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Scpt./Oct./Nov. 1987
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Joumal Franz Weber
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Table des
Chere lectrtce, cher lecteur,
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Les rats du métro londonien sont immunisés con-
Toutes nos excuses, chéres
tre la mort-aux—rats et se nourrissent de l’huile de
vous bouscule. Mais une
paire de Iunettes roses ne sußit pas ä ressusciter
graissage des
3
Lßgpgggign
La police anétc Franz weber
Pourquoi, nous a-tjon de-
rails.
mandé, l’homme
que
devrait-il étre plus béte
les arbres morts.
le
rat? Naturellement! Imitons le rat. Caßeutronsj
nous avec nos enfants pendant quelques annees a
Les neufrpremiéres pages de ce journal seront
dures a dzgérer, elles aussi. Pourtant, la dernlere
maison quand le soleil brille pour permettre ä
nos poumons de s’habituer ä la quantité extréme
d’ozone dans I 'air. Installons-nous sous la tente
jllsqlllä C€ que [0115 les VCFSHHÜS mOHtagH€uX S’€f·
fondrent dans les vallées. Commengons par préférer les éboulis aux foréts. Nous nous simplifie-
fois,
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Lgvérité Qft tout gutrg
Les événcments sauejaccms ä
Varrcgtatign de F;-en; Weber
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Uhistoirc de la dcuxiémc victoire
de Franz Weber
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axtratermstms?
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rons ainsi I’avemr.
Cer été a marqué le début d’une série d’événements démoniaques. Si nous érions des Britanni‘
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nous mrserions mamtenant notre fortune
dans des bureaux de pari sur la question de savoir si les Alpes devront étre évacuées des 1990
ou seulement en 1998. En acceptant d’emblée
que la moilié de notre pays SCM t'égl0fl SlhlslféfTout cela ne constitue pas une raison suffisante
pour oser une signature. Il en manque encore
40000 a la Fondation Franz Weber er a Helvetia
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Nostra pour lmztiative «Sauver nos forets» qui
arrive ä échéance début novembre. Notre soif de
destruction est-elle si grande que nous ne sortons
meme plus le stylo de notre poche pour donner
encore une chance ä la forét?
ques,
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.
nous avions promis de moins parler de
Franz Weber. Mais la justice vaudoise a malheureusement été ä l'origine d’événements que nous
HC PÜUVOHS passer SOUS silence. Unefois de plus,
la réalité est complétement différente de ee qu 'elle
est apparue dans la presse.
Le Bren et le Mal sont souvent trés proches l’un
de l’autre. Dans notre journal, ils ne somséparés
que par les deux pages du courrier des leereurs.
Car aussz sombre que putsse paraftre la terre ll
l’heure de son crépuscule, il existe des instants
lumineux. «Qui sont ceux-la qui volent comme
des nuages?» C’est la question que nous posons ä
la une de ce journal. Venez faire avec nous le
voyage au ciel! Nous espérons que vous en reviendrez avec un merveilleux espoir au eagur.
Avec une perize lumiére secrere qui vous rendra
dorénavant la nuit un peu moms obscure.
Votre Journal Franz Weber
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Fete de fin de saison a Gxessbach
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Les assassins de chevaux con_
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Un eontedc Franz Weber
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Fraude, Thérésc Mauris, Rudolf Schaller,
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(Sud, vue sur Gicssbaeh cz/ou lac dc Bricnz)
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raircs. Chaquc participant rcccvra un programme détaillé.
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Son de Franz Weber, le brutalisant, le trainant hors de
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contenant des récits des personnes concernées.
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va t’ensevchr, que tu ne pcux plus
t‘echapper. Je me tourne et me re-
toume dans mon
Le sommell
lit.
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Franz Weber a perdu dans la pro-
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voudrais aller interroger les policicrs sur ce qu‘ils font la, «la police
veut
arrérer
Franz Weber.»
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initiative «Sauvcr la Comes),
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des polrcicrs devant la THZISON. llS
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veulent venir mechcrchcr.
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sonne le rqesin, mais ils ont fmt
comme s’iIs ne voulaient de moi
qu’un renseignement. Va peut—
étre
au numéro onze
(le
bureau),
ferme bien tout ct rappelle de
bag_„
C’est
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maintcnant
éprouve un choc,doittoutd‘abord
mon souticn
se remettre.
Nous traversons ä pied le quartier. Un peu plus loin, pres du garage sur la route principale Mon-
parmi la population s’est étiolé, ils
vont venir», avait-il déclaré l’a—
pres-midi dans le jardin. On n’en
arrivera pas la, pensai—je cn si-
la-
Je m’habille rapidement. Des
ehaussures qui permenraiem au
lQ¢S0m de courir. Ne pas oublier
lappareil ä pneree Orer de mon
$§¢ les Qhoses mutiles. Le jour ne
tappartnent plus. Il a ere vglé, kid¤¤PP¢ par des forccs contra lesquelles tl1_¢S lmpuissante, Sur le
chemm qui ntene au bureau, je vois
devant la
villa _de Franz Weber
deux voitures msohtcs et deux
hommes avec des postes émetteurs-récepteurs. Ce chemin plein
de charme prendtoutäcoupun as-
pect guerrier. Sentiment d’impuissance. C’est la en face qu’elIe sc
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gmnve,
un
1111 jet de
maison qui m’est déjä fa·
la familie, ä,
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merveilleux matin
d’été, pourtant le soleil est trompcur. ll fait un temps ä tomber
pierrc, la
amourcux, ä
de Penn roujours plus loin ä la dé-
en vacances, ä
prendre des bams de solcil. PerSonne ne s attendart a cc que la
gucrre éclate, en cc beau _jour
d,eté, bleu
—
vatt.
vas voir,
qu’1ls shmagincnt que
d lm¤ß¢S—
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partir
comme dans
Ou ä ¢¢
les
hvres
q¤°u¤¢ fßmllle
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miliére -inaccessible.
Une famille
dans Pocéan sur une ile qui menace
rive.
A la perte du burcau, le tombe
sur
Madame Krieger, une collabo-
ratrice.
«Vous vencz?» lui dcman-
dai-jé avec précipitation, car je
Je ne sais plus s’il régnait un silence de mort, en tout cas, c‘est
Vimpression que j’ai cue. Comme
si lc dangcr qui planait dans l‘air
avait fait taire tous les oiseaux.
treux-Vevey, un fourgon de la
gcndarmerie est discrétement
caché. Deux policiers en uniforme
se servent
Ce
matin-la, Franz Weber ne
pas encore que le juge d’instruction. suprémc du canton de
Vaud a établi contre lui un mandat
de postes émctteurs-ré-
salt
cepteurs. Madame Krieger pensc
vraiment qu’ils se contentent peut-
de contröler la circulation.
Elle ne travaillc pas encore depuis
d’arrét «ou qu’il se trouve». Mais il
assezlongtcmps chez nous poursavoir que Franz Weber vit certes en
Suisse er au bord du magnifique lac
Léman mais simultanément aussi
dans le Far Wcstetcntouré d’un ri-
sont venus l‘arréter ctce qu’il sait
avec certitude c’eSt que tout cela
est illegal. Plus tard, nous appre—
nons que ce mandat d’amener est
daté du 23 juin. Ccpendant avant
la votation sur l’initiative «Sauver
étre
est clair
deal! de fer.
Ils
sont toujours
lä, les
deux
V¢lll8¤¢¢», me dit l°ll¤ ¢¤ mßhianl
gßuehement lorsque je vcux savoir
ä qlwl Ser! le poste émetteur-ré-
¢¢Pl¢¤f <l¤°ll¤d8HSl¤ main.
<<$¢¢l’¢l }>l’0f¢SSi0¤¤¢l»,
en
r1canant,_
répond-
impénétrable
comme UHC chemmée
encrassée,
lorsque j’insiste.
La situation est surréaliste.
Deux policiers sont la comme s’ils
-
lui
que
les policiers
amener des voix a Franz Weber.
La justiceadoncattendu son échec
ä l‘aspect du fonctionnaire. «Sur-
_
pour
la Cöte» (du 26au 28 juin), l’arrestation policiere prévue aurait pu
hommes devant la maisonde Franz
Weber. Une menace bien habillée,
il
'
voulalent protégcr les habitants de
la maison contre des cambriolcurs.
L'lronie, c‘esr que ce sum les habitants de la maison qui cherchent a
se protégcr justement contre ces
policiers qui vculcnt entrcr de
force. ..
«Ouoi????» Madame Krieger doit
se rctenira la rampe d’escalier, elle
Ou’il ne gagnerait pas, cela ll le sa-
lence.
m°‘“¢ °“ Sa{dc z ct J¢
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soudain assiégée, harccléc ct
agrcggée par des ellelers (lens
rgueruer ,rnerve1lieum·uem ·versoit
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pendant unc scmainc pour cntrer
en 3¢ti(m_
De retour an bt_“·gau’ je télé.
phone de nouveau A la doneresse». «Maintenanr, tu peux venir», dit Franz Weber au téléphone, «ä present il y a aussi des
gens de la télévision. Tu n’as pas a
avoir peur. A toi, ils ne te feront
°
rien.»
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Deux policiers en uniforme,
clzemin romantique de quartier est
investi par la violence.
Hui! heures
calme pesant avant
et demie, le
l’0rage.
s”affaire
ll
sur
Pendant tour ee yempsr im
petit sourire sale anime son visage.
«AlIez-vous·en!» crie Franz Weber
de l’intérieur. «Ce que vous faires
est infäme et ignqble!»
la porte.
Le
serrurier en chef Personne ne
fair preuve de plus de zéle et de sa-
Le vélo rose de »Vera et, pres de lui,
un homme au service de l’Etat qui,
voir-faire pour forcer les portes
en plein jour, tente de pénetrer par
effraction dans une villa.
la maison de Franz
de
Weber.
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de sonnetteest resté sans réponse.
Le jardin est plein de policiers.
Que fatre de cette lettre rec0m·
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Pendant dtx mmutes, on essaie de
tqutes ses forces,
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!¢'¤d·0¤ ld VOL! de Franz Weber.
Journal Franz Weber
N°2
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grimpé, mais pas pour longtemps.
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...car la balustrurle de rres n 'est
pas habltuee a autant de pressmn.
Elle M' f0lll[7tV Des plerres lle tazlle
et UN pollcler degrmgolent dans
l l1¢’fl>e‘V L Aaulre polzcier rz!. Lequel
tles lleux ev¢’m'rttertIs lui procure le
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gl! ett morceaux sur le parterre de
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fleurs.
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ki est assis sur son siége de paille,
en toute tranquillité er en mare in-
mals ert faisant de toute
Ces messieurs de la police ne sont
pas arrivés les mains vides: ils ont
leurs Ollllls de cambriolage, de
qualitéprofessionnelle.
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porte de la véranda commence ä
céder et se courbe vers l’intérieur.
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pöllf chaque jambe et un pour rela täte @~ place- Urw svérw
qu; rfgsl pas gang yappgjgy la vjvisecnon. Ces fonctionnaires, eux
aussz, ne font qu’accompI1r Ieur devoir.
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le lire dans son propre récit ä Ia
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un enfant
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Journal Franz Weber
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péripétie qu’aucun metteur
suisse ne s’aventurerait ä
un rempart qui me soutient pendant que je me ressaisis, me pre-
«ils
en scene
tourner parce qu’il est tout simplement impensable qu’une chose pa-
pure, me durcis contre tout ce qui
va arriver maintenant. ..
qu’une forme legére et chaude se
penche sur moi. Mon Dieu! C’est
puisse avoir lieu dans la vie
Huit heures moins vingt. Il fait
De quelque part, j’entends Franz qui telephone. Un silence sournois plane autour de la
maison. Franz redescend rapide-
Une
reille
quotidienne suisse. Ce sont des
choses qui arrivent au Far West.
Pourtant, au Far West, c’est le
buste droit que les hommes marchent l’un vers I’autre, le pistolet
en position de tir. lly a des_héros.
Le bien l’emporte. L’honneur aussi, sur la cupidité lmesquine, vileV
En comparaison, Vagression
autorisée par les pouvoirs publics
V
V
tennes vacillantes. Des silhouettes
floues munies d’emetteurs se deplacent prudemment dans les buissons. lls ne sont plus seulement
deux.
«Franz, maintenant, je veux savoir. .» «Alors ecoute: J’ui ete cite
en justice, tu sais bien. .. Huitfois.
ne se sert plus de sa
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conscience et se contente d‘obéir.
Nous savons tous combien le
monde en a déja souffert. V
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Toujours pour cette meme ajfaire
Toujours d cause de ces
plaintes fabriquees de toutes pieces
et·cent pour cent ubusives, de ce
H. Z. et de ce A.D. Et de l'EOS.
Et j’y suis alle, d deux reprises.
Mais c'etait comme en Pologne ou
au Chili. Les des etaient pipes d'avance. Je pouvais presenter tout ce
que je voulais, deposer sur la table
toutes les preuves — le juge d’instruction m’a tout de méme inculpe
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La maison est remplie d’un silence
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par les fenetres ouvertes. Oh! que
cette paix d’un matin d’ete est merveilleuse!
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Mats, ne vtent-on pas d'entendre
quelque chose. ._ un bruit perqant,
V
derangeant? At-je reve? Le lit ä
mes cötes est vide.
Je suis soudain tout eveillee. Je
jette un coup d’¢il sur ma montre.
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Sept heures moins dix.
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Mltinßllt
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Pmu
‘$¤„e2-j·mt.«··«Ä$| gndre eoritre
mes calomniateurs. Nous avons
recouru en bonne et due forme
contre toutes les autres convocations. Et pour finir, nous sommes
alles devant le Tribunal federal ou
notre cus doit étre examine. Et malgre tout, ils sont plantes ld, comme
la Gestapo...»
La porte d’entree retentit soudain de coups. Des voix d’hommes
‘
Franz grimpe les esculiers. Il est
encore en pyjuma. «Ecoute, il y a
hurlent._
deux types en bas. . .V»
«C'est eux qui ont sonne sifort?»
«Evidemment. Ce sont des types
officiels, tu comprends. lls disent
qu’ils ont besoin d’un renseigne-
comme un
ment.»
«As-tu ouvert?» - «Non.»
Je m’efforce de parler avec
dith,
L’epouvante
me
saisit
au ctzur
rayon glace. «Franz!
nements.
Et pendant que je rassemble une
de plus toutes mes forces et que
fois
je resiste de toute mon energie,
A
lu
que
l’ennemi, ti l’arbitraire, ci Ia violence, a l’horreur ineomprehensible, je n’urrive pas ä
je tiens téte
Qui sont ces gens, la dehors? Et
pourquoi est-Ce qu’il y a une voiture de lu tele?»
«Purce que la police veut chercher Papa, ma cherie, et parce que
«lls ne sont plus devant la porte
d'entree. Ils sont peut-etrepartis.»
Et pourtunt derriere la huie, de-
vant les fenétres de la salle d manger on voit briller des eclairs de metal. Des reflets de soleil sur des an-
Oh!
brüle d’une soif de savoir. V.
«Qu’est-ce qui se passe, Maman?
«Est-ce qu’ils sont encore ld?»
sur la personne de Franz Weber
fait figure d’un vaudeville indigne
et sordide. C’est Ia le moment oü
l’homme devient un danger pu~
blicc lorsqu’il
notre enfant, notre petite
si Vseulement un nuage
pouvait venir la chercher et l'em·
porter loin d’ici! Mais je rencontre
des yeux etincelants, un visage qui
Vera,
fille.
ment.
'
ä ecrous-. J’entends ä
nouveau des halétements et des geignements d proximite de mes
oreilles, des mots haches, un tapage etouffe, un grattement, un ruclage, des vols en eclats et des ricaet des cles
enfoncent la porte, ecoutez
le bruit que ga fait!», lars-
donc
tres lourd.
J
-
7
N·2 sepuoc:./N¤v. 1987
ti
me debarrasser de l'impression que
je ne suis qu’une speclalrice. Je suis
pertinemment que tout cela ne peut
pas étre vrai. Que qu n’arrive pas
television veut filmer l’evene-
ment.» «Matls Papa n’a pourtant
rien faitl» «C'est bien pour qu que
Ou ulors, ä un toutautre
vraiment.
Mais reste bien
endroit. - Et je sais aussi que ce
n’est plus qu’une question de se-
sdgement ld-haut maintenunt et attends. Peut-etre qu’il ne se passera
rien du tout et que nous prendrons
condes. La lourde porte qui méne
au jardin commence d branler. Le
péne d’en haut a saute. La serrure
tout tranquillement notre petit de-
est
jeunerdhuitheureset demie.»
Je n'ai plus le temps d'ecouter les
protestations de Vera, car j'entends
Franz m’appeler d’en bas. Nous
descendons en courant les escaliers
pour nous retrouverau beau milieu
d’un film policier. L’assaut de la
dans laquelle on mrrodun une
barre. . . Tout est accompli.
Une horde sauvuge deferle dans
la television est ld.
arrachee de ses gonds. C’est
muintenant au tour du péne d’en
bus de ceder. Une fente s’ouvre
maison. Pietinements, tintamarre, tumulte, heurts et tiraillements, coups bas. Un film de gang-
la
Nous
maison a commence.
sommes cernes de toutesparis. Les
fenetres fobscurctlssent. Des silhouettes
qantes, le
sters c’est
comme
ga.
Moi, je ne
suis qu'une spectatrice.
qui gesticulent, menuvisage deforme, se pres-
Ce
n’est
pas Franz qu’ils matent la-bus et
trainent dehors d cinq, c’est le criminel du filrq, legerroriste, le chien
enr e ui 'a ien merite. Mon
etafgecdlnd ne dure qu'un instant,
sent coqtre les vyes, poussentjt
e
mnz_ ui crie u
salon, la voix etoujfee plbr l'e_t_Tort:
«Aide-moi, ils arrivent!»
·tap¢nt
.
A
je reviens
Quatre cyclopes, arrives en renfort, et qui ont escalude la fagade,
sont en train de faire sauter la porte
du balcon. Les panneaux exte·
rieurs ont dejä ete enfonces.
ti
moi,
c’est
bien la rea-
ma realite, aussi epouvantable
soit-elle. lls ont pris Franz! Je me
lite,
jette
en
avant.- «Lächez-le,
vous
Vous ne pouvez tout de
méme pas faire une chose pareille!
étes fous!
Animes pur
la force du desespoir,
nous nous arc-boutons contre la
‘
porte interieure. Vera presse avec
C’est illegal, illegal, illegaIl» Je
sens de grosses muins dans mes
cheveux qui me tirent la téte en ar-
ardeur su petite epaule contre l’embrasure de lafenétre. Pour elle, pas
question de lurmes, de pleurs ou
d’hesitation. 'Juste
une fois elle reson soujfle avec effroi: «Oh!
Papa, Nikki est dehors au jardin!
Et s’ils prenuient Nikki en otage?»
riere avec brutalite. Des doigts
chauds et moites sur mon visage.
Un poids me Saule sur le dos et me
maintient courbee en avant.
J’entends crier quelqu’un. Et au
bout d’un moment, je me rends
compte que c’est moi qui crie. Que
je suis en train de crie; d’impuissance, de revolte, d’e’ca·urement.
Est-ce
que qu ne serait quund
méme pas mieux...l»
Mais son visage est parfaitement
tient
immobile, toutä fait paisible. «Juce qui se passe ici est-pure-
Comme derriere un voile, j’apergois les vtlsuges ebahis des badauds
dehors, les plates-bandes pietinees,
D’horreur, face aux visages impas-
les roses lacerees.
sibles et satisfaits de cette
calme bien que mon cteur se mette
ment arbitraire et parjfuitement illeOn n‘a pas le droit de se soumettre ti l’urbitraire et a l’illegalite,
äbattrefollement.
«Al0rs. .. tu crois qu’en fait
. . . ilssont venus pour. . .» «C’est
justement ce qu’il faut que je
sinon tout s’ecroule. Qu’ils enfoncent la maisonV s’ils ‘le veulent,
qu’ils me trainent d'ici de force.
Mais s’ils en arrivent ld, je veux
trouve.
Il
faut
que
j’appelle
gal.
que tout
le
monde
le sache. J’ui
Et
Schaller. »‘
ulerte la television.
Et comme chaque fois, il se pose
en forteresse devant la paix interieure de sa maison, devant mon
monter maintenant et uppeler les
stations de radio et autant de journaux que possibleV»
Et c’est ainsi qu’en haut, assise
au bureuu de Franz le cgeur lourd,
je compose un numero aprés
tre, alors qu’en dessous de mvl, les
CWPS, l¢VlüP¤8¢‘ ¢l l¢·*' Vüßwlüllolß
deviennent de plus en plus fans.
«Mais oui que c’est vrail» suis-je
justement en train d’af]7rmer au telephone ä un redacteur incredule,
cteur angoisse et tremblant et devant lu panique qui menace de me
sqjgiy; „Cg n’g_g; rien, Tu n’as pas
de gouci ä ggfairg, Hgbille-toi tranquillement. Pendant ce temps, je
vais passer des coups de fil. »
Cc „·„-; ,·5,„_ je sags qug Ce „';_;;
pas vrai. Mats je me cramponne a
cet espoir. Ces mors sont comme
toi,
tu vas
Et je sens ti travers les vitres la proximitephysique
des robots-policiers, ainsi que lu
A
De
policiers.
desespoir,_
Franz est parti.
V
Vera se tienthaletunte sur le seuil
de la porte d’entree qui est ouverte.
ne pouvons pas maintenir la porte
en place plus longtemps. . .» C'estä
ce moment-la que la balustrude du
contre
balcon s’ejYondre.
Une
Comme une tigresse, elle s’estjetee
un
mordant
policier en tapant, en
en griffant. «Eh! toi,
arréte, maintenant!», lui a-t-il crie.
et
grima-
«Je n’arréte pas, je commence!»,
deux disparuissen! en
A l’äge de
douze ans, jamais, jamais, je n’aurais eu ce courage·lä.
Au milieu de toute cette invraisemblance, de route I’horreur de
cet instant, c’est comme une lumiere qui brille tranquillement en
eachette.- Vera est forte. Ce n’est
pas une petite poupee. Elle est no-
téte
un clin d’a:il; elles doivent vraisemblablement se trouver en bus, dans
l°het‘be- La pV¢S8l0¤ de l’assaut
contre le salon viem tl Peine de dl~
minuer ¢1“’0¤ ¢”l¢¤¢l défä du bmi!
sur la terrasse du jardin. Toute une
meute se precipite maintenant sur
la porte d’entree de derriére avec
des barres, des pinces-monseigneur
·
horde de
parce que
chaleur, lu hargne etla haine qu’ils
degagent.
«C’est perdu», me dis-je», «nous
gante, puis
A
lui a-t-elle crie en retour,
tre alliee,
S
‘
8
N°2 scpwoct./Nov. 1987
-
Franz Weber
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·
Par Franz
plus votre plainte, pourtant fondée. Vous percez a jour la mancruvre: pour ne pas étre con-
Supposons qu’un groupe qui vous
est hostrle vous calomnie publiquement et que cette calomnie
damnés pour calomnie,c’est contre vous, et pour calomnie, que
perfnde et Sl grave qu’eIle
menace votre existence, votre actnvxté, votre fonction, Voeuvre dc
votre vre, votre famrlle mémß- Sl
sort
sr
vos
„-
-
plus.
d UHC CIIQUC ObSCUI‘€Et si l’on en est arrivé au 30 juin
1987, c’est parcc que je me dresse
de toutes mes forces contre cet
arbitraire, car le destin de notre
terre et I’avenir de nos enfants
m’importem plus que leg béné-
h
vous reste pour cela un délai de
30 jours.
Vous informez le juge d’instruction que vous allez faire
usage de votre drort de recours
auprés du Tribunal fédéral dans
V
.
.
rions.
Le
réagir ä cette communication, se
met d’autorité au-dessus du Tri-
I
bunal fédéral, envoie chez vous
la police de süreté et vous fait ar-
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dt,
b
qun
jmd dbmce Vous voyez cxacw
ment commcht ICS choscs vom Sc
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vousmémc
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gravement
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rarent éte depuns longtemps sévérement punis, voire arrétés? Mais
re-
cours contre les convocatuons
abusives et demandcr un juge
neutre. C’est d’ailleurs cc que
vous faites. Mais par qui votre recours est-il traité? Par votre pro-
velles charges fantaisistes.
amvc. (Von: «La
*
gncorc
°
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·
je nc m’appelle ni
mond,
je
ne
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monstres des sociétés éncrgétiques par exemple. Parce que
j’ai insisté
mon
sur
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droit d‘étre
mis sur un pied d'égalité avec nos
marchands d’armes, les dirigeants de partis et de multinationales, en un mot, avec les citoyens au _dessus d e tout soup-
·
j
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V
r
V
con.‘ on m’a arrété comme unter'
·
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V
buscade de
Leuba ni Reyde
suis ni Président
-l’EOS, ni directeur d’une usine
de plutonium. Je m’appelle Franz
police de sureté
Ia
d’Etat vaudoise, on m’y a jeré 5
on m’a fait une clef au bras
et on m’a pressé avec la demiéyg
brutalité contre unc roue fixég au
sol — les läches qui se sont ageterre,
7
nouillés sur moi ä trois, de Clarens ä Vevey, peuvent Vattcster.
«Maimenant, nous favons lä ou
nous voulionst’avoir»,déclaraen
rrcanant un de ces «Monsieur
une ce
lule
Veve
V
O ux acomman
·
V
d.
cetabus d e
prmcipes de notre Etat de drort?
Lordre cn a été donné par les
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drort, cette vrolatron des
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du pouvorr secret qui
jour apres jour notre
tombe un peu plus profondément. Aidez-moi a arracher la
détenteurs
creuse
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pcllc des mains de ces fossoyeurs.
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U ne pa rue de not YS patfle
a
§
·
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fices
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Soiägjingctäoäyjätäiäs
Vous pouvez deposer un
m est
que je ne m’appelle pas Franz
Weber, ma1sJean-Frangois Leuba (Conseiller d’Eta: vaudois,
lib. ou Hubert Re mond Con.H
ser er vaudons aux E tats Vb )
Ne croyez-vous pas que dans cc
eas que ’mes ealomniateurs au-
démulcr la condamnation va
frappcr non pas VOS calomniw
.
pire encore, ce
réter.
jugc dqnmuction devmit les r€_
;
„°m'
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contre les convocajuge d’instruction, sans
'
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suspensuf
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soumettre, conformément _ä la
volonté de notre «aut0rité», ä
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V
gbäugg drgäasäs Fscriläägis
vous pour atremte Vhonneur et
a
calomme. Ifs s appuxent pour cela
sur le fan q_ue vous vous etes deau
Jugß
llüll dä f6J€!§flH plamtc m3¤lf¢Stement abus1ve,' yous convoquc
et vous mcul e rllxco our drffamatron etca lp
omme. Pp
U1S,l·l vous
convoque une nouvelle fons parce
que vos calo-mniateurs ont «éten—
du» Ieur plamte a d’autres points
de votre défense. Vous vous rendez une nouvelle fois chez le juge
et, ä votre ahurissement, vous
vous voyez inculpé pour ces nou—
‘
cantonal rejette votre reVous avez des lors an
moins la possibilité de soumettre
Vaffaire aux juges fédéraux. Il
,
’
d,
nal
cours.
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.
1
Alors vous déposcz plamte auprés du Tribunal cantonal contre
votre jugc d‘instructi0n pour partr pns, Deux mois plus tard, Ia
Chambre d’accusation du Tribu-
SUIS d€f€I]S€Uf
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wie dmmes convocätions dom
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de l,€H'
vrronnement et des ammaux, et
en cette qualité, je devrais me
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vous. Mais le juge qui s’occupe
de vous n,€n fait rien Hvous en_
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d u juge
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diffamation.
C’est alors que vos calommateurs déposent plainte contre
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d mstwctlon est de menü ä
terme votre propre plainte avant
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calomniateurs
plainte.
v0us ne v0u I CZ pas S0mb för, Vous
devez vous défendre C’est ce
ue vous faxtes en vous adressant
er enapportant
quemcnt H préuvé que t0ut CC
que les calommareurs ont avancé
contre vous est faux et rcléve de
V
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Pendant ce temps,on n’mstru1t
Weber
-
„
Weber*JC
q lll, bl€l]
enter1du,lc rejette ct vous envore
aussitöt une nouvelle convocation. Vous déposez un nouveau
recours qui est rejeté une fois de
d7lI'IStI'UCtl0H,
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cn prcmrém
d·nn grand nnondrcn Suisse r0_
mand. Le Sa IcaS mG poimait entre
les lignes de nombreux commentaires. Franz Weber n’est qu’un actem, un homme de Spcctacrc qui ne
peut gcmpéchcr de provnnncr
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sans
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am des Scamiaics.
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Le débnr de notre hlSIOll'C remonte ä janvrer 1986. C est alors
qll Bntliß CI]
se
Franz Weben («Ou est largent,
Franz W¤bs=r->»>9aa¤n¢nr¤bab¤¤mem eertams mmeux da la heute
finance aß des Sroupcs éc°"°ml‘
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volontiers en martyre ctpense qu°il
a plus de droits que le cltoyen 0rdi·
1
mmc-
SCÖHC rla «WCl!WOChC>»
d¢ Z¤¤¢h··¤0¤S_l BVOHS déiä éV0ana dans la Premler numero " avec
sa campagne de diffamation contre
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äniijsantsdécqntre Ilesqucäs
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se $Q‘t rendu ¤¤·nn¤¤_d·= la aanéc
palrrrque de Cana acnan révéle an
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avcnglemßnr qni West Pas la fruit
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Franz Webar, ic grand dérracranr
df Pulssöms SVOURCS éwnümlqucs
rl est: de toute évidence, pas' tres
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]“e‘e‘e“X naar la Presse
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«Trumpi Buur » Les acteurs en-
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pres que ces crtatrons sont le fait d’allega—
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«Tous les Sursses sont égaux de.vant la loi. ll n’y a en Suisse ni su-.
jets, ni privilégiés de lieu, de naissance, de personnes ou de fa-
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cltatlons en ]uStlc€·» Ccrtalnculcnt
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fait que les vignobles situés a |’esr
de Lausanne aicnt été mis Sous
protection gräce a Vinitiative de
Franz Weber «Sauver Lavauxrr.
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vez-nous de Franz Webcr». Le 19
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Franz weber
du «Trumpf Buur», accusé
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Wrrber.
sadant des années Franz We·
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liäröpnéaüzigfuqaggäqältääifogr|[Er
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Kéggäg
chose; chan
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mison du ségicun encore rnäét ä
l’époque de cethebdomadaire les
mensonges deviennent vraisemblables. Done dangereux. Et de
A
m°“e· rinneeenee da Franz
W9b*=* =““=“* dü
pms lengeempe dans tem !e pays
per des l“8°’“°9“ r==*s¤¢·aaa¤*aPourtant, en réalrté, les jugements
dans lesquels il est plaignant sont
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lee plus
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drbres
tution fédérale n’était pas resté let-
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.
mäcrxgcäeu ei
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l’autre».) Si l’anicIe 4 de Ia Consti-
r
Pßüftän}, V¤¤¢¤, dans l¤Fd¥¢
l¢§ ¢Vé·
nernents ont abouti ä l agressron duallemands
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tmp mgeulei er las calaag
·
S I
d’in-
Jures diffamatoires contre Franz
qnertiontnnte nougäälncärs
apr savorr uce a rc e.
lez
également Pencadré
lire
«L’honneur de l’un, l’honneur de
ggeäeguree denstmeeen
de
O E.B., ancien rédacteur en chef
la
indefiniment ajoumés et les tribunaex Saar Yelemiere prete
V0lI’ les plßlmßs les plus dénuécs de
fondement et amener contre lui les
crédgt
'
-
Vous y croyez? Alors posezV0u§
et a
1
trons fallacreuses d’un juge. Car.
milles.»Telle estlateneurdel’article 4 de ia Constitution fédérale.
'
A.D., un Vaudois qui n’a jamais pardonné a Franz Weber le
«Meme un Franz Weber dort répondre ä des
la ¤n<>n·r·=r—
weber sont Préscntés comme
des esemee
O
Pu PÜÜSÜI certalnes
'
dith
·
'
°
arrestation
Buur», dans laquelle Franz et Ju-
wm
.
Sasfal-lt6»; Ünt
du courrrer des lecteurs pu
CH 1984 dans le «Trumpf
[lettre
Übllété
·
Lamaniérg dg pwcgder de 1apo-
.
i
PHS
e raßn artr ag! C aque ois.
Cammcnt, le préscnt article se pro-
Iice
1
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ne von nen, n emend nm, ne dir rien. C’cs1vraiqu’eIle
qu une s a ue.
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ra relation d,arr
mm mit am im. Auteur ÄLTÄÄ
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début 1983
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devant de la scene sont
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de publicité nous citerons uniquement leurs initiales).
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que le juge d mstrucnon compémcome que Franz Weber au_
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Les moyens au service de
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ils
sont largement répandus
dan; ra po nranon Par rc brais des
autres médeas
Lors dc deux conrémnccs de
presse les ennemis jurés de Franz
weber: cmichisscm cette désint-oI__
manon de Suscr kms ct de carom_
nies renouvelées Et dans le cadre
d’une campagne d’annonces, coütant des centaines de milliers de
francs, dans des journaux suisses
et romands (tirage total:
2,5
milll0l’lS), le
«Tl'Umpf BUUI'»
‘
|:‘;
i
N°2
.
mmc
Syéljole
— meme chez
gens qui lont
soutenu pendant des années.
Que fanc? Dc préférencc dc·
mander des comptes auir instigateurs, ä ceux qui ont rfmancé la
les
campagne de diffamation
Mais comment? Puisqu'ils
grave.
se ca-
chent derriere des sociétés anonymes, tirent les fonds sur des
comptes SépHl°éS et dOHH€nt IÜUTS
ordres par le truchement de codes
Secrete
Dommage QUC DOHC (20dC
1
•
La 19 seprcrnbrc 1986Chan¤br<=1d‘a¢¤¤Sanbn dc
sidérée comme un délit poursuivi
d‘0ffice par le ministere public. Et
—car il ne peut tout de
méme pas étre juste qu’une ocuvre
d'intérét général telle que celle de
Franz Weber ne soit pas protégée
par les autorités contre des campagnes de diffamation grave facon
«Trumpf Buur» et «Weltwoche».
titre
AD-
l'inculpation officielle de
cr d'¤n avacar da Ganévc
ar
|=|;;i%|
peur falPlficatio¤ _de docllelems,
diffamation et atteinte au credit de
--TÄV;r;_
g
|i-
*1|
_
Franz Weber.
Pendant lcs mais de novembre
Vrlzr|r
’
_ii|
U
lr_:r::;
rrnv im
l
de
in
armme d’une ragen grotesque
ee
décembre 1986, immédiatement
ä la suite de la série de victoires,
et
Q4|
(Voir gncadré pagg 4l)_ (andjg
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|1|:2%
que des rdépositionsr fausses peuvent avoir pourlestemoms—äsavoir jusqu'ä cinq ans de réclusion.
H.Z. qui, depuis des années dans
des conférences de presse et des
lettres de Iecteurs, accuse Franz
Weber d‘escroquerie, H.Z., le
principal informateur de Ia Weltwoche, fait soudain marche ar-
ggydgnnéson nrrg_;rnn0n_
V
Question du juge: «Avezvous ... affirmé que Franz Weber
riere.
din auggigör fait Ainsir yavocat du
ou Madame Judith Weber auraient détourné au profit de leur
«TrurnPf Buur,) dcmandc,t,il des
Prorogaiiuns absurdos, Par o,rom_
Pio un doiai Pour savoir si Son
fortune personnelle des dons des-
cliont préfére
Pour lc jugcment le
aleur organisation?» Reponse du témoin H.Z.: «Je ne me
Tribunal de
disrrict
tinés
dgssiscs, , _
plus pré¢i5ém¢n[_ Tqut
porte plainte contre ses colomniateurs et enregistre quelques vietoires (partielles) ä Geneve et Zu-
Madame
ou
Cour
la
1
A
r
_r
OU
Ju'
Weber et Monsieur Weber
aient jamais détourné des dons au
dc Ieur f°mm¢ P¢l'$°“‘
dith-
Pmm
“°"¢·”
_
1
bien cn Préscntant unc dc,
mamie en miniié mniiemem
vouée ä l’échec contre une déciSlOl’l de pl'°éS€l']t3tlOl’] de preuves
dang Vaffaire Franz Weber contre
lg ((Trumpf Buur„_ Cortos_ cela
coüte cher mais peu importe, cela
permet d‘atermoyer. Ce qui est
•
Ainsi,
le ll
septembre 1985,
le
l
1
rédacneur cn chef du Tmnlpf Buur
E_ B_ cSt-j[ condamné ä une
amgndg élovéo ct au Paiomonr des
fr-ais dc rusticort d'av0cat Pour
avoir irnnrimé la lottro de lq_Z_
dansle courricr dosloctours llelo
avril ]986, le Tribunal sunrémo de
Zurich Ponfirmo quo Ia lettre Parun dans lg cuurricr dos loctours
Porn; atteinte ä l’honneur de
Franz wobor mais annule le iugoment pour accorder aux diffama—
teurs mapponcr res nronvos dc
lcurs accusatidns
Dans sa décision du 22 septemPro ]Q86_ le Tribunal de distriot de
Zuricn interdit ä Ia woltwuclior
sous Peine d‘an-jendc ou d·omPrisonnement, Ia répéririouälalcgtrg
1987, l’avocat1 de Franz ·Weber
présente les plaintes défmitives
le cadre de cinq PTOCÖÖUTQS
pénales. L’mstruct1on étant termrnée, l’affaire· serait en état d’étre
jugée. Les juges pourraient condamner les delinquants.
