L`originelle est de retour : la Beetle

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L`originelle est de retour : la Beetle
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27 juillet 2011
V11/26F
Une légende de l’histoire automobile
L’originelle est de retour : la Beetle !
Prendre place, démarrer le moteur, s’étonner. La Beetle d’aujourd’hui mise à fond
sur la dynamique
Volkswagen commercialise une nouvelle Beetle. Et c’est tout sauf un événement habituel dans le monde de l’automobile. Car le modèle originel de cette
série – la Coccinelle – fait partie, avec 21,5 millions d’exemplaires vendus, des
trois voitures les plus produites de tous les temps. Aujourd’hui, l’héritière de
cette voiture de légende fait son apparition dans les concessions.
La Coccinelle a marqué l’inconscient collectif.
La Coccinelle donne l’impression d’avoir toujours existé. Elle a traversé les époques
en marquant l’inconscient collectif. Quand les enfants dessinaient une voiture, c’était
une Coccinelle. Quand les Américains achetaient une Volkswagen, c’était une Beetle.
Quand les Belges profitaient du miracle économique des années 1950, c’était au
volant d’une Coccinelle. Les Européens optaient pour le « Made in Germany » quand
ils jetaient leur dévolu sur une Coccinelle. Les Sud-Américains s’enthousiasmaient
pour une Coccinelle quand ils célébraient une voiture extrêmement robuste produite
sur leur continent.
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2
Une voiture-culte grâce à la New Beetle.
Et puis, la New Beetle est arrivée à la fin des années 1990, entraînant dans son sillage
la « Beetlemania » et un nouvel art de vivre automobile. Les Américains étaient
conquis, tout comme les Européens. La Coccinelle originelle avait fait date dans l’histoire en tant que voiture qui avait mis les masses en mouvement. Produite à plus
d’un million d’exemplaires, la New Beetle, elle, proposait un art de vivre, était commercialisée parallèlement à la Golf, qui avait pris depuis longtemps la succession de
la Coccinelle originelle et était devenue la voiture la plus vendue dans le monde. Une
chose était sûre au plus tard au changement de millénaire : ce modèle, qu’il s’agisse
de la Coccinelle ou de la New Beetle et qu’il ait été fabriqué dans les années 1950,
1960, 1970, 1980, 1990 ou n’importe quand, avait accédé au statut de voiture-culte.
Mieux encore : les différentes générations de la Coccinelle, alias la Beetle, alias la
New Beetle, ont reflété le design automobile probablement le plus connu au monde.
Un design qui, aujourd’hui encore, fascine les gens, toutes générations confondues.
La Beetle de 2011, légende du temps présent.
Quiconque veut conduire une voiture « humaine », dynamique, spacieuse, à même
de servir de véhicule principal au ménage et aussi à l’aise au quotidien que sur
les longs trajets devra penser à la Beetle. Celle-ci a une longueur d’avance sur
ses concurrentes, car la dynamique seule ne suffit plus : avec une consommation
moyenne d’à peine 4,3 l/100 km (1.6 TDI), la nouvelle Beetle est aussi devenue
particulièrement sobre.
Objectif assigné aux designers : « Réinventer l’originelle ! »
La bouteille de Coca-Cola, l’iPhone, les Ray-Ban Aviator, le Leica M9, la Beetle :
comment réinventer un design quand il est gravé dans l’inconscient collectif ? La
réponse est simple : pour que cela fonctionne, il faut comprendre à la fois le produit
et la marque. C’est le cas de Walter de Silva (chef du service Design du Groupe
Volkswagen) et de Klaus Bischoff (chef du service Design de la marque Volkswagen),
qui ont assigné aux ingénieurs un objectif très clair : « Réinventer l’originelle ! »
C’est ainsi qu’est né à Wolfsburg le projet de la Beetle de 2011, une voiture du
temps présent et un hommage au design de ce qui fut la matrice de tout un groupe
automobile. Cet hommage est indiscutable : si l’on place côte à côte la première
Coccinelle et la nouvelle Beetle en éclairant seulement leur toit, on ne peut que
constater le tracé pratiquement identique de l’arrière de leur silhouette.
3
Une dynamique inspirée de celle du concept-car Ragster.
