merci a - Les Musicales de Croissy

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merci a - Les Musicales de Croissy
Requiem aeternam…
Demandez à une personne de votre entourage, choisie au hasard, de citer une œuvre de
Mozart. Nul doute que le Requiem sera nommé aussi fréquemment que La Petite Musique
de Nuit ou la Flûte Enchantée.
Et pourtant, qui sait que le Requiem est si peu de la main de Mozart ? Qui sait que Salieri
n’a vraisemblablement rien à voir avec la mort de celui-ci ?
En effet, le 5 décembre 1791 meurt, à Vienne, Wolfgang Amadeus Mozart, à l’âge de 35
ans. L’œuvre à laquelle il travaillait sur son lit de mort était un Requiem que lui avait
commandé un mystérieux homme en gris et qu’il devait achever pour février 1792. Il en
laisse quelques parties vocales, largement incomplètes et quelques instructions orales.
Pressée par les créanciers, sa veuve, Constance, demande aux élèves de son époux de finir le
travail afin qu’elle puisse être payée. S’y attellent d’abord Freystädler, Eybler et l’abbé
clarinettiste Stadler, qui effectuent quelques retouches directement sur le manuscrit. Mais
comme le travail n’avance pas assez vite pour être livré à temps, Constance sollicite FranzXaver Süßmayr qui reprend et termine le Requiem.
Le mystérieux homme en gris récupère la partition, entièrement de la main de Süßmayr, y
compris d’ailleurs la signature « Mozart ». Il paie à Constance le solde dû.
Constance vend une seconde copie de la partition au baron Von Klöst, ambassadeur de
Prusse à Vienne, qui crée le Requiem le 2 janvier 1793. Enfin, le 14 février 1793, le
commanditaire secret, le comte von Walsegg zu Stuppach, dirige l’exécution de l’œuvre…
et ajoute modestement sa signature, « Composto dal conte Walsegg », à côté de celle –
fausse, comme nous l’avons vu – de Mozart.
Bien que ces sordides supercheries soient vite éventées, le mystère qui les a entourées donne
naissance à maintes légendes romanesques sur la mort de Mozart. La légende musicale, elle,
inspire Neukomm, qui compose en 1819 un « Libera Me » sur des thèmes du Requiem, pour
des représentations par la chapelle royale du Portugal, alors en exil à Rio de Janeiro.
Ce soir, ce Requiem, complété du Libera Me de Neukomm est mis en regard d’autres
œuvres liturgiques qui jalonnent la carrière de compositeur de Mozart.
Ainsi, un « Veni Sancte Spiritus » daté de 1768 : Mozart avait alors douze ans, mais n’en
était déjà plus à ses débuts de compositeur. La musique porte encore la marque stylistique
de ses modèles salzbourgeois : son propre père Léopold, et Michael Haydn qui deviendra
par la suite son professeur. Un monde, une vie, sépare cette pièce remplie de la fraîcheur de
l’enfance de sa dernière œuvre, non moins émouvante.
Quasiment au milieu du parcours musical de Mozart entre le « Veni Sancte Spiritus » et le
« Requiem », Mozart compose en 1780 les Vêpres pour un Confesseur. Le « Laudate
Dominum » en est interprété ce soir. Ces Vêpres ont été composées pour la Saint-Jérôme,
fête de l’archevêque de Salzbourg. Il s’agit de la dernière œuvre religieuse écrite par Mozart
pour la cathédrale de sa ville natale avant sa rupture avec l’Archevêque et son départ pour
Vienne.
Programme
Veni Sancte Spiritus KV47 - Wolfgang Amadeus Mozart
Chœur Euphonia de Rueil-Malmaison,
Ensemble Instrumental Cenart-Ile de France
Roland Lemêtre, Direction
Laudate Dominum (des Vêpres Solennelles d’un Confesseur) KV33
Wolfgang Amadeus Mozart
Carole Chabry, Soprano
Chœur Ostinato de Croissy,
Ensemble Instrumental Cenart-Ile de France
Bernadette Beurthey, Direction
*
*
*
Requiem KV626 - Wolfgang Amadeus Mozart
Chœur Ostinato de Croissy
Chœur Euphonia de Rueil-Malmaison
Ensemble Instrumental Cenart-Ile de France
Carole Chabry, Soprano
Isabelle Dupuis-Pardoël, Mezzo-soprano
Jérôme Billy, Ténor
Pierre Mervant, Basse
Roland Lemêtre, Direction
Libera Me, Domine - Sigismund von Neukomm
Chœur Ostinato de Croissy
Chœur Euphonia de Rueil-Malmaison
Ensemble Instrumental Cenart-Ile de France
Roland Lemêtre, Direction
Ce concert est dédié à la mémoire d’Antoine Beurthey
Textes et traductions
VENI SANCTE SPIRITUS KV47
Veni, veni, veni Sancte Spiritus,
Reple tuorum corda fidelium
Et tui amoris in eis ignem accende
Qui per diversitatem linguarum cunctarum,
Gentes unitate fidei congregasti.
