de William Christie. Son répertoire s’est
étendu bien au-delà du baroque,
mais quelle joie de la retrouver dans
le style qui a lancé sa carrière !
(direction). Éric Ruf (mise en scène). Avec
Patricia Petibon (photo), Jean-Sébastien
Bou, Kyle Ketelsen, Jean Teitgen…
La modernité d’écriture de Pelléas
et Mélisande permet d’explorer
l’intériorité des personnages avec
une justesse rarement égalée. Aujourd’hui à la tête de la Comédie
Française, Eric Ruf nous donne sa
vision de l’ouvrage.
27 avril
Salle Gaveau
Giuliano Carmignola
et Amandine Beyer,
violons
Gli Incogniti, Amandine Beyer
(direction).
25
saisons
Cédric Pescia, piano
Cage, Sonates & interludes pour piano
préparé… ; Beethoven, Bagatelles op.119,
Sonate n°32 op.111.
Cédric Pescia se confronte à des
œuvres novatrices de John Cage,
qu’il met en parallèle avec des
pièces tardives de Beethoven. Un
programme qui nécessite toute la
finesse du pianiste.
16 mai > 14 juin
Opéra Bastille
Eugène Onéguine
Opéra de Piotr Illitch
Tchaïkovski
Orchestre & Chœur de l’Opéra
de Paris, Edward Gardner (direction).
Willy Decker (mise en scène). Avec Anna
Netrebko/Sonya Yoncheva, Elena Zaremba,
Varduhi Abrahamyan, Peter Mattei, Pavel
Černoch/Arseny Yakoviev...
Netrebko et Yoncheva incarneront
tour à tour la belle Tatiana. Difficile de choisir une date pour aller
voir ce chef-d’œuvre de l’opéra
romantique russe...
16 mai
Philharmonie
Stabat Mater, Goachino
Rossini
Orchestre national d’Île-de-France,
Enrique Mazzola (direction). Avec Ekaterina
Siurina, Irène Roberts, Yijie Shi et Nicolay
Didenko.
Le maître de l’opéra nous a offert
des pages de musique sacrée
sublimes. On parie qu’Enrique
Mazzola, spécialiste du bel canto,
saura leur rendre justice.
9 & 10 juin
© D.R.
Salle Wagram
Orchestre National de France, Louis
Langrée (direction).
Beethoven, Concerto pour piano n°4 ;
Schönberg, Pelléas & Mélisande.
La sensibilité à fleur de peau
du pianiste fera des merveilles
dans ce concerto de Beethoven
d’une intimité touchante. Sous la
baguette de Louis Langrée, l’orchestre donnera lui aussi le meilleur de sa musique.
Thomas Hengelbrock,
direction
Orchestre de Paris. Avec Kate Lindsey.
Canteloube, Chants d’Auvergne ;
Ravel, Suite n°2 de Daphnis & Chloé ;
Moussorgski, Tableaux d’une exposition.
Le nouveau chef associé de l’Orchestre de Paris, lauréat du prix
Herbert von Karajan 2015, donne
deux concerts au programme
coloré. À ses côtés, Kate Lindsey,
jeune star du monde lyrique.
juin
8 > 11 juin
Théâtre des Bouffes
du Nord
Phèdre
19 mai
Théâtre des
Champs-Élysées
Opéra de Jean-Batiste
Lemoyne
Le Concert de la Loge, Julien Chauvin
(direction). Marc Paquien (mise en scène).
Avec Judith van Wanroij, Diana Axentii,
Enguerrand de Hys, Thomas Dolié.
Le Festival Palazzetto Bru Zane
exhume une vraie rareté : Le
Phèdre de Lemoyne, tragédie
lyrique réduite à son essence
même, petit bijou de théâtralité.
9 juin
Salle Turenne
Renée Fleming, soprano
Staatskapelle Dresden, Christian
Thielemann (direction).
Strauss, Quatre derniers Lieder, Une
Symphonie alpestre.
La soprano américaine à la carrière mythique vient avec la
Staatskapelle Dresden pour ce
programme Strauss. Les Quatre
derniers Lieder sont toujours un
moment de profonde émotion,
que Fleming sublimera comme
elle sait si bien le faire.
Nelson Freire, piano
© D.R.
12 mai
hayes, qui est de connivence avec
Philippe Cassard pour ce récital
lieder et mélodies.
Maison de la Radio
Augustin Dumay, violon
Orchestre Colonne, Laurent
Petitgirard (direction).
Dalbavie, Rocks under the Water ;
Tchaïkovski, Sérénade mélancolique ;
Ravel, Tzigane, Boléro ; Moussorgski,
Tableaux d’une exposition.
On passera d’un paysage à un
autre avec cet ambitieux programme, porté par la présence
d’Augustin Dumay. On salue ce
grand violoniste qui joue toujours
avec la même flamme et la même
maîtrise.
16 juin
Théâtre des
Champs-Élysées
Il Signor Bruschino
Opéra de Goachino Rossini,
version de concert
Orchestre National d’Île-de-France,
Enrique Mazzola (direction). Avec Desirée
Rancatore, Maxim Mironov, Alessandro
Corbelli, Markus Werba, Christian Senn...
Voilà une distribution séduisante
pour cet opéra comique de Rossini bien peu représenté. La musique pleine d’esprit de l’ouvrage
nous réserve aussi quelques mesures plus sentimentales.
17 juin
Théâtre des Abbesses
Steven Isserlis,
violoncelle
© D.R.
Beethoven : Quatuors n°3 op.18 & n°12
op.127.
Pour cette saison musicale,
le quatuor qui fait l’unanimité
voyagera entre les Etats-Unis et
l’Europe proposer un nouveau programme Beethoven riche en subtilités. Heureusement pour nous, ils
font escale à Paris !
24 mai
Philharmonie
© Gunter Glücklich
Quatuor Takács
17 & 18 mai
© Timothy White
10 & 11 mai
16 -17
Karine Deshayes, mezzo
Philippe Cassard (piano).
Mélodies et lieder de Brahms, Wagner,
Gounod, Chausson, Duparc.
Le Musée de l’Armée continue
de rivaliser avec les plus grandes
salles parisiennes en invitant
cette fois la fabuleuse Karine Des-
Bach, Suites pour violoncelle seul n°1,
n°5 & n°6 ; Kurtág, In memoriam Ferenc
Wilheim, Pilinszky Janos : Gérard de
Nerval.
Le violoncelliste s’est distingué
dans le monde entier par sa profonde musicalité. De passage à
Paris, il fait dialoguer les époques
avec deux compositeurs qu’il
connait bien : Bach et Kurtág.
les concerts
du mois
[ septembre ]
12 LUNDI
À l’ombre d’un buisson ardent
Voir au 11 septembre.
12h30. Musée du Moyen-Âge.
Diana Damrau, soprano
Bayerisches Staatsorchester.
Dir. : Kirill Petrenko. Strauss, 4 dernier
Lieder ; Tchaïkovski : Symphonie n°4.
20h00. Théâtre des Champs-Élysées.
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Martha Argerich, piano
Orchestre Neojiba. Dir. : Riccardo
Castro. Villa-Lobos, Choros n°6 ;
Chostakovitch, Concerto pour piano
& trompette n°1 ; Tchaïkovski,
Symphonie n°4.
20h30. Philharmonie.
10-60 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
13 MARDI
Chants grégoriens
Ensemble vocal de Notre-Dame de
Paris. Dir. : Sylvain Dieudonné.
20h30. Cathédrale Notre-Dame de Paris.
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.
14 MERCREDI
Cavalli, Eliogabalo
Cappella Mediterranea, Chœur de
chambre de Namur. Dir. : Leonardo
García Alarcón. Thomas Jolly, mise
en scène. Avec Franco Fagioli, Paul
Groves, Nadine Sierra, Valer Sabadus…
19h30. Palais Garnier.
10 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
15 JEUDI
Guillaume Bellom, piano
Haydn, Sonate en la bémol majeur ;
Schubert, Sonate en sol majeur ;
Thierry Escaich, Jeux de doubles.
12h30. Petit Palais.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32 .
Ibert, Saint-Saëns, Ravel, Schmitt
Dir. : Stéphane Denève. Stéphanie
d’Oustrac, mezzo ; Jean-Yves
Thibaudet, piano. Ibert, Escales ;
Saint-Saëns, Concerto pour piano
n°5 ; Ravel, Shéhérazade ; Schmitt,
La Tragédie de Salomé.
20h00. Maison de la Radio.
25-65 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Wagner, La Tétralogie (extraits)
Orchestre de l’Opéra. Dir. : Philippe
Jordan. Anja Kempe, soprano. Extraits
symphoniques de la Tétralogie.
20h00. Opéra Bastille.
5-80 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
16 VENDREDI
Cavalli, Eliogabalo
Fazil Say, piano
Philharmonique de Radio France.
Dir. : Andris Poga. Schnittke, (K)ein
Sommernachtstraum ; Say, Water ;
Messiaen, Les Offrandes oubliées ;
Chostakovitch, Symphonie n°1.
25-65 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Franck Braley, piano
Orchestre Colonne. Dir. : Laurent
Petitgirard. Beethoven, Concerto
pour piano n°4 ; Petitgirard, Les
12 Gardiens du Temple ; Debussy,
La Mer.
20h00. Salle Wagram.
25-45 €. Tél. : 01 42 33 72 89.
Marais, Pièces de viole
Ensemble Marin Marais : Jean-Louis
Charbonnier & Pierre Rousseau,
violes ; Mauricio Buraglia, théorbe ;
Pierre Trocellier, clavecin. Marais,
Pièces du Quatrième Livre.
20h00. Temple du Foyer de l’Âme.
Festival Marin Marais.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
Schumann, Scènes du Faust de Goethe
Orchestre de Paris, Chœur & Chœur
d’enfants de l’Orchestre de Paris.
Dir. : Daniel Harding. Avec Mari
Eriksmoen, soprano ; Andrew Staples,
ténor ; Christian Gerhaher, baryton ;
Franz-Josef Selig, basse.
10-50 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
17 SAMEDI
Varvara, piano
Mozart, Fantaisie K.475 ; Schumann,
Fantaisie ; Liszt, Sonate en si.
15h00. Cité de la musique, Amphithéâtre.
20-25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Vittorio Forte, piano
Schubert/Liszt, Frühlingsglaube,
Gretchen am Spinnrade, Die Forelle ;
Chopin/Liszt, Meine Freude ; Fedele,
Cadenze ; Rachmaninov/Wild, Oh
cease thy singing, Midsummer Nights,
Vocalise ; Gershwin/Wild, The Man I love,
Embreacable you, Fascinatin’ Rhythm.
16h00. Orangerie du Parc de Bagatelle.
Solistes à Bagatelle.
15-20 €. Tél. : 01 46 32 02 26.
Faust’s Box
Ars Nova. Dir. : Philippe Nahon.
Andrea Liberovici, musique, texte,
mise en scène ; Helga Davis, chant ;
Robert Wilson, narrateur de l’ombre ;
Ennio Ranabaldo, the Ghost Writer ;
Controluce Teatro d’Ombre.
18h00. Philharmonie, Salle de répétition.
10-20 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Le merveilleux don d’attendrir
Ensemble Le je-ne-sçay-quoy : Valérie
Balssa, flûte traversière ; Jean-Pierre
Nicolas, flûte à bec ; Emmanuel Balssa,
viole ; Michelle Dévérité, clavecin.
Œuvres de Michel de la Barre.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
Vanessa Wagner & Marie
Vermeulin, piano à 4 mains
Mozart, Sonate K.521 ; Schumann, Images
d’Orient ; Meïmoun, œuvre en première
mondiale ; Brahms, Valses (extraits).
15-20 €. Tél. : 01 46 32 02 26.
Puccini, Tosca
Orchestre & Chœurs de l’Opéra.
Dir. : Dan Ettinger. Pierre Audi, mise
en scène. Avec Anja Harteros/Liudmyla
Monastyrska, Marcelo Alvarez, Bryn
Terfel, Jean-Philippe Lafont…
5-215 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Franck Braley, piano
18 DIMANCHE
Roméo & Juliette
Conte chantant d’après Shakespeare.
Lucie Chaudron & Jennifer Moret,
chant ; Djanick Nanette, piano.
Jennifer Moret, mise en scène. Airs de
Händel, Thomas, Offenbach… Textes
de Hugo, Musset, Ronsard.
15h00. Théâtre de l’Ile Saint-Louis.
10-15 €. Tél. : 01 46 33 48 65.
Stravinski, L’histoire du Soldat
Musiciens de l’Orchestre de Paris.
Arnaud Denis, récitant.
15h00. Philharmonie, Salle de
répétition.
10-20 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Résonances Baroques
Mathieu Salama, contre-ténor
sopraniste ; Ghislaine Gignoux,
clavecin ; Jenneviève L’Hostis, viole de
gambe ; Claire Helou, flûte. Œuvres
de Bach, Vivaldi, Händel, Caccini,
Monteverdi, Purcell…
15h30. Paroisse Sainte-Claire.
Libre participation. Tél. : 06 11 68 22 95.
Carte blanche à Jean-Claude
Pennetier I
Jean-Claude Pennetier, piano.
Mendelssohn, Fauré, Offenbach,
Chopin, Finzi.
15-20 €. Tél. : 01 46 32 02 26.
Jouez jeunesse !
Orchestre-Atelier Ostinato. Dir. : JeanLuc Tingaud. Tanguy de Williencourt,
Sebastian Ene, Sélim Mazari, PierreYves Hodique, pianos. Bach, Concerto
pour 2 piano BWV 1060, Concertos
pour 3 pianos BWV 1063 & BWV 1064,
Concerto pour 4 pianos BWV 1065 ;
Vivaldi, Sinfonia RV 146 & RV 149.
16h00. Parc Floral de Paris.
Festival Classique au Vert.
3 €. Tél. : 01 45 43 77 58.