En comparant la dernière-née à la New Beetle de 1998, on remarque que tout a
changé : « La nouvelle Beetle est empreinte d’une sportivité affirmée et revendiquée.
La voiture est non seulement plus basse, mais aussi beaucoup plus large. Le capot
moteur s’est allongé, tandis que le pare-brise, reculé, s’est sensiblement redressé.
L’ensemble crée une nouvelle dynamique », explique Klaus Bischoff. La ligne de toit
« écrasée » confirme ce que laissait augurer l’étude Ragster, présentée à Detroit en
2005, une sorte de « hot-rod » basé sur une New Beetle. La nouvelle Beetle est plus
espiègle, plus dynamique, plus masculine.
Des proportions entièrement inédites.
Les chiffres en témoignent : la New Beetle fait 1.808 mm de large (+ 84 mm),
1.486 mm de haut (– 12 mm) et 4.278 mm de long (+ 152 mm). Il en découle de
toutes nouvelles proportions. L’allongement de la carrosserie a permis de tendre
encore plus la ligne de toit, de repousser le pare-brise vers l’arrière et d’épouser
la ligne de la Coccinelle originelle dans la zone arrière. Visuellement, l’accent a été
déplacé vers le montant de custode. Parallèlement, l’équipe de développement a
élargi les voies (1.578 mm à l’avant, soit + 63 mm ; 1.544 mm à l’arrière, soit + 49 mm)
et augmenté l’empattement (2.537 mm, soit + 22 mm). Tout cela confère de la puis­
sance et une tension musclée à la Beetle.
Typiquement Volkswagen et typiquement Beetle.
Malgré sa spécificité, le look de la Beetle suit l’ADN stylistique de Volkswagen,
créé par Walter de Silva et Klaus Bischoff. En témoignent le graphisme horizontal
des pare-chocs, l’admission d’air avant, le tracé droit des contours du capot, la ligne
dessinée avec une grande précision entre les montants de pare-brise et de custode,
voire la forme des feux arrière.
La Beetle s’est toujours reconnue à ses phares ronds (désormais disponibles en
option en version Bi-Xenon, avec éclairage de jour composé de deux fois quinze
DEL plus, éventuellement, un éclairage par DEL de la plaque minéralogique), à ses
ailes protubérantes, à la forme de ses capots, à ses bas de caisse et – aujourd’hui
plus que jamais – à ses grandes roues (jusqu’à 19 pouces). Le spoiler arrière parfaitement accordé au design – de série pour les TSI de 118 kW (160 CV) et 147 kW
(200 CV) – figure quant à lui au nombre des nouveautés.
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Trois niveaux de finition.
En Europe, en Amérique et en Australie/Nouvelle-Zélande, la nouvelle Volkswagen
sera déclinée dans les trois niveaux de finition suivants : « Beetle » (version de
base), « Design » (version intermédiaire) et « Sport » (version supérieure). En Chine,
ce sont les déclinaisons « Design » et « Sport » qui seront disponibles. Chacun de
ces niveaux de finition confère à la voiture une personnalité bien marquée.
« Black Turbo » et « White Turbo » sur la ligne de départ.
Pour le lancement de la New Beetle en Europe et aux U.S.A., Volkswagen a
créé deux versions très spéciales dérivées de la dynamique Beetle Sport 2.0 TSI
(147 kW / 200 CV) à boîte DSG : la « Black Turbo » et la « White Turbo ». Elles
seront proposées en plus des autres niveaux de finition. La Beetle « White Turbo »
arborera une robe « Pure White », tandis que la Beetle « Black Turbo » se parera de
la teinte « Deep Black ». De l’extérieur, ces deux séries limitées se reconnaîtront
entre autres à la mention « Turbo » apposée latéralement au-dessus des bas de
caisse, ainsi qu’à l’exécution dans des couleurs contrastantes des rétroviseurs et
des jantes : le noir pour les jantes en alliage léger à rebord poli de type « Tornado »
et les boîtiers de rétroviseur extérieur de la Beetle « White Turbo », le blanc pour
les mêmes éléments de la Beetle « Black Turbo ». Le combiné d’instruments, les
inserts décoratifs du volant et le bandeau supérieur des contre-portes feront cependant écho, dans l’habitacle, à la couleur de la carrosserie.