Alleluia.
Viens Esprit Saint,
Remplis le cœur de tes fidèles
Et allume un feu en eux par ton amour
Qui, malgré la diversité de toutes les langues,
Les rassemble par l’unité de la foi.
Alleluia
LAUDATE DOMINUM KV339
Laudate Dominum omnes gentes:
laudate eum omnes populi:
Quoniam confirmata est super nos misericordia ejus:
Et veritas Domini manet in aeternum.
Gloria Patri et Filio, et Spiritui Sancto
Sicut erat in principio et nunc et semper,
Et in saecula saeculorum, amen.
Louez tous le Seigneur,
Peuples, louez-le tous :
Parce que sa miséricorde s’étend sur nous :
Et la vérité du Seigneur reste pour l’éternité.
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit
Comme il en était au commencement, et maintenant et
toujours, et pour les siècles des siècles, amen.
REQUIEM
INTROITUS
Requiem aeternam dona eis, Domine: et lux perpetua
luceat eis.
Te decet hymnus, deus, in Sion, et tibi reddetur votum in
Jerusalem.
Exaudi orationem meam, ad te omnis caro veniet.
KYRIE
Kyrie Eleison, Christe Eleison, Kyrie Eleison
SEQUENTIA
Dies Irae
Dies irae, dies illa,
Solvet saeclum in favilla:
Teste David cum Sybilla.
Quantus tremor est futurus,
Quando judex est venturus,
Cuncta stricte discusurus!
TUBA MIRUM
Tuba mirum spargens sonum
Per sepulcra regionum,
Coget omnes ante thronum.
Mors stupebit et natura,
Cum resurget creatura,
Judicanti responsura
Liber scriptus proferetur,
In quo totum continetur,
Unde mundus judicetur.
Judex ergo cum sedebit,
Quidquid latet, apparebit:
Nil inultum remanebit.
Quid sum miser tunc dicturus?
Quem patronum rogaturus,
Cum vix justus sit securus?
REX TREMENDAE
Rex tremendae majestatis,
Qui salvandos salva gratis,
Salva me, fons pietatis.
RECORDARE
Recordare, Jesu pie,
Quod sum causa tuae viae:
Ne me perdas illa die.
Quarens me, sedisti lassus,
Redemisti Crucem passus.
Tantus labor non sit cassus.
Juste judex ultionis,
Donum fac remissionis
Ante diem rationis.
Ingemisco, tamquam reus,
Donne-leur le repos éternel, Seigneur : et que la lumière
éternelle brille pour eux.
Des chants t’accueillent, Dieu, à Sion, et des sacrifices
te sont offerts à Jérusalem.
Ecoute ma prière, toi vers qui ira tout mortel.
Seigneur prends pitié, Christ prends pitié
Jour de colère, ce jour
Où le monde finira en cendres,
Comme l’ont annoncé David et la Sybille.
Il y aura bien des tremblements de peur,
Quand le juge viendra
Pour tous nous examiner !
La trompette rassemblera chacun devant le trône, en
répandant un son étonnant,
Parmi les sépulcres.
La mort et la nature seront stupéfaites,
Lorsque la création ressuscitera,
Pour répondre à son juge.
Le livre des comptes sera apporté,
Qui contiendra tout
Ce sur quoi le monde sera jugé.
Donc lorsque le juge siègera,
Tout ce qui est caché apparaîtra :
Rien ne demeurera impuni.
Que dirai-je alors, moi qui suis malheureux ?
Quel protecteur prierai-je,
Alors que même le juste sera inquiet ?
Roi dont la majesté fait trembler,
Qui sauves par la grâce,
Sauve-moi, source de pitié.
Souviens-toi, doux Jésus,
Que je suis la cause de ta venue :
Ne me perds pas en ce jour.
En me cherchant, tu t’es assis, fatigué,
Tu m’as racheté par le supplice de la Croix.
Que tant de souffrance ne soit pas inutile.
Juge qui punis justement,
Donne la rémission des péchés
Avant le jour des comptes.
Je gémis comme un coupable,
Culpa rubet vultus meus,
Supplicanti parce, Deus.
Qui Mariam absolvisti,
Et latronem exaudisti,
Mihi quoque spem dedisti.
Preces meae non sunt dignae
Sed tu bonus fac benigne,
Ne perenni cremer igne.
Inter oves locum praesta,
Et ab haedis me sequestra,
Statuens in parte dextra.
CONFUTATIS
Confutatis maledictis,
Flammis acribus addictis:
Voca me cum benedictis.
Oro supplex et acclinis,
Cor contritum quasi cinis:
Gere curam mei finis.
LACRIMOSA
Lacrimosa dies illa, qua resurget ex favilla, judicandus
homo reus.
Huic ergo parce, Deus. Pie Jesu Domine, dona eis
requiem. Amen.
