Élargir nos horizons - Diamond Development Initiative
Transcription
Élargir nos horizons - Diamond Development Initiative
Élargir nos horizons Projets et événements marquants en 2013 Énoncé de mission de DDI Message du président Réunir toutes les parties intéressées dans un processus qui relèvera, de façon exhaustive, les défis politiques, sociaux et économiques auxquels fait face le secteur artisanal de l’exploitation des diamants, afin d’optimiser les effets bénéfiques de ce secteur sur le développement, pour les mineurs et les collectivités des pays où sont extraits les diamants. La DDI n’a pas été créée pour réaliser des projets. Trop de projets bien intentionnés procurent des résultats limités à un petit nombre de personnes et souvent, leurs leçons ne sont pas transférables. Objectifs de DDI La DDI cherche à promouvoir une meilleure compréhension et la recherche de solutions en ce qui a trait: • à la réglementation gouvernementale et à la réglementation minière; • aux canaux de distribution et de commercialisation; • aux dimensions organisationnelles de la production artisanale; • aux canaux de distribution légitimes et transparents; • à l’organisation des artisans miniers; • aux marchés libres et ouverts pour les diamants d’exploitation artisanale. Nous encourageons une vaste participation à ce processus, y compris celle des gouvernements, des donateurs, de l’industrie et des ONG de développement. Buts de DDI Les diamants ont le potentiel d’agir comme un catalyseur pour le développement individuel et national. Par l’entremise de l’éducation, du dialogue sur les politiques et de l’exécution de projets faisant intervenir directement les artisans miniers et leurs collectivités, la DDI cherche à favoriser une meilleure compréhension des problèmes de ce secteur et la recherche de solutions. Nous cherchons à ce que les mineurs, leurs collectivités et leurs pays deviennent une composante appréciée et respectée de la chaîne de valeur du diamant. Nous voulons transformer un legs de violence et de chaos en un héritage de prospérité. Enregistrement des artisans miniers par un agent de SAESSCAM, RDC 2 ISBN 978-0-9809798-6-2 La DDI vise un changement fondamental dans la vie des mineurs de diamants artisans ainsi que dans les façons dont les gouvernements, les entreprises et la société civile les perçoivent et les traitent. Tous les projets que nous entreprenons doivent donc nous aider à avancer dans cette direction. Ils doivent nous aider, et en aider d’autres, à apprendre — à la fois ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Et ce n’est pas tout. À notre avis, un projet fructueux n’est pas simplement un projet qui atteint ses objectifs fondamentaux. Pour la DDI, la réussite réside dans la reproductibilité des résultats obtenus. À cet égard, nous sommes particulièrement satisfaits de notre travail relatif à l’enregistrement des mineurs de diamants artisans en RDC. Le projet original a permis de multiplier par 10 le nombre prévu d’enregistrements parce que les systèmes mis au point par la DDI étaient simples et bon marché, et qu’ils ont fonctionné. Nous avons aussi constaté que les mineurs voulaient s’enregistrer parce qu’ils y gagnaient quelque chose : de la reconnaissance, de l’acceptation, une meilleure protection et la possibilité d’obtenir de meilleurs prix pour leurs diamants. En 2013, nous avons démontré que le système d’enregistrement de la DDI était transférable aux mineurs d’or artisans et nous sommes maintenant en voie de l’élargir, avec l’aide de donateurs internationaux, afin d’y inclure d’autres minéraux de « conflit » — l’étain, le tantale et le tungstène. Apprentissage, application et reproductibilité : ces mots d’ordre de la DDI commencent à donner d’importants résultats. Ian Smillie Président Executive Director’s