Page 1 Scpt./Oct./Nov. 1987 Nr.2 —·| I "`—`—"`———————`—— F
Transcription
Page 1 Scpt./Oct./Nov. 1987 Nr.2 —·| I "`—`—"`———————`—— F
—·| om "‘—‘—"‘———————‘—— Scpt./Oct./Nov. 1987 I Nr.2 W F b . '~ Des SIQHQS apparaitront — _· dans le ciél C'estarriveen pleinjour .„| |Ä ,1| P Z N=· 2 - Joumal Franz Weber sep«.10a.1Nav. 1987 . Table des Chere lectrtce, cher lecteur, a ¤‘ Les rats du métro londonien sont immunisés con- Toutes nos excuses, chéres tre la mort-aux—rats et se nourrissent de l’huile de vous bouscule. Mais une paire de Iunettes roses ne sußit pas ä ressusciter graissage des 3 Lßgpgggign La police anétc Franz weber Pourquoi, nous a-tjon de- rails. mandé, l’homme que devrait-il étre plus béte les arbres morts. le rat? Naturellement! Imitons le rat. Caßeutronsj nous avec nos enfants pendant quelques annees a Les neufrpremiéres pages de ce journal seront dures a dzgérer, elles aussi. Pourtant, la dernlere maison quand le soleil brille pour permettre ä nos poumons de s’habituer ä la quantité extréme d’ozone dans I 'air. Installons-nous sous la tente jllsqlllä C€ que [0115 les VCFSHHÜS mOHtagH€uX S’€f· fondrent dans les vallées. Commengons par préférer les éboulis aux foréts. Nous nous simplifie- fois, 1 9 Lgvérité Qft tout gutrg Les événcments sauejaccms ä Varrcgtatign de F;-en; Weber gf ‘ § A , J q gp __ «“" °‘ Q| .| |.|_| ‘ _| .„| — _ v0II Delph03 BÜGNUVBY 12 y Uhistoirc de la dcuxiémc victoire de Franz Weber MV? Opmmn L¢S Y<=¤¢¤¤¤$ d¢ ¤<>Sl¢¢¢¢¤YS --—-···é--i-cI0y0Z-VOIISBIIX axtratermstms? D¢S P¢¤’S¤¤¤¤l¤!é$ FéP<>¤d¢¤* q ¤¤mm¤d••¤¤¤s••?. 7 rons ainsi I’avemr. Cer été a marqué le début d’une série d’événements démoniaques. Si nous érions des Britanni‘ ' ‘ ‘ nous mrserions mamtenant notre fortune dans des bureaux de pari sur la question de savoir si les Alpes devront étre évacuées des 1990 ou seulement en 1998. En acceptant d’emblée que la moilié de notre pays SCM t'égl0fl SlhlslféfTout cela ne constitue pas une raison suffisante pour oser une signature. Il en manque encore 40000 a la Fondation Franz Weber er a Helvetia · ·· Nostra pour lmztiative «Sauver nos forets» qui arrive ä échéance début novembre. Notre soif de destruction est-elle si grande que nous ne sortons meme plus le stylo de notre poche pour donner encore une chance ä la forét? ques, 2¤ . nous avions promis de moins parler de Franz Weber. Mais la justice vaudoise a malheureusement été ä l'origine d’événements que nous HC PÜUVOHS passer SOUS silence. Unefois de plus, la réalité est complétement différente de ee qu 'elle est apparue dans la presse. Le Bren et le Mal sont souvent trés proches l’un de l’autre. Dans notre journal, ils ne somséparés que par les deux pages du courrier des leereurs. Car aussz sombre que putsse paraftre la terre ll l’heure de son crépuscule, il existe des instants lumineux. «Qui sont ceux-la qui volent comme des nuages?» C’est la question que nous posons ä la une de ce journal. Venez faire avec nous le voyage au ciel! Nous espérons que vous en reviendrez avec un merveilleux espoir au eagur. Avec une perize lumiére secrere qui vous rendra dorénavant la nuit un peu moms obscure. Votre Journal Franz Weber la · 19 a · · · a · · ~ - ’ • Fete de fin de saison a Gxessbach , . . . _ ‘ _ ' · · F ,,.,0;, vmdnaaz Sgirég de (E[e;.dinq·_ musiquq distracri<>¤¤(¢¤¤¤¤m¤¤¤<¢¤v¤¢¢) · célcstes Samcdi: J 24 ——····l· ‘ ^,,é.., d,;l,..„„„...,, 2o_ooh Austra ÜÜ Buffet petit déjcuncr Déjcuncr Théätrc . PYö$·midi mon 34 · rom h Lesen „ I. 8.oo A . Cocktail 20.30h Les assassins de chevaux con_ damnés par la Cour Intemauonale de Justice des Droitsde l’Animal démgnt . _ · 11gge;500()()0excmp\aires.Parulion "‘B“‘ ‘““'¢° F M="“§° { 330 (§‘g;Q'f„°‘°°“°°“"°°"“‘“"'° HCT , , . V. _ _ 38 chembre single 400.- par pcrsonne Fr. ;so.— Chambrc deume Fr. Fr. Un eontedc Franz Weber . carégorie de prix II Carégoi-ie de prix III (Nord, vue sur la double Chambrc single Divers Fr. : Pcrsolmc 360.- ' scuéudm Ruth Photo de eouvenure: image Bank zürich goäwftlgtdlnnireuion: zouikorer AG. ll CH 8I‘I stßaucn Rédncüon, Ailaggfrktzriläiif ‘ löl. UZI/64 24 24 ct 6437 37 ”Anu0neeg: Une maison plcinc d'cnf°anrs esr unc maison hcurcuse! . Vcncz avcc vos enfantsl . un po.- par pcrsorme FV- 7-so-' Par _ . Alfred Fraude, Thérésc Mauris, Rudolf Schaller, __ ' ‘ F a 1 ggéf (Sud, vue sur Gicssbaeh cz/ou lac dc Bricnz) Fr. 360.- par pcrsonnc Chambrc double Suire (1 pers.) UIIB p0IgIIéG Ü8 {BHS bfllllß w be C0lhb0I'I¢UII|l¢¤¢I'l||||é L°‘ “°"'f“" Lcs chambrcs restent ä disposition de nos hotcsjusqu a 17 hcures. Cncégeriede prix! U ä'i'.7‘” ,..§¥»'ZiE.§’{3‘$l2.?é"°'“‘“““ • - . _ ' _ Buffer pcnt Apws-m·d‘ 36 Lg llrmcissg Aga Khan ct la cmsme v g mncrmc _ 8.oo a ¤o.oo h . renforcé wire . . ” bal dc fin dc saison, buffet dc g“ ° (‘°““° d° S°i'é¢) _ ré-loui er _ convicuon quülfautp0!¢TSülW'8 la redgerehe. de M vénte- _Pour pouvotr la transmettre G MOS Iecteurs, sans fard mais également sans lache. · Dimanchc: im F4 Journal Franz Weber .| Gqand _ ex-‘ Om pmfom Quclqucs points ä retenir dans _notre P ro8rammc(Qui contient, cn P Ius, dc nombrcuscs surprises!); UH VOy3g¢ ÖZIIS les SphÖl'CS ‘éc' Hre que mic mel a F Debut; Vcndrcdl S9"' Cloture: Dimanche aprcs-midi Un srgnedens le ciel . ,8 ¢ premier numégo du Journal · _ genshne ' V S ‘ *·‘‘‘‘;| re- devant Ieur s’installent IéC”· du 23 ¤¤ 25 ¤¤¤¤br¢ 1987 .„ C nous avons ues de nos lecteurs sont avorables! Fantasti(Iue! „ 3 . - P. ·S. Sept sur dix des lettres que NC manqucz cn mmm Cas la grande ·=·· — i Ai ‘ chers Iec· lectrices, teurs, si notre accueil en favaur 45 • EIIFHHIS (dans la Chlnlbff des PITCHYS) jllsqlllyä 6 ans dc 6 2 rz ans tél. momc prix --1-··-··-—········· Lß unna, demeumnt OUICS i CS PICSI26IOIIS CI maH erCS 3 IOIIS sont incluscs raircs. Chaquc participant rcccvra un programme détaillé. Comment Ia d¤S!¤¤¢!i0¤ de l’égliS¢ vom resewer, appclez—nousaujourd'hui méme!: Tél. 036/sr 35 15 • am T de Yillarcpos in porté malheur aux habitants du village · nes 02l/64 24 24 cr 6437 37 dc tcx‘ Tous tes, dc pbotographiesou dällustrzmons avec r· pl’IX r0l’ ll- I "°"“"‘°°“ ‘°i,‘{"é°“°“‘Ü .l'L,’°“l°“‘°“ii»¤¤ I -?OU! ·l¢ ‘ IIIBHUSCTI des p‘l1:äé(il;s:d;inarriä:;esrdeclinée. . al vcuilkz anime; eeiua-es au giochli °“ '° F°“d°“°“ F'““* w°b°'· *8 Gnndhmd F ‘ q _ l i - · . V . : „„1;m!·‘r ‘ ‘ ’ Journal Franz Weber 3 N··2 - Sept./Oct./Nov. 1987 sont venus Cl'l€fCll€T les cammuneses. Je ¤'@l den dll; Je n'étais pas communlste. Ü r 3 |-3; E 3 ’ l_ersqu·ns ont enfermé les socsaumémocraies. “??“ÜÜ??‘=|;;¥ Je .. .—| .3 3 | 3 li larsquees ontanélé es carnoveques. l? S| _ Je n'étals pas cathollque. _ |' 3;| 3.;~ Lorsqu •Is sont venus me chercher, ll nerestaltulus uerssune Pour pr¤teSl@t Mensa Nlemollerlthéologsenauemanu, incarcéré 3; _..l. _ g g;;;,;;,,,;.;., 3__ |.: |.~ J. 3 parles nazlsde1937a1945) ”•··¤ ; _ ' E 3| I 33 ” VA I l |’| l A .;.;., |:¥:¥;§-:;;.4; |L ’ -· :;.3 tii| l ä 3 ,. > _}| " > r Comment, le 30»juin 1987, la police vaudoise a foulé |Y?—=-=- ‘ ‘ J J 3 aux picds les droits ancrés dans la Constitution et les droits de l’h0mme en pénétrant par la force dans la mai- . r ° f" p • ' 3... J g q /' Son de Franz Weber, le brutalisant, le trainant hors de chez lui comme un dangereux criminel, le jetant dans unc cellule BI le f0!'§3l’It finalcmcnt äcomparaitre dc’ J f' lé 3 J 3 ' |‘"|"|‘¥¥€E*?:I:‘§‘Ü” %€=E‘Ä·!‘Ä=-·=» contenant des récits des personnes concernées. ‘” ‘·.2· . |3|. . 1| J _‘ ‘ — ..:€;Äe€¥:ää?i5=.| J ,_ # f=*‘:" 3. ,_ · e.‘ g ..3‘Ä-=¤E?‘ .s;5?".;.6Ä:‘.L::¤E”” ¤-Ä;-§:?“.§:"$ · ’ LH péllf est déjä lä la veille HU soir et elle est indicible. Une avalanchc man- tagne, tu es dessous, tu sais qu'elle va t’ensevchr, que tu ne pcux plus t‘echapper. Je me tourne et me re- toume dans mon Le sommell lit. ———————--T——-Päf Ursula Sglélmällll _ Iliésfjäas assez °°mPlal$am Pour ls P°“l’· ml? $6**** :1“‘“°_w°l{¢" sul lm? a· mc Ä; pgéc aacmqäé g ll °c an Fl lm Qu mu mm Sombllfcdnlm E é“° ‘°“l°¤V$ 3 . J älus unge|ä|ääéää| eyenr_ 'C’cst un jour d’été tout aussi radieux, avant-hier seulement, que Franz Weber a perdu dans la pro- .. _|_ voudrais aller interroger les policicrs sur ce qu‘ils font la, «la police veut arrérer Franz Weber.» P<>¤l9ll <le3¢¤¤tre 1 la votationsur initiative «Sauvcr la Comes), cux wr? , n;“;‘a;“·l°$ S Pas °°ll"¢ ¢l“°‘· Le _ _ lCllCl¢m§ll;l ä mfllllgg t h¢¤f¢§ Vlllgl, ]¢ ¢ Süß; ra Z ber teléplione e_t sa V0lX ßsälauäsl ° ‘lé¤llé¢ démütlöll ¢l“° cc fi lhorlogeparlantc. «ECO¤lf¢„ ll X3 des polrcicrs devant la THZISON. llS _ A Sept veulent venir mechcrchcr. heures moms dix, rls. ont déla sonne le rqesin, mais ils ont fmt comme s’iIs ne voulaient de moi qu’un renseignement. Va peut— étre au numéro onze (le bureau), ferme bien tout ct rappelle de bag_„ C’est . maintcnant éprouve un choc,doittoutd‘abord mon souticn se remettre. Nous traversons ä pied le quartier. Un peu plus loin, pres du garage sur la route principale Mon- parmi la population s’est étiolé, ils vont venir», avait-il déclaré l’a— pres-midi dans le jardin. On n’en arrivera pas la, pensai—je cn si- la- Je m’habille rapidement. Des ehaussures qui permenraiem au lQ¢S0m de courir. Ne pas oublier lappareil ä pneree Orer de mon $§¢ les Qhoses mutiles. Le jour ne tappartnent plus. Il a ere vglé, kid¤¤PP¢ par des forccs contra lesquelles tl1_¢S lmpuissante, Sur le chemm qui ntene au bureau, je vois devant la villa _de Franz Weber deux voitures msohtcs et deux hommes avec des postes émetteurs-récepteurs. Ce chemin plein de charme prendtoutäcoupun as- pect guerrier. Sentiment d’impuissance. C’est la en face qu’elIe sc - gmnve, un 1111 jet de maison qui m’est déjä fa· la familie, ä, ~ merveilleux matin d’été, pourtant le soleil est trompcur. ll fait un temps ä tomber pierrc, la amourcux, ä de Penn roujours plus loin ä la dé- en vacances, ä prendre des bams de solcil. PerSonne ne s attendart a cc que la gucrre éclate, en cc beau _jour d,eté, bleu — vatt. vas voir, qu’1ls shmagincnt que d lm¤ß¢S— ‘—-•.,\___ _, lf partir comme dans Ou ä ¢¢ les hvres q¤°u¤¢ fßmllle 7*774***7 _ miliére -inaccessible. Une famille dans Pocéan sur une ile qui menace rive. A la perte du burcau, le tombe sur Madame Krieger, une collabo- ratrice. «Vous vencz?» lui dcman- dai-jé avec précipitation, car je Je ne sais plus s’il régnait un silence de mort, en tout cas, c‘est Vimpression que j’ai cue. Comme si lc dangcr qui planait dans l‘air avait fait taire tous les oiseaux. treux-Vevey, un fourgon de la gcndarmerie est discrétement caché. Deux policiers en uniforme se servent Ce matin-la, Franz Weber ne pas encore que le juge d’instruction. suprémc du canton de Vaud a établi contre lui un mandat de postes émctteurs-ré- salt cepteurs. Madame Krieger pensc vraiment qu’ils se contentent peut- de contröler la circulation. Elle ne travaillc pas encore depuis d’arrét «ou qu’il se trouve». Mais il assezlongtcmps chez nous poursavoir que Franz Weber vit certes en Suisse er au bord du magnifique lac Léman mais simultanément aussi dans le Far Wcstetcntouré d’un ri- sont venus l‘arréter ctce qu’il sait avec certitude c’eSt que tout cela est illegal. Plus tard, nous appre— nons que ce mandat d’amener est daté du 23 juin. Ccpendant avant la votation sur l’initiative «Sauver étre est clair deal! de fer. Ils sont toujours lä, les deux V¢lll8¤¢¢», me dit l°ll¤ ¢¤ mßhianl gßuehement lorsque je vcux savoir ä qlwl Ser! le poste émetteur-ré- ¢¢Pl¢¤f <l¤°ll¤d8HSl¤ main. <<$¢¢l’¢l }>l’0f¢SSi0¤¤¢l», en r1canant,_ répond- impénétrable comme UHC chemmée encrassée, lorsque j’insiste. La situation est surréaliste. Deux policiers sont la comme s’ils - lui que les policiers amener des voix a Franz Weber. La justiceadoncattendu son échec ä l‘aspect du fonctionnaire. «Sur- _ pour la Cöte» (du 26au 28 juin), l’arrestation policiere prévue aurait pu hommes devant la maisonde Franz Weber. Une menace bien habillée, il ' voulalent protégcr les habitants de la maison contre des cambriolcurs. L'lronie, c‘esr que ce sum les habitants de la maison qui cherchent a se protégcr justement contre ces policiers qui vculcnt entrcr de force. .. «Ouoi????» Madame Krieger doit se rctenira la rampe d’escalier, elle Ou’il ne gagnerait pas, cela ll le sa- lence. m°‘“¢ °“ Sa{dc z ct J¢ '" ‘_ son _ —j§;§jg@l:| V_ soudain assiégée, harccléc ct agrcggée par des ellelers (lens rgueruer ,rnerve1lieum·uem ·versoit _ _ :j" . J|; . pendant unc scmainc pour cntrer en 3¢ti(m_ De retour an bt_“·gau’ je télé. phone de nouveau A la doneresse». «Maintenanr, tu peux venir», dit Franz Weber au téléphone, «ä present il y a aussi des gens de la télévision. Tu n’as pas a avoir peur. A toi, ils ne te feront ° rien.» 3 4 N<·2 - sep:./oe:./Nov. 1987 agressuon en Images-) I- Joumal Franz Weber V 2|3_J‘ V V -» V "* ‘ „ “* ·~ V ‘ ” 2 ~‘ .„ 2 2 2 1 V jl V 23.:3 ,.3 VJ’ ii.V- V 22 V |°° |3. 2 V V 3V3. V VV_2 V 3.2; 25** 3 $2; V' ~— V 2.| -::272 ' ’” 2 2 V: 2 V-| é- V 3 V; ·· · ._ ä‘· 222 V 2. V V V V Z 2~ V zi:é:IV r 3. J== 1-V |·‘ V 3 V..3333; E ·‘| 3 3| J VV 3 ÖÜ V’° 23 3 ·‘ V |22| j 3 3 V 2: V 2 22 V 1 3 V 2 V „V Deux policiers en uniforme, clzemin romantique de quartier est investi par la violence. Hui! heures calme pesant avant et demie, le l’0rage. s”affaire ll sur Pendant tour ee yempsr im petit sourire sale anime son visage. «AlIez-vous·en!» crie Franz Weber de l’intérieur. «Ce que vous faires est infäme et ignqble!» la porte. Le serrurier en chef Personne ne fair preuve de plus de zéle et de sa- Le vélo rose de »Vera et, pres de lui, un homme au service de l’Etat qui, voir-faire pour forcer les portes en plein jour, tente de pénetrer par effraction dans une villa. la maison de Franz de Weber. |fi? Z;] Avev üCh“m€m¢’¤¢„ un et 2 s V3333. VV VV |' 3 · V3·· · V in |ff . ·· V33VV 2 V| 2%|3.V 3 V 22 ZI' 2 ij; E ,· V V' §: *‘| |iäiiäiääzäsää ‘ 2| ‘ -- V 22 „ 2 J >‘ 3[2f .3 .V 2 -· 6:2-221 V j' iV| V V l -¤ 3 |7 2; ··é v3_‘ |:3 =-V V |51221,252Q2; ”' é ‘· ·2§j 3 2**2| ·” V g; j J E2 V Ü? J 1 2 ·· 2V V V “ ¤· 2 2: ‘ Q 22 2 ii ii |Ü 2 V; V 2 VV V V V 1 V 2V ° V V ~ · 2 2 2 ’; *- V 2 A Tentative d’e raction avgffgß Maintenant, c'esl un de ses collégues qui tente sa chance. Sans plus de succés. ··| V VV·~——V évidence, our — que fajfß? Dg le platlsir l’homme en chemlse ti s’en trouve pas entamé. l'ins- V' fßufß qu'épr0uve carreaux ne V -6;: éggxg-g KVV 22 |V,| :V' Ensemble, rwus sommes forts. La porte tremble mans elle tzen! bon. ‘ vue les bras. Peut-etre que ga marchera de l’autre coté. q L| V- V V ~ VV _' Qu bon policier, on ne bazsse pas si 2 V V ·‘'''' 9 V T V V V 1 ‘P 2 2. 22 "|’ g. V- |äß Y YV=VVV 2 |V r|Il ·.| J |äéäfVV| 2EVif-5 22 ’° ‘§ Z' 2 2ViVlV ZV äääii V 2 V_VVV|aizäeie VVVV. V VV| V 2 2|2 — Z V—VV V 2|:| 2_VV‘ V V 2VVV2 Z;.V·V .;E;."=E;;;·V.V 1 VVV -‘·‘· §s2:i·¢^ä232;25E;:;‘:2 V :*-|*3 2;;;| _· ' ·’ · V 2 „‘ 22 V VVV„ 2 3 ·- 2 |2* |2 1 2 2 ·‘ |2. 2 -·· En face de la maison, Iefourgen de V;V V j 2 _ Ia "” YVVV' perize véranda du jardin. ‘ - Ne pourrait-on pas donner l’gssaut ä la matlson parla fenétre du salon? I g gendarmerie s’estavancé devanl Ia grille, prét La j *2 2 __| V- „e[_ Il „'y ä emmener le eriml- a plus qu’ä le capturerV deux fgnerionnaires en umforme regoivent par Ieur pgvste émelteur-récepleur les ä suivre. irtstrußflürls |-· facteur se tient, perplexe, devan! la boüe aux lettres. Son coup de sonnetteest resté sans réponse. Le jardin est plein de policiers. Que fatre de cette lettre rec0m· mandée. . .? ’ VV V ont escaladé le balcon simé dewmz ld fenetre Le Y -_ du salon. La délieare porte 2v1trée ne dorme pa; Pimpres- sum qu'elIe réslszera d l'effrae1ion. Pendant dtx mmutes, on essaie de tqutes ses forces, srsteV pourram elle re- «V0usn avez pas home?» en- !¢'¤d·0¤ ld VOL! de Franz Weber. Journal Franz Weber N°2 A 32| 2*A-| V V| -* A'| 5 sep:./oe:./Nov. 1987 V AV V|ÖA| V2.|VVV.‘ =V=VVVV VV V V A2| V V |2| V| V VV -· V 2 2. VVVV A' 22 ": |2** V- VV2. ‘~ 2 ‘ ‘* V' V IE V V 2V22VVVI 2 VV 2. |llääV ZV| 2 |‘„ VV| V t' 2 -· _· V VVVV2% ‘2 -= 2 VVVV 2 AQ AA 2 ,2 A |V2 AK ·· A g ‘·-VVV22| |jf A AA| '* I2 Al VÄÜ l°‘ Ä-: sp 22 AA 2| é 2 - V VV i' *2 V V JVV VV; V.V. VV V.V2 · :2: 2 ' ‘ J 2V-322§5§F$‘2i=.:?2"* 2 I I V 2V=E" ·A V Ä V-VVVV LV-| VVVV‘ « - V 2:::2| A 2-1|*2 V2 22?‘ «• 2 ‘ |Q? ·? ri V- -22VVV=** 2 |2- ··V=‘ 2- IF? 2 2 V V2~'§*22a%2%?=*2‘2‘ V 22 V.V.V =S? 2‘2‘ V- y V ..VV JVVVVVV -V 2 A 'A ~V2V2 | V 2;;| Flein de suspense, pas vrai? La vie quotidienne lle policiers de prvvince ressemble enßn ä celle du « Flic de Miami». 2VVVVVVVVV .‘ Z ‘'’‘ &?;A¤E V2 l2 |V2| "* VV}|; |ef . . V' V- V V |2- 2 j |2| @2 ééiär A' 2 A' V„.=e;i*¥lT VV.2 2 V V5: ‘V V„ E VVV V- ‘ V 2 F GVVVV ‘*2é VV ia 22 V2 2 " V' |" . |22: V2 V VVVZ2-* V -*2 V= V ==·V' V- - -2 2 V V A Pllls ll? [Plaisir? VV ÄA 2V V ZAZ 1 V 2 2 _2_2 V22VVV *2:| AA| é V 2 2 .2 V · . l.Altomme en clicmise a curreaux tente de cldoncer la porte au burin. Utl uutre en unifbrme est egalement grimpé, mais pas pour longtemps. V V 2 an VVVVVV2 A| ...car la balustrurle de rres n 'est pas habltuee a autant de pressmn. Elle M' f0lll[7tV Des plerres lle tazlle et UN pollcler degrmgolent dans l l1¢’fl>e‘V L Aaulre polzcier rz!. Lequel tles lleux ev¢’m'rttertIs lui procure le 2 V|aé V == .VVV.2 ,.2.V · 2%- VV e|r; 2 |VV Z VVVV Hä Ai =VV V-·‘‘’ Iii!| F ää j |E ·‘ V A il 2 V 2 ' 222’2VV2V {E2 |52* 2 |*2 V A V·V- _A 2 V 2 21*2:-1. V. 2. V 2 2 |:221 S 1; VVV-· V.2V, ' 2igäVV „ F2 Z V| :2:; -V 2 ;-·" ·- |V · . ‘f. : V- V- V A V V 2 VV VV 22 ·· «< V V- 2| 2 " VV.2. .V *2- V *’ VV.VVV. «- e, FV-.- *¢ ~2= 2;..: 2V.V2 iV :2V2=‘¢:2:;: V 2..V 2 ..V2 V2 |V V- |2VV| |VV| A A ¢A Ii' V V VVVV 2. A ·A V V 2 **2| V -· 2 22: " -- _' ‘- :-2 2 --¤Vg¢2·g<··‘ ·‘ V' _ V "< 1*| 2 2 2:62 ·- |VZ 2 °’ A - 2f ’ V| Ä VVVV= 2V V22·-V,-· 2 V· 2 V2| VA|VVVVV E1; :2 VVVQZQV VV .2.V ‘· 2 ÄVVAA ÄA V «A ¢Z::_V-2 A V| 2 2 22‘ ‘· §_‘Vr"= 2 VV |V| _V_ A A A Pendant tout ce temps, V V VV fvrtßttvrmazre dans Paitimdg AAA nu C tlsseur de gros_g1bierIorsqu’;lse fall. pllülügrüplller avec Ia proie qu il went d abattre. 2 lg (·ha[ balustrade plus que cenienaire gl! ett morceaux sur le parterre de souciurlee, fleurs. évldence preuve ¢l'interér. La Njk- ki est assis sur son siége de paille, en toute tranquillité er en mare in- mals ert faisant de toute Ces messieurs de la police ne sont pas arrivés les mains vides: ils ont leurs Ollllls de cambriolage, de qualitéprofessionnelle. 2 Véäeéäsé| A Aj _.| V 222.2.2VV.V2.2.2.22.V.2VV2V.VV 2 A 22 Y 2 A ·- 2 V 2 2 V ‘ - |-2 |E2: V_ -VAA VA| A ° |·2 A -A -2,V ,_ -— V 2 - ~=2 -|. “¥2 VV|AVV=iä?V| V 2 A j·· 2V v V r VV·—VA V V ,·| V AA| A A V V 2 A ‘· ’- ~_ 2‘·· .2 VV‘ féf,2AA VAIV2V2 2V |E2 _V2 A°A'22| VV ·V ¤V.VV,2 V ·, V |2-| 2 :‘j;.·‘—: -. V 1; C-|- “;V 1 2 'V V .V2V =— 2V2‘· 2 V VVVV 2-2:2; 2 VV-§·| 2VVVVV VV.; 1QAAA| " 2 A -V·V |EE z V ¤-V?? V V 2 |V2 2E.·—‘ V e. 2_-V2 V VV V °’ V .·¤.V 2V2VVVV V V 2 -.| · V -‘ V-| 2éS| |QVEVVQEV 2 V 2 | V |ii *12 2—V- |ig 22622;| V V 2-| AA| V |AA ‘¥ VV·| V ·‘ VVV 2;;| 2.::| A°‘V| V ä}| ‘ 2 1 V. 2 ' - _· .2-: VEV -2 L V. '= VVE.VVVV V V| 2 2 · 2 2 "' .522|* IÄ2§ Y xA ;V- .V:T *1VV V -2V=-V-· 2 V‘· 2 1-.1- V V2 V -‘·I;‘ 2| jVgV.2 V Z V V |tiVVVV 2VVVVVV. _2 2.122:; V |éVVV 222222 ·2 I=2VVVV i ° ·-VV ·_ :;:;:2;;;-:5 - 2 2 V| |'; 2 ‘ 2:; V V 22 V - 2.V Ah! V Quatre hommes devant une porte avec leurs poings, leurs muscles et lm burin. "‘2 . . . et deux mains d’enfant qui s’0p- posent ä cette menace. Erlßrl ll se passe quelque chose! Le burin a2 eu de I’effe1, la porte de la véranda commence ä céder et se courbe vers l’intérieur. 22 A |22- Vite · ‘·-· V un manche de räteau est intro- duit dans la fente. V . 6 1~1·—2 V Joumal Franz Weber sep:./oc:./Nov. 1987 A ·* « |j' 3:;. ‘; V A-A’ATV'V’‘ AVM A|Vqqq. -6--V2iVV} VV =’ V e V ‘· 2- 1 i A · . 2 j äß i·3=Vé§SE:§ · ··=E |Fésäaiai; |gf V VU| · 2V..2V. V-=-·-:;:~:.V-· V|VVV-· III $4, V 2 V.| | z 6 t; V-- V V V L1' V . ·. V .|· |2| I __ |V- V V- V2V22-VVVV · V 2 A " 2 2- V 2V.V ‘·| V ,15.-, V A V Il-1 |TélV V gi; ·‘ .‘ ‘ |A V| A -VVVV.° ‘ V- A AV V ¥” · -. V V . A V A A ·· V .; A . ‘ V V A ’ E -‘| Q .___ - V V.? A V A. ·· V| V- V. V · é¥=¤· s A ,.V Af| V V V A · ’;2 VV V V. ¤VV V I V ‘· *|2* V V l ·V =*• V , ruent sur le criminel. VV Ils empoi- VVAVAV _V _V |·· V -V gngm fgymgmgm Franz |··| A 1 V =‘ * ¥=¥= ...et l effractzon est reusste. Tumulte. cmq, un pour chaqug braj, un pöllf chaque jambe et un pour rela täte @~ place- Urw svérw qu; rfgsl pas gang yappgjgy la vjvisecnon. Ces fonctionnaires, eux aussz, ne font qu’accompI1r Ieur devoir. . . A A V V °” AA V en arrachant de sa maison . V . et lorsque le «terroriste» se dé- fend, réprochable . lui . . . ' - V Y VV . . . comme un terrorzste un cnoyen ar- °’ .—¢';.!£,_ · on se rue de nouveau sur . . ' ·: >' ,1 e- A A - l "" ·A V · ‘ -V _ V- r Q. A _V l| I V -· VV |VV V ·· A| |grx|V ·· V AA V' Ä A. ‘ V. V Vqeäeäéäisäiäilääzg-;;|< AVV; - A AA A g;|VA| A " ····· ·· ·· V-- V AV.V.-..V2? |VA A | VVVV-· AAV VVVVVVVV <‘| V| ·A |‘*’'‘ °Ü VV.V= VVVVV| V V·VV¤VVVVVE- V|VVVVVVVVVV A=V.AVAVVgiVV V AVVVA ;V- VAV. TVVVA| V VA| __ V| -1- g ‘; g VVVV- V· VV A V V · ‘· - V VAA A | VVVV V AAVVVVig ·· |A V-|2|VVA J VV -V_· ·V A VV-· z; VV| V A- A |läd V- V .. V_V V cettefois ä qualfe contre un. on le traüze brutalement long de l’alIée de gravier. - |¢- V A , V| AV|VV|AVA , . V. le . jusclulau fourgon qui l'attend. television et les reporters [CMT camé—-- V V V - VVVV VV VV |A -V V· · V —V · A V g 5-V V ~:VVVV| " a V·V| 1- A V- V |A. A V. VVVVV V V A V ==V QV]| V;V‘-V Ei"; Elia‘VVV V V I. V V VVVV |ii V.| V V VV VV ¢¤‘ 3Aj 3 - “ V . | ···*" Vgsäeäsé-| V |V|. VV ä -· · · V V VV| VV V|. V V.{V| |V| V V |V,| V V V A V |j| ·· V: :~ ‘ §° V *1;--;-:-;-,- V -- VV -: V ;; VVV. V. VV V:1..| VVV. VA V VV E|VVV'ÄTY| EVV —V-V-· ~:-:-:· V A V; A C ’est bientöt accompli. Z-A=A=égégä V6;VVV |v| V-VVV. VVVV·|VVVVVVVVVVV -- V äVVV| emboftent le pas, munis de ms, de micros et d’appareiIs photos. V 1 V V V A 1; V La Ä" A e;%Vfizé é A V |äéélég;VVÄVQ-V21V;läié|E|° “’ |V; |AVQ _’“ „— V :1 V A, V ;; 3:;:-:;:;.| 'äg VV·-- V Q i V V VVV V V-V‘ V ·· V-·· ·····— VVVVVVL VV VVVVVV 1 V Ä ‘· V EEi; VV—V,.|Til ¤§;3=ä·Q=-A·V‘V3 - |:*:2:- ···'¢ C'i'”l”¢l @5* dem le P””'” ä salade. Fermeture des portes ez CN HVGHI, aloute vltesse, Ce que Franz V "'äg {5%;% A i'| V ' V · VA*‘F V A V Weber a ensuite vécu, vous pouvez le lire dans son propre récit ä Ia page 8. V Eäeézg- V. De ce VVVVV VVV| · :3:-;.V.;V.V.V‘A ·;AZ5Ai:2:‘ V-V-VVVVVV V mann ment doux, V- VVVV d"été, sz restent dans l’entrée. . . ‘iV =. VV V =‘ V tr0mpeuse· un vase cassé VVVVVVVVV.V ..VV. V. A . . des rideaux et des portiéres arrachés et Ia balustrade de pierre détruite devant la fenétre du salon . . . · . A V. V . une femrne et un enfant I'angotsse et I mcertnude. dar¤S V Journal Franz Weber - péripétie qu’aucun metteur suisse ne s’aventurerait ä un rempart qui me soutient pendant que je me ressaisis, me pre- «ils en scene tourner parce qu’il est tout simplement impensable qu’une chose pa- pure, me durcis contre tout ce qui va arriver maintenant. .. qu’une forme legére et chaude se penche sur moi. Mon Dieu! C’est puisse avoir lieu dans la vie Huit heures moins vingt. Il fait De quelque part, j’entends Franz qui telephone. Un silence sournois plane autour de la maison. Franz redescend rapide- Une reille quotidienne suisse. Ce sont des choses qui arrivent au Far West. Pourtant, au Far West, c’est le buste droit que les hommes marchent l’un vers I’autre, le pistolet en position de tir. lly a des_héros. Le bien l’emporte. L’honneur aussi, sur la cupidité lmesquine, vileV En comparaison, Vagression autorisée par les pouvoirs publics V V tennes vacillantes. Des silhouettes floues munies d’emetteurs se deplacent prudemment dans les buissons. lls ne sont plus seulement deux. «Franz, maintenant, je veux savoir. .» «Alors ecoute: J’ui ete cite en justice, tu sais bien. .. Huitfois. ne se sert plus de sa " conscience et se contente d‘obéir. Nous savons tous combien le monde en a déja souffert. V ' V. . V V· ' ' VV- ‘ A A ä 4 Toujours pour cette meme ajfaire Toujours d cause de ces plaintes fabriquees de toutes pieces et·cent pour cent ubusives, de ce H. Z. et de ce A.D. Et de l'EOS. Et j’y suis alle, d deux reprises. Mais c'etait comme en Pologne ou au Chili. Les des etaient pipes d'avance. Je pouvais presenter tout ce que je voulais, deposer sur la table toutes les preuves — le juge d’instruction m’a tout de méme inculpe · Z J Q“ A l } l Q l 1 ll • idiote. l. l · X3 l V- ~‘ ‘ · ' ‘ F -‘ V V V ’ 2 j 1 ; 3 j · y q, ‘ g ‘ x V. f ‘ A |V1|-Vw·V-V __ ··| La maison est remplie d’un silence V aw: et l’odeür‘ jar par les fenetres ouvertes. Oh! que cette paix d’un matin d’ete est merveilleuse! _ Mats, ne vtent-on pas d'entendre quelque chose. ._ un bruit perqant, V derangeant? At-je reve? Le lit ä mes cötes est vide. Je suis soudain tout eveillee. Je jette un coup d’¢il sur ma montre. V V Sept heures moins dix. ” - _ Mltinßllt .V . V ‘ ' V VV Pmu ‘$¤„e2-j·mt.«··«Ä$| gndre eoritre mes calomniateurs. Nous avons recouru en bonne et due forme contre toutes les autres convocations. Et pour finir, nous sommes alles devant le Tribunal federal ou notre cus doit étre examine. Et malgre tout, ils sont plantes ld, comme la Gestapo...» La porte d’entree retentit soudain de coups. Des voix d’hommes ‘ Franz grimpe les esculiers. Il est encore en pyjuma. «Ecoute, il y a hurlent._ deux types en bas. . .V» «C'est eux qui ont sonne sifort?» «Evidemment. Ce sont des types officiels, tu comprends. lls disent qu’ils ont besoin d’un renseigne- comme un ment.» «As-tu ouvert?» - «Non.» Je m’efforce de parler avec dith, L’epouvante me saisit au ctzur rayon glace. «Franz! nements. Et pendant que je rassemble une de plus toutes mes forces et que fois je resiste de toute mon energie, A lu que l’ennemi, ti l’arbitraire, ci Ia violence, a l’horreur ineomprehensible, je n’urrive pas ä je tiens téte Qui sont ces gens, la dehors? Et pourquoi est-Ce qu’il y a une voiture de lu tele?» «Purce que la police veut chercher Papa, ma cherie, et parce que «lls ne sont plus devant la porte d'entree. Ils sont peut-etrepartis.» Et pourtunt derriere la huie, de- vant les fenétres de la salle d manger on voit briller des eclairs de metal. Des reflets de soleil sur des an- Oh! brüle d’une soif de savoir. V. «Qu’est-ce qui se passe, Maman? «Est-ce qu’ils sont encore ld?» sur la personne de Franz Weber fait figure d’un vaudeville indigne et sordide. C’est Ia le moment oü l’homme devient un danger pu~ blicc lorsqu’il notre enfant, notre petite si Vseulement un nuage pouvait venir la chercher et l'em· porter loin d’ici! Mais je rencontre des yeux etincelants, un visage qui Vera, fille. ment. ' ä ecrous-. J’entends ä nouveau des halétements et des geignements d proximite de mes oreilles, des mots haches, un tapage etouffe, un grattement, un ruclage, des vols en eclats et des ricaet des cles enfoncent la porte, ecoutez le bruit que ga fait!», lars- donc tres lourd. J - 7 N·2 sepuoc:./N¤v. 1987 ti me debarrasser de l'impression que je ne suis qu’une speclalrice. Je suis pertinemment que tout cela ne peut pas étre vrai. Que qu n’arrive pas television veut filmer l’evene- ment.» «Matls Papa n’a pourtant rien faitl» «C'est bien pour qu que Ou ulors, ä un toutautre vraiment. Mais reste bien endroit. - Et je sais aussi que ce n’est plus qu’une question de se- sdgement ld-haut maintenunt et attends. Peut-etre qu’il ne se passera rien du tout et que nous prendrons condes. La lourde porte qui méne au jardin commence d branler. Le péne d’en haut a saute. La serrure tout tranquillement notre petit de- est jeunerdhuitheureset demie.» Je n'ai plus le temps d'ecouter les protestations de Vera, car j'entends Franz m’appeler d’en bas. Nous descendons en courant les escaliers pour nous retrouverau beau milieu d’un film policier. L’assaut de la dans laquelle on mrrodun une barre. . . Tout est accompli. Une horde sauvuge deferle dans la television est ld. arrachee de ses gonds. C’est muintenant au tour du péne d’en bus de ceder. Une fente s’ouvre maison. Pietinements, tintamarre, tumulte, heurts et tiraillements, coups bas. Un film de gang- la Nous maison a commence. sommes cernes de toutesparis. Les fenetres fobscurctlssent. Des silhouettes qantes, le sters c’est comme ga. Moi, je ne suis qu'une spectatrice. qui gesticulent, menuvisage deforme, se pres- Ce n’est pas Franz qu’ils matent la-bus et trainent dehors d cinq, c’est le criminel du filrq, legerroriste, le chien enr e ui 'a ien merite. Mon etafgecdlnd ne dure qu'un instant, sent coqtre les vyes, poussentjt e mnz_ ui crie u salon, la voix etoujfee plbr l'e_t_Tort: «Aide-moi, ils arrivent!» ·tap¢nt . A je reviens Quatre cyclopes, arrives en renfort, et qui ont escalude la fagade, sont en train de faire sauter la porte du balcon. Les panneaux exte· rieurs ont dejä ete enfonces. ti moi, c’est bien la rea- ma realite, aussi epouvantable soit-elle. lls ont pris Franz! Je me lite, jette en avant.- «Lächez-le, vous Vous ne pouvez tout de méme pas faire une chose pareille! étes fous! Animes pur la force du desespoir, nous nous arc-boutons contre la ‘ porte interieure. Vera presse avec C’est illegal, illegal, illegaIl» Je sens de grosses muins dans mes cheveux qui me tirent la téte en ar- ardeur su petite epaule contre l’embrasure de lafenétre. Pour elle, pas question de lurmes, de pleurs ou d’hesitation. 'Juste une fois elle reson soujfle avec effroi: «Oh! Papa, Nikki est dehors au jardin! Et s’ils prenuient Nikki en otage?» riere avec brutalite. Des doigts chauds et moites sur mon visage. Un poids me Saule sur le dos et me maintient courbee en avant. J’entends crier quelqu’un. Et au bout d’un moment, je me rends compte que c’est moi qui crie. Que je suis en train de crie; d’impuissance, de revolte, d’e’ca·urement. Est-ce que qu ne serait quund méme pas mieux...l» Mais son visage est parfaitement tient immobile, toutä fait paisible. «Juce qui se passe ici est-pure- Comme derriere un voile, j’apergois les vtlsuges ebahis des badauds dehors, les plates-bandes pietinees, D’horreur, face aux visages impas- les roses lacerees. sibles et satisfaits de cette calme bien que mon cteur se mette ment arbitraire et parjfuitement illeOn n‘a pas le droit de se soumettre ti l’urbitraire et a l’illegalite, äbattrefollement. «Al0rs. .. tu crois qu’en fait . . . ilssont venus pour. . .» «C’est justement ce qu’il faut que je sinon tout s’ecroule. Qu’ils enfoncent la maisonV s’ils ‘le veulent, qu’ils me trainent d'ici de force. Mais s’ils en arrivent ld, je veux trouve. Il faut que j’appelle gal. que tout le monde le sache. J’ui Et Schaller. »‘ ulerte la television. Et comme chaque fois, il se pose en forteresse devant la paix interieure de sa maison, devant mon monter maintenant et uppeler les stations de radio et autant de journaux que possibleV» Et c’est ainsi qu’en haut, assise au bureuu de Franz le cgeur lourd, je compose un numero aprés tre, alors qu’en dessous de mvl, les CWPS, l¢VlüP¤8¢‘ ¢l l¢·*' Vüßwlüllolß deviennent de plus en plus fans. «Mais oui que c’est vrail» suis-je justement en train d’af]7rmer au telephone ä un redacteur incredule, cteur angoisse et tremblant et devant lu panique qui menace de me sqjgiy; „Cg n’g_g; rien, Tu n’as pas de gouci ä ggfairg, Hgbille-toi tranquillement. Pendant ce temps, je vais passer des coups de fil. » Cc „·„-; ,·5,„_ je sags qug Ce „';_;; pas vrai. Mats je me cramponne a cet espoir. Ces mors sont comme toi, tu vas Et je sens ti travers les vitres la proximitephysique des robots-policiers, ainsi que lu A De policiers. desespoir,_ Franz est parti. V Vera se tienthaletunte sur le seuil de la porte d’entree qui est ouverte. ne pouvons pas maintenir la porte en place plus longtemps. . .» C'estä ce moment-la que la balustrude du contre balcon s’ejYondre. Une Comme une tigresse, elle s’estjetee un mordant policier en tapant, en en griffant. «Eh! toi, arréte, maintenant!», lui a-t-il crie. et grima- «Je n’arréte pas, je commence!», deux disparuissen! en A l’äge de douze ans, jamais, jamais, je n’aurais eu ce courage·lä. Au milieu de toute cette invraisemblance, de route I’horreur de cet instant, c’est comme une lumiere qui brille tranquillement en eachette.- Vera est forte. Ce n’est pas une petite poupee. Elle est no- téte un clin d’a:il; elles doivent vraisemblablement se trouver en bus, dans l°het‘be- La pV¢S8l0¤ de l’assaut contre le salon viem tl Peine de dl~ minuer ¢1“’0¤ ¢”l¢¤¢l défä du bmi! sur la terrasse du jardin. Toute une meute se precipite maintenant sur la porte d’entree de derriére avec des barres, des pinces-monseigneur · horde de parce que chaleur, lu hargne etla haine qu’ils degagent. «C’est perdu», me dis-je», «nous gante, puis A lui a-t-elle crie en retour, tre alliee, S ‘ 8 N°2 scpwoct./Nov. 1987 - Franz Weber Journal e { ; AAAAVAVVAV M A |’_ A_V_V :.¢:¢‘·:i;<?*T:' __ ‘ ..<· . I ‘ · _ · Par Franz plus votre plainte, pourtant fondée. Vous percez a jour la mancruvre: pour ne pas étre con- Supposons qu’un groupe qui vous est hostrle vous calomnie publiquement et que cette calomnie damnés pour calomnie,c’est contre vous, et pour calomnie, que perfnde et Sl grave qu’eIle menace votre existence, votre actnvxté, votre fonction, Voeuvre dc votre vre, votre famrlle mémß- Sl sort sr vos „- - plus. d UHC CIIQUC ObSCUI‘€Et si l’on en est arrivé au 30 juin 1987, c’est parcc que je me dresse de toutes mes forces contre cet arbitraire, car le destin de notre terre et I’avenir de nos enfants m’importem plus que leg béné- h vous reste pour cela un délai de 30 jours. Vous informez le juge d’instruction que vous allez faire usage de votre drort de recours auprés du Tribunal fédéral dans V . . rions. Le réagir ä cette communication, se met d’autorité au-dessus du Tri- I bunal fédéral, envoie chez vous la police de süreté et vous fait ar- , dt, b qun jmd dbmce Vous voyez cxacw ment commcht ICS choscs vom Sc mms mais ' vousmémc rité est qui étcs ’ . mnocent C . , gravement et · - „ lese “ ' r ‘ 5 r vé- tout aurre»). Imagincz 1 . . rarent éte depuns longtemps sévérement punis, voire arrétés? Mais re- cours contre les convocatuons abusives et demandcr un juge neutre. C’est d’ailleurs cc que vous faites. Mais par qui votre recours est-il traité? Par votre pro- velles charges fantaisistes. amvc. (Von: «La * gncorc ° , · je nc m’appelle ni mond, je ne ‘ r ä ¤ ; ; 9 [ monstres des sociétés éncrgétiques par exemple. Parce que j’ai insisté mon sur i droit d‘étre mis sur un pied d'égalité avec nos marchands d’armes, les dirigeants de partis et de multinationales, en un mot, avec les citoyens au _dessus d e tout soup- · j S _ . V r V con.‘ on m’a arrété comme unter' · . ' V buscade de Leuba ni Reyde suis ni Président -l’EOS, ni directeur d’une usine de plutonium. Je m’appelle Franz police de sureté Ia d’Etat vaudoise, on m’y a jeré 5 on m’a fait une clef au bras et on m’a pressé avec la demiéyg brutalité contre unc roue fixég au sol — les läches qui se sont ageterre, 7 nouillés sur moi ä trois, de Clarens ä Vevey, peuvent Vattcster. «Maimenant, nous favons lä ou nous voulionst’avoir»,déclaraen rrcanant un de ces «Monsieur une ce lule Veve V O ux acomman · V d. cetabus d e prmcipes de notre Etat de drort? Lordre cn a été donné par les ~ . rté . V . drort, cette vrolatron des ' du pouvorr secret qui jour apres jour notre tombe un peu plus profondément. Aidez-moi a arracher la détenteurs creuse ~ { : pcllc des mains de ces fossoyeurs. ? ‘ ’ e ~ U ne pa rue de not YS patfle a § · , fices . Soiägjingctäoäyjätäiäs Vous pouvez deposer un m est que je ne m’appelle pas Franz Weber, ma1sJean-Frangois Leuba (Conseiller d’Eta: vaudois, lib. ou Hubert Re mond Con.H ser er vaudons aux E tats Vb ) Ne croyez-vous pas que dans cc eas que ’mes ealomniateurs au- démulcr la condamnation va frappcr non pas VOS calomniw . pire encore, ce réter. jugc dqnmuction devmit les r€_ ; „°m' ‘ contre les convocajuge d’instruction, sans ' I • aI‘bltrHlI”€ P . suspensuf r a soumettre, conformément _ä la volonté de notre «aut0rité», ä — V gbäugg drgäasäs Fscriläägis vous pour atremte Vhonneur et a calomme. Ifs s appuxent pour cela sur le fan q_ue vous vous etes deau Jugß llüll dä f6J€!