Vers le centenaire du Mouvement de Schoenstatt et
Transcription
Vers le centenaire du Mouvement de Schoenstatt et
Mars Avril 2014 N° 92 Vers le centenaire du Mouvement de Schoenstatt et de l’Alliance d’Amour. BULLETIN D’INFORMATION DU MOUVEMENT DE SCHOENSTATT Centenaire du Mouvement de Schoenstatt Célébration de l’ouverture internationale de l’Année Jubilaire. Homélie du Cardinal Stanislaw Rylko le soir du 18 octobre 2013. Le symbole de la porte. C e soir, nous allons entrer par la porte du Sanctuaire d’origine dans l’Année du Jubilé du Mouvement Apostolique de Schoenstatt. Il y a plus de 99 ans, le 18 octobre 1914, cette porte fut également ouverte de l’intérieur, lorsqu’un autre y a frappé. Rétrospectivement, nous sommes au courant : le pas qui a franchi le seuil est devenu historique. La chapelle du cimetière de l’ancien cloître de Schoenstatt devait, depuis ce jour-là, s’ouvrir de plus en plus pour devenir “un lieu de pélerinage, un lieu de grâces”. Quelque chose de tout nouveau y avait commencé. Une alliance fut établie : “frapper” et “ouvrir”… Depuis ce temps-là, une foule innombrable a franchi cette porte, des personnes de différentes nationalités et de tout âge. En ce lieu de grâces, elles ont trouvé un foyer. Beaucoup d’entre elles ont témoigné que leur vie, sous le regard de la Sainte Vierge, avait nettement changé. Et celui qui quitte le sanctuaire par cette porte pour retourner dans son univers, celui-là n’est plus seul et, dans son cœur, brûle une flamme missionnaire. Le flambeau que nous avons allumé aujourd’hui sur la tombe du fondateur en est le signe : Le feu du 18 octobre 1914 ne s’est pas éteint. 2 Si, en ce jour, nous marquons le début de l’année jubilaire par l’ouverture solennelle de la porte du premier sanctuaire de Schoenstatt, nous nous plaçons pour ainsi dire à nouveau dans l’histoire du commencement et, de ce fait, dans la bénédiction et la fécondité de presque cent ans depuis ce jour-là. Le contact avec la grâce des débuts est essentiel et vital pour l’avenir de Schoenstatt. La grâce du début, c’est l’alliance d’amour. Réfléchissons donc un peu, à partir de cette perspective, sur le message de la porte ouvrant sur l’année jubilaire. La porte nous rappelle d’abord le Christ qui a dit de lui-même: “Je suis la porte. Qui entrera par moi, sera sauvé” (Jn, 10,9). Il est la porte qui mène à la vie, la porte menant vers le Père, la seule et vraie porte qui mène au Royaume de Dieu. Entrer par la porte de l’année jubilaire signifie, dans cette époque (kairos) de l’histoire du Mouvement de Schoenstatt, de choisir à nouveau le Christ, de se donner à Lui entièrement. Dans le sanctuaire de Schoenstatt, le crucifix et le tabernacle occupent une place centrale. Depuis de longues années, les portes du tabernacle s’ouvrent tous les jours pour l’adoration dans ce sanctuaire – et dans beaucoup d’autres. Et lorsque nos regards se portent sur l’image de la Mère Trois fois Admirable, elle nous montre son Fils; elle nous l’indique. Marie, celle que la tradition orientale aime appeler “odigitria”, celle qui montre le chemin, elle nous LE montre : “Lui, le Chemin, la Vérité et la Vie” (cf. Jn, 14,6). C’est pourquoi, le jubilé de notre alliance d’amour avec Marie est pour nous une nouvelle prise de décision pour le Christ. C’est une décision fondamentale, la plus importante qu’on puisse prendre dans sa vie. Une décision qui concerne toute notre vie et qui détermine notre destinée. Le Bienheureux Jean-Paul II disait : “L’homme qui veut se comprendre luimême jusque dans les profondeurs, […] doit s’approcher du Christ avec son inquiétude, son incertitude et aussi avec sa faiblesse et ses péchés, avec sa vie et sa mort. Il doit, pour