Forum Fréjus - Aggloscènes

Transcription

Fréjus
Saint-Raphaël
Saison
Culturelle
Théâtre le Forum
Palais des Congrès
Centre Culturel
Georges Ginesta
Maire de Saint-Raphaël
Député du Var
Président de la Communauté d'Agglomération
La culture est un des socles sur lesquels une société fonde des valeurs communes.
Car en effet c’est bien de conception du monde et de relations entre les hommes dont elle nous
parle. Au risque parfois de nous surprendre car les artistes d’aujourd’hui mettent en mots et en
scène tout ce qui bouscule nos certitudes.
La programmation de cette nouvelle saison culturelle s’inscrit bien dans cette démarche.
C’est pourquoi Saint-Raphaël maintient et revendique son engagement financier au titre de
l’action culturelle, avec une claire conscience de faire ainsi émerger de nouvelles aspirations
communes, adaptées au monde actuel !
Diffuser notre patrimoine culturel, rendre possible l’éclosion de nouveaux talents, l’enrichir par
une création foisonnante tels sont donc les axes de cette nouvelle saison !
Vous y trouverez les pièces du répertoire, mais aussi des spectacles traitant des sujets de
société. Vous pourrez sourire et rire franchement, y compris en famille. Les grands noms de la
scène française et du cinéma feront le déplacement jusqu’à vous : parmi eux et pour n’en citer
que quelques-uns, Clémentine Célarié, Jacques Gamblin, Richard Bohringer…
Et à nouveau l’abonnement maillé entre Saint-Raphaël et le Théâtre de l’Agglomération
« Le Forum » vous permet de composer selon vos goûts la sélection qui vous convient.
Que ceux qui aiment rire n’oublient pas la saison café-théâtre qui ouvre avec son Festival du
Rire dès le 21 septembre salle Félix Martin.
Le jazz lui aussi s’offrira de belles têtes d’affiche : Richard Galliano, Manu Katché et quelques
autres surprises…
Saint-Raphaël est une ville dynamique qui chaque jour veut vous inviter au divertissement !
C’est aussi sa fierté !
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saison culturelle 2010 - 2011
Elie Brun
Sénateur-Maire de Fréjus
Premier Vice-Président de la Communauté d’Agglomération
Président de la Régie du Théâtre Le Forum
Le 7 février 2010, la compagnie espagnole d’Antonio Gadès foulait la scène de la salle Gounod
pour l’ouverture du Forum. Depuis, de nombreux artistes s’y sont produits pour notre plus
grande joie, notamment grâce au soutien financier du Conseil Général du Var.
Les artistes ont ce don magique de mettre nos rêves en chair, en mots ou en notes. Il y a des
spectacles d’un soir qui hantent tous nos matins suivants. Emotions collectives et confessions
intimes s’entremêlent donc au Forum pour notre plus grand bonheur.
Aussi, c’est avec fierté et plaisir que nous accueillerons l’un des chorégraphes les plus talentueux
du moment pour l’ouverture de saison. Deux séances exceptionnelles pour le ballet Blanche
Neige d’Angelin Preljocaj. Parenthèse féérique et enchantée, ce spectacle ravive notre goût
des histoires. Sur des symphonies de Gustav Malher, dont les débordements magnifiques
sont d’essence romantique, les vingt-six danseurs costumés par Jean Paul Gaultier composent
un grand ballet accessible à tous. Il arrive à Fréjus d’une tournée internationale en Chine à
l’occasion de l’exposition universelle de Shanghai.
La programmation 2010-2011 choisie par Michel Perrault et Anne-Marie Franon est éclectique,
par la diversité de l’offre, par sa largeur d’esprit et surtout par sa qualité. Nul doute que les
1913 abonnés d’Aggloscènes qui ont choisi les spectacles offerts à Fréjus et à Saint-Raphaël
seront rejoints par d’autres qui nous feront aussi confiance.
Le spectacle vivant, c’est-à-dire l’alchimie entre un temps, un lieu, une action et un public
s’illustre bien dans cette citation de Victor Hugo :
« Une pièce de théâtre, c’est quelqu’un. C’est une voix qui parle, c’est un esprit qui éclaire, c’est
une conscience qui avertit ».
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Aggloscènes Acte 2
Le premier acte de la programmation concertée entre la Ville de Saint-Raphaël et le Forum,
Théâtre de la Communauté d’Agglomération, a séduit 1913 abonnés.
Des moments forts nous attendent cette saison encore avec le théâtre de répertoire : Goldoni,
Shakespeare, Molière, Labiche, Edmond Rostand pour n’en citer que certains. De la danse
avec Blanche Neige, du flamenco, ou encore de la danse indienne, de la variété, du cirque, de
la musique classique, avec l’Orchestre de Chambre de Saint-Raphaël. Enfin l’opéra sera l’invité
de cette saison.
Pour l’acte 2 d’Aggloscènes, nous avons l’ambition d’améliorer encore votre accueil par :
- des rencontres fréquentes avec les artistes autour des spectacles et des animations,
- des séances supplémentaires en matinée et le week-end pour permettre à tous d’y assister en famille,
- en soirée, un parking supplémentaire pour le Forum grâce à la Jardinerie Rey,
- un quota de places au Forum pour les spectateurs non abonnés,
- la possibilité de réserver vos places à l’unité sur internet à partir de notre site internet
www.aggloscenes.com.
Cette saison s’annonce belle et riche en nouveautés et découvertes. Nous vous proposons
un théâtre convivial où l’on a plaisir à se retrouver, un théâtre où l’on peut pleurer et où l’on
peut rire, un théâtre qui nous éloigne de la morosité ambiante, un théâtre qui nous rend plus
intelligents.
Pour citer Molière et Jean Vilar : « Nous voulons un théâtre pour vous plaire ».
Aujourd’hui, plus que jamais, c’est de culture et d’humanité dont nous avons besoin pour nous
inventer un avenir.
Michel Perrault
Directeur du Théâtre Le Forum
Directeur Général Adjoint - Ville de Fréjus
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Anne-Marie Franon
Directrice des Affaires Culturelles de Saint-Raphaël,
Directrice Adjointe du Forum
Dès septembre 2010,
retrouvez-nous sur
www.aggloscenes.com
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Sommaire
Octobre 2010
Sam. 2 & Dim. 3
Jeu. 14
Sam. 16
Mar. 19
Mer. 20
Dim. 24
Mar. 26
Mer. 27
Sam. 30
Novembre 2010
Sam. 6
Mar. 9
Mer. 10
Ven.12
Dim. 14
Mar. 16
Mer. 17
Sam. 20
Lun. 22
Ven. 26
Mar. 30
Décembre 2010
Jeu. 2
Mar. 7
Ven. 10
Mar. 14
Ven. 17
Dim.19
Janvier 2011
Sam. 8
Ven. 14
Dim.16
Mar. 18
Mar. 18
Jeu. 20
Dim. 23
Mar. 25
Jeu. 27
Dim. 30
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Blanche Neige [ Danse ]
Faisons un rêve [ Théâtre ]
Traîne pas trop sous la pluie [ Théâtre ]
Le dernier jour d’un condamné [ Théâtre ]
Comment Wang-Fô fut sauvé [ Théâtre - Jeune public ]
Michel Jonasz Trio [ Concert ]
Banaminots [ Musique - Jeune public ]
Un pied dans le crime [ Théâtre ]
Quatuor de Leipzig, piano : Olga Gollej [ Musique ]
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Palais des Congrès
Le Forum/Cocteau
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Multipli [ Théâtre - Jeune public ]
Le Cid [ Théâtre ]
La contrebasse [ Théâtre ]
Concert lyrique, opéra de Toulon [ Musique ]
Les âmes frères [ Danse ]
Alaska forever [ Théâtre ]
Cendrillon [ Opéra - Jeune public ]
La médaille [ Théâtre ]
La serva amorosa [ Théâtre ]
Rigoletto [ Opéra ]
Littoral [ Théâtre ]
Le Forum/Cocteau
Palais des Congrès
Le Forum/Cocteau
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Centre Culturel
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Stand alone zone [ Danse ]
La ballade de Simone [ Théâtre ]
Traces [ Cirque ]
Cyrano [ Théâtre ]
Orchestre de chambre de St-Raphaël [ Musique ]
Orquesta Aragon [ Concert ]
Palais des Congrès
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
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Tri Yann [ Concert ]
Parole et guérison [ Théâtre ]
Une chenille dans le coeur [ Théâtre - Jeune public ]
Un rendez-vous en Afrique [ Danse ]
Quand Armand range ses rêves [ Musique - Jeune public ]
Père U à la plage [ Danse ]
Maxi Monster Music Show [ Concert ]
Timon d’Athènes, Shakespeare & Slam [ Théâtre ]
Mouron chante Brel [ Concert ]
Flamenco se escribe con Jota [ Danse ]
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Palais des Congrès
Centre Culturel
Le Forum/Cocteau
Palais des Congrès
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
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Février 2011
Mar. 1er
Jeu. 3
Mar. 8
Mer. 9
Mer. 16
Ven. 18
Sam. 26
Mars 2011
Mer. 2
Mar. 8
Jeu. 10
Mar. 15
Mer. 16
Mar. 22
Ven. 25
Dim. 27
Mer. 30
Avril 2011
Sam. 2
Jeu. 7
Dim. 10
Mar. 12
Ven.15
Mar. 19
Ven. 22
Mai 2011
Ven. 6
Mar. 10
Jeu. 12
Dim.15
Sam. 21
Tartuffe [ Théâtre ]
Louise / les ours [ Théâtre - Jeune public ]
Vers toi Terre promise... [ Théâtre ]
Né dans un piano [ Musique - Jeune public ]
C’est pas pareil [ Théâtre - Jeune public ]
Madame Mouchabeurre [ Concert ]
Les 39 marches [ Théâtre ]
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Palais des Congrès
Centre Culturel
Le Forum/Cocteau
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
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Peter Pan... [ Théâtre - Jeune public ]
La Gigantea [ Théâtre - Jeune public ]
L’amante anglaise [ Théâtre ]
Tatouage [ Théâtre Musical ]
La Loba, gardienne des mémoires [ Théâtre - Jeune Public ]
Jules et Marcel [ Théâtre ]
L’écume des jours [ Théâtre ]
Le barbier de Séville [ Opéra ]
Tout est normal mon coeur scintille [ Théâtre ]
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
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Vienne 1913 [ Théâtre ]
Dandin/requiem [ Théâtre ]
Oliver Twist [ Danse - Jeune public ]
A mon âge, je me cache encore... [ Théâtre ]
Tosca [ Opéra ]
Trois poètes libertaires du 20ème siècle [ Théâtre ]
La ronde [ Théâtre ]
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Orchestre de chambre de St-Raphaël [ Musique ]
Le cabaret des Acrostiches [ Cirque ]
Gainsbourg moi non plus… [ Concert ]
Swayambhu [ Danse ]
Super Rail Band de Bamako... [ Concert ]
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Abonnements
Billetterie hors abonnement
Jeune Public & Service éducatif
Théâtre Le Forum
Autres manifestations à Fréjus
Palais des Congrès de Saint-Raphaël
Centre Culturel de Saint-Raphaël
Autres manifestations à Saint-Raphaël
Salle Félix Martin
Site internet d’Aggloscènes
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Calendrier thématique
Théâtre
Jeu. 14 oct.
Sam. 16 oct.
Mar. 19 oct.
Mer. 27 oct.
Mar. 9 nov.
Mer. 10 nov.
Mar. 16 nov.
Sam. 20 nov.
Lun. 22 nov.
Mar. 30 nov.
Mar. 7 déc.
Mar. 14 déc.
Ven. 14 jan.
Mar. 25 jan.
Mar. 1er fév.
Mar. 8 fév.
Sam. 26 fév.
Jeu. 10 mar.
Mar. 15 mar.
Mar. 22 mar.
Ven. 2 mar.
Mer. 30 mar.
Sam. 2 avr.
Jeu. 7 avr.
Mar. 12 avr.
Mar. 19 avr.
Ven. 22 avr.
Faisons un rêve
Traîne pas trop sous la pluie
Le dernier jour d’un condamné
Un pied dans le crime
Le Cid
La contrebasse
Alaska forever
La médaille
La serva amorosa
Littoral
La ballade de Simone
Cyrano
Parole et guérison
Timon d’Athènes, Shakespeare & Slam
Tartuffe
Vers toi Terre promise, tragédie dentaire
Les 39 marches
L’amante anglaise
Tatouage
Jules et Marcel
L’écume des jours
Tout est normal mon coeur scintille
Vienne 1913
Dandin/requiem
A mon âge, je me cache encore pour fumer
Trois poètes libertaires du 20ème siècle
La ronde
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Cocteau
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Palais des Congrès
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
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Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Cocteau
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Palais des Congrès
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Danse & Cirque
Sam. 2, dim. 3 oct.
Dim. 14 nov.
Jeu. 2 déc.
Ven. 10 déc.
Mar. 18 jan.
Jeu. 20 jan.
Dim. 30 jan.
Mar. 10 mai
Dim.15 mai
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Blanche Neige
Les âmes frères
Stand alone zone
Traces
Un rendez-vous en Afrique
Père U à la plage
Flamenco se escribe con Jota
Le cabaret des Acrostiches
Swayambhu
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Calendrier thématique
Musique
Dim. 24 oct.
Sam. 30 oct.
Ven.12 nov.
Ven. 26 nov.
Ven. 17 déc.
Dim.19 déc.
Sam. 8 jan.
Dim. 23 jan.
Jeu. 27 jan.
Ven. 18 fév.
Dim. 27 mar.
Ven.15 avr.
Ven. 6 mai
Jeu. 12 mai
Sam. 21mai
Michel Jonasz Trio
Quatuor de Leipzig, piano : Olga Gollej
Concert lyrique, opéra de Toulon
Rigoletto
Orchestre de chambre de St-Raphaël
Orquesta Aragon
Tri Yann
Maxi Monster Music Show
Mouron chante Brel
Madame Mouchabeurre
Le barbier de Séville
Tosca
Orchestre de chambre de St-Raphaël
Gainsbourg moi non plus…
Super Rail Band de Bamako...
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
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Le Forum/Cocteau
Palais des Congrès
Le Forum/Cocteau
Centre Culturel
Palais des Congrès
Centre Culturel
Palais des Congrès
Centre Culturel
Le Forum/Cocteau
Le Forum/Gounod
Palais des Congrès
Le Forum/Gounod
Le Forum/Gounod
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Jeune Public
Mer. 20 oct.
Mar. 26 oct.
Sam. 6 nov.
Mer. 17 nov.
Dim.16 déc.
Mar. 18 déc.
Jeu. 3 fév.
Mer. 9 fév.
Mer. 16 fév.
Mer. 2 mar.
Mar. 8 mar.
Mer. 16 mar.
Dim. 10 avr.
Comment Wang-Fô fut sauvé
Banaminots
Multipli
Cendrillon
Une chenille dans le coeur
Quand Armand range ses rêves
Louise / les ours
Né dans un piano
C’est pas pareil
Peter Pan...
La Gigantea
La Loba, gardienne des mémoires
Oliver Twist
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Blanche Neige
danse
au forum
Salle Gounod
Un événement à ne pas manquer !
D’après le conte des frères Grimm,
Chorégraphie Angelin Preljocaj
Musique : Gustav Mahler
Création pour 26 danseurs
Décors : Thierry Leproust
Lumières : Patrick Riou, assisté de Cécile
Giovansili et Sébastien Dué
Costumes : Jean Paul Gaultier
Site : www.preljocaj.org
Tarif
Prestige
E
Durée 1h50
sans entracte
spectacle
tout public
Un grand ballet romantique et
populaire pour incarner ce conte :
décors stylisés, féeriques, costumes
griffés Jean Paul Gaultier, virtuosité
des vingt-six danseurs, tout y est pour
faire vibrer les cœurs ! Une réussite
totale ! Courez-y en famille !
Qui ne connaît pas l’histoire de Blanche Neige ?
Cette princesse recueillie par sept nains qui,
par sa beauté, déclenche la haine de la vilaine
sorcière. Pour se venger, celle-ci offre à la belle
Blanche Neige une pomme empoisonnée…
Angelin Preljocaj raconte cette histoire, mais
autrement.
© JC Carbonne
La Presse en parle
« La Blanche Neige que réinventent le
chorégraphe Angelin Preljocaj et le couturier
Jean Paul Gaultier, est un grand ballet populaire
comme on n’en a pas vu depuis Béjart. Preljocaj
réussit, avec les 26 danseurs de sa compagnie,
un ballet romantique moderne. »
Le JDD
« Quelle inventivité, quelle sûreté lorsqu’il
donne à voir ces moments forts que sont
la naissance dramatique de Blanche Neige …
la traque de la jeune fille dans la forêt, ou
le retour de la mère revenant chercher
son enfant morte. Quelle puissance, quelle
douceur ! Et dans le registre comique, quel
régal !... Ce ballet lui va bien »
L’Express
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Samedi 2 octobre à 20h30
Dimanche 3 octobre à 17h
L’inventivité y est en effet exceptionnelle : la
danse du Prince avec Blanche Neige extirpée
de son cercueil de verre, la quête de diamants
des sept mineurs sont un vrai régal !
Ce conte autant fantastique que chorégraphique
a déjà rencontré plus de 150 000 spectateurs et
voyagé dans vingt-cinq pays du monde. Dans les
atours très haute couture de Jean Paul Gaultier,
le Ballet Preljocaj rafle la mise... et confirme son
excellence.
Chorégraphe internationalement reconnu Angelin Preljocaj
dirige le centre chorégraphique national « Le Pavillon Noir »
à Aix-en-Provence.
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© JC Carbonne
Faisons un rêve
De Sacha Guitry,
théâtre
au forum
Salle Gounod
Avec Pierre Arditi
Mise en scène : Bernard Murat
Décors : Nicolas Sire
Lumières : Laurent Castaingt
Costumes : Dominique Borg
Avec : Pierre Arditi (l’amant), Katherine Erhardy
(la femme), Joël Demarty (le mari), Yves Le
Moign’ (le valet)
Jeudi 14 octobre à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 2h
avec entracte
spectacle
tout public
C’est du Guitry et du meilleur ! Aussi
simple et joyeux qu’une trahison
conjugale !
Une femme, un mari, un amant (Pierre Arditi).
Un thème aussi indémodable que l’est Sacha
Guitry.
Pierre Arditi jubile à reprendre le rôle que
l’auteur s’était écrit sur mesure. Celui d’un
homme qui séduit la femme d’un ami… avec
la complicité bien involontaire du mari !
© Pascal Victor
La Presse en parle
« Pierre Arditi possède cette invention
de jeu permanente, cette disponibilité au
partenaire, à la sensation immédiate, qui font
de lui un de nos plus rares acteurs, qui ne
cesse de grandir alors qu’il pourrait s’abîmer
à force de courir frénétiquement les rôles
à la télévision, au cinéma, au théâtre. Plus
il joue, plus Arditi est vrai ; plus il s’amuse
de l’illusion, plus il devient profond ; plus il
est drôle, plus il est grave. Il y a un mystère
Pierre Arditi : celui du théâtre même. »
Télérama
Il fallait être provocateur pour écrire en 1916,
alors que les hommes étaient majoritairement
au front, une telle apologie de la tromperie
conjugale. Sacha Guitry a osé et y a pris un
plaisir évident en faisant preuve d’un talent
précoce. « Faisons un rêve » est une de ses
pièces les plus drôles, les plus spirituelles, les
plus inventives.
Sacha Guitry, de son nom complet Alexandre Georges-Pierre
Guitry est un comédien, dramaturge, metteur en scène de
théâtre, réalisateur et scénariste de cinéma, né le 21 février
1885 à Saint-Pétersbourg (Russie), mort le 24 juillet 1957
à Paris.
Auteur dramatique très prolifique, il a écrit plus d’une centaine
de pièces de théâtre et en a adapté lui-même un grand
nombre au cinéma. Homme d’esprit à l’humour caustique,
c’est lui qui découvre et lance Raimu dans « Faisons un rêve ».
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théâtre
au palais
des congrès
Traîne pas trop
sous la pluie
Samedi 16 octobre à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Avec Richard Bohringer
Auteur : Richard Bohringer
Mise en scène : Richard Bohringer
Richard Bohringer : un homme debout !
Traîne pas trop sous la pluie.
Un voyage.
Un voyage au pays de sa mémoire, un élan
poétique dédié à l’Afrique, aux amis, morts ou
vivants, aux femmes, à l’alcool, aux errances.
Tel un boxeur sur le ring, l’émotion à fleur de
peau, Bohringer nous fait voyager de textes
en textes dans cette atmosphère que lui seul
sait créer.
Bohringer débute au théâtre à la fin des années 1960. C’est
en 1980, grâce au film « Diva » qu’il se fait connaître au
cinéma. Il devient l’un des acteurs les plus marquants des
années 1980, remportant deux Césars, pour « L’addition » et
« Le Grand Chemin ». On le remarque aussi bien chez Besson
(« Subway ») que chez Jugnot (« Une époque formidable »).
Il devient l’acteur fétiche de Jean-Loup Hubert, complice de
Jean-Pierre Mocky ou de son ami Bernard Giraudeau.
« J’ai appris à écrire sous une tonnelle de roses blanches
débouchant sur un potager fleuri où les verts acides des
poireaux se mêlaient aux rouges anémiés des carottes
trébuchantes. J’ai appris à écrire sous une tonnelle blanche,
la nuit, dans le silence, à la limite du cri, et mon coeur battait
au rythme des mots jetés comme des paysages dont la
flamboyance me laissait pantelant… »
© Christophe Herbé
La Presse en parle
« Richard Borhringer donne la mesure de
sa joie d’être là, vivant, à dire sa poésie, ses
voyages, ses rencontres, ses rêveries. »
Le Républiquain Lorrain
« Et quand, dans un souvenir de combat, il
dit « je ne te lâcherai pas », on souhaite qu’il
ne la lâche pas... cette scéne taillée pour lui. »
Sud Ouest
Richard Bohringer
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Le dernier jour
d’un condamné
Cie varoise Le chemin des collines
Metteur en scène : Gilles Ikrelef
Chorégraphe : Anne Boyer
Distribution : Isis Eymery, Jean-François Bony,
Gilles Ikrelef
Site : surlechemindescollines.asso1901.com
théâtre
au palais
des congrès
Mardi 19 octobre à 20h30
Tarif
découverte
E
Durée 1h15
sans entracte
spectacle
tout public
Séance scolaire mardi 19 octobre à 14h30 - voir page 93.
L’échafaud, une fatalité ? Une réflexion
qui reste d’une actualité brûlante !
« La peine de mort est le signe spécial et
éternel de la barbarie. » dit Victor Hugo
devant l’Assemblée Nationale le 15 septembre
1848 ! Et c’est au lendemain d’une traversée
de la place de l’Hôtel de Ville où le bourreau
graissait la guillotine en prévision d’une
exécution que Victor Hugo se lance dans
l’écriture du « Dernier jour d’un condamné ».
© Gilles Ikrelef
Ce récit est entrecoupé des réflexions
angoissées du condamné et de souvenirs de
son autre vie, la vie d’avant... Marie, sa fille, est
la seule visite qu’il reçoit avant son exécution.