Message Bailleurs de fonds et donateurs « Vous vous amusez, hein? » crie un jeune garçon sierraléonien d’au plus sept ans, qui se tient au bord de la route au moment où passe notre jeep. Nous rions de l’ironie de son commentaire en roulant vers un site minier où nous offrirons un atelier sur l’organisation, la sécurité et une meilleure évaluation des prix pour les mineurs de diamants artisans. Nous traversons de petites agglomérations et de petits villages, et nous rencontrons certains des mineurs qui se dirigent à pied vers la rencontre. En comparaison, nous avons effectivement l’air un peu « chic », d’où le commentaire de l’enfant. Peu importe que nous soyons épuisés, que nous ayons roulé pendant 10 heures le jour précédent sous une pluie fracassante, traversant des routes de boue presque impraticables de Freetown à Koidu. L’Initiative Diamant et Développement souhaite exprimer sa gratitude pour le généreux appui consenti à ses programmes en 2013 par: Dans le monde du développement international, il n’y a pas beaucoup de répit. Bien que le travail soit souvent motivant et presque toujours gratifiant, il comporte de multiples déplacements, une recherche de financement qui semble sans fin et une prise de conscience permanente des différences énormes entre les mondes où nous travaillons et le monde où nous vivons. Nous constatons tellement de possibilités et, relativement parlant, il en faudrait si peu, nous semble-t-il, pour changer les choses et exercer un véritable impact. Mais, comme le dit l’expression, rien n’est jamais facile. La DDI n’est pas affaire de charité, mais plutôt d’investissement : un investissement dans les personnes, dans leurs collectivités, dans leur avenir; un investissement susceptible d’engendrer d’importants bénéfices en matière de stabilité économique, de sécurité et de développement; un investissement qui produit le type d’impact que tout donateur souhaite et attend de sa contribution. Bien sûr, si nous disposions de plus de ressources, nous pourrions en faire plus; je n’hésite pas à dire que la DDI a besoin d’un soutien constant et prévisible, ni que les gens avec qui nous travaillons dans les champs miniers artisanaux de l’Afrique ont besoin qu’on leur assure un soutien constant et prévisible. Je suis heureuse de pouvoir affirmer que notre liste croissante de réussites suscite le type de soutien qui, dans les jours et les mois qui viennent, nous aidera à concrétiser encore davantage le potentiel que nous observons dans des endroits tels que Koidu. Dorothée Gizenga Executive Director 3 Gouvernements et Donateurs Institutionnels Gouvernement de l’Angola GIZ – Agence allemande de coopération internationale Membres de l’industrie et d’entités affiliées Antwerp World Diamond Centre – Anvers, Belgique BHP Billiton – Anvers, Belgique Brilliant Earth – San Francisco, États–Unis Cartier Charitable Foundation – Genève, Suisse De Beers – Londres, Royaume–Uni Diamond Manufacturers & Importers Association of America (DMIA) – New York, États–Unis International Diamond Manufacturers Association (IDMA) – Anvers, Belgique JCK Industry Fund – New York, États–Unis Jewelers of America – New York, États–Unis Rio Tinto Diamonds – Londres, Royaume–Uni The Tiffany & Co. Foundation – New York, États–Unis Nous remercions particulièrement les Amis de DDI suivants, ayant contribué à soutenir nos projets en 2013 : Aaron Henry Designs – Santa Monica, CA, États–Unis Alishan – Irvine, CA, États–Unis Barbara Heinrich Studio, LLC – Pittsford, NY, États–Unis Baxter Moerman Jewelry – San Luis Obispo, CA, États–Unis Berkley Asset Protection Underwriters, LLC – Sagamore Hills, OH, États–Unis David Craig Jewelers – Langhorne, PA, États–Unis Day’s Jewelers – Waterville, ME, États–Unis Diamond Council of America – Nashville, TN, États–Unis