Magnificat - Festival de Saint

Dimanche
22 juin
Dimanche
22 juin
Magnificat
Suites, motets et antiennes
de Naples à Leipzig
Concerto Soave • Jean-Marc Aymes
11h30
Concerto Soave*
María Cristina Kiehr, soprano
Mara Galassi, harpe
Sylvie Moquet, viole de gambe
Jean-Marc Aymes, clavecin, orgue
3 Concerts
11h30, 14h30 & 16h30
Du Canto della Madona aux éclats
polyphoniques de Bach, en passant
par les sources grégoriennes du
clacissisme français, certaines des
plus hautes références mariales de
la musique baroque européenne.
Déjeuner
13h00
Rencontre avec les
artistes
Vox Luminis
15h30
16h30
et direction
Il Canto della Madonna
C. Monteverdi / Pianto della Madonna
B. Strozzi / Salve Regina
F. Passarini / Alma Redemptoris Mater – Ave Regina Coelorum
B. Graziani / Regina Coeli
De Venise à Bologne, en passant par Naples et Rome, toute la densité expressive
du premier Baroque italien si imprégné de références au thème marial. Les quatre
antiennes festives, entourant le célèbre Pianto della Madonna de Monteverdi, version
sacrée du tragique Lamento d’Arianna, unique vestige de l’opéra perdu. Entre l’autel et
le théâtre, de la lumineuse prière des Madones de Bellini aux abîmes de la douleur, certaines des plus belles pages vocales vouées à l’universelle plainte des mères meurtries.
En complément, des pages instrumentales nourries aux mêmes sources d’inspiration.
Paul Goussot
Paul Goussot*
14h30
Titulaire de l’orgue historique Dom Bedos
(1748) de l’église Sainte-Croix (Bordeaux)
Sebastian Monti, haute-contre
Fabien Hyon, ténor
Sydney Fierro, baryton
Suites et Motets pour le Magnificat
Paul Goussot
Vox Luminis*
Lionel Meunier*,
direction artistique
Johann Sebastian Bach
Magnificat BWV 243
Johann Pachelbel
Motets et Concertos sacrés
Lionel Meunier
M.-A. Charpentier – N. Clérambault
J.-F. Dandrieu – J.-S. Bach
P. Goussot / Suite improvisée sur le Magnificat
Trois voix et les timbres chaleureux de l’orgue classique français pour exalter les
versets du Magnificat, à travers certaines pages les plus emblématiques du genre, au
tournant du Grand Siècle et des Lumières. Le contraste des styles, du langage concertant de Charpentier au plain chant alterné avec les pages de Dandrieu, en passant par
la référence à l’orgue de Bach. Parallèlement, un rare exercice d’improvisation d’une
Suite française traditionnelle sur le thème
* Notice détaillée en cliquant sur le nom
La plus populaire des œuvres vocales sacrées du Cantor de Leipzig, dans la version
définitive remaniée par Bach pour la fête de la visitation de la Vierge, le 2 juillet 1733
à la Thomaskirche. Une vingtaine de chanteurs et d’instrumentistes, dans l’esprit
originel de ce monument de joie exultante, pour alterner arias et chœurs insérés entre le Magnificat initial et le Gloria final. En contrepoint, motets et concertos sacrés
de Pachelbel, illustre prédécesseur de Bach et l’un des plus grands représentants de
l’école d’Allemagne du sud.