Pmlnant, rien ne se passe.
ll est vrar que laccusateur ne
r
s appelle rlllearl DuP¤¤l„ lll PYOÜY
Maß
O
ou conforme au
‘
sens, male ou
écrite, de 16 affirmations fausses
portant atteinte ä la personnalité,
pub|iées_dans la série d‘articIes de
Wglrwnche,
I Toujours sous peine d’emprisonnement ou d‘amende. la Weltla
e
condamnée par l‘ordonnance du 5 novembre 1986 ä faire
Paraitro sur unc Pano ontioro ct a
woche
est
535 prgprgg
fl·3l5
Franz weben
la rgctiflcatlrm de
épme dans
W¢_b¢Y„ ullß
pled dc l¢Sl8bllSh—
Fldllz
le
ment. Et les lrlbllllallx dPP¤l'll¢¤·
nent égalementä Vestablxshmcnt.
Naturellemßlllr POUF l avncat de
la «Wcltw0chc». ¢0·PFé$ld¢¤l dll
«Pa¤i dd
l°¤l¤l0l¤0bll¢** ¢°¤5l lä
ll¤¢1 d0Tlf\é¢ tfes rassurallle-
Oul
a“$$‘
Pour pavocat du Trumpf
Buur; lui qui cst mcmbrc dc l°é·
|'cst
lud? Pcstalczzi ¢l
¢dbl¤¢lS
Gmüh
Jlll’ldlQll¢S
Vllll
des
¢l é¢0l‘l0¤ll·
<l“°$ l€$_Pl“s ‘”¢"°"}méS °t_°Y°“*
d¢$ acllvltés dll Pldll llll¢l¤¤ll0¤¤l_~
Qans
¢hQl$¢$»
les
procédures zurila
strategie S Bppéllé
mamtenant: atermoyer._Il ne faut
T
1
—"'-"
··-Ütwm Ü |·l·ßÜ‘*
_
Zurich on atermoie. Et
Bref,
simultanement, on met le cap sur
Lausanne. l~l.Z., A.rD. et E.B. savent tres bien qu‘1ls. trouveront
r
Surlsrpelue
[OH' C "ÜÜÜ 'déi
ÖSÜTQSÜ
1
r
Franz Wsbsr d¢P¤·S d¢S
HPS “P wde dn
an
Pf°°€d“€°
largeltralrc
du
g'ä°°S d“ l“8°;
Ffdnl Wßbßf
pHS trompés: llS sont BCcueillis ä brasouverts. lls ont enün
affaireädes luges et des fonction-·'
naires complaisants qui cherchent
quelqu’un veut sauver son
honneur, il doit se häterr Car quatre ans plus tard, le delit est déla
prggcrit, bien que l’honneur puisse
étre détruit pour la vie entiere.
Toutefois, le deroulement de la
procedure, la mlse ¢¤_S¢élle _en
quelque sorte, est toulours laffaire du tribunal. Ce dermer dis-
pose de suffisamment de moyens
pour garantir une procedure
loyale et rapide. Et il serait vrai·
ment inquiétant pour notre appareil judiciaire que les calomniateurs de Franz Weber puissent,
gräce ä leurs manoeuvres dila·
toires, réussir a échapper a la
sanction prévue par le code pénal.
Le fait que les audiences principales des cinq proces en état d‘étre
jugés ä Zurich n'aient pas eu Iieu
depuis longtemps ne laisse rien augurer de bon.
ll est également étrange que le
luge chargé (IC tous les pl'0CCS de
Zurich dans l'affa1re Franz Weber
_
.\“8¢_(¤“dl*l°¤ d¢$ *f}“°“‘$ sanrlca
que chaque partlg '3 la
p()$5lblll[é dg rgtardgr leg plalntgg
pour atteinte ä l’honneur de mamére ä ce qu’elles se prescrrSi
—
est
déclaré avec dstenraticn dqvanr lc
vent...
dans
temps
procés oontro 1io
rodaotour cn Chor du Trumpf
Buur, E_B_, trois années so sont
doia écouiécsl gi aucun jugcment
définitif n’est prononcé d‘ici a juin
igggr la Partie advurso aura roussi
aobtonir la ProsoriPtiun_
le
entrepris l’est a dessein. Le fait est
l'av0cat du «Trumpf Buur» a
trlbrlnnlr
de
MHIHICHBITI, les
Franz Weber sont comcés. Ouelques mois plus tard, le 6 avril
effet, le
d rrrsträction en
une rc;
Se"? de? araaa er
ee .ee emrere
emyslioe
Etae ls eeeyen na mrpaioa lr
des droitsr rl demande es
nnes
duo
‘
En
procés,
oomnto; dans
gurtgut Pagen nr-river ä la Pronnnciagion d•un jugenicnn Aussitöt
um
débutt tout Scrnble n~otro
dä
nous dfyioygg (gg que ngug gavon; sur Franz Wgbgr, il cggsgmig
dg rirg_„ Pouravoirprononcécerre
phyga-gr [g premier jngg d'in_;„ucnon du Canyon dg Vaud, M_ Ro(and (jnärglainr n dä, gn 1982, ye;r-user rjnbjrqugmgnr gyprés dg
Franz Weber. Cinq aus plus tard, il
truction lui signale Vobligation de
dire la vérité et les conséquences
aPPol dc oo jugcmcnt~ mais oo
pas Suffisant Dans un re.
cours de tutoiio oonrro in nronnérc
section du Tribunal de district de
Zurichr Franz weber dénonce ic
rotardomont inormiioabio dc sos
fair
I|
l|lS·
datos des audiences dans ios
autros afrairos nc sont momo pas
encore fixécn
.Naturoiiomont_ Franz wooor
les
pOUr les adV€TSHll”€S
de Franz Weber.
Exemnls de H‘Z‘: H Fammsnca
le
que
1
"
les parties et les témoms sont entendus dans le cadre des proces du
Trumpf Buur et de la.Weltw0che.
Les dépositrons se révélerentlca-
Je nc pcnsc pas que
quo Puro justicd Franz wobor
le «Trumpf Buur» et la
«WeItwoche» ait été soudain remniaoo_ pondant doux ou trois mois
c’est un juge remplacant qui s‘est
occupé de ces affaires. Et c’est
niors dno Franz weber, in orbio
des caiomniesr est iui_momo con-
|¥|*|¥?|¥*i¥é¥€|??|§|Ä
bien rélléchi- ic diraia nllndt anc
¢h0$¢ PdV¢l"¢·
JF deal Pas dir
D’aborrl, Franz
Au
emme
ordonne
lg Fappgllg
-
la
.
grave parmi les délits poursuivis
sur plamter Cela sigmfie que le calommé doit mettre la procedure
en route et que c’est également ä
lui qu'incombe Ia presentation des
preuves. ll y a des années, le Professeur Peter Noll avait demandé
que la diffamation grave soit con-
ä juste
Jou mal FNIIZ wßbßf
¥§¥?Ei?i
3 bégZl)'€l"lQl'SqU€
classe également la diffamatron
‘
_
Sept./Oct./Nov. 1987
de la pnblrcné pour les
mcnsodgßs de la "w°““’°ch¢”·
La campagne de désinformation
mcnaca d’an¤indr<> Sbn bnr La
corlflünce en Franz Weber
fan
E_|
'
·
palnties/audiiences
"_
_
l
Les
1
HdV€l’S8l!‘CS de
·
[IB
1
I
‘
ä démanteler la puissance- de
Franz Weber - ju_squ’ä Pé¤é(l'¢!'
chez lui par effraction et ä lerfaire
emmener de force par la police le
30 lum 1987.
et H.Z.
Peu apres que
prennent
connaissanice
1
_
des
pour diffamation grave
dépggéeg contre gux 5 Zurich, ils
r
.
Plainrcg
1
mettent l'appareil judiciaire vauLe code de procédure pénale moyenägeux du candois en marche.
ton de
parties
Vaud interdit certesr aux
de donner des renseigne-
1
ments sur les procédures‘pénales.°""
Mais comme le juge d°instruction
cantonal a
fait
il
la
presse des dé-
clarations fausses sur ces procedures ä la suite de l'agression pollciere du 30 juin 1987, il n’est que
_
légitime que nous fassions peu dc
cas de cette interdiction si contraire aux principes de l’Etat de
droit alin de démontrer au lectcurr
r
ä
la lllmrléfß
des
falls I'éClS,
s‘estvra1ment passe.
CC qül
r
»1=|=
f=·1
hé-·
in
Jßumöl FMH! Wßbßr
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.1.
·
11·g¤I;j5;§„_~=;·i:j·¢_=;;;:·2;;;=;;;;;;,;
Jngßä?E;5€¥¢*Ä¥;
ä=E=E·Zz=;%E5=€2é|.=3§~iEäE¥i=a·ä |.iE§E§2§;¢;-2:;i;E=E122Ez5;E;&5E;i_E};€ii&§2i2ä;3¢E2:1E3E;.;E;E5é;ä;Eg2;;;=§2;2_=§3Qä2%;5;:23;E5Egiga;E52;;;€z§2§;§;§6§;ia%·*=.¢£=I=rE¤ä=.;-§2f2§&is§;;¢i;;;§:;égr.|.,.|
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*¢¥nP$ normal.
truction aurait dü rcfuscr sans
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L•¢¤•¤¤¤d¤V¤¤d
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°°"° ‘?° P'°°¢°“¥° Pé““!‘= "““°°‘S
P'é"°“ °° n“' ““"*,"L° 1**8**
W¤b<·=r S= défcnd ~=<>¤¤=.
rcpwches calomniwx dß la
Weltwoche en cnvoyam une cir¤¤—
m¢m·
‘“n·‘= aux bi¢¤l¤**<=“ß ¢*
bres.(envaron 300000 a Vépoque)
de la Fondation Franz Weber et
de Helvetia Nostra. Ainsi, tin fé—
les
M
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j
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sa guise. Ils’ag1tla d’une marge de
ot pon
}·[_Z_ er
manmuvrc Vé$°“’é° ä la diwrétivn Il n’a rien vu rien entenduI rien dit Pourtanr il u'es1 pas taille’ dans la
üables.
.
Jean-FranLé pfßmlßt ä ¢¤tf¢F ¢¤ $¢én¢ est du 1**8** nn Sein des Pnn¢‘P°$ $“Pé' pierre. Le ministre vaudois de la Justice (et de Ia Police)
HZ- ll *¢n*¢ dc d餤¤¤¤r Franz "¢“"$’ d¢ iwtrß Etat d¢ nnnf Q“¢ goil; Leuba, adversaire de longue date de Vécologilsie, prétend n’avoir pris
..
Weber auprés de I5 gouycmc- Sqnt I ésahgé devant la ¤¤¤. l ¤¤¤=t- connazssance de
ments cahtonaux pour atteinte a drction de I arbitraire et Ia proporblique. De plus, H.Z. a été dédes dossiers et de l‘expérience gétionnalite. Un «peut» revientdonc
«l‘ordonnance relative aux colrep0ul’
masqué par Franz Weber comme
étre
C’€St
elle
doit
vécue,
«do¤t»
ralS0n
tléfülß
la
¢t
ä
un
Iectes», pour une chose donc que
«caIomniateur» dans la circulaire
jßtéé.
Franz Weber fait depuis des an-, laqtlßllß OH park! dal‘lSl¢S écrits juLe 10 avril 1986, lorsque le juge annexée a la dénonciation.
ndiques d’une «Kann-Vorschr1ß».
nées en parfait accord avec Ia loi.
Pour revenirä l’affaire qui nous d‘instruction regoit les dossiers sur 2. Apres avoir jeté un bref coup
Et, ironie du sort, pour laquelle
d’mil a la lettre de Ia loiet aux prala dénonciafion, il sait:
H.Z., homme d’affaires, lui a, en occupe, eela signifie que la décienti ues concernant les collectes, le
un
est
dénonciateur
d’accepter
l.
le
non
Que
du
ou
sion
tuge
savoir-faire.
.‘l
son temps, transmis le
.
.
.
.
H.Z. éent: «Je suis convaincu Cette dénonciation doit reposer nemi de Franz Weber. l_l ne fait juge d’mstruct1on aurait pu consque Weber n’a dernandé anonno sur des motufs objecuvement aucun doute que son seul dessein tater qu’au contraire des collectes
effectuées aupres de bienfaiteurs
est d’accabler Franz Weber de tra~
fondés. Ce n’est pas Ia bonne ou la
autorisation poor lo present; oo)et de membres d’ass0ciations et de
mauvatse humeur du juge qui doit
casseries. C’est également ee qui
lecte, En eonsequenee, j'aecuge
,
.
.
.
,
fondations, seules les collectes auétrß détcrminante ou, en loccurressort clalrement du texte de. la
Franz Weber. . . dünfraction a
Pordonnance relative aux collectes 1’¢¤¢¢„ le _f8lt qu’¤l Sräßlt de Franz dénonciation dans laquelle H.Z. pres du public sont soumises ä
annonce plusieurs autres Plaintes autorisation. Le 1'u8e · lui aussi ·
de votre canton; Weber cgllcctg Weber. Sila dénoncration de H.Z.
et
satt sans aucun doute que depuis
contre Franz Weber. Dans laC0l’lSlllI.;C
dog fonds non pas dons un but
eistäraeassiere
Zn abäs
des années déja, Franz Weber s‘a—
¢ f0lt, ¢ lllgß n’a pas e roit c
quelle il aftirme en outre que
d’imérét public, mais pour luiFranz Weber n‘effectue pas des dresse aux bienfaiteurs et aux
C’est ee que l—l_Z_ a l’;tului donner Suite. Si la dén0ncia—
'
Helvetia Nostra et de
dans un but d‘utilité Pu· membres de
colleetes
lll!
bßß
l¤¤0¤Sl$t&l1t¢
¢!¤n„_¤8¢
_
„
la.
Ia Fondatuon Franz Weber en vue
ßläugsulgfs
car!;(¤;;9$6im_
ren:
a
de Ieur demandcr leur soutren fi[
I
nancier pour ses actions de protecnent de toute réaction ä ces divaI
I
tion de l’envir0nnement et de la
L¢ fa{n¢lé!’¢ nbnällédfä
gggvniäé
IICCUSHRIOHS et l'éVél€ C0mbl€|\ les
le .**3 le dl'0ll».
OE-!
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VI-
I
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Tanz
‘¢n
ln
¢·
hu
r
nature. Sans autorisation spéclale
naturellement, a I’instar de tous
de I,
.
les autres
,
artis, féderations et as-
3
des legtres äolies auxquizsles ce
conmier r pon aussitot.
bien - cgmntg oo-
«.
;_
sociatiüns?
uttwex er avar
posé
enmes, o ne
_
dlffamation contre le contenu de l’article suivant:
_
Ia m‘ss“’°
au;
bicnfaitcurs ct
mm rg;
°:c:“x
ms
adrcssécs ä des incomus·
_
La réponse des cantons lui par•
vrent bientöt: une sortc d’¢X¢¤S¢.
y
Vaud. La,
’
n.
mord ä
·
tvra' u"lne
le poisson
ll
.
nelrngrät
_
_
_
=
lrorrni,
p
..
.
_
vous, amis
Weber.
.
xls, atterrissent
rg
alors,
tout
Ce retourälajusrice de classes dénote trés nettementque les
— ui ne disPosem de toute maniere'Pas des
gauehe
^
memes moyens que les sp culateurs— courent davantage de nsques de
se rerrouveravec un procés sur le dos; »
'u
coup? sur le bureau du 1 gc d’instruction cantonal de Lausanm au
34 de la rue Valentin, nen dans les
ii
ä
ne vous
·
dossiers ne le révele.
'
est
pas possiblei par une
Votre Franz
4.
dh Fflllzwlbßf (qui n’est m de gauche ni de droite)
‘
tens
_
W¢bcr?
Po
-
sgwrsuincmsläonncr
sa smcs a
On ne sat't pas encore tres b'ren sil honneur de Franz Weber va étre
protégé par les tribunaux. Ouoi qu’il en soit, il faut que la loi puisse
étre appliquée, sans quoi les tribunaux auront perdu leur légitimité.
t'-
'·
·
4*ammé
er dmcoumgc_
ment. Je vous remercie.
'
-
rg
pawie
i
_
L°lIOIIIIllII'
la
nuer! Témoignez-nous votre
darité en ces instants difjieilgs rémoignez-Ia par un don, ou si cela
suivants).
d un
F
mia!
commune. Aidez-moi d
PW
,
F
Ce que nzaugavorisnlacccxrf
pli jusqu'ä présenr es: notre uéuvre
eääzrslcäg
plaignants de
·
goilä ce que §c•;oudrais aussi cner
_
‘
-
.;
la lcttrc
‘N€ pas
8l suwams Sdfe
el Sulvühlf
GUSSBS allévoir
gations contre la <gauche> sont jugées d une aune beaucoup plus géne'¢X¢mPl¢, qül üüfülli
reuse que celle utilisée pour uh architecte,
amassé des gains par une spécularionfrauduleuse (A TF 103 11161 I et
ysgée
Cette demiere renvoie les dossiers
ä la préfecture qui sont ensuxte
transmis au procureur. Celui- lä retransmet alors les dossiers au juge
informateur de Vevey. Comment
’
_
_
H
versée balaie les demiers doutes.
«Quoi qu’il en soit, le Tribunalfédéral ne regardepas la vérité de rrop
pres
MQ P¢fS;>¤g «gauch¢»
des dossiers commenoe. Le département de justice
mobilise la prefecture de Vevey,
la
gendarmene de Montreux.
y
no de Mom„ux_
La tecmm de
-
des fonds,
_
mais de ce protecteurde l’envrron-
·’
_
Code pénal S\llSS¢, ÖISPOSIIIOIIS spéciales, troisieme vommc, an 173, pamgmphc 137:
quémandam
dä
°‘°8:n‘$an°n$;
nc pas tre question
d‘action condamnable. En outre,
Franz Weber a encore confirmé
cela dans sa lcftfc ä la
eréaliser qu ilavait besoin desefaire so¤gner.»
Lrhmmaul, de I' Gauclß
_
„
_
bwnfancuis Ft
ne peu
Schubarth.
sgifunc
*
_
dä
mcmbr? di: xs
Le Tn_bmal lédéral Jußa fl“° ¢°“° nnn°n°° n° P°m“t Pas n“°‘n‘° ä
I Ponncur de G• Duttwßllcf 4(étan‘
donné qu’un maladc des nerfs
empec er
canton
’
ame
i
°"°·°·
est paäresiponsable de son état et que sa maladie pouvait justement
-
A um
dam
d"° ä dcs adräws. cn dchmis d“
,
dénonciations sont rcjctécs cn
cxccpüon pres: le
3.
I
«Ne vous vexez pas si, face ä toutes vos contradictions er votre rendance, qui semble maladive, äune confusion continuelleetdunesuspicron sansfondement, on se demandeparfois si vous neferiez pas mieux
d aller consulrer un médecin au lieu d'écrire des articles sans disconrinueg,
incgzminéc
adrcssécs
Que le dénonciateur n’a as affinné que Franz weber a diäribué
unepamte en
plpfs
mmßmm
que ic Dépancmcm de justice
du canton dc Vaud
’
rc
‘
Prem
‘
A
Suite eu p•ge 40
‘
12
Joumal Franz Weber
2 - sep:./oc:./Nov. 1987
1~1··
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i|
-6;
gi
|glitt,
Pour Franz Weber, aV0lI‘ I‘éuSSl ä Gmpßchßf la COI1StI’uCtlOn
d’une fabrique d’alum1n1um aux portes de Delphes,en 1979,
est sa «pluS belle victoire». Le mOiS de juin 1987 lui 8 offert unc
dcuxiémc éditiotl de cette «pluS bCli€ victoite»: ii illl 8. été
donné, une fois de plus, de protéger cet antique «nombril du
monde» d’uneindustrialisation destructrice. Et celaälatoute
derniere minute et en dépit de la résistance de ceux qui furent
autrefois ses alliés. Mais pour la seconde fois gräce a l’aide
d Apollon, le fter gardien des heux sacrés.
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Franz Weber s’efforce de garder
son scepticisme et de ne pas céder
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Del hes, Avgeris Kanatas. «Mais,
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si je vous le dis! Ils l’ont annoncéa
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Et s’il s„’agissait simplement
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lundi 15 juin, soit le lenla manifestation internationale prévue, la mise en chan-
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aux portes de Delphes. Les banquiers ont toutes l'8iS0|lS de SC ré-
grande manifgsgation prévue Q
Delphes?
Nous ne vivons pourtant pas it
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1987, la
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grecque tient une conference de
presse. Sujet: Début des travaux
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beräannulerla manifestation pre{nn? rxlgtsq
je serai parfattement convamcu
qu’i| ne s’agit pas d’un piége.»
Le lendemain matin, 10 juin
c’est le
dénouementl Une voix sxsitéa •’écrie ä l’autre bout du fil: «Nous
sommes forts!» Le Conseil archéologique central grec a opposé son
veto au projet de I’usine d’alumi-
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1892, les Francais découvrirent sous le village de Delphes le site arChé0l0'
gique de l’antique Delphes. La Delphes d’aujourd’hui a vue sur la mer-
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2 millions d’oliviers poussent entre Delphes et la mer de Corinthe.
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Pour accomplir Ieur pélerinage ä l’oracle de Delphes, les anciens Grecs
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traversaient cette oliveraie sacrée.
Si les discours enflammés des
mvités et la campagne de presse
internationale qui devant suivre
n’étaient pas parvenus ä faire
échouer le projet d’implantatt0n
climat fiévreux. Pour quelle raison
le Conseil central archéologique
n’a—t-il prononcé son veto qu’a la
derniere minute? Tandis que devant la presse, les investisseurs se
déclaraient déja vainqueursl
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minium nc préscmait aucun dam
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Grece et aurait clouéau ptlori les
héntiers de la-V plus vietlle culture
d ldurope, mdignes de Ieur patrimome. Un peuple auquel on ne
devratt plus confierla garde de ses
trésors culturels dintérét univerAthenes aurait pu enterrer dé-
gouvemement grcc
avegeIIe ont cédé devant I a pres_
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tation des 13 ct 14 juin.
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de
berV aurait alors appelé le monde
entier au boycott tourtsttque de la
cette_ mamfestation, Franz
reavaitVmvité pres de
Weber
vemementaux,
presentants miluents des milieux
occidentaux de la presse écrite,
parlée et Vtélévisée, amst que des
persormalités européennes de premier plan des arts et des lettres.
Franz Weber Ven faveur de
Delphes avait déjablessé le senti-
ment de tierté nationale. Etait-ce
a un étranger d’apprendre au peuple grec a protéger son héritage
Grece méme, on attendatt ce
Ein
culturel? «Franz
drmanche-la ä Delphes, venant du
pays entier, plus de 10000 mannfestants, parmi lesquels des professeurs älUn1versgé, des écoäoes repr sentants
beaux—arts, des acteurs et des
Weber
sidteusement Melma Mercoun, interrogée a Lausanne au pnntemps
sur le probleme
Pelphes.
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rsque, suite au cn a arme de
membres du Conseil de l’Europe,V
mu-
l’éeologiste
stciens.
a
rendu
s’était
la
bleme aigu, ne peut y étre freinée
que par la création de postes de
Pentecote l986, ac-
reporters, le Ministre de la culture avait déja qualifié son action de «petit mélo-
drame malvenu
et inutile.»
travail.
Comme
la région est ex-
tremement riche en bauxite,
elle
serait toute désignée a l‘a produc-
On
pouvait étre assuré, proclamait—
que nul n’aimait davantage la
tion d’aluminium
elle,
vait
Grece que les Grecs et que des
lors, Delphes ne risquait rien.
D’alliée au départ, Melina Mercouri s’était muée en adversaire.
Au cours de la premiere campagne de Franz Weber en faveur
de Delphes, la «Pasionana» grecque était encore toute louange
.
,
pour le Suisse — il s agissait alors
.
,
de s opposer a un projet gréeoaméricam dimplantation d’une
fonderie d aluminium Vpres de
nument de
.
.
des résultats tangibles, est souvent
amené a faire passer le pragmatisme avant Pidéahsme. Et les noprincipes, hautement proclamés pendant les années d’oppo.
. .
sition, sont vite relégués aux oubliettes. En son temps, on faisait
chtxur avec Franz Weber et l‘opi-
bles
d ltéa. En
Delphes,
I? bakel
ce temps-Igaq:1
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sait partie de_l’opposition d’ou il
de
s’y trou-
le
d’ApollonäDelphes!
Uexécutif, dont le souci politique est de Lmontrer aux citoyens
.
est, semble-t-il, plus facile
l
ne
s’il
plus grand moAnttquité: le Temple
également
mon internationale pour s'opposer
avec véhémence a un projet américain d’implantation d’une usine
d’aluminium, aujourd’hui, on accueille a bras ouverts les Russes
avec un projet similaire et non
moins monstnteux, menacant le
lut-
ter pour un ideal que de l'intérieur
du gouvemement lui-méme. Aujourd hut c’est le PASOK (Mouvement Panhellénistique Socia-
site antique.
|dito, un tel apport finan-
de Melina Meroouri,
qui est au pouvotr, et c’est Melina
elle-méme qui est la gardienne supréme des trésors culturels grecs!
L une des promesses électorales
liste), le parti
— leur investissement le plus important ä l'étranger
—aurait du eoncourira rendre plus
populaire en Grece la politique
d’ouverture a l’est de Papandreou.
Mais, ce choix risquait d’avoir un
effet boomerang pour le gouvernement: En juin 1987, avant de
cier soviétique
part! $0Cl3llS!C fut la creation
gg nouveaux emplois. La region
de Delphes est un véritable désert
économique et l’émigration, pro-
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de Delphes, le gouvemement PA-
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factionv dc la population ä son
tonnes.
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de Lénine, avait su sauvegarder son patrimoine culture!
rcligicux, ne pouvait prérer main
avait également occasionné des
forte ä cette destruction
mouvements de protcstation et Ia
révélation d’une série dc corrup~
tions dans le scctcur public (cer-
ceau de
erä·lf?i.'.Ti|L|
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c'cst ainsi qu’était libellé le télé-
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d titat, dautres dans des entrepnscs sous contröle de lEtat)
Cependant, cn fcvncr 1987,
ayait ä S0¤ [OUT gliavemcnt attcint
lärmagc ct Ia stabnlnté du gouveme-
situation semblait cncorc sans iS—
suc. Des rumcurs de mauvaise au-
ment dc
Delphes a failli devenir un
deuxiémc Eleusis: Ck site, ä I5 ki-
gurc circulaient dans la presse,
laissant entendre que les négotiaticns entre Ia Gréce ct l’U.R.S.S-
Iométres d'Athénes, est la victime
du molosse de I’indus1ric. Jadis
lieu de lumiére avec un remple er
une olivcraie, aujourd'hui Ia
l
Pappndreou. Autié-
but du mors dc jum, Vopposmon
cxigca par conséquent Ia démis-
du gouvemement PASOK et
demanda de nouvellcs élections.
sion
Ißinsatisfaction nationale concer-
nant
la
politique relative ä
Delphes aurait alors sufü ä renver—
ser le gouvemement. Et comme
toute Ia presse grecquc voulait sc
-
rendre ä la manifestation organisée äDelphes, c’est le désastre qui
sc protilait ä l’horizon.
Toutcfoi5„ cg projet nc dépen-
de
dait pas seulement
Grécc,
la
mais aussi de l’Union Soviétiquc.
C’est la raison pour laquelle en décembre 1986, Franz Weber en'r
Sgcré
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ä d¢$ Pfüblémß dä f‘“?“’
cement, cnvoyércnt des émxssanrcs
ä Moscou. (Que l’on note cotnbien de dépenses sont consent¤¢S
pour 700 POS!¢S de ¢FäV¤Ü ä P¢¤[‘°·
Ch3CU¤ f¢V¢¤¤¤t déjä ä 1 millwn
de dollars rien gu’en dépcnseä
d’investissement m1t¤al...). Pendant UP ¢¢¤’*¤¤¤ t¢{¤P$»0¤1 ¤r¤¤q¤¢
ce P'°J°‘ }°mb°“m_d€l“"mém°ä
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annonca qu’eIlc non p|u§ ne paßfait pHS ¢¤ d¤ViS¢S„ mals ¢¤ PV°‘
duits agricolcs. bes Grecs, _c0¤—
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prendrant 200000
novembre 1986, SOÜH
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égard. En avril 1987, la nationa!i—
sation des biens ecclésiastiqucs
méme dc
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Bulgane,
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La‘L=¢LWW
en situation de
faiblesse
taines au sein
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cultwé, de rcnoncer ä ce
projet, Vexploitation de bauxite er
la production d’aluminium peuvant se faire cn d’autres Iicux.
grande nation soviétique qui,5¤us
Ixsé ct
gggérlätäEgli?I3“n;1§na“
Soviéti:;auc$
Mikhan Gorbatchcv, dans Lcqud
i| lg priait qm nom du monde civi-
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avaicnt abouti, que le contra! était
prér A érre signé er que les plans de
construction étaient terminés. Les
Grecs avaient tout préparé, minuticuscment, et depuis longtemps.
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Pms les Smnéuqucs sc déclarércnt préts A sc chargcr égal°'
ment d°Ia mmchc bulgam
<<L’“$i¤¢ d‘“l“mi"i“m PV°j°‘é°
¤¢ P°““¢!'¤i* Pas d“"*mß8¢ V°¤"i'
ronnement que les gaz d’échappcment de quelques autobus» décIa—
«Ruhr» dg za Grgm
Apres 4 ans de négociations, les
avaient obtenu la
oommande, d’un montant de 690
millions de dollars, pour la oons-
rait le
Soviétiques
yaplusieurs années déjä, Ic Ministére de l'environnement s‘était
soudainement permis de redétinir
Ia
zone protégée autour de
Delphes: La région pres du village
ll
dc Aghia Efthimia, situé ä ll km
de Delphes ä vol d‘oiseau, était
ainsi tout ä coup exclue de la zone
protégée. Fait révélatcur, car c’est
que fut projetéc peu apres l‘imlantation de l"usine d’aluminium
gontre laqucllc plus ricnne perlä
mcttait dés lors
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tmction d’une usine d’une capacité de production de 600000 ä
lZ)0000 tonnes d’alumine. Les
Russes consentirent mémc ä accepter la condition posée par les
Grecs d’acheter la production
pendant unc durée de 10 ans. Peu
importaäeque l’Union Soviétique
veui
pnyer nu dnuhu
:ais cn gazptxtaturcl, mémc si. les
foyers grecs nc sont pas équnpés
pour uuhser le gaz! Ouant ä la
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dc s’opposer juri-
diquement.
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gouvemement pour apaiser
Ignorancc ou men-
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esprits.
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songc délibéré?
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elle seule, la
oonsommation annuellc de mazout de I’usine d’aluminium (12
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de tonnes) aurait rejeté
dans le cicl de Delphes autant de
dioxyde de soufre qu’une grande
ville... qans compter la formation
de quantitiés énormes_ de fluor,
d’oxyde d‘azotc, dc sure et
tres substaäxces toxiques que Ve:
¤~gc;h5, ; 3,•¤••tn¤••I¤•$»~
transport de rnillions de tonneä de
bamntc auranent entramée. Lokverane sacrée au pted de Delphes
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de Delphes_les éclrpsaut tous.
Avant lux, ces heux appamennen! ä la déessc Gaua qm y rend
l’aidc d’un arc,
Ses ßrades.
^P0“¤¤ *¤¤l¢ $¢FP$¤¢PY¢h¤¤q¤i
haut po;mäc||cS-mémcs-ccqui,
dans Yesprit grcc, srgmtje In pu-
gztrde le panctuanre terrcstre.
¢S¢ ¢¢ qu} lu! vaut $0¤ ¤PP¢“¤·
rcté; Lg wonnais-tor tor-mcme»
est devenule oélébre adagc dcl'0-
¤0¤ d¢ «d¤¢¤
(jünger).
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du ntußl d¢ la purlficatnon est
le dieu
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äprcndfß00¤SCl¢nce de la Beauté
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¤élébf¢·
Apollon ne possédepas sc_ulcl’art du chant mals BUSSI GClui des oracles qu’ilp¢[l!tr8¤Sm¢ttre aux hommes. ILSIICUF de Pl’0·
dg manggm gmmnsggcamc er
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l’an 800 ä
100 environ avant Jésus
Christ, les vestales——quidevaient
de purcté er de chastcté
faire
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de con-
mais il saitsefaire resp¢c·
’
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PY*h¤q¤¢>• ¢! ä la
¤’¢¤d }¢$ ¤¤I¢l¢S lß
PTéU'¢$5¢ qlli
npm dc Pythi¢- ASS¤S¢ S¤l’ UH tré-
Apollon est né le septiéme jour. Il
racle de Delphes.
est le filsde Léto et du dieu Zeus.
Troisiémement,
Apollon, Plßq, ¢ll¢ tombe ßf} !f¤¤!$¢ 8Pl:éS
comme Maitrc dc Ia Lyre et pro- avour mäghé des f¢wll¢S dß launer
— le Iauner_est saere pour Apoltecteur des muses, est le dieu de Ia
dem:-consc1ente, elle proMusique, dont la magic enchantc- Ion.
nonce dcsesons gu des mots que le
resse tire sa mcsure de Vordre inprétre qux se tnent ä oöté delle
téricur. «Tout est dans la metransposc cn réponse souyent
sure», dit le second adage célébrc
toumée en ver;. Ce _qu1 cxplnque
attribué ä Apollon.
D’aprés la Iégende, Apollon qu’un orgcle ant tres souvcnt des
aurait d*ab9rd été le prqtecteur
significatnpns dnfférentcs qm neudes marins. Sous la forme d‘un vent étre mtcrprétées de manrére
dauphin, il les accompagne ä tra— positive ou au contraire négattve,
V€l'S les mcrs, partant_cn_tétc des Alu gré_de Ia nature de son récxpxendanre.
émigrants pour Ieur mdnquer de
La Terre
rit
lorsqu’Apollon
voit le jour, les décsses jubilent,
l’ilc
rayonnc d’un éclat doré.
Trois caractéristiques rappellcntqu’ApoIIonestlcülsde Zeus,
lc dieu grcc le plus éminent ct le
plus majestueux. Tout d’abord, il
cst omniscient et c’est le dieu dc la
dl rpg que faire dg |*incer·
titude, du doute et de I’indéciVérité.
5i0ri», dit
rich
de
lui I’écrivain Fried-
Georg Jünger.
II
n’est pas
médiatcur de nature, ce n’est pas
V
Pendant 700 ans, de
Yappelle donc «Delphinios», surnom qui restera toujours lié ä
D¢|ph¢s,
site culturcl le plus
.
A
ß
’
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l’an
t
mu
servaicnt de porte-paroles au
dicu_Apollqn_ct ä la décssc
na. Des mnlhons de pélerms se
rendircnt_ ä travers les oliveraies
sacrées !usqu’aux ternples vé·
nérés; Lornctc paesart pour un
duvm et mfatlhble aux
conserller
>{°“*
dä h°“““°‘ P°“ ‘°" 9*
hbles aux, Vers la fin, ders vrerges
furennautorrsées ä scmr d ora-
bnen qu clles cussem ausg;
s’acquitter de Ieurs destinées antéricures. Elles ne résistércmpas
cles,
ä l_épreuvc et qevmrem de purs
objets cprnmercnaux faux njarns de
forces snmstres. Et cest ams: que
les hommes, toujours crédules,
furcnt dirigés •par de faux pro·
|r
q
L
2
phétes. Les dncux se rcttrércut
«_Delph¢; est assquprc, ou rctentnsgent ses nracle;?», demandant
Fncdnch Holderlm.
Pcut-étre qu Apollon sount ä
cette phrase de son menventleux
pays Hyperborée, d qu: d gzpres la
·
_
legende, rl serant ongmaure. Up
pays au-delä des, univers, Oü vlvent des étres heureux, sans maIa—
dtes, sang Age, sans guerres, soucrs ou pe1ncs..