La Presse en parle
« Trois coups très forts.
Les spectateurs ont retenu leur soufle
pendant plus d’une heure, empreints d’une
émotion non feinte. (...) On n’a pas pu
s’empêcher de penser à Camus, qui, lui aussi
animait une compagnie de théâtre populaire
de réflexion, le credo de Gilles Ikrelef ».
Var Matin
La mise en scène de Gilles Ikrelef propose une
adaptation très contemporaine de la nouvelle
de Victor Hugo. En créant le personnage
de Marie, il fait vivre les dernières heures
du condamné avec une actualité qui n’est
pas sans évoquer les témoignages qui nous
arrivent des couloirs de la mort des prisons
de certains Etats américains.
Victor Hugo (1802-1885), personnage mythique et
monumental, tient une place importante au sein de notre
patrimoine culturel par son œuvre immense et variée.
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« Le chemin des collines », compagnie varoise en résidence à
Besse sur Issolle, propose un théâtre populaire sur des sujets
de société.
jeune
public
au forum
salle cocteau
Comment Wang-Fô
fut sauvé
D’après la nouvelle de Marguerite Yourcenar,
Mercredi 20 octobre à 15h
Tarif
jeune public
E
Durée 55 min
sans entracte
spectacle à
partir de 8 ans
Séances scolaires mardi 19 octobre à 9h30 et 14h30
Voir page 86.
Théâtre - Compagnie Mungo
Mise en scène : Philippe Chanuel
avec la complicité de Xavier Martin
Jeu, marionnettes et scénographie :
Isabelle Bach
Plasticien sur scène/décor : Benoit Souverbie
Un rêve chinois où la profonde
humanité d’un peintre qui regarde
avec son coeur croise un drôle de
disciple qui donne son coeur à voir.
Les illusions s’évaporent et la réalité
devient magique.
Wang-Fô, vénérable vieillard, est un maître
en peinture de la Chine ancienne. Il est
doté d’un pouvoir magique qui lui permet
de donner vie à ses sujets par une dernière
touche de couleur sur leurs yeux. L’empereur,
qui a vécu reclus dans la cité interdite jusqu’à
sa seizième année n’a vu du monde extérieur
que les images du peintre et leur beauté a
modifié sa perception. Lorsqu’il sort du palais
pour la première fois, la désillusion est totale.
Dans un monde excessivement matérialiste,
« Comment Wang-Fô fut sauvé » est la
métaphore de ces désirs indispensables à la
vie, désir de poésie et de transcendance.
© Jean Henry
La Presse en parle
« Conjuguant théâtre clownesque,
dessin animé et marionnette de papier, la
compagnie Mungo donne à cette nouvelle
de Marguerite Yourcenar une étrange
modernité : le spectacle interroge le rapport
entre l’image et le réel. »
Midi Libre
La nouvelle de Marguerite Yourcenar est publiée aux éditions
Gallimard.
page
15
musique
Michel Jonasz
trio
«Mister Swing », ses plus grands succès
Chant : Michel Jonasz
Claviers : Guillaume Poncelet
Percussions : Stephan Edouard
Choristes : Eric Filet et Jean-Marc Reyno
Site : www.micheljonasz.fr
au forum
Salle Gounod
Dimanche 24 octobre à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Un merveilleux moment d’intimité
avec « Mister Swing » ! De purs instants
de poésie musicale à partager avec un
grand de la chanson française.
Michel Jonasz reprend ses plus grands succès
réarrangés et rend un vibrant hommage à la
Chanson française, de Piaf à Nougaro, au nom
du groove et de la poésie.
Chanteur, mais aussi comédien, Michel Jonasz
sait comme personne donner vie à ses
morceaux sur scène. Entre rire et émotion, ses
prestations font toujours voyager, de la France
à Cuba, mêlant les styles et les rythmes.
La Presse en parle
« Dès les premières notes, les premiers
mots, la magie opère. »
Le Dauphiné Libéré
« Quelques classiques de la grande
chanson française : un régal, une passion
toujours aussi inspirée. »
Télé Obs
« Michel Jonasz livre son hymne d’amour
à l’art populaire de la chanson : le résultat
est naturellement chatoyant, attachant et
généreux. »
Chorus Presse
page
16
Après avoir connu l’ivresse des salles de
concert immenses, il revient dans une petite
formule avec deux musiciens adaptée à des
lieux plus intimes, plus agréables pour le
contact avec le public.
Au programme : l’essentiel du répertoire
incontournable de l’artiste, et aussi quelques
pépites tirées du dernier album « Chanson
française », de purs instants de poésie musicale
en perspective.
Michel Jonasz est un auteur-compositeur, chanteur et acteur
français, né le 21 janvier 1947 à Drancy. Ses titres les plus
célèbres : « La Boîte de jazz », « Joueurs de blues », « Les
Vacances au bord de la mer » ou encore « Super Nana ».
jeune
public
au palais
Banaminots
des congrès
[création]
Mardi 26 octobre à 15h
Tarif
jeune public
E
Durée 1h
sans entracte
spectacle à
partir de 6 ans
Musique traditionnelle et slam,
Musique - Compagnie Montanaro
Slam : Ahamada Smis
Flûtes, accordéon : Miquèu Montanaro
Vielle : Pierre-Laurent Bertolino
Violon : Baltazar Montanaro-Nagy
Groupes et centres de loisirs, voir page 86.
Un voyage musical d’une incroyable
modernité ! Le tout joué sur des
instruments traditionnels !
« J’ai pris une lune et je l’ai mise sur la tête de
quelqu’un et j’étais même pas mort… »
« Banaminots » est un concert inspiré
d’ateliers menés avec des enfants, autour de
l’improvisation musicale, des rythmes créés
avec des objets en tout genre, des textes
poétiques clamés en français, swahili ou
occitan, des projections vidéos.
« Banaminots » est un voyage conté, déclamé,
aux rythmes et sons des musiques d’ailleurs,
proches (l’Occitanie de Miquèu Montanaro)
ou lointaines (les Comores d’Ahamada Smis).
Miquèu Montanaro et Ahamada Smis se
jouent des sons qui claquent, qui parlent, qui
sonnent, qui chuchotent, qui interpellent. Ça
s’entremêle, ça s’entrecroise, ça s’enchevêtre,
ça s’entrecoupe… Ça interroge.
© Anne-Sophie Popon
La Presse
Presse en
en parle
parle
La
« C’est une vague de poésie qui déferle
sur scène, envahit la salle, riche d’images
du bout du monde, de rencontres, de
curiosité à l’autre. On se balade pieds
nus dans cette ballade slamée depuis
Salvador de Bahia et Alexandrie jusqu’au
Portugal et l’Afrique… Et quand Ahamada
Smis chante « qu’il pleut des mots dans
mon slam » ou « songes et mensonges…
même pas mort », une onde de frisson
parcourt les spectateurs. »
Zibeline
page
17
Un pied dans le crime
[création]
D’Eugène Labiche,
Philippe Torreton, Dominique Pinon
Mise en scène : Jean-Louis Benoit
Avec : Philippe Torreton, Dominique Pinon,
Jean-Pol Dubois, Luc Tremblais,Valérie Kéruzoré,
Louis Mérino, Karen Rencurel, Véronique
Dossetto, Caroline Malinaud
théâtre
au forum
Salle Gounod
Mercredi 27 octobre à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 2h
sans entracte
spectacle
tout public
Une comédie-vaudeville en trois
actes, un véritable « cauchemar gai ».
Pour tous !
caricature Honoré Daumier
Notes de mise en scène
« « Un pied dans le crime » est une comédievaudeville, c’est à dire ayant des parties
chantées. Je les respecterai, bien sûr. Les
décors participeront de ce que j’aimerais
appeler la « légèreté » de la représentation…
Tout contribuera à ce que nous nous
divertissions avec ce « cauchemar gai ». »
Jean-Louis Benoit
« Un pied dans le crime » est une œuvre aussi
riche que méconnue du répertoire d’Eugène
Labiche. Elle est pourtant irrésistible. Comme
toutes les grandes comédies, elle exploite une
situation tragique : le cas de conscience d’un
juré appelé à juger un crime dont il est luimême l’auteur. Quiproquos, situations d’une
drôlerie insolite, férocité des rapports entre
les personnages, mufleries impitoyables : telle
est la recette de cette œuvre savoureuse.
Labiche y glisse même un brin de sensualité
qui vient démentir l’opinion trop répandue
selon laquelle il en mêlerait trop peu à ses
intrigues.
Eugène Labiche auteur dramatique français (1815-1888)
a été élu membre de l’Académie française en 1880. 174
pièces, cela peut paraître un nombre considérable de nos
jours. Il s’agissait pourtant pour l’époque d’une production
honorable sans plus. Il fait aujourd’hui partie des 20 auteurs
les plus joués de la Comédie Française. Parmi ses pièces les
plus connues, « Le Voyage de M. Perrichon », « Un chapeau
de paille d’Italie », « Le plus heureux des trois » !
Production Théâtre National de Marseille La Criée, avec le
soutien du Théâtre National de Bordeaux en Aquitaine,
Création 6 octobre 2010 au Théâtre National de Bordeaux
en Aquitaine
page
18
musique
au palais
des congrès
Quatuor de Leipzig
& Olga Gollej
En clôture du festival de quatuor à cordes en Pays de Fayence,
Samedi 30 octobre à 21h
Tarif
Passion
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Musique classique
Piano : Olga Gollej
Violon : Stefan Arzberger, Tilman Büning
Alto : Ivo Bauer
Violoncelle : Matthias Moosdorf
Le Quatuor de Leipzig, un des
ensembles les plus recherchés et les
plus complets de notre époque.
Programme :
Schumann : Quatuor en fa majeur (op.41 n°2), 1842.
Mozart : Quatuor en ré majeur (K.575), 1789.
Schumann : Quintette avec piano en mi bémol
majeur (op.44),1842.
En 1988, trois des membres fondateurs du Quatuor de
Leipzig sont chefs de pupitre du célèbre Gewandhaus de
Leipzig qu’ils décident de quitter en 1993 pour se consacrer
entièrement à la musique de chambre.
© Leipziger Streichquartett
Ce quatuor reçoit très vite de nombreux prix. Ils sont très
appréciés par la critique. Preuve en est les récompenses :
Diapason d’or, Premio CD Compact, Indle Award, prix Echo
Klassik en 1999, 2000 et 2003.
Olga Gollej pratique le piano depuis l’âge de cinq ans. Elle a
reçu de nombreux prix et distinctions. Elle joue régulièrement
dans divers pays d’Europe, d’Amérique du Sud et du ProcheOrient. Parmi ses partenaires réguliers en musique de
chambre, on trouve notamment l’Ensemble Kontraste, le
Quatuor de Leipzig et le baryton Stephan Genz. Aux côtés du
clarinettiste Karl Leistner et de Matthias Moosdorf, elle a créé
en 2008 le trio Ecco. Un cd commun rassemblant les oeuvres
de Eberl, Kreutzer et Ries sortira la saison prochaine.
La Presse en parle
« Le meilleur quatuor allemand. »
Grammophon
page
19
jeune
public
au forum
Multipli
salle cocteau
Un spectacle de Denis Fayollat et Ester Bichucher,
Théâtre d’objets - Cie Clandestine
Avec : Ester Bichucher
Création lumières : Jean-Luc Martinez
Direction d’acteur : F. Cenci, S. Pastor
Dispositif scénique : Serge Puech
Electromécanomagies : David Certano
Site : www.clandestine.fr
Samedi 6 novembre à 15h
Tarif
jeune public
E
Durée 50 min
sans entracte
spectacle à
partir de 5 ans
Séances scolaires jeudi 4 novembre à 9h30 et 14h30 et
vendredi 5 novembre à 9h30 et 14h30 - voir page 86.
Papier plié, origami et petites magies
pour ces histoires sans paroles qui
s’enchaînent et s’entremêlent, se
suivent et se répondent. Ces petits
papiers sont pleins de poésie !
Dans une usine, une ouvrière plie à la chaîne
des cocottes en papier. Ses gestes répétitifs et
propices à la rêverie l’amènent à transformer
ses poulettes standardisées au gré de son
imaginaire.
© Alain Le Breton
La Presse en parle
« (...) Les tableaux s’enchaînent entre
poésie et frénésie dans ce théâtre
silencieux de manipulation d’objets où
le futile devient de plus en plus utile. Un
spectacle délicieux et délicat, faussement
fragile, qui plaira particulièrement aux plus
jeunes à partir de 5 ans, mais aussi à toute
la famille. »
Magazine Elle
page
20
Et bientôt, les dérapages se multiplient : une
tempête ravage les lieux transformant le site
en banquise. Le vent envoie tout à la mer, avec
poissons, crabes et hippocampes de papier...
La compagnie Clandestine, équipe théâtrale franco-brésilienne,
rassemble autour de ses deux concepteurs et directeurs
artistiques, Ester Bichucher et Denis Fayollat, de nombreux
artistes plasticiens, artisans et techniciens spécialisés qui lui
permettent d’intégrer dans ses spectacles des techniques aussi
diverses que la marionnette, les objets et matériaux détournés,
les ombres, les images et vidéos, les automatismes et autres
mécanismes. Sans jamais perdre de vue le rôle primordial de
l’acteur et la place essentielle de l’humain au théâtre.
Une production de La Compagnie Clandestine
Spectacle co-produit par Théâtres en Dracénie. Scène conventionnée
pour la danse et dès l’enfance. Compagnie subventionnée par : le
Ministère de la Culture / DRAC PACA, le Conseil Régional Provence Alpes
Côte d’Azur, le Conseil Général des Alpes de Haute Provence. Avec le
soutien de la Ville de Manosque / MJC Mission Jeunesse (04) et de
l’Association d’Eveil Artistique des Jeunes Publics – Avignon (84)
théâtre
Le Cid
au palais
des congrès
De Corneille,
Mise en scène Bénédicte Budan
Mardi 9 novembre à 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 1h50
sans entracte
spectacle
tout public
Séance scolaire mardi 9 novembre à 14h - voir page 93.
Avec : Bénédicte Budan, Antoine Cegarra,
Camille Cottin, Laurent Hugny, Bruno
Ouzeau, David Seigneur
Décors : B. Mahon de Monaghan, R. Marcus
Lumières : Christian Mazubert
Costumes : Mélisande de Serres
Site : atelier-theatre-actuel.com
De la démesure et du merveilleux
pour un Cid qui renoue avec la grande
Tragédie !
L’histoire, on la connaît : un royaume en
Espagne… Rodrigue et Chimène sont
amoureux et promis l’un à l’autre. Une
querelle éclate entre leurs pères. Rodrigue
venge le sien en tuant le père de Chimène…
L’honneur, le devoir, la nécessité de tenir son
rang sont tellement éloignés de nos univers
mentaux que l’on peut se demander ce qui
fait de cette pièce une œuvre classique, c’est
à dire capable de révéler de génération en
génération quelque chose d’universel sur
la condition d’Homme. C’est qu’on oublie
trop souvent que sous le vernis de la tragicomédie amoureuse, Corneille signe ici
une pièce éminemment politique. Le roi, au
pouvoir absolu, est seul maître des destins.
Dans sa mise en scène, Bénédicte Budan n’a
pas relégué aux oubliettes cet aspect, bien au
contraire. Dès lors, les deux amants qui bravent
cette autorité et revendiquent leur liberté nous
apparaissent furieusement modernes !
Co-production le Théâtre du Signe, le théâtre « Le Grenier »
de Bougival, avec le soutien de l’ADAMI, des éditions Larousse,
Maquillage M.A.C Cosmétiques.
© Valérie Broue
La Presse en parle
« Un spectacle qui célèbre les intemporels
et délectables jeux de l’amour et de
l’honneur de Corneille. »
PariScope
« Une mise en scène qui place en son
centre l’enjeu de la modernité : comme
Chimène et Rodrigue, il s’agit de tirer sa
révérence au passé pour construire son
propre avenir. »
NRJ
« Une belle oeuvre d’intelligence et de
sensibilité. »
Les trois coups
page
21
La contrebasse
théâtre
au forum
Salle Cocteau
De Patrick Süskind,
Compagnie fréjussienne Les bêtes de
scène /les gueules d’ange
Mise en scène : Max Gérard
Avec : Julien Le Provost
Mercredi 10 novembre à 20h30
Tarif
Découverte
E
Durée 1h20
sans entracte
spectacle
tout public
Un Don Quichotte de l’archet noue un
dialogue, à l’humour noir et corrosif
avec sa contrebasse ! Hilarant et
poignant !
« La Contrebasse » nous raconte le plongeon
vers la solitude et la folie d’un contrebassiste.
© Vincent Meggelen
La Presse en parle
« La révélation d’un talent.
Julien Le Provost a très brillamment relevé le
défi. Etonnante de maturité, sa performance
a beaucoup impressionné les spectateurs. »
Var Matin
« Avec « La Contrebasse » le jeune
comédien, Julien Le Provost, a vraiment
réussi une performance. »
La Marseillaise
Le musicien affirme que c’est elle, instrument
imposant et puissant, qui structure tout
orchestre digne de ce nom. Il nous décrit avec
passion les liens qui les unissent, humanisant
à l’extrême l’objet musical de son désir. Mais
on découvre que derrière cette fascination
absolue, se cache une haine à l’encontre
de cette contrebasse, encombrante et
envahissante…
Patrick Süskind, étudie l’histoire et la littérature à Munich
et à Aix en Provence. Auteur de l’après-guerre, il devient
scénariste à la télévision, puis au théâtre. Sa première pièce
à un personnage, « La Contrebasse », est représentée pour la
première fois à Munich en 1981, elle sera publiée en 1984.
Cette œuvre est jouée régulièrement depuis sa création en
Allemagne. Elle a été reprise plus tard par Jacques Villeret, qui
la rendra célèbre en France.
En 1986, son premier roman, « Le Parfum » , lui vaut un
succès exceptionnel en Europe et à travers le monde. Il a été
traduit en 45 langues, vendu à 150 millions d’exemplaires.
page
22
musique
au forum
Salle Gounod
Concert lyrique de
l’Opéra de Toulon
Vendredi 12 novembre à 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Soprano Ainhoa Garmendia
Direction musicale : Nicolas Krugger
Ainhoa Garmendia, soprano : un
tempérament de feu sous un visage
souriant...
Programme :
Mozart : Ouverture Idoménée
Mozart : Idoménée - air d’Ilia - « Quando
avrai fine omai… Padre, germani, addio »
Mozart : Les noces de Figaro - air de Susanna « Un moto di gioia »
Elgar : Salut d’amour
Mozart : Air de concert « Nehmt meinem
dank »
Sibelius : valse triste
Mozart : Don Giovanni - air d’Anna - « Non
mi dir »
Offenbach : Souvenirs d’Aix les Bains
Mozart : Les noces de Figaro - air de Susanna « Deh vieni »
Mozart : Cosi fan tutte - air de Fiordiligi « Come scoglio »
Mozart : Symphonie n°36 - « Linz »
Ainhoa Garmendia, soprano :
2001: Entre en troupe à l’Opéra de Leipzig
2003 : Le Nozze di Figaro (Susanna) à l’Opéra de Leipzig
2006 : Cosi fan tutte (Despina) au Festival de Glyndebourne
2008 : Orphée et Eurydice au Teatro Real de Madrid
avec Juan Diego Flórez
2010 : Carmen (Micaela) au Théâtre Liceu à Barcelone
© Khaldoum Benhatem
La Presse en parle
Ainhoa Garmendia a été élue « révélation
de l’année 2006 » par la critique musicale
espagnole.
« La Susanna d’Ainhoa Garmendia est
quasiment irréprochable : voix longue et
flexible, nourrie sur toute l’étendue, et
désinvolture scénique entière. »
Forumopéra
Ainhoa Garmendia possède une grande voix maîtrisée par
une remarquable technique. Son instinct du théâtre, son sens
du jeu et de l’improvisation, garantissent son succès auprès du
public, que ce soit dans un rôle sérieux ou de comédie.
page
23
Les âmes frères
danse
au palais
des congrès
Duo chorégraphié par Julien Lestel,
Dimanche 14 novembre à 17h
Compagnie Julien Lestel
Distribution : Julien Lestel, Gilles Porte
Chorégraphie : Julien Lestel
Lumières : Max Haas
Site : www.compagniejulienlestel.com
Tarif
découverte
E
Durée 1h15
sans entracte
spectacle
tout public
Ce ballet, c’est leur histoire. Une
histoire d’amitié... Un grand moment
d’émotion !
A la fois chorégraphes et interprètes de leur
œuvre, Julien Lestel et Gilles Porte nous font
découvrir l’histoire d’une amitié qui s’est nouée
dans le cadre de leur formation de danseur.
Formation exigeante s’il en est, la pratique de
la danse est parsemée de difficultés.
© Lucien Sanchez
La Presse en parle
« D’un esthétisme époustouflant souligné
par un jeu de lumières signé Max Haas, ce
ballet prouve bien si besoin était que la
danse est d’abord une histoire d’émotions. »
Le Parisien
L’originalité, la force et l’intensité de ce ballet
attachant résident en grande partie dans sa
valeur de témoignage. Formés à l’Ecole de
Danse de l’Opéra de Paris, Julien et Gilles
évoquent dans ce ballet leur parcours, leur
rencontre, leur complicité mais aussi les
difficultés qu’ils ont dû surmonter pour
maîtriser la virtuosité qui est la leur ! La
beauté des corps et la technique impeccable
font naître une grande émotion !
« Passionné par mon art et désireux de m’investir dans un
travail de recherche chorégraphique, j’ai créé la compagnie
Julien Lestel.
Mon propos est d’emmener le spectateur vers une émotion
suscitée par la gestuelle et de l’entraîner dans une dynamique
où se côtoient puissance, sensualité et poésie mises en valeur
par la technique virtuose des interprètes. »
Julien Lestel
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24
page
25
© Lucien Sanchez
Alaska forever
Par la Compagnie artefact,
Mise en scène Philippe Boronad
Avec : F. Cottrelle, L. Samar, K. Tripier
Scénographie et lumières : P. Maurin
Vidéos, images, multimédia : Florent
Bourgeais, Murielle Félix, Charles Sadoul
Régie générale : Fabienne Flouzat
Photos : Yann Arthus Bertrand
[création]
théâtre
au forum
Salle Gounod
Tarif
découverte
E
Durée 1h15
sans entracte
spectacle
tout public
Une fable écologique d’une actualité
saisissante !
Dans une ambiance de reality show stellaire
et déjanté, « Alaska forever » retrace
l’histoire d’une journée banale, mais décisive,
dans la vie d’un grand patron de l’industrie
pétrolière, confronté à une catastrophe
écologique en Alaska résultant de ses propres
choix stratégiques.
© Olivier Baco
« A travers cette exploration des différents
niveaux de conscience individuelle, il s’agit
de sonder, d’interroger l’homme face au
pouvoir et à l’argent. Quelle est la place
résiduelle de l’individu face au système ?