OFFERTORIUM
Domine Jesu Christe
Domine Jesu Christe, Rex gloriae, libera animas omnium
fidelium defunctorum des poenis inferni et de profundo
lacu:
Libera eas de ore leonis, ne absorbet eas tartarus, ne
cadant in oscurum.
Sed signifer sanctus Michael repraesentet eas in lucem
sanctam,
Quam olim Abrahae promisisti et semini ejus.
HOSTIAS
Hostias et preces tibi, Domine, laudis offerimus: tu
suscipe pro animabus illis, quarum hodie memoriam
facimus:
Fac eas, Domine, de morte transire ad vitam.
Quam olim Abrahae promisisti et semini ejus.
SANCTUS
Sanctus, sanctus, sanctus Dominus Deus Sabaoth. Pleni
sunt caeli et terra gloria tua.
Hosanna in excelsis
BENEDICTUS
Benedictus qui venis in nomine Domini.
Hosanna in excelsis
AGNUS DEI
Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, dona eis requiem.
Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, dona eis requiem
sempiternam.
COMMUNIO
Lux aeterna luceat eis, Domine:
Cum sanctis tuis in aeternum, quia pius es.
Requiem aeternam dona eis, Domine, et lux perpetua
luceat eis quia pius es.
Mon visage rougit de la faute,
Pardonne, Dieu, à celui qui supplie.
Toi qui as absous Marie-Madeleine,
Et exaucé le bon larron,
Tu m’as aussi donné l’espérance.
Mes prières n’en sont pas dignes
Mais fais, par ta bonté,
Que je ne brûle pas au feu éternel.
Accorde-moi une place dans ton troupeau,
Et sépare-moi des égarés,
En m’installant à ta droite.
Quand les méchants seront confondus,
Et conduits dans les flammes féroces,
Appelle-moi parmi tes élus.
Suppliant et prosterné, je prie,
Le cœur presque réduit en cendres :
Prends soin de mes derniers moments.
Jour de larmes, ce jour où l’homme coupable resurgira
de la poussière pour être jugé.
Epargne-le donc, Dieu ! Bon Seigneur Jésus, donne leur
le repos. Amen.
Seigneur Jésus-Christ, roi de gloire, libère les âmes de
tous les fidèles défunts des peines et de l’abîme dans
fond de l’enfer : Libère-les de la gueule du lion, pour
que le gouffre ne les avale pas et qu’elle ne tombent pas
dans les ténèbres. Que le porte-étendard Saint Michel
les introduise dans la lumière sainte, Que tu as jadis
promise à Abraham et à da descendance.
Nous t’offrons, Seigneur, des sacrifices et des prières de
louanges : Accepte-les pour ces âmes, dont nous nous
souvenons aujourd’hui :
Fais-les, Seigneur, passer de la mort à la vie
Que tu as jadis promise à Abraham et à da
descendance.
Saint, saint, saint, Seigneur Dieu des forces célestes.
Les cieux et la terre sont pleins de ta gloire. Hosanna au
plus haut des cieux !
Béni celui qui vient au nom du Seigneur.
Hosanna au plus haut des cieux !
Agneau de Dieu, qui enlèves le péché du monde, donneleur le repos, agneau de Dieu qui enlèves le péché du
monde, donne-leur le repos éternel.
Que le lumière éternelle luise pour eux, Seigneur : Avec
tes saints, pour toujours, car tu es bon. Donne-leur le
repos éternel, Seigneur, et que la lumière éternelle luise
pour eux, car tu es bon.
LIBERA ME (Neukomm)
Libera me, Domine, de morte aeterna, in die illa
tremenda, quando coeli movendi sunt et terra.
Dum veneris judicare saeculum per ignem.
Tremens factus sum ego et timeo,
Dum discussion venerit atque ventura ira,
Quando coeli movendi sunt et terra.
Dies irae, dies illa calamitatis et miseriae,
Dies magna et amara valde,
Quando coeli movendi sunt et terra.
Requiem aeternam dona eis, Domine, et lux perpetua
luceat eis.
Libera me, Domine, de morte aeterna, in die illa
tremenda, quando coeli movendi sunt et terra
Libère-moi, Seigneur, de la mort éternelle, en ce jour de
terreur, où le ciel et la terre trembleront.
Quand tu viendras juger le monde par le feu.
Je serai tout tremblant et craintif,
Quand le jugement et la colère viendront,
Quand le ciel et la terre trembleront
Jour de colère, ce jour de calamités et de malheurs, ce
grand jour, jour d’amertume,
où le ciel et la terre trembleront.
Donne-leur le repos éternel, Seigneur, et que la lumière
éternelle luise pour eux.
Libère-moi, Seigneur, de la mort éternelle, en ce jour de
terreur, où le ciel et la terre trembleront.
Les compositeurs
Wolfgang-Amadeus Mozart (Salzbourg, 1756 – Vienne, 1791)
Né le 27 janvier 1756 à Salzbourg de Léopold Mozart, vice-Kapellmeister du prince-archevêque, et
d’Anna-Maria Pertl.
