Les échelles du développement durable

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Les échelles du développement durable
2014 NUMÉRO 8
leschantiers
leroymerlinsource
Les échelles du développement durable
Du logement à l’écosystème urbain : à quelles échelles
intégrer les enjeux du développement durable ?
Gwenaël Lecocq
architecte-urbaniste ENPC, Atelier act urba
avec la collaboration de Marie Chabrol, architecte-urbaniste, co-gérant, Atelier act urba
et Julien Langé, géographe-urbaniste, co-gérant, Atelier act urba
en partenariat avec :
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 2
Les échelles du développement durable
Du logement à l’écosystème urbain : à quelles échelles
intégrer les enjeux du développement durable ?
Gwenaël Lecocq
architecte-urbaniste ENPC, Atelier act urba
avec la collaboration de Marie Chabrol, architecte-urbaniste, co-gérant, Atelier act urba
et Julien Langé, géographe-urbaniste, co-gérant, Atelier act urba
REMERCIEMENTS
Juliette Spertus, architecte-chercheur ; Alain Bornarel, co-gérant du bureau d’études Tribu ;
Patrick Lernould, spécialiste en ingénierie des déplacements ; Thierry Maytraud, urbaniste
hydrologue, bureau d’études ATM ; Patrice Noisette, économiste, professeur à l’École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) Paris ; Denis Bernadet, chargé de
mission, Leroy Merlin Source ; Pascal Dreyer, coordinateur, Leroy Merlin Source.
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Direction de la publication : Marie-Reine Coudsi,
directrice éditoriale et des savoirs de l’habitat, Leroy Merlin
Coordination éditoriale : Pascal Dreyer,
coordinateur, Leroy Merlin Source
Coordination graphique - maquette : Emmanuel Besson
Corrections - relectures : Béatrice Balmelle
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SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 3
SOMMAIRE
INTRODUCTION.............................................................................................................................................................................. 4
DU LOGEMENT À L’ÉCOSYSTÈME URBAIN......................................................................................................... 5
Présentation de la démarche............................................................................................................................................................... 5
Définition des termes de l’étude........................................................................................................................................................ 5
Les échelles de la ville post-carbone................................................................................................................................................ 9
SYNTHÈSE CONCLUSIVE..................................................................................................................................................... 18
Les premiers constats issus du travail thématique et des entretiens............................................................................... 18
Les questions à approfondir............................................................................................................................................................. 19
Quelques pistes pour aller plus loin ............................................................................................................................................. 20
ANNEXES GRAPHIQUES .................................................................................................................................................... 21
Les schémas par thématiques.......................................................................................................................................................... 21
Les schémas par échelles................................................................................................................................................................... 21
LES RÉFÉRENCES........................................................................................................................................................................ 21
Les experts interrogés......................................................................................................................................................................... 21
Bibliographie indicative...................................................................................................................................................................... 21
Acronymes............................................................................................................................................................................................... 22
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SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 4
INTRODUCTION
Des habitants imprévisibles dans une ville postcarbone
politiques et parfois les techniciens qui ne disposent pas
toujours d’une vision globale.
Les enjeux de la ville post-carbone semblent conduire
les décideurs et techniciens à faire porter une part de plus
en plus importante des efforts sur l’habitat et aussi sur les
comportements des usagers.
Des impératifs tels que consommer moins d’énergie,
utiliser moins sa voiture, favoriser les circuits courts pour
son alimentation, utiliser moins d’eau, recycler ses biens
de consommation, trier ses déchets… composent une
somme de bonnes pratiques dont le destinataire (usager,
habitant…) ne sait pas toujours exactement d’où elles procèdent et ce vers quoi elles tendent.
Ces invitations à participer à un effort global rencontrent pour une part les aspirations de ces mêmes usagers : envie de nature et de services de proximité, réduire
sa facture énergétique, être de plus en plus connecté dans
son logement…
Mais elles entrent aussi parfois en contradiction avec
les arbitrages liés aux choix de vie qui sont multicritères
et possèdent leurs dynamiques propres. Le choix de sa
résidence principale par exemple, s’effectue en imaginant
des compromis entre emploi/carrière, logement/localisation, écoles/services, et ne se fige jamais totalement. Les
événements et ruptures de la vie, les changements d’environnement, les arbitrages économiques vont façonner une
trajectoire qui à son tour impactera la ville ou le territoire.
Or, il est aisé de constater que ces paramètres de localisation, qui pourtant conditionnent notamment le degré
de dépendance à la voiture et l’accès aux ressources et
aux services, interagissent peu avec un modèle urbain dit
vertueux. Les habitants, imprévisibles, n’intègrent pas les
paramètres d’un système conçu sans eux. Surtout quand ce
système simplifie la complexité de la ville en cherchant à la
modéliser, ce qui conduit le plus souvent à nier la sociologie de l’action.
Ces même acteurs mettent en place des solutions sectorielles pour utiliser moins de ressources : équipement de
gestion urbaine, offre de transports en commun et mobilité douce, réduction des consommations énergétiques des
équipements publics, programme d’habitat mixte et diversifié. Autant de solutions lourdes avec des investissements
sur le long terme qui là encore échappent aux habitants car
peu visibles. La délégation en matière de gestion des services urbains, qu’elle soit technique ou politique, a perdu
de sa lisibilité et peut-être également de sa légitimité.
Parallèlement, ces invitations à des pratiques vertueuses, souvent portées par les institutions, les collectivités, certaines associations environnementales à fort
rayonnement mais aussi les délégataires de services
publics, donnent difficilement à lire l’ensemble de la chaîne
qui conduit à ces impératifs. Les enjeux de la transition
énergétique et l’urgence qu’il y a à mettre en œuvre les
territoires durables restent difficiles à se représenter tant
par les usagers, les habitants, les citoyens que par les
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Aussi, il apparaît nécessaire de venir resituer la part des
efforts individuels potentiels dans un cadre plus large et
transversal qui questionne à la fois :
• les échelles physiques et fonctionnelles où se jouent
les effets de seuil pertinents,
• les chaînes d’acteurs impliqués dans les diverses
cibles du développement durable et l’efficacité relative de ces combinaisons,
• les marges de manœuvre, les pistes d’innovation
émergentes.
Pour les professionnels de l’urbanisme, il est souhaitable
d’aller plus loin. Une solution consiste à faire émerger des
solutions plus légères et plus inventives qui contribuent
véritablement à améliorer le cadre de vie de chacun et de
tous. De chacun, et en particulier des plus fragiles socialement et économiquement qui seront les plus exposés à la
tension sur les ressources ; et de tous, la notion d’intérêt
général étant souvent peu mise en valeur dans les communications aux usagers.
La représentation que nous avons essayé de donner des
enjeux de la ville post-carbone place délibérément l’habitant/usager au centre du jeu dans sa composante individuelle (psychologie) et collective (sociologie). Il ne s’agit
pas d’obtenir son adhésion à une ville pensée par ceux qui
savent. Il s’agit d’esquisser une trajectoire collective dans
laquelle il y aurait de façon plus anticipée et plus choisie
des processus de co-adaptation.
Ces trajectoires sont tout autant individuelles que collectives. Elles demandent non pas davantage de normes,
mais davantage de désir et d’intérêt à l’interaction : la ville
durable ne deviendra durable que si elle se révèle désirable
et crée de la valeur.
SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 5
DU LOGEMENT À L’ÉCOSYSTÈME URBAIN
PRÉSENTATION DE LA DÉMARCHE
Les recherches sur la ville durable ont contribué à
démontrer que les effets de levier pouvaient se trouver en
dehors de la sphère du cadre bâti et que si la rénovation
du bâti avait un poids certain sur les émissions des gaz à
effet de serre (GES), les pistes d’une optimisation du milieu
urbain se situent à des échelles très diverses.
Une première approche consiste à resituer les enjeux
des différentes thématiques environnementales dans leurs
échelles de pertinence : le logement, l’îlot, le quartier,
l’agglomération… et à évaluer les interactions souhaitables, sources de nouveaux partages entre individuel et
collectif, entre public et privé. Il s’agit aussi de repérer les
conflits potentiels, les seuils critiques et de réfléchir à les
déplacer, les convertir, les apaiser pour réduire les freins au
changement.
Une seconde approche consiste à repartir des services
offerts (ou attendus) par le logement pour ouvrir aux services offerts par la ville, le territoire. Ce retournement permet d’évaluer les différentes sphères au sein desquelles
l’habitant évolue et leur perméabilité : celle qu’il maîtrise
directement, celle où il entre en négociation avec son
environnement et enfin celle qui implique une délégation
à autrui, situations où d’autres instances collectives sont
susceptibles de prendre le relais.
C’est cette double approche que nous avons tenté de
restituer au travers de schémas d’intelligibilité. Nous avons
délibérément adopté un dispositif graphique en coupe qui
permet de repartir de l’intériorité des espaces pour raconter les usages sans perdre pour autant leur dimension territoriale. Le support graphique permet par ailleurs de tenir
une forme de tableau de bord concret du croisement des
thématiques et des échelles, et révèle des enjeux de différentes natures. Ce choix d’un dispositif graphique a en
effet été opéré suivant un objectif pédagogique mais aussi
méthodologique.
Cette synthèse doit permettre de faire dialoguer les
différentes cultures de l’urbain, qu’elles soient techniques,
politiques ou sociales.
Le contenu de ces schémas provient de plusieurs
sources : les expériences de l’Atelier act urba dans le cadre
d’études urbaines ou de recherche, une série de cinq entretiens menés auprès de personnes ressources (techniciens
ou experts), des expériences connues ou non en France et
en Europe. Ces contenus n’ont pas pour ambition d’être
exhaustifs ou exacts. Choisis de manière intuitive, ils ont
vocation à soulever des questions et aussi à interpeller les
différents acteurs qu’ils soient en amont ou en aval de la
fabrique des territoires et de la ville.
DÉFINITION DES TERMES DE L’ÉTUDE
La ville post-carbone
La ville post-carbone est la ville vers laquelle nous tendons : peu productrice de GES, à l’urbanisation contenue et aux
ressources naturelles et sociales préservées et amplifiées. Mais la ville post-carbone est aussi la ville où les usagers désirent
habiter, une ville qui peut muter, évoluer, se transformer en fonction des besoins, des modes de vie et de production de
richesses. Ce n’est pas un modèle figé, qu’il s’agirait de mettre en œuvre, mais davantage une démarche, une
manière de gérer la complexité et d’avancer vers une ville et des usages plus durables.
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Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 6
Le logement post-carbone
Le logement est l’unité primaire (et essentielle pour tous) qui va nous servir à questionner l’interaction entre habitat et environnement. Dans une première approche, nous proposons de définir le logement durable de la manière suivante : une enveloppe épaisse (1) gère le technique (la thermique, l’hygrométrie…), une épaisseur habitée (2) joue aussi un rôle de filtre
entre le public et le privé et se différencie d’un noyau central (3) qui lui gère les réseaux et les contraintes techniques les
moins souples. Les espaces habités, situés entre le noyau technique et l’enveloppe épaisse doivent être flexibles, adaptables
aux besoins suivant les évolutions des contextes techniques, environnementaux ou sociaux.
Mais le logement durable est aussi un rapport à l’extérieur qui peut et doit être visuel, sensitif, et passe aussi par les technologies de l’information et de la communication (TIC).
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3
1
Les échelles
Les échelles qui forment le cadre de référence de la démarche, ont été choisies pour ce qu’elles révèlent des imaginaires
communs (la maison/l’immeuble, le quartier, la ville, la campagne…) et des usages qui leur sont liés. Elles sont également
représentatives des pratiques urbanistiques, des modes de faire et de gérer la ville : un permis de construire, une opération,
un plan local d’urbanisme (PLU), un schéma de cohérence territoriale (SCOT), etc. ; et de la gouvernance correspondante :
un habitant, un propriétaire, un fournisseur, un bailleur ou encore un élu, etc. Cette double approche des échelles doit nous
permettre de mesurer à la fois la qualité des usages, les modalités de mise en œuvre de certains dispositifs et les marges de
manœuvre entre ce que l’habitant est susceptible de maîtriser et les relais qui doivent être pris à d’autres échelles.
La petite parcelle correspond à l’unité familiale et aussi au modèle récurrent de la maison individuelle. C’est l’échelle
maîtrisée pour partie par l’habitant. Elle correspond à un créneau très spécifique de l’économie de la construction fortement
portée par le secteur privé. Le secteur public (ici les collectivités, mais aussi l’État qui définit le droit de l’urbanisme, de la
construction et le code civil) intervient en amont dans les autorisations de lotir et de construire, parfois dans la viabilisation,
mais pas toujours. Il intervient aussi a posteriori, souvent en rattrapage en matière de services (dessertes, équipements).
