Nos activités de l`année 2015
Transcription
Nos activités de l`année 2015
Délégation de la Nièvre Nos activités de l’année 2015 Chers amis et adhérents : Il m’a semblé que le moment était bien choisi pour vous faire parvenir un petit résumé illustré de nos activités 2015, le samedi 21 mars à Varzy, du lundi 18 au jeudi 21 mai dans le Cantal, le vendredi 21 août en Nivernais et le dimanche 15 novembre à Sury pour notre journée d’échange de plantes. J’espère que ces quelques notes et photographies rappelleront aux participants de bons moments conviviaux et passionnants et donneront beaucoup de regrets aux autres ! Samedi 21 mars – Visite de Varzy Temps gris, pluvieux et pas bien chaud, mais beaucoup de chaleur humaine pour cette journée destinée à nous faire découvrir une des plus intéressantes petites villes de notre département mais bien méconnue. Nous étions 78 à braver les éléments et bien nous en a pris. Nous commençons notre journée au château des évêques d’Auxerre par un café-croissant convivial et une présentation générale de Varzy et de son histoire par Monsieur Marchand, ancien maire de Varzy et grand connaisseur de l’histoire de sa ville. Monsieur Marchand fut notre mentor tout au long de cette journée. Une fois réchauffés, nous sommes prêts à partir et nous nous dirigeons à deux pas du château pour admirer, sur plusieurs propriétés privées qui nous sont aimablement ouvertes et présentées par leurs propriétaires, les vestiges encore impressionnants de la Collégiale Sainte-Eugénie dont l’existence est attestée depuis le Xe siècle mais qui a été dépecée à la révolution. Une occasion unique d’observer ces vestiges romans et gothiques normalement non-accessibles. De là, il ne nous faut parcourir que quelques mètres pour admirer le lavoir, certainement le plus beau du département qui est installé sur les sources de la Sainte Eugénie. Le quartier où est installé ce lavoir était celui des tanneurs. C’est l’occasion pour notre guide de nous donner de très intéressantes informations sur cette activité du passé. 1 Du lavoir à l’Eglise Saint-Pierre il ne nous faut que deux minutes de marche. L’église Saint-Pierre est un élégant bâtiment extrêmement homogène du XIIIe siècle. Philippe Lamourère, Architecte des Bâtiments de France du département nous en fait une présentation savante et approfondie. Puis nous pouvons y admirer le trésor (exceptionnellement ouvert pour nous) contenant les reliquaires les plus précieux et anciens de notre département et les superbes tableaux qui y sont présentés et qui y ont été apportés à la révolution en provenance de la Collégiale Sainte-Eugénie. Parmi ceux-ci le tryptique de Sainte-Eugénie, chef d’œuvre du XVIe siècle. Non découragés par le crachin persistant, nous entreprenons un petit tour des maisons anciennes de la ville caractérisée par le nombre important de maisons du XVIe siècle. Nous sommes ainsi reçus par notre amie Madame Paparella qui a entrepris de restaurer la maison de la Tourelle de l’Ecu et qui nous explique ses projets. Retour au château des évêques d’Auxerre pour un déjeuner convivial, puis visite du Musée Auguste Grasset, lieu étonnant par la richesse et la diversité de ses collections réunies au XIX e siècle par l’érudit qui a donné son nom au musée. Nous nous retrouvons enfin autour d’un petit buffet servi au château de Corbelin à quelques minutes de Varzy auprès d’un bon feu de bois pour réchauffer les plus engourdis. __________________________________________________________________________________ Du lundi 18 au jeudi 21 mai – Voyage dans le Cantal Un temps souvent ensoleillé mais frisquet a accompagné la fête des 38 participants à ce voyage qui nous a permis de découvrir maintes merveilles cantaliennes. Lundi 18 mai 2 Après un départ en car matinal de Nevers nous nous arrêtons à Pontgibaud, pour la visite du château et du jardin de Château-Dauphin. Nous sommes très aimablement reçus par Madame de Germiny