Tradition : Une rose pour fêter les grands-mères
Transcription
Tradition : Une rose pour fêter les grands-mères
• Fête le 03/03/2012 l’Alsace Mulhouse DR Pour la Fête des grands-mères qui a lieu ce dimanche, Apalib’ et Apamad ont tenu à avoir un petit geste sympathique à l’attention des bénéficiaires qu’ils aident au quotidien. 3000 roses ont été livrées jeudi au siège des associations et vont être offertes dans tout le département, aujourd’hui, sur chacune des tournées de livraison de repas, de soins infirmiers à domicile, du Fanal (service de garde de nuit itinérante), ainsi qu’aux mamies bénévoles de la Maison du temps libre de Mulhouse. Pierre Kammerer, directeur général d’Apalib’et Apamad, explique : « Pour toutes les valeurs que les grands-mères incarnent, il nous tient à cœur de faire un geste, symbolique bien sûr, pour le plaisir, mais aussi pour remercier ces grands-mères de tout ce qu’elles offrent, dans les échanges au quotidien avec nos porteurs de repas, nos auxiliaires de vie, nos aides-soignantes. » Il a aussi souligné la complexité des métiers et les valeurs de solidarité dont font preuve les salariés. • Des roses pour les grands-mères par Véronique Kohler, publié le 04/03/2012 DNA Thann Irène Niedergang reçoit une rose d’Anita Kirscher d’Apalib'qui vient lui porter son repas. Photo DNA — V.K. À l’occasion de la fête des grands-mères, chaque service d’Apalib’et d’Apamad a distribué hier des roses à toutes les mamies. Tournée avec Anita Kirscher, porteuse de repas sur le secteur Cernay-Masevaux. « YÉ, C’EST GENTIL, je vous fais la bise », s’exclame Esterina, tout émue de recevoir une rose pour la fête des grands-mères. Depuis près d’un an, Esterina reçoit ses repas d’Apalib’, menu diabétique. « Avant, c’est moi qui lui faisais à manger, mais elle prenait trop de poids, sourit son mari Marcel. Là au moins, on ne se casse pas la tête pour savoir si l’on va cuisiner ci ou ça ! » Un moment pour discuter Le repas froid déposé dans la cuisine, Anita Kirscher ne repart pas tout de suite. Elle prend le temps de faire un brin de causette avec chaque personne qu’elle livre, sauf quand celle-ci refuse. On prend des nouvelles. « Vous avez retrouvé votre chat ? », demande Esterina. Et puis on parle maladie, bobos, plus ou moins gros… « Anita vient toujours nous remonter le moral », tient à préciser Marcel. Et c’est ce côté humain qu’apprécie Anita Kirscher, qui livre les repas depuis six ans déjà. « On voit plusieurs personnes par jour, entre 30 et 40. Je cherche le journal parfois ou j’ouvre les volets. Mais ce n’est pas toujours évident quand les enfants ne viennent pas, ou encore quand une dame de mon âge est atteinte de sclérose en plaques », ajoute la Burnhauptoise, qui ne repart jamais sans avoir vu la personne qui peut être tombée ou coincée quelque part dans sa maison. Irène, elle, reçoit tous les jours les petits plats d’Apalib’depuis qu’elle est sortie de l’hôpital il y a trois mois, sauf le dimanche. Car ce jour-là, elle va chez son petit-fils. « Mais demain personne ne vient. Ils sont au ski. Vendredi, on est allés au restaurant pour fêter l’anniversaire de sa femme, et la fête des grands-mères » raconte-t-elle, contente de recevoir une fleur. « Vous savez, il faut la couper tous les jours un petit peu. Avant, j’étais fleuriste », lui conseille Anita, sur le ton du secret, avant de repartir. Service rapide Et la tournée se poursuit. Anita prépare à chaque fois le panier-repas qu’elle va déposer. « Le dimanche, c’est toujours un peu meilleur, surtout le dessert. Les vrais repas de fête sont réservés à Noël et Pâques », explique-t-elle. Avec Marie-Thérèse, elle fait le point sur les menus des quinze prochains jours. « Non, pas de choucroute, j’étais malade l’autre jour, je préfère des haricots », demande l’octogénaire qui est bien entourée : une personne lui cherche le courrier, l’autre le journal, un voisin est