§flH plamtc m3¤lf¢Stement abus1ve,' yous convoquc et vous mcul e rllxco our drffamatron etca lp omme. Pp U1S,l·l vous convoque une nouvelle fons parce que vos calo-mniateurs ont «éten— du» Ieur plamte a d’autres points de votre défense. Vous vous rendez une nouvelle fois chez le juge et, ä votre ahurissement, vous vous voyez inculpé pour ces nou— ‘ cantonal rejette votre reVous avez des lors an moins la possibilité de soumettre Vaffaire aux juges fédéraux. Il , ’ d, nal cours. Z . 1 Alors vous déposcz plamte auprés du Tribunal cantonal contre votre jugc d‘instructi0n pour partr pns, Deux mois plus tard, Ia Chambre d’accusation du Tribu- SUIS d€f€I]S€Uf . I ’ wie dmmes convocätions dom _ r „ , de l,€H' vrronnement et des ammaux, et en cette qualité, je devrais me V V vous. Mais le juge qui s’occupe de vous n,€n fait rien Hvous en_ A e d u juge mm V *8 diffamation. C’est alors que vos calommateurs déposent plainte contre V V ev:-d ent V V I . porté d mstwctlon est de menü ä terme votre propre plainte avant ' V ont „ - Le d evorr _ la calomniateurs plainte. v0us ne v0u I CZ pas S0mb för, Vous devez vous défendre C’est ce ue vous faxtes en vous adressant er enapportant quemcnt H préuvé que t0ut CC que les calommareurs ont avancé contre vous est faux et rcléve de V - Pendant ce temps,on n’mstru1t Weber - „ Weber*JC q lll, bl€l] enter1du,lc rejette ct vous envore aussitöt une nouvelle convocation. Vous déposez un nouveau recours qui est rejeté une fois de d7lI'IStI'UCtl0H, :7* .¥:·:¢.·. A *’*‘' U 8 . - Mi;| ..... TC . _, ‘ . '° 5;;‘;'5:»;_j_"§Qä§5E|E=|"| s « a T? an Y:| r r r é V é a j s| er .|_ e E? er |·‘ggjqkji1·· M| '|J ‘: -- ,.;.;., s_ .* 5 |.„ z |ni k > ‘ Qi-Ä| E :’'' „;:| ‘ ¥ ; ‘ , r” |1|-|i|i|E » , ' e ,.,_s._ . e.__ |‘|i|·|ä-I;|g,iQ|.|.;| § »— 4 »e··· ; .„.:;„»„ ·| » · ”;’iÖ“ e ,..»o.(» „s„e„. Q ” ‘:·-—=·· " ¤» _ J q «»——--- |·· ·• ». a. ;.___| ~ _ „ ~« ää * -:‘|‘·|·| E°‘ |" • __, _„ ür-. ;.E_ , |5;| . «...‘ __; __ — _ . - _· ·» e_‘ . |t — ·‘ „· _,·‘·: ._ _ » · ,— a . ____ , s' »_ L ’¤| ._ »— „ e H@[\/Qiiö _. Nostra »· gr ‘ I Joumal Franz Weber nréa Vasrasaianr ¤= douche froide, weber), 7 Crest nn 1~1··2 - la ÜISUQBHIIBUI «Le Show lc titte _. cn prcmrém d·nn grand nnondrcn Suisse r0_ mand. Le Sa IcaS mG poimait entre les lignes de nombreux commentaires. Franz Weber n’est qu’un actem, un homme de Spcctacrc qui ne peut gcmpéchcr de provnnncr r sans 9 SePr.1oc¢.n~1ov. 1987 am des Scamiaics. ll Le débnr de notre hlSIOll'C remonte ä janvrer 1986. C est alors qll Bntliß CI] se Franz Weben («Ou est largent, Franz W¤bs=r->»>9aa¤n¢nr¤bab¤¤mem eertams mmeux da la heute finance aß des Sroupcs éc°"°ml‘ a i volontiers en martyre ctpense qu°il a plus de droits que le cltoyen 0rdi· 1 mmc- SCÖHC rla «WCl!WOChC>» d¢ Z¤¤¢h··¤0¤S_l BVOHS déiä éV0ana dans la Premler numero " avec sa campagne de diffamation contre ‘· S __ äniijsantsdécqntre Ilesqucäs na se $Q‘t rendu ¤¤·nn¤¤_d·= la aanéc palrrrque de Cana acnan révéle an er| avcnglemßnr qni West Pas la fruit da heserd‘ Se Selidariser evee Franz Webar, ic grand dérracranr df Pulssöms SVOURCS éwnümlqucs rl est: de toute évidence, pas' tres an ]“e‘e‘e“X naar la Presse e"e°meme des ¤r·b¤ra·r<= la «wenwoeim» et le «Trumpi Buur » Les acteurs en- |-| ~ e r voyés sur ' ii „ |T Q trois 1 _· |in| E 6; Y · r gi a“' Ü Mais ce qui est impardonnable, iafaiavansh anvaralaaaarn- , _,| r, r 1 |__| __ r|r __ _____ 0 _r_ nv 'L vaudoise était arbitraire, ale ct ant'constitut'onn illé- .P den cfqjc ng: §„c„„ A memu mlhtan ee Franz Weber' ' Il ragonsr ‘ de"°‘'I° l°P'°"i"‘““‘°'°· . . _ ~ · _ · A cela » · pres que ces crtatrons sont le fait d’allega— · «Tous les Sursses sont égaux de.vant la loi. ll n’y a en Suisse ni su-. jets, ni privilégiés de lieu, de naissance, de personnes ou de fa- _ cltatlons en ]uStlc€·» Ccrtalnculcnt · fait que les vignobles situés a |’esr de Lausanne aicnt été mis Sous protection gräce a Vinitiative de Franz Weber «Sauver Lavauxrr. F““<*a*¢“r de "a·aS<>¢*a**¤n ··Sa¤· vez-nous de Franz Webcr». Le 19 r d semembredlgeg fer; ’a °“$a"°" ¢ °“ "° P mw mm 1aägrrcaii¤n_ae domgcm, miures amatoires irma- · . (kms p„„„„„, „„;„ au . Franz weber du «Trumpf Buur», accusé ‘. . I Wrrber. sadant des années Franz We· . liäröpnéaüzigfuqaggäqältääifogr|[Er 1 Kéggäg chose; chan cn: Tom mison du ségicun encore rnäét ä l’époque de cethebdomadaire les mensonges deviennent vraisemblables. Done dangereux. Et de A m°“e· rinneeenee da Franz W9b*=* =““=“* dü pms lengeempe dans tem !e pays per des l“8°’“°9“ r==*s¤¢·aaa¤*aPourtant, en réalrté, les jugements dans lesquels il est plaignant sont tre am plus 1 lee plus ee _ ' drbres tution fédérale n’était pas resté let- _ . mäcrxgcäeu ei i l’autre».) Si l’anicIe 4 de Ia Consti- r Pßüftän}, V¤¤¢¤, dans l¤Fd¥¢ l¢§ ¢Vé· nernents ont abouti ä l agressron duallemands . tmp mgeulei er las calaag · S I d’in- Jures diffamatoires contre Franz qnertiontnnte nougäälncärs apr savorr uce a rc e. lez également Pencadré lire «L’honneur de l’un, l’honneur de ggeäeguree denstmeeen de O E.B., ancien rédacteur en chef la indefiniment ajoumés et les tribunaex Saar Yelemiere prete V0lI’ les plßlmßs les plus dénuécs de fondement et amener contre lui les crédgt ' - Vous y croyez? Alors posezV0u§ et a 1 trons fallacreuses d’un juge. Car. milles.»Telle estlateneurdel’article 4 de ia Constitution fédérale. ' A.D., un Vaudois qui n’a jamais pardonné a Franz Weber le «Meme un Franz Weber dort répondre ä des la ¤n<>n·r·=r— weber sont Préscntés comme des esemee O Pu PÜÜSÜI certalnes ' dith · ' ° arrestation Buur», dans laquelle Franz et Ju- wm . Sasfal-lt6»; Ünt du courrrer des lecteurs pu CH 1984 dans le «Trumpf [lettre Übllété · Lamaniérg dg pwcgder de 1apo- . i PHS e raßn artr ag! C aque ois. Cammcnt, le préscnt article se pro- Iice 1 { ne von nen, n emend nm, ne dir rien. C’cs1vraiqu’eIle qu une s a ue. d rm ds ._| i 1 . ra relation d,arr mm mit am im. Auteur ÄLTÄÄ ·· 1 * . début 1983 |1 ·· le ämlfélt gorzägnagifnlz du nm que Franz wcijgrca Ääaé 15 |1| S alors im rimée aveccom laisance. i¤8¢ tous ennemis jurés ·* ntés qur est manifestement rres re- été ägnraingc (hner {C Chamber cette version des événements est devant de la scene sont nc pas Ieur rang encore plus de publicité nous citerons uniquement leurs initiales). rr Q; ii| S nonces. mit igngré ncuf cgnvgcatigng {aiSon ur la ucue la nmicc ahrait lc hommes du protecteur de l’environnement: 1 est P““d“¢ 9** “=“:."= '“ que le juge d mstrucnon compémcome que Franz Weber au_ rm Ieur 1 Q ~ Les moyens au service de ficelles. |iärii · ils sont largement répandus dan; ra po nranon Par rc brais des autres médeas Lors dc deux conrémnccs de presse les ennemis jurés de Franz weber: cmichisscm cette désint-oI__ manon de Suscr kms ct de carom_ nies renouvelées Et dans le cadre d’une campagne d’annonces, coütant des centaines de milliers de francs, dans des journaux suisses et romands (tirage total: 2,5 milll0l’lS), le «Tl'Umpf BUUI'» ‘ |:‘; i N°2 . mmc Syéljole — meme chez gens qui lont soutenu pendant des années. Que fanc? Dc préférencc dc· mander des comptes auir instigateurs, ä ceux qui ont rfmancé la les campagne de diffamation Mais comment? Puisqu'ils grave. se ca- chent derriere des sociétés anonymes, tirent les fonds sur des comptes SépHl°éS et dOHH€nt IÜUTS ordres par le truchement de codes Secrete Dommage QUC DOHC (20dC 1 • La 19 seprcrnbrc 1986Chan¤br<=1d‘a¢¤¤Sanbn dc sidérée comme un délit poursuivi d‘0ffice par le ministere public. Et —car il ne peut tout de méme pas étre juste qu’une ocuvre d'intérét général telle que celle de Franz Weber ne soit pas protégée par les autorités contre des campagnes de diffamation grave facon «Trumpf Buur» et «Weltwoche». titre AD- l'inculpation officielle de cr d'¤n avacar da Ganévc ar |=|;;i%| peur falPlficatio¤ _de docllelems, diffamation et atteinte au credit de --TÄV;r;_ g |i- *1| _ Franz Weber. Pendant lcs mais de novembre Vrlzr|r ’ _ii| U lr_:r::; rrnv im l de in armme d’une ragen grotesque ee décembre 1986, immédiatement ä la suite de la série de victoires, et Q4| (Voir gncadré pagg 4l)_ (andjg t 1 -·;‘‘ «| r T %:·| _ P 1. -| r 1l ^ ^ · |1|:2% que des rdépositionsr fausses peuvent avoir pourlestemoms—äsavoir jusqu'ä cinq ans de réclusion. H.Z. qui, depuis des années dans des conférences de presse et des lettres de Iecteurs, accuse Franz Weber d‘escroquerie, H.Z., le principal informateur de Ia Weltwoche, fait soudain marche ar- ggydgnnéson nrrg_;rnn0n_ V Question du juge: «Avezvous ... affirmé que Franz Weber riere. din auggigör fait Ainsir yavocat du ou Madame Judith Weber auraient détourné au profit de leur «TrurnPf Buur,) dcmandc,t,il des Prorogaiiuns absurdos, Par o,rom_ Pio un doiai Pour savoir si Son fortune personnelle des dons des- cliont préfére Pour lc jugcment le aleur organisation?» Reponse du témoin H.Z.: «Je ne me Tribunal de disrrict tinés dgssiscs, , _ plus pré¢i5ém¢n[_ Tqut porte plainte contre ses colomniateurs et enregistre quelques vietoires (partielles) ä Geneve et Zu- Madame ou Cour la 1 A r _r OU Ju' Weber et Monsieur Weber aient jamais détourné des dons au dc Ieur f°mm¢ P¢l'$°“‘ dith- Pmm “°"¢·” _ 1 bien cn Préscntant unc dc, mamie en miniié mniiemem vouée ä l’échec contre une déciSlOl’l de pl'°éS€l']t3tlOl’] de preuves dang Vaffaire Franz Weber contre lg ((Trumpf Buur„_ Cortos_ cela coüte cher mais peu importe, cela permet d‘atermoyer. Ce qui est • Ainsi, le ll septembre 1985, le l 1 rédacneur cn chef du Tmnlpf Buur E_ B_ cSt-j[ condamné ä une amgndg élovéo ct au Paiomonr des fr-ais dc rusticort d'av0cat Pour avoir irnnrimé la lottro de lq_Z_ dansle courricr dosloctours llelo avril ]986, le Tribunal sunrémo de Zurich Ponfirmo quo Ia lettre Parun dans lg cuurricr dos loctours Porn; atteinte ä l’honneur de Franz wobor mais annule le iugoment pour accorder aux diffama— teurs mapponcr res nronvos dc lcurs accusatidns Dans sa décision du 22 septemPro ]Q86_ le Tribunal de distriot de Zuricn interdit ä Ia woltwuclior sous Peine d‘an-jendc ou d·omPrisonnement, Ia répéririouälalcgtrg 1987, l’avocat1 de Franz ·Weber présente les plaintes défmitives le cadre de cinq PTOCÖÖUTQS pénales. L’mstruct1on étant termrnée, l’affaire· serait en état d’étre jugée. Les juges pourraient condamner les delinquants. Pmlnant, rien ne se passe. ll est vrar que laccusateur ne r s appelle rlllearl DuP¤¤l„ lll PYOÜY Maß O ou conforme au ‘ sens, male ou écrite, de 16 affirmations fausses portant atteinte ä la personnalité, pub|iées_dans la série d‘articIes de Wglrwnche, I Toujours sous peine d’emprisonnement ou d‘amende. la Weltla e condamnée par l‘ordonnance du 5 novembre 1986 ä faire Paraitro sur unc Pano ontioro ct a woche est 535 prgprgg fl·3l5 Franz weben la rgctiflcatlrm de épme dans W¢_b¢Y„ ullß pled dc l¢Sl8bllSh— Fldllz le ment. Et les lrlbllllallx dPP¤l'll¢¤· nent égalementä Vestablxshmcnt. Naturellemßlllr POUF l avncat de la «Wcltw0chc». ¢0·PFé$ld¢¤l dll «Pa¤i dd l°¤l¤l0l¤0bll¢** ¢°¤5l lä ll¤¢1 d0Tlf\é¢ tfes rassurallle- Oul a“$$‘ Pour pavocat du Trumpf Buur; lui qui cst mcmbrc dc l°é· |'cst lud? Pcstalczzi ¢l ¢dbl¤¢lS Gmüh Jlll’ldlQll¢S Vllll des ¢l é¢0l‘l0¤ll· <l“°$ l€$_Pl“s ‘”¢"°"}méS °t_°Y°“* d¢$ acllvltés dll Pldll llll¢l¤¤ll0¤¤l_~ Qans ¢hQl$¢$» les procédures zurila strategie S Bppéllé mamtenant: atermoyer._Il ne faut T 1 —"'-" ··-Ütwm Ü |·l·ßÜ‘* _ Zurich on atermoie. Et Bref, simultanement, on met le cap sur Lausanne. l~l.Z., A.rD. et E.B. savent tres bien qu‘1ls. trouveront r Surlsrpelue [OH' C "ÜÜÜ 'déi ÖSÜTQSÜ 1 r Franz Wsbsr d¢P¤·S d¢S HPS “P wde dn an Pf°°€d“€° largeltralrc du g'ä°°S d“ l“8°; Ffdnl Wßbßf pHS trompés: llS sont BCcueillis ä brasouverts. lls ont enün affaireädes luges et des fonction-·' naires complaisants qui cherchent quelqu’un veut sauver son honneur, il doit se häterr Car quatre ans plus tard, le delit est déla prggcrit, bien que l’honneur puisse étre détruit pour la vie entiere. Toutefois, le deroulement de la procedure, la mlse ¢¤_S¢élle _en quelque sorte, est toulours laffaire du tribunal. Ce dermer dis- pose de suffisamment de moyens pour garantir une procedure loyale et rapide. Et il serait vrai· ment inquiétant pour notre appareil judiciaire que les calomniateurs de Franz Weber puissent, gräce ä leurs manoeuvres dila· toires, réussir a échapper a la sanction prévue par le code pénal. Le fait que les audiences principales des cinq proces en état d‘étre jugés ä Zurich n'aient pas eu Iieu depuis longtemps ne laisse rien augurer de bon. ll est également étrange que le luge chargé (IC tous les pl'0CCS de Zurich dans l'affa1re Franz Weber _ .\“8¢_(¤“dl*l°¤ d¢$ *f}“°“‘$ sanrlca que chaque partlg '3 la p()$5lblll[é dg rgtardgr leg plalntgg pour atteinte ä l’honneur de mamére ä ce qu’elles se prescrrSi — est déclaré avec dstenraticn dqvanr lc vent... dans temps procés oontro 1io rodaotour cn Chor du Trumpf Buur, E_B_, trois années so sont doia écouiécsl gi aucun jugcment définitif n’est prononcé d‘ici a juin igggr la Partie advurso aura roussi aobtonir la ProsoriPtiun_ le entrepris l’est a dessein. Le fait est l'av0cat du «Trumpf Buur» a trlbrlnnlr de MHIHICHBITI, les Franz Weber sont comcés. Ouelques mois plus tard, le 6 avril effet, le d rrrsträction en une rc; Se"? de? araaa er ee .ee emrere emyslioe Etae ls eeeyen na mrpaioa lr des droitsr rl demande es nnes duo ‘ En procés, oomnto; dans gurtgut Pagen nr-river ä la Pronnnciagion d•un jugenicnn Aussitöt um débutt tout Scrnble n~otro dä nous dfyioygg (gg que ngug gavon; sur Franz Wgbgr, il cggsgmig dg rirg_„ Pouravoirprononcécerre phyga-gr [g premier jngg d'in_;„ucnon du Canyon dg Vaud, M_ Ro(and (jnärglainr n dä, gn 1982, ye;r-user rjnbjrqugmgnr gyprés dg Franz Weber. Cinq aus plus tard, il truction lui signale Vobligation de dire la vérité et les conséquences aPPol dc oo jugcmcnt~ mais oo pas Suffisant Dans un re. cours de tutoiio oonrro in nronnérc section du Tribunal de district de Zurichr Franz weber dénonce ic rotardomont inormiioabio dc sos fair I| l|lS· datos des audiences dans ios autros afrairos nc sont momo pas encore fixécn .Naturoiiomont_ Franz wooor les pOUr les adV€TSHll”€S de Franz Weber. Exemnls de H‘Z‘: H Fammsnca le que 1 " les parties et les témoms sont entendus dans le cadre des proces du Trumpf Buur et de la.Weltw0che. Les dépositrons se révélerentlca- Je nc pcnsc pas que quo Puro justicd Franz wobor le «Trumpf Buur» et la «WeItwoche» ait été soudain remniaoo_ pondant doux ou trois mois c’est un juge remplacant qui s‘est occupé de ces affaires. Et c’est niors dno Franz weber, in orbio des caiomniesr est iui_momo con- |¥|*|¥?|¥*i¥é¥€|??|§|Ä bien rélléchi- ic diraia nllndt anc ¢h0$¢ PdV¢l"¢· JF deal Pas dir D’aborrl, Franz Au emme ordonne lg Fappgllg - la . grave parmi les délits poursuivis sur plamter Cela sigmfie que le calommé doit mettre la procedure en route et que c’est également ä lui qu'incombe Ia presentation des preuves. ll y a des années, le Professeur Peter Noll avait demandé que la diffamation grave soit con- ä juste Jou mal FNIIZ wßbßf ¥§¥?Ei?i 3 bégZl)'€l"lQl'SqU€ classe également la diffamatron ‘ _ Sept./Oct./Nov. 1987 de la pnblrcné pour les mcnsodgßs de la "w°““’°ch¢”· La campagne de désinformation mcnaca d’an¤indr<> Sbn bnr La corlflünce en Franz Weber fan E_| ' · palnties/audiiences "_ _ l Les 1 HdV€l’S8l!‘CS de · [IB 1 I ‘ ä démanteler la puissance- de Franz Weber - ju_squ’ä Pé¤é(l'¢!' chez lui par effraction et ä lerfaire emmener de force par la police le 30 lum 1987. et H.Z. Peu apres que prennent connaissanice 1 _ des pour diffamation grave dépggéeg contre gux 5 Zurich, ils r . Plainrcg 1 mettent l'appareil judiciaire vauLe code de procédure pénale moyenägeux du candois en marche. ton de parties Vaud interdit certesr aux de donner des renseigne- 1 ments sur les procédures‘pénales.°"" Mais comme le juge d°instruction cantonal a fait il la presse des dé- clarations fausses sur ces procedures ä la suite de l'agression pollciere du 30 juin 1987, il n’est que _ légitime que nous fassions peu dc cas de cette interdiction si contraire aux principes de l’Etat de droit alin de démontrer au lectcurr r ä la lllmrléfß des falls I'éClS, s‘estvra1ment passe. CC qül r »1=|= f=·1 hé-· in Jßumöl FMH! Wßbßr 'W .1. · 11·g¤I;j5;§„_~=;·i:j·¢_=;;;:·2;;;=;;;;;;,; Jngßä?E;5€¥¢*Ä¥; ä=E=E·Zz=;%E5=€2é|.=3§~iEäE¥i=a·ä |.iE§E§2§;¢;-2:;i;E=E122Ez5;E;&5E;i_E};€ii&§2i2ä;3¢E2:1E3E;.;E;E5é;ä;Eg2;;;=§2;2_=§3Qä2%;5;:23;E5Egiga;E52;;;€z§2§;§;§6§;ia%·*=.¢£=I=rE¤ä=.;-§2f2§&is§;;¢i;;;§:;égr.|.,.| e - En *¢¥nP$ normal. truction aurait dü rcfuscr sans ' L•¢¤•¤¤¤d¤V¤¤d t =‘:=;·;;·;eé2;;e$=2äéi;i;¢;%‘:rZ1E·‘äe:2 ;ä;é;e;ézi2§‘;zéé:.| . . sauüwr |'•ff¤il¤ l¢ ’§Äée—‘z·E:::=%-¥-.:.·f| Sitßrdtä Vanwle *76 du Frm °°"° ‘?° P'°°¢°“¥° Pé““!‘= "““°°‘S P'é"°“ °° n“' ““"*,"L° 1**8** W¤b<·=r S= défcnd ~=<>¤¤=. rcpwches calomniwx dß la Weltwoche en cnvoyam une cir¤¤— m¢m· ‘“n·‘= aux bi¢¤l¤**<=“ß ¢* bres.(envaron 300000 a Vépoque) de la Fondation Franz Weber et de Helvetia Nostra. Ainsi, tin fé— les M . j d°““°’ CF ’“‘¥° °“ ä P"*‘"“° :15-Y| ;ä.§:·;„=äT;ii!iE??¥;ä;¥1z%ié?;§.E§§i§ |”? :*| “P¢n*** de l3i0¤_¢_S* ¢¤_f¤¤! nn «d<>¤¢» ä ’D“"‘ ““ PM P9*'“ *°s ? “"° E"" ‘° J ’ des 3llIOl'lIéS Q :_ d’==·s·r ä "°°“°° “ "* ‘"‘l?"‘*“° Pas. W°‘“”°°*‘°· i“‘¤““==“=“*$ d<= la sa guise. Ils’ag1tla d’une marge de ot pon }·[_Z_ er manmuvrc Vé$°“’é° ä la diwrétivn Il n’a rien vu rien entenduI rien dit Pourtanr il u'es1 pas taille’ dans la üables. . Jean-FranLé pfßmlßt ä ¢¤tf¢F ¢¤ $¢én¢ est du 1**8** nn Sein des Pnn¢‘P°$ $“Pé' pierre. Le ministre vaudois de la Justice (et de Ia Police) HZ- ll *¢n*¢ dc d餤¤¤¤r Franz "¢“"$’ d¢ iwtrß Etat d¢ nnnf Q“¢ goil; Leuba, adversaire de longue date de Vécologilsie, prétend n’avoir pris .. Weber auprés de I5 gouycmc- Sqnt I ésahgé devant la ¤¤¤. l ¤¤¤=t- connazssance de ments cahtonaux pour atteinte a drction de I arbitraire et Ia proporblique. De plus, H.Z. a été dédes dossiers et de l‘expérience gétionnalite. Un «peut» revientdonc «l‘ordonnance relative aux colrep0ul’ masqué par Franz Weber comme étre C’€St elle doit vécue, «do¤t» ralS0n tléfülß la ¢t ä un Iectes», pour une chose donc que «caIomniateur» dans la circulaire jßtéé. Franz Weber fait depuis des an-, laqtlßllß OH park! dal‘lSl¢S écrits juLe 10 avril 1986, lorsque le juge annexée a la dénonciation. ndiques d’une «Kann-Vorschr1ß». nées en parfait accord avec Ia loi. Pour revenirä l’affaire qui nous d‘instruction regoit les dossiers sur 2. Apres avoir jeté un bref coup Et, ironie du sort, pour laquelle d’mil a la lettre de Ia loiet aux prala dénonciafion, il sait: H.Z., homme d’affaires, lui a, en occupe, eela signifie que la décienti ues concernant les collectes, le un est dénonciateur d’accepter l. le non Que du ou sion tuge savoir-faire. .‘l son temps, transmis le . . . . H.Z. éent: «Je suis convaincu Cette dénonciation doit reposer nemi de Franz Weber. l_l ne fait juge d’mstruct1on aurait pu consque Weber n’a dernandé anonno sur des motufs objecuvement aucun doute que son seul dessein tater qu’au contraire des collectes effectuées aupres de bienfaiteurs est d’accabler Franz Weber de tra~ fondés. Ce n’est pas Ia bonne ou la autorisation poor lo present; oo)et de membres d’ass0ciations et de mauvatse humeur du juge qui doit casseries. C’est également ee qui lecte, En eonsequenee, j'aecuge , . . . , fondations, seules les collectes auétrß détcrminante ou, en loccurressort clalrement du texte de. la Franz Weber. . . dünfraction a Pordonnance relative aux collectes 1’¢¤¢¢„ le _f8lt qu’¤l Sräßlt de Franz dénonciation dans laquelle H.Z. pres du public sont soumises ä annonce plusieurs autres Plaintes autorisation. Le 1'u8e · lui aussi · de votre canton; Weber cgllcctg Weber. Sila dénoncration de H.Z. et satt sans aucun doute que depuis contre Franz Weber. Dans laC0l’lSlllI.;C dog fonds non pas dons un but eistäraeassiere Zn abäs des années déja, Franz Weber s‘a— ¢ f0lt, ¢ lllgß n’a pas e roit c quelle il aftirme en outre que d’imérét public, mais pour luiFranz Weber n‘effectue pas des dresse aux bienfaiteurs et aux C’est ee que l—l_Z_ a l’;tului donner Suite. Si la dén0ncia— ' Helvetia Nostra et de dans un but d‘utilité Pu· membres de colleetes lll! bßß l¤¤0¤Sl$t&l1t¢ ¢!¤n„_¤8¢ _ „ la. Ia Fondatuon Franz Weber en vue ßläugsulgfs car!;(¤;;9$6im_ ren: a de Ieur demandcr leur soutren fi[ I nancier pour ses actions de protecnent de toute réaction ä ces divaI I tion de l’envir0nnement et de la L¢ fa{n¢lé!’¢ nbnällédfä gggvniäé IICCUSHRIOHS et l'éVél€ C0mbl€|\ les le .**3 le dl'0ll». OE-! ‘° ‘1 ‘ 11 Y1 _· _ ’ . · - . _ 1 _ . . M _ · ~· r ? jr r W ’ Q .; » j f ei . Ä. ~—...,,„„„, . L . . . . . , „ . . . ' _ , _ t _ - · - _ t _ L V gti ° n°n¢|8*\0n ¢S! !l’0P I VI- I i ¢ ¢ Tanz ‘¢n ln ¢· hu r nature. Sans autorisation spéclale naturellement, a I’instar de tous de I, . les autres , artis, féderations et as- 3 des legtres äolies auxquizsles ce conmier r pon aussitot. bien - cgmntg oo- «. ;_ sociatiüns? uttwex er avar posé enmes, o ne _ dlffamation contre le contenu de l’article suivant: _ Ia m‘ss“’° au; bicnfaitcurs ct mm rg; °:c:“x ms adrcssécs ä des incomus· _ La réponse des cantons lui par• vrent bientöt: une sortc d’¢X¢¤S¢. y Vaud. La, ’ n. mord ä · tvra' u"lne le poisson ll . nelrngrät _ _ _ = lrorrni, p .. . _ vous, amis Weber. . xls, atterrissent rg alors, tout Ce retourälajusrice de classes dénote trés nettementque les — ui ne disPosem de toute maniere'Pas des gauehe ^ memes moyens que les sp culateurs— courent davantage de nsques de se rerrouveravec un procés sur le dos; » 'u coup? sur le bureau du 1 gc d’instruction cantonal de Lausanm au 34 de la rue Valentin, nen dans les ii ä ne vous · dossiers ne le révele. ' est pas possiblei par une Votre Franz 4. dh Fflllzwlbßf (qui n’est m de gauche ni de droite) ‘ tens _ W¢bcr? Po - sgwrsuincmsläonncr sa smcs a On ne sat't pas encore tres b'ren sil honneur de Franz Weber va étre protégé par les tribunaux. Ouoi qu’il en soit, il faut que la loi puisse étre appliquée, sans quoi les tribunaux auront perdu leur légitimité. t'- '· · 4*ammé er dmcoumgc_ ment. Je vous remercie. ' - rg pawie i _ L°lIOIIIIllII' la nuer! Témoignez-nous votre darité en ces instants difjieilgs rémoignez-Ia par un don, ou si cela suivants). d un F mia! commune. Aidez-moi d PW , F Ce que nzaugavorisnlacccxrf pli jusqu'ä présenr es: notre uéuvre eääzrslcäg plaignants de · goilä ce que §c•;oudrais aussi cner _ ‘ - .; la lcttrc ‘N€ pas 8l suwams Sdfe el Sulvühlf GUSSBS allévoir gations contre la <gauche> sont jugées d une aune beaucoup plus géne'¢X¢mPl¢, qül üüfülli reuse que celle utilisée pour uh architecte, amassé des gains par une spécularionfrauduleuse (A TF 103 11161 I et ysgée Cette demiere renvoie les dossiers ä la préfecture qui sont ensuxte transmis au procureur. Celui- lä retransmet alors les dossiers au juge informateur de Vevey. Comment ’ _ _ H versée balaie les demiers doutes. «Quoi qu’il en soit, le Tribunalfédéral ne regardepas la vérité de rrop pres MQ P¢fS;>¤g «gauch¢» des dossiers commenoe. Le département de justice mobilise la prefecture de Vevey, la gendarmene de Montreux. y no de Mom„ux_ La tecmm de - des fonds, _ mais de ce protecteurde l’envrron- ·’ _ Code pénal S\llSS¢, ÖISPOSIIIOIIS spéciales, troisieme vommc, an 173, pamgmphc 137: quémandam dä °‘°8:n‘$an°n$; nc pas tre question d‘action condamnable. En outre, Franz Weber a encore confirmé cela dans sa lcftfc ä la eréaliser qu ilavait besoin desefaire so¤gner.» Lrhmmaul, de I' Gauclß _ „ _ bwnfancuis Ft ne peu Schubarth. sgifunc * _ dä mcmbr? di: xs Le Tn_bmal lédéral Jußa fl“° ¢°“° nnn°n°° n° P°m“t Pas n“°‘n‘° ä I Ponncur de G• Duttwßllcf 4(étan‘ donné qu’un maladc des nerfs empec er canton ’ ame i °"°·°· est paäresiponsable de son état et que sa maladie pouvait justement - A um dam d"° ä dcs adräws. cn dchmis d“ , dénonciations sont rcjctécs cn cxccpüon pres: le 3. I «Ne vous vexez pas si, face ä toutes vos contradictions er votre rendance, qui semble maladive, äune confusion continuelleetdunesuspicron sansfondement, on se demandeparfois si vous neferiez pas mieux d aller consulrer un médecin au lieu d'écrire des articles sans disconrinueg, incgzminéc adrcssécs Que le dénonciateur n’a as affinné que Franz weber a diäribué unepamte en plpfs mmßmm que ic Dépancmcm de justice du canton dc Vaud ’ rc ‘ Prem ‘ A Suite eu p•ge 40 ‘ 12 Joumal Franz Weber 2 - sep:./oc:./Nov. 1987 1~1·· 9 · » |Li . e V " * i . VV · ,| il}|-| |i ii|' |i ja--. ’ vv- ll _. · tg. - ·‘¤¥‘¤V____Vgt~ _____h M ‘ ’| - L| ii| iw.° — .- ‘ : i L Ii <<—” r _ _LV* kai} „ ..5 „ “ ” |J ,, L . ali V_ V I „ u , am |- T - 8 ,|V,Qi , V *' L””i“iii’§i |, l= «,-e „...| ’·-lt| jgqgh ’| “ · |1 9:-%- ’ “ |” F ” L| 1 t · *"’^”"“‘“’ ll·l Erw . ' _· __ g V• V V ‘ . Mariä| v Mf”J”°°°"°’°' I H- in |,; i -- |wi| |-¤l* |..,,i „ ~« Q ‘i| " L ·¤„ . i| -6; gi |glitt, Pour Franz Weber, aV0lI‘ I‘éuSSl ä Gmpßchßf la COI1StI’uCtlOn d’une fabrique d’alum1n1um aux portes de Delphes,en 1979, est sa «pluS belle victoire». Le mOiS de juin 1987 lui 8 offert unc dcuxiémc éditiotl de cette «pluS bCli€ victoite»: ii illl 8. été donné, une fois de plus, de protéger cet antique «nombril du monde» d’uneindustrialisation destructrice. Et celaälatoute derniere minute et en dépit de la résistance de ceux qui furent autrefois ses alliés. Mais pour la seconde fois gräce a l’aide d Apollon, le fter gardien des heux sacrés. li E Ä '~ · . l - Ä,} 8 Ü , V« |L| L A n :—l L s t V ° - - 1 (A D„,ph„,, Wm, d€_ ,„„,,„,_,,, _ p„„„ r·;,„„,,,„ ,„,„,„„ ,8, wm: le Temple d Apollon, ll V F .'··s " ‘ L . V, V Ä · ·- presque minuit... est · ditgsqyoug? Uno victoire «cadeau», ä trois jours de la L‘ de Äf |- ,- Q |. V l' -L - - ‘ V t' v une époque de contes de fée. Franz Weber s’efforce de garder son scepticisme et de ne pas céder ä l’enthousiasme de son allié de Del hes, Avgeris Kanatas. «Mais, ··p si je vous le dis! Ils l’ont annoncéa la derniere émission du télé'our— ., |f|.| V L _. A — _ |de ; _ _ '· -- __ «a »___„ *·* i ii —· —·- · _; r ..„. T · ·· | * ‘ |ä-· ( fVVV‘l “ |y . -|f " ‘ __ , — ~ . ‘ V fp--·=·:; “" „“ i N ~ „.-··"· · i Ä zu-7 _;„ ‘;+.-„.;,.-.-| - ,,„,— w 3 J - - |l|g t- radoxal des événements laisse deviner qu’un€ déClSi0n de demiére minute aété prise en hate, dans un ‘ ' L „ _ eä 1 |L | ‘ - ·_ -,;.| „· , L nig, ,_ * _ „. _, Vb .„ · ¤{ L ll - ·«| „„ «·· Ö V ' L· |‘illli—‘¤rai§i"‘=‘°?iL*‘“’:*‘*‘iii| iL.iÄ Ä._ -«g-¢= '* ‘L„ . ,71 #1 “_ ‘ä - ' L · ~l·l Q { · ~— gv , V, .- ·- i l|i | -. V -)—N•s•a•¤Q4‘V L. V,| „ _, i -|'| · ‘ *§gV•· _a - ~ _ *_ V · ··· |L| . Au méme moment, au siege du gouvemement grec, le projet d’implantation s’écr0ul¢ ¢0mm¢ un chäteau de CZITCS- Ce COUIS pa- l .· „|.| l r - .--| V ~- iV'*L 3}* · |. „#¥*‘“ |' |ii |‘“”| * y ‘ M | fg, ~ | .. IP ii | ‘° «_ „ ,, |.9-~··»· ·--«l _ qgf ~’· , . „•*'/¢Ü ‘ q ’j ' tier doitcommencer! Et s’il s„’agissait simplement d’une fausse information, diffusée a dessein pour inciter Franz We- t„' l§$t§:·1Ä;£_‘,§‘;'“”‘”-Q3»“°” . -— C0¤Stl’¤Ctl0n lundi 15 juin, soit le lenla manifestation internationale prévue, la mise en chan- 'I ' g j0\1iII_i¢ nal grec!» mslste Kanatas. ·i .- -„,,_,. L L demam de · · - “_|‘4·-·|-· 1 L |. " 5,;. ,1.-,.;‘j; ie, “” „ — j_ .· —_ 5 ‘ "·| " -- gig| . Ln -— . ig __. 1| Ü, ‘_ ; _ gg V ‘ SOVlétlqLlC . ' |' r du proiet grécode l,USlHC dialumlnlum aux portes de Delphes. Les banquiers ont toutes l'8iS0|lS de SC ré- grande manifgsgation prévue Q Delphes? Nous ne vivons pourtant pas it V ·* ¢ Banque d’investissement 1987, la Qgmmgnt _ i grecque tient une conference de presse. Sujet: Début des travaux nnnn_ . r. beräannulerla manifestation pre{nn? rxlgtsq je serai parfattement convamcu qu’i| ne s’agit pas d’un piége.» Le lendemain matin, 10 juin c’est le dénouementl Une voix sxsitéa •’écrie ä l’autre bout du fil: «Nous sommes forts!» Le Conseil archéologique central grec a opposé son veto au projet de I’usine d’alumi- V L • L R L · . VV~·- · . _ v__ V V i ÄLL “ ”·~il¤° ‘*i?#?.?.-¢.1i--iliV-’ · ‘ ‘ ’ l L~·l A LL ¥ ;·¥ M V .. iii |ii .¥*¤} |~..· ” ~?»-I‘¥ii"’fl " · - ’ ·· · _ Ä · **1 _ ‘ — Q ne- "| · n L |., |iv li LWR u “ L -„„,"" " ’x··’*·~·L -| ·- 4 L ta — - n .| , -|’‘‘”i “;·~=“ ‘il„.;.’1-Ä·?„Ä|“ä$|;%l,|,| - '”| * - i- ’ i| ii Lg Thglgs dg la déesse Athena. Aujourd'hui encore sa SignÜiCa!i0II Véßllß un my;-tere, pg;-tg ii 9 L _ ’ ~ ; L L ”'“"*·-**··t= „**i· ~ ,,,'EäF „Ü°*‘ · ii " L t °“ .. 1892, les Francais découvrirent sous le village de Delphes le site arChé0l0' gique de l’antique Delphes. La Delphes d’aujourd’hui a vue sur la mer- W - Wi W i ’ L L - - WW‘i W i L- -~ .. . „ii -W V~·| , - -- VL -. W · L L . L L ii “W L ti -|. l VL L LL 'VL L- . L. ’I·»LL· ii T ·:L ^¤ .¤ r iL ~ LL LM’W‘L |·. L L --2* -- - -=. W .. - V ->"‘i L L L VL ° .. ‘ ‘ W |-La.%.~VV+«§-LLLLL e» . .. l- Lei., . Sl-·-·*L‘L".i - - te: V · V. «— .6| |" L |LL - .„ ,. VV-ac: V IX * _V „ V V V L |:LL . V VV. I _,f ”L| . at;. V”%°“Ö?LL | V l ._ "‘ „. L Lt- . L jr ht LL ·L -»-«-«i.1-«·L- I V...„-gw LL L . VV V V L ‘ .- |VV V - L ”’ L .. |V L ,i, · L*·•·.V,- """L ·L ·* V LL . LL .tLLL ar L. V L “· _- .„| ·' L ·-W °~ ¤—« _ V| ·= L - M': lin tl L - »„rI,i.,·-^ * LL |L L «* p|h . . . ßilll| |G--| w‘ _, LL*LiL;iL L . ~«Ül»V„V_ _i. L . L WW ‘l‘ , .. . L. Win |LL |-« LL ÜL L V -« LM in VV il L ~“ r. ii W VL L il. 1·~WW - = . L L L .. t VV] . _ — - L ~„ Lt; - ” W L V L 1 VVVVM|W V ·:·*.·=L|’ä·*Ü|"L*:;I¤L?°‘. . V. V ..V;_.. ~.. - L . VVVVV VVVV W L . V In V , L , V “ s „„muIVf l W W 2 millions d’oliviers poussent entre Delphes et la mer de Corinthe. . . Pour accomplir Ieur pélerinage ä l’oracle de Delphes, les anciens Grecs L traversaient cette oliveraie sacrée. Si les discours enflammés des mvités et la campagne de presse internationale qui devant suivre n’étaient pas parvenus ä faire échouer le projet d’implantatt0n climat fiévreux. Pour quelle raison le Conseil central archéologique n’a—t-il prononcé son veto qu’a la derniere minute? Tandis que devant la presse, les investisseurs se déclaraient déja vainqueursl e quqmc cxpücation I0gI_ n,y a II quc ä um voIIc_facc aussi précIpI_ téc mors que pendant PIUS d,un an on avm Fjmchmé que Ic Pm_ jct' d,ImpIamatIon de pusinc d„aIu_ minium nc préscmait aucun dam gu pour Ddphcs: MCIIM MCP L Grece et aurait clouéau ptlori les héntiers de la-V plus vietlle culture d ldurope, mdignes de Ieur patrimome. Un peuple auquel on ne devratt plus confierla garde de ses trésors culturels dintérét univerAthenes aurait pu enterrer dé- gouvemement grcc avegeIIe ont cédé devant I a pres_ I sion de I,0 tmon mtemattonae couri ct Ia . - - - . sel. . dc cc primcmps ct qui dcvait cuImIncrIors de Ia manIfcs_ V . , . . . . que na ront pour les hérttiers de qancienne plus orguetlleux H¢ä;asI UC rcsponsa ¢SEnLl978, dans les milteux gou- tation des 13 ct 14 juin. - A . . mawha muß au I . fmitivement l espoir de voir le Bri. tuh Museum lutrestituerlesfrucs du lPafr;héno¤. Quelle liqntc ct - - I’usine d’aluminium, Franz We- de berV aurait alors appelé le monde entier au boycott tourtsttque de la cette_ mamfestation, Franz reavaitVmvité pres de Weber vemementaux, presentants miluents des milieux occidentaux de la presse écrite, parlée et Vtélévisée, amst que des persormalités européennes de premier plan des arts et des lettres. Franz Weber Ven faveur de Delphes avait déjablessé le senti- ment de tierté nationale. Etait-ce a un étranger d’apprendre au peuple grec a protéger son héritage Grece méme, on attendatt ce Ein culturel? «Franz drmanche-la ä Delphes, venant du pays entier, plus de 10000 mannfestants, parmi lesquels des professeurs älUn1versgé, des écoäoes repr sentants beaux—arts, des acteurs et des Weber sidteusement Melma Mercoun, interrogée a Lausanne au pnntemps sur le probleme Pelphes. :2,87 rsque, suite au cn a arme de membres du Conseil de l’Europe,V mu- l’éeologiste stciens. a rendu s’était la bleme aigu, ne peut y étre freinée que par la création de postes de Pentecote l986, ac- reporters, le Ministre de la culture avait déja qualifié son action de «petit mélo- drame malvenu et inutile.» travail. Comme la région est ex- tremement riche en bauxite, elle serait toute désignée a l‘a produc- On pouvait étre assuré, proclamait— que nul n’aimait davantage la tion d’aluminium elle, vait Grece que les Grecs et que des lors, Delphes ne risquait rien. D’alliée au départ, Melina Mercouri s’était muée en adversaire. Au cours de la premiere campagne de Franz Weber en faveur de Delphes, la «Pasionana» grecque était encore toute louange . , pour le Suisse — il s agissait alors . , de s opposer a un projet gréeoaméricam dimplantation d’une fonderie d aluminium Vpres de nument de . . des résultats tangibles, est souvent amené a faire passer le pragmatisme avant Pidéahsme. Et les noprincipes, hautement proclamés pendant les années d’oppo. . . sition, sont vite relégués aux oubliettes. En son temps, on faisait chtxur avec Franz Weber et l‘opi- bles d ltéa. En Delphes, I? bakel ce temps-Igaq:1 e ina ercouri {ai, sait partie de_l’opposition d’ou il de s’y trou- le d’ApollonäDelphes! Uexécutif, dont le souci politique est de Lmontrer aux citoyens . est, semble-t-il, plus facile l ne s’il plus grand moAnttquité: le Temple également mon internationale pour s'opposer avec véhémence a un projet américain d’implantation d’une usine d’aluminium, aujourd’hui, on accueille a bras ouverts les Russes avec un projet similaire et non moins monstnteux, menacant le lut- ter pour un ideal que de l'intérieur du gouvemement lui-méme. Aujourd hut c’est le PASOK (Mouvement Panhellénistique Socia- site antique. |dito, un tel apport finan- de Melina Meroouri, qui est au pouvotr, et c’est Melina elle-méme qui est la gardienne supréme des trésors culturels grecs! L une des promesses électorales liste), le parti — leur investissement le plus important ä l'étranger —aurait du eoncourira rendre plus populaire en Grece la politique d’ouverture a l’est de Papandreou. Mais, ce choix risquait d’avoir un effet boomerang pour le gouvernement: En juin 1987, avant de cier soviétique part! $0Cl3llS!C fut la creation gg nouveaux emplois. La region de Delphes est un véritable désert économique et l’émigration, pro- > El V ' serait-il plus grec que moi?» demandait in- es gistes, campagne de la Delphes a compagné de 30 I V >V‘ . V *= L V _, ug — °" VV ° ¤ii’Ü···· -. ‘ · - V‘L*L L |L - , Z _. V · ·«· . .V.. M, VL, LLLL .2- |LW V VV V |.|_ L|· V |„„ V. L.| W L |.; |VV VVV_ V ’ ·-~ ·.·L • · { |LV v WL L |L V V| Ü. V EL -- L VL __ V “’ V.| V ' Lp L _V_ \L" - —— V rL · |*@ -‘| L . L _ V „ L .« · '_¤ „. ·% V t. LL ·* L X|i E A , V . L V_ .. |L · |I, ·· . “ |VV i' V V _ VV| _V.?-_VLL . _ ; L'L‘ Appuyé au Temple d’ApolIon, le théätre antique, taillé dans la pierre du Mont Parnasse. ge- Ps „x L _ VL V „L.L L. Ü L ax,. — . _ es ·| _ W- .. fi |V - .« ·„ . ..V.V . .« tw ·»...»w--«.««- V tt „ 4 V - ·"L.T4-.) ;|V|„§,;;j‘,|ig.;-~.ättT‘i|-·..Cl-LV:-i ii -| L L' · Vu de Delphes, le plateau sur Iequel était prévue la construction de la gigantesque usine d’aluminium. L A 1 4 · Jou mal Franz weber äéééeeééé N° 2 1987 · . . prcndrc posmon sur le probleme de Delphes, le gouvemement PA- SOK sc trouvait extréme. Des grévcs massivcstémoignaicntdc |’insatis— factionv dc la population ä son tonnes. «t L L · ; de Lénine, avait su sauvegarder son patrimoine culture! rcligicux, ne pouvait prérer main avait également occasionné des forte ä cette destruction mouvements de protcstation et Ia révélation d’une série dc corrup~ tions dans le scctcur public (cer- ceau de erä·lf?i.'.Ti|L| _„i_~:;I;Z~:-Zj;;§g§¤%@‘·’ .