qui nous fait découvrir ce superbe château fort, exemple très bien conservé d’architecture médiévale, édifié au XIIe siècle par Robert Dauphin, comte d’Auvergne et complété au XVe siècle. Même si la saison est un peu précoce, nous pouvons aussi admirer les jardins classés « Jardin Remarquable ». Après un très bon déjeuner au restaurant de La Poste à Pontgibaud nous partons pour Val pour une croisière au pied du château et une remontée des gorges de la Dordogne. Un site exceptionnel. La mise en eau du lac du barrage de Bort a radicalement modifié l’environnement de ce château de conte de fées bâti par Guillaume IV d'Estaing, chambellan du roi Charles VII. Un moment enchanteur sous un beau soleil et pas de chute à l’eau à regretter ! 3 Nous repartons pour Auzers. Le Château d'Auzers fut édifié en 1364 en pleine guerre de Cent Ans. Ce monument qui est dans la même famille depuis le XVe siècle est chargé d’histoire. La vision que l'on peut avoir du Château d'Auzers est à peu de choses près celle qui existait au début du XVIe Siècle. En pénétrant à l'intérieur, on aurait pu craindre des lieux sombres et un style résolument rustique ; au contraire, dans les nombreuses pièces ouvertes au public (mais dont certaines profitent toujours à la famille), il règne une profonde et inhabituelle chaleur humaine. Une maison qui a une âme que nous fait partager notre guide qui s’assimile pleinement aux propriétaires. Nous avons du mal à en repartir à temps pour Salers et notre hôtel, Le Bailliage, idéalement situé au cœur de la vieille ville. Nous y resterons les trois nuits et y dinerons chaque soir au restaurant gastronomique. Mardi 19 mai Nous commençons notre journée par la visite du château d’Anjony. Cet impressionnant donjon, prototype des petites forteresses de montagne du XVe siècle, offre de riches intérieurs meublés et décorés de remarquables fresques du XVIe siècle. Le château d'Anjony, habité par la même famille depuis l'origine (vers 1430) et ouvert au public depuis plus de 70 ans, est un incontournable du parcours touristique du Cantal. Nous le visitons sous la houlette d’un guide fort compétent puis, en regagnant notre car nous découvrons en le traversant le charmant bourg fleuri de Tournemire qui fait partie de l'Association Nationale des « Plus Beaux Villages de France ». Nous sommes ensuite délicieusement reçus à quelques kilomètres de là par Monsieur Monboisse, le propriétaire du château du Cambon, fanatique du XVIIIe siècle et de Marie-Antoinette et dont la maison n’a pas connu de transformations significatives depuis cette époque… Un vrai voyage dans le temps (avec quelques inquiétudes quant à l’installation électrique du lieu) s’achevant par un petit concert de piano impromptu de notre hôte, pianiste émérite. Un très bon moment. Nous repartons alors pour le château de la Vigne où nous sommes très aimablement reçus par les propriétaires, Monsieur et Madame du Fayet de la Tour qui nous font découvrir leur maison qui date de la fin du XVe siècle et qui fut bâtie par la famille de Scoraille. Les plus vaillants d’entre nous (tout 4 le monde si je ne me trompe) grimpent en haut de la tour pour y admirer de charmantes fresques renaissance. Nul besoin d’y monter pour jouir de la vue époustouflante sur les monts du Cantal. Nous déjeunons dans les salons du château. Le cadre compensa largement le contenu de nos assiettes…Un grand moment dans notre voyage. De là nous retournons à Salers pour une visite guidée de la ville et de la maison de M. René de Bergues qui nous est ouverte exceptionnellement. Au XIe siècle, le pouvoir des seigneurs de Salers s'étendait sur la petite cité rassemblée autour d'un donjon. À partir de 1428, la ville de Salers se fortifie dans sa partie haute. À partir de 1550, la notoriété de Salers grandit grâce à la récupération par la ville du bailliage des monts d'Auvergne, un tribunal royal qui fait s'installer de nombreuses familles aisées. C'est