Est-il acteur ou jouet du pouvoir ? Maître
ou sujet ? Libre ou enchaîné ? »
Philippe Boronad
page
26
Fable écologique sur fond de culture inuit,
cette création dissèque les mécanismes du
pouvoir. Par la création d’images virtuelles
et la projection de photos de « La Terre vue
du ciel » de Yann Arthus Bertrand, le metteur
en scène place ses comédiens dans un décor
surprenant. Un propos fort bien servi par de
très bons acteurs.
Autour du spectacle :
Conférence : « L’écologie, la grande question
du 21ème siècle. »
Lundi 15 nov. à 19h, salle Cocteau.
En présence de P. Boronad, metteur en scène.
Production : artefact, compagnie associée au Carré - Pôle Culturel de
Ste Maxime
Avec le soutien du Conseil Régional d’Ile-de-France, du Conseil Général
de l’Essonne, de la ville des Ulis - Espace culturel Boris Vian, du Théâtre
Durance - Château-Arnoux/St-Auban, du Forum Fréjus/St-Raphaël et de
Châteauvallon - Centre national de création et de diffusion culturelles
dans le cadre d’une résidence de création. Avec l’aimable collaboration
de Yann Arthus-Bertrand. En partenariat avec l’association Good Planet.
page
27
© Olivier Baco
Cendrillon
jeune
public
au centre
culturel
Adaptation de l’opéra de Jules Massenet,
Opéra Jeune Public
Mise en espace : Giovanna d’Ettorre
Avec : Elodie Tisserand, Marie-Caroline Kfoury,
Anna Reinhold
Piano : Mariella Fiordaliso
Costumes : Marie-Caroline Feral
Vidéo-graphiste : Anne Pellegrini
Mercredi 17 novembre à 15h
Tarif
jeune public
E
Durée 45 mm
sans entracte
spectacle à
partir de 4 ans
Séances scolaires mardi 16 et jeudi 18 novembre à 14h30.
Voir page 86.
Une adaptation fantaisiste du célèbre
conte pour initier à l’art lyrique les
tout petits !
Dans cette adaptation de l’œuvre de Massenet
tout n’est que beauté et invention. Alors que
le carrosse de Cendrillon et le palais du roi se
construisent sous nos yeux grâce à la palette
graphique d’Anne Pellegrini, les sopranos
Elodie Tisserand et Marie Caroline Kfoury
nous proposent un vrai spectacle lyrique !
© Corinne Pellet
Cendrillon la pauvrette, le Prince Charmant
l’esseulé, et la gentille fée nous enchantent
par leur facétie…
La
La Presse
Presse en
en parle
parle
« Elodie Tisserand, une voix étonnante
d’expressivité… »
France Musique
« Le travail effectué par la soprano Elodie
Tisserand (…) s’avère en tout point
remarquable (…) et fait honneur à la
beauté de la partition de Massenet sans
jamais sacrifier la clarté de la diction,
indispensable à la bonne compréhension
du texte. »
Midi Libre
page
28
Sur cette adaptation moderne, la partition de
Massenet très bien servie permet aux plus
petits de découvrir l’art lyrique !
Un spectacle qui conjugue la qualité artistique
et l’humour.
théâtre
au palais
des congrès
La médaille
[création]
Texte de Lydie Salvayre,
Samedi 20 novembre à 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 1h20
sans entracte
spectacle
tout public
Mise en scène Zabou Breitman
Assistante mise en scène : Marjolaine Aizpiri
Son : Patrick Ciocca
Une parodie satirique du monde
des entreprises, un conte moderne
caustique !
Mais est-ce seulement un conte… ?
L’entreprise Bisson a préparé une grande
cérémonie pour ses employés.
C’est aujourd’hui la remise des médailles aux
meilleurs travailleurs. Ceux qui la reçoivent
se doivent d’exprimer leur gratitude et
l’assistance d’applaudir. Le protocole semble
réglé dans ses moindres détails. La Direction
n’aura de cesse de clamer les valeurs dont les
travailleurs doivent s’enorgueillir. Mais voilà,
le rituel immuable, cette fois-ci, va connaître
quelques désordres imprévus.
Lydie Salvayre aime le désordre, les discours
qui perdent le nord, le rire et les fous rires. Son
style mordant, son sens aigu de l’observation
et de la critique font de l’adaptation de ce
roman un régal d’humour caustique.
Zabou Breitman, comédienne, est aussi une metteuse en
scène inspirée et reconnue. En 2004, elle a reçu le Molière du
metteur en scène pour « L’Hiver sous la table » et, en 2009,
celui du meilleur adaptateur pour « Des gens » de Raymond
Depardon. Elle s’est entourée d’une tribu d’interprètes choisis
avec grand soin, pour faire résonner dans toutes ses nuances
cette parodie satirique du monde des entreprises, sa culture
et ses excès. Des thèmes qui semblent plus actuels que
jamais. Mais en l’occurrence, autant en rire…
Zabou Breitman
© Mario Del Curto
Avec :
Jean-Luc Couchard : Jean-Luc Lehérissé
Maryline Even : Veuve Duchêne
Jean-Claude Frissung : Auguste Donte
Caroline Gonce : Caroline Bisson
François Levantal : François Fabre
Geneviève Mnich : Geneviève Pizzuto
Eric Prat : Eric Monsaingeon
Delphine Théodore : Delphine Boursegain
« La médaille » est un roman publié par les
Editions du Seuil et par les Editions Points
Production : Théâtre Vidy-Lausanne,
avec le soutien duThéâtre Nanterre-Amandiers
page
29
La serva amorosa
De Carlo Goldoni,
théâtre
au forum
Salle Gounod
Nomination Molière 2010 du théâtre privé
Adaptation : Michael Stampe et Christophe Lidon
Mise en scène : Christophe Lidon
Distribution : Clémentine Célarié, Robert Hirsch
(Nomination Molière 2010 du comédien), Claire Nadeau
(Molière 2010 de la comédienne dans un second rôle)…
Lumières/son : MH.Pinon, M. Winogradoff
Costumes : Claire Belloc
Décor : Catherine Bluwal (Molière 2010 du
décorateur scénographe)
Lundi 22 novembre à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 2h
sans entracte
spectacle
tout public
Une soirée toute en légèreté dans
la grande tradition de la comédie
italienne !
Le vieil Ottavio, riche à craquer mais au bord
de la tombe, a épousé en secondes noces
Béatrice, bien plus jeune mais veuve comme
lui. Celle-ci a mis à la porte l’aimable Florindo,
fils du premier lit d’Ottavio, car, naturellement,
elle désire s’accaparer tout l’héritage. Même
les conseils du brave Pantalon n’arrivent pas
à raisonner Ottavio. Mais la fidèle servante
Coraline veille...
© Cosimo Mirco Magliocca
La Presse en parle
« Hirsch au sommet de son génie. Une
perfection d’invention, de précision et
de drôlerie, depuis le mouvement fébrile
des doigts qui rangent les cartes jusqu’à la
variété des grimaces qui agitent le visage
du vieillard. C’est de l’artisanat d’art, de
la haute couture, de l’orfèvrerie. Un chefd’œuvre. »
Le Figaro Magazine
Il y a quelque chose du conte dans cette pièce
de Goldoni, « le Molière italien ». La pièce
met en scène une belle-mère machiavélique
- Claire Nadeau, au mieux de sa forme et une servante aimante, aussi généreuse
qu’honnête, Clémentine Célarié qui trouve
le ton juste. L’échelle sociale est respectée,
la morale et la bonté triomphent. En bas
rose foncé qui détonnent sous un costume
sombre, Robert Hirsch est épatant !
Né à Venise en plein carnaval en 1707, Carlo Goldoni quitte le
collège de Rimini en 1721 pour suivre une troupe de comédiens
ambulants. Peu motivé par l’exercice de son titre d’avocat, il
s’engage au service d’un théâtre de Venise, puis d’un autre et
devient ainsi le premier auteur dramatique italien salarié. De là,
il rêve de réformer la commedia traditionnelle pour proposer un
théâtre écrit, non masqué et nourri des mutations de la société
vénitienne.
page
30
page
31
musique
Rigoletto
[création]
au forum
Salle Gounod
De Giuseppe Verdi,
Opéra en 3 actes
Direction musicale : Tulio Gagliardo
Mise en scène : Antoine Selva
Etudes musicales : Sylvain Souret
Chef de chœur : Gerardo Cerca
Costumes : Arte Misia - Roma
Décors : ateliers Ramfis productions
Avec : Sergio Bologna, Mariana Panova, Ignacio
Encinas, Cristina Melis, Alexander Teliga
Vendredi 26 novembre à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 3h00
2 entractes
spectacle
tout public
Intense drame de passion, de trahison,
d’amour filial et de vengeance,
Rigoletto offre une combinaison
parfaite de richesse mélodique et de
pouvoir dramatique.
Cet opéra majeur, d’après la pièce de Victor
Hugo « Le Roi s’amuse », met en évidence
les tensions sociales et la condition féminine
subalterne dans laquelle le public du 19ème
siècle pouvait facilement se reconnaître.
« Ma mise en scène n’aura qu’un but :
montrer les dangers permanents qui
effrayent Rigoletto et les mesures prises
pour les éviter en l’immergeant dans un
monde aussi futile que cruel.
J’ai connu une vieille femme qui passait sa
vie dans les rues d’une grande ville, traînant
deux grands sacs quel que soit le temps et
la saison. « Une clocharde ! » disions nous.
Et bien cette femme était un professeur
de philosophie qui avait perdu la raison
et qui venait hanter le lieu où elle avait vu
assassiner sa fille ! Sommes nous loin de
Rigoletto ? »
Antoine Selva
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32
L’argument repose sur les escapades
amoureuses du Duc de Mantoue et sur
la complicité de son bouffon, Rigoletto.
Gilda, la fille de Rigoletto, est le troisième
protagoniste important de l’œuvre de Verdi,
qui s’avère être une succession d’airs très
connus, comme « La Donna e mobile ».
Giuseppe Verdi (1813-1901) figure aujourd’hui parmi les
piliers du répertoire lyrique à l’égal de Mozart ou de Wagner.
C’est par le triomphe de Nabucco créé à la Scala le 9 mars
1842 que débute une carrière longue de cinquante ans. Verdi
est l’un des compositeurs d’opéra italiens les plus influents du
XIXe siècle. Ses œuvres sont fréquemment jouées dans les
opéras du monde entier et, dépassant les frontières du genre,
certains de ses thèmes sont depuis longtemps inscrits dans la
culture populaire comme « La donna è mobile » de Rigoletto,
le « Brindisi » de La Traviata, le chœur « Va, pensiero » de
Nabucco ou la « Marche triomphale » d’Aida.
théâtre
Littoral
au forum
Salle Gounod
Un moment de théâtre exceptionnel
par l’artiste associé du festival In en Avignon en 2009,
Tarif
Passion
E
Durée 2h45
avec entracte
spectacle
tout public
Auteur Wajdi Mouawad
Avec : Jean Alibert, Tewfik Jallab, Catherine
Larochelle, Patrick Le Mauff, Marie-Eve Perron,
Lahcen Razzougui, Emmanuel Schwartz,
Guillaume Sévérac-Schmitz
Site : www.wajdimouawad.fr
Voyage initiatique d’un homme à
la recherche de son histoire, de sa
filiation et de la terre de ses ancêtres !
Ce qui nous fait Homme c’est notre
mémoire...
Un événement à ne pas manquer !
« Littoral » est une grande épopée dans
laquelle sont réunis tous les ingrédients
théâtraux : la guerre, la mémoire, la filiation.
Comme ils sont ceux de la vie !
En apprenant la mort de son père que pourtant
il ne connaît pas, Wilfrid va apprendre à vivre.
Contre l’avis de tous, il décide de partir
l’enterrer dans son pays d’origine. En route,
il va croiser d’autres blessés de la vie, retenus
à l’existence par un cri de rage, de colère, de
châtiment, de rédemption, d’amour.
Né au Liban en 1968, Wajdi Mouawad doit, à l’âge de huit
ans, avec sa famille, abandonner sa terre natale pour cause de
guerre civile. Commence un exil qui le conduit en France, puis
au Québec. Écrivain et metteur en scène, il réalise un travail
unique, dont il dit qu’il ne consiste pas à mettre en scène,
mais à mettre en esprit et à éclairer l’invisible qui se cache
en chaque homme. Ses personnages universels, entremêlent
histoire individuelle et histoire collective. La puissance narrative
et poétique de ses spectacles fait de la scène un lieu de haute
intensité émotionnelle.
© Jean-Louis Fernandez
La Presse en parle
« Il est des spectacles bouillonnants et
intenses qui vous emportent sur les
rivages de l’imaginaire pour longtemps.
Littoral est de ceux-là. »
Le Parisien
« Mouawad, c’est... l’artisan d’un théâtre
qui raconte le monde, le déploie, le
déroule comme une fresque, celui qui
fait danser sans honte aucune, l’émotion
et la fable, la vie des gens avec le tragique
immémorial de la condition humaine. »
Télérama
Auteur, metteur en scène, comédien il est une figure majeure
du paysage théâtral francophone. Artiste associé du festival In
d’Avignon en 2009 sa trilogie « Littoral, Forêts et Incendie » retenant
les spectateurs dans la cour du Palais des Papes, du coucher au
lever du soleil, a marqué à jamais des milliers de spectateurs.
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33
Stand alone zone
danse
au palais
Coup de coeur de la programmation,
Créé par Karl Biscuit & Marcia Barcellos
Composition mise en scène : Karl Biscuit
Chorégraphie, costumes : Marcia Barcellos
Danseurs : Gregory Alliot, Flavien Bernezet et
Caroline Chaumont
des congrès
Jeudi 2 décembre à 20h30
Tarif
Découverte
E
Durée 1h
sans entracte
spectacle
tout public
Séance scolaire à 14h30 - voir page 93.
Une science-fiction dansée, un univers
totalement insolite empreint de grâce
et de magie ! Unique !
Il existe une Zone au-delà des vastes
périphéries. Dans l’enchevêtrement de
pièces et de couloirs, envahis par une nature
luxuriante, elle abrite une chambre cachée,
dite merveilleuse, qui possède en son sein, le
secret du monde...
© Karl Biscuit
La Presse en parle
« Dans une ambiance qui tient à la fois
du film d’espionnage, de la féerie, de la
bande dessinée, Marcia Barcellos et Karl
Biscuit, les deux chorégraphes de Système
Castafiore, décrivent une quête étrange...
C’est un spectacle hors normes qui se
déploie, dans l’écrin d’un décor réalisé
en images de synthèse : pour cette danse
qui, chose rare, ne rechigne pas à jouer
sur les codes des réalités virtuelles, la
technologie est un mode poétique, qui
unit l’humour et la métaphysique. »
La Terrasse
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34
Il y a dans cette fable contemporaine, du
comics, du manga, de la technologie et
de la magie… Ce spectacle hors normes
combine décors projetés réalisés en images
de synthèse, costumes extraordinaires et
accessoires technologiques dont se parent
les trois danseurs.
La chorégraphie met en scène une multiplicité
de personnages à la frontière du réalisme et
du fantastique. Une forme ludique de théâtre
du geste qui conjugue la poésie, l’humour,
l’invention formelle pour figurer un Humain
métaphysique.
Par « Système Castafiore », compagnie de danse
conventionnée avec la DRAC, Système Castafiore est installé
à Grasse depuis 1997. A la pointe de la recherche, la
compagnie travaille sur l’utilisation des nouvelles technologies
au service de la danse contemporaine.
théâtre
au palais
des congrès
La ballade de Simone
Textes extraits du « Deuxième sexe », de « La Force des choses »
et des « Lettres à Algren »,
Mardi 7 décembre à 20h30
Tarif
découverte
E
Durée 1h10
sans entracte
spectacle
tout public
d’après Simone de Beauvoir
Avec : Michelle Brûlé et Odja llorca
Mise en scène : Nadine Darmon
Scénographie : Denis Malbos
Lumières : Olivier Vallet
Adaptation : Michelle Brûlé
Textes publiés aux éditions Gallimard
Site : www.envotrecompagnie.fr
Mais « qu’est-ce qu’une femme libre ? »
souffle l’accordéon... Avec émotion,
humour et gravité, « La Ballade de
Simone » nous invite à un régal pour
l’intelligence. Profondément actuel. Et
pour toutes et tous !
Deux actrices - l’une chante, l’autre joue
de l’accordéon - orchestrent ce moment :
l’émancipation et la lutte des femmes à travers
une histoire d’amour. Sans chercher à faire le
portrait de la reine de l’existentialisme, deux
femmes d’aujourd’hui, dressent un pont entre
elles et la grande Simone. Cette traversée
drôle et musicale, entre correspondance
amoureuse et essai philosophique, donne une
autre vision de cette femme de tête et de chair
éprise avant tout d’authenticité et de liberté.
Simone de Beauvoir (1908-1986), philosophe et romancière,
écrit au 20ème siècle les textes fondateurs de la pensée
féministe. Ardente avocate de l’existentialisme théorisé
par son compagnon Jean-Paul Sartre, elle soulève des
questionnements afin de penser le monde.
Beauvoir devient la figure de proue du féminisme. Avec
Gisèle Halimi, elle cofonde le mouvement « Choisir » dont le
rôle a été déterminant pour la légalisation de l’Interruption
Volontaire de Grossesse.
Durant toute sa vie, elle étudie le monde dans lequel elle vit,
en visitant usines et institutions, à la rencontre d’ouvrières et
de hauts dirigeants politiques. En 1954, elle obtient le prix
Goncourt pour « Les Mandarins», roman qui traite de l’aprèsguerre et qui met en lumière sa relation avec Nelson Algren.
Elle devient l’un des auteurs les plus lus dans le monde.
© Bernard Louvel
La Presse en parle
« C’est vif, fluide, plein d’humour et de
tendresse mais plein aussi d’une interrogation
toujours présente : « Qu’est-ce qu’être une
femme libre ? ». Une manière originale et
vivante d’aborder l’héritage de la femme
philosophe. »
Télérama
« C’est un bijou de spectacle plein d’esprit et
de délicatesse,plein d’humour et de sensibilité,
et jamais docte... Les deux comédiennes sont
d’excellentes musiciennes et chanteuses. Elles
nous font partager avec élégance un délicieux
moment, brillant et nostalgique. »
Le Figaro
.
page
35
danse
cirque&
cirque
au forum
Traces
Salle Gounod
Par la compagnie les 7 doigts de la main,
Cirque
Mise en scène : Shana Carroll et Gypsy Snider
Entraînement/Recherche Acrobatique :
Sébastien Soldevila
Avec : Antoine Auger, Antoine CarabinierLépine, Jonathan Casaubon, Geneviève Morin,
Philip Rosenberg
Coproduction : C.N des Arts d’Ottawa
Site : www.traces.7doigts.com
Vendredi 10 décembre à 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
« Traces » surprend, impressionne et
émerveille. Allez-y en famille pour
partager un moment magique et
inoubliable !
Cirque ? Danse ? Musique ? Haute-voltige ?
Poésie ?…Qu’est-ce donc ? A coup sûr une
performance de pure énergie acrobatique,
poétique, explosive, drôle, mêlant techniques
acrobatiques, danse contemporaine et théâtre.
L’histoire : à leur porte, une catastrophe
menace les cinq personnages. Ils ont construit
cet endroit pour y vivre ce qu’ils pensent être
leurs derniers instants.
© ocd
La Presse en parle
« Il est aussi difficile de classer « Traces »
que d’imaginer ce que ces cinq ne sauraient
pas faire. Une performance artistique et
corporelle totale mêlant danse, musique,
acrobatie, sport urbain, comédie, dessin et
poésie. Des artistes prodigieux, infiniment
agiles et intrépides, qui transgressent les
lois de la pesanteur. »
Le Figaro Magazine
« Les corps propulsés dans l’espace sont
de vrais morceaux d’écriture. »
Libération
page
36
Pour ces cinq-là, la création est le seul
antidote à la destruction. Leurs corps projetés
sur scène sont les vecteurs de leurs pulsions
créatives et de leurs désirs. La musique,
le chant, le dessin et les acrobaties seront
comme autant de Traces qu’ils laisseront
derrière eux !
Depuis sa création, « Traces » a soulevé la
critique et le public, allant de succès en
succès de Paris à Séoul en passant par New
York et Londres.
La compagnie « les 7 doigts de la main » a été fondée à
Montréal en 2002. Tous les artistes sont issus de l’école
nationale de cirque de Montréal. « Traces », leur deuxième
création, en 2006, a fait le tour du monde.
© ocd
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Cyrano
D’après l’œuvre d’Edmond Rostand,
théâtre
au forum
[création]
Salle Gounod
Par la compagnie Viva la Commedia
Mise en scène : Anthony Magnier, Cécile Mathieu
Décorateur /accessoiriste : Stefano Perroco
Costumes : Mélisa Léoni
Chant : Samuel Muller
Maître d’arme : Patrice Camboni
Régisseur lumières/son : Rémi Cabaret
Avec : S. Dufouleur, G. Fasulo, M. Genoud...
Site : www.vivalacommedia.com
Mardi 14 décembre
à 14h30 & 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Séance scolaire mardi 14 décembre à 14h30 - voir page 86.
Le drame de la laideur conjugué à
l’amour et à l’héroïsme ! Edmond
Rostand a fait de Cyrano un archétype
humain au même titre que Hamlet ou
Don Juan !
« Monter Cyrano est impossible : quarante personnages, cinq
décors impressionnants, des dizaines de costumes, cinq actes,
des répliques interminables, un premier rôle écrasant…
Monter Cyrano est impossible, mais nous le faisons quand
même. Comment ? En utilisant notre théâtre, celui de l’illusion,
de la jonglerie, du masque et surtout du comédien.
Ici, huit acteurs représentent, à eux seuls, sans jamais quitter
la scène, les quarante personnages. Au centre du plateau,
dans « l’espace de jeu », des éléments de décors sobres et
dépouillés évoquent l’Hôtel de Bourgogne, la rôtisserie de
Ragueneau, le siège d’Arras ou le couvent des Dames.
Partenaires :
Théâtre de Bois d’Arc - Espace Coluche
(Plaisir) - Centre Culturel Jean Vilar (Marly
Le Roi) - Théâtre de Ménilmontant (Paris) Printemps culturel du Valenciennois.
Soutiens :
Festival les Théâtrales de Collonges la
Rouge - Espace Yves Montand (LivryGargan) - Théâtre Gérard Philippe (Meaux)
- Théâtre des 3 chênes (Le Quesnoy) Théâtre Alexandre Dumas (Saint Germain
en Laye) - Festival du mois Molière
( Versailles) - Espace Barbara (Petite Forêt)
- les Tanzmatten (Sélestat)
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38
Notre expérience de la Commedia dell’Arte apporte à Cyrano
la fougue et le comique. Sans éluder, pour autant, la dimension
tragique. Le drame de la laideur de celui qui a perdu le
masque mais garde le nez.