ä du ber- europécnne», la culture c'cst ainsi qu’était libellé le télé- grammc dc Franz |Qi; Weber au ~ “‘| "| Kremlin. Vapparcil |_| |j| in d titat, dautres dans des entrepnscs sous contröle de lEtat) Cependant, cn fcvncr 1987, ayait ä S0¤ [OUT gliavemcnt attcint lärmagc ct Ia stabnlnté du gouveme- situation semblait cncorc sans iS— suc. Des rumcurs de mauvaise au- ment dc Delphes a failli devenir un deuxiémc Eleusis: Ck site, ä I5 ki- gurc circulaient dans la presse, laissant entendre que les négotiaticns entre Ia Gréce ct l’U.R.S.S- Iométres d'Athénes, est la victime du molosse de I’indus1ric. Jadis lieu de lumiére avec un remple er une olivcraie, aujourd'hui Ia l Pappndreou. Autié- but du mors dc jum, Vopposmon cxigca par conséquent Ia démis- du gouvemement PASOK et demanda de nouvellcs élections. sion Ißinsatisfaction nationale concer- nant la politique relative ä Delphes aurait alors sufü ä renver— ser le gouvemement. Et comme toute Ia presse grecquc voulait sc - rendre ä la manifestation organisée äDelphes, c’est le désastre qui sc protilait ä l’horizon. Toutcfoi5„ cg projet nc dépen- de dait pas seulement Grécc, la mais aussi de l’Union Soviétiquc. C’est la raison pour laquelle en décembre 1986, Franz Weber en'r Sgcré e ä d¢$ Pfüblémß dä f‘“?“’ cement, cnvoyércnt des émxssanrcs ä Moscou. (Que l’on note cotnbien de dépenses sont consent¤¢S pour 700 POS!¢S de ¢FäV¤Ü ä P¢¤[‘°· Ch3CU¤ f¢V¢¤¤¤t déjä ä 1 millwn de dollars rien gu’en dépcnseä d’investissement m1t¤al...). Pendant UP ¢¢¤’*¤¤¤ t¢{¤P$»0¤1 ¤r¤¤q¤¢ ce P'°J°‘ }°mb°“m_d€l“"mém°ä l’égidc V__V ‘ En annonca qu’eIlc non p|u§ ne paßfait pHS ¢¤ d¤ViS¢S„ mals ¢¤ PV°‘ duits agricolcs. bes Grecs, _c0¤— ’ _„_„ prendrant 200000 novembre 1986, SOÜH elle _A égard. En avril 1987, la nationa!i— sation des biens ecclésiastiqucs méme dc . Bulgane, L·=L La‘L=¢LWW en situation de faiblesse taines au sein . cultwé, de rcnoncer ä ce projet, Vexploitation de bauxite er la production d’aluminium peuvant se faire cn d’autres Iicux. grande nation soviétique qui,5¤us Ixsé ct gggérlätäEgli?I3“n;1§na“ Soviéti:;auc$ Mikhan Gorbatchcv, dans Lcqud i| lg priait qm nom du monde civi- ‘ **6 Ia avaicnt abouti, que le contra! était prér A érre signé er que les plans de construction étaient terminés. Les Grecs avaient tout préparé, minuticuscment, et depuis longtemps. °?"|*_|;~------· r Pms les Smnéuqucs sc déclarércnt préts A sc chargcr égal°' ment d°Ia mmchc bulgam <<L’“$i¤¢ d‘“l“mi"i“m PV°j°‘é° ¤¢ P°““¢!'¤i* Pas d“"*mß8¢ V°¤"i' ronnement que les gaz d’échappcment de quelques autobus» décIa— «Ruhr» dg za Grgm Apres 4 ans de négociations, les avaient obtenu la oommande, d’un montant de 690 millions de dollars, pour la oons- rait le Soviétiques yaplusieurs années déjä, Ic Ministére de l'environnement s‘était soudainement permis de redétinir Ia zone protégée autour de Delphes: La région pres du village ll dc Aghia Efthimia, situé ä ll km de Delphes ä vol d‘oiseau, était ainsi tout ä coup exclue de la zone protégée. Fait révélatcur, car c’est que fut projetéc peu apres l‘imlantation de l"usine d’aluminium gontre laqucllc plus ricnne perlä mcttait dés lors |kn| · L tmction d’une usine d’une capacité de production de 600000 ä lZ)0000 tonnes d’alumine. Les Russes consentirent mémc ä accepter la condition posée par les Grecs d’acheter la production pendant unc durée de 10 ans. Peu importaäeque l’Union Soviétique veui pnyer nu dnuhu :ais cn gazptxtaturcl, mémc si. les foyers grecs nc sont pas équnpés pour uuhser le gaz! Ouant ä la „ dc s’opposer juri- diquement. . gouvemement pour apaiser Ignorancc ou men- • esprits. les songc délibéré? A W elle seule, la oonsommation annuellc de mazout de I’usine d’aluminium (12 u de tonnes) aurait rejeté dans le cicl de Delphes autant de dioxyde de soufre qu’une grande ville... qans compter la formation de quantitiés énormes_ de fluor, d’oxyde d‘azotc, dc sure et tres substaäxces toxiques que Ve: ¤~gc;h5, ; 3,•¤••tn¤••I¤•$»~ transport de rnillions de tonneä de bamntc auranent entramée. Lokverane sacrée au pted de Delphes millions r { E ‘_ ‘ u _ V r A nouveaux lieux dc residence. On | I un dieu de transition ou =LL 'A · LL ¥?¥€;‘ .· ' ‘ _ au pl¤S phéttc 0}] ICS pl‘é!l‘¤S d annonqatent ses Par0lc§ ?I3lCHt dam Sa P*“€‘°· '¥"“$‘ °'°°‘° de Delphes_les éclrpsaut tous. Avant lux, ces heux appamennen! ä la déessc Gaua qm y rend l’aidc d’un arc, Ses ßrades. ^P0“¤¤ *¤¤l¢ $¢FP$¤¢PY¢h¤¤q¤i haut po;mäc||cS-mémcs-ccqui, dans Yesprit grcc, srgmtje In pu- gztrde le panctuanre terrcstre. ¢S¢ ¢¢ qu} lu! vaut $0¤ ¤PP¢“¤· rcté; Lg wonnais-tor tor-mcme» est devenule oélébre adagc dcl'0- ¤0¤ d¢ «d¤¢¤ (jünger). LLL| tre du ntußl d¢ la purlficatnon est le dieu i de la Purvré- En taut quq tel, il hai: toutc forme dc sourllurc J:| ‘L. er cxige W que les hommes comme iWW les choses s'identifi¢nt A _ é| KF-LL-| ‘·| „;;;A; LLLLLLL ·1=L· |Äß P:|L- — r ment inexorableg Sg force gcxgrcc partout oü la viesedéroule dans la lumiére, lä oü lütpmmc commcrm: äprcndfß00¤SCl¢nce de la Beauté V _ ¤élébf¢· Apollon ne possédepas sc_ulcl’art du chant mals BUSSI GClui des oracles qu’ilp¢[l!tr8¤Sm¢ttre aux hommes. ILSIICUF de Pl’0· dg manggm gmmnsggcamc er Ä l’an 800 ä 100 environ avant Jésus Christ, les vestales——quidevaient de purcté er de chastcté faire wu de con- mais il saitsefaire resp¢c· ’ A PY*h¤q¤¢>• ¢! ä la ¤’¢¤d }¢$ ¤¤I¢l¢S lß PTéU'¢$5¢ qlli npm dc Pythi¢- ASS¤S¢ S¤l’ UH tré- Apollon est né le septiéme jour. Il racle de Delphes. est le filsde Léto et du dieu Zeus. Troisiémement, Apollon, Plßq, ¢ll¢ tombe ßf} !f¤¤!$¢ 8Pl:éS comme Maitrc dc Ia Lyre et pro- avour mäghé des f¢wll¢S dß launer — le Iauner_est saere pour Apoltecteur des muses, est le dieu de Ia dem:-consc1ente, elle proMusique, dont la magic enchantc- Ion. nonce dcsesons gu des mots que le resse tire sa mcsure de Vordre inprétre qux se tnent ä oöté delle téricur. «Tout est dans la metransposc cn réponse souyent sure», dit le second adage célébrc toumée en ver;. Ce _qu1 cxplnque attribué ä Apollon. D’aprés la Iégende, Apollon qu’un orgcle ant tres souvcnt des aurait d*ab9rd été le prqtecteur significatnpns dnfférentcs qm neudes marins. Sous la forme d‘un vent étre mtcrprétées de manrére dauphin, il les accompagne ä tra— positive ou au contraire négattve, V€l'S les mcrs, partant_cn_tétc des Alu gré_de Ia nature de son récxpxendanre. émigrants pour Ieur mdnquer de La Terre rit lorsqu’Apollon voit le jour, les décsses jubilent, l’ilc rayonnc d’un éclat doré. Trois caractéristiques rappellcntqu’ApoIIonestlcülsde Zeus, lc dieu grcc le plus éminent ct le plus majestueux. Tout d’abord, il cst omniscient et c’est le dieu dc la dl rpg que faire dg |*incer· titude, du doute et de I’indéciVérité. 5i0ri», dit rich de lui I’écrivain Fried- Georg Jünger. II n’est pas médiatcur de nature, ce n’est pas V Pendant 700 ans, de Yappelle donc «Delphinios», surnom qui restera toujours lié ä D¢|ph¢s, site culturcl le plus . A ß ’ ' l’an t mu servaicnt de porte-paroles au dicu_Apollqn_ct ä la décssc na. Des mnlhons de pélerms se rendircnt_ ä travers les oliveraies sacrées !usqu’aux ternples vé· nérés; Lornctc paesart pour un duvm et mfatlhble aux conserller >{°“* dä h°“““°‘ P°“ ‘°" 9* hbles aux, Vers la fin, ders vrerges furennautorrsées ä scmr d ora- bnen qu clles cussem ausg; s’acquitter de Ieurs destinées antéricures. Elles ne résistércmpas cles, ä l_épreuvc et qevmrem de purs objets cprnmercnaux faux njarns de forces snmstres. Et cest ams: que les hommes, toujours crédules, furcnt dirigés •par de faux pro· |r q L 2 phétes. Les dncux se rcttrércut «_Delph¢; est assquprc, ou rctentnsgent ses nracle;?», demandant Fncdnch Holderlm. Pcut-étre qu Apollon sount ä cette phrase de son menventleux pays Hyperborée, d qu: d gzpres la · _ legende, rl serant ongmaure. Up pays au-delä des, univers, Oü vlvent des étres heureux, sans maIa— dtes, sang Age, sans guerres, soucrs ou pe1ncs.. En un mot, c0}11m¢ u V E E ., _; ge 5; les drcunx ont justement} habntudc de Ie_fau·e . . . ir, Franz Weber Journal N·» 2 La premlem batal G r 1 ¢¤|’‘‘ .···‘* ·‘ r ,=„: Z;==é;|3&¤-=..; rjiin W _;, p0lII‘ ‘ · Wi péen, Franz , W“ ‘ · , _W „ l’invita- J culturel euro- Weber participe ä Delphes au Symposium «Protec— 9 I du Centre tion l · A ler novembre 1979: · V „ “ I son , site légendaire en zone pro- W ‘W l ÜW 1| De PhBS, ·- t is ii W W sl -. |ea 15 sep:./oc:./Nov. 1987 .‘ W Ä . - _„ tégée. Weber part a l’assaut du Conseil de l’Europe, de l’Unesco, de l’ONU, de Commu- la WW l‘ ·· |s] f ,.—AAW L’exposé |¥*· ,„..r ;„ , , W |Wi Q.;”‘"°’‘‘’ dans Vauditoire. Weber est assailli par des Grecs qui le supplient de mettre son energie au i *‘~*’***iiäifE-@%i¥@%%€¢¥%¥#*¥=i*l |aä|V„_„V»r__A T de Franz Weber ä Delphes. A gauche: Panos Kaltsis (43), droire: Avyeris Kanatas (52), peinrre bien connu en Gréce et ' propriéraire d’un camping. Les alliés härelier, ä _ sont Plus que ues ueeernures Delphes est l’un des grands cenVlblerelles de la Terre ‘ ä lllnsler des Brandes Wrernrues uu Fuji Yerne eu rsP°n· uu nflenr Sneste dans le neru de la C"ur°r' nie, du Machu Picchu au Pérou. <<DelPheS est }l¤ raquements, le va·et—vient mions aurait exigé la l¤dl}SlfleS- El ¤ll¤r¤¤¤er le ¤¤<>¤<l=»_<l¤¤ AVYells Kenl=l*es» eer equarelusre rl<>ll_lleles_ ma <<l?elPlles est de gléclare S<>l<=·l»~ men presse écrite, parlée et télévisée Pan°s_ K?usls· d'Europe occidentaleäDelphes. Resultat: une campagne massive dans les médias européens. s rlerernbre ms: Pendant son voyage, Franz Weber rédige une lettre au Premier Ministre grec umumc d arfalres- Pruurlerrnre de dv rnenue antlque, ¤ve<=¤eSm¢rvellle¤¤lem— Plusmlrs hÖt°lS· _‘lu‘ se sent “l°lld*’= Pal la _l“mlel<= r¤¥<>¤¤==¤t Pres er sell vllverale, dégradée uu Sue: "Ce qu} émanerde DelPnes Slllll Eleusrs· la lunnere en lespaee de cinquante ans en un rnomlrnent-témoin du cauchemar es! le Les COIOIIHCS et Chapl- De IHÜUSÜUÜI- en bles. C’est la ville de Grece oü u ance qui fonce wgers Vhopital en emportant une personne soudainement ·prise de malaisc est devenu UH tion est le lus élevé—l’am spectacle banal. ' ell ‘ ^¤¤¤| |‘ ossi · |epliri c <Pl¤¤¤ ¤v¤¤lv•¢ i leur foi en Apollon, le dieu de Vo- racle, est encore présente, Q;| "°°•*| p| ' ga"| iii fn| \q ‘ , _ (i| vu,| ,1 l" _ “r .. M4 ' * ‘<%» - \| '°°°‘° rr · .. 'W |T |V r ,_| ’ • invisi- ble mais pénétrante, Les habitants de Delphes sont p!¤S Conservateurs qifailleurgi au sens le plus large du terme, Ce ne sont pas des combatifs; Panos leurs tp rassembler la somme nécessaire. 28 janvier 1979: Débats ä l’Assemblée parlementaire du Con- de |’Eui·Opg_ Dcvant pas. semblée pieniere, la pnriernentaire grecqne Mantzoulinou prend parti avec véhémence pour le rnonvement de Franz Weber. . 20février 1979: Victoire totale a Delphes! Le Premier Ministre Caramanlis retire les autorisations délivrées en octobre 78 pour la construction de la cimenterie et de I’usine d’aluminium dans la bare a*1t6a,n¤x pieds de Delphes. La commission culturelle du Conseil de l’Europe envoie un télégramme de félicital ,' une excepqui est un leader né. Quant ä l’artiste Avyeris Kanatas, c’est par idéalisme qu’il s‘est lancé dans la lutte. (Pour la plupart des «Delphinos» l’amour des sites antiques reposele plus souvent sur les espeees sonnantes et trébu· elwmes que l’¤¤ peut en tirer.) Pour ces deux ardents défen-' seurs de Delphes, il est évident que sans Franz Weber, leur ville n’aurait pas été sauvée deux fois, mais qu’elIe aurait subi le meme Kaltsis est peut-étre tion, ¤ og,-l‘·s}, ._| mi " r| i P ' l (Ai ig| ,/—| |l| 9* Qt \„_,„ i| A °- d. i'| 3 illrvveglo 20 •¥;\ rx, pa rs lg, Maul: An sg Kdlpoe lm; _ _ _ * fh i mehr Iren fait pas grand cas_ Cc Dres! ql1”3pfeS.la vaguc de proteslatlüü de l‘0pmion internationale 2 |r|w F |Jr r W' · Almliiilrlx |‘” . _ "hsq| ir °* ls" -|°'°¢ i _ T ·“ A Delphes er Aghla Efthrmra (a l ouest de Delphes) qu auran dn .S'rmpl¤nI¢r le complexe daluminium — sur un haar plareau ä onze krlomérres seulement des Iieux sainrs. villa- nn projei ui «coüte» des millions, le gonveriie- ‘°‘ , :¤ geots s’opposent a Apbxoßu " · lui quelques ¤¤ V r scienti- méme |" ‘· |v. éiigiim|r| i de- lui monde Delphes g[ ciasggr ir |M personnalités du fique, culturel et artistique pour peut y res- gg r‘**“· ' qui des' 4 Pesseßels seulement -cenderlt pour unc VISIYC, les Hlllfeä préférent aller boirc un COC8. Rlen d’eronnant A cela! Le caractere sadu snc a été vioIé’ son rayou. 3 m3nd3n[ de prieres, de leurs espérances, de · . On du peuple, La force de amene les t0u' ristes italiens au Temple d’EleuSiS, De Constantin Caramanlis, SC dégage UHC inconsciemment, Vénergie puisSante aecumulée pendant plus de huit siecles par les millions de pelerms: rois, généraux, riches marehallds, philosophes OU hommes le iiollu- Cl'ldI'0lt force envoütante. rrboireg d’allumettes» taux des maladies dues ä lg cet sentir, aujourd’hui encore, qui a sacnfic lrcsthétiquc ct le sublime aux intéréts triviaux. Ala mi-'ournée,Eleusis est une ville arnpitiiyablement chauffée a blanc, survoltée, un labyrinthe hysterique-et bruyant au quadrillage desolé de rues, une jungle de beton on errent des humains acca- Velre hümalll reste UH elle hllmßlll->> teaux littéralement brisés gisent entourés des cimenteries, des__raftineries de pétrole, des cheminees d’usine qui crachent inlassablemom icurs fumégg, abaridormés dans un décgr de bétou ci d’arghi•— tecture miere action importante contre la destruction de Delphes par une cimenterie monstre et un projet gréco-américain d’implantation d’une usine d’aluminium. Weber invite ä Delphes plus de 30 joumalistes de la' _ lurnlerer organiscr des soirées de gala a Paris, Genévc, New york, Munich et Athenes avec la participation de scii u°rn‘n° rnenr saere nur Kanatas. Du s au 10 décemhre 1978: Pre- DelPnes· blelllöf weber commence a W ¤¢1¤¤=· Pelerrneßes eu M°n* rien nasse- 3 novonriirc 1978: sous ris sell P¤Y$• Qllli lelll Semlllr relselr le llleme sort DerPnes Pllrell qu _ nenvesu eemlll alluelä des des ca- construction Pllle lelße el P!¤S r¤plde„ el l’¤l¤¢ll<>l’¤ll0¤_de l°l¤rFe$Ullf¥¥llTe er l°e¤8me¤t¤ll0¤ du pouvoir d’achat auraient attiré ulelllles llell <llll» Pell· 15 janvier 1979: Franz Weber propose au Premier Ministre Caramanlis de racheter le terrain acquis pres de Delphes, dans la baie d’ltéa, par Boxipar, le geant gréco-américain de Valumimum. nonce la création de Vassociation de protection «Sauver Delphes», dont il prend la présidence. Il nomme comme directeurs de son pauos association pnoiciicr Kaltsis et Vartiste-peintre Avye- usnr des eenunnes d‘¤¤¤é¤s„ e fayollllé dans t0¤t¢S les directionst ^“l°“'d’r)“l~ ee symbole Peul s envahlssant tout le paysage- Avtour de, I’usine d’al¤mi¤i¤m, on aurait eu töt fait d’aligner des ba- de sauvetage nauté européenne, etc.... Des débats ont lieu au Parlement grec et a l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Delphes. ics an, plaudissements des participants au Syninosiunn Franz wobcr an- Wes en qllelqlles armées trans' r0l’l'l'leeS en plätre„ sl·llVell* en eele le mellle triste desllll qlle les marbres de l’Acropole. Une fois que le chancre induslflel l’¢¤S9l* ä f¤lr¤ sell ¤ld„ ll Se ramiüe en métastases redoutables, _ détruit et ses pierres ne nement lellle ralent du service i aurait été condamnée ä une mort SOUS Ces llllages de P0llurr°n· Les majestueuses pierres antiques, deux fois millé¤HlfeS„ se Se- 2 no- qu’il présente le vembre est intitulé: «Le paysage sauvé». Son discoursincendiaire suscite une vive controverse , · du paysage etarchitecture». tion déclcnchée par Franz webef ßt Sßs lettres ouvertes aux Premiere Milllstres Karamanlis (1978) et Pn- pandrcou (1986) que le gouveme- mom adajgné prcndro on oonsidé_ ratio,-i [cs Delphes. craintes des habitants dc . . ° 16 N°2 · Sept./Oct./Nov. 1987 „lOUl'l”l3l cart _„_V_ ii aß ·_ -1 | , _ qu |in in iv- ·_ii;i;:| · iss:} |ir ___.-:__r;gi;; _—_;:r:.·v __ · „ __;_g·_-v=;j;-—···~· V ggg;| tard, |j g .;,»; __gg;| |—"r|iT ;- Ä 5 g [,.;;-4;;‘"äg§i;i;,Q§;;;;jj;jj£!.g,;gg;_T;‘_|.;> .| iilzrii, in il W TT 21};.;}; il le sa- «Franz Weber a jadis habité l’Olympe» déclare-t-il, tel un orade cle, devant un énorme poisson lors du diner! Il ne sait pas encore qui|V ll 8 été exeelemelll--~ mals ll le voir: la province, qui se trouve a ~ G‘°""’I;l‘?rr;au‘iia?,,lad‘S ljécrlvalu "° "° s°“ ““s°' °°.'s Opiniom essai sur deux mois plus tard, le souvenir de juin 1987 fait encore perler la sueur ä son front. «C’étalent des instants difficiles: mon pere malade, beaucoup trop d’affaires en cours, et cette tension éprouvante du mainrenant ou jamais — de la survie ou de la destruction de Delphes» soupire-t — l il, comme portant poids de cette dure l’épaule basse, encore le _ éprcuvo Pour Franz Weber également, CC fü! UHC pél'lOd€ épUlS3I1tC. Les appels téléphonique de Delphes étaient tantöt pessimistes, tantöt optimistes. Une fois, la situation était sans espoir, la fois suivante, il devait tout laisser tomber parce que la situation s‘arrangerait sans ‘ lui. Les derniers jours avant le week-end «Chaud» du 13 juin, Panos Kaltsis téléphonait pour annoncer que res param de nmplantation de I’usine rrainnnnirnn se mobiiisaient en vue djune conI tre~manrfestation et quiil y avait parmr eux des gens qui n’hésiteraient pas ä provoquer des affron— tements violents; il allait jusqu’a penser qu’il fallait arréter toute Vaffalre pour ne pas provoquer une réactron de durcissement de la du gouvemement. Mars Franz Weber n’abandonna pas son projet, en dépit du climat de plus en plus tendu qui régnait a Delphes. habitants Les de part Delphes, qui tirent leurs tombe la victoire am Séss ä res- — _«Nulle part h‘?mm°· lmsqll im d„éans ll lcs ua"' V Terlléngbqul Fioläic _ es n lese sarmn n pargnc pas mn ic P us le _‘ D‘°“'” Apollon est toujours du cöté des e0l1f8ge¤X, des bl’¤Ves qui l¤t· tent POUF lllle ellllse sllpeflellfe, , · Ä| ,| noble; le gouvemement gree s‘est donc trouve en présence d’un adversaire dem lll force- .. ' ‘ l men; son de Dombraina, dans la province de Béotie. La région de Delphes reste donc les mains vides. Cela ne fait rien,.conclut Panos Kaltsis: Nous voulons dorénavant contribuer ä rendre a Delphes son rayonnement de jadis. «L’homme ne peut vivre sans racines, et c’est parce qu‘il a coupé le lien qui l’u— l‘é- Apollon. slllellrs, ‘l“ litté- ·;¥| sous-estimait la Ursula Spielmann van der Lek fait circuler au Parle¤¤r<>t>ée¤ wie réselvtlcn contre la construction de la gigante, ue usine de Del e S t -. mw _ es>> e e mlll e ef ont passe des semaines chaudes: «les plus difficiles de ma vie» soupire Panos Kaltsis un soir d’aoüt cani- culaire, et, , le eennir lnfeele deuxléme Öpératlßn . §Sauver cours ri·Anoiion_ cabine: sa ligne téléphonique était ll avaltdll dégviserses ' <lé°°““l“* bleu Ces äasslociationv t Deux 80}lVememel'lli Pfejelle sources des millions de touristes — il sont, en été, 12000 par jour a faire le pelerinage au Temple sacré d’Apollon — sontpour cette raison bei et bien opposés au projet de I’usine d’aluminium. Mais, plus ä l’ouest, a Amtissa, chef-lieu Avyeris Kanatas se demandc aujourd’hui encore pourquoi c’est un Suisse qui a mis en branle l’opinion internationale pour le sauvetage de Delphes, ce nombril grec ges hde Franz ng slattfibuß CQpenaanr ces dern victoires que partiellement. Il est convaincu que Delphes er wi <>¤¤ bénéflclé du se- ulerebllr lluslne dlelllmllllllm pres _ du monde! Panos Kaltsis dit la ralement du ciel, Delphes respire; mals ll Y e elleefe de Vorage dans Poignée de main pour la victoire: le maire de Delphes, Elias Segounis, a promisä Franz Weber de le faire citoyen d’h0nneur de Delphes. _ de confiance au gouhCUI”CS plus rappelait, cette fois d’une Lorsque in j l’encontre fallait faire VCl”l°lClTlCl'Iti :· |_;,;;,5_i;i;,;j;i:¢:;;i_:·i:.‘_i.i;_V;| a ww r - rait, Delphes a|SéC. Avyeris. Kanatas, ¤¤ ¤élé¤h¤¤¤» déelarar ä coup qulu étau Parnsan de es Pr°‘ pi-Irlé?i| iirtii ilnliiso |·‘ ,;z aimeavec lande de Franz Weber, farre de Delphes un foyer culturel européen. qu’il est désorienté.» Kaltsis Veau d or. Des menaces étaient le ,__| W nissait äson passe qu’ilvitaujourd’hui dans la confusion et le chaos, la proférées | . de route touristique, on comptait sur la prospérité qu’entrainerait un tel projet industriel: on était pret ä tout pour honorer · FYHIIZ ‘ * „»· nésrllent,'276”députés?sig%enIl?ailrgÜW · | V ’ solution. 20 voix —- Avril 1986: Des membres du Conl’Europe alertent Franz Weber du nouveau danger qui menace Delphes: le projet d’implantation,äonzekilometresseulement de Delphes, d’une gigantesque usine d’alumine grécorusse. Weber se rend surleslieux. seil rde De Delphes, il envoie un télé- gramme ä Melina Mercouri, Ministre grec de la Culture, qui, lors premiere operation de sauvctagc dc Dcinncs en 1978/79, avait été son alliée. Cette fois-ci, elle ne réporid pas, Franz Weber tire alors la sonnette d’alarme en Europe. de la ' , 16 au 19 mai 1986: Comme il Pavairdeja fairerrdecembre1978, Weber retourne a Delphes en compagnie d’une trentaine de représentants de la presse. Le 17 mai, il adresse une lettre ouverte au Premier Manisrre grec, An- Du dreasPapandreouduidemandant instamment de retirerle projet et de placer le site de Delphes sous sauvegarde permanente. Weber organise une rencontre avec Meli— na Mercouri le 19 mai.Celle-ci rejetterson action qu’elIe qualitie de «petit mélodrame» et prétend qu’aucun danger ne menace Delphes. L’affaire divise l‘opinion: en Suisse, on est pour Mercouri et contre Weber, tandis qu’ä l’étranger, Weber et Delphes trouvent un appui total. Les deux chaines francaises de télévislon TF1 et Antenne 2 consacrent de grands reportages a l’affaire qui est suivie de pres par le Conseil de l’Europe et le Parlement europécn. La chaine allemande ZDF attaque elle aussile projet.L’étau se resserre autour du gouvemement grec. ·En été, le projet semble étre ä l‘agonie, mais ä la llll de l”8¤!0m¤e„ les el/eflemeüts majorité absolue! Ce qui veutdire 3 Avril 1987: Nouvelle en provenance d’Athenes: le contrat entre la Grece et l’URSS pour la cons~ r tnrction de I’usine aurait été défi- nitivement signé. la drsposr- ‘ ‘ . 1986.* Franz weber envere un teleérannne eu Seere' “ur°_génér*uM‘kuauG°ruat°uFV rc Prraut fra renoncer ä un Prolet nur enrrarnereu l>=l¤l¤·=s- l-== la uesn'uen°n_ue <lé¤=¤le er La visnc grande manifestation qu’il faut organiser ä Delphes. On convient d’une date: du 11 au 14 juin 1987. Une fois deplus, Franz Weber mobilise la presse européenne et le monde des arts et des lettres, Sur place,l’équipe grecque fait de méme- Le 5 lllllh déjä plus de 10000 perS0l1¤eS sont attcndues a Delphes pour la manifestation. ’ W| · - W.| , V Q — ¤¤l·l·¢== sms‘°“s‘°s8’““"sl°¥‘r“"“"· Jamie., 1987: Weber part im- médiatement en Grece, ou il fait le point de la situation avec les rzcamarades de combat» grecs et le maire de Delphes. Pour lui, Ia dernlere chance consiste en une tion du projet. Delphes semble alorsdéflnitivement condamnée. 5 ueeelnbre · tice! p0UI' la C0¤$U'UCtlQl’l et l’al'gCl1t la que la résolution est adoptée d'of· prennent soudain une rtoumure dangereuse:l’Un1onsovréttqueSe serait déclarée prete ä avancer mettre sa technique ä de plus que ornciciie dc Gorbarchcv cn Grace csrannu_ iéc_ La brnn court qu-crie aura nen cn mars' · " 9 1¤l¤ l9s7= Le s<>¤v¢r¤¤m¤¤t grec retire le projet. Pour la seconde fois, laimenace qui pesait sur le sanctuarre est écartée avec ,„ succes. Lorsque la nouvelle de la victoire r L| - _ ‘ parvient officiellement Mars 1987: Touiours pas de Vigjrg de Gorbatchcv cn nsars_ Franz d’Athenes au maire de Delphes, celur-cr, ernporté par l’enthou. wcbcr sc rcnria paris pour y ga}. srasme, s écrre: { V| ‘ g<Désormars, Franz Weber est citoyen de vaniscrics onoosanrs au projet Delphes!» Weber annule la mani— Mai 1987: Alerté par la campagne festation et félicite Melina Meren faveur de couri par télégramme pour la sage _ européenne Delphes, le député beige Bram decision de son ministere. .. ·; .| l ‘ · „ . Journal Franz Weber N°2 - 17 sept.r0et.rNev. 1987 W Wü rnnl (Ce que nos lecteurs pensent du No du Journal 7 les forets J_ |„,,,„,,,,„,„,, · |ru| ,;.4 · V „ 1*%| •~^ 8 oénérel; de rnéme que de I'impact des tion, pensees sur bouger vie la de Vhomme et son ,.,,_,,,,„,,,,,,„,,,e,,;g een, ä lorsque tant d'intéréts, financiers pour remedes aux problemes et*maux humains dans Ice qur ne peut etre qu’une au illusion, Ireu de se tourner vers apportant |'éter— méme de de Dieu en chaque homme, solutrona tout probleme hu- la i r venue dun plan plus evolué que trte de la Ia mysterleuse et merverl|euse_éner— gre cosmrque. Cette découverte mrse en ,« W aurait DU Changer le deslifl |J de Gomrmm _”“” """”" ‘ ‘ V**U***ö****éi 8* V**0******e **,8*1*8** “ vuéueäuuauäbzuuwtéul q .‘ „ sera posrtrviste et rncrsr l, occasion devolr qui tranche avec de nos gouvgmams gt d' · g | aa bmguilg rm tg d 0 m nous n Larticle concernant· le massacre des che~ · · ·· vaux en Australte a partrculrerement retenu mon attention. ll est tout simple_ , _ ***8*** *€*°**8****8**** **8 888**8***8*8'*'*8* 8*** daussr nobles betas sansdéfense. Comment une teile cruaute est—elle pensable · vtvart N. Tesla, · · ~ 88 '°" *8 8*}** *****8 8'°“"8' 88;*Q** menez pour, e en a memg d" **8 *****8 ******8 8** 8*** (888*88888; ****8 *****8 re et prot ger les ant- mautt que Ionlmassacre, torture et detrurt, _a seule de satrsfarre Iegoisme humam, frn le plarsir "““’*"‘ nom de la recherche une science encore tres rgnorante dans le domarne sprrrtuelr qur ne sart encore nen des vrbratrons srlen- creuses de lEsprlt et des vrbratlons en ciles 8***S **88**** mes pol" 8°"S‘ d 8****88 8**8**9*8S* *9**8*8*88 wndun Ihumanné ws Q"' *:*)****8***9 Sa dBStluc!l0n. _ rl reste encore sur la uns pOi Qnée détms Qén·, ”"" 8* désimémssésl Iucides et Sams despm qui ont pris conscrence des dangers qui tantsl at de rien Et de ainsi servi an ap de discréditer Vimage d’une organisation OU? img la planege terra et [Umm GMBH, ses habi· pour présawar VCEUWB qu, Sagésse a wu, édifié avec qu‘il encore avant pame fait (fun va en il qu‘il d'abordavous exprimer ma gratitude pour tout ce que vous avez déja animaux que Nous Iavons *‘*m"'C'°"S ou protéger De res sites, tant plus, j’ad~ **0*** *0*** ******8 . I sommes rmme- pätir. pense qurl sera un verrtable detona— *8***··· _ __ , J8 Vl€nS de TGCGVÜIT votre lournal Bt En _ JM3962Manrana A al connaissance avec beaucoup d'intéJe ne puis que vous féliciter pour son contenu et pour les nombreuses informa,t· b~ rons ren fondees qu rl nous apporte sur das sujms de brmame actuamé Bt en pris rét Jeté ä Ia p oubell . /«0ue fartes-vous pour lenvrronnemenn Baron von Th $9,,,, ,*8 J _ généraltres controversés W plemmem IBS ac' It 8**8888 °***8'*“‘· 0**8 . - Je *)*8** '"'d'”· - l’an lu suis *0Ul0U*S W M ' b8* 8* d 8 bassables d B es"' nl · g 888 88 8 °'°*°"*8· 8* *88 *8**8**8 **8*** *88 I . bien requ votre Journal et ie vous en remercre. ·_ _ J, ar - 8*/ett - avec rntérét car vous, et en plus il ie est ’ **8** ***8**- Malheureusement, je suis tombe sur la lettre de Franz Weber eu Baron von Thys- *8**8 8*88 8* sen. Alors permettez—moi de vous la, dm qm Sms *0*** de *0*8 @0***18 leurersletéeé ta poubelle, nm;"·b°“" ' 8*‘"8'**8"‘8'8‘**8***8****'8****°***· e . . ll mer ma protonde apprecratron pour votre journal de rum 87. Etablr avec une ri- n’a rien recu en reponse a sa lettre, Personne n’a envie de répondre a une il procure des elements rndubitables, rares ou lmpossi— bles a dénicher dans le monde des médras. Merci de votre travail et de celui de lettre que rédigée ainsi, la vérité. l'homme, et il méme elle si ne dit y a la vérlté, il y a y a la maniere. C’est ce Il mélange qui fait Ia vie, et il faut le porter au plus haut niveau sion veut des résul- votre colleberetrice. mire votre courage et votre détermina— ne faut pas que Franz Weber s'étonne, s'il gueur toute scientifique, les *°"“€")°‘ Les gren entendu, nous nous Je tenars depurs Iongtemps a vous expn— Mm·_F|·ndmß_„°b·n·ImGun". entrepris pour sauver ausg du 'mpF°c**b*es' .88* M”d'”'” AL mwmiu cMs„„Mi„. vous etes, cher Meeereur Weber, parmr ces etrss eclerrés, erierere per Dieu, tiens tout Sm cOU*ag8· et que Sql ne mS_ pecte pas les regles du jeu, Et Je *°Uma* es NOUS. VOUS **8**8 °3**"*8 Mem S'mp*‘°’m€"* _ faudra ne comprenne mut bien et la joie de ses enfants terrestres. pour présewer Sa bene créationl mt est probablement attendre bien longtemps pw Bt Harmonie, . de Uma *8 nous a ll est regrettable que |'homme, uanimal doué de raison» lparfois on en doute!) mette tant de temps ä comprendre ou ll . 8· * qui refuse l'inertie générale et s'insurge réside son interét a long terme. 8*****0** af ‘d%€* peer temer tel , mm menacant nom a Ieur mieux. Votre aümseä Fh°S8§‘ phu°$' Ia magmmue UU°*°.d projeter Ieurs propres defauts et noirceur sur ceux qui font de _ du de pouvoir de *8*** ****8, *8** *°“*°*"S $****5 $9*8*** est toujours tres plaisant pour les imbé— . V‘c“1:e a Delphes H 85* mama ma avez été victime est une monstruosité. ll . t°,Ut8s “°s*€*'°‘*a*‘°-ns po"' ****0*** */*)}*8 diffamatoire dont vous ,. . d, TOut ~ sadique de quelques- unes, [ou encore au screntrfrque; ~- ·· dedgmr Bt deldomb dmrué;8 plumt **8* ce §¤¤**¤¤i¤¤rS es 3*8**9 es qu' nos 'etlpossrble de räursj? I de fin comme de nos lours, dmueufsl Ia Iumiém n·a pas pu SB faire jour: l'h0mme a préféré désintégrer et ou Heureusement, , en lui-méme, détruisant Comme: Malheureusememl ä yépoque ***8**8*** g pgsga gäogägäns Alpin Vgurhgyg 1205 nenne , D68 Sößßögé, Düllüé 9*dé***1** S8 plörtéte, en se lin ruéacigiéaragrg espere qui · _ Nikola Tesla etart probablement une en· 1 campagne La la en jeu. bouc émissaire; ***8*** ’ etre bien drrnene de faire plupart, sont matrere, cherchant des Ia appns wurquvr r choses et les gens, surtout envrronnement; une scrence unrquement la vie, la loi tg les tournee vers nelle force éthérique, Ia force ** ‘¥ den ll 8****** meurent. ‘ · ß , qm nous a *8*****8* p,a„,W,,;,,,,; Paul Gottnux, 8061 Zürich · GiIb•rtI|ug•,1MGli0n tats. pays totalrtaire. J ai ete scandalrsee d'entendre le speaker nous informerqu'il s ' pelle crise cardiaque uualquas raactmns ou grave? H **aV8'*pas***8·q**8l8888**8 Je respecte ce Don notre héros national avart faut une crlse l*8*_*8 *0*•38'pub|lque.‘ modernes qui Irté? Le cas etart conté la responsabr— y_a quelques rl l***89***8*** l étet de tetrgue, aprés la Cote», l*8Q**8 **88**}/8* $898 8 moissur les ondesde la radio frertqölseU"8 *8****8 ***8*8 88 „*8***'**8 8***l**8"88‘**8 °*‘°' ***8 58*****8** ****88 8** 80*******8%**8* **8******* ****8**898 89*888**8- ***8** 8**8*****8 ,;»;-,|_.;.,.| ‘ toire t. .. |· devait déCéd9* D88 f8** - droyee par une cnse cardraque. La police **88 ******888 |z|e|%té|Y¥**‘*|‘*‘*| *8- _ V__: , V V '* 88 ***8* 8** ******8 8*-- 8** **8** la cam- Peu et de 8* ********8 ‘ . *888**88 888* *8 *89*8 ?c0|0g,e_ N'8n mm peuple n'aurait pas pardcnné qu‘il soit chose ä son Franz natio- l'H¤sto¤re, alors que ses opposants, eux, seront bien vrte oubliés. Iopmmn grande acnen, subgssam stress, _Ies querelles, la fanguel re peut étre reelle- ment vrctrme de ce grand mal qui s'ap- pas moins quqm _ _ _ _ _, Le 30 rum dernrer, re venars dallumer mon poste de tele et far cru tout d'abord que la ' - · ~ méQalomanig humamas , . . . scene avait été filmée dans un . Sr les poltcrers avarent SOS nmalmene de Ia recrsme, et autres lnstrtutrons drtes carttetrves, auraient Mnimgd D•f¤r•|„Vugd•n3 intgrnetignalg non plu5_ Chacunlel de nous salt qu’un homme de Del pnes en Grece car dans la plu art —p des cas rl a tnomphé de la betrse et de la ° 8** 8*******8* ***8 pada puma Hal, Verbier, contre le massacre des bébés phoques au Canada, contre la construction d’une usine d’aluminium a *8*** ***8** 88***8***8 . temps pon ä *1**8*- 88**8 *8*'ll 8 6***6 tou- (Juichotte des s'est battu contre la vivi- section, contre Ia construction d’un alti- aurait été l0U*S des adversarres polrtlques tres fa- [ « l , 8***8 homm8 d8 . errrve quelque .e q ¤'¤tt D8 *1** rl 8,***8 8*******8 .e...__ ;¢+;»;2 de Franz We— infarctus et qui Une premiere question se pose: et si cardraque, qui en porterart r_·‘,‘ I'arrestation peut étre déclenché par une violence, une action brutale ou une prise de corps _ ;f;Zt%Ä'§lE¥§§‘ de s'agissait ' cris, fT'l8lS voile, blartche et, de poussé les hauts M. W9b9l est surcrolt, est Suisse, il de TBCG alors les pharisiens se sont tus, car nul n’est prophéte en son pays. Dany Gott•t,Grand·S•conn•x ‘ 18 N··2 - sepr.r0ar.rNav. 1987 Journal Franz Weber ,\, |{| Cöte», a d'abord obéi aux convocations. Plu- nous avons vu sieurs fois. Ia rendre ä l'évidence qu'on A ,·,,8,,,B 0,, F,a,,, Wehe, es, emmené de comme fou da,,,,€,€,,X pa, ,,,, traite. iant de bétise, de vengeance, de vulgaJrte, de méchanceté ne peuvent étre que ra emae po HCB Vaudose,op ,, 9,,, s8 d , ,,d , es, qu, es, da,,gB,,,,,,X?„ ,,,,,7I W8b€,I qu, dénonce ym,ma,,,,é de gens expens IBS ,:,,,,,8S Ce nest ,:,,,,,,,2 CBS de courage de nous I pro"', auraient pris économmue UeSt U nscauda e' uu assawuat mu*a*· , I chose la si l,.an,maUx sur ma - sonfmalarmg uu ***89*88 8*** 8*88*** ** IBS tranquilles vous pouvez nous mms faire con- p . panage pas · · ·· 888***)********88 Gu Ses détracteurs qui ne visent . , , , . äätapa 777 ***8 ¤r¤t¤¤er *¤¤rs oterets ¤ers¤¤n¤*s* comme sam . P8Y8· — $88 °°"""f,'88 dl ,8**8**88- s. _ as ä se ,,·0,,, ous Ham WIIIIIII **8 en revanehe[ des; qu’ils retiennent 88 **8***8%*8*8*** 88** 8**8s*8**¤o 8* que ces démélés ne relevant en aucun cas de ,8 cnminalité de s rntroduire de force et par effraction dluf] gg. Our a sauve Ouchy. Qui a ,. donner lu; lui et le transporter dans un fourgon de pgligg militari comme un homme dangereux' Ieur parait - „ - ° 8 ‘8u"‘:’ 8 88**8 C*a“?us' "' *° d°*” ***8* **8* 88 V*-*******8. le magmfrque parc uu""°‘ Qu' a ¤r¤¤¤r¢ au peuple Vauums le droit d'initiative cantonale, ainsi la quqi soit sembre lau, ,,,,,,,,8, dé ,,,é_ que - ,·o,,,_ · ion publique une cancature de notre po- ,,· Iice qui ne le mérite I _ pas cneisir pour _ verdicti populaire défavorable Weber I ä Fran; · de plus, peu gloneux. Gilbert B••clm•Id Al•un«|r• Bldgud sg. m_ 1.,,,,, D,,,,,,;I °,{,,,•, ¤•,·,,„,,·,,,•I' ‘ pendant deux ou tiroir mais sera Isoumise-au vote dans les sex mors. Et c est le citoyen qur, par son initiative «Sauver La Coten a · ,. ******8 8*** *8 ***8** **8****eue ls probleme mim mm (pm,. des · mms de tmnspm des ,,9nas é,8c_ 8 8* provoqué le *8*8*;*8 *;*88**8**** ors d8S re-. * rc onnx · . I _ qui positions . , mettent gu une victorre est le _ _ _ _ ** 8* - F que en ‘ I'Espagnol de Lausanne qui a abusé la petite fiIIe... a de été arrété tout gen. . , , trmentl Mais vous que faites tant de eien . — on vous arréte comme un grand cnmr**8*-—- -*8 _ aura des suites. Croyez—moil Je suis sür 0.8., Ln Tour-de-P•IIz t.» east parrrsnventi — evidence , résultat d un com_ . nee me 8 n,q,c;„;„ _ pes tou1oers_été en aceord avec vos positions mais ge suis Iindigné des gmßsdég lrrätues vo re gar de _ . 