Élargir nos horizons - Diamond Development Initiative

Transcription

Élargir nos horizons - Diamond Development Initiative
Élargir nos horizons
Projets et événements marquants en 2013
Énoncé de mission de DDI
Message du président
Réunir toutes les parties intéressées dans un processus
qui relèvera, de façon exhaustive, les défis politiques,
sociaux et économiques auxquels fait face le secteur
artisanal de l’exploitation des diamants, afin
d’optimiser les effets bénéfiques de ce secteur sur le
développement, pour les mineurs et les collectivités
des pays où sont extraits les diamants.
La DDI n’a pas été créée pour réaliser des projets. Trop de
projets bien intentionnés procurent des résultats limités à un
petit nombre de personnes et souvent, leurs leçons ne sont
pas transférables.
Objectifs de DDI
La DDI cherche à promouvoir une meilleure
compréhension et la recherche de solutions en ce qui
a trait:
• à la réglementation gouvernementale et à la
réglementation minière;
• aux canaux de distribution et de commercialisation;
• aux dimensions organisationnelles de la production
artisanale;
• aux canaux de distribution légitimes et transparents;
• à l’organisation des artisans miniers;
• aux marchés libres et ouverts pour les diamants
d’exploitation artisanale.
Nous encourageons une vaste participation à ce
processus, y compris celle des gouvernements, des
donateurs, de l’industrie et des ONG de développement.
Buts de DDI
Les diamants ont le potentiel d’agir comme un
catalyseur pour le développement individuel et
national. Par l’entremise de l’éducation, du dialogue
sur les politiques et de l’exécution de projets faisant
intervenir directement les artisans miniers et leurs
collectivités, la DDI cherche à favoriser une meilleure
compréhension des problèmes de ce secteur et la
recherche de solutions. Nous cherchons à ce que les
mineurs, leurs collectivités et leurs pays deviennent
une composante appréciée et respectée de la chaîne de
valeur du diamant. Nous voulons transformer un legs
de violence et de chaos en un héritage de prospérité.
Enregistrement des artisans
miniers par un agent de
SAESSCAM, RDC
2
ISBN 978-0-9809798-6-2
La DDI vise un changement fondamental dans la vie des
mineurs de diamants artisans ainsi que dans les façons
dont les gouvernements, les entreprises et la société civile
les perçoivent et les traitent. Tous les projets que nous
entreprenons doivent donc nous aider à avancer dans
cette direction. Ils doivent nous aider, et en aider d’autres,
à apprendre — à la fois ce qui fonctionne et ce qui ne
fonctionne pas. Et ce n’est pas tout. À notre avis, un projet
fructueux n’est pas simplement un projet qui atteint ses
objectifs fondamentaux. Pour la DDI, la réussite réside dans
la reproductibilité des résultats obtenus.
À cet égard, nous sommes particulièrement satisfaits de notre
travail relatif à l’enregistrement des mineurs de diamants
artisans en RDC. Le projet original a permis de multiplier par
10 le nombre prévu d’enregistrements parce que les systèmes
mis au point par la DDI étaient simples et bon marché, et
qu’ils ont fonctionné. Nous avons aussi constaté que les
mineurs voulaient s’enregistrer parce qu’ils y gagnaient
quelque chose : de la reconnaissance, de l’acceptation, une
meilleure protection et la possibilité d’obtenir de meilleurs
prix pour leurs diamants. En 2013, nous avons démontré que
le système d’enregistrement de la DDI était transférable aux
mineurs d’or artisans et nous sommes maintenant en voie
de l’élargir, avec l’aide de donateurs internationaux, afin d’y
inclure d’autres minéraux de « conflit » — l’étain, le tantale
et le tungstène.
Apprentissage, application et reproductibilité : ces mots d’ordre
de la DDI commencent à donner d’importants résultats.