C’est un voyage dans l’imaginaire que nous proposons dans
lequel les comédiens sont des conquérants de l’impossible. Et
comme le disait un vieil acteur de Kabuki : « Lorsque les acteurs
et les spectateurs croient en l’illusion, cette illusion devient
réalité ». »
Anthony Magnier
Edmond Eugène Alexis Rostand est né le 1er avril 1868 dans
une famille aisée de Marseille. Contemporain de Feydeau,
Courteline, Ibsen, Strindberg, il est persuadé de l’échec de
cette pièce romantique en vers écrite en 1896. Ce fut dès la
première un succès retentissant.
musique
au palais
des congrès
Orchestre de chambre
de Saint-Raphaël
Vendredi 17 décembre à 20h30
Concert Mendelssohn
Tarif
Prestige
E
Durée 1h20
sans entracte
spectacle
tout public
Directeur musical : Jean Sébastien Hubert
Violon : Jean-Sébastien Hubert
Piano : Agnès Berdugo
Programme Mendelssohn :
- Symphonie N°4 pour cordes.
- Symphonie N°5 pour cordes.
- Concerto pour violon, piano et
orchestre en Ré mineur.
Félix Mendelssohn (1809-1847), compositeur allemand, est,
déjà de son vivant, considéré comme le plus grand compositeur
européen du 19ème siècle. Son grand ami Robert Schumann
lui vouait une admiration sans borne. Il est sans doute l’un
des plus grands génies musicaux, tant comme compositeur
que comme pianiste (c’était un formidable enfant prodige, à
l’égal de Mozart et Saint-Saëns) et chef d’orchestre. Son style
musical, à la fois lyrique et très travaillé sur le plan formel
(avec l’utilisation fréquente d’ostinato), cédant plus tard la
place à l’emploi de dissonances et de contrastes incisifs, fait
de lui l’un des compositeurs les plus inventifs de son époque.
Agnès Berdugo découvre le piano auprès de sa grand-mère
Clara Erb, concertiste et directrice de l’école de piano du
Vésinet. Au terme d’un apprentissage brillant, elle travaille à
Genève avec Nikita Magalof et Alexis Golovin... De 1979 à
1984, elle est première pianiste à l’Opéra de Paris.
Actuellement, Agnès Berdugo poursuit une carrière de soliste,
donne de nombreux concerts en France et à l’étranger et
prépare une série d’enregistrements avec les nouvelles
techniques d’enregistrement numérique pour redonner une
nouvelle dimension sonore au répertoire musical.
Jean-Sébastien Hubert obtient en 2000 le poste de Professeur
de Violon à l’Ecole Municipale de Musique agréée de SaintRaphaël dont il est le Directeur depuis Septembre 2006. En
2005, soutenu par la Ville de Saint-Raphaël, il crée l’Orchestre
de Chambre de Saint-Raphaël qu’il dirige comme Violon Solo et
Directeur Artistique.
« Notre orchestre est dirigé par le Violon
Solo, d’où sa spécificité et son originalité
qui assurent une dynamique, une
motivation et un investissement accrus de
chaque instrumentiste.
Il s’agit là d’un orchestre permanent dont
la mission est d’être non seulement une
entité représentant artistiquement la Ville
de Saint-Raphaël pour le plaisir de tous
les raphaëlois mais aussi un orchestre
qui s’exportera dans de nombreuses
autres villes portant ainsi haut et fort les
couleurs et le dynamisme de notre ville. »
Jean-Sébastien Hubert
page
39
Orquesta Aragon
musique
au forum
Salle Gounod
Dimanche 19 décembre à 20h30
Musique Cubaine
Directeur du groupe : Rafael Lay Bravo
Site : www.planete-aurora.com
Tarif
Passion
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Le plus grand groupe cubain fête ses
70 ans d’histoire !
Depuis plus de 70 ans, « la Aragon », comme
on l’appelle à La Havane, est LA référence
musicale cubaine.
© Youri Lenquette
La Presse en parle
« Petite devinette : c’est une formation latine
dont les loges ont été récemment gardées
par l’armée lors d’un voyage au Sénégal pour
cause d’hystérie populaire. Au Mexique ils
étaient plus de 15 000 personnes à lui faire
un triomphe (…) Enfin les médias cubains
l’ont élue « groupe du siècle ».Vous donnez
votre langue au cha-cha-cha ? Et bien il s’agit
d’Orquesta Aragon ! »
Le Télégramme
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40
Créée en 1939 par le contrebassiste Orestes
Aragón Cantero, cette charanga laisse une
place prédominante non pas aux cuivres mais
à la flûte et aux violons. La formation est restée
fidèle à l’esprit de son fondateur qui rêvait, plus
qu’un orchestre, d’une famille régie par l’amour
de la musique, et non par le désir de s’enrichir.
Les musiciens de l’Orquesta Aragon jouent
avec chaleur : celle de Cuba, avec ses ambiances
latines et festives, et celle du cœur, qui vous
empêchera à n’en pas douter de rester assis
pendant le concert…
Composition de l’orchestre :
Rafael Lay Bravo : directeur du groupe, violon, chant
Celso Valdes Santandreu, Dagoberto Gonzalez Piedra, Lazaro
Gonzalez Siboré, Eric Labaut Lay : violons
Guillermo Garcia : percussions
Jose Palma : guiro
Horacio Rodríguez del Toro : timbales
Roberto Espinosa : basse
Orlando Perez : piano
Eduardo Rubio : flûte
Ernesto Bacallao, Juan Carlos Villegas : chant
Armando Amezaga, Yaimara Rodriguez Nicot, Angel Aristides
Santos Lavin : danseurs
musique
Tri Yann
au forum
Salle Gounod
Tournée des 40 ans du groupe,
Musique Celtique
Samedi 8 janvier à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 2h
sans entracte
spectacle
tout public
Musiciens : Jean-Louis Jossic, Jean Chocun, JeanPaul Corbineau, Jean-Luc Chevalier, Gérard Goron,
Konan Mevel, Fred Bourgeois et Christophe Peloil
Son : Pascal Mandin, Didier Haye
Régisseur : Patrick Roy
Lumières : Frédéric Boch
Site : http://edoll.free.fr
Le groupe nantais Tri Yann, un des
groupes de musique celtique les plus
connus en France s’apprête à enflammer
Le Forum en soufflant ses 40 bougies !
Groupe mythique, bien connu des amateurs
de musique celtique et pas seulement, Tri Yann
n’a plus vraiment besoin d’être présenté.
La renommée et les chansons entraînantes
de ce groupe né en décembre 1970, souvent
tirées du folklore ou de refrains populaires,
sont sa plus belle carte de visite. Qui n’a
jamais fredonné « J’entends le loup, le renard
et la belette », les célèbres paroles de « La
Jument de Michao » ou encore « Les Prisons
de Nantes », « Les Filles des forges »…
Des reprises de chansons traditionnelles, un
répertoire original, des tubes à la pelle dans
la lignée de la musique bretonne et celtique,
initiée par Alan Stivell.
Si la tradition tient une part importante dans
leur musique, ils n’hésitent pas à mélanger
ambiance celtique avec jazz et rock. Un
mélange des genres qui fait de Tri Yann un
groupe très actuel, dont l’énergie vous fera
forcément quitter votre fauteuil !
© Eric Doll
La Presse en parle
« Un indémodable folk celtique, qui plaira
aux amateurs de variété française. »
« Les Tri Yann ont su trouver un équilibre
presque parfait entre le Breton et le
Français, entre la tradition et leurs
créations, entre la musique acoustique
et la musique électrique, entre les
instruments anciens et les instruments
plus récents. »
Télérama
Après le spectacle :
Découvrez la convivialité d’un « fest-noz » (fête
bretonne) autour de spécialités de la Bretagne.
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41
théâtre
Parole et guérison
De Christopher Hampton,
au forum
Salle Gounod
Barbara Schulz & Samuel Le Bihan
Adaptation et mise en scène : Didier Long
Collaboration artistique : Anne Rotenberg
Avec : Barbara Schulz, Samuel Le Bihan, Bruno
Abraham-Kremer, Léna Breban, Alexandre
Zambeaux (nommé aux Molières 2010, révélation
théâtrale masculine), Candice Crosmary
Décor : Jean-Michel Adam
Costumes : Tim Northam
Lumières/Son : L. Beal, F. Peyrony
Vendredi 14 janvier à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 2h
sans entracte
spectacle
tout public
Une plongée véridique dans les débuts
de la psychanalyse ! Et une histoire de
passions !
Passion entre le docteur Jung et sa jeune
patiente, mais aussi entre les deux piliers
de la psychanalyse : Freud et Jung.
En 1904, Sabina Spielrein devient à la fois la
patiente et la maîtresse du docteur Jung qui
expérimente avec elle une toute nouvelle
méthode thérapeutique révolutionnaire
inventée par Freud : la psychanalyse.
La Presse en parle
« Si Sabina était aussi tentante que Barbara
Schulz, on comprend que les principes
protestants de Jung aient volé en éclats :
elle trouble Samuel Le Bihan comme
l’eau quand on remue la vase. Tous deux
sont très touchants. Ne vous laissez pas
intimider par le sujet. Pas besoin d’être
passé par le divan pour être empoigné. »
Le Nouvel Observateur
page
42
D’abord dans un rapport de filiation
intellectuelle, Jung se détache peu à peu de son
mentor… La scission entre les deux hommes
est consommée malgré l’intercession de
Sabina devenue à son tour médecin.
Didier Long donne un mouvement vif au
drame et s’appuie sur le trio central. Bruno
Abraham-Kremer, avec sa barbe bien taillée,
sa sagacité, donne un Freud douloureux et
bon ; Samuel Le Bihan, parvient à évoquer les
combats intérieurs de Jung avec délicatesse,
sans démonstration ; Barbara Schulz, beauté
radieuse, sait traduire les douleurs, les effrois,
l’intelligence, les complexités d’une femme
exceptionnelle qui se bat avec ses doubles.
Magistral et magnifique !
jeune
public
au Palais
des congrès
Une chenille dans
le coeur
De Stéphane Jaubertie,
Dimanche 16 janvier à 17h
Tarif
jeune public
E
Durée 1h
sans entracte
spectacle à
partir de 9 ans
Séance scolaire vendredi 14 janvier à 14h30.
Voir page 86.
Théâtre - Compagnie Vies à Vies
Texte : Stéphane Jaubertie,
publié aux éditions Théâtrales Jeunesse
Mise en scène : Bruno Lajara
Avec : P. Fovez, F. Masure, N. Postillon
Dessins : François Saint Rémy
Animation : Julien Nesme
Après « Yaël Tautavel ou l’enfance
de l’art » succès jeunesse éclatant
au Palais des Congrès, Stéphane
Jaubertie revient avec une fable
tendre et cocasse, qui parle d’amour,
de filiation et d’altérité ! Pour les
petits et les grands !
C’est un vieux bûcheron. Seul. Seul ? Pas tout
à fait. Dans le désert qu’il a créé, il reste un
arbre, le dernier du pays. Et il y a une petite
fille qui, depuis toujours, est enfermée dans
un corset de bois qui lui permet de vivre.
Aujourd’hui, elle a grandi et le corset est trop
petit. Pour lui en faire un plus grand, il n’y a
pas le choix : il n’y a plus qu’un arbre dans le
pays… Le bûcheron ne coupera pas l’arbre.
Il l’a juré, l’a promis. C’est le dernier, et cet
arbre, c’est sa vie…
Théâtre, conte, musique, projection vidéo se
rencontrent pour porter avec force cette
parabole sur l’héritage laissé aux générations
qui nous suivent, sur le don de soi. Une
célébration de l’enfance qui résonne comme
un chant d’espoir et scintille comme un
faisceau de lumière dans l’épaisseur de la nuit.
Né à Périgueux en 1970, Stéphane Jaubertie vit aujourd’hui à
Paris où il est auteur et comédien.
En 2004, il se fait connaître en tant qu’auteur avec « Les
Falaises ». En 2005, il est lauréat des Journées de Lyon des
auteurs de théâtre pour « Yaël Tautavel » (Éditions Théâtrales).
© François Saint Remy
La Presse en parle
« Ce spectacle aborde avec délicatesse et
clairvoyance les thèmes de la transmission,
de l’écologie, de la relation entre les
générations, dans une forme et une langue
universelles, comprises par les petits et les
grands à différents niveaux de lecture. »
La Terrasse
« C’est un petit bijou (...) à la frontière du
rêve et de la réalité. Une réussite. »
La Vie
page
43
Un rendez-vous
en afrique [création]
danse
au palais
des congrès
Chorégraphie Hervé Koubi,
Compagnie Hervé Koubi
Avec : les danseurs de la compagnie Guélassémon
Assistant chorégraphe : Guillaume Gabriel
Directeur Artistique : Laurent Ouhon Sea
Répétiteurs : Elodie Landra, Michel Béliga Kopé
Musique : Jean-Philippe Rameau, Johann Strauss
Musiques originales : S. Fromentin, G. Desbois
Lumières : Lionel Buzonie
Mardi 18 janvier à 20h30
Tarif
Découverte
E
Durée 1 h
sans entracte
spectacle
tout public
Un mélange détonnant et subversif
entre la danse traditionnelle africaine
et la musique baroque ! Inattendu et
jubilatoire !
Hervé Koubi, chorégraphe d’origine algérienne,
installé dans les Alpes-Maritimes, a déjà à
son actif de nombreuses créations en danse
contemporaine.
© Olivier Soulier
Notes de travail
« Nous ne nous étions jamais vus et
pourtant nous nous sommes donnés
rendez-vous à Yopougon, en Côte d’Ivoire.
Nous avons chacun de notre côté donné
et reçu, partagé. Il s’agit pour moi de mon
premier rendez-vous en Afrique.
Il y a eu des sourires, beaucoup de passion,
un peu de magie, parfois quelques mystères
insolubles, une écoute au-delà des mots
mais aussi et surtout un choc des cultures
dont certains éclats sont générateurs de
sens. A nous de nous en saisir. »
Hervé Koubi
page
44
Pour cette nouvelle création, il a souhaité
travailler avec le chorégraphe ivoirien
Beliga Kopé. Ensemble, ils ont inventé une
écriture chorégraphique à la rencontre des
cultures africaine et occidentale. Dans une
orchestration très joyeuse et enlevée, sur une
musique baroque de Rameau et une écriture
chorégraphique qui nous est familière, c’est
pourtant toute leur tradition que les corps
puissants des danseurs vont exprimer !
Docteur en pharmacie, Hervé Koubi a mené de front sa carrière
de danseur-chorégraphe et d’étudiant à la Faculté d’Aix-Marseille.
En 1999, il intègre le Centre Chorégraphique National de Nantes,
puis celui de Caen. Il fonde sa compagnie en 2000. Ses créations,
« Ménagerie », « Les abattoirs fantaisies », « Les heures
florissantes » ont connu de réels succès.
jeune
public
au centre
culturel
Quand Armand range
ses rêves...
[création]
Orchestre de chambre de Saint-Raphaël,
Scéances scolaires uniquement
Initiation à la musique classique
Tarif
Scolaire
E
Durée 45 mm
sans entracte
spectacle à
partir de 4 ans
Auteur narrateur : Emmanuelle Hubert
Distribution : Orchestre de chambre de St-Raphaël
Violon-solo : Jean-Sébastien Hubert
Mardi 18, jeudi 20 et vendredi 21 janvier, 9h30 maternelles
et 14h30 élémentaires - voir page 86.
Un conte pour faire découvrir aux
plus petits un orchestre de chambre !
Inspirée
par l’exposition du livre « Le Traité
du violon » de Maurice Roche/Arman,
Emmanuelle Hubert fait découvrir l’Orchestre
de Chambre par un chemin inattendu : l’univers
de l’accumulation.
Armand est un petit garçon qui réalise sans
relâche chacun de ses rêves étranges : des
collections d’objets insolites qu’il organise un
peu à sa façon ! Un jour sa maman entend
une cacophonie tonitruante à l’étage ; elle se
précipite dans la chambre d’Armand et s’écrie :
« - Mais qu’est-ce que c’est que ça ?
- Ma nouvelle accumulation, maman, une
accumulation de musiciens !
- Maintenant ça suffit ! Débarrasse-moi tout ça !
- Mais maman ce sont mes rêves !
- Et bien Armand, range-moi tes rêves !… »
En remettant un nouvel ordre dans son
accumulation de musiciens, Armand et les
enfants redécouvrent l’organisation de
l’orchestre.
Programme :
Concerto pour deux violons de JeanSébastien Bach
Révélé au tout début des années 50, Arman,
de son vrai nom Armand Pierre Fernandez,
a été l’un de membres fondateurs du
mouvement des Nouveaux Réalistes où l’on
trouvait un autre niçois de génie,Yves Klein.
Partant d’un violon entier projeté avec
violence sur le papier, il décrit avec frénésie
tous ses aspects, rythmés par les paroles
incantatoires du poète (Maurice Roche).
Ainsi ce livre : «Le traité du violon-Maurice
Roche/Arman-1979», avec ses vingt-quatre
estampes réparties symboliquement en
douze gravures et en douze lithographies,
dans un équilibre parfait constitue-t-il à ce
jour l’œuvre la plus aboutie d’Arman en
matière de livre d’artiste.
page
45
Père U à la plage
danse
au forum
Salle Cocteau
D’après Alfred Jarry (Ubu roi) et Antoine Darima,
Danse et Théâtre
Chorégraphie : Schéhérazade Odin
Mise en scène : Schéhérazade Odin, Frédéric
Poinceau et Zidane Boussouf
Univers Sonore : Zidane Boussouf
Costumes : Corinne Guilloux
Lumières : Ivan Mathis
Avec : Schéhérazade Odin, Frédéric Poinceau
et Zidane Boussouf
Jeudi 20 janvier à 14h30
et à 20h30
Tarif
Découverte
E
Durée 1h
sans entracte
spectacle
tout public
Séance scolaire jeudi 20 janvier à 14h30 - voir page 86.
Un pamphlet pour dénoncer l’ambition
personnelle et la cupidité. Une langue
truculente et délicieusement incorrecte
pour des clowns pitoyables et attachants !
Un divertissement salutaire…
Voici une création de danse mais qui n’est pas
vraiment de danse sans être complètement
du théâtre non plus. Pourtant à n’en pas
douter il s’agit quand même de théâtre et de
danse et de musique, et il y a aussi bien sûr
quelques gros mots. Bref, ça se veut joyeux
et intelligent, dynamique et époustouflant,
bouffant et ronflant, piaffant et désarmant, en
un mot : Ubuant !
« Le spectacle « Père U à la plage » est une
adaptation « D’Ubu roi » d’Alfred Jarry avec
quelques insertions du texte d’Antoine
Darima : « Guide pratique pour réussir sa
carrière en entreprise : avec tout le mépris et
la cruauté que cette tâche requiert ». Ces deux
textes sont des œuvres critiques, illustrant bien la
tournure que prend, trop souvent, l’acte politique
et la conquête du pouvoir. Ils dénoncent
la poursuite de l’ambition personnelle au
détriment de l’intérêt de tous. La langue de Jarry
est truculente et délicieusement incorrecte.
Le Père et la Mère Ubu sont vils, vulgaires et
peureux. Plus ils sont laids, plus ils nous
plaisent. »
La Cie Loreleï
page
46
Ubu, à travers sa bouffonnerie truculente,
transporte un univers plastique riche et
complexe. Laid, vulgaire, excessif, assailli de
pulsions primitives. Le guide carriériste
d’A. Darima, lui, offre matière à réflexion :
ambition, avidité, course au pouvoir ; quelles
sous-espèces d’Ubu la société d’aujourd’hui
génère-t-elle ?
Rencontre provoquée entre monstres de foire
et monstres de carrière, quelles en seront les
résonances ?
La compagnie Loreleï est une jeune compagnie varoise. Elle
coproduit ce spectacle avec le soutien du Conseil Général du
Var, le pôle jeune public Toulon Provence Méditerranée (83), le
Théâtre du Rocher de la Ville de la Garde (83) et le Centre
Culturel Charlie Chaplin de la Ville de Vaulx-en Velin (69).
musique
au palais
des congrès
Maxi Monster
Music Show
Cabaret rock & burlesque
Tarif
découverte
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Chant : Gina Trapézina est « la poupée barbue »
Contrebasse : Olga Nounouchka Bravinski
est « l’étoile du Bolchoï »
Guitare : Miss Gabrielle est « la femme guéridon »
Batterie : Raymond Butor est « l’homme fort »
Piano : Juanita Panama est « l’homme femme »
Guitare folk : Axel de la Rose est « l’ange noir »
Trompette : San Kardam est « le fakir insomniaque »
Un
cabaret
rock,
décalé
et
délicieusement rétro qui se joue en
acoustique, et jongle avec l’étrange et
l’insolite !
Dans la lignée du théâtre Grand Guignol ou
du cinéma de W.C. Fields, le Maxi Monster
raconte en musique et en humour la belle
histoire de la différence… de ceux qui ne sont
pas « comme nous ». Dans l’ambiance feutrée
d’une roulotte grinçante… ou peut-être dans
le compartiment d’un train fantôme, une
troupe de sept monstres tentant d’échapper
à leur triste condition de phénomènes de
foire, attend son heure de gloire…
Freaky et décalé… Un spectacle tout public.
« Un étrange music-hall.
Tandis que sous le chapiteau, les beaux acrobates, jongleurs et
dresseurs intrépides se produisent sous les feux de la rampe,
sept phénomènes prodigieux, reclus dans une baraque foraine,
sont exhibés à l’entracte par un méchant petit bonimenteur
qui incite la foule à venir les dévorer des yeux…
Se jouant de notre apparente normalité, ces étranges
créatures nous tendent un miroir où la perception que l’on a
de son prochain et de soi-même est changeante, à la manière
des glaces déformantes…
Une revue insolite et insolente pour tenter d’apprivoiser la
bête qui sommeille… en chacun de nous ! Et ça pourrait bien
vous faire dresser les cheveux sur la tête ! »
© Simon Procter
La Presse en parle
« Cette Famille Adams musicale a réussi le
pari de mélanger la chanson, le cabaret et le
rock à l’univers forain. »
France Inter
« Une plongée déjantée dans l’univers d’un
cabaret-rock peuplé de monstres mélomanes.
Provocateur, insolent et spectaculaire, mais
aussi poétique. »
Figaroscope
« Ouvrez grand vos yeux et vos oreilles
car cette troupe de saltimbanques moitié
gothiques moitié folkloriques risque fort de
vous en mettre plein la vue et les tympans ...
C’est un show maxi réussi et qui convient à
toute la famille ! »
Pariscope
Le Maxi Monster Music Show
page
47
théâtre
Timon d’Athènes
Shakespeare & slam
au palais
des congrès
De William Shakespeare,
Théâtre, Slam, Rap
Mise en scène : Razerka Ben Sadia-Lavant
Adaptation libre : Sophie Couronne, en
collaboration de Razerka Ben Sadia-Lavant
Avec : Denis Lavant, Marie Payen, Casey, D’ de
Kabal, Mike Ladd, Le musicien Doctor L.
Site : www.myspace.com/timondathenes
Mardi 25 janvier à 20h30
Tarif
Découverte
E
Durée 1h15
sans entracte
spectacle
tout public
Timon d’Athènes en un concert qui fait
claquer la langue de Shakespeare ! Les
noces de la pensée et du rythme pour ce
classique d’une grande actualité !
Une forme actualisée pour Timon d’Athènes
de William Shakespeare !
Comédiens, slameurs, rappeurs et musiciens,
mêlent leurs énergies dans cette interprétation
vivifiante.