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Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 7
La grande parcelle peut contenir 50 logements correspondant à 120 habitants en moyenne. La grande parcelle accueille
l’immeuble collectif qui couvre une part importante des tissus urbains. C’est l’échelle de la cohabitation urbaine à partir de
laquelle les premières mutualisations peuvent s’opérer. L’immeuble collectif correspond également à un secteur économique
où les opérateurs privés et publics (offices publics d’habitat) sont très présents mais aussi très divers suivant les territoires.
Les pouvoirs publics sont présents de manière très variable. Ils interviennent sur les normes (code de la construction…),
définissent en amont les droits à construire (code de l’urbanisme, PLU), mais ont finalement du mal à influer sur le secteur
privé de la construction et ses logiques économiques.
L’îlot peut accueillir 500 logements pour 1 200 habitants. Il est possible de le parcourir en 5 mn à pied. Les usages sont très
variables suivant le contexte urbain et notamment sa composition sociale et économique. Une mixité significative est envisageable entre bureaux, logements, équipements et commerces, services et petite production artisanale. L’îlot correspond
à l’échelle d’une opération d’aménagement, ici aussi, publique ou privée. L’opération d’aménagement peut permettre de
composer entre des espaces libres et des espaces bâtis et donc finalement entre des usages et une économie de projet.
Le quartier commence à exister à partir de 2 500 habitants et peut comprendre jusqu’à 5 000 et même 10 000 habitants
selon le contexte (métropolitain, ville dense…). À cette échelle, la mixité fonctionnelle peut prendre de l’ampleur (habitat,
bureaux, équipements publics…).
Le quartier est notamment l’échelle où les déplacements se déploient et se structurent en lien avec les polarités. Les quartiers sont parfois monofonctionnels, résidentiels ou d’activités ; ils peuvent aussi accueillir des petites polarités : commerces,
équipements locaux… La qualité de ces polarités et des liaisons vers ces dernières sont souvent structurantes de l’image
d’un quartier. Le quartier peut se définir également par sa plus ou moins grande proximité au lieu de résidence ou d’emploi.
Il doit pouvoir être parcouru en 15 mn à pied et 5 mn à vélo. L’espace public y est plus présent, que ce soit au travers de la
voirie, des parcs et jardins ou des équipements. Le quartier est géré d’un point de vue urbain au travers du PLU et des services publics sectoriels (sociaux, éducatifs…).
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L’agglomération, positionnée ici, compte autour de 20 000 habitants (seuil à partir duquel se retrouvent les caractéristiques d’une petite ville susceptible de former un système urbain complexe). Les enseignements qui seront tirés à cette
échelle peuvent en partie aider à travailler sur un secteur d’une agglomération plus importante, ou au contraire sur un quartier dense d’une métropole comptant autant d’habitants. Cette agglomération peut être parcourue en 45 mn à pied et 20
mn à vélo. À cette échelle, le cadre géographique est beaucoup plus structurant, ainsi il est possible d’identifier : la rivière,
les coteaux, les plateaux, le centre (géographique ou de services), les faubourgs, la gare, la zone d’activités, la déchetterie,
les cultures intensives ou les parcelles maraîchères résiduelles et un bourg rural en limite de forêt. Nous sommes ici dans
le cadre d’une maîtrise et d’une gestion globale publiques (infrastructures urbaines et sociales) et un cadrage des secteurs
privés (les grands services urbains en délégation, les entreprises, le secteur de la construction, les exploitations agricoles…).
Ces échelles composent un premier cadre au sein duquel nous avons inscrit les principales thématiques de la ville durable
et post-carbone.
Les thématiques environnementales
Les déplacements
Ils sont abordés en termes de modes (motorisé ou non,
individuel ou collectif, doux ou lourd), de distance/vitesse,
de maillage et d’usages attachés.
La biodiversité et la gestion de l’eau pluviale
La biodiversité est abordée en termes d’accès à la ressource
naturelle à des fins récréatives et en articulation avec la
gestion des eaux pluviales, et en termes d’amélioration
ou de reconstitution de milieux naturels. Le cheminement
de l’eau et sa visibilité notamment en milieu urbain sont
d’autres enjeux de la thématique.
L’énergie
Elle est abordée en termes de diversité des sources énergétiques, et d’équilibre entre production et dépense énergétique.
Les déchets
Les déchets sont analysés à partir des liens physiques entre
lieux de production et espaces de retraitement. La question
de leur réusage est un enjeu intégré à cette thématique.
L’approvisionnement
Cette thématique permet de réfléchir sur les circuits courts
entre lieux de production et lieux de consommation des
aliments et des produits manufacturés.
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LES ÉCHELLES DE LA VILLE POST-CARBONE
UNE THÉMATIQUE ENVIRONNEMENTALE
APPROFONDIE : LES DÉPLACEMENTS
« Dans un territoire pléthorique (c’est-à-dire au sein
duquel tous les modes de déplacement sont disponibles),
les usagers vont toujours favoriser le mode le plus facile,
c’est-à-dire le plus souvent l’usage de la voiture. Chacun
trouve son équilibre individuel qui dans ce cas ne correspond pas à l’équilibre collectif : coût des infrastructures,
effets induits (GES, bruit, etc.) » Patrick Lernould
Cette thématique pose la question des moyens à mettre en
œuvre pour limiter les GES liés aux déplacements motorisés. Limiter ces derniers est un objectif environnemental en
soi, c’est aussi un objectif d’amélioration du cadre de vie.
Les déplacements renvoient également à la notion d’accès
aux services et aux ressources, qui elle-même renvoie à la
notion d’équité territoriale : chacun peut-il et doit-il disposer de tous les services au pied de chez lui ou bien d’une
bonne accessibilité à l’ensemble des services répartis sur le
territoire ?
Les déplacements sont très structurants des usages
(emploi, études, loisirs, etc.), ils recoupent également plusieurs autres thématiques comme les déchets et l’approvisionnement (quelles logistiques urbaines durables ?).
et évolutifs (l’usager adapte ses itinéraires selon ses
options du jour). Cependant, ils ne sont pas exclusifs
des autres modes (transports en commun ou voiture
si nécessaire)
Les petites et grandes parcelles
C’est à l’échelle des petites et grandes parcelles que les
vélos et les circulations piétonnes doivent être privilégiés ;
la voiture n’est pas supprimée mais ne doit pas être le premier mode accessible depuis le logement.
Pour être efficace, le vélo doit :
• être au plus près de la voie de circulation,
• éviter les seuils (portail, hall, etc.),
• être garé dans la rue ; et si l’usager souhaite l’abriter, privilégier un volume non chauffé pour limiter la
consommation d’énergie.
Il est intéressant de disposer d’itinéraires alternatifs qui
peuvent être plus rapides pour rejoindre un point spécifique du quartier (cheminement en fond de parcelle par
exemple).
Les déplacements ont été plus particulièrement développés ici, car cette thématique reste très imbriquée avec les
autres entrées thématiques et territoriales.
VOIR ANNEXE DÉPLACEMENTS
Les enjeux de la thématique :
Passage piéton public en lien avec des espaces privés extériorisés (terrasse,
débarras, etc.), Helsinki (Finlande), 2013. © Photo Lemerou architecture
« En matière de déplacement, il n’y a pas de pertinence
d’une échelle ou d’une autre, il faut toutes les articuler. La
vraie échelle est celle du temps passé pour rejoindre tel ou
tel service. » Patrick Lernould
• Limiter les déplacements motorisés, source importante de GES, au profit des déplacements doux mais
également des transports collectifs. Cela passe aussi
par une mutualisation de l’accès à ces déplacements
en encourageant l’autopartage. Une troisième piste
consiste à mutualiser les motifs de déplacement (un
même trajet donnant accès à plusieurs services).
• Développer les déplacements doux (marche à pied,
vélo…). Ils offrent une alternative à la voiture et présentent la particularité d’être beaucoup plus souples
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Voie partagée : voitures, piétons, vélos, quartier Vauban, Fribourg (Allemagne), 2007. © Photo Atelier act urba
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Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 10
L’îlot
Le quartier « La question de la disponibilité du stationnement pèse
moins que l’environnement (ambiance, nuisances) dans le
choix d’implantation des ménages ! » Patrick Lernould
C’est à l’échelle du quartier qu’il est possible de mettre en
place des stationnements mutualisés au sol ou en ouvrage
(superstructure). Destinés aux habitants mais également
aux usagers ponctuels ou travaillant dans le quartier, ils
permettent un partage jour/nuit, ce qui accroît l’usage et
donc optimise la rentabilité de l’ouvrage.
C’est à l’échelle de l’îlot que la voiture trouve sa place :
• il reste aisé de rejoindre son véhicule à partir de 50
mètres de l’habitation, mais l’usager choisit plus
naturellement l’option vélo ;
• il est possible de mutualiser le stationnement pour
ne pas multiplier les surfaces imperméables et aussi
optimiser les coûts d’aménagement et de construction.
Il devient aussi intéressant de mettre en place des pôles
relais amplifiant l’usage du vélo : atelier de réparation,
point relais alimentaire, colis, etc. Ces relais peuvent
prendre la forme :
• de petits pôles (espaces publics circonscrits),
• de trame (en accompagnement d’une trame verte et
bleue1 par exemple) qui ajoute une dimension circulatoire aux pôles qui seraient disposés sur cette dernière et aussi d’échanges entre différentes parties de
la ville.
Parking voitures mutualisé à l’échelle d’un bâtiment, quartier Vauban,
Fribourg (Allemagne), 2007. © Photo Atelier act urba
Parking vélos collectif, quartier Vauban, Fribourg (Allemagne), 2007.
© Photo Atelier act urba.
Parking voitures mutualisé à l’échelle de plusieurs bâtiments (îlot, quartier)
et en superstructure, quartier Vauban, Fribourg (Allemagne), 2007. © Photo
Atelier act urba
1
Parking vélos avec services à disposition à côté d’un équipement public,
Mäder (Suisse), 2007. © Photo Atelier act urba
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La « trame verte et bleue » désigne un des grands projets nationaux français issu du Grenelle de l’Environnement. Elle est constituée de l’ensemble du maillage des corridors écologiques, existants
ou à restaurer, et des réservoirs de biodiversité. La composante
bleue fait référence au réseau aquatique et humide (fleuves, rivières,
zones humides, estuaires...). Ces trames visent à enrayer la perte de
biodiversité ainsi qu’à retrouver le bon état écologique des eaux de
surface.
SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 11
L’agglomération C’est à l’échelle de l’agglomération qu’il faut réfléchir au
positionnement des polarités. L’optimum est d’être toujours à 15 mn des pôles majeurs multifonctionnels (centre,
gare…), tous modes confondus.
Dans la ville post-carbone, la gare a un rôle spécifique à
tenir : elle ne doit pas être un simple quartier de bureaux,
mais devenir un quartier au service de la ville et de ses
usagers.
La gare peut mettre à disposition :
• des points d’information sur les transports en commun,
• des agences de voyage,
• un pressing, de l’alimentaire, des équipements,
des crèches, etc.
Le transport de marchandises est un autre levier de la ville
post-carbone : des plateformes logistiques-relais doivent
permettre d’optimiser les échanges entre les marchandises
et leur lieu de destination finale.
Il convient également de réfléchir à la place du vélo dans
des espaces où les transports collectifs deviennent moins
performants au regard notamment du faible nombre d’usagers (par exemple dans les bourgs de périphérie).
VOIR SCHÉMA RÉCAPITULATIF DÉPLACEMENTS
Du logement à l’écosystème urbain
« Quand on parle de déplacements, on arrive vite à prendre
en compte l’ensemble des usagers et remettre l’usager au
cœur de la question, c’est arriver à l’urbanisme. » Patrick
Lernould
La marche et surtout le vélo permettent une réelle souplesse dans les stratégies quotidiennes de mobilité pour
l’individu. Ce mode n’est pas accessible à tous et n’est pas
possible dans toutes les situations, notamment dans les
territoires ruraux, mais il représente une importante marge
de progression sur les déplacements motorisés qui ne sont
pas supprimés, mais maîtrisés.