DIAMONDAX – Anvers, Belgique Erica Courtney, Inc. – Los Angeles, États–Unis Fischer Diamonds – New York, États–Unis Fortunoff Jewelry – Westbury, NY, États–Unis George Sawyer Design – Minneapolis, MN, États–Unis Hiralal Gems SA – Genève, Suisse Holloway Diamonds – Canterbury, Victoria, Australie Hyde Park Jewelers – Denver, CO, États–Unis kara| Daniel JEWELRY – Kalamazoo, MI, États–Unis Lang Antiques – San Francisco, CA, États–Unis Mark Schneider Design – Long Beach, CA, États–Unis McTeigue & McClelland – Great Barrington, MA, États–Unis MJ Christensen – Henderson, NV, États–Unis Parcel Pro Inc. – Torrance, CA, États–Unis Royal Asscher – Amsterdam, Pays–Bas Solid Gold – Perth, Australie Susan Helmich Designs, Inc. – Colorado Springs, CO, États–Unis TAP by Todd Pownell – Cleveland, OH, États–Unis Todd Reed Inc. – Boulder, CO, États–Unis TurtleLove.com – Portland, MA, États–Unis Whiteflash Inc. – Sugar Lang, TX, États–Unis Remerciements spéciaux, suite à la page 5. 2013 Les faits saillants S’engager dans le Processus de Kimberley (PK) Recherche en Côte d’Ivoire Approche régionale pour les pays de la région de l’Union du fleuve Mano En 2013, la DDI est devenue membre d’un groupe d’experts du PK qui s’emploie à concevoir un cadre pour s’attaquer à des problèmes liés à la mise en œuvre régionale en Côte d’Ivoire, en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone. Les problèmes relatifs à la mise en œuvre du PK vont du commerce transfrontalier illégal aux lacunes dans la collecte des données sur la production artisanale de diamants. En plus de cerner des stratégies visant à relever ces défis, la DDI aura aussi pour rôle de porter une attention particulière à la création de solutions aux problèmes de développement qui influent sur l’application du PK dans la région. Mission d’examen du PK en Côte d’Ivoire Plusieurs programmes d’assistance au secteur de l’exploitation minière artisanale des diamants en Côte d’Ivoire ont vu le jour, et l’on peut espérer que l’interdiction sera levée dès avril 2014. Pour informer et aider les parties prenantes de la Côte d’Ivoire, la DDI a offert son expertise et a produit une étude évaluant toutes les possibilités de programmes disponibles au pays. L’étude résumait les initiatives courantes et explorait les nouvelles possibilités d’aide au développement dans le secteur de l’exploitation minière artisanale des diamants. En octobre 2013, la DDI et d’autres représentants du PK ont participé à une visite officielle en Côte d’Ivoire afin de faire le suivi de la mise en œuvre du PK et de mesurer la conformité au processus. La visite revêtait une importance particulière en raison des sanctions imposées au pays par le Conseil de sécurité des Nations Unies et de son exclusion en tant que participant au Processus de Kimberley. La visite a permis d’évaluer les progrès accomplis en Côte d’Ivoire et d’éclairer les décisions à la fois sur l’exclusion du PK et sur la levée de l’embargo sur les exportations de diamants. Si la Côte d’Ivoire intègre le développement et la réglementation, la DDI croit que le pays a une excellente occasion de faire respecter les normes du PK avec succès. Pour consulter le rapport, visiter le site Web de la DDI à http://ddiglobal.org/login/resources/diamondmining-in-cote-d-ivoire.pdf Déclaration de Washington Sierra Leone En 2012, les participants au SCPK ont adopté la Déclaration de Washington, reconnaissant que le développement du secteur de l’exploitation minière artisanale et à petite échelle (EMAPE) par l’entremise d’initiatives d’officialisation et que l’amélioration des conditions sociales dans les collectivités d’EMAPE constitueraient de puissants incitatifs pour « intégrer les diamants bruts dans les chaînes de possession légitimes ». En juin 2013, la DDI a achevé la phase