© Kulturfabrik
La Presse en parle
« Le résultat est étonnant. A mille lieues
des facilités démagogiques qu’un tel
projet aurait pu générer… La parole
éclate et circule d’un artiste à l’autre.
Les interprètes, comme les membres
d’un sextuor, incarnent à tour de rôle les
différentes figures de la pièce, en dehors
de toute psychologie, adressant les mots
de façon colorée, concrète, musicale.
Tout cela donne naissance à une aventure
shakespearienne hardie et personnelle.
Une aventure de laquelle se dégage
quelque chose de joliment artisanal, de
profondément vivant. »
La Terrasse
page
48
Assailli par les dettes, Timon, un notable
athénien, se voit ruiné du jour au lendemain.
Il constate alors que les rangs de la cour qui
l’entouraient depuis des années, profitant
sans compter de ses largesses, se dispersent
subitement, jusqu’à totalement disparaître.
Aucun de ses anciens amis et débiteurs ne
viendra à son secours, chacun trouvant une
bonne raison pour l’abandonner à son revers
de fortune…
Authenticité et excellence artistique sont
de rigueur : Denis Lavant et Marie Payen,
partagent en effet la scène avec quatre
pointures du rap et du slam : Casey,
D’deKabal, Doctor L. et Mike Ladd ! Une
interprétation exceptionnelle !
page
49
© Kulturfabrik
musique
Mouron chante Brel,
quinze années d’amour
Salle Gounod
Jeudi 27 janvier à
14h30 & 20h30
Auteurs : Jacques Brel, Mouron
Mise en scène : Anne Tournie
Chant : Mouron
Piano : Terry Truck
Site : www.mouron.net
au forum
Tarif
découverte
E
Durée 1h20
sans entracte
spectacle
tout public
Le petit clown du Big Bazar ne chante
pas Brel : elle le vit. Bouleversant !
Après son triomphe dans de nombreux
théâtres et festivals en France, et après une
tournée retentissante en Europe et dans
le monde, Mouron prend pour un soir ses
quartiers à Fréjus pour rendre un vibrant
hommage à celui dont elle ne cesse de
questionner l’œuvre, son grand compagnon
d’âme : Jacques Brel.
© Bernard Palazon
Cet hommage à Brel s’est joué à guichet
fermé au Festival Off en Avignon en 2009.
La Presse en parle
« Dès que Mouron apparaît, clown triste
aux yeux chauds, dès que son chant pur et
puissant nous saisit, on sait qu’on n’oubliera
plus cette singulière soirée. »
Télérama
Mouron fait l’Olympia à 17 ans dans la troupe du Big Bazar
de Michel Fugain. Ensuite elle travaille avec Julien Clerc,
Marie-Paule Belle, Leo ferré et Alfredo Arias. Son premier
album vinyle est récompensé en 1988 par le Grand Prix de
l’Académie Charles Cros.
« Rien ne l’effraie, Mouron. Pas même de
chanter le gigantesque Brel, sans autre filet
qu’un piano... Elle nous accroche l’œil et
l’oreille avec son chant vibrant, franc, direct.
Quelle force ! (…) Cette petite bonne
femme se transforme sur scène en une
véritable bombe (…) une présence et une
puissance vocales remarquables. »
Télérama
page
50
danse
au forum
Salle Gounod
Flamenco se escribe
con jota
Danse et musique
Tarif
Prestige
E
Durée 1h15
sans entracte
spectacle
tout public
Danse et chorégraphie : Miguel Ángel Berna,
Úrsula López, Rafael Campallo
Musique : Cie Miguel Angel Berna et Jesus Torres
Distribution/ production : Arte y Movimiento
Producciones et Centro Aragonés de Danza
Lumières/son : A. Bonadei, E. Cruz, D. Marco
Site : www.artemovimiento.es
L’élégance, la grâce et le tempérament
pour un duo flamenco-jota et un combat
de trois stars : un prince de la jota, une
danseuse de Cordoue magnifiquement
terrienne et un pur sang sévillan, tout
en élégance et en autorité. Une danse
vibrante et sensuelle !
« Flamenco se escribe con jota » célèbre
le dialogue naturel entre deux formes
de danse traditionnelles, le flamenco et
la jota aragonaise, cette danse populaire
accompagnée de castagnettes.
Ce lien mystérieux et profond nous est révélé
par ce spectacle mené par le magistral et
virtuose danseur de jota Miguel Angel Berna.
La castagnette de Miguel telle une luciole
nerveuse provocante donne à entendre
une jota électrique aux rythmes vertigineux
qui transcende la jota folklorique et la rend
totalement contemporaine, futuriste même. Il
tisse ainsi une rencontre émouvante avec le
flamenco plus terrien de la danseuse Úrsula
López et du danseur Rafael Campallo, dont
le talent, la jeunesse et la beauté explosent
sur les sons mêlés de trois chanteurs et cinq
musiciens andalous et aragonais.
© Luc Riolon
La Presse en parle
« Miguel Angel Berna : le Paganini des
castagnettes. Sa rapidité est foudroyante, les
nuances et les sonorités douces. (…) Miguel
Ángel est en même temps un danseur d’une
vivacité extraordinaire et un chorégraphe
inspiré. »
Le Figaro
page
51
théâtre
Tartuffe
au forum
Salle Gounod
De Molière,
Compagnie Viva La Commedia
Mise en scène : Anthony Magnier, Cécile Mathieu
Décorateur/accessoiriste : Stefano Perroco
Costumes : Mélisa Leoni et Daniel Hédouin
Création lumières/son : Damien Gandolfo
Masques : Stefano Perroco
Avec : Lauriane Escaffre, Magali Genou, Julien
Jacob, Xavier Legat, Anthony Magnier, Sophie
Dufouleur, Loïc Renard
Site : www.vivalacommedia.com
Mardi 1er février
à 14h30 & 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Séance scolaire mardi 1er février à 14h30 - voir page 86.
Une satire engagée contre l’imposture
et la manipulation dont l’arme est le
rire ! Un plaisir à partager en famille.
Tartuffe ou comment un escroc utilise la naïveté
d’un père de famille pour le faire sombrer dans
l’intégrisme et le dépouiller de ses biens. Les
sectes et intégristes de tous bords devraient s’y
reconnaître. Gardons-nous d’eux !
© Anthony Magnier
La Presse en parle
« Le texte est très bien servi par une mise en
scène simple et efficace. « Faire du théâtre
de tout » disait Vitez. Antony Magnier et
Viva la Commedia font du théâtre avec tout.
Il leur suffit d’un voile et d’un masque pour
faire revivre un grand classique. »
Théâtrorama
Succès dès sa création à Paris, cette mise en
scène de Tartuffe rend hommage au génie
comique de Molière et revisite avec la joie et
l’énergie de la Commedia dell’arte ce grand
classique du théâtre français. Un Molière enlevé,
réinventé, pimenté, moderne, avec costumes
chatoyants, rebondissements, manigances et
vengeances… Tout est là pour faire de ce
Tartuffe une farce magnifique, mais oh combien
actuelle !
Les sept comédiens s’en donnent à cœur
joie sur un rythme endiablé. Explosifs et
talentueux, ils nous proposent ici un théâtre
vivant, accessible, tonique et hilarant.
Compagnie enracinée dans la Commedia dell’arte, Viva
La Commedia est basée en région parisienne. Troupe
permanente de vingt comédiens plus les techniciens, elle a
déjà produit plus d’une dizaine de spectacles.
page
52
jeune
public
au palais
des congrès
Louise/Les ours
Texte de Karin Serres,
Théâtre - Théâtre de la tête noire
Jeudi 3 février à 19h
Tarif
jeune public
E
Durée 1h20
sans entracte
spectacle à
partir de 7 ans
Séance scolaire jeudi 3 février à 14h30 - voir page 86.
Mise en scène : Patrice Douchet
Avec : Marjolaine Baronie, Laurent Fraunié,
Cécile Métrich
Collaboration artistique : D. Journet
Scénographie, costumes : Danièle Rozier
Lumières : Jonathan Douchet
Texte édité à L’école des loisirs
Le fantastique et l’étrange mettent
en scène la difficile transition entre
enfance et adolescence. Un humour
et une sensibilité à fleur de peau !
Louise Wing a onze ans et vit dans l’Alberta,
une province du Canada, avec son père et sa
grande sœur. Un jour, elle s’aperçoit qu’un
ours blanc transparent la suit et l’accompagne
jusque dans sa propre maison. Il deviendra
son confident...
Une jolie pièce qui célèbre l’imagination en
révélant un monde parallèle à celui des adultes,
« un pan du monde secret ». C’est aussi un
bel hommage aux relations familiales, qui sont
traitées avec humour et subtilité. La langue est
rythmée, pleine d’énergie, souvent poétique.
Karin Serres est décoratrice, costumière et metteuse en scène
pour le théâtre, elle dessine des affiches et des illustrations.
Parallèlement, cette auteure a écrit une quarantaine de
pièces, dont une partie à destination du jeune public. « Louise/
les ours », finaliste du Grand Prix de littérature dramatique
2007, est créée à Saran par Patrice Douchet en 2008.
© Dominique Journet Ramel
La Presse en parle
« Comme tous les enfants de son âge, Louise
vit avec angoisse le passage à l’âge adulte et
s’accroche à un imaginaire qui la rassure.
S’emparant du texte de Karin Serres, Patrice
Douchet signe une mise en scène poétique
et sophistiquée. Prenant. »
Télérama
« Patrice Douchet nous déroute parfois
en jouant avec nos émotions. Marjolaine
Baronie, Cécile Métrich et Laurent Fraunié
composent cette famille touchante qui,
entre situations drôles et dramatiques, essaie
malgré tout de rester unie. Coup de chapeau
pour les décors savamment imaginés (…).» Pariscope
Cette oeuvre a bénéficié de l’aide à la production et à la
diffusion du fonds SACD et de l’ADAMI.
page
53
théâtre
Vers toi Terre promise,
tragédie dentaire
au palais
des congrès
De Jean-Claude Grumberg,
Molière 2009 de l’auteur francophone
Prix du Syndicat de la Critique 2009
Mise en scène : Charles Tordjman
Avec : Philippe Fretun, Christine Murillo
(nommée aux Molières 2009, meilleure comédienne),
Clotilde Mollet, Antoine Mathieu.
Le texte est édité chez Actes Sud Papiers
Mardi 8 février à 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 1h40
sans entracte
spectacle
tout public
Dans un rire salvateur, proche du
comique de boulevard, Jean-Claude
Grumberg ausculte la souffrance
d’une famille juive. Noir et grinçant !
Que reste-t-il quand il n’y a plus rien ? Quand
on perd une dent, soit elle repousse, soit on
la remplace. Mais on ne remplace pas un être
cher lorsqu’il a disparu. On ne remplace pas
un pays par un autre quand on n’a plus de
patrie. Dans « Vers toi Terre promise », JeanClaude Grumberg s’interroge sur ce que
cela signifie d’être dépossédé de tout ce qui
constituait une vie.
© Christine Sibran
La Presse en parle
« Pourquoi ce spectacle ? Parce qu’on n’a
jamais autant ri au spectacle de la souffrance
et du désespoir d’autrui. Parce que le
fameux humour juif occupe pleinement sa
fonction, qui est de survivre en dépit de tout.
Mais encore... Parce que le dentiste Spodek,
sa femme et ses amis sont interprétés par
des comédiens exceptionnels. Et parce
qu’un spectacle doublement couronné d’un
Molière et d’un prestigieux prix du Syndicat
de la critique, ça ne se rate pas. »
L’Express
page
54
En 1942, Charles Spodek victime des lois
anti-juives doit abandonner son cabinet
de dentiste. Il le récupérera en 1945. Mais
entre temps une de ses filles a disparu
en déportation tandis que l’autre, placée
pendant la guerre dans un couvent, a choisi
d’entrer dans les ordres. Charles et Clara,
son épouse, ne la reverront plus. Pour
eux qui sont athées, la nouvelle est un
choc. Progressivement s’insinue en eux le
sentiment de ne plus avoir de pays. Et aussi,
sans grande conviction, le besoin de partir
ailleurs. En Israël ? Pourquoi pas.
Le dramaturge Jean-Claude Grumberg (trente pièces environ,
dont une fameuse trilogie sur cette époque) a été témoin,
enfant, de cette histoire, qu’il a gardée enfouie dans sa
mémoire comme le symbole ultime de l’impensable.
jeune
public
au Centre
Culturel
Né dans un piano
De Patrick Chamblas,
Mercredi 9 février à 15h
Théâtre musical
Tarif
jeune public
E
Durée 50mm
sans entracte
spectacle à
partir de 6 ans
Séances scolaires mardi 8 février à 9h30 et 14h30.
Voir page 86.
Piano : Patrick Chamblas
Contrebasse : Simon Drappier
Batterie, percussions : Sylvain Pignot
Un spectacle musical dans lequel se
répondent chansons et contes. Le
public, complice et conquis se laisse
emmener et sort heureux ! A voir en
famille dès 6 ans !
Pianiste, auteur-compositeur, Patrick Chamblas
nous invite à voyager dans l’univers de l’enfance
avec des textes et des musiques à l’écart des
modes. Le piano est le personnage central de
son univers.
C’est un conteur et un acteur qui séduit par
sa présence et le contact naturel qu’il a avec le
jeune public. Ses textes sont tendres et drôles.
Chaque chanson interprétée avec gourmandise
dégage une atmosphère particulière. La joie de
chanter et de jouer est communicative : elle
tisse un lien tout en douceur…
© Christophe Herbé
La
La Presse
Presse en
en parle
parle
« Ces trois excellents musiciens s’en
donnent à coeur joie. Ils semblent se
compléter et construisent à eux trois ce
conte étonnant. La nuit, le jour, les saisons,
l’orage ou la tête dans la lune sont prétextes
à la ritournelle, la sonate ou la fugue. Les
enfants qui ont eu la chance d’assister à ce
spectacle s’imprégneront à coup sûr de cet
univers. Plus tard, ils deviendront peut-être
musiciens, poètes ou rêveurs ! »
L’Echo
page
55
C’est pas pareil
jeune
public
au centre
forum
salle
culturel
cocteau
Un spectacle de Denis Fayollat et Ester Bichucher,
Théâtre d’objets - Cie Clandestine
Avec : Ester Bichucher
Création lumière : Jean-Luc Martinez
Conseiller artistique : Julien Asselin
Costumes : Sylvie Delalez
Site : www.clandestine.fr
Mercredi
Mercredi916février
févrieràà20h30
15h
Tarif
jeune public
E
Durée 50 mm
sans entracte
spectacle à
partir de 3 ans
Séances scolaires : jeudi 17 et vendredi 18 février à 9h30
et 14h30 - voir page 86.
Pareil ? Pas pareil ?
Comme dans une ritournelle, les petits
captivés se laissent emporter par le
jeu !
Cet autre spectacle de la Compagnie
Clandestine (voir « Multipli » page 20) aborde,
avec humour et poésie, les thèmes de
l’identité et de la différence, de l’individu et de
la société, de la norme, de la marge et de la
distinction parfois très subtile entre éducation
et formatage.
© Alain Le Breton
La Presse en parle
Archétype des danses de scène un ballet
« Une démonstration réussie et un spectacle
sait faire cohabiter les opposés : réalisme
bourré d’astuces visuelles qui nous laisse
et fiction, pantomime et abstraction, rituel
sous le charme de son apparente simplicité.
et transgression, performance et rêverie…
A mettre devant tous les yeux ! »
Il puise son potentiel empathique dans la
Vivantmag
capacité du mouvement dansé à stimuler
et transporter d’innombrables imaginaires
« Quand on a quatre ans ou presque, on
individuels simultanément. Le ballet est un
a beaucoup d’imagination, encore faut-il la
genre en soi, chargé de figures obligées, de
nourrir.
coutumes, de réflexes acquis.
Quand on a quatorze ans, comme la
et transporter d’innombrables imaginaires
compagnie Clandestine, on nourrit celle des
individuels simultanément. Le ballet est un
autres .»
genre en soi, chargé de figures obligées, de
Magazin Ventilo
coutumes, de réflexes acquis.
page
56
La Compagnie Clandestine retrouve dans
ce spectacle son matériau de prédilection, le
papier, en utilisant cette fois-ci les techniques du
« pop up » et du « kirigami » (papier découpé).
Apparitions, disparitions, transformations,
petites magies, surprises, mécanismes de
papier et personnages éphémères sont donc
conviés à la table de jeu...
Une production de La Compagnie Clandestin, spectacle
coproduit par :
- le Théâtre Durance / C.C.M.D. Château-Arnoux (04) Compagnie en résidence
- le Théâtre de Fos-sur-mer / Régie Culturelle Ouest Provence (13)
- le Théâtre du Rocher / Ville de La Garde (83)
La Compagnie Clandestine est subventionnée par la Direction
Régionale des Affaires Culturelles, le Conseil Régional PACA et
le Conseil Général des Alpes de Haute Provence.
Avec le soutien de l’Association d’Eveil Artistique des Jeunes
Publics - Maison du Théâtre pour Enfants d’Avignon (84),de
la MJC de Manosque (04) et du Centre de Développement
Culturel des Pennes-Mirabeau (13).
musique
au forum
Salle Gounod
Madame Mouchabeurre
Comédie musicale parodique. Paroles détournées : Michel Heim,
Vendredi 18 février à 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 2h
sans entracte
spectacle
tout public
Compagnie Les Caramels Fous
(nommés aux Molières 2006)
Chorégraphies : Nadine Féty
Direction musicale : Nicolas Kern
Mise en scène : Nadine Fety et Michel Heim
avec Jean Pierre Rouvellat et Hélène Hamon
Site : www.lescaramelsfous.com
Déjantée et décalée, une parodie
bigoudène de Madame Butterfly !
Inclassable et totalement irrésistible !
L’opéra célèbre et désespéré de Puccini
succède au bruit des vagues et des mouettes,
nous ne sommes pas au Japon mais à Plou
Her Meur, en terre bigoudène. Parodie
de « Madame Butterfly », « Madame
Mouchabeurre » n’a de commun avec l’opéra
que son titre et son début : une jeune femme
séduite par un américain du nom de Pinkerton
renonce pour lui aux conventions sociales.
Au milieu de la Bretagne bretonnante, cette
tragique histoire d’honneur perdu et d’amour
blessé cède la place à une comédie musicale
excentrique, désopilante et décalée. Un
moment de folie orchestré et interprété par
les Caramels Fous sous la houlette de Nadine
Fety et Michel Heim.
Mélangeant tous les genres, la compagnie
sillonne le répertoire de la variété, de Trenet
à Gainsbourg en passant par les standards
internationaux, tout en lorgnant un peu sur
la musique classique, cela sans oublier un clin
d’œil au folklore breton.
La troupe ne se prend jamais au sérieux, talent rare affublé
d’un humour savoureux qui lui permet de mener sa barque
parodique avec brio. Un talent qui lui a valu une nomination
aux Molières en 2006.
© Annemiek Veldman
La Presse en parle
« A Paris, les inconditionnels des « Caramels
fous » se comptent sans doute par milliers.
Mais tout porte à penser qu’ils seront
dix, vingt, cent fois plus nombreux à la
suite des représentations de « Madame
Mouchabeurre », comédie musicale follement
délirante, transposition irrésistible de
« Madame Butterfly ». Une transposition
due au talent ravageur de Michel Heim,
assisté de ses remarquables comparses,
Nadine Féty, pour la chorégraphie, Nicolas
Kern, pour l’adaptation et la direction
musicales. »
Paris Obs
page
57
théâtre
Les 39 marches
au palais
des congrès
Molière 2010 de la pièce comique,
Mise en scène Eric Métayer
(nommé aux Molières 2010)
D’après Alfred Hitchcock,
Adaptation : Gérald Sibleyras (Molière 2010)
Avec : Eric Métayer, Andréa Bescond (nommée
aux Molières 2010, révélation théâtrale féminine),
Christophe Laubion, Jean-Philippe Bêche
Site : www.atelier-theatre-actuel.com
Samedi 26 février à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 1h50
sans entracte
spectacle
tout public
On rit, on tremble, on sent le vent
par la fenêtre ouverte, on est pris
dans la brume, on voit le marécage, le
torrent... Tout l’univers d’Hitchcock
est là... pour frissonner en famille !
© Laurencine Lot
La Presse en parle
« Ils ne sont que quatre comédiens (…) à
incarner cette histoire d’espions échevelée
entre Angleterre et Ecosse, femmes fatales
et politiciens dangereux. Mené tambour
battant par Eric Métayer, avec pour seule
ambition la virtuosité scénique, ce spectacle
là est une jubilatoire démonstration de la
magie théâtrale… »
Télérama
« Un mélange détonant, et étonnant, de
suspens, d’action et de burlesque… »
Paris-première
page
58
Les quatre acteurs de ce thriller délirant
donnent vie avec un talent fou à plus de
150 personnages, dans une mise en scène
aux détails subtils, confectionnés à base
de peluches, sacs en plastique, couvrechefs représentatifs, pistolets pétaradants,
ombres chinoises et déguisements décalés.
Au fil de leurs péripéties, on découvre mille
autres tours de passe-passe qui fabriquent
une infinité d’univers fantasmés, de décors
bricolés.
On rit, on s’émerveille et on retient son souffle
face aux rebondissements rocambolesques
et aux trouvailles scéniques de cette intrigue
policière réjouissante !
On ne présente plus Hitchcock (1899- 1980) le maître du
suspense au cinéma ! Ses thrillers se caractérisent le plus
souvent par une habile combinaison entre tension et humour.
Ses thèmes récurrents sont la peur, la culpabilité et la perte
d’identité. On rencontre aussi fréquemment dans ses œuvres,
avec certaines variations le thème de l’innocent persécuté.
jeune
public
au forum
salle gounod
Peter Pan
ou le petit garçon qui haïssait les mères
D’après James Matthew Barrie,
Mercredi 2 mars à 15h
Tarif
jeune public
E
Durée 1h
sans entracte
spectacle à
partir de 8 ans
Théâtre - Compagnie Vol Plané
Mise en scène : Alexis Moati
Adaptation : Andrew Birkin
Avec : Fanny Avram, Léna Chambouleyron,
Carole Costantini, Pierre Laneyrie, Chloé
Martinon, Charles-Éric Petit
Envolons-nous avec Clochette et
retrouvons tout ce que l’imaginaire
enfantin peut créer pour se rassurer
et se faire peur ! Les clichés sont évités
et l’effronterie la bienvenue !