Ian Smillie
Président
Executive Director’s Message
Bailleurs de fonds et donateurs
« Vous vous amusez, hein? » crie un jeune garçon sierraléonien d’au plus sept ans, qui se tient au bord de la route
au moment où passe notre jeep. Nous rions de l’ironie de
son commentaire en roulant vers un site minier où nous
offrirons un atelier sur l’organisation, la sécurité et une
meilleure évaluation des prix pour les mineurs de diamants
artisans. Nous traversons de petites agglomérations et de
petits villages, et nous rencontrons certains des mineurs qui
se dirigent à pied vers la rencontre. En comparaison, nous
avons effectivement l’air un peu « chic », d’où le commentaire
de l’enfant. Peu importe que nous soyons épuisés, que nous
ayons roulé pendant 10 heures le jour précédent sous une
pluie fracassante, traversant des routes de boue presque
impraticables de Freetown à Koidu.
L’Initiative Diamant et Développement souhaite
exprimer sa gratitude pour le généreux appui consenti
à ses programmes en 2013 par:
Dans le monde du développement international, il n’y a pas
beaucoup de répit. Bien que le travail soit souvent motivant
et presque toujours gratifiant, il comporte de multiples
déplacements, une recherche de financement qui semble sans
fin et une prise de conscience permanente des différences
énormes entre les mondes où nous travaillons et le monde
où nous vivons. Nous constatons tellement de possibilités et,
relativement parlant, il en faudrait si peu, nous semble-t-il,
pour changer les choses et exercer un véritable impact. Mais,
comme le dit l’expression, rien n’est jamais facile.
La DDI n’est pas affaire de charité, mais plutôt
d’investissement : un investissement dans les personnes,
dans leurs collectivités, dans leur avenir; un investissement
susceptible d’engendrer d’importants bénéfices en matière
de stabilité économique, de sécurité et de développement; un
investissement qui produit le type d’impact que tout donateur
souhaite et attend de sa contribution.
Bien sûr, si nous disposions de plus de ressources, nous
pourrions en faire plus; je n’hésite pas à dire que la DDI a
besoin d’un soutien constant et prévisible, ni que les gens
avec qui nous travaillons dans les champs miniers artisanaux
de l’Afrique ont besoin qu’on leur assure un soutien constant
et prévisible.
Je suis heureuse de pouvoir affirmer que notre liste croissante
de réussites suscite le type de soutien qui, dans les jours
et les mois qui viennent, nous aidera à concrétiser encore
davantage le potentiel que nous observons dans des endroits
tels que Koidu.
Dorothée Gizenga
Executive Director
3
Gouvernements et Donateurs Institutionnels
Gouvernement de l’Angola
GIZ – Agence allemande de coopération
internationale
Membres de l’industrie et d’entités affiliées
Antwerp World Diamond Centre – Anvers, Belgique
BHP Billiton – Anvers, Belgique
Brilliant Earth – San Francisco, États–Unis
Cartier Charitable Foundation – Genève, Suisse
De Beers – Londres, Royaume–Uni
Diamond Manufacturers & Importers Association
of America (DMIA) – New York, États–Unis
International Diamond Manufacturers Association
(IDMA) – Anvers, Belgique
JCK Industry Fund – New York, États–Unis
Jewelers of America – New York, États–Unis
Rio Tinto Diamonds – Londres, Royaume–Uni
The Tiffany & Co. Foundation – New York, États–Unis
Nous remercions particulièrement les Amis de DDI
suivants, ayant contribué à soutenir nos projets en 2013 :
Aaron Henry Designs – Santa Monica, CA, États–Unis
Alishan – Irvine, CA, États–Unis
Barbara Heinrich Studio, LLC – Pittsford, NY, États–Unis
Baxter Moerman Jewelry – San Luis Obispo, CA, États–Unis
Berkley Asset Protection Underwriters, LLC –
Sagamore Hills, OH, États–Unis
David Craig Jewelers – Langhorne, PA, États–Unis
Day’s Jewelers – Waterville, ME, États–Unis
Diamond Council of America – Nashville, TN, États–Unis
DIAMONDAX – Anvers, Belgique
Erica Courtney, Inc. – Los Angeles, États–Unis
Fischer Diamonds – New York, États–Unis
Fortunoff Jewelry – Westbury, NY, États–Unis
George Sawyer Design – Minneapolis, MN, États–Unis
Hiralal Gems SA – Genève, Suisse
Holloway Diamonds – Canterbury, Victoria, Australie
Hyde Park Jewelers – Denver, CO, États–Unis
kara| Daniel JEWELRY – Kalamazoo, MI, États–Unis
Lang Antiques – San Francisco, CA, États–Unis
Mark Schneider Design – Long Beach, CA, États–Unis
McTeigue & McClelland – Great Barrington, MA, États–Unis
MJ Christensen – Henderson, NV, États–Unis
Parcel Pro Inc. – Torrance, CA, États–Unis
Royal Asscher – Amsterdam, Pays–Bas
Solid Gold – Perth, Australie
Susan Helmich Designs, Inc. – Colorado Springs, CO, États–Unis
TAP by Todd Pownell – Cleveland, OH, États–Unis
Todd Reed Inc. – Boulder, CO, États–Unis
TurtleLove.com – Portland, MA, États–Unis
Whiteflash Inc. – Sugar Lang, TX, États–Unis
Remerciements spéciaux, suite à la page 5.