The Grand Tour
16h00. Salle Erard.
Schumann, Scènes du Faust de Goethe
Quatuor Van Kuijk
Webern, Langsamer satz ; Nishimura,
Quatuor n°2 « Pulses of light » ;
Mozart, Quatuor n°19 K. 465 « Les
Dissonances ».
16h00. Parc Floral de Paris.
Festival Classique au Vert.
3 €. Tél. : 01 45 43 77 58.
La Traviata
Spectacle de Benjamin Lazar, Florent
Hubert & Judith Chamla d’après Verdi.
Dir. : Paul Escobar. Benjamin Lazar,
mise en scène. Avec Florent Baffi,
Damien Bigourdan, Jérôme Billy, Renaud
Charles, Elise Chauvin, Judith Chemla…
20h30. Théâtre des Bouffes du Nord.
18-30 €. Tél. : 01 46 07 34 50.
Alla napoletana
Duo ¡Vida Bona ! : Francisco Orozco,
chant & luths ; Françoise Enock, viole
Renaissance & colascione. Villanelles
napolitaines & danses italiennes de la
Renaissance.
17h00. Cave du 38Riv’.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
The Grand Tour
Ensemble Masque. Clavecin &
Dir. : Olivier Fortin. Julien Campani,
comédien. Œuvres de Marais,
Rameau, Vivaldi, Bach & Telemann.
16h00. Salle Erard.
Festival Terpsichore.
15-25 €. Tél. : 01 86 95 24 72.
Le Théâtre musical de Telemann
Ensemble Masque. Clavecin &
Dir. : Olivier Fortin. Telemann, Suites
« Les Nations » & « Don Quichotte »,
Concerto Polonais…
20h30. Salle Erard.
15-25 €. Tél. : 01 86 95 24 72.
Carte blanche à Jean-Claude
Pennetier II
Jean-Claude Pennetier & Christian
Ivaldi, piano à 4 mains. Schubert,
Sonate D.617, Lebenstürme &
Fantaisie D.940 ; Hersant, Haïkus.
15-20 €. Tél. : 01 46 32 02 26.
paris
Alla napoletana
Voir au 18 septembre à 17h.
19 LUNDI
Cavalli, Eliogabalo
Philibert Perrine, hautbois
Jeanne Vallée, piano. Britten,
Temporal Variations ; Silvestrini,
Aloë ; Massenet, extrait transcrit
d’Hérodiade ; Finzi, Interlude op.21 ;
Poulenc, Sonate FP 185.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32 .
Puccini, Tosca
Maestracci, Hermen
Dir. : Pierre-André Valade. Mastracci,
Guillaume Hermen, œuvres nouvelles
en création mondiale.
19h00. Conservatoire de Paris.
Entrée libre. Tél. : 01 56 40 15 16.
Bach, Charpentier, Haydn
Solistes de la Maîtrise Notre-Dame de
Paris. Yves Castagnet, orgue.
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.
Esa-Pekka Salonen, direction
Philharmonia Orchestra. Stravinski,
Beethoven, Sibelius
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
La Traviata
Milhaud, Connesson, Poulenc
Chœur d’hommes de Radio France,
Maîtrise de Radio France, Orchestre
National de France. Dir. : Stéphane
Denève. Anne-Gaëlle Chanon, orgue ;
Jérôme Pernoo, violoncelle. Milhaud,
La Création du monde ; Connesson,
Concerto pour violoncelle ; Poulenc,
Litanies à la Vierge Noire, Les Biches.
10-65 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
20 MARDI
Lauréats Concours Tchaïkovski
Lucas Debargue, Lukas Geniusas, Dmitry
Masleev, Alexander Ramm, piano.
10-30 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
21 MERCREDI
Cavalli, Eliogabalo
Chanteurs de l’Académie de l’Opéra
Programme non communiqué.
20h00. Opéra Bastille, Amphithéâtre.
25 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Charpentier, Purcell
Ensemble Correspondances.
Dir. : Sébastien Daucé. Charpentier,
Cæcilia, Virgo & Martyr ; Purcell, Ode
à Sainte Cécile.
20h00. Auditorium du Louvre.
5-15 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
La Traviata
Orchestre de Paris. Dir. : Daniel Harding.
10-50 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Vivaldi, L’Estro Armonico
Les Solistes Français. Violon &
Dir. : Paul Rouger. Corelli, La Folia.
20h30. Sainte Chapelle.
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.
22 JEUDI
Justin Taylor, clavecin
Portrait de famiile : Bach, Toccatas
BWV 912 & 914 ; Forqueray, Suite n°5
en do mineur ; Couperin, extraits du
17e Ordre…
15-35 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
Mozart, Haydn
23 VENDREDI
Faust I & II
Berliner Ensemble. Herbert Grönemeyer
(musique et chansons). Robert Wilson
(direction et mise en scène). Avec Krista
Birkner, Christina Drechsler, Claudia
Graue, Friederike Maria Nölting…
19h00. Théâtre du Châtelet.
23-90 €. Tél. : 01 40 28 28 40.
Puccini, Tosca
Monteverdi, Mazzochi, Marin
Ensemble Cronexos. Rencontre entre
deux mondes : Monteverdi, Mazzochi,
Marais, Araujo, Zipoli…
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
La Traviata
Schumann, Mahler
Dir. : Mikko Franck. Edgard Moreau,
violoncelle. Schumann, Concerto pour
violoncelle ; Mahler, Symphonie n°1
« Titan ».
10-65 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
CONCERTS
JEUNES
TALENTS
SEPTEMBRE
OCTOBRE
NOVEMBRE
DÉCEMBRE
2016
24 SAMEDI
La Cantate des Muses
Ensemble Les Muses Galantes.
Dir. : Louise Audubert. Bach, cantate
« Allein zu dir, Herr Jesu Christ »
BWV 33 ; Graupner, Zelenka.
17h00. Église des Billettes.
10-20 €. Tél. : 06 77 58 30 40.
Furore italiano
Ensemble Il Groviglio : Marco Angiolini,
ténor ; Eunjin Lee, violoncelle ;
Clément Latour, théorbe ; Roberta
Tagarelli, clavecin. Œuvres de Vivaldi,
Castaldi, Merula, Sances, Stradella.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
jeunes-talents.org
01 40 20 09 32
Faust I & II
Berlioz, Symphonie fantastique
Le Balcon. Dir. : Maxime Pascal.
Florent Derex, projection sonore ;
Augustin Muller, informatique
musical. Berlioz, Symphonie
fantastique, arr. pour orchestre
sonorisé d’Arthur Lavandier.
20h00. Théâtre de l’Athénée.
8-31 €. Tél. : 01 53 05 19 19.
Sandrine Piau, soprano
Christophe Dumaux, contre-ténor. Le
Concert d’Astrée. Dir. : Emmanuelle Haïm.
Airs d’opéras et d’oratorios de Händel.
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Grand Soir Bryce Dessner
Ensemble intercontemporain.
Dir. : Matthias Pintscher. Avec Bryce
Dessner, guitare ; Della Miles, chant ;
Tyshawn Sorey, batterie. Ives, Three
Places in New England ; Dessner,
Raphael ; Neuwirth, Eleanor ; Zappa,
The Perfect Stranger…
20h30. Cité de la musique.
20-25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.

G. Coppola
H. Billaut
A. Kantorow
C. Lefebvre
F. Vaysse Knitter
N. Milstein
J. Libeer
G. Urgell Reyes
M. McLaurin
A. Tyson
Duo Jatekok
…
Paris & Lyon
La Traviata
25 DIMANCHE

Casse-Noisette
Concert en famille. Duo Jatekok ; Adélaïde
Panaget ; Naïri Badal, piano ; Marina
Sosnina, sand-artist. Musiques de
Tchaïkovski, Saint-Saëns, Borodine, Grieg…
5-10 €. Tél. : 01 40 28 28 40.
François Morel, lecteur
Antoine Sahler, piano. Hommage à
Raymond Devos.
15-30 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Roméo & Juliette
Berlioz, Symphonie fantastique
29
les concerts
du mois
Faust I & II
Le Moyen-Âge ne manque pas d’air
Pierre Boragno & Pierre Hamon,
flûtes, cornemuses, tambours…
Musique des xiiie-xve siècles.
4-6 €. Tél. : 01 53 73 78 00.
The Hume Project
Ensemble Comet Musicke : Francisco
Manalich, ténor & viole ; Marie Favier,
mezzo ; Aude-Marie Piloz, viole.
Musique de Tobias Hume.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
The Hume Project
Voir au 25 septembre à 17h.
Cavalli, Eliogabalo
Invisible Bridge
Justin Vernon, chant ; Aaron Dressner,
guitare ; Katia & Marielle Labèque, piano ;
Triple Sun ; David Chalmin, guitare…
10-45 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
26 LUNDI
Le Moyen-Âge ne manque pas d’air
Puccini, Tosca
Clément Lefebvre, piano
Eva Zavarro, Yaoré Talibart, violons ;
Tanguy Parisot, alto ; Adrien Bellom,
violoncelle. Mozart, Concerto pour
piano n°13 K.415 ; Haydn, Sonate
pour piano Hob.XIV n°20 ; Fauré,
Quatuor avec piano n°1.
20h00. Studio Raspail.
15-25 €. Tél. : 01 48 87 10 90.
Vincent Dubois, orgue
Bach, Alain, Dupré, Duruflé, Escaich,
improvisations.
15 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Purcell, Anthems & Fantazias
Capriccio Stravagante, Collegium
Vocale Gent. Dir. : Skip Sempé.
20h30. Église Saint-Louis-en-l’Ile.
15-25 €. Tél. : 01 86 95 24 72.
Cédric Tiberghien, piano
Orchestre de chambre de Paris.
Dir. : Douglas Boyd. Mozart, Concertos
pour piano n°5 & 6 ; Britten, Brahms.
5-55 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Frédéric Chiu, piano
Debussy, Pagodes (Estampes) ;
Images (livres I & II) ; Gao, Nostalgia
(Distant Voices), Concealed Kiss n°1,
Katyusha, Evening in the surburban
Moscow ; Prokofiev, Sonate n°7.
20h30. Salle Cortot.
16-31 €. Tél. : 08 92 68 36 22.
Jean Guillou, grand orgue
Guillou, Regard op.77 ; Widor, Allegro
de la VIème Symphonie op.42/2 ;
Franck, Deuxième Choral ; Liszt,
Fantaisie et fugue sur un thème de
Giacomo Meyerbeer.
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.
La Traviata
Les Arts Florissants
Les Arts Florissants. Dir. : William
Christie. Avec Rachel Redmond,
soprano ; Reinoud Van Mechelen, ténor ;
André Morsch, basse. Bach, Cantates
BWV 202, BWV 55 & BWV 211…
10-45 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
28 MERCREDI
Loris Barrucand et Clément
Geoffroy, clavecins
Jean-Féry Rebel, Suite d’Ulysse, Les
Élémens, Les Plaisirs champêtres ;
Boismortier, Premier ballet de village,
op. 52.
12h30. Hôtel de Soubise.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32 .
Mahoko Nakano, piano
Kozaburo Hirai, Mozart, Chopin, Liszt,
Toru Takemitsu et Ginastera.
18h30. Maison de la culture du Japon.
5 €. Tél. : 01 44 37 95 95.
Faust I & II
Africa Lyric’s Opera
Orchestre de la Garde Républicaine,
Chœur de l’Armée Française.
Dir. : Sébastien Billard. Avec
Pumeza Matshikiza, Jacques-Greg
Belobo, Fabrice di Falco… Gershwin,
Offenbach, Puccini…
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Faust I & II
Komitas, Khatchaturian, Ravel,
Debussy
Karen Khochafian, violon ; Iris
Torossian, harpe.
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.
Cavalli, Eliogabalo
La Traviata
27 MARDI
Virgil Boutelis-Taft, violon
Irène Duval, violon ; Pierre-Yves
Hodique, Guillaume Vincent, piano.
Œuvres de Poulenc, Chausson,
Wieniawski, Hossein, Janacek, Bartók,
Chostakovitch…
20h30. Salle Gaveau.
19-39 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Wagner, Brahms, Benjamin
Orchestre de Paris, SWR
Vokalensemble Stuttgart. Dir. : Daniel
Harding. Bejun Mehta, contre-ténor ;
Marcus Creed, chef de chœur.
Wagner, Ouverture de Parsifal ;
Benjamin, Dream of the song ;
Brahms, Symphonie n°1.
10-50 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
29 JEUDI
Julie Prola, soprano
Manuel Vieillard, piano. Lieder
de Schubert, Brahms, R. Strauss,
Zemlinsky, Ullmann et Wolfgang Rihm.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32 .
Faust I & II
Cavalli, Eliogabalo
Puccini, Tosca
Anne Sofie von Otter, mezzo
Chœur de femmes de Radio France.
Dir. : Fabien Gabel. Berlioz, Les nuits
d’été ; Strauss, Debussy.
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Jordi Savall, viole de gambe
Philippe Pierlot, viole de gambe ; Rolf
Lislevand, théorbe, guitare & vihuela ;
Pierre Hantaï, clavecin. Tous les
matins du monde, 25 ans après.
22-70 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Mozart, Haydn
Quatuor des Solistes Français ;
Dominique Vidal, clarinette. Mozart,
Quintette avec clarinette ; Haydn,
Quatuor « Lever de Soleil ».
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.
Wagner, Brahms, Benjamin
30 VENDREDI
Schumann, Spanisches Liederspiel,
Spanische Liebes-Lieder.
25 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Fauré, Requiem
Le Jeune Chœur de Paris, Les Forces
Majeures. Dir. : Raphaël Merlin. Amel
Brahim Djelloul, soprano ; Alexandre
Duhamel, baryton. Ravel, Le Tombeau
de Couperin ; Debussy, Suite
bergamasque (n°3), Clair de Lune.
20h00. Musée de l’Armée, Cathédrale.