Sa carrière d’enfant prodige est bien connue : au clavecin à 5 ans, en tournée dans l’Europe entière à 6
ans, rencontre à 10 ans avec Johann-Christian Bach, à Londres, qui lui apprend à composer des
symphonies. Il travaille comme son père au service du prince-archevêque de Salzbourg, de 1767 à
1781.
En 1782, en rébellion contre son employeur, il part s’installer à Vienne auprès de l’ami de son père,
Joseph Haydn, se marie, et obtient rapidement de grands succès, en particulier à l’opéra.
Son inspiration talentueuse et protéiforme s’exprime dans quantité d’oeuvres : Opera seria
(Idomeneo), Singspiel (Die Zauberflaüte), symphonies, cantates (Grabmusik KV35a), transcription
pour clavecin d’œuvres de Carl-Philipp-Emmanuel Bach (KV7), réorchestration d’œuvres de G.F.
Haendel (Acis & Galatea, Le Messie…), concertos, danses pour vielle à roue et orchestre (KV602),
marches (KV320a), chant de guerre (KV539), musique de ballet (KV367), œuvres pour harmonica de
verre, nocturnes pour soprani, basse et cors de basset (KV437 : « Mi lagnerò »…), trio comique (« Der
Salzburger Lump in Wien » KV509b), motet en anglais (« God is our refuge » KV20), messes (Missa
Trinitatis KV167, missa Brevis KV186h…), canons (KV73x), sonates, fugues, variations sur des airs
de Glück…
En dépit de cette abondante production, ses moyens financiers restent en deçà de son luxueux train de
vie. La disgrâce qui suit la mort de Joseph II, en 1790, le laisse dans de grandes difficultés. Il accepte
donc la commande d’un Requiem, de la part d’un mystérieux commanditaire qui lui remet un acompte
bienvenu de 50 ducats.
Lorsque l’occasion de composer de nouveaux opéras lui est donnée, en 1791, il laisse de côté les
œuvres religieuses en cours, sauf le court Ave Verum. Il avance peu le Requiem, et sans grande
conviction, puisqu’il s’inspire de thèmes de Haendel et Wilhelm-Friedemann Bach pour commencer
les parties vocales.
Il tombe brutalement malade et doit s’aliter le 20 novembre 1791. Le 5 décembre 1791 meurt, à
Vienne, Johannes Chrysostomus Wolfgang Amadeus Mozart, à l’âge de 35 ans.
Chevalier Sigismund von Neukomm (Salzbourg, 1778 – Paris, 1858)
Fasciné pendant son enfance par son célèbre compatriote Mozart, il mène en parallèle des études de
philosophie, de mathématiques et de musique. Il étudie auprès de Michael Haydn, à Salzbourg, puis
avec Joseph Haydn, à Vienne, à partir de 1797. Celui-ci le considère comme son fils spirituel, et c’est
Neukomm qui organisera les funérailles de Haydn en 1809. Il devient professeur de clavecin de FranzXaver-Wolfgang Mozart, dernier fils du compositeur. Son talent vite reconnu le fait demander par
toutes les cours d’Europe, ce qui le conduit à beaucoup voyager après 1801 : Paris, Stockholm, Milan,
Vienne, Saint-Pétersbourg, Londres, Lisbonne, puis Rio de Janeiro, Alger, Madrid et même
Montbéliard… Il collabore avec le facteur d’orgues Cavaillé-Coll, est également musicien de
Talleyrand, est anobli par Louis XVIII, fréquente la cour de Louis-Philippe, compose énormément –
1300 œuvres recensées. Il meurt à Paris couvert d’honneurs, et sombre rapidement dans l’oubli.
Franz-Xaver Süßmayr (Schwanenstadt, 1766 – Vienne, 1803)
Enfant de chœur à l’Abbaye de Kremsmunster (Haute-Autriche), puis violoniste dans l’orchestre de
cette abbaye, il y compose des messes, ainsi que des airs pour le théâtre. En 1788, il suit à Vienne son
mentor, le père Georg von Pasterwitz, lui-même organiste et compositeur. Il s’y installe et prend des
leçons auprès de Salieri et Mozart, dont il devient le copiste attitré. Il semble qu’à la mort de Mozart, il
travaillait à la mise au propre du manuscrit de la « Flûte Enchantée » en vue de son édition.
Compositeur du Théâtre National de Vienne après 1792, il meurt de tuberculose.