2013 Les faits saillants
S’engager dans le Processus de Kimberley (PK) Recherche en Côte d’Ivoire
Approche régionale pour les pays de la région de
l’Union du fleuve Mano
En 2013, la DDI est devenue membre d’un groupe d’experts du PK qui
s’emploie à concevoir un cadre pour s’attaquer à des problèmes liés
à la mise en œuvre régionale en Côte d’Ivoire, en Guinée, au Libéria
et en Sierra Leone. Les problèmes relatifs à la mise en œuvre du PK
vont du commerce transfrontalier illégal aux lacunes dans la collecte
des données sur la production artisanale de diamants. En plus de
cerner des stratégies visant à relever ces défis, la DDI aura aussi pour
rôle de porter une attention particulière à la création de solutions
aux problèmes de développement qui influent sur l’application du
PK dans la région.
Mission d’examen du PK en Côte d’Ivoire
Plusieurs programmes d’assistance au secteur de l’exploitation
minière artisanale des diamants en Côte d’Ivoire ont vu le jour, et
l’on peut espérer que l’interdiction sera levée dès avril 2014. Pour
informer et aider les parties prenantes de la Côte d’Ivoire, la DDI
a offert son expertise et a produit une étude évaluant toutes les
possibilités de programmes disponibles au pays. L’étude résumait les
initiatives courantes et explorait les nouvelles possibilités d’aide au
développement dans le secteur de l’exploitation minière artisanale
des diamants.
En octobre 2013, la DDI et d’autres représentants du PK ont participé
à une visite officielle en Côte d’Ivoire afin de faire le suivi de la
mise en œuvre du PK et de mesurer la conformité au processus. La
visite revêtait une importance particulière en raison des sanctions
imposées au pays par le Conseil de sécurité des Nations Unies et de
son exclusion en tant que participant au Processus de Kimberley. La
visite a permis d’évaluer les progrès accomplis en Côte d’Ivoire et
d’éclairer les décisions à la fois sur l’exclusion du PK et sur la levée
de l’embargo sur les exportations de diamants.
Si la Côte d’Ivoire intègre le développement et la réglementation, la
DDI croit que le pays a une excellente occasion de faire respecter
les normes du PK avec succès. Pour consulter le rapport, visiter le
site Web de la DDI à http://ddiglobal.org/login/resources/diamondmining-in-cote-d-ivoire.pdf
Déclaration de Washington
Sierra Leone
En 2012, les participants au SCPK ont adopté la Déclaration de
Washington, reconnaissant que le développement du secteur de
l’exploitation minière artisanale et à petite échelle (EMAPE) par
l’entremise d’initiatives d’officialisation et que l’amélioration des
conditions sociales dans les collectivités d’EMAPE constitueraient
de puissants incitatifs pour « intégrer les diamants bruts dans les
chaînes de possession légitimes ».
En juin 2013, la DDI a achevé la phase pilote du projet de NRDD.