Dans la ville post-carbone, la voiture et le vélo n’impactent
plus le logement. En revanche c’est à partir du logement
que les stratégies de déplacement s’élaborent, notamment
au travers des systèmes numériques qui doivent pouvoir
établir et maintenir le lien entre l’habitant et la ville en
mouvement ou la ville multimodale.
Une gare urbaine et des services, un parking vélo en ouvrage, Fribourg
(Allemagne), 2007. © Photo Atelier act urba
Une gare urbaine intégrant un hub de loisirs (bassins de pêche à la ligne),
Tokyo (Japon), 2004. © Photo Atelier act urba
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SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 12
Esquisse des autres thématiques
environnementales
L’EAU ET LA BIODIVERSITÉ
Cette thématique peut être envisagée suivant la problématique de la qualité du cadre de vie et celle de la préservation de la ressource naturelle. La qualité du cadre de vie
renvoie à la présence de la nature, la qualité de l’air, l’hygrométrie, et le bien-être. La préservation des ressources
naturelles renvoie à l’eau, la faune, la flore qui nous sont
nécessaires et continueront de l’être.
Ces deux approches doivent pouvoir entrer en dialogue
pour définir un optimum entre utilisation (économie, recyclage, réusage), occupation et préservation.
Dans la ville dense et existante :
• il devient nécessaire de réintroduire ponctuellement
des espaces relais comprenant du végétal pour leurs
propriétés récréatives, de détente ou de rencontre ;
• l’eau doit pouvoir également réémerger, elle peut
être guidée jusqu’à ces espaces relais et participer à
la qualité de ces sites…
Une voie compatible avec les crues de la Loire, (entre Saumur et Nantes),
2008. © Photo Atelier act urba
VOIR SCHÉMA RÉCAPITULATIF EAU ET BIODIVERSITÉ
La présence de la nature en ville fait l’objet de beaucoup
de débats et aussi d’âpres négociations entre la nécessité
d’accueillir les habitants (construire) et celle de conserver un accès à la ressource naturelle (ne pas construire).
D’après nous, un des moyens de sortir de cette impasse est
de contextualiser les réponses :
« C’est une question d’acteurs. La mise en œuvre d’une
gestion alternative des eaux pluviales peut poser problème à l’échelle de la parcelle car les entreprises liées
aux constructeurs ou aux particuliers n’ont pas toujours
ce savoir-faire et il est difficile de venir contrôler ce qui
se fait réellement. À l’échelle d’un lotissement, on trouve
davantage de compétences et le dispositif global devient
aussi plus gérable. À l’échelle d’un bâtiment collectif, les
promoteurs ne savent souvent pas faire. L’habitude est de
faire intervenir un architecte, un bureau d’études structure,
un économiste, parfois un paysagiste pour le décor, mais il
n’y a souvent plus de place pour un hydrologue. » Thierry
Maytraud
L’eau redevient visible en milieu urbain et côtoie d’autres usages, Fribourg
(Allemagne), 2007. © Photo Atelier act urba
Dans la ville en renouvellement, il est possible de :
• retrouver le sol naturel,
• l’enrichir en gardant en place les tontes, les tailles,
• réinfiltrer l’eau de pluie, de constituer des îlots d’humidité, etc.
Un parc urbain gère les eaux pluviales exceptionnelles, Stuttgart (Allemagne),
2007. © Photo Atelier act urba
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SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 13
Le caractère plurifonctionnel de ces espaces est un atout :
• un jardin pour les enfants peut servir de bassin de
récupération des eaux pluviales lors des orages occasionnels ;
• des déchets végétaux issus de la tonte d’un jardin
particulier ou de la taille des arbres peuvent servir à
réenrichir le sol, la terre des espaces publics plantés.
Ici l’optimisation est double : les déchets ne sont pas
déplacés, ne génèrent pas de GES et la qualité des
sols s’est améliorée.
« Laisser réémerger l’eau en milieu urbain présente plusieurs avantages : c’est premièrement une pédagogie
accrue car l’eau n’est plus cachée, on suit son abondance
ou son absence ; c’est aussi une réponse au réchauffement
climatique ; c’est enfin ne plus chercher à la dominer avec
force d’ouvrages coûteux et contraignants, ce qui nous
conduit à une économie globale. » Thierry Maytraud
Il devient alors nécessaire de réfléchir à l’échelle de l’aire
urbaine afin de localiser les potentiels effets de masse, et
d’organiser :
• l’accès de chacun à la ressource naturelle pour la
détente quotidienne (petit square ou jardin) ou plus
exceptionnelle (accès à la forêt, à la pleine nature),
• les fluctuations de l’eau avec les problématiques
de risques (inondations, fortes pluies…), mais aussi
de gestion de la ressource en eau sur le long terme
(avec par exemple la réinfiltration de l’eau dans les
sols et dans les nappes phréatiques),
• l’articulation entre les deux pour une robustesse
climatique, en travaillant par exemple sur des îlots de
chaleur (microclimats artificiels).
L’eau circule sous les bâtiments depuis 400 ans, Katsura, villa impériale,
Kyoto (Japon), 2004. © Photo Atelier act urba
Le chemin de l’eau structure les aménagements d’un parc, Allemagne, 2007.
© Photo Atelier act urba
« Il n’y a pas de principe idéal en matière de gestion de
l’eau, comme des autres thématiques du développement
durable ; les solutions doivent s’adapter aux situations :
si l’infiltration à la parcelle est une solution durable en
milieu périurbain, elle l’est moins en ville où les sols sont
durablement imperméabilisés et souvent pollués. » Thierry
Maytraud
VOIR ANNEXE EAU ET BIODIVERSITÉ
La circulation de l’eau s’adapte à son environnement, Allemagne, 2007.
© Photo Atelier act urba
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SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 14
L’ÉNERGIE
Cette thématique touche au plus près l’habitant de
manière intrinsèque dans son rapport au corps, au travers
de la thermique, mais également au travers des appareils
qui sont en quelque sorte le prolongement de la personne.
L’aspect économique est également partageable car la facture énergétique touche tous les foyers. Inversement, les
enjeux liés aux sources d’énergie et à leurs acheminements
restent très abstraits pour les usagers finaux que sont
les habitants, même s’ils sont médiatisés, par exemple à
l’occasion de problèmes géopolitiques.
Atrium bioclimatique, lycée Kyoto, Poitiers (86), architectes : SCAU, 2013.
© Photo Bureau d’étude Tribu
VOIR SCHÉMA RÉCAPITULATIF ÉNERGIE
La question de l’énergie recoupe trois problématiques :
• l’économie d’énergie à la source,
• la production d’énergie,
• l’acheminement et la distribution de l’énergie.
La première cible est la réduction de la consommation
énergétique des bâtiments grâce à :
• une bonne isolation,
• une orientation en lien avec l’ensoleillement,
• une production possible d’énergie à l’échelle du bâtiment.
Il ressort de ces dispositifs une forte contrainte pour l’habitant qui se traduit souvent par « je ne dois plus ouvrir ma
fenêtre », et aussi pour le gestionnaire puisqu’une forte
technicité est requise pour actionner certains dispositifs
énergétiques dans les bâtiments collectifs par exemple.
Volume bio-climatique, opération de 6 logements à Eze (06), CAB architectes, Photo © Atelier act urba.
leschantiersleroymerlinsource
La desserte énergétique des espaces soulève d’autres problématiques :
• l’approvisionnement : géographie de la production,
liens entre la source et les espaces desservis,
• la régulation entre production et consommation (par
exemple, on sait que ce n’est pas en été que l’on a le
plus besoin de se chauffer),
• et enfin la souplesse.
« Chaque source énergétique a ses avantages et inconvénients. Si l’on regarde la biomasse par exemple, la
difficulté est de la transporter, on en revient au seau à
charbon qu’il faut aller chercher. Les usagers ne sont pas
prêts, ils préfèrent ouvrir un robinet. Si l’on raisonne avec
les biomasses de seconde génération (déchets agricoles,
algues…), on est face à une production décentralisée qu’il
faut acheminer également. La solution est dans la gestion
du foisonnement des sources. » Alain Bornarel
Rue couverte, Monaco, 2012. © Atelier act urba.
SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 15
LES DÉCHETS
Les déchets, comme l’énergie, ont un rapport de forte
proximité à l’usager avec la particularité d’être plus visibles
dans le logement, dans l’immeuble, dans le quartier. Nous
aborderons principalement les déchets ménagers, mais les
autres déchets (chantiers, industrie…) ont des problématiques propres que nous esquisserons. Rappelons que les
déchets de chantier par exemple représentent cinq fois le
tonnage des déchets ménagers en France par an. L’habitant n’est pas concerné directement par la problématique
des déchets inertes qui renvoie davantage à l’économie et
à l’écologie urbaine.
Parking d’un supermarché avec couverture photovoltaïque, Montpellier (34),
2008. © Photo Atelier act urba
C’est pourquoi nous avons souhaité questionner une
échelle intermédiaire, encore à définir, mais qui permettrait :
• d’optimiser les sources (bouquets d’énergies, smartgrids...),
• d’établir des équilibres entre les bâtiments anciens
peu performants (même réhabilités) et les bâtiments
neufs,
• d’établir des équilibres entre les différentes temporalités jour/nuit, saisons…
Cette échelle viserait à redonner de l’habitabilité aux bâtiments (simplifier le niveau de technicité afin de rendre les
dispositifs techniques accessibles à tout un chacun, ne pas
trop contraindre les usages et les espaces par des appareils
et/ou des implantations impropres à l’habitation), mais
aussi à optimiser la gestion des systèmes.
« À l’échelle d’un bâtiment, il n’y a pas de concomitance
entre les moments de production et les moments d’utilisation de l’énergie photovoltaïque, ce qui annule pour les
habitants l’intérêt de tels dispositifs. Leur bonne échelle se
situe vraisemblablement entre celles de l’îlot et du quartier
afin d’assurer la gestion de la production et de la consommation grâce à un système de smart grids. » Alain Bornarel
VOIR SCHÉMA RÉCAPITULATIF DÉCHETS
Les déchets, comme l’énergie, soulèvent plusieurs questions :
• la réduction des déchets à la source :
-- trier,
-- nourrir des animaux avec les déchets alimentaires,
-- conserver la part fermentescible des déchets et
faire du compost :
-- pour les plantes de son balcon,
-- pour le jardin de l’immeuble,
-- pour enrichir les jardins publics…
Les poules se nourrissent de déchets organiques, Parc d’activités de la HauteBorne, Villeneuve d’Ascq (59), 2011. © Photo Atelier act urba
VOIR ANNEXE ÉNERGIE
Compostage de quartier dans le cadre du « Bronx green-up programme »,
New-York (USA). © Photo Juliette Spertus
leschantiersleroymerlinsource
SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 16
• le stockage de ces déchets, en faisant la part entre ce
qui peut être :
-- réutilisé (les ressourceries),
-- recyclé,
-- stocké ou détruit.
• Où est-il plus performant de prévoir des points
d’apport volontaire (optimiser le ramassage et les
émissions liées au transport) :
-- au niveau de l’îlot ?
-- au niveau du quartier ?
-- au niveau de l’agglomération ?
« Le fait de déplacer l’acte de collecte du logement à un
espace commun permet de questionner les limites entre
ce que l’on maîtrise et ce que l’on délègue à la collectivité. Cet ajustement, s’il est travaillé avec les habitants,
peut générer d’importants bénéfices environnementaux. »
Juliette Spertus
Tri sélectif dans le logement : trois réceptacles (le compost, les produits
recyclables et les déchets divers), San Francisco (USA). © Juliette Spertus
Tri sélectif collectif dans le quartier Vauban à Fribourg (Allemagne), 2007.
© Photo Atelier act urba
Il y a très certainement un équilibre économique à trouver
entre :
• l’usager :
-- ce qu’il peut stocker chez lui,
-- ce qu’il peut déposer à l’occasion d’autres motifs
de déplacement (les enfants, les courses, le travail…) ;
• l’opérateur en charge du ramassage qui prend en
compte :
-- le maillage de la collecte (passage des véhicules),
-- la fréquence des ramassages,
-- les points de destination, etc.
« Un autre exemple : les sites pollués dans la ville. Il apparaît aujourd’hui plus rentable de dépolluer un site de
manière lente plutôt que de le réinvestir immédiatement.
Ce changement de vision de l’économie du déchet permet
la création de nouvelles chaînes d’activités économiques,
en amenant ces dernières à se déplacer davantage dans la
ville. » Patrice Noisette
Cet équilibre est très certainement encore à travailler, de
même que la visibilité de l’ensemble de la chaîne de traitement des déchets.