toujours prêt à rendre service et son amie, sa sœur, sa famille viennent souvent lui rendre visite. « C’est du service rapide, mais ça ne fait rien, note Marie-Thérèse avant d’ajouter : Vous pouvez chercher un vase dans le buffet pour la rose, s’il-vous-plaît ? Je suis autoritaire, mais tant pis ! » • Seniors : Une rose pour grand-mère le 04/03/2012 l’Alsace Saint-Louis par Jean-Luc Koch Hier, les salariés d’APALIB’et d’APAMAD ont apporté, en plus de leurs services, une rose à chacune des dames visitées, à l’occasion de la fête des grands-mères. Les salariés d’APALIB’et APAMAD ont, en ce samedi veille de la fête des grands-mères, apporté une rose en plus des soins et des plateaux-repas. Parce que, pour la fête des grandsmères, il n’y a pas besoin de liens de parenté ! C’est ce qu’a retenu Pierre Kammerer, directeur général d’APALIB’ et APAMAD. Geste symbolique Il explique : « Pour toutes les valeurs que les grands-mères incarnent, il nous tenait à cœur de faire un geste symbolique. Il s’agit de remercier ces grands-mères pour tout ce qu’elles offrent, dans les échanges au quotidien avec nos porteurs de repas, nos auxiliaires de vie, nos aides soignantes. » Un petit cadeau de la part de ces salariés qui œuvrent jour après jour auprès de personnes fragilisées par l’âge, la maladie ou le handicap. Pierre Kammerer souligne la complexité des métiers et les valeurs de solidarité dont font preuve ses salariés. Être porteur de repas ne se limite pas à juste déposer un panier-repas, être aide-soignante ou auxiliaire de vie ne se limite pas à administrer des soins. Les salariés d’APAMAD et APALIB’représentent pour une personne qui ne peut plus faire la cuisine ou qui a besoin de soins, même dimanches et jours fériés, une chance de pouvoir continuer à vivre à son domicile dans de bonnes conditions. Raymonde qui reçoit sa rose d’Isabelle du service portage de repas d’APALIB' . Photo JeanLuc Koch Services sans cesse améliorés Le service de livraison de repas n’a cessé de s’améliorer : création des emplois de porteurs de repas, collaboration avec des diététiciens, mise en place de repas adaptés aux régimes sans sel, diabétiques, mixés et toujours en gardant une forte dimension sociale : les tarifs des repas sont calculés en fonction des revenus. « Ils représentent pour la famille un relais de confiance, ils veillent au bien-être de la personne aidée, ils sont ceux qui trouveront toujours ce petit mot de réconfort », poursuit Pierre Kammerer… Et la rose offerte a été un petit plus d’affection et de bienveillance. Lors de l’hiver 1948-1949, l’association nommée à l’époque Aide aux Vieux, aujourd’hui APALIB’, avait organisé dans ses foyers, une action de grande ampleur pour proposer des repas chauds à bas prix, aux plus démunis. À partir de 1951, l’association a commencé à porter régulièrement des plats préparés aux malades qui ne pouvaient pas se déplacer : elle a posé sans le savoir, par ce service de proximité, les bases d’un service qui existe toujours, 61 ans plus tard. Depuis tout ce temps, APALIB’et APAMAD permettent aux personnes âgées et en situation de handicap, de continuer à vivre à leur domicile, dans de bonnes conditions. • Une rose pour toutes les mamies publié le 04/03/2012 DNA Val d’Argent Jean-Marc Weibel distribue une rose même à celles qui ne sont pas grand-mère ! Photo DNA La livraison de repas à domicile de l’association Apalib’ne se limitait pas, hier, à la distribution d’un panier-repas aux personnes âgées. Jean-Marc Weibel, le livreur, a offert une rose pour la fête des grands-mères à chaque bénéficiaire, l’occasion de faire une bise et d’échanger un sourire. Il a dû livrer une soixantaine de roses toute la matinée. Ici, à la Nichée, rue des Cerisiers, trois dames ont ouvert leurs portes, avec chaleur : « Une fleur, cela fait toujours plaisir ». • Tradition : Une rose pour fêter les grands-mères le 06/03/2012 l’Alsace