pilote du projet de NRDD. Le projet a atteint son objectif primordial, qui était de mettre en place le système de NRDD, d’en faire l’essai et de le perfectionner dans un environnement exigeant et en temps réel, à l’image des réalités sociopolitiques et économiques du milieu. Essentiellement, le projet pilote était l’un des premiers efforts fructueux visant à systématiquement établir et renforcer la capacité des mineurs de diamants artisans et des exploitants d’appliquer des normes environnementales et sociales. Cette capacité accrue d’appliquer des normes sociales et environnementales chez les exploitants de mines artisanales de diamants participants a été confirmée par des vérifications effectuées par des tiers indépendants, à savoir le BRACSierra Leone et l’Integrated Network Development and Governance Associates (INDGA). La DDI a travaillé avec les pays de la région du fleuve Mano afin de déterminer des domaines stratégiques particuliers relevant de la Déclaration de Washington auxquels chaque pays était prêt à accorder la priorité et dans lesquels il était prêt à intervenir. Certains des domaines d’intervention communs étaient : la collecte et l’analyse des données; le soutien aux moyens de subsistance complémentaires dans les collectivités d’EMAPE; et l’accroissement des fonds de roulement et des possibilités d’organisation pour les mineurs artisans. Consultation auprès d’exploitants artisanaux en Guinée 4 Au cours des deux dernières années, la République de la Côte d’Ivoire s’est employée à satisfaire aux exigences minimales de conformité afin que les sanctions imposées par le Conseil de sécurité des Nations Unies en 2004 soient levées. Cette série de sanctions vise, entre autres, l’exportation des diamants. Normes relatives aux diamants du développement (NRDD) Faisant fond sur le travail préparatoire effectué durant le projet pilote, la prochaine phase du projet de NRDD consistera à consolider le système et à l’étendre à toutes les zones d’exploitation minière artisanale du district de Kono. La prochaine phase permettra aussi l’avènement des Diamants du développementMC produits dans le respect des NRDD. En août et septembre 2013, en vue de la prochaine phase, la DDI a mené de vastes consultations auprès de diverses parties prenantes en Sierra Leone, entre autres des collectivités locales, des OSC, le gouvernement et les autorités traditionnelles, de même que des négociants et des exploitants locaux de diamants. En 2013, on a aussi établi des partenariats de collaboration et conclu des accords d’exécution pour la prochaine phase. Étude sur le Brésil Dans le même ordre d’idées, la DDI a commandé, en vue de la prochaine phase, une étude approfondie afin d’évaluer la possibilité d’appliquer de façon plus générale les NRDD dans d’autres milieux, au fil du temps. L’étude s’est d’abord concentrée sur le Brésil, en tant qu’éventuel contexte d’exploitation minière artisanale de diamants susceptible de constituer un complément au projet de NRDD en Sierra Leone. Après un examen approfondi des lois et règlements brésiliens ainsi que du contexte plus général de l’exploitation minière artisanale des diamants dans ce pays, on a déterminé que le Brésil se prêtait bien à l’élargissement du projet de NRDD. Entre autres, la ville de Coromandel, dans la région du Minas Gerais, de même que sa coopérative locale d’exploitation minière artisanale de diamants, la COOPERGAC, ont manifesté un vif intérêt pour le projet. Un autre résultat significatif de l’étude est le fait qu’elle ait mis en valeur les éléments techniques et stratégiques distincts qui placent le système de NRDD dans une position unique pour favoriser une adaptation et une applicabilité plus larges dans le contexte mondial de l’exploitation minière artisanale des diamants. Remerciements