Dossier de presse

Dossier de presse
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YUZU Productions
SAS au capital de 10.000 Euros ⏐ RCS Bobigny 751341827 ⏐ SIRET 75134182700010 ⏐ TVA FR 21 751341827 ⏐Code NAF 5911C
30 rue du Colonel Delorme 93100 Montreuil - France⏐ T +33 1 43 63 68 70 ⏐ [email protected] ⏐ www.yuzu-productions.com
Résumé court
Quitter la précarité parisienne pour tenter de se reconstruire un avenir à Aurillac (Cantal).
C’est le projet de vie que tentent une dizaine de familles ou d’individus isolés via un nouveau
soutien social en expérimentation proposant logement, et accompagnement social pour faciliter
l’accès à l’emploi.
Ce film condense deux ans dans les pas de ces personnages qui veulent se relever et de ceux qui
les soutiennent.
Fiche technique
Un film écrit et réalisé par
Durée
Format
Montage
Musique originale
Une coproduction
Stan et Edouard Zambeaux
55 mn
HD, couleur
Stéphanie Goldschmidt
Kevin Seddiki
YUZU PRODUCTIONS (Fabrice Estève, Christian Popp)
PUBLIC SENAT (Hélène Risser, Elise Aicardi)
TVM Est parisien (Sylvain Poubelle, Bruno Niepceron)
Télim TV (Vanessa Finot, Emmanuel des Moutis)
avec la participation du Centre national du cinéma et de l’image animée
avec le soutien de POLYGONE, de l’UNION SOCIALE POUR L’HABITAT et d’AMALLIA
avec le soutien de la PROCIREP - Société des producteurs et de l'ANGOA
avec le soutien de la Commission Images de la Diversité – CGET / Acsé
avec le soutien de la Communauté d’Agglomération du Bassin d’Aurillac
© Yuzu Productions – Public Sénat – TVM Est parisien – Télim TV – 2016
Contacts
YUZU Productions
Fabrice Estève Producteur
[email protected], Mobile +33 6 87 47 22 27
30 rue du Colonel Delorme 93100 Montreuil - France⏐ T +33 1 43 63 70 00
[email protected] ⏐ www.yuzu-productions.com
Public Sénat
Elsa Faimali
Chargée de communication et Responsable réseaux sociaux
[email protected]
Mobile + 33 6 82 04 20 48
92 boulevard Raspail - 75006 PARIS ⏐Tél + 33 1 42 34 44 13
Diffusions
Public Sénat :
TVM Est Parisien :
Télim TV :
YUZU Productions
Samedi 26 mars à 22h, Dimanche 27 mars, 9h
NC
NC
Des clés dans la poche
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Note d’intention des auteurs réalisateurs
Contexte et genèse du Projet
En Île-de-France, après avoir payé leur loyer, 350 000 ménages sont en grande précarité.
Plus d'un quart des SDF ont un emploi. Tous les jours, le Samu Social paye 30 000 nuits
d'hébergement pour des sans-domiciles. A Paris, un logement social est libre une fois tous
les vingt ans alors qu'à Aurillac, il est libre une fois tous les cinq ans grâce à une réelle
évolution du parcours locatif des habitants.
Fortes de ces constats, l'association Aurore, qui vient en aide à 15 000 mal-logés ou SDF
en Île-de-France, et la société Polygone, bailleur social à Aurillac, ont élaboré un
partenariat pour une expérimentation sociale. Aurore a proposé à quelques-uns de ses
"bénéficiaires" d'aller voir si l'herbe est plus verte ailleurs... et surtout si la vie n'y serait pas
plus facile. Polygone s'engage de son côté à trouver un logement accessible aux
candidats au départ et mobilise son réseau pour décrocher un emploi.
Cette initiative ne manque pas d’interroger sur la situation parisienne qui, avec son pouvoir
d’attraction, devient parfois une impasse inextricable. Un nœud qui en matière sociale
suffoque et sature (40 % des sans-abris sont en Île-de-France). La démarche imaginée
par le Président du Samu Social consiste à sortir d'une approche régionale de la pauvreté
(et d’une politique du thermomètre) pour proposer également, à travers l'attachement à sa
région et à son pays, un échange avec l'autre. Il s'agit de montrer comment s'ouvrent de
nouvelles voies qui trouveront sans doute un écho retentissant dans les décennies à venir
tant l'impasse est inéluctable.
Cette approche est aujourd’hui de manière méthodique organisée par l’Union sociale pour
l’habitat (USH) qui lance un programme expérimental pour la construction de 10 000
logements, dits accompagnés, à travers le pays. Des logements qui justement veulent
aller plus loin que la « simple fourniture de murs » pour les plus fragiles. Ce genre
d’initiative nourrit donc une réflexion plus politique, plus macro sur ce qui pourrait être
répliqué, reproduit ailleurs. Et les territoires ruraux ou à faible densité, forts de leur parc
immobiliers, sont en première ligne pour inventer et proposer des micros-solutions qui
pourraient être généralisées. L’expérimentation d’Aurillac est l’un des premiers projets de
logement accompagné retenu par l’USH.
Nous avons décidé de témoigner de cette initiative du Cantal, qui renvoie à des questions
politiques cruciales, à travers les yeux des bénéficiaires. L’aventure humaine qui en
découle est au coeur du film : les espoirs et la difficulté de se relancer dans une nouvelle
vie, la force et la volonté qu'il faut pour tout reprendre à zéro ailleurs et parfois se heurter à
la force des préjugés…
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Des clés dans la poche
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Pourquoi ce film ?
Ce film répond à nos yeux à une double approche. Une question sur notre époque où le
logement devient un luxe parfois inaccessible. Une question sur le « traitement social »
de la pauvreté qui consiste souvent à vouloir apporter des réponses globales à des
questions individuelles.