à cette époque que sont construites la plupart des demeures de pierre de lave qui entourent l'actuelle place Tyssandier d'Escous. La ville de Salers, essentiellement bourgeoise, va ainsi donner naissance à une noblesse administrative. Notre visite (un peu frisquette) nous fait découvrir le patrimoine fantastique de cette petite ville (300 habitants !), ses vieilles maisons, son site, les vues sur les Monts du Cantal, etc. La maison de M. de Bergues recèle des surprises délicieuses telle que cette loggia que malheureusement tous ne virent pas, fatigue oblige. Mercredi 20 mai Haut les cœurs ! C’est reparti ! Pour cette troisième journée, nous nous dirigeons vers Pesteils pour y visiter le château éponyme. Madame de Miramon Pesteils nous reçoit dans son superbe château, juxtaposition étonnante d’un donjon du XIIIe siècle orné de fresques du XVe siècle (ascension pour ceux vraiment en forme, c’est-à-dire presque tout le monde !), d’une aile XVIIe ornée 5 de superbes peintures de la même époque et enfin d’une magnifique création néo-gothique de haute volée, tout ceci dans un cadre admirable. Notre hôtesse nous offre un rafraichissement, sympathique moment de convivialité. De là, pèlerinage jusqu’au château de Cropières. Les propriétaires sont absents mais nous ont permis de nous en approcher ce qui permet à Joël Boutrolle de se servir du magnifique escalier comme d’une tribune pour nous en faire la présentation. Ce château était une forteresse au Moyen Âge, destinée à la défense de la vallée du Goul. Celle-ci fut détruite par les troupes anglaises en 1381, puis rebâtie. Il passe dans la famille de Fontanges, puis de Scorailles, et sera considérablement transformée de 1677à 1720 par Annet Joseph de Scorailles, marquis de Roussilhe, frère de Marie-Angélique qui devint une favorite éphémère de Louis XIV. On suppose que c'est le lieu de sa naissance. Le château est resté dans la même famille depuis sept siècles. Après un excellent déjeuner à l’Auberge des Montagnes à Pailherols nous repartons pour le château de Messilhac qui nécessite une assez longue marche d’approche. L’effort est récompensé par la découverte de ce joyau de l'architecture française de la Renaissance dominant la vallée du Goul. Messilhac est un monument authentique et envoûtant, situé dans un environnement sauvage et préservé. Le château de Messilhac est le seul vestige intact de l'architecture de la Renaissance dans le Cantal. En témoignent sa façade sculptée et son escalier droit à l'italienne. Du haut de ses échauguettes un superbe panorama sur la vallée du Goul. La gardienne de Monsieur et Madame Dubois, ses propriétaires, nous y reçoit. Le château est enchanteur, mais la nature sauvage et escarpée qui l’entoure ne l’est pas moins. 6 Nous finissons notre journée par la visite du château de Conros où nous sommes reçus par Monsieur et Madame Mongon, propriétaires de cet impressionnant monument qu’ils restaurent avec acharnement depuis 40 ans. Dressé, depuis le haut moyen-âge, sur un éperon dominant la vallée de la Cère, le donjon des Astorg, seigneurs d’Aurillac flanqué d’un corps de logis et de deux tours rondes a été transformé à la renaissance en une majestueuse demeure. Nous admirons particulièrement l’escalier et le site extraordinaire de ce magnifique monument. Jeudi 21 mai Toutes les choses ont une fin y compris les meilleures. Le dernier jour de notre voyage est arrivé. Nous commençons notre journée par une visite du château de la Trémolière, gentilhommière édifiée au XVe siècle constituée d'un corps de logis de plan rectangulaire à trois niveaux flanqué d'une tour d'escalier ronde qui semblerait du XVIe siècle mais datée 1685. L'intérieur présente un bon exemple de décor d'une maison campagnarde auvergnate avec une série de dix tapisseries d’Aubusson à motif de verdure et de bestiaire fantastique du XVIe siècle classées monument historique. Le petit jardin d’inspiration renaissance est classé « Jardin Remarquable ». Nous sommes reçus de façon délicieuse par Monsieur le maire d’Anglard de Salers qui nous fait l’honneur de la maison et du jardin, propriétés de la commune et qui nous sert un très agréable rafraichissement. 