88 "* 8‘ I •n• ., I *8*** t¤•le1eune»etdAuscl1wrt;L la Justieeyvgueesrsg . I *u8u8_ **8 88******88 8*88 **88 - uuunne , . „ Vws um PF a saw; ä IIII 8***0,·*0**p:,· I I ,p°m en en endquz an e setst _8 Mm, 30Iumet87 I I ,·· QUOI? Franz Weber arrété et emmené de re- mmägg **8*8* 8 8*8V· u rafle pa; collabos. le sinistre S.S. . '* ‘ ,,,,6 mmson 0,, sa $$*;*:;%,28- ,,3,,8,, ,,,, „da,,,,B,,,,,,, · · ä toutn. Terronste . **8888* r **8*8*****%****8 *8 ¤*uS ****8*88%****8 de 88******8 8** V8Y8*** J,8* _ h8***8 ,,8,,, **8S **8*** 888 am _- _ **8**8*8*8 **8 **8 liba- demende le pu- ‘ *****· | · ers .. _ I pour ce que vous avez déia fait et ferez encore _- Je vous admire beaucoup~ Vous r Z . _ 8**8* ***88** 8** **8*** 88 V88 *8888 88 . Actlon Directe, ‘ u a' _ 8 _ médusé?? Que W8b8r. qui devant *8**8 *888 8 *8***8***8 offensive de Ia guerre psychologrque que lui livre une clique d'arrogants errivistes; edeptes du slogan «aprés mot, Ile luQe», en ce qui concerne l'envrronne— , *|,R.A.. I I · Mars non, c'éta¤ent des gendarmes et . des sens de le sureté. venus eocercler Qörtgsteru, apret ~ CI °mm° um ." Barbie et ses On aureit pu le croire. I · quo *8***88 8** *8 dans sort egul e 8orun compte rendu «life» de la I le tracesseit ki? Etait-ce INon II IOICII unäemnaga con- 888* j ,9 h 30 TéIéI0uIIIaII E0 c,,,,,,,c,,0,,S~ · -r **88 I de rtennr, cétait Franz blic MMN · comme recevables des tous bords. Mais Franz Weber est convoqué en qualité de- prévenu et du rrt0**d8- J8 p8**s8„ Monsieur Weber, que iunirgrme dg la «***8***_8* *8 futur M°us'8u* W8 _ 888 _ II°*· _ - _ *8 "8's ****8* 8*8** **8**8 88****8 *8 *8*88 88 ° 8******* | **u8* 8 **8**8 **8***8- V888 8*/8Z_***8**_8Q* 8** **8 *8l*******8*** **88 V 8 °°u" uu' 8"°'°u* 8*8 u8u8u*°8_u8_88‘ foncer votre porte. Ouelle abennnatrenr I **8**8*8*8 8 **8**8 8**88*8******- 8*** ., I sants _ _ victoires sont génantes, votre cou- Les rrnagasr . ses installations. , plaintes injustifiées provenant d’oppo**8**8 8**8**8 8** 8**8*88*8* '8F8*""*8*** *88 . *898, volonté et persévérance sont re- _ d'admettre _ ‘| pas possible que notre polrce a rsse am· sil C est une chose lmpardonna Q,le et qui — · nais' indépendantiste corse' irlandais de , |Q l . aarnas , débat sur leurs effets nuisibles u°ur les véséteux. *88 8******8uX, pour ihomme et citoyen «ordinaire», la justice refuserait _ _ a I'aube du XXéme hommes resterttdes oups hy- - reste a souharter que vous avez le cou— · **8***8 *8**S*0r* ¤•tion•|•l, l••zlo·|I; Puszteszerl, Jac- pg„„|_ attitude ou- ~ · ****1**88 Encore une fois, Franz Weber n’est pas un citoyen comme les autres. Car pour un Iistel, Vos u8u°**88***· , I| · L'histoire continue siecle· les 88- *8*** on trouve un ggg; _ Funqeise Pimluud lennseillere g|•|•;„• imposerit d8**S de p*8suu8· { démocratie. la victoire, t u**8 *8**8 888*8**8** *8 *8888*88*8 8u** Ieur parart, hommes *uu*8 8* . vote. Lavictoire I garantie qu’une terie initiative ne der- mira pas dans un trois ans,I Agir de ,8 sone' des, mm, auss, ä - . ' - ll · . dansle domicile toven, se saisir de manu gendarrnerie· r juge, pour vous humilier, vous ridiculiser. **8* . pos pour assister ä en rendre compte dans |’ordre lors· mobiliserh la de memes severese son enoontre. . le citoyen qui - pour -a **8**8* u"'uu8m°“* uu samen de Vaud Ués u***8s· j rage de poursuivre vos si généreuses dis- Suisse et W8**8r 8st *:*8**1 les um · „ ,0,,,8 ga I que . , ****8 Non, Franz Weber n est décidement pas un moyan comme ,8s autma Smm ,Bs mémas ne s.,mémssm,8m pas ä ,u,I ,,s ,0,,,),,,:8, Iu£cIaIIes *38 es 88 . de Malgré cette doute canaarnnee elle-méme car . , , iusqu a present, ie n er entendu que des I . *8888 *8,* iss'}? 3; ciofggéainzigwgsadaapggsgdé, dois qui bafoue ma „ ****8 ,, . dgmäés ***8*88 de 98**8*0888 . . IBS r III (,6* trancrere envers vous,. Ia «iustice» sest ,- S ng cm_,·_Bm Les souss, nés 888 *88888* 888 *8*8 88 *8 . a de n * 8°€d8**, a *******8* de I'EOS est due ä l’abstent¤onnisme de 80% de Vau- ******988 ***8*8* ' guém de mstm chez nous, ***8****8**8'* 88**8**%***8**8** *8 8****8 uu 8** **8888 en i·aanrrenee de par son aux D {gn,858 aux proc ,8,0,,,}, vaut la peine de se demanderirqur est fou?, qui est dangereux?» 8 *8**8**8 ture dans ce qu'e||e 0**r8 . , ,,8 **8*8 8** um *,*,0*:,0 le droit 88****8*- 88**88 **8* *8 *8** ****8 **8**8 8**8* de ,a ma,m,té pas_ en face des *’uis*8*8*** _** E Vous Ma,sI 88 · F 8, d ueuug su'ss° uu' nu _ 8"8**°"‘°"*8 ,,0,],,,,,),, Sive des ens 8 , . Weber eur se bet pourlrotéret col- *8*2*** :I*z**§*8*ä P 8Y inexorablement inculpe On ng pgrdgnng gendarmerie vaudoisg 3 été sali dans pas ä celui qui a voulu donner un visage plus humain ä la justice vaudoise et qui a tions futures pardonnent a Ieursancétres $0**81 88**8*** *1**8 9*888 8 *18**8 ***8*8* drorte 8C*r¤r*_ polrcrere. Vous 8*/8* 989**8 des Svrripothrseots que Vous rt 8*/*81 D88 osé remettre en question les privileges de ceux qui disposent d’un pouvoir quasi vous. absolu. Voudrait-on Quprtd 8*/8***0%*8- audace? Sachez encore que Franz Weber uri A um 9*8**88 88** 8**8 **8**8 8***8** ******8r **8**8 d· 9***, cpjmf atapr au *8 a nos médaas — . IIIgl*¤;;8eé| ' I C¤******8** 98***8* V8- 88** 8**8 **8***b*e détre trarté ** I *8 $***888 ”·8··G’*”**‘”'* 8** 88*8***8** *8 I;I8:I;*CI8:,éI*I*;8;C*;I8IInI;*':I*¢I** F rertz **8**8 **8*/****8 nonymat. Veuillez nous excuser. ***8888r_88****8Z _ . Nous sommes outrés devant ces méthodes dignes des pays de Est. Dans . , $***888- · connaissance, n’a jamais dü subir ce sym- pathie. (rung scrgncg sans conscggncev Franz ‘ — . 88 *****8 8** D_88***8***8•**· . 88* 8*8* 88**8*88 J8 ~ **8**88* *8**8*8** 8*** *:*8*** */**8**8* *8* V***9* ., ,8,,,;; . Veuillez accepter ce témoignage de ,.6,,,8, i ,8**8 **·K·*·•***8****• cela étaitarrivé 88*** cm des 8 **88 *8 88*** ,**8 8***8 _ en Union Soviétique ou en Pologne contre Monsieur Walesa par exemple, qui a „ - tames Ce ** *8 ·***8****·** d'autre que Paul Jeanneret, Clarens me demance Comment J8 *88888***8 ***8**8¤**98*8· VW-, 68**ÖYv guilspgriéodäezigullu 8898*8 *8**8 Mf’*8* 8,8****8* *8 animaux sont nos t , SIII 8** ****8 ‘ f ll a répondu par des il ne demande nen ll dmairerr. réveil- 88*** **8*** ** cations suivantes, des iuges rmpartiaux, rien d'autre en Vous etes PÜUY Aventure LUITIIn8U$8_ Ils ‘ *8**8 $****88*88* *88 **8**8 88*8 semme que d’étre comme un citoyen «or— des bafbeiés pendant quelques dizaines Weber Cöte»„ **8**8 8**8* 8** *8 ***8*8**** 8* ***8*8**8 8 Ia vivre de qui crie nies la 8**8*88 8**888*8 **88*88 **8*** V8u_8 88**** 88 888 8*8988,8* s¤r*¤¤* une chose décidée d'avance. Aux convo· sortel IlIfaut que quelque chose change. le *8*** a dü se il faisait per- lui _ *8*· dannées? Franz Weber qui veut sauver ce qui reste de nature ou les pollueurs-bétonneurs dont aucun gendarme n'ira jamais casser la porte? Franz «La claque pour 8,88**8*8 dre son temps et que I'incuIpation était recours. déchets radioactifs... ä garder derriere milliers fois la W de plus possrble Merci d avoir qui amoncéren, des ,,3,,,,,,,HeS Mais chaque _ lexpressron d une sous-humanrté. ,:,3,,, ,,,c,,,,sC,8,,,sI 0,, _, , - ,,,,,,, l’autre soir a la television menieredont Ia police vaudoise vous a «Sauver Vinitiative faudrait plutöt crier «La Nature, il Ia fln?» et W C’est avec stupeur et indignation quer ‘ f,,,c,„, a propos de ceci * . 8|8| ¢0rr**qu8 *lu8$****8*** ¤****888*8****8*- H-$„B•*I••r*tlrrrl•**8•r*r*• cette affaire, et prie pour que les généra~ faire payer son ·· , 8 i les octes commis aujourd’hui contre _ lui */8**8 8*¥***'r **88********8**88***:I*; *2*2**,mI. **f*?» 0** lit I dans la presse «F. Weber, la 0u bien «Le claque pour Webenr, Vous ‘avez bien raison; je vous félicitel Pensez toujours au mot du poete suisse: «Notre peuple aime ses idéalisteslrr r ‘ Y| ‘ 07.71, Münsingen Journal Franz Weber N°2 p - 19 sep:./0¤t.n~1ev. 1987 «cI’0yBZ-V0US H UX extYüté WESTYES » . ’ Saviez—v0us que I’0n estime ä trois millions I6 nombre ii¤berx„Ke¤;¤edv„ V | . ., T 5;|, 1 |-— ;= y «c'est eeee un Mlkhöll Gorbatchev S te Iis tous les rep- de defense COHUB UNG eventuelle GQIBSSIOH extraterres, s UB.7 Nous pUblI0i1S ICI quelques avis Sur IG «ph6n0fTi9f18 - äiqvféi ‘ - . M8 9* ¢a”d'da' 8 ’@ présrdence <· · - d obseryatuons Ivoire de rencontres d extraterrestres ont BU llßu? Ou 8 Rßykjövlk Ronald RBHQGH 8 dG|Ti8¤d€ 8 . I .„ du f//m SW -- II föllölt CTBGT UI'} /88 0VN/ «Hencon— C0mmUI’1 du tmisiémg ee tg - porn „|,m, „„„ ¤bi•¤ *¤'¤¤¤ ¤¤'• “•'•*‘*'**°'i'•*· - rum- Etawunlsii ponse qu gens de créer un . Ia _ |e existe des •=¤·¤·¤¤¤¤•=i·¤¤*¤¢'¤¤¤b·¤¢*¤¤¤• P'“* ‘°“* '° d°""°"‘° d° '° *°‘°"°°' Z ‘ um quo in · aurai pas vu, ie n’y qlll pcutmlt réulißmlll! QTYIVBI ·d°"‘°"‘ °" °|"‘*'d""°"'·" croirai pas. D'aiIIours, ie n'ai pas I'impr•ssienqu’ils existent. Ile n'•ppareissent lemais sur les radars et r °" comédjema °‘°'°"“°“'°"” M·e¤¤·¤¤··«! Mi;;'g:,;:g·};;;:2;, du _,_.,.„. ··>|-| Q ' ‘ „ |VV ··| ‘ e . apres retude le pin': gmdeete et le vu de mes yeux: dl! Illßqllß • |__|,.;~;| I ues, meme schan' _, les rares persennes qui prétendent des phéee.8 q ° Ii sérieux. II ne faut pas le considérer «Lesextraterrestres? Je e'en ai V, Z.'IL°§äJ.?é?&'§.»trr*‘ %„ aér/anne Suisse Et cemant les OVNI mm M¤¤ •·¤¤¤¤¤¤¤• de ¢¤>¤=i•¤•¤ typen devrait tout ii fait ätre pris eu Mreetgrtäffroller' ” "|"‘ et d'essayer de faire, dans Ia mesure du«pessII•I•,,teutele Iumiere eur ‘ cette affairs.: Mama"; Mgjdy il cfédibimé ” ··|’ teujours été fasciné per I'idee Chgfdé, la défense gi -|‘ |_| d' a „e les iarts concemant les soucoupes _ ‘ B um que les soucoupes volentes ont un fondement véridique dans le realité. —— _,,,_· «Enfant, i'éteis passionné per ¤¤¤ OVNI- Et bien que ie ¤'¤¤ ¤i• pas encore vu un personneliement, j'ei ’‘*‘ i P"' €°“‘°*· mb"' °"°° °"°°"'“"° I,_IIII Q Q-, ‘ recherches dans ce domelne et i'es· ve|antes.» monde entier. Photos: Kevswne/rdz vers. Je préconise de multiplier les · le ‘ nlus sur ce sujet fascinant. le Dr erlow Shepley, estronome eminent, e déclare qu‘il y a une possibilité ne vie exists euren; dans - des 0VN|», censuré dans pere qu’un jour, nous en seurons que - ,“ e · |ääéf|§ä§Sä€E%§Ü??¥:€?¥E:§;;2;;;.| °'”'°'· ”' ‘*·· "° °°“'" '"' ' "" ,,..|.r .. eonsciencieuse qui seit ¢¤ qu " Muß '¤¤*· ¤¤ Minimum. cepter. Ih ment au-dessus du sommer de quelNuß, immeubies situés Ö ¤¤ ¤ ¤¤¢••}d¤•• ¤¤¤•=¤¤ breit d ¤v¤¤¤ et j'ai comprus que ee emeustm ne peuyeit pas ötre un eviun IißfmllT°“‘ °° ‘|“° i' |'°'"‘ d"°· ° °" j'ai cligné des yeux ä deux ruprlsß Jimmy Carter, __ ii| ancien Présidénf . des Etats-Un/S vu un gym gg. wir im ¤!•i•* |¤¤¤i· neux, en ferme de ·' ‘ · _ Graham, :| prédicareur ä la té- _;:y;m /évision américaine (WN! SM peut-etw lee de °i‘‘’‘ Dieu. En tout cas. " |_|.,;| |:|e2¥2é2F2é;*§*‘· ils présentent une simiiarité décon- certante avec les cveisseeux spatiauxp des enges, tels qu’ils ont ett decrits il y a des millenaires dans I'Ancien Testament.: a ie n'ai jemeis ste ee cemact avec des extreteneeeee, Mais quand on s'appeIIe :,1, cemme moi c’est déjä bien.; W? . nos t§t•s.» u escapade d’un week-end dans ie er cons tres etres vivants inteniqeme, es e mes alle i¤ V Y eheee e grossi et s‘est r¤ppl’0¢|l6¤ iusqu'ä se trouver ä quelques 600- „,;„„ dg mare, amdeeses de me täte, Eeseite, sans que rien ne I'eneeeee, un eeexieme ohiet est errivé de le direction opposée .. J'éteis houleverse et peunent je saveis que ie n'étais pas en preis ä des hallucinatious. En eutre, je e'6tais pas seul. Mon manager Aeqete needee était pres de mei et un repetter d’un maqazine da Boston ä preximite, tous deux houche bée d'etonnement devent ce qui se pessait au dessus-de . , lg Y "' "!* *· 'P ,;';.t°‘!* ' "' “" ""'°¤° '“ Q t °;‘· °°|"" °; '° °‘ “ ‘° ° " um Piésßmüiüuf U D/recrrice de /’édu- journal té/évisé cation bamoise _|::4y| imäamasn ‘ _,| |__| «Je suis toute iait persuadee qu'iI y e plus de choses*’'’°°°''' ° ·~ entre le ciel et Ia terre que nous ne pßuvuns l'imaginer d'apres tout notre savoir, pour pe- raphraser Shakespeare etiiemlet. Quant ä ce qu'i| en est concretement, ie ne me Ieisserai pas entrainere en parler. D'eiIIeurs, ie ne m'y conneis pas assez. Mais, je I'ei deia dit, ie suis en principe ouvene A tout.: _ «Lersqu'ä le tele ie dois Iire une depeche qui rapporte une vision ptmeg temteeee 5 y creire, Ce seraitvreimentdrele de reneentrer ces &tres... uuoi qu'i| en seit, ii y e tellement de chosos aiireuses en ce monde que I'on espere Irenchementqu‘il existe d'eutres Otras qui, eux, n'espir•ntpas qu'e detruire. D'autres Gtres dont nous pour- rions epprendre.• ’ . ZO N«2 - Journal sepi.roa.n~1ev. 1987 Franz Weber Fatima, Moilse, lkztterrzssage sur la lune \ I y I SOITII CGUX-IH qlll lll VOIGITÜ GOITIITIG (*65 HUHQGS . (Isaie60:8) „ la A V V a _„|Q» _|__ÄVy,__. _ |. |_ yy ., A|·“| Mais li ‘|°“| ;;V la curiosité er SETS lée de päturagesfdseuszseugair| Vardeugdes coeurs furent les plus forts, et des velours étoilé, ils attendirent le $iraclq)q;11,;el0n les prédictions hpmmeq et hde soigtäes °'léd “*“ S"' °‘ ° °‘ °'“"‘““ glots ausge, re traverseria mer ä S¤¤ peuple, les ISraé— lites. Il y a huit ans, les premiers hommes qui attemrcm Sur le Lune yvirentdegigantesques objets lumineux. Mystifica— .-| J§“ g dv Resalre fit danseme SO]€1] ä Fatima. Il y aprés de 3180 ans, Yam/é, dans un ““° ° ° P ‘““°· P0 "°“"* *° I Ä mes con— ’est un travail hors du commun, C Le rapport d'Ursula Spielmann recoupe naissances lntuitives. . A tions? Fantömes? Hallucina- recherches minutieuses que je suis heureux de publier dans notre journal. Dans cet article s’ouvrent des portes vers une meil— le résu/tat de tions? Dans cet article, Ursula Spielmann tente d’établir un pont entre le ciel et la ukseti splatupta du terre, entre hier et aujourd’hui, emrela foi er la con- leure connaissance naissance. Et entre les tres anciennes «légendes» bibliques et un avenir qui viendra du cosmos, P/US 8V@”dlO$€ et P/US PVOC/le Em, ct H avait ,,2511abimé de s’annoncer. Les libres pcnseurs du pays se répandirent cn sareasrnes et les punssants de l’Eglisc etaient persuades que le Malm se permcttait de vcnir hantcr les nom comprähcmiony En cffcäalm 3*| miraclcs- pw ’ |L|t|,| . „| |. , “ ’ ’ i•«„§‘·7§‘; ;~5| “' ‘ -' A, ‘ °?Ö°AiI“ Ü Ä ’ ‘_|'l| 3A _ Y . Ä q V ·‘ . A ‘ +,|» i AA ·' · |-_ Qt " ‘ · j Q‘AA „_ Q |L |Y Ä ‘ · 1 i -?| ' .,| » ·A · ’ ’ '§!ä;f;‘¤>· V ~¢~— ‘ . Ä , V 4*%·-‘ gj| ‘Vl~f·| · ÜA - 1 S A l „, L8 phérwménc solaire de Fatima d’aprés um: photographie de I’époque. Le point sombre et flou au milieu de I’image est le «soleiI» aux couleurs ; A Pas de place, ici, pour image abstraite de pieu. 0ctobrc «miraclc» est toujours la capitulation de l’entendement humain devant l’inexplicable. Dieu, qui est ä Vorigme de tout, n’a pas besoin de .. toi ggrggläSleaicicsig nolgesirrgiäqleäneoärgpiäjnfinäéä V. Y fondée sur des connalssances prodigieuses qui GC/äte de page Ef] päge. «mi1’aClCS». Non, il ne fait que régner, · Semi?/€·€£l:in Svndulre r;os Äoeurs aäsqiféésdirecteücnent vers ui. es oujours ec emin e a ol,ma1s une En ,éamé,donc,iln„yapaS de Di€ufait_ildcSmiraclcS?- un créateur ä la fois de ”°U$· lin chemin Créateur, A · E V COl'lCV€ti feel et la symbo/isme,_ pour une devient tangrble, Creation /nf/n/ment P/US Vaste et P/US le . Ä €XtfäOfc/lfialfé que I10tl'€ lmaginat/On limitéé 8 pu /8 - cdncevoirl s V . . . . . ,„ Pourquoi ce sujet dans notre journal? Un/sujeigui, premiere vue, n’a rien ou peu a voir avec a na ure eq les animaux? La réponse est simple: sans la destruction galopante de notre environnement, sans le minage systématique des fondements et du sens de notre vie, le miracle du so/e/l n’aurait pas eu. lieu et le troisieme secret de Fatima n’existerait pas. En effet, les avert/ssements cé/estes ont également pour cause l'ef= fondrementdu systeme écologique planétaire. Sans un changement profond de notre esprit et de notre comportement, l'apoca/ypse nous frappera, nous les vivants d'aujourd'hui, avec la précision d’une bombe ä fetardement. Peut—étre notre rapport pourra-t-il changéf quelque chose dans notre maniere de penser et de vivre. Voile POUl'qUOl NOUS /6 pub/lOI7S ici. Fi-gn; Weber l j V i ' éclatantes, qui menagait de fondre sur la foule. Y Joumal Franz Weber duire le lendemain midi. Au petit matin, la pluie se mit a tomber, inexorable, comme pour tester la tesse geuse qui le dissimulait. Comme par un aimant, tous les regards se tournerent vers lui. J’es— sayai moi aussi de le regarder; je remarquai qu'on aurait dit un dis- furent des instants d’émotion effroyable. Tous ces phénoméngg que je viens de décrire, je les ai en ma- attirés 70000 personnes qui récage, et les étaient venues tenaient se la, muettes, raidies par le froid et Vhumidité, dans la boue jusqu’aux genoux, Vers midi, Lucia, Vainée des que aux contours bien dessinés; son éclat n’était pas aveuglant. Il diffusait une clarté pure mais de fcrmer les paraplnies, C’est alors qn‘nn éclair déchira l’air, et la foule vitunléger nuage blanc se changeante, semblablc a Vorient d’une perle. llne ressemblaitpasa la lune par une nuit claire; il n’en avait ni les couleurs ni les con- former autour des jeunes vision- trastes. trois enfants visionnaires, ordonna ou six dans Pair tres puis se dissoudre ce que propres ycux.» «ll était désormais impossible de croire a une illusion due a la vision du soleil a travers un écran tion céleste se reproduisit par trois comme misc en scene pur un maitre de cérémonie invisible. Invisible a la masse humaine, la belle dame apparut aux me metres», rapporte le Dr Almeida Garrete, Professeur a l‘Unrvers¤té de Coimbra, venu en curicux et tenais a environ 100 critique. «(...) Il . . . balancer vertigineusement. Ce n’était pas dü a l’éclat vrvace d’une étoile. Il tournait sur lui-méme a tres grande vitesse. Tout ä coup, la foulc poussa un grand cri, comme un cri d’effroi~ .Rouge sang, le soleil se détacha du ürmament (en conservant sa vi- plcuvait a tor- détrempaient. Entin, quatorze heures artiverent (heute A as se blait rents sur nos tétes, des ruisseaux dégoulinaient le long de nos véte- ments et . . moment, puis: «Jc n’y avait de brume; d‘ailleurs, le gis, que solatrc n était nt flou ni voilé mais brillait en son milieu et ä sa couronne.» «Ce disque brillant et irisé semtrace . . En effet, il de brume. cnfants, Jacintha, Francisco et Lucia. Elle , leur dit qu elle était la Reine du Rosaire et Ieur parla pendant un . vu de mes j’ai fable; c’est comme de la brume. Cette apparifois, On aurait plutöt dit une roue lissc découpée dans un‘ coquillage d’argcnt. Ce n’est pas une me- naires, s’élever de cinq les V ‘ „;.:.~,,;t.,.,:;, ..,,,.,._ .. _ _.| . AA. illl*if'Ü?;¥,‘é?äif%?§§ÜA|;=¢2%;.A i=;§ÜfQ. terre et observés avec froideur, caleul et sang-froid», indiqne le Professcu; en conclusion de son témoignage. Dans son Marques de l0¤r¤a¤t sur lui·möm@, Comme la roue d’un feu d’artifice; ce faisam, il prenait toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Nos visages, nos vétements, le paysage méme, tout prenait ces couleurs fantastlqucs. On entendait les gens crier, on les sil voyait pleurer. Ce spectacle hallucinant dura environ un quart , d heure. Profondément émue, je m°éCriai méme: <Oh Dieu, grande . est ta puissanceu g (. A .) . glalld mll’8¤l¢„ jß vis des du ciel AA AY ‘ e ·? Ä1 |A|?Ä|·AÄ . l3 mai l9l8! Uli 3\·lll'¢ U mai, j¢ ‘ A A „, phowgmphw de/a ga Male pmximif; du sol l’épaule gauche._ Je voulus le saisir lieux nombrables pélales de f0S¤S• lls V¢ll¤l¢¤l‘ dll Sßléll Par qllamllés 6ll¤lm¢S- De gla¤d¢ lallle quand llS_élal¢¤l ¢¤¢0l¢ llall!S„ ils rapetlsSalßlll ßll S6 l’appf0Cliam puls dis· [#5 8¢¤$ l¢¤— ·· lls V°lllal¢lll llllls ll°ll· llélä ‘llS‘ ' |ld: de la «Cova da Pel exemple Lo'pesVii e ra.‘> Pollrtam, l0rsqu’en ce i3 octol°l7 le S°l°ll· dam ee dall$° “P°°“‘YP'l‘l“°· lll llemblei le lll "°°l°l° ‘l° Dl°“”· l°“S x ‘léll°“lPé° °l meléeeseme- Selele de <lé· ‘l° l°P°lllll ¢l Ü wir mie e <l¤¤Ser er serait presque lembé t>¤lSq¤’¤¤e¤¤ observaroire sur le globe tcrrestre n’a observé d’eve¤em•=¤¤ inhabiwei a quelque moment que cc soit. eee Fatima? }’ gsi .Z;„,.“ g V V eegrssait j' ' _ , V lceinliise _ _ _ V VV| __| e | V P ä eg s V VV V VVV _ „ ¤llJ0lli‘S Chance- Vam- El les P¢lS0¤¤¢$ Pféselllqs Ünlonnércnt le méme V V VV| V_ p i V |VVV cz- V V V llüß f0lS l€ffl°Hyant les qlsgarlls Pcrsorxncs qui ctalcnt trcmpécs lllsqu aux Os se retrouvercnt dans 0: ’“ noménc A. _ V V if;}C f flta ement appame? Ou lg rgljquat d’une cg·“é<l·e lel·e·~i=¤ee Se leeepi ¤¤ dee pays cathohque amére et bigot aux débuts d’un siecle a cette époque guggrg peu Aujourd’hui, soixante-dix ans ZPIÖS, Ia plupaft dßs fßpfégcntants des civilisations OCCidCI'l[aiCS désormais «éclairées» SOI‘lt ph|{Ö[ deuxieme variante, "° '“ °°“‘é"‘° ‘?“ "° OSC de masse. Ce n est pas eton- partisans de la V . le V _ Cßiul-Cl Intel'°‘ l°‘ ilounqflglln |V. qäiifoißäi Ue °° dd°Spß‘ C ICU CS ·l ‘ .· comme Extraordinaire: ce n’est pas non PlllS le Sßlßll qui. devcnu fou s’é- At V lria„, poete Alfonso le V ·· V fipluw e jleurs» tombée sur Fatima I6 I3 mai 1924 Plus le /1 jun. discml daiem [lu dies ri Will quemm a dies dhsparaissaientiréisalgn Lun de ces pétalcs mc tembe Sur ¢¤mm¢ d‘lll* P¤¤l·>* il| ·|‘;j¢;VE·;,§.:i$;| | A' fourvoyer ensemble au point de céder toutes en méme temps au méme mirage'l L’hystérie peut sans doute provoquer des évanouissements lorsque 22 hommes courcnt apres un ballon de cuir et que l’honneur national dépend du nombrc de fois oü e b ll ä Pénétrer entre dis bois; MaiSVp¢ut-elle faire danser le Slllelll Meme e¤>< yeex des perSolllles qui $€ !l’OllV8l€m ä dix lß vis égal¢m¢t‘l!l0mb¢l” .. ._ ._ ie ' lllllls ll ‘=“’llll i' 5.| part ce C0mm¢ b0lll¢S blall¢ll¢S dßsßendre ~AAA VV . _..._ gensA’‘‘‘ - l°$ l¢· |·‘Yl*i’i*?§*2.| . ._ ·= la am I6-:-:;..6.-5.·| Q . ggf}. Cruz cite sa smur, venue elle aussi en peleriHage ä Fatima: «(. .) Le soleil sembla tomber sur la téte des gal fuclläli malälqlflllld °? “ '“l’°l·‘ lll _.;¥;§eÄÜEE·|*‘?·=:2éEi§§ää·ÄESEEiSiegi;ééégE5?2;äé:;:E2§§:;éäéa§z§Ä§;;€Iéé§=¥ä£E€§?;s;;;¤2¤2|sésérézäeégé|2§:;&.._ _ ‘ , | |..|es;;sz·2=e:a=€ä;=|;Ä:Qi.|A ._| «La intitulé livre ,»..., Vierge de Fatima», Vécrivain et membre de l’Académie du Portu- Pl=l!'lll$*lll¢ll* · iQ. ”A V de rotation), fondit sur la menaqa de nousde foudroyer feu. Ce de sa puissante masse heure solaire). Quelques instants avant, le soleil avait déchiré l’épaissc couchenualocale, soit midi persévérance des pelerins. Amidi, elle avait transformé le pré 21 N··2 ··sept.loet./Nov. 1987 · . V VV „„ VV,_| „„,. , .V - r l0lll 'auue umaine de Ia chair A LA - -· _ =~| V >·=· E ’1 ~« * ···· .. . ‘ |—- müälüé - .- .· ‘.. - V a dr. ). Du 13 mat Vggygileliqrgfäqgii c V ,_ . , 1.| .. ’ ‘ ‘ .» A.| |. |..|«. |. V s rots jeunes vrstomtatres de Fatmtaxlacmlu, . V VV er V . V |V |.—«| 1 · V V FGHCISCO Q'! Müll (dv gau 13 octobre 1917, ils rencontrércnt d sax reprrses une étre Ia «Reine du Rosairv. Elle fl! «d¢lIIS€f» /8 |;lit . . _ V V umani . Y• al-las de. mtracles° ~ l¢ <<mlf6ClCV du soleil» de Fatima ne serait qu une Psychggg lle masse, un acces de folie epllee- qui a exorcise Dieu avec le rmCipe du hasard et se consider-erelle- tive? plus hamcs connaissancä Püurtarit est-il possible que 70000 patres d’yeux aient pu se Ißlqtte tout ee qu‘il llll . meme comme la mcsure de toutes choscs nc peut pas accéder a de l.·°Cl‘rCllr dc l’homme, c’est qu’il ne peut expli- ZZ N·>2 - sep:./oe:./Nov. 1987 Journal » jouer aux allumettes sur son baril de poudre. travers des objets «solides» et le monde vitré et transparent que nous percevrions nous semblerait aussi réel que notre réalité d’au- , Nous comprenons peu ä peu qu’une science sans éthique, sans · jourd’hui. foi, sans respect pour la création devient comme un génie hors de Sa b<>¤*<=ill¢ ct menace l’h¤ma¤ité Ainsi, la «réalité» irréfutable et éprcuve que ¤<>¤S i><=r¤<=en fait qu’une goutte d’eau dans la mer de la véritable avons "““‘ dace de décider de ce qui est OU ’¥’°ESt pas en f°"°ü°“ de "°“° ’éa' me douicusc ·· ä |z~| |E „ä=«..| . fg| in ‘ |‘°;·iÄ¥ ¢<>¤t¢ vons |ä|ä|ä|ä|äéää|éäéäéi|ää|ä|é| ¢ | ·‘ ·· , e comme un champignon atomique. n’est Surleohemin dudésert. «Oui cherche trouve», dit sans ambages Jésus dans la Bible. On p§“"ä"‘ “l‘;“‘°'* "%°'“'“‘? °" 11-—-—-—— · Pasdesamts Ä;_ ew el <>¤ r¤¤v¢-» ¤<= Science qui n’est pas animée par Vamour, Vhumilité et le voeu d’étre au service de Vhumanité mais par la soit de puissance, Varrogance ct Vob$°$$l°“ de dé"“i'”°· “° Qu plutöt ne «tr0uve» jamaig que dans; cal-], VVVV Au COMS des d¢r¤¤élS S¤é¢l¢S„ la science s'cst imposée HU délflmßllt f VVVV A A|A A ·i A de VEg"?° pour fair? autqmfé dans ii domame de le „- la f0l. Il Cfälli SZIIS dOll[C plus Slmpic ·d’3VQll° la ‘· _ ii Franz Weber mC· (165 CI'é3[lOI'\S perverties. A la ““ dl‘q“" °‘ am A wütgs A i ‘AAA q“° Qui *¤—‘=¤t "““““° P=“°*?mP'¢· ¤¤¢¢¤* am ‘°S lorsquc le la Vic- la OU qui l"b°“"°‘“’S de "“"S°°t‘°“· ii _ g· . VVVV A ‘°S We P ee CH b0Lli6 Bt '°P'°S""““'°“S ‘“*di*i0“· CIISQUC S est _ v:?€€Ä§§§}§QQ§f;$§‘E'j|i|ii|_:|jf|;|§g?|°|" V __t_i_.... ;;__, A .--=·==‘l·‘l‘‘ — =e_;i .;„ A "°"°S "“ "‘*‘“‘ °‘ d“ "“S.S° $0*** effondrées, lorsque le Clel s’est trouvé au-dessus et enqdessous... ml l"‘2,°°’ ' °“‘°"’ E‘ °“ '“°“‘¢ ‘°S *"“$ les =*S“°“°,m<=S |éä VVV|VV La Scigncg fait de la [echt};-che ßpprofvndiß depuis longtemps- La g.1 VVV__VV ’ . |,|;|;g|p| fl- _|; V| VVV| p| ;;| ia| im i- ‘°S ° · ä ·-===== ct ‘*A ¤1' —· J|i ““g°S Pll-lS fißllté dll Clßl Apparirirm de la Vierge dans Ia cazhédrale marialecopte de Zeitoun, dans que cette retraite sombre et sans lumiére. les faubourgs du Caire. Le 27 avril 1968 ä 2 heures du matin, Samy Le ciel, cela semblait évident, Amour: vii la premiere venue de Ia Vierge. Elle apparut sous Ia forme d’une clarzé brillante ä pres de dix métres au·dessus de la plus haute .n’a rienächercher dans le cosmos. Puis Darwin est arrivé avec ses 80 et eoupole de Ia carhédrale. Apparemmem, elle mesurait environ 1 resssemblaiz ä ses célébres statues. Une lumiére blarlche f70ttail au-d€SSl45 Sl¤8¢S, 6* ii 3 ¢hü$Sé Adam ¢i Eve de sa 1é1e„ Elle portait une tunique bleu clair et les FVHÜS de Son visage dv Paladls- Uiüdustrlailsatioüs¢¤· respiraien: l’am0ur, la sainteté et Ia divinité. Elle dppüflll IZÜISÜ réguliéfßfill, 8 alllülé *¤l1t¢S l¢§$_ petites mgur jusqrßqu 6 juillet 1968 er délivrg d’imwmbrables persormes de leursq idoles éX¢li¤¤i ki CON:/Ol{l$¢s .q¤¢ m quer comme étant une divagation ou un miracle.Exactement comme un uveugie qui affirme que le jour est noir comme la nuit. Impossible V dc lui prouver le contrairel Sa réail ne percevra jamais est noire, rien d’autre. lité ·· - A|'°“a¤°“ m°'mk’· - y a plus de choses entre le ciel et la terre que notre savoir nous laisse concevoir, fait dire en substance William Shakespeare ä Hamlet. Plus de choses aussi que ce que nos malheureux organes peuventpercevoir? Comparativement ä tous les phénoménes connus, les organcs S€nS0l‘iClS de Vhomme en sont encore au stade embryonnaire. L’hoIl mo sapiens, qui se considere fiérement comme la couronnement de création, a par exemple un cerle veau exploitablc ä 15% tout au plus. Les 85% restants sont inutilisés et attendent manifestement que l’homme apprenne ä s’en serObjectivement parlant, vir. Vhomme en est encore au stade de, Vobscurcissement mental partiel. NOS Yßux ne font Pas b¢a“°°“P mieux. Leur erce tion de la «réame visible» sg 1irnli)e ä un domaine rldicule de 0,4 a 0,7 milliéme de millimetre. Alors que le spectre connu va du milliardieme de X milli- Y metre {rayons et rayons ultracourts) ä plusieurs metres (ondes radios). Alors qu’ils remplissent Vunivers, tous les autres rayons du paysage infini des ondes electromagnétiques' tout simplement n’existent pas pour l’homme. Si nos yeux VO)/aient dans le domaine des ondes longucs, nous verrions la Sicile sans difficulté! Et si nous percevions les ondes ultra-courtes des rayons X, nous verrions au il comme dépéce- ll fl- I’enfant qui r qu’elles constituent, , C’est 5 peu pres 3 cc mgmgnt glorieux qu’avec son intellect arro- HOUS 8<i0F0¤S 3¤J9“Y@ hw ¢°{“m¢ des dieux de substitution. Auiour- souffrances. ww, mc ‘*?S dc toute fa§o"= on S étan idée fall Ullé la re- ‘ A S de d¢ l'¢¤V¢FS¢F la églisc de son jeu de construction ct rggardqébahj, leg cubgs multi‘¢°‘°“‘äS en 9*** ¤¢ Pl“S.¤¢¤ de l‘¢s!·S·= ¤¤g¤¤¤l¤~ O¤·= fßlalt i¢ $¢l¢¤TlflqU¢ ä la Pi8¢¢ de Venfant? Il analyserait en profondgur ic vgrnig’ |a peinturg, [cs pmpl-gétés du bois, la masse, la den, sgté ct lg poids des cubgs de Construction, ii [cs scgcragt pour cn faire |'ana1ysc chimjquc puis gi cn arriverait aux molécules; mais jamais il ne découvrirait l’église l"“S °‘3 f¤rm¤ ¤¤ nit assis la, s’éloignait puisqu’0n ne le Dieu fait ¤i>i>rs>i<>¤di¢ i¤=em¤¤t<=» °° <i¤¤ lß éiéls plus _} j| ¢S¢ activité honorifique_ Pourtant, celui qui ¢h<=r<=h¢ ;. VVVVV f<>¤<l=*“=¢¤*¤l¢» méme une am ‘¢“¥S ßl ißüls l¢léS¢<>P¤S ¢f, |_; ·<*@¢h¢“=h¢ — „ qui croit CIICOIC Bible semble ä S68 ¢0¤*¢mP°‘al“$ d°hLll, Céllll «écl¤irés» désespérémw ¤¤if» ‘ ar- P une brebis qui ß justement besoin d’un berger. Par contre,ce- riéré, _ " qui Croit ä la science reqoit la considération de la Société, Obdcs eg 90ll Une p ace ans la presse. ccmptcr un fauteuil dans les débats téléviséslui ansQ mm s . Ce n’est pas que la foi soit e Q _' Ä = . en „ tmltrsupérieure ä la SCienCe.MaiS il est singulier que tout le monde se demande quelle religion est digne sans jamais sérieusement mettre en doute la valeur du «savoir» que dévoilent nos professeurs au service de l’Etat. Ouoi qu’il en soit, gräce ou ä cause de cette idole impie qu’cst la science, nous sommes arrivés ä un point oü de e l foi ir ,= . t ” · ·LJ-?‘·’”‘·‘*F??Yi?l’***=¥""7?éee..—. °‘ V une image qui, de nos jours, ne suscite plus guere que des sou- seuls la foi, l‘amour et l’espoir semblent pouvoir nous sauver et terre: non pas rires de commisération. la science qui continue de · “ Dieu régne d’en haut sur le ciel et la ; · Joumal Franz Weber g iq Q1)| [ ,}Q;Ju§>/{glei-‘Ü , °' * ‘¤}|„ gjr gi q.: i 1 = .i . ¢ /I *i„;__;_°i.| - - ‘ 1,*; !i ©I in _;r A · ‘o&¥\m‘ „_ jl ggg _ r . «· · ‘ { · j IL l _„ ‘, a »l. VW ’ Ji l' suiet. lille a\retire ’l autorisa- d ¢¤$¢l8¤¢V 8 la lh¢OlO8l¢ll“¢ öllemölldß Uiß R3¤l<¢·iJ€lll€m¤¥l}l ““l¢l“€m¢m Palm Qu elle avafi Une €t€ €l°Ig?l]dT€ €t'€tdlt HC (JC fagon tout a l*}'t "‘"m'-*l€_°tAchf‘V"°ll€ cl pourquoi Saints: y cqmppis Joseph et lvlarie, n‘existeraient—1ls pas, en chair et en os, comme des étres tangibles? Pourquoi le ciel n'existerait-il pas, pas seulement comme ia Vaguc prorngssc au-dela meilleur et, en tout état de cause, as comme un concept puR ‘ rement mtellectuel ou flottent des étres immatériels qui connaissent li} ve¤u<>¤„ apparu,4 raubg du 7aorir 1566, une «mul1i1ude de grosses boules n0ires» rem «dans le ciel» au-dessus de la calhédrale de Bäle «e1 s’envoIéren1 ä lcaßlnllf laéf;Vf‘m° et le gf csllc ilmc Pal 6P C °· "Ol chose- Tuut Cellx qui ailßlldelll lmpullemmenl äge», POUF Vel noirs» gucttent et des supernovae explosent. Et l’homme sc sent seul et perdu dans le ventre d’un uni- vers-volcan bien peu humain. Le dc riiernrne eerndes nee quer se ee„siee„e comme la mcsum de toutes ähoses. L’humanité tout cntiere, ° achons-le, se trouve dans une phase de ueuu eeeeieie et les uideeiin tale dures d’un cempte eu benque afl-ubléä d°“¤ P$Y¢hl¤*Y¢• ¤¢ ¢* sont pas ä la recherche de Dieu (ce n’est pas branche!) ni d’une élévation mais, nom de Dieu, sont ä Ieur propre recherche. lls font du nombrilismc. lls ne veulent a au- ' . _ La wclété 8 _ _ cl"' ue psrmet Pas de équilrbre durable. mamlcmr un En effet, elle OU Vé8V¢$§°· SP" é"°l"t‘°“ déP¢¤d de le dlV¢¢l‘°“ dans |“° quelle elle reserdes _d¤¤S laquelle 3 elle veut aller et des idéaux qu elle adoptc4 La voie que . suit actuellement L'humamté fait l'crreur de raissonnement suivante: elle considérg [Qin cg qifgiig ng peut gxpiiquer 60mme lSSu d°u¤e ll‘¤Hglll¤· (une déwrey l°$ Vlmnes avanl N°°l· ce n’est en tant que thérapeutes et dans le but de gagner de l’ar— gent. Répétons-le, Vhumgnité suit une voie qui l’éloigne de Dieu. Croyez-vous en Dieu? Honnéte'“°'“· °“ f°"d d° "€’“‘· “‘Ü°° f"' ^*=Z·v¤··S Pre la B·*·*·= :=¤ main sens y étre obligé au moms v=·1·*' "u?‘ 5’JE;‘„‘駑$' il' 2·l.„!°;{„I§ „2L7ll2‘°§$‘?.'Z;Z§"iJZ la mmonté. tions pénibles,absurdes, taboues. Pour elle, la Bible rassemble deux millc ans d’absurdités mythologiques, de légendes poussiéreuses, et elle n’a de toute faqon ne peuvent conti- Sum ,„ pqcgß TYPE DE MYONS U *^V°'*$ ¢°*W°UE$ —l* imusqmu igciiuiqug L V umwsm _ 1 i ' Rmms BAMMA -ig l ‘ 1 l . i i g _w l l V Z5 E il · g”° m " ‘ ·° ¤ z ¤ l l g wir » i Mrpäuäcäégun —= ‘ imgrgntrne „ S ii i '| RAYONSULTRA-VIOLETS Ä, . . . prit individuels · == de il qug icq Saimq ;<··*· *=“·=····=··=·.¤¤···¤·S? *’e····<“= . lle}! pouvons percevoir. S‘il existe un ciel ou les «ämes» des hommes vont apres Ieur mort terrestre, il d()i[ bien avoir ung gxiggngg sique. En ertet, une ärne eu un es- “‘ . llO¤ ¤O§lälglq¤¢ el_ObS¢¤fe au iii _§ aites-vous partie ' s‘agrémente d’un saint quelconquc assis sur son nuage au plafond des églises. Pgunginry (m sait bien d‘api•é5 [35 voyages aersens et les vols lunaares que ce ciel n‘cxiste pas. Pas plus cartes postalcs et ” ° ‘ «béaiiiudc,,? Ia pal'! CCl3, ils SDI]! lllUcroüte). ules et lnmilläablcs h0"“‘$__P°“V si . ‘ tronqpettäi (peu conväincanésx et HCCTOC C HU- eSSU$ cun prix sacriüerleur«liberté indi· viduelle» (qui n’est jamais que de Végoisme sous couvert idéologique) au service de leur prochain, - bertés» arrogantes et brillantes dont elle jouit sont autant d°illu· le chcmin qui ménc au déscn qä oh tom nc Sera qu,aü_ Plupim des la hommes (JC la ClVlllS1lll0l’] 0CCld€|’l· un univers inquiétant, versatile, brumeux, sans vie, oil des «trous ' · ll es VOll OHHS la LeS d¤geSBible Oil lls $0¤m¢l'li dans des piäfpäéill U ll} VOUl3lCIl[ SOUll— tres 8'··”·‘“ ”“ débfldé et imple la S¢l¢¤¢¢ ¤0uS 8PP0l'i¢ des «dl¢uX»- Des é¤i8m¢S ä lu pluce des SOlullO¤S; des ll°|Sll'UmCDlS de flSSl0I'\, ct PHS seulement dans le domaine de l’¤— "l¢“" dl°l°" h°l’méllq“° lOm¢· «en haut comme en bas, en bas comme en haut» semble étre sorti des mémoires et, pis encore, les scientifiques indifférents ont tué la vie, ont privé la création de fantas~ tique, ont privé l‘hommc de la foi sans y substituer la connaissancc. En effet, que savons-nous des ori— gines de la vie? lls ont fait du ciel l pre- A t gallls I Mime eiali vu Mvyeu Age. de Vllglmtc de gl’H¤d·m3mZ¤¤ ' _ de le icgfilidfi ‘ q_· Aqsczi Qesi faux, aychifauxi grotesque et tragique erreur de ruisonnement d’une humanité arrogante et trop paresseuse pour . lion de N1 |ibx l er I ii] _! I I ii , montre particuliérement bigote se ace ,3}* I vers la femme, sa fonction et sa capacité d’enfantement! L’EgIise ·_ l ;i_'··'·"¤·—)’m1 23 N··2 - Sept./Oct./Nov. 1987 "|“|"‘ ·«·¤««»¤~¤«s.••« ) · l_—, MOOUlATl0N ne mtuusncs-nAu•0 Q ~ i "' ·-•- ‘ ” ‘- _. q‘ ONDES COURTES „, Ä _ qu’une valeur symbolique. Jesus? Son doutcusq ci existé, ce n’est pas de cxistcncc est méme s‘il a g +2 0mes WYENNES ·; _ g ¢¤ +4 GMNDES ONDES l ä .• .l , +° i maniere décrite mais de fagon bien plus nurnaane. Les guerasens mimcuicuscs? On en fait aujoup (Yhlll BUX Jésus mal'chant Sur les eaux? La rnéme chose existe presque chez les adeptes du New Age et, de toute facon, c’est probablemcnt une allegorie- Deulleurs, yes évengéla Phumanité l’éloigne de Dieu. Si cette formule vous effraie —car qui donc aujourd’hui ose parler de spiew, (iiqrmis les eyqaques) et llSleS_ Olli éefll l’hlS!Oll‘e de Jesus avguer sa foi (A part Pirmin Zurdes SlÖ¢l¢5 8P|‘ÖS S8 |l'l0!'l• Cc ll CS! byiggen) - vous eonfirmez vousméme la these du déclin. L‘huma- PBS ä PT¢¤dl’¢ P°l·ll' *T8¢¤l ¢°mP· nité suit une voie qui l'éloigne de —tant. Marie, •<l°lmmaculée ConccpDieu, et le mouvement du New Age pmspgre ne {git pas arme items? Quelle discrimination en- • Ei; • • • ' • i l · , » E- p? : i c"^Mps STATIQUES l I I i ’ . nnvons oz nrmeuiee mvons; — _ ITACCELERATION u Nos yeuxneperqoivemqu’une infime partie du vasre spectre des rayonnements. Noussommesaveuglesärourle reste, pourtam bien réel. O O ‘ J J C’est le Fuji-Yama de ljAmérique du N¤¤l~ Url élelut de 4317 '“ S‘*“é ä S"‘ h°“'°S.d° ‘°“‘° "“ nord de San Francisco dans le man JJ V? JJ J. . JJ JJ ·J J 1; Jll‘l .J —J J J V iillu| | J a ’J J df .J J J‘‘ J JJ J J JJ|J Jisee J Jr ; «»r J JJ .| ‘JJ·‘<i< —~JJ{^ä‘t.„„JJ·;J|JiJJi_,»,liJJr‘,,‘ „‘l=li,J%l=|JLJ mi · iJ;·JJ·,Jij¢J;Vl«J:J5lir.·VJ J 5;,.;.,.J . · ii JJ S°“ f J J JJ [JJ J;JJJ‘J:iJ; JJJ JJJJiJiujiQi„J;JJ;iJ‘llJ3„,,;'Ji_lÜ;i,_;,Q:)| J J J ' J . . J¤,;’;;‘.>| JJ| |« Mont Shasta. l‘u¤ de ll°ml des lieux spifiluelS la Terre; fOl’lS comme le Machu les d°S 'édts "‘°d°"‘°S· JJ J |Jil r JJ |JJ w”JJJJJJJ|J|J JJ J teraient les réunions secretes d’une euuftérie |J;| U tants _. J J JJ J| |J J J J , J J J J ” cusmlque- l°S habl‘ région se sont habitués depuis longtemps aux lumieres qui, souvent, flottent au crépuscule autour de la montagne comme J J J s lumlneuse San F“‘“°lS°°· JJ J ‘°S "° J J Pic- Pormlévetl =·¤ M¤¤·¤¤=grandes pyramides ou encore le ».Ai„l,J;;q„_’| J le Signe particulier: J de la des lucioles. Ils se sont aussi habi— tués aux curieux nuages qui reviennent sans cesse «s’établir» aux alentours du sommet. Ainsi, le 3 avril 1987, des centaines de personnes virent un «nuage» flotter pendant plusieurs heures au-dessus du Mont Shasta. Il ne changea pas de forme mais plusieurs fois de couleurs, passant du bleu au jaune J J J J , J J puis au vert clair. L’objet céleste fiJ _ . p ‘ p| par se dissoudre en début de soirée lorsqu’un avion de reconnit naissance de l’armée de l’air américaine s’approcha de la formation nuageuse. Rien d’étonnant ä ce que J JJJ. l’ar- mée deI’airaméricainese soitinté- r ressée ä ce nuage «inoffcnsif»: il J un OVNI, un vaisseau SPatlald0l’lgl¤e J Q,„_„ e| dissirnulait VJ_.. Cxtfaterrestre. J J J '* · J- La condensation des molécules d’air situées dans le champ de force „_.