En un mot, c0}11m¢
u
V
E
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ge
5;
les drcunx ont justement} habntudc
de Ie_fau·e .
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Franz Weber
Journal
N·» 2
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l’invita-
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culturel euro-
Weber participe ä
Delphes au Symposium «Protec—
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du Centre
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ler novembre 1979:
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légendaire en zone pro-
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sep:./oc:./Nov. 1987
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tégée.
Weber part
a l’assaut
du
Conseil de l’Europe, de l’Unesco,
de l’ONU, de
Commu-
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L’exposé
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dans Vauditoire. Weber est assailli par des Grecs qui le supplient de mettre son energie au
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de Franz Weber ä Delphes. A gauche: Panos Kaltsis (43),
droire: Avyeris Kanatas (52), peinrre bien connu en Gréce et
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propriéraire d’un camping.
Les
alliés
härelier,
ä
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sont Plus que ues ueeernures
Delphes est l’un des grands cenVlblerelles de la Terre ‘ ä
lllnsler des Brandes Wrernrues uu
Fuji Yerne eu rsP°n· uu nflenr
Sneste dans le neru de la C"ur°r'
nie, du Machu Picchu au Pérou.
<<DelPheS est }l¤
raquements,
le va·et—vient
mions aurait exigé
la
l¤dl}SlfleS-
El
¤ll¤r¤¤¤er le ¤¤<>¤<l=»_<l¤¤
AVYells
Kenl=l*es» eer equarelusre
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ma
<<l?elPlles est
de
gléclare
S<>l<=·l»~
men
presse écrite, parlée et télévisée
Pan°s_ K?usls·
d'Europe occidentaleäDelphes.
Resultat: une campagne massive
dans les médias européens.
s rlerernbre ms: Pendant son
voyage, Franz Weber rédige une
lettre au Premier Ministre grec
umumc d arfalres- Pruurlerrnre de
dv rnenue
antlque, ¤ve<=¤eSm¢rvellle¤¤lem—
Plusmlrs hÖt°lS· _‘lu‘ se sent
“l°lld*’= Pal la _l“mlel<= r¤¥<>¤¤==¤t
Pres er sell vllverale, dégradée
uu Sue: "Ce qu} émanerde DelPnes
Slllll
Eleusrs· la lunnere
en
lespaee de cinquante ans en un
rnomlrnent-témoin du cauchemar
es! le
Les COIOIIHCS et Chapl-
De
IHÜUSÜUÜI-
en
bles. C’est la ville
de Grece oü
u ance
qui fonce wgers Vhopital en emportant une personne soudainement
·prise de malaisc est devenu UH
tion est le
lus élevé—l’am
spectacle banal.
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en Apollon, le dieu de Vo-
racle, est
encore présente,
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invisi-
ble mais pénétrante,
Les habitants de Delphes sont
p!¤S Conservateurs qifailleurgi au
sens le plus large du terme, Ce ne
sont pas des combatifs; Panos
leurs
tp
rassembler la somme nécessaire.
28 janvier 1979: Débats ä l’Assemblée parlementaire du Con-
de
|’Eui·Opg_
Dcvant pas.
semblée pieniere, la pnriernentaire
grecqne Mantzoulinou
prend parti avec véhémence
pour le rnonvement de Franz
Weber.
.
20février 1979: Victoire totale a
Delphes! Le Premier Ministre
Caramanlis retire les autorisations délivrées en octobre 78
pour la construction de la cimenterie et de I’usine d’aluminium
dans la bare a*1t6a,n¤x pieds de
Delphes. La commission culturelle du Conseil de l’Europe envoie un télégramme de félicital
,'
une excepqui est un leader né.
Quant ä l’artiste Avyeris Kanatas,
c’est par idéalisme qu’il s‘est lancé
dans la lutte. (Pour la plupart des
«Delphinos» l’amour des sites
antiques reposele plus souvent sur
les espeees sonnantes et trébu·
elwmes que l’¤¤ peut en tirer.)
Pour ces deux ardents défen-'
seurs de Delphes, il est évident
que sans Franz Weber, leur ville
n’aurait pas été sauvée deux fois,
mais qu’elIe aurait subi le meme
Kaltsis est peut-étre
tion,
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Delphes er Aghla Efthrmra (a l ouest de Delphes) qu auran dn
.S'rmpl¤nI¢r le complexe daluminium — sur un haar plareau ä onze krlomérres seulement des Iieux sainrs.
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«coüte» des millions, le gonveriie-
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4 Pesseßels seulement
-cenderlt pour unc VISIYC, les Hlllfeä
préférent aller boirc un COC8. Rlen
d’eronnant A cela! Le caractere sadu snc a été vioIé’ son rayou.
3
m3nd3n[ de
prieres, de leurs espérances, de
·
.
On
du peuple, La force de
amene les t0u'
ristes italiens au Temple d’EleuSiS,
De
Constantin Caramanlis,
SC dégage UHC
inconsciemment, Vénergie puisSante aecumulée pendant plus de
huit siecles par les millions de pelerms: rois, généraux, riches marehallds, philosophes OU hommes
le
iiollu-
Cl'ldI'0lt
force envoütante.
rrboireg d’allumettes»
taux des maladies dues ä lg
cet
sentir, aujourd’hui encore,
qui a sacnfic lrcsthétiquc ct le sublime aux intéréts triviaux.
Ala mi-'ournée,Eleusis est une
ville arnpitiiyablement chauffée a
blanc, survoltée, un labyrinthe
hysterique-et bruyant au quadrillage desolé de rues, une jungle de
beton on errent des humains acca-
Velre hümalll
reste UH elle hllmßlll->>
teaux littéralement brisés gisent
entourés des cimenteries, des__raftineries de pétrole, des cheminees
d’usine qui crachent inlassablemom icurs fumégg, abaridormés
dans un décgr de bétou ci d’arghi•—
tecture
miere action importante contre
la destruction de Delphes par
une cimenterie monstre et un
projet gréco-américain d’implantation d’une usine d’aluminium. Weber invite ä Delphes
plus de 30 joumalistes de la'
_
lurnlerer
organiscr
des soirées de gala a Paris, Genévc, New york, Munich et
Athenes avec la participation de
scii
u°rn‘n°
rnenr saere nur
Kanatas.
Du s au 10 décemhre 1978: Pre-
DelPnes·
blelllöf
weber commence a
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¤¢1¤¤=· Pelerrneßes eu M°n* rien
nasse-
3 novonriirc 1978: sous
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eemlll alluelä des
des ca-
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P!¤S r¤plde„ el l’¤l¤¢ll<>l’¤ll0¤_de
l°l¤rFe$Ullf¥¥llTe er l°e¤8me¤t¤ll0¤
du pouvoir d’achat auraient attiré
ulelllles
llell <llll» Pell·
15 janvier 1979: Franz Weber
propose au Premier Ministre Caramanlis de racheter le terrain
acquis pres de Delphes, dans la
baie d’ltéa, par Boxipar, le geant
gréco-américain de Valumimum.
nonce la création de Vassociation
de protection «Sauver Delphes»,
dont il prend la présidence. Il
nomme comme directeurs de son
pauos
association
pnoiciicr
Kaltsis et Vartiste-peintre Avye-
usnr des eenunnes d‘¤¤¤é¤s„ e
fayollllé dans t0¤t¢S les directionst
^“l°“'d’r)“l~ ee symbole Peul
s
envahlssant tout le paysage- Avtour de, I’usine d’al¤mi¤i¤m, on
aurait eu töt fait d’aligner des ba-
de
sauvetage
nauté européenne, etc.... Des
débats ont lieu au Parlement
grec et a l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.
Delphes.
ics an,
plaudissements des participants
au Syninosiunn Franz wobcr an-
Wes
en qllelqlles armées trans'
r0l’l'l'leeS en plätre„ sl·llVell* en eele
le mellle triste desllll qlle les marbres de l’Acropole.
Une fois que le chancre induslflel l’¢¤S9l* ä f¤lr¤ sell ¤ld„ ll Se
ramiüe en métastases redoutables,
_
détruit et ses pierres ne
nement
lellle
ralent
du
service
i
aurait été
condamnée ä une mort
SOUS Ces llllages de P0llurr°n·
Les majestueuses pierres antiques, deux fois millé¤HlfeS„ se Se-
2 no-
qu’il présente le
vembre est intitulé: «Le paysage
sauvé». Son discoursincendiaire
suscite une vive controverse
,
·
du paysage etarchitecture».
tion
déclcnchée par Franz webef ßt Sßs
lettres ouvertes aux Premiere Milllstres Karamanlis (1978) et Pn-
pandrcou (1986) que
le
gouveme-
mom adajgné prcndro on oonsidé_
ratio,-i [cs
Delphes.
craintes des habitants dc
.
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N°2
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Sept./Oct./Nov. 1987
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il
le sa-
«Franz Weber a jadis habité
l’Olympe» déclare-t-il, tel un orade
cle, devant un énorme poisson lors
du diner! Il ne sait pas encore qui|V
ll 8 été exeelemelll--~ mals ll le
voir:
la
province, qui se trouve a
~
G‘°""’I;l‘?rr;au‘iia?,,lad‘S ljécrlvalu
"° "°
s°“
““s°'
°°.'s
Opiniom
essai sur
deux mois plus tard, le
souvenir de juin 1987 fait encore
perler la sueur ä son front. «C’étalent des instants difficiles: mon
pere malade, beaucoup trop d’affaires
en cours, et cette tension
éprouvante du mainrenant ou jamais — de la survie ou de la destruction de Delphes» soupire-t —
l
il,
comme portant
poids de cette dure
l’épaule basse,
encore
le
_
éprcuvo
Pour Franz Weber également,
CC fü! UHC pél'lOd€ épUlS3I1tC. Les
appels téléphonique de Delphes
étaient tantöt pessimistes, tantöt
optimistes. Une fois, la situation
était sans espoir, la fois suivante,
il
devait tout laisser tomber parce
que la situation s‘arrangerait sans
‘
lui. Les derniers jours avant le
week-end «Chaud» du 13 juin, Panos Kaltsis téléphonait pour annoncer que res param de nmplantation de I’usine rrainnnnirnn
se mobiiisaient en vue djune conI
tre~manrfestation et quiil y avait
parmr eux des gens qui n’hésiteraient pas ä provoquer des affron—
tements violents; il allait jusqu’a
penser qu’il fallait arréter toute
Vaffalre pour ne pas provoquer
une réactron de durcissement de la
du
gouvemement.
Mars
Franz Weber n’abandonna pas son
projet, en dépit du climat de plus
en plus tendu qui régnait a
Delphes.
habitants
Les
de
part
Delphes, qui
tirent
leurs
tombe
la victoire
am
Séss ä
res-
—
_«Nulle part
h‘?mm°· lmsqll
im d„éans
ll
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Terlléngbqul Fioläic
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sarmn n pargnc pas
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D‘°“'”
Apollon est toujours du cöté
des e0l1f8ge¤X, des bl’¤Ves qui l¤t·
tent POUF lllle ellllse sllpeflellfe,
,
·
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noble; le gouvemement gree s‘est
donc trouve en présence d’un adversaire
dem
lll
force- ..
'
‘
l
men;
son
de Dombraina, dans la province
de Béotie. La région de Delphes
reste donc les mains vides.
Cela ne fait rien,.conclut Panos
Kaltsis: Nous voulons dorénavant
contribuer ä rendre a Delphes son
rayonnement de jadis. «L’homme
ne peut vivre sans racines, et c’est
parce qu‘il a coupé le lien qui l’u—
l‘é-
Apollon.
slllellrs, ‘l“
litté-
·;¥|
sous-estimait la
Ursula Spielmann
van der Lek fait circuler au Parle¤¤r<>t>ée¤ wie réselvtlcn
contre la construction de la gigante, ue usine de Del
e S
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mlll
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passe des semaines chaudes: «les
plus difficiles de ma vie» soupire
Panos Kaltsis un soir d’aoüt cani-
culaire, et,
,
le eennir lnfeele
deuxléme Öpératlßn
.
§Sauver
cours ri·Anoiion_
cabine: sa ligne téléphonique était
ll avaltdll dégviserses
'
<lé°°““l“* bleu Ces
äasslociationv
t
Deux
80}lVememel'lli Pfejelle
sources des millions de touristes —
il sont, en été, 12000 par jour a
faire le pelerinage au Temple sacré d’Apollon — sontpour cette
raison bei et bien opposés au projet de I’usine d’aluminium. Mais,
plus ä l’ouest, a Amtissa, chef-lieu
Avyeris Kanatas se demandc
aujourd’hui encore pourquoi c’est
un Suisse qui a mis en branle l’opinion internationale pour le sauvetage de Delphes, ce nombril grec
ges hde
Franz
ng slattfibuß CQpenaanr ces dern victoires que
partiellement. Il est convaincu que
Delphes er wi <>¤¤ bénéflclé du se-
ulerebllr lluslne dlelllmllllllm pres
_
du monde! Panos Kaltsis dit
la
ralement du ciel, Delphes respire;
mals ll Y e elleefe de Vorage dans
Poignée de main pour la victoire: le maire de Delphes, Elias Segounis, a
promisä Franz Weber de le faire citoyen d’h0nneur de Delphes.
_
de
confiance au gouhCUI”CS plus
rappelait, cette fois d’une
Lorsque
in
j
l’encontre
fallait faire
VCl”l°lClTlCl'Iti
:·
|_;,;;,5_i;i;,;j;i:¢:;;i_:·i:.‘_i.i;_V;|
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rait,
Delphes a|SéC. Avyeris. Kanatas,
¤¤ ¤élé¤h¤¤¤» déelarar
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coup qulu étau Parnsan de es Pr°‘
pi-Irlé?i|
iirtii
ilnliiso
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aimeavec lande de Franz Weber,
farre de Delphes un foyer culturel
européen.
qu’il est désorienté.» Kaltsis
Veau d or. Des menaces étaient
le
,__|
W
nissait äson passe qu’ilvitaujourd’hui dans la confusion et le chaos,
la
proférées
|
.
de
route touristique, on
comptait sur la prospérité qu’entrainerait un tel projet industriel:
on était pret ä tout pour honorer
·
FYHIIZ
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nésrllent,'276”députés?sig%enIl?ailrgÜW
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V
’
solution. 20 voix
—-
Avril 1986: Des membres du Conl’Europe alertent Franz
Weber du nouveau danger qui
menace Delphes: le projet d’implantation,äonzekilometresseulement de Delphes, d’une gigantesque usine d’alumine grécorusse. Weber se rend surleslieux.
seil rde
De
Delphes,
il
envoie un télé-
gramme ä Melina Mercouri, Ministre grec de la Culture, qui, lors
premiere operation de sauvctagc dc Dcinncs en 1978/79,
avait été son alliée. Cette fois-ci,
elle ne réporid pas, Franz Weber
tire alors la sonnette d’alarme en
Europe.
de
la
'
,
16 au 19 mai 1986: Comme il
Pavairdeja fairerrdecembre1978,
Weber retourne a Delphes en
compagnie d’une trentaine de représentants de la presse. Le 17
mai, il adresse une lettre ouverte
au Premier Manisrre grec, An-
Du
dreasPapandreouduidemandant
instamment de retirerle projet et
de placer le site de Delphes sous
sauvegarde permanente. Weber
organise une rencontre avec Meli—
na Mercouri le 19 mai.Celle-ci rejetterson action qu’elIe qualitie de
«petit mélodrame» et prétend
qu’aucun danger ne menace
Delphes. L’affaire divise l‘opinion: en Suisse, on est pour Mercouri et contre Weber, tandis qu’ä
l’étranger, Weber et Delphes
trouvent un appui total. Les deux
chaines francaises de télévislon
TF1 et Antenne 2 consacrent de
grands reportages a l’affaire qui
est suivie de pres par le Conseil de
l’Europe et le Parlement europécn. La chaine allemande ZDF
attaque elle aussile projet.L’étau
se resserre autour du gouvemement grec. ·En été, le projet
semble étre ä l‘agonie, mais ä la
llll de l”8¤!0m¤e„ les el/eflemeüts
majorité absolue! Ce qui veutdire
3
Avril 1987: Nouvelle en provenance d’Athenes: le contrat entre
la Grece et l’URSS pour la cons~
r
tnrction de I’usine aurait été défi-
nitivement signé.
la drsposr-
‘
‘
.
1986.*
Franz weber
envere un teleérannne eu Seere'
“ur°_génér*uM‘kuauG°ruat°uFV
rc Prraut fra renoncer ä un Prolet
nur enrrarnereu
l>=l¤l¤·=s- l-==
la
uesn'uen°n_ue
<lé¤=¤le
er
La visnc
grande manifestation qu’il faut
organiser ä Delphes. On convient
d’une date: du 11 au 14 juin 1987.
Une fois deplus, Franz Weber
mobilise la presse européenne et
le monde des arts et des lettres,
Sur place,l’équipe grecque fait de
méme- Le 5 lllllh déjä plus de
10000 perS0l1¤eS sont attcndues a
Delphes pour la manifestation.
’
W|
·
-
W.|
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V
Q
—
¤¤l·l·¢==
sms‘°“s‘°s8’““"sl°¥‘r“"“"·
Jamie., 1987:
Weber part im-
médiatement en Grece, ou il fait
le point de la situation avec les
rzcamarades de combat» grecs et
le maire de Delphes. Pour lui, Ia
dernlere chance consiste en une
tion du projet. Delphes semble
alorsdéflnitivement condamnée.
5 ueeelnbre
·
tice!
p0UI' la C0¤$U'UCtlQl’l et
l’al'gCl1t
la
que la résolution est adoptée d'of·
prennent soudain une rtoumure
dangereuse:l’Un1onsovréttqueSe
serait déclarée prete ä avancer
mettre sa technique ä
de plus que
ornciciie
dc Gorbarchcv cn Grace csrannu_
iéc_ La brnn court qu-crie aura
nen cn mars'
·
"
9 1¤l¤ l9s7= Le s<>¤v¢r¤¤m¤¤t
grec retire le projet. Pour la seconde fois, laimenace qui pesait
sur le sanctuarre est écartée avec ,„
succes. Lorsque la nouvelle de la
victoire
r
L|
-
_
‘
parvient officiellement
Mars 1987: Touiours pas de Vigjrg
de Gorbatchcv cn nsars_ Franz
d’Athenes au maire de Delphes,
celur-cr, ernporté par l’enthou.
wcbcr sc rcnria paris pour y ga}.
srasme,
s écrre:
{
V|
‘
g<Désormars,
Franz Weber est citoyen de
vaniscrics onoosanrs au projet
Delphes!» Weber annule la mani—
Mai 1987: Alerté par la campagne festation et félicite Melina Meren
faveur
de couri par télégramme pour la sage
_ européenne
Delphes, le député beige Bram decision de son ministere. ..
·;
.|
l
‘
·
„
.
Journal Franz Weber
N°2
-
17
sept.r0et.rNev. 1987
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rnnl
(Ce que nos lecteurs pensent du
No
du Journal
7
les forets
J_
|„,,,„,,,,„,„,,
·
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,;.4
·
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„
1*%|
•~^
8
oénérel; de rnéme que de I'impact des
tion,
pensees sur
bouger
vie
la
de Vhomme
et son
,.,,_,,,,„,,,,,,„,,,e,,;g
een,
ä
lorsque tant d'intéréts, financiers pour
remedes aux problemes et*maux humains dans Ice qur ne peut etre qu’une
au
illusion,
Ireu
de se tourner vers
apportant
|'éter—
méme de
de Dieu en chaque homme,
solutrona tout probleme hu-
la
i
r
venue dun plan plus evolué que
trte
de
la
Ia
mysterleuse et merverl|euse_éner—
gre cosmrque. Cette découverte mrse en
,«
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aurait DU Changer le deslifl
|J
de
Gomrmm
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V**U***ö****éi 8* V**0******e **,8*1*8**
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vuéueäuuauäbzuuwtéul
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sera
posrtrviste et
rncrsr
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occasion devolr
qui tranche avec
de nos gouvgmams gt
d'
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d 0 m nous
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Larticle concernant· le massacre des che~
·
·
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vaux en Australte a partrculrerement retenu
mon
attention.
ll
est tout simple_
,
_
***8*** *€*°**8****8**** **8 888**8***8*8'*'*8* 8***
daussr nobles betas sansdéfense. Comment une teile cruaute est—elle pensable
·
vtvart N. Tesla,
·
·
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88 '°"
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menez pour, e en
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memg d"
**8 *****8 ******8 8** 8***
(888*88888; ****8 *****8
re et prot ger les ant-
mautt que Ionlmassacre, torture et detrurt, _a seule
de satrsfarre Iegoisme
humam,
frn
le plarsir
"““’*"‘
nom de
la
recherche
une science encore
tres
rgnorante dans le domarne sprrrtuelr qur
ne sart encore nen des vrbratrons
srlen-
creuses de lEsprlt et des vrbratlons en
ciles
8***S **88****
mes
pol" 8°"S‘
d
8****88
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wndun Ihumanné ws
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*:*)****8***9
Sa
dBStluc!l0n.
_
rl
reste encore sur la
uns pOi Qnée détms Qén·,
”"" 8*
désimémssésl Iucides et Sams despm
qui ont pris conscrence des dangers qui
tantsl at
de
rien
Et
de
ainsi servi
an
ap
de discréditer Vimage d’une organisation
OU?
img
la planege terra et
[Umm
GMBH,
ses habi·
pour présawar VCEUWB
qu,
Sagésse
a wu, édifié avec
qu‘il
encore avant
pame
fait
(fun
va en
il
qu‘il
d'abordavous exprimer ma
gratitude pour tout ce que vous avez déja
animaux que
Nous Iavons
*‘*m"'C'°"S
ou protéger
De
res sites,
tant
plus, j’ad~
**0*** *0*** ******8
.
I
sommes rmme-
pätir.
pense qurl sera un verrtable detona—
*8***···
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__
,
J8 Vl€nS de TGCGVÜIT votre lournal Bt En
_
JM3962Manrana
A
al
connaissance avec beaucoup d'intéJe ne puis que vous féliciter pour son
contenu et pour les nombreuses informa,t·
b~
rons ren fondees qu rl nous apporte sur
das sujms de brmame actuamé Bt en
pris
rét
Jeté ä Ia p oubell
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/«0ue fartes-vous pour lenvrronnemenn Baron von
Th $9,,,,
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généraltres controversés
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888 88 8 °'°*°"*8· 8* *88 *8**8**8 **8*** *88
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bien requ votre Journal et ie vous en
remercre.
·_
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J,
ar
-
8*/ett
-
avec rntérét car
vous, et en plus
il
ie
est
’
**8** ***8**-
Malheureusement, je suis tombe sur la
lettre de Franz Weber eu Baron von Thys-
*8**8 8*88 8*
sen. Alors
permettez—moi de vous
la,
dm
qm Sms *0*** de
*0*8 @0***18 leurersletéeé ta poubelle,
nm;"·b°“"
'
8*‘"8'**8"‘8'8‘**8***8****'8****°***·
e
.
.
ll
mer ma protonde apprecratron pour votre
journal de rum 87. Etablr avec une ri-
n’a rien recu en reponse a sa lettre,
Personne n’a envie de répondre a une
il procure des
elements rndubitables, rares ou lmpossi—
bles a dénicher dans le monde des médras. Merci de votre travail et de celui de
lettre
que
rédigée ainsi,
la
vérité.
l'homme, et
il
méme
elle
si
ne
dit
y a la vérlté, il y a
y a la maniere. C’est ce
Il
mélange qui fait Ia vie, et il faut le porter
au plus haut niveau sion veut des résul-
votre colleberetrice.
mire votre courage et votre détermina—
ne faut pas que Franz Weber s'étonne,
s'il
gueur toute scientifique,
les
*°"“€")°‘ Les
gren entendu, nous nous
Je tenars depurs Iongtemps a vous expn—
Mm·_F|·ndmß_„°b·n·ImGun".
entrepris pour sauver
ausg du
'mpF°c**b*es'
.88*
M”d'”'” AL
mwmiu
cMs„„Mi„.
vous etes, cher Meeereur Weber, parmr ces etrss eclerrés, erierere per Dieu,
tiens tout
Sm
cOU*ag8·
et que Sql ne mS_
pecte pas les regles du jeu,
Et
Je
*°Uma*
es
NOUS. VOUS
**8**8 °3**"*8
Mem
S'mp*‘°’m€"*
_
faudra
ne comprenne
mut
bien et la joie de ses enfants terrestres.
pour présewer Sa bene créationl
mt
est
probablement attendre bien longtemps
pw
Bt Harmonie,
.
de
Uma *8 nous a
ll est regrettable que |'homme, uanimal
doué de raison» lparfois on en doute!)
mette tant de temps ä comprendre ou
ll
.
8·
*
qui refuse l'inertie générale et s'insurge
réside son interét a long terme.
8*****0**
af ‘d%€*
peer temer
tel
,
mm
menacant
nom a
Ieur mieux. Votre
aümseä Fh°S8§‘
phu°$' Ia magmmue
UU°*°.d
projeter Ieurs propres
defauts et noirceur sur ceux qui font de
_
du
de pouvoir
de
*8***
****8, *8**
*°“*°*"S
$****5 $9*8***
est toujours tres plaisant pour les imbé—
.
V‘c“1:e a Delphes H 85*
mama ma
avez été victime est une monstruosité. ll
.
t°,Ut8s “°s*€*'°‘*a*‘°-ns po"'
****0***
*/*)}*8
diffamatoire dont vous
,.
.
d,
TOut
~
sadique de quelques-
unes, [ou encore au
screntrfrque;
~-
··
dedgmr Bt deldomb
dmrué;8 plumt
**8*
ce §¤¤**¤¤i¤¤rS es 3*8**9 es qu'
nos
'etlpossrble de
räursj?
I
de
fin
comme de nos lours,
dmueufsl Ia Iumiém n·a pas pu SB faire
jour: l'h0mme a préféré désintégrer et
ou
Heureusement,
,
en
lui-méme,
détruisant
Comme: Malheureusememl ä yépoque
***8**8***
g pgsga gäogägäns
Alpin Vgurhgyg 1205 nenne
,
D68
Sößßögé, Düllüé 9*dé***1** S8 plörtéte, en
se
lin ruéacigiéaragrg
espere qui
·
_
Nikola Tesla etart probablement une en·
1
campagne
La
la
en jeu.
bouc émissaire;
***8***
’
etre bien drrnene de faire
plupart, sont
matrere, cherchant des
Ia
appns wurquvr
r
choses et les gens, surtout
envrronnement; une scrence unrquement
la vie, la loi
tg
les
tournee vers
nelle force éthérique, Ia force
**
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den
ll
8******
meurent.
‘
·
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p,a„,W,,;,,,,;
Paul Gottnux, 8061 Zürich
·
GiIb•rtI|ug•,1MGli0n
tats.
pays totalrtaire. J ai ete scandalrsee
d'entendre le speaker nous informerqu'il
s
'
pelle crise cardiaque
uualquas raactmns
ou
grave? H
**aV8'*pas***8·q**8l8888**8
Je respecte ce Don
notre héros national avart faut une crlse
l*8*_*8 *0*•38'pub|lque.‘
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Le cas etart conté
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‘
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*888**88 888* *8 *89*8
?c0|0g,e_ N'8n
mm
peuple n'aurait pas pardcnné qu‘il soit
chose ä son Franz natio-
l'H¤sto¤re, alors
que ses opposants, eux,
seront bien vrte oubliés.
Iopmmn
grande acnen, subgssam
stress, _Ies querelles,
la
fanguel re
peut étre
reelle-
ment vrctrme de ce grand mal qui
s'ap-
pas moins quqm
_
_
_
_
_,
Le 30 rum dernrer,
re venars dallumer
mon poste de tele et far cru tout d'abord
que
la
'
-
·
~
méQalomanig humamas
,
.
.
.
scene avait été filmée dans un
.
Sr les poltcrers avarent
SOS
nmalmene de
Ia
recrsme, et autres lnstrtutrons drtes
carttetrves, auraient
Mnimgd D•f¤r•|„Vugd•n3
intgrnetignalg non plu5_
Chacunlel de nous salt qu’un homme de
Del pnes en Grece car dans la plu art
—p
des cas rl a tnomphé de la betrse et de la
°
8** 8*******8* ***8
pada puma
Hal,
Verbier, contre le massacre des
bébés phoques au Canada, contre la
construction d’une usine d’aluminium a
*8*** ***8** 88***8***8
.
temps
pon ä
*1**8*-
88**8 *8*'ll 8 6***6 tou-
(Juichotte des
s'est battu contre la vivi-
section, contre Ia construction d’un alti-
aurait été
l0U*S des adversarres polrtlques tres fa-
[
«
l
,
8***8
homm8 d8
.
errrve quelque
.e
q ¤'¤tt
D8
*1**
rl
8,***8 8*******8
.e...__
;¢+;»;2
de Franz We—
infarctus et qui
Une premiere question se pose: et si
cardraque, qui en porterart
r_·‘,‘
I'arrestation
peut étre déclenché par une violence,
une action brutale ou une prise de corps
_
;f;Zt%Ä'§lE¥§§‘
de
s'agissait
'
cris, fT'l8lS voile,
blartche et,
de
poussé
les
hauts
M. W9b9l
est
surcrolt,
est Suisse,
il
de TBCG
alors les pharisiens se sont tus, car nul
n’est prophéte en son pays.
Dany Gott•t,Grand·S•conn•x
‘
18
N··2
-
sepr.r0ar.rNav. 1987
Journal Franz Weber
,\,
|{|
Cöte»,
a d'abord obéi aux convocations. Plu-
nous avons vu
sieurs fois.
Ia
rendre ä l'évidence qu'on
A ,·,,8,,,B 0,, F,a,,, Wehe, es, emmené de
comme
fou da,,,,€,€,,X pa,
,,,,
traite.
iant de bétise, de vengeance, de vulgaJrte, de méchanceté ne peuvent étre que
ra
emae
po HCB Vaudose,op
,,
9,,, s8 d
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es,
qu, es, da,,gB,,,,,,X?„
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tranquilles vous pouvez
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faire con-
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Gu Ses détracteurs qui ne visent
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en revanehe[ des;
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que ces démélés ne relevant en aucun
cas de ,8 cnminalité
de s rntroduire de force et
par effraction
dluf] gg.
Our a sauve Ouchy. Qui a
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donner
lu;
lui
et le transporter
dans un fourgon de pgligg
militari
comme un homme dangereux' Ieur parait
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° 8
‘8u"‘:’
8 88**8 C*a“?us'
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***8* **8* 88 V*-*******8. le magmfrque parc
uu""°‘ Qu' a ¤r¤¤¤r¢ au peuple Vauums
le droit d'initiative cantonale, ainsi
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pas cneisir pour
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verdicti populaire défavorable
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de plus, peu gloneux.
Gilbert B••clm•Id Al•un«|r• Bldgud sg.
m_
1.,,,,, D,,,,,,;I °,{,,,•, ¤•,·,,„,,·,,,•I'
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pendant deux ou
tiroir
mais sera Isoumise-au vote
dans les sex mors. Et c est le citoyen qur,
par son
initiative
«Sauver La Coten a
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probleme
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QUOI? Franz Weber arrété et emmené de
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Actlon Directe,
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médusé?? Que
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offensive de Ia guerre psychologrque que
lui livre une clique d'arrogants errivistes;
edeptes du slogan «aprés mot, Ile
luQe», en ce qui concerne l'envrronne—
,
*|,R.A..
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Mars non, c'éta¤ent des gendarmes et
.
des sens de le sureté. venus eocercler
Qörtgsteru, apret
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On aureit pu le croire.
I
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dans sort egul e 8orun compte rendu «life» de la
I
le tracesseit
ki? Etait-ce
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unäemnaga con-
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de
rtennr, cétait Franz
blic
MMN
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comme
recevables
des
tous bords. Mais Franz
Weber
est convoqué en qualité de- prévenu et
du rrt0**d8- J8 p8**s8„
Monsieur Weber, que iunirgrme dg la
«***8***_8* *8 futur
M°us'8u* W8
_
888
_
II°*·
_
-
_
*8 "8's ****8*
8*8** **8**8 88****8 *8 *8*88
88
°
8*******
|
**u8* 8 **8**8 **8***8-
V888
8*/8Z_***8**_8Q* 8** **8 *8l*******8*** **88
V
8 °°u" uu' 8"°'°u* 8*8 u8u8u*°8_u8_88‘
foncer votre porte. Ouelle abennnatrenr
I
**8**8*8*8
8 **8**8 8**88*8******- 8***
.,
I
sants
_
_
victoires sont génantes, votre cou-
Les rrnagasr
.
ses installations.
,
plaintes injustifiées provenant d’oppo**8**8 8**8**8 8** 8**8*88*8* '8F8*""*8*** *88
.
*898, volonté et persévérance sont re-
_
d'admettre
_
‘|
pas possible que notre polrce a rsse am·
sil C est une chose lmpardonna
Q,le et qui
—
·
nais' indépendantiste corse' irlandais de
,
|Q
l
.
aarnas
,
débat sur leurs effets nuisibles u°ur les
véséteux. *88 8******8uX, pour ihomme et
citoyen «ordinaire», la justice refuserait
_
_
a I'aube du XXéme
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un citoyen comme les autres. Car pour un
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garantie qu’une terie initiative ne der-
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pas ä celui qui a voulu donner un visage
plus humain ä la justice vaudoise et qui a
tions futures pardonnent a Ieursancétres
$0**81 88**8*** *1**8 9*888 8 *18**8 ***8*8*
drorte 8C*r¤r*_ polrcrere. Vous 8*/8* 989**8
des Svrripothrseots que Vous rt 8*/*81 D88
osé remettre en question les privileges
de ceux qui disposent d’un pouvoir quasi
vous.
absolu. Voudrait-on
Quprtd
8*/8***0%*8-
audace? Sachez encore que Franz Weber
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9*8**88 88** 8**8 **8**8 8***8**
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nonymat. Veuillez nous excuser.
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Nous sommes outrés devant ces
méthodes dignes des pays de Est. Dans
.
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connaissance, n’a jamais dü subir ce
sym-
pathie.
(rung scrgncg sans conscggncev
Franz
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Veuillez accepter ce témoignage de
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en Union Soviétique ou en Pologne contre Monsieur Walesa par exemple, qui a
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des iuges rmpartiaux, rien d'autre en
Vous etes PÜUY Aventure LUITIIn8U$8_ Ils
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semme que d’étre comme un citoyen «or—
des bafbeiés pendant quelques dizaines
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**8**8 8**8* 8** *8 ***8*8**** 8* ***8*8**8 8
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la
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V8u_8 88**** 88 888 8*8988,8* s¤r*¤¤*
une chose décidée d'avance. Aux convo·
sortel IlIfaut que quelque chose change.
le
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a dü se
il
faisait per-
lui
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veut sauver ce qui reste de nature ou les
pollueurs-bétonneurs dont aucun gendarme n'ira jamais casser la porte? Franz
«La claque pour
8,88**8*8
dre son temps et que I'incuIpation était
recours.
déchets radioactifs... ä garder derriere
milliers
fois
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de
plus possrble
Merci d avoir
qui amoncéren, des
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Mais chaque
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lexpressron d une sous-humanrté.
,:,3,,,
,,,c,,,,sC,8,,,sI 0,,
_,
,
-
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l’autre soir a la television
menieredont Ia police vaudoise vous a
«Sauver
Vinitiative
faudrait plutöt crier «La Nature,
il
Ia fln?» et
W
C’est avec stupeur et indignation quer
‘
f,,,c,„,
a propos de
ceci
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¢0rr**qu8 *lu8$****8*** ¤****888*8****8*-
H-$„B•*I••r*tlrrrl•**8•r*r*•
cette affaire, et prie pour que les généra~
faire
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octes commis aujourd’hui contre
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lui
*/8**8 8*¥***'r **88********8**88***:I*;
*2*2**,mI.
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0**
lit
I
dans la presse «F. Weber, la
0u bien «Le claque pour Webenr,
Vous
‘avez bien raison; je vous félicitel
Pensez toujours au mot du poete suisse:
«Notre peuple aime ses idéalisteslrr
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‘
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07.71,
Münsingen
Journal Franz Weber
N°2
p
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19
sep:./0¤t.n~1ev. 1987
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et d'essayer de faire, dans Ia mesure
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pas encore vu un personneliement,
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ve|antes.»