7 De là, nous partons pour Saint-Vincent de Salers et le château de la Borie où nous sommes reçus de façon particulièrement aimable par Madame du Fayet de la Tour, déléguée VMF du Cantal et son époux. Ce petit château du XVe siècle présente un corps de logis rectangulaire flanqué d'une tour ronde et d'une carrée au centre des façades nord et sud. Les décors du château de la Borie sont d'intéressants témoignages des aménagements intérieurs cantaliens du XVIIe siècle. Les appartements sont ornés de peintures à fresques, représentant des scènes de l'ancien testament, de l'Evangile et de la vie des saints, et des boiseries sculptées. Un dernier contact bien agréable et sympathique avec le patrimoine du Cantal avant d’entamer notre voyage de retour. Mais celui-ci nous réserve encore une belle découverte. Après un déjeuner simple, nous prenons en effet la route pour Orcival et sa magnifique basilique édifiée entre 1146 et 1178, que nous visitons avec une guide conférencière. Un moment d’émotion et de spiritualité intense. Nous admirons plus particulièrement le remarquable chevet roman auvergnat constitué d'un étagement de volumes de hauteur croissante, sa décoration polychrome extérieure et les époustouflantes pentures des portails qui ne laissent pas Joël Boutrolle indifférent, loin de là ! Cette dernière visite nous a tous donné l’envie de revenir visiter l’Auvergne par nos propres moyens. Sortie Nivernaise du 21 Août Retour à la Nièvre pour notre sortie d’été, mais aussi retour aux classiques des VMF avec une journée où nous sommes reçus successivement dans quatre sites passionnants de notre département qui font l’objet de campagnes de restauration lourdes ; un exemple pour nous tous et l’occasion de rencontrer une belle brochette de propriétaires tous un peu fous pour se lancer dans ce genre de projets. Une journée de partage et d’admiration. Nous avons été plus de 150 à nous retrouver pour cette belle journée ensoleillée. Chartreuse Notre-Dame du Val Saint-Jean de Basseville Dominique Kieffer nous fait découvrir ce site exceptionnel et inconnu de presque tous et les travaux extrêmement importants qu’elle a déjà engagés. 8 La Chartreuse Notre-Dame du Val Saint-Jean de Basseville fut fondée en 1328 par Jehan le Grand, curé de Surgy, aumônier et chapelain de Louis 1er comte de Nevers et seigneur de la terre de Basseville. Elle apparaît dans un site remarquable au creux de la vallée de l’Yonne, tout près du canal du Nivernais et dans le décor naturel et sauvage des roches de Basseville. De la révolution jusqu’en 2009 la chartreuse servira d’exploitation agricole. D’importants travaux de sauvegarde et restauration sont en cours qui nous ont tous laissés pantois. Ce qui reste à faire n’en est pas moins gigantesque ! Avec le concours du Conseil régional de Bourgogne, des travaux ont été engagés début 2015 pour faire renaitre le verger de variétés anciennes et le potager de légumes, plantes médicinales et tinctoriales. Dominique Kieffer est ainsi en train de faire revivre ces bâtiments mais aussi de leur rendre un environnement parfaitement adapté. Château de Saint-Pierre-du-Mont. Monsieur et Madame Mey nous reçoivent de façon magnifique dans cette grande demeure nivernaise dans un site unique avant que nous nous retrouvions à l’ombre des grands arbres du parc pour un pique-nique convivial et sympathique. Saint-Pierre-du-Mont a connu depuis le haut moyen âge une histoire mouvementée liée à son site défensif exceptionnel. La mise à sac du site fut récurrente ce qui explique que les bâtiments les plus anciens encore existants datent du XVIIe siècle. Les Rongefer, seigneurs de Saint-Pierre donnèrent à Saint-Pierre une réputation exécrable du fait