Tri sélectif dans l’espace public, trois réceptacles : le compost, les produits
recyclables et les déchets divers, San Francisco (USA). © Juliette Spertus
C’est ce dernier aspect de la question qui mérite d’être
précisé :
• est-il souhaitable de stocker et pour combien de
temps :
-- dans son logement ?
-- dans son immeuble ?
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« Les centres de traitement et de transfert des déchets
sont des équipements lourds pour lesquels il est difficile de
trouver une place dans la ville et que les habitants essaient
en général de repousser le plus loin possible de chez eux. Il
faut donc travailler à leur acceptabilité. La visibilité est un
premier pas vers cette acceptabilité. À New-York, l’usine de
méthanisation compte parmi les sites les plus prisés lors
des journées portes ouvertes des services municipaux. »
Juliette Spertus
VOIR ANNEXE DÉCHETS
SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 17
L’APPROVISIONNEMENT
L’approvisionnement pose la question de la production :
où et comment sont produits notre nourriture et les autres
biens de consommation ? Mais également celle de leur
acheminement jusqu’à l’habitat et au consommateur final.
La question des lieux de production ne sera pas développée, même si localisation et acheminement restent très liés.
VOIR SCHÉMA RÉCAPITULATIF APPROVISIONNEMENT
L’enjeu concernant l’approvisionnement est double :
• il s’agit premièrement de mettre en œuvre les
circuits courts, ce qui induit un travail à l’échelle territoriale mais aussi très locale, puisque rapprocher la
production du destinataire final pose la question de
la qualité de la ressource naturelle mais aussi celle
du foncier (sur ces aspects, les enjeux de production croisent ceux des thématiques de l’eau et de la
biodiversité avec par exemple la pression foncière,
l’imperméabilisation…) ;
• la seconde piste est celle de l’acheminement qui
recoupe également la thématique des déplacements
avec la nécessité de réfléchir à :
-- cumuler les différents motifs pour prendre son
vélo ou les transports collectifs : « je vais dans le
centre pour travailler, je dépose mes déchets au
pôle relais de quartier, je dépose mes affaires au
pressing de la gare, et le soir quand je rentre, je
prends mon panier alimentaire. Le week-end, je
vais à la gare pour faire mes achats occasionnels
et pour rejoindre le parc régional naturel… » ;
-- optimiser les chaînes de déplacement existantes :
le coursier transporte des livraisons à bord de son
véhicule, mais embarque aussi à son bord des
passagers sur un trajet défini.
« Dans la ville durable, ce sont le piéton et le vélo qui font
le dernier kilomètre. Le dernier kilomètre, c’est le plus dur à
parcourir et aussi le plus cher dans la chaîne d’approvisionnement urbain ou rural. » Patrick Lernould
Sans organiser l’ensemble du système urbain, il convient
d’au moins permettre ces usages cumulatifs afin qu’ils
s’amplifient, se renforcent les uns les autres… pour une
ville plus robuste.
Jardin partagé sur le toit d’un gymnase, zac de la Réunion, Paris XXe (75),
2010. © Photo Atelier act urba
Le potager de la Reine à
Versailles (78) : un univers
maraîcher reconstitué. ©
photo Atelier act urba
Porter ses courses jusqu’à sa maison, cité
Manifeste, Mulhouse (68), 2007. © photo
Atelier act urba
Distributeur de lait local, Mordelles (35). © Ph. Atelier act urba
VOIR ANNEXE APPROVISIONNEMENT
Marché aux chevaux en plein cœur de Dublin (Irlande), 2010. © Photo
Atelier act urba
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SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 18
SYNTHÈSE CONCLUSIVE
LES PREMIERS CONSTATS ISSUS DU TRAVAIL
THÉMATIQUE ET DES ENTRETIENS
Les problématiques environnementales
et l’échelle de l’îlot
L’exercice visant à retranscrire les pistes d’optimisation
environnementale des espaces urbains depuis le logement
jusqu’à l’agglomération nous éclaire sur le rôle de l’urbanisme dans la mise en œuvre des territoires durables mais
aussi sur les limites de l’exercice. D’autres disciplines y participent également : les sciences, techniques ou sociales, ou
encore l’économie et la gouvernance. Ces paramètres n’ont
pas été spécifiquement développés ici, mais demeurent au
cœur de certains de nos questionnements.
L’échelle de l’îlot a été particulièrement travaillée au travers des écoquartiers. Ces écoquartiers ont permis d’expérimenter la construction étendue de bâtiments performants,
et parfois une certaine mutualisation des équipements
(énergie, gestion de l’eau, déchets, stationnement…).
Les problématiques environnementales
et l’échelle du bâtiment
À l’échelle de la maison, de l’immeuble, les problématiques environnementales ont fait l’objet d’une approche
très technique et économique (économie de la construction, économie d’investissement…). Les limites de cette
échelle résident à plusieurs niveaux : la capacité de la
filière construction à accélérer son évolution vers des produits et des mises en œuvre plus durables, les marges de
co-adaptation entre des produits techniques et les usagers. Sur ce dernier aspect, il faut noter que des travaux
ont apporté des retours d’expériences intéressants sur la
manière dont sont vécus les premiers bâtiments à haute
performance environnementale2. La mutualisation des
solutions notamment énergétiques se pose difficilement à
cette échelle. Mettre un panneau photovoltaïque sur le toit
du voisin présente en effet une certaine complexité juridique, mais également sociale et culturelle. En revanche,
rendre les logements et les bâtiments beaucoup plus
souples et plus adaptables est un enjeu majeur des nouvelles formes de sociabilité et de mutualisation en fonction
des cycles de vie.
VOIR ANNEXE PETITE ET GRANDE PARCELLE
2
« Pratiques de consommation d’énergie dans les bâtiments
pionniers à haute performance énergétique », Chantal Dequenne,
Gaëtan Brisepierre et Thierry Roche, chantier Leroy-Merlin Source,
et « Performance énergétique versus confort de l’habitat, vers des
solutions soft-tech ? », Laurena Cazeaux, Marine Morain et Michel
Bertou, chantier Leroy-Merlin Source
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Les écoquartiers ne concernent néanmoins qu’une
petite partie des territoires et sont encore souvent des
quartiers en extension, conçus comme des greffes de territoires exceptionnels au sein de quartiers plus hétérogènes.
Les écoquartiers sont nécessaires mais non suffisants. Il
s’agirait ici d’imaginer d’autres interactions avec la ville
existante, d’autres modes d’insertion, d’autres échanges
avec le système urbain pris dans sa globalité, qu’ils soient
d’usages ou environnementaux. Pour cela, il faut sans
doute changer de conception de l’opération d’aménagement basée sur un périmètre prédéfini et sur un modèle
économique centré sur le compte à rebours du promoteur.
VOIR ANNEXE ÎLOT
VOIR ANNEXE QUARTIER
Les problématiques environnementales
et l’échelle de l’agglomération
Les problématiques environnementales à l’échelle de
l’agglomération sont traitées dans des documents très
spécifiques, quand ils existent : plans de prévention des
risques, plans climat-énergie territoriaux (PCET), agenda
21... Ces documents sectoriels peinent à dialoguer avec
les SCOT ou les PLU, principaux documents de planification opposables au tiers malgré l’introduction de certains
outils transversaux comme les approches environnementales de l’urbanisme (AEU) mises en place par l’Ademe.
De plus, il est à noter un manque d’interactions entre la
programmation des grands services urbains et l’exercice de
planification. Les approches par périmètre (un écoquartier),
par projet (une trame verte et bleue) ou par thématique
(un plan de déplacement) contribuent à la mise en œuvre
des territoires durables, mais ne permettent pas d’élaborer
l’approche intégrée, transversale et cohérente, nécessaire à
la construction de territoires durables.
VOIR ANNEXE AGGLOMÉRATION
SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 19
Un travail qui fait apparaître deux grandes
familles parmi les échelles
Les schémas font apparaître deux grandes familles de
solutions environnementales : de la maison à l’îlot où la
problématique est celle de l’économie de la ressource en
amont avec également une forte implication des habitants.
Un second groupe qui peut intégrer l’îlot mais concerne
surtout le quartier et l’agglomération : cette famille fonctionne davantage sur la circulation et la péréquation de la
ressource (ex : recyclage, réusage, échange et partage de
services). Ces échelles renvoient de manière plus explicite
à la sphère publique, à son rôle et ses outils en matière
de péréquation qui devraient être partiellement repensés
(ex : économie circulaire à organiser, fiscalité écologique à
mettre en place sur l’énergie, les déplacements).
Un angle mort dans la pratique de l’urbanisme
durable : les espaces urbains constitués
Les grands dispositifs développés pour une optimisation
environnementale des espaces urbains l’ont été principalement sur de nouveaux quartiers ou des quartiers fortement renouvelés. Or, la recherche a mis en évidence la part
significative que représente la reconversion du parc existant, en matière de performance énergétique notamment.
Ces espaces cumulent souvent les sensibilités : qualités
patrimoniales mais sensibilité environnementale, espaces
habités et souvent par des populations précaires et peu
mobiles, etc.
Les solutions qui permettront de faire évoluer la ville
existante sont donc largement à explorer. La ville durable
ne doit pas rester l’apanage des nouveaux quartiers. De
nouvelles solidarités environnementales sont certainement
encore à imaginer.
LES QUESTIONS À APPROFONDIR
Ajuster le curseur entre les différentes échelles
et les responsabilités
Entre usage et économie, il devient nécessaire de réinterroger les optimums :
• Est-il souhaitable et viable de stocker nos déchets
quotidiens chez nous, dans l’immeuble ou au niveau
de l’îlot ?
• Existe-t-il une solution optimale entre chauffage
individuel et réseau de chaleur et suivant quels
contextes ?
• Comment mettre en œuvre la densité urbaine tout
en conservant une place à la biodiversité ?
• Dans quelle mesure faut-il faire évoluer les pratiques
des habitants ? et sur quelles échelles temporelles ?
en fonction de quelles urgences ou nécessités collectives ?
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• Quelles solutions peuvent apporter les opérateurs ?
• Avec quelle mission de service public (intérêt général, intérêt collectif) ?
Interroger les croisements thématiques
Cette étude a mis en évidence l’importance des
espaces où se superposent plusieurs fonctions renvoyant
à plusieurs thématiques environnementales dans un même
espace. Nous citerons l’exemple des jardins en cœur d’îlot
qui cumulent des enjeux de gestion alternative des eaux
pluviales, de biodiversité, de robustesse climatique, mais
également de récréation, de convivialité ou encore celui
des trames vertes et bleues, supports de déplacement et
d’accueil des déchets inertes de manière provisoire, et
qui bien sûr constituent l’armature paysagère et végétale
territoriale.
L’effet amplificateur que peuvent avoir le croisement
des différentes thématiques environnementales et
également les pistes d’économie en matière de gestion des
espaces n’est pas négligeable. Cette complexification des
usages pose la question de leur gestion, mais aussi de leur
planification et de leur financement :
• Quels nouveaux croisements vont permettre de
construire un cadre de vie plus robuste ?
• Comment interconnecter les différentes filières ?
• À quels niveaux de planification et de programmation ?
• Suivant quels principes de gestion et quels équilibres
économiques ?
Imaginer de nouveaux modèles
La perméabilité des échelles et des responsabilités, l’intrication et la mutualisation des fonctions sont autant de
défis pour construire des territoires agiles et robustes à la
fois.
Ainsi, les grands services urbains doivent pouvoir gérer
la complexité si l’on souhaite rendre acceptable la tâche
de l’usager final. Pour ce faire, les services doivent se spécialiser et donc se complexifier. Aussi, il devient nécessaire
d’explorer de nouvelles pistes :
• De nouveaux services peuvent-ils se mettre en place
entre le logement, le quartier et l’agglomération ?
• Les acteurs d’aujourd’hui (grands délégataires de
services publics) vont-ils faire évoluer leurs pratiques ?
• De nouveaux acteurs vont-ils émerger avec l’opportunité d’une économie de services amplifiée et complexifiée?
SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 20
QUELQUES PISTES POUR ALLER PLUS LOIN Nous avons placé le curseur des échelles et des solutions à partir de nos connaissances, d’expériences connues
et de quelques interprétations et propositions personnelles.
Cette mise à plat des interrelations entre échelles et thématiques est une première approche qui vise davantage
à questionner qu’à proposer un modèle à suivre. Maintenant, il nous semble important d’interpeller les habitants,
les usagers, mais aussi les gestionnaires, les opérateurs, les
financeurs et les élus des collectivités sur ces questions.