ainsi dire, entrer en lui avec tout son être, il doit “faire sienne” et assimiler toute la réalité de l’Incarnation et du Salut pour se trouver lui-même.” (Jean-Paul II Encyclique Redemptor Hominis) 3 Quant à Benoît XVI, il avait souligné ceci: “Au début du fait d’être chrétien, il n’y a pas de décision morale ni de grande idée, mais la rencontre avec un événement, avec une personne qui donne à notre vie un nouvel horizon et ainsi sa direction décisive.” Nous franchissons la porte et, par là, nous entrons de nouveau en LUI, dans sa personne, dans sa vie. Nous accueillons de nouveau dans notre vie l’enfant qui est dans les bras de la Mère de Dieu. Nous entrons par la porte de l’année jubilaire dans la joie et la reconnaissance pour les grandes œuvres de Dieu, accomplies dans l’histoire presque séculaire du Mouvement. Ce long chemin est caractérisé par les mystères joyeux, glorieux, lumineux mais aussi douloureux – tout comme ceux que nous méditons en récitant le chapelet. Vous, chère Famille de Schoenstatt, vous avez l’occasion de suivre pendant cette année, les voies par lesquelles Dieu vous a conduite. Cela est important, même indispensable, car il s’agit de l’expérience divine sous forme concentrée dans votre Mouvement qui s’exprime dans les stations respectives de l’histoire. Le Seigneur a toujours été fidèle à ses promesses. Il ne vous a pas déçue! Dans la force issue de cette histoire, vous pouvez avancer pleins d’espoir vers l’avenir. Nous franchissons aussi la porte de l’année du Jubilé, conscients de n’avoir pas toujours répondu de façon appropriée aux dons incommensurables de grâces reçues de Dieu. Telles sont nos limites, nos faiblesses, nos péchés… Même ces expériences, nous les emportons en franchissant le seuil du sanctuaire. Célébrer le jubilé comme il se doit, le fêter dans l’esprit d’une authentique reconnaissance suppose aussi le fait que nous nous souvenions de la primauté de la grâce dans notre propre vie et dans celle du Mouvement et qu’ainsi, nous nous laissions conduire vers l’humilité, le repentir et la conversion du cœur. Dieu ne nous a pas appelés à être ses coopérateurs parce que nous étions des génies ou parfaits. Sa grandeur, c’est sa miséricorde. L’image du Père miséricordieux fait essentiellement partie de l’expérience et du message de Schoenstatt. Si nous nous livrons à la grâce de Dieu, tels que nous sommes, Lui pourra faire croître sa riche moisson – même dans le sol de nos fautes et de nos limites. Nous ne sommes pas à l’origine des succès apostoliques mais seulement ses instruments. Mais nous avons le droit de porter le feu du Christ en nous. Et ce que nous donnons, nous l’avons d’abord reçu de lui. “Nous sommes de pauvres serviteurs; nous n’avons fait que ce que nous devions” (Lc 17,10). Traduction : Gertrude Durusoy - A suivre 4 Vivre dans l’Alliance Le Père Kentenich, la Mère trois fois admirable et le Sanctuaire de Schoenstatt. Témoignage du Père Günther M. Boll. Pendant un séjour de plusieurs mois à Milwaukee en l’année 1963, un groupe de jeunes théologiens, dont je faisais partie, s’expliqua avec des positions théologiques modernes qui veulent voir en Marie seulement un modèle de foi. Le Père Kentenich lors d’une catéchèse. Je me souviens bien avec quelle force de conviction le Père Kentenich insista : « Non, ce n’est pas assez ! Marie a reçu de Dieu une mission dans l’ordre du salut du Nouveau Testament. Elle a une mission et elle intervient. Elle est efficace dans la mesure où nous comptons sur elle, où nous la laissons agir par nous. Quiconque croît cela et la laisse agir, ressent qu’elle tient de Dieu la charge et le pouvoir d’accomplir une tâche. » Dans cet ordre d’idée, il nous présenta