9-30 €. Tél. : 01 44 42 54 66.
Le Labyrinthe harmonique
Ensemble Harmonia Artificiosa : Fabien
Roussel, violon ; Pascale Clément,
viole ; Philippe Ramin, clavecin. Œuvres
de Muffat, Schmelzer & Marais.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
Ravel, Dean, Stravinski
Dir. : Mikko Franck. Håkan
Hardenberger, trompette. Ravel,
La Valse ; Dean, Concerto pour
trompette ; Stravinski, Petrouchka.
10-65 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Alan James Ball, piano
Beethoven, Sonate n°8
« Pathétique » ; Debussy, 4 Préludes ;
Copland, Piano variations ; Gershwin,
3 Préludes ; Brahms, Variations &
Fugue sur un thème de Händel.
13-23 €. Tél. : 06 50 84 58 72.
Komitas, Khatchaturian, Ravel,
Debussy
La Traviata
[ octobre ]
1er SAMEDI
Beethoven, Mozart
Musiciens de l’Orchestre de chambre
de Paris : Bernard Chapron, flûte ;
Jean-Claude Bouveresse, Nicole
León, violons ; Claire Parruitte,
Philippe Dussol, altos ; Benoît Grenet,
violoncelle. Mozart, Quatuor pour
flûte & trio à cordes, Quintette pour
2 violons, 2 altos & violoncelle n°2 ;
Beethoven, Sérénade op.25.
15 €. Tél. : 0 800 42 67 57.
Schubert, Schumann, Brahms
Elina Buskha, violon ; Félix Dervaux, cor ;
Samson Tsoy, piano. Schubert, 6 Valses
D 145 ; Schumann, Kreisleriana op .16,
Sonate op.105, 3 Romances op.22 ;
Brahms, Sonate op.100, Trio op .40.
16h00. Théâtre de la Ville.
9-19 €. Tél. : 01 42 74 22 77.
Mozart, Boccherini, Pleyel
Quatuor Pleyel : Andrée Mittermitte,
Bernardette Charbonnier, violons ;
Céline Cavagnac, alto ; Claire Giardelli,
violoncelle. Œuvres dédiées au Roi de
Prusse.
18h00. Temple de Port Royal.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
Nicolas Horvath, piano
Philip Glass, Intégrale de l’œuvre pour
piano.
Entrée libre. Tél. : 01 44 84 44 84.
Philip Glass
Nicolas Horvath, piano. Intégrale de
l’œuvre pour piano de Philip Glass.
Entrée libre. Tél. : 01 44 84 44 84.
Saint-Saëns, Samson et Dalila
Dir. : Philippe Jordan. Damiano
Michieletto, mise en scène. Avec Anita
Rachvelishvili, Aleksandrs Antonenko,
Egils Silins, Nicolas Testé, Nicolas
Cavallier…
10 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Purcell, Didon & Énée
Charpentier : Actéon. Les Talens
Lyriques. Dir. : Christophe Rousset.
Avec Cyril Auvity, Vivica Genaux,
Daniela Skorka, Valérie Gabail…
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
La Traviata
Mozart, Requiem
Le Chœur de Paris, Orchestre
Hélios. Dir. : Till Aly. Natalie Perez,
soprano ; Camille le Bail, alto; Yanis
Benabdallah, ténor ; Jean-Louis
Serre, baryton. Haydn, Concerto pour
trompette ; Mozart, Symphonie n°40.
20h30. Église de la Madeleine.
20-40 €. Tél. : 06 05 62 70 57.
2 DIMANCHE
Louis-Noël Bestion de
Camboulas, clavecin
Buxtehude, Prélude en sol
mineur BuxWV 163 ; Georg Böhm,
Trois Chorals « Vater unser im
Himmelreich » ; Nicolaus Bruhns,
Prélude en mi mineur ; Bach, Choral
« Erbarm dich mein, o Herre Gott »
BWV 72, Fantaisie et Fugue en sol
mineur, BWV 542.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32 .
Les Voix d’Orphée
Dir. : Dimitar Pramatarov. Liturgie, chœurs
orthodoxes, chants populaires slaves.
14-23 €. Tél. : 01 44 62 00 55.
British roots
Stingo Music Club : Sarah Levfeuvre,
chant & flûtes ; Camille Aubret, violon ;
Stanley Smith, viole ; Pierre Rinderknecht,
guitare & théorbe. Répertoires
populaires & savants du xviie siècle.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
British roots
Voir au 2 octobre à 17h.
Martha Argerich, piano
Filarmonica della Scala. Dir. : Riccardo
Chailly. Schumann, Ouverture de
Manfred, Concerto pour piano ; Verdi,
Les Vêpres siciliennes (Les Quatre
saisons, Sinfonia).
10-130 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
LE
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MARDI
4
OCTOBRE
20:30
SALLE
CORTOT
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K
P
HO
Vivaldi, Les Quatre Saisons
Les Solistes Français. Violon &
Dir. : Paul Rouger. Vitali, Chaconne ;
Pachelbel, Canon.
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.
01 48 24 16 97 www.philippemaillardproductions.fr
paris
3 LUNDI
Puccini, Tosca
À cor & à cordes
Musiciens de l’Orchestre de chambre
de Paris : Florian Maviel, Claire
Parruitte, violons ; Sabine Bouthinon,
alto ; Benoît Grenet, violoncelle ;
Nicolas Ramez, Gilles Bertocchi, cors.
M. Haydn, Mozart, Beethoven.
20h00. Théâtre 13.
18 €. Tél. : 0 800 42 67 57.
Quatuor Ebène
Beethoven, Quatuors op.18 n°6 et
n°12 op.127 ; Dutilleux, Ainsi la nuit.
12-25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.
Ravel, Tzigane, Boléro
Les Dissonances. David Grimal, violon
& direction artistique. Ravel, Valses
nobles & sentimentales, Tzigane,
Boléro, Daphnis & Chloé, La Valse.
5-25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
4 MARDI
Cavalli, Eliogabalo
Bach, Vierne
Françoise Levéchin-Gangloff, orgue.
12h30. Église Saint-Roch.
Entrée libre.
Roméo & Juliette
Voir au 1er octobre.
31
les concerts
du mois
Britten, Vaughan Williams, Elgar
Maîtrise Notre-Dame de Paris.
Dir. : Henri Chalet. Yves Castagnet,
orgue. Britten, Hymn to the virgin,
Jubilate Deo en do et en mi bémol,
Rejoice in the lamb ; Vaughan
Williams, messe à double-chœur ;
Elgar, Lux Aeterna ; Tavener, The lamb.
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.
Hopkinson Smith, luth
Le luth élisabethain : Dowland,
Holborne, Johnson.
22-38 €. Tél. : 01 48 24 16 97.
La Traviata
5 MERCREDI
Cavalli, Eliogabalo
Le Poème Harmonique
Dir. : Vincent Dumestre. « Cœur,
un parcours amoureux » : airs de
Guédron, Boyer, Carroubel, Le Blanc,
Caiétain, Le Roy, Costeley…
15-35 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
La Traviata
Maxim Vengerov, violon
Orchestre de Paris. Dir. : Christoph
Eschenbach. Sibelius, Concerto pour
violon ; Dvorák, Symphonie n°8.
10-50 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Nicolas Stavy, piano
Young Lee, violon ; Quatuor Voce.
Mozart, Sonate K.570 ; Chopin, Andante
spianato, Grande Polonaise brillante ;
Liszt, Légende de Saint Vincent
de Paule marchant sur les flots ;
Chtchedrine, Basso appassionata ;
Brahms, Quintette avec piano op.34.
15-35 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
6 JEUDI
Ensemble Nevermind
Anna Besson, flûte ; Louis Créac’h,
violon ; Robin Pharo, viole de gambe ;
Jean Rondeau, clavecin. Telemann &
Bach à Paris : Telemann, Nouveaux
Quatuors Parisiens n°4 & 6 ; Bach,
Sonate BWV 1039.
5-15 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
Maroussia Gentet, piano
Schubert, Drei Klavierstücke D. 946 ;
Dutilleux, extrait des Trois Préludes ;
Schumann, Davidsbündlertänze.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32 .
Concert-rencontre
Musiciens de l’Orchestre et artistes
des Choeurs de l’Opéra national de
Paris. Programme non communiqué.
13h00. Opéra Bastille, Studio.
5 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
La Traviata
Clare Pierard, soprano
David Harper, piano. Œuvres
de Purcell, Strauss, Chausson,
Rachmaninov, Tchaïkovski…
19h30. Espace Georges Bernanos.
Iddo Bar-Shaï, piano
Philippe Beau, ombromane. Couperin, Les
Ombres errantes, Les Tambourins, Le Tic
Toc Choc, Les Barricades mistérieuses…
5-15 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
Puccini, Tosca
Saint-Saëns, Mélodies persanes, La Cendre
rouge et extraits de Samson et Dalila.
25 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Vanessa Wagner, piano
Orchestre de chambre de Toulouse.
Dir. : Gilles Colliard. Mozart, Concerto
pour piano n°12, Symphonies n°36
« Linz » & n°40.
9-30 €. Tél. : 01 44 42 54 66.
Maxim Vengerov, violon
Voir au 5 octobre.
The Eton Choirbook
Huelgas Ensemble. Dir. : Paul Van Nevel.
20h30. Temple de Pentemont.
15-25 €. Tél. : 01 86 95 24 72.
7 VENDREDI
Cavalli, Eliogabalo
Berlioz, Roméo & Juliette
Version concert. Chœur de Radio
France, Philharmonique de Radio
France. Dir. : Jukka-Pekka Sarasate.
Géraldine Chauvet, mezzo ; Stanislas de
Barbeyrac, ténor ; Henk Neven, baryton.
10-65 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Regina cœli
Ensemble Athénaïs. Viole &
Dir. : Laurence Pottier. Œuvres de
Charpentier, Lully, Du Mont, Nivers,
Pietkin & Madin.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
Sandrine Piau, soprano
Le Concert de la Loge. Violon &
Dir. : Julien Chauvin. Un soir au
Concert Spirituel : airs de Sarti &
Paisiello ; Haydn, Symphonie n°83…
10-22 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
8 SAMEDI
Schubert, La Truite
Ferenc Vizi, Ann-Estelle Médouze,
violon ; Vinciane Béranger, alto ;
Laura Buruiana, violoncelle ; Laurène
Durantel, contrebasse. Puis 2e partie,
cabaret, chant et piano. Offenbach,
Lavignac, Gershwin, Vian.
12-15 €. Tél. : 06 79 68 63 03.
Haydn, Les Sept dernières Paroles
du Christ
Quatuor di Bassetto : Jean-Claude
Veilhan, Éric Lorho, Ana Melo & JeanLouis Gauch.
18h00. Temple de Port Royal.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
Quatuor Hanson
Haydn, Quatuor en ré majeur op. 50
n°6 ; Webern, Sechs Bagatellen op. 9 ;
Mozart, Quatuor en ré majeur K. 575.
14 €. Tél. : 01 40 20 09 32 .
La Traviata
9 DIMANCHE
Puccini, Tosca
Roméo & Juliette
Chantons sous les frottole
Vivabiancaluna Biffi, chant & viola
d’arco ; Hélène Decarpignies, chant ;
Brigitte Lesne, chant, harpe gothique
& tambourins. Musique italienne du
début du xvie siècle.
4-6 €. Tél. : 01 53 73 78 00.
Les Voix d’Orphée
Voir au 2 octobre.
Florent Boffard, piano
Beethoven, Schönberg, Webern.
17h00. Musée d’art et d’histoire du Judaïsme.
20-25 €. Tél. : 01 53 01 86 48.
Merula, Bertali, Mealli
Ensemble La Meraviglia : Sandrine
Dupé, violon ; Karolina Herzig, harpe
baroque ; Annabelle Luis, violoncelle.
Sonates italiennes du xviie siècle.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
Merula, Bertali, Mealli
10 LUNDI
Chantons sous les frottole
Voir au 9 octobre.
Enesco, Massenet, Ravel,
Poulenc, Nafilyan
Avec Lauréats du Concours «George
Enesco» 2015 ; Sophie Fournier,
mezzo ; Florin Estefan, baryton ;
Léontina Vaduva, soprano ; Viorica
Cortez, mezzo ; Alina Pavalache, piano.
20h00. Palais de Béhague (7e).
Entrée libre. Tél. : 01 47 05 15 31.
Guillaume Coppola & Hervé
Billaut, piano à 4 mains
Brahms, 16 Valses op.39, Danses
hongroises n°2, 4, 8 & 11 ; Schubert,
Divertissement à la hongroise D.818.
15-25 €. Tél. : 01 48 87 10 90.
Romain Leleu, trompette
Ensemble Convergences. Jobim,
Kosma, Bonfa, Morricone, Piazzolla,
Peirani.
20h00. Alhambra.
23-33 €. Tél. : 01 40 20 40 25.
Bach, intégrale des Sonates &
Partitas pour violon
Paul Rouger, violon.
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.
Khatia Buniatishvili, piano
Moussorgski, Tableaux d’une
exposition ; Liszt, 3 Etudes ; Liszt/
Horowitz, Rhapsodie n°2 ; Stravinski,
3 mouvements de Petrouchka.
20h30. Fondation Vuitton.
Tél. : 01 40 69 96 00.
Quatuor Diotima
Marion Tassou, soprano ; Caroline
Delume, guitare ; Mathieu Steffanus,
Benoît Savin, Manuel Metzger,
clarinettes. Lazkano, Lurralde, Ezkil ;
Poppe, Buch ; Dallapicola, Goethe Lieder.
Festival d’Automne.
12-25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.
Venezia Stravagantissima
Capriccio Stravagante, Vox Luminis.
Dir. : Skip Sempé & Lionel Meunier.
Œuvres de Monteverdi, Gabrieli, Vecchi…
15-25 €. Tél. : 01 86 95 24 72.