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Photos: Kevswne/rdz
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e déclare qu‘il y a une possibilité
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des 0VN|», censuré dans
pere qu’un jour, nous en seurons
que
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ment au-dessus du sommer de quelNuß, immeubies situés Ö
¤¤ ¤ ¤¤¢••}d¤•• ¤¤¤•=¤¤ breit d ¤v¤¤¤ et
j'ai comprus que ee emeustm ne
peuyeit pas ötre un eviun IißfmllT°“‘ °° ‘|“° i' |'°'"‘ d"°· ° °"
j'ai cligné des yeux ä deux ruprlsß
Jimmy Carter,
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ancien Présidénf
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des Etats-Un/S
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wir im ¤!•i•* |¤¤¤i·
neux, en ferme de
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prédicareur ä la té-
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de
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Dieu. En tout cas.
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|_|.,;|
|:|e2¥2é2F2é;*§*‘·
ils
présentent une
simiiarité décon-
certante avec les cveisseeux spatiauxp des enges, tels qu’ils ont ett
decrits
il
y a des millenaires dans
I'Ancien Testament.:
a
ie n'ai jemeis ste ee
cemact avec des extreteneeeee,
Mais quand on s'appeIIe :,1, cemme
moi
c’est déjä bien.;
W?
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nos t§t•s.»
u
escapade d’un week-end dans ie
er cons
tres etres vivants inteniqeme,
es e
mes alle i¤ V Y
eheee e grossi et s‘est r¤ppl’0¢|l6¤
iusqu'ä se trouver ä quelques 600-
„,;„„ dg mare, amdeeses de me
täte, Eeseite, sans que rien ne I'eneeeee, un eeexieme ohiet est errivé
de le direction opposée .. J'éteis
houleverse et peunent je saveis que
ie n'étais pas en preis ä des hallucinatious. En eutre, je e'6tais pas seul.
Mon manager Aeqete needee était
pres de mei et un repetter d’un maqazine da Boston ä preximite, tous
deux houche bée d'etonnement devent ce qui se pessait au dessus-de
.
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D/recrrice de /’édu-
journal té/évisé
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«Je suis toute iait
persuadee qu'iI y
e plus de choses*’'’°°°'''
°
·~
entre le ciel et Ia
terre que nous ne
pßuvuns l'imaginer d'apres tout notre savoir, pour pe-
raphraser Shakespeare etiiemlet.
Quant ä ce qu'i| en est concretement,
ie ne me Ieisserai pas entrainere en
parler. D'eiIIeurs, ie ne m'y conneis
pas assez. Mais, je I'ei deia dit, ie
suis en principe ouvene A tout.:
_
«Lersqu'ä le tele
ie dois Iire une
depeche qui rapporte une vision
ptmeg
temteeee 5 y
creire, Ce seraitvreimentdrele de
reneentrer ces &tres... uuoi qu'i| en
seit, ii y e tellement de chosos aiireuses en ce monde que I'on espere
Irenchementqu‘il existe d'eutres
Otras qui, eux, n'espir•ntpas qu'e detruire. D'autres Gtres dont nous pour-
rions epprendre.•
’
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N«2
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Journal
sepi.roa.n~1ev. 1987
Franz Weber
Fatima, Moilse, lkztterrzssage sur la lune
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GOITIITIG (*65 HUHQGS .
(Isaie60:8)
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lée de päturagesfdseuszseugair|
Vardeugdes
coeurs furent les plus forts, et des
velours étoilé, ils attendirent le
$iraclq)q;11,;el0n les prédictions
hpmmeq et hde
soigtäes
°'léd
“*“ S"' °‘ ° °‘
°'“"‘““
glots
ausge, re traverseria mer
ä S¤¤ peuple, les ISraé—
lites. Il y a huit ans, les premiers
hommes qui attemrcm Sur le
Lune yvirentdegigantesques
objets lumineux. Mystifica—
.-|
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dv Resalre fit danseme
SO]€1] ä Fatima. Il y aprés de
3180 ans, Yam/é, dans un
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mes con—
’est
un travail hors du commun,
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Le rapport d'Ursula Spielmann recoupe
naissances lntuitives.
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tions? Fantömes? Hallucina-
recherches minutieuses que je suis heureux de publier dans notre journal.
Dans cet article s’ouvrent des portes vers une meil—
le résu/tat de
tions? Dans cet article, Ursula
Spielmann tente d’établir un pont entre le ciel et la
ukseti splatupta
du
terre, entre hier et aujourd’hui, emrela foi er la con-
leure connaissance
naissance. Et entre les tres anciennes «légendes» bibliques et un avenir qui viendra du cosmos,
P/US 8V@”dlO$€ et P/US PVOC/le
Em, ct H avait ,,2511abimé
de s’annoncer. Les libres pcnseurs
du pays se répandirent cn sareasrnes et les punssants de l’Eglisc
etaient persuades que le Malm se
permcttait de vcnir hantcr les
nom comprähcmiony En cffcäalm
3*|
miraclcs-
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L8 phérwménc solaire de Fatima d’aprés um: photographie de I’époque.
Le point sombre et flou au milieu de I’image est le «soleiI» aux couleurs
;
A
Pas de place, ici, pour
image abstraite de pieu.
0ctobrc
«miraclc» est toujours la capitulation de l’entendement humain devant l’inexplicable. Dieu, qui est ä
Vorigme de tout, n’a pas besoin de
..
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ggrggläSleaicicsig
nolgesirrgiäqleäneoärgpiäjnfinäéä
V.
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fondée sur des connalssances prodigieuses qui
GC/äte de page Ef] päge.
«mi1’aClCS».
Non, il ne fait que régner,
·
Semi?/€·€£l:in Svndulre r;os Äoeurs aäsqiféésdirecteücnent
vers ui.
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En ,éamé,donc,iln„yapaS de
Di€ufait_ildcSmiraclcS?-
un créateur ä la fois
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Créateur,
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COl'lCV€ti feel et la
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Creation /nf/n/ment P/US Vaste et P/US
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€XtfäOfc/lfialfé
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lmaginat/On limitéé 8 pu
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,„
Pourquoi ce sujet dans notre journal? Un/sujeigui,
premiere vue, n’a rien ou peu a voir avec a na ure eq
les animaux? La réponse est simple: sans la destruction galopante de notre environnement, sans le minage systématique des fondements et du sens de notre
vie, le miracle du so/e/l n’aurait pas eu. lieu et le troisieme secret de Fatima n’existerait pas. En effet, les
avert/ssements cé/estes ont également pour cause l'ef=
fondrementdu systeme écologique planétaire. Sans un
changement profond de notre esprit et de notre comportement, l'apoca/ypse nous frappera, nous les vivants d'aujourd'hui, avec la précision d’une bombe ä
fetardement. Peut—étre notre rapport pourra-t-il changéf quelque chose dans notre maniere de penser et de
vivre. Voile POUl'qUOl NOUS /6 pub/lOI7S ici.
Fi-gn; Weber
l
j
V
i
'
éclatantes, qui menagait de fondre sur la foule.
Y
Joumal Franz Weber
duire le lendemain midi. Au petit
matin, la pluie se mit a tomber,
inexorable, comme pour tester la
tesse
geuse qui le dissimulait. Comme
par un aimant, tous les regards se tournerent vers lui. J’es—
sayai moi aussi de le regarder; je
remarquai qu'on aurait dit un dis-
furent des instants d’émotion effroyable. Tous ces phénoméngg
que je viens de décrire, je les ai
en ma-
attirés
70000 personnes qui
récage, et les
étaient venues
tenaient
se
la,
muettes, raidies par le froid et
Vhumidité, dans la boue jusqu’aux
genoux,
Vers midi, Lucia, Vainée des
que aux contours bien dessinés;
son éclat n’était pas aveuglant. Il
diffusait une clarté pure mais
de fcrmer les paraplnies, C’est
alors qn‘nn éclair déchira l’air, et
la foule vitunléger nuage blanc se
changeante, semblablc a Vorient
d’une perle. llne ressemblaitpasa
la lune par une nuit claire; il n’en
avait ni les couleurs ni les con-
former autour des jeunes vision-
trastes.
trois enfants visionnaires, ordonna
ou six
dans Pair
tres puis se dissoudre
ce que
propres ycux.»
«ll était désormais impossible
de croire a une illusion due a la
vision du soleil a travers un écran
tion céleste se reproduisit par trois
comme misc en scene pur un
maitre de cérémonie invisible.
Invisible a la masse humaine, la
belle
dame apparut aux
me
metres», rapporte le Dr Almeida
Garrete, Professeur a l‘Unrvers¤té
de Coimbra, venu en curicux et
tenais a environ 100
critique. «(...)
Il
.
.
.
balancer vertigineusement. Ce n’était pas dü a l’éclat
vrvace d’une étoile. Il tournait sur
lui-méme a tres grande vitesse.
Tout ä coup, la foulc poussa un
grand cri, comme un cri d’effroi~
.Rouge sang, le soleil se détacha
du ürmament (en conservant sa vi-
plcuvait a tor-
détrempaient. Entin,
quatorze heures artiverent (heute
A
as
se
blait
rents sur nos tétes, des ruisseaux
dégoulinaient le long de nos véte-
ments et
.
.
moment, puis:
«Jc
n’y avait
de brume; d‘ailleurs, le gis,
que solatrc n était nt flou ni voilé
mais brillait en son milieu et ä sa
couronne.»
«Ce disque brillant et irisé semtrace
.
.
En effet, il
de brume.
cnfants,
Jacintha, Francisco et Lucia. Elle
,
leur dit qu elle était la Reine du
Rosaire et Ieur parla pendant un
.
vu de mes
j’ai
fable; c’est
comme de la brume. Cette apparifois,
On
aurait plutöt dit une
roue lissc découpée dans un‘ coquillage d’argcnt. Ce n’est pas une
me-
naires, s’élever de cinq
les
V
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terre et
observés avec froideur, caleul et
sang-froid», indiqne le Professcu;
en conclusion de son témoignage.
Dans son
Marques de
l0¤r¤a¤t sur lui·möm@, Comme
la roue d’un feu d’artifice; ce faisam, il prenait toutes les couleurs
de l’arc-en-ciel. Nos visages, nos
vétements, le paysage méme, tout
prenait ces couleurs fantastlqucs.
On entendait les gens crier, on les
sil
voyait pleurer. Ce spectacle hallucinant dura environ un quart
,
d heure. Profondément émue, je
m°éCriai méme: <Oh Dieu, grande
.
est ta puissanceu
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des
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pmximif; du sol
l’épaule gauche._ Je voulus le saisir
lieux
nombrables pélales de f0S¤S•
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V¢ll¤l¢¤l‘ dll Sßléll Par qllamllés
6ll¤lm¢S-
De
gla¤d¢
lallle
quand
llS_élal¢¤l ¢¤¢0l¢ llall!S„ ils rapetlsSalßlll ßll
S6 l’appf0Cliam puls dis·
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Pollrtam, l0rsqu’en ce i3 octol°l7 le S°l°ll· dam ee dall$°
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lll "°°l°l° ‘l° Dl°“”·
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meléeeseme- Selele
de <lé·
‘l° l°P°lllll ¢l
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wir mie e <l¤¤Ser er serait presque
lembé t>¤lSq¤’¤¤e¤¤ observaroire
sur le globe tcrrestre n’a observé
d’eve¤em•=¤¤ inhabiwei a quelque
moment que cc soit.
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lllsqu aux Os se retrouvercnt dans
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lg rgljquat d’une cg·“é<l·e lel·e·~i=¤ee Se leeepi
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pays cathohque amére et bigot
aux débuts d’un siecle a cette époque guggrg peu
Aujourd’hui, soixante-dix ans
ZPIÖS, Ia plupaft dßs fßpfégcntants
des civilisations OCCidCI'l[aiCS désormais «éclairées» SOI‘lt ph|{Ö[
deuxieme variante,
"° '“ °°“‘é"‘° ‘?“ "°
OSC de masse. Ce n est pas eton-
partisans de la
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PlllS le Sßlßll qui. devcnu fou s’é-
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mai 1924 Plus le /1
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daiem [lu dies ri
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Lun de ces pétalcs mc tembe Sur
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·|‘;j¢;VE·;,§.:i$;|
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fourvoyer ensemble au point de
céder toutes en méme temps au
méme mirage'l L’hystérie peut
sans doute provoquer des évanouissements lorsque 22 hommes
courcnt apres un ballon de cuir et
que l’honneur national dépend du
nombrc de fois oü e b ll
ä Pénétrer entre dis
bois; MaiSVp¢ut-elle faire danser le
Slllelll Meme e¤>< yeex des perSolllles qui $€ !l’OllV8l€m ä dix
lß
vis égal¢m¢t‘l!l0mb¢l”
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smur, venue elle aussi en peleriHage ä Fatima: «(. .) Le soleil
sembla tomber sur la téte des
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fuclläli malälqlflllld
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_.;¥;§eÄÜEE·|*‘?·=:2éEi§§ää·ÄESEEiSiegi;ééégE5?2;äé:;:E2§§:;éäéa§z§Ä§;;€Iéé§=¥ä£E€§?;s;;;¤2¤2|sésérézäeégé|2§:;&.._
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intitulé
livre
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membre de l’Académie du Portu-
Pl=l!'lll$*lll¢ll*
·
iQ. ”A
V
de rotation), fondit sur la
menaqa de nousde
foudroyer
feu.
Ce
de sa puissante masse
heure solaire).
Quelques instants avant, le soleil
avait déchiré l’épaissc couchenualocale, soit midi
persévérance des pelerins. Amidi,
elle avait transformé le pré
21
N··2 ··sept.loet./Nov. 1987
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FGHCISCO Q'! Müll (dv gau 13 octobre 1917, ils rencontrércnt d sax reprrses une
étre Ia «Reine du Rosairv. Elle fl! «d¢lIIS€f» /8
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l¢ <<mlf6ClCV du soleil» de
Fatima ne serait qu une Psychggg
lle masse, un acces de folie epllee-
qui a exorcise Dieu avec le rmCipe du hasard et se consider-erelle-
tive?
plus hamcs connaissancä
Püurtarit est-il possible que
70000 patres d’yeux aient pu se
Ißlqtte tout ee qu‘il
llll
.
meme comme la mcsure de toutes
choscs nc peut pas accéder a de
l.·°Cl‘rCllr
dc l’homme, c’est qu’il
ne peut expli-
ZZ
N·>2 - sep:./oe:./Nov. 1987
Journal
»
jouer aux allumettes sur son baril
de poudre.
travers des objets «solides» et le
monde vitré et transparent que
nous percevrions nous semblerait
aussi réel que notre réalité d’au-
,
Nous comprenons peu ä peu
qu’une science sans éthique, sans
·
jourd’hui.
foi, sans respect pour la création
devient comme un génie hors de
Sa b<>¤*<=ill¢ ct menace l’h¤ma¤ité
Ainsi, la «réalité» irréfutable et
éprcuve que ¤<>¤S i><=r¤<=en fait qu’une goutte
d’eau dans la mer de la véritable
avons "““‘
dace de décider de ce qui est OU
’¥’°ESt pas en f°"°ü°“ de "°“° ’éa'
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comme un champignon atomique.
n’est
Surleohemin dudésert.
«Oui cherche trouve», dit sans
ambages Jésus dans la Bible. On
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11-—-—-——
·
Pasdesamts
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qui n’est pas animée par Vamour,
Vhumilité et le voeu d’étre au service de Vhumanité mais par la soit
de puissance, Varrogance ct Vob$°$$l°“ de dé"“i'”°· “°
Qu plutöt ne «tr0uve» jamaig que
dans;
cal-],
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fißllté dll Clßl
Apparirirm de la Vierge dans Ia cazhédrale marialecopte de Zeitoun, dans que cette retraite sombre et sans
lumiére.
les faubourgs du Caire. Le 27 avril 1968 ä 2 heures du matin, Samy
Le ciel, cela semblait évident,
Amour: vii la premiere venue de Ia Vierge. Elle apparut sous Ia forme
d’une clarzé brillante ä pres de dix métres au·dessus de la plus haute .n’a rienächercher dans le cosmos.
Puis Darwin est arrivé avec ses
80 et
eoupole de Ia carhédrale. Apparemmem, elle mesurait environ 1
resssemblaiz ä ses célébres statues. Une lumiére blarlche f70ttail au-d€SSl45 Sl¤8¢S, 6* ii 3 ¢hü$Sé Adam ¢i Eve
de sa 1é1e„ Elle portait une tunique bleu clair et les FVHÜS de Son visage dv Paladls- Uiüdustrlailsatioüs¢¤·
respiraien: l’am0ur, la sainteté et Ia divinité. Elle dppüflll IZÜISÜ réguliéfßfill, 8 alllülé *¤l1t¢S l¢§$_ petites
mgur jusqrßqu 6 juillet 1968 er délivrg d’imwmbrables persormes de leursq idoles éX¢li¤¤i ki CON:/Ol{l$¢s .q¤¢
m
quer comme étant une divagation
ou un miracle.Exactement comme
un uveugie qui affirme que le jour
est noir comme la nuit. Impossible
V
dc
lui
prouver le contrairel Sa réail ne percevra jamais
est noire,
rien d’autre.
lité
··
-
A|'°“a¤°“ m°'mk’·
-
y a plus de choses entre le ciel
et la terre que notre savoir nous
laisse concevoir, fait dire en substance William Shakespeare ä
Hamlet. Plus de choses aussi que
ce que nos malheureux organes
peuventpercevoir?
Comparativement ä tous les
phénoménes connus, les organcs
S€nS0l‘iClS de Vhomme en sont encore au stade embryonnaire. L’hoIl
mo sapiens, qui se considere fiérement comme
la
couronnement de
création, a par exemple un cerle
veau exploitablc ä 15% tout au
plus. Les 85% restants sont inutilisés et attendent manifestement
que l’homme apprenne ä s’en serObjectivement
parlant,
vir.
Vhomme en est encore au stade de,
Vobscurcissement mental partiel.
NOS Yßux ne font Pas b¢a“°°“P
mieux. Leur erce tion de la «réame visible» sg 1irnli)e ä un domaine
rldicule de 0,4 a 0,7 milliéme de
millimetre. Alors
que
le spectre
connu va du milliardieme de
X
milli-
Y
metre {rayons et rayons ultracourts) ä plusieurs metres (ondes
radios). Alors qu’ils remplissent
Vunivers, tous les autres rayons du
paysage infini des ondes electromagnétiques' tout simplement
n’existent pas pour l’homme. Si
nos yeux VO)/aient dans le domaine
des ondes longucs, nous verrions
la Sicile sans difficulté! Et si nous
percevions les ondes ultra-courtes
des rayons X, nous verrions au
il
comme
dépéce-
ll fl-
I’enfant qui
r
qu’elles constituent,
,
C’est 5 peu pres 3 cc mgmgnt
glorieux qu’avec son intellect arro-
HOUS 8<i0F0¤S 3¤J9“Y@ hw ¢°{“m¢
des dieux de substitution. Auiour-
souffrances.
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dc toute fa§o"= on S étan
idée
fall Ullé
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de
d¢ l'¢¤V¢FS¢F la
églisc de son jeu de construction
ct rggardqébahj, leg cubgs multi‘¢°‘°“‘äS en
9*** ¤¢
Pl“S.¤¢¤ de l‘¢s!·S·= ¤¤g¤¤¤l¤~ O¤·=
fßlalt i¢ $¢l¢¤TlflqU¢ ä la Pi8¢¢ de
Venfant? Il analyserait en profondgur ic vgrnig’ |a peinturg, [cs pmpl-gétés du bois, la masse, la den,
sgté ct lg poids des cubgs de Construction, ii [cs scgcragt pour cn
faire |'ana1ysc chimjquc puis gi cn
arriverait aux molécules; mais jamais il ne découvrirait l’église
l"“S
°‘3
f¤rm¤ ¤¤
nit assis la,
s’éloignait puisqu’0n ne le
Dieu
fait
¤i>i>rs>i<>¤di¢ i¤=em¤¤t<=»
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activité honorifique_
Pourtant, celui qui
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méme une
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ßl ißüls l¢léS¢<>P¤S ¢f,
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·<*@¢h¢“=h¢
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qui croit CIICOIC
Bible semble ä S68 ¢0¤*¢mP°‘al“$
d°hLll, Céllll
«écl¤irés»
désespérémw ¤¤if»
‘
ar-
P
une brebis qui ß justement
besoin d’un berger. Par contre,ce-
riéré,
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qui Croit ä la science reqoit la
considération de la Société, Obdcs
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90ll Une p ace ans la presse.
ccmptcr un fauteuil dans les débats téléviséslui
ansQ
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n’est pas
que
la foi soit
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en
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tmltrsupérieure ä la SCienCe.MaiS il
est singulier que tout le monde se
demande
quelle religion est digne
sans jamais sérieusement
mettre en doute la valeur du «savoir» que dévoilent nos professeurs au service de l’Etat. Ouoi
qu’il en soit, gräce ou ä cause de
cette idole impie qu’cst la science,
nous sommes arrivés ä un point oü
de
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·LJ-?‘·’”‘·‘*F??Yi?l’***=¥""7?éee..—.
°‘
V
une image qui, de nos jours,
ne suscite plus guere que des sou-
seuls la foi, l‘amour et l’espoir
semblent pouvoir nous sauver et
terre:
non pas
rires de commisération.
la science
qui continue de
·
“
Dieu régne d’en haut sur le ciel et la
;
·
Joumal Franz Weber
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öllemölldß Uiß R3¤l<¢·iJ€lll€m¤¥l}l
““l¢l“€m¢m Palm Qu elle avafi
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tout a l*}'t "‘"m'-*l€_°tAchf‘V"°ll€ cl
pourquoi
Saints: y cqmppis
Joseph et lvlarie, n‘existeraient—1ls
pas, en chair et en os, comme des
étres tangibles? Pourquoi le ciel
n'existerait-il pas, pas seulement
comme ia Vaguc prorngssc
au-dela meilleur et, en tout état de
cause, as comme un concept puR
‘
rement mtellectuel ou flottent des
étres immatériels qui connaissent
li}
ve¤u<>¤„
apparu,4 raubg du 7aorir 1566, une «mul1i1ude de grosses boules n0ires»
rem «dans le ciel» au-dessus de la calhédrale de Bäle «e1 s’envoIéren1 ä
lcaßlnllf laéf;Vf‘m° et le
gf
csllc ilmc Pal 6P C °·
"Ol
chose- Tuut Cellx qui ailßlldelll
lmpullemmenl
äge», POUF
Vel
noirs» gucttent et des supernovae
explosent. Et l’homme sc sent seul
et perdu dans le ventre d’un uni-
vers-volcan bien peu humain.
Le
dc riiernrne eerndes nee quer se ee„siee„e
comme la mcsum de toutes
ähoses. L’humanité tout cntiere,
°
achons-le, se trouve dans une
phase de ueuu eeeeieie et les uideeiin
tale dures d’un cempte eu benque
afl-ubléä d°“¤ P$Y¢hl¤*Y¢• ¤¢
¢*
sont pas ä la recherche de Dieu (ce
n’est pas branche!) ni d’une élévation mais, nom de Dieu, sont ä
Ieur propre recherche. lls font du
nombrilismc. lls ne veulent a au-
'
.
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La wclété 8
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cl"'
ue psrmet Pas de
équilrbre durable.
mamlcmr un
En effet, elle
OU Vé8V¢$§°· SP" é"°l"t‘°“
déP¢¤d de le dlV¢¢l‘°“ dans |“°
quelle elle reserdes _d¤¤S laquelle
3 elle veut aller et des idéaux qu elle
adoptc4
La voie que
.
suit actuellement
L'humamté fait l'crreur de raissonnement suivante: elle considérg [Qin cg qifgiig ng peut gxpiiquer 60mme lSSu d°u¤e ll‘¤Hglll¤·
(une
déwrey l°$ Vlmnes avanl N°°l·
ce n’est en tant que thérapeutes
et dans le but de gagner de l’ar—
gent.
Répétons-le, Vhumgnité suit
une voie qui l’éloigne de Dieu.
Croyez-vous en Dieu? Honnéte'“°'“· °“ f°"d d° "€’“‘· “‘Ü°° f"'
^*=Z·v¤··S Pre la B·*·*·= :=¤
main sens y étre obligé au moms
v=·1·*'
"u?‘ 5’JE;‘„‘駑$' il'
2·l.„!°;{„I§ „2L7ll2‘°§$‘?.'Z;Z§"iJZ
la
mmonté.
tions pénibles,absurdes, taboues.
Pour elle, la Bible rassemble
deux millc ans d’absurdités mythologiques, de légendes poussiéreuses, et elle n’a de toute faqon
ne peuvent conti-
Sum ,„ pqcgß
TYPE DE MYONS
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;<··*· *=“·=····=··=·.¤¤···¤·S? *’e····<“=
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lle}!
pouvons percevoir. S‘il existe un
ciel ou les «ämes» des hommes
vont apres Ieur mort terrestre, il
d()i[ bien avoir ung gxiggngg
sique. En ertet, une ärne eu un es-
“‘
.
llO¤ ¤O§lälglq¤¢ el_ObS¢¤fe au
iii
_§
aites-vous partie
'
s‘agrémente
d’un saint quelconquc assis sur son
nuage au plafond des églises.
Pgunginry (m sait bien d‘api•é5 [35
voyages aersens et les vols lunaares
que ce ciel n‘cxiste pas. Pas plus
cartes postalcs et
”
°
‘
«béaiiiudc,,?
Ia
pal'! CCl3, ils SDI]! lllUcroüte).
ules et lnmilläablcs h0"“‘$__P°“V
si
.
‘
tronqpettäi (peu conväincanésx et
HCCTOC C HU- eSSU$
cun prix sacriüerleur«liberté indi·
viduelle» (qui n’est jamais que de
Végoisme sous couvert idéologique) au service de leur prochain,
-
bertés» arrogantes et brillantes
dont elle jouit sont autant d°illu·
le chcmin qui ménc au
déscn qä oh tom nc Sera qu,aü_
Plupim des
la
hommes (JC la ClVlllS1lll0l’] 0CCld€|’l·
un univers inquiétant, versatile,
brumeux, sans vie, oil des «trous
'
·
ll
es VOll OHHS la
LeS d¤geSBible Oil lls $0¤m¢l'li dans des
piäfpäéill
U
ll}
VOUl3lCIl[ SOUll—
tres
8'··”·‘“ ”“
débfldé et imple la S¢l¢¤¢¢
¤0uS 8PP0l'i¢ des «dl¢uX»- Des
é¤i8m¢S ä lu pluce des SOlullO¤S;
des ll°|Sll'UmCDlS de flSSl0I'\, ct PHS
seulement dans le domaine de l’¤—
"l¢“" dl°l°" h°l’méllq“°
lOm¢·
«en haut comme en bas, en bas
comme en haut» semble étre sorti
des mémoires et, pis encore, les
scientifiques indifférents ont tué la
vie, ont privé la création de fantas~
tique, ont privé l‘hommc de la foi
sans y substituer la connaissancc.
En effet, que savons-nous des ori—
gines de la vie? lls ont fait du ciel
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N··2 - Sept./Oct./Nov. 1987
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bien plus nurnaane. Les guerasens
mimcuicuscs? On en fait aujoup
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Jésus mal'chant Sur les eaux? La rnéme
chose existe presque chez les
adeptes du New Age et, de toute
facon, c’est probablemcnt une allegorie- Deulleurs, yes évengéla
Phumanité l’éloigne de Dieu. Si
cette formule vous effraie —car qui
donc aujourd’hui ose parler de
spiew, (iiqrmis les eyqaques) et
llSleS_ Olli éefll l’hlS!Oll‘e de Jesus
avguer sa foi (A part Pirmin Zurdes SlÖ¢l¢5 8P|‘ÖS S8 |l'l0!'l• Cc ll CS!
byiggen) - vous eonfirmez vousméme la these du déclin. L‘huma- PBS ä PT¢¤dl’¢ P°l·ll' *T8¢¤l ¢°mP·
nité suit une voie qui l'éloigne de —tant.
Marie, •<l°lmmaculée ConccpDieu, et le mouvement du New
Age pmspgre ne {git pas arme items? Quelle discrimination en-
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C’est le Fuji-Yama de ljAmérique
du N¤¤l~ Url
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tués aux curieux nuages qui reviennent sans cesse «s’établir» aux
alentours du sommet. Ainsi, le 3
avril 1987, des centaines de personnes virent un «nuage» flotter
pendant plusieurs heures au-dessus du Mont Shasta. Il ne changea
pas de forme mais plusieurs fois de
couleurs, passant du bleu au jaune
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puis au vert clair. L’objet céleste fiJ
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par se dissoudre en début de
soirée lorsqu’un avion de reconnit
naissance de l’armée de l’air américaine s’approcha de la formation
nuageuse.
Rien d’étonnant ä ce que
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mée deI’airaméricainese soitinté-
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ressée ä ce nuage «inoffcnsif»:
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un camouflage apprécié et souvent
utilisé lors_ des vols de reconnaissance dans Patmosphere terrestre.
électrogravitationnel
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Yahvé s’adressa-t~il a Moise et
au peuple d’lsraöl depuis un
«nuage» de cette nature? Et a
quelle sorte de nuée Jésus pensait-
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il
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«Et alors apparaitra dans le ciel le
signe du Fils de l‘homme; et alors
toutes les races de la terre se frap-
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la poitrine; et l’on
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26
N°2
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Joumal Franz Weber
sep:./oe:./Nov. 1987
ou de gracieux étres végétaux res-
y a deux mille ans,
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un stade Cl”éV0lutlOl’l peu avancé.
Mais il exigteaussi des mondes en
ayance de milliers ou de millions
v0Iants», «chars
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3l1l1€€S Sllf le l10(f€.
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hommes, qui craignaient Dieu, tenaient un autre langage. «Nuages
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de feu», «nuuges
de feu» ou «roues de feu» apparurent auxA prophetes Ade la Bihle
ssait
su
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les
pirent, Dkiusresy enfin,Aou des ani—
maux et des etres humains viventä
de Palestme. ll s’agisbien sür des véhicules de
leAciel
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Jal&v}e,lleD1euAumque. A
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JÜJUCTIC, SHCl'llCg€.
“°"· sul "ch‘"$ de f¢“** et **50***
coupes vqlantcs»A ne fent que dé-
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Ce dermer cas est peut-étre dif—
ueue u imugmee Pququqe uqus
en sommes arrivés aujourd’hui ä cum I? mcmc Phcnomcm
un point ou il semble impossible De msms que uuus “° uuus uus"‘
aux hommes qui peqsem et qui dnons pesäce que la soucoupe du
Voieut dc poursuivrc Ieur develop, petit déjeuner decolle de la table
pement parce que la fin de l’huma- ‘F°"“P° un OVNL ll “° laut Pas
‘mu8"}€V lß “ch“" de f°u” wmmc
nité tient désormais ä un bouton
rouge. Aujourd’hui, le «progres» um d‘ll8¢¤¢¢ ¢él¢S*¢ ¢¤ lAl¤mm¢S„
a toujours un arriere-gout de des- tués Pur uu uuclagc us suuvaux
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vers Vanéantissement.
Prcmlém {ms? u Y a qualafltc a“$•
truction.
graviiatiomielprobablemeniemployépar«Yahvé».
des mondes beaucoup plus évo-
lcs
que le nötre, ils sont
ment dsunc uuue nature-
“°"'¢ ¢l¢l d¢P¤l$ <l¤¢ l¢$ hommßs
ont Ia parole. Dans les ancigng
écrits sanscrits d’Asie, ils s’appelIent «ventIa» ou «viemana», ce qui
c°"°sP°“d ä P¢u prés Ü “Véhl¢Ul¢
cél°s‘c”• "ch‘“ de fw V°l¤¤¢•
construit et se déplaqant tout seul»
Israélites traversam la
On
apergoit
au milieu de
.
Su¤tede|¤p¤ge23
,
Nous
les
A
voyons parAnu1t claire
nous envoient de loin
mauué lcubas hauuc dans le "‘us'
scau spaual Turm- P‘{'u°“· sul la
planete Terre.
quoi pensait Jésus cu Pauum ucs u°"?u'°us°s u°‘
ufcurcs dc la miusuu uu Puls s‘c°
une «forme» ou une
autre. L’individualité requiert une
forme, uu ca|icc’ uu contcnant
dans Iequel elle puisse s’exprimer
et se distinguer du reste. Elle se
manifeste donc «physiquement»
mémc si e·est de maniérc plus Subtue que ee que uqus equuqissqus
Par conséquent, le ciel ne peut pas
étre un concept purement intellectue! etspuuuelsaus existeuee phy_
A
"
cst
Notre seule galaxne, la voie lactéua °°“‘P‘° ‘lu°lqu° u°u" °°"‘
de systémcs _S<2'¤·r¤S- Et
les galaxies s0ntAdes milliards dans
univers, dont
l
A moins que le ciel n’existe pas.
Mais nous allons prouver le con-
uuu
les
usm
su’f l°‘s
“uu‘u°s” ·
u°
·· S'
uf P'°uauu_"é st
A
deuxiemement, cette vie doit y
avoir atteint des stades d’évolution différents. Il y a des planetes
ou la matiére originelle eommence
ä peine ä se rassembler. D'autres
y a beaucoup de demeures
dans Ia maison du Pere», dit Jésus.
si, le
“PP‘"u€m a mim
régnerait, et des galaxies entieres
l°u_ ct
qumiem
longtcmps
avait été apporté par le puissant
anéantics pur la Plus giqautesque
guerre des étoiles. Ainsi, l’existence méme d’un univers «or-
Ravan; ce char aérien et superbe,
qui vbéü abs?lum§{“ ä la V°l°'"‘-‘·
depuis
ete
frér¤„
“
"°"°
°st A
u‘sP°s'"°“-
ll
'°s§°m‘
A
innombrables corps célestesA et,
«ll
dans
donné» indique que Dieu existe et blctä u" sr;¤d quasildjins ac'? et
··
·_serouveansaviec na.»
u
gugulassmiuruüegscäuggsässguäé _Toujours dans le méme ouvrage:
«Le beau char céleste avait un
ra onnement de feu»· «comme
unye comete dans le ciel», «on au¢'0SfÖY|N|ÜNSO|'|
rait dit qu‘il y avait deux soleil; au
pagsons dg Ia théorgc ä la pmuque. Y a-t-il des phénomenes qui
permettent de conclure ä l’exis-“‘‘”
traire.
gpmnj ggg
Véalllé
cules célestes préhistonques. AinRamayana raconte: «Le char
d€»P¤*P¢¥¤• 99* *'¢$}¢"¤bl¢ ¤“ ¤¤·
ble, serviable. Sinon l'anti-espdx
nen ne lmsse entre~
bnllqm ¢“
pour eqe habue_ lsunivcrs doit
eqe bon, plein d‘amour’ sccoura_
rien.
A
OVNI
°‘P°u‘” la
Ou encore "Pslals V°lam”· Lc Ra'
mayaua ci le Mahabhamia $°m
dc d¢$“lP‘l°‘{$ d° "éhl‘
.
que nous, bagarreurs
aux autres Pumétss m"°m‘
sique_
force-
Pluuablculcut aPPaVus
«plus saints»
et bons ä
ciel», meilleurs. .
brables?
A
existe
plus dévcloppés quus les choses
dc famous- du eqeur et de lsämc
Ces étres plus développés sur leurs
étoiles plus développées sont donc
aussi fqreemeut «plus prqehes du
Ieur paisible lumiere étoilée. L’hu-
fester sous
S'il
lués
_
lorsqu’elles
eqmme emues qis_
quetes qu~ä eqqqmqq qe se mam_
quer ä vivre
_
Sur notre planéte, il représente toujours un pas de plus
mer Rouge, Depuis son nuage, Dieu sépare les
Villustration un objet en forme de tuyau
qui descend du nuage, représentaiion ä peu pres correcie du rayon antiLes
eaux.
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tence
souriez, bien entendu, de
ces curieux objets volants qui Surgissent dans la presse quand
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extra-terrestres?
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d'étres
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l‘ac-A_A|.‘AsQ|.
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calme. Mais ne criez pas
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ciel.
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1e°i“‘°
”‘'‘|‘:'‘’‘
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c’est
homme qui a mené grand tapßge
autour de ces «ob]ets volants non
identifiés» et qui en a fait un spectacle tape-ä-l’0:il. Loin de Dieu, la
société en déclin ne peut que plail
Ai
ä
,
au blaspheme si nous établissons
““ ’“PP°“ °“"° °°s s°“°°“l’°s
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A.
santer sur les «petits hommes
verts» ou en faire des films hollyu
Y
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woodiens, commerciaux et vio-
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«La rremiéme année, le quatriéme mois, le cinq du mois, les cieuxs’ouvri~
·
A
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~
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-
‘
esprit
_
-
·
de lhumanité parle
gang ambiguité; il 3 baptisé ggg
i
i
A
·
rem» devant le prophéie Ezéchiel, qui eut «des visions divinesil. Josef F.