un jour toute une série d’événements vécus dans l’histoire de Schoenstatt et les commenta. Il s’agissait de situations pénibles et parfois presque désespérées dans lesquelles surgissait, venant d’on ne sait où, une solution qui, aux yeux de la foi, ne pouvait venir que de la Sainte Vierge. « Je sais encore avec quelle soudaine clarté il m’est apparu que des prières telles que, par exemple : « Je fais confiance à ta puissance et à ta bonté » n’ont pas surgi d’un bureau mais sont nées de l’expérience. Leur formulation est comme la conclusion de l’expérience de sa vie : «Je crois, j’espère en tout aveuglément, en toi Mère admirable et en ton enfant. » Extrait du livre G. Boll : Vor allem mein Herz (surtout mon cœur) A suivre. 5 Sur les pas de Joseph Engling. Les 18 et 19 février. Florence et Rosario, son amie brésilienne, sont venues de Paris à la rencontre de Joseph Engling. Pour Rosario c’est la première rencontre avec Joseph. Elle nous raconte : « Nous sommes allées au cimetière militaire pour prier sur le tombeau de Joseph Engling. Le soir, nous sommes restées dans le Sanctuaire jusqu’à minuit, nous avons prié, chanté en français, en espagnol. Le lendemain, Sœur Michéla nous a emmenées au mémorial à Eswars. Là, nous avons commencé le même chemin que Joseph Engling a fait jusqu’au lieu de sa mort. « C’était incroyable ! J’ai fait le même chemin que lui 100 ans après. » Au cimetière militaire à Cambrai Pendant que je marchais, je pensais: « A quoi pouvait penser cet homme pendant qu’il marchait ? » En plus, il savait qu’il allait mourir, alors çà devait être très fort. Et je n’arrêtais pas de penser à Jésus au Mont des Oliviers… « Ecarte de moi cette coupe ! » Mais même s’il n’était qu’un humble humain, il accepta la volonté de Dieu et a continué à être plus fort. Je suis repartie très contente de ce lieu, de ce sanctuaire, de cette maison de Marie et de Jésus, maison de tous ! » Rosario 6 Amis de Joseph Engling du Brésil. Le 22 février, un couple brésilien accompagné du Père Miguel L. de Martins Costa, est venu de Schoenstatt en Allemagne, au Sanctuaire de l’Unité à la rencontre de Joseph Engling. Les pèlerins ont visité les lieux importants, le mémorial d’Eswars et le cimetière militaire, où leur « frère » Joseph Engling repose. Ils nous donnent leur témoignage : « Puisse notre Mère trois fois admirable bénir ce lieu où notre héros Joseph Engling a donné sa vie pour Dieu. » (Flavio Kolberg - Porto Alegre - Brésil) « Visiter ce lieu est une grâce du Bon Dieu. C’est l’occasion de voir que même dans les périodes difficiles, Dieu est avec nous. « Rencontrer » Joseph Engling, et voir l’exemple de sa vie et de sa rencontre avec Dieu en tout temps, c’est merveilleux. » (Maria Angela Kolberg - Porto Alegre Brésil) « C’est une grande joie en Dieu que de visiter ce lieu où l’amour de Dieu a triomphé de toutes les peurs de la guerre, où notre « frère » Joseph Engling a fait de sa vie un sacrifice d’amour offert à Dieu, à Marie et aux frères. Je suis très reconnaissant à Dieu de nous avoir fait participer à ce mystère d’amour et de grâce dont le Sanctuaire de Cambrai est un signe. Je remercie Dieu et la Vierge Marie. Que la Vierge Marie, avec son divin Enfant, nous bénisse ! » (Père Miguel L. Martins Costa - Porto Alegre - Brésil) 7 Au Foyer de Schoenstatt….. Préparation au mariage. Du vendredi 7 février (soir) au dimanche 9 février 2014 (midi) a eu lieu la session 2014 de préparation au mariage pour toute la paroisse du Bienheureux Carl en Cambrésis. une vingtaine de couples ont répondu présents à l’invitation de l’Equipe de préparation au mariage de notre paroisse, sous la direction de Mr l’abbé Périau. Cette Session 2014 s’est conclue par