Colmar Un petit geste symbolique tellement plaisant. Photo Olivia Schreck Les associations APALIB'et APAMAD (service à la personne) ont tenu à célébrer la fête des grands-mères le dimanche 4 mars en offrant une jolie rose à chacune des bénéficiaires qu’elles aident au quotidien. Fabienne Terrier, porteuse pour APALIB'et APAMAD, a enchanté la pianiste Marguerite Danail par ce petit présent « qui fait toujours plaisir. Notre geste est toujours agréable, ça sort de l’ordinaire et c’est un plus qui dure quelques jours », affirme Fabienne Terrier. « En plus des très bons repas, Fabienne est adorable et je suis très touchée par cette rose qui m’est offerte depuis deux ans », a renchéri Marguerite Danail, 87 ans, qui se réjouit de ce bel hommage. « Une rose qui symbolise l’affection et la bienveillance des salariés à l’égard de leurs bénéficiaires », a ajouté Pierre Kammerer, directeur d’APALIB' et APAMAD. Fami emploi complémentaire et flexible • Garde d’enfants : 68, une offre le 08/03/2012 l’Alsace Colmar par Textes et photos Olivier Roujon Le service Fami emploi 68, dirigé par Christelle Peton, est toujours à la recherche de nouveaux collaborateurs en tant que gardes d’enfants. L’activité garde d’enfants, de l’association Fami emploi 68 est en pleine croissance. Son personnel intervient tôt le matin et tard le soir, en complément de l’école, de la crèche ou des assistantes maternelles. Fami emploi 68 soufflera cette année sa vingtième bougie. Ce service de l’association Apalib’, spécialisée dans les services à la personne pour tout public, connaît une véritable diversification. Son activité garde d’enfants, qui existe depuis 2006, est en pleine expansion : + 11 % en 2011, et l’année 2012 est partie sur les mêmes bases. « Nous sommes aux côtés de nombreuses familles haut-rhinoises, afin qu’elles puissent organiser leurs vies professionnelles et personnelles en toute sérénité, souligne Christelle Peton, responsable du service. Nous répondons avant tout à une demande, tous les territoires n’étant pas égaux face à la garde d’enfants, la mobilité des familles rendant en plus les situations évolutives ». Fami emploi 68 agit en complément des intervenants traditionnels que sont l’école, la crèche ou les assistantes maternelles. Ses gardes d’enfants peuvent donc conduire les enfants le matin, les chercher midi et soir, et s’occuper d’eux jusqu’au retour des parents. « Les horaires des structures existantes ne sont souvent pas adaptées à ceux des parents. Nos interventions peuvent débuter dès 4 h 30, et durer jusqu’à 22 h. Notre force est aussi de mettre en place des plannings à la carte pouvant inclure des nuits, de nous adapter aux changements de dernière minute et de garder les enfants dans leur environnement familial. Tout est fait en fonction des besoins des parents, qui peuvent ainsi pleinement profiter de leurs enfants lorsqu’ils rentrent chez eux », explique Christelle Peton. Plusieurs solutions sont possibles. L’offre « Ptit bout » s’adresse aux enfants de moins de trois ans. Dans ce cas le personnel doit nécessairement être titulaire d’un diplôme spécialisé dans la petite enfance. Quant à l’offre « Loulous », pour les enfants plus grands, elle comprend des activités de loisir, d’aide aux devoirs et aux activités extrascolaires, ou encore la préparation des repas ou des goûters. Une expérience avec les enfants sera requise pour pouvoir postuler. Fami emploi 68 compte actuellement environ 25 salariés, dont une dizaine à Colmar, et l’équipe ne cesse de s’étoffer. « Lors d’un premier contact d’une famille avec le service, une visite à domicile est préconisée, afin d’évaluer la situation et les besoins», précise Christelle Peton. Les prix peuvent paraître élevés (21,70 € de l’heure pour les plus de trois ans, 22,45 € pour les enfants plus jeunes), ces services sont compatibles avec les aides de la CAF et divers crédits d’impôts. Certaines personnes ne payent que 1,50 € de l’heure. CONTACT Fami emploi 68 à Colmar : 197 avenue d’Alsace. 