Les interprètes
Carole Chabry – Soprano
Elève d’Alain Vanzo puis de Rachel Yakar, Carole Chabry obtient un Premier
Prix de Chant à l’unanimité au Conservatoire National Supérieur de Musique et
de Danse de Paris
Dès 1997, elle donne dans le cadre du Cantoforum, un récital au Théâtre de La
Scala de Milan et chante avec l’Orchestre National d’Ile-de-France sous la
direction de J.Mercier, le rôle de Giulia dans L’Echelle de Soie de G.Rossini, le
Psaume 42 de F.Mendelssohn, Les Béatitudes de C. Franck et le Requiem pour
Mignon de R.Schumann. Avec la Philharmonie de Lorraine, Metz l’applaudit à
l’Arsenal dans le Gloria de F.Poulenc en 1997, en 1999 à la cathédrale dans la
Neuvième Symphonie de L.v Beethoven et en 2000 dans le Stabat Mater de
F.Schubert.
Depuis dix ans, les principales scènes et festivals qui l’ont accueillie sont :
le Théâtre du Capitole de Toulouse pour Irma dans Louise de G.Charpentier, sous la baguette de
M.Plasson, l’Opéra de Rennes pour La Petite Messe Solennelle de G.Rossini, l’Opéra d’Avignon pour La
Vie Parisienne de J.Offenbach, le Festival de Radio France à Montpellier pour le rôle de Giselher dans Die
Lustigen Nibelungen d’O.Strauss, mis en scène par R.Koering, le Saito Kinen Festival - Japon, où elle a
doublé les rôles de Blanche et de Constance dans les Dialogues des Carmélites de F. Poulenc, produit par
l’Opéra Bastille, sous la direction de S. Ozawa dans une mise en scène de F. Zambello, en 2000, elle a
interprété le Requiem de G. Fauré, mené par J-C. Casadesus à Lille et à Namur puis dans le cycle
« Les Grandes Voix », au Théâtre des Champs-Elysées à Paris.
Après son interprétation de Micaëla dans La Tragédie de Carmen à Bordeaux, mis en scène par L. Dale
d’après Peter Brook, elle tenait le rôle de Karolka dans Jenufa de L. Janáček à l’Opéra de Nancy en 2002.
Elle a chanté Les Sept dernières Paroles du Christ en Croix de J. Haydn à l’Arsenal de Metz en avril avec
l’Orchestre National de Lorraine.
Depuis 2004, à travers Espace Vocal, elle fait connaître l’Art lyrique dans les grandes entreprises françaises.
Par le biais de sa collection les « Concerts Commentés », elle explique l’opéra au plus grand nombre. Vous
avez pu l’entendre dernièrement à Paris dans la 9ème de Beethoven dirigée par P. Molina ainsi qu’au Palais
des Congrès de Paris en juin 2007 pour le Messie de Haendel. Elle chantera le Requiem de Mozart, à Rueil,
Croissy et Paris en 2008 dirigée par R .Lemêtre.
Isabelle Dupuis-Pardoël - Mezzo-soprano
Après un 1er prix de chant de l'ENMP et un 1er prix d'Art lyrique du CNSMP,
Isabelle Dupuis-Pardoël est sélectionnée à l'Atelier Lyrique de l'Opéra de Lyon,
puis à l'Atelier Lyrique de l'Opéra de Paris. Depuis elle se perfectionne avec la
soprano roumaine Aneta PAVALACHE.
Elle se produit dans des œuvres sacrées et dans de nombreux opéras partout en
France (notamment St-Céré, Rouen, Nantes, Lyon, Montpellier, Aix en Provence,
La Roque d’Anthéron, Paris….) et en Europe (Allemagne, Lisbonne, Villa
Médicis…). Parmi ces œuvres, « Le Barbier de Séville » de Rossini, « La flûte
enchantée » (Mozart), « Dialogues des Carmélites » de Poulenc à l’Opéra de Paris,
« Thaïs » (Massenet), « l’Enfance du Christ » (Berlioz), Moïse et Aaron de
Schoenberg à l’Opéra de Lyon sous la direction de Kent Nagano….
Isabelle Dupuis-Pardoël a donné deux récitals sur France Musique, en 1998 et 1999, dans l’émission
« Scène ouverte » de Stéphane Goldet.
Son parcours diversifié l’a amenée à aborder également le répertoire contemporain : citons Dusapin, dans
les opéras « Medea material » en 2000 et « Perela, l’homme de fumée » en 2003, Pintscher dans « L’espace
dernier » en 2004, à l’opéra Bastille.
Isabelle Dupuis-Pardoël fait partie du chœur de chambre Accentus depuis 1996. Dans ce cadre elle a
effectué plusieurs enregistrements en soliste, notamment la sérénade « Ständchen » de F. Schubert, et s’est
produite en soliste dans de nombreuses tournées.
Elle reçoit le Grand Prix de l'Académie Ravel en 1999 à St Jean de Luz et chante pour l'occasion Mère
Marie des Dialogues des Carmélites de Francis Poulenc .
Elle est également impliquée dans l’ensemble de musique médiévale « Cum Jubilo », qui se distingue
depuis sa création en 2004 par la qualité remarquée de ses concerts et qui se produit dans les hauts lieux de
la musique sacrée (dont Vézelay en 2007).