une messe en l’Eglise de Thun-Saint- Martin, au cours de laquelle Monsieur l’abbé Périau a invité les futurs époux à venir porter en procession, dans une corbeille devant l’autel, la pochette symbolisant tout leur travail du weekend de préparation au mariage. Photo et extrait du rapport selon cathocambrai-paroisse bienheureux Carl/Cambrésis Les 15-16 janvier, retraite d’une religieuse du diocèse. Les 16-17-18 février, retraite du Père Jean-Marie Moura et du Père Daniel Louchart, Oblat à Tournai. Le 15 février, préparation à la première communion d’une vingtaine d’enfants de la paroisse Saint Laurent en Ostrevant avec leurs catéchistes, Le 22 février, rencontre et formation des animateurs de la Profession de Foi de la paroisse du Bienheureux Carl en Cambrésis, avec l’abbé Périau. Les 24-25 février, une trentaine d’enfants de la paroisse Saint-Joseph en Cambrésis ont fait leur préparation à la profession de foi. Accompagnés de leurs animateurs et de l’abbé Deleu, les enfants ont profité du site auprès du Sanctuaire de l’Unité, pour travailler et se divertir. 8 Rencontre à la Maison des familles à Schönstatt en Allemagne. a famille belge de Schoenstatt s’est réunie du 28 février au 3 mars, pour sa rencontre annuelle à Schönstatt autour du Père Josef Hälg, Père de Schoenstatt, inspirateur du Mouvement pour la Belgique, et du Père Jarek, Père Palottin qui accompagne également le mouvement en Belgique. Le thème de la rencontre était celui choisi pour le mouvement dans le monde entier en cette année du Jubilé : « Ton Alliance, notre mission. » L Une Maison des Familles pleine à craquer, une moyenne d’âge inférieure à 25 ans, un foisonnement de vie et de joie. Les Pères se sont partagé les enseignements, passant du groupe des adultes à celui des jeunes et des ados, adaptant à chaque fois leur discours à l’âge de leurs auditeurs. Ils ont soulevé pour nous un coin du voile pour nous faire découvrir l’Alliance à travers l’Ancien et le Nouveau Testament, pour nous montrer que nous sommes appelés à vivre très concrètement cette Alliance avec Dieu par Marie, au cœur de notre quotidien. Ils nous ont invités d’une part à intensifier notre relation avec Dieu et de l’autre, à apporter un grand soin à la qualité de nos relations humaines par notre manière d’être en dialogue, la qualité de notre écoute, le choix des mots utilisés. 9 Le dimanche soir au Sanctuaire des Familles, au cours d’une célébration chaleureuse et émouvante, 4 jeunes couples et une mère ont fait leur Alliance d’Amour avec Marie. Sylvie Jacquemin Visite à la « Maison Père Kentenich » et à la maison missionnaire. Quelques citations des conférences. « La culture d’alliance est notre style de vie, celui des schoenstattiens. Il consiste en ceci : nous sentir toujours dépendants de Dieu , proches de sa Mère, étroitement unis à notre famille, au groupe etc… La culture d’alliance est une manière de vivre l’alliance d’amour en lien avec la vie et tout ce qui s’y passe. Elle devrait avoir une influence réelle sur nos activités mais aussi sur notre comportement en famille, dans la vie sociale. L’esprit d’alliance tend à se réaliser, il doit prendre des formes très concrètes. » « Nous sommes vraiment appelés à créer un contre-courant à ce processus de déshumanisation par une culture d’alliance dont le but n’est pas d’abord d’influencer mais bien de témoigner de nos valeurs. Il est malheureusement très clair que les chrétiens deviennent une minorité, et cela en même temps que s’effectuent dans la société des changements profonds. L’évolution, sous plusieurs de ses aspects, devient plutôt une révolution, surtout au niveau moral. La société veut marginaliser tout ce qui est religion. » « Cette