Le projet a atteint son objectif primordial, qui était de mettre en
place le système de NRDD, d’en faire l’essai et de le perfectionner
dans un environnement exigeant et en temps réel, à l’image des
réalités sociopolitiques et économiques du milieu. Essentiellement,
le projet pilote était l’un des premiers efforts fructueux visant à
systématiquement établir et renforcer la capacité des mineurs
de diamants artisans et des exploitants d’appliquer des normes
environnementales et sociales. Cette capacité accrue d’appliquer
des normes sociales et environnementales chez les exploitants de
mines artisanales de diamants participants a été confirmée par des
vérifications effectuées par des tiers indépendants, à savoir le BRACSierra Leone et l’Integrated Network Development and Governance
Associates (INDGA).
La DDI a travaillé avec les pays de la région du fleuve Mano afin
de déterminer des domaines stratégiques particuliers relevant de
la Déclaration de Washington auxquels chaque pays était prêt
à accorder la priorité et dans lesquels il était prêt à intervenir.
Certains des domaines d’intervention communs étaient : la collecte
et l’analyse des données; le soutien aux moyens de subsistance
complémentaires dans les collectivités d’EMAPE; et l’accroissement
des fonds de roulement et des possibilités d’organisation pour les
mineurs artisans.
Consultation auprès d’exploitants artisanaux en Guinée
4
Au cours des deux dernières années, la République de la Côte
d’Ivoire s’est employée à satisfaire aux exigences minimales de
conformité afin que les sanctions imposées par le Conseil de sécurité
des Nations Unies en 2004 soient levées. Cette série de sanctions
vise, entre autres, l’exportation des diamants.
Normes relatives aux diamants du
développement (NRDD)
Faisant fond sur le travail préparatoire effectué durant le projet
pilote, la prochaine phase du projet de NRDD consistera à consolider
le système et à l’étendre à toutes les zones d’exploitation minière
artisanale du district de Kono. La prochaine phase permettra aussi
l’avènement des Diamants du développementMC produits dans le
respect des NRDD. En août et septembre 2013, en vue de la prochaine
phase, la DDI a mené de vastes consultations auprès de diverses parties
prenantes en Sierra Leone, entre autres des collectivités locales, des
OSC, le gouvernement et les autorités traditionnelles, de même que des
négociants et des exploitants locaux de diamants. En 2013, on a aussi
établi des partenariats de collaboration et conclu des accords d’exécution
pour la prochaine phase.
Étude sur le Brésil
Dans le même ordre d’idées, la DDI a commandé, en vue de la prochaine
phase, une étude approfondie afin d’évaluer la possibilité d’appliquer de
façon plus générale les NRDD dans d’autres milieux, au fil du temps.
L’étude s’est d’abord concentrée sur le Brésil, en tant qu’éventuel contexte
d’exploitation minière artisanale de diamants susceptible de constituer
un complément au projet de NRDD en Sierra Leone. Après un examen
approfondi des lois et règlements brésiliens ainsi que du contexte plus
général de l’exploitation minière artisanale des diamants dans ce pays,
on a déterminé que le Brésil se prêtait bien à l’élargissement du projet
de NRDD. Entre autres, la ville de Coromandel, dans la région du
Minas Gerais, de même que sa coopérative locale d’exploitation minière
artisanale de diamants, la COOPERGAC, ont manifesté un vif intérêt pour
le projet. Un autre résultat significatif de l’étude est le fait qu’elle ait mis
en valeur les éléments techniques et stratégiques distincts qui placent le
système de NRDD dans une position unique pour favoriser une adaptation
et une applicabilité plus larges dans le contexte mondial de l’exploitation
minière artisanale des diamants.
Remerciements spéciaux, suite de la page 3.
DDI aimerait également remercier les organisations de
la société civile suivantes pour leurs contributions à nos
programmes :
BRAC – Sierra Leone
GAERN – République Démocratique du Congo
IBIS – Sierra Leone
International Education and Resource
Network (iEARN) – Sierra Leone
Movement of Concerned Kono
Youth (MOCKY) – Sierra Leone
Network Movement for Justice and
Development (NMJD) – Sierra Leone
ODECOLAN – République Démocratique du Congo
Nous reconnaissons le donateur particulier Eric
Schulte de Brooklyn, NY, États–Unis ainsi que Peggy Jo
Donahue, notre conseillère et gestionnaire des réseaux
sociaux en 2013.