Blumrich reconstirua la singuliére apparition déerite par le prophéte dans
un Iangagejleuri . . . Resultat: une machine semblablc ä HH OVNI.
inexplicables disques volants «soueoupes volantes» puis, plus technocrati nement «OVNI» abré-
viaiionqiom auggi dégggpéréi que
mommm
dgng ks deux
«S|[)A»)’
cas que |’h0mm¢ y ii perdu son
latin,
Photographie d’un objet volan!
nogidergüi;p;ise1;ar0;?¢;;>e;rKeqON GM
H8 y pr S
H iana Robert Kennedy, le policier Robert
Glentser et d'autres témoins viren!
un objet se mouvoir par saccades,
s'arréter brusquemenr puis repartir
en silence.
JOUl¤8l Fl’8¤Z Wßbéf
··
AA
miné tandis qu’ils montaient.» Ce
ne sont la que quelques-unes des
centaines de descriptions fantasti-
leil. Samuel Coccius, astronome
de Vépoque, raconte que le soleil
avait soudain rapetissé et pris une
couleur et une forme inhabi-
ques d’OVNI dans l’Asie antique.
tuelles;
firmament. Tout
.A·
Q
N°2
-
le ciel fut illu-
A
’
Cicéron parle de «boules dans le
ciel» au 43e chapitre de son Iivre
«De Divinatione» et Julius Obsequens de «deux écus de feu» dans
son «Prodigia». On retrouve cette
derniere description dans Eschyle,
.
1
Plutarque, Séneque et Valerius
Maximus. Yénophon, quant a lui,
distingue au 13e chapitre de son
A
A
A
A
·
A
«Anabase» des «cloches»,des «assiettes» ou encore des «moules».
Le chroniqueur antique Lycostene
mentionne «des croix et des barreaux dans le ciel». Dio Cassius
rapportc que, lors de la premiere
invasion de la Grande-Bretagne
par Aulus Plautus, en 43 avant Jésus—Christ, un objet rond avait traverse le ciel d‘est en ouest a la viresse dg }‘éc|air_
d‘Alt-Nürnberg
journal
Le
parle en 1561 de «boules», de «disquesss et de «tubes dans le ciel» qui
«avaient dans leurs entruilles des
·
boules au nombre de trois, quatre
ou plus et ont été vus au-dessus de
la viIle».
En
-
·
1566, dg curlguggg bgulgg
perdu brutalement
sa force de rayonnement et semblait leurer d’énormes outtes de
sang.p Toujours selon get astronome, beaucoup de grosses boules
noires avaient été vues dans le ciel
le 7 aoüt avant le lever du soleil.
Tout ä coup, elles commencerent
ä voler ä grande vitesse vers le soil
per.
avait
.
est écrit: «Je vis ensuite
ange, pnissant_ desccndrc du
enveloppé d’une nuée (.
voile commence ii se dissiet l’on entrevoit déjä que
et Vimagination orientale par des
compris comme
comme de
d0llc€S f0ll¢S,
conce
vinrent rouge feu et disparurent.
Mais la Bible regorge elle aussi
de paroles de prophetes qui ont
trait a des «objets volants non
identifiés». Nous en reparlerons
Comme
ä peu pres par «entouré d’un obUne phrase d’Esaie (60:8)
confirme qu’il ne s’agit pas de vérltables nuages: «Qui sont ceuxla? lls volent comme un nuage.»
Zacharie (5:1) parle d’un «livre
qui volait»; les livres sc préscntaient ri l’époque sous forme de
rouleaux et rappellent les vaisseaux spatiaux décrits comme des
«cigares» aujourd’hui (cf. encajet».
plus loin.
d’abord
Voici
ré-
quelques
.
I
flexions sur la langue: dans notre
langage moderne, le «ciel» de la
A
b'
Bible deviendrait «espace», «cosmos» ou «univers». Et les «anges»
d’hier seraient appelés «etres de
l’espace» ou extra-terrestres car
<<AlorS que les OVNlSont en ge-
bien cc qn’i|s sont; des érrcs
venus du cosmos, de l’espace sur
la terre. C’est la pluspart du temps
pour apporter leur aide ou annon-
néral décrits comme volant en silence, certaines dépositions sur
d¢S disques VHS ä lféä basse altitude paflent d’un bruit vrombis-
destruction prochaine du
Sant 3l'lHl0gU€äC€lUldAUl’lessaim
c’est
cer
la
ger de Dieu» en grec. La Bible
rapportc plus dc 3()() (:35 de rencontres entre des terriens et des
aoüt au lever et au coucher du so-
anges.
de
étres
d’abeilles,
Certains soldats durent par la
suite faire traiter des brülures de
degrés divers. Des brülures analogucs ä celles de Molse? La
méme irradiation de chaleur que
celle qui avait séché les vétements trernpés des peter-ins de
généfatcur
Fatima?
d’un orgue ou d’un
tournant rapidem¢¤¢»„ lilconte Adolf Schneider
monde impie. C’est pourquoi le
mot «ange» signifie aussi «messa—
sont apparues au-dessus de la ville
de Bäle les 17 et 18 juilletet le 7
tlä.ll’lS
8118
Les qeposltlons sus les OVNI
pqrlcm également dslmc subS_
S0l1llVfCll1lllUlé «B€S1lChCf
dem
All>> (les visiteurs
du
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OVNI
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de <=¤¤o¤» qui atrsrrirem sur
‘°"“‘°‘"s s €‘°°°‘d°“‘ ä
que ues lumleles
ulaneues °‘V¢l1¢$S¢W¢¤td¢8¤i·
dagc eteffectuentenviron 10 rorations par minute dass le sens
lnverse des aiguilles d’une mon-°
A
AA
AA
.|1|=‘=*|ÜA
;‘|AAAAAAAss
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Lg sphéuomeue sqleue,, de
Fatima n’est qqqe pas umque
A
.
A
A
AA
puisque les visions d’OVNI s’ac-
A
A
A
de
.,
..
héncménes
Semblablcs tout qulgul. qu glebe
UFO
1
Evjdeucw,
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sples Sllgglgld
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dant un match de football, qu’il
interrompit d‘ailleurs pendant
plusieurs minutes Apres sa disd
Pau ‘°}‘* ¥‘“° ’°
mue d alalßnee se {mms dans l¢
°l°l~ D°aP'eS l°s sP¢°““°“1S °*
les chroniqueurs elle se transfvrms en uns plilis de «fl¤co¤S
A
|lx
g
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urö|
le
AA-A‘'AAA
AAAAA
(les
OVNI
exlsteut)
declare queleg visions d·QVN}ä
faible distance s’accompagnent
souvent dc lqnes lrmdlatlqqs qe
chaleur. Un cas fit-la une des
Il
que ces Aseheseux
q•snge»A [me masse asaelmécnnc
ct géAamcuSc’ tlombcm souvent
semble
längsi?iA:silwEii:r$ll1lsAseri1AeAriicA
¢lAuriAe
A;
;;
llqeqmleuse blzasse
tqqee
cosmos). Les personnes proches
des rouvres de Fagma avaänt
l’espace, c’est-a-dire des
A
EQ
occidentaux
ts
«envel)oppé diunß rnré€,, sgpriräsgt
des absurdités mythologiques. Notre religion doit enfin se rappro—
cher de la réalité au lieu de bannir
tout ce qui est religieux dans le
ghetto du surnaturel, ä ne pas
prendre au sérieuxLes anges de la Bible, c’est—ädire les étres de l‘espace, conduisaient presque toujours une espece de véhicule. Dans l'Apoca—
comme au combat. Beaucoup de-
.).»
Remplaqons les mots symboliques
.
des é isodes
vrais et bien réels et ngn pas
étre
ciel
.
événements bibliques doivent
les
Certaines s‘entrechoquerent
leil.
lypse de Saint .]ean,chapitre 10, il
un autre
ÜUÖB-
Le
27
sep:./ocr./Nov. 1987
-
rolrs, les
les
arbreser les chaussées.
U"° puue de
,
l¢$P¤¢¢>>
r
Pralo
¤_¢
"°°‘°“ "°““ de
lßmbß également Sur
S¤•=¤¤¤- Giqvarlnl Carl-
Herb dlreeteul
mique de
fl¢.l°l¤$lltll* ¢lll·
l’Unlversité
de Flo-
rence ydécouvrit du bore, du siuelumealelulll es du
äuu° s
s“““·
ment macromoléculaire et filif‘Z"“°·
n
E"
est en mesure de dire comment
cette mystérieuse substance est
f?b“‘luee» eemluem ¤ll¤ est u“‘
lisée et
pourquoi
elle
tombe en
lournaux brésiliens. Le5novem-
Ces «cheveux d’ange» sont ap-
bre 1957, un OVNI s’était epproché de Fort Itarpu sur la cote
eSl du pays.Tous les postes de
garde furent d’un seul coup la
PT0l¢ d’une chaleur étouffante et
lc courant fur coupé-
parus plusieurs fois ä Fatima
mais aussi en d’autres endroits
de la planete. Quelle pouvait
bien étre la nature de la manne
A
in
E;
AA
ga
EA
du vaisseau spalial vu par Ezéchiel: qelui-ci décrir un
objgr rsssemblam d uri rröne omemenlé, apparu au-dessus du temple de
Une autre
version
Jerusalem, et des roues s’élevant dans le ciel.
‘
que Yahvé
fit tomber sur son
peuple affamé dans le desert?
28
N°2
-
scpt.10c«.11~:ov.
1987
nuée, mais aussi les ténébws;
¤¤¤rS dk édaira la wir- Et V<>¤ ¤¤
dré), Esale (14:29, 30:6) parle de
«dr¤g¤¤ v<>l=¤¤¢»-
S appuächa Ras
Mais ¢’¢S¤ EZé¤hi¢l qui a twuvé
le ¤¤m„l«= plus clair er le mieux
adapté pour décrirc des objets volams ¤¤ vaisseaux spmux (EZ1): il parla de·«ro¤esm¤biles»». Sa
description bibnque
est cenes fleurie mais elle est si
démnrée q¤·«=¤¢ a ¤¤sp¤ré ¤¤ Iivre
E?
‘<=
P‘“S
P°“P‘°
°g‘“’¥
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y
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-
fmmcm
unc "““é°”-
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am
comacts avec les oyzw, ausg permission de la prgmogmphzw le 26 ;„1„
1975 alors qu’elIe étazt en wsne dans I'0berIandzuncho1s.
<=¤—
échappe
il
ainsi ä l’attraction
Le champ gravitationnel
nuage autour du vaisseau tandis que la masse nuageuse
toume autour des lignes de force
du vaisseau. Elle dissimule donc
durablement l’OVNI ä la maniere
terrestre.
HS
stabilise le
P°}“’a‘°m a‘PS‘ marchcr J°“’_ er
“““·”_ D°P“‘S S°“ nuage-_D‘°“
wndulsalt °" mum Séculué lc
P¢“P‘¢ °“ °x°d° Vers les mes de
Me? R°“8°·
d’un volle enveloppant. De plus,
les remous qui se produisent autour de la coque du vaisseau donnent ä Vatmosphére l’aspect d’un
nuage puisque toutes les impu-
«L’ange de Dieu qui marchait
cn avant du camp d’Israél partit et
passa sur leurs arriéres. La colonhe de nuée partit de devant eux
et se tint sur leurs arriéres. Elle
s’ir1séra entre le camp des Egyp-
de
poussiére,
etc.) sont aspirées et tourbillonnent autour du vaisseau. La nuit,
rctés
ticns ct le camp d’Israöl. Ilyeut la
l’air (sable,
|6
-;
_;
A
·
—--.
A
-‘
—
A
autre constellation. Aske! a 600 ans, elle a l’air
eue mm des Pzézaaes. may Mm, cézebre pour
pw champ gr¤v¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ (qf-
fet,
mmc
Une dame venue d’une
UOVNI Sß déx>¤;¤¤¤_d¤¤S S¤¤ pwCadré), ‘a‘$°“ Pour laqucuc Ü Pcm
se déplacer ä des vitesses énormes
dans toutes les directions. En cf-
"L°
*0*}% d°m_ vom un
ä
lem
lukmémc
marclmt
S¢‘8¤¢“V
@*6* °°‘°{m° d° nuée ¤<·=1<>¤r» P°“‘
‘ °°l‘Ä““° de
Ieur °“"V}r la
~
AAA°
Sphere, res molécules d’cau sc
¤¤¤d<=¤S¤¤t sous Vcffcr du puissam
champ de chaleur qui entoure le
Vaisswu er
avoir 20 er
l’aura rougit comme un feu SaintElme ct rcssemble donc ä une co-
lonne de feu.
Aujourd’hui encore, les extraterrestres «dissimulent» souvent
leurs vaisseaux dans de pareilles
masses nuagcuscs (voyez les pho—
tographics du Mont Shasta et dc la
Grande Canarie), et seule l’armée
de l’air américaine a réussl Ay deceler un OVNI luminesccnt ä
l’aide de films infrarouges.
Cc «vaisseau spatial de Yahvé»,
manifestement au-dcssus des lois
de la gravité, n’avait qu’ä envoyer
un rayon antigravitationnel pour
écartcr les eaux de la mer Rouge.
Ce méme rayon aurait exereé une
pression plus importante sur le
fond dc la mcr,évacuaml’cau sur
ks ¢ö*é$ °°mm¢ l°°“ P‘°$s°
um
„
·
·
Ei;
‘
'‘’°’i
pw-H apparaürc www la
forme d’une nuée aux Israélites?
L„orsqu’un OVNI arrive au niveau
dc mndcnsanon de notre atmo-
°“ °"°d° f"°"‘ “V°°, ‘°‘
étrcs trés déV·=‘<>PP¢S Venus d a“·
~:
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Ma!
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C6 fm ¢¢*'*am°m°“‘ la '°“°°"‘
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cc «s¤¤ü¤r» m¤ri¢¤¤¤¤= r>¤¤¤¤ ¢¢¤¤
qui ¤¤t vu <*•=S_ OVNI; ¤<““‘>“=“*
S°“* °°“" q“‘ ‘“°““°““°“‘ ““
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Qéiäéäéeeiäié
semblable apparition? Des
condensation
vaisseaux extraterrestres «se cam0uf7ent» souvent derriére Ia
électrogravitatiormel.
de
champ
force
Ieur
d’air
dans
situées
des molécules
«Dieu dans sa nuée»:
les Israélites viren!-ils
0VNI0bservée”févri¢r1982danslaGßandg Ca„„gg_
gravitationnel doit avoir été détoumé en son milieu ä moins que
deux rayons n’aient été émis, si-
non
le
"
'
'
peuple d'lsraé| en exode
terriblement
été
aussi
«aIourdi», bétail et chariots com-
aurait
pris.
Apres la traversée de la mer par
Moise étendit de
¤O“V¢¤¤ la maühvlß
les Israélites,
wmvü
i¤¤·¤éd*¤·¤m=¤¢»¤¢ ¤=S*?¤¤S
‘° .'°‘°“‘?°'°“* S"' ‘°S
¤“‘ ‘°S
"°“¥‘°lS¢.déP‘“€° ä ‘“ ""°”° d°„'“
lumlére, 1l aurait sufü que M0\$€
érende
la
main, er
le
s‘°“'S ‘*““¢S cndmits ‘l“°‘“ “““é°
du S¢igneur» em: cn réame
v¤¤Ss<=¤¤ ¤¤¤¤r¤¤¤ll¤ir¤ dissimulé-
^""‘· M°‘$° '°‘5“‘ "°'d'¢ d’é""
‘°" “"°° ‘°“* $°“ P¢“Pl¢ ‘¢
5****
.
rayon de
partagé les eaux ct les a rcpous·
sées pour former des murailles.
D’ailleurs, le fort vent d’est que
mentionne la Bible pourraitétre la
,
posé que cc vent soufflait depuis
En outre, la chutc des
masses d’air créait sousl’OVNI un
semi-vide qui attirait l’air plus léger au-dessus du vaisseau, fxroduisam un «v¢m»l19rt semb ant ne
pas vouloir cesser. Le rayon antiPest,
d'““°“*“aß°· °’¢S*·ä·di“= la
aurait déferlé ä Ia méme
seconde: antigravitatiormcl, 1l a
:‘·‘
.
·
de la marche, on aurait
semi cé vent de face.
Comme les Israélitcs marchaient d’ouest en est, ils ont supdirection
¤‘
l’OVNI
H|,|
„
E""y°”‘ °,d¢°’Y*°‘°‘ °°S éVéI
sem
la Plus ¤PP¥<>f<>¤d*<= ¢* la
.
V
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““ "a‘$$°a“ ¢X““"°““'
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Ezecmcn (cr. schéma).
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«=ss·=mb¤¤r
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|'i§§EgE‘i;_Eg;;i;j;E5·=’
.‘;5S33rE=E;E;£3E§;E;E5E;E;E;2;355%;;|$2;:
{fg°‘$“°“' ’°'
°“
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mom ä qm ¤¤
vim-de
a fm"'
a ’“°"
‘°“?°
°
‘
·
v
v
v
qud “
Joumal Franz Weber
.
conséquence de cet événcmcnt.
En effet, non seulement l’cau ct le
sol mais aussi l’air sc tr0uvant_ dircctcmcnt sous YOVNI seranem
Plus *<>¤rd= q¤= la ¤¤r·
le vaisseau aurait
male. Ainsi,
¢¤l1¤'3i¤! les l0¤l‘d¢S couchcs d’¤if
ä Pélléifßf SOUS l¢‘«!1ll1¤¤l d’¢3u»
¢! ä s’échapper par les deux cgötés
de l’ouverture. Quelle que sont la
"“‘“°““ SP°““" “FP‘° d°$ ‘““"°$
pour le peuple cn dlsantz Gardczvous de monter surla montagnc er
d’en toucher les abords. Quiconque touchera ä la momagne sera
misämort!» (Ex. 19:12).
e
Le
rayon antigravitatiormel
probablemcnt si puissant que ~·
toute personne s’attardamäproxi-
était
aurait été paralysée, du
En
momentanément.
moins
marche, un vaisseau spatigl (probablemem) de cette name est
mité
mémc
¤¤p¤b¤= de charscr
néraux en energie radiamc si l’on
.en croit les rapports actuels. lvlanlfestement, le vaisseau devalt évldc toucher le sol sousrpelne de
subir une perte d’énerg1c xmmé-
ter
·
JOUl'l'l8l FI’8I'IZ
WBÜBY
N°2
·
Sept./Oct./Nov. 1987
I
li
ne sont pas dans
matiere visible et fragile car,
sans cet esprit, Ia matiere n’existeréalité, la vérité
la
En effet, il arborait sur le visage
rait pas.
mains des brülures semblables ades coups de soleil si bien
que sa face était.iIIuminée: «Or,
Mais comme
'
t
‘
·
T
la monmain les
deux tables de la charte, quand il
descendit de la montagne, il ne savait pas, lui Moise, que la peau de
son visage était devenue rayonnante en parlant avec le Seigneur.» (Ex. 34:29). Mais comme
les effets du soleil causerent des
douleurs ä Moise, il recut un masque de décontamination our se
guérir la peau. ll portait ge masque ä chaque fois qu‘il devait traVcfscf la ggjnturg dg yadjatjgns gntonmm lg vaisseau pgur anat néggcigr avgg les «étrg5 de |’¢5pacg»;
«MO$Se achgva de pnrjet avec eux
er il plaea un vgjlg Sur Son visage
Et quand il entrait devant le Seigneur pour parler avec lui, il retirait
le voile
la
sants.
nommer
soit désert et vide!
‘
„
‘
.
A
r
t
'
t·
.·
Y
-
—
A
nergie
la
deuxieme:
En
outre, leur,structure
fme les place hors de l influence
du temps et de l espace.
Dells le e0Sm0S,_ HU e0¤I°S des
_
Mats évoqoons Max Planck,
physicien ct Prix Nobel sjjcmand_
reIl a déclaré s propos des
d’une
chotohss sur patomc |0rg
conference; «Il n’y a pas de ma'
voyages ll1lCI'SE¢ll3lI‘CS, ces étres
se déplacent d une,man1ere qui,
une fois de plus, n a rien ä votr
avec le temps etl’espace OU la vl-
nait et
tiere en soi. Toute matiere
existe unjqucmcm- sous l’effet
d’une force, qui faitosciller les
particules de l’atome et les ras-
seaux spatiaux (autrement dit les
OVNI) sent, au lüütli des ßppä-
semble pour former le plus petit
systeme solaire (dessus comme
dgssgugf N_d_R,)_ Mais pulsqll ll
yfgxjgtg anenne force intelligente
ou éternelle dans tout l’umvers,
pace gräce ä une impulsion de la
volonté.
ll
tcssc
r
reils
cn
de transformation d’éner-
gre.S1unetrespatiald’uneétoile
tres éloignée veutparsexemple se
rendre sur la ·Terre, il regle son
Valsseae ems! que le C0¤tenu de
dermer SUP la tréquence ter-
W
de
appro-
qualifier cet état d’«exis-
méthodes traditionnelles.
L’9¤ rwmme ce type de voyage
spatlal le télétransport cosmique
ou levoyage cosmique immédiat.
Bob Renaud, électrotechnicien
américain originaire du Massachusetts, a eu, a partir de juillet
1961, une série de contacts avec
les
’
.
La seule
certitude
que
l‘univers.
ll
j‘avais
RC-
voyage
des cxtratcrrestrcsqui l’ont éga—
lement emmené une fois faire un
tel
Voyagepar le téletransport. ll
décnt_la_mamfestation de la dematérialisatroncomme une sen-
fourmillement a recommencé
puisadisparu.J‘étaisde nouveau
tout a fait entier. Ce transfer:
avait duré une seconde . . et
4000 kilometres avaient été parcourus comme un rien!»
Des
19eme
le
siecle,
des
hommes de
science aux idées
progressistes ont intuitivement
compris que l’univers tout entier
ne peut étre qu’un cominuum
d’énergie, sinon le dynamisme
des mondes
stellaires visibles
ne
serait pas explicable. C’est la rai-
son pour laquelle on a perle déiher universel. Mais comme on
n’avait pas la possibilité de prou-
ver son existence, ilade nouveau
disparu du vocabulaire des
sciences «exactes».
la fin de sa vie, Albert Einstein lui-meme en était arrivé lä.
A
Dans une
lettre,
il
avoue pour
ainsi dire que dans toutes ses penil se heurte a
des limites qu’il ne peut dépasser
qu’en acceptant la réalite d’un
sées et réflexions,
éther
universel.
_
Mais
entre-
satlond'exc1tat1onfourmillanteä
la maniere d’un choc électrique
temps, sa «Théorie de la relativite généralisée» avait déja eu un
des piedsä la teleTres soudainement, une sorte
scientifiques
de déS0rlel1t3ti0net de vide mental a suivi, accompagnée d’une
impression de
désagrégation
brusque en vapeurs immatérielles
— comme
.
.
serait toutefois plus
tence par-delä le temps et l’espace». Ces énergies e haute fréquence échappent a la mesure et
aux calculs lorsque l’on veut les
soumettre aux lois physiques habituelles du mouvement ondulatoire. Un passage dans le domaine spirituel a lieu, qui ne peut
justement pas étre évalué avec
nötre
trons).
mentale,
au noyau de l’atome, obéissent
les
gnstantgmément et par llne Sllnple
impulsion de volonté la matiere
en énerg1e_ou ljénergie en matiere (ee qui ne Slglllfle rien d’autre qu une augmentation ou une
reductlon du rythme des oscilla-
et
alors ä une force supérieure et il
est possible pour l'etre spatial,
dans cet état, dc traverser l'es-
prié
maitrisent parfaitement
_l’énergie et la matiere et possedent la faculté de transformer
spirituelle
nucléaires, qui lient les électrons
·
serait
_
1
au—delä de toute forme de conscience pour revenir, de l’autre
cöté, au corps qui s‘est reconstitue matériellement. Soudain, le
pas seul ct perdu, installé sur son
grain de poussiere dans l‘immensité de l’univers et uniquement en-
plus Petites? Qual gächis!
i
pendant de
cohésion physique». Les forces
Concemant
um
;
qualifier de «désagrégation de la
visites
originaires
cipal.
ptanétcs qui tourncnt autom- d*nn
sotoit poor nc momo la vis que sur
seule, so domoutant pnne des
‘_
dans un état que l’on pourrait
les
.
Les raisons pour lesquelles la
premiere affirmation est fausse
sont exposées dans l'article prin-
loi
l’llpCl'CCV0ll’ quoique CC 50lI.
naud. «Le cerveau est en cet instant une masse d’impulsions électriques qui sont envoyées comme
par un poste émetteur. L‘esprit
existe par lui-méme,sans les perceptions physiques, et est inde-
est impossible.
-
gtacoq
Bios pjéttc penség d·nne hnrnanité déchuc· Imagincz que vons
soyoz D;oo_ Ctéotgozwons nguf
t
s
nd
Levaisseau dans ses éléments
constitutifs fondamentaux, a savoir les atomes et les molécules,
est placé, par une fréquence d‘é-
d’hui sur la Terre mettraient
quelque 10000 ou méme 100000
ans pour atteindre ces étoiles
fixes. Conclusion des détracteurs
des OVNl: l’existence des OVNI
’
·'
mé-
telligence.
Il0llӢ
d’autres systemes solaires sont
exclues étant donné que rien ne
peut se déplacer plus vite que la
lumiere et que la distance qui
nous sépare del’étoile fixe la plus
‘touré de planetes arides et sans vie
faites de pierre, 'de gaz et de
_
t
les
dl3§, avldes de publicité, ont l’occasion de faire un scoop avec des
prophétles qui touchent les foules.
était celle d’€XlStCl‘», déclzlfß
de
extraterrestres qui se trouvent e
un stade d’existence supérieurau
un peu mieux que nous?
Mais alors, l’homme ne
»·
V
En effet,ilfautobsewer une extréme prudence des que
llOIl.
autres étoiles? Et probablement
·
le
n’existe pas
Deuxiemement:
universelle que ’respectent également nos freres et nos saeurs des
.·
«l‘esprit ori-
d”HUtl'CS ClVlllSHll0l'lSdouées d’ll’l·
S€lfl
il
d’«extraterrestres»
commandements
des fragments de faux) d’une
de
dre,
HU
systeme solaire,
est
sont-ils les vestiges (probablement
en contact télépathique
TCSUC et
diatement ä son lieu de destina-
PI’€lTllÖl'ClTlCl’lIZ
la
évolués'? Les dix
:
étre
avec des étres supérieurs. Avec
des extraterrestres qui, pour le
bien de l‘humanité qu’ils doivent
avertir, utilisent des canaux humains pour se faire entendre de
ceux qui veulent entendre. Sans
aucun doute, bon nombre de ces
gens mentent, ä dessein ou en se
dupant eux—memes, pour se donner de Vimportance.
_
montagne de Sinai
pgur reeevoir de «Yahvé» les dix
commandements. Les a-t-il requs
de la main d’étres spatiaux tres
·
originel»,
du «créateur originel». Il
devient impossible que l'univers
proche,Alpha Centauri,estdéja
de 4,3 années—lumiere. Les fusee; dont nous disposons aujour-
savons,
milliers
ment
mét
i i
le
‘
’
t|'0l|VBD|0\|-
nous
dans le monde quelques
de personnes qui affir-
existe
.
Ä
Moise,
des étres pen-
ce créateur cache par
l’univers et les
ne soient pas le fruit du hasard mais que tout soit parti du
ginel»,
-
monté sur
Admettons que
Il
étoiles
d‘eux-memes mais doivent bien
étre créés, je ne crains pas de
______
r
prit.
«Verbe
(Ex. 34:33).
,
comme
Et
lui
sants ne peuvent pas etres issus
jusqu’ä sa sortie.»
‘
ne peut pas y
il
avoir non plus d’esprit en soi puisque tout esprit appartient a un
étre, nous devons absolument admettre l’existence d’etres pen-
quand Moise descendit de
tagne de Sinai, ayant ä
La vérité, c’est l‘esprit in-
visible etimmortel.
et sur les
‘
ont donné toutes les
civilisations de la Terre depuis des
millénaires: Dieu.»
Le grand scientifique qui arrive
a se débarrasser des préjugés
d’une pensée conditionnée tout a
coup rencontre Dieu dans sa réflexion. ll découvre que toute matiere doit étre créée par Dieu et
porter Son empreinte par la matiere n’est qu’un produit de l’es-
conscient et intelligent se trouve
derriere cette force. Cet esprit est
ä l’0rigine de toute matiere. La
doute été réduite au minimum,
mais elle réussit tout de méme a
endommager en partie la peau de
Moise.
^
nom que
nous devons admettre qu’un esprit
diate et il devait donci rester en vol
stationnaire au-dessus de la montagne. Son energie avait sans
un-
fantöme!
«Pendant un moment, je ne pouvais plus nipenser,voir et enten-
retentissement tel que les milieux
furent a dessein
laissés dans Ylgnorance de l°existence de cette lettre. Elle se
trouve aujourd‘huidanslesdocuments laissés par Einstein apres
sa mort et qui ont été pris en dé-
pöt par l’université de· Princeton
a laquelle ilaenseigné.
»
30
N··2 - sept./octxnav. 1987
Journal
faible puis disparaitre dans l’invisi—
glcuvcs. des plaincs ct des cötcaux
e Verdute eu s’élev<=ut de mer-
blc~
2äi%3%S=.?fié2iäé%%iii;;%°;Q§iä;ä1‘=.2E?E6*iiiräääääE;?ijl§‘i.i‘;lE§2;;,·Q:ä;;@ieziäagigtigääéiäiäiigiääiläzäiéäälgéiii;iiä§2r;§§?§.§€;;i§?=l€‘E:.;;2;ä12§;§élEl¥ä@é*ħiii‘iEäiääiäiiäjEä€;i;%ä€é??Eä§E?ä§äi;¥%isiäiirgiE?Qäiääiäläléiéä-Eä?ää€l§%;§¥ä£€;lTE§i·z=éäläiii:;?&ä;€-i€¥i?.ÄÄÄ;??§
vclllcusesvlllsslllumluéesD’alll<=urs- ll est l¤tétessa¤t
de
en
E{ÜÜÄÄQÄÄiÄ=ÄÄ;Qħl,Ä.XÄ¥i}§ÜiÄÄ};;.iÜÜl;:Ü
;:§Ä¥iÄÄ:
|2..;.;:e·;;ä·zéE;zil1-léiäjf{E;§§;g1g;äé1éEgä;él?Ei|ii}?.§2é;2;.;=§,l%§_§gi;?é'
„;i;;Ei;i;§;,§§€Ü;iiE§“;.if;;i;;;;§;;Q;i_l§i§E;;;}§E.%;é§E§i;;;L§§Ä§;;§;§l;;i1;?§;.§éi;Zi;.2?i¥iÄ„;§l§§
**
,==
€2éä1.i‘2%°?Eliél€:ä@;%éE;t;%;餧„;¥1äe'Q“éä¢ii;*€’;ié—&i;:iiE1&§iÄäÜéQi;
éclats et qu’elle a continué ä
mcmraicm
Le chef de
Ia défense aériertne suisse a
beau prétendre qu’il n’y a pas de
document attestant de rencontres avec des extraterrestres, cette photographie prouve le corrtraire: le 14 avril 1976 ä 16 h I1, un Mirage de l’armée
suisse attaque un petit vaisseau des Pléiades au-dessus de Bettwil. La série
de clichés fur soumise d Vanqlyse des ordinateurs américains les plus
mgdgyngs’quf gn (gnfiyméygnf 'aufhgngjcjfé
A
En
ä bien y regarder,
effet,
travailliqt
personnes
’om
re e
A
sn ence sem
equi
photographies de nos planetes voisines
montraäent qui: le porps
ni
macrop ysique es étoi es e non
les
daigs
ent cr
-
dibles, elles. Elles agissent de facon désintéressée et sans préten—
tion. Ceux dont l’intellectualité
froide et cynique ne condamne pas
tout échange entre la téte et le
coeur percoivent bien que les
textes que ces personnes regoivent
as
que
de
la réalité
les habitants
de
la
que
affirment avoir été emmenées sur
Vénus par des vaisseaux spatiaux
extraterrestres, les habitants de
Venus vivent dans une ceinture
celle
Terre con-
corroborent donc les
unes les autres.
Mais attachez vos ceintures et
-partons pour un petit voyage intcrstcllairc dans notre systeme so-
duu5 :‘¢5Pa¢° utßbäläs
téléPathl<ltts
5Y5lém°
lglgllleux
CS al'changes. Un scientifique soviétique passe ä l’ouest avait embarqué
la copie édgin rapport
«tqpsec&eA;»
sur cet v nement singu ier.
s
autorités soviéti ues n’ont jamais
fait la moindreqdéclaration officielle äce propos par peur de compromettre la crédibilité du pro-
3
glgäll esques, S€lTI
que l’on ne brille plus les gens
pour cela, comme Giordano Bru—
autrefqisparce qu’il persistaita
que a erre tournait autour
du soleil et pas l’inverse. ..
30
ire
CS
gramme spatialsoviétique.
.
Les
Comme nous ne pouvons perce-
trois
cosmonautes Vladimir
Slovev, Oleg Atkov et Leonid Kizim y rapportaient que, le 155e
jour de leur séjour dans la station
spatiale, ils avaient soudain. ete
aveuglés par une lumiere orange
éblouissante alors qu’ils procé-
voir les éventuelles civilisations de
éthérée au-dessus de ce qui nous a
am, sur les hotos des satellites,
gtre le sol depla Aplanete, dans un
monde tres semb able au nötre par
sa végétation et son aspect exté-
ble lorsque sd vigzsse d’oscillation
au mente: lus une hélice toume
vitä, plus ges pales semblent se
cales.
Avec des mers, des lacs, des
fondre pour dessiner une ombre
noldés,
rieur.
utl alti-
q“¢5· quc _l’€¢lulPa8¢ du vaisseau
5Putlal 5°Vlétl<lue «sallout 7>> H Vu
le}l”lP0Vullem¢m•
Au
bout d’un moment,
_·
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2
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ger 2. etc- cat rctraasmls das.
de désstts de Plsm eu de
cratercsdc auascsorausés-
|-.
avccvctrcQ}
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|i|
iiäil|
l'
Vaus alllcz
au iardia
to pour enfin prendre les ondes de
qul artlveat ä Vatitenne placée sur votre toit. Penserez-vous que votre téléviseurades
halluclrratlorls sous prétcxtc quc
vous nc voyez quc des ardolses ct
une antenne sur votre photo?
la télévlslea
:·
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Ä?|
A
quc vctrc ac-
é
er
ne décele manifestement
pas les ondes de la television?
Et s’il en allait de méme pour
nos fameuses sondes spatiales? Et
'A|
pareil
elles n’étaient pas capables de
photographlcr Vextlulse ¢lVlll5e·
tion dc Satume parce que la fl’é‘
qucricc dc ses Qselllatlells est telle
que HOS appareils Optlqttes nc Peuvent la percevoir? Et si toutes les
Q
lumineuses et gigantes_,
Mercure (trop pres du soleil) et
Pluton (trop loin du soleil). Affirmation audacieuse alors que nos
sondes spatiales Voyager 1, Voya-
la sculc ralsca
.
=*|
am
Alttrs atlmettctts que
ils
réussirent a «regarder dehors» et
virent sept silhouettes huma-
ca ccutact dlrcct
setlt ltabltées-
s
l
daient ä des expériences medi-
les déclarations de cer-
rastrcs- tcutcs lcs plarletcs
Pour
E¤qulr¤r» laPP9tte- dans
cl° lam*·u5 démetul Pal lcs sel/letl·
_
|Q|:
talucs personnes
tte
ua clin d’ocil.
Le journal américain «National
'Mars, Jupiter, Uranus, etc., leurs
representants doivent avoir une
fréquence oscillatoire plus élevée
que la nötre. C’est, parAexemple,
comme un ob'et uidevientinvisi-
laire!
D’apres
crt
l’filgVl7ePdeA¢9?¢luéFl;{Véllu& lll5a;
Hl S.