Un habitacle également de caractère.
Le combiné d’instruments ne passe vraiment pas inaperçu. De par sa forme et sa
couleur, le tablier du tableau de bord rappelle visuellement la période de la première
Coccinelle, sans pour autant être rétro. En Europe, cet élément est de teinte noire
dans la version de base (« Beetle ») et arbore la couleur de la carrosserie dans la
finition « Design ». Sa déclinaison « Sport » présente l’aspect du carbone (« Carbon
Fiber »). Bien qu’en présence d’un tableau de bord repensé de A à Z, le conducteur
s’y retrouvera « les yeux fermés ».
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Le retour de la boîte à gants traditionnelle et des instruments additionnels.
Comme la Coccinelle originelle, certaines versions de la nouvelle Beetle disposent
d’une boîte à gants intégrée dans le tablier du tableau de bord, du côté passager,
qui s’ajoute à la boîte à gants traditionnelle de la Beetle. Son couvercle s’ouvre vers
le haut, alors que celui de la boîte à gants standard s’ouvre vers le bas. Autre clin d’œil
au passé : la zone au-dessus de l’installation audio ou du système de radionavigation
peut accueillir un indicateur de température d’huile, un indicateur de pression de
suralimentation et un chronomètre. Les nouveaux volants dessinés spécialement
pour cette Beetle présentent en outre sur leurs branches des inserts dont la couleur
varie selon le niveau de finition.
Un équilibre harmonieux.
La refonte totale de l’ergonomie et des dimensions intérieures est caractéristique de
la Beetle de la « troisième » génération. Alors que le conducteur était assis très bas
dans la Coccinelle et que celui de la New Beetle avait plutôt l’impression de se faire
conduire en raison de l’éloignement du pare-brise, ce sont des sensations de type coupé
qui s’offrent désormais à l’automobiliste grâce à l’habitacle, qui fait littéralement corps
avec lui. L’impression qui domine est celle du « sur-mesure ». Les nouveaux sièges,
entièrement repensés, contribuent largement à l’agrément des déplacements.
Éclairage d’ambiance.
À gauche du volant, à côté de la molette qui permet de régler l’intensité de l’éclairage
des instruments, on en trouve une deuxième : associée à l’éclairage d’ambiance,
inédit sous cette forme à bord d’une Volkswagen, elle sert à choisir la couleur de la
lumière (rouge, blanche ou bleue). L’éclairage est à la fois indirect (baguette sous le
rebord supérieur des contre-portes) et direct (anneau autour des haut-parleurs de
portière). Cet éclairage d’ambiance est proposé en tant que composant d’un pack
en association avec le système audio Fender optionnel.
La finition « Sport » intègre de série un éclairage d’ambiance, monochrome celui-ci,
logé sous le rebord supérieur des contre-portes. Quelle que soit la version d’éclairage
d’ambiance, son intensité est liée à celle de l’éclairage des instruments.
Suffisamment d’espace pour accueillir quatre adultes et leurs nombreux bagages.
Le design, l’ergonomie, la facilité d’utilisation et la qualité de finition interagissent,
concourant à créer une nouvelle voiture au caractère sympathique et à la personnalité
inimitable. Et plus agréable au quotidien en termes d’habitabilité par-dessus le marché.
Avec l’abandon du toit en coupole de la version précédente, la Beetle devient plus basse
à l’avant, offrant désormais une garde au toit de 1.000 mm (– 49 mm), voire 1.005 mm
(+ 35 mm) avec le toit panoramique. Cependant, ces quelques centimètres en moins
en l’absence de toit ouvrant ne gêneront même pas les occupants les plus grands,
puisque la New Beetle faisait figure de cathédrale parmi les voitures compactes.
À l’arrière, l’allongement du toit génère une impression d’espace nettement plus
vaste. Les passagers y bénéficient d’une garde au toit de 942 mm (avec ou sans toit
panoramique), ce qui représente un progrès de 10 mm. Un autre gain de place est
à signaler au niveau de l’espace aux jambes à l’arrière, porté à 797 mm. Signalons
enfin que la Beetle a grandement gagné en largeur intérieure à l’avant (1.459 mm,
contre 1.397 mm auparavant).