„ Q|2|,. J?| J ~ J „ wu|Jl.,|,Jlv» J , J ex,) , « „ JJ · J wq;re;JJl} J J . J . é ·: _, i Tui}, ”J” ‘ J |‘ weit, ”'J J _ J ‘~ J _ — p *J:·· re ' de VOYNI forme un nuage autour de celui-ci, un camouflage apprécié et souvent utilisé lors_ des vols de reconnaissance dans Patmosphere terrestre. électrogravitationnel „g.JJ·J„;rJjJ·*J Yahvé s’adressa-t~il a Moise et au peuple d’lsraöl depuis un «nuage» de cette nature? Et a quelle sorte de nuée Jésus pensait- „ il Ak · «Et alors apparaitra dans le ciel le signe du Fils de l‘homme; et alors toutes les races de la terre se frap- ll J ,_ p J la poitrine; et l’on peront Fils de . _ , ‘ ‘ du , lorsqu’il prédit ä ses disciples: ' ‘ verra le l’homme venir sur les nuées ciel gloire.» avec puissance et grande ‘ ” u ‘ .. aß , ‘ J · ~ P| ·A ,„ .—. Je.._ |_ · |S u f"| „- ,~ 1 1 , 1 „ ‘ „ J ‘; „_ >· J : :‘ ‘· ‘ J L ~‘ '· ‘ ‘ ., Y |—- , ( ‘ 44;: « ',„· |>~»”'$"#'*· V · ‘ ‘ , ; ” ? JJJ J " —;| ~ V, ü. +?·;z;;,r·„v¢¢6 * JJJJ V .JJ J 2j" « ° ^ J 1 J- J _ ~ ,. ·—JJ , , „ V , „ J ·‘IJ? JJ J „*‘°| ° |;’*ä'ä”’ Y V8llßlt dll Il0l'd’ une Ig OSSQ éÜ, ·" „ ” “ ‘ · eu qlll S llllß I y QVRII en ·J·J ·_ ;_ 2 *7 e J .' —' ’ J- « '‘ .. JJJJ 9 f · |~ = QN?| ·*rJJJJ S| .J. ’ ·‘ Q eur [out GII- SPI ”‘ J et voici, un vent de tßmpétc · 9. wiräiiéégxg [ ~ VIS, _|€ . · - J [ J v " 1, "T ' ¢.JJJ ..;§l»·“|‘7'”“ ··g; · t ‘ J brn . ·’ y m u ’ fßll ;, -~ : .‘ I ‘·-*·?§$««„~' ’ ” „. · ' ' • ”> „_ —»• ' [ . 1: JJ Af ~ — Q JJJJ* „ ‘ ., ·JJ’yu| ,, ”°JJ - dl] ' alt] COIIIIIIB de lapparcnce | JJJJ··· JJ -„ lßll il• l’al- rain lun53nt; et, _ • la l'€SS€m- mllléll,de quatre aniIeur maux;ct voici „ •l avaient aspect. 1 s I ssemblancc homme » ' |K |— la d’un . (Ezéchwl I:4) —| — J ] |‘:"|‘mtMÄÜ:ܧ¥·¥;M\¥*~—"¤év’MIL.@ L ‘ du A ; » — X ‘ „ ° JJJJ ‘ ~ ‘ · ·| J „· =x— J —JJJ -ä*I*„“ JJ=° ”¥*¤‘*@«%sm'~.:,„;. Q·~|JJJJJ|~: ·. ·r5*| „¥é*‘¥”*¥**” ·Ä\&*:iI«Ä¥§£·.;§j”WWÜ"«€€" «W‘WévH@Äi~€‘ « JJ ‘- ‘ J A ..JJ 1 „„ |;~| ‘ ~ J ,. ‘ J "‘n|_| J J · gg, - _ J |’ > J J |«~€„ - ==· ] §:Ü|·Ä,,|„> ’ J ‘ “ , |, Y __ ,.J "“|="‘~* · JJJJ ' _ |2*„ ‘ ‘ · |®<·,|·|„| _ .__„ ‘ < “’* ·, ‘|. ‘ ”” Ywff,‘« MV ;*§Ä_»W’j„ ~**‘;«·„¤g„_„' ‘ , ;·_ .1 ;— ‘ |’*> »·· Ü E - ‘Ö vg|.‘ |?< „| ·E‘‘J „ ,. ‘ ' -,‘ r „. ‘; ” |"|‘5"|"|¤w&»%#i=~¤ä;*Ü‘*‘| v . ‘ ' ' ‘ - „ > IM| ‘ ; ‘ ' ‘ rr = ‘ ~ V v r · T| ”: _| · ' · ·‘ .‘ = -‘ » VA ; · g „P ?‘” „” · ’ , “ '“‘·‘·~ NW · * |W ‘ .;;V;䄧· ””’· xx { Nt 4$é·:a?';.„.?1%i=·“S.’ä;?‘Ü·„M?M饻*?~€‘?£“‘°?*%*§« ”~?:“" ·"*?lT‘ —° .· _| , yj=·»__, J— V· „ ‘ «. |;; ‘ ~ « ,§ · · „ q V · , *·‘“!¥:;~ 1 i| »;| |:;<‘*f| — z -, ~ · - , J ‘ ·· Q ‘ ¤ » =·‘—»5‘¤*‘ “ 4 · · ‘ <=<«·¤»‘.=—|" L ? *? V ‘ J, „i| ^ >_ 1 » ·‘ ‘ . „;|"* · ‘ , ‘ ‘ r . , ‘ A——· L |Yi! ~ . ‘ »’‘‘ " , ‘ A wg 4"’Ai*~”JM.}-«·‘»"‘· _· .„ · · ‘;;·¥= V — I „ .·‘‘· » « F| ."J?«;4%‘tr?*:;*¢j:‘\' ‘ ~· '“ ‘¥?" ‘~ * ·„ 5| ,; t ¥ * sä-‘üÄé¥%w=·>‘ ' « Q ' 'gg- *Y„?<·x·ä@é?*3.2:*·¢;;‘ „ S Ä 64 |°“| ‘ J „ ‘ „ « r;, '= —~ Pi ;;‘ Q, _ * |»?$‘* “ 0* ‘ " ’» ' >· ·’ « ^’?··ä«|;;|m|w| " ° . W, “ · „ “_ ¤·—,§ü¤‘¥#;¥·":Ä°°'«§· „?,, |s:~·,~;+>«J gi « N ‘·w .‘„",1·‘E=. l_l > · ‘ |} . „ ‘ - “ |s|,| :«-‘·.„·¥«;<' [| |A. ” l1·.&·“€"‘: . 26 N°2 - Joumal Franz Weber sep:./oe:./Nov. 1987 ou de gracieux étres végétaux res- y a deux mille ans, ll ' ‘ » » »·i A |A| A A A »· » |:__:_:_:._» A SA A un stade Cl”éV0lutlOl’l peu avancé. Mais il exigteaussi des mondes en ayance de milliers ou de millions v0Iants», «chars d dans 3l1l1€€S Sllf le l10(f€. ‘~A .· i hommes, qui craignaient Dieu, tenaient un autre langage. «Nuages A A _g|_j‘ de feu», «nuuges de feu» ou «roues de feu» apparurent auxA prophetes Ade la Bihle ssait su — |.. »A les pirent, Dkiusresy enfin,Aou des ani— maux et des etres humains viventä de Palestme. ll s’agisbien sür des véhicules de leAciel ~·| ., Jal&v}e,lleD1euAumque. A A 7 MJIS JÜJUCTIC, SHCl'llCg€. “°"· sul "ch‘"$ de f¢“** et **50*** coupes vqlantcs»A ne fent que dé- A A __ A| |r| Ce dermer cas est peut-étre dif— ueue u imugmee Pququqe uqus en sommes arrivés aujourd’hui ä cum I? mcmc Phcnomcm un point ou il semble impossible De msms que uuus “° uuus uus"‘ aux hommes qui peqsem et qui dnons pesäce que la soucoupe du Voieut dc poursuivrc Ieur develop, petit déjeuner decolle de la table pement parce que la fin de l’huma- ‘F°"“P° un OVNL ll “° laut Pas ‘mu8"}€V lß “ch“" de f°u” wmmc nité tient désormais ä un bouton rouge. Aujourd’hui, le «progres» um d‘ll8¢¤¢¢ ¢él¢S*¢ ¢¤ lAl¤mm¢S„ a toujours un arriere-gout de des- tués Pur uu uuclagc us suuvaux 2| ~ A ax A |m |es A |g. . ..| AAA A .|. A A| imlmz A'| A = .;__ A ·|’ ‘· ·A A A A ·*' - -_ „..... |1 v "°lams· vers Vanéantissement. Prcmlém {ms? u Y a qualafltc a“$• truction. graviiatiomielprobablemeniemployépar«Yahvé». des mondes beaucoup plus évo- lcs que le nötre, ils sont ment dsunc uuue nature- “°"'¢ ¢l¢l d¢P¤l$ <l¤¢ l¢$ hommßs ont Ia parole. Dans les ancigng écrits sanscrits d’Asie, ils s’appelIent «ventIa» ou «viemana», ce qui c°"°sP°“d ä P¢u prés Ü “Véhl¢Ul¢ cél°s‘c”• "ch‘“ de fw V°l¤¤¢• construit et se déplaqant tout seul» Israélites traversam la On apergoit au milieu de . Su¤tede|¤p¤ge23 , Nous les A voyons parAnu1t claire nous envoient de loin mauué lcubas hauuc dans le "‘us' scau spaual Turm- P‘{'u°“· sul la planete Terre. quoi pensait Jésus cu Pauum ucs u°"?u'°us°s u°‘ ufcurcs dc la miusuu uu Puls s‘c° une «forme» ou une autre. L’individualité requiert une forme, uu ca|icc’ uu contcnant dans Iequel elle puisse s’exprimer et se distinguer du reste. Elle se manifeste donc «physiquement» mémc si e·est de maniérc plus Subtue que ee que uqus equuqissqus Par conséquent, le ciel ne peut pas étre un concept purement intellectue! etspuuuelsaus existeuee phy_ A " cst Notre seule galaxne, la voie lactéua °°“‘P‘° ‘lu°lqu° u°u" °°"‘ de systémcs _S<2'¤·r¤S- Et les galaxies s0ntAdes milliards dans univers, dont l A moins que le ciel n’existe pas. Mais nous allons prouver le con- uuu les usm su’f l°‘s “uu‘u°s” · u° ·· S' uf P'°uauu_"é st A deuxiemement, cette vie doit y avoir atteint des stades d’évolution différents. Il y a des planetes ou la matiére originelle eommence ä peine ä se rassembler. D'autres y a beaucoup de demeures dans Ia maison du Pere», dit Jésus. si, le “PP‘"u€m a mim régnerait, et des galaxies entieres l°u_ ct qumiem longtcmps avait été apporté par le puissant anéantics pur la Plus giqautesque guerre des étoiles. Ainsi, l’existence méme d’un univers «or- Ravan; ce char aérien et superbe, qui vbéü abs?lum§{“ ä la V°l°'"‘-‘· depuis ete frér¤„ “ "°"° °st A u‘sP°s'"°“- ll '°s§°m‘ A innombrables corps célestesA et, «ll dans donné» indique que Dieu existe et blctä u" sr;¤d quasildjins ac'? et ·· ·_serouveansaviec na.» u gugulassmiuruüegscäuggsässguäé _Toujours dans le méme ouvrage: «Le beau char céleste avait un ra onnement de feu»· «comme unye comete dans le ciel», «on au¢'0SfÖY|N|ÜNSO|'| rait dit qu‘il y avait deux soleil; au pagsons dg Ia théorgc ä la pmuque. Y a-t-il des phénomenes qui permettent de conclure ä l’exis-“‘‘” traire. gpmnj ggg Véalllé cules célestes préhistonques. AinRamayana raconte: «Le char d€»P¤*P¢¥¤• 99* *'¢$}¢"¤bl¢ ¤“ ¤¤· ble, serviable. Sinon l'anti-espdx nen ne lmsse entre~ bnllqm ¢“ pour eqe habue_ lsunivcrs doit eqe bon, plein d‘amour’ sccoura_ rien. A OVNI °‘P°u‘” la Ou encore "Pslals V°lam”· Lc Ra' mayaua ci le Mahabhamia $°m dc d¢$“lP‘l°‘{$ d° "éhl‘ . que nous, bagarreurs aux autres Pumétss m"°m‘ sique_ force- Pluuablculcut aPPaVus «plus saints» et bons ä ciel», meilleurs. . brables? A existe plus dévcloppés quus les choses dc famous- du eqeur et de lsämc Ces étres plus développés sur leurs étoiles plus développées sont donc aussi fqreemeut «plus prqehes du Ieur paisible lumiere étoilée. L’hu- fester sous S'il lués _ lorsqu’elles eqmme emues qis_ quetes qu~ä eqqqmqq qe se mam_ quer ä vivre _ Sur notre planéte, il représente toujours un pas de plus mer Rouge, Depuis son nuage, Dieu sépare les Villustration un objet en forme de tuyau qui descend du nuage, représentaiion ä peu pres correcie du rayon antiLes eaux. Uh A A‘ . |A tence souriez, bien entendu, de ces curieux objets volants qui Surgissent dans la presse quand ‘ \ _ ‘ ,' \ • | extra-terrestres? Vous __ /// _/ d'étres A E l‘ac-A_A|.‘AsQ|. |\_ tualité est _,A_ calme. Mais ne criez pas AA l l ” \ \' \ A ·~» / ‘?j’ ; |·, ' ” -‘ » . ‘ \ \ \ \ — \ / 1 __ FA ~; NI /l, A. \ wiolantes - t|‘| . " A ‘ . , _ A i . A “w Q" |A -—;_\ _AA etA le ciel. Car A 1e°i“‘° ”‘'‘|‘:'‘’‘ — _.|. c’est homme qui a mené grand tapßge autour de ces «ob]ets volants non identifiés» et qui en a fait un spectacle tape-ä-l’0:il. Loin de Dieu, la société en déclin ne peut que plail Ai ä , au blaspheme si nous établissons ““ ’“PP°“ °“"° °°s s°“°°“l’°s .. A · |_< A _ A. santer sur les «petits hommes verts» ou en faire des films hollyu Y A. A woodiens, commerciaux et vio- .• Q 3 Ai- V Y‘ A A " · l i A i > A- -» Ä g| -| ___Q A _ A ' ' ' ‘—- *7 «La rremiéme année, le quatriéme mois, le cinq du mois, les cieuxs’ouvri~ · A AA ~ - - ‘ esprit _ - · de lhumanité parle gang ambiguité; il 3 baptisé ggg i i A · rem» devant le prophéie Ezéchiel, qui eut «des visions divinesil. Josef F. Blumrich reconstirua la singuliére apparition déerite par le prophéte dans un Iangagejleuri . . . Resultat: une machine semblablc ä HH OVNI. inexplicables disques volants «soueoupes volantes» puis, plus technocrati nement «OVNI» abré- viaiionqiom auggi dégggpéréi que mommm dgng ks deux «S|[)A»)’ cas que |’h0mm¢ y ii perdu son latin, Photographie d’un objet volan! nogidergüi;p;ise1;ar0;?¢;;>e;rKeqON GM H8 y pr S H iana Robert Kennedy, le policier Robert Glentser et d'autres témoins viren! un objet se mouvoir par saccades, s'arréter brusquemenr puis repartir en silence. JOUl¤8l Fl’8¤Z Wßbéf ·· AA miné tandis qu’ils montaient.» Ce ne sont la que quelques-unes des centaines de descriptions fantasti- leil. Samuel Coccius, astronome de Vépoque, raconte que le soleil avait soudain rapetissé et pris une couleur et une forme inhabi- ques d’OVNI dans l’Asie antique. tuelles; firmament. Tout .A· Q N°2 - le ciel fut illu- A ’ Cicéron parle de «boules dans le ciel» au 43e chapitre de son Iivre «De Divinatione» et Julius Obsequens de «deux écus de feu» dans son «Prodigia». On retrouve cette derniere description dans Eschyle, . 1 Plutarque, Séneque et Valerius Maximus. Yénophon, quant a lui, distingue au 13e chapitre de son A A A A · A «Anabase» des «cloches»,des «assiettes» ou encore des «moules». Le chroniqueur antique Lycostene mentionne «des croix et des barreaux dans le ciel». Dio Cassius rapportc que, lors de la premiere invasion de la Grande-Bretagne par Aulus Plautus, en 43 avant Jésus—Christ, un objet rond avait traverse le ciel d‘est en ouest a la viresse dg }‘éc|air_ d‘Alt-Nürnberg journal Le parle en 1561 de «boules», de «disquesss et de «tubes dans le ciel» qui «avaient dans leurs entruilles des · boules au nombre de trois, quatre ou plus et ont été vus au-dessus de la viIle». En - · 1566, dg curlguggg bgulgg perdu brutalement sa force de rayonnement et semblait leurer d’énormes outtes de sang.p Toujours selon get astronome, beaucoup de grosses boules noires avaient été vues dans le ciel le 7 aoüt avant le lever du soleil. Tout ä coup, elles commencerent ä voler ä grande vitesse vers le soil per. avait . est écrit: «Je vis ensuite ange, pnissant_ desccndrc du enveloppé d’une nuée (. voile commence ii se dissiet l’on entrevoit déjä que et Vimagination orientale par des compris comme comme de d0llc€S f0ll¢S, conce vinrent rouge feu et disparurent. Mais la Bible regorge elle aussi de paroles de prophetes qui ont trait a des «objets volants non identifiés». Nous en reparlerons Comme ä peu pres par «entouré d’un obUne phrase d’Esaie (60:8) confirme qu’il ne s’agit pas de vérltables nuages: «Qui sont ceuxla? lls volent comme un nuage.» Zacharie (5:1) parle d’un «livre qui volait»; les livres sc préscntaient ri l’époque sous forme de rouleaux et rappellent les vaisseaux spatiaux décrits comme des «cigares» aujourd’hui (cf. encajet». plus loin. d’abord Voici ré- quelques . I flexions sur la langue: dans notre langage moderne, le «ciel» de la A b' Bible deviendrait «espace», «cosmos» ou «univers». Et les «anges» d’hier seraient appelés «etres de l’espace» ou extra-terrestres car <<AlorS que les OVNlSont en ge- bien cc qn’i|s sont; des érrcs venus du cosmos, de l’espace sur la terre. C’est la pluspart du temps pour apporter leur aide ou annon- néral décrits comme volant en silence, certaines dépositions sur d¢S disques VHS ä lféä basse altitude paflent d’un bruit vrombis- destruction prochaine du Sant 3l'lHl0gU€äC€lUldAUl’lessaim c’est cer la ger de Dieu» en grec. La Bible rapportc plus dc 3()() (:35 de rencontres entre des terriens et des aoüt au lever et au coucher du so- anges. de étres d’abeilles, Certains soldats durent par la suite faire traiter des brülures de degrés divers. Des brülures analogucs ä celles de Molse? La méme irradiation de chaleur que celle qui avait séché les vétements trernpés des peter-ins de généfatcur Fatima? d’un orgue ou d’un tournant rapidem¢¤¢»„ lilconte Adolf Schneider monde impie. C’est pourquoi le mot «ange» signifie aussi «messa— sont apparues au-dessus de la ville de Bäle les 17 et 18 juilletet le 7 tlä.ll’lS 8118 Les qeposltlons sus les OVNI pqrlcm également dslmc subS_ S0l1llVfCll1lllUlé «B€S1lChCf dem All>> (les visiteurs du abemw) A · cs .-| E' : d OVNI ° Servatcurs ue Chang? liés s la "" qu' resse- Alllsi, les OVNI apparaissent rouges ou orangés en desseule (uu —lmmagcl et vcus ou · ¤*| pälc cu momécdusqu ädes E" °“"°* de <=¤¤o¤» qui atrsrrirem sur ‘°"“‘°‘"s s €‘°°°‘d°“‘ ä que ues lumleles ulaneues °‘V¢l1¢$S¢W¢¤td¢8¤i· dagc eteffectuentenviron 10 rorations par minute dass le sens lnverse des aiguilles d’une mon-° A AA AA .|1|=‘=*|ÜA ;‘|AAAAAAAss im Lg sphéuomeue sqleue,, de Fatima n’est qqqe pas umque A . A A AA puisque les visions d’OVNI s’ac- A A A de ., .. héncménes Semblablcs tout qulgul. qu glebe UFO 1 Evjdeucw, A'A gijjg A A A AAA AA .- -A · i x? [,;:27 sples Sllgglgld esl aP‘ °e ° re · uu d¢ dant un match de football, qu’il interrompit d‘ailleurs pendant plusieurs minutes Apres sa disd Pau ‘°}‘* ¥‘“° ’° mue d alalßnee se {mms dans l¢ °l°l~ D°aP'eS l°s sP¢°““°“1S °* les chroniqueurs elle se transfvrms en uns plilis de «fl¤co¤S A |lx g | urö| le AA-A‘'AAA AAAAA (les OVNI exlsteut) declare queleg visions d·QVN}ä faible distance s’accompagnent souvent dc lqnes lrmdlatlqqs qe chaleur. Un cas fit-la une des Il que ces Aseheseux q•snge»A [me masse asaelmécnnc ct géAamcuSc’ tlombcm souvent semble längsi?iA:silwEii:r$ll1lsAseri1AeAriicA ¢lAuriAe A; ;; llqeqmleuse blzasse tqqee cosmos). Les personnes proches des rouvres de Fagma avaänt l’espace, c’est-a-dire des A EQ occidentaux ts «envel)oppé diunß rnré€,, sgpriräsgt des absurdités mythologiques. Notre religion doit enfin se rappro— cher de la réalité au lieu de bannir tout ce qui est religieux dans le ghetto du surnaturel, ä ne pas prendre au sérieuxLes anges de la Bible, c’est—ädire les étres de l‘espace, conduisaient presque toujours une espece de véhicule. Dans l'Apoca— comme au combat. Beaucoup de- .).» Remplaqons les mots symboliques . des é isodes vrais et bien réels et ngn pas étre ciel . événements bibliques doivent les Certaines s‘entrechoquerent leil. lypse de Saint .]ean,chapitre 10, il un autre ÜUÖB- Le 27 sep:./ocr./Nov. 1987 - rolrs, les les arbreser les chaussées. U"° puue de , l¢$P¤¢¢>> r Pralo ¤_¢ "°°‘°“ "°““ de lßmbß également Sur S¤•=¤¤¤- Giqvarlnl Carl- Herb dlreeteul mique de fl¢.l°l¤$lltll* ¢lll· l’Unlversité de Flo- rence ydécouvrit du bore, du siuelumealelulll es du äuu° s s“““· ment macromoléculaire et filif‘Z"“°· n E" est en mesure de dire comment cette mystérieuse substance est f?b“‘luee» eemluem ¤ll¤ est u“‘ lisée et pourquoi elle tombe en lournaux brésiliens. Le5novem- Ces «cheveux d’ange» sont ap- bre 1957, un OVNI s’était epproché de Fort Itarpu sur la cote eSl du pays.Tous les postes de garde furent d’un seul coup la PT0l¢ d’une chaleur étouffante et lc courant fur coupé- parus plusieurs fois ä Fatima mais aussi en d’autres endroits de la planete. Quelle pouvait bien étre la nature de la manne A in E; AA ga EA du vaisseau spalial vu par Ezéchiel: qelui-ci décrir un objgr rsssemblam d uri rröne omemenlé, apparu au-dessus du temple de Une autre version Jerusalem, et des roues s’élevant dans le ciel. ‘ que Yahvé fit tomber sur son peuple affamé dans le desert? 28 N°2 - scpt.10c«.11~:ov. 1987 nuée, mais aussi les ténébws; ¤¤¤rS dk édaira la wir- Et V<>¤ ¤¤ dré), Esale (14:29, 30:6) parle de «dr¤g¤¤ v<>l=¤¤¢»- S appuächa Ras Mais ¢’¢S¤ EZé¤hi¢l qui a twuvé le ¤¤m„l«= plus clair er le mieux adapté pour décrirc des objets volams ¤¤ vaisseaux spmux (EZ1): il parla de·«ro¤esm¤biles»». Sa description bibnque est cenes fleurie mais elle est si démnrée q¤·«=¤¢ a ¤¤sp¤ré ¤¤ Iivre E? ‘<= P‘“S P°“P‘° °g‘“’¥ Q J °" A ;· T y . - fmmcm unc "““é°”- _ am comacts avec les oyzw, ausg permission de la prgmogmphzw le 26 ;„1„ 1975 alors qu’elIe étazt en wsne dans I'0berIandzuncho1s. <=¤— échappe il ainsi ä l’attraction Le champ gravitationnel nuage autour du vaisseau tandis que la masse nuageuse toume autour des lignes de force du vaisseau. Elle dissimule donc durablement l’OVNI ä la maniere terrestre. HS stabilise le P°}“’a‘°m a‘PS‘ marchcr J°“’_ er “““·”_ D°P“‘S S°“ nuage-_D‘°“ wndulsalt °" mum Séculué lc P¢“P‘¢ °“ °x°d° Vers les mes de Me? R°“8°· d’un volle enveloppant. De plus, les remous qui se produisent autour de la coque du vaisseau donnent ä Vatmosphére l’aspect d’un nuage puisque toutes les impu- «L’ange de Dieu qui marchait cn avant du camp d’Israél partit et passa sur leurs arriéres. La colonhe de nuée partit de devant eux et se tint sur leurs arriéres. Elle s’ir1séra entre le camp des Egyp- de poussiére, etc.) sont aspirées et tourbillonnent autour du vaisseau. La nuit, rctés ticns ct le camp d’Israöl. Ilyeut la l’air (sable, |6 -; _; A · —--. A -‘ — A autre constellation. Aske! a 600 ans, elle a l’air eue mm des Pzézaaes. may Mm, cézebre pour pw champ gr¤v¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤ (qf- fet, mmc Une dame venue d’une UOVNI Sß déx>¤;¤¤¤_d¤¤S S¤¤ pwCadré), ‘a‘$°“ Pour laqucuc Ü Pcm se déplacer ä des vitesses énormes dans toutes les directions. En cf- "L° *0*}% d°m_ vom un ä lem lukmémc marclmt S¢‘8¤¢“V @*6* °°‘°{m° d° nuée ¤<·=1<>¤r» P°“‘ ‘ °°l‘Ä““° de Ieur °“"V}r la ~ AAA° Sphere, res molécules d’cau sc ¤¤¤d<=¤S¤¤t sous Vcffcr du puissam champ de chaleur qui entoure le Vaisswu er avoir 20 er l’aura rougit comme un feu SaintElme ct rcssemble donc ä une co- lonne de feu. Aujourd’hui encore, les extraterrestres «dissimulent» souvent leurs vaisseaux dans de pareilles masses nuagcuscs (voyez les pho— tographics du Mont Shasta et dc la Grande Canarie), et seule l’armée de l’air américaine a réussl Ay deceler un OVNI luminesccnt ä l’aide de films infrarouges. Cc «vaisseau spatial de Yahvé», manifestement au-dcssus des lois de la gravité, n’avait qu’ä envoyer un rayon antigravitationnel pour écartcr les eaux de la mer Rouge. Ce méme rayon aurait exereé une pression plus importante sur le fond dc la mcr,évacuaml’cau sur ks ¢ö*é$ °°mm¢ l°°“ P‘°$s° um „ · · Ei; ‘ '‘’°’i pw-H apparaürc www la forme d’une nuée aux Israélites? L„orsqu’un OVNI arrive au niveau dc mndcnsanon de notre atmo- °“ °"°d° f"°"‘ “V°°, ‘°‘ étrcs trés déV·=‘<>PP¢S Venus d a“· ~: ’''’' Ma! d”‘$“‘°‘ A: ' 9* Ft A ° ““ Va‘SS¢““ 5Pa* C6 fm ¢¢*'*am°m°“‘ la '°“°°"‘ la I? ms "=“¢* de f°“d dc Mm °‘ la ‘“‘?' ‘*“'°‘· Y =* ““F P°“' °"P"‘l“°‘ l’?‘sé°h°m°Y“ d° cc «s¤¤ü¤r» m¤ri¢¤¤¤¤= r>¤¤¤¤ ¢¢¤¤ qui ¤¤t vu <*•=S_ OVNI; ¤<““‘>“=“* S°“* °°“" q“‘ ‘“°““°““°“‘ ““ dc °hal°“‘? il ¤¤¥¤i* Pu Sé¢h¢* la "°S°· gf ··»«+¤»;;; ” . _„_ ‘ " ·· ···? ”Z.„„„,„„| . AAAA 4 ‘ . AAAA ‘ ‘‘‘‘ Y —·=··==A f A. AAA___AA_ Ä AA| AAAA ....... _. Qéiäéäéeeiäié semblable apparition? Des condensation vaisseaux extraterrestres «se cam0uf7ent» souvent derriére Ia électrogravitatiormel. de champ force Ieur d’air dans situées des molécules «Dieu dans sa nuée»: les Israélites viren!-ils 0VNI0bservée”févri¢r1982danslaGßandg Ca„„gg_ gravitationnel doit avoir été détoumé en son milieu ä moins que deux rayons n’aient été émis, si- non le " ' ' peuple d'lsraé| en exode terriblement été aussi «aIourdi», bétail et chariots com- aurait pris. Apres la traversée de la mer par Moise étendit de ¤O“V¢¤¤ la maühvlß les Israélites, wmvü i¤¤·¤éd*¤·¤m=¤¢»¤¢ ¤=S*?¤¤S ‘° .'°‘°“‘?°'°“* S"' ‘°S ¤“‘ ‘°S "°“¥‘°lS¢.déP‘“€° ä ‘“ ""°”° d°„'“ lumlére, 1l aurait sufü que M0\$€ érende la main, er le s‘°“'S ‘*““¢S cndmits ‘l“°‘“ “““é° du S¢igneur» em: cn réame v¤¤Ss<=¤¤ ¤¤¤¤r¤¤¤ll¤ir¤ dissimulé- ^""‘· M°‘$° '°‘5“‘ "°'d'¢ d’é"" ‘°" “"°° ‘°“* $°“ P¢“Pl¢ ‘¢ 5**** . rayon de partagé les eaux ct les a rcpous· sées pour former des murailles. D’ailleurs, le fort vent d’est que mentionne la Bible pourraitétre la , posé que cc vent soufflait depuis En outre, la chutc des masses d’air créait sousl’OVNI un semi-vide qui attirait l’air plus léger au-dessus du vaisseau, fxroduisam un «v¢m»l19rt semb ant ne pas vouloir cesser. Le rayon antiPest, d'““°“*“aß°· °’¢S*·ä·di“= la aurait déferlé ä Ia méme seconde: antigravitatiormcl, 1l a :‘·‘ . · de la marche, on aurait semi cé vent de face. Comme les Israélitcs marchaient d’ouest en est, ils ont supdirection ¤‘ l’OVNI H|,| „ E""y°”‘ °,d¢°’Y*°‘°‘ °°S éVéI sem la Plus ¤PP¥<>f<>¤d*<= ¢* la . V =: a" m‘f‘C“ ““ "a‘$$°a“ ¢X““"°““' PU p |‘|ääigigigigigégigigä„j-·;E«=| _ ““ es L ?‘€"‘° de BF‘h‘é°‘“ é‘“"““‘S‘· e. { ie "“‘“““‘§‘ ‘d."“‘ “ “}°' Ezecmcn (cr. schéma). tw V Z " a ¢‘°“ I fm v=·*SS¢=·¤ «=ss·=mb¤¤r dßvait lau? l = ' |'i§§EgE‘i;_Eg;;i;j;E5·=’ .‘;5S33rE=E;E;£3E§;E;E5E;E;E;2;355%;;|$2;: {fg°‘$“°“' ’°' °“ °“'g““° mom ä qm ¤¤ vim-de a fm"' a ’“°" ‘°“?° ° ‘ · v v v qud “ Joumal Franz Weber . conséquence de cet événcmcnt. En effet, non seulement l’cau ct le sol mais aussi l’air sc tr0uvant_ dircctcmcnt sous YOVNI seranem Plus *<>¤rd= q¤= la ¤¤r· le vaisseau aurait male. Ainsi, ¢¤l1¤'3i¤! les l0¤l‘d¢S couchcs d’¤if ä Pélléifßf SOUS l¢‘«!1ll1¤¤l d’¢3u» ¢! ä s’échapper par les deux cgötés de l’ouverture. Quelle que sont la "“‘“°““ SP°““" “FP‘° d°$ ‘““"°$ pour le peuple cn dlsantz Gardczvous de monter surla montagnc er d’en toucher les abords. Quiconque touchera ä la momagne sera misämort!» (Ex. 19:12). e Le rayon antigravitatiormel probablemcnt si puissant que ~· toute personne s’attardamäproxi- était aurait été paralysée, du En momentanément. moins marche, un vaisseau spatigl (probablemem) de cette name est mité mémc ¤¤p¤b¤= de charscr néraux en energie radiamc si l’on .en croit les rapports actuels. lvlanlfestement, le vaisseau devalt évldc toucher le sol sousrpelne de subir une perte d’énerg1c xmmé- ter · JOUl'l'l8l FI’8I'IZ WBÜBY N°2 · Sept./Oct./Nov. 1987 I li ne sont pas dans matiere visible et fragile car, sans cet esprit, Ia matiere n’existeréalité, la vérité la En effet, il arborait sur le visage rait pas. mains des brülures semblables ades coups de soleil si bien que sa face était.iIIuminée: «Or, Mais comme ' t ‘ · T la monmain les deux tables de la charte, quand il descendit de la montagne, il ne savait pas, lui Moise, que la peau de son visage était devenue rayonnante en parlant avec le Seigneur.» (Ex. 34:29). Mais comme les effets du soleil causerent des douleurs ä Moise, il recut un masque de décontamination our se guérir la peau. ll portait ge masque ä chaque fois qu‘il devait traVcfscf la ggjnturg dg yadjatjgns gntonmm lg vaisseau pgur anat néggcigr avgg les «étrg5 de |’¢5pacg»; «MO$Se achgva de pnrjet avec eux er il plaea un vgjlg Sur Son visage Et quand il entrait devant le Seigneur pour parler avec lui, il retirait le voile la sants. nommer soit désert et vide! ‘ „ ‘ . A r t ' t· .· Y - — A nergie la deuxieme: En outre, leur,structure fme les place hors de l influence du temps et de l espace. Dells le e0Sm0S,_ HU e0¤I°S des _ Mats évoqoons Max Planck, physicien ct Prix Nobel sjjcmand_ reIl a déclaré s propos des d’une chotohss sur patomc |0rg conference; «Il n’y a pas de ma' voyages ll1lCI'SE¢ll3lI‘CS, ces étres se déplacent d une,man1ere qui, une fois de plus, n a rien ä votr avec le temps etl’espace OU la vl- nait et tiere en soi. Toute matiere existe unjqucmcm- sous l’effet d’une force, qui faitosciller les particules de l’atome et les ras- seaux spatiaux (autrement dit les OVNI) sent, au lüütli des ßppä- semble pour former le plus petit systeme solaire (dessus comme dgssgugf N_d_R,)_ Mais pulsqll ll yfgxjgtg anenne force intelligente ou éternelle dans tout l’umvers, pace gräce ä une impulsion de la volonté. ll tcssc r reils cn de transformation d’éner- gre.S1unetrespatiald’uneétoile tres éloignée veutparsexemple se rendre sur la ·Terre, il regle son Valsseae ems! que le C0¤tenu de dermer SUP la tréquence ter- W de appro- qualifier cet état d’«exis- méthodes traditionnelles. L’9¤ rwmme ce type de voyage spatlal le télétransport cosmique ou levoyage cosmique immédiat. Bob Renaud, électrotechnicien américain originaire du Massachusetts, a eu, a partir de juillet 1961, une série de contacts avec les ’ . La seule certitude que l‘univers. ll j‘avais RC- voyage des cxtratcrrestrcsqui l’ont éga— lement emmené une fois faire un tel Voyagepar le téletransport. ll décnt_la_mamfestation de la dematérialisatroncomme une sen- fourmillement a recommencé puisadisparu.J‘étaisde nouveau tout a fait entier. Ce transfer: avait duré une seconde . . et 4000 kilometres avaient été parcourus comme un rien!» Des 19eme le siecle, des hommes de science aux idées progressistes ont intuitivement compris que l’univers tout entier ne peut étre qu’un cominuum d’énergie, sinon le dynamisme des mondes stellaires visibles ne serait pas explicable. C’est la rai- son pour laquelle on a perle déiher universel. Mais comme on n’avait pas la possibilité de prou- ver son existence, ilade nouveau disparu du vocabulaire des sciences «exactes». la fin de sa vie, Albert Einstein lui-meme en était arrivé lä. A Dans une lettre, il avoue pour ainsi dire que dans toutes ses penil se heurte a des limites qu’il ne peut dépasser qu’en acceptant la réalite d’un sées et réflexions, éther universel. _ Mais entre- satlond'exc1tat1onfourmillanteä la maniere d’un choc électrique temps, sa «Théorie de la relativite généralisée» avait déja eu un des piedsä la teleTres soudainement, une sorte scientifiques de déS0rlel1t3ti0net de vide mental a suivi, accompagnée d’une impression de désagrégation brusque en vapeurs immatérielles — comme . . serait toutefois plus tence par-delä le temps et l’espace». Ces énergies e haute fréquence échappent a la mesure et aux calculs lorsque l’on veut les soumettre aux lois physiques habituelles du mouvement ondulatoire. Un passage dans le domaine spirituel a lieu, qui ne peut justement pas étre évalué avec nötre trons). mentale, au noyau de l’atome, obéissent les gnstantgmément et par llne Sllnple impulsion de volonté la matiere en énerg1e_ou ljénergie en matiere (ee qui ne Slglllfle rien d’autre qu une augmentation ou une reductlon du rythme des oscilla- et alors ä une force supérieure et il est possible pour l'etre spatial, dans cet état, dc traverser l'es- prié maitrisent parfaitement _l’énergie et la matiere et possedent la faculté de transformer spirituelle nucléaires, qui lient les électrons · serait _ 1 au—delä de toute forme de conscience pour revenir, de l’autre cöté, au corps qui s‘est reconstitue matériellement. Soudain, le pas seul ct perdu, installé sur son grain de poussiere dans l‘immensité de l’univers et uniquement en- plus Petites? Qual gächis! i pendant de cohésion physique». Les forces Concemant um ; qualifier de «désagrégation de la visites originaires cipal. ptanétcs qui tourncnt autom- d*nn sotoit poor nc momo la vis que sur seule, so domoutant pnne des ‘_ dans un état que l’on pourrait les . Les raisons pour lesquelles la premiere affirmation est fausse sont exposées dans l'article prin- loi l’llpCl'CCV0ll’ quoique CC 50lI. naud. «Le cerveau est en cet instant une masse d’impulsions électriques qui sont envoyées comme par un poste émetteur. L‘esprit existe par lui-méme,sans les perceptions physiques, et est inde- est impossible. - gtacoq Bios pjéttc penség d·nne hnrnanité déchuc· Imagincz que vons soyoz D;oo_ Ctéotgozwons nguf t s nd Levaisseau dans ses éléments constitutifs fondamentaux, a savoir les atomes et les molécules, est placé, par une fréquence d‘é- d’hui sur la Terre mettraient quelque 10000 ou méme 100000 ans pour atteindre ces étoiles fixes. Conclusion des détracteurs des OVNl: l’existence des OVNI ’ ·' mé- telligence. Il0ll”¢ d’autres systemes solaires sont exclues étant donné que rien ne peut se déplacer plus vite que la lumiere et que la distance qui nous sépare del’étoile fixe la plus ‘touré de planetes arides et sans vie faites de pierre, 'de gaz et de _ t les dl3§, avldes de publicité, ont l’occasion de faire un scoop avec des prophétles qui touchent les foules. était celle d’€XlStCl‘», déclzlfß de extraterrestres qui se trouvent e un stade d’existence supérieurau un peu mieux que nous? Mais alors, l’homme ne »· V En effet,ilfautobsewer une extréme prudence des que llOIl. autres étoiles? Et probablement · le n’existe pas Deuxiemement: universelle que ’respectent également nos freres et nos saeurs des .· «l‘esprit ori- d”HUtl'CS ClVlllSHll0l'lSdouées d’ll’l· S€lfl il d’«extraterrestres» commandements des fragments de faux) d’une de dre, HU systeme solaire, est sont-ils les vestiges (probablement en contact télépathique TCSUC et diatement ä son lieu de destina- PI’€lTllÖl'ClTlCl’lIZ la évolués'? Les dix : étre avec des étres supérieurs. Avec des extraterrestres qui, pour le bien de l‘humanité qu’ils doivent avertir, utilisent des canaux humains pour se faire entendre de ceux qui veulent entendre. Sans aucun doute, bon nombre de ces gens mentent, ä dessein ou en se dupant eux—memes, pour se donner de Vimportance. _ montagne de Sinai pgur reeevoir de «Yahvé» les dix commandements. Les a-t-il requs de la main d’étres spatiaux tres · originel», du «créateur originel». Il devient impossible que l'univers proche,Alpha Centauri,estdéja de 4,3 années—lumiere. Les fusee; dont nous disposons aujour- savons, milliers ment mét i i le ‘ ’ t|'0l|VBD|0\|- nous dans le monde quelques de personnes qui affir- existe . Ä Moise, des étres pen- ce créateur cache par l’univers et les ne soient pas le fruit du hasard mais que tout soit parti du ginel», - monté sur Admettons que Il étoiles d‘eux-memes mais doivent bien étre créés, je ne crains pas de ______ r prit. «Verbe (Ex. 34:33). , comme Et lui sants ne peuvent pas etres issus jusqu’ä sa sortie.» ‘ ne peut pas y il avoir non plus d’esprit en soi puisque tout esprit appartient a un étre, nous devons absolument admettre l’existence d’etres pen- quand Moise descendit de tagne de Sinai, ayant ä La vérité, c’est l‘esprit in- visible etimmortel. et sur les ‘ ont donné toutes les civilisations de la Terre depuis des millénaires: Dieu.» Le grand scientifique qui arrive a se débarrasser des préjugés d’une pensée conditionnée tout a coup rencontre Dieu dans sa réflexion. ll découvre que toute matiere doit étre créée par Dieu et porter Son empreinte par la matiere n’est qu’un produit de l’es- conscient et intelligent se trouve derriere cette force. Cet esprit est ä l’0rigine de toute matiere. La doute été réduite au minimum, mais elle réussit tout de méme a endommager en partie la peau de Moise. ^ nom que nous devons admettre qu’un esprit diate et il devait donci rester en vol stationnaire au-dessus de la montagne. Son energie avait sans un- fantöme! «Pendant un moment, je ne pouvais plus nipenser,voir et enten- retentissement tel que les milieux furent a dessein laissés dans Ylgnorance de l°existence de cette lettre. Elle se trouve aujourd‘huidanslesdocuments laissés par Einstein apres sa mort et qui ont été pris en dé- pöt par l’université de· Princeton a laquelle ilaenseigné. » 30 N··2 - sept./octxnav. 1987 Journal faible puis disparaitre dans l’invisi— glcuvcs. des plaincs ct des cötcaux e Verdute eu s’élev<=ut de mer- blc~ 2äi%3%S=.?fié2iäé%%iii;;%°;Q§iä;ä1‘=.2E?E6*iiiräääääE;?ijl§‘i.i‘;lE§2;;,·Q:ä;;@ieziäagigtigääéiäiäiigiääiläzäiéäälgéiii;iiä§2r;§§?§.§€;;i§?=l€‘E:.;;2;ä12§;§élEl¥ä@é*ħiii‘iEäiääiäiiäjEä€;i;%ä€é??Eä§E?ä§äi;¥%isiäiirgiE?Qäiääiäläléiéä-Eä?ää€l§%;§¥ä£€;lTE§i·z=éäläiii:;?&ä;€-i€¥i?.ÄÄÄ;??§ vclllcusesvlllsslllumluéesD’alll<=urs- ll est l¤tétessa¤t de en E{ÜÜÄÄQÄÄiÄ=ÄÄ;Qħl,Ä.XÄ¥i}§ÜiÄÄ};;.iÜÜl;:Ü ;:§Ä¥iÄÄ: |2..;.;:e·;;ä·zéE;zil1-léiäjf{E;§§;g1g;äé1éEgä;él?Ei|ii}?.§2é;2;.;=§,l%§_§gi;?é' „;i;;Ei;i;§;,§§€Ü;iiE§“;.if;;i;;;;§;;Q;i_l§i§E;;;}§E.%;é§E§i;;;L§§Ä§;;§;§l;;i1;?§;.§éi;Zi;.2?i¥iÄ„;§l§§ ** ,== €2éä1.i‘2%°?Eliél€:ä@;%éE;t;%;餧„;¥1äe'Q“éä¢ii;*€’;ié—&i;:iiE1&§iÄäÜéQi; éclats et qu’elle a continué ä mcmraicm Le chef de Ia défense aériertne suisse a beau prétendre qu’il n’y a pas de document attestant de rencontres avec des extraterrestres, cette photographie prouve le corrtraire: le 14 avril 1976 ä 16 h I1, un Mirage de l’armée suisse attaque un petit vaisseau des Pléiades au-dessus de Bettwil. La série de clichés fur soumise d Vanqlyse des ordinateurs américains les plus mgdgyngs’quf gn (gnfiyméygnf 'aufhgngjcjfé A En ä bien y regarder, effet, travailliqt personnes ’om re e A sn ence sem equi photographies de nos planetes voisines montraäent qui: le porps ni macrop ysique es étoi es e non les daigs ent cr - dibles, elles. Elles agissent de facon désintéressée et sans préten— tion. Ceux dont l’intellectualité froide et cynique ne condamne pas tout échange entre la téte et le coeur percoivent bien que les textes que ces personnes regoivent as que de la réalité les habitants de la que affirment avoir été emmenées sur Vénus par des vaisseaux spatiaux extraterrestres, les habitants de Venus vivent dans une ceinture celle Terre con- corroborent donc les unes les autres. Mais attachez vos ceintures et -partons pour un petit voyage intcrstcllairc dans notre systeme so- duu5 :‘¢5Pa¢° utßbäläs téléPathl<ltts 5Y5lém° lglgllleux CS al'changes. Un scientifique soviétique passe ä l’ouest avait embarqué la copie édgin rapport «tqpsec&eA;» sur cet v nement singu ier. s autorités soviéti ues n’ont jamais fait la moindreqdéclaration officielle äce propos par peur de compromettre la crédibilité du pro- 3 glgäll esques, S€lTI que l’on ne brille plus les gens pour cela, comme Giordano Bru— autrefqisparce qu’il persistaita que a erre tournait autour du soleil et pas l’inverse. .. 30 ire CS gramme spatialsoviétique. . Les Comme nous ne pouvons perce- trois cosmonautes Vladimir Slovev, Oleg Atkov et Leonid Kizim y rapportaient que, le 155e jour de leur séjour dans la station spatiale, ils avaient soudain. ete aveuglés par une lumiere orange éblouissante alors qu’ils procé- voir les éventuelles civilisations de éthérée au-dessus de ce qui nous a am, sur les hotos des satellites, gtre le sol depla Aplanete, dans un monde tres semb able au nötre par sa végétation et son aspect exté- ble lorsque sd vigzsse d’oscillation au mente: lus une hélice toume vitä, plus ges pales semblent se cales. Avec des mers, des lacs, des fondre pour dessiner une ombre noldés, rieur. utl alti- q“¢5· quc _l’€¢lulPa8¢ du vaisseau 5Putlal 5°Vlétl<lue «sallout 7>> H Vu le}l”lP0Vullem¢m• Au bout d’un moment, _· __ V 2 L cl J g dc achormis ä; |·* Ü; A A A « ÄAAAAA A A ger 2. etc- cat rctraasmls das. de désstts de Plsm eu de cratercsdc auascsorausés- |-. avccvctrcQ} ät |i| iiäil| l' Vaus alllcz au iardia to pour enfin prendre les ondes de qul artlveat ä Vatitenne placée sur votre toit. Penserez-vous que votre téléviseurades halluclrratlorls sous prétcxtc quc vous nc voyez quc des ardolses ct une antenne sur votre photo? la télévlslea :· ** |A|A| .~|iz;}| ‘· ir| _i sr ,.| t .ij °"| „» a'| i Ü Ä?