OCTOBRE
Samedi 01/10 - 18 h Temple de Port Royal
Oeuvres dédiées au Roi de Prusse Mozart-Boccherini-Pleyel
Quatuor Pleyel : Andrée Mitermite, Bernadette Charbonnier, violons –
Céline Cavagnac, alto – Claire Giardelli, violoncelle
Dimanche 02/10 – 17 h et 19 h (concert doublé) 38Riv’
réservations indispensables sur le site http://www.38riv.com
"British roots" répertoires populaires et savants du 17è siècle
Stingo Music Club : Sarah Levfeuvre, chant et flûtes – Camille Aubret,
violon – Stanley Smith, viole– Pierre Rinderknecht, guitare et théorbe
Vendredi 07/10 – 20 h Temple du Foyer de l’Âme
Regina caeli œuvres de Charpentier, Lully, Du Mont, Nivers, Pietkin, Madin
Ensemble Athénaïs : Alix Rousselet, Aurore Germain : 1er dessus - Victoria
Jung, Amélie Raison : 2e dessus - Dorothée Voisine, Laura Muller : bas
dessus - Coralie Amedjkane : orgue - Laurence Pottier : viole et direction
Samedi 8/10 - 18 h Temple de Port Royal
Les Sept dernières paroles du Christ en croix » pour clarinette d’amour et
cor de basset de Joseph Haydn
Quatuor di Bassetto : Jean-Claude Veilhan – Eric Lorho – Ana Melo –
Jean-Louis Gauch
Dimanche 9/10 – 17 et 19 h (concert doublé) 38Riv’
Sonates italiennes au 17è siècle Merula, Bertali, Pandolfi Mealli...
Ensemble La Maraviglia : Sandrine Dupé, violon - Karolina Herzig, harpe
baroque - Annabelle Luis, violoncelle.
SEPTEMBRE
Marin Marais / Pièces de viole du Quatrième Livre 1717
Suitte d’un Goût Etranger Le Labyrinthe, Le Tourbillon, La Tartarine…..
Ensemble Marin Marais : Jean-Louis Charbonnier et Paul Rousseau, violes
Mauricio Buraglia, théorbe - Pierre Trocellier, clavecin
Samedi 17/9 – 18 h Temple du Foyer de l’Âme
Le merveilleux don d'attendrir Oeuvres de Michel de la Barre: pièces pour
flûte traversière et basse continue, suites en trio pour deux flûtes et basse
Ensemble le je-ne-sçay-quoy : Valérie Balssa, flûte traversière - JeanPierre Nicolas, flûte à bec - Emmanuel Balssa, viole de gambe - Michelle
Dévérité, Clavecin.
Alla napoletana :
Villanelles napolitaines et danses italiennes de la Renaissance
duo ¡Vida Bona! : Francisco Orozco : Chant et luths Françoise Enock :
viole de gambe Renaissance et colascione
"Rencontre entre deux mondes, musique baroque européenne et latinoaméricaine" Monteverdi, Mazzocchi, Marin, Araujo, Zipoli, entre autres...
Ensemble Cronexos : Barbara Kusa, soprano - Anibal Sierra, flûte
traversière - Federico Yacubsohn, viole - Alex de Valera, théorbe et
guitare baroque - Nicolas Desprez, clavecin
Samedi 24/9 - 18 h Temple du Foyer de l’Âme
Furore Italiano Vivaldi, Castaldi, Merula, Sances, Stradella…
Il Groviglio : Marco Angioloni, ténor - Eunjin Lee, violoncelle - Clément
Latour, théorbe - Roberta Tagarelli, clavecin
The Hume Project musique de Tobias Hume 1605
Comet Musicke : Francisco Manalich, ténor et viole de gambe - Marie
Favier, mezzo-soprano - Aude-Marie Piloz, viole de gambe.
Charles Dollé, L’Anonyme Parisien
Pièces pour basse de viole avec la basse continue de Charles Dollé (1737)
Robin Pharo, viole de gambe - Ronald Martin Alonso, viole de gambe Thibaut Roussel, théorbe - Loris Barrucand, Clavecin
Samedi 15/10 - 18 h Temple du Foyer de l’Âme
A Masque upon a Tempest, London 1650" John Playford, Matthew Locke,
William Lawes, Nicolas Matteis.
Ensemble The Theater of Music : Marion Fermé, flutes - Sandrine Dupé,
violon - Emmanuelle Guigue, viole de gambe - Carola Grinberg, luth,
théorbe et guitare baroque
Musique allemande pour la viole Schenck – Abel – Bach - Telemann
Ensemble Marin Marais : Jean-Louis Charbonnier, basse de viole Paul Rousseau, basse de viole - Pierre Trocellier, clavecin
Adhésion 2016 : 10 €au 1er concert
servant de «pass» pour tous les concerts,
puis libre participation
Sans réservation (sauf 38Riv’)
L’adhésion 10 €uros, indispensable pour la première entrée, est valable
pour l’ensemble des concerts et payable sur place le jour des concerts
(chèque ou espèces) ou par correspondance avec votre nom, votre adresse,
votre adresse électronique (Joindre une enveloppe timbrée à votre adresse
et chèque à l’ordre de ACH)
Le Festival Marin Marais est organisé par
l’Association Caix d’Hervelois
58 rue Viollet le Duc 94210 La Varenne
[email protected]
site : http://fmad.pagesperso-orange.fr/
renseignements Festival : 06 61 57 33 63
"Le labyrinthe harmonique". Georg Muffat sonate pour violon et BC,
Johann Heinrich Schmelzer sonate(s)pour violon et BC, Marin Marais La
Gamme, la Marésienne, Sonnerie de Ste Geneviève
Ensemble Harmonia Artificiosa : Fabien Roussel violon, Pascale Clément
viole de gambe, Philippe Ramin clavecin.
Temple Foyer de l’Âme 7 bis rue du Pasteur Wagner 75011 Paris (métro Bastille)
Temple de Port Royal 18 Bd Arago (métro Gobelins)
Cave du 38Riv’ 38 rue de Rivoli 75004 Paris (métro Hôtel de ville)
les concerts
du mois
Villancicos, tonos & seguidillas
Bárbara Kusa, soprano ; Eduardo Egüez,
vihuela & guitare baroque ; Sabina
Colonna Preti, viole de gambe. Narvaez,
Daça, Hidalgo, Vaquedano, Vado.
20h30. Théâtre Grévin.
22-38 €. Tél. : 01 48 24 16 97.
11 MARDI
Cohen, Franck, Rossini...
Paul Goussot, orgue-mélodium ; Marina
Chiche, violon ; Lidija Bizjak, piano.
Cohen, Franck, Rossini, Saint-Saëns.
12h30. Auditorium du Musée d’Orsay.
10-14 €. Tél. : 01 53 63 04 63.
Ensemble ARTE MUSICALE
Monteverdi, Laudi, Cazzati...
Entrée libre
Cavalli, Eliogabalo
Enesco, Petitgirard, Ravel
Remus Azoitei, violon ; Eduard Stan, piano.
Entrée libre. Tél. : 01 47 05 15 31.
Wagner, Schumann
Dir. : Douglas Boyd. Yvonne Naef,
contralto. Wagner : WesendonkLieder, Siegfried-Idyll ; Schumann :
Symphonie n°4.
5-55 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Bach, Charpentier, Fauré
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.
Beatum Incendium
Ensemble Mala Punica. Dir. : Pedro
Memelsdorff. Motets de Johannes Ciconia.
20h30. Temple de Pentemont.
15-25 €. Tél. : 01 86 95 24 72.
Johannes Brahms
Orchestre national d’Île-de-France.
Dir. : Tadaaki Otaka. Sergej Krylov,
violon. Concerto pour violon,
Symphonie n°1.
10-30 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
La Traviata
Mozart, Haydn
12 MERCREDI
Tempei Nakamura, piano
Œuvres de Tempei Kakamura.
18h30. Maison de la culture du Japon.
5 €. Tél. : 01 44 37 95 95.
Bellini, Norma
I Barrochisti, Chœur de la Radio
italienne. Dir. : Diego Fasolis. Patrice
Caurier & Moshe Leiser, mise en scène.
Avec Cecilia Bartoli, Rebeca Olvera,
Norman Reinhardt, Péter Kálmán…
15-200 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Delalande/Destouches, Les Éléments
Ensemble Les Surprises. Dir. : LouisNoël Bestion de Camboulas. Hasnaa
Bennani, Eugénie Lefebvre, sopranos ;
Étienne Bazzola, baryton.
15-35 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
Duo Eclypse
Dvořák, Michaël Sebaoun, Chabrier,
Brahms, Fauré et Gershwin.
14 €. Tél. : 01 40 20 09 32 .
Enesco, Nafilyan
Orchestre Secession. Dir. : Clément
Mao-Takacs.
Entrée libre. Tél. : 01 47 05 15 31.
ENSEMBLE LA CARAMBOLE
Petits motets français et italiens :
Lorenzani, Lully, Banchieri, du Mont.
15 €. Rés. : Fnac.
Voir au 10 octobre.
La Traviata
Puccini, Tosca
13 JEUDI
Camille Fonteneau, violon
Audrey Lonca-Alberto, piano. Brahms,
Sonate n°1 en sol majeur op. 78 ;
Debussy, Sonate en sol mineur ;
Guillaume Connesson, extrait des
Chants de l’Atlantide ; Eugène Ysaÿe,
Poème élégiaque op. 12.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32 .
Couperin, Marais, Rameau
Ensemble Les Timbres : Yoko
Kawabuko, violon ; Myriam Rignol,
viole de gambe ; Julien Wolfs, clavecin.
Couperin, 3e Concert Royal ; Marais,
Sonnerie de Sainte-Geneviève ;
Rameau, extraits de Pièces de clavecin
en concert ; Leclair, Sonate…
5-15 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
Concert-rencontre
Musiciens de l’Orchestre et artistes
des Chœurs de l’Opéra national de
Paris. Programme non communiqué.
13h00. Opéra Bastille, Studio.
5 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Cavalli, Eliogabalo
Bellini, Norma
Voir au 12 octobre.
Donizetti, Lucia di Lammermoor
Dir. : Riccardo Friza. Andrei Serban, mise
en scène. Avec Artur Rucinski, Pretty
Yende/Nina Minasyan, Piero Pretti/
Abdellah Lasri, Oleksiy Palchikov…
5-150 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Jonas Kaufmann, ténor
Helmut Deutsch, piano. Lieder.
5-165 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Ophélie Gaillard, violoncelle
Orchestre d’Auvergne. Dir. : Roberto
Forés Veses. Haydn, Concerto pour
violoncelle n°1 ; Gossec, Quatuor n°3
op.15 ; Mendelssohn, Symphonie n°6 ;
Beethoven, Quatuor n°11 (arr. Mahler).
9-30 €. Tél. : 01 44 42 54 66.
Sergey Katchatryan, violon
Dir. : Giancarlo Guerrero. Sierra,
Fandangos ; Sibelius, Concerto
pour violon ; Ravel, Valses nobles &
sentimentales ; Piazzolla, Sinfonia
Buenos Aires.
10-65 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Sumi Jo, soprano
Jeff Cohen, piano ; Krzysztof
Meisinger, guitare. Airs & mélodies
de Bishop, Purcell, Cimarosa, Bach,
Debussy, Villa-Lobos, Adam…
30-50 €. Tél. : 01 40 28 28 40.
Nouveaux virtuoses,
Eric Artz, piano
Chopin, Nocturne n°1, Fantaisie
impromptu, Étude n°3 & 4, Polonaise
héroïque ; Debussy, Arabesque n°1,
Passepied ; Liszt, transcriptions de
Strandchen, Gretchen am Spinrade,
Auf dem Wasser zu singen, Widmung,
Danse Macabre.
20 €. Tél. : 01 45 72 05 50.
Mozart, Haydn
Orchestre Bernard Thomas
Dir. : Bernard Thomas. Thomas
Ospital, orgue. Händel, Concertos
pour orgue n°10, n°6 & n°4 ; Vivaldi,
Concerto pour 2 violons en la
mineur ; Bach, Aria de la Suite n°3 ;
improvisations à l’orgue.
21h00. Église Saint-Eustache.
30 €. Tél. : 01 43 78 03 00.
14 VENDREDI
Schubertiade
Mathilde Calderini, flûte ; Aurèle
Marthan, piano. Schubert, Sonates
D.385 & D.821 « Arpeggione » (arr.
pour flûte & piano), Introduction,
Thème & Variations D.802.
12h15. Musée de l’Armée, Salle Turenne.
5 €. Tél. : 01 44 42 54 66.
Belcanto
Hommage à Luciano Pavarotti.
Chanteurs de la Fondation The Luciano
Pavarotti Heritage. Airs d’opéras,
chants traditionnels napolitains…
23-80 €. Tél. : 01 40 28 28 40.
Charles Dollé, l’Anonyme Parisien
Robin Pharo & Ronald Martin Alonso,
violes ; Thibaut Roussel, théorbe ; Loris
Barrucand, clavecin. Pièces pour basse
de viole & basse continue de Dollé.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
Concours Georges Enesco
Gala des Lauréats.
Entrée libre. Tél. : 01 47 05 15 31.
John Williams, musiques de film
Orchestre Colonne. Dir. : Laurent
Petitgirard. Musiques de Harry Potter,
Star Wars, Indiana Jones, Superman,
La Liste de Schindler…
25-45 €. Tél. : 01 42 33 72 89.
Valery Sokolov, violon
Dir. : Rafael Payare. Kodály, Danses
de Galanta ; Bartók, Concerto pour
violon n°2 ; Penderecki, Sinfonietta ;
Lutoslawski, Concerto pour orchestre.
10-65 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Vent d’est, vent d’ouest
Katarina Jovanovic, soprano ; Florent
Héau, clarinette ; Bruno Fontaine, piano.