€U 'C TC. . . CUICUSCITICH
nuages épais, pour ainsi dire inutilisables. Selon des témoignages
oraux et d’aprés des personnes qui
verses s’accordent souvent entre
su
s’y
Vliabltucl
La sonde «Venera» ne retransde Venus que des images de
naissent. Les sources les plus dielles et se
intelligente qui
A
Lourdcs, a Garaba¤dal„ a Fatima ct dans des millicrs d’autrcs licux, unc forme lumiricusc cstapparucwisiblcacharque fois a unc ou uel ues
scrmes ct capable dg sc golatillscr
rnet
supérieurs sont d’une
grandeisagesse et offrent une autre vision
vie
du moms
bestllt etres tlettallts, lttmlnellx
ct rayormarits.
iiouve probablement?
d’étres
A
la
de
suvlrcrmemeut «l¤llumal¤»- salsa
lcs pcrsomics cri contact avec Véaus- lss Xéuusleus avalcm r<·=¤u<=ll—
ll la sort ct qu’lls avalcat dépcséc
en douceur sur le sol macrophysiQue dc la Plauéte aflu Que das
lma8¢5 au55l €flVuYaul¢5 que 9055**
ble Öle"! uu} ¢h°VCh°ul’5 l¢“¢5‘
tres,
mcttrc lcs
tl’
Lcs «morts tcmporaires» rappcrtcrlt touicurs dans lcurs récits
sur l’au-dela des rencontres avec
retraasmattre Pittfitltemeut Peu·
da¤td68 mlrlutcs iusqu’ä cc qu’cllc
«r·=rl •= l’ämc»~ Les lmagcs re-
traasmlscs
sufflt
reelle- --
éägéäägi??§;?F}§é„§§?E&ä1§i§Ä¥1§?€_äEfél;Ägzéäif?»?‘·r}é§.g.1ég?;iE>2E—;„.1;%;§l;ä;2€§§§=?:*ä¤?ä.iFE·;{}l§ä2;j§§l§éEä3;E«é§%;i§?I§122?Elxéiii.§Qgieiffaigié.?äE§;-§l;§·rE·;";i;§*15;gg
|:1iFÄ£=;a¥§Ä;Ä_§Ä§.Q.Älliigii_Äé;”
ll
‘
se tappeler qu’uue s<>¤<l<= terrestre
s’cst écraséc sur lc sol de Véaus tl
35 km/lt mals qu’cllc ¤’a Pas vtllé
--;.1.;;i?~-§;§ilQfiEl;1.Eli.;li
§ä2§¥;%é;„2,i§;Ä.‘§·§§§if„Ef’éi?=:€él;.2r:-i¥;*£·T*}?·„;¥§.i;Eil:;:?i§¥%?léħ;ié~%;aEQ;.i2:;é~i?§§;·§¥éf?䀑äxi„é;§§’1$?„Qf;lii§?§?&:é~§·i..iiE¥ij;}äE·IE.;;1*jEiQ.;{i;éi;»ää§sé,;i.;j¢Ä?„;
Mais
doigts pour ccmprcallrc brutalc—
meat que Vhéllcc cst touiqursblcu
.-:·1;-_Z;ééiéä2¥’ä¥%?ä;ä¢iéäé2ii;=i;2§}?L;.;„äE;„§;i%rlS=;6äi.§éäé§;;%5-=1I‘i;§?;‘LlE€;§i£li21;.;?Z?ir·Q?€€éa:i:iÄi€E¢iiié2;iiiici.lL;QlllE-i1{ÄEE1;·E·ilE.E;6li2täE?éliL;;;;1Q=Ä.2£.=%=i”éiiiii.;ié;;Q·Äa.Üiérié?ii
;—;;€é?i;ÄÜi.*?§fl.·1§=°
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Franz Weber
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En octobre 1972, d cinq kilométres de Montauroux prés de,Cannes, on trouva une étertdue de 300 metres carrés
ravagée. Méme des arbres de 50 cm de diamétre avaient été tordus. Des scientifiquesfrancais venus sur les lieux
affirmérent que cette catastrophe ne pouvait pas avoir été causée par une météorite, une tornade ou la foudre. Il
s'agissait probablement d’un vaisseau spatial extraterrestre propulsé par énergie antigravitatiortnelle ou électro-
ri
magnétique, qui avaitprovoquéune dévastation semblableä celles observées en Amérique du Nord.
ä
Journal Franz Weber
=
N°2
‘
Faisons l’analogie avec un phénomene terrestre. L’humidité de l’air
se sent mais ne se voit pas. Lors-
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est
ll-
elle s’étendA du
stble
visible puis tangible
macrophysique viau microphysique mvisible.
La matlere solide et
visible oscille
plus lentement que
la
quide encore
physiquement.
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HSSISIGIII 8
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Pendant la retransmission de
Vatterrissage sur la lune d’Arms-
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Armstrong
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Le 20 juiller I 969, l’astronaute Aldrin marche sur la lune pour la premiere
fois. D'oü viennertt dortc les deux lumiéres au fond d gauche?
tfmduc
ques (pluslouts centaines dg mo-
les SPé°‘_a'
tres
nous devenons microphysiques,
éthérés voire électroniques, nous
Ptfilet aussi °°ut°ull_ qui dellalt
bo-jet etentourees d’un rayon ne-
echappons de plus en plus aux lois
de la physique. Notre enveloppe
charnelle est comparable a la combinaison d’un plongeur, nécessaire
pour que l’esprit électronique et
l’äme éthérée qui sont en chaque
homme yadnptont ä la prgsgjgn
Vlmcc
de haut), aux alles aussi
grandes que la voilure d’un jums
buleux semblable te ceux decrits
dans les récits classiques ayant
7
Un sourire angéli-
trait
aux anges.
que
illuminait leur visage rond.
Toujours selon les cosmonautes,
ce groupe d’anges suivit la station
orbitalg Pgndgnt out bgnncg mg.
’
.
A
“
nutes puis disparut aussi rapidement qu’il était venu. Mais il revint douze jours plus tard, Cette
&
‘
*
tourée d’une couche d’air comme
la notre n’exclut pas qu’elle soit
habitable par des etres intelligents, voire bien supérieurs a
nous,
Par contre, quloonqne a im
corps éläcffgniqug peut Vgyaggr
presque
a vitesse de la lun-tiere;
avec l'l°ust0n- Pendant les deux
minutes dilnteffuption (dont la
cause n‘tt‘/int Pas été la panne
d’une eämetß), Armstrong, Al-
mot-voglloux so-
A-
AA
_
·‘
A·
l
Trois
g
choses
indiqugru qu’il
existe manifestement d’au[[¢s ni-
.
‘Ü
la gravité; cette der-
quos_ Not,-o ootos oharnel atomi-
met de comprendre les accélerations phénoménales des OVNI.
drautt-os
les
a unc fréquence oscillatoire
tres basse pour une densite tres
élovéo Nous uo pouvons pas (encore) ]1()\]$ féndfß ll’\VlSlblcsr flop
ter au-dessus du sol ou nous déplacer d’un erldroit ä UH 3\ltT¢ de la
Terre en un clin d’t:il. La pesan-teur de notre corps, entierement
soumis a l’attraction
nous ou ompooho
terrestre,
_Des étres aussi déVel0ppés sont
bien entendu capables de ralentir
ä volonté les 0SCillHil0l‘lS de léllf
corps électronique pour apparai—
tre ä NOS Yeti)!. Inversement, ils
peuvent accélerer leurs
oscilla-
pour disparaitre de notre
vue: als deviennentinivisibles mais
tionsA
sont bien perceptibles et presents.
Houston: «ContrÖle, Contröle ä
EteS—Vous en route?
fusée.
Qu’est-ce que c’est que ce bazar
n Pi¤P0s d’OVNl'? Avous.»
At'tnstt0n8&AldFlnt<<llsentstterri la—bas. lls sont lä et ils nous
observent.»
Houston: «Les rétroviscurs, les
rétroviseurs. Est-ce que vous les
avez tous mis en place?»
Armstrong & Aldrln: «Oui, ils
SOl”lt CH place. Mais CBUX
Unt
lmmédlatßmßnt )CCl'lone interrompues par
la NASA en méme temps que les
Sur es
Armstrong
de
sillerle tilm-»
Sllliantää,
lératlon. Seul le porteur d’un
corps atomique denseest soumis
lois
pas de film sous la main. Trois
photos des soucoupes ou de ces
trucs qui étaient en train de bou-
drin et le centre de comrole de
Houston ont échange les paroles
images!
niere n’exerce, en revanche, absolumellt uutiulle lnlluenee sur les
¢0l°Ps eleetidnlques- Vollä qui per-
que
l
rien ne lui nuit, ni lg manqug
d‘oxygene, ni la fantastique accé-
formes
formes tel'l'es·
charnelle; et macrophyst-
voaux dc vim
d’existence
A
des rayons d’électrons
A
aux
Armstrong& Aldrln: «Jc n’avais
sutPtenttntes_ su_t eet episttde
slots ¢lu”ll tlulttslt la NASA- Lc
extraterrestre qui a atteint
d’existence électronique
n’a pas besoin d’air pour respirer,
«Nous étions verf-
A
u
Un
sul la llétluenee utillsee Psi lcs
astronautcs P°ul’ eelnmunltluei
uu
Houston: «AVeZ-Vous enregistré
quelque chose?»
Houston, fit quelques réflexions
qui controlent a distance une cap-
ot-ot,,_
A
_
un element Bussi fonds}mental <lu”une caméra Peuvitlt
sessel de lunetlennen
Ouelquc temps apres cet événcmcnt lnst<>tltlue„ Christopher
Kraft, directeur de la base de
sule spatiale. Par conséquent, le
fait qu’une planete n’est pas en-
oouuagssugout
A
t°°h“°l°8‘q“°
kaya, Vladimir Dzhanibevok et
lgor Volk avaient entretemps re-
tablement foudroyés», dit Svetlana Savitskaya dans le rapport. Les
formes trsouriaient, comme sielles
[
-
ettln¢•
un stade
l’instar
.
ä 5 -- Relais autontatique enclcnché- -- J’al les mains qui
trcmblcnt tcllcmcnt que le nc
Pcux lieu tal"}- Frlmcr? Bou
sang, si ces cameras ont filme
quoi que ce soit, alors quoi'?»
de Vu'
amén-
tatrc la dém°n5ttf·u‘°n
atmosphérique.
ä
nous vérifier cette orbite. .625
un
tion céleste car Svetlana Savits-
six
joint la station.
[
tlans
contenu de Ces teilexlens tl ete
eunftime Pet deseenteinesde tadies ttlnateurs qui s'étalent mis
cosmonautes soviétiques furent témoins de Papparifois-ci,
.
détetmlnencemmenti
‘
.
Personne
ne
le
¢l0liul>>
A
«Ouoi. .. quoi. ..
sang, mais que se
l{¤sse·t·tl? Ou”est·ce qui vous arHouston:
quoi?
Bon
rrve?»
Anllltrollg
AIdfi||: (tus sßnt
sous la surface.»
H0llSl0II: «Qu'cst-cc qu’il y 3
(bruit ouate). Emission inter_rompue, interférence, controle
appelle«Apolloll>.»
lä,
pourront certainement
et les enlever.
tcrmirlé.»
Aldrln: «Ce sont
des ehoses géantes, non, non,
non .: Ce n’est pas une illusion
düptlque-
construit ces vaisseaux S atiaux
l
demain
&
«Nous
&
qui suivaient la retransmission télévisée car ils ne purent
Ltorgqug ngtrg fréqugnce osogjlatoire augmente tellement que
Aldrln:
sont restés la un moment et ils
ontobserve les instruments.»
Houston: «Répétez cette derniere information!»
Armstrong
Aldrln: «J°ai dit
qu’il
d‘autres
avait
vaisseaux
y
spatiaux. lls sont rangés de l’auim cöté du cV“tél°·"
H°“sl°“i "RéPét°Z· VéPét°Zl"
Armstrong
Aldrln: «Laissez-
listes
A
&
avons vu des extra-terrestres. lls
trong et d‘Aldrin a bord d’une
fusée lunaire americaine, le son
et l’lmage furentcoupés pendant
deux minutes environ. La
NASA déclara que ce probleme
était du ä une caméra de télévi—
sion qui avait surchauffé et gene
la 'é°¢Pt‘°“·_ ecttc Pa““° mut'
AAAAA
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Y
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sage sul 8 une
s
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matiere
visible; celle-ci os-
..„.
„
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lu-
mineuses, de fréquences diverses;
'
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pleine d’énergie
de vibrations, d’oscillations
·
l
l
.
,
devenue
’
~
La création est
et
l
_
¤
yg°°nnu_
peur ou en brume. Si elle se condense davantage, elle se transforme en eau et, enfrn, en glace.
Alors qu‘elle était invisible, l‘eau
Til
s
Ü8 l'8w|'0|\‘tI BU MHIUB
qu’elle se condense, c’est—a-dire
lorsque_ sa fréquence oscillatoire
diminue, elle se transforme en va-
l
31
sept./oe:./Nov. 1987
—
Ilievenir
A vous,
Christopher Kraft, chef de la
base de Houston, commenta:
«Nos hommes ont eu UHC réaction trésétrange maisje rle doute
pas qu’ils aient été sous l’influence de l’espace. L’exemple
de la modestie d‘Armstrong
n’est pas négligeable, et I’altruisme d’Aldrin donne matiere
Q réf|gxi°n_ Qugi qu’il en sgit, je
pense qu’ils avaient tous les deux
quglqug chgg; gn gommur; lgrgqu’ils sont revenus sur terre
meilleurs qu’ils n'en étaient
partis.»
32
N°2
-
Journal Franz Weber
Sept./Oct./Nov. 1987
°
pour sa part moins vite que la
matiere gazeuse devenue invisible
La
‘
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.
'
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‘
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cille
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«...,_
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a nos yeux. La matiere microphysique (éthérée) a une fréquence
encore supérieure. De méme que
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lumiere peut étre visible ou inviSlble ä des Yeux (“l“a‘Vl°l€t$» l"'
rmouges), an peut y avoir des
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va es
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la
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|·*¤
~·—|
ÜÄii
..|
„
Les étres intelligents d‘autres
ceux aussi de notre systeme
solaire, ont des corps lumineux
que nous ne voyons pas. Lorsqu’ils se condensent et apparaissent ä nos yeux, ils ont la méme
forme et le méme aspect extérieur
que nos corps charnels atomiques.
Mais ils restent invisibles la plupart du temps pour ne pas étre dérangés dans
Les extraterrestres n’ont pas du
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’
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|Vi;|
Monseigneur
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En
[gutes ]gg
pgg agggz
planétgg tgnaignt du ggnrg humain, sans coeur mais cérébral, le
tgurné
ballel cggmiqug aurait
T
a la danse dg 5alm-(;uy eg alglse
Vlncendie des mondes,
Mals eela ne veut pas dire qu’il
semble ng pas exlster d’gx[l·3[3l·restres peu supérieurs aux Ter-
·
unmunslmnaätpas
ne reste que les plailes moqueries HUK
chercheurs préastwnautiques de
l’acabit 'd’uH Erich VOH Dä¤ik¢H
lorsque l’on établit un rapport eH·
et
lls voient l’univers
gigantesque jeu de
construction experimental, un la-·
boratoire stellaire dans Iequel des
étres supérieurs clonent et fabriquent de toutes pieces des etres in-
·
étres
5’a-
regplendisgante), qui
forces negatives.
parole au Vicaire
éR§ndcänsL;ap
iria:
g n ra e
«La fillette pres de nous criait,
pleine de joie: <Qa y est, elle s’envole! . .. Elle monte!> Et l’enfant
montrait toujours la boule de lumiere, jusqu’au moment ou celleci disparut end direction du soleil.
Enfin, il est indubitable que les
forces de la lumiere sont majoritaires et tiennent en échec les
forces destructrices sinon notre
planete Terre arriérée aurait été
éliminée de l’univers il y a des sie-
des envahisseurs sans foi
cles par
'
Nous
ni loi.
reux.»
étions
immensément heu”
”
·
„
.
n’était
pas
la
premiere
que l’apparition de la dame du
s’accompagnait de phériomenes célestes curieux. Lors de sa
deuxieme venue, le 13 juin, il faisait beau et chaud comme de coutume en cette saison au Portugal.
Or, pendant toute la durée de
l’apparition, la Iumiere du soleil
fois
.
ciel
‘
ori-
quels les extraterrestres utilisent la
force et la contrainte révelent des
On vit en meme temps un léger
nuage se fOl'mef HU-GCSSUS de l’arbre des apparitions. Et, du ciel
limpide et sans nuages, des sortes
de fleurs blanches commencerent
a pleuvoir sur les personnes pré-
Oh, ce
Les descriptions de petits
méchants, monstrueux et
laids ne sont pas en général celles
d’étres hautement développés et
bons. Tous les contacts dans les-
gine.
inter-
sentes, disparaissant avant d’avoir
touché le $0lApres son entretien avec la
femme restée invisible ä la foule,
la jeune Lucia cria a l’adresse de
·cette derniere: «Si vous voulez la
V0lI', regardez lä-b3S!»
(il
«
tl‘3l'lSpOl't3l!.»
ou un «salnt».
foncés sur un vaisseau spatial indi-
quent également une sombre
la
elle
ßllfänfs V0y8l¢11!‘il·
dyesse aux Terriens avec gentil[esse et politesse, il s‘agit probablemem d’im étre dbrigine constructivg gt lumlnguse, que [|()$ ancétres avaient appelé un «angeS>
V
H
douze ans
de toute bcauté, rayonpeut méme arborer une
etre
font souvent partiedes forces negatives; pas toujours mais la plupart du temps. Des signes noirs ou
naire espagnol,
un pro-
effet, les étrgs lumineux pogt [res gvangés hg gqntfgiä
allya
emmenent pour
fillette de
de DICU CH pCI“S0l1[lC; HOUS,
de voir CH
ÜOUS HVOHS TCQU la
quelque $9*1** le Véhlculß (lu! la
nant
OVNI
comme un
du jeu de légo
les
une
gnent jamais Vhgmmg fl qugl qug
cg soit Lg librg arbitrc de ghacun
est une loi qu’ils respectent beausemble que la plupart vg.
coup_
lem dans des vaisseaux en forme
de boule, de roue ou de disque,
dont émaae une vivc lumiere
blanchg ou de couleur (vene, mugeätre, parfois bleue). Lorsqu’un
rapport fait état d’un contact avec
im
A
H
effet, Ges ¢h¢rCheul’S„peHSeH! que
Pizarre était lui aussi apparu
comme un dieu aux Incas alors
qu’il n’était qu’un monstre sangui-
duit (rate?)
{el
ricaine Tuella, en contact avec les
couleur
extraterrestres, les
d’argent ou en forme de cigare
gs anäs
est-il
dg
«forces de lTombre».
Alors comment différencier le
en croire l’Amébien et le mal?
il
L‘homme
matlel-e
faire des expériences. Ils se conduisent au demeurant comme des
hommes, mais on les appelle les
¤¤dl¤¤-·
férieurs.
d’éthi-
gn
En effee ll gn apparal; rege-
animaux ou
•
ieu.
ed
[jens
qug_
ljéyemgm gurla Terre; ils enlévent
dgs hommes (des mllllers chaqug
annéc)’ s’en servem comme animadx de laberatelre pour faire des
gxpérigncgg sm- le eeyveau et lg
cgypg puis [@5 raméngnt (Qu ngn)
sur la Terre. Ils abattent aussi des
cer leur corps (lumineux) électronique d’un endroit ä un autre et
ITIÖITIC ÖTUHC gHl3Xl€ ÄUIIC Hl-ltI'€„
e
Q!
·
sjtifg
Je
Maintenant
V
L
‘
planetalre? Vgilä ung vlslea du
cggmgs bjgn froldg
de VHTSSCZUX spatiaux POUT SC
déPl3¢¢f d¤HS le ¢05mOS· C6 sent
C8 qU€ IIOUS appelons les
Les formes supérieures de vre
ne sont pas obligées d°empf\1Htel'
des vaisseaux spatiaux. Il s’ag1t
d’étres tres avancés dans la hiérarchic c°$mlq“¢· c°mm¢ Jesus OU
Marie, que, nous appelons des
«saints» et qui sont «méritants»
par leuf 3mO\1[, lellf ÖOHIC, l€\1I'
sagesse et Ieur puissance transcendants. En effet,1ls peuvent dépla-
proches
es
intel-
SOil'l
les étres
_;
de Bälepar un médium,
de l’espace disposent de m0yCIlS diV¢l'S. Les fOl'ITlCS
de vie lI]féflCUI'CS Ollt CTICOTC b€·
ou
.
Une sone d‘OVNI? Une boule de lumiére photographiée en 1907 au zoo
moyens de progresser
tre les objets volantsdet
‘*
·l'‘‘
'
grande
vois encore! , __
descend> (vers le
rouvre oli se déroulaient les apparitions). <Que penses-tu de cette
boule>, demandai-je ä mon ami.
«C‘est la mere de Dieu>, réponditil sans hésiter! C’était également
t
'
“
·*
o;|
tres
loin
encore!
Ä--
,
'
lectuel', les étres
Certes,
A ma
de nous continue de
povsser des ¤rlSde ieie; de la vois
e|Z|T|-|‘?|%**|‘i·|
·
santeries
.
chance de wir la méme apparlrlen
envoütante et inattendue. Tout a
coup, la boule et sa lumiere mer-
am
Ä,
|'”
‘“
mame. La auss1,to¤tetres‘ef—
force de se développer pour aller
plus haut, «plus pres de toi, mon
Dicu». De mémeque l’esprit humain trouve au cours de son éve-
~
arElle
La! ,,
Je regarde en l’air, scrur
boule de lumiere qui traverse majestueusement l’air en flottant
d’est en ouest. Mon ami regarde
également en l’air, et lui aussiala
·
.
son
i
.>
Surprise, je vois distinctement
m
niveau d’évolution
correspondant ä son niveau
.
tant l‘espace.
.|
‘·|
‘*"
•
.
notre. L’écart est
qu’entre un apprenti et
lution des
.
V‘''‘'’°”‘
Ü
respond a un niveau de dévelop-
méme
<Arrétez!
„
leur hiérarchie intellectuelle cor-
le
»
r
i
Lema,
Jean
.
m
que nous. Leur écneue spirituelle,
tres éloigné
|Lg
‘
gi
leurstravaux.°‘l‘‘
tout le
Y
_i
lu-
Quaresma.
Voici ce qu’il rapporte: «La foule
prie sans cesse. . Tout a coup, cm
entend des cris de surprise et de
joie. Des milliers de bras se levent
et montrent un point dans le ciel:
|.f|'‘‘u
x
„
dame de
general de
elles, le vicaare
corps lumineux invisibles,
astres,
merveilleuse
miere est apparue a six reprises
aux trois jeunes bergers de Fatima,dont la premiere fois le 13 mai
1917. Lors de la cinquieme apparition, le 13 septembre, 30000 per$O¤¤¢$ S¢ !F¤\1V3l¢H! lä- Parmi
,_
‘
Faisons un nouveau pelerinage
ä Fatima. Vous vous en souvenez,
notre voyage dans le temps et l’espace, dans le ciel et l’univers a
commencé par une description
émouvante du soleil dansant de
Fatima.
Le «miracle du soleil» et l‘apparition de Marie sont-ils encore une
énigme pour vous?
-
extraordinairement affaisans aucune raison. En méme
s'était
blie,
q
temps, la cime de l’arbre s’était
ouverte en forme de parapluie et
était restée ainsi, comme suppor-
.
Jgllmal Franz Weber
N°2
·
Sept./Oct./Nov. 1987
répondu
aurait
•
da
I
a
E
i
ma: «A cause de son grave contenu et pour ne pas mclter les pays
.
_
dome
L’histoire religieuse de la Chrétienté racontée dans la Bible est
émaillée de rencontres entre icibas et l’au—dela, entre les
.
train d’atterrissage.
Daniel
dit
_
•
"(·
_
Ull Vclll de lslllllsls V6nord, une grande nuée et
·)
·
Esaie mil parla dqm muage
rapide», donc d’un vaisseau spatial; dans Esaie 66:15 nous lisons:
cn cffcn ic Scigncmi
c’est dans du feu qu’il vient, ses
ehnrs paieilsaun typhon,»
Et voici que Ieur apparurent
Moisc ctElicVquis*enlieVlenaienl
avec
S°“
quatrc
ätriis
aspcc Z ls
ik
^
clll
des hommes.» (Ez.
qm
porte de Sodome. ll les vit, se
leva
ur alleräleur rencontre et
se prggterna face contreterre.» Il
leur parla et les invita dans son
O
accueillante demeure. Eux aussi
lui rendirent un service: ils lui
comme
comme
sauverent la vie! Car ces deux
(Ap. St-Jean
la
«Je vis
Cpnsuitei
Comme
parlalt
il
men {ils bienma favclllä
1:4).
dome alors que Loth était assis ä
etres
lui. (.V...)
encore, voici qu’une nuée lumi~
neuse les prit sous son ombre, et
’une voix descendit de la
voi i
al
irc
le soleil,
vétemcnts dcvirlrcnt
Ct
Ses
éblouissants comme la lumiere.
_
En
comme
sage yggplendlt
du
un fall l¤lg¤r¤¤l_<?t» autoun unc
Clima cn Son m‘h°u' cqmmc up
etmcellement de vermeil au mihw du fe":
nait
•
V
·
_
.
a toute
aimé,
un(i1utrelAnge,
écoutez-le.» (Matth. 17:1).
comme
de l’espace savaient que So
un char volant. «(. . .) Vonci qu un char de
feu et des chevaux de feu les separerent l’un de l‘autre; Elie
monta au ciel dans la tempéte.»
jambes
des colonnes de feu.»
Le «visage
a
de Savoir ccci lorsq u,(m iii q ué
(ICS océans CIIVHIIISSGHL d€S PHTIIGS
iobc
ue des
cmiércs du
.
l
hOmmes
élésq brutale-
lls?
ml
d e"
l°lls· dll lle
vraiment avoir envie que
ce secretscildévcilés
il
Nölls l'¢Vl€lldl9lls ¢ll é löl slll
l¢ lfülsléllls secret de Flllllllll dlllls
le prochain numero du «Journal
Franz Vlleber».V lséyélons SlITlqC·
U'
mdlll qll ll d llalla l avcllll de
vrait plus
gone auxt
exlraterrersi
WS, Car ¢s ßllll soll lll
liés. Et si nous publiorls le present
amcl°· C cqt lustclilcnétpalcc
qui
lH3Hlté. lit
Elle disparut sur
Hlltä-
bfls
tant le poids d’une charge invisi-
qu’il
ät?
ble.
Outre
les
paroles de Lucia, les
gens entendirent pres du rouvre
un bruit ggmblablg ä un chuchgtgment ou ä un vrombissement d’a—
”
A la fin de l’apparition, un
beille.
fort bruit se fit entendre, que les
personnes présentes comparerent
ä la détonation d’une fusée, et Lucia cria: «Ca y est, elle s'en va!» Et
ceux qui l’entouraient virent un
joli nuage blanc s'élever au-dessus
de l’arbre et repartir vers l’est. La
cime en éventail de l’arbre se pencha également vers l’est comme
s‘il avait été effleuré. Les branches
resterent ainsi pendant encore des
heures avant de revenir lentement
dans Ieur position normale.
·
.
V_
i,
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V
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llldllls
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llommcs lll
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que tout cela? Ouoi
une chose est remarPape Jcllll XXIII ll éls
soit,
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llllß Vlllgllllsalldll dss
fol. Il_S’¤8ll
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(2 Rois 2:11).
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Insanités
~"’”l
li
sollt
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_
O
le soleil et les
le soleil» est dll
afll0llS—
Plfsddccsseuls Sllldq llollc de
${1lHl Plerre eH_0Ht
retägellne veri
lllss
Egläixaxälgllasélrgslléwigslliläil
c
escen re u cie enveloppé d’une nuée, un arc-en-ciel
au-dessus de la téte, le visage
puissant,
10:1).
3 ccllalllcs
Cdlllmlllllsllss
lcsalmetélscrlg
O «Six lours apres, Jesus prend
av cc lul Plelqg , Jag ues g[ Jgan
qx
1 V V
son frere, et les emmene al ecart,
sur une haute montagne. Et il fut
transfiguré devant eux: son vi_
V
_
.
_
tions les plus intéresssantes:
'
•
allaient étre
_
de l‘espace apparaissent la
du temps au coucher du
soleil, de nuit ou au lever du soleil. Voici un apercu des men-
J
miere qui sortait du vaisseau et
les «jambes comme des colonnes
de feu» sont manifestement le
et
V
étres
J
Gomorrhe
détruites (Gen. 19:1).
mic lqmgc Gabriel
est im homme (Dani 9:21): «(_ _)
Qmmd , Gabricp cm homme
(_ _)V S approcha de mm (_ _) au
moment de lbblalion du soir),
hommes et des étres célestes. Les
plupart
une ques-
ainsi ä
tion sur le troisieme secret de Fati-
ä
lldlljllld
llPPl¢lldl’¢ ld
COIIICIILI dll UOISIÖITIC SCCI'€I (IC
llmß· Ell sllsll
1959
Wall
ll
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F8l‘>¤
llllß
lslllß dll ¢OllV§lll dl?
Cülmblß-
dll Pdllllgali éclllc Plll
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¤llll¢l9ls» sdlls _l° lldlll
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de Gsdlgs Adalllsld Olll
Le Cdlllllslslll d 0VNl le
élllll‘¢¢?
Vplqs lséldbrs all m°lld°· Ulldlllllls
qlll dlsllll avdll Vdlé dalls llll Vals‘
seall slmlllll ds Vélllls- ·
·
>l<>l<>l<
·‘
La
V
bon
;_
dame,
belle
étre stellaire
la «sainte», le
Marie avait
re-
.
Dans “°"° lmrcham Pumélim_
dqriuer sa ut
(V
gagné dans son céleste vaisseau
l’aimab|c paysagc d—im
Spalial
·‘
mcrvcillcux univers- Cclui. Oü vi_
vent des etres de lumiere tres évolués, bons et remplis d‘am0ur. Celui des étoiles qui, la nuit, nous
envoient leur douce lumiere.
Le 13 juillet, la belle dame est
revenue pour mettre les hommes
en garde. Avec trois secrets. Le 13
octobre, la
«Ra„¤ des cieux» rat
presque tombcr du cid cc qui était
V
V
_.
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hommes, CH
bien sür un OVNI;
n’a toujours pas
trolslémc
·
.
dame
'
les
Le Pape
V|V
l
.t
pO\.l1'
Une sorte d’0VNI au-dessus de la scéne du baptéme de Jésus: le tableau
du pginrrg Aer: de Gelder momre unc soucoupe de couleur vcrte portant
une colombc en son milzeu et envoyam des rayons dc lumrérc ä Venfam
Jésu,g_ Cg mblgau date de la dwxlémé mvitié du 176 siécle.
en
qu
I-évélé
aurait du le falre
1960 Sur I”0rdrc dc Lucia, J can-
Paul
II
se
d une
tait
comme
seule
Ces
illustntlons sont cxtruites des ouvmges
“'l“""‘?
_
_
h
iffjfjj
C„,„;l,,„„„„, K„„;,;„,.v„l„g„ M„„;c;,
All» (ler visiteurs de
— «Be;u6her aus dem
— «Was
gesciirah bei Fa!ima?» (que s‘est-il
passé ä Fa1ima?), article publié dans la revue «UFO-Il/uchrichremno 98/1964, Vent-
la-Verlag Wresbuden
— «En
el
m
V
Sternschl
cm
des an es en
vaisäazainlcrslellairegä Gioigio Dibgtomo,
Vgn[g[-Vgr[gg Wfggbadgn
—
«Ccles!ial Raiso (élévariou céleste), Natu-
_
Jh: Hmm ol-Lords UFO Dgbmm Lord
ses prédéfois,
lors
V
visite
Fßtllllß ei le Jllgelflßllq
ll
Une
cesseurs.
hqmamté. Le troisieme secret e
l’é3-
·
alors
I
ä Fulda en 1980, des
sources religieuses affirment qu’il
C;„,,„„,,yV
Book.;
OW,
Head
p,„,;p,„,„cl,,
34
.
N"2
Joumal Franz Weber
sep:./oct./Nov. 1987
·
I
.
faux. Premierement, les chevaux
ne peuvent attraper ces maladies.
·
Deuxiemement, ils transmettent
des maladies en général uniquement lorsqu’ils vivent tous dans un
espace extremement restreint. Ce
—
I
'
·
.
'°|
|"“|
de Cl'lBVH X COI1(l6mI'I€S
étendues désolées et vides d’animaux du nord de l’Australie.
O Les fermiers australiens, ces ti-
_
'
V
lerésegtées par lestfärmllirs ¤¤St¤r=¤—
ren es en enlens
ui vou ai
Le 22 juin 1987, la «Cour Internationale de Justice des
·
r
·
„
-
Allllllal**· Plcsldés Pal Flallz W°l’°l» 9 l°‘
Dldlls de l
COIIHU le gOl1V€I°I1€m€IlI 2lllStI'Elll€Il COLlp21bl€ (lll IHBSSHcre brutal de centaines de milliers de chevaux. Le ver„
,
Pl°l°s‘
dlcl cdllsllllls l¢1>¤¤¤l<l¤_d<=r>==¤¤d lllls lllllldll de
dre et ieprises avec cnmpnisanee
par le gouvemement ne sont que
t8tlOI1 Cl3l’lS le mOIlde entier C0l1II'e l°eXteI‘mlI13ti01’l (IGS
chevaux Sauvagcs d’AuStralic•
Chacun savait dans quoi
Et pourtant
geait.
il
s’enga-
s’écroulent
et
ment
se
lls
belé lorsqu’1ls y sont poussés par
les
hommes.»
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mm vidéo Sur
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epouvantables massacres de chVe-
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22 mois qui viennent de
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S eCOUleI', 22ÜÜÜ chevaux
au moins ont été pris en chasse
dans la steppe par les hélicopteres
‘
les airs.
Gazer
coup de
fusil
depuis
plupart des animaux
La
humaing de
ghz porfoites, fonctigrmaritbigri er
ime morr yapidg
er
Le gouvemement organise
des prggygmmgg spéciaux pguy
former [es hommes chgygés dg
sure.
cette täche,»
Je vous prie dg me paydgnngy
ces phrase; h0rribIg_g_ Elles rrom
lm Sbirv
Pas élé PV0"0”¢'颒s
nazi. Ces monstruosités ont
pour ce qui est de Ieur sens, tirégs
de la lettre d’un représentant
PW
«l>@ir¤rrrr··rr·r
tries
ülrrbrrra- Elles
Que tous les hommes qui ont
atroce me pardonnent.
Pourtant ces deux actions vienMEN! de la mémc dégénération
d’une cspéce qui, bien souvent, ne
devrait plus avoir le droit de se
aussi
ii
row
l’homme
C'€Sl
lächeté
lllüß toute
Sl!
L’h0mm¢,
ti0n».
0 d”ub0t°d C8 que l’on uppcllc chez l’homme «l’instincttmirnal» et qui représenre une offense
mfame pour twsiparcnts les animaux. Aucun animal ne rue pour
dßuxlémßmfufr C8 qué
l’0tl pourruit uppeler le «robot
dans I’hommc». Non moins maull
,V
_
Y
V
entre l’homme et le cheval. L’une
d’entre elles est qu’un chcval ne
dicterait jamais de telles phrases.
Pcut-étre est-ce
manquer de
rss-
|s,
V
,
qu’un numéro de dossier
ur
mOmS
Vül-Y lll
vine n’est ricn dc plus qu’un réSßüu inextricable d’éléments per-
|
turbatcurs enchevétrés dont la
Y
meilleure fagon de se débarrasser
est l’emploi dc la violencc. ..
pour rr ¤h¢r¤l»
’|1|
Q;|;|j{,fj;V
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‘i|j|Qi¥i;|
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ct le
perturbateurs. Sa lettre en témoignc: Fertscmblc de la merveilleuse et magnifique création di-
premier, seulement plus adapté ä
la société. Cc sont tous les
quelques scnsations d’excitation.
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V???¥EQ_j§Ül§Eä§**l
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encore Ic roi de ShakesRichard lll l’¤¤r¤lr
autrc idée: enlcvorts ti ces foncdisait
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tionnaires leurs
voitures,
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mulsons,
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Dépostmsles,
seuls,
dans
les
étendues désolées, interminables,
inhvspitaliéres et
r
l
brülantcs
du
Mrd dr l’·‘l¤¤lr¤ll¢‘- Eß P<r“rS“r·
_.V.,=;|i1|
,
vivre,
ne Ieur donnons qu’un che-
Et nous verrons bien si l’élément pcnurbateur nc dcviendra
pas incroyablement vite un étre
Ursula Spielmann
sacré . .
val.
V
|,
~
|;|;|;|i|;;;|r°V;Z|;I;f|;|é|;i|.|„V„
Une épouvantc qui se répéte ti des milliers de reprises chaque année: un
tircur d’élitc australien achéve ä quelques métres
.
nombreäcinq chijfrcs d’éIémcnts
dutlgéréux que le
pré-2
si‘”’‘’'’
existe des dijfférences
V
|
Ainsi, pour ce fonctionnaire
ministériel australien, des dizaines
de milliers de chevaux ne sont-ils
nécrophilic.
sa
«l’apogée de la créa-V
ct
Par héliwptérv qui vw été
sentés comme une action d’humanité dans des mots si propres ct
Complaisants.
|=»
n’esi‘
australien de
rw
V
homllnes Äiqjitt Ia vg
;empZe
ue e c 1 res ot c num ros e
dossiers. Qui, au cours de longues
années empoussiérécs, sont devenus eux-mémcs depuis longtcmps
des machines de bureau. Des boulimiques de papier pour qui les
étres vivants ne sont plus que des
numéros, des choses, au mieux de
Ia «v€rmln6».