Elle a interprété récemment le rôle de Piramo dans l'opéra baroque Piramo et Tisbe de J.A. Hasse, au
festival du Printemps des Arts de Nantes, aux côtés du Lachrimae Consort.
Elle collabore volontiers en soliste avec le Chœur Euphonia (notamment Messe en Si de BACH)
Jérôme Billy - Ténor
Diplômé du Conservatoire Supérieur de Musique de Paris en 2005, Jérôme
Billy en intègre le cycle de perfectionnement premier nommé à l’unanimité
du jury, auprès de Pierre Mervant.
Il débute sa carrière à l’opéra en jouant le rôle de Tamino dans La Flûte
Enchantée de Mozart, mise en scène par Lukas Hemleb, sous la direction
d’Alain Altinoglu, avec l’Orchestre National d’Ile-de-France. Parmi les
étapes de sa carrière, citons en 2005, les Dialogues des Carmélites au CNSM,
mis en scène par Emmanuelle Cordoliani et dirigé par Samuel Jean ;
Monsieur Choufleuri d’Offenbach à l’Opéra de Lyon, mis en scène par
Laurent Pelly et dirigé par Benjamin Lévy ; Zaïde de Mozart à l’Opéra de
Rouen et à la Cité de la Musique, sous la direction d’Oswald Sallaberger. En
juin 2006, il est engagé par Fayçal Karoui pour la 9ème de Beethoven avec
l’Orchestre de Pau.
Son parcours au CNSM lui a permis de rencontrer et de travailler avec de nombreuses personnalités telles
que Alexandra Miltcheva, Hartmut Höll, Noël Lee, Janine Reiss et René Jacobs. Il aborde également un
vaste répertoire d’oratorio, répertoire de prédilection de la Maîtrise de Sainte-Croix où il fut enfant, soliste
alto. Il chante La Passion selon Saint Jean de Bach, La Création et Les Saisons de Haydn, le Requiem et la
Grande Messe en ut de Mozart, la Messa di Gloria de Puccini, mais aussi le rôle du marié dans Les Noces
de Stravinsky, le récitant dans Le Paradis et la Péri de Schumann, Saint-Nicolas de Britten.
A maintes reprises au cours de ses études, il est engagé dans le répertoire d’opérette, ce qui lui permet
d’aborder bon nombre d’œuvres d’Offenbach dans des rôles de premier plan parmi lesquels Fritz de La
Grande-Duchesse de Gerolstein, Frick et le Brésilien de La Vie Parisienne, Aristée-Pluton d’Orphée aux
Enfers.
Il s’est produit l’hiver dernier à l’Opéra de Fribourg dans Le Pauvre Matelot de Milhaud, puis en tournée.
Parmi ses enregistrements, citons Le Renard de Stravinsky, sous la direction de Reinbert de Leeuw, à la
Maison de Radio-France
Parmi ses apparitions télévisuelles, citons Monsieur Choufleuri, édité en DVD par l’Opéra de Lyon.
Au cours de l’été on a pu l’entendre au Festival Bach en Combrailles, Mens Alors ! au Parc Floral de
Vincennes ainsi qu’au Festival de Beaulieu-sur-mer où il a chanté L’Orfeo de Monteverdi. Il vient de
participer à la création de L’Arche de Noé du jeune compositeur Baptiste-Florian Marle-Ouvrard. Il
chantera Alfred dans Die Fledermaus de Johann Strauss au CNSM en mars prochain et prépare Ferrando
dans Cosi fan tutte de Mozart pour l’été 2008 en Corse.
Pierre Mervant - Basse
Chanteur et professeur de chant, Pierre Mervant s'est d'abord consacré à la musique
baroque, comme choriste sous la direction de J.C. Malgloire et M. Minkowski
notamment, ou dans de petits ensembles vocaux (essentiellement le groupe Sagittarius
avec lequel il a beaucoup enregistré). Il est ensuite devenu soliste dans un répertoire
très varié : mélodies françaises et anglaises, cantates, lieder, airs d’oratorios, musiques
de scène et créations contemporaines…
Titulaire du C.A. de Technique Vocale, il enseigne le chant et la Pédagogie du Chant au
Conservatoire National Supérieur de Paris
Roland Lemêtre - Direction musicale
Chef de choeur certifié, pianiste, chanteur, Roland Lemêtre est aussi professeur certifié de chant choral et de
formation musicale. Actuellement professeur et responsable du département de Chant Choral au
Conservatoire National de Région de Rueil-Malmaison, il dirige le choeur « Euphonia », l’Ensemble
Vocal, la classe de direction de choeur et l'atelier de musique de chambre vocale. Il a créé et dirige depuis
15 ans l'association CENART (Centre de Formation Artistique pour adultes).
Sa participation très active au service de la musique lui permet d’être régulièrement appelé à prendre la
direction musicale d'oeuvres chorales et instrumentales dans le cadre de festivals et sessions musicales à
Paris et en Province.