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Le coffre a sérieusement progressé en volume, passant de 209 à 310 l. Et, une fois
le dossier (fractionnable) de la banquette arrière rabattu, la capacité de chargement
atteint 905 l. Un accès confortable au coffre est garanti par le hayon, qui s’ouvre
tout grand. Étant donné que la Beetle utilise une plateforme techniquement très
proche de celle de la Golf VI (raccourcie de 50 mm), la largeur hors tout a augmenté
et, avec elle, la largeur de chargement dans le coffre (960 mm entre les passages
de roue). La profondeur de chargement s’élève à 838 mm avec la banquette relevée
et à 1.493 mm avec le dossier de banquette rabattu. Les crochets disposés sur les
parois du coffre accentuent encore son côté pratique.
Toit panoramique basculant et coulissant (en option).
La surface vitrée a augmenté de 80% par rapport à celle du toit ouvrant de la version précédente. Le verre athermique filtre 99% des rayonnements ultraviolets et
retient 92% de la chaleur. Comme l’élément coulissant se déplace au-dessus du
toit de la voiture, il n’empiète pas sur la hauteur intérieure.
Infodivertissement.
La New Beetle était disponible exclusivement avec des installations audio spécifiques au modèle et aucun système de navigation n’était prévu. La nouvelle Beetle
peut être équipée de tous les systèmes disponibles pour la Golf, la Jetta ou la
Passat, de l’installation audio « RCD 310 » de série (avec huit haut-parleurs – quatre
de graves et quatre d’aigus – et un double tuner) au système de radionavigation
« RNS 510 » (avec écran tactile de 6,5 pouces, lecteur de DVD, commande vocale,
lecteur de cartes SD et disque dur de 30 Go), en passant par l’installation audio
« RCD 510 » et le système de radionavigation « RNS 315 ».
Un système audio haut de gamme signé Fender.
Tous les amateurs de rock connaissent les légendes que sont Jimi Hendrix et Eric
Clapton. L’un jouait sur une guitare Fender, l’autre en joue toujours. Désormais, le
légendaire fabricant américain d’amplificateurs et d’instruments de musique propose son savoir-faire en exclusivité à la marque Volkswagen, en collaboration avec
Panasonic. Grâce à cela, la Beetle devient la première voiture en Europe à pouvoir
être équipée en option d’un système audio Fender. Il est combiné à l’éclairage
d’ambiance décrit plus haut.
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Le système audio Fender se compose de quatre haut-parleurs d’aigus logés dans
les triangles de rétroviseur à l’avant et dans les habillages latéraux à l’arrière. Ils sont
dotés d’aimants en néodyme et d’une calotte tissée. Les portières avant intègrent
chacune un haut-parleur de graves à double bobine mobile, auquel font écho les
haut-parleurs de graves à bobine simple disposés dans les habillages latéraux arrière. Un subwoofer à double bobine mobile est intégré dans un caisson de basses
placé dans le coffre. Le cœur du système audio est un amplificateur à 10 canaux
d’une puissance de sortie de 400 W avec étage de sortie en classe A/B.
Pour la première fois aussi, une Beetle peut être dotée du dispositif de (dé)verrouillage et de démarrage clé en poche « Keyless Access ».
Moteurs : une consommation moyenne record de 4,3 l/100 km.
La nouvelle Beetle sera proposée exclusivement avec des moteurs suralimentés.
Ils pourront tous les cinq être associés en option à une boîte DSG à double embrayage. Ces moteurs de dernière génération ont un impact aussi faible que possible sur l’environnement comme sur le budget du conducteur. Leur fourchette de
puissances va de 77 kW (105 CV) à 147 kW (200 CV). Le moteur le plus économique – le 1.6 TDI de 105 CV – se contente en moyenne de 4,3 l/100 km grâce,
notamment, à la BlueMotion Technology (système « Stop-Start » et récupération
d’énergie à la décélération). La Beetle qui en est dotée s’avère la plus sobre jamais
construite, affichant une consommation de 20% inférieure à celle de sa devancière.
Quant au 1.4 TSI de 118 kW (160 CV), il se distingue non seulement par sa puissance spécifique de 84,3 kW (114,3 CV/l), mais également par son appétit parfaitement maîtrisé, surtout en combinaison avec la boîte automatisée DSG à 7 rapports.