vue de la situation actuelle, spécialement celle des familles, doit nous interpeller. Elle doit nous inciter à vivre la culture d’alliance et à nous sensibiliser à notre mission. Malgré tous les obstacles, nous avons toutes nos chances dans cette société multiculturelle de parvenir à créer un contre-courant positif. Le défi est de ne pas se résigner et de se retirer comme dans un ghetto, mais de vivre l’alliance à la place des autres et pour les autres. » 10 « Alors mettons à la disposition de Marie nos prières, nos sacrifices et nos engagements dans la mission, sans discontinuer, pour faire douce violence à Marie et pour permettre à Dieu d’intervenir. Car nous sommes conscients de nos limites, de nos fragilités mais en même temps nous comptons sur Elle, sûrs de la toute puissance de son intercession. Tant notre engagement au sein du mouvement que celui que nous avons à l’extérieur qui est concerné. Le renouveau religieux et moral doit toujours être en point de mire. » « Cette culture d’alliance doit être tellement enracinée en nous que l’on doit pouvoir dire de nous : « Voyez comme ils s’aiment ». Là, je compte sur vous et vous demande d’être inventifs pour concrétiser cela, par exemple : - en considérant l’autre comme un messager de Dieu - en acceptant l’autre avec ses idées, ses idéaux, ses projets - en soignant les rapports entre nous - en nous laissant guider ou parfois freiner par la Providence divine - en partageant nos centres d’intérêt et en faisant nôtres ceux des autres - en étant attentifs à la qualité de notre accueil : il doit être chaleureux. C’est une des faiblesses de l’Eglise actuelle d’être devenue bien souvent une organisation anonyme où l’on ne se sent pas accepté ni bienvenu (alors que les sectes font le contraire). » Une action de solidarité pour le centenaire de Schoenstatt. Il y a cent ans, le 18 octobre 1914, la Mère de Dieu s’est construite une « maison », le Sanctuaire d’Origine, où elle accueille des milliers de visiteurs et pèlerins pour leur donner un « chez-soi ». En voyant la grande misère des pauvres d’un bidonville au Paraguay, une femme du mouvement a pris l’initiative d’un projet de solidarité avec les familles pauvres, qui habitent sous un « toit » de plastique ou de tôles. Selon la devise : Pour les cent ans du Mouvement de Schoenstatt, on construit cent maisons pour ce bidonville. L’action est déjà devenue très efficace. 11 De nombreux membres du mouvement autour des Sanctuaires d’Allemagne, de la Suisse, d’Italie, du Brésil, du Burundi….. ont donné leur participation. Avec 200 euros, des dons de matériel par des entreprises artisanales sur place et la participation des familles à la construction, plusieurs maisons remplacent déjà les abris de tôle. Photos selon Schoenstatt.org « Cent ans du Mouvement de Schoenstatt - cent maisons à construire ! » Voici le jour que fit le Seigneur, jour de fête et de joie. Que le Christ ressuscité vous comble de joie et de paix. BONNE ET SAINTE FÊTE DE PÂQUES À TOUS ! Si vous voulez soutenir notre apostolat pour la France et la Francophonie, adressez vos dons à Sœurs de Marie, à l’adresse ci-dessous avec la mention « apostolat ». numéro de compte bancaire: 30027 17254 00018489101 43 Pour virement vers la France : IBAN - FR 76 3002 7172 5400 0184 8910 143 CMCIFRPP Responsable : Sœur Michéla Schon, Foyer de Schoenstatt, F -59141 Thun-Saint-Martin Tél : 03 27 37 90 59 - Fax : 03 27 79 66 97 - E mail : [email protected]
Documents pareils
Voici la servante du Seigneur
maternel pour la culture contemporaine”
Le président du Conseil Pontifical de la Culture, Mgr Gianfranco Ravasi, préside, cette année, le pèlerinage
anniversaire mai, les 12 et 13.
Dans une intervi...