Roland Lemêtre a travaillé dans plusieurs directions artistiques : chef de choeur dirigeant des oeuvres
chorales a cappella et avec orchestre, chanteur dans les ensembles vocaux de Stéphane Caillat et Philippe
Caillard, pianiste et tromboniste dans divers ensembles instrumentaux, directeur de collection de musique
pour Cuivres aux Editions Leduc. Particulièrement sensible au répertoire vocal, il a suivi plusieurs
formations en direction de choeurs et d'orchestres auprès de grands maîtres tels que Stéphane Caillat,
Edward Higginbottom, Jean-François Paillard et David Willcoks. Il a développé sa technique vocale avec
Jacqueline Bonnardot puis Marie-Claire Cottin, et s'est formé aux techniques corporelles dans des itinéraires
passant par la danse traditionnelle, le théâtre, la pratique de différentes techniques de relaxation et
l'apprentissage de la "Prise de conscience par le Mouvement" avec François Combeau (méthode
Feldenkrais).
Ses talents de musicien pédagogue sont sollicités en permanence dans la formation chorale, la formation de
formateurs, l'animation de stages de pratique vocale. Il est l’auteur de nombreux livres pédagogiques et
musicaux, et arrangeur d’un grand nombre de duos sur le thème de la chanson française.
Bernadette Beurthey - Chef de chœur
Bernadette Beurthey naît dans une famille où la musique a toujours été une seconde nature, mère pianiste,
oncle directeur de la maîtrise de la cathédrale de Bourges. Elle a toujours évolué dans un monde musical.
Très tôt, elle apprend le piano et fait partie de divers chœurs au cours de ses études scolaires et
universitaires.
C’est en 1979 qu’elle prend, avec enthousiasme, la direction du chœur du Vieux Croissy, fondé sur
l’initiative de Philippe Rollin, son premier président, et qui deviendra le Chœur Ostinato en 2004. Elle se
perfectionne alors au cours de nombreux stages auprès d’excellents pédagogues : Philippe Caillard
(direction de chœur) Jean Sourisse, Roland Lemêtre (formation musicale et vocale) Marcel Perez
(grégorien) Laurence Equilbey (musique contemporaine), Michel Laplénie (musique baroque).
Le Chœur Ostinato de Croissy
Ostinato ? de l’italien : obstiné. Ce terme apparaît vers 1700 et désigne ce qui, une fois
commencé, se poursuit continuellement sans être abandonné. Mais, sur le plan musical, le procédé
remonte au XIIIème siècle. L’ « Ostinato » diffère de la simple répétition par le fait qu’il se
déroule en même temps que changent d’autres éléments musicaux (par exemple, évolution d’une
mélodie sur une basse rythmique continue « basso ostinato »). Ce style de variation reste en vogue
jusqu’au milieu du XVIIIème siècle. Il crée au XIXème siècle une certaine atmosphère de tristesse
(F.Schubert) ou de tranquillité (berceuse de F. Chopin).
La musique du XXème siècle se rappelle même les origines chamaniques de l’Ostinato visant par
la répétition dans la musique rituelle à un effet d’envoûtement (I. Stravinski « Le Sacre du
Printemps », O. Messiaen « 3 Petites Liturgies de la Présence Divine»).
Sous la direction de Bernadette Beurthey, le Chœur Ostinato de Croissy va fêter ses 30 ans en
novembre 2008 ; il réunit près de 60 choristes. Son répertoire est varié, aussi bien sacré que
profane, et embrasse toutes les époques et tous les styles. Le Chœur a participé au Festival
Romantique à Croissy-sur-Seine en octobre 2001 en interprétant Gallia de Gounod.
En février 2003, en collaboration avec le Chœur Euphonia de Rueil-Malmaison, il a chanté le
« Deutsches Requiem » de J. Brahms (version de Londres) pour solistes, chœur et 2 pianos, avec
la collaboration de Claire Leroy, soprano, Jean-Loup Pagesy, Baryton, Arlinda Majollari et JeanChristophe Roux, pianos. Le Chœur a été invité à Landshut, près de Munich, en mars 2003 pour
chanter en concert avec un chœur masculin allemand.
En 2004, le Chœur Ostinato, avec le Chœur de Cernay-la-Ville, l’Orchestre Leopolis de Lviv
(Ukraine) , et les solistes Carole Chabry, Isabelle Sabrié et Jean-Louis Jardon sous la direction de
Jean-Pierre Loré, a interprété «Un Chant pour la Planète », d’Antonio Santana, en présence du
compositeur.
En juin 2004, il a chanté, avec le Chœur Français d’Oratorio, « La Vierge » de J. Massenet
(concerts et enregistrement), en l'église de la Trinité à Paris. En juin 2005, toujours au sein du
Chœur Français d’Oratorio, et en l’Eglise de la Trinité, il a participé à la représentation et à
l’enregistrement de l’oratorio « Jeanne au Bûcher » , d’Arthur Honneger sur un texte de Paul
Claudel. En mars 2006, il a participé, avec le Chœur Euphonia de Rueil, à un concert présentant
des œuvres sacrées de F. Mendelssohn. En novembre 2006, il a participé, au sein du Chœur
Français d’Oratorio, à l’exécution de « Rebecca » de César Franck et des « Saintes Maries de la
Mer », légende provençale d’ Emile Paladilhe, compositeur français de la fin du XIXème siècle..