| A quc vctrc ac- é er ne décele manifestement pas les ondes de la television? Et s’il en allait de méme pour nos fameuses sondes spatiales? Et 'A| pareil elles n’étaient pas capables de photographlcr Vextlulse ¢lVlll5e· tion dc Satume parce que la fl’é‘ qucricc dc ses Qselllatlells est telle que HOS appareils Optlqttes nc Peuvent la percevoir? Et si toutes les Q lumineuses et gigantes_, Mercure (trop pres du soleil) et Pluton (trop loin du soleil). Affirmation audacieuse alors que nos sondes spatiales Voyager 1, Voya- la sculc ralsca . =*| am Alttrs atlmettctts que ils réussirent a «regarder dehors» et virent sept silhouettes huma- ca ccutact dlrcct setlt ltabltées- s l daient ä des expériences medi- les déclarations de cer- rastrcs- tcutcs lcs plarletcs Pour E¤qulr¤r» laPP9tte- dans cl° lam*·u5 démetul Pal lcs sel/letl· _ |Q|: talucs personnes tte ua clin d’ocil. Le journal américain «National 'Mars, Jupiter, Uranus, etc., leurs representants doivent avoir une fréquence oscillatoire plus élevée que la nötre. C’est, parAexemple, comme un ob'et uidevientinvisi- laire! D’apres crt l’filgVl7ePdeA¢9?¢luéFl;{Véllu& lll5a; Hl S. €U 'C TC. . . CUICUSCITICH nuages épais, pour ainsi dire inutilisables. Selon des témoignages oraux et d’aprés des personnes qui verses s’accordent souvent entre su s’y Vliabltucl La sonde «Venera» ne retransde Venus que des images de naissent. Les sources les plus dielles et se intelligente qui A Lourdcs, a Garaba¤dal„ a Fatima ct dans des millicrs d’autrcs licux, unc forme lumiricusc cstapparucwisiblcacharque fois a unc ou uel ues scrmes ct capable dg sc golatillscr rnet supérieurs sont d’une grandeisagesse et offrent une autre vision vie du moms bestllt etres tlettallts, lttmlnellx ct rayormarits. iiouve probablement? d’étres A la de suvlrcrmemeut «l¤llumal¤»- salsa lcs pcrsomics cri contact avec Véaus- lss Xéuusleus avalcm r<·=¤u<=ll— ll la sort ct qu’lls avalcat dépcséc en douceur sur le sol macrophysiQue dc la Plauéte aflu Que das lma8¢5 au55l €flVuYaul¢5 que 9055** ble Öle"! uu} ¢h°VCh°ul’5 l¢“¢5‘ tres, mcttrc lcs tl’ Lcs «morts tcmporaires» rappcrtcrlt touicurs dans lcurs récits sur l’au-dela des rencontres avec retraasmattre Pittfitltemeut Peu· da¤td68 mlrlutcs iusqu’ä cc qu’cllc «r·=rl •= l’ämc»~ Les lmagcs re- traasmlscs sufflt reelle- -- éägéäägi??§;?F}§é„§§?E&ä1§i§Ä¥1§?€_äEfél;Ägzéäif?»?‘·r}é§.g.1ég?;iE>2E—;„.1;%;§l;ä;2€§§§=?:*ä¤?ä.iFE·;{}l§ä2;j§§l§éEä3;E«é§%;i§?I§122?Elxéiii.§Qgieiffaigié.?äE§;-§l;§·rE·;";i;§*15;gg |:1iFÄ£=;a¥§Ä;Ä_§Ä§.Q.Älliigii_Äé;” ll ‘ se tappeler qu’uue s<>¤<l<= terrestre s’cst écraséc sur lc sol de Véaus tl 35 km/lt mals qu’cllc ¤’a Pas vtllé --;.1.;;i?~-§;§ilQfiEl;1.Eli.;li §ä2§¥;%é;„2,i§;Ä.‘§·§§§if„Ef’éi?=:€él;.2r:-i¥;*£·T*}?·„;¥§.i;Eil:;:?i§¥%?léħ;ié~%;aEQ;.i2:;é~i?§§;·§¥éf?䀑äxi„é;§§’1$?„Qf;lii§?§?&:é~§·i..iiE¥ij;}äE·IE.;;1*jEiQ.;{i;éi;»ää§sé,;i.;j¢Ä?„; Mais doigts pour ccmprcallrc brutalc— meat que Vhéllcc cst touiqursblcu .-:·1;-_Z;ééiéä2¥’ä¥%?ä;ä¢iéäé2ii;=i;2§}?L;.;„äE;„§;i%rlS=;6äi.§éäé§;;%5-=1I‘i;§?;‘LlE€;§i£li21;.;?Z?ir·Q?€€éa:i:iÄi€E¢iiié2;iiiici.lL;QlllE-i1{ÄEE1;·E·ilE.E;6li2täE?éliL;;;;1Q=Ä.2£.=%=i”éiiiii.;ié;;Q·Äa.Üiérié?ii ;—;;€é?i;ÄÜi.*?§fl.·1§=° é%i§§l??§·{Z;?° --ii.;;.—lrEi?2gi};j;f;2¥¥12·ÜÄÜ}’ .j‘ l O “ .a“Ü€°f¥·i.§@;§iElÄ;ä§;i=;?.i= äiéiééié·£;3%ii?=ää3i:§i.ä;;?i;Ääl:‘Öl?Siiiiäl2?l;€¥ääl.‘2:äi?¥;?gifi?ifE;1f2E‘2%?=‘i"·%2E%§1ääéä%£€§€' ;.I%i1§£¤E2é;E?été?gi5gi?-:521}ä;§Q;é2;·ÜE¥lél;*{.;ii§;€=;;ä;;iÜ饧?_;€E}§§;;ii;§;§€li1iE;Ä;i;äé..él§Ei&2¥l;§;2i;rléé-EQSÜÄ;Äi:i;?° Franz Weber t i .- t l' §· ;_ 4 A| .. ·_ ·‘ A A¤. , _ ggigft rj A st . A L s, si . En octobre 1972, d cinq kilométres de Montauroux prés de,Cannes, on trouva une étertdue de 300 metres carrés ravagée. Méme des arbres de 50 cm de diamétre avaient été tordus. Des scientifiquesfrancais venus sur les lieux affirmérent que cette catastrophe ne pouvait pas avoir été causée par une météorite, une tornade ou la foudre. Il s'agissait probablement d’un vaisseau spatial extraterrestre propulsé par énergie antigravitatiortnelle ou électro- ri magnétique, qui avaitprovoquéune dévastation semblableä celles observées en Amérique du Nord. ä Journal Franz Weber = N°2 ‘ Faisons l’analogie avec un phénomene terrestre. L’humidité de l’air se sent mais ne se voit pas. Lors- l 1 ‘ · . · ’ ,_«„i Ü J it , . A'. t A. 4 As AA sx qs · ·- . " ’ t · ‘“° 9 ;« WA. _, AL , J r est ll- elle s’étendA du stble visible puis tangible macrophysique viau microphysique mvisible. La matlere solide et visible oscille plus lentement que la quide encore physiquement. _„ HSSISIGIII 8 I-es tt .— t p 1,,,, Pendant la retransmission de Vatterrissage sur la lune d’Arms- T ‘ · «„ A· " .sv ' A Q| ,i _„ ’°|'| °l ·"'* |. A|A: _Q'; ___;-;,.·| _ |rg |t|r A_ Armstrong A Le 20 juiller I 969, l’astronaute Aldrin marche sur la lune pour la premiere fois. D'oü viennertt dortc les deux lumiéres au fond d gauche? tfmduc ques (pluslouts centaines dg mo- les SPé°‘_a' tres nous devenons microphysiques, éthérés voire électroniques, nous Ptfilet aussi °°ut°ull_ qui dellalt bo-jet etentourees d’un rayon ne- echappons de plus en plus aux lois de la physique. Notre enveloppe charnelle est comparable a la combinaison d’un plongeur, nécessaire pour que l’esprit électronique et l’äme éthérée qui sont en chaque homme yadnptont ä la prgsgjgn Vlmcc de haut), aux alles aussi grandes que la voilure d’un jums buleux semblable te ceux decrits dans les récits classiques ayant 7 Un sourire angéli- trait aux anges. que illuminait leur visage rond. Toujours selon les cosmonautes, ce groupe d’anges suivit la station orbitalg Pgndgnt out bgnncg mg. ’ . A “ nutes puis disparut aussi rapidement qu’il était venu. Mais il revint douze jours plus tard, Cette & ‘ * tourée d’une couche d’air comme la notre n’exclut pas qu’elle soit habitable par des etres intelligents, voire bien supérieurs a nous, Par contre, quloonqne a im corps éläcffgniqug peut Vgyaggr presque a vitesse de la lun-tiere; avec l'l°ust0n- Pendant les deux minutes dilnteffuption (dont la cause n‘tt‘/int Pas été la panne d’une eämetß), Armstrong, Al- mot-voglloux so- A- AA _ ·‘ A· l Trois g choses indiqugru qu’il existe manifestement d’au[[¢s ni- . ‘Ü la gravité; cette der- quos_ Not,-o ootos oharnel atomi- met de comprendre les accélerations phénoménales des OVNI. drautt-os les a unc fréquence oscillatoire tres basse pour une densite tres élovéo Nous uo pouvons pas (encore) ]1()\]$ féndfß ll’\VlSlblcsr flop ter au-dessus du sol ou nous déplacer d’un erldroit ä UH 3\ltT¢ de la Terre en un clin d’t:il. La pesan-teur de notre corps, entierement soumis a l’attraction nous ou ompooho terrestre, _Des étres aussi déVel0ppés sont bien entendu capables de ralentir ä volonté les 0SCillHil0l‘lS de léllf corps électronique pour apparai— tre ä NOS Yeti)!. Inversement, ils peuvent accélerer leurs oscilla- pour disparaitre de notre vue: als deviennentinivisibles mais tionsA sont bien perceptibles et presents. Houston: «ContrÖle, Contröle ä EteS—Vous en route? fusée. Qu’est-ce que c’est que ce bazar n Pi¤P0s d’OVNl'? Avous.» At'tnstt0n8&AldFlnt<<llsentstterri la—bas. lls sont lä et ils nous observent.» Houston: «Les rétroviscurs, les rétroviseurs. Est-ce que vous les avez tous mis en place?» Armstrong & Aldrln: «Oui, ils SOl”lt CH place. Mais CBUX Unt lmmédlatßmßnt )CCl'lone interrompues par la NASA en méme temps que les Sur es Armstrong de sillerle tilm-» Sllliantää, lératlon. Seul le porteur d’un corps atomique denseest soumis lois pas de film sous la main. Trois photos des soucoupes ou de ces trucs qui étaient en train de bou- drin et le centre de comrole de Houston ont échange les paroles images! niere n’exerce, en revanche, absolumellt uutiulle lnlluenee sur les ¢0l°Ps eleetidnlques- Vollä qui per- que l rien ne lui nuit, ni lg manqug d‘oxygene, ni la fantastique accé- formes formes tel'l'es· charnelle; et macrophyst- voaux dc vim d’existence A des rayons d’électrons A aux Armstrong& Aldrln: «Jc n’avais sutPtenttntes_ su_t eet episttde slots ¢lu”ll tlulttslt la NASA- Lc extraterrestre qui a atteint d’existence électronique n’a pas besoin d’air pour respirer, «Nous étions verf- A u Un sul la llétluenee utillsee Psi lcs astronautcs P°ul’ eelnmunltluei uu Houston: «AVeZ-Vous enregistré quelque chose?» Houston, fit quelques réflexions qui controlent a distance une cap- ot-ot,,_ A _ un element Bussi fonds}mental <lu”une caméra Peuvitlt sessel de lunetlennen Ouelquc temps apres cet événcmcnt lnst<>tltlue„ Christopher Kraft, directeur de la base de sule spatiale. Par conséquent, le fait qu’une planete n’est pas en- oouuagssugout A t°°h“°l°8‘q“° kaya, Vladimir Dzhanibevok et lgor Volk avaient entretemps re- tablement foudroyés», dit Svetlana Savitskaya dans le rapport. Les formes trsouriaient, comme sielles [ - ettln¢• un stade l’instar . ä 5 -- Relais autontatique enclcnché- -- J’al les mains qui trcmblcnt tcllcmcnt que le nc Pcux lieu tal"}- Frlmcr? Bou sang, si ces cameras ont filme quoi que ce soit, alors quoi'?» de Vu' amén- tatrc la dém°n5ttf·u‘°n atmosphérique. ä nous vérifier cette orbite. .625 un tion céleste car Svetlana Savits- six joint la station. [ tlans contenu de Ces teilexlens tl ete eunftime Pet deseenteinesde tadies ttlnateurs qui s'étalent mis cosmonautes soviétiques furent témoins de Papparifois-ci, . détetmlnencemmenti ‘ . Personne ne le ¢l0liul>> A «Ouoi. .. quoi. .. sang, mais que se l{¤sse·t·tl? Ou”est·ce qui vous arHouston: quoi? Bon rrve?» Anllltrollg AIdfi||: (tus sßnt sous la surface.» H0llSl0II: «Qu'cst-cc qu’il y 3 (bruit ouate). Emission inter_rompue, interférence, controle appelle«Apolloll>.» lä, pourront certainement et les enlever. tcrmirlé.» Aldrln: «Ce sont des ehoses géantes, non, non, non .: Ce n’est pas une illusion düptlque- construit ces vaisseaux S atiaux l demain & «Nous & qui suivaient la retransmission télévisée car ils ne purent Ltorgqug ngtrg fréqugnce osogjlatoire augmente tellement que Aldrln: sont restés la un moment et ils ontobserve les instruments.» Houston: «Répétez cette derniere information!» Armstrong Aldrln: «J°ai dit qu’il d‘autres avait vaisseaux y spatiaux. lls sont rangés de l’auim cöté du cV“tél°·" H°“sl°“i "RéPét°Z· VéPét°Zl" Armstrong Aldrln: «Laissez- listes A & avons vu des extra-terrestres. lls trong et d‘Aldrin a bord d’une fusée lunaire americaine, le son et l’lmage furentcoupés pendant deux minutes environ. La NASA déclara que ce probleme était du ä une caméra de télévi— sion qui avait surchauffé et gene la 'é°¢Pt‘°“·_ ecttc Pa““° mut' AAAAA |A ..-· Y .„ sage sul 8 une s .1l» ,|l ' ‘ . ·| .. li- A .-:-| gs| matiere visible; celle-ci os- ..„. „ Ä . lu- mineuses, de fréquences diverses; ' |.~ pleine d’énergie de vibrations, d’oscillations · l l . , devenue ’ ~ La création est et l _ ¤ yg°°nnu_ peur ou en brume. Si elle se condense davantage, elle se transforme en eau et, enfrn, en glace. Alors qu‘elle était invisible, l‘eau Til s Ü8 l'8w|'0|\‘tI BU MHIUB qu’elle se condense, c’est—a-dire lorsque_ sa fréquence oscillatoire diminue, elle se transforme en va- l 31 sept./oe:./Nov. 1987 — Ilievenir A vous, Christopher Kraft, chef de la base de Houston, commenta: «Nos hommes ont eu UHC réaction trésétrange maisje rle doute pas qu’ils aient été sous l’influence de l’espace. L’exemple de la modestie d‘Armstrong n’est pas négligeable, et I’altruisme d’Aldrin donne matiere Q réf|gxi°n_ Qugi qu’il en sgit, je pense qu’ils avaient tous les deux quglqug chgg; gn gommur; lgrgqu’ils sont revenus sur terre meilleurs qu’ils n'en étaient partis.» 32 N°2 - Journal Franz Weber Sept./Oct./Nov. 1987 ° pour sa part moins vite que la matiere gazeuse devenue invisible La ‘ .~. . ' '° ‘ Ü| I| cille ür «...,_ „ ,„ «" a nos yeux. La matiere microphysique (éthérée) a une fréquence encore supérieure. De méme que em |_, I ;; r -. ”’ lumiere peut étre visible ou inviSlble ä des Yeux (“l“a‘Vl°l€t$» l"' rmouges), an peut y avoir des °¥fjy va es ,|‘ la |”~·«l_ |·*¤ ~·—| ÜÄii ..| „ Les étres intelligents d‘autres ceux aussi de notre systeme solaire, ont des corps lumineux que nous ne voyons pas. Lorsqu’ils se condensent et apparaissent ä nos yeux, ils ont la méme forme et le méme aspect extérieur que nos corps charnels atomiques. Mais ils restent invisibles la plupart du temps pour ne pas étre dérangés dans Les extraterrestres n’ont pas du Z |a| ’ |jf| |Vi;| Monseigneur „ _ · méme "‘ _ A „ _ p ‘rive! _ [ · 5}** „ ‘··— _=|“|‘| F‘ Ü ·| |Ä”Q„ „ * ‘ ’ |j-~|‘ ”_ A »* ;_ U *1 ·; „ i „ du T|Y ' Pourtant, une .. ° non , . ' ;„ _>.,.; " p, #? En [gutes ]gg pgg agggz planétgg tgnaignt du ggnrg humain, sans coeur mais cérébral, le tgurné ballel cggmiqug aurait T a la danse dg 5alm-(;uy eg alglse Vlncendie des mondes, Mals eela ne veut pas dire qu’il semble ng pas exlster d’gx[l·3[3l·restres peu supérieurs aux Ter- · unmunslmnaätpas ne reste que les plailes moqueries HUK chercheurs préastwnautiques de l’acabit 'd’uH Erich VOH Dä¤ik¢H lorsque l’on établit un rapport eH· et lls voient l’univers gigantesque jeu de construction experimental, un la-· boratoire stellaire dans Iequel des étres supérieurs clonent et fabriquent de toutes pieces des etres in- · étres 5’a- regplendisgante), qui forces negatives. parole au Vicaire éR§ndcänsL;ap iria: g n ra e «La fillette pres de nous criait, pleine de joie: <Qa y est, elle s’envole! . .. Elle monte!> Et l’enfant montrait toujours la boule de lumiere, jusqu’au moment ou celleci disparut end direction du soleil. Enfin, il est indubitable que les forces de la lumiere sont majoritaires et tiennent en échec les forces destructrices sinon notre planete Terre arriérée aurait été éliminée de l’univers il y a des sie- des envahisseurs sans foi cles par ' Nous ni loi. reux.» étions immensément heu” ” · „ . n’était pas la premiere que l’apparition de la dame du s’accompagnait de phériomenes célestes curieux. Lors de sa deuxieme venue, le 13 juin, il faisait beau et chaud comme de coutume en cette saison au Portugal. Or, pendant toute la durée de l’apparition, la Iumiere du soleil fois . ciel ‘ ori- quels les extraterrestres utilisent la force et la contrainte révelent des On vit en meme temps un léger nuage se fOl'mef HU-GCSSUS de l’arbre des apparitions. Et, du ciel limpide et sans nuages, des sortes de fleurs blanches commencerent a pleuvoir sur les personnes pré- Oh, ce Les descriptions de petits méchants, monstrueux et laids ne sont pas en général celles d’étres hautement développés et bons. Tous les contacts dans les- gine. inter- sentes, disparaissant avant d’avoir touché le $0lApres son entretien avec la femme restée invisible ä la foule, la jeune Lucia cria a l’adresse de ·cette derniere: «Si vous voulez la V0lI', regardez lä-b3S!» (il « tl‘3l'lSpOl't3l!.» ou un «salnt». foncés sur un vaisseau spatial indi- quent également une sombre la elle ßllfänfs V0y8l¢11!‘il· dyesse aux Terriens avec gentil[esse et politesse, il s‘agit probablemem d’im étre dbrigine constructivg gt lumlnguse, que [|()$ ancétres avaient appelé un «angeS> V H douze ans de toute bcauté, rayonpeut méme arborer une etre font souvent partiedes forces negatives; pas toujours mais la plupart du temps. Des signes noirs ou naire espagnol, un pro- effet, les étrgs lumineux pogt [res gvangés hg gqntfgiä allya emmenent pour fillette de de DICU CH pCI“S0l1[lC; HOUS, de voir CH ÜOUS HVOHS TCQU la quelque $9*1** le Véhlculß (lu! la nant OVNI comme un du jeu de légo les une gnent jamais Vhgmmg fl qugl qug cg soit Lg librg arbitrc de ghacun est une loi qu’ils respectent beausemble que la plupart vg. coup_ lem dans des vaisseaux en forme de boule, de roue ou de disque, dont émaae une vivc lumiere blanchg ou de couleur (vene, mugeätre, parfois bleue). Lorsqu’un rapport fait état d’un contact avec im A H effet, Ges ¢h¢rCheul’S„peHSeH! que Pizarre était lui aussi apparu comme un dieu aux Incas alors qu’il n’était qu’un monstre sangui- duit (rate?) {el ricaine Tuella, en contact avec les couleur extraterrestres, les d’argent ou en forme de cigare gs anäs est-il dg «forces de lTombre». Alors comment différencier le en croire l’Amébien et le mal? il L‘homme matlel-e faire des expériences. Ils se conduisent au demeurant comme des hommes, mais on les appelle les ¤¤dl¤¤-· férieurs. d’éthi- gn En effee ll gn apparal; rege- animaux ou • ieu. ed [jens qug_ ljéyemgm gurla Terre; ils enlévent dgs hommes (des mllllers chaqug annéc)’ s’en servem comme animadx de laberatelre pour faire des gxpérigncgg sm- le eeyveau et lg cgypg puis [@5 raméngnt (Qu ngn) sur la Terre. Ils abattent aussi des cer leur corps (lumineux) électronique d’un endroit ä un autre et ITIÖITIC ÖTUHC gHl3Xl€ ÄUIIC Hl-ltI'€„ e Q! · sjtifg Je Maintenant V L ‘ planetalre? Vgilä ung vlslea du cggmgs bjgn froldg de VHTSSCZUX spatiaux POUT SC déPl3¢¢f d¤HS le ¢05mOS· C6 sent C8 qU€ IIOUS appelons les Les formes supérieures de vre ne sont pas obligées d°empf\1Htel' des vaisseaux spatiaux. Il s’ag1t d’étres tres avancés dans la hiérarchic c°$mlq“¢· c°mm¢ Jesus OU Marie, que, nous appelons des «saints» et qui sont «méritants» par leuf 3mO\1[, lellf ÖOHIC, l€\1I' sagesse et Ieur puissance transcendants. En effet,1ls peuvent dépla- proches es intel- SOil'l les étres _; de Bälepar un médium, de l’espace disposent de m0yCIlS diV¢l'S. Les fOl'ITlCS de vie lI]féflCUI'CS Ollt CTICOTC b€· ou . Une sone d‘OVNI? Une boule de lumiére photographiée en 1907 au zoo moyens de progresser tre les objets volantsdet ‘* ·l'‘‘ ' grande vois encore! , __ descend> (vers le rouvre oli se déroulaient les apparitions). <Que penses-tu de cette boule>, demandai-je ä mon ami. «C‘est la mere de Dieu>, réponditil sans hésiter! C’était également t ' “ ·* o;| tres loin encore! Ä-- , ' lectuel', les étres Certes, A ma de nous continue de povsser des ¤rlSde ieie; de la vois e|Z|T|-|‘?|%**|‘i·| · santeries . chance de wir la méme apparlrlen envoütante et inattendue. Tout a coup, la boule et sa lumiere mer- am Ä, |'” ‘“ mame. La auss1,to¤tetres‘ef— force de se développer pour aller plus haut, «plus pres de toi, mon Dicu». De mémeque l’esprit humain trouve au cours de son éve- ~ arElle La! ,, Je regarde en l’air, scrur boule de lumiere qui traverse majestueusement l’air en flottant d’est en ouest. Mon ami regarde également en l’air, et lui aussiala · . son i .> Surprise, je vois distinctement m niveau d’évolution correspondant ä son niveau . tant l‘espace. .| ‘·| ‘*" • . notre. L’écart est qu’entre un apprenti et lution des . V‘''‘'’°”‘ Ü respond a un niveau de dévelop- méme <Arrétez! „ leur hiérarchie intellectuelle cor- le » r i Lema, Jean . m que nous. Leur écneue spirituelle, tres éloigné |Lg ‘ gi leurstravaux.°‘l‘‘ tout le Y _i lu- Quaresma. Voici ce qu’il rapporte: «La foule prie sans cesse. . Tout a coup, cm entend des cris de surprise et de joie. Des milliers de bras se levent et montrent un point dans le ciel: |.f|'‘‘u x „ dame de general de elles, le vicaare corps lumineux invisibles, astres, merveilleuse miere est apparue a six reprises aux trois jeunes bergers de Fatima,dont la premiere fois le 13 mai 1917. Lors de la cinquieme apparition, le 13 septembre, 30000 per$O¤¤¢$ S¢ !F¤\1V3l¢H! lä- Parmi ,_ ‘ Faisons un nouveau pelerinage ä Fatima. Vous vous en souvenez, notre voyage dans le temps et l’espace, dans le ciel et l’univers a commencé par une description émouvante du soleil dansant de Fatima. Le «miracle du soleil» et l‘apparition de Marie sont-ils encore une énigme pour vous? - extraordinairement affaisans aucune raison. En méme s'était blie, q temps, la cime de l’arbre s’était ouverte en forme de parapluie et était restée ainsi, comme suppor- . Jgllmal Franz Weber N°2 · Sept./Oct./Nov. 1987 répondu aurait • da I a E i ma: «A cause de son grave contenu et pour ne pas mclter les pays . _ dome L’histoire religieuse de la Chrétienté racontée dans la Bible est émaillée de rencontres entre icibas et l’au—dela, entre les . train d’atterrissage. Daniel dit _ • "(· _ Ull Vclll de lslllllsls V6nord, une grande nuée et ·) · Esaie mil parla dqm muage rapide», donc d’un vaisseau spatial; dans Esaie 66:15 nous lisons: cn cffcn ic Scigncmi c’est dans du feu qu’il vient, ses ehnrs paieilsaun typhon,» Et voici que Ieur apparurent Moisc ctElicVquis*enlieVlenaienl avec S°“ quatrc ätriis aspcc Z ls ik ^ clll des hommes.» (Ez. qm porte de Sodome. ll les vit, se leva ur alleräleur rencontre et se prggterna face contreterre.» Il leur parla et les invita dans son O accueillante demeure. Eux aussi lui rendirent un service: ils lui comme comme sauverent la vie! Car ces deux (Ap. St-Jean la «Je vis Cpnsuitei Comme parlalt il men {ils bienma favclllä 1:4). dome alors que Loth était assis ä etres lui. (.V...) encore, voici qu’une nuée lumi~ neuse les prit sous son ombre, et ’une voix descendit de la voi i al irc le soleil, vétemcnts dcvirlrcnt Ct Ses éblouissants comme la lumiere. _ En comme sage yggplendlt du un fall l¤lg¤r¤¤l_<?t» autoun unc Clima cn Son m‘h°u' cqmmc up etmcellement de vermeil au mihw du fe": nait • V · _ . a toute aimé, un(i1utrelAnge, écoutez-le.» (Matth. 17:1). comme de l’espace savaient que So un char volant. «(. . .) Vonci qu un char de feu et des chevaux de feu les separerent l’un de l‘autre; Elie monta au ciel dans la tempéte.» jambes des colonnes de feu.» Le «visage a de Savoir ccci lorsq u,(m iii q ué (ICS océans CIIVHIIISSGHL d€S PHTIIGS iobc ue des cmiércs du . l hOmmes élésq brutale- lls? ml d e" l°lls· dll lle vraiment avoir envie que ce secretscildévcilés il Nölls l'¢Vl€lldl9lls ¢ll é löl slll l¢ lfülsléllls secret de Flllllllll dlllls le prochain numero du «Journal Franz Vlleber».V lséyélons SlITlqC· U' mdlll qll ll d llalla l avcllll de vrait plus gone auxt exlraterrersi WS, Car ¢s ßllll soll lll liés. Et si nous publiorls le present amcl°· C cqt lustclilcnétpalcc qui lH3Hlté. lit Elle disparut sur Hlltä- bfls tant le poids d’une charge invisi- qu’il ät? ble. Outre les paroles de Lucia, les gens entendirent pres du rouvre un bruit ggmblablg ä un chuchgtgment ou ä un vrombissement d’a— ” A la fin de l’apparition, un beille. fort bruit se fit entendre, que les personnes présentes comparerent ä la détonation d’une fusée, et Lucia cria: «Ca y est, elle s'en va!» Et ceux qui l’entouraient virent un joli nuage blanc s'élever au-dessus de l’arbre et repartir vers l’est. La cime en éventail de l’arbre se pencha également vers l’est comme s‘il avait été effleuré. Les branches resterent ainsi pendant encore des heures avant de revenir lentement dans Ieur position normale. · . V_ i, V __ " ·· V sl}ll‘ llldllls en llommcs lll ¤¢ Pas que tout cela? Ouoi une chose est remarPape Jcllll XXIII ll éls soit, qllllbl€~ _l-9 PF¢ml¢F l¢ Valsllls de le les Poßl s emgllfxguéäißdfgäligß . ' ‘ lällmq ¢la€¢· Ellcdlc llll lllllc llllß Vlllgllllsalldll dss fol. Il_S’¤8ll . kfw? _ ll 9 Pas est ll de (2 Rois 2:11). la lu _ C6 sallßll _ _ llllldllld lllll sQllP99lllll{ Insanités ~"’”l li sollt m¢lll» dl C9 Plll E , i _ O le soleil et les le soleil» est dll afll0llS— Plfsddccsseuls Sllldq llollc de ${1lHl Plerre eH_0Ht retägellne veri lllss Egläixaxälgllasélrgslléwigslliläil c escen re u cie enveloppé d’une nuée, un arc-en-ciel au-dessus de la téte, le visage puissant, 10:1). 3 ccllalllcs Cdlllmlllllsllss lcsalmetélscrlg O «Six lours apres, Jesus prend av cc lul Plelqg , Jag ues g[ Jgan qx 1 V V son frere, et les emmene al ecart, sur une haute montagne. Et il fut transfiguré devant eux: son vi_ V _ . _ tions les plus intéresssantes: ' • allaient étre _ de l‘espace apparaissent la du temps au coucher du soleil, de nuit ou au lever du soleil. Voici un apercu des men- J miere qui sortait du vaisseau et les «jambes comme des colonnes de feu» sont manifestement le et V étres J Gomorrhe détruites (Gen. 19:1). mic lqmgc Gabriel est im homme (Dani 9:21): «(_ _) Qmmd , Gabricp cm homme (_ _)V S approcha de mm (_ _) au moment de lbblalion du soir), hommes et des étres célestes. Les plupart une ques- ainsi ä tion sur le troisieme secret de Fati- ä lldlljllld llPPl¢lldl’¢ ld COIIICIILI dll UOISIÖITIC SCCI'€I (IC llmß· Ell sllsll 1959 Wall ll Y¢Qll F8l‘>¤ llllß lslllß dll ¢OllV§lll dl? Cülmblß- dll Pdllllgali éclllc Plll Sfßllf Mana Bl¢lls¢ lllll de l«ll¢lß Vlßrgs l¢ll‘ dos §alll9s» aVal_l Yll la aPPl=llalll¢- avant SH H1Q¤°!„ Cß PaP° alldlsllss PllVé¢ lldlll C¢ll¢ l-ll¢l¤- ¤llll¢l9ls» sdlls _l° lldlll lllvllll Alllélldalll dll llll de Gsdlgs Adalllsld Olll Le Cdlllllslslll d 0VNl le élllll‘¢¢? Vplqs lséldbrs all m°lld°· Ulldlllllls qlll dlsllll avdll Vdlé dalls llll Vals‘ seall slmlllll ds Vélllls- · · >l<>l<>l< ·‘ La V bon ;_ dame, belle étre stellaire la «sainte», le Marie avait re- . Dans “°"° lmrcham Pumélim_ dqriuer sa ut (V gagné dans son céleste vaisseau l’aimab|c paysagc d—im Spalial ·‘ mcrvcillcux univers- Cclui. Oü vi_ vent des etres de lumiere tres évolués, bons et remplis d‘am0ur. Celui des étoiles qui, la nuit, nous envoient leur douce lumiere. Le 13 juillet, la belle dame est revenue pour mettre les hommes en garde. Avec trois secrets. Le 13 octobre, la «Ra„¤ des cieux» rat presque tombcr du cid cc qui était V V _. _. ' , |l.,.. ill ’’‘ sg?~V ·· Q V er |e|l? 3;| ·V E i|l? . i .V JZ-._s/(el __ V. V .‘ : ViV_|V:.|.V li ° ‘ " V =:a.|V| ' l le S0lCll i ° ° il| ‘ ·|. V| |-=-=·· :,: lité _ ·^ V| V — _ _ hommes, CH bien sür un OVNI; n’a toujours pas trolslémc · . dame ' les Le Pape V|V l .t pO\.l1' Une sorte d’0VNI au-dessus de la scéne du baptéme de Jésus: le tableau du pginrrg Aer: de Gelder momre unc soucoupe de couleur vcrte portant une colombc en son milzeu et envoyam des rayons dc lumrérc ä Venfam Jésu,g_ Cg mblgau date de la dwxlémé mvitié du 176 siécle. en qu I-évélé aurait du le falre 1960 Sur I”0rdrc dc Lucia, J can- Paul II se d une tait comme seule Ces illustntlons sont cxtruites des ouvmges “'l“""‘? _ _ h iffjfjj C„,„;l,,„„„„, K„„;,;„,.v„l„g„ M„„;c;, All» (ler visiteurs de — «Be;u6her aus dem — «Was gesciirah bei Fa!ima?» (que s‘est-il passé ä Fa1ima?), article publié dans la revue «UFO-Il/uchrichremno 98/1964, Vent- la-Verlag Wresbuden — «En el m V Sternschl cm des an es en vaisäazainlcrslellairegä Gioigio Dibgtomo, Vgn[g[-Vgr[gg Wfggbadgn — «Ccles!ial Raiso (élévariou céleste), Natu- _ Jh: Hmm ol-Lords UFO Dgbmm Lord ses prédéfois, lors V visite Fßtllllß ei le Jllgelflßllq ll Une cesseurs. hqmamté. Le troisieme secret e l’é3- · alors I ä Fulda en 1980, des sources religieuses affirment qu’il C;„,,„„,,yV Book.; OW, Head p,„,;p,„,„cl,, 34 . N"2 Joumal Franz Weber sep:./oct./Nov. 1987 · I . faux. Premierement, les chevaux ne peuvent attraper ces maladies. · Deuxiemement, ils transmettent des maladies en général uniquement lorsqu’ils vivent tous dans un espace extremement restreint. Ce — I ' · . '°| |"“| de Cl'lBVH X COI1(l6mI'I€S étendues désolées et vides d’animaux du nord de l’Australie. O Les fermiers australiens, ces ti- _ ' V lerésegtées par lestfärmllirs ¤¤St¤r=¤— ren es en enlens ui vou ai Le 22 juin 1987, la «Cour Internationale de Justice des · r · „ - Allllllal**· Plcsldés Pal Flallz W°l’°l» 9 l°‘ Dldlls de l COIIHU le gOl1V€I°I1€m€IlI 2lllStI'Elll€Il COLlp21bl€ (lll IHBSSHcre brutal de centaines de milliers de chevaux. Le ver„ , Pl°l°s‘ dlcl cdllsllllls l¢1>¤¤¤l<l¤_d<=r>==¤¤d lllls lllllldll de dre et ieprises avec cnmpnisanee par le gouvemement ne sont que t8tlOI1 Cl3l’lS le mOIlde entier C0l1II'e l°eXteI‘mlI13ti01’l (IGS chevaux Sauvagcs d’AuStralic• Chacun savait dans quoi Et pourtant geait. il s’enga- s’écroulent et ment se lls belé lorsqu’1ls y sont poussés par les hommes.» _;| =2;£]¢‘ j§§€‘§l;i§g;;¥äE; V V, V l V V VV,.| ,, , mm vidéo Sur les, , epouvantables massacres de chVe- |V. 22 mois qui viennent de »· S eCOUleI', 22ÜÜÜ chevaux au moins ont été pris en chasse dans la steppe par les hélicopteres ‘ les airs. Gazer coup de fusil depuis plupart des animaux La humaing de ghz porfoites, fonctigrmaritbigri er ime morr yapidg er Le gouvemement organise des prggygmmgg spéciaux pguy former [es hommes chgygés dg sure. cette täche,» Je vous prie dg me paydgnngy ces phrase; h0rribIg_g_ Elles rrom lm Sbirv Pas élé PV0"0”¢'颒s nazi. Ces monstruosités ont pour ce qui est de Ieur sens, tirégs de la lettre d’un représentant PW «l>@ir¤rrrr··rr·r tries ülrrbrrra- Elles Que tous les hommes qui ont atroce me pardonnent. Pourtant ces deux actions vienMEN! de la mémc dégénération d’une cspéce qui, bien souvent, ne devrait plus avoir le droit de se aussi ii row l’homme C'€Sl lächeté lllüß toute Sl! L’h0mm¢, ti0n». 0 d”ub0t°d C8 que l’on uppcllc chez l’homme «l’instincttmirnal» et qui représenre une offense mfame pour twsiparcnts les animaux. Aucun animal ne rue pour dßuxlémßmfufr C8 qué l’0tl pourruit uppeler le «robot dans I’hommc». Non moins maull ,V _ Y V entre l’homme et le cheval. L’une d’entre elles est qu’un chcval ne dicterait jamais de telles phrases. Pcut-étre est-ce manquer de rss- |s, V , qu’un numéro de dossier ur mOmS Vül-Y lll vine n’est ricn dc plus qu’un réSßüu inextricable d’éléments per- | turbatcurs enchevétrés dont la Y meilleure fagon de se débarrasser est l’emploi dc la violencc. .. pour rr ¤h¢r¤l» ’|1| Q;|;|j{,fj;V ,j’g;|fQ;l _V V_fi *1 ‘i|j|Qi¥i;| ¥ ct le perturbateurs. Sa lettre en témoignc: Fertscmblc de la merveilleuse et magnifique création di- premier, seulement plus adapté ä la société. Cc sont tous les quelques scnsations d’excitation. ,5 l l V???¥EQ_j§Ül§Eä§**l W encore Ic roi de ShakesRichard lll l’¤¤r¤lr autrc idée: enlcvorts ti ces foncdisait |V ’|'|’°‘‘ l |ff |'l|l|Ä?|‘,VVVV.V:V| Q|;f§*=?’|.|**"'; VV |Q§§;;;|éé tionnaires leurs voitures, leurs mulsons, ptlrcines, leur leurs ‘ j V Dépostmsles, seuls, dans les étendues désolées, interminables, inhvspitaliéres et r l brülantcs du Mrd dr l’·‘l¤¤lr¤ll¢‘- Eß P<r“rS“r· _.V.,=;|i1| , vivre, ne Ieur donnons qu’un che- Et nous verrons bien si l’élément pcnurbateur nc dcviendra pas incroyablement vite un étre Ursula Spielmann sacré . . val. V |, ~ |;|;|;|i|;;;|r°V;Z|;I;f|;|é|;i|.|„V„ Une épouvantc qui se répéte ti des milliers de reprises chaque année: un tircur d’élitc australien achéve ä quelques métres . nombreäcinq chijfrcs d’éIémcnts dutlgéréux que le pré-2 si‘”’‘’'’ existe des dijfférences V | Ainsi, pour ce fonctionnaire ministériel australien, des dizaines de milliers de chevaux ne sont-ils nécrophilic. sa «l’apogée de la créa-V ct Par héliwptérv qui vw été sentés comme une action d’humanité dans des mots si propres ct Complaisants. |=» n’esi‘ australien de rw V homllnes Äiqjitt Ia vg ;empZe ue e c 1 res ot c num ros e dossiers. Qui, au cours de longues années empoussiérécs, sont devenus eux-mémcs depuis longtcmps des machines de bureau. Des boulimiques de papier pour qui les étres vivants ne sont plus que des numéros, des choses, au mieux de Ia «v€rmln6». . qualifier d’ «humaine». été.,Q| moins révoltantes si je il ,VV riant gluqun animal nqlferait ru er une mouc e a a ef?amme d’un briquet. Aucun animal nc monterait dans un hélicoptérc pour abattre au hasard et en masse d’autrcs animaux qui nc le menacent en aucunefaqon etqu’il n’est pas contraint de tuer pour sa propre survic. vous dévoile qu’il ne s’agit pas=**·‘‘ d’hommes et de chambres ti gaz rrwß dr chrvauxrr de ma-wcres Certes, V VV Of Primary and Encrgy» tront guére V Internationale de Justice des Droits de l’Animal» siége ti Genéve. Franz Weber recueillc par téléphonc de témoignagc de la représcntante de la sociétéprotcctricc des animaux australiennc SueAm0ld. perdu des parents d’une maniere ll VV |V| La «Cour des de l’Animal a Geneve de démontrer que les justifications dul”” , V gi 'Droits zic. V ‘ g, · Cour n’a pas été diffieile ä la Internationale de Justice Il son entre l’Australie et les pratiques horribles de l’Allemagne na- it |Vi V, du quolldlcll Siié V,.,,, V "• ‘==· ·=_«·|2<= |,| .. pect que d’établir une comparai- yogii toutefois dg faire gffgctugr eene opgrnrioh par des personnes big}; for-mégg gt compétentesi dans des chambygsä garantiysgnt |,,| ‘ § sg V mo- mer des cenroings dg milliers d’hommes riipidgmenr er gjfcacgment_ Ajin d’étrg aussi humain que possible, V suppri- est Vmanifestement Ia niere Ia plus V S3UVHgeS"‘ l.^“S“al‘°· les et abattus a perdues et grillees par le soleil dn nord de l‘Australie, les tueries de chevaux apponcm um iouchc bienvenue dexcitation a la mom- V VV V. |V "VV i ‘·‘·=t|==" · |‘lEÄEEEl€ÄEÄE§€lElll‘iI§.;:-._|'·§5EgE§E§E§E§*| lsrwlsrs <l=S résl¤¤S dans en jenem éventuelledans des clötures de fil bar- jamais. 3,6 donnés par le troupeau fuyant, dans des douleurs interminables. (Voir notre article dans le Journal Franz Weber No 1.) · dalls l° “‘?’d ll? lgs l c’est l’horreur qui se lisait sur les visages de la centaine d’invités qui, ce lundi matin-lä, venaient de voir dans la Gcnévw im =¤ffl_¤;l1<=¤¤ V<l¤¤ rr aban- crevent, effrénés- igfllüclglghglzzlidifglgéß suici : « are ns , ermie s les chevaux sanvages nansmer traient ä leur cheptel les maladies redoutées que sont la tuberculose et la brucellose. Rien n’est plus - - - - riiurs c evaux sauva es 1 men esc tures éngees äggraliid nene pour le bétail. Faux. L’éco-sociologue is- un chcval déjä touché. . Jgumal Fygnz Weber |P N°2 · Sept./Oct./Nov. 1987 |r‘ Méme l’argument selon lequel . I chevaux retireraient le maigfe foumgc de la bouchc du bétan nc résiste pas: il y a seulement cent ä chevaux contre trois millions de tétes de bétßil- L¢ VO· lume de fowagß <l¤¢ cc les |ii |Q V| I-es ’ ·- |‘j. ., ‘ F| E;Eäääjä;E;E;$E¥E=E$$fZ·¥·**:EiEE€:§*=€=£;E¤E¤i§E3E3E;E55;&E;E;E5E;E |._g,|I._>| =: =S* [signi complétemcm lp „ if |-‘”|” iant. ‘|‘=‘ *¥% - . Vu le faible nombre des réserves deau apparait lui aussi comme tout a fait ridicule. Mals Q|; l i; E ’ ” ‘ ¤¤¤“lb“°bl°’·· 7 Au cours des débats de la Cour E de Justice, Franz Weber, Président de cette Cour, a établi une liaison telephonique avec Sydney afin de donner également la parole a la protectrice des IIIÜMIUX Sue Amold. «Les fermiers austreliens expriment dans les massacres 6 Ä I leurs instincts sadiques» a-t-elle indignée. «C’est une forme de Vietnam. oe qui ue passe la-bas quotidiennement. Le massacre de juments plcincs, en parti¢“ll¢¤’• Pl’¤¢l1F¢ ä ¢¢S b0¤'lm¢S lm plaisir immonde. Chaque membre du gouvemement est au eourant de ces faits. L’oppositionaenvoye des messages de protestation a chacun des membres du gouvemement — ils sont tous restes sans réponse. Notre gouvemement a une plÖtl'C— l'épllt3[l0I'l Cl] Ulatlél? de deelare 5. — P a. 5 * l ’ ‘ . Ä ·~ : ~ _ ‘ g * j „ protection des animaux. Une seule chose l’intéresse: l’exploitation a tout prix, ce qui, entretemps, est devenu une menace pour l‘ensemble de la faune australienne, unique en son genre: 21 millions de kangourous ont été massacres, le koala sera bientöt exterminé, et les animaux sauvages et les oiseaux sont empoisonnes par les produits chimiques.» 15 heures, apres des debats de l gi u heures, Franz Weber lit älllaines velx le verdict de Ia V A j Q Il Ä Con; de gouvemement Justice: les membres dll australien sont re- tnuustmllende ‘l"“°‘ll""'l"‘ l'“0'l¤lllW•« •u¤«•••ul•p¤¤« r•«„••„a•„„ y¤••d•p¤tl••l•s y•uxd¤asI'•ll¤lr• ¤usrr¤ll•n•tprlndp¤lr•sp••¤¤b|• i|•s¤l¤mol•s. Y ‘ I N I puysun uustrulien r ¤u•|l•m•n| tués, ßupremonqul ¤•l„«ue«i•,n•«u•«„a•«••«• •„p•«r¤•¤«a«„ wmmmam- Ü du II I pogmsdomassu- M pwaüßw du ama". " * lls sont reconnus coupables de refuser systématiquement les solutions proposées par les organisations de protection animale et L°8C¢¤S3Ü0¤ ¢0¤!¤°¢ ml¤l$¢Y¢ le R¤b¢¤ Hawkc. Premier les ml- John Kerin, Joh BjelkeP¢¥¢f$0¤„ Steven Hßltvn et le president de la Federation natio¤¤l¤ d¢$ f¢l‘ml¢l’S- Jan Melßnistres chlan, est maintenue. lls sont tous reconnus rcsponsables de la situation tragique des chevaux australiens. Robert Hawkeen tant que Premie! mlnlstre de S0¤ PGYS porte lß plus grande l‘eSp0nS3bili!