Aller au-delà des diamants
Enregistrement des mineurs d’or artisans
En janvier 2013, Partenariat Afrique Canada (PAC) lançait un projet ayant
pour but de créer une chaîne de minéraux traçables et libres de conflit
pour les mineurs d’or artisans dans l’Est de la RDC. En raison du grand
succès qu’ont connu les efforts déployés par la DDI pour enregistrer les
mineurs de diamants artisans dans deux des provinces du Kasaï, en RDC,
qui ont donné lieu à l’enregistrement sans précédent de 101 000 mineurs
de diamants artisans en 11 mois, on a fait appel à l’organisation afin de
bénéficier de son expertise.
L’approche unique de la DDI en matière d’enregistrement et de collecte de
données englobe non seulement l’information de base sur les mineurs,
mais aussi des statistiques socioéconomiques et démographiques qui
aident les gouvernements à officialiser les mineurs et à délimiter les zones
d’exploitation minière artisanale, et à accroître la sécurité dans le secteur
minier. Cette approche permet aussi aux organisations de concevoir des
programmes utiles et adaptés aux collectivités minières artisanales.
Le projet de 2013 a duré trois mois et a permis d’enregistrer 11 334 mineurs
d’or artisans. Compte tenu du fait qu’il existait peu de données, sinon
aucune, sur ces mineurs auparavant, cette information est essentielle au
travail d’officialisation et témoigne d’un vif désir de changement de la
part des mineurs artisans.
Interactions entre l’exploitation minière à petite et à grande échelle
En juillet 2013, la DDI a conseillé la société BANRO sur la question des
mineurs qui occupaient les concessions minières d’or de la société dans
la province du Sud-Kivu, en RDC. Dans le but ultime de créer un plan
de réinstallation efficace, durable et humaine pour les mineurs, la DDI
a visité les concessions minières de la BANRO, a rencontré les mineurs
et leurs coopératives, et a collaboré avec les représentants de la BANRO
et des organisations de la société civile locale ainsi que les dirigeants
provinciaux. Après un examen approfondi, la DDI a présenté à la BANRO
un rapport recommandant l’adoption de mesures multipartites pour
mettre en place une solution durable.
5
Présentation au séminaire Smart Show Chicago, É-U
Rapport des vérificateurs
État de la situation financière
État des revenus et des dépenses
et variations des actifs nets
(Exprimés en USD)
(Exprimés en USD)
December 31
2013
2012
Actifs
ACTIFS À COURT TERME
Trésorerie
123 060 $
Créances
20 516
12 752
4 234
4 490
147 810
91 000
10 464
7 089
158 274 $
98 089 $
Frais payés d’avance
IMMOBILISATIONS
73 758 $
Passifs et actifs nets
PASSIFS À COURT TERME
Créditeurs et charges à payer
Revenus reportés
ACTIFS NETS
32 019 $
31 068 $
137 888
13 129
169 907
44 197
(11 633)
53 892
158 274 $
98 089 $
Revenus
Exercice clos le
31 décembre
2013
2012
CONTRIBUTIONS
Partenariat Afrique Canada - PPA
99 768 $
8 285 $
Partenariat Afrique Canada - EU
31 144
-
Anglo American Group Foundation
80 000
80 426
La Cartier Charitable Foundation
59 934
-
De Beers
50 000
75 000
Rio Tinto Diamonds
50 000
50 000
Gouvernement de l’Angola
25 000
25 000
Les amis de la DDI
24 733
32 097
Brilliant Earth
22 853
2 327
JCK Industry Fund
20 000
25 000
Rubel and Ménasché
20 000
20 000
BHP Billiton
L’agence de coopération technique
allemande pour le développement (GIZ)
DDI Canada
Affaires étrangeres et Commerce
international Canada
Gouvernement de la RDC
Antwerp World Diamond
Centre (AWDC)*
International Diamond Manufacturers
Association (IDMA)
Jewelers of America
15 730
15 000
11 637
100 064
9 719
-
-
88 977
-
25 000
-
25 000
-
15 000
-
10 000
Autres
-
85 552
541 700 $
682 728 $
409 881
445 998
36 726
49 739
148 106
138 850
594 713
634 587
DÉPENSES
Projets de la DDI
Approuvé par le conseil d’administration
Gouvernance
Le développement des projets
et l’administration
EXCÉDENT (INSUFFISANCE) DES
REVENUS SUR LES DÉPENSES
AVANT AUTRES POINTS
AUTRE POINTS
Ian Smillie
Administrateur, conseil
John Lowden
Trésorier, conseil d’administration DDI
Une version complete des états financiers vérifiés par van
Berkom Professional Corporation Chartered Accountants
est disponible auprès de la DDI.