Se contentant en moyenne de 5,9 l/100 km, il permet une économie de 3 l/100 km
(34%) par comparaison avec son devancier, pourtant moins puissant de 8 kW (10 CV) !
1.2 TSI
(6v)
1.4 TSI
(DSG-7)
2.0 TSI
(6v)
1.6 TDI
(6v)
2.0 TDI
(6v)
Puissance, kW (CV)
77 (105)
118 (160)
147 (200)
77 (105)
103 (140)
Consommation moyenne, l/100 km
5,9
5,9
7,4
4,3*
4,9
Émissions de CO2, g/km (moyenne)
137
139
173
112*
129
* Avec BlueMotion Technology.
Le châssis : une maniabilité à toute épreuve.
Un nouveau train arrière allégé.
Toutes les déclinaisons de la Beetle sont équipées en série du programme électronique de stabilisation ESP. Le train avant est de type McPherson, tandis qu’à l’arrière,
on trouve une architecture légère de conception nouvelle qui contribue à l’excellente
maniabilité de la Beetle. Le guidage latéral est assuré par une barre Panhard. Cette
structure d’essieu très légère représente la meilleure option dans le cadre du nouveau
positionnement, plus sportif, de la Beetle. Par ailleurs, cette conception de train est
synonyme d’excellente stabilité dynamique même lorsque la voiture est chargée au
maximum. La Beetle 2.0 TSI est quant à elle dotée d’un train arrière à quatre bras
par roue, une solution parfaitement adaptée aux contraintes élevées générées par
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le haut de gamme en termes de motorisations. La direction assistée électromécanique, agréable et d’une grande précision, complète ce tableau flatteur.
Les deux variantes à essence les plus puissantes sont équipées de l’antipatinage
électronique XDS, dont l’action s’apparente à celle d’un différentiel autobloquant
inter-roues. Il améliore la maniabilité de la voiture dans les virages pris à grande
vitesse, rendant son comportement encore plus neutre. À cet effet, le XDS contre
le patinage de la roue « intérieure » délestée en la freinant légèrement. Il en résulte
un transfert plus important de couple vers la roue « extérieure », ce qui contraint
la voiture à suivre plus fidèlement la trajectoire souhaitée et améliore la motricité.
Résultat ? Une sécurité accrue et un plaisir de conduite encore intensifié. Pour
son intervention, le XDS exploite les données disponibles telles que l’angle de braquage, la vitesse de lacet et le régime de rotation des roues.
La sécurité à tous les niveaux.
Avec la Beetle, Volkswagen a conçu l’une des voitures les plus sûres qui soit sur
le plan de la sécurité tant active que passive. L’ESP, avec fonction de stabilisation
de la remorque en présence d’un crochet d’origine, comprend l’ABS ainsi que les
antipatinages EDS et ASR.
La carrosserie, en grande partie galvanisée et soudée par laser, est l’une des plus
stables du segment avec une rigidité torsionnelle de 26.000 Nm/º. Cela permet
d’exploiter au mieux les qualités du châssis.
Les Beetle « Design » et « Sport » bénéficient de phares antibrouillard avec fonction d’éclairage statique des virages.
Un freinage d’urgence entraîne une activation automatique des feux de détresse. Les
appuie-tête sont réglables en hauteur à toutes les places. Les points d’ancrage ISOFIX
à l’arrière permettent de solidariser des sièges enfants à la structure de la voiture.
Et, dans le pire des cas, les occupants sont protégés par un système efficace d’airbags frontaux et latéraux (combinés tête-thorax), ainsi que par des ceintures à trois
points d’ancrage (avec prétensionneur à l’avant).
Les premières Beetle seront dans les show-rooms belges cet automne. L’offre
sera complétée tout au long de l’année 2012 (voir calendrier plus loin).
9
En bref.