Notre objectif est de faire avancer le débat et surtout les
solutions pour engager la transition de nos villes vers la
ville post-carbone.
Pour faire suite à ce premier travail, nous proposons
plusieurs pistes à explorer :
• travailler sur l’optimum économique et social des
services urbains, en rencontrant les utilisateurs et les
opérateurs par un travail d’écoute, d’analyse pour
aller vers la recherche de solutions. Cette entrée
nécessite de mobiliser des compétences en ingénierie, en économie et également en sociologie. Il est
possible ici encore d’impliquer des experts susceptibles de relayer ces différentes approches ;
• explorer les gisements urbanistiques qui permettront
de mettre en œuvre ces nouvelles solutions, en analysant différents contextes urbains (contextes environnementaux, systèmes urbains, gisements fonciers,
dynamiques urbaines…) et leur potentiel d’évolution. Cette approche est avant tout une approche
d’analyse urbaine et nécessite d’avoir exploré le
point précédent ;
• expérimenter, en explorant des dispositifs et des
outils, en testant des solutions en co-conception avec
l’ensemble des acteurs de la chaîne au travers de cas
concrets. Cette approche requiert une forte capacité
de projet et aussi de trouver un ou des terrains d’expérimentation pertinents, ainsi que des acteurs susceptibles de porter le projet. Cette approche concrète
et transversale reste la plus prometteuse et peut permettre d’intégrer les deux premières en dynamique.
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SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 21
ANNEXES GRAPHIQUES
LES SCHÉMAS PAR THÉMATIQUES
LES SCHÉMAS PAR ÉCHELLES
ANNEXE DÉPLACEMENTS
ANNEXE PETITE ET GRANDE PARCELLE
ANNEXE EAU ET BIODIVERSITÉ
ANNEXE ÎLOT
ANNEXE ÉNERGIE
ANNEXE QUARTIER
ANNEXE DÉCHETS
ANNEXE AGGLOMÉRATION
ANNEXE APPROVISIONNEMENT
LES RÉFÉRENCES
LES EXPERTS INTERROGÉS
Juliette Spertus
Architecte-chercheur, New-York
Alain Bornarel
Co-gérant du bureau d’études Tribu
Patrick Lernould
Spécialiste en ingénierie des déplacements.
Thierry Maytraud
Urbaniste hydrologue, bureau d’études ATM
Patrice Noisette
Économiste, professeur à l’École supérieure des sciences
économiques et commerciales (ESSEC) Paris
BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE
Anne Bretagnolle
Systèmes de villes et résilience : une approche dans la
longue durée, Séminaire « Résilience », École normale
supérieure, 28 janvier 2010
Cyria Emelianoff, Nathalie Blanc
L’investissement habitant des lieux et milieux de vie : une
condition du renouvellement urbain ? Étude prospective.
France, États-Unis, Russie, Pays-Bas, Allemagne. Laboratoire dynamiques sociales et recomposition des espaces
(LaDyss), ESO n°28, mai 2009. http://eso.cnrs.fr/TELECHARGEMENTS/revue/ESO_28/Blanc_Emelianoff.pdf
Marine Morain, Lauréna Cazeaux
L’architecture soft-tech. La recherche de la technique non
traumatisante, Leroy Merlin Source, 2014, consultable sur
leroymerlinsource.fr
Francis Aubert, Emmanuelle Georges-Marcelpoil,
Caroline Larmagnac
Processus et scénarios de 7 systèmes spatiaux, Les villes
intermédiaires et leurs espaces de proximité, Territoires
2040 n°4, Des systèmes spatiaux en prospective. http://territoires2040.datar.gouv.fr/spip.php?rubrique48&revue=
leschantiersleroymerlinsource
SOMMAIRE
Les échelles du développement durable / mars 2014 / page 22
Gaëtan Brisepierre
Les conditions sociales et organisationnelles d’une performance énergétique in vivo dans les bâtiments neufs, Leroy
Merlin Source, 2013, consultable sur leroymerlinsource.fr
Pierre Calame
Le territoire, acteur pivot du XXIe siècle, Essai sur l’oeconomie, édition Charles Leopold Mayer, 2009
Michel Godet, Philippe Durance, Marc Mousli
Créativité et innovation dans les territoires, Conseil d’analyse économique, rapport, 2010
Michel Lussault
Processus et scénarios de 7 systèmes spatiaux, L’urbainmétropolisé français dans la mondialisation, Territoires
2040 n°4, Des systèmes spatiaux en prospective. http://territoires2040.datar.gouv.fr/spip.php?rubrique45&revue=
Serge Salat, avec la collaboration
de Françoise Labbé et Caroline Nowacki
Les villes et les formes, sur l’urbanisme durable. CSTB, Hermann, éditeurs des sciences et des arts, 543 p., ill., 2011
Jacques Theys, Cyria Emelianoff
Les contradictions de la ville durable, Gallimard Le Débat,
2001/1 - n° 113, pages 122 à 135
Site : http://territoires2040.datar.gouv.fr
ACRONYMES
AEU
Approches environnementales de l’urbanisme
GES
Gaz à effet de serre
PCET
Plans climat-énergie territoriaux
PLU
Plan local d’urbanisme
SCOT
Schéma de cohérence territoriale
leschantiersleroymerlinsource
SOMMAIRE
Créé par LEROY MERLIN en 2005, LEROY MERLIN SOURCE réunit des chercheurs, des enseignants et
des professionnels qui ont accepté de partager leurs savoirs et leurs connaissances avec les collaborateurs
de l’entreprise. Au sein de trois pôles, Habitat et autonomie, Habitat, environnement et santé, Usages et
façons d’habiter, ils élaborent des savoirs originaux à partir de leurs pratiques, réflexions et échanges.
Ils travaillent de manière transversale au sein de chantiers dont les thèmes sont définis annuellement par
la communauté des membres des groupes de travail, en écho aux axes stratégiques de l’entreprise.
Les résultats de ces chantiers sont transmis aux collaborateurs de Leroy Merlin et aux acteurs de la chaîne
de l’habitat au travers de journées d’études (sept depuis 2007 qui couvrent les trois thématiques de
réflexion et de travail), d’interventions en interne et de prises de parole dans le cadre des Assises de
l’habitat organisées par l’entreprise.
Ces collaborations actives donnent également lieu à des publications à découvrir sur le site de Leroy
Merlin Source.
www.leroymerlinsource.fr
en partenariat avec :
LES DÉPLACEMENTS EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITEPARCELLE
PARCELLE
PETITE
GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
PIÉTON
VÉLO
BUS
5 mn = 300 m
15 mn = 1 km
5 mn = 1 km
15 mn = 3,5 km
5 mn = 800 m
15 mn = 2,5 km
STATIONNEMENT
EXTÉRIEUR VÉLO
SURFACE DE
RÉPARATION
ET/OU ABRI VÉLOS
(NON CHAUFFÉ)
STATIONNEMENT PRIVÉ
MUTUALISÉ
STATIONNEMENT
PRIVÉ ET/OU PUBLIC
MUTUALISÉ + SERVICES
À LA MOBILITÉ
STATIONNEMENT
PUBLIC + SERVICES
À LA MOBILITÉ
SERVICES EN GARE
LES DÉPLACEMENTS EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDEPARCELLE
PARCELLE
GRANDE
ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
PIÉTON
VÉLO
BUS
5 mn = 300 m
15 mn = 1 km
5 mn = 1 km
15 mn = 3,5 km
5 mn = 800 m
15 mn = 2,5 km
STATIONNEMENT
EXTÉRIEUR VÉLO
SURFACE DE
RÉPARATION
ET/OU ABRI VÉLOS
(NON CHAUFFÉ)
STATIONNEMENT PRIVÉ
MUTUALISÉ
STATIONNEMENT
PRIVÉ ET/OU PUBLIC
MUTUALISÉ + SERVICES
À LA MOBILITÉ
STATIONNEMENT
PUBLIC + SERVICES
À LA MOBILITÉ
SERVICES EN GARE
LES DÉPLACEMENTS EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT
ÎLOT
QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
PIÉTON
VÉLO
BUS
5 mn = 300 m
15 mn = 1 km
5 mn = 1 km
15 mn = 3,5 km
5 mn = 800 m
15 mn = 2,5 km
STATIONNEMENT
EXTÉRIEUR VÉLO
SURFACE DE
RÉPARATION
ET/OU ABRI VÉLOS
(NON CHAUFFÉ)
STATIONNEMENT PRIVÉ
MUTUALISÉ
STATIONNEMENT
PRIVÉ ET/OU PUBLIC
MUTUALISÉ + SERVICES
À LA MOBILITÉ
STATIONNEMENT
PUBLIC + SERVICES
À LA MOBILITÉ
SERVICES EN GARE
LES DÉPLACEMENTS EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER
QUARTIER
RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
PIÉTON
VÉLO
BUS
5 mn = 300 m
15 mn = 1 km
5 mn = 1 km
15 mn = 3,5 km
5 mn = 800 m
15 mn = 2,5 km
STATIONNEMENT
EXTÉRIEUR VÉLO
SURFACE DE
RÉPARATION
ET/OU ABRI VÉLOS
(NON CHAUFFÉ)
STATIONNEMENT PRIVÉ
MUTUALISÉ
STATIONNEMENT
PRIVÉ ET/OU PUBLIC
MUTUALISÉ + SERVICES
À LA MOBILITÉ
STATIONNEMENT
PUBLIC + SERVICES
À LA MOBILITÉ
SERVICES EN GARE
LES DÉPLACEMENTS EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
PIÉTON
VÉLO
BUS
5 mn = 300 m
15 mn = 1 km
5 mn = 1 km
15 mn = 3,5 km
5 mn = 800 m
15 mn = 2,5 km
STATIONNEMENT
EXTÉRIEUR VÉLO
SURFACE DE
RÉPARATION