6
Gains (pertes) sur échange étranger
Revenu d’intérêt
EXCÉDENT (INSUFFISANCE) DES
REVENUS SUR LES DÉPENSES
(53 013)
48 141
(12 883)
(8 735)
371
9
(12 512)
(8 726)
(65 525)
39 415
Actif net au début de l’année
53 892
14 477
ACTIF NET À LA FIN DE L’ANNÉE
(11 633) $
53 892 $
Le conseil d’administration
Ian Smillie (Président) – Consultant indépendant en développement international et Auteur
Rory More O’Ferrall (Vice–Président Honoraire) – Conseiller indépendant,
membre (directeur antérieur) du Conseil mondial du diamant, Membre honoraire à
vie de la Confédération internationale de la bijouterie (CIBJO), du London Diamond
Club & Bourse, et fut le Directeur des affaires extérieures pour le De Beers Group
Stéphane Fischler (vice-Président) – Président,
Antwerp World Diamond Centre; Fischler Diamonds
Matt Runci (Secrétaire) – Consultant en gestion
John Lowden (Trésorier) – Conseiller en politiques et planification
fiscales pour les entreprises; ancien partenaire, Ernst & Young
Phyllis Bergman – Directrice générale de Mercury Ring Corporation,
Présidente du Conseil d’administration pour le Diamond Empowerment Fund
Andrew Bone – Directeur des relations internationales, De Beers Group
Stephen D’Esposito – Président, RESOLVE et EARTH SOLUTIONS
John Hall – Directeur général, Stratégies pour les réputations des entreprises
Dr. Gavin Hilson – Chargé de cours en environnement et en
développement, University of Surrey Business School – Royaume Uni
Marie–Chantal Kaninda – Conseillère principale,
Affaires extérieures Afrique, Rio Tinto
Muzong Kodi – Consultant International et Chercheur Associé du Programme
pour l’Afrique de Royal Institute of International Affairs (Chatham House)
Le groupe consultatif
Dr Saleem Ali – Professeur, Université du Vermont, États-Unis d’Amérique
Ernie Blom – Vice-président, World Federation of Diamond Bourses, Afrique du Sud
Abu Brima – Directeur général, Network Movement for Justice and Development, Sierra Léone
Abbey Chikane – Ancien président, Processus de Kimberley, Afrique du Sud
Peggy Jo Donahue – Présidente, Donahue and Associates, États-Unis d’Amérique
Amir Dossal – Directeur général, Fonds des Nations unies pour
les partenariats internationaux, États-Unis d’Amérique
Chaim Even – Zohar-Auteur, journaliste et consultant, Tacy Ltd., Israël
Jeffrey Fischer – Président, Fischer Diamonds Inc., États-Unis d’Amérique
Nigel Fisher – Vice-représentant spécial des Nations unies en Haïti, Canada
Simon Gilbert – Expert en diamants, le Panel des Experts
des Nations Unies sur la Côte d’Ivoire, Royaume Uni
Karen Hayes – Directrice, Extractive Industries Initiative PACT, Royaume Uni
John Hobbs – Conseiller, Commerce & Investissement Responsable de WWF, Tanzanie
Eli Izhakoff – Président, World Diamond Council, États-Unis d’Amérique
Baudouin Hamuli Kabarhuza – Directeur général, CENADEP, République démocratique du Congo
Ben Kinzler – Directeur général, International Diamond Manufacturers
and Importers Association of America, États-Unis d’Amérique
Rosemary McCarney – Présidente, Plan, Canada
António Pedro – Directeur régional, Commission économique
des nations unies pour l’Afrique, Rwanda
David Pratt – Vice-président, GCI Group; Ancien ministre de la défense, Canada
Martin Rapaport – Fondateur et Président, Rapaport Group of Companies, Israël
Bernard Taylor – Directeur général, Partenariat Afrique Canada, Canada
Salil Tripathi – Directeur de la politique, Institute for Human Rights and Business, Royaume Uni
Ray Simmons – Co-directeur général, Foundation for Environmental
Security and Sustainability, États-Unis d’Amérique
Greg Valerio – Bijoutier et activiste, Royaume Uni
Ronnie VanderLinden – Secrétaire général, International
Diamond Manufacturers Association et Président, Diamex Inc.