Nom :
The Beetle
Première mondiale :le 18 avril 2011 (à Shanghai, New York
et Berlin)
Lancement sur le marché nord-américain : septembre/octobre 2011
Lancement sur le marché européen :
octobre/novembre 2011
Lancement sur le marché asiatique :
février 2012
Lancement sur le marché sud-américain : fin 2012/début 2013
Particularité :
héritière d’une légende automobile
Niveaux de finition :
« Beetle », « Design » et « Sport »
Fourchette de puissances :de 77 kW (105 CV) à 147 kW (200 CV)
Consommation moyenne minimale :4,3 l/100 km* (1.6 TDI avec BlueMotion
Technology)
Dimensions extérieures :
4.278 mm de long, 1.808 mm de
large, 1.486 mm de haut et 2.537 mm
pour l’empattement
Capacité de chargement :
310 – 905 l
Débuts de la première Coccinelle :1938
Débuts de la New Beetle :1998
Production à ce jour (cumul) :
plus de 22,5 millions d’exemplaires
Designers :Walter de Silva (Groupe), Klaus Bischoff
(marque). Design extérieur : Marc
Lichte (responsable), Chris Lesmana
et Nisan Kucam. Design intérieur :
Tomasz Bachorski (responsable)
et Ingo Brückmann. Coloris : Oona
Scheepers (responsable) et Susanne
Gerken
*Valeur provisoire.
3
10,9
180
Accélération de 0 à 100 km/h, s
Vitesse de pointe, km/h
DSG à 7 rapports
DSG à 7 rapports
208
(207 avec DSG-7)
8,3
5,9
Man. à 6 rapports
240
1.500 – 4.500
118 (160)
5.800
Man. à 6 rapports
175
1.550 – 4.100
7,2
Par turbo
4
1.984
Transversale avant
2.0 TSI de 147 kW
(200 CV)
Injection directe d’essence
4
1.390
4 cylindres TSI
1.4 TSI de 118 kW
(160 CV)
225
(223 avec DSG-6)
7,5
5,4
DSG à 6 rapports
Man. à 6 rapports
280
1.700 – 5.000
147 (200)
5.100
Catalyseur à 3 voies avec sonde lambda
77 (105)
5.000
2
1.197
Accélération de 0 à 80 km/h, s
Performances (poids à vide
+ lest de 200 kg)
Boîte de vitesses
Transmission
Couple maximal, Nm
à tr/min
Puissance maximale, kW (CV)
à tr/min
Épuration des gaz
d’échappement
Suralimentation
Préparation du mélange
Nombre de soupapes par cylindre
Cylindrée, cm
Disposition
Type de moteur
Motorisation
1.2 TSI de 77 kW
(105 CV)
1.598
4
1.968
180
(178 avec DSG-7)
11,5
7,6
DSG à 7 rapports
Man. à 5 rapports
250
1.500 – 2.500
77 (105)
4.400
198
(195 avec DSG-6)
9,5
6,6
DSG à 6 rapports
Man. à 6 rapports
320
1.750 – 2.500
103 (140)
4.200
Catalyseur à oxydation à 2 voies,
filtre à particules
Injection directe Common Rail
4
2.0 TDI de 103 kW
(140 CV)
4 cylindres TDI CR
1.6 TDI de 77 kW
(105 CV)
10
137*
Émissions de CO2, g/km
2)
1)
Verband der Automobilindustrie (Union de l’Industrie automobile).
Deutsches Institut für Normung (Institut allemand de Normalisation).
* Valeurs provisoires.
