Le ski extrême - Ministère du Tourisme, de la Culture et du Sport
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Le ski extrême - Ministère du Tourisme, de la Culture et du Sport
LE MARCHÉ TOURISTIQUE AMÉRICAIN Le ski extrême chez les touristes effectuant un voyage de plus de 24 heures Rapport de recherche Le 25 avril 2007 Préparé par Lang Research Inc. pour les organismes suivants : Ministère du Tourisme de l’Ontario, Société du Partenariat ontarien de marketing touristique, ministère du Tourisme du Québec, Voyage Manitoba, Commission canadienne du tourisme, Tourism Saskatchewan, Agence de promotion économique du Canada atlantique, Alberta Tourism, Parks, Recreation and Culture, ministère du Patrimoine canadien, Tourism British Columbia, Parcs Canada, gouvernement du Yukon, gouvernement des Territoires du Nord-Ouest. EAPMV 2006 : Profil des activités des touristes américains : Le ski extrême Page 2 Le ski extrême Sommaire Au cours des deux dernières années, 0,3 % (567 211) des Américains d’âge adulte, qui ont fait un voyage de plus de 24 heures, voire de plusieurs nuitées, ont participé à des activités de ski extrême. Un plus grand nombre de skieurs a fait du ski de fond ou du ski dans l’arrière-pays au cours d’une excursion d’une nuitée (0,2 %) que de l’héliski (0,1 %) ou du skijoring (0,1 %). Parmi les skieurs extrêmes (341 549), 60,2 % ont indiqué que cette activité était la principale raison les ayant incités à faire au moins un voyage au cours des deux dernières années. Le skieur extrême est généralement célibataire, du sexe masculin et appartient au groupe d’âge des 18 à 34 ans. Il est très aisé et a un niveau études supérieur à celui de du touriste américain moyen (30,3 % détiennent un diplôme d’études supérieures) et son revenu de ménage est de 94 788 dollars. Il est surreprésenté en Alaska et dans les États du littoral pacifique, dans les régions montagneuses et en Nouvelle-Angleterre. Le skieur extrême voyage souvent. Il est beaucoup plus susceptible que l’Américain moyen en voyage d’agrément d’avoir fait un voyage au Canada (37,9 % par rapport à 14,6 %). Il a une préférence marquée pour l’Ontario, la Colombie-Britannique et le Québec. Il est toutefois considérablement surreprésenté parmi les touristes américains qui visitent les provinces et les territoires canadiens. Le skieur extrême est plus susceptible que l’Américain moyen en voyage d’agrément d’avoir pris part à diverses activités de plein air. Il est plus susceptible d’avoir participé à des activités de plein air ardues comme le ski de fond, la raquette, les sports de l’air extrême, les activités en planche et patins (patinage sur glace, planche à roulettes), la voile et le surf, le ski alpin et la planche à neige. Il est aussi plus susceptible que l’Américain moyen en voyage d’agrément d’avoir séjourné dans un pavillon ou un camp en milieu sauvage éloigné ou accessible par avion ou hydravion. En voyage, il recherche des activités culturelles et des spectacles avec autant d’engouement que lorsqu’il s’adonne à des activités de plein air. Son taux de participation à tout un éventail d’activités culturelles et d’évènements sportifs est exceptionnellement élevé. Il n’est pas surprenant que le skieur extrême recherche des destinations de vacances qui lui redonnent du tonus, le stimulent intellectuellement et enrichissent sa vie. La majorité des skieurs extrêmes consultent Internet pour planifier leur voyage (81,3 %) et ont au moins fait une réservation de voyage partielle (66,2 %) au cours des deux dernières années. Les meilleurs outils médiatiques pour toucher les skieurs extrêmes sont probablement les médias touristiques traditionnels et les magazines spécialisés (photographie et vidéo, style de vie urbaine, activités de plein air et sports, affaires et finances).