spéciaux, suite de la page 3. DDI aimerait également remercier les organisations de la société civile suivantes pour leurs contributions à nos programmes : BRAC – Sierra Leone GAERN – République Démocratique du Congo IBIS – Sierra Leone International Education and Resource Network (iEARN) – Sierra Leone Movement of Concerned Kono Youth (MOCKY) – Sierra Leone Network Movement for Justice and Development (NMJD) – Sierra Leone ODECOLAN – République Démocratique du Congo Nous reconnaissons le donateur particulier Eric Schulte de Brooklyn, NY, États–Unis ainsi que Peggy Jo Donahue, notre conseillère et gestionnaire des réseaux sociaux en 2013. Aller au-delà des diamants Enregistrement des mineurs d’or artisans En janvier 2013, Partenariat Afrique Canada (PAC) lançait un projet ayant pour but de créer une chaîne de minéraux traçables et libres de conflit pour les mineurs d’or artisans dans l’Est de la RDC. En raison du grand succès qu’ont connu les efforts déployés par la DDI pour enregistrer les mineurs de diamants artisans dans deux des provinces du Kasaï, en RDC, qui ont donné lieu à l’enregistrement sans précédent de 101 000 mineurs de diamants artisans en 11 mois, on a fait appel à l’organisation afin de bénéficier de son expertise. L’approche unique de la DDI en matière d’enregistrement et de collecte de données englobe non seulement l’information de base sur les mineurs, mais aussi des statistiques socioéconomiques et démographiques qui aident les gouvernements à officialiser les mineurs et à délimiter les zones d’exploitation minière artisanale, et à accroître la sécurité dans le secteur minier. Cette approche permet aussi aux organisations de concevoir des programmes utiles et adaptés aux collectivités minières artisanales. Le projet de 2013 a duré trois mois et a permis d’enregistrer 11 334 mineurs d’or artisans. Compte tenu du fait qu’il existait peu de données, sinon aucune, sur ces mineurs auparavant, cette information est essentielle au travail d’officialisation et témoigne d’un vif désir de changement de la part des mineurs artisans. Interactions entre l’exploitation minière à petite et à grande échelle En juillet 2013, la DDI a conseillé la société BANRO sur la question des mineurs qui occupaient les concessions minières d’or de la société dans la province du Sud-Kivu, en RDC. Dans le but ultime de créer un plan de réinstallation efficace, durable et humaine pour les mineurs, la DDI a visité les concessions minières de la BANRO, a rencontré les mineurs et leurs coopératives, et a collaboré avec les représentants de la BANRO et des organisations de la société civile locale ainsi que les dirigeants provinciaux. Après un examen approfondi, la DDI a présenté à la BANRO un rapport recommandant l’adoption de mesures multipartites pour mettre en place une solution durable. 5 Présentation au séminaire Smart Show Chicago, É-U Rapport des vérificateurs État de la situation financière État des revenus et des dépenses et variations des actifs nets (Exprimés en USD) (Exprimés en USD) December 31 2013 2012 Actifs ACTIFS À COURT TERME Trésorerie 123 060 $ Créances 20 516 12 752 4 234 4 490 147 810 91 000 10 464 7 089 158 274 $ 98 089 $ Frais payés d’avance IMMOBILISATIONS 73 758 $ Passifs et actifs nets PASSIFS À COURT TERME Créditeurs et charges à payer Revenus reportés ACTIFS NETS 32 019 $ 31 068 $ 137 888 13 129 169 907 44 197 (11 633) 53 892 158 274 $ 98 089 $ Revenus Exercice clos le 31 décembre 2013 2012 CONTRIBUTIONS Partenariat Afrique Canada - PPA 99 768 $ 8 285 $ Partenariat Afrique Canada - EU 31 144 - Anglo American Group Foundation 80 000 80 426 La Cartier Charitable Foundation 59 934 - De Beers 50 000 75 000 Rio Tinto Diamonds 50 000 50 000 Gouvernement de l’Angola 25 000 25 000 Les amis de la DDI 24 733 32 097 Brilliant