é dans le genocide des chevaux australiens. Plus encore que les autres aceusés, il est l’eO0nnU coupable de temir par son eomportement l‘i— mage de l’Australie'devant l’opinion publique mondiale, laissant üppüfüilfe SBS ¢0¤¢lt¤Y¢nS comme un peuple de barbares, de sadiques et de sauvages. MM. Hawke, Kerin, Hatton et Bjelke-Peterson sont reconnus coupables de ne pas remplir les obligations que Ieur imposent leurs hautes fonctions en matiere de protection animale. lls SOIH l'¢· par des experts pour résoudre dignement l‘éventuel probleme des chevaux sauvages. Jan McLachlan, president de la Federation nationale des farmers, est reconnu coupable de promou· voir activement les massacres de chevaux sauvages par tir d‘heIicopteres. ll est reconnu coupable de fa- voriser des cruautes innommables envers les chevaux australiens et de stimuler ainsi les instincts les plus primitifs de ses concitoyens. En outre, Ia Cour dénonce les cheval étant une espece animale superieure et considére comme ami de l’homme depuis des temps immémoriaux. C’est dans cet esprit que la Cour estime que manger du cheval confine en quelque sorteadu cannibalisme. La Cour demande au Gouvernement australien d'arreter toute procedure tendant a legaliser les massacres de chevaux, que ce soit par tir d‘helicoptere ou par d'autres methodes, mais au contraire de créer une legislation qui enleve aux chevaux sauvagesle statut de vermine pour les mettre sous protection. La Cour ment Gouverneimme- invite le australien ä ouvrir pays importateurs de viande de cheval venant d’Australie, notamment la France, la Belgique, l'ltalie et le Japon, pays qui se rendent ainsi eomplices des massacres de chevaux. La Cour dénonce également diatement un dialogue constructif avec les organisations de defense animale en vue de trouver et d’appliquer sans délai des solu- de nourriture pour teressés, la regulation des nais- ‘ l’industrie chiens et chats qui contribue a l’extermination de la faune sauvage, dans le cas precis: des che- vaux australiens. La Cour dénoncg dg manjégß génerale la consommation de viande de cheval comme con- t tions telles que la creation de reserves, l‘adoption de chevaux par les Aborigenes et par d’autres in- sances, etc. ·" l Pour terminer, la Cour lance un pressant appel a la CE pour qu’elle interdise l’importation de yjandg de ghgya| gn prgygnancg d‘Australie, tant que les mesures mentionnées ci-dessus ne seront eonnus coupables de compromettre la suwie des chevaux sauvages, patrimoine de l'Australie damnable sur le plan éthique, le pas appliquées. et espece animale hautement évoluée, en les déclarant «vermine ä Geneve,·22juin 1987 extermmer». Cour lutemationale de Justice des Droits de |’Animal ‘ ment australien des solutions sur fagon dont le nombre des chevaux sauvages pourrart étre stabilisé sans sacritier des animaux: au la moye: dt; iq vas;ctomieI(stérilisation ¢S ta OHS OU en eur attri- buantdes réserves spéciales. ,En!F¢—!¢n1PS, une Vägl-\€ de protestations se répand dans le _ lannlqlfqs atl g0\1V¢1’¤¢· lsstlnvtiux sont . I membres dll ]¤¤’Y ne 5’entiennentpaSädCS c¤ndam— animaux pmposent I° du monde entlefl nation; pnres et simples. Les ¢X· pms gn mntiére de protection des President dela Nüllßßül F¤¤¤•¤ eonnus coupables du génoeide d¢=S chevaux, Tqutefgig, les l•rsen,Pmnlor |I|ni!|r••ndl•l · des Etats australiens concernes eux-m¢ln¢S ¢S! aussi l8“°bl° ‘l“° l’on peut s’imaginer! non ment ils ne font rien pour mettre un terme a cette boucherie perpetfée dünß l°¤¤'i¢l’¢‘PaY$· “°"· mals P¤*"d°““$ le mawhél lls folmcm encore des tireurs d’élite et les ¤¢h¢ml¤¢¤* ¢¤ h¢ll°°P‘¢'° V°V$ ks lieux du massacre aux frais des l. Jun Macluchlan, M"' I - Slr Joh B|eIlre-Pg- s'°"°"* "°"°"· ouvcrnemcnt fcrmc les eillxg ualitie les chevaux de d Qt prend des mcsms · pour Iegaliser le soutlen de lEtat au massacre de ces animaux innocents. Le röle des gouvernements ? »‘ |j_ „. ~r. · Ä L _ |··| vaux sauvages, le reproche selon lequel les chevaux menacent les _, *2i:;·|‘| .§i§äif |Te Ö Des députés amérieains et briVßülßm Pl°¢SenteI des Pf0P¤Sltl0nS en vue de mettre ljembafßü $¤f_leS pf0dllltS australl€¤$, en partlculier Ia viande de ¢h¢V¤l- I Le député conservateur britannique Harry_Greenway adéjä présente le 13 juillet a la Chambre des Communes une motion qui «bläme» laiprataque «barbare» du massacre es c evaux au mg en dfhelicopteres et exhene le glsuvemement britannique a exiger du Premier ministre australien l’arrét immédiat de ce «génocide criminel». La motion a été transmise, O Linda Eastman, femme de l’ex«Beatle» Paul McCartney a Vintention, elle aussi, de se lancer dans une bataille mediatique en faveur des chevaux australiens. O Et la Reine d'Ang|eterre elle- méme aurait Vintention d’intercéder pour ses animaux préférés lors de sa prochaine visite en Australie en 1988. L In wllulrorutlon ¤v•¢d•s•xp•m lumpis, angluls, Ilßwtllß at lsméllnns, du lnlmoux elchmn “g„•||·„„ng, pw; |„ dmgn; les Nations mu"'., Ulllu {Mum, un Wggm d, mund. du Mmumu mn uuhmm dnmumuh NM Ih W. üuqn pwrmml MI, I •' um r "\ ‘ ‘ *l‘Ar¤ •" «- I, · · · i l -|_ I ,I fr I g .) _· I ,_ II _ l‘ i II| ..~°'| felix: "V•‘If .— l I {E rs ~• I!' |II ° | • "L täßwlil I ar. II l' · {J • l t r r I I "I~ ·‘ _I s _ . rß I Ä " ' lüsr °' I. I_, 1 Ö; — gg · 0 gr Ii · ä l ~ r in- sl .| II ? E IT · är. ii e im dä * i= ’ *‘ · ga e F P I ll |i°‘ *1 ll ‘ ·¤ 5 I y 1 ' II,-..„....... ‘ . . · ‘l···~·«·¥ l I I *~• i ‘ i !’ ‘* _ ‘ ‘. - .4 I *’%"ll‘Ä ’ II I |II II · lll. ‘t i l er · —I | . I I I · _ _ _I ‘F rf ^‘ ‘ ·‘ __.| I v ws? ‘ f ·. ’t»I„_I-I_ ·r* . l ·‘ I -| ···¤ „«— er| an “= ww; „I;; *3 li\*Ä'€€‘l‘”a l ;,„II„.t. ,„; ¤— _ I - — nr" rt| ': " rk ·‘ „„ i‘ S I „· ·I izäléäl Iai. ·;; il :r i: ·. ‘“ "| Il'] . lr rr *· g ' -2211äl an ,.‘” .· r '~ I ,;;:1 l |lg ‘ |,_| i ·| · ‘ I '° ” ‘¢ r · -t‘ • eg ~ I I “ ‘ l · _ „- ' ¢??€l .i„•·· ' AT «- ,‘· ' l Jiljlaglß .' ., _ _ I Mi „)* >„ . I I · 9; » - ·= la- 1,..3 ' · • " ·” I H Ii. W · ~¤. I ”‘ tl], ,g~ ·4 r _ » „.„,;I V · ,«t, ;-.••‘ j' ,_ I; l _ Leluxc rfexclutpas de sesenrirresponsable de notre Khan. cnvironnemcnt.Calherin6Aga ·“ ' I , 1,I~ri>| I, IQ., , . |Ü I ,{ 4 I I II ]I' II:fr e IIS PIIIICESSB t|e I| ·l »'· «verte»|~· ” · I II I · ~ „ I _ I I I II ·^.'*-.|. A M1 de {Ii "· • ” ~ E ‘ I . ng I| I ‘ tl „ I , °= |re Catherine Aga Khan est conséquente avec elle-meme depuis 15 ans. lusque sur sa table: elle est végétarienne Weber. ä Elle a bien voulu dévoiler deux recettes Judith . „ "I g ÜI I _ , E Elle se bat contre la v1v1sect1on, contre le port de la fourrure, contre les centrales nucléaires. La princesse „ 'V ¢~ .r_,- / i| v . l· · ‘-— ;_,, • · ~;-in-„.t„ I _I ‘, =¤ I ‘ ’ *“ 1 Z IIII I · III»’ Un petit chemin tranquille et dis- cret ä travers des jardins automnaux,le scintillement bleuté du lac de Geneve derriere des troncs anccstraux, un lourd portail de fer, grand ouvert, qui laisse percevoir chäteau, des génies serviables de la porte d’er1tree, préts ä bondir pour vous aider ä vous débarrasser de vos manle tiges pres teaux, sacs et serviettes et qui, avec une discretion inimitable, nous guideront ä l’interieur de la maison. Nous sommes les hötes du prince et de la princesse Aga Khan. Nous sommes en 1977, en pleine campagne contre le massacre des phoques_. L’accueil, en-haut, dans les salons de recéption, est chaleureux. Saddnidin Aga Khan, mince, vif, souple, que son épouse Catherine appelle affectueusement «Sadri», vient au devant de nous avec cette gaieté simple et chaleureuse qui met tout de suite l’invite a l’aise. Il rp est flanqué de deux gros chiens bergers hirsutes gris-brun qui ne le quittent pas. lls fixent a chaque instant leur maitre de Ieur regard Leur échine herissee attentif. l’écrisse bel et bien de mefiance ä gard de tout inconnu. Catherine se detache, majestueuse, sur le fond du somptueux salon rouge. On entend fuser des discussions la piece adjacente oü servi l’apéritif. Il ne s’agit animées de est pourtant pas de discours mondains ll est question de la lenteur desespérante du gouvemement britannique ä adopter des mesures visant ä une meilleure et blases. protection des animaux de laboratoire. ll est question de l’énergie nucléaire et du plutonium ainsi que de ses consequences pour notre societé. Il est question des possibilites qui existent, au Tiers Monde, d’utiliser la force des animaux domestiques - en les respec— plutöt que tant et en les aimant I I I “"····—l kv I‘\ — bl · mlassa _ I „ 14.~».—: ar; · écoment en faveur du mouvcmerlf liection des anim¢“x· ...rzuvrc logique etde|aP"° la motorisation et la mécanisation. Dans la salle ä manger, oü la table mains gahteee d’un blanc imma- est recouverte deIporcelaine precieuse, d’argentene scintrllante et git de cristal limpide, et oüles con- versations se sont poursurvies, un bruit soudain retentit: un aboie- ment furieux, un haletement ra- pide et des grondements sourds. Usbec a ose se glisser si pres des jambes de son maitreIqu’Arrak se sent frustré de la meilleure place aupres du siege de celui qu’il venere. La voix tranquille du prince, sa main affectueuse ont vite fait de calmerla jalousie des animaux. De leurs pas silencieux, les serviteurs, tout de noir vétus, entourent la table et servent de leurs culé un délicg apres }·aurre_ rr ga- dg la cuisine franeaise la plug deheate Lgs hötes du ehätean dg Behergve seht vgeghremeht tres gätes sur te plan cu“nair¢_ Et pounant lg prince et la princesse mangent autrgmgntr eux, Apres Vent;-ee, eomposee d’une sorte de petit; mnleanx fnnnes dgrég et crongtillants si delieieux que je ng peux pas register ä pen- de me reservir - viglant ainsi toutes les regles de l’etiquette vie Catherine et Saddrudin Aga Khan sautent, comme par hasard, tous de les mets ä base de poisson et viandeI Je n’ai pas l’audace de devisage; leurs assiettes, mais du ‘ ‘ . WBbo il""—""“' JOUlTl8IFMHZ » _ ‘ · · · ir _—I# I ‘ . . ,“ ist aqjl I I I _ Panzarottl aux champignons I ._ _ vl i Päte äcrepe: ii’ 4 teufs entiers · l · I I ”””’ "" 1 __ I I I |J- mn jl! _ I I| " w, I |I I I N I II |IIQII|I| M I|I |li 100gde farine battre ensemble 1 pincée dc Scl 4dl de lait ajouter 100gde beurre fondu ajouter V l Mi 37 N·2 sept./0ct. INov. 1987 · I' I i '>| * - — “~ Laisser reposer la päte pendant une heure E why gn gi}! i » ~ »? zi L I·‘¤?:!¢;•'?}¢:·:'l *-: F*“'“· ” ’ ‘ t 500 gde champignons de Paris coupés en deux I·7·"< émmcés La table champétre est dressée d I’ombre des arbres. l’o·:il je me rends compte que leurs legumes sont aussi ap- pretes d’une autre maniere. J adc nz P°'9°‘$» cn °(f°t· ““ pm |Q humc parfum l’entree élégant L°s mblcs °hamPétr°s‘ m°w°‘l' leusement dressées, nous attendent a lombre des arbres secu- découvrir. Qu'etait-ce? Certaine— laires. sauvag°,T ct ‘ lc lc IIII Tout cet éventail Parmesan peur-hr eeuee; 43 5'd|dg crémg Faire revenir res orgmms émrncés_ ajoutcr les Champignons et faire revenir ensemble, ajouter le vin,I le sel et le poivre. Cuire 6 min. Passer les champignons sans le tus ä la machine ä hacher. Ajouter le persil hache et du parmesan räpe. Faire des boudms avc: ra rarcm Poser. au milieu de ra crépg roulcr er coupcr cn . Mais cest surtout le secret de que je veux absolument I |Q PeF$ll» Selr P0lVFe- de soleil scintillants. Elle porte une simple robe d’été blanche et fraiche, en lm, sur laquelle elle a cnmé un palcwt de smc g“s°· am coin de |if; tm IIQOHSI de meäs, Poécr panzamtrr dcbour Sur un plar auarrr au four er saupen- res i "° “‘i?$ ro i.» s I ““ ‘°“'· me rensei Sauce: , _ _ |ii J °s al Y S ‘°“‘ u H ° U als l . Et · |’ |{— II _ " Ü I des l>8l\Z8I'Olil:bID°\1;I gcste presque lmpercepti e, a prm- arc-en-¢it5|_, cesse fait signe ä un serviteur de s’approcher; quelques instants plus tard, il depose une feuille et tiennent discretement en retrait en habit noir et gantes. lls attendent, attentifs, le signe de la maitresse rnaisanr Et jgjggggng tres ehnrement qu ils ne cralgnent pas seulement leur «Princess» mais II billet. Le ” plie le :°lQl;rp°B“}Tn‘F call ° c Cnvc' °st la mccttc des C |é q“° “?“S D°P“‘S 1; an? Et du cha" 1 Cette fois, c’est en plein été «Je comprends ce que vous voulez, retentit il y a quelques jours au telephone, la voix au timbre chaud et ä l’accent facilement re- ' «|i |ef connaissable, de la princesse C3- |ii therine.: |;€I vendredi. Venezaßellerive. Nous serons tout ä fait «between la- |IL drcs,,_ «Dejeunons ensemble r Les grandes pelouses, dans |Ä |Q, ‘ |Ä; |‘ e |II le parc du chßteau, vacillent sous Ia chaleur de midi. On entend mollter des bords du lac des éclats de rire‘d‘enfants et des aboiementsUne Petite fille joue la—bas 8*/ee lm gras chien, La nurse, tout de rose vétue, ne les quitte pas des Ye¤X I ungäuluriistwp |ii I arbres proéml- .Ig h I/ut; cidw 7; I/2 fcmcmé dl d_cau I I Faire revenir l’oignon avec l‘huile, ajouter le riz et faire revenir ensemble. Ajouter 7 ä 8 dl d‘eau, sel, cuire env. 1 h. Dans une autre casserole, faire revenir le poireau, puis les carottes, puis les cour ettes. A' outer ucl ues c. d‘eau et cuire. Quand le rizet les ll legurltes sontlcuits, es riielanger. Mettre dans un plat allant au M"? four, saupoudrer de fromäge räpe, et faire gratiner un instant ’ au four ° chaleur supérieure seulement. I I Franz Weber étiez aussi vegeta- logiques! C’est elles qui doivent recette vegetarienne pour le Jour- riens.» cxigcr du verre ä la place du plastique et du carton! Elles encore qui nal Franz Weber. C’est la princesse qui doivent insisrcr pour que les oeufs proviennent de poules en liberte! Les femmes le pourraient. . . Elles sont assez puissantesl...» pelle et qui «Pour ce qui est de notre part, il s’agit principalement de renoncer completement ä la viande et en grande partie aussi au poisson. J’ai toujours éprouvé quelque reticence ä l’egard des menus totalement végétanens.» «Alors laissezrvous conquerir par ce plat de riz sauvage et de legumes et d1tes·moice que vous en pensez dans quelques minutes. Mats n’oubl1ez pas non plus le I | · pas que vous-méme et savais l ‘ [‘°‘}s “° parmcsan r5pé g nz äuvälgc ;°‘g“°“ ac I I e¤f0lteS en eägfentjcß 2 cn carrclcts 1 * * Ru sauvagc aux Iégu Ioomes _ sur rien imposer ä nos hötes. Je ne - J y · C csi mmc S°c‘”°t· ·l° nc vcux b‘°“ Pa“Zar°m‘ __ il maison se sgmmcs lamms . Dé°| I , |I? la “V°Y°z;;E;é§n;stS‘;‘:ITI2$$2:* ” mau * ' _„I_ I du pan sauce ä ad°‘at‘°“· l°"d:ä";;“ém‘:g‘ä |Z vrai um vémablc cnc ' |Q un I_I_ , |S dirait Les bons genies de serviteur l'emp0rte_sanS . On ‘ bmlt vom de la piece tcaud argcnt I d’¢x:il! ' . ¤“¤¤¤=r un coup PH Style Pfesde mscnt quelques mots puis I| ms Faire reduire le jus des champignons, ajouter 4 ä 5 dl de creme, r les anzarotti. Avec la moitié de la sauce na l iir;Iri°Ä°élriége„eme„t dans le haut du rohr. §°§§ir le Feste de la S,y . . S<·“d¤·“· tous les convives se_mettent ä parler T dégäsägägagc dc sem IeS!§r»_ I, •‘ als e eloigne de notre theme I _ I I | er| I l ~«„I - I._ _ est tféS II II " I I_ * . t II I _I I . “ ‘ I, régumes I Z -1 IT3 I I I| lles I| ·*" ‘ ‘ ‘ P . f=¤ |_| _. "° . Iq I __ ; I I| _ I |, MIIIIIII ‘* __ ·· _; ____ I II I- rnräh Le rllsauvage n’est plus si I ä prepa- facile I I V rlta ement io ogiques 18, ¤¢ $0m Pa§ mafehé IIOII plus.» «g\h! Mais si on renonce a la c initial: la I Dällleärs tous I mais ce riz, rer?» «Rien de plus simple, vous verrez! Mais prenez donc aussi les autres recettes. Elles sont ä votre disposition.» TI ¤Z S¤¤V¤8e «Le plat de sürement pas n’est Notre discussion nous a entrainées sur un terrain qui est bien I äläef- j’ai choisi. me le rapme demande ce que l' *·, ?;·~—J‘9 SOTIS entamons lä-dessus une ·:-:-:·«·-·=·· · ;$:51::;%:Txi · ’ I I 7 Silk ‘· "€ k ~| — I '”l*·| t -| . I houettes graeieuses, égalenlefü de rose vétues, qui sont en tl'¤l¤ de | lr ;| dl’CSS¢[' lll table. Catherine _ Aga Khan Wem d’un daß devantde nous ä de T8Y0¤$ et rnordorées rfornbres l°3bl’l |I |gg a}! ‘ elame partout oü je pe¤x». expllque Catherine en lewant son vcrrc dans l€qU¢l HC pé· t¤ll¤ que de l’eau pure», ea tient alu! femmes! C’est les femmes qui dell/ent réclamcr des legumes bio•<-le le ’" i ll ··;, :,'II'•x·g·,§·:g„;_ _I’"i „:~{= I ti ?;,’~ !;Z:,{”•Q_·$$„_._.;.gg1—i§:_r·,'j-;;-:,—~ f„‘:•f·Q~::·;:;;,_, ,•;I;I;. K ··I*| _• •I• • ‘,*,’•,•T•Ü•V·°-* 8 E ¤ — • I;1$${.·§_j.·;4·§•‘ " ' Sans viande — mais quand méme un repas de prince. ' 38 N··2 - V U ’ ' d U11 comfe de b t Franz Weber larmes versées eussent desséché son corps. ll serrait avec ferveur contre sa poitrine un sac en cuir sur Iequel toutes ses pensées semblaient converger. Le passage ponctuel de ce promeneur qui indiquait par sa simple présence la cinquieme heure du s0ir,comme Veüt fait l’aiguille d’une montre, jetait sur la rue un étrange voile de méthé0l‘lC des «formes lancolie. W€b€f a écrit Ce Conte ä ,,, I age de 22 an$// ggf né /e — » 27'7' 7927 a Bale e ifétait Pag une rue deut leg P¢¤Sé¢$*> bätiments s’imposaient. Par sa paisible physionomie, composée de vieilles maasons, de pemes boutiques, de gardine remantiques aux murs éboulés, elle aurait pu trouver sa juste place é ·. |j, /•)"•.* ‘ |· · comme °pl' SOUS les j’allais le ¢ bI'3S ßl le l'ClCVH. l mots dans UHC lan- I D¢P\§¤$ d’¤¤*i’“¤ V *°“J¤¤F$ i ‘ t wur heures, lorsque en revenam de cours, Ycnjpruntais ce che- mystériwx sac de wirgwis ia charge ¤v¤<= l’i¤¤¤¤¤¤ saiis doutat. Pour vrqn il fwdrait d’¤b¤r•i qvc 1¤ man. Tout d'abord yamabuais ce malaise ä la nostalgie ambiante que devaient peut-étre distiller tous ces étrestransplantés,puis,enme concentrant davantage sur mon état 3 Sim'? qui S¤iV¤¥¤¤* le P8l’¢0\1!$ h3bitl1¢l„ l i täte Ä ‘° V ab » ,@ /_ - \ en "| /·· ,1| , ‘ ' — „ @3 ”' V O3; · |Q ¢* =·¤ · '[ Q: _ -· · °ä ,;_ ,, i rf—_| ' JP . _ e .:51 Y . —ä’-Ü"' ' T · . _ ' ‘ V je devais · <? cheveux jusqu’aux manchettes aux souliers était d’un gris éteint, avait I’allure d’un chien bat-— tu. Bien que propre, une sorte d’u· sure dormait a toute sa personne un aspect fané, comme si trop de les ‘L/ V t __„ Z ‘ V ;/L ’ ~ et _ A„ ___ _ V V _ 'ég; (5 |, i- „ , V° / ‘ '. ,» homme qui depuis g ‘ _; ” effet, cet I ti ·—— _ ine. ans ’aavec voir nettement renlärqué jusqu’alors, je le reconnus comme une impression familiere et je comprisen- t ‘ E _ · tre, avangait En V ; Ä m¢ **9*** La _ Y ‘ j 'i une silhouette voütée qui un soirse précisa: un vieillard, ä masrencpm V . .-1 al/ant, le Vißinafd IHC Cl’OiS3i[ ct (fälllé, je disüllguai \]|] d¢§§i]‘] fi()u’ ‘ ll l ! · P¤i$$¢ ¢¤_déb¤i’F¤S$¢fl¢ L¢$ J •=¤tié(¤ de- je devmais un mde fardeau dans le — l ’ 3 ¤PPi'¢$$é mf"! aim ¤5=a¤x„ ia ¤h¤i¤•= fil , wie _ Yßm I}l“§ P¢$a¤*¢~ A ma l8$$l*“d¢» des majsons, abgminabiement triste tous les soirs A cinq que Ii \' V » sgbie lui j V m¤"}¢“i' l¢ HOUS SOIIll'll¢Stous S0lld3lI'C$ Ä la fagon des maillons d’une chaine: q¤’¤¤ poids p¢¤d¤ ä i’¤¤_d¢¤ an- lesse des boutiquiers, le dessin pai- ä . 1 ’ cal Pounam, j’étais triste malgré le mouvement de la mie, la gentil- c’était l (I _ <l¤iS¢~$<{¤V¤¢¤i Fi déS¢$PéY¢- hen,-_ mon accablement. . i l étudiants noirs, professeurs hindous, peintres danois, müsiciens espagnols, danseuses égyptiennes, tout ce que le vent d’orage pousse vers Paris, egmme Vers |’i|e du bg;}- que I i _ QUC je HC COI]!l3lSS8lS PBS. SC baissa, ramassa le sac de cuir qui lui avait échappé pendant s¤_ chine, .l’essuya avec som et l’étre1gmt de “0“V¢aU ¢0mT¢ Son ¢¢“V· S°$ avaient l’éelat d’un ciel d’automnc y déferle: séminaristes chinois, * m¢ Pféßlpiiaii l¢ gllß peupie enSnt0p0}5te_ Le mgnde entier avec ses couleurs, son folklore fin ju $3118 mUl°!T]l.lI°3[lt ÖCS eeneg du Qnat-tie; Latin est, 3 eheque heure du jam, animée parun ‘ ,3| . Ilse IHC l'Cm¢l’ClCl’ ct scruta 3I1Xl¢\IS¢|!1¢l'llla Ch8I1SS¢C ¢l’l is délOU|'Il3 ä i i ‘ ¢f0iS¢F„ Ü h¢¤¤’*¤ im pavé ¢t tßmbö- J¢ „ I "’ m¢ Soir, . • • s wc cn wir ii¤prés¤é¢! H dans une modeste cité provinciale; mais l’äme d’une rue ne sort pas uniquement des pierres ou des hachaque pagsaiit qui ia [[3verse, chaque prgmeneur qui s’y attarde [ui abandonne queique ehgge de Sa prgpye esgence_ Oi', gene rue, comme ia plupart de Ü ... Ouellcs tristes réveries seme donc cc vi¤iii¤rd„ mc dis·i¢„ p¤¤r qvc ¢¤¤¤¤ ia ¤ 0 ( . Ffäfll 6 ‘ / , Joumal Franz Weber sep:./oeexuov. 1987 ‘° „JOUlTl8i FYGHZ wßbßf N°2 Sept./Oct./Nov. 1987 · parfois, s‘il relevait ses yeux du sol et s’éveiIlait de son réve, il me saluait d’une silencieuse inclinaison |{ ; Mais un jour ne parut pas. J’eus le sentiment d’un abandon. La rue, qui quelques instants plus töt,me semblaitcolorée d’une désespérance ä vif, s‘anémia de |P |f j| téte. il comme vidée de sa substance. |ii | :„ VS . . , “ °‘m“°“ mäpprät (gie mia mh an c m°““° mg; éq vim Supäfséäé bomevard bordé de manonnicrs |V, Ü| |V, |_· |V :;·;:¢V;2s%.:S;*.:2.:2ä::·:;;::*,::‘;:e iic ??ä«äi?·¥“ä" pemes secretes. Du mémséms affairécs |Q sebgusculaicmautourdcstablcsct des cha no[S a veclcurs anicrsmup R ticolores. Elles achetaient ici des HÜMV la des mms plusloindcs Sa_ lades ct dcsléguméSV Au mmcu du bmuhaha poima soudain le Cham d,Vm accbrdéonism . V| . |·| V | MV . . ljggfeggfg céägujru $51 p Lmrchanson coßnmcore |V V __| V dam les mei Par bribes dc plus cn Pms Vomla Chanson mc UVSVVVVVV puis Sucignit dansladisläncc tan: mms VV| dis que le lilsecret ma nsneae uiavait du wir düjam |J um é use Vm VV parraaremerä gccgräge avecéa rue. VOuelquVes vers de Vicagreste · · “2° ""“”°“‘ amcr ma mé' m0|l'¢¢ |er était humblc L gtmlmed laVchuredu jour ésißv wi ··¤¤¤¢~¤~·m¢¤· -- V V _ tout.» ajouta: quitta fille.» église. l long moment ä cette cérémonie: «Oui, je viens de mélanger la terre de ma patrie avec celle de Paris. Mes yeux se sont ouverts: la vérité ne connait pas de frontiéres, et les fleurs du bien poussent par- mon étonnement, VDevant V V es semaines se passerent sans queV j’eusse Voccasion de revoir Vle malheureux V émigré. souvent je Vpensais a son sac de curr,Vet le poids de la terre brune pesait aVnouveau et plus lourd que jamais sur mon cceur. es yeuit s habituerent ä lVobscunté. Au pied de lautel, de nouveau je dis- Cette oppression allart parfors jusqu’ä liangoisse. V Le pnntemps s'effaqait devant les premiers jours de l’éte. Avenues et boulevards de Paris s’empl1ssaient de l’odeur de miel et d herbes coupées que, de ci de la, V tmguai une forme, cette fois humälne et au niveau de mes épaules' Je reconnus le vieillard -„ dont j avais rnanquéVle tacite renV - dezjvous. VD abord il Vse tint recueilli, puis se mit a pner avec ferveur et avec une douleur contesupphcpnue. apres del longuäs tions, i ouvnt e sac e cuir et e vida dans ses mains. Mu par une répand la fleurVdestrIleuls,lorsque secret qui une fois deja avait guide mes pas me condutsit Va la le fil mime héaure dans la méme église. ‘y p nétrai, l’esprit léger. fraternelle Dans fraicheur. les chan pour mieux voir. Alors je crus reeonnaitre dans saV paume une transepts, les samts me contemplaient avec mdulgence. Devant la poignée de terre qu chapelle cesse et Iarmcsl il baisait sans qu il m0uxllaitV de U pmnonca d ·un mit la terre dans le sac, P§“"}““é“‘1€“‘ °§““° e se ev . comme ses de la Vierge fus V je foudroyé par la joie. Le le Vserra V ma ni présence, ni lieu de l‘accabler, lui semblaut une révé- lation! il me contempla V instant, puis dit lentement: V tout. IlVy {ln franc méeontentement bajbntjaiz ' ni, levait neux. sur (inoi » _ '| V „" jr-gg.ß (pv t · L. ,V •V„ ·· vermoulues |V |er, |Q V |2VV · |Q, ~ y donnaient profondeur de l‘église: «Jcune homme, vau; m’av¢z lermel qu'imprégnait l”0d¢Ul’ de l’encens et du bois ciré. Dans les nefs Iatérales, les ombres s’épaississaient, un vitrail entrouvert lars- Une fois un service, je ne l‘ai pas oublié. Aussi je veux vous confier ce que jamais quelqu’un sait pagger un filet de C|3fté„ {IC- compagné par lesouffledeäj3l”dl¤S |Vj j et le ehant des oiseaux que le trop longue journée de pnntemps avait déja fatigués. Je gagnai le transept dont la pé- nombre |VV silencieuse sollicitait ma eongcienee, exigeant de moi je ne sais quelle méditatwn- D¢¤X f0l$ · .· ’ · V| Ä V · —, es la · V V e ‘ ' e ·; |'¢¤d\1 d'autre n’apprendra.» Nous nous assimes „ -- ·%·- sur un banc «Je suis un émigré politique, Ma mon ,,,1,*-9.. _ V PFÖS du bénitier, fille, V Il| \ il ‘ ‘ ‘ V, lf R " ät-ga? ,„ ma surprise, me saisit par le bras et me conduisit dans ais ra'eu- viysage himi— ll \ acces. lndécis, j’ouvrisl’une d'¢ll¢S et pénetrai dans le clair-obscur so- un lombre de la nef. Sur le sol gisait, vide,abandonné,le sac de cuir. .. ‘ n ponail vétuste etdeux portes dérobées également prin- secoua rnachinalement la qui collait encore ä ses mains, me salua et disparut dans i «r=u¤¤u, Mensaeur, je ne vuuiais pas étre indiscret.» un terre V , la terre L‘homme, ue je vo - se peigmtsurdestraits.Confus, je dans parramer par laVhaine et le désespoir. J‘aime Paris, Vj‘aime le monde, et vous dont j‘ignore le nom, vous étes mon grand ami.» mon visage in- |'autel. a faire jf |V;} m’aperqut en quittant V la cxpe qui vit au-dela des ff0¤tléf€S ° et de s“°mS‘ L ?m‘?“r d°‘t.t°“tabsorber, smVon il rrsquerait de se - ll un mort, que sigmtie uneVpoignéeVde terre brune? Que signitie la haine aveugle et I amour limitéj? Une seule chose compte, ce qui ne meurt jamais. Et ce qui ne meurt pas. est partout ct dans «Devant py Couven.; je äp ponsxgs|ächcr terdit. V e message, au Le m'enveloppa d’une clair-obscur m‘appro- rrrésistible euriosite, je . , J V V j«Apres vousVavo1r quitté lautre soir, jan appns Ia mort de ma V _ - il · _ V mélangeait soi- la il s jimplorajs la madone immobile, contmuait a se taire sous ses lourdes parures. é sanetiit avec le sait les fleurs, 50 ans!. . .» llVdemeura quelques instants silencreux, absorbé par son reve, se leva sans dire un mot, alla d’un pas fatigue vers une des portes et ~ elle _ in- enfongait ses doigts dans la terre qui nourrisil gneusemeat avec le contenu de son sac de cuir. Puis il me dit, comme sij’assistais déjä depuis un Mais tandis que V animam Doucement, tention, penserai ä toi, dans la certitude que tu penseras a moi et a notre patrie chérie.» Cette motte de terre m’est plus chere que ma vie, c’est le plus précieux souvenir que ma fille pouvait me laisser. Considérez mes cheveux blancs, mon visage usé par les larmes! Quand jevous dirai que je compte a peine mais demeure indifférent aux Tout cn révam jqmcignis um mc": mde qu,un joywx marche V longue date et poursuivre une ·$i$| Ieii, chagrm jr de notre patrie. Vépour notre pays. prie Chaque soir ä l’heure qui correspond ä 5 heures en Occident, je mémc de man · V nere-la, découvraient ‘le visage sévere d’une sainte dont les yeux me jugeaientV. Etrangement impressionné, j’atteignis derriere le ·cha:ur une chapelle dédiée a la Vierge, une dame haute, inaccessible, sans äge, richement parée, avec un visage noir et fermé. Autour de l’autel des mains pieuses avaient disposé des hortensias. Je m‘agen0uillai sans bruit contre la grille du sanctuaire, attendant VquelqueVpardonVou Vla lumiere d un Vespour. Je nerajs pas venu en vain,Vcar bientot je Vme sentis accueilli dans les délices d url; autre monqei je gt évqdai de bliais rcxistcncc |ei est la terre téte et les cn news Les pétalcs blancs mb scaiem Vamöt vomgcam' mmöt lassés de lem farandolm güssant odcui äpwdoucc qui dc temps ä um boufféc aux paS_ Sams du boulcvam Mon emu Sc hmm de gomcf les charmcs frélcs de cc primcmps_éphéméuV J,ou_ |V un appel au-dessus de ma deux fois mes regards je sentis amour terrestre. a sous un vain prétexte seul éte arrétée d espionnage. Peu avant sa déportation, elle me fit adresser ce_ sac de cuir, rempli de terre brune, Un m¤SSuge s’y trouvait: «Pere, ceci visage de la madone, bien que haut et immobile, rayonnait de bonté et répandait la paix. Un homme s'activait autour des ne fus point surpris de reconnaitre en lui mon émigré. Nos rendez-vous, dus au hasard, semblaient avoir été prévus de hortensias. Je [est ainsi sortit de soir, la que l'inconnu ma vie, Mais, le rue naguere si me sembla douce et étrangement lumineuse. Les vraies amitiés, pensai-je, sont celles qui nous délivrent de nos chaines et de nos triste, intimes poisons. 40 N·2 Joumal Franz Weber · V · Sept./Oct./Nov. 1987 Suite delnpage 11 V. est en plus impossible de sauver SOH l'l0¤¤¢l1f- ·· r VVrl=~;V.._ ment un adversaire du systeme suisse qui, dans sa dépendance et son asservissement au capital, réa- (| li| , La V8 , I”ItB . VsvsyV temps normalä lesäjuges ne Iän ces mase aissent pas pren re r est tout autre J| , ds Mom trsux st ls lsgs lrrlormalsur Om déjä all pléaiabic pris S0lgllcllSc_ ment leurs informations — et n’ont jamais rien pu trouver d’anorrna1. Evsreme de que “°“» ‘l°$ PV°°é<l“l¢$ ll l¤$lY“¢ll°¤5 Le 10 avm 1986, an nry n dene que des motifs pour rejeter la denonciation de H. Z. Pourtant celui qui est dénoncé 5’appellg Franz V m°.t mc l’°" am dans dwcls °am°“S‘ l-re Pod? de Pmcédulic Péuale dß [ournent ä Vcnvcrsz Le juge dünstruetion tait souV dam r vc d dll tcls ·qbus· L ax-tlclc 1986 Franz WV sass lus paralllc le 14 avril. En cas de non, arution, il s’ex se a une ameiide ou ä une peibe d’empri- ^ *5 rr rrérrr*r· heures 15 exactement, il est devant le J'ugc d’in5truction· ou Plus preeigément devant son gubgtitut Cerrerrl Emre-rrmvr Cerrerd rr été Pillmll PFé$ld¢¤l dll Tribunal Vépode distnet de Lausanne, A ai mit encore le subordonné que, · Vdu juge d mstructton cantonal Ro- ßljre °“ bleu rurveudre · mm all fall ab"' l’i¤§rru¢ri<>¤_ erw ure l’j·€§•¤re fer den xusee en le priant d’interrompre cette mstructron pénale absurde contre L’exemple A. D. illustreV a quel pomtces plaintes sont abusives: varrr lloprrrlorl écrit ber. Car d’autres plaintes, tout aussi grotesques, parviennent en- lors de Vemission controversée «Le déü» A la television suisse romande, A. D. avait présenté contre Franz Weber une declaration d’impöts falsitiée. Cette aftirmation lui est reprochée par A. D. dans la procedure pénale B 115/ 86. Pourtant, le directeur de l’A€lcantonale ministration fiscale avait ensuite rectifié publique~ tre-temps au 34 de la rue Valentin télévision qu’il s'agissait rinent ’une allgclaration d’im ts falsifiée. Il n’y a donc pas deptiloutes a avoir sur ce qui s’est réellement passé. De plus, le juge d’instmc- ' äLausanne. presentation de demandes reconventionnelles par l’aocusé est une mauvaisc habitude tres répan· La tion savait de la bouche de l’avocat de A. D. que la Chambre d’accusation de Geneve avait confirmé la falsification de documents. due. Petit exemple: Xavier clame un A ee point, le juge vaudois doit V tout simplement attendre l’issue du proces genevois, ee qu’il nc fait pourtant pas. Le 27 juin 1986, Franz Weber V sans publlqus la plus Chaque marrclrstrc rléssrlvs large dass lss journaux spports ds l»ssu au moulln lls sss sdvsrsall.ss_ _ égiäldiänprgggggäräimlaggägggs Dss jugsmsms somrs lcsqusls lérsrrz wsbsr Pourrall rc_ rrégaslrrss courlr su mémc Trlburral s Strasbourg fédéral or, rpsrl ‘ · · ou veut · _ grariiugasdäänsnigräät de lul srmférsr uns réputstlos de ~ · citoyen doumm F? _ de V V ;V,,$,§,;§„‘§,‘§“§f,° ,9g3 “l“°l° · . de ,,,,„ Ea ° °f"“?° de l . Q forglgud, une porlanättion shetslt méc autour C .mnZ °.°r °t qu? .2ms ccnams °rg?msm°s' ägisäan ° jl‘;“fa"““,,;’ rj;°“c§ di; fl; Po rl r serait possible d'ecrh‘e un lila maniere dont les tribusur vre il naux du canton de Vaud se sont rangés aux cötes des adversaires de Franzl Weber. Cilons seulement que ques exemp es qui sont aujourd’hui encore d’actualité: O Roland Chätelain, juge d’instruction cantonal, avait diffamé Franz Weber dans la «Schweizer Illustrierte». Franz Weber porta plainte contre lui mais se montra ment de lui. räxpäs f juge cantonal iVViéron difama Franz Weber en 1982 a la té- G O Le juge cantonal Jomini, presi- y avait une fois un ecrivain soviétique qui ne supportait pas de vivre en Suisse parce que les conditions qui régnaient dans ce pays sanction disciplinaire pour l’avocat de Franz Weber. Motif: il avait rappelaient trop l’Union soviell s'appelle Alexandre Sol- du prix Nobel. regime soviétique le jénitsyne, titulaire En contraignil a émigrer. adversaire du regime. preuves: que l’on consulte les dos- fait 19*74, le Il était un La lutte que mene Franz Weber souvent de „ lévision suisse romande. _ ll tique. . ses declarations et s’excuser dent de la commission de surveiljlance des avocats, demanda una lui . finalement conciliant. Le juge d’instructi0n dut retirer publique- ll $Nl!0k@‘lIS entendu par le juge d’inStruction. Cinq mois plus tard, le20n0· vembre 1986, son avocat formule par ecrit plusieurs demandes de est .. dsmcsrsm Dans le css (ls l;-ram weber ram ss loss toujours ds_ que pour violation de la loi sur les collectes! Dans une affaire doncalaquelle 14 cantons ont refusé de donner suite! Pour un temps, le calme s’etablit autour du dossierC 135/1986. Mais pas autour de Franz We- publiquement que Théophile est escroc. Théophile porte plainte contre Xavier pour atteinte a l’honneur. Et avant que le tribunal ait eu le temps de statuer sur le fait de savoir si le titre dont Théophile a été affecte est justifie ou non, Xavier porte plainte contre Theophile pour atteinte a l’honneur parce que Théophile a ose se defendre contre les calomnies. Ainsi, non seulement la réputation de Théophile est détruite mais il lui glsrsprlss su dllllcultés la circulaire qu’il avait Franz Weber avait donc de dé- incl. cri adressée a des amis et a des bienfaiteurs, systeme. · parunau re n una. Dans ustlcevaudolse n’ads msnsr des rrrs_ sssilr couvrir la vérité, mais plutot de créer une confrontation politique. ri rauen errenser Franz Weber, iaanbin et le eine passer pour „„ m°llls Fil uu agsqrgrl Vlgrrrg fieber grand ru rr e resur e re ausu e En vain. Le 27 juin 1986, Franz Weber doit ä nouveau c0mparai— tre devant le juge. Et il est inculpe la il tructions judiciaires, mut ä derrré lui. ue igiitpgs - V · ll1¢¤! l¤¤*ll¢S_¢°¤lPl'¢¤8ll ¤'•¤l¤*¢· ' dcvlall °“ bl€ll mclll °°S Plalms ··· V °“‘ Si le juge agissait avec justiee, il h||l’b¢mV°u|Ü|° -———····—··-·‘- _;, srrerr . hoimsiual · ' tenb gomiiteniieoia Vaud. 9ü’ dsipms des annécs’ unc «coalition d Etat» femié°c°mprenant le Ministre de la justlee Leuba le rnuunn eantenn et le juge d’instruction cantonal s’acharne comm Franz weber¢ Msme la "N°“° Zlllchcl Z°‘t““$" aux .dé ur r l-bémlss nc t . · . ¢il· de u e e fidélité du eanaidut au °“ a °‘“ ° ste tant, plusFil)est currence Angele Page-Barbezat. Franz Weber. qui S’餤i¤ de beurre gräce rendu plusreurs fois a Lausame a des auditieus complere- r slvcsi Plug le V .ll‘°““°“' P'é‘°“*é°s da"? l° °““‘ ton de Vaud_· ces Messieurs se lß dm·s“s|¤n ‘ llll'l°‘ . . Avec l°$ Plallll°S P°“V all¢llll° ä p° €ll°$‘mém¢$ $0llt suite des électtons de pure forme. leur dr d°c“m°mS° · JllS°S °ll dc? mconsrstance evtV ,d°“**=· =* ¢““°'¢ ““¢ l°** Pal ‘ “" malgré · · · . er le - · Plocédule délä m°llll°mlé° °°ml'° ^· D' ä G°"°"° l’°“’ ‘a"‘“°“"°“ les ourvoir et se i§¤¤ge¤¤ iinil le ggteau dans des réunions spéciales. Les élections Mais les elieses vent eueqre plus Pe irgr ,d’rr;,·rr··¤r rr m me usllu’ aire onner une suite auit P aintes de H. Z. et E. B. · Samt'Ga" pour dlffamatlon land cnnernn, depnndesannees l’ennemi de Franz Weber. L’intermgatmw toume ä la farm · · membres Vfideles u es e ‘<·;,r· _ _ _ pllxs stes ire Vl ¢il¢¢ Val im de Fmlz w°l’°‘°· ccllcc ill"; §I.iiE’“„i322äi.E.‘°2ä„..§ - m¢ qui B' °l S°“€ °“ sennernen:. Frrrr Weber D' H' Z‘· leur e A ee i¤l·rV presque un an p us lald» le J“Sllc° "a“d°lsc llya °“°°l”° acceptéttauqune réorgrelle preuve c'est- ' , ge ¤e¤·¤i¤SV neuvgaär aussl lmqllllélé Ear. le lugc mm °°““° du choix des juges sé révele C0mm¢VUIl VI‘3l traquenard. Car buent dans la mesure du possible ä ' com meqne. reunant opposams, la pra- la les vrais tique Vg prévolt V lur pour , |Y/‘ d·=,griirV=dé¤e¤dd’¤grr=r¤r¤jer· a eureusemen ce «peu >g esV a com- V°' V Q}?| V sttsndrq iii/eber est colitvoqué E r |·| äersédes rl-oces {ie Zurlehdet en ve e que on en en e lescdosisigäcle iupiiii au momsV le df0lt ä des juges lmpartlaux et ine dépendants et ä des proces loyaux_ _ rl? notre Constitu- attribue tout V ·-l le V "| · aVrVri‘i.