Peter Pan, petit garçon étrange, vient écouter,
tapi derrière la fenêtre de la chambre des
enfants Darling, les histoires que Wendy
imagine pour ses frères. Il profite de l’absence
des parents pour pénétrer dans la chambre,
se vante et leur parle de l’endroit où il
vit : le pays du Jamais-Jamais, dont il est le
capitaine et où le temps est suspendu. Avec
l’aide de sa petite fée personnelle Tinkerbell,
ils s’envolent vers ce lieu magique peuplé
des enfants perdus, de pirates, d’indiens, de
sirènes, de fées, et où les attend le fameux
capitaine Crochet…
« Six acteurs pour plus de 25 personnages. La question est :
y aura-t-il assez de personnages pour satisfaire nos appétits
d’acteurs-enfants ? Les parents pourraient devenir des
pirates. John et Michael des enfants perdus. À moins qu’ils
ne choisissent d’être des Indiens…Dans ce pays où le temps
n’existe plus, c’est un peu comme dans les rêves… L’écriture
scénique cherchera à restituer l’insolence de l’oeuvre originale,
à débrider l’imaginaire du spectateur sans imposer le nôtre. »
© A Mellon
Note de l’auteur
« « Peter Pan ou le garçon qui ne voulait pas
grandir » est une pièce pour enfants et pour
ceux qui autrefois l’ont été. Tout au long de
notre enfance, nous prétendons tous les jours
être des pirates ou des peaux-rouges ou
des mamans et toutes les nuits nous rêvons
encore de ces mêmes rôles. Mais il y a surtout
une étrange et magique demi-heure, entre le
jour et la nuit, entre la veille et le sommeil,
quand l’enfant, les yeux grands ouverts dans
son lit, voit le jeu et le rêve se fondre en un,
un monde de l’imagination devenu réalité.
C’est cette demi-heure que la pièce tente de
recréer. »
James Matthew Barrie
Alexis Moati
page
59
jeune
public
au palais
La Gigantea
des congrès
Compagnie Les 3 clés,
Mardi 8 mars à 19h
Théâtre / Marionnettes
Conception/mise en scène : Eros Galvão,
Alejandro Nunez
Avec : Eros Galvão, Alejandro Nunez, Sigfrido
Rivera, Lenuta Roman
Tarif
jeune public
E
Durée 1h
sans entracte
spectacle à
partir de 9 ans
Séance scolaire mardi 8 mars à 14h30 - voir page 86.
Un conte fantastique et visuel qui
raconte l’Afrique d’aujourd’hui. Une
esthétique qui ne masque ni la dureté
du sujet ni la tendresse et l’humour !
Un enfant, sa mère, l’eau, le désert, une plante
magique, un peuple en guerre... Un conte
fantastique sans parole, où marionnettes,
jeux aériens, danse et musique nous offrent
un voyage original dans le monde insolite
d’un enfant-soldat. Fidèle à son univers d’une
inventivité si particulière, la compagnie Les
Trois Clés ne tardera pas à nous émouvoir et
à nous faire rire.
La Presse en parle
« Nous ne sommes pas branché sur Envoyé
Spécial ou dans l’un de ses lointains pays à
la dérive, mais bien au théâtre. Du théâtre
vivant, du théâtre total et surtout du théâtre
pour tous mélant tous les genres de la
scène, du cirque à la musique en passant par
de la danse et de formidables marionnettes
à tête de calebasse.
La Gigantea c’est un scénario (…) dans une
langue imaginaire dont on devine aisément
le sens. Une langue imaginaire pour des pays
qui ne le sont, hélas, pas. »
La Provence
page
60
Dans un pays imaginaire, Makou et sa mère
vivent sur des terres désertiques. Chaque
jour, ils partent à la recherche d’un point
d’eau pour survivre. Un tyran capture Makou.
Enrôlé de force, il devient enfant-soldat. Sa
vie alors se partage entre rites de survie et
souffrance. Mais un rêve poursuit Makou :
retrouver sa mère et s’agripper aux branches
salvatrices de la Gigantea…
Les Trois Clés : une troupe d’artistes à la fois comédiens,
acrobates, danseurs, marionnettistes à la recherche d’un
équilibre entre l’interrogation sur le monde d’aujourd’hui et
l’effervescence de nouvelles formes artistiques.
théâtre
au forum
Salle Gounod
L’amante anglaise
De Marguerite Duras,
Compagnie Cavalcade
Jeudi 10 mars à 20h30
Tarif
découverte
E
Durée 1h10
sans entracte
spectacle
tout public
Mise en scène : Sylvia Bruyant
Direction d’acteurs : Bruno Dairou
Avec : Sylvia Bruyant, Brice Notin, Pascal Bertonneau
Scénographie : Nicolas Lemaître
Lumières : Marc Cixous et Alexandre Ursini
Costumes : Sylvie Jeulin
Site : www.troupe-cavalcade.net
Au cœur d’une énigme policière,
un spectacle au mystère opaque et
la prestation convaincante d’une
comédienne fascinante.
Un grand Duras !
A partir de la réalité glaçante d’un fait
divers criminel datant de 1949, Marguerite
Duras trace le portrait d’une femme, qui
bridée toute sa vie, est dans l’impossibilité
d’exprimer sa sensibilité. L’émotion du texte
fait de non-dits, de silences lourds de sens,
est admirablement servie par Sylvia Bruyant
et Brice Notin.
« L’interrogateur » rencontre Claire Lannes,
emprisonnée pour le meurtre de sa cousine
Marie-Thérèse Bousquet, sourde et muette.
Tout au long de son interrogatoire, il tentera
d’expliquer ce geste, de comprendre, de
questionner l’obscurité de Claire. Au fil des
mots et des questions qui ne sont jamais
les bonnes, tous deux se rencontrent,
s’apprivoisent et se cherchent…
Marguerite Duras, écrivain français (1914-1996), est née
en Indochine. Son œuvre se distingue par sa diversité, sa
modernité et son abondance. En 1984, elle obtient le prix
Goncourt pour « l’Amant » qui sera adapté au cinéma par
Jean-Jacques Annaud. Ce roman est un succès mondial qui fait
d’elle l’un des écrivains les plus lus.
© Olivier Gendrin
« Le théâtre de « L’amante anglaise »,
comme le roman d’ailleurs, se divise en
deux interrogatoires. Dans une première
partie, celui de Pierre Lannes, dans une
deuxième partie celui de Claire Lannes.
Nous avons décidé de donner à voir celui
de Claire Lannes. L’interrogatoire de Pierre
Lannes reste omniprésent. Si nous avons fait
le choix de ne pas le montrer, nous tenions
à le faire entendre. La voix de Pierre Lannes
se fera l’écho des réflexions de Claire, de
celles de l’interrogateur, comblera le silence
pesant des questions sans réponse. »
Sylvia Bruyant
Créée en 1999 en région parisienne, la compagnie Cavalcade
est soutenue par le Conseil Général du Val d’Oise.
page
61
théâtre
Tatouage
au palais
des congrès
D’Alfredo Arias, nommé aux Molières 2010,
théâtre musical
Texte et mise en scène : Alfredo Arias
Avec : Carlos Casella, Alfredo Arias, Sandra
Guida, Alejandra Radano, Pablo Veron
Traduction : René de Ceccatty
Arragements : Diego Vila
Costumes : Pablo Ramirez
Mardi 15 mars à 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 1h20
sans entracte
spectacle
tout public
« Un génial sorcier ! Et un poète :
d’un grimage de clown il fait une
tragédie, d’un chiffon une féerie,
d’un rythme une cérémonie. Le tout
servi par des chansons magnifiques et
des interprètes d’exception ! »
Philippe Tesson, Le Figaro
© Pacôme Poirier
La Presse en parle
« On craque pour cet insolent et
mélancolique « Tatouage ». »
Le Nouvel Observateur
« Spectacle diablement épicé que celui
conçu par Alfredo Arias, « Tatouage »...
Maquillages façon cirque, Fellini ou Murnau,
costumes délirants d’excès et de fantaisie :
Arias et ses acteurs-chanteurs débridés
lorgnent à la fois sur l’esthétique cabaret,
la stylisation sud-américaine et le grand
rituel nô. Cet éclectisme se moquant
des tabous politiques ou sexuels avec une
liberté tout en clins d’œil complices, est
mené avec une enchanteresse maestria. »
Télérama
page
62
A cette poésie « Tatouage » ajoute un
formidable défi à l’oppression ! Dans cette
joyeuse et mélancolique revue, qui tient du
music-hall, Arias fait revivre et se rejoindre
deux destins historiques, excentriques et
tragiques : celui du grand chanteur espagnol
homosexuel Miguel de Molina (1908-1993)
qui fut la cible des franquistes avant de se
réfugier en Argentine, et celui d’Eva Perón
figure historique très controversée ! C’est
cette complicité dans la marginalité et la
damnation que nous montre Arias qui, par
des artifices esthétiques d’une extravagante
théâtralité, crée entre les deux personnages
des effets miroirs savoureux. La danse, la
musique et le chant leur ajoutent un parfum
étourdissant.
Alfredo Arias, c’est le trublion de la scène française, Peter
Pan et la Fée Clochette qui auraient fait leur paradis dans la
bibliothèque de Borgès et en auraient lu tous les livres. Alfredo
Arias est un elfe léger et un clown bien triste, un enchanteur qui
lutte contre la cruauté du monde en inventant de vertigineux
univers dont les étoiles sont des paillettes de music-hall !
page
63
© Pacôme Poirier
La loba,
Gardienne des mémoires
jeune
public
au forum
[création]
salle gounod
Par Aurélie Morin,
Théâtre - Compagnie Théâtre de nuit
Direction artistique : Aurélie Morin
Scénographie : Elise Vigneron, Elise Gascoin
Interprétation : Chloé Attou
Lumières/son : Aurélien Beylier, David Morin
Construction : Messaoud Fehrat
Site : www.letheatredenuit.org
Mercred1 16 mars à 15h
Tarif
jeune public
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle à
partir de 5 ans
Séances scolaires jeudi 17 mars à 9h30 et 14h30.
Voir page 86.
Entrons à nouveau avec plaisir dans
l’univers toujours si sensible d’Aurélie
Morin. Chaque fois c’est un vrai délice !
Après « Petites Migrations », « Perpetuum
Mobile » et « Mystoires », le Théâtre de
Nuit travaille aujourd’hui sur une nouvelle
création intitulée « La Loba, Gardienne des
mémoires ».
© Emile Zeizig
« Nous croyons savoir quelque chose des
choses elles-mêmes quand nous parlons
d’arbres, de couleurs, de neige, et de
fleurs, et nous ne possédons cependant
rien que des métaphores des choses, qui
ne correspondent pas du tout aux entités
originelles ».
Nietzsche
page
64
Cette quatrième pièce d’ombres et de figures
dansées est un essai d’interprétation
des archétypes de la « femme sauvage ».
« La Loba » signifie la louve ; dans cette
nouvelle histoire, Aurélie Morin parle d’une
thématique précise : celle de la transmission
des savoirs ancestraux d’une génération à
l’autre.
Aurélie Morin, fondatrice de la compagnie, poursuit sa
recherche sur les « espaces sensibles et intimes» et sur les
symboles présents dans les mythes, dans les contes, dans les
histoires porteuses de réalités cachées, car seules les histoires
peuvent nous montrer que les choses ne sont pas telles
qu’elles nous apparaissent.
théâtre
au forum
Salle Gounod
Jules et Marcel
D’après les correspondances entre Pagnol et Raimu,
Mardi 22 mars à 20h30
Philippe Caubère et Michel Galabru
Tarif
Prestige
E
Durée 1h10
sans entracte
spectacle
tout public
Adaptation : Pierre Tre-Hardy
Mise en scène : Jean Pierre Bernard
Site : www.plegros.com
Un spectacle simple et rare. Sous l’œil
attendri de son complice Philippe
Caubère, Michel Galabru, simple et
naturel, cartonne ! Bonne mère, quel
spectacle !
« Mon cher Jules, il faut que tu sois bougrement
fâché avec moi pour ne pas répondre à une
lettre injurieuse qui n’avait d’autre but que de
commencer une dispute… ».
Marcel Pagnol
Ces correspondances entre Raimu (Michel
Galabru) et Marcel Pagnol (Philippe Caubère)
tissent ainsi la toile de leur éternelle amitié,
mêlée de mauvaise foi truculente, de fâcheries
épiques, d’admiration réciproque, de pudeur,
d’humour, de souvenirs, de secrets… et de
savoureuses envolées, drôles, fraîches et vives
comme l’eau des sources de leur Provence.
Une amitié profonde et féroce qui les a unis
dès leur première rencontre, jusqu’à la mort
prématurée de Jules : « Que Jules ne soit plus là,
cela me fait de la peine. Non seulement parce
que je l’aimais, mais parce que je n’arrêtais pas
de me fâcher avec lui. Quand un sudiste se
fâche avec un autre sudiste, c’est une preuve
d’estime… ».
© Michèle Laurent
La Presse en parle
« L’association de ces deux noms sur une
affiche de théâtre met le cœur en joie, tant
elle semblait improbable. Si en plus vous
y ajoutez Raimu et Pagnol, votre esprit
s’émoustille. Ce n’est plus une galéjade mais
un projet plein de soleil. »
Pariscope
« (…) Michel Galabru a la gouaille idéale
pour servir l’illustre comédien. A ses cotés,
Philippe Caubère (…) s’épanouit en lui
donnant une réplique qui fleure bon l’accent
du midi. »
Le Figaro
page
65
théâtre
L’écume des jours
au palais
des congrès
De Boris Vian,
Mise en scène Béatrice de La Boulaye
Avec : Romain Vissol, Florencia Cano Lanza,
Hubert Delattre, Manon Jomain, Nicolas Guillot,
Cindy Doutres et Pierre Gascoin
Dramaturgie : Judith Davis, lauréate du prix CNT
2008 pour l’adaptation de « L’Ecume des Jours »
Vendredi 25 mars à 20h30
Tarif
découverte
E
Durée 1h20
sans entracte
spectacle
tout public
Une plongée dans l’univers décalé
de « L’Écume des jours » ! Un feu
d’artifice d’images et une mise
en scène qui swingue sur des mots
raffraîchissants !
Une mise en scène moderne et colorée
comme des bonbons anglais, un décor
construit de cubes de couleurs envahis
progressivement par de grosses bulles d’air,
des costumes zazous excentriques, une
partition jazzy interprétée à vue par un
musicien-bruiteur et une troupe d’acteurs
pétulants nous entraînent à la frontière des
univers du théâtre, du jazz et du dessin animé.
© LaBouée
La Presse en parle
« En adaptant « L’écume des jours »,
l’indomptable, Béatrice de la Boulaye a
réalisé un rêve et réussi son coup. C’est
un pied de nez multicolore à la mort et à
la crise. »
L’Express
« Une adaptation pétillante du roman-jazz
de l’écrivain… Le jeu des comédiens est
d’une singulière fraîcheur : on a l’impression
d’entendre battre leur cœur au rythme des
mots de Vian. »
Les Echos
page
66
Dans la langue d’aujourd’hui, ce texte
intemporel parle du difficile passage à la vie
d’adulte.
C’est l’histoire de Colin, qui veut tomber
amoureux et de son ami Chick. Colin
rencontre et épouse Chloé. Mais Chloé
tombe malade : un nénuphar pousse dans son
poumon…
Boris Vian (1920-1959) est un écrivain français, poète,
parolier, chanteur, critique et musicien de jazz (trompettiste).
Parmi son œuvre immense « L’écume des jours » est le roman
le plus mythique. Le célèbre bricoleur de mots de la langue
française dit de son œuvre : « Cette histoire est entièrement
vraie, puisque je l’ai imaginée d’un bout à l’autre. »
musique
au forum
Salle Gounod
Le barbier de séville
[création]
De Gioacchino Rossini,
Dimanche 27 mars à 17h
Tarif
Prestige
E
Durée 3h
2 entractes
spectacle
tout public
Opéra bouffe
Direction musicale : Antonio Cipriani
Mise en scène : Antoine Selva
Avec : Alessandro Luciano, Mariana Panova,
Sergio Bologna, Guy Bonfiglio
Inspiré de la comédie de Beaumarchais,
Le Barbier de Séville est l’opéra le plus
populaire de Rossini, composé en 1816.
Il met en scène Figaro, barbier de son état,
qui aide le Comte Almaviva à gagner le cœur
de la belle Rosine, également convoitée par le
Docteur Bartolo. Armé d’un charme et d’une
ingéniosité sans pareil, Figaro déclenche un
enchaînement de supercheries, quiproquos et
confusions.
Il s’agit là sans conteste de la meilleure
œuvre de Rossini : désopilante et pleine de
rebondissements. Un contrepoint de finesse
et une succession d’airs connus de tous.
C’est dans les huis clos des interdits, dans les
cocons de l’enfance, dans l’enfermement des
désirs nouveaux que tout se noue.
La maison de Bartolo, c’est l’image de l’Ancien
Régime. Almaviva, l’image de la jeunesse riche
et insouciante qui, sans le savoir, sème par
ses actes les graines des évolutions et des
révolutions. Figaro, l’image du personnage
mutin, servile, roublard. Un Figaro de farce
qui va se construire, se structurer, évoluer,
penser et se mettre en route vers le bonheur.
© Ramfisproduction
« Il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un opéra
bouffe, le chef d’oeuvre du genre, auquel il
faut garder la légèreté et la virtuosité de la
commedia dell’arte, le caractère buffo et la
joie de vivre.
La musique de Rossini est là pour servir
de guide : elle donne toutes les indications
de tempo et de rythme, elle indique le
caractère que doit avoir la mise en scène
qui doit coller pas à pas avec elle, sans
pléonasme. »
Antoine Selva
page
67
théâtre
Tout est normal
mon coeur scintille
au palais
des congrès
De Jacques Gamblin,
Avec Jacques Gamblin
Danseurs : Audrey Aubert, Bastien Lefèvre
Collaboration artistique : Anne Bourgeois
Assistant mise en scène : Domitille Bioret
Chorégraphie : Catherine Gamblin-Lefèvre
Scénographie : Alain Burkarth
Lumières/son : L. Béal et G. Beller
Mercredi 30 mars à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Recevoir Jacques Gamblin est toujours
un moment délicieux. Poète, jongleur
de mots un peu lunaire, il occupe
une place particulière dans le cœur
du public… Et quand sur scène, tout
proche, sur le ton de la confidence, il
nous raconte ses histoires, c’est un peu
comme si nous étions chez lui… Exquis !
© Elisabeth Carecchio
La Presse en parle
« Il est zinzin, Gamblin ! Il a la tête dans
les étoiles. Il nous offre un spectacle
extrêmement travaillé. Comédien très aimé
du cinéma, il ne peut vivre sans ces moments
très particuliers, exercices de haute
précision qui ont des légèretés de plume
mais sont lourds de secrets non résolus,
de paroles tues, de blessures. Il raconte, il
invente, il s’adresse à la salle, il rencontre
une girafe, un éléphant, il fait la musaraigne…
Très drôle et tout à fait bouleversant... »
Le Figaro
page
68
Il avait un doute, un doute cardiaque. En
rendez-vous pour la scintigraphie, on lui
donna à boire un liquide radioactif. Quelques
heures plus tard, il vit son cœur sur un écran.
Il faisait des étoiles. Au début, ça l’inquiéta.
Mais le médecin le rassura : « Tout est normal,
votre cœur scintille, c’est bien ! ». Dehors, il
marchait au milieu des foules, avec son secret.
Il parlait tout seul, il était tout seul. Il était
radioactif et il racontait des histoires…
Dans « Tout est normal, mon cœur scintille », le
personnage qu’a créé Jacques Gamblin plonge
dans les abysses de la relation à celle qui n’est
plus là. Et quand les mots ne suffisent plus,
quand le personnage n’en peut plus d’autant
ressentir, ce sont les corps qui dansent et
visitent le mystère de nos battements de
cœur...
page
69
© Elisabeth Carecchio
théâtre
Vienne 1913
au forum
Salle Gounod
D’Alain Didier-Weill,
Mise en scène Jean-Luc Paliès
Avec : Miguel-Ange Sarmiento, Philippe
Beheydt, Jean-Luc Paliès, Bagheera Poulin
Régie générale : Alain Clément
Lumières : Jean-François Saliéri
Création plastique/lustre : Odile O
Costumes : Emmanuelle Ballon / Sylvie Berthou
Site : www.influenscenes.com
Texte publié aux Editions des Crépuscules
Samedi 2 avril à 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 1h40
sans entracte
spectacle
tout public
Plus qu’à une représentation théâtrale,
c’est à une cérémonie que nous sommes
conviés. Une cérémonie vénéneuse
que les évènements transformeront
en tragédie ! Un autre regard sur
l’Histoire où destin individuel et
histoire collective se croisent !
© Emile Zeizig
La Presse en parle
« Le récit est servi par une mise en
scène étonnante avec un orchestre
d’acteurs, deux chanteuses lyriques et
un musicien jouant sur des verres de
cristal, se métamorphosant en chacun des
personnages de l’histoire. Et l’on découvre
comment Adolf va sombrer peu à peu
dans la paranoïa. Un magnifique spectacle
riche d’une interprétation magistrale,
notamment le rôle ardu d’Hitler à 20
ans incarné par Miguel-Ange Sarmiento.
Troublant… »
Le Parisien
page
70
A Vienne, l’âge d’or de l’empire austrohongrois tire sa révérence dans une débauche
de fastes et de raffinements tandis que
pointe le vingtième siècle et sa modernité
farouche. Pendant que l’intelligentsia découvre
timidement les théories audacieuses de
Sigmund Freud, un jeune homme pauvre survit
misérablement dans un asile. Ce garçon, qui
vient de fêter ses vingt ans, rencontre Hugo,
un jeune homme brillant, beau, héritier de la
célèbre aristocratie viennoise, mais antisémite,
qui, par bravade, va consulter Freud.
Parallèlement et ensemble, les deux jeunes
gens se confrontent au tumulte social, culturel
et intellectuel de la société viennoise. Ils se
forgent quelques idéaux définitifs. Le jeune
homme pauvre s’appelle Adolf... Adolf Hitler.
Et nous pensons d’un bout à l’autre de la pièce
à la suite de l’histoire…
théâtre
au palais
des congrès
Dandin/requiem
[création]
Jeudi 7 avril à 20h30
Tarif
découverte
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Séance scolaire à 14h30 - voir page 86.
Compagnie Le Cabinet de curiosités
Mise en scène : Guillaume Cantillon
Scénographie/costumes : Frédéric Rebuffat
Lumières : Jean-Louis Barletta
Avec : Fanny Avram, Stéphane Bault, Julien
Bonnet, Jean-Robert Lombard, Franck Magis,
Valérie Marinese et Laetitia Vitteau
Une adaptation de Dandin absolument
originale et lumineuse ! Attention,
chef d’œuvre !
On connaît tous l’histoire de Georges Dandin
ce riche paysan qui convoite un titre de
noblesse. Pour l’obtenir il épouse Angélique,
jeune fille d’une noblesse ruinée qui lui est
« vendue » par ses parents. Hélas le mariage
ne suffit pas pour changer de classe sociale !
Guillaume Cantillon nous invite aux
funérailles de Dandin. Comme le dit Molière :
« Lorsqu’on a épousé une méchante femme,
le meilleur parti qu’on puisse prendre c’est
de s’aller jeter dans l’eau la tête la première ».
Opérant une véritable dissection du texte, en
gardant fidèlement les éléments structurants
du récit, de flash-back en didascalies,
Guillaume Cantillon nous restitue une lecture
terriblement efficace de la pièce. Sa mise en
scène très contemporaine et audacieuse met
en avant la modernité du propos.
La justesse du jeu des acteurs, tous excellents,
la qualité de la bande sonore au service d’une
mise en scène inventive font de ce classique
un véritable moment de grand théâtre !