de leurs exactions à l’égard des évêques d’Auxerre, seigneurs de Varzy. Mais Saint-Pierre a aussi acquis une réputation originale dans « Mon oncle Benjamin » étant le domaine de l’infâme marquis de Cambyse. S’y échangent quelques baisers d’anthologie... Monsieur et Madame Mey nous font partager ce lourd passé, les travaux extrêmement ambitieux qu’ils ont déjà réalisés, mais surtout la magie extraordinaire de ce lieu dans un site à couper le souffle. Le pique-nique sous les grands tilleuls restera dans beaucoup de mémoires comme un très grand moment de joie partagée (voir la photo ci-dessous qui parle mieux que n’importe quel discours…). 9 Château de Challement En route pour Challement sous le soleil ardent. Messieurs Bourdon et Giard nous ouvrent en effet les portes de leur propriété, chantier permanent au cœur d’un charmant village connu pour son église exceptionnelle. Ce chantier est certainement un des plus impressionnants de notre département. Attesté depuis le XIIIe siècle, le château aujourd’hui est un exemple de juxtaposition de bâtiments d’époques variées, ruines du corps de logis du XVe siècle, communs XVIIe siècles dont la restauration vient d’être achevée, château XVIIIe siècle lourdement transformé et abandonné mais comportant des décors intérieurs tout à fait exceptionnels. Un monde sans fin pour des restaurateurs aguerris comme nos hôtes qui ne sont pas prêts d’en voir le bout ! Et il y a encore le jardin en terrasses dominant un paysage exceptionnel mais qui reste à recréer presque totalement. Une visite exceptionnelle assurée très professionnellement par nos hôtes qui nous offrent quelques rafraichissements bien venus et dont nous admirons tous le courage et la détermination ; car la route qui reste à parcourir est encore longue et ardue. Mais ils ont l’air prêts à tout ! Vous noterez sur la photo ci-contre que l’ombre est recherchée ! 10 Château de Lys Nous achevons notre journée à deux pas de Challement au château de Lys où Monsieur Fekete nous guide à la découverte de Lys, château viticole du XVIIe siècle délicieusement implanté en balcon sur la vallée de l’Yonne, hélas menacé par un projet d’éoliennes. Un château tout à fait inhabituel mais dégageant un charme fou. Ses propriétaires se sont là encore lancés dans un programme de restaurations extrêmement ambitieux (en toute simplicité rattraper leur château qui a entrepris de migrer vers le bas de la pente et l’Yonne). Bon courage, car il reste encore beaucoup à faire mais bravo pour ce qui a déjà été fait. Nous nous disons au revoir autour d’un buffet servi dans le jardin. ___________________________________________________________________________ Journée d’échange de plantes du 15 novembre à Sury Dernière de nos activités de l’année, nous tenons, le dimanche 15 novembre, notre journée d’échange de plantes dans les jardins du château de Sury où nous sommes reçus avec beaucoup de gentillesse et d’enthousiasme et sous un grand soleil par Geneviève et Hubert de Faverges. Actif échange de plantes et de conseils de plantation, les participants allant de « stand » en « stand » pour découvrir les merveilles ou curiosités apportées par les autres participants avant de s’attabler au soleil sur la terrasse du château pour un grand déballage et partage de pique-niques plus raffinés les uns que les autres. Un dernier bon moment de l’année avant de se revoir en avril 2016 pour notre prochaine sortie de « printemps ». 11 ____________________________________________________________________________ Merci à tous les propriétaires qui nous ont si aimablement reçus pour faire de ces journées des souvenirs mémorables, merci à tous les membres du Comité de la Délégation pour leur participation active et essentielle à la préparation et à la réalisation de ces sorties et surtout, merci à vous tous, chers amis et adhérents pour venir partager votre amour du patrimoine au sein de notre association. Gilles Peigney 12