ET/OU ABRI VÉLOS
(NON CHAUFFÉ)
STATIONNEMENT PRIVÉ
MUTUALISÉ
STATIONNEMENT
PRIVÉ ET/OU PUBLIC
MUTUALISÉ + SERVICES
À LA MOBILITÉ
STATIONNEMENT
PUBLIC + SERVICES
À LA MOBILITÉ
SERVICES EN GARE
SCHÉMA RÉCAPITULATIF DÉPLACEMENTS
RETOUR CHANTIER
LÉGENDES
PIÉTON
VÉLO
BUS
5 mn = 300 m
15 mn = 1 km
5 mn = 1 km
15 mn = 3,5 km
5 mn = 800 m
15 mn = 2,5 km
STATIONNEMENT
EXTÉRIEUR VÉLO
SURFACE DE
RÉPARATION
ET/OU ABRI VÉLOS
(NON CHAUFFÉ)
STATIONNEMENT PRIVÉ
MUTUALISÉ
STATIONNEMENT
PRIVÉ ET/OU PUBLIC
MUTUALISÉ + SERVICES
À LA MOBILITÉ
STATIONNEMENT
PUBLIC + SERVICES
À LA MOBILITÉ
SERVICES EN GARE
L’EAU ET LA BIODIVERSITÉ EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITEPARCELLE
PARCELLE
PETITE
GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
INDIVIDUEL
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
COLLECTIF
RÉCUPÉRATION
DES DÉCHETS VERTS
POUR PROTECTION
OU ENRICHISSEMENT
DES SOLS
ÎLOT DE CHALEUR
RÉINFILTRATION DE L’EAU
DANS LA NAPPE PHRÉATIQUE
TRAME VERTE
ET BLEUE
CORRIDOR
ÉCOLOGIQUE
ET DÉTENTE
ÎLOT VERT ET BLEU
RÉCUPÉRATION DE
L’EAU DE PLUIE DES
ESPACES IMPERMÉABILISÉS
CIRCULATION DE L’EAU
EN ZONE URBAINE
QUAND C’EST POSSIBLE
L’EAU ET LA BIODIVERSITÉ EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDEPARCELLE
PARCELLE
GRANDE
ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
INDIVIDUEL
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
COLLECTIF
RÉCUPÉRATION
DES DÉCHETS VERTS
POUR PROTECTION
OU ENRICHISSEMENT
DES SOLS
ÎLOT DE CHALEUR
RÉINFILTRATION DE L’EAU
DANS LA NAPPE PHRÉATIQUE
TRAME VERTE
ET BLEUE
CORRIDOR
ÉCOLOGIQUE
ET DÉTENTE
ÎLOT VERT ET BLEU
RÉCUPÉRATION DE
L’EAU DE PLUIE DES
ESPACES IMPERMÉABILISÉS
CIRCULATION DE L’EAU
EN ZONE URBAINE
QUAND C’EST POSSIBLE
L’EAU ET LA BIODIVERSITÉ EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT
ÎLOT
QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
INDIVIDUEL
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
COLLECTIF
RÉCUPÉRATION
DES DÉCHETS VERTS
POUR PROTECTION
OU ENRICHISSEMENT
DES SOLS
ÎLOT DE CHALEUR
RÉINFILTRATION DE L’EAU
DANS LA NAPPE PHRÉATIQUE
TRAME VERTE
ET BLEUE
CORRIDOR
ÉCOLOGIQUE
ET DÉTENTE
ÎLOT VERT ET BLEU
RÉCUPÉRATION DE
L’EAU DE PLUIE DES
ESPACES IMPERMÉABILISÉS
CIRCULATION DE L’EAU
EN ZONE URBAINE
QUAND C’EST POSSIBLE
L’EAU ET LA BIODIVERSITÉ EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER
QUARTIER
RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
INDIVIDUEL
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
COLLECTIF
RÉCUPÉRATION
DES DÉCHETS VERTS
POUR PROTECTION
OU ENRICHISSEMENT
DES SOLS
ÎLOT DE CHALEUR
RÉINFILTRATION DE L’EAU
DANS LA NAPPE PHRÉATIQUE
TRAME VERTE
ET BLEUE
CORRIDOR
ÉCOLOGIQUE
ET DÉTENTE
ÎLOT VERT ET BLEU
RÉCUPÉRATION DE
L’EAU DE PLUIE DES
ESPACES IMPERMÉABILISÉS
CIRCULATION DE L’EAU
EN ZONE URBAINE
QUAND C’EST POSSIBLE
L’EAU ET LA BIODIVERSITÉ EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
INDIVIDUEL
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
COLLECTIF
RÉCUPÉRATION
DES DÉCHETS VERTS
POUR PROTECTION
OU ENRICHISSEMENT
DES SOLS
ÎLOT DE CHALEUR
RÉINFILTRATION DE L’EAU
DANS LA NAPPE PHRÉATIQUE
TRAME VERTE
ET BLEUE
CORRIDOR
ÉCOLOGIQUE
ET DÉTENTE
ÎLOT VERT ET BLEU
RÉCUPÉRATION DE
L’EAU DE PLUIE DES
ESPACES IMPERMÉABILISÉS
CIRCULATION DE L’EAU
EN ZONE URBAINE
QUAND C’EST POSSIBLE
SCHÉMA RÉCAPITULATIF EAU ET BIODIVERSITÉ
RETOUR CHANTIER
LÉGENDES
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
INDIVIDUEL
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
COLLECTIF
RÉCUPÉRATION
DES DÉCHETS VERTS
POUR PROTECTION
OU ENRICHISSEMENT
DES SOLS
ÎLOT DE CHALEUR
RÉINFILTRATION DE L’EAU
DANS LA NAPPE PHRÉATIQUE
TRAME VERTE
ET BLEUE
CORRIDOR
ÉCOLOGIQUE
ET DÉTENTE
ÎLOT VERT ET BLEU
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
DES ESPACES
IMPERMÉABILISÉS
CIRCULATION DE L’EAU
EN ZONE URBAINE
QUAND C’EST POSSIBLE
L’ÉNERGIE EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITEPARCELLE
PARCELLE
PETITE
GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
ISOLATION
PERFORMANTE
ET ÉNERGIE
SOLAIRE
ISOLATION
DOUBLE PEAU
ET ARCHITECTURE
BIOCLIMATIQUE
(SERRES OU AUTRES)
RÉSEAU DE CHALEUR
POUR LES BÂTIMENTS DE
MOINDRE PERFORMANCE
ÉNERGÉTIQUE
POMPE À CHALEUR
GÉOTHERMIE
ÉNERGIE BIOMASSE
MÉTABOLISME URBAIN
(COMBUSTIBLE : PART
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
FERMENTESCIBLE DES DÉCHETS MÉ-
SONT LES COMBUSTIBLES D’UNE
NAGERS OU AUTRES ALGUES, DÉCHETS
SECONDE ACTIVITÉ)
AGRICOLES, ETC.)
ÉNERGIE
ÉOLIENNE
SOUVENT
DÉCENTRALISÉE
PÔLE RELAIS PERMETTANT
DE GÉRER LE FOISONNEMENT
DES SOURCES ÉNERGÉTIQUES
ET LEUR REDISTRIBUTION
(SMART-GRID)
L’ÉNERGIE EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDEPARCELLE
PARCELLE
GRANDE
ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
ISOLATION
PERFORMANTE
ET ÉNERGIE
SOLAIRE
ISOLATION
DOUBLE PEAU
ET ARCHITECTURE
BIOCLIMATIQUE
(SERRES OU AUTRES)
RÉSEAU DE CHALEUR
POUR LES BÂTIMENTS DE
MOINDRE PERFORMANCE
ÉNERGÉTIQUE
POMPE À CHALEUR
GÉOTHERMIE
ÉNERGIE BIOMASSE
MÉTABOLISME URBAIN
(COMBUSTIBLE : PART
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
FERMENTESCIBLE DES DÉCHETS MÉ-
SONT LES COMBUSTIBLES D’UNE
NAGERS OU AUTRES ALGUES, DÉCHETS
SECONDE ACTIVITÉ)
AGRICOLES, ETC.)
ÉNERGIE
ÉOLIENNE
SOUVENT
DÉCENTRALISÉE
PÔLE RELAIS PERMETTANT
DE GÉRER LE FOISONNEMENT
DES SOURCES ÉNERGÉTIQUES
ET LEUR REDISTRIBUTION
(SMART-GRID)
L’ÉNERGIE EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT
ÎLOT
QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
ISOLATION
PERFORMANTE
ET ÉNERGIE
SOLAIRE
ISOLATION
DOUBLE PEAU
ET ARCHITECTURE
BIOCLIMATIQUE
(SERRES OU AUTRES)
RÉSEAU DE CHALEUR
POUR LES BÂTIMENTS DE
MOINDRE PERFORMANCE
ÉNERGÉTIQUE
POMPE À CHALEUR
GÉOTHERMIE
ÉNERGIE BIOMASSE
MÉTABOLISME URBAIN
(COMBUSTIBLE : PART
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
FERMENTESCIBLE DES DÉCHETS MÉ-
SONT LES COMBUSTIBLES D’UNE
NAGERS OU AUTRES ALGUES, DÉCHETS
SECONDE ACTIVITÉ)
AGRICOLES, ETC.)
ÉNERGIE
ÉOLIENNE
SOUVENT
DÉCENTRALISÉE
PÔLE RELAIS PERMETTANT
DE GÉRER LE FOISONNEMENT
DES SOURCES ÉNERGÉTIQUES
ET LEUR REDISTRIBUTION
(SMART-GRID)
L’ÉNERGIE EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER
QUARTIER
RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
ISOLATION
PERFORMANTE
ET ÉNERGIE
SOLAIRE
ISOLATION
DOUBLE PEAU
ET ARCHITECTURE
BIOCLIMATIQUE
(SERRES OU AUTRES)
RÉSEAU DE CHALEUR
POUR LES BÂTIMENTS DE
MOINDRE PERFORMANCE
ÉNERGÉTIQUE
POMPE À CHALEUR
GÉOTHERMIE
ÉNERGIE BIOMASSE
MÉTABOLISME URBAIN
(COMBUSTIBLE : PART
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
FERMENTESCIBLE DES DÉCHETS MÉ-
SONT LES COMBUSTIBLES D’UNE
NAGERS OU AUTRES ALGUES, DÉCHETS
SECONDE ACTIVITÉ)
AGRICOLES, ETC.)
ÉNERGIE
ÉOLIENNE
SOUVENT
DÉCENTRALISÉE
PÔLE RELAIS PERMETTANT
DE GÉRER LE FOISONNEMENT
DES SOURCES ÉNERGÉTIQUES
ET LEUR REDISTRIBUTION
(SMART-GRID)
L’ÉNERGIE EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
ISOLATION
PERFORMANTE
ET ÉNERGIE
SOLAIRE
ISOLATION
DOUBLE PEAU
ET ARCHITECTURE
BIOCLIMATIQUE
(SERRES OU AUTRES)
RÉSEAU DE CHALEUR
POUR LES BÂTIMENTS DE
MOINDRE PERFORMANCE
ÉNERGÉTIQUE
POMPE À CHALEUR
GÉOTHERMIE
ÉNERGIE BIOMASSE
MÉTABOLISME URBAIN
(COMBUSTIBLE : PART
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
FERMENTESCIBLE DES DÉCHETS MÉ-
SONT LES COMBUSTIBLES D’UNE
NAGERS OU AUTRES ALGUES, DÉCHETS
SECONDE ACTIVITÉ)
AGRICOLES, ETC.)
ÉNERGIE
ÉOLIENNE
SOUVENT
DÉCENTRALISÉE
PÔLE RELAIS PERMETTANT
DE GÉRER LE FOISONNEMENT
DES SOURCES ÉNERGÉTIQUES
ET LEUR REDISTRIBUTION
(SMART-GRID)
SCHÉMA RÉCAPITULATIF ÉNERGIE
RETOUR CHANTIER
LÉGENDES
ISOLATION
PERFORMANTE
ET ÉNERGIE
SOLAIRE
ISOLATION
DOUBLE PEAU
ET ARCHITECTURE
BIOCLIMATIQUE
(SERRES OU AUTRES)
RÉSEAU DE CHALEUR
POUR LES BÂTIMENTS DE
MOINDRE PERFORMANCE
ÉNERGÉTIQUE
POMPE À CHALEUR
GÉOTHERMIE
ÉNERGIE BIOMASSE
MÉTABOLISME URBAIN
(COMBUSTIBLE : PART
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
FERMENTESCIBLE DES DÉCHETS MÉ-
SONT LES COMBUSTIBLES D’UNE
NAGERS OU AUTRES ALGUES, DÉCHETS
SECONDE ACTIVITÉ)
AGRICOLES, ETC.)