© Nathalie Thomas
« Ouvrir le crâne de George Dandin et en
laisser échapper ses démons. Mélanger ce qu’il
voit, entend, vit et ce qu’il croit voir, entendre
et vivre. Faire de scènes totalement ancrées
dans le réel, des moments où sous les yeux de
Dandin les fantasmes se réalisent, où la logique
s’échappe, où les autres personnages changent
de personnalité et où l’espace se transforme.
Je ne veux surtout pas gommer la comédie
mais trouver l’équilibre avec la cruauté et
la violence, pousser parfois les situations à
leur paroxysme, ne pas craindre l’excès, et le
contrebalancer par la détresse et l’extrême
fragilité de George Dandin. »
Guillaume Cantillon
Rencontre avec G. Cantillon, metteur en scène.
page
71
danse
Oliver twist
au forum
salle gounod
D’après Charles Dickens,
Danse, Chorégraphie Josette Baïz
Interprètes : Groupe Grenade : Anaële
Mazzieri-Sarkissian, Anna Kovaleff, Anna Suraniti,
Auguste Nganta, Blanche Dekerguenec, Camice
Bernharbit, Camille Cortez, Charlotte Micheletti,
Faye Spence, Jeanne Pegourie, Lisa Bournelle,
Mickaël Palmieri, Samuel Maarek, Samantha
Manouellian, Sarah Mugglebee, Thalie Micaleff
Dimanche 10 avril à 17h
Tarif
jeune public
E
Durée 1h
sans entracte
spectacle à
partir de 7 ans
Séance scolaire lundi 11 avril à 14h30 - voir page 86.
C’est avec une énergie incroyable, une
technique parfaite et une jubilation à
danser communicative que ces seize
tout jeunes danseurs, entre huit et
quatorze ans, s’emparent de la fable de
Dickens ! Un vrai moment de plaisir à
partager en famille !
© Léo Ballani
La Presse en parle
« A Aix, on est pro très tôt. Dans « Oliver
Twist », les plus jeunes, formés par Josette
Baïz n’ont que sept ans, les plus grands
quatorze. Mais tous jubilent à incarner
leur personnage, le jouent et dansent
de manière organique. Sans oublier la
précision de l’ensemble, comme en n’en
trouve que rarement chez les adultes. Allez
savoir comment ils font! Leur énergie a fait
vibrer l’immense salle du Grand Théâtre de
Provence. Les filles s’offrent une gestuelle
puissante et féminine à la fois, Oliver Twist
étincèle. Baïz capte et distille les motifs clés
du roman de Dickens. (...) A volonté ! »
Danser
page
72
Oliver Twist, le célèbre héros du romancier
Charles Dickens est porté à la scène par les
jeunes danseurs de Josette Baïz. Ils recréent
l’itinéraire de ce môme dont la vie est
jalonnée de petits bonheurs, de drames et de
grandes souffrances. Cette fable du 19ème
siècle, universelle et toujours actuelle, touche
le cœur des spectateurs d’aujourd’hui grâce
au regard, à l’énergie exceptionnelle de la
chorégraphe, et à la précision rare des jeunes
danseurs. Une fable admirablement adaptée à
découvrir ou redécouvrir.
Josette Baïz et le Groupe Grenade : tout a commencé en
1989. Josette Baïz se voit proposer une résidence d’une
année dans les écoles des quartiers nord de Marseille et
d’Aix-en-Provence. La force de la rencontre avec des jeunes
d’origines et de cultures différentes la conduit à repenser le
sens de son travail. Elle centre alors sa démarche artistique
sur le métissage et la transmission. En 1992, elle crée le
Groupe Grenade et en 1998, la compagnie professionnelle.
Depuis, son travail essentiel ne cesse de donner le goût de la
danse au public et aux enfants.
théâtre
au palais
des congrès
A mon âge, je me cache
encore pour fumer
Mardi 12 avril à 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 1h50
sans entracte
spectacle
tout public
De Rayhana - Compagnie Orten
Mise en scène : Fabian Chappuis
Avec : Marie Augereau, Géraldine Azouélos,
Paula Brunet Sancho, Linda Chaïb, Rébecca
Finet, Catherine Giron, Maria Laborit, Taïdir
Ouazine et Rayhana
Site : www.idproduction.org
La résistance des femmes dans un
portrait sans concession de l’Algérie
contemporaine. Une ode à la liberté,
salutaire, optimiste et lumineuse !
Des rires, neuf paroles, le sifflement d’une
balle et le silence de Dieu…
Une tragi-comédie qui rassemble neuf femmes
d’âges et de conditions différentes dans un
hammam à Alger, à la fin des années noires.
Dans l’intimité de cet espace protégé de
l’extérieur, les regards et les points de vue se
croisent, dans le dévoilement violent, ironique,
drôle et grave des silences refoulés de femmes
qui se sont tues trop longtemps. Peu à peu se
révèlent leurs destins particuliers, à travers
des histoires qui ont marqué et modelé leur
chair, dévoilant progressivement la violence
politique, sociale et sexuelle d’une Algérie en
proie à la corruption et à la misère.
Née à Bab el Oued, le quartier le plus populaire d’Alger,
Rayhana a quitté son Algérie natale et a adopté la France, où
elle habite depuis plusieurs années. Elle joue dans divers films
pour le cinéma et la télévision puis met en scène plusieurs
de ses pièces.
© Bastien Capela
La Presse en parle
« Création âpre, réaliste, presque
documentaire, « A mon âge, je me cache
encore pour fumer » n’est néanmoins
exempte ni d’humour ni d’une forme
de tendresse. La tendresse pour cette
féminité si durement éprouvée, qui sait se
forer un chemin vers la vie, et pour cette
terre d’Algérie, qui forge des personnalités
si fortes. »
Les Trois Coups
Rencontre avec Rayhana, auteure et interprète.
page
73
Tosca
De Giacomo Puccini,
musique
au forum
Salle Gounod
[création]
Opéra
Livret de Giuseppe Giacosa et Luigi Illica
Direction musicale : Martin Mazik
Direction artistique : Luis Miguel Lainz
Solistes et chœurs d’Opera 2001
Orchestre symphonique de Pleven
Site : www.opera2001.net
Vendredi 15 avril à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 2h40
2 entractes
spectacle
tout public
Opéra d’amour, de sang et de mort,
« Tosca » a immédiatement connu un
immense succès populaire, qui ne s’est
depuis jamais démenti.
« Tosca », de Giacomo Puccini, est une
tragédie développant des thèmes classiques
tels que Dieu, l’amour, la mort, la perversité, la
jalousie ou encore le crime. « Tosca » raconte
donc l’histoire d’une femme jalouse aux
prises avec la sensualité sadique d’un chef de
la police, en 1800 à Rome, sous l’occupation
française. L’œuvre s’inspire d’une pièce de
Victorien Sardou.
Louise Hudson : Tosca
La soprano Louise Hudson a fait ses
débuts européens au Théâtre National de
Korsice (Slovaquie) en 2004 dans le rôle
de Donna Anna de l’opéra de Mozart « Don
Giovanni ». Elle a traversé les grands capitales
d’Europe pour y développer son répertoire
opératique. Louise Hudson a remporté
tous les principaux concours de chant
lyrique australiens. Pendant ses études, elle
a obtenu une bourse de l’Australian Opera
& Arts support Committee, s’entoure de
professeurs de renom et perfectionne sa
technique vocale à Venise sous les conseils
d’Alessandra Althof-Pugliesi.
page
74
« Tosca », qui regroupe des airs parmi les plus
célèbres de l’Opéra, se prête particulièrement
aux belles mises en scène.
Giacomo Antonio Domenico Michele Secondo Maria
Puccini (né le 22 décembre 1858 à Lucca en Italie, mort
le 29 novembre 1924 à Bruxelles en Belgique) est un
compositeur italien. Il est considéré comme l’un des plus
grands compositeurs de la fin du 19ème siècle et du début
du 20ème siècle.
théâtre
au palais
des congrès
Trois poètes libertaires
du 20ème siècle
[création]
Poèmes de Jacques Prévert, Boris Vian et Robert Desnos,
Mardi 19 avril à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Par Jean-Louis Trintignant
Accordéon : Daniel Mille
Violoncelle : Grégoire Korniluk
Mise en scène : Gabor Rassov
Lumières : Orazio Trotta
Site : www.visiteursdusoir.com
Un très très grand Monsieur de la
scène nous dit les mots essentiels : ceux
des poètes ! Un événement précieux à
ne pas manquer !
Jean-Louis Trintignant acteur au charisme
envoûtant et à la voix de velours a depuis
longtemps délaissé le cinéma pour partager sur
scène la beauté des textes qui le bouleversent.
Il fut passeur magnifique et complice d’Aragon,
d’Apollinaire, de Jules Renard ; aujourd’hui de
Jacques Prévert, Boris Vian et Robert Desnos
dont il a choisi de nous faire partager une
vingtaine de poèmes aimés.
Habités d’une même fantaisie verbale,
chacun des poètes a participé au mouvement
surréaliste. Prévert, l’homme à la casquette, le
poète bon enfant dont les paroles et histoires
raisonnent encore dans les salles de classes,
Boris Vian l’écrivain, le trompettiste, l’icône
des clubs de jazz enfumés de Saint-Germain
des Prés, et Robert Desnos, le sensible, le
sombre lyrique au destin tragique de déporté.
Jean-Louis Trintignant le comédien, Daniel
Mille l’accordéoniste et Grégoire Korniluk
le violoncelliste se retrouvent aujourd’hui
autour de la musicalité des mots de trois
grands poètes du 20ème siècle. Un moment
de théâtre précieux et rare.
© Brigitte Enguérand
La Presse en parle
« Au plus près de l’épure, le ton est léger, voire
humoristique, pour nous donner à entendre
ces monuments de la poésie française et ne
laisser que le sens des mots résonner. Avec
une certaine désinvolture et un regard amusé,
Trintignant nous parle de douleur, de perte et
d’élans libertaires. Chaque mot se détache,
empli de sens, mais sans être chargé de pathos
ou de lourdeur. La voix familière du comédien,
indissociable d’une certaine histoire du cinéma,
nous touche de sa prestance et de sa force
magistrale. Le spectateur est happé dans cette
fresque, presque le souffle coupé. »
Le Journal de Saône et Loire
page
75
théâtre
La ronde
au forum
Salle Gounod
D’Arthur Schnitzler,
Mise en scène Marion Bierry
Assistant mise en scène : Denis Lemaître
Avec : Vincent Heden, Sandrine Molaro, Serge Noël,
Marie Reache,Aline Salajan,Alexandre Martin, EricVerdin
Décor : Nicolas Sire
Lumières : André Diot
Costumes : Virginie Houdinière
Site : www.atelier-theatre-actuel.com
Vendredi 22 avril à 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 1h40
sans entracte
spectacle
adulte
De couples qui se défont en couples
qui se refont, « La Ronde » dit, avec
pittoresque et acuité, l’essentiel sur
cette magie du cœur ou des sens qui
mène le monde. Une ronde des désirs
savoureusement polissonne…
La demoiselle de petite vertu, le soldat,
la soubrette, le fils de famille, la femme du
monde et son mari, ce mari et la grisette ; le
second quittant la première pour la troisième
qui sourit au quatrième et ainsi de suite
jusqu’au comte qui passe de la comédienne
à la demoiselle de petite vertu, bouclant la
boucle de la ronde.
© Laurencine Lot
La Presse en parle
« Tourbillon comique et sulfureux. »
Pariscope
« Enivrante ronde.
époustouflante. »
Une
troupe
Le Figaro
« C’est drôle et bien joué (comédiens tous
convaincants) et la nudité des actrices
a encore aujourd’hui quelque chose de
scandaleux qui rappelle que cette pièce
fut interdite en 1904. »
Télérama
Loin de nous mettre en garde contre
l’aventure du désir, les personnages de « La
Ronde » se risquent à dire oui à la vie ! Près
du volcan de la première Guerre Mondiale,
ils dansent. Ils badinent avec la mort et
plaisantent avec l’amour. Dans la frivolité, le
jeu, l’ivresse, leur engagement sans réserve
vers l’autre et son corps tout entier s’amuse
de notre morose frilosité…
CERTAINES SCENES NE
CONVIENNENT PAS AUX JEUNES
SPECTACTEURS
page
76
musique
au forum
Salle Gounod
Orchestre de chambre
de Saint-Raphaël
Vendredi 6 mai à 20h30
Tarif
Passion
E
Durée 1h20
sans entracte
spectacle
tout public
Concert Beethoven
Directeur musical et violon solo :
Programme Beethoven :
- Concerto pour Violon et Orchestre en Ré
M Opus 61
- Ouverture de Coriolan Opus 62
- Symphonie N°1 en Do M Opus 21
Coriolan, opus 62 : écrite en 1807, il s’agit de la plus célèbre
ouverture symphonique en do mineur de Beethoven. Par sa
puissance expressive et dramatique, elle est l’une des œuvres
les plus caractéristiques de sa période dite style « héroïque ».
Concerto pour violon en ré majeur op. 61 : œuvre majeure, elle
est écrite en 1806. C’est une des œuvres les plus tendres qu’il
ait composée. Elle ne fut guère jouée du vivant du musicien,
même si la critique reconnut pourtant l’intérêt et la qualité
de l’œuvre.
Symphonie n°1 en do majeur, op. 21 : première des neuf
symphonies de Ludwig van Beethoven, elle fut composée
à Vienne en 1799-1800. L’édition est dédicacée au baron
Van Swieten, mélomane, ami de Wolfgang Amadeus Mozart
et de Joseph Haydn, et l’un des premiers protecteurs de
Beethoven à Vienne. Bien reçue par le public, l’œuvre fut
cependant critiquée pour son aspect novateur : importance
des cuivres, ouverture ne débutant pas par la tonalité
principale, nombreuses modulations, troisième mouvement
trop rapide…
© Ville de Saint-Raphaël
Violon solo : Jean-Sébastien Hubert
Jean-Sébastien Hubert commence le violon
à l’âge de 10 ans. En 1998, il est nommé
Violon Solo de l’Orchestre de Chambre
de Bâle. En 2000, il est nommé Professeur
au Conservatoire de Saint-Raphaël dont il
est le Directeur depuis Septembre 2006. En
2005, soutenu par la Ville de Saint-Raphaël,
il crée l’Orchestre de Chambre de SaintRaphaël. Depuis 2009, il est titulaire du
Certificat d’Aptitude de Professeur chargé
de Direction.
Vidéos de concerts sur « youtube » en tapant
page
77
Le cabaret des
Acrostiches
cirque
au palais
des congrès
Mardi 10 mai à 20h30
Cirque - Compagnie les Acrostiches
Metteur en Scène : Christian Coumin
Circassiens : Jean-Philippe Cochey-Cahuzac,
Philippe Copin, Christophe Leseure, Michel Navarro
Site : www.lesacrostiches.com
Tarif
découverte
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Drôles de coquins qui vous entraînent
dans des jeux corporels et musicaux
qui nous semblent interdits, tant la
prouesse est inattendue. Un régal à
savourer en famille !
Les Acrostiches sont inclassables : à la fois
jongleurs, acrobates, chanteurs, comédiens et
farceurs, leur objectif est de défier la gravité,
dans tous les sens du terme.
© Frank Puyau
La Presse en parle
« Ils s’appellent les Acrostiches.
Ils seraient des hommes de lettres
écrivant de leurs gestes et de leurs masses
dans l’espace. Leur texte est d’évidence
accessible à tous, formé d’élégants pleins
en sauts périlleux et d’un délié de coudes
et de genoux parfois difficile à démêler, ils
conjuguent les chutes au réel et au figuré, et
c’est encore une affaire d’équilibre entre les
mots et les corps. »
Le Monde
page
78
Entre poésie et prouesses, leur spectacle
vous entraîne dans un vertige comique où
la précision technique côtoie l’aléatoire de
l’équilibre. Ce cabaret propose un pêle-mêle
de leurs meilleurs numéros, agrémentés de
quelques surprises. Leur palette de disciplines
circassiennes est riche d’acrobaties, de portés,
de jongleries, de mains à mains, d’équilibres,
auxquels s’ajoutent des techniques telles que
le chant, la comédie, le clown et maintenant
la musique vivante.
C’est en 1994, à Toulouse, au centre des arts du cirque Le Lido,
que Jean-Philippe Cochey-Cahuzac, Philippe Copin et Michel
Navarro, tous trois enseignants en acrobatie et jonglerie, se
rencontrent et forment avec Christian Coumin la compagnie
Les Acrostiches. Depuis leurs spectacles font le tour du monde !
page
79
© Frank Puyau
musique
Gainsbourg moi
non plus...
D’après Serge Gainsbourg,
Par les Gevrey Chambertin
Interprètes : Zoon Besse (chant), Gaetan
Pantanella (guitare), Pierre Marie Braye Weppe
(guitare et violon), Dany Rizo (contrebasse)
Lumières : Timothée Horvais
Collaboration artistique : Renaud Maurin
Site : www.coupdepoker.org
au forum
Salle Gounod
Jeudi 12 mai à 20h30
Tarif
découverte
E
Durée 1h30
sans entracte
spectacle
tout public
Un hommage ? Non, un spectacle ! Loin
d’un éloge convenu, c’est l’esprit du
poète, de l’insoumis et du provocateur
qui en constitue le fil rouge. On en
ressent un troublant plaisir !
Entre aphorismes, chansons et comédie, les
Gevrey Chambertin plongent dans l’univers
de Gainsbourg. Avec insolence et tendresse,
un chanteur comédien et trois musiciens
s’approprient les mélodies de l’homme à la
tête de chou.
© Cie Coup de poker
La Presse en parle
« L’interprétation est à couper le souffle ! »
L’Yonne Républicaine
« C’est un troublant plaisir d’écouter
Zoon Besse dont la voix rappelle celle
de Gainsbourg mais là encore rien n’est
servilement singé et même, une certaine
distance permet au groupe de créer
une riche ambiance de partage avec des
spectateurs visiblement sous le charme. Un
excellent moment vivement recommandé. »
Avignews.com
page
80
Des chansons très connues et d’autres que
nous découvrons, des formules percutantes
« à la Gainsbourg », une très bonne approche
musicale et une dose d’humour appréciable
font de ce spectacle un havre profond et
rafraîchissant à la fois. S’y ajoutent des textes
entre slam et dialogues, des clins d’œil aux
multiples facettes de Gainsbourg. Le regard
est décalé et respectueux.
Serge Gainsbourg matière inépuisable
à spectacle est à jamais inscrit dans le
patrimoine français. Artiste hors norme
exigeant et accessible, il incarne ce qu’on
appelle la « culture populaire ».
page
81
© Cie Coup de poker
danse
Swayambhu
au palais
des congrès
Récital kuchipudi de Shantala Shivalingappa,
Danse classique indienne
Chorégraphie : Shantala Shivalingappa
Conseillère artistique : Savitry Nair
Espace Scénique : S. Shivalingappa, N. Boudier
Lumières : Nicolas Boudier
Costumes : D.S.Aiyyelu
Chant, flûte : J.Ramesh, K.S. Jayaram
Rythme : B.P. Haribabu, N. Ramakrishnan
Site : www.shantalashivalingappa.com
Dimanche 15 mai à 17h
Tarif
Passion
E
Durée 1h25
sans entracte
spectacle
tout public
A travers un jaillissement d’images et
de paysages, Shantala fait vivre cette
danse tout en contrastes. Hiératique,
bondissante, très ancrée dans le sol,
joyeuse, elle allie une très haute
qualité technique à une grâce et une
sensibilité remarquables.
Artiste exceptionnelle, elle a eu le rare
privilège de travailler avec les plus grands
noms de la scène française : Maurice Béjart,
Peter Brook, Bartabas, Pina Bausch... Autant
de rencontres qui font de son expérience
artistique un parcours atypique.
© Hector Perez
La Presse en parle
« C’est un oiseau de paradis, qui picore à la
fois aux merveilles de l’Europe et de l’Inde. »
Le Figaro
« Une jambe pliée, une main tendue vers
le ciel du théâtre, le raffinement du geste
selon Shantala Shivalingappa est un baume
au cœur en ces temps difficiles. (…) Shantala
Shivalingappa est une des plus belles
spécialistes du kuchipudi. »
Les Échos
Habituée du Théâtre de la Ville à Paris, libérée
grâce aux multiples influences orientales et
occidentales qui la traversent, elle ose une
danse très personnelle et inventive.
Pour « Swayambhu », elle interprète le kuchipudi
dans un décor de draps tendus. Rapide et
suspendue, terrienne et aérienne, symétrique et
asymétrique, la danse joue ainsi sur des bascules
subtiles ajustées avec précision.
Shantala Shivalingappa est née à Madras. Elevée à Paris, elle
est formée dès son enfance à la danse indienne.
Autour du spectacle :
Master Class cours de danse : initiation à la
danse indienne (durée 1h).
Samedi 14 mai à 17h (lieu à préciser).
Inscription gratuite en billetterie.
page
82
musique
au forum
Salle Gounod
Super Rail Band de Bamako
et Djelimady Tounkara
String Theory
Samedi 21 mai à 20h30
Tarif
Prestige
E
Durée 2h
sans entracte
spectacle
tout public
Musique du monde
Super Rail Band de Bamako :
Djelimady Tounkara, Mousa Diabate, Mountaga
Diabate, Samba Cissoko, Fotigi Keita, Bamba
Dembele, Sekouba Camara, Maget Diop.
Djelimady Tounkara String Theory :
Djelimady Tounkara, Moussa Diabate,
Aboubacar Diombana
Pour une nuit, « Le Forum » se prend
pour le mythique Buffet de la Gare de
Bamako !
Voilà plus de trente ans que le Super Rail Band
a vu le jour en faisant vibrer les clients et le
public toujours plus nombreux du célèbre
Buffet de l’Hôtel de la Gare à Bamako.
Premier groupe de « folklore modernisé »,
comme on appelle alors la musique africaine
électrifiée, il transpose le groove mandingue
sur des instruments modernes. Les précédents
leaders du groupe, Salif Keïta et Mory Kanté,
sont les stars incontestées de la scène
malienne.
Imaginez la chaleur bienfaisante du soir, le
pittoresque Buffet-Hôtel de la Gare, et le
Super Rail Band qui propulse sa musique
incandescente... Du soleil dans la tête, et des
fourmis dans les pieds, vous êtes à Bamako au
Mali.
Nul doute que les rythmes effrénés des
percussions ne vous fassent danser toute la
soirée.
La Presse en parle
« Djelimady Tounkara appartient aux
pionniers de la scène musicale du Mali
moderne. Si vous le rencontrez, sa
ressemblance avec l’un de ces grands
arbres qui règnent sur la savane africaine
vous fera mieux saisir cette notion, souvent
galvaudée, de « racines ». Chez Djelimady
Tounkara, le tronc est large et se prolonge
par deux branches pleines de force avec, à
leurs extrémités, ces mains puissantes qui se
mettent à frétiller comme des feuilles dès
qu’un vent de musique vient à souffler. »
Les Inrockuptibles
Guitariste vedette du Super Rail Band de Bamako, Djelimady
Tounkara est un artiste en état de grâce. Ambianceur, guitariste
exceptionnel, compositeur arrangeur, chef d’orchestre élégant…
Djelimady Tounkara est au sommet de son art.