En 2007, il a donné à Croissy un concert Schubert. En novembre 2007, toujours au sein du Chœur
Français d'Oratorio, il a participé à l'exécution des "Stabat Mater" de F.J. Haydn et d'Emile
Paladilhe.
Le Chœur Euphonia
Le Chœur EUPHONIA de Rueil-Malmaison regroupe environ 70 chanteurs-choristes amateurs,
tous portés par le même enthousiasme. Son répertoire est très varié : Chants polyphoniques avec
piano ou orchestre, musiques religieuses et profanes allant de William Byrd (Renaissance) à
Francis Poulenc (XXème siècle), en passant par Jean-Sébastien Bach, Wolfgang Amadeus Mozart,
Johannes Brahms et Igor Stravinsky. Le chœur est ouvert à tout chanteur amateur de bon niveau
vocal et musical.
Le Chœur EUPHONIA est affilié au Conservatoire National de Région de Rueil-Malmaison. Il
participe régulièrement aux activités de cet établissement, ainsi qu'aux manifestations culturelles de
la ville. Il est dirigé depuis 1975 par son chef actuel, Roland Lemêtre. Parmi ses réalisations :
Pisen Cesca de Smetana, Il Trovatore (extraits) de Verdi, le Requiem allemand de Brahms en 2003
ainsi que des motets de Mendelssohn en 2007.
L'ensemble Instrumental Cenart-Ile-de-France
Violons I :
Violons II :
Altos :
Guillaume Malherbe
Cyrielle Dvriesse
Paola Russo
Aurore Prevost
Louise Dorche
Clarinettes :
Elodie Roudet
Florian Abdessalam
Bassons :
Florence Charbonnel
Coralie Bosse
Mathieu Lamouroux
Dona Borel
Jeanne Cavelier
Gontran Karl
Trompettes :
Teu-Chi Nieh
German Rua
Trombones :
Solène Roux
Delphine Piguet
Yao-Ting Lin
Timbales :
Theo Merigeau
Orgue :
Yoshiko Moriai
Ségolène Bregain
David Claverie
Pei-Chih Lai
Violoncelles :
Hugo Rannou
Isabelle Le Boulanger
Contrebasse :
Alexandre Baile
Le Prochain concert de l'ADMC
Ce concert consacré à Mozart est le 4ème concert organisé par l'Assiciation pour le Développement de la
Musique à Croissy (ADMC) , dans le cadre de la saison 2007 – 2008, après :
- Jeux d'Orgues en Yvelines, le 23 novembre 2007, avec l'ensemble vocal Sequenza 9.3, dirigé par
Catherine Simonpietri et les organistes Thierry Escaich, Eric Lebrun, Vincent Paulet
- Le concert de musique de chambre donné le 20 janvier 2008 à la Chapelle Saint Léonard par un trio de
professeurs de l'Ecole de Musique de Croissy, composé de Hélène Hazebrouck, Delphine Bertaux,
Katalin Peronno-Darabont, dans un programme de trios de Rachmaninov, Chostakovitch et Piazzola.
- Le concert donné le 16 mars 2008 par le Trio Gershwin : Jean-Noël Roux, Benoît Charvet et Christine
Petit-D'Heilly.
Notre prochain concert aura lieu à la Chapelle Saint Léonard, le samedi 17 mai 2008 à 20h45,
en partenariat avec le Salon de l'Ecole Française.
Il nous permettra d'entendre Bertrand Malmasson dans un récital de pièces pour violoncelle solo, au cours
duquel il interprétera
- les suites pour violoncelle solo n° 3 & 4 de JS Bach et n° 3 de B. Britten, clôturant ainsi l'intégrale de
ces suites débutée il y a 2 ans,
- ainsi que deux courtes œuvres contemporaines pour violoncelle solo - Ecole de la quiétude d'A. Girard et
Tre d'Y. Bellocq – qui montrent que l'écriture pour violoncelle seul perdure aujourd'hui.
Tarif normal : 15 €, tarif réduit (adhérents ADMC, étudiants) : 10 €, moins de 12 ans : 5 €,
Famille (4 personnes dont 2 au plus âgées de plus de 18 ans) : 30€
Réservations (places numérotées), dès la mi-avril au magasin Catena (Bd
ou par téléphone au 01 34 80 03 85.
Toutes les informations sur l'ADMC sur
www.musique-a-croissy.com
Hostachy)
MERCI A ….
Quand vous bricolez, on est à côté.
QUINCAILLERIE FABRE
38 bd F. Hostachy – 78290 CROISSY