Chostakovitch, Satires; Lutoslawski, 5
Préludes de danses ; Britten, L’Écho du
poète ; Bernstein, Sonate pour clarinette
& piano ; Copland, Poems of Emily
Dickinson (extraits).
10-15 €. Tél. : 01 44 42 54 66.
Voir au 10 octobre.
Beethoven, Schubert
Daniel Sepec, violon ; Roel Dieltiens,
violoncelle ; Andreas Staier, piano.
Beethoven, Trio n°6 ; Schubert, Trio
n°1 op.99.
32 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
paris
Dialogue sur le coucher du Roy
Thomas Dunford, théorbe ; Jean
Rondeau, clavecin. De Visée, Marais,
Couperin, D’Anglebert, Forqueray.
22-38 €. Tél. : 01 48 24 16 97.
Jos van Immerseel, pianoforte
Fac-similé de piano Walter, Collection Jos
van Immserseel. Beethoven, Sonates n°8
« Pathétique », 14 « Clair de Lune » & 18.
25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Concertgebouw Orchestra
Amsterdam
Royal Concertgebouw Orchestra
Amsterdam. Dir. : Andris Nelsons.
Wagner, Prélude de Lohengrin,
Prélude & enchantement du vendredi
saint de Parsifal ; Strauss, Mort &
Transfiguration, Till l’Espiègle.
10-90 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Anne Pustlauk, flûtes historiques
Toby Sermeus, pianoforte. Bach,
Partita en la mineur pour flûte seule,
BWV 1013, Sonate en ré mineur pour
pianoforte et flûte ; Weber, Romanza
pour flûte et pianoforte ; Hummel,
Sonate en ré majeur pour flûte et
pianoforte, op. 50.
17h00. CRR de Paris.
9-19 €. Tél. : 01 42 74 22 77.
La Traviata
Pergolesi, Stabat Mater
Le Chœur de Paris, Orchestre Hélios.
Dir. : Till Aly. Camille le Bail, soprano ;
Auriane Foucher, alto. Mozart,
Divertimento K.136.
20-40 €. Tél. : 06 05 62 70 57.
15 SAMEDI
Cédric Tiberghien, pianoforte
Fac-similé piano Graf du
Conservatoire de Paris. Beethoven,
Sonates n°21 « Waldstein », 22, 25
« Alla tedesca » & 28.
25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Beethoven, Trios
François-Frédéric Guy, piano ; Tedi
Papavrami, violon ; Xavier Phillips,
violoncelle. Beethoven, Trios n°4
« Gassenhauer », 5 « Geister Trio » &
7 « Archiduc ».
25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Belcanto
Voir au 14 octobre.
La Fabrique de l’orchestre
Orchestre de chambre Pelléas.
Dir. : Benjamin Lévy. Lorenzo Gatto,
violon. Beethoven, Concerto pour
violon, Romances.
15h00. Philharmonie, Salle de répétition.
10 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Fauré, Requiem
Chœur régional Vittoria d’Ile-deFrance, Orchestre Pasdeloup.
Dir. : Michel Piquemal. Hasnaa
Bennani, soprano ; Philippe Estèphe,
baryton. Mozart, Symphonie
concertante pour vents ; Caillebotte,
Une journée, « L’Angélus ».
16h00. Église Saint-Augustin.
25 €. Tél. : 01 42 78 10 00.
The Teares of the Muses
Ensemble Résonances. Musique à
l’époque des Tudor.
16h00. Salle Erard.
15-25 €. Tél. : 01 86 95 24 72.
Beethoven, Brahms, Prokofiev,
Ravel
Alissa Margulis, violon ; David
Kadouch, piano. Beethoven, Sonate
pour violon & piano op.12 n°1 ;
Brahms, Sonate n°3 op.18 ; Prokofiev,
Sonate op.80 ; Ravel, Tzigane.
17h00. Théâtre des Abbesses.
9-19 €. Tél. : 01 42 74 22 77.
Insula Orchestra
Dir. : Laurence Equilbey. Viktoria
Mullova, violon ; Alice Sara Ott, piano.
Beethoven, Concerto pour violon,
Fantaisie chorale pour piano, chœur &
orchestre, extraits des Ruines d’Athènes.
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
A Masque upon a Tempest
The Theatre of Music : Marion Fermé,
flûtes ; Sandrine Dupé, violon ;
Emmanuelle Guigue, viole ; Carola
Grindberg, luth, théorbe & guitare
baroque. Œuvres de Playford, Locke,
Lawes & Matteis.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
L’Escadron Volant de la Reine
Stradella, Vivaldi, Bach, Bonporti et
Boccherini.
14 €. Tél. : 01 40 20 09 32 .
Cavalli, Eliogabalo
Puccini, Tosca
Belcanto
Voir au 14 octobre.
Hélène Grimaud, piano
Philharmonique de Rotterdam.
Dir. : Yannick Nézet-Séguin. Bartók,
Concerto pour piano n°3 ; Mahler,
Symphonie n°1 « Titan ».
5-95 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
John Williams, musiques de film
Voir au 14 octobre.
A Dreame
Les Voix Humaines. Charles Daniel,
ténor ; Fred Jacobs, luth. Œuvres de
Henry & William Lawes.
20h30. Salle Erard.
15-25 €. Tél. : 01 86 95 24 72.
3e Festival de musique
française et roumaine
des XXe et XXIe siècles
Christian Zacharias, piano &
direction
Orchestre de Paris. Beethoven,
Concerto pour piano n°1, Symphonie
n°6 « Pastorale ».
10-50 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
La Traviata
3 concerts exceptionnels
Viorica Cortez - Leontina Vaduva
Alina Pavalache - Remus Azoitei
Eduard Stan - Florin Estefan
Orchestre Secession
10, 11 et 12 octobre - 20h
Gala des Lauréats du
3e Concours de chant
Vivaldi, Les Quatre Saisons
Ensemble Les Solistes Français. Violon
et Dir. : Paul Rouger. Vivaldi, Pachelbel
canon ; Albinoni, Adagio.
20h30. La Sainte-Chapelle.
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.
présenté par Marius Constantinescu
14 octobre - 20h
Palais de Béhague
123 rue St-Dominique - Paris 7e
www.enesco.org
Yury Martynov, pianoforte
Fac-similé piano Broadwood,
collection Chris Maene. Beethoven,
Sonates n°10, 23 « Appasionata »,
24 « À Thérèse » & 31.
25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
16 DIMANCHE
Dvorák, Brahms, Trios avec piano
Lars Vogt, piano ; Christian Tetzlaff,
violon ; Tanja Tetzlaff, violoncelle. Dvorák,
Trio n°3 op.65 ; Brahms : Trio op.87.
15-30 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Edoardo Torbianelli, pianoforte
Fac-similé piano Erard du Musée de
la musique, fac-similé piano Grad du
Sonates n°12, 16, 27 & 30.
25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
He Shi, piano
Bach, Toccata en do mineur ;
Mendelssohn, Variations sérieuses ;
Brahms, 4 Intermezzi op.119 ; Ravel,
Gaspard de la Nuit.
16-25 €. Tél. : 01 43 71 60 71.
L’association Les Amis de Marie-Laure présente
Ludmila Berlinskaia
piano
Ravel
Medtner
Scriabine
Salle
Cortot
4 nov
20h30
Billetreduc.com
Christian Zacharias, piano
Christian Zacharias, piano ; musiciens
de l’Orchestre de Paris. Beethoven,
Quintette pour piano & vents, Septuor
pour cordes & vents.
26-32 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Alexander Melnikov, pianoforte
Fac-similé piano Graf du Conservatoire
de Paris. Beethoven, Sonates n°9, 11 &
29 « Hammerklavier ».
25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
35
les concerts
du mois
Shota Kakayama, piano
Schumann, Carnaval de Vienne op.26 ;
Brahms, Klavierstücke op.119 ; Séverac,
Les Fêtes (Souvenir de Puigcerda)
extrait de Cerdaña ; Ravel, La Valse.
16-25 €. Tél. : 01 43 71 60 71.
Dowland, Lachrimæ
Capriccio Stravagante Viols. Thomas
Dunford, luth.
16h00. Salle Erard.
15-25 €. Tél. : 01 86 95 24 72.
Messager, Monsieur Beaucaire
Version concert. Chœur de Radio
France, Philharmonique de Radio
France. Dir. : Sébastien Rouland. Avec
Jean-François Lapointe, Julien Behr,
Anne-Catherine Gillet, Jodie Devos,
Nicolas Cavallier…
16h00. Maison de la Radio, Studio 104.
30-50 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Christian Zacharias, piano &
direction
Voir au 15 octobre.
Abel, Bach, Telemann
Ensemble Marin Marais : Jean-Louis
Charbonnier & Pierre Rousseau,
violes ; Pierre Trocellier, clavecin.
Musique allemande pour la viole.
Pass : 10 €. Tél. : 06 61 57 33 63.
Bellini, Norma
Voir au 12 octobre.
Kromoritmos
Concert en famille. Gabriel Benlolo,
Laurent Fraîche, Jérôme Guicherd,
Aurélien Carsalade, percussions.
Pierre-Jean Carrus, mise en scène.
5-10 €. Tél. : 01 40 28 28 40.
Jean Muller, piano
Brahms, Sonate n°1 op.1 ; Boumans,
Barcarolle n°3 ; Ligeti, Arc-en-ciel,
Escalier du Diable ; Prokofiev, Sonate n°6.
16-25 €. Tél. : 01 43 71 60 71.
Abel, Bach, Telemann
Paul Rouger, violon.
16-30 €. Tél. : 01 42 77 65 65.
17 LUNDI
Prix Safran 2016, Violoncelle
Cameron Crozman, Jérémy Garbarg,
Bruno Philippe, Caroline Sypniewski,
Volodia Van Keulen, violoncelles ;
Clément Lefebvre, piano.
10-15 €. Tél. : 01 44 42 54 66.
Voir au 14 octobre.
Brahms, Un requiem allemand
Collegium Vocale Gent, Orchestre
des Champs-Élysées. Dir. : Philippe
Herreweghe. Avec Ilse Eerens,
soprano ; Kresimir Strazanac, baryton.
Brahms, Quatre chant sérieux op.121
5-85 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Aboulker, L’homme qui titubait
dans la guerre
Chœur des enfants du Conservatoire
de Cap Atlantique, classes CHAÓ du
Collège Jacques Brel de Guérande,
Philharmonie des Deux Mondes.
Dir. : Philippe Hui. Blandine Folio
Peres, mezzo ; Vincent Billier, baryton ;
Pierre Méchanick, récitant ; Erika
Guiomar, Sylvie Lechevalier, piano.
Méchanick, Le Chemin des Dames.
15-35 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Arthur Schoonderwoerd,
pianoforte
Fac-similé piano Walter collection
privée, fac-similé piano Erard du
Musée de la musique. Beethoven,
Sonates n°2, 17 « La Tempête » et 19.
25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Martha and Friends
Martha Argerich, Stephen Kovacevich,
Akane Sakai, Lilya Zilberstein, Khatia
Buniatishvili, piano ; Jean-Claude
Gengembre, percussions. Debussy,
Chostakovitch, Bartók.
10-70 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Robert Piéchaud
Ensemble L’Instant Donné ; Trio TransAtlantisme ; Robert Piéchaud, piano ;
Jill Alessandra McCoy, voix ; Stan de
Nussac, clarinette basse, saxophone.
Piéchau, Diptyque de guerre, Études
pour piano, The River, Wittgenstein
Lieder ; Ives/Piéchaud, Variations on
America, 5 Songs.
Festival d’Automne.
12-25 €. Tél. : 01 46 07 34 50.
18 MARDI
Trio Dali
Mendelssohn, Sonate pour violoncelle
& piano op.45 ; Sarasate, Ballade pour
violon & piano op.31 ; Saint-Saëns,
Trio op.18 n°1.
10-14 €. Tél. : 01 53 63 04 63.
Bellini, Norma
Voir au 12 octobre.
Puccini, Tosca
Les 70 ans de la Maîtrise
Maîtrise de Radio France. Dir. : Sofi
Jeannin, Marie-Noëlle Maerten,
Camille Bourrouillou, Victor Jacob.
Entrée libre. Tél. : 01 56 40 15 16.
Svetlin Roussev, Fedor Rudin,
violons
Orchestre de la Garde Républicaine.
Dir. : François Boulanger.
Chostakovitch, Concerto pour violon
n°1, Ouverture de fête ; Paganini,
Caprices op.1 n°6 & 7 ; Ysaÿe, Sonate
op. Posthume ; Prokofiev, Roméo &
Juliette (extraits).
10-15 €. Tél. : 01 44 42 54 66.
Alain Planès, pianoforte
Piano Broadman du Musée de la
musique. Beethoven, Sonates n°13,
15 & 26 « Les Adieux ».
20h30. Cité de la musique,
Amphithéâtre.
25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Chants bibliques à Notre-Dame
Maîtrise Notre-Dame de Paris,
Dir. : Ariane Matiakh. Nora Gubisch,
mezzo. Mozart, Vêpres solennelles
d’un confesseur ; Pärt, Cantus in
memoriam Benjamin Britten ; Dvořák,
5 Chants bibliques.
35 €. Tél. : 01 44 41 49 99.
Gautier Capuçon, Frank Braley
Gautier Capuçon, violoncelle ; Frank
Braley, piano. Beethoven, Sonates
pour violoncelle & piano n°2, 4 & 5,
Variations sur La Flûte enchantée/
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Rinaldo Alessandrini, direction
Orchestre Divertissement. Olivier
Cavé, piano. Mozart, Concertos
pour piano n°5 & 9 « Posthorn »,
Symphonie n°41 « Jupiter », Sérénade
Posthorn (extraits).
22-55 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
19 MERCREDI
Quatuor Hagen
Haydn, Quatuors op.76 n°1, 3 & 5.
15-35 €. Tél. : 01 40 20 55 00.