Réservoir à carburant, l
Capacités
Poids à vide, kg
Poids* (DIN2))
55
1.342
1.364 (avec DSG-6)
310 / 905
Volume de chargement (selon
le VDA1)), dossier droit / rabattu, l
1.578 / 1.544
2.537
4.278 / 1.808 / 1.486
2
Euro 5
173*
(179 avec DSG-6)
7,4*
(7,7 avec DSG-6)
838 / 1.493
1.284
1.298 (avec DSG-7)
153*
(139* avec DSG-7)
6,6*
(5,9* avec DSG-7)
Super, indice d’octane 95
2.0 TSI de 147 kW
(200 CV)
Longueur, dossier de la banquette
arrière droit / rabattu, mm
Zone de chargement
Voie avant / arrière, mm
Empattement, mm
Longueur / Largeur / Hauteur, mm
Nombre de portes
Dimensions extérieures
1.199
1.222 (avec DSG-7)
5,9*
Niveau de dépollution
1.4 TSI de 118 kW
(160 CV)
= BlueMotion Technology
Consommation moyenne,
l/100 km
Type de carburant
Consommation
(selon la directive 99/100/CE)
1.2 TSI de 77 kW
(105 CV)
2.0 TDI de 103 kW
(140 CV)
129*
(139* avec DSG-6)
4,9*
(5,3* avec DSG-6)
1.286 / 1.293*
1.320*
1.306 / 1.313* (DSG-7) 1.341* (avec DSG-6)
119* / 112* (124* /
114* avec DSG-7)
4,5* / 4,3*
(4,7*/4,3* avec DSG-7)
Diesel, indice de cétane de 55 minimum
1.6 TDI de 77 kW
(105 CV)
11
12
1.4 TSI
118 kW (160 CV) à 5.800 tr/min
240 Nm entre 1.500 et 4.500 tr/min
Puissance
Couple
Puissance
Puissance
Couple
Couple
1.2 TSI
77 kW (105 CV) à 5.000 tr/min
175 Nm entre 1.550 et 4.100 tr/min
Régime moteur (tr/min)
Puissance
Couple
Régime moteur (tr/min)
2.0 TSI
Puissance
Couple
147 kW (200 CV) à 5.100 tr/min
280 Nm entre 1.700 et 5.000 tr/min
Puissance
Couple
Régime moteur (tr/min)
2.0 TDI
103 kW (140 CV) à 4.200 tr/min
320 Nm entre 1.750 et 2.500 tr/min
Puissance
Couple
Régime moteur (tr/min)
Couple
Puissance
Puissance
Couple
1.6 TDI
77 kW (105 CV) à 4.400 tr/min
250 Nm entre 1.500 et 2.500 tr/min
Puissance
Couple
Régime moteur (tr/min)
13
Niveaux de finition
« Beetle »
« Design »
1.2 TSI de 77 kW (105 CV),
boîte manuelle à 6 rapports
Automne
2011
Automne
2011
1.2 TSI de 77 kW (105 CV),
boîte DSG à 7 rapports
Été 2012
Été 2012
« Sport »
Motorisations à essence
1.4 TSI de 118 kW (160 CV),
boîte manuelle à 6 rapports
Automne
2011
Automne
2011
1.4 TSI de 118 kW (160 CV),
boîte DSG à 7 rapports
Printemps
2012
Printemps
2012
2.0 TSI de 147 kW (200 CV),
boîte manuelle à 6 rapports
Printemps
2012
Printemps
2012
2.0 TSI de 147 kW (200 CV),
boîte DSG à 6 rapports
Automne
2011
Motorisations diesel
1.6 TDI de 77 kW (105 CV),
boîte manuelle à 5 rapports
Automne
2011
Automne
2011
1.6 TDI de 77 kW (105 CV),
boîte DSG à 7 rapports
Été 2012
Été 2012
1.6 TDI BlueMotion Technology
de 77 kW (105 CV), boîte manuelle
à 5 rapports
Été 2012
Été 2012
1.6 TDI BlueMotion Technology
de 77 kW (105 CV), boîte DSG
à 7 rapports
Été 2012
Été 2012
2.0 TDI de 103 kW (140 CV),
boîte manuelle à 6 rapports
Printemps
2012
Printemps
2012
2.0 TDI de 103 kW (140 CV),
boîte DSG à 6 rapports
Printemps
2012
Printemps
2012
Le Groupe Volkswagen
Le Groupe Volkswagen, dont le siège est à Wolfsburg, compte parmi les plus importants
constructeurs automobiles du monde et occupe la tête du marché en Europe o
­ ccidentale. Au
niveau mondial, il emploie environ 389.000 personnes*. En 2010, les 9 marques du Groupe
ont produit en moyenne plus de 30.000 véhicules par jour ouvrable et ont livré 7,278 millions
de véhicules répartis sur plus de 150 pays. En 2010, le chiffre d’affaires du Groupe, qui possède 62 usines, était de 126,875 milliards d’euros.
Les marques du Groupe Volkswagen sont Volkswagen, Audi, Seat, Škoda, Nutzfahrzeuge
(utilitaires Volkswagen), Bentley, Bugatti, Lamborghini et Scania.
* moyenne sur l’année 2010