ÉNERGIE
ÉOLIENNE
SOUVENT
DÉCENTRALISÉE
PÔLE RELAIS PERMETTANT
DE GÉRER LE FOISONNEMENT
DES SOURCES ÉNERGÉTIQUES
ET LEUR REDISTRIBUTION
(SMART-GRID)
LES DÉCHETS EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITEPARCELLE
PARCELLE
PETITE
GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
POULAILLER
COLLECTIF
OU INDIVIDUEL
BAC À COMPOST
COLLECTIF OU
INDIVIDUEL
BAC À DÉCHETS
VÉGÉTAUX COLLECTIF
POUR L’ENTRETIEN
DES ESPACES VERTS
PUBLICS OU
COLLECTIFS
POINT D’APPORT
VOLONTAIRE,
TRI SELECTIF
DES ORDURES
MÉNAGÈRES
DÉCHETTERIE,
RECYCLERIE
DE QUARTIER
USINE DE
RETRAITEMENT
DES DÉCHETS
MÉTABOLISME URBAIN
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
SONT LES MATIÈRES PREMIÈRES
D’UNE SECONDE ACTIVITÉ)
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR UN CHANTIER
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR PLUSIEURS
CHANTIERS
LES DÉCHETS EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDEPARCELLE
PARCELLE
GRANDE
ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
POULAILLER
COLLECTIF
OU INDIVIDUEL
BAC À COMPOST
COLLECTIF OU
INDIVIDUEL
BAC À DÉCHETS
VÉGÉTAUX COLLECTIF
POUR L’ENTRETIEN
DES ESPACES VERTS
PUBLICS OU
COLLECTIFS
POINT D’APPORT
VOLONTAIRE,
TRI SELECTIF
DES ORDURES
MÉNAGÈRES
DÉCHETTERIE,
RECYCLERIE
DE QUARTIER
USINE DE
RETRAITEMENT
DES DÉCHETS
MÉTABOLISME URBAIN
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
SONT LES MATIÈRES PREMIÈRES
D’UNE SECONDE ACTIVITÉ)
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR UN CHANTIER
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR PLUSIEURS
CHANTIERS
LES DÉCHETS EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT
ÎLOT
QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
POULAILLER
COLLECTIF
OU INDIVIDUEL
BAC À COMPOST
COLLECTIF OU
INDIVIDUEL
BAC À DÉCHETS
VÉGÉTAUX COLLECTIF
POUR L’ENTRETIEN
DES ESPACES VERTS
PUBLICS OU
COLLECTIFS
POINT D’APPORT
VOLONTAIRE,
TRI SELECTIF
DES ORDURES
MÉNAGÈRES
DÉCHETTERIE,
RECYCLERIE
DE QUARTIER
USINE DE
RETRAITEMENT
DES DÉCHETS
MÉTABOLISME URBAIN
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
SONT LES MATIÈRES PREMIÈRES
D’UNE SECONDE ACTIVITÉ)
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR UN CHANTIER
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR PLUSIEURS
CHANTIERS
LES DÉCHETS EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER
QUARTIER
RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
POULAILLER
COLLECTIF
OU INDIVIDUEL
BAC À COMPOST
COLLECTIF OU
INDIVIDUEL
BAC À DÉCHETS
VÉGÉTAUX COLLECTIF
POUR L’ENTRETIEN
DES ESPACES VERTS
PUBLICS OU
COLLECTIFS
POINT D’APPORT
VOLONTAIRE,
TRI SELECTIF
DES ORDURES
MÉNAGÈRES
DÉCHETTERIE,
RECYCLERIE
DE QUARTIER
USINE DE
RETRAITEMENT
DES DÉCHETS
MÉTABOLISME URBAIN
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
SONT LES MATIÈRES PREMIÈRES
D’UNE SECONDE ACTIVITÉ)
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR UN CHANTIER
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR PLUSIEURS
CHANTIERS
LES DÉCHETS EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
POULAILLER
COLLECTIF
OU INDIVIDUEL
BAC À COMPOST
COLLECTIF OU
INDIVIDUEL
BAC À DÉCHETS
VÉGÉTAUX COLLECTIF
POUR L’ENTRETIEN
DES ESPACES VERTS
PUBLICS OU
COLLECTIFS
POINT D’APPORT
VOLONTAIRE,
TRI SELECTIF
DES ORDURES
MÉNAGÈRES
DÉCHETTERIE,
RECYCLERIE
DE QUARTIER
USINE DE
RETRAITEMENT
DES DÉCHETS
MÉTABOLISME URBAIN
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
SONT LES MATIÈRES PREMIÈRES
D’UNE SECONDE ACTIVITÉ)
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR UN CHANTIER
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR PLUSIEURS
CHANTIERS
SCHÉMA RÉCAPITULATIF DÉCHETS
RETOUR CHANTIER
LÉGENDES
POULAILLER
COLLECTIF OU INDIVIDUEL
BAC À COMPOST
COLLECTIF OU
INDIVIDUEL
BAC À DÉCHETS
VÉGÉTAUX COLLECTIF
POUR L’ENTRETIEN
DES ESPACES VERTS
PUBLICS OU
COLLECTIFS
POINT D’APPORT
VOLONTAIRE,
TRI SELECTIF
DES ORDURES
MÉNAGÈRES
DÉCHETTERIE,
RECYCLERIE
DE QUARTIER
USINE DE
RETRAITEMENT
DES DÉCHETS
MÉTABOLISME URBAIN
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
SONT LES MATIÈRES PREMIÈRES
D’UNE SECONDE ACTIVITÉ)
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR UN CHANTIER
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR PLUSIEURS
CHANTIERS
L’APPROVISIONNEMENT EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITEPARCELLE
PARCELLE
PETITE
GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
JARDIN COLLECTIF
OU PARTICULIER
SERRE
COLLECTIVE
JARDINS
FAMILIAUX
CULTURES
STOCKAGE
COLLECTIF
PÔLE RELAIS
SIMPLE
PÔLE RELAIS
AUGMENTÉ
(POSSIBILITÉ
D’ADJOINDRE
D’AUTRES
FONCTIONS)
CENTRE COMMERÇANT
ET DE SERVICES
LOGISTIQUE URBAINE
(DÉGROUPAGE)
LOGISTIQUE
LOURDE
L’APPROVISIONNEMENT EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDEPARCELLE
PARCELLE
GRANDE
ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
JARDIN COLLECTIF
OU PARTICULIER
SERRE
COLLECTIVE
JARDINS
FAMILIAUX
CULTURES
STOCKAGE
COLLECTIF
PÔLE RELAIS
SIMPLE
PÔLE RELAIS
AUGMENTÉ
(POSSIBILITÉ
D’ADJOINDRE
D’AUTRES
FONCTIONS)
CENTRE COMMERÇANT
ET DE SERVICES
LOGISTIQUE URBAINE
(DÉGROUPAGE)
LOGISTIQUE
LOURDE
L’APPROVISIONNEMENT EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT
ÎLOT
QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
JARDIN COLLECTIF
OU PARTICULIER
SERRE
COLLECTIVE
JARDINS
FAMILIAUX
CULTURES
STOCKAGE
COLLECTIF
PÔLE RELAIS
SIMPLE
PÔLE RELAIS
AUGMENTÉ
(POSSIBILITÉ
D’ADJOINDRE
D’AUTRES
FONCTIONS)
CENTRE COMMERÇANT
ET DE SERVICES
LOGISTIQUE URBAINE
(DÉGROUPAGE)
LOGISTIQUE
LOURDE
L’APPROVISIONNEMENT EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER
QUARTIER
RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
JARDIN COLLECTIF
OU PARTICULIER
SERRE
COLLECTIVE
JARDINS
FAMILIAUX
CULTURES
STOCKAGE
COLLECTIF
PÔLE RELAIS
SIMPLE
PÔLE RELAIS
AUGMENTÉ
(POSSIBILITÉ
D’ADJOINDRE
D’AUTRES
FONCTIONS)
CENTRE COMMERÇANT
ET DE SERVICES
LOGISTIQUE URBAINE
(DÉGROUPAGE)
LOGISTIQUE
LOURDE
L’APPROVISIONNEMENT EN FONCTION DE L’ÉCHELLE
PETITE PARCELLE GRANDE PARCELLE ÎLOT QUARTIER RETOUR CHANTIER
AGGLOMÉRATION
AGGLOMÉRATION
LÉGENDES
JARDIN COLLECTIF
OU PARTICULIER
SERRE
COLLECTIVE
JARDINS
FAMILIAUX
CULTURES
STOCKAGE
COLLECTIF
PÔLE RELAIS
SIMPLE
PÔLE RELAIS
AUGMENTÉ
(POSSIBILITÉ
D’ADJOINDRE
D’AUTRES
FONCTIONS)
CENTRE COMMERÇANT
ET DE SERVICES
LOGISTIQUE URBAINE
(DÉGROUPAGE)
LOGISTIQUE
LOURDE
SCHÉMA RÉCAPITULATIF APPROVISIONNEMENT
RETOUR CHANTIER
LÉGENDES
JARDIN COLLECTIF
OU PARTICULIER
SERRE
COLLECTIVE
JARDINS
FAMILIAUX
CULTURES
STOCKAGE
COLLECTIF
PÔLE RELAIS
SIMPLE
PÔLE RELAIS
AUGMENTÉ
(POSSIBILITÉ
D’ADJOINDRE
D’AUTRES
FONCTIONS)
CENTRE COMMERÇANT
ET DE SERVICES
LOGISTIQUE
URBAINE
(DÉGROUPAGE)
LOGISTIQUE
LOURDE
LA PETITE ET GRANDE PARCELLE EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT
DÉPLACEMENT
EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
PIÉTON
VÉLO
BUS
5 mn = 300 m
15 mn = 1 km
5 mn = 1 km
15 mn = 3,5 km
5 mn = 800 m
15 mn = 2,5 km
STATIONNEMENT
EXTÉRIEUR VÉLO
SURFACE DE
RÉPARATION
ET/OU ABRI VÉLOS
(NON CHAUFFÉ)
STATIONNEMENT PRIVÉ
MUTUALISÉ
STATIONNEMENT
PRIVÉ ET/OU PUBLIC
MUTUALISÉ + SERVICES
À LA MOBILITÉ
STATIONNEMENT
PUBLIC + SERVICES
À LA MOBILITÉ
SERVICES EN GARE
LA PETITE ET GRANDE PARCELLE EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAUET
ETBIODIVERSITÉ
BIODIVERSITÉ
EAU
ÉNERGIE DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
INDIVIDUEL
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
COLLECTIF
RÉCUPÉRATION
DES DÉCHETS VERTS
POUR PROTECTION
OU ENRICHISSEMENT
DES SOLS
ÎLOT DE CHALEUR
RÉ-INFILTRATION DE L’EAU
DANS LA NAPPE PHRÉATIQUE
TRAME VERTE
ET BLEUE
CORRIDOR
ÉCOLOGIQUE
ET DÉTENTE
ÎLOT VERT ET BLEU
RÉCUPÉRATION DE
L’EAU DE PLUIE DES
ESPACES IMPERMÉABILISÉS
CIRCULATION DE L’EAU
EN ZONE URBAINE
QUAND C’EST POSSIBLE
LA PETITE ET GRANDE PARCELLE EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE
ÉNERGIE
RETOUR CHANTIER
DÉCHETS APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
ISOLATION
PERFORMANTE
ET ÉNERGIE
SOLAIRE
ISOLATION
DOUBLE PEAU
ET ARCHITECTURE
BIOCLIMATIQUE
(SERRES OU AUTRES)
RÉSEAU DE CHALEUR
POUR LES BÂTIMENTS DE
MOINDRE PERFORMANCE
ÉNERGÉTIQUE
POMPE À CHALEUR
GÉOTHERMIE
ÉNERGIE BIOMASSE
MÉTABOLISME URBAIN
(COMBUSTIBLE : PART
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
FERMENTESCIBLE DES DÉCHETS MÉ-
SONT LES COMBUSTIBLES D’UNE
NAGERS OU AUTRES ALGUES, DÉCHETS
SECONDE ACTIVITÉ)
AGRICOLES, ETC.)
ÉNERGIE
ÉOLIENNE
SOUVENT
DÉCENTRALISÉE
PÔLE RELAIS PERMETTANT DE
GÉRER LE FOISONNEMENT DES
SOURCES ÉNERGÉTIQUES ET
LEUR REDISTRIBUTION
(SMART-GRID)
LA PETITE ET GRANDE PARCELLE EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE RETOUR CHANTIER
DÉCHETS DÉCHETS
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
POULAILLER
COLLECTIF
OU INDIVIDUEL
BAC À COMPOST
COLLECTIF OU
INDIVIDUEL
BAC À DÉCHETS
VÉGÉTAUX COLLECTIF
POUR L’ENTRETIEN
DES ESPACES VERTS
PUBLICS OU
COLLECTIFS
POINT D’APPORT
VOLONTAIRE,
TRI SELECTIF
DES ORDURES
MÉNAGÈRES
DÉCHETERIE,
RECYCLERIE
DE QUARTIER
USINE DE
RETRAITEMENT
DES DÉCHETS
MÉTABOLISME URBAIN
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
SONT LES MATIÈRES PREMIÈRES
D’UNE SECONDE ACTIVITÉ)
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR UN CHANTIER
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR PLUSIEURS
CHANTIERS
LA PETITE ET GRANDE PARCELLE EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
JARDIN COLLECTIF
OU PARTICULIER
SERRE
COLLECTIVE
JARDINS
FAMILIAUX
CULTURES
STOCKAGE
COLLECTIF
PÔLE RELAIS
SIMPLE
PÔLE RELAIS
AUGMENTÉ
(POSSIBILITÉ
D’ADJOINDRE
D’AUTRES
FONCTIONS)
CENTRE COMMERÇANT
ET DE SERVICES
LOGISTIQUE
URBAINE
(DÉGROUPAGE)
LOGISTIQUE
LOURDE
L’ÎLOT EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT
DÉPLACEMENT
EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
PIÉTON
VÉLO
BUS
5 mn = 300 m
15 mn = 1 km
5 mn = 1 km
15 mn = 3,5 km
5 mn = 800 m
15 mn = 2,5 km
STATIONNEMENT
EXTÉRIEUR VÉLO
SURFACE DE
RÉPARATION
ET/OU ABRI VÉLOS
(NON CHAUFFÉ)
STATIONNEMENT PRIVÉ
MUTUALISÉ
STATIONNEMENT
PRIVÉ ET/OU PUBLIC
MUTUALISÉ + SERVICES
À LA MOBILITÉ
STATIONNEMENT
PUBLIC + SERVICES
À LA MOBILITÉ
SERVICES EN GARE
L’ÎLOT EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAUET
ETBIODIVERSITÉ
BIODIVERSITÉ
EAU
ÉNERGIE DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
INDIVIDUEL
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
COLLECTIF
RÉCUPÉRATION
DES DÉCHETS VERTS
POUR PROTECTION
OU ENRICHISSEMENT
DES SOLS
ÎLOT DE CHALEUR
RÉ-INFILTRATION DE L’EAU
DANS LA NAPPE PHRÉATIQUE
TRAME VERTE
ET BLEUE
CORRIDOR
ÉCOLOGIQUE
ET DÉTENTE
ÎLOT VERT ET BLEU
RÉCUPÉRATION DE
L’EAU DE PLUIE DES
ESPACES IMPERMÉABILISÉS
CIRCULATION DE L’EAU
EN ZONE URBAINE
QUAND C’EST POSSIBLE
L’ÎLOT EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE
ÉNERGIE
DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
ISOLATION
PERFORMANTE
ET ÉNERGIE
SOLAIRE
ISOLATION
DOUBLE PEAU
ET ARCHITECTURE
BIOCLIMATIQUE
(SERRES OU AUTRES)
RÉSEAU DE CHALEUR
POUR LES BÂTIMENTS DE
MOINDRE PERFORMANCE
ÉNERGÉTIQUE
POMPE À CHALEUR
GÉOTHERMIE
ÉNERGIE BIOMASSE
MÉTABOLISME URBAIN
(COMBUSTIBLE : PART
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
FERMENTESCIBLE DES DÉCHETS MÉ-
SONT LES COMBUSTIBLES D’UNE
NAGERS OU AUTRES ALGUES, DÉCHETS
SECONDE ACTIVITÉ)
AGRICOLES, ETC.)