Olga Pashchenko, pianoforte
Piano Gräbner du Musée de la
Musique, fac-similé piano Graf du
Sonates n°3, 4, 20 & 32.
25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
20 JEUDI
Sydney Fierro, baryton
Chloé Ducray, harpe. Schumann,
Beethoven, Schubert, Mozart et Liszt.
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32 .
Marie-Nicole Lemieux, contralto
Daniel Blumenthal, piano. Mélodies de
Duparc, Debussy, Fauré, Chausson, Caplet.
4,50-35 €. Tél. : 01 53 63 04 63.
Verdi, Requiem
Orchestre National de France, Chœur de
Radio France. Dir. : Jérémie Rhorer. Avec
Vannina Santoni, soprano ; Alisa Kolosova,
mezzo ; Jean-François Borras, ténor ;
Ildebrando d’Arcangelo, basse.
5-95 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Alexeï Lubimov, pianoforte
Piano Gräbner du Musée de la
Musique, fac-similé piano Walter &
Sohn de Paris-Sorbonne. Beethoven,
Sonates n°1, 5, 6 & 7.
25 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
Bach, Zimmermann
Orchestre de Paris, Chœur de
l’Orchestre de Paris. Dir. : Thomas
Hengelbrock. Avec Georg Nigl,
baryton ; Lothar Odinius, ténor ;
Anna Lucia Richter, soprano ; Ann
Hallenberg, mezzo ; Micha Lescot,
récitant. Bach, Passion selon Saint
Jean (première partie) ; Zimmermann,
Ich wandte mich und sah…
10-50 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
21 VENDREDI
Bernstein, Chostakovitch
Philharmonique de Radio France. Piano
& Dir. : Lahav Shani. Bernstein, West
Side Story (danses symphoniques) ;
Chostakovitch, Concerto pour piano
n°2, Symphonie n°9.
10-65 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Vladimir Spivakov, direction
Orchestre de chambre Les Virtuoses de
Moscou. Vivaldi, Concerto pour violon en
mi mineur ; Rossini, Sonate pour cordes
n°3 ; Boccherini, Symphonie en ré mineur ;
Chostakovitch, Symphonie de chambre
op.110bis, Élégie et polka pour cordes.
20h30. Fondation Vuitton.
25-45 €. Tél. : 01 40 69 96 00.
22 SAMEDI
Christian-Pierre La Marca,
violoncelle
Musiciens du Philharmonique de
Radio France. De Falla, Cassado,
Casals, Mompou, Nin, Boccherini.
15 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
paris
La Cantate des Muses
Ensemble Les Muses Galantes.
Dir. : Louise Audubert. Bach, cantate
« Wo soll ich fliehen hin » BWV 5 ;
Buxtehude, Fasch.
17h00. Église des Billettes.
10-20 €. Tél. : 06 77 58 30 40.
Anniversaire Cervantes
La Grande Chapelle. Dir. : Albert
Recasens. Madrigaux, villancicos &
pièces d’orgue de Ruimonte, Philips, Bull.
15 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Trio Guermantes
Mendelssohn, Trio n°1 en ré mineur
op. 49 ; Kaija Saariaho, Light and
Matter ; Ravel, Trio en la mineur.
14 €. Tél. : 01 40 20 09 32 .
Ravel, Rodrigo, De Falla
Solistes de la Maîtrise,
Dir. : Ernest Martinez-Izquierdo. JeanPaul Fouchécourt, ténor ; Emmanuel
Rossfelder, guitare. Turina, Ravel,
Rodrigo, De Falla.
10-50 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Hommage à Nijinksi
Les Siècles. Dir. : François-Xavier
Roth. Compagnie Ligne de sorcière ;
Dominique Brun, reconsitution &
recréation chorégraphique. Debussy,
Jeux, Prélude à l’après-midi d’un faune ;
Stravinski, Le Sacre du printemps.
10-40 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
23 DIMANCHE
Beatrice Rana, piano
Bach, Variations Goldberg.
15-30 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Rétrospective Henri Dutilleux
Sonate pour hautbois & piano, Les
Citations, Ainsi la nuit. Avec Isabelle
Perrin, flûte ; Philibert Perrine, hautbois ;
Cyril Ghestem, violon, Étienne Tavitian,
alto ; Jérôme Lefranc, violoncelle…
10-30 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Voir au 14 octobre.
Estampies sous influences
Henri Agnel, cistre, oud & cétéra ;
Idriss Agnel, oudou & zarb. Estampies
italiennes du xive siècle.
4-6 €. Tél. : 01 53 73 78 00.
Saladrigues, De Pablo, Posadas
Ensemble TM+. Dir. : Laurent Cuniot.
Saladrigues, De Pablo, Posadas, López
López.
15 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Hommage à Nijinksi
Voir au 22 octobre.
Andrei Korobeinikov, piano
Liszt, Fantaisie espagnole ; Granados,
Goyescas.
15 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
24 LUNDI
Estampies sous influences
Voir au 23 octobre.
Juan de la Rubia, orgue
Œuvres de Cabanilles, Guridi, Soler,
Urteaga, Beobide & Parra.
15 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
Henri Dutilleux
Orchestre national des Pays-de-la-Loire,
CNDC d’Angers. Dir. : Pascal Rophé. Robert
Swinston, chorégraphie ; Julien Sulzman,
violon. Dutilleux, Métaboles, Mystère de
l’instant, L’Arbre des songes.
10-30 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
25 MARDI
Le classique selon Zygel
Jean-François Zygel improvise sur Bach.
12 €. Tél. : 01 49 53 05 07.
Weill, L’Opéra de Quat’sous
Orchestre du Berliner Ensemble « The
Threepenny Orchestra ». Dir. : Hans-Jörg
Brandenburg, Stefan Rager. Robert Wilson,
mise en scène. Avec Angela Winker,
Christopher Nell, Jürgen Holtz…
5-95 €. Tél. : 01 49 52 50 50.
Monteverdi, Cavalli, Grandi
15-25 €. Tél. : 01 44 41 49 99.
26 MERCREDI
Ensemble Léviathan
Thomas Preston, Purcell, Nicola
Matteis, John Eccles, John Coperario…
Entrée libre. Tél. : 01 40 20 09 32 .
Les Concerts du Mercredi
Itay Jedlin, flûte traversière baroque ;
Myriam Mahnane, violon baroque ;
Bertrand Cuiller, clavecin ; Bruno
Benne, danseur. Louis XIV ou la mise
en scène du pouvoir absolu.
15h00. Collège des Bernardins.
Voir au 14 octobre.
Voir au 25 octobre.
Mozart, Requiem
Le Chœur de Paris, Orchestre
Hélios. Dir. : Till Aly. Natalie Perez,
soprano ; Camille le Bail, alto; Yanis
Benabdallah, ténor ; Jean-Louis
Serre, baryton. Mozart, Ode funèbre ;
Chopin, 2 Préludes.
20-40 €. Tél. : 06 05 62 70 57.
27 JEUDI
Voir au 25 octobre.
Lalo, Ravel, Saint-Saëns
Dir. : Jean-Claude Casadesus. Sarah
Nemtanu, violon. Lalo, Ouverture du
Roi d’Ys ; Ravel, Tzigane ; Saint-Saëns,
Introduction & Rondo capriccioso ;
Moussorgski/Ravel, Tableaux d’une
exposition.
10-65 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
31 LUNDI
Akadêmia
Dir. : Françoise Lasserre. Veronika
Winter, soprano ; Paulin Bündgen,
contre-ténor ; Johannes Weiss, ténor ;
Matthew Baker, basse. Johann Christoph
Bach, Dialogues, motets & lamenti.
20h30. Oratoire du Louvre.
22-38 €. Tél. : 01 48 24 16 97.
Offenbach, Les Contes d’Hoffmann
Dir. : Philippe Jordan. Robert Carsen,
mise en scène. Avec Kate Aldrich,
Ermenola Jaho, Stéphanie d’Oustrac,
Jonas Kaufmann/Stefano Secco…
10 €. Tél. : 08 92 89 90 90.
Voir au 25 octobre.
[ novembre ]
28 VENDREDI
Beethoven, Strauss
Dir. : Vasily Petrenko. Isang Enders,
violoncelle. Beethoven, Symphonie
n°7 ; Strauss, Don Quichotte.
10-65 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
3 JEUDI
Jean-Philippe Collard Neven
Jean-Philippe Collard Neven, piano
& composition. Road movie dans
un Japon imaginaire : improvisation
sonore d’un carnet de voyage.
20h00. Centre Wallonie-Bruxelles.
Festival Ars Musica à Paris.
8-10 €. Tél. : 01 53 01 96 96.
29 SAMEDI
Fédor Rudin, violon
Ingmar Lazar, piano. Sonates pour violon
et piano de Poulenc, Ravel et Franck.
14 €. Tél. : 01 40 20 09 32 .
4 VENDREDI
Ludmila Berlinskaïa, piano
Ravel, Valses nobles &
sentimentales ; Medtner, Sonate n°1
« Reminiscenza » ; Scriabine, Sonates
n°2 op.19, n°4 op.30 & n°9 op.68,
10 Préludes op.11, Poèmes op.32, 3
Pièces op.45, Vers la flamme op.72.
15-30 €. Rés. : BilletRéduc.
Voir au 14 octobre.
Voir au 25 octobre.
30 DIMANCHE
Verdi, Requiem
Le Chœur de Paris, Orchestre Hélios.
Dir. : Till Aly. Catherine Manandaza,
soprano ; Catherine Cardin, alto ;
Georges Wanis, ténor ; Jean-Louis
Serre, baryton. Dvořák, Symphonie
n°9 « Du Nouveau Monde ».
20-40 €. Tél. : 06 05 62 70 57.
Jean-François Zygel
Musique improvisée sur le film de
Fritz Lang, Die Nibelungen (1924).
25 €. Tél. : 01 40 28 28 40.
5 SAMEDI
Voir au 25 octobre.
Hommage aux castrats
Contre-ténor & Dir. : Mathieu Salama.
16h00. Église Ste-Elisabeth-de-Hongrie.
Rossini, Petite messe solennelle
Chœur de Radio France. Dir. : Sofi
Jeannin.
20 €. Tél. : 01 56 40 15 16.
37
les concerts
du mois
[ septembre ]
16 VENDREDI
Claire Désert, piano
Œuvres de Beethoven, Schumann,
Liszt, Chopin.
20h30. Église Notre-Dame, Taverny • 95.
20 €. Tél. : 06 11 03 50 93.
Légendes galloises
Élise Caron, voix ; Frédéric Aurier,
composition ; Quatuor Béla.
Mabinogion, mélodrame gallois pour
quatuor & voix.
20h30. Marbrerie, Montreuil • 93.
Festival d’Île-de-France.
13-18 €. Tél. : 01 58 71 01 01.
17 SAMEDI
Opérabus
Harmonia Sacra : Capucine Meens,
Stéphanie Revillion, sopranos ; Loris
Barrucand, clavecin. Œuvres de
Monteverdi, Strozzi, Purcell, Charpentier.
15h00. Hôtel de Ville, Pontoise • 95.
Festival Baroque de Pontoise.
Entrée libre. Tél. : 01 34 35 18 71.
Strauss, Ligeti, Brahms
Stéphanie-Marie Degand, violon ;
André Cazalet, cor Florent Boffard,
piano.
17h30. Orangerie de Sceaux • 92.
5-35 €. Tél. : 01 46 60 00 11.
Splendeurs de GrenaDe
Ensemble Beihjda. Beihjda Rahal,
voix & kouitra. La Grande Chapelle.
Dir. : Albert Recasens. Œuvres de la
Renaissance espagnole, répertoire
arabo-andalou de noubas.
20h30. Église, Auvers-sur-Oise • 95.
13-18 €. Tél. : 01 58 71 01 01.
Magic Malik
Magic Malik, flûte & voix ; Prabhu
Edouard, tabla ; Pauline Sikirdji,
mezzo ; Maya Villanueva, soprano ;
Illya Amar, percussions.
20h45. Abbaye de Royaumont • 95.
15-20 €. Tél. : 01 30 35 58 00.
18 DIMANCHE
Quatuor Cambini
Mozart, Intégrale des Quatuors dédiés
à Haydn (partie 1).
5-35 €. Tél. : 01 46 60 00 11.
Kit de survie
Serge Teyssot-Gay, guitare électrique &
direction ; Mike Ladd, Marc Nammour,
poésie ; Akosh S, saxophone ; Cyril
Bilbeaud, percussion ; Médéric
Collignon, trompette & bugle.
15-20 €. Tél. : 01 30 35 58 00.
Quatuor Cambini
Mozart, Intégrale des Quatuors dédiés
à Haydn (partie 2).
5-35 €. Tél. : 01 46 60 00 11.
23 VENDREDI
Apothéoses
Orchestre Le Palais Royal. Dir. : JeanPhilippe Sarcos. Pierre Genisson,
clarinette basse. Mozart, Concerto
pour clarinette ; Beethoven,
Symphonie n°7.
20h30. Auditorium, Vincennes • 94.
27-39 €. Tél. : 01 43 98 68 33.
24 SAMEDI
Symphonie de l’horreur
Ciné-concert. Ensemble Ee2m.
Dir. : Pierre Roullier. Film Nosferatu
de Murnau. Musique d’Alexis Savelief.
14h30. Studio 66, Champigny/Marne • 94.
Entrée libre. Tél. : 01 41 77 10 30.
Jean-Paul Gasparian, piano
Dir. : Daniel Smith. Rachmaninov,
Concerto pour piano n°3 ; Tchaïkovski,
Symphonie n°1.
20h30. Centre Culturel, Taverny • 95.
18 €. Tél. : 06 11 03 50 93.
Lisbonne tremble
Les Muffatti, Vox Luminis. Dir. : Peter Van
Heyghen. Telemann, Die Donnerode ;
Almeida, Missa a 8 en fa majeur.
20h45. Église Notre-Dame, Pontoise • 95.