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83
Abonnements
Où et comment s’abonner ?
A partir du mercredi 16 juin 2010, sur place ou par courrier
Les raisons de s’abonner :
1 - Bénéficier d’une priorité dans la réservation
2 - Bénéficier du tarif préférentiel « abonné », sur l’ensemble de la saison
3 - Être tenu informé de l’actualité de la saison
Deux règles pour s’abonner :
n°1 : choisir 4 spectacles minimum (hors spectacles « Jeune Public »)
n°2 : pas plus de la moitié en catégorie « Prestige »
1er exemple : 2 spectacles Prestige + 2 spectacles Passion et/ou Découverte
2ème exemple : 1 spectacle Prestige + 3 spectacles Passion et/ou Découverte etc…
Au Centre Culturel :
Place Gabriel Péri - BP 80160 - 83700 Saint-Raphaël
Du mardi au samedi de 8h30 à 19h - Tél. : 04 98 11 89 00
Au Théâtre Le Forum :
83, boulevard de la mer - 83600 Fréjus
Du lundi au vendredi de 9h30 à 12h30 - 13h30 à 18h - Tél. : 04 94 95 55 55
Abonnez-vous en remplissant le formulaire d’abonnement (disponible dans chaque point de
vente et téléchargeable à tout moment sur le site d’Aggloscènes dans sa version réactualisée)
puis en le déposant ou en l’envoyant par courrier. Les abonnements seront traités par
ordre d’arrivée, dans la limite des quotas de places réservés aux abonnements.
Au moment de la parution du présent programme, certains spectacles sont susceptibles
d’être complets. Aussi, afin d’éviter que le traitement de votre abonnement soit bloqué
en raison de l’indisponibilité d’un spectacle, nous vous recommandons vivement
d’indiquer un ou deux spectacles de substitution dans chaque catégorie de tarif (Prestige,
Passion et Découverte).
Tarifs abonnés
Pour les abonnés & groupes relais** :
Tarif abonné
Tarif abonné réduit*
l Prestige
l Passion
l Découverte
22 €
15 €
18 €
12 €
16 €
10 €
* Pour les -18 ans, chômeurs, étudiants. Présentation d’un justificatif joint au bulletin d’abonnement ou à la billetterie.
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84
Billetterie hors abonnement et réservations
Tarifs
l Prestige
l Passion
l Découverte
Plein tarif
30 €
24 €
18 €
Tarif réduit *
18 €
16 €
14 €
Pour les abonnés & groupes relais** :
Tarif abonné
Tarif abonné réduit*
22 €
15 €
18 €
12 €
16 €
10 €
Jeune
Public
6€
* Pour les -18 ans, chômeurs, étudiants. Présentation d’un justificatif joint au bulletin d’abonnement ou à la billetterie.
** Voir ci-dessus les conditions pour être un groupe relais
Vente des places hors abonnement à partir du mardi 24 août 2010
Sur place :
Au Centre Culturel ou au Théâtre Le Forum.
Les billets se règlent par chèque (au Centre Culturel à l’ordre du Trésor Public, au Forum à
l’ordre du Théâtre Le Forum), en espèces ou par carte bleue.
Par courrier :
Au Centre Culturel ou au Théâtre Le Forum (chèques libellés au Centre Culturel à l’ordre
du Trésor Public, au Forum à l’ordre du Théâtre Le Forum).
Par internet :
Vous pouvez dès le 6 septembre acheter vos places en ligne en consultant l’ensemble de
la programmation à l’adresse suivante : www.aggloscenes.com.
Pour chacun des spectacles « Prestige » du Forum, un quota de places hors abonnement
a été réservé. Par ailleurs pour tous les spectacles de la saison, des places seront en vente
sur le site www.aggloscenes.com.
Groupes relais
Les collectivités (associations, comités d’entreprises, clubs du 3ème âge et autres) peuvent bénéficier
du tarif abonné sous réserve que la première commande soit d’un minimum de 50 places sur
l’ensemble de la saison (hors jeune public). La commande devra être traitée par un responsable
dûment désigné et le règlement global.
Information « groupes » :
Corine Duez au 04 98 11 89 03 - [email protected],
Christophe Mérigout au 04 94 17 73 82 - [email protected]
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85
Jeune Public et Service éducatif
Placement :
Tous les spectacles Jeune Public au Palais des Congrès et au Centre Culturel de SaintRaphaël sont en placement libre.
Tous les spectacles Jeune Public au Théâtre Le Forum sont en placement numéroté.
L’éducation artistique au théâtre :
L’action culturelle destinée à élargir notre public s’inscrit au coeur de nos préoccupations.
C’est pourquoi un certain nombre de rendez-vous seront proposés afin d’éclairer
différemment les oeuvres. Lectures, rencontres avec les comédiens et/ou le metteur
en scène, ateliers de pratique artistique seront autant de moments d’échange et de
transmission.
Les informations concernant ces initiatives vous seront communiquées par mail et par courrier.
Elles seront également à disposition sur le site d’Aggloscènes : www.aggloscenes.com
Poursuivant sa politique de spectacles Jeune Public, Aggloscènes propose également des
représentations pendant le temps scolaire. Afin de préparer au mieux les enfants à la
découverte de ces spectacles, des outils sont mis à la disposition des enseignants.
Des écoles primaires aux lycées, l’équipe d’Aggloscènes travaille étroitement avec les
équipes artistiques pour sensibiliser vos élèves dans leur découverte du spectacle vivant.
Pour aller plus loin, des possibilités d’accompagnements artistiques peuvent compléter
votre projet éducatif :
- des dossiers pédagogiques apportent des éléments artistiques et pédagogiques,
- des rencontres avec un comédien ou le metteur en scène peuvent être organisées,
- des visites du théâtre peuvent être proposées pour faire découvrir l’envers du décor.
page
86
En pratique :
- les séances scolaires, leurs horaires et l’âge conseillé pour les enfants sont indiqués sur
la page du spectacle concerné,
- les enseignants des écoles primaires et des collèges sont invités à inscrire leurs élèves sur
les séances scolaires proposées pendant le temps scolaire,
- les lycéens peuvent s’inscrire aussi sur les représentations en soirée (leur demande sera
satisfaite dans la limite des places disponibles),
- pour réserver vos spectacles, retirez un dossier auprès du service « Jeune Public »,
Tarif des séances scolaires :
Ecoles de l’agglomération Fréjus/Saint-Raphaël : gratuit
Ecoles hors agglomération : 4 euros par personne (enfant et adulte)
Tarif des séances en soirée :
Ecoles de l’agglomération Fréjus Saint-Raphaël : 6 euros par personne (enfant et adulte)
Ecoles hors agglomération : bus théâtre conseil général 10 euros par personne (enfant et adulte)
Dossiers pédagogiques :
Les dossiers pédagogiques sont disponibles sur demande auprès du service « Jeune Public »
ou sur le site d’Aggloscènes : www.aggloscenes.com.
Renseignements et inscriptions :
Contactez Claire Giron, Responsable du service « Jeune Public » Aggloscènes
Téléphone : 04 94 19 88 40 / portable : 06 60 30 14 62
email: [email protected] ou [email protected]
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87
Théâtre Le Forum
à Fréjus
Le Forum, théâtre de l’agglomération de Fréjus - Saint-Raphaël, oeuvre de l’architecte
Jean-Michel Wilmotte, a ouvert ses portes le 7 février 2010. Doté de deux salles de
spectacles, l’une d’une capacité de 850 places, la seconde de 150 places, il répond aux
attentes du public de notre bassin de population. La salle Gounod permet l’accueil de
grands spectacles et d’opéras, la salle Cocteau permet l’accueil de spectacles plus intimes,
de spectacles Jeune Public et de compagnies en résidence en vue de futures créations.
Locations / réservations :
Du lundi au vendredi, de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h (fermeture au public du 2 au
23 août inclus).
Paiement en espèces, chèques (à l’ordre du Théâtre Le Forum) ou cartes bancaires.
Retrait des billets :
- par retour de courrier,
- aux horaires d’ouvertures de la billetterie,
- à partir de 1h avant chaque représentation.
Fréjus
Centre-Ville
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Horaires et déroulement des spectacles :
- le hall du théâtre ouvre 1h avant la
représentation,
- les places sont numérotées,
- les spectacles commencent à l’heure précise.
Par respect pour les artistes et le public, les
retardataires seront conduits dans la salle à
un moment propice et en fonction des places
disponibles. Pour cette même raison, cet accès
pourra être refusé.
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83 bd de la Mer - 83600 Fréjus
Accès aux personnes handicapées :
Dix-huit places peuvent accueillir les fauteuils roulants.
Afin de vous recevoir dans les meilleures conditions, nous vous remercions de nous
prévenir à l’avance de votre venue.
Les deux salles de spectacle sont équipées d’une boucle magnétique afin de garantir
l’accès aux personnes malentendantes.
Vestiaire :
Un vestiaire gratuit est à votre disposition dans le hall du théâtre.
Bar et restauration :
Des boissons et de la restauration légère vous sont proposées dans nos deux espaces
bars, avant et après chaque spectacle, et durant les entractes.
Accès :
Avec les lignes AggloBus :
- ligne 6 : arrêt sur le boulevard de la Mer
- ligne 7 : arrêt sur l’avenue de Provence.
En voiture :
Parking du Forum : entrée par le 83, boulevard de la Mer.
Plus de 200 places, réparties en sous-sol et en extérieur, sont réservées à nos spectateurs.
De nombreuses places existent également en périphérie immédiate du théâtre :
- parking de la jardinerie Jean Rey (uniquement en soirée, et lorsque les parkings du Forum
sont complets). Accès par le chemin de la Lanterne d’Auguste, derrière la Jardinerie Jean
Rey,
- parking du Crédit Agricole (en dehors des heures d’ouverture de la banque),
- parking du Géant Casino (à quelques minutes à pied du théâtre).
De plus, des places pour personnes à mobilité réduite sont prévues en sous-sol et en
extérieur. Des emplacements sont également réservés aux autobus.
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L’équipe du Forum
Michel Perrault : Directeur et Directeur artistique
Anne-Marie Franon : Directrice Adjointe et Co-directrice artistique
Luc Brandelong : Régisseur Général
Claire Giron : Programmation Jeune Public et Service Educatif
Cyrille Schmitt : Agent comptable
Christophe Mérigout : Communication et Relations Publiques
Laurence Floccia : Communication Multimédia, Infographie
Nathalie Bongiovanni : Comptabilité publique et Gestion
Anne-Marie Lopez-Puverel : Comptabilité privée et Accueil des artistes
Sandra Mouttet: Hôtesse d’accueil billetterie et Régisseur
Gina Chiapello : Hôtesse d’accueil billetterie
Christine Catala : Hôtesse d’accueil billetterie et bars
Olivier De Stefano : Technicien son
Sébastien Ynesta : Technicien plateau
Eric Kipfer : Technicien lumière
Jean-Marie Isnard : Technicien maintenance
Fatma Badji : Service Juridique
Céline Damouche et Patricia Milano : Accueil du jeune public et des artistes
Céline Chabrillat et Odile Mustacchia : Ressources Humaines
Mercedes Laine : Habilleuse
Le Forum fonctionne grâce aux techniciens intermittents du spectacle qui nous accompagnent
tout au long de la saison et à la dizaine d’ouvreuses et de placiers qui vous accueillent.
Entreprises de l’Est-Var, faites du Forum un atout !
Sur tous les spectacles « Prestige » de la saison, nous vous proposons d’offrir à vos clients et partenaires une soirée
d’exception. Vous pourrez leur faire bénéficier pour 60 euros par personne d’une place parmi les meilleures de
la salle Gounod, d’un emplacement de parking réservé en soussol, d’une coupe de champagne et d’une collation
autour d’une rencontre avec un artiste, un metteur en scène...
Pour plus d’informations, contactez Christophe Mérigout au 04 94 17 73 82 - [email protected]
En apportant votre soutien financier (ou matériel) au Théâtre Le Forum, votre entreprise, quelle que soit sa taille,
se positionne et se fait connaître comme « ambassadeur » de la culture auprès de ses clients, de son personnel
et du public d’Aggloscènes. Profitez des nombreux avantages offerts aux membres du Club Forum : organisation
d’événements pour votre entreprise, visibilité médiatique associée à une structure culturelle dynamique du
département, déduction fiscale à hauteur de 60% des dons effectués.
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à fréjus
Festivités et manifestations culturelles
Le festival du court métrage - janvier
Le Festival du Court Métrage de Fréjus est devenu l’événement incontournable du début
d’année, il évolue et prend de l’ampleur.
Du 12 au 15 janvier 2011, quatre journées seront entièrement dédiées au Court Métrage,
au cinéma, à la vidéo et au numérique. Devenu l’un des événements phares nationaux
dans le genre, il s’accompagne de divers ateliers et autres manifestations annexes, telles des
expositions photos sur le monde du 7ème art.
Cette année, le thème du festival, commun à celui du concours de la nouvelle en 1000 mots,
est : « La Règle du Je(u) ».
Les Nuits Auréliennes - juillet
Festival de théâtre tous les étés dans le cadre majestueux du théâtre romain Philippe
Léotard, Les Nuits Auréliennes s’accompagnent d’un festival OFF à base de spectacles de
rues dans le centre historique.
Le concours de la nouvelle en 1OOO mots - de juillet à avril
Ce concours est organisé par la médiathèque municipale Villa Marie sur le thème
« La Règle du Je(u) ». Il consiste en la rédaction d’une nouvelle de 1000 mots et propose
un prix adulte et un prix jeunesse. Les nouvelles sont à écrire entre le 1er juillet et le 30
novembre, le palmarès étant dévoilé en avril de l’année suivante.
Les voyageurs du conte - dernier samedi de juin
La soirée des Voyageurs du conte s’adresse aux amoureux de belles histoires et autres
légendes exotiques. Trois conteurs d’origine et de sensibilité extrêmement différentes,
proposent leurs histoires à l’ombre des projecteurs, dans le cadre majestueux du parc de
la villa Marie.
Un voyage… sur place !
Pour toutes ces manifestations,
Renseignements sur le site de la ville :
www.ville-frejus.fr
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Palais des Congrès
de Saint-Raphaël
Dévolu au tourisme d’affaire, le Palais des Congrès n’en est pas moins une très jolie
salle de spectacles de trois cent cinquante fauteuils. Bénéficiant d’un rapport scène/salle
exceptionnel, les artistes y entretiennent une forte connivence avec le public pour le
plaisir des uns et des autres. Richard Bohringer, Jacques Gamblin, Eric Métayer et bien
d’autres encore s’y produiront avec bonheur.
Capacité de la salle : 350 places numérotées
Accueil prévu pour les handicapés sur réservation
Nombreux parkings à proximité
Saint-Raphaël
Pour tous renseignements :
Centre Culturel
Place Gabriel Péri
BP 80160
83700 Saint-Raphaël.
Tél. : 04 98 11 89 00
www.ville-saintraphael.fr
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Du mardi au samedi
de 8h30 à 19h
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Centre Culturel
de Saint-Raphaël
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Pour tous renseignements :
Centre Culturel
Place Gabriel Péri
BP 80160
83700 Saint-Raphaël.
Tél. : 04 98 11 89 00
[email protected]
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Avec près de 600 visiteurs par jour, le Centre Culturel municipal s’est imposé en 10 ans
comme un lieu central de la vie culturelle de Saint-Raphaël.
Regroupant sur plus de 6.000 m2 une médiathèque adultes et un secteur jeunesse, une école de
musique, une salle d’exposition et des salles de réunion, il propose également de nombreuses
manifestations. Ainsi, toute l’année, s’y déroulent spectacles vivants, expositions, activités autour
du livre, enseignement de la musique, conférences…
Lieu de spectacle, il dispose par ailleurs d’un auditorium de 144 places (en placement libre) qui
accueillera, au cours de la saison prochaine, de nombreux spectacles en direction de tous les
publics, notamment des plus jeunes spectateurs.
Situé en centre-ville, c’est le lieu de billetterie pour l’ensemble des spectacles proposés à SaintRaphaël ainsi que dans le cadre d’Aggloscènes.
Ouvert du mardi au samedi
de 8h30 à 19h
Accueil pour les handicapés sur résevation
Parkings : Gare, Victor Hugo et Lamartine
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Et aussi, à partager entre amis et en famille
Le Festival du Rire 2010 côté cour / côté jardin !
Côté cour du 21 au 26 septembre 2010 à Saint-Raphaël
Mardi 21 septembre à 20h30, salle Félix Martin : Isabelle Parsy
Une belle-mère comme on ne voudrait jamais en avoir ! Une sorte de Tatie Danielle des temps
modernes qui va faire de la vie de sa future belle-fille un enfer. Un spectacle qui fera rire les
belles-mères et frémir les futures belles-filles !
Mercredi 22 septembre à 20h30, salle Félix Martin : La Framboise frivole
Après « Pomposo » qui fut un immense succès à Paris et partout en Europe, La Framboise
Frivole propose un nouveau spectacle : « Furioso ». Après la folie douce, la folie furieuse avec
une confrontation musicale irrésistible qui parvient, par l’humour et la dérision, à faire tomber
toutes les barrières entre « familles » musicales et nous les faire aimer toutes.
Jeudi 23 septembre 2010 à 20h30, salle Félix Martin : Gaspard Proust
Il est jeune, beau et méchant comme pas permis… Un spectacle insolent où les oreilles sifflent !
Il dynamite les travers humains dans un seul-en-scène vitriolé qui associe impertinence et
élégance. Un jeune qui monte sur la scène de l’humour, après avoir remporté de nombreux
festivals : « Paris fait sa comédie », « Juste pour rire, Nantes ». Un ton nouveau à découvrir.
Vendredi 24 septembre 2010 à 20h30, salle Félix Martin : Dany Mauro
Chanteur, imitateur, « L’électron libre» du show man nous offre un spectacle populaire et intelligent
au cours duquel il abuse avec une facilité déconcertante de ses talents de chanteur et de comédien.
Samedi 25 septembre 2010 à 20h30, salle Félix Martin : Patrick Cottet-Moine et la
compagnie des Zèbres
Patrick Cottet Moine entraîne une dizaine d’excentriques, chacun expert dans sa discipline, et nous
promet un moment inoubliable de rires et de curiosités visuelles. Véritable plaisir des yeux, des oreilles
et du cœur, ce programme a été spécialement conçu pour le Printemps du Rire de Toulouse !
Dimanche 26 septembre 2010 à 20h30, multiplexe Le Lido : Roland Magdane
L’homme et la femme sont-ils vraiment faits pour vivre ensemble ? Le couple a-t-il un avenir ?
Découvrez ou redécouvrez Magdane en délire comme jamais ! Alors... attachez vos ceintures !
Et à Fayence, le festival côté jardin le 3 octobre à 15 h au Centre Culturel :
Bernard Mabille dans « Seul en scène ».
Après avoir signé entre autres artistes, les textes de Thierry Le Luron, Bernard Mabille, journaliste
de formation et Grosse tête pour RTL, monte sur les planches !
Renseignements et billetterie au Centre Culturel de Saint-Raphaël du mardi au samedi
de 8h30 à 19h - Tél. : 04 98 11 89 00 et sur le site : www.ville-saintraphael.fr
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La salle Félix Martin
Programme du Café-Théâtre et Jazz pour la saison 2010-2011 :
A nouveau Olivier Sagot vous propose un rendez-vous mensuel destiné à l’humour !
En effet après le Festival du Rire et en complément de la programmation d’Aggloscènes,
la saison café-théâtre ouvrira le 5 novembre 2010 pour s’achever le 10 juin 2011. D’ores
et déjà au programme quelques pépites :
Vincent Roca : le 17 décembre 2010 dans son nouveau spectacle « Vite, rien ne presse ! »
Bernard Mabille : le 7 janvier 2011 avec « Seul en scène »
Les frères Brothers : le 11 février 2011
Jérome Commandeur : le 11 mars 2011
Les frères Taloches : le 18 mars 2011
Arthur : le 15 avril 2011
Didier Gustin : le 27 mai 2011
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Programme non contractuel, sous réserve de modification.
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Bd Félix Martin - 83700 Saint-Raphaël
Capacité : 280 places (placement libre)
Parkings conseillés : Bonaparte et Coullet
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Pour tous ces spectacles, renseignements
et billetterie au Centre Culturel de SaintRaphaël au 04 98 11 89 00, du mardi au
samedi de 8h30 à 19h et sur le site :
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Et que les amoureux du jazz n’oublient pas leur rendez-vous désormais mensuel ! Là
encore de belles têtes d’affiches les y attendent mais aussi de jeunes artistes à découvrir :
André Cécarelli (11 nov.), Manu Katché (9 déc.), Sylvain Luc et les frères Chemirani
(20 jan.), Florence Fourcade quintet (17 mars), Naturally Seven (8 avr.), Poppa Chuby
(5 mai), Richard Galliano (16 juin).
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A partir de septembre 2010,
rejoignez nous sur www.aggloscenes.com :
- Achetez vos billets en ligne : un quota de places est en vente sur internet pour chacun
des spectacles !
- Téléchargez et imprimez le bulletin d’abonnement réactualisé en fonction de la
disponibilité des spectacles,
- Retrouvez l’ensemble de la programmation de la saison 2010-2011 d’Aggloscènes :
vous y découvrirez une fiche détaillée par spectacle, la possibilité de visionner des photos
et des vidéos, et pourrez télécharger des dossiers et revues de presse,
- Professeurs, éducateurs ou accompagnants, préparez au mieux les enfants aux
spectacles auxquels ils vont assister : des dossiers pédagogiques et la fiche d’inscription
seront notamment mis en ligne,
- Découvrez ou redécouvrez chacune des salles d’Aggloscènes,
- Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir chaque mois les informations liées à la
programmation et à toutes les actions que nous pourrons mettre en place (rencontres, portes
ouvertes, répétitions générales publiques…).Vous pourrez ainsi être au plus près de l’actualité
d’Aggloscènes !
- Professionnels du spectacle ou de la presse : vous trouverez sur notre « espace pro » toutes
les informations utiles (fiches techniques des salles, un dossier détaillé pour chaque spectacle,
des visuels en haute définition, etc...). Contactez-nous pour obtenir votre identifiant.
Document non contractuel, sous réserve de modification.
Réalisation : Service Communication du Théâtre Le Forum en partenariat avec la Direction des Affaires Culturelles de
la Ville de Saint-Raphaël. Visuel de couverture : MGD Studio. www.mgd-studio.com
Impression : Imprimerie Le Forum à Saint-Raphaël. Crédits : Photos des salles : C.Delville, R.Hacquart
Licences de spectacles Saint-Raphaël (Palais des Congrès, Centre Culturel) : 1-1015240, 1-1015241, 2-1015242,
3-1015243 ; Théâtre Le Forum : 1-1032276, 2-1029470, 3-1029471
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Billetteries
www.aggloscenes.com
www.ville-frejus.fr
Centre Culturel
Place Gabriel Péri
83700 Saint-Raphaël
Tél.: 04 98 11 89 00
© www.mgd-studio.com
Théâtre Le Forum
83 bd de la mer
83600 Fréjus
Tél.: 04 94 95 55 55

Forum Fréjus - Aggloscènes

Transcription

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