-iii V ue dictatures totali- les verra pour él° er arr °S m la justice |ir| |V E;| é“° ll0ll lui ui criti ruemg fever liyrre- le taures. VPourtant, gl| V. de celui que rique rl V la défllälldé pflllßlSl' Pale Soll Passée eu truction vis-a-vis it V,,,,;=l j noeuvres et refusent de dmmer suite a cesVplaintes ou attendent tout au moms pour entamer lVms- . ls gsrrdarmsrrs V ‘· VV·‘| lui involontaire- V ’ participé a une conference de presse. Ulterieurement, le Tribunal fédéral cassa ce jugement parce qu’il enfreignait le droit de l’homme a la liberté d’expression. O Pendant des années, le tribunal cantonal protégea les manigances d’un juge subalteme. Ce demier tentait effectivement de retoumer une procedure entarnee par Franz V |i Journal Franz Weber Weber cn qualité dc plaignant cn procédurc contre Franz Wcbcr. En outre, Franz Wcbcrapr0ba· blement attiré sur lui Virritation des juges vaudois avec son initia- |_ cn 1983 «Pour unc justice ä visage humain». Avcc 43 pour cent dc voix pour, cette mitiativc n’a raté son butque de peu. Pourtant, elle constitue unc décitive lancée Sion populaire incompréhcnsiblc puisque les citoycns invcstis du droit dc vote ont une fois dc plus voté contre Icurs propres droits. Lqnitiativc était dcstinée ä limi‘cr . E g de Pour Franz Wcber, alle a un Bffct boomcrangl C’est vraimcnt commc si on voules possibilités d’arbitrairc Z-| la justice vaudoise. |nä; mit |Ä lui montrer, ä qui s‘est lui cn unc sorte de combattant dc la libcrté dans le domaine du érigé |‘” |{ droit ainsi qu’cn surveillant impavidc de la bonne foi judiciaire, qui |E ticnt encore les commandcs dc ‘ Si ICS quinze autres gouvcmb ments camonaux ayant §. _ „ W gg, les _ ·‘ |g |’ Le juge jllgümßnt: Exception: grands criminels ou tmfmon Famqna „ „ ‘ est pmzs [Ü · ouvcrtcmcnt tout aussi détcnmmcs ä montrer ä Franz Weber qui commande dans le canton nie Vaud. Le juge d’instruction ct son °“" *°‘ °“Y‘° d_‘m°“q“? mamcs Jusqu au 6 J“‘“°E *987 er cofwoquc Franz Webcr a °°mPa° lusucs Pas; _ ·=S¤¤t¤g=1¤— ^¤SS¤m¤¤S¢¤¤¤=¤><_<1¤; gcmcntldans son prmcipe mcmg, au _m°‘“$ Frfmz weber P°“"‘| ma‘m°“‘m’t fmfc un Pas cn mfam i ct portcr l affairc dcyant le Tribuna! fédéml- L6 délal Pour la dc' mande constitutionncllc cxpirc le lundi 6 jumfät 1987- Cette d‘*‘ mande F°“Sm“‘i°““°"¢ n’a Pas 6 lie “ a“‘a‘¥ P°“t‘€“c Plus la charge dv d0€S‘c‘” F“}"Z w°b€¥ parcg que le Tribunal fcdéral le im cnlevé Pour ca}‘S° de Pam€‘ dans cc cas, il ne pourrait lité. PMS fw? mon"? de Sa P“‘SSa“°°· Q“atI° J°“'”s “‘fa"t €°“° F°“"°ca‘ iaitrc lg 2¢} juin 1987. Zäprés substitut n’ont pas cstimé quyil J“'“€t» était nécessaire d’env0ycr ‘l mm a a}“°ma“q}*°‘T‘°m “‘} ¢ff¤¢ S“SP¢“‘ cn P““°‘P°~ le jugcmcm °°“‘ tmvcrsé Pcut malgrc tout em? °Xé' ‘l Weber ou ponse ä mw d° Ccstsculcmcntcn réponscä unc dcmandc que le Tribunal fé- danilaqucue cc d°"“°V savoir qu; la gicmande constitutionncllc était cn instance. Oue cette demande contcnait unc WB lui faisait moins tégéphoné ou écl-it qu‘il n~é_ mit pas (yaccord avec la teneur de cmc|emc_ Ävcc Vagrcssion poiiciérc conlagqrsonncldc Fran: Wibcrflp juge 'mstruction can ona a ait lui-mémc tomber son masquc. Pour mcttrc son action cn scénc, il cnvoic ses subalterncs. Mais devant Ia presse il s’érige cnsuitc cn héros sans peur. Tandis qu’en cc matin du 30 juin, il raccrochc le téléphonc ä Pavocat dc Franz Weber, il livrc complaisammcnt des informations fausscs A la presse. «Dc l’avis du juge d’instruction, __ Les ét ' ¤ ¤ ¤ ¤ tut, pour comme pouvoir compter, si bien ancré dans ccla est Constitution fédé‘raIc,surl’égaIité dc traitement judiciaire. Le fondcmcnt dc tout procés loyal est cn fait qu’un juge prévcIa |i Lg l’une des parties nc doit pas étre chargé de Vaffairc concernec, Et, dans Vaffairc qui nous occupe, le juge d’instruction Chät¢· lain ifétait pas impartial puisque, commd nous l’avons déjä mentimmé, il avait dü, dans un procés nu contre |Q; V |ac » |\~ » |g pour lui ignominicux ct acgtqmpagné dc beaucoup de pubhcité, s’cxcuscr auprés de Franz Weber peu; avoir poné attcintc ä l’h0nneu; de cc demicr. Etant d0¤¤é qu’il est le supérieur du substitut cn cxcrcicc, on peut supposcr que sous la pression dc sdn chef, elle nc sera pas capable, elle non plus, de mcncr avec impartialité les procés de Franz Weber. Si la justice nc vcut pas sedégradcr jus- |Ä}! qwä |E |2 |=i |j |} |°— _ |gi ;_" V la farcc, le tribunal ¢&¤t0n¤l dcvrait absolumcnt donner suite ä la rcquétc de Franz Weber ct mmgmettrc lc travail ät lm in la fond les dossiers et les truitait avec unc parfaitc objccti- naissait ä plainte adrcsséc le 25 Cour suprémcidclu- chois dc partialité flagrgxntc ct dc dossier soit cnfin rctiré au juge d’instructi9n partial'Chätclain et ä son substi|ig - Dans unc nc rcnoncc pas. En préscnun rccours dc tutcllc (unc dcmande pour cxcrcicc abusif dc la function de jugc d’instruction), il tcntc dc contraindre le canton dc Vaud ä agir aussi justcmcnt que quinze autres cantons. Dc plus, SuSmcmi0nnéc_ tre cusc demande que son la lettre qui démontre que Vimportant pour I6 juge dqnstmctgon étagt bien unc démonstration dc pouvoir l0rsqu’il cnvoya chcrchcr Franz Weber chez lui par la force le 30 juin. Autrement, avant l’agression policiérc, il aurait tout au V Iais judiciaires, il ä Franz ä son avocat unc ré- Cc ‘“"“t encore S‘f“‘ déralaccordc cctcffctsuspcnsif. in- sancc du c0urricr qui icur est ° adrcssé. Pourtant ils ·étaicnt __ _ D? toute |_a|d°puis_ donc formés au mieux, cn supposant toutefois qu’ils grennent connais- Exception: Franz Weben _ d’instruction Chätclain ct son substitut étaicm dangcr dc fuite. , sanca Et c’est la raison pour laquelle unc audience du tribunal nc pouvait avoirlicu pour Vinstant. avant dc passcr ä l’exécution du nal ct I6 jugement de Franz Weber sigmfié le 4 Jum 1987. aoüt les |7 rich, l'avocat Rudolfschalicr ac— le Tribunal de district zuri- «vit¢. 4 déni dc justice. Il dénonce le fait que cc tribunal fait trainer systématiquement les procés intentés par Franz Weber ä «Trumpf Buur» (Atout) ct «Weltwoche» pour calomnie ct diffamation graves dans le but évidcnt d’atteindre ala prescription, tandis quc cc mémc tribunal s’empresse dc traitcr avec unc rapi· dité étonnantc unc contrcplainte déposéc par «Trumpf Buur» pres dc deux ans plus tard ct de condamner Franz Wcbcrlc 1987 pour calomnie ct dlffamation, alors que celui-ci nc fößait qu¢ sc défendre contre ses Cabmniatcurs. «Il s’agit Iä non $€UI€m€Ut d’un jugcmcnt crf0¤¤é»,S0u|ignc Schallcr,«mais objcctivcmcnt d’un déni dc jus*i¢¢ dans ic but dc nuire ä la b0¤¤¢ rpnomméc dc Franz Wc7_juillct bcr. Afm dc favoriser «Trumpf Buur» ct dc préscntcr sa victimc ¢¤mm¢ calomniateur, les juges SOM allés jusqu’äignorcr délibéJémcnt des pieces décisivcs du d0ssicr.» RudolfSchallcr attire cn outrc Vattcntion dc la Cour suprémc sur les «rcmplaccmcnts suspccts» de juges. les En cffct, toutes procédures concernant «Trumpf Buur» (Atout)/«WcItwoche» ont été dirigécs jusqu'cn mars 1987 par un juge qui conV En avril 1987, il est brus~ quement remplacé. Son succcs_scur est un juge dont on sait qu’il dcvra quittcr ses fonctions deux mois plus tard pour occupcr un poste dans Padministration dc Ia ville dc Zurich. Schaller posc la question dc Roland Chätclain, Varrcstation devenue nécessaire parce: que dcpuisihuit mois, le protecteur dc Vcnvironncmcnt n’avait pas réagi aux convocations ä comparaitrc ä des auditions„» Voilä la tcncur du communiqué dc l’Associatcd Press qui fut cnvoyé ä tous les journaux suisses. Comme nous Vavons vu, cela est faux. Franz Weber s’cst préscnté A deux reprises dcvant le juge. Les putrcs convocations ä si le noncé ä la suite trict. Le remplacement suspect dc juges ct le vcrdict scandalcuscment erronné du 7 juillet » était premier juge a red’une pression politique äpoursuivrc les procédurcs ou si son rcmplaccmcnt a été décidé par lc Tribunal de dissavoir ° 1987 laisscntsupposcr quele Tribunal de district a dü sc soumettre au comparaitre ont été annulécs par ' diktat dc partis politiques. l’actc de récusation. demande unc enquétc aprofondic ct un interro- Au quotidien «La Suissc», le juge Roland Chätclain a déciaré gatoirc public des juges conccrnés. Aün d’évitcr la prescription qui intcrvicndra cn juin prochain, Schaller réclame la rel prise immédiatc des procés pé- avec insolcncc que «la loi s’applique aussi ä Franz Wcbcr». Sans aucun doute, oui, mais s’ap— plique-t~cllc également ä Roland Chätclain? Franz Weber s’cst déuniqucmcnt avec des fendu Schaller naux intentés par Franz Wcbcrä i «Trumpf Buur» (Atout) ct la «Wcltwochc» dont Vinstruction est depuis longtemps terminée. Cette affairc qui a causé ct cause cncorc un tort incommensurable ä l’<:uvrc dc Franz Wcbcr,trainc depuis I’été l984! Les avocats dc «Trumpf Buur» (Atout) font tout pour attcindrc lavprcscription qui seule peut faire échap· pcr leur client ä unc condamnation ccrtainc. ~^ moyens qui sont parfaitcmcnt conformes ä la lcttrc dc la loi. Le rcproche est unc déformation tout simplement grotcsquc. En fin dc compte, Franz Weber doit, dcpuis des annécs, lutter pour que ccssc cnfin la discrimination des autorités vaudoiscs ä son égard. Et _ pour que la justice applique enfin ä son égard de la méme maniérc qu’ä celui dc tout autre les .lois n citoyen honorablc. Ursula Spielmann t jllgé I ‘” ._ ’M— juridicti0n dc protection dc Vcnvironncment cn raison de continucls déII | la tiérc tant ~ r-· vaudoise ne sc départ pas de son cntétcmcnt. Les déux dcmandcs ont été rcjctécs par le tribunal cantoP0urtHr1t, requétc cn vue de Vcffct suspcnsif. ’ Suisse cntiérc. Et il aurait bicntöt pu rcnonccr ä ses activités cn ma- A; , J mw dénonciations abusives dc H.Z. avaient réagi aussi injustcmcnt ue le canton dc Vaud, Franz Wcgg: serait soudain, sans avoir commis de föütß, impliqüé daß Q“i¤Z¢ procédures judiciaircs ä travers la Q FCHU dc Chätclain. 41 sep:./oc:./Nov. 1987 - En temps normal, les tribunaux compétcnts attßndcnt ccpcndant Vßxpiration du délai dc dcmandc d’instruction sans licns avec le bu- cuté. |·Emt_ it N°2 . . ' , 42 N°2 sep«.1oa./mv. 1987 - Joumal Franz Weber Wglzwgchg cédure judiciaire. En clairzi accusé ’ d’atteinte a l'honneur. — _ _Comme quoi des préoccupamms V°d°¤d“m¢$ P¢“"¢¤* WP"' de ngz La premiere phrase du coup de _ _ Voici un extrait de l’éditorial «Cette semaine», de la «Welt- woche» du 2 juillet 1987. «La nouvelle de l’arrestation de Franz Weber a laquelle la police du canton de Vaud vient de procé— der mardi demier devrait en fait nous comblcr. Si nous ne triomphons pas, cette nouvelle ne nous a en revanche pas surpris: Car si Franz Weber met l’appareil judi· ciaire en marche contre de préten— dus <opposants> a la moindre occa· sion, il entend sc sousrraire de maniére souveraine aux autorités chargées de Finstrucrion er de Ia justice ( )» Dommage que «Weltwoche» fois em— ployée a désinformer ses lecteurs a (vcuiucz PIQPQS dg Franz vous reporter a nos articles sur les se soit pour constituait l’article sur Franz Weber semble avoir énervé des rédacteurs de la «Weltwoche», si l’on en croit les potins de la can- tine. On a donné, selon eux, impression que désagreable la le joumal n’agit pas principalement avec la tete, mais bien davantage avec ses tripes et sa langue. Les rédacteurs avisés de la «Weltwoche» auraient peu apprécié qu’une personne gardant l’anonymat se soit permis, au nom de la interpellation. - sa Leni rédaction, d’exprimer le plaisir tout personnel de se réjouir du la tre la vérité, comme s’efforcent de bons hebdomadaires. Elle m - savoir au . goraägäzgräq äggäcscs - G. b h G',apds mauvgig gang Qn Ep win Bischof et n’est autre que l’ancien rédacteur de «Trumpt Buur» (L’Atout). Madame Robert lui reprocha encore d’étre partial dans 8aucisI pßfßßs Qaßßßs , y avait une fois un député radical au Grand Conseil bemois qui apres tout melé avec Franz Weber a une prol’affaire puisqu’il était ll , - CQ saßfé «Le poete frangais Jean Cocteau a une fois qu’il se sentait comme un jeune homme qui s’était égaré dans la vieillesse. Et il en va effectivement de m¢m¢ d¢ mei- Je ¤’¤rrivc Pßß ä l¢ ¢F°ü’¢, ¢¤Fi¢ suis !¤¤! ¤¤SSi S¤¤P|¢„ SPGFÜY ¤! dynßmiqüe Q¤°ä 30 ¤¤ 40 ¤¤$- J¤ ¤¢ vois P¢F· sonnellement aucune différence.» dit _ FFRHZ Weber 8 juillet. rée de ßl} 60 uns 27 le crtation ci-dessus est til’mterv1ew de la «Schweizer Woche»: «Etes-vous Weber?» Le 2 aout, «La Suisse, publnatt un petit hommage en l’honneur de son anmversarre sous forme de eommentaire. On pouy hre: «Lund¤ 3 aout, ll aura 60 ans», et Franz Weber de se fä· vait · , v V |Q) VL, ‘ ‘ x _ _ ' ”- • · dcs °°“$°$t°“t°S P‘°°h°$··· P""°'P°‘ PP Le député bemois qui se fait du Xeme la Rosen Grand Consch A la fin du mois dc juin ’ devant le' PIénum réuni• ue q , la gestion de l hotel étart assumee malheur des autres par un stupide picd de mz verbal causes des attaques portées eontre FW) - au lieu dTentreprendre des recherches sérieuses pour co1inai— le faire les que griffe préoccupait beaucoup du Grand Hötel Giessbach. ll craignait méme amerement que tout ne füt pas pour le mieux en ce qui concernait la surveillance exercée par la Direction cantonale de l’Instruction publique sur _|a Fondation et le fonctionnement commercial parfait de l’H6tel Giessbach. C’est pourquoi il deposa une se U Ä ' ‘ . I —^ |g, „ cry-· _; —· rf ·' * J _ , , V g , ‘ ’ -·*''| . i ° L P v $|@|4: n i P ta er '“” ‘ .... t F L e i | . „; ’ *=i:= - L P ·v'e l . „ Q q · , .—| _„ Journal Fl‘8I*Z W9b9I' 43 N·>2 - Sept./Oct./Nov. 1987 . que cher, bien l’article l’ait en ä fait *919***** **,****9 $9***9***9- . . _ *-9 C¤¤¤¤¤*¤ S9 ¤¤¤*1¤¤*•*¤¤S6*9S 9*9}*9$ 9* **9**$ *9$ 9******9$· 9$* ** 9***9***$ 99***9***9 *9999*9*** 9*** 9 -6 C i *9P9**$$9 *919*** 9*****V9*$9**9 **9 *9 . *: **9:;:9**99 |r. 99 j* |3 **9 3 9** _t*;1*9**Z6X§**9* 9V9* 9*** 9* 9**$ 9*** 9**9* ärtqavantt sonl ctnquagtenaire en a oran sur a na ssance «m¤s*q¤¤» de F- $9*;* ¤*¤¤ |y gms deux ans apres l’entrée en vigueur de la loi sur la protection des animaux, les essais autorisés sur les animaux ont pu étre réduits de 27,3 pour cent, donc de plus d’un quart! A la place, on procede do· C9 cä P9** *9*- $*9: c c* *****z_ in| 9****9* **** etc. |;_ |78 |8 _ . |· avec la conjonction Pluton, Lune et Mercure en Cancer. sextile „ „ A (C’est la fantaisie poétique.) cela an ram ajouter UH grand trigone de Fcu entre le scicu a rrcac acgrés Lion avec la conjonction Junner/Uranus cn Maison VH ä non dcgrés Béncn ct Snnnnc cn Man soo 8 un dcgré Sngntnno (@*68; lo Zorro de ponvnonnb f· · m ii} 6\ *********c**9*** 9**99*9 P***$ rité d’alimentation, cette installation solaire est comparable aux installations du réseau public. Elle foumit Véclairagc et P9 rmet d'a|5- *-·9P***$ 24028 14316 Reptiles,amphib1es 3315 Chuens 3068 Hamsters 1139 Chats 1075 965 Moutons etchevres ßovgns 959 Sm es 868 Oiseaux . . . Potäs ***9**Y**$9$ * Les les appareils ménagers courants tels que réfrigéra- menter tous teur, congélateur, appareils élecet outillage élec- troménagers trique. , ““°““ dc °°“° ‘“st?“°“q“ dähmcmatlpn cp él°c° tricité. Mis au pomt a «l Institut tie F*****c****9*_P9*** *9$ $)’$*9***9$ ** 9* **9*8*9 S¤|¤lfe», gräce a l’électrom- Hoffmann-La Roche et Sandoza Bale. ba·Geigy, plus 35 pour cent; chevaux, plus quc Purcn ‘* “c c°“S°mmc quc 7 W, lee qur ST répercute de facon mmime sur a consommation gé- · . Socsggmcllzs glalcdms Esmrgg sw- [88 animaux D9 | I auX yeux 6 |6 6 les vingg . . ., In. I ondulätcur P°“¥ es =·P¤*·¤=·*·<·¤¤ de drune • Insta atlon sa Iaua sgcondcs, un an;‘_| _ _ de ¤“=*¤··=S S=¤¤¤·¤=¤~ chercheurs ont célébré une véritable rcmiérc momnalc cn maném =· ·· Ea . . . torres expérimentaux. . ‘ Mans la chimie suisse asu faire de cette nouvelle effroyable une information positive: «Moins d’essais sur les animaux), annonqa tnompnann ment Ia presse, fin juin,conformément a Ia ligne de conduite des producteurs de pilules. 8,9 pour cent de cadavres d’animaux de cg {I |6; |*6, ‘·““~‘···=· ss . . dä c |Z ét pgrsénac 6 , Parfait, ° |L sommes-nous tentés de ° " ° ' F A ·· ·‘ — . - · ‘ |;. ·* q · - qui mdr uent une direction ré° Jbnissantg · 9*$ P***d9**9C ».In cninnc nous 6 yette de la poudre aux yeux (ce qui . Q} ·;i "| « |_ ‘ M _· 6 |g;. °*t b I · P ·| t chrmi “" r _|j - ues ‘*ui rongem ‘* -3 ’* — " - - . les Yeux 6r| |Ü °‘*’“’d . „. ·· 3| ms (mumaim q P - |* | .. des lapms). La «bonne nouvelle» cache en crrcrachx monstruosités: La recherche chimique Portant los méojoomcms peut obbn_ ··-»-- . • «— r.. cts, p . j r 6 8; ’* am ‘ . |‘ . im r R sk 8 .“ ' .t nätäoiscn ’ . . trouve a 5 kilometres envxron du p°ste d’alimentation en électricité le plus proche. Les spécialistes estiment que son raccordement au réscan annnt conté q nc}que 400000 D-Mark, alors que le nouvccrr 5YSfémß 9ui rrmasc les ccilulesphotovoltaiqucs h·cna °°mc · q oo la moitié~ Y c9***P**$ *c$ 99***$ 99 d¢v9*¤t>p¤m¤¤t- E¤¤mt>*='*¤¤* 9***** 9*9**9*** trltsation <*·=¤ P<>==**>****¢S <*’*·· de l’énergie inépuisable remmém rc animaux dans maines. Depurs . ° - *99 r P*9J9* $ 9$* **999 $*** ****9 90**- 8*99$9 ***9**9 9** en supposant que la ferme est sunout fréquentée par les ransolaire, donneurs pendant les mois d’été. *95*9 de *’9¤¤é¢„ les seuls be— soms en énergie sont ceux des cinq membres de la famille du tenan- conomiser l’énergie ont été ins- tallés. • Cc$* · 9** *9Y9** **9 ***}***9*9- 9** $9*9**» P9*’*9*** P***·$ 9**99*9***9*** **9 9 9$P9**- **9**$ *9_P9Y$989 9**9*89** 9**9 c**c9*c **9******9 9** 8*9****9 P9** tie par une technologie lourde. - . „ , B‘c** H*“§· 9cs* 9** c"c***P*9 9*** r>¤¤rr¤¤¤ etw r¤p¤S ä dcs endroits ~ - „ qw syprétemr ¤*y¤¤¤d°*¤¤¤m— -~ .. *’“’ , Mais lutihsation de lef, *’“°‘°"°‘***"*“‘? “ °“ **9*9*9 *9* ‘°‘ °?“'““"°“S *’““‘°“‘°‘ brables. *°‘ - „ — P*9"9*9*** 9** 9** 9*****$ **9_ *9 P*9* äifliä *-9 $9**9*9*99* $9*9**9 99* 99**** , eu e et· pletement intégré dans le „ |nn cquii mise au Rappeneck é [ · . 6 = ndcurgg gnuäzääéäg 2* L’instalIation solaire point pour la ferme de **9*** poärc ranäl aubcrgc . j|r Weber. «.| . ¤·= ¤<=·“·= atteint 98%. -r °°· dc $9};***;* S _ cnnßris au c sol Iréncl, um ferme dawn dn 6 |S |{6 · drutäisanon dc 6 6_ . est _ P*9****•é*9 f9****9 sur des créatures toujours plus dévcloppées. L’un des principaux |Ä Toutes E _ il extrémcment mtéressant de constater que le rendemem de cet - gcnprcndrc mgntrc éar des médicib ments toujours plus sophistiqués, qui ccrvchr ccc rcrpchmchrcrr 9 P9**d*9 ce propos, nérale d’énergie. cnc lus“:;:1ic);‘2°*g‘Ä°*;;sa‘äcp§; .6 ‘?‘“‘ $*9***9 chez Ci- trois quarts 99 L°“‘*“"*‘°“* 671 187 chevaux que jamais; ginggg, plus 18 Poor cent; chats, plus 56 pour cent (!); lapins, plus 21 pour cent; bovins, - un courant altematif de 220 V. Sur le plan de Ia qualité et de la sécu- l ***S$*>**9 wm „- Resultat: les prises foumissent 809792 5*352* R***$ sémwsements <*¤S animaux «p*¤S pr¤¢*¤=¤ de *’*¤<>mm¤» qui ~ · älnäéesson $9**9Y9$ *cc*c$ P*** dcs "**“s “*°**c*s· Fc*‘c‘° M9*$ 9*** $9 P*9999**P9 **9$ * °“ °°“"‘“‘ °"°'““‘“· éL’“° · _ S9****$ *9**9**s* „ pontmu mstallqs jusnunci que eä ‘;m°“ta%° °t ‘Ödg:° b';‘q“° °.ré' consi ra ement srm- nyOl'! 108 En 1985 on a tué dans ICS *9%*3*0**95 Suisses:* 99**P9$ 9** 9**9***9*$· c*'9****c$· _***' - cmau 0******0*H* 6 . ägääc äuxggät iläéjääignäz 1O _ . SIBIÜSÜQIIO de la 6 |· KVA est uti- · ‘é'“° {**9*** un prolongées, groupe diesel de 16 lisé en complément. 35:::/cägäaüé *=S (21-7-27)- d’intempéries ture et les animaux? de sang, des cultures de bactéries, Une fois de plus, une branche In vlsnm que dé_ dc néconomic innucmc ct tone au sormais tous les astrologues se plan ünanogor nc s‘est souvenuc metteng A eätalälir äqqgléqi-gicopc qurä In suite de prcssnms du peu$9* c asc **‘ **9 P9*** le et de l’Etat u’i| existait aussi vante, de peur qu’on ne lui attri- sos mongél-os dggnblos broobos bue un faux caractere. dc notre é8n;noo_ (I-Ycsscncc sans La pilule est d’autant plus, Plomb, los voiturcs n ontnlysoor amere que son célebre horoscope vons saluent bien!) Que fnndl.n_t_n est flamboyant: (Que les astroloonoon, ur lc lobby atom°lq o c et gues amateurs en prennent note): égoomnggq) le 27.7.27 a neuf heures du Né . · ScI9** |c$ $*9**$**9**9$· 8 «8 1*9*** matin Bale. Ascendant a 16 deccm dc ***9***$ **9 *9**89***$ ($9****$» grés Vierge en conjonction exacte *“*S· **9***$*c*$·_ c999Y9$) $9*** avec Vénus. Cette demiere en ii L b de recherche étant la psychopharmacie. Est-ce la que l’on produit les tranquillisants pour des hommes qui sont désorientés par notre maniere d’agir avec la naterrains occupc unc surface dc 40 mz ct Sa puissance est de 4 kW. Un accumulateur d‘environ 24 kWh fait office de tampon. En périodes toit. 11 energie compétitive qui ne cessera · de gagner du terram. · 44 Y · Noz-scpr./ocr.n~1cv.19s7 f Journal Franz Weber ;rut¤»sk¤******* er V _ 6 la (lll <<BllCl(>> ä Vadcna la la ****9 porteurs du virus du (*6 malll, continue ainsi: «Des hommcs d’affaires sans scrupulcs cxploltent la p€Uf QUC l€S Suisscs ont dll SIDA et réalisent unc opération gigan- Campione vendait des petits mouchoirs hygiéniques qui devaient avoir unc action efficace contre les virus du SIDA. L’Office de la santé publique met en garde contre cette -···-** SIDA omété contaminés dans des toilcttes publiqucs, chez le coiffeur, par une le6aoüt *987- tesque: une société de de Campionc petit mouchoir vante son (1) «Clcan-Aid». Cette société prérend que dix pour ccnt de tous les «Le commerce écozurant avec peur du SlDA» [*3*** _ tprotectiom qui n’en est pas une.» Dans une lettre publicitairc qui a été envoyée ä (*6 l'lOmbI°CUX maga- 6 C’cSt le tit*9 qui 98* Heinz R: Zweifel était, au début des années quatre-vingt, fournisseur die Franz Weber. Lorsque _ b3lS€1‘ Lll'1 OU la ·salive. Pour se protéger contre cette C0f1{3gl0I1, VaClCl’18 la 1'6C0m- mande ses petits mouchoirs hygiéniques qui coütent 20 francs les 40 unités. L’Office de la santé publi- que et la «AIDS—l—lilfe Schweiz» condamnent ces affirmations erronées qui figurent dans tus publicitaire de la le prospcc- Vadena SA. «Quelle que soit la substance dont cc petit mguchgir cs; imprégm-36 elle ne peut cgngtitugi- ung protcction contre parce qu~ii n’est pas possible de contracter chez lg cette maladie infectieuse coiffeur, lors d’une poignée de main, cic_„6 décrarc lg dgctgur Alicc Jqricrr de |’Officg de la santé publique, Comme cc demier n’a aucune pessibilité d”¢ng3g¢r des démarches juridiqucs cgntrg ccm; société, il fair maimcnanr unc mlsg en garde publique cqmrg des informations erronées de ce type. Voila pour le «Blick». Mais la «Neue Zürcher Zeitung», la »Basler Zeitung» et tous les autres journaux suisses ont eux aussi proféré des mises en garde contre ces scru- sans d‘affaires rchonirnes ICS commcrclalcc dc de „pr"t"l“°S 2***9**9* plus suspectes, ll Sc sépigra SUIIC (*6 C€l2l, ZWClf€l acc"? Franz Weber P*“S*9***$ reprises dans lei courrieir deslec- Pll-ls 9** A (16 lUl. dc Pratlqucs ********9*9*9$ f*****d¤l9¤ScSeifutfinalementprq- teurs ***0 9** *0**3 1*9* **9 *9 d mformateur princi- <<W9l_*W09l*9»_ P9*l*9 9 ZW9*l9l $9***9***9» [*0*** Sc***P**l€» SUV lc _; CX«CHctus de la Son coup «sans l9 SIDA. ¢ . · · ‘°'°° Y ,666666_ 6 6 6 6 66 ‘ *’“'°*” *‘cB"°k» ge. er L’homme rr:-8-«»g •—···..:·';* r"*_ .„ __„-;_„,,„ ____ /- Y . ses étayé _n| **9* Q - peuec V6| jiin;i6 ·| 99**** dcr *?¤~*’¤¤*~ Umwelt- von ner **0*** sehutaer Franz Weber elle tirait ses informations gegen wr *9 vrvtsc[eur de l°€IlVll'0l\|lCm€Ilt! ~~ uri, cinonigi-icizwoii·ois_ 6 99**** 66icu f;***;¢ggicn&g~ . FTBHZ W9b9*• skur- ugs! in| contre articles _t 6 * qui fait des af- faires en exploitant la peur du SIDA s appelle Heinz R• Zweifel. Il est l’homme sur Iequel lll «W€lfW0¢h8» 8 Y Y 53. r,. Wcrbefirma vciac. | zum Kauf — Inirpuh- crie „ __..,-( . CANTON Y DE ** **9** S0VllVdic Bcuützcr dort vor einer GENEVE Elections fédérales du 14 au 18 octobre 1987 I I I 6 l ~ Les quatre prochames annees seront determrnantes pour notre pays! I Le désastre de Schweizerhalle a mis au jour I'i_rresponsabi- O Tchernobyl a montré les dangers mortels des centrales nucléaires _ de certains producteurs de lité la grande chrmre O La vivisection est pratiquée sans retenue O Les foréts continuent de mourir Des mesures urgentes doivent ötre prises pour la sécurité des populations et pour sauver ce qui reste de notre nature V I I I I ‘ I I Nous avons besoin de representants competents et determmes aux chambres c 9 * ZZ:| *’°*** *9 99**99** l’9*** *9 99**99** ‘ des Etats, votez Y national, votez 66 66 “ Y 駥‘*iS**‘| . ir;| :3-.-:, .| |° ' ° r| -—»·-··· 6 °%· »:6,.6.,;-._r;i·_.jY_*:2;:6 _,j;_6;;;;,°;g · . ??§V§ä?€°¢??·| i| « . . z . ’ Y ·i· · —~ Y . -... · · |r|r|cr;26*§é§@é~;a;äii?22;.é1=2Yi%él¥é¥é§éä:ä LBQIBYiéää? Mßlllqllß IBQ Bl' 6 ' Avis important: On peut écrire deux fois sur Ia . _ liste le _ _ nom du candrdat pour le Conserl national! HELVETIA NOSTRA ‘ I I I l\ II1I'III6'lIVG I «S3l|V€|' I'IOS F0|‘€tS.» Expiration du délai imparti pour récolte des signatures: Ia 6 novembre 1 987! i i t ‘ i| ·· Yiis i ,|YY—~ =«,··>" i tt "‘ i ‘ l| I Y| i —| ,|q 2* V i' ‘„„~¢’° i i ...,|.... W V · t 66_ |I| |’t |66 .” 6. ‘» r, i ii ,| ‘ i ‘ ~ — i, ‘ |i i i ; i |»| M Z p| — E; i ; |" ‘ =f‘° #~ ~ |.r.. Photo: rdz „ Cfiers Concitoyens, que se passe—t-ul avec vous? En Suisgacentrale, dans les Grisons, en Valais, au Tessin, des inondations catastrophiques dévastent des régions entiéres, jparce que les foréts de protection mourantes ne peuvent plus retenir |'eayt. Et voti pa; lfénergue de poser votre i i ng| _ i www-»—signaturé·?§Ü”?““LW“i’”Fö”rm’u air t t Des centaines de i t t ’. Y i ’ i i Y de Iistes sont en circulationi Sans cesse, Öe vous an mformés, riés, relancési i*‘?“’“’“Oue sont les réponses qu'on entend en récoltant les signatures? « Le probleme est réglé depuis longtemps! » „-Qu: «On ne veut Das aller un our au bureau ou ä I’usine an milliers t Q , __ ‘ i i i • t . ' 1 .„ autorviobiic-2isioIaire!>> Ou: «T0ut ga est terribiement exagéré! Ou encore: «P¤ur [gs foréts, c’est de toute fagon trop tard! 1 i Oue fautgil encore éfaire pour vous s0rtir de votre Iéthargie? ‘ II manque encore 40 000 signatures! i Renvoyez-noüs les Iistes vertes, méme si elles ne portent quiune seule signature! (Fondation Franz Weber, Case postale, i . _ i 1820 Montreux) i |_ i i i auj0urd'huiméme! Sinon, notre initiative n'ab0utira pas! Et pensez qu’il mus reste encore |'én0rme travail de Vattestation Faites-le i t i t ‘ des signatures! C'eSt|entre vos i _ mains! Vutre Franz twébéf i FONDATION FRANZ WEBER H: VL CIC €l°dl”lÜ 1/ZOS 611/tzc ' ° cl6 lCl_]OZ€ PVOCI/ll/62 ES-CC1 ( 'd et 1/0145 62 C11 .6;-.; «· J .Q V =|° .. V| Ef2 l' ‘” ..;’ |_„ ·~ _, r V 6., "I gz ;, 6 | 1 Z* :. |V|.| .· -61 Ä| ll |Ä| 2 ,; VV J J ‘. 7 ‘ ~· · ni ·' - .; ,; ·‘ ‘· ‘· V ·' .„ .... ·. _. __ V V 2:._ ,_ °' V| ‘ --| ·‘fi‘’‘‘ S|Ü. ·— |-|-|{V · |.- VVVVV _. _· V ~ |V. _ ~‘ ·. ' pdssionnanl Iivre dg la vitro«L’1‘léplmut blanr, joucr ri en romlwr amoumax q ricnsv rampagrw du nrilisvr ¢fqaI¢·nu·nr . mmmv man-mllunrs E1%;:;:6-. *‘ Q; 1 Nos luxnvusvs cartes posmlvs, A .:|.|2;| Ä6Ä.; Ä Te; Dannbe = „ =-.S Q V z |.. .„ -; |—6; <‘ E ‘·ix| ._ ~¤| j :· 1 |.-| V |1- T [56| ·‘ z De l’Engar!im·ä Lavaux: Franz V Nos belle': mms dv va·ux, 1endr¢·rm·n! illustrécs parjudith Wvbvr Nolrv adomlrlu bélré plroqim, porlc-rlmjmzrr dv la -1 _.| · _. *8 y|iésääiä| ,« ° · (P°" "" B011 d9 lidß EX. bébé phcque en peluché, 42 Cm ._ Ex. bébé pnaque de luxe, petit, 22 cm FV 38* Fr.30- ‘ V bébé phoque de luxe, en vison artificiel, moyen, 42 cm ___ Ex bébé phoque de luxe en vison artificiel, grandeur nature, 52 cm Ex. «L'éIéphant b|anc», 52 cm (merveilleux animal en peluchel ._ Ex. manchon en vison artificiel avec deux ravissants mini-bébés-phoques ._ a souIever», Iivre de Franz Weber (288 pages, avec Ex. Ex. «Le Paradis sauvé», livre de Franz Weber (237 pages, avec illustrations, 1986) .. Ex. livre d’enfant «La Princesse des Glaces et le bébé phoque Blanchon», V Fllllddllüll W"b"’ '““’”l" -“’ richement illustré, avec poster Ex. série de 4 ca rtes de voeux avec enveloppe Ex. série de 5 ca rtes pestales de luxe et autocollants Giessbach) F'Fr. Fr. 60.- FF 85 —· Fr FV- 75·— FV- Fl'- 95- Fl'- Fr. —5 ·Y VV Fr. 32.- Fr. .._ ~ . Q FVFr. 10·— F V· 10.- Fr. —+ 6; Articles et facture a envoyer ac B¤¤ de ¤¤·¤m¤¤d<-= ä r¤¤v¤v@r ä= A _rr Date er signature: .............,..........,................................................. ·bébé Casa p°staI8 1820 MONTREUX Mervcillcux Iiv ;„= pay judnh phoquc d 'cqßnt, wm', ‘ ‘ ruclrmrcm illus(;„„,d p,,„„ d·„„ Joumal Franz Weber |7 V 6 N··2 - Vzllaregos ' i| 47 sept./oet./Nov. 1987 t V : S YHCIIIBS |j . |. E Malgré unc campagne déscspéréc de Franz weber f Pour IaSaUVcrln ext rcmls ct malgréles melles du présrdent du Conseil de la parotsse de l’éparVancicnnc éghsc de Vluarcpos a été raséc le 6 _|.Ulll€t 1984 Pqpllls cette destrucllon bla$Phém3' gi| V . . |V ä:| _ . . . . torrc, une malcdlctlon pésc sur lc vtllage, V Ems? V E a laisse des pblessures profondes dans *‘ |— ° · .w b H dg recommandations d’Alphonse Egll, alerte par Franz Webers les oppositions fermes de dizames d’institut¤ons et de milieux cultusels les mieux int'om1és... Ainsi disparait, au méprns le plus total de g, _ ‘· P .=...| 2 ’ · |E |ps,. _ ’ „;‘~‘’ “ " · ·- . V r . ‘ ä:'t!984;;’;"'f‘;‘ mséc ““I1'°fl:.d" “'"‘ mc '°" pe" €" ”"“W‘ ‘ |1** ·‘* | ° Car VF"' ” · ‘ ll ai| -· . es Zßlgziälgll "‘ (5 a| _ q‘€' ‘”' lménaftr crggplsscnl L‘;‘° '”€g”fll‘l}f"—‘ Ü“‘7““ “"‘ “” ""g .l V grggsäg nvnntle massaereßousontressengg, dans lg chtgur de Védlüce, des |V Vi|: · j| VZ plusieurs événemcnts drama*lq¤¢$ $¢ PT°d“l§°“‘ au Vlllagcalßrs que le fosse nnc cesse de S? E | forces,dgsondes,desc0ura¤!Stres marqués. _ Pen apres la traglquc dém0li— Öl § j si |_ chine est hors d’usage. Ouelque temps apres, le plus fanatique de l’équipc des démolisseuß tombe d’un échafaudage pendant son tra- tombe dans le Chanden (nvtere passant sur la eommune). La ma- er U coq 31TaC gsi| V V— |-~ „ » .g V |,„ ‘· a' .| . ·~ ~ °8l’i- crise cardiaque. bes fosSoyeurs se heurtent alors ä \1¤¢ résistance inouie en creusaut sa tombe, dont remplacement Se dgdang [gn cms; il spy sys disc0|·dg_» Cs message qu’ils saient, ils lui donnerent une valeur marchande et vendirent poutres et colonnes du XVle siecle, pourtant classées a Vinventaire. Mais ils furent pris Ia main dans le sac, apres avoir touché leur ar ent sale. Ces ' ‘ ' admit bl ä té l lsorllsdésnltglnläisiairzgärgilä passe ‘°“‘°“°° |"“°"‘““"""°‘*‘ que ¢nc9r¢_ A ‘ d‘ ‘ ‘ de Fribourg terme aux querelles continuelles ligä ptsrslll ät-ltellsénitiälldie lgzllnle e qui Sccßuetlt les habitants,etde ré· tßbllf la paix entre les paroissiens, On a élargi la route sur Vemplacement du vieux clo: p· h d s pt t ( lls äsggsctggäsßallciuäuqll l dont un certain nombre est d'ni|- nitivement. llaalorspréciséqueee qui élall lmP°¤a¤*» ¢¢ ¤'ét¤lt Pas ancienne la beauté de Ia paroisse! Quant au syndic, il souhaitait tout simplement que le passé s’oublie. .. Honteux passé tout empreint de mauvaise foi, quand, par exemple, ayant refusé de donner Véglise pour qu‘elle soit sauvée, mémc combe a peine une année apres ä — Des ruincs appclam désespérémenr le ciel. . . Mais seul Venfer répand! désormais qu’un désolant cimetiere entouré d’un nouveau mn; de béton a Yängle duquel un ridicule |W ; S sement ltandieapé. Le suecesseur dv Pféäldßut de P¤f<>l$$¢ °“ f°“°' une mmc avccceméme Fllßln CIOIX et cienne é lise se met a branler si bien qnegie e„„„rr de faitappeläuningénieur. Enfin, ¢¤ date du 19 mai, la pa- leurs sortidel’Eglise ofticielle déü- il duisait le trax |0rSd¢ lüdémßlltlon, üls de ·l’anc¤en¤¢ éßllS¢du eonserller de P3T0l$$¢ qulcon- . est encore et restcra séricu- vail: saires SOT! dd la |V _ lui tion dufant la dCStmctiÜns aussiavaitfaitpreuved’un zéle forcené le jour de la démolition, Sue- creuscr entre _parttSa¤S_¤! adver- méme que les cloches se taiscnt, ensuite de pannes mécani uesLorsqu’elles sonnent toutesl en- ,anemereun „ |C| lSSuI¢S ‘°"""°‘ ‘”§°"""“°‘“’l;‘§”??° ‘“ ‘ Ä „.„ .&|.«··„ee”ir:·" sur tes tombes $°S '°°l“°?· „. ° ‘''' -_ du cimetiére... Mais l’arbre ab¤t· l'”i’'’'li xl · t" ilgns les piäers ppurtaqt ancrés so· i ement ans el so. ll arrive . .. ;.._ plateforme sur laquelle 8ff8lSSé¢, eu- V * la trainant Ia formation de 6 faire tout disparaitrmfatsant¢F¤¤· ;„ que on a construtt le nouveau clocher en béton garni d’une horloge style ° ««, -; 6 _ 6 .‘%¢5,,_, . En mars de cette année,onconstate E '‘ „i“é 2l‘§,§ii”l2.ä;‘i;$.?"$I;iL”üZ«§§’ { / . tenancier ayant dü y accueillir sans distinotion des clients parti- E. sans ou advenaires de Pancienne_...| église, ce qui n‘al|ait pas sans soulever des passions, des tensions et des discussions bientötinsupporta-.|’ bles. .. apres que Véquipe des dé‘ . . . chirés par Ia discorde. L’unique café du village a ferme ses portes, molisseurs y ait fété cyniquement sa «victoire». . . .. _— fectorales,lentéteme¤td¤ d’Etat ¢! la lächßté du C¤¤$¢l'V¤· . teur des_Monuments6 htstvrtques J |<.. V; -== V_ _ (| ~« 6-- V _ Pr Vj ·=-· -===-==e ·- *11|···‘ij ZE y a plus de 700 ans, l‘église Samt- des hainesséculaires,etle souvenir atroce d.un de leurs curés, laprdé P¤( S¢S 0¤3lll¢$ devant ¤¢¤¢ méme éßllsc d°m lls “° Vculßm Plus la molndretraee· |-6*- ’ le ° Etrenne, symbole de foi _d une Cgmmunäuté villaqpoisä, qera täviS ° Pal *75 ¢l¤¢l’¢ ¢$ ¢ am! ¢$„ |V . E leurs ancétres qui l‘ontconstmite, ll ‘ _ : ,,..;...; ,:g;§|V..,~,«‘;· . 3jä*‘Ä‘iY'1§;ÖY_jfff°§g§·§§Z%ii?‘’ii cn chaine de ses membres, l¢ les les _co:urs. ciété de Musique a méme cessé d’eXiSter, a la suite de la démission · . Fr |-5 Le village est au; }ourd'hui touyours divxsé. La So- V awls passage du Pape a Frlb¤¤’•g. ä moins de qurnze ktlometres de la, Z S- ·|· ;V Sl°“s· mslsré Franz w°b°‘”·““‘l$'é |VV ’_ 5 . s.| ton Dieu avoir miséricorde fais que V .. öl transversale portant Vinscription devenue accusatrioe; «Si tu veux de 1| ui |V· avant offert 150000 francsl), ils vont essayer alors de monnayer son cadavre, d en vendre les morceaux, telle ladmirable poutre "’ V V; Iancienrie eglise... lin tuillet 1965, le Conseil de parerorsse se rend a Lourdes pour mercier la Sainte Vierge de les avoir aidés a vaincre les innombrables Obstacles placés par des «mécréants» (s'entend protestants et almcs Décapitée, éventrée, pillée, _abattue ä la m¤SS•‘= sl au tm- 'éd“**¢ ¢“ sravats et ¢¤ egitse de Villarepos s‘écroule, dans un naeas quasi tiaaboiique, et says tes nennas tanstaques des parors- contre une compensation financiérc importante (Helvetia Nostra U · |V, trouve précisérnent sur _les aneiennes fondations de pierre de , t't't’ lél - d'entrée. .. · I · dspombrs Camus disait: «Notre generation I-cfcra pas le monde mais sa täche peut ém.: plug grands; cnc consiste ä cmpéchcr que le mcndg 53 défssss ,, pos· sernipelle plasés mauvajse ewige? Ayconstatu de signes parfois etrsngss gn se- rait vraiment tente de le croire. rr V| 6 V ll 6' V‘6 -· V. V 6 . V _ V 66 ‘ i . 6 ., ;l V 66 §,, 6V VVVV V ‘· V , 6:- ‘ V;66 6= · 66 66 ,6 . V 1 ,V‘ V V V 6 V 6 V6 6 VV V 6 V 6 .6. 6 6 -6, 6, V , V VV VV V V _ 6 6 6 6 ‘6: 6= 1. ,V V V V ¢‘ ml —. v' ‘; . Y I s ·· _V~ V} -’ in ’ ,, , gr ‘v~ -¤ rv sjßgäff 6 6 6 . xx ‘ r t V 1 6: ,_ ‘ "' ig V "‘Yj 1.::1, lr-, *‘ *6 an ÖL;} -‘| s‘;.._ V £,l¢I·6. V _ 6 ,‘ · 6 6-,; ***6 V. .· 6i, ·* 6“ VP 6, 6- 6 r V 6 6 . W . ~6 ·| 6 ” l ’ ·f , l - 1: ll ·• ~• -’ Val ‘ ' V pt ‘ "' » V. . ,6 ,6 · . — .6 — 6 s ¤6 ‘ ' 4 Vlb ,. , V V V ~ V I V 6 6 r -~.-„6„· V V V 6 6 1 " r 6 66 „e 6 fr „ 6 ·-6 , 6 6 V V V ,6 ,6; V qr¤e\•6 6 6;.6;‘ 6 / VV ·6 VV « 6 Ö - @_ '_ ._ Ü, —6 66 A Vs VV V |e- V ~· E YA ‘_ V 6 if ... .6 s' V · —• 6 J :1 V . 6 6 -‘¢'· 6 V, .66, ‘ irf". -, '/ I 6‘ r 6 A l l l 6, 6~‘·6 ‘ ‘ 6‘ ·- · |2 6 ll l ” ‘l 6 · ‘ 6‘ V i l ·•»‘r••€ " - l ·ZI a ’ „“6 —. 6 «V 6 A 6 ‘ 6‘ -6 ?‘e 66- 6. e ·- * 6,l' I VV s 6 6‘ ir; 6· ‘ J; A·•·•·^ „ V Y 1. 6 V V 66 V t' · ll 6" 6- V ,, 6- 6l ny; _ .. < 6, i_V *6;* Ä 6 ,-1| 6 66v VV abÜ1·;*l' rn, T" ° „ ’# ßsßi 6 ., «6 ==66 - :* ’ q 6 ·‘ ·.·· 'E -1 " l am- -666 ' eltllil. .6*· 666‘ 6 6 V ~w·l lr 6 ,'l , I; .· _6 V - 6 |V dillh V·;; _ 6* l ¤6 V. i V t . |Vy-e~ ; _, l _ l __ 'wßftt ,- » ,6 · >f · , l Alf- 6l 6 ll «, :‘ , · 6 V 6, 6 3“ 6 .1 9' 66 ,‘ 6_ |6 il r ·“ V ·- '· 26. : l 6‘ HV 6 i ::;:3;-V ;„ .. re V *6 V V “‘ ll V- -· 6 6 I . _ VV_ _ V P _ 5 kl V VV M-6 66 666- 6, ‘l‘ i / G 6 6 ‘v6' ll" 6. .1 . ii sw ‘ —‘ .. |,,\ J, 6 'l _ vtrlzflétw V VV , V V 61 6,VV , 6,6-, 6 1] VVV (VV YV, EVVVVV V ,-‘ 66, 6 · 66, ‘ · 6,:VV V V ‘; L __ V VVVVVVAVVV VV ' s V V "‘ l l