21-24 €. Tél. : 01 34 35 18 71.
25 DIMANCHE
Le sacre baroque de Salzbourg
Chœur & Orchestre Collegium 1704.
Dir. : Vaclav Luks. Monteverdi, extraits
de la Selva morale e spirituale ; Biber,
Missa Salisburgensis.
18h00. Chapelle Royale, Versailles • 78.
30-130 €. Tél. : 01 30 83 78 89.
30 VENDREDI
El Niño
Opéra de chambre d’après Lorca.
Ensemble C Barré. Dir. : Sébastien
Boin. Pablo Volo, mise en scène.
Crumb, Song, Drone & Refrains of
Death ; Pattar, OmegaLorca (création).
20h30. Théâtre Montansier, Versailles • 95.
10-20 €. Tél. : 01 58 71 01 01.
Des Enfants à croquer
Opéra-comédie musicale d’après
Jonathan Swift. Ensemble Justiniana.
Étienne Roche, composition ; Claude
Tabet, livret ; Mike Guermyet,
Charlotte Nessi, mise en scène.
16h30. Le Figuier Blanc, Argenteuil • 95.
10-20 €. Tél. : 01 58 71 01 01.
[ octobre ]
1er SAMEDI
Froberger & ses contemporains
Les Cyclopes. Dir. : Bibiane Lapointe &
Thierry Maeder. Œuvres de Froberger,
Bertali, Valentini, Heinrich Bach &
Schmelzer.
15-20 €. Tél. : 01 30 35 58 00.
Chaplin, Les Temps Modernes
Dir. : Timothy Brock.
20h30. Théâtre La Piscine, Châtenay-Malabry • 92.
16-22 €. Tél. : 01 58 71 01 01.
Janáček, Journal d’un disparu
Paul Gaugler, ténor ; Albane Carrère,
mezzo ; Ienissei Ramic, piano ; Louise
Moaty, mise en scène.
20h30. Ferme, Avrainvile • 91.
13-18 €. Tél. : 01 58 71 01 01.
La Pellegrina
Ensemble Pygmalion. Dir. : Raphaël
Pichon. Intermèdes pour le mariage de
Ferdinand de Médicis & de Christine de
Lorraine : musiques de Malvezzi, Peri,
Cavalieri, Caccini, Marenzio.
25-30 €. Tél. : 01 30 35 58 00.
Songes sacrés
Les Surprises. Orgue, clavecin &
Dir. : Louis-Noël Bestion de Camboulas.
Œuvres de Brossard, Charpentier,
Clérambault, Couperin, Marais.
20h45. Cathédrale St-Maclou, Pontoise • 95.
21-24 €. Tél. : 01 34 35 18 71.
2 DIMANCHE
Froberger, goût français & stylus
fantasticus
Ensemble La Sainte Folie fantastique.
Jean-Luc Ho, clavicythérium. Œuvres de
Froberger, Louis Couperin, Huygens,
Chambonnières, Gautier, Mouton…
15-20 €. Tél. : 01 30 35 58 00.
Des Enfants à croquer
Voir au 30 septembre
10-20 €. Tél. : 01 58 71 01 01.
Quatuor Ardeo
Œuvres de Schubert, Mendelssohn,
Schumann.
20 €. Tél. : 06 11 03 50 93.
Trésors de Bohème
Cappella Mariana. Dir. : Vojtĕcg Semerád.
Musique sacrée de la Renaissance de
Bohème (Codex Specialnik).
17h00. Église Saint-Médard, Brunoy • 91.
13-18 €. Tél. : 01 58 71 01 01.
île-de-france
Andreas Staier, clavecin
Œuvres de Froberger, Louis Couperin,
Fischer, d’Anglebert, Muffat…
25-30 €. Tél. : 01 30 35 58 00.
4 MARDI
Quatuor Ardeo
Kurtág, Officium Breve ; Schumann,
Quatuor n°1 ; Schubert, Quatuor n°14
« La Jeune Fille & la Mort ».
20h30. Théâtre, St-Quentin-en-Yvelines • 78.
22 €. Tél. : 01 30 96 99 00.
5 MERCREDI
Ensemble RosaSolis
Magalie Léger, soprano. Händel, airs
extraits d’Alcina, Giulio Cesare, cantates
« La Lucrezia » & « Agrippina ».
20h45. Espace Carpeaux, Courbevoie • 92.
19-24 €. Tél. : 01 47 68 51 50.
7 VENDREDI
Moultaka, Um
Ars Nova, Neue Vocalsolisten
Stuttgart. Dir. : Philippe Nahon.
Gilbert Nouno, réalisation
informatique musicale Ircam ; Jérôme
Deschamps, lumières & vidéo.
20h30. Théâtre Jean Vilar, Vitry/Seine • 94.
13-18 €. Tél. : 01 58 71 01 01.
Orchestre Pasdeloup
Dir. : Jean-François Verdier. Solenne
Païdassi, violon. Beethoven,
Ouverture Coriolan, Symphonie n°1 ;
Tchaïkovski, Sérénade mélancolique,
Concerto pour violon.
20h30. Théâtre, Poissy • 78.
40-45 €. Tél. : 01 39 22 55 92.
Zad Moultaka, compositeur
Ars Nova, Neue Vocalsolisten.
Dir. : Philippe Nahon. Gilbert Nouno,
informatique Ircam. Moultaka, UM
(souverain Moteur de toutes choses).
20h30. Théâtre Vilar, Suresnes • 92.
8-13 €. Tél. : 01 46 97 98 10.
Voyages en Italie
Ensemble Il Groviglio. Ténor &
Dir. : Marco Angiolini. Œuvres de
Vivaldi, Sances, Merula, Kapsberger…
20h45. Église Saint-Aubin, Ennery • 95.
17-20 €. Tél. : 01 34 35 18 71.
8 SAMEDI
Déambulation musicale
Quatuor Akilone, Trio Reznicek… Œuvres
de Ravel, Puccini, Fauré, Kodaly…
12h00. Montfort l’Amaury • 78.
Les Journées Ravel de Montfort l’Amaury.
40-50 €. Tél. : 01 34 86 96 10.
CADENCES RECRUTE
Beethoven, de l’art concertant au
piano solo
Amandine Beyer, violon ; Malcolm
Bilson, Tom Beghin, pianoforte.
Beethoven, Sonates pour piano & violon
n°4, Sonates pour piano n°30 op.109
& n°31 op.110 ; Schubert, Sonate pour
piano & violon D.574 « Grand Duo ».
25-30 €. Tél. : 01 30 35 58 00.
Orchestre de l’Opéra de Massy.
Dir. : Dominique Rouits. Elgar, Pomp &
circumstance (Marche n°1), Concerto pour
violoncelle ; Brahms, Symphonie n°3.
20h00. Opéra de Massy • 91.
22-28 €. Tél. : 01 60 13 13 13.
sopraniste ; Bruno Angé, viole
de gambe. Voyage dans l’Italie &
l’Allemagne des xviie et xviiie siècles.
20h00. Temple, Fontainebleau • 77.
Insula Orchestra
Insula Orchestra. Dir. : Laurence
Equilbey. Viktoria Mullova, violon.
Beethoven, Concerto pour violon ;
Mendelssohn, Symphonie n°4
« Italienne ».
20h45. Théâtre Les Gémeaux, Sceaux • 92.
31-35 €. Tél. : 01 46 61 36 67.
étudiantes & Étudiants
pour distributions le soir
devant les salles de spectacles
Disponibilité quelques heures par mois.
Merci d'envoyer un CV
et une lettre de motivation à :
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avec Gaëlle Le Gallic
Lundi 19 septembre 2016 à 19h
Irène Duval et Virgil Boutellis-Taft, violons
Guillaume Vincent, piano
Tanguy de Williencourt, piano
Chloé Briot, soprano
Émission Génération jeunes interprètes
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Nuit Beethoven
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pianoforte. Beethoven, Sonates n°1
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op.111 ; Dussek, Gelinek.
25-30 €. Tél. : 01 30 35 58 00.
1
29/08/2016 16:31
9 DIMANCHE
Franz Schubert
Trio Opus 71 ; Fanny Robillard, violon ;
Manon Gilardot, violoncelle. Quintette
à cordes D.956
13h30. Théâtre 71, Malakoff • 92.
14 €. Tél. : 01 55 48 91 00.
Chopin, Loewe
Ludovic Van Hellemont, pianoforte ; Ulrich
Messthaler, chanteur s’accompagnant
au piano. Œuvres de Chopin, Zelter,
Beethoven, Loewe, Schumann, Liszt…
15-20 €. Tél. : 01 30 35 58 00.
Grace Durham, mezzo
Philippe Biros, piano. Mélodies de
Duparc, Ravel, Fauré, Britten…
15h00. Église Saint-Eloi, Les Mesnuls • 78.
6-26 €. Tél. : 01 34 86 96 10.
Voir au 8 octobre.
39
les concerts
du mois
Aashenayi
Canticum Novum. Dir. : Emmanuel
Bardon. Rencontre musical en terre
ottomane. Musiques anciennes d’Espagne,
Turquie, Afghanistan, Iran, Balkans.
15-19 €. Tél. : 01 34 35 18 71.
Insula Orchestra
Voir au 8 octobre.
Quatuor « Inédits »
Isa Lagarde, voix ; Anthony Millet,
accordéon. Œuvres de Ravel, Kurt Weill…
17h00. Salle des Fêtes, Les Mesnuls • 78.
6-26 €. Tél. : 01 34 86 96 10.
Voir au 8 octobre.
17h00. Église Saint-Pierre, Avon • 77.
Sarah Nemtanu, violon
Orchestre Régional de Normandie.
Dir. : David Wroe. Œuvres de Vivaldi,
Marchand, Paganini…
20 €. Tél. : 06 11 03 50 93.
Chopin, plasticité & avant-garde
Edoardo Torbianelli, pianoforte.
Chopin, Préludes, Mazurkas,
Polonaise-fantaisie…
25-30 €. Tél. : 01 30 35 58 00.
Insula Orchestra
Voir au 8 octobre.
11 MARDI
Saint-Saëns, Proserpine
Version concert. Orchestre de la Radio
de Munich, Chœur de la Radio flamande.
Dir. : Ulf Schirmer. Véronique Gens,
Marie-Adeline Henry, Frédéric Antoun,
Andrew Foster-Williams, Jean Teitgen…
20h00. Opéra Royal, Versailles • 78.
25-110 €. Tél. : 01 30 83 78 89.
Delalande/Destouches, Les Éléments
Les Surprises. Clavecin & Dir. : LouisNoël Bestion de Camboulas. Édouard
Signolet, mise en scène. Avec Hasnaa
Bennani, Eugénie Lefebvre, Étienne
Bazola, Joan Vercoutere.
20h30. Théâtre des Louvrais, Pontoise • 95.
19-24 €. Tél. : 01 34 35 18 71.
13 JEUDI
Fastes des mariages royaux
chez les Médicis
Ensemble Pygmalion. Dir. : Raphaël
Pichon. Monteverdi, extraits de Il
Ballo delle Ingrate ; Peri/Caccini,
extraits d’Euridice ; extraits de Il
Commodo & de La Pellegrina.
45-140 €. Tél. : 01 30 83 78 89.
Danceries en fables
Compagnie Fantaisies Baroques. Irène
Feste, Pierre-François Dollé, création, mise
en scène & chorégraphie. Patrick Oliva,
violon ; Geneviève Koerver, violoncelle ;
Gérard Rebours, guitare baroque. Œuvres
de Lully, Rebel, Marais, Campra, Biber…
20h30. CRR de Cergy-Pontoise, Cergy • 95.
15-18 €. Tél. : 01 34 35 18 71.
14 VENDREDI
Debussy, Fauré, Saint-Saëns
Vadim Tchijik, violon ; Fabrice Loyal,
violoncelle ; Nicolas Boyer-Lehmann,
piano. Debussy, Sonate en ré mineur
pour violoncelle et piano ; Fauré,
Sonate n° 1 pour violon et piano ;
Saint-Saëns, Trio n° 2 pour violon,
violoncelle et piano.
20h30. Église Ste-Marguerite, Le Vésinet • 78.
Automne Musical du Vésinet.
10-20 €. Tél. : 09 84 08 83 41.
Orchestre National d’Île-de-France
Dir. : Tadaaki Otaka. Sergej Krylov,
violon. Brahms, Concerto pour violon,
Symphonie n°1.
20h30. Espace Michel, Noisy-le-Grand • 93.
29-31 €. Tél. : 01 49 31 02 02.
15 SAMEDI
Julian Trevelyan, piano
Bach/F. Busoni, Chaconne ; Fauré,
Nocturne ; Ravel, Gaspard de la Nuit.
15h00. Auditorium, Monfort l’Amaury • 78.
16 €. Tél. : 01 34 86 96 10.
Madoka Fukami, piano
Bach, Sonata WA11 op. 17 n°5 ;
Debussy, Trois Préludes ; Fauré,
Nocturne n° 6 op. 63 ; Ravel, Miroirs.
16 €. Tél. : 01 34 86 96 10.
Hélène Tysman, piano
Bach, Fantaisie chromatique et fugue ;
Ravel, Valses nobles et sentimentales,
La Valse ; Fauré, Nocturne n°13.
16 €. Tél. : 01 34 86 96 10.
L’univers d’Érik Satie
Patrick Pineau, récitant ; Nicolas
Daussy, piano.
18h00. Scène nationale de Sénart • 77.
Entrée libre. Tél. : 01 60 34 53 60.
Philippe Bianconi, piano
Ravel, Le Tombeau de Couperin ;
Schumann, Carnaval.
16 €. Tél. : 01 34 86 96 10.