Earth 22 853 2 327 JCK Industry Fund 20 000 25 000 Rubel and Ménasché 20 000 20 000 BHP Billiton L’agence de coopération technique allemande pour le développement (GIZ) DDI Canada Affaires étrangeres et Commerce international Canada Gouvernement de la RDC Antwerp World Diamond Centre (AWDC)* International Diamond Manufacturers Association (IDMA) Jewelers of America 15 730 15 000 11 637 100 064 9 719 - - 88 977 - 25 000 - 25 000 - 15 000 - 10 000 Autres - 85 552 541 700 $ 682 728 $ 409 881 445 998 36 726 49 739 148 106 138 850 594 713 634 587 DÉPENSES Projets de la DDI Approuvé par le conseil d’administration Gouvernance Le développement des projets et l’administration EXCÉDENT (INSUFFISANCE) DES REVENUS SUR LES DÉPENSES AVANT AUTRES POINTS AUTRE POINTS Ian Smillie Administrateur, conseil John Lowden Trésorier, conseil d’administration DDI Une version complete des états financiers vérifiés par van Berkom Professional Corporation Chartered Accountants est disponible auprès de la DDI. 6 Gains (pertes) sur échange étranger Revenu d’intérêt EXCÉDENT (INSUFFISANCE) DES REVENUS SUR LES DÉPENSES (53 013) 48 141 (12 883) (8 735) 371 9 (12 512) (8 726) (65 525) 39 415 Actif net au début de l’année 53 892 14 477 ACTIF NET À LA FIN DE L’ANNÉE (11 633) $ 53 892 $ Le conseil d’administration Ian Smillie (Président) – Consultant indépendant en développement international et Auteur Rory More O’Ferrall (Vice–Président Honoraire) – Conseiller indépendant, membre (directeur antérieur) du Conseil mondial du diamant, Membre honoraire à vie de la Confédération internationale de la bijouterie (CIBJO), du London Diamond Club & Bourse, et fut le Directeur des affaires extérieures pour le De Beers Group Stéphane Fischler (vice-Président) – Président, Antwerp World Diamond Centre; Fischler Diamonds Matt Runci (Secrétaire) – Consultant en gestion John Lowden (Trésorier) – Conseiller en politiques et planification fiscales pour les entreprises; ancien partenaire, Ernst & Young Phyllis Bergman – Directrice générale de Mercury Ring Corporation, Présidente du Conseil d’administration pour le Diamond Empowerment Fund Andrew Bone – Directeur des relations internationales, De Beers Group Stephen D’Esposito – Président, RESOLVE et EARTH SOLUTIONS John Hall – Directeur général, Stratégies pour les réputations des entreprises Dr. Gavin Hilson – Chargé de cours en environnement et en développement, University of Surrey Business School – Royaume Uni Marie–Chantal Kaninda – Conseillère principale, Affaires extérieures Afrique, Rio Tinto Muzong Kodi – Consultant International et Chercheur Associé du Programme pour l’Afrique de Royal Institute of International Affairs (Chatham House) Le groupe consultatif Dr Saleem Ali – Professeur, Université du Vermont, États-Unis d’Amérique Ernie Blom – Vice-président, World Federation of Diamond Bourses, Afrique du Sud Abu Brima – Directeur général, Network Movement for Justice and Development, Sierra Léone Abbey Chikane – Ancien président, Processus de Kimberley, Afrique du Sud Peggy Jo Donahue – Présidente, Donahue and Associates, États-Unis d’Amérique Amir Dossal – Directeur général, Fonds des Nations unies pour les partenariats internationaux, États-Unis d’Amérique Chaim Even – Zohar-Auteur, journaliste et consultant, Tacy Ltd., Israël Jeffrey Fischer – Président, Fischer Diamonds Inc., États-Unis d’Amérique Nigel Fisher – Vice-représentant spécial des Nations unies en Haïti, Canada Simon Gilbert – Expert en diamants, le Panel des Experts des Nations Unies sur la Côte d’Ivoire, Royaume Uni Karen Hayes – Directrice, Extractive Industries Initiative PACT, Royaume Uni John Hobbs – Conseiller, Commerce & Investissement Responsable de WWF, Tanzanie Eli Izhakoff – Président, World Diamond Council, États-Unis d’Amérique Baudouin Hamuli