03.89.32.78.78. www.famiemploi68.org Témoignage : « La solution idéale, à domicile, pour le confort de nos enfants » Annie Dilegami( à gauche), est devenue «indispensable» , à Nathalie et Walter Mac Dougall , ainsi qu’à Joanna, Maeva et Mathias ( de gauche à droite). Annie Dilegami travaille comme garde d’enfants pour la famille Mac Dougall depuis deux ans, à Colmar. Cette collaboration satisfait tout le monde. Il est 18 h 30. Mathias, huit ans, et sa sœur Maeva, six ans, font du coloriage dans la cuisine. Joanna, la petite dernière âgée de trois ans, joue sagement. Leurs parents ne sont pas encore rentrés, et pourtant ils sont chez eux, dans leur univers. En effet, comme presque tous les soirs, Annie Dilegami est allée les chercher à l’école et à la crèche. Le matin, elle conduit les deux grands en classe. Depuis deux ans, elle travaille comme garde d’enfants au sein du service Fami emploi 68 dans le secteur colmarien. « L’association Apalib’, dont dépend ce service, m’a aidé à passer, dès décembre 2010, mon certificat de compétence professionnelle (CCP) petite enfance, ce qui m’a permis de m’occuper d’enfants de moins de trois ans, raconte Annie. Le fait que mon emploi du temps soit modulable ne me dérange pas : je suis flexible. Je recommande un tel parcours à tous ceux qui s’intéressent aux enfants. J’en ai moimême élevé trois, mais ma formation m’a néanmoins appris beaucoup de choses ». Les enfants, quant à eux, semblent ravis d’être chez eux, en compagnie d’Annie Dilegami. « Je m’entends bien avec elle, confie Mathias, concentré sur son dessin. Elle nous aide pour beaucoup de choses ».Dès leur arrivée, les parents, Nathalie et Walter Mac Dougall, ne cachent pas non plus leur satisfaction. « Nous sommes arrivés dans la région en 2005, sans contacts ni famille, se souvient Nathalie Mac Dougall. Lorsque notre fille Joanna est arrivée, nous nous sommes tournés vers Fami emploi 68 pour nous aider. Au début, nous avions deux personnes formidables, mais elles ont arrêté leur activité. Puis, nous avons trouvé Mme Dilegami, avec qui nous avons noué un lien de confiance, et qui s’adapte à nos horaires variables. Elle est de plus très polyvalente, et donne aussi un coup de main pour les tâches ménagères. Parfois, elle prépare également le repas. Tout cela était essentiel à mes yeux ». Des gardes d’enfants à la carte Une nounou à domicile à toute heure, l’idéal pour bon nombre de familles. Archives Vanessa Meyer-Wirckel La branche « garde d’enfants » de l‘association Fami emploi 68 s’étoffe. Sa formule de gardes avec des horaires « à la carte » séduit de plus en plus les parents. Son personnel intervient tôt le matin dès 4 h 30 s’il le faut ou tard le soir jusqu’à 22 h, en complément de la crèche, de l’école ou des… assistantes maternelles. Mais des services de nuit peuvent être aussi mis sur pied, les gardes s’adapter aux changements de dernière minute… Une offre qui s’adresse aux tout petits comme aux enfants plus grands. Fami emploi 68 compte actuellement 25 salariés dont 10 sur Colmar. L’organisme qui est un service de l’association Apalib soufflera cette année ses 20 ans. Spécialisé dans les services à la personne pour tout public, il connaît une réelle diversification. Christelle Peton qui dirige le Service Fami emploi 68 annonce des tarifs qui peuvent paraître élevés, mais ils sont compatibles avec les aides de la CAF et divers crédits d’impôts. Elle est toujours à la recherche de nouveaux collaborateurs pour la garde des enfants. • Mittelwihr, Sécurité routière Cours de rattrapage pour les aînés publié le 25/03/2012 DNA Ribeauvillé L’APALIB informe les aînés des conducteurs. PHOTO DNA Jeudi 15 et mardi 20 mars, ils étaient une trentaine d’usagers de la route, tous âgés de plus de 60 ans, dont le doyen des séances Henri