Salierti, Les Horaces
Version concert. Les Chantres du CMBV,
Les Talens Lyriques. Dir. : Christophe
Rousset. Judith Van Wanroij, Cyrille
Dubois, Julien Dran, Jean-Sébastien
Bou, Andrew Foster-Williams…
25-110 €. Tél. : 01 30 83 78 89.
sopraniste ; Ghislaine Gignoux,
clavecin ; Jenneviève L’Hostis, viole
de gambe. Œuvres de Bach, Vivaldi,
Händel, Caccini, Monteverdi, Purcell…
20h00. Temple, Meaux • 77.
Brahms, Danses Hongroises
Sergio Marchegiani et Marco
Schiavo, piano. Intégrale des Danses
Hongroises de Brahms.
10-20 €. Tél. : 09 84 08 83 41.
Gaspar Dehaene, piano
Vive la fantaisie ! Fantaisies de Bach,
Haydn, Mozart, Chopin, Scriabine,
Schumann.
20h30. Auditorium, Vincennes • 94.
23-36 €. Tél. : 01 43 98 68 33.
16 DIMANCHE
Quatuor Enesco
Guillaume Durand-Piketty, piano.
Ravel, Quatuor à cordes ; Enesco,
Nocturne « Ville d’Avray », Rhapsodie
roumaine n°1…
11h00. Abbaye de Port-Royal des Champs,
Magny-les-Hameaux • 78.
6-26 €. Tél. : 01 34 86 96 10.
Anne Queffélec, piano
Ensemble Les Virtuoses. Vadim Tchijik,
violon et direction ; Saskia Lethiec,
violon. Bach, Concerto pour violon
BWV 1041, Concerto pour piano n°5
BWV 1056 et n°4 BWV 1055, Concerto
pour deux violons BWV 1043.
10-20 €. Tél. : 09 84 08 83 41.
Olivier Charlier, violon
Emmanuelle Jaspart, piano. Ravel, Pièce
en forme de Habanera, Pavane pour
une infante défunte, Valses Nobles et
Sentimentales n°6 & 7, Tzigane…
16h00. Église St-Pierre, Montfort l’Amaury • 78.
6-26 €. Tél. : 01 34 86 96 10.
Teatro dei Sensi
Cappella Mediterranea.
Dir. : Leonardo García Alarcón.
Mariana Flores, Anna Reinhold,
sopranos. Extraits d’opéras de Cavalli.
17h00. Cathédrale St-Maclou, Pontoise • 95.
24-30 €. Tél. : 01 34 35 18 71.
18 MARDI
Corneille, L’Illusion comique
Les Malins Plaisirs. Vincent Tavernier,
mise en scène.
20h30. Théâtre, Jouy-le-Moutier • 95.
17-20 €. Tél. : 01 34 35 18 71.
Entr’actes
Ciné-concert. Ensemble Ee2m. Dir. : Pierre
Roullier. Véronique Briel, Julien Le Pape,
pianos. Film Entr’acte de René Clair. Satie,
Entracte ; Smolka, En tractant.
20h30. Espace Jean Vilar, Arcueil • 94.
4,75-5,20 €. Tél. : 01 55 01 04 82.
Les Siècles
Dir. : François-Xavier Roth. Jean-Efflam
Bavouzet, piano. Debussy, Prélude à
l’après-midi d’un faune, Jeux, La Mer ;
Ravel, Concerto pour la main gauche.
20h30. Scène nationale de Sénart • 77.
26 €. Tél. : 01 60 34 53 60.
21 VENDREDI
Jasmin toccata
Percussions orientales & Dir. : Keyvan
Chemirani. Thomas Dunford, luth
& théorbe ; Jean Rondeau, clavecin.
Œuvres de Storace, Purcell, De Visée,
Kapsberger, Dalza, Chemirani…
20h45. Église Saint-Christophe, Cergy • 95.
17-20 €. Tél. : 01 34 35 18 71.
22 SAMEDI
Labirinto d’amore
Anna Reinhold, mezzo ; Thomas Dunford,
archiluth. Œuvres de Kapsberger, Strozzi,
Caccini, Monteverdi…
19h00. Musée la Renaissance, Écouen • 95.
15-18 €. Tél. : 01 34 35 18 71.
23 DIMANCHE
The Tempest
D’après Shakespeare. Compagnie
La Tempête. Dir. : Simon-Pierre
Bestion. Stéphanie Rousse, SimonPierre Bestion, mise en scène &
scénographie. Œuvres de Locke,
Purcell, Hersant, Pécou, Martin.
16h00. Théâtre des Louvrais, Pontoise • 95.
19-24 €. Tél. : 01 34 35 18 71.
[ novembre ]
4 VENDREDI
Verdi, Aida
Chœur de l’Opéra Grand Avignon & de
l’Opéra de Massy, Orchestre National
d’Île-de-France. Dir. : Paolo Olmi. Charles
Roubaud, mise en scène. Avec Cécile Perrin,
Sylvie Brunet-Grupposo, Carl Tanner…
79-86 €. Tél. : 01 60 13 13 13.
6 DIMANCHE
Verdi, Aida
Voir au 4 novembre.
Voir au 15 octobre.
17h00. Paroisse, Courbevoie • 92.
disques
Heinrich Ignaz Franz Biber
Les Sonates du Rosaire
Hélène Schmitt (violon)
2 CD AEOLUS
Composées autour des années
1674-1675, les Sonates du Rosaire
pénètrent le tréfonds du mystère
sacré et portent à son acmé la technique du violon baroque à travers
la scordatura (l’art de désaccorder
l’instrument et de le rendre expressif par l’inversion des
cordes). Hélène Schmitt, à laquelle on doit déjà une remarquable version des Sonates et Partitas de Bach (Alpha), éleve
les quinze stations de la vie de Marie sur les plus hautes
cimes. Luminosité, densité des instruments originaux, technique parfaite caractérisent cette exécution qui ouvre pour
l’auditeur des horizons infinis. MLN
Frédéric Chopin
Polonaises op. 26, op. 40 & op. 44
Polonaise-Fantaisie op. 61
Pascal Amoyel (piano)
1 CD La Dolce Volta
Dédié à son grand-père d’origine
polonaise, cet enregistrement de
Pascal Amoyel possède la fibre
slave. Sa vision de Chopin sincère
et généreuse s’attache davantage à
la sobriété qu’aux effets de manche. Les six Polonaises, outre
leur noblesse de ton, prennent naturel et sensibilité sous ses
doigts subtils. Quant à la Polonaise-Fantaisie qui synthétise
tout l’art du compositeur, elle bénéficie des mêmes qualités
grâce à l’intelligence narrative et à la dimension poétique
qu’instille le soliste. Un moment de pure élégance. MLN
Sir Granville Bantock
Omar Khayyam, Sappho, Fifine at the
Fair & The Pierrot.
BBC Singers, BBC Symphony Orchestra,
Dir. : Norman del Mar
Avec Johanna Peters, Sarah Walker, Anthony
Rolfe Johnson, Brian Rayner Cook.
4 CD Lyrita.
Les célèbres Rubaïyat d’Omar
Khayyam servent d’argument à
une gigantesque fresque musicale (3 heures !) d’une somptuosité harmonique et orchestrale proche de celle de Richard Strauss. Spécialiste mythique de la musique anglaise,
Norman del Mar, chef inoubliable depuis longtemps entré
dans la légende, traduit ces pages tour à tour mystiques ou
érotiques avec l’ardente passion qui lui est propre. La restitution en CD de ces enregistrements de studio est fastueuse
et permet de savourer ces capiteux effluves de l’Orient. MF
pratique
Wolfgang Amadeus Mozart
Concertos pour piano n°5, n°13 & n°25
Olivier Cavé (piano), Orchestre Divertissement.
Dir. : Rinaldo Alessandrini.
1 CD Alpha-Outhere music
Olivier Cavé se penche avec bonheur sur les maîtres baroques
sans abandonner son piano « moderne », obtenant des sonorités
et une articulation exemplaires.
Dans Mozart, même exploit : utilisation modérée de la
pédale, clarté des phrases, légèreté des ornements à louer
sans réserve et poésie pudique qui suggère et, de ce fait, fait
mouche. Autour de lui, l’orchestre placé sous la baguette
experte de Rinaldo Alessandrini favorise une vivacité rythmique et une netteté des traits qui participent pleinement à
la réussite globale. YT
Ludwig Van Beethoven
Missa solemnis
Arnold Schönberg Chor, Concentus Musicus Wien.
Dir. : Nikolaus Harnoncourt. Avec Laura Aikin,
Bernarda Fink, Johannes Chum, Ruben Drole.
1 CD Sony Classical.
Ce disque constitue véritablement
le testament d’Harnoncourt qui
mit un terme officiel à sa carrière
quelques mois après et s’éteignit le
5 mars 2016. En 1993, il avait déjà proposé pour Teldec une
vision bouleversante de cet Everest et la conception globale
n’a pas changé – les instruments d’époque du Concentus Musicus apportent toutefois leur propre lumière. Déjà présent
en 1993, l’Arnold Schönberg Chor déploie de nouveau ses
qualités superlatives. Quatuor de solistes remarquable. YT
Armin Jordan
The French Symphonic Recordings
Debussy, Ravel, Dukas, Franck, Chausson,
Lekeu, Rabaud…
Divers orchestres français. Dir. : Armin Jordan.
13 CD Warner-Erato.
L’engagement d’Armin Jordan en
faveur de la musique française
nous vaut un inestimable trésor
ici judicieusement réédité. Franck,
Debussy et Dukas étaient ses favoris : sa direction généreuse met splendidement en valeur les grandes pages romantiques de ce répertoire, avec le concours de solistes de
légende (Tacchino pour les Variations symphoniques, Jessye
Norman pour le Poème de l’amour et de la mer…). Ce coffret
constitue à la fois une contribution vitale à la sauvegarde
d’un patrimoine national et une idéale introduction à nos
grands musiciens français. MF
Cadences
ISSN 1760 - 9364 - édité par les Concerts Parisiens
SARL au capital de 10 000 euros
21, rue Bergère
75009 Paris
Tél. 01 48 24 40 63 - Fax 01 48 24 16 29
Siret 44156960500013
Directeur de la publication : Philippe Maillard • Publicité : Claire Vachon,
tél. 01 48 24 40 63, [email protected], assistée d’Alexia Dufayet,
[email protected] • Rédacteur en chef : Yutha Tep • Chef de rubrique :
Élise Guignard • Ont participé à ce numéro : Albina Belabiod,
Michel Fleury, Michel Le Naour • Conception graphique : Fujiyama, tél. 01 42 01 00 73
• Diffusion : Sophie Borgès [email protected] • Impression : RPN. Livry-Gargan •
Tirage : 50 000 exemplaires • Abonnement : 10 nos 40 €
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● La carrière de Cavalli se déroula essentiellement dans
la ville de :
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❏ Venise
❏ Rome
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Allemagne, Argentine, Belgique, États-Unis, Finlande,
France, Italie, Suède
Christian Zacharias
● Combien de concertos pour piano Ludwig van
Beethoven a-t-il composés ?
❏ 2
❏ 5
❏6
Reinoud Van Mechelen
● Le Concerto pour piano n°1 de Brahms fut créé sous
la direction de :
❏ Joseph Joachim ❏ Hans von Bülow
❏ Hans Richter
Håkan Hardenberger
● Christian Zacharias a été pendant douze ans
le directeur musical de :
Karita Mattila
❏ L'Orchestre de Chambre de Lausanne
❏ L'Orchestre de la Tonhalle de Zurich
❏ L'Orchestre de Chambre de Genève
Solenne Païdassi
Joshua Bell
Beatrice Rana
Leonardo García Alarcón
QUI EST QUI ?
Raphaël Pichon, Christian Tetzlaff, Joshua Bell, Justin
Taylor, François-Xavier Roth, Franco Fagioli
● La scordatura est l'art de :
❏ Pincer les cordes d'un violon
❏ Désaccorder un violon
❏ Fabriquer des cordes de violon
● À l'époque de Bach, le café était considéré comme :
❏ Un somnifère
❏ Un aphrodisiaque
❏ Un laxatif
● On connaît l'empereur Eliogabalo grâce à l'historien
de l'Antiquité :
❏ Suétone
❏ Lampidirius
❏ Tite-Live
● La Ballade de Senta est un extrait de l'opéra
de Wagner :
❏ Siegfried ❏ Le Vaisseau Fantôme ❏ Tristan et Isolde
L’anagramme
T T E I O A L N
– – – – – – – –
VRAI / FAux
La Cantate du Café est une oeuvre de Vivaldi ❏ Vrai
❏ Faux
La Pellegrina a été écrite pour les Borgia
❏ Vrai
❏ Faux
Eliogabalo est un empereur romain
❏ Vrai
❏ Faux
Joseph Joachim était un virtuose du piano
❏ Vrai
❏ Faux
PHILIPPE BIANCONI
NOUVEL ALBUM : SCHUMANN
Papillons, Carnaval, Davidsbündlertänze
15/10 Montfort-L’Amaury (Festival des Journées Ravel)
6/12 Paris, Salle Gaveau
« Un pianiste conteur » Le Figaro Magazine
« Philippe Bianconi donne à entendre un Schumann enthousiasmant. » L’Obs
« Le jeu de Philippe Bianconi procède d’une science de l’éclairage et
de la figuration qui magnifie chaque scène ciselée par Schumann » Le Monde
17/10 Paris, Théâtre de L’Athénée
« Réminiscences » invite à une plongée dans
un univers sonore aux coloris inimitables.
Une invitation au rêve et à la poésie
merveilleusement interprétée par
Camille Thomas et Julien Libeer.
CAMILLE THOMAS
NOUVEL ALBUM : « RÉMINISCENCES »
DUPARC / L’invitation au voyage
FAURÉ / Sicilienne - Élégie – Les Berceaux - Après un rêve
FRANCK / Sonate
SAINT-SAËNS / Sérénade - Le cygne
YSAŸE / Sonate for violoncelle solo
estore.ladolcevolta.com
www.ladolcevolta.com

n°296 octobre 2016

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