Kabarhuza – Directeur général, CENADEP, République démocratique du Congo Ben Kinzler – Directeur général, International Diamond Manufacturers and Importers Association of America, États-Unis d’Amérique Rosemary McCarney – Présidente, Plan, Canada António Pedro – Directeur régional, Commission économique des nations unies pour l’Afrique, Rwanda David Pratt – Vice-président, GCI Group; Ancien ministre de la défense, Canada Martin Rapaport – Fondateur et Président, Rapaport Group of Companies, Israël Bernard Taylor – Directeur général, Partenariat Afrique Canada, Canada Salil Tripathi – Directeur de la politique, Institute for Human Rights and Business, Royaume Uni Ray Simmons – Co-directeur général, Foundation for Environmental Security and Sustainability, États-Unis d’Amérique Greg Valerio – Bijoutier et activiste, Royaume Uni Ronnie VanderLinden – Secrétaire général, International Diamond Manufacturers Association et Président, Diamex Inc. Dr. Alyson Warhurst – Professeur, Université de Warwick, Warwick Business School, Royaume Uni Dr. John Watson – Professeur, Université d’Ottawa; ancien Directeur général de Care, Canada Alex Yearsley – Consultant de Nations unies, Royaume Uni Edward Zwick – Producteur et réalisateur de cinéma (Le dernier samouraï, Le diamant de sang, Les insurgés), États-Unis d’Amérique La DDI Internationale est enregistrée aux États-Unis à titre d’organisme à but non lucratif 501(c)3 (Numéro d’identité EIN/impôt : 51 – 0616171). DDI Canada est enregistrée au Canada comme une organisation de bienfaisance à but non – lucratif avec le numéro d’enregistrement 84188 3606 RR0001. 1 rue Nicholas, Suite 1516A, Ottawa, ON K1N 7B7 www.ddiglobal.org Mise en page : g33kDESIGN Traduit en français par : Communications COMça Available in English comment nous aider : un Faites un don Un don à la DDI aide les artisans miniers et leurs familles à vivre des vies meilleures et plus productives, contribuant ainsi à la croissance et au développement des pays où ils travaillent. deux Écrivez une lettre La DDI aborde les diamants dans l’optique du développement, agissant comme complément au Processus de Kimberley. Le Processus de Kimberley a vu le jour en 2003 pour mettre un terme au problème des diamants de la guerre ou « du sang ». À ce titre, le PK réglemente le commerce mondial des diamants bruts, mais les débats politiques ont parfois freiné l’adoption rapide de mesures correctrices efficaces face à certains problèmes. Une lettre adressée à la présidence du Processus de Kimberley exprimant votre appui à la réglementation la plus rigoureuse possible du commerce des diamants bruts pourrait s’avérer très efficace. Coordonnées du Processus de Kimberley. www.kimberleyprocess.com trois Demandez à votre bijoutier À la fin de janvier 2010, la DDI lancera un programme à l’intention des bijoutiers, intitulé « Les amis de la DDI ». En retour de modestes frais d’adhésion, les bijoutiers recevront des renseignements périodiques sur la DDI, sur les « normes relatives aux diamants du développement » que nous sommes à élaborer, et sur d’autres efforts visant à améliorer la vie des artisans miniers de diamants, leurs familles et leurs collectivités. Les bijoutiers pourront communiquer cette information à leurs clients qui veulent en savoir davantage au sujet des efforts déployés pour assurer de meilleurs moyens de subsistance et garantir la vente de diamants « propres ». Rendez – vous sur notre site web et imprimez notre page couverture sur « Les amis de la DDI Internationale ». quatre Parlez – en à vos amis Parlez à vos amis de la DDI et songez à des moyens de les mobiliser ou d’élaborer avec eux leur propre projet d’appui à la DDI, tout comme l’a fait Tej Sood. Vous trouverez plus d’informations sur Tej Sood sur le site suivant : www.ddiglobal.org