Trépier, 93 ans, à avoir répondu à l’invitation d’APALIB. L’association d’aide aux personnes âgées proposait une sensibilisation à la sécurité routière. Cette animation menée par Robert Schelcher, bénévole à l’APA, a permis aux participants d’échanger autour des problèmes de la pratique de la conduite. Parmi les sujets abordés, la vitesse et la notion de dynamique, les équipements des véhicules, la fatigue au volant, l’alcool, le téléphone portable, l’éco-conduite, le permis à points ou encore la réactualisation de la connaissance du code de la route. Les séances se sont terminées par un test sur les connaissances de chacun du code de la route. L’animateur a surtout plaidé pour une cohabitation harmonieuse sur la route qui passe par le respect du code mais aussi celui des autres, l’entretien de son véhicule, la connaissance de ses propres limites ainsi que la courtoisie au volant. • Bartenheim : Une première pour le Haut-Rhin Des associations à la Maison de Santé par Paul-Bernard Munch, publié le 31/03/2012 DNA Saint-Louis Plusieurs intervenants en insertion ou pour le maintien à domicile seront sous le même toit que les professionnels de santé à Bartenheim. PHOTO DNA — PBM Jeudi, la signature de l’acte d’achat des locaux du Réseau APA, La Croisée des Services et d’Air à Domicile a officialisé leur présence au sein du futur pôle de santé pluridisciplinaire de Bartenheim. Ce projet innovant nous permet de nous inscrire davantage dans la coordination entre le secteur médical et médico-social : c’est important pour la population » déclare Jean-Marie Meyer, président du Réseau APA spécialisé dans les services à la personne. La volonté des entités d’être au plus près de la population pour un service sur-mesure C’est dans le local des sapeurs-pompiers de Bartenheim qu’a été signé l’acte d’achat des locaux dans le futur pôile, en présence du maire, Jacques Ginther, Luc Bostaetter et Gilbert Vetter, deux des médecins fondateurs de la maison ainsi que le groupe PS Concept, pilote du projet. L’implantation des associations du Réseau APA et d’Air à Domicile dans cette commune démontre la volonté de ces entités d’être au plus près de la population pour un service surmesure. La Maison de Santé Pluridisciplinaire Cette structure sera composée de 21 professionnels de santé (cinq médecins généralistes, kinésithérapeutes, diététiciens, infirmières…). Son objectif est d’apporter des réponses globales aux besoins de santé de la population. Ce centre est le premier réalisé dans le HautRhin. À Bartenheim, il touchera environ 15 000 personnes et pourra accueillir 300 personnes par jour. Un pôle spécialiste et un pôle services La maison de santé pluridisciplinaire sera composée d’un pôle regroupant les spécialistes et d’un pôle « Services à la Santé » avec les associations APAMAD, APALlB, Domicile Service de Haute Alsace, ainsi qu’Air à Domicile, un opticien audioprothésiste et l’INRESA, spécialisé dans le matériel médical. Elle accueillera à partir du mois de juin prochain des patients sur rendez-vous ou en consultation directe. Les prises en charge se concentreront sur les pathologies telles que le diabète, les maladies cardio-vasculaires ou encore la maladie d’Alzheimer. Le chantier de la maison pluridisciplinaire. Photo DNA — Kristin Jurack Les services à la personne présents à la MSP Le grand public pourra venir se renseigner sur une large palette de services à la personne, tels que l’entretien du cadre de vie (aide au ménage, au repassage…), l’aide à la personne (aide au lever, au coucher, à la toilette, à l’habillage…), l’accompagnement aux courses et aux déplacements, le jardinage, la livraison de repas ou encore la garde d’enfants. La vocation des associations fournissant ces services est d’accompagner dans leur quotidien les personnes fragilisées par une maladie, une hospitalisation, un handicap, passager ou durable, ou simplement l’âge.