ÉNERGIE
ÉOLIENNE
SOUVENT
DÉCENTRALISÉE
PÔLE RELAIS PERMETTANT DE
GÉRER LE FOISONNEMENT DES
SOURCES ÉNERGÉTIQUES ET
LEUR REDISTRIBUTION
(SMART-GRID)
L’ÎLOT EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE DÉCHETS DÉCHETS
RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
POULAILLER
COLLECTIF OU INDIVIDUEL
BAC À COMPOST
COLLECTIF OU
INDIVIDUEL
BAC À DÉCHETS
VÉGÉTAUX COLLECTIF
POUR L’ENTRETIEN
DES ESPACES VERTS
PUBLICS OU
COLLECTIFS
POINT D’APPORT
VOLONTAIRE,
TRI SELECTIF
DES ORDURES
MÉNAGÈRES
DÉCHETERIE,
RECYCLERIE
DE QUARTIER
USINE DE
RETRAITEMENT
DES DÉCHETS
MÉTABOLISME URBAIN
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
SONT LES MATIÈRES PREMIÈRES
D’UNE SECONDE ACTIVITÉ)
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR UN CHANTIER
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR PLUSIEURS
CHANTIERS
L’ÎLOT EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
JARDIN COLLECTIF
OU PARTICULIER
SERRE
COLLECTIVE
JARDINS
FAMILIAUX
CULTURES
STOCKAGE
COLLECTIF
PÔLE RELAIS
SIMPLE
PÔLE RELAIS
AUGMENTÉ
(POSSIBILITÉ
D’ADJOINDRE
D’AUTRES
FONCTIONS)
CENTRE COMMERÇANT
ET DE SERVICES
LOGISTIQUE
URBAINE
(DÉGROUPAGE)
LOGISTIQUE
LOURDE
LE QUARTIER EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT
DÉPLACEMENT
EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
PIÉTON
VÉLO
BUS
5 mn = 300 m
15 mn = 1 km
5 mn = 1 km
15 mn = 3,5 km
5 mn = 800 m
15 mn = 2,5 km
STATIONNEMENT
EXTÉRIEUR VÉLO
SURFACE DE
RÉPARATION
ET/OU ABRI VÉLOS
(NON CHAUFFÉ)
STATIONNEMENT PRIVÉ
MUTUALISÉ
STATIONNEMENT
PRIVÉ ET/OU PUBLIC
MUTUALISÉ + SERVICES
À LA MOBILITÉ
STATIONNEMENT
PUBLIC + SERVICES
À LA MOBILITÉ
SERVICES EN GARE
LE QUARTIER EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAUET
ETBIODIVERSITÉ
BIODIVERSITÉ
EAU
ÉNERGIE DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
INDIVIDUEL
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
COLLECTIF
RÉCUPÉRATION
DES DÉCHETS VERTS
POUR PROTECTION
OU ENRICHISSEMENT
DES SOLS
ÎLOT DE CHALEUR
RÉINFILTRATION DE L’EAU
DANS LA NAPPE PHRÉATIQUE
TRAME VERTE
ET BLEUE
CORRIDOR
ÉCOLOGIQUE
ET DÉTENTE
ÎLOT VERT ET BLEU
RÉCUPÉRATION DE
L’EAU DE PLUIE DES
ESPACES IMPERMÉABILISÉS
CIRCULATION DE L’EAU
EN ZONE URBAINE
QUAND C’EST POSSIBLE
LE QUARTIER EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE
ÉNERGIE
DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
ISOLATION
PERFORMANTE
ET ÉNERGIE
SOLAIRE
ISOLATION
DOUBLE PEAU
ET ARCHITECTURE
BIOCLIMATIQUE
(SERRES OU AUTRES)
RÉSEAU DE CHALEUR
POUR LES BÂTIMENTS DE
MOINDRE PERFORMANCE
ÉNERGÉTIQUE
POMPE À CHALEUR
GÉOTHERMIE
ÉNERGIE BIOMASSE
MÉTABOLISME URBAIN
(COMBUSTIBLE : PART
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
FERMENTESCIBLE DES DÉCHETS
SONT LES COMBUSTIBLES D’UNE
MÉNAGERS OU AUTRES ALGUES,
SECONDE ACTIVITÉ)
DÉCHETS AGRICOLES, ETC.)
ÉNERGIE
ÉOLIENNE
SOUVENT
DÉCENTRALISÉE
PÔLE RELAIS PERMETTANT
DE GÉRER LE FOISONNEMENT
DES SOURCES ÉNERGÉTIQUES
ET LEUR REDISTRIBUTION
(SMART-GRID)
LE QUARTIER EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE DÉCHETS DÉCHETS
RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
POULAILLER
COLLECTIF
OU INDIVIDUEL
BAC À COMPOST
COLLECTIF OU
INDIVIDUEL
BAC À DÉCHETS
VÉGÉTAUX COLLECTIF
POUR L’ENTRETIEN
DES ESPACES VERTS
PUBLICS OU
COLLECTIFS
POINT D’APPORT
VOLONTAIRE,
TRI SELECTIF
DES ORDURES
MÉNAGÈRES
DÉCHETERIE,
RECYCLERIE
DE QUARTIER
USINE DE
RETRAITEMENT
DES DÉCHETS
MÉTABOLISME URBAIN
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
SONT LES MATIÈRES PREMIÈRES
D’UNE SECONDE ACTIVITÉ)
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR UN CHANTIER
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR PLUSIEURS
CHANTIERS
LE QUARTIER EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
JARDIN COLLECTIF
OU PARTICULIER
SERRE
COLLECTIVE
JARDINS
FAMILIAUX
CULTURES
STOCKAGE
COLLECTIF
PÔLE RELAIS
SIMPLE
PÔLE RELAIS
AUGMENTÉ
(POSSIBILITÉ
D’ADJOINDRE
D’AUTRES
FONCTIONS)
CENTRE COMMERÇANT
ET DE SERVICES
LOGISTIQUE URBAINE
(DÉGROUPAGE)
LOGISTIQUE
LOURDE
L’AGGLOMÉRATION EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT
DÉPLACEMENT
EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
PIÉTON
VÉLO
BUS
5 mn = 300 m
15 mn = 1 km
5 mn = 1 km
15 mn = 3,5 km
5 mn = 800 m
15 mn = 2,5 km
STATIONNEMENT
EXTÉRIEUR VÉLO
SURFACE DE
RÉPARATION
ET/OU ABRI VÉLOS
(NON CHAUFFÉ)
STATIONNEMENT PRIVÉ
MUTUALISÉ
STATIONNEMENT
PRIVÉ ET/OU PUBLIC
MUTUALISÉ + SERVICES
À LA MOBILITÉ
STATIONNEMENT
PUBLIC + SERVICES
À LA MOBILITÉ
SERVICES EN GARE
L’AGGLOMÉRATION EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAUET
ETBIODIVERSITÉ
BIODIVERSITÉ
EAU
ÉNERGIE DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
INDIVIDUEL
RÉCUPÉRATION
DE L’EAU DE PLUIE
COMPOSTAGE
COLLECTIF
RÉCUPÉRATION
DES DÉCHETS VERTS
POUR PROTECTION
OU ENRICHISSEMENT
DES SOLS
ÎLOT DE CHALEUR
RÉINFILTRATION DE L’EAU
DANS LA NAPPE PHRÉATIQUE
TRAME VERTE
ET BLEUE
CORRIDOR
ÉCOLOGIQUE
ET DÉTENTE
ÎLOT VERT ET BLEU
RÉCUPÉRATION DE
L’EAU DE PLUIE DES
ESPACES IMPERMÉABILISÉS
CIRCULATION DE L’EAU
EN ZONE URBAINE
QUAND C’EST POSSIBLE
L’AGGLOMÉRATION EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE
ÉNERGIE
DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
ISOLATION
PERFORMANTE
ET ÉNERGIE
SOLAIRE
ISOLATION
DOUBLE PEAU
ET ARCHITECTURE
BIOCLIMATIQUE
(SERRES OU AUTRES)
RÉSEAU DE CHALEUR
POUR LES BÂTIMENTS DE
MOINDRE PERFORMANCE
ÉNERGÉTIQUE
POMPE À CHALEUR
GÉOTHERMIE
ÉNERGIE BIOMASSE
MÉTABOLISME URBAIN
(COMBUSTIBLE : PART
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
FERMENTESCIBLE DES DÉCHETS
SONT LES COMBUSTIBLES D’UNE
MÉNAGERS OU AUTRES ALGUES,
SECONDE ACTIVITÉ)
DÉCHETS AGRICOLES, ETC.)
ÉNERGIE
ÉOLIENNE
SOUVENT
DÉCENTRALISÉE
PÔLE RELAIS PERMETTANT
DE GÉRER LE FOISONNEMENT
DES SOURCES ÉNERGÉTIQUES
ET LEUR REDISTRIBUTION
(SMART-GRID)
L’AGGLOMÉRATION EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE DÉCHETS DÉCHETS
RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
POULAILLER
COLLECTIF
OU INDIVIDUEL
BAC À COMPOST
COLLECTIF OU
INDIVIDUEL
BAC À DÉCHETS
VÉGÉTAUX COLLECTIF
POUR L’ENTRETIEN
DES ESPACES VERTS
PUBLICS OU
COLLECTIFS
POINT D’APPORT
VOLONTAIRE,
TRI SELECTIF
DES ORDURES
MÉNAGÈRES
DÉCHETERIE,
RECYCLERIE
DE QUARTIER
USINE DE
RETRAITEMENT
DES DÉCHETS
MÉTABOLISME URBAIN
(LES DÉCHETS D’UNE ACTIVITÉ
SONT LES MATIÈRES PREMIÈRES
D’UNE SECONDE ACTIVITÉ)
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR UN CHANTIER
ÉQUILIBRE DES
DÉBLAIS/REMBLAIS
SUR PLUSIEURS
CHANTIERS
L’AGGLOMÉRATION EN FONCTION DE LA THÉMATIQUE
DÉPLACEMENT EAU ET BIODIVERSITÉ ÉNERGIE DÉCHETS RETOUR CHANTIER
APPROVISIONNEMENT
APPROVISIONNEMENT
LÉGENDES
JARDIN COLLECTIF
OU PARTICULIER
SERRE
COLLECTIVE
JARDINS
FAMILIAUX
CULTURES
STOCKAGE
COLLECTIF
PÔLE RELAIS
SIMPLE
PÔLE RELAIS
AUGMENTÉ
(POSSIBILITÉ
D’ADJOINDRE
D’AUTRES
FONCTIONS)
CENTRE COMMERÇANT
ET DE SERVICES
LOGISTIQUE URBAINE
(DÉGROUPAGE)
LOGISTIQUE
LOURDE