.
qualifier d’ «humaine».
été.,Q|
moins révoltantes si je
il
,VV
riant
gluqun animal nqlferait
ru er une mouc e a a ef?amme
d’un briquet. Aucun animal nc
monterait dans un hélicoptérc
pour abattre au hasard et en
masse d’autrcs animaux qui nc le
menacent en aucunefaqon etqu’il
n’est pas contraint de tuer pour sa
propre survic.
vous dévoile qu’il ne s’agit pas=**·‘‘
d’hommes et de chambres ti gaz
rrwß dr chrvauxrr de ma-wcres
Certes,
V
VV
Of Primary
and Encrgy»
tront guére
V
Internationale de Justice des Droits de l’Animal» siége ti Genéve. Franz Weber recueillc par téléphonc de témoignagc de la représcntante de la sociétéprotcctricc des animaux australiennc SueAm0ld.
perdu des parents d’une maniere
ll
VV |V|
La «Cour
des
de l’Animal a Geneve de
démontrer que les justifications
dul””
,
V
gi
'Droits
zic.
V
‘
g,
·
Cour
n’a pas été diffieile ä la
Internationale de Justice
Il
son entre l’Australie et les pratiques horribles de l’Allemagne na-
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du quolldlcll
Siié
V,.,,,
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pect que d’établir une comparai-
yogii toutefois dg
faire gffgctugr eene opgrnrioh par
des personnes big}; for-mégg gt
compétentesi dans des chambygsä
garantiysgnt
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V
mo-
mer des cenroings dg milliers
d’hommes riipidgmenr er gjfcacgment_ Ajin d’étrg aussi humain
que possible,
V
suppri-
est Vmanifestement Ia
niere Ia plus
V
S3UVHgeS"‘
l.^“S“al‘°·
les
et abattus a
perdues et grillees par le soleil dn
nord de l‘Australie, les tueries de
chevaux apponcm um iouchc
bienvenue dexcitation a la mom-
V
VV
V.
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‘·‘·=t|=="
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|‘lEÄEEEl€ÄEÄE§€lElll‘iI§.;:-._|'·§5EgE§E§E§E§*|
lsrwlsrs <l=S résl¤¤S
dans
en
jenem
éventuelledans des clötures de fil bar-
jamais.
3,6
donnés par le troupeau fuyant,
dans des douleurs interminables.
(Voir notre article dans le Journal
Franz Weber No 1.)
·
dalls l° “‘?’d ll?
lgs
l
c’est l’horreur
qui se lisait sur les visages de la
centaine d’invités qui, ce lundi
matin-lä, venaient de voir dans la
Gcnévw im
=¤ffl_¤;l1<=¤¤ V<l¤¤
rr
aban-
crevent,
effrénés-
igfllüclglghglzzlidifglgéß
suici
: «
are ns ,
ermie s
les chevaux sanvages nansmer
traient ä leur cheptel les maladies
redoutées que sont la tuberculose
et la brucellose. Rien n’est plus
-
-
-
-
riiurs
c evaux sauva es 1 men esc tures éngees äggraliid nene pour le
bétail. Faux. L’éco-sociologue is-
un chcval déjä touché.
.
Jgumal Fygnz Weber
|P
N°2
·
Sept./Oct./Nov. 1987
|r‘
Méme
l’argument selon lequel
.
I
chevaux retireraient le maigfe
foumgc de la bouchc du bétan nc
résiste pas: il y a seulement cent ä
chevaux contre
trois
millions de tétes de bétßil- L¢ VO·
lume de fowagß <l¤¢ cc
les
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iant.
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Vu
le faible
nombre des
réserves deau apparait lui aussi
comme tout a fait ridicule.
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7
Au cours des débats de la Cour
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de Justice, Franz Weber, Président de cette Cour, a établi une
liaison telephonique avec Sydney
afin de donner également la parole a la protectrice des IIIÜMIUX
Sue Amold. «Les fermiers austreliens expriment dans les massacres
6
Ä
I
leurs instincts sadiques» a-t-elle
indignée. «C’est une
forme de Vietnam. oe qui ue passe
la-bas quotidiennement. Le massacre de juments plcincs, en parti¢“ll¢¤’• Pl’¤¢l1F¢ ä ¢¢S b0¤'lm¢S lm
plaisir immonde. Chaque membre
du gouvemement est au eourant
de ces faits. L’oppositionaenvoye
des messages de protestation a
chacun des membres du gouvemement — ils sont tous restes sans réponse. Notre gouvemement a une
plÖtl'C— l'épllt3[l0I'l Cl] Ulatlél? de
deelare
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protection des animaux. Une
seule chose l’intéresse: l’exploitation a tout prix, ce qui, entretemps, est devenu une menace
pour l‘ensemble de la faune australienne, unique en son genre: 21
millions de kangourous ont été
massacres, le koala sera bientöt
exterminé, et les animaux sauvages et les oiseaux sont empoisonnes par les produits chimiques.»
15 heures, apres des debats
de l gi u heures, Franz Weber
lit älllaines velx le verdict de Ia
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A
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Con; de
gouvemement
Justice: les
membres
dll
australien sont re-
tnuustmllende
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wmmmam-
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du
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pogmsdomassu-
M pwaüßw
du ama".
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*
lls sont reconnus coupables de
refuser systématiquement les solutions proposées par les organisations de protection animale et
L°8C¢¤S3Ü0¤ ¢0¤!¤°¢
ml¤l$¢Y¢
le
R¤b¢¤ Hawkc.
Premier
les
ml-
John Kerin, Joh BjelkeP¢¥¢f$0¤„ Steven Hßltvn et le
president de la Federation natio¤¤l¤ d¢$ f¢l‘ml¢l’S- Jan Melßnistres
chlan, est maintenue.
lls sont tous reconnus rcsponsables de la situation tragique des
chevaux australiens.
Robert Hawkeen tant que Premie! mlnlstre de S0¤ PGYS porte lß
plus grande l‘eSp0nS3bili!é dans le
genocide des chevaux australiens.
Plus encore que les autres aceusés, il est l’eO0nnU coupable de
temir par son eomportement l‘i—
mage de l’Australie'devant l’opinion publique mondiale, laissant
üppüfüilfe
SBS
¢0¤¢lt¤Y¢nS
comme un peuple de barbares, de
sadiques et de sauvages.
MM. Hawke, Kerin, Hatton et
Bjelke-Peterson sont reconnus
coupables de ne pas remplir les
obligations que Ieur imposent
leurs hautes fonctions en matiere
de protection animale. lls SOIH l'¢·
par des experts pour résoudre dignement l‘éventuel probleme des
chevaux sauvages.
Jan McLachlan, president de la
Federation nationale des farmers,
est reconnu coupable de promou·
voir activement les massacres de
chevaux sauvages par tir d‘heIicopteres.
ll
est
reconnu coupable de
fa-
voriser des cruautes innommables
envers les chevaux australiens et
de stimuler ainsi les instincts les
plus primitifs de ses concitoyens.
En outre, Ia Cour dénonce les
cheval étant une espece animale
superieure et considére comme
ami de l’homme depuis des temps
immémoriaux. C’est dans cet esprit que la Cour estime que manger du cheval confine en quelque
sorteadu cannibalisme.
La Cour demande au Gouvernement australien d'arreter toute
procedure tendant a legaliser les
massacres de chevaux, que ce soit
par tir d‘helicoptere ou par d'autres methodes, mais au contraire
de créer une legislation qui enleve aux chevaux sauvagesle statut de vermine pour les mettre
sous protection.
La Cour
ment
Gouverneimme-
invite le
australien ä ouvrir
pays importateurs de viande de
cheval venant d’Australie, notamment la France, la Belgique,
l'ltalie et le Japon, pays qui se
rendent ainsi eomplices des massacres de chevaux.
La Cour dénonce également
diatement un dialogue constructif
avec les organisations de defense
animale en vue de trouver et
d’appliquer sans délai des solu-
de nourriture pour
teressés, la regulation des nais-
‘
l’industrie
chiens et chats qui contribue a
l’extermination de la faune sauvage, dans le cas precis: des che-
vaux australiens.
La Cour dénoncg dg manjégß
génerale la consommation de
viande de cheval comme con-
t
tions telles que la creation de reserves, l‘adoption de chevaux par
les
Aborigenes et par d’autres in-
sances, etc.
·"
l
Pour terminer, la Cour lance
un pressant appel a la CE pour
qu’elle interdise l’importation de
yjandg de ghgya| gn prgygnancg
d‘Australie, tant que les mesures
mentionnées ci-dessus ne seront
eonnus coupables de compromettre la suwie des chevaux sauvages, patrimoine de l'Australie damnable sur le plan
éthique, le
pas appliquées.
et espece animale hautement évoluée, en les déclarant «vermine ä Geneve,·22juin 1987
extermmer».
Cour lutemationale de Justice des Droits de |’Animal
‘
ment
australien des solutions sur
fagon dont le nombre des chevaux sauvages pourrart étre stabilisé sans sacritier des animaux: au
la
moye: dt; iq vas;ctomieI(stérilisation
¢S
ta OHS
OU en eur
attri-
buantdes réserves spéciales.
,En!F¢—!¢n1PS, une Vägl-\€ de protestations se répand dans le
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lannlqlfqs
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lsstlnvtiux sont
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membres dll ]¤¤’Y
ne 5’entiennentpaSädCS c¤ndam—
animaux pmposent
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du
monde entlefl
nation; pnres et simples. Les ¢X·
pms gn mntiére de protection des
President dela
Nüllßßül F¤¤¤•¤
eonnus coupables du génoeide d¢=S
chevaux,
Tqutefgig, les
l•rsen,Pmnlor
|I|ni!|r••ndl•l
·
des Etats australiens concernes
eux-m¢ln¢S ¢S! aussi l8“°bl° ‘l“°
l’on peut s’imaginer! non
ment ils ne font rien pour mettre
un terme a cette boucherie perpetfée dünß l°¤¤'i¢l’¢‘PaY$· “°"· mals
P¤*"d°““$ le mawhél lls folmcm
encore des tireurs d’élite et les
¤¢h¢ml¤¢¤* ¢¤ h¢ll°°P‘¢'° V°V$ ks
lieux du massacre aux frais des
l.
Jun Macluchlan,
M"'
I
-
Slr Joh B|eIlre-Pg-
s'°"°"* "°"°"·
ouvcrnemcnt fcrmc les
eillxg ualitie les chevaux de
d
Qt prend des mcsms
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pour Iegaliser le soutlen de lEtat
au massacre de ces animaux innocents. Le röle des gouvernements
?
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vaux sauvages, le reproche selon
lequel les chevaux menacent les
_,
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Des députés amérieains et briVßülßm Pl°¢SenteI des
Pf0P¤Sltl0nS en vue de mettre
ljembafßü $¤f_leS pf0dllltS australl€¤$, en partlculier Ia viande de
¢h¢V¤l-
I
Le député conservateur britannique Harry_Greenway adéjä présente le 13 juillet a la Chambre des
Communes
une motion qui
«bläme» laiprataque «barbare» du
massacre es c evaux au mg en
dfhelicopteres et exhene le glsuvemement britannique a exiger du
Premier ministre australien l’arrét
immédiat de ce «génocide criminel». La motion a été transmise,
O Linda Eastman, femme de l’ex«Beatle» Paul McCartney a Vintention, elle aussi,
de se lancer
dans une bataille mediatique en
faveur des chevaux australiens.
O
Et
la
Reine d'Ang|eterre
elle-
méme
aurait Vintention d’intercéder pour ses animaux préférés lors
de sa prochaine visite en Australie
en 1988.
L
In wllulrorutlon ¤v•¢d•s•xp•m lumpis, angluls, Ilßwtllß at lsméllnns,
du lnlmoux elchmn “g„•||·„„ng, pw; |„ dmgn;
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Catherine Aga Khan est conséquente avec elle-meme
depuis 15 ans.
lusque sur sa table: elle est végétarienne
Weber.
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Elle a bien voulu dévoiler deux recettes Judith
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Elle se bat contre la v1v1sect1on, contre le port de la
fourrure, contre les centrales nucléaires. La princesse
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Z
IIII
I
·
III»’
Un
petit
chemin
tranquille et dis-
cret ä travers des jardins automnaux,le scintillement bleuté du lac
de Geneve derriere des troncs anccstraux, un lourd portail de fer,
grand ouvert, qui laisse percevoir
chäteau, des génies serviables
de la porte d’er1tree,
préts ä bondir pour vous aider ä
vous débarrasser de vos manle
tiges pres
teaux, sacs et serviettes et qui,
avec une discretion inimitable,
nous guideront ä l’interieur de la
maison.
Nous sommes les hötes du
prince et de la princesse Aga
Khan. Nous sommes en 1977, en
pleine campagne contre le massacre des phoques_.
L’accueil, en-haut, dans les salons de recéption, est chaleureux.
Saddnidin Aga Khan, mince, vif,
souple, que son épouse Catherine
appelle affectueusement «Sadri»,
vient au devant de nous avec cette
gaieté simple et chaleureuse qui
met tout de suite l’invite a l’aise. Il
rp
est flanqué de deux gros chiens
bergers hirsutes gris-brun qui ne le
quittent pas. lls fixent a chaque
instant leur maitre de Ieur regard
Leur échine herissee
attentif.
l’écrisse bel et bien de mefiance ä
gard de tout inconnu.
Catherine se detache, majestueuse, sur le fond du somptueux
salon rouge.
On entend fuser des discussions
la piece adjacente oü
servi l’apéritif. Il ne s’agit
animées de
est
pourtant pas de discours mondains
ll est question de la lenteur desespérante du gouvemement britannique ä adopter des
mesures visant ä une meilleure
et blases.
protection des animaux de laboratoire. ll est question de l’énergie
nucléaire et du plutonium ainsi
que de ses consequences pour notre societé. Il est question des possibilites qui existent, au Tiers
Monde, d’utiliser la force des animaux domestiques - en les respec— plutöt que
tant et en les aimant
I
I
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“"····—l
kv I‘\
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bl
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mlassa
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14.~».—:
ar;
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écoment en faveur du mouvcmerlf
liection des
anim¢“x·
...rzuvrc
logique etde|aP"°
la motorisation et la mécanisation.
Dans la salle ä manger, oü la table
mains gahteee d’un blanc imma-
est recouverte deIporcelaine precieuse, d’argentene scintrllante et
git
de
cristal limpide, et
oüles con-
versations se sont poursurvies, un
bruit soudain retentit: un aboie-
ment
furieux,
un haletement
ra-
pide et des grondements sourds.
Usbec a ose se glisser si pres des
jambes de son maitreIqu’Arrak se
sent frustré de la meilleure place
aupres du siege de celui qu’il venere. La voix tranquille du prince,
sa main affectueuse ont vite fait de
calmerla jalousie des animaux.
De leurs pas silencieux, les serviteurs, tout de noir vétus, entourent la table et servent de leurs
culé
un délicg apres }·aurre_ rr ga-
dg la cuisine franeaise la plug
deheate Lgs hötes du ehätean dg
Behergve seht vgeghremeht tres
gätes sur te plan cu“nair¢_
Et pounant lg prince et la princesse mangent autrgmgntr eux,
Apres Vent;-ee, eomposee d’une
sorte de petit; mnleanx fnnnes
dgrég et crongtillants si delieieux
que je ng peux pas register ä pen-
de me reservir - viglant ainsi
toutes les regles de l’etiquette
vie
Catherine et Saddrudin Aga Khan
sautent, comme par hasard, tous
de
les mets ä base de poisson et
viandeI Je n’ai pas l’audace de devisage; leurs assiettes, mais du
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N·2 sept./0ct. INov. 1987
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Laisser reposer la päte pendant une heure
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500 gde champignons de Paris coupés en deux
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émmcés
La table champétre est dressée d I’ombre des arbres.
l’o·:il je me rends compte
que leurs legumes sont aussi ap-
pretes d’une autre maniere. J adc nz
P°'9°‘$» cn °(f°t· ““
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humc
parfum
l’entree
élégant
L°s mblcs °hamPétr°s‘ m°w°‘l'
leusement dressées, nous attendent a lombre des arbres secu-
découvrir. Qu'etait-ce? Certaine—
laires.
sauvag°,T ct
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Tout
cet éventail
Parmesan
peur-hr eeuee; 43 5'd|dg crémg
Faire revenir res orgmms émrncés_ ajoutcr les Champignons et
faire revenir ensemble, ajouter le vin,I le sel et le poivre. Cuire 6
min. Passer les champignons sans le tus ä la machine ä hacher.
Ajouter le persil hache et du parmesan räpe. Faire des boudms
avc: ra rarcm Poser. au milieu de ra crépg roulcr er coupcr cn
.
Mais cest surtout le secret de
que je veux absolument
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PeF$ll» Selr P0lVFe-
de soleil scintillants. Elle porte
une simple robe d’été blanche et
fraiche, en lm, sur laquelle elle a
cnmé un palcwt de smc g“s°· am
coin de
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de meäs,
Poécr
panzamtrr dcbour Sur un plar auarrr au four er saupen-
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presque lmpercepti e, a prm-
arc-en-¢it5|_,
cesse fait signe ä un serviteur de
s’approcher; quelques instants
plus tard, il depose une feuille et
tiennent discretement en retrait en
habit noir et gantes. lls attendent,
attentifs, le signe de la maitresse
rnaisanr Et jgjggggng tres ehnrement qu ils ne cralgnent pas seulement leur «Princess» mais
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billet.
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Cette fois, c’est en plein été
«Je comprends ce que vous voulez, retentit il y a quelques jours
au telephone, la voix au timbre
chaud et ä l’accent facilement re-
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connaissable, de la princesse C3-
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therine.:
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vendredi. Venezaßellerive. Nous
serons tout ä fait «between la-
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«Dejeunons ensemble
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Les grandes pelouses, dans
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chaleur de midi. On entend mollter des bords du lac des éclats de
rire‘d‘enfants et des aboiementsUne Petite fille joue la—bas 8*/ee lm
gras chien, La nurse, tout de rose
vétue, ne les quitte pas des Ye¤X
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arbres proéml-
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I/ut; cidw
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Faire revenir l’oignon avec l‘huile, ajouter le riz et faire revenir
ensemble. Ajouter 7 ä 8 dl d‘eau, sel, cuire env. 1 h. Dans une
autre casserole, faire revenir le poireau, puis les carottes, puis les
cour ettes. A' outer ucl ues c. d‘eau et cuire. Quand le rizet les
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legurltes sontlcuits, es riielanger. Mettre dans un plat allant au
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four, saupoudrer de fromäge räpe, et faire gratiner un instant
’
au
four ° chaleur supérieure seulement.
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Franz Weber étiez aussi vegeta-
logiques! C’est elles qui doivent
recette vegetarienne pour le Jour-
riens.»
cxigcr du verre ä la place du plastique et du carton! Elles encore qui
nal Franz Weber.
C’est la princesse qui
doivent insisrcr pour que les oeufs
proviennent de poules en liberte!
Les femmes le pourraient. . . Elles
sont assez puissantesl...»
pelle et qui
«Pour ce qui est de notre part, il
s’agit principalement de renoncer
completement ä la viande et en
grande partie aussi au poisson. J’ai
toujours éprouvé quelque reticence ä l’egard des menus totalement végétanens.»
«Alors laissezrvous conquerir
par ce plat de riz sauvage et de
legumes et d1tes·moice que vous
en pensez dans quelques minutes.
Mats n’oubl1ez pas non plus le
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verrez! Mais prenez donc aussi les
autres recettes. Elles sont ä votre
disposition.»
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«Le plat de
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Notre discussion nous a entrainées sur un terrain qui est bien
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j’ai choisi.
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Franz Weber
larmes versées eussent desséché
son corps. ll serrait avec ferveur
contre sa poitrine un sac en cuir sur
Iequel toutes ses pensées semblaient converger. Le passage
ponctuel de ce promeneur qui indiquait par sa simple présence la cinquieme heure du s0ir,comme Veüt
fait l’aiguille d’une montre, jetait
sur la rue un étrange voile de méthé0l‘lC des «formes
lancolie.
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a écrit Ce Conte ä
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une rue deut leg
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bätiments s’imposaient. Par
sa paisible physionomie,
composée de vieilles maasons, de
pemes boutiques, de gardine remantiques aux murs éboulés, elle
aurait pu trouver sa juste place
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mystériwx sac de wirgwis ia charge ¤v¤<= l’i¤¤¤¤¤¤ saiis
doutat. Pour
vrqn il fwdrait d’¤b¤r•i qvc 1¤
man. Tout d'abord yamabuais ce
malaise ä la nostalgie ambiante que
devaient peut-étre distiller tous ces
étrestransplantés,puis,enme concentrant davantage sur mon état
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espagnols, danseuses égyptiennes,
tout ce que le vent d’orage pousse
vers Paris, egmme Vers |’i|e du bg;}-
que
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baissa, ramassa le sac de cuir qui lui
avait échappé pendant s¤_ chine,
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avaient l’éelat d’un ciel d’automnc
y déferle: séminaristes chinois,
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wc cn wir ii¤prés¤é¢!
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dans une modeste cité provinciale;
mais l’äme d’une rue ne sort pas
uniquement des pierres ou des hachaque pagsaiit qui ia [[3verse, chaque prgmeneur qui s’y
attarde [ui abandonne queique
ehgge de Sa prgpye esgence_ Oi',
gene rue, comme ia plupart de
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Ouellcs tristes réveries seme donc
cc vi¤iii¤rd„ mc dis·i¢„ p¤¤r qvc
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Joumal Franz Weber
sep:./oeexuov. 1987
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„JOUlTl8i
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N°2 Sept./Oct./Nov. 1987
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parfois, s‘il relevait ses yeux du sol
et s’éveiIlait de son réve, il me saluait d’une silencieuse inclinaison
|{
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Mais un jour
ne parut
pas. J’eus le sentiment d’un abandon. La rue, qui quelques instants
plus töt,me semblaitcolorée d’une
désespérance ä vif, s‘anémia
de
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comme vidée de sa substance.
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puis Sucignit dansladisläncc tan:
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avecéa rue. VOuelquVes vers de Vicagreste ·
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ésißv wi ··¤¤¤¢~¤~·m¢¤· --
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V
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tout.»
ajouta:
quitta
fille.»
église.
l
long moment ä cette cérémonie:
«Oui, je viens de mélanger la
terre de ma patrie avec celle de
Paris. Mes yeux se sont ouverts: la
vérité ne connait pas de frontiéres,
et les fleurs du bien poussent par-
mon étonnement,
VDevant
V
V
es semaines se passerent
sans queV j’eusse Voccasion
de revoir Vle malheureux
V
émigré. souvent je Vpensais a son
sac de curr,Vet le poids de la terre
brune pesait aVnouveau et plus
lourd que jamais sur mon cceur.
es yeuit s habituerent ä
lVobscunté. Au pied de
lautel, de nouveau je dis-
Cette oppression allart parfors jusqu’ä liangoisse.
V
Le pnntemps s'effaqait devant les
premiers jours de l’éte. Avenues
et boulevards de Paris s’empl1ssaient de l’odeur de miel et
d herbes coupées que, de ci de la,
V
tmguai une forme, cette fois humälne et au niveau de mes
épaules' Je reconnus le vieillard
-„
dont j avais rnanquéVle tacite renV
-
dezjvous. VD abord il Vse tint recueilli, puis se mit a pner avec ferveur et avec une douleur contesupphcpnue. apres
del longuäs
tions, i ouvnt e sac e cuir et e
vida dans ses mains. Mu par une
répand
la fleurVdestrIleuls,lorsque
secret qui une fois deja avait
guide mes pas me condutsit Va la
le
fil
mime héaure dans la méme église.
‘y
p
nétrai, l’esprit léger.
fraternelle
Dans
fraicheur.
les
chan pour mieux voir. Alors je crus
reeonnaitre dans saV paume une
transepts, les samts me contemplaient avec mdulgence. Devant la
poignée de terre qu
chapelle
cesse et
Iarmcsl
il
baisait sans
qu il m0uxllaitV de
U pmnonca d ·un
mit la terre dans le sac,
P§“"}““é“‘1€“‘ °§““°
e se ev .
comme
ses
de la Vierge
fus
V je
foudroyé par la joie. Le
le Vserra
V
ma
ni
présence, ni
lieu de l‘accabler, lui semblaut une révé-
lation! il me contempla
V
instant, puis dit lentement:
V
tout. IlVy
{ln franc méeontentement
bajbntjaiz
'
ni, levait
neux.
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vermoulues
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|Q,
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donnaient
profondeur de l‘église:
«Jcune homme, vau; m’av¢z
lermel qu'imprégnait l”0d¢Ul’ de
l’encens et du bois ciré. Dans les
nefs Iatérales, les ombres s’épaississaient, un vitrail entrouvert lars-
Une fois un service, je ne l‘ai
pas oublié. Aussi je veux vous
confier ce que jamais quelqu’un
sait pagger
un
filet
de
C|3fté„ {IC-
compagné par lesouffledeäj3l”dl¤S
|Vj
j
et le ehant des oiseaux que le trop
longue journée de pnntemps avait
déja fatigués.
Je gagnai le transept dont la pé-
nombre
|VV
silencieuse sollicitait
ma
eongcienee, exigeant de moi je ne
sais quelle méditatwn- D¢¤X f0l$
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d'autre n’apprendra.»
Nous nous assimes
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sur un banc
«Je suis un émigré politique, Ma
mon
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PFÖS du bénitier,
fille,
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ma surprise, me saisit par
le bras et me conduisit dans
ais ra'eu-
viysage himi—
ll
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acces. lndécis, j’ouvrisl’une d'¢ll¢S
et pénetrai dans le clair-obscur so-
un
lombre de la nef. Sur le sol gisait,
vide,abandonné,le sac de cuir. ..
‘
n ponail vétuste etdeux
portes dérobées également
prin-
secoua rnachinalement la
qui collait encore ä ses
mains, me salua et disparut dans
i
«r=u¤¤u, Mensaeur, je ne vuuiais
pas étre indiscret.»
un
terre
V
,
la terre
L‘homme, ue je vo
-
se peigmtsurdestraits.Confus, je
dans
parramer par laVhaine et le
désespoir. J‘aime Paris, Vj‘aime le
monde, et vous dont j‘ignore le
nom, vous étes mon grand ami.»
mon visage in-
|'autel.
a
faire
jf |V;}
m’aperqut en quittant
V
la
cxpe qui vit au-dela des ff0¤tléf€S
°
et de s“°mS‘ L ?m‘?“r d°‘t.t°“tabsorber, smVon il rrsquerait de se
-
ll
un
mort, que sigmtie
uneVpoignéeVde terre brune? Que
signitie la haine aveugle et I amour
limitéj? Une seule chose compte,
ce qui ne meurt jamais. Et ce qui
ne meurt pas. est partout ct dans
«Devant
py
Couven.; je äp ponsxgs|ächcr
terdit.
V
e message, au
Le
m'enveloppa d’une
clair-obscur
m‘appro-
rrrésistible euriosite, je
.
,
J
V
V
j«Apres vousVavo1r quitté lautre
soir, jan appns Ia mort de ma
V
_
-
il
·
_
V
mélangeait soi-
la
il
s
jimplorajs la madone immobile,
contmuait a se taire sous ses
lourdes parures.
é
sanetiit avec le
sait les fleurs,
50 ans!. . .»
llVdemeura quelques instants silencreux, absorbé par son reve, se
leva sans dire un mot, alla d’un
pas fatigue vers une des portes et
~
elle
_
in-
enfongait
ses doigts dans la terre qui nourrisil
gneusemeat avec le contenu de
son sac de cuir. Puis il me dit,
comme sij’assistais déjä depuis un
Mais tandis que
V
animam
Doucement,
tention,
penserai ä toi, dans la certitude
que tu penseras a moi et a notre
patrie chérie.» Cette motte de
terre m’est plus chere que ma vie,
c’est le plus précieux souvenir que
ma fille pouvait me laisser. Considérez mes cheveux blancs, mon visage usé par les larmes! Quand jevous dirai que je compte a peine
mais demeure indifférent aux
Tout cn révam jqmcignis um
mc": mde qu,un joywx marche
V
longue date et poursuivre une
·$i$|
Ieii,
chagrm
jr
de notre patrie. Vépour notre pays.
prie
Chaque soir ä l’heure qui correspond ä 5 heures en Occident, je
mémc de man
·
V
nere-la,
découvraient ‘le visage sévere
d’une sainte dont les yeux me jugeaientV.
Etrangement impressionné, j’atteignis derriere le
·cha:ur une chapelle dédiée a la
Vierge, une dame haute, inaccessible, sans äge, richement parée,
avec un visage noir et fermé.
Autour de l’autel des mains
pieuses avaient disposé des hortensias. Je m‘agen0uillai sans bruit
contre la grille du sanctuaire, attendant VquelqueVpardonVou Vla lumiere d un Vespour. Je nerajs pas
venu en vain,Vcar bientot je Vme
sentis accueilli dans les délices
d url; autre monqei je gt évqdai de
bliais rcxistcncc
|ei
est la terre
téte et les
cn news Les pétalcs blancs mb
scaiem Vamöt vomgcam' mmöt
lassés de lem farandolm güssant
odcui äpwdoucc qui dc temps ä
um boufféc aux paS_
Sams du boulcvam Mon emu Sc
hmm de gomcf les charmcs frélcs
de cc primcmps_éphéméuV J,ou_
|V
un appel au-dessus de ma
deux fois mes regards
je sentis
amour terrestre. a
sous un vain prétexte
seul
éte arrétée
d espionnage. Peu avant sa déportation, elle me fit adresser ce_ sac
de cuir, rempli de terre brune, Un
m¤SSuge s’y trouvait: «Pere, ceci
visage de la
madone, bien que
haut et immobile, rayonnait de
bonté et répandait la paix.
Un homme s'activait autour des
ne fus point surpris
de reconnaitre en lui mon émigré.
Nos rendez-vous, dus au hasard,
semblaient avoir été prévus de
hortensias. Je
[est
ainsi
sortit
de
soir,
la
que l'inconnu
ma
vie, Mais, le
rue naguere si
me sembla douce et étrangement lumineuse. Les vraies amitiés, pensai-je, sont celles qui nous
délivrent de nos chaines et de nos
triste,
intimes poisons.
40
N·2
Joumal Franz Weber
·
V
·
Sept./Oct./Nov. 1987
Suite delnpage 11
V.
est
en plus impossible de sauver
SOH
l'l0¤¤¢l1f-
··
r
VVrl=~;V.._
ment un adversaire du systeme
suisse qui, dans sa dépendance et
son asservissement au capital, réa-
(|
li|
,
La V8
,
I”ItB
.
VsvsyV
temps normalä lesäjuges ne
Iän
ces mase aissent pas pren re
r
est tout autre
J|
,
ds
Mom
trsux st ls lsgs lrrlormalsur Om
déjä all pléaiabic pris S0lgllcllSc_
ment leurs informations — et n’ont
jamais rien pu trouver d’anorrna1.
Evsreme de
que
“°“» ‘l°$ PV°°é<l“l¢$ ll l¤$lY“¢ll°¤5
Le 10 avm 1986, an nry n dene
que des motifs pour rejeter la denonciation de H. Z. Pourtant celui
qui est dénoncé 5’appellg Franz
V
m°.t mc l’°" am
dans dwcls °am°“S‘
l-re Pod? de Pmcédulic Péuale
dß
[ournent ä Vcnvcrsz
Le juge dünstruetion tait souV
dam r vc d dll
tcls ·qbus·
L ax-tlclc
1986
Franz
WV
sass
lus
paralllc le 14 avril. En cas de non,
arution, il s’ex se a une
ameiide ou ä une peibe d’empri-
^
*5
rr rrérrr*r·
heures 15 exactement, il est devant le J'ugc d’in5truction· ou Plus
preeigément devant son gubgtitut
Cerrerrl Emre-rrmvr Cerrerd rr
été Pillmll PFé$ld¢¤l dll Tribunal
Vépode distnet de Lausanne,
A
ai mit encore le subordonné
que,
·
Vdu juge d mstructton cantonal Ro-
ßljre
°“ bleu
rurveudre
·
mm
all
fall
ab"'
l’i¤§rru¢ri<>¤_
erw
ure l’j·€§•¤re fer den xusee
en le priant d’interrompre cette
mstructron pénale absurde contre
L’exemple A. D. illustreV a quel
pomtces plaintes sont abusives:
varrr lloprrrlorl
écrit
ber. Car d’autres plaintes, tout
aussi grotesques, parviennent en-
lors de Vemission controversée «Le déü» A la television suisse
romande, A. D. avait présenté
contre Franz Weber une declaration d’impöts falsitiée. Cette aftirmation lui est reprochée par A. D.
dans la procedure pénale B 115/
86. Pourtant, le directeur de l’A€lcantonale
ministration
fiscale
avait ensuite rectifié publique~
tre-temps au 34 de la rue Valentin
télévision qu’il s'agissait
rinent
’une allgclaration d’im ts falsifiée. Il n’y a donc pas deptiloutes a
avoir sur ce qui s’est réellement
passé. De plus, le juge d’instmc-
'
äLausanne.
presentation de demandes
reconventionnelles par l’aocusé est
une mauvaisc habitude tres répan·
La
tion savait de la bouche de l’avocat de A. D. que la Chambre d’accusation de Geneve avait confirmé
la falsification de documents.
due. Petit exemple: Xavier clame
un
A ee point, le juge vaudois doit
V
tout simplement attendre l’issue
du proces genevois, ee qu’il nc fait
pourtant pas.
Le 27 juin 1986, Franz Weber
V
sans
publlqus la plus
Chaque marrclrstrc rléssrlvs
large
dass lss journaux spports ds l»ssu
au moulln lls sss sdvsrsall.ss_
_
égiäldiänprgggggäräimlaggägggs
Dss jugsmsms somrs
lcsqusls lérsrrz wsbsr Pourrall rc_
rrégaslrrss
courlr su
mémc
Trlburral
s Strasbourg
fédéral
or, rpsrl
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·
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V
V
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.2ms ccnams °rg?msm°s'
ägisäan
°
jl‘;“fa"““,,;’ rj;°“c§
di; fl;
Po rl
r
serait possible d'ecrh‘e un lila maniere dont les tribusur
vre
il
naux du canton de Vaud se sont
rangés aux cötes des adversaires
de Franzl Weber. Cilons seulement que ques exemp es qui sont
aujourd’hui encore d’actualité:
O Roland Chätelain, juge d’instruction cantonal, avait diffamé
Franz Weber dans la «Schweizer
Illustrierte». Franz Weber porta
plainte contre lui mais se montra
ment
de lui.
räxpäs
f
juge cantonal iVViéron difama Franz Weber en 1982 a la té-
G
O
Le juge cantonal Jomini, presi-
y avait une fois un ecrivain
soviétique qui ne supportait pas de
vivre en Suisse parce que les conditions qui régnaient dans ce pays
sanction disciplinaire pour l’avocat de Franz Weber. Motif: il avait
rappelaient trop l’Union soviell
s'appelle
Alexandre Sol-
du prix Nobel.
regime soviétique le
jénitsyne, titulaire
En
contraignil a émigrer.
adversaire du regime.
preuves: que l’on consulte les dos-
fait
19*74, le
Il
était
un
La lutte que mene Franz Weber
souvent de
„
lévision suisse romande.
_
ll
tique.
.
ses declarations et s’excuser
dent de la commission de surveiljlance des avocats, demanda una
lui
.
finalement conciliant. Le juge
d’instructi0n dut retirer publique-
ll $Nl!0k@‘lIS
entendu par le juge d’inStruction. Cinq mois plus tard, le20n0·
vembre 1986, son avocat formule
par ecrit plusieurs demandes de
est
..
dsmcsrsm
Dans le css (ls l;-ram
weber ram ss loss toujours ds_
que
pour violation de la loi sur les collectes! Dans une affaire doncalaquelle 14 cantons ont refusé de
donner suite!
Pour un temps, le calme s’etablit autour du dossierC 135/1986.
Mais pas autour de Franz We-
publiquement que Théophile est
escroc. Théophile porte plainte
contre Xavier pour atteinte a
l’honneur. Et avant que le tribunal
ait eu le temps de statuer sur le fait
de savoir si le titre dont Théophile
a été affecte est justifie ou non,
Xavier porte plainte contre Theophile pour atteinte a l’honneur
parce que Théophile a ose se defendre contre les calomnies. Ainsi, non seulement la réputation de
Théophile est détruite mais il lui
glsrsprlss su
dllllcultés
la circulaire qu’il avait
Franz Weber avait
donc de dé-
incl.
cri
adressée a des amis et a des bienfaiteurs,
systeme.