Dr. Alyson Warhurst – Professeur, Université de
Warwick, Warwick Business School, Royaume Uni
Dr. John Watson – Professeur, Université d’Ottawa; ancien Directeur général de Care, Canada
Alex Yearsley – Consultant de Nations unies, Royaume Uni
Edward Zwick – Producteur et réalisateur de cinéma (Le dernier
samouraï, Le diamant de sang, Les insurgés), États-Unis d’Amérique
La DDI Internationale est enregistrée aux États-Unis
à titre d’organisme à but non lucratif 501(c)3
(Numéro d’identité EIN/impôt : 51 – 0616171).
DDI Canada est enregistrée au Canada comme une
organisation de bienfaisance à but non – lucratif avec
le numéro d’enregistrement 84188 3606 RR0001.
1 rue Nicholas, Suite 1516A, Ottawa, ON K1N 7B7
www.ddiglobal.org
Mise en page : g33kDESIGN
Traduit en français par : Communications COMça
Available in English
comment
nous aider :
un Faites un don
Un don à la DDI aide les artisans miniers et
leurs familles à vivre des vies meilleures et plus
productives, contribuant ainsi à la croissance et au
développement des pays où ils travaillent.
deux Écrivez une lettre
La DDI aborde les diamants dans l’optique du
développement, agissant comme complément
au Processus de Kimberley. Le Processus de
Kimberley a vu le jour en 2003 pour mettre un
terme au problème des diamants de la guerre
ou « du sang ». À ce titre, le PK réglemente le
commerce mondial des diamants bruts, mais les
débats politiques ont parfois freiné l’adoption rapide
de mesures correctrices efficaces face à certains
problèmes. Une lettre adressée à la présidence du
Processus de Kimberley exprimant votre appui à
la réglementation la plus rigoureuse possible du
commerce des diamants bruts pourrait s’avérer très
efficace. Coordonnées du Processus de Kimberley.
www.kimberleyprocess.com
trois Demandez
à votre bijoutier
À la fin de janvier 2010, la DDI lancera un
programme à l’intention des bijoutiers, intitulé
« Les amis de la DDI ». En retour de modestes
frais d’adhésion, les bijoutiers recevront des
renseignements périodiques sur la DDI, sur les «
normes relatives aux diamants du développement »
que nous sommes à élaborer, et sur d’autres efforts
visant à améliorer la vie des artisans miniers de
diamants, leurs familles et leurs collectivités. Les
bijoutiers pourront communiquer cette information
à leurs clients qui veulent en savoir davantage au
sujet des efforts déployés pour assurer de meilleurs
moyens de subsistance et garantir la vente de
diamants « propres ». Rendez – vous sur notre site
web et imprimez notre page couverture sur « Les
amis de la DDI Internationale ».
quatre Parlez
– en à vos amis
Parlez à vos amis de la DDI et songez à des moyens
de les mobiliser ou d’élaborer avec eux leur propre
projet d’appui à la DDI, tout comme l’a fait Tej Sood.
Vous trouverez plus d’informations sur Tej Sood sur
le site suivant : www.ddiglobal.org