·
parunau re n una.
Dans
ustlcevaudolse n’ads msnsr des rrrs_
sssilr
couvrir la vérité, mais plutot de
créer une confrontation politique.
ri rauen errenser Franz Weber,
iaanbin et le eine passer pour „„
m°llls Fil
uu
agsqrgrl
Vlgrrrg fieber grand
ru
rr e resur e re ausu
e
En vain. Le 27 juin 1986, Franz
Weber doit ä nouveau c0mparai—
tre devant le juge. Et il est inculpe
la
il
tructions judiciaires,
mut ä
derrré
lui.
ue
igiitpgs
-
V
·
ll1¢¤! l¤¤*ll¢S_¢°¤lPl'¢¤8ll ¤'•¤l¤*¢·
'
dcvlall °“ bl€ll
mclll °°S Plalms
···
V
°“‘
Si le juge agissait avec justiee, il
h||l’b¢mV°u|Ü|°
-———····—··-·‘-
_;,
srrerr
.
hoimsiual
·
'
tenb gomiiteniieoia
Vaud. 9ü’ dsipms des annécs’ unc
«coalition d Etat» femié°c°mprenant le Ministre de la justlee Leuba le rnuunn eantenn et le juge
d’instruction cantonal s’acharne
comm Franz weber¢ Msme la
"N°“° Zlllchcl Z°‘t““$" aux
.dé
ur
r l-bémlss nc
t
.
·
.
¢il·
de u e e
fidélité du eanaidut au
°“
a °‘“ °
ste
tant, plusFil)est
currence Angele Page-Barbezat.
Franz Weber. qui S’餤i¤ de beurre
gräce rendu plusreurs fois a Lausame a des auditieus complere-
r
slvcsi
Plug le
V
.ll‘°““°“' P'é‘°“*é°s da"? l° °““‘
ton de Vaud_· ces Messieurs se
lß dm·s“s|¤n
‘
llll'l°‘
.
.
Avec l°$ Plallll°S P°“V all¢llll° ä
p°
€ll°$‘mém¢$ $0llt
suite des électtons de pure forme.
leur
dr d°c“m°mS°
·
JllS°S °ll
dc?
mconsrstance evtV
,d°“**=· =* ¢““°'¢ ““¢ l°** Pal ‘ “"
malgré
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·
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·
Plocédule délä m°llll°mlé° °°ml'°
^· D' ä G°"°"° l’°“’ ‘a"‘“°“"°“
les
ourvoir et se
i§¤¤ge¤¤ iinil le ggteau dans des
réunions spéciales. Les élections
Mais les elieses vent eueqre plus
Pe irgr ,d’rr;,·rr··¤r rr
m me usllu’ aire onner une
suite auit P aintes de H. Z. et E. B.
·
Samt'Ga" pour dlffamatlon
land cnnernn, depnndesannees
l’ennemi de Franz Weber. L’intermgatmw toume ä la farm
·
·
membres
Vfideles
u es
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‘<·;,r·
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_
_
pllxs
stes
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Vl ¢il¢¢
Val im
de Fmlz w°l’°‘°·
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§I.iiE’“„i322äi.E.‘°2ä„..§
-
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Frrrr Weber
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presque un an p us
lald» le J“Sllc° "a“d°lsc llya °“°°l”°
acceptéttauqune réorgrelle preuve
c'est-
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aussl lmqllllélé Ear. le lugc
mm °°““°
du choix des juges sé révele
C0mm¢VUIl VI‘3l traquenard. Car
buent dans la mesure du possible ä
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com
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opposams, la pra-
la
les vrais
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d·=,griirV=dé¤e¤dd’¤grr=r¤r¤jer·
a eureusemen ce «peu >g esV
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dépendants et ä des proces loyaux_
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la justice
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taures. VPourtant,
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V.
de celui
que
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la défllälldé pflllßlSl'
Pale Soll Passée eu
truction
vis-a-vis
it
V,,,,;=l
j
noeuvres et refusent de dmmer
suite a cesVplaintes ou attendent
tout au moms pour entamer lVms-
.
ls gsrrdarmsrrs
V
‘·
VV·‘|
lui involontaire-
V
’
participé
a une conference de
presse. Ulterieurement, le Tribunal fédéral cassa ce jugement
parce qu’il enfreignait le droit de
l’homme a la liberté d’expression.
O
Pendant des années, le tribunal
cantonal protégea les manigances
d’un juge subalteme. Ce demier
tentait effectivement de retoumer
une procedure entarnee par Franz
V
|i
Journal
Franz Weber
Weber cn
qualité
dc plaignant cn
procédurc contre Franz Wcbcr.
En outre, Franz Wcbcrapr0ba·
blement attiré sur lui Virritation
des juges vaudois avec son initia-
|_
cn 1983 «Pour unc justice ä visage humain». Avcc 43
pour cent dc voix pour, cette mitiativc n’a raté son butque de peu.
Pourtant, elle constitue unc décitive lancée
Sion populaire incompréhcnsiblc
puisque les citoycns invcstis du
droit dc vote ont une fois dc plus
voté contre Icurs propres droits.
Lqnitiativc était dcstinée ä limi‘cr
.
E
g
de
Pour Franz Wcber, alle a un Bffct boomcrangl
C’est vraimcnt commc si on voules possibilités d’arbitrairc
Z-|
la
justice vaudoise.
|nä;
mit
|Ä
lui
montrer, ä
qui s‘est
lui
cn unc sorte de combattant
dc la libcrté dans le domaine du
érigé
|‘”
|{
droit ainsi qu’cn surveillant impavidc de la bonne foi judiciaire, qui
|E
ticnt
encore
les
commandcs dc
‘
Si ICS
quinze autres
gouvcmb
ments camonaux ayant
§.
_
„
W
gg,
les
_
·‘
|g
|’
Le juge
jllgümßnt:
Exception: grands criminels ou
tmfmon Famqna
„
„
‘
est
pmzs
[Ü
·
ouvcrtcmcnt tout aussi détcnmmcs
ä montrer ä Franz Weber qui commande dans le canton nie Vaud.
Le juge d’instruction ct son
°“" *°‘
°“Y‘° d_‘m°“q“?
mamcs Jusqu au 6 J“‘“°E *987 er
cofwoquc Franz Webcr a °°mPa°
lusucs
Pas;
_
·=S¤¤t¤g=1¤—
^¤SS¤m¤¤S¢¤¤¤=¤><_<1¤;
gcmcntldans son prmcipe mcmg,
au _m°‘“$ Frfmz weber P°“"‘|
ma‘m°“‘m’t fmfc un Pas cn mfam
i
ct portcr l affairc dcyant le Tribuna! fédéml- L6 délal Pour la dc'
mande constitutionncllc cxpirc le
lundi 6 jumfät 1987- Cette d‘*‘
mande F°“Sm“‘i°““°"¢ n’a Pas
6
lie
“ a“‘a‘¥ P°“t‘€“c Plus la
charge dv d0€S‘c‘” F“}"Z w°b€¥
parcg que le Tribunal fcdéral le im
cnlevé Pour ca}‘S° de Pam€‘
dans cc cas, il ne pourrait
lité.
PMS fw? mon"? de Sa P“‘SSa“°°·
Q“atI° J°“'”s “‘fa"t €°“° F°“"°ca‘
iaitrc lg 2¢} juin 1987. Zäprés
substitut n’ont pas cstimé quyil
J“'“€t»
était nécessaire d’env0ycr
‘l
mm a
a}“°ma“q}*°‘T‘°m “‘} ¢ff¤¢ S“SP¢“‘
cn P““°‘P°~ le jugcmcm °°“‘
tmvcrsé Pcut malgrc tout em? °Xé'
‘l
Weber ou
ponse ä
mw d°
Ccstsculcmcntcn réponscä
unc dcmandc que le Tribunal fé-
danilaqucue cc d°"“°V
savoir qu; la gicmande
constitutionncllc était cn instance.
Oue cette demande contcnait unc
WB
lui faisait
moins tégéphoné ou écl-it qu‘il n~é_
mit pas (yaccord avec la teneur de
cmc|emc_
Ävcc Vagrcssion
poiiciérc conlagqrsonncldc Fran: Wibcrflp
juge 'mstruction can ona a ait
lui-mémc tomber son masquc.
Pour mcttrc son action cn scénc, il
cnvoic ses subalterncs. Mais devant Ia presse il s’érige cnsuitc cn
héros sans peur.
Tandis qu’en cc matin du 30
juin, il raccrochc le téléphonc ä
Pavocat dc Franz Weber, il livrc
complaisammcnt des informations
fausscs A la presse.
«Dc l’avis du juge d’instruction,
__
Les ét
'
¤
¤
¤
¤
tut,
pour
comme
pouvoir compter,
si bien ancré dans
ccla est
Constitution fédé‘raIc,surl’égaIité dc traitement judiciaire.
Le fondcmcnt dc tout procés
loyal est cn fait qu’un juge prévcIa
|i
Lg
l’une des parties nc doit
pas étre chargé de Vaffairc concernec, Et, dans Vaffairc qui nous occupe, le juge d’instruction Chät¢·
lain ifétait pas impartial puisque,
commd nous l’avons déjä mentimmé, il avait dü, dans un procés
nu contre
|Q;
V
|ac
»
|\~
»
|g
pour lui ignominicux ct acgtqmpagné dc beaucoup de pubhcité,
s’cxcuscr auprés de Franz Weber
peu; avoir poné attcintc ä l’h0nneu; de cc demicr. Etant d0¤¤é
qu’il est le supérieur du substitut
cn cxcrcicc, on peut supposcr que
sous la pression dc sdn chef, elle
nc sera pas capable, elle non plus,
de mcncr avec impartialité les
procés de Franz Weber. Si la justice nc vcut pas sedégradcr jus-
|Ä}!
qwä
|E
|2
|=i
|j
|}
|°—
_
|gi
;_"
V
la farcc, le tribunal
¢&¤t0n¤l
dcvrait absolumcnt donner suite ä
la rcquétc de Franz Weber ct
mmgmettrc
lc travail
ät
lm
in
la
fond les dossiers et les
truitait avec unc parfaitc objccti-
naissait ä
plainte adrcsséc le 25
Cour suprémcidclu-
chois dc partialité flagrgxntc ct dc
dossier soit
cnfin rctiré au juge d’instructi9n
partial'Chätclain et ä son substi|ig
-
Dans unc
nc rcnoncc pas. En préscnun rccours dc tutcllc (unc dcmande pour cxcrcicc abusif dc la
function de jugc d’instruction), il
tcntc dc contraindre le canton dc
Vaud ä agir aussi justcmcnt que
quinze autres cantons. Dc plus,
SuSmcmi0nnéc_
tre
cusc
demande que son
la lettre
qui démontre que Vimportant
pour I6 juge dqnstmctgon étagt
bien unc démonstration dc pouvoir l0rsqu’il cnvoya chcrchcr
Franz Weber chez lui par la force
le 30 juin. Autrement, avant l’agression policiérc, il aurait tout au
V
Iais judiciaires,
il
ä Franz
ä son avocat unc ré-
Cc
‘“"“t encore
S‘f“‘
déralaccordc cctcffctsuspcnsif.
in-
sancc du c0urricr qui icur est
°
adrcssé. Pourtant ils ·étaicnt
__
_
D? toute
|_a|d°puis_
donc
formés au mieux, cn supposant
toutefois qu’ils grennent connais-
Exception: Franz Weben
_
d’instruction Chätclain
ct son substitut étaicm
dangcr dc fuite.
,
sanca
Et c’est la raison pour laquelle unc
audience du tribunal nc pouvait
avoirlicu pour Vinstant.
avant dc passcr ä l’exécution du
nal ct I6 jugement de Franz Weber
sigmfié le 4 Jum 1987.
aoüt
les
|7
rich, l'avocat Rudolfschalicr ac—
le Tribunal de district zuri-
«vit¢.
4
déni dc justice. Il dénonce le fait
que cc tribunal fait trainer systématiquement les procés intentés
par Franz Weber ä «Trumpf
Buur» (Atout) ct «Weltwoche»
pour calomnie ct diffamation
graves dans le but évidcnt d’atteindre
ala
prescription, tandis
quc cc mémc tribunal s’empresse dc traitcr avec unc rapi·
dité
étonnantc unc contrcplainte déposéc par «Trumpf
Buur» pres dc deux ans plus tard
ct de condamner Franz Wcbcrlc
1987 pour calomnie ct
dlffamation, alors que celui-ci nc
fößait qu¢ sc défendre contre ses
Cabmniatcurs. «Il s’agit Iä non
$€UI€m€Ut d’un jugcmcnt crf0¤¤é»,S0u|ignc Schallcr,«mais
objcctivcmcnt d’un déni dc jus*i¢¢ dans ic but dc nuire ä la
b0¤¤¢ rpnomméc dc Franz Wc7_juillct
bcr. Afm dc favoriser «Trumpf
Buur» ct dc préscntcr sa victimc
¢¤mm¢ calomniateur, les juges
SOM allés jusqu’äignorcr délibéJémcnt des pieces
décisivcs
du
d0ssicr.»
RudolfSchallcr attire cn outrc
Vattcntion dc la Cour suprémc
sur les «rcmplaccmcnts suspccts» de juges.
les
En cffct, toutes
procédures
concernant
«Trumpf Buur» (Atout)/«WcItwoche» ont été dirigécs jusqu'cn
mars 1987 par un juge qui conV
En
avril 1987,
il
est brus~
quement remplacé. Son succcs_scur est un juge dont on sait qu’il
dcvra quittcr ses fonctions deux
mois plus tard pour occupcr un
poste dans Padministration dc Ia
ville dc Zurich.
Schaller posc la question dc
Roland Chätclain, Varrcstation
devenue nécessaire parce: que
dcpuisihuit mois, le protecteur dc
Vcnvironncmcnt n’avait pas réagi
aux convocations ä comparaitrc ä
des auditions„» Voilä la tcncur du
communiqué dc l’Associatcd
Press qui fut cnvoyé ä tous les
journaux suisses.
Comme nous Vavons vu, cela
est faux. Franz Weber s’cst préscnté A deux reprises dcvant le
juge. Les putrcs convocations ä
si le
noncé ä
la suite
trict.
Le remplacement suspect dc
juges ct le vcrdict scandalcuscment erronné du 7
juillet
»
était
premier juge a red’une pression
politique äpoursuivrc les procédurcs ou si son rcmplaccmcnt a
été décidé par lc Tribunal de dissavoir
°
1987
laisscntsupposcr quele Tribunal
de district a dü sc soumettre au
comparaitre ont été annulécs par
'
diktat dc partis politiques.
l’actc de récusation.
demande unc enquétc aprofondic ct un interro-
Au quotidien «La Suissc», le
juge Roland Chätclain a déciaré
gatoirc public des juges conccrnés. Aün d’évitcr la prescription qui intcrvicndra cn juin prochain, Schaller réclame la rel
prise immédiatc des procés pé-
avec insolcncc que «la loi s’applique aussi ä Franz Wcbcr».
Sans aucun doute, oui, mais s’ap—
plique-t~cllc également ä Roland
Chätclain? Franz Weber s’cst déuniqucmcnt avec des
fendu
Schaller
naux intentés par Franz Wcbcrä
i
«Trumpf Buur» (Atout) ct la
«Wcltwochc» dont Vinstruction
est depuis longtemps terminée.
Cette affairc qui a causé ct cause
cncorc un tort incommensurable
ä l’<:uvrc dc Franz Wcbcr,trainc
depuis I’été l984! Les avocats dc
«Trumpf Buur» (Atout) font
tout pour attcindrc lavprcscription qui seule peut faire échap·
pcr leur client ä unc condamnation ccrtainc.
~^
moyens qui sont parfaitcmcnt conformes ä la lcttrc dc la loi. Le rcproche est unc déformation tout
simplement grotcsquc. En fin dc
compte, Franz Weber doit, dcpuis
des annécs, lutter pour que ccssc
cnfin la discrimination des autorités vaudoiscs ä son égard. Et
_
pour que
la justice applique enfin
ä son égard de la méme
maniérc qu’ä celui dc tout autre
les .lois
n
citoyen honorablc.
Ursula Spielmann
t
jllgé
I
‘”
._
’M—
juridicti0n
dc protection dc Vcnvironncment cn raison de continucls déII
|
la
tiérc
tant
~
r-·
vaudoise ne sc départ pas de son cntétcmcnt. Les déux dcmandcs ont
été rcjctécs par le tribunal cantoP0urtHr1t,
requétc cn vue de Vcffct suspcnsif.
’
Suisse cntiérc. Et il aurait bicntöt
pu rcnonccr ä ses activités cn ma-
A; ,
J
mw
dénonciations abusives dc H.Z.
avaient réagi aussi injustcmcnt
ue le canton dc Vaud, Franz Wcgg: serait soudain, sans avoir commis de föütß, impliqüé daß Q“i¤Z¢
procédures judiciaircs ä travers la
Q
FCHU dc Chätclain.
41
sep:./oc:./Nov. 1987
-
En temps normal, les tribunaux
compétcnts attßndcnt ccpcndant
Vßxpiration du délai dc dcmandc
d’instruction sans licns avec le bu-
cuté.
|·Emt_
it
N°2
.
.
'
,
42
N°2 sep«.1oa./mv. 1987
-
Joumal Franz Weber
Wglzwgchg
cédure judiciaire.
En clairzi accusé
’
d’atteinte a l'honneur.
—
_
_Comme quoi des préoccupamms V°d°¤d“m¢$ P¢“"¢¤* WP"'
de ngz
La premiere phrase du coup de
_
_
Voici un extrait de l’éditorial
«Cette semaine», de la «Welt-
woche» du 2 juillet 1987.
«La nouvelle de l’arrestation de
Franz Weber a laquelle
la police
du canton de Vaud vient de procé—
der mardi demier devrait en fait
nous comblcr. Si nous ne triomphons pas, cette nouvelle ne nous
a en revanche pas surpris: Car si
Franz Weber met l’appareil judi·
ciaire en marche contre de préten—
dus <opposants> a la moindre occa·
sion, il entend sc sousrraire de maniére souveraine aux autorités
chargées de Finstrucrion er de Ia
justice (
)»
Dommage que
«Weltwoche»
fois em—
ployée a désinformer ses lecteurs a
(vcuiucz
PIQPQS dg Franz
vous reporter a nos articles sur les
se soit
pour
constituait l’article sur
Franz Weber semble avoir énervé
des rédacteurs de la «Weltwoche»,
si
l’on en croit les potins de la can-
tine.
On
a donné, selon eux,
impression que
désagreable
la
le
joumal
n’agit pas principalement
avec la tete, mais bien davantage
avec ses tripes et sa langue. Les
rédacteurs avisés de la «Weltwoche» auraient peu apprécié
qu’une personne gardant l’anonymat se soit permis, au nom de la
interpellation.
-
sa
Leni
rédaction, d’exprimer le plaisir
tout personnel de se réjouir du
la
tre la vérité, comme s’efforcent de
bons hebdomadaires.
Elle
m
-
savoir au
.
goraägäzgräq äggäcscs
-
G.
b h
G',apds
mauvgig gang
Qn
Ep
win Bischof et n’est autre que l’ancien rédacteur de «Trumpt Buur»
(L’Atout). Madame Robert lui reprocha encore d’étre partial dans
8aucisI
pßfßßs Qaßßßs
,
y avait une fois un député radical au Grand Conseil bemois qui
apres tout
melé avec Franz Weber a une prol’affaire puisqu’il était
ll
,
-
CQ saßfé
«Le poete frangais Jean Cocteau a
une fois qu’il se sentait comme
un jeune homme qui s’était égaré
dans la vieillesse. Et il en va effectivement de m¢m¢ d¢ mei- Je ¤’¤rrivc Pßß ä l¢ ¢F°ü’¢, ¢¤Fi¢ suis !¤¤!
¤¤SSi S¤¤P|¢„ SPGFÜY ¤! dynßmiqüe
Q¤°ä 30 ¤¤ 40 ¤¤$- J¤ ¤¢ vois P¢F·
sonnellement aucune différence.»
dit
_
FFRHZ Weber 8
juillet.
rée de
ßl}
60 uns
27
le
crtation ci-dessus est til’mterv1ew de la «Schweizer
Woche»: «Etes-vous
Weber?» Le 2 aout, «La Suisse,
publnatt un petit hommage en
l’honneur de son anmversarre sous
forme de eommentaire. On pouy hre: «Lund¤ 3 aout, ll aura
60 ans», et Franz Weber de se fä·
vait
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dcs °°“$°$t°“t°S P‘°°h°$···
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PP
Le député bemois qui se fait du
Xeme
la
Rosen
Grand Consch A la fin du mois dc
juin ’ devant le' PIénum réuni• ue
q
,
la gestion de l hotel étart assumee
malheur des autres par un stupide
picd de mz verbal
causes des attaques portées eontre
FW) - au lieu dTentreprendre des
recherches sérieuses pour co1inai—
le faire les
que
griffe
préoccupait beaucoup du
Grand Hötel Giessbach. ll craignait méme amerement que tout
ne füt pas pour le mieux en ce qui
concernait la surveillance exercée
par la Direction cantonale de
l’Instruction publique sur _|a Fondation et le fonctionnement commercial parfait de l’H6tel Giessbach. C’est pourquoi il deposa une
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N·>2 - Sept./Oct./Nov. 1987
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deux ans apres l’entrée en vigueur
de la loi sur la protection des animaux, les essais autorisés sur les
animaux ont pu étre réduits de
27,3 pour cent, donc de plus d’un
quart! A la place, on procede do·
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avec la conjonction Pluton,
Lune et Mercure en Cancer.
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A
(C’est la fantaisie poétique.)
cela an ram ajouter UH grand trigone
de Fcu entre le scicu a rrcac acgrés Lion avec la conjonction Junner/Uranus cn Maison VH ä non
dcgrés Béncn ct Snnnnc cn Man
soo
8 un dcgré Sngntnno
(@*68; lo Zorro de ponvnonnb
f·
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*********c**9*** 9**99*9 P***$
rité d’alimentation, cette installation solaire est comparable aux
installations du réseau public. Elle
foumit Véclairagc et P9 rmet d'a|5-
*-·9P***$
24028
14316
Reptiles,amphib1es 3315
Chuens
3068
Hamsters
1139
Chats
1075
965
Moutons etchevres
ßovgns
959
Sm es
868
Oiseaux
.
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Potäs
***9**Y**$9$
*
Les
les appareils ménagers courants tels que réfrigéra-
menter tous
teur, congélateur, appareils élecet outillage élec-
troménagers
trique.
,
““°““
dc °°“°
‘“st?“°“q“ dähmcmatlpn cp él°c°
tricité. Mis au pomt a «l Institut tie
F*****c****9*_P9*** *9$ $)’$*9***9$ ** 9*
**9*8*9 S¤|¤lfe», gräce a l’électrom-
Hoffmann-La
Roche et Sandoza Bale.
ba·Geigy,
plus 35 pour cent; chevaux, plus
quc Purcn ‘* “c c°“S°mmc quc 7
W, lee qur ST répercute de facon
mmime sur a consommation gé-
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Socsggmcllzs glalcdms
Esmrgg sw- [88 animaux
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chercheurs ont célébré une véritable rcmiérc momnalc cn maném
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torres expérimentaux.
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Mans la chimie suisse asu faire de cette nouvelle effroyable une information
positive: «Moins d’essais sur les
animaux), annonqa tnompnann
ment Ia presse, fin juin,conformément a Ia ligne de conduite des
producteurs de pilules. 8,9 pour
cent de cadavres d’animaux de
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trouve a 5 kilometres envxron du
p°ste d’alimentation en électricité
le plus proche. Les spécialistes estiment que son raccordement au
réscan annnt conté q nc}que
400000 D-Mark, alors que le nouvccrr 5YSfémß 9ui rrmasc les ccilulesphotovoltaiqucs h·cna °°mc
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q oo la moitié~ Y c9***P**$ *c$ 99***$
99 d¢v9*¤t>p¤m¤¤t- E¤¤mt>*='*¤¤*
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trltsation
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de l’énergie inépuisable
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animaux dans
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$*** ****9 90**-
8*99$9 ***9**9 9**
en supposant que la ferme
est sunout fréquentée par les ransolaire,
donneurs pendant les mois d’été.
*95*9 de *’9¤¤é¢„ les seuls be—
soms en énergie sont ceux des cinq
membres de la famille du tenan-
conomiser l’énergie ont été
ins-
tallés.
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par une technologie lourde.
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sur des créatures toujours plus dévcloppées. L’un des principaux
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ce propos,
nérale d’énergie.
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chez Ci-
trois quarts
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187
chevaux
que jamais; ginggg, plus 18 Poor
cent; chats, plus 56 pour cent (!);
lapins, plus 21 pour cent; bovins,
-
un courant altematif de 220 V. Sur
le plan de Ia qualité et de la sécu-
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wm
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Resultat: les prises foumissent
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sémwsements <*¤S animaux «p*¤S
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‘;m°“ta%° °t ‘Ödg:° b';‘q“° °.ré'
consi ra ement srm-
nyOl'! 108
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*9%*3*0**95 Suisses:*
99**P9$ 9** 9**9***9*$· c*'9****c$· _***'
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ägääc äuxggät iläéjääignäz
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SIBIÜSÜQIIO de la
6
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KVA est uti-
·
‘é'“°
{**9***
un
prolongées,
groupe diesel de 16
lisé en complément.
35:::/cägäaüé
*=S
(21-7-27)-
d’intempéries
ture et les animaux?
de sang, des cultures de bactéries,
Une fois de plus, une branche
In vlsnm que dé_
dc néconomic innucmc ct tone au
sormais tous les astrologues se plan ünanogor nc s‘est souvenuc
metteng A eätalälir äqqgléqi-gicopc qurä In suite de prcssnms du peu$9* c asc **‘ **9
P9***
le et de l’Etat u’i| existait aussi
vante, de peur qu’on ne lui attri- sos mongél-os dggnblos broobos
bue un faux caractere.
dc notre é8n;noo_ (I-Ycsscncc sans
La pilule est d’autant plus, Plomb, los voiturcs n ontnlysoor
amere que son célebre horoscope vons saluent bien!) Que fnndl.n_t_n
est flamboyant: (Que les astroloonoon,
ur lc lobby atom°lq o c et
gues amateurs en prennent note):
égoomnggq)
le 27.7.27 a neuf heures du
Né
.
· ScI9** |c$ $*9**$**9**9$· 8 «8 1*9***
matin Bale. Ascendant a 16 deccm dc ***9***$ **9 *9**89***$ ($9****$»
grés Vierge en conjonction exacte
*“*S·
**9***$*c*$·_ c999Y9$)
$9***
avec Vénus. Cette demiere en
ii
L
b
de recherche étant la psychopharmacie. Est-ce la que l’on
produit les tranquillisants pour des
hommes qui sont désorientés par
notre maniere d’agir avec la naterrains
occupc unc surface dc 40 mz ct Sa
puissance est de 4 kW. Un accumulateur d‘environ 24 kWh fait
office de tampon. En périodes
toit. 11
energie compétitive qui ne cessera
·
de gagner du terram.
·
44
Y
·
Noz-scpr./ocr.n~1cv.19s7
f
Journal
Franz Weber
;rut¤»sk¤*******
er
V
_
6
la
(lll <<BllCl(>>
ä
Vadcna
la
la ****9
porteurs du virus du
(*6 malll,
continue ainsi: «Des hommcs d’affaires sans scrupulcs cxploltent la
p€Uf QUC l€S Suisscs ont dll SIDA
et réalisent unc opération gigan-
Campione
vendait des petits mouchoirs hygiéniques qui devaient avoir unc
action efficace contre les virus du
SIDA. L’Office de la santé publique met en garde contre cette
-···-**
SIDA omété
contaminés dans des toilcttes publiqucs, chez le coiffeur, par une
le6aoüt *987-
tesque: une société de
de Campionc
petit mouchoir
vante son
(1)
«Clcan-Aid». Cette société prérend que dix pour ccnt de tous les
«Le commerce écozurant avec
peur du SlDA»
[*3***
_
tprotectiom qui n’en est pas une.»
Dans une lettre publicitairc qui a
été envoyée ä (*6 l'lOmbI°CUX maga-
6
C’cSt le tit*9 qui 98*
Heinz R: Zweifel était, au début des années quatre-vingt, fournisseur die Franz Weber. Lorsque
_
b3lS€1‘
Lll'1
OU
la
·salive.
Pour se protéger contre cette
C0f1{3gl0I1,
VaClCl’18
la
1'6C0m-
mande ses petits mouchoirs hygiéniques qui coütent 20 francs les 40
unités. L’Office de la santé publi-
que et la «AIDS—l—lilfe Schweiz»
condamnent ces affirmations erronées qui figurent dans
tus publicitaire
de
la
le
prospcc-
Vadena SA.
«Quelle que soit la substance dont
cc petit mguchgir cs; imprégm-36
elle ne peut cgngtitugi- ung protcction contre
parce qu~ii
n’est pas possible de contracter
chez lg
cette maladie infectieuse
coiffeur, lors d’une poignée de
main, cic_„6 décrarc lg dgctgur
Alicc Jqricrr de |’Officg de la santé
publique, Comme cc demier n’a
aucune pessibilité d”¢ng3g¢r des
démarches juridiqucs cgntrg ccm;
société, il fair maimcnanr unc
mlsg en garde publique cqmrg des
informations erronées de ce type.
Voila pour le «Blick». Mais la
«Neue Zürcher Zeitung», la »Basler Zeitung» et tous les autres
journaux suisses ont eux aussi proféré des mises en garde contre ces
scru-
sans
d‘affaires
rchonirnes
ICS
commcrclalcc dc
de
„pr"t"l“°S
2***9**9*
plus suspectes,
ll Sc sépigra
SUIIC (*6 C€l2l, ZWClf€l
acc"? Franz Weber
P*“S*9***$
reprises dans lei courrieir deslec-
Pll-ls 9**
A
(16 lUl.
dc Pratlqucs ********9*9*9$
f*****d¤l9¤ScSeifutfinalementprq-
teurs
***0 9** *0**3
1*9* **9 *9
d mformateur
princi-
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P9*l*9 9 ZW9*l9l
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sehutaer Franz Weber
elle tirait ses informations
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Elections fédérales du 14 au 18 octobre 1987
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Les quatre prochames annees seront determrnantes pour notre pays!
I Le désastre de Schweizerhalle a mis au jour I'i_rresponsabi-
O Tchernobyl a montré les dangers mortels
des centrales nucléaires
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de certains producteurs de
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grande chrmre
O La vivisection est pratiquée sans retenue
O Les foréts continuent de mourir
Des mesures urgentes doivent ötre prises pour la sécurité des populations
et pour sauver ce qui reste de notre nature
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Nous avons besoin de representants competents et determmes
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Expiration du délai imparti pour
récolte des signatures:
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Photo: rdz
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Cfiers Concitoyens, que se passe—t-ul avec vous?
En Suisgacentrale, dans les Grisons, en Valais, au Tessin, des
inondations catastrophiques dévastent des régions entiéres,
jparce que les foréts de protection mourantes ne peuvent plus
retenir |'eayt. Et voti
pa; lfénergue de poser votre
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www-»—signaturé·?§Ü”?““LW“i’”Fö”rm’u air
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cesse, Öe vous an mformés, riés, relancési
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sont les réponses qu'on entend en récoltant les signatures?
« Le probleme est réglé depuis longtemps! »
„-Qu: «On ne veut Das aller un our au bureau ou ä I’usine an
milliers
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Ou: «T0ut ga est terribiement exagéré!
Ou encore: «P¤ur [gs foréts, c’est de toute fagon trop tard!
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Oue fautgil encore éfaire pour vous s0rtir de votre Iéthargie?
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manque encore 40 000 signatures!
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Renvoyez-noüs les Iistes vertes, méme si elles ne portent
quiune seule signature! (Fondation Franz Weber, Case postale,
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1820 Montreux)
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auj0urd'huiméme! Sinon, notre initiative n'ab0utira pas!
Et pensez qu’il mus reste encore |'én0rme travail de Vattestation
Faites-le
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des signatures!
C'eSt|entre vos
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mains!
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FONDATION FRANZ WEBER
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___ Ex bébé phoque de luxe en vison artificiel, grandeur nature, 52 cm
Ex. «L'éIéphant b|anc», 52 cm (merveilleux animal en peluchel
._ Ex. manchon en vison artificiel avec deux ravissants mini-bébés-phoques
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a souIever», Iivre de Franz Weber (288 pages, avec
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Ex. «Le Paradis sauvé», livre de Franz Weber (237 pages, avec illustrations, 1986)
.. Ex. livre d’enfant «La Princesse des Glaces et le bébé phoque Blanchon»,
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richement illustré, avec poster
Ex. série de 4 ca rtes de voeux avec enveloppe
Ex. série de 5 ca rtes pestales de luxe et autocollants Giessbach)
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temps apres, le plus fanatique de
l’équipc des démolisseuß tombe
d’un échafaudage pendant son tra-
tombe dans le Chanden (nvtere
passant sur la eommune). La ma-
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tombe, dont remplacement Se
dgdang [gn cms; il spy sys disc0|·dg_» Cs message qu’ils
saient, ils lui donnerent une valeur
marchande et vendirent poutres et
colonnes du
XVle siecle, pourtant
classées a Vinventaire. Mais ils furent pris Ia main dans le sac, apres
avoir touché leur ar ent sale. Ces
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tßbllf la paix entre les paroissiens,
On a élargi la route
sur Vemplacement du vieux clo:
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dont un certain nombre est
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nitivement. llaalorspréciséqueee
qui élall lmP°¤a¤*» ¢¢ ¤'ét¤lt Pas
ancienne
la beauté de Ia paroisse! Quant au
syndic, il souhaitait tout simplement que le passé s’oublie. ..
Honteux passé tout empreint de
mauvaise foi, quand, par exemple,
ayant refusé de donner Véglise
pour qu‘elle soit sauvée, mémc
combe a peine une année apres ä
—
Des ruincs appclam désespérémenr
le ciel. . . Mais seul Venfer répand!
désormais qu’un désolant cimetiere entouré d’un nouveau mn; de
béton a Yängle duquel un ridicule
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sement ltandieapé. Le suecesseur
dv Pféäldßut de P¤f<>l$$¢ °“ f°“°'
une
mmc avccceméme Fllßln
CIOIX et
cienne é lise se met a branler si
bien qnegie e„„„rr de
faitappeläuningénieur.
Enfin, ¢¤ date du 19 mai, la pa-
leurs sortidel’Eglise ofticielle déü-
il
duisait le trax |0rSd¢ lüdémßlltlon,
üls
de ·l’anc¤en¤¢ éßllS¢du eonserller de P3T0l$$¢ qulcon-
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est encore et restcra séricu-
vail:
saires
SOT! dd la
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lui
tion dufant la dCStmctiÜns
aussiavaitfaitpreuved’un zéle forcené le jour de la démolition, Sue-
creuscr entre _parttSa¤S_¤! adver-
méme que les cloches se taiscnt,
ensuite de pannes mécani uesLorsqu’elles sonnent toutesl en-
,anemereun
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sur tes tombes
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en béton garni d’une horloge style
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tenancier ayant dü y accueillir
sans distinotion des clients parti- E.
sans ou advenaires de Pancienne_...|
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des discussions bientötinsupporta-.|’
bles. .. apres que Véquipe des dé‘
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chirés par Ia discorde. L’unique
café du village a ferme ses portes,
molisseurs y ait fété cyniquement
sa «victoire». . .
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d’Etat ¢! la lächßté du C¤¤$¢l'V¤·
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des hainesséculaires,etle souvenir
atroce d.un de leurs curés, laprdé
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éßllsc d°m lls “° Vculßm Plus
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d’eXiSter, a la suite de la démission
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devenue accusatrioe; «Si tu veux de
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vont essayer alors de monnayer
son cadavre, d en vendre les morceaux, telle ladmirable poutre
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lin tuillet 1965, le Conseil de parerorsse se rend
a Lourdes pour
mercier la Sainte Vierge de les
avoir aidés a vaincre les innombrables Obstacles placés par des «mécréants» (s'entend protestants et
almcs
Décapitée, éventrée, pillée, _abattue ä la m¤SS•‘= sl au tm- 'éd“**¢ ¢“
sravats et ¢¤
egitse de Villarepos s‘écroule, dans
un naeas quasi tiaaboiique, et says
tes nennas tanstaques des parors-
contre une compensation financiérc importante (Helvetia Nostra
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I-cfcra pas le monde
mais sa täche peut ém.: plug
grands; cnc consiste ä cmpéchcr
que le mcndg 53 défssss ,,
pos· sernipelle plasés
mauvajse ewige? Ayconstatu
de signes parfois etrsngss gn
se-
rait vraiment tente de le croire.
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