Sensibilisés aux problèmes de la grande pauvreté par nos parcours respectifs, nous
avons eu envie d’aborder ces questions à travers les yeux des individus touchés par la
précarité qui sont au centre de ce film. Loin des stéréotypes, les personnes en grandes
difficultés n’attendent pas « tout » de la solidarité. Ils attendent en revanche qu’un
regard bienveillant et aidant les accompagne pour reprendre leur destin en main et
renouer le fil d’une histoire de vie interrompue par des aléas les plus divers (exil, crise
économique, maladie, divorce, addictions, errance…)
Le « destin statistique » de tous les personnages de ce film serait de s’enfoncer dans
une précarité et une dépendance à l’institution publique sans cesse grandissantes. De
devenir ad vitam aeternam des « assistés ». Or, grâce à la mise en place d’une micro
initiative qui permet de réveiller leur volonté, leur énergie et de rendre possible à
nouveau une projection dans l’avenir, ils tentent, sans garantie de succès, d’enrayer la
fatalité.
C’est aussi la force de ces micro-initiatives, modestes, proches de l’individu que nous
souhaitons illustrer. Montrer qu’à une époque caractérisée par son « individualisme »
des petites initiatives peuvent changer des parcours à bas bruit, sans tambour ni
trompettes. C’est l’histoire d’une expérience modeste au service de gens modestes que
nous avons voulu raconter avec le mouvement et les incertitudes qui la caractérise.
Regarder ces hommes et ces femmes en marche à hauteur d’homme avec confiance
dans ses trajectoires mais sans naïveté sur leur chance de toutes être couronnées de
succès. Il y a eu, comme dans la vie, des échecs et des réussites, des combats et des
renoncements, des perspectives et des trous noirs…
Dans ce cas, la mobilisation rurale et régionale de solidarité porte les germes d'une
expérimentation qui pourrait s'élargir au territoire national ou donner des idées à
d'autres. En tout cas, le mécanisme imaginé par deux institutions n’existe aujourd’hui
que par la volonté des participants et par la bienveillance de « petits » acteurs de terrain
chargés de la mettre en œuvre ou simplement complices car cela correspond à leur
éthique. Elle montre qu'un désir de certaines personnes est en train de naître sur le
territoire pour revenir, sans doute, à une nouvelle approche du «vivre ensemble».
Cette juste humanité sans fard qui illustre la force de la volonté et de l’entraide nous a
convaincu de mettre, caméra en main, nos pas dans ceux de ceux qui veulent se relever
et de ceux qui les soutiennent.
Edouard et Stan Zambeaux
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Des clés dans la poche
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Les personnages principaux
Famille Withanagé
Palika et Athula Withanagé sont
un couple d’exilés politiques du
Sri Lanka avec leur fils Sakun,
âgé d’une dizaine d’années à leur
arrivée en France. Athula était
journaliste, menacé de mort,
exfiltré par Reporters sans
frontières. Il s’est d’abord réfugié
au Népal avant de gagner la
France et d’être rejoint deux ans
plus tard par sa femme et son
fils. Les six premiers mois de son
exil en France se sont déroulés à
la « maison des journalistes ». Ensuite il a du trouver un logement par ses propres
moyens et a loué pour 550 Euros par mois une pièce dans un appartement où ils
cohabitaient avec une autre famille.
Avec le départ à Aurillac, il s'agit pour les Withanagé de reconstruire leur vie après une
émigration forcée et d'accepter un déclassement. Cela passe par l'apprentissage de la
langue, l’appropriation d'un nouvel espace et d'une nouvelle culture, la continuité de la
scolarisation de l'enfant, la recherche d'un emploi et la vie de famille.
Stéphane Giraud
Stéphane Giraud, 43 ans, est
emblématique d’une réinsertion à
travers une trajectoire sociale très
« heurtée ». Stéphane a vécu une
quinzaine d’années à Paris sans
jamais avoir de domicile fixe. Il a
connu les foyers, les centres
d’hébergement et la débrouille des
nuits passées dans un hall d’immeuble
ou un parking. Il sort d’un long
parcours de rue. C’est lui qui inspire le
titre « des clés dans la poche » car
cette simple hypothèse le faisait rire
au début du processus.
Il s'agit pour lui de se libérer de ses anciens démons de la rue, de polyaddictions, de
repartir sur de bonnes bases, d’apprendre à vivre seul dans son propre logement, trouver
un emploi et reconstruire des relations avec les autres.
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Des clés dans la poche
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Hamza Mekfi
Hamza Mekfi, la soixantaine, d’origine
algérienne, est une sorte de fantôme qui hante
les murs de Paris. Il se sent parfois comme
l'ombre de lui-même.
Il ne parviendra pas à s'extraire de la nasse de
Paris. Opposition entre son immense désir de
départ à Aurillac après les repérages et
l'abandon ou le choix de conserver sa vie de promiscuité à Paris avec ses habitudes et
ses rares occasions de sociabiliser.
Il incarne la malice, l'errance, la solitude, l'immigration, la vieillesse. Hamza est en quelque
sorte un prisonnier de son passé et des techniques qu’il a « développées » pour s’en sortir
depuis cinq ans qu’il erre dans les rues parisiennes.
Famille Morris
Avec la crise espagnole Claudia et
Manuel Morris ont décidé de quitter
Cadiz. En roulant droit devant eux. A
deux générations d’écart ils ont refait le
chemin des émigrés espagnols de
l’après guerre même si bien sûr ils ne
fuyaient pas une dictature. Pour eux
c’était une question de survie familiale.
Ils ne faisaient plus face à leurs
échéances, allaient perdre leur domicile
et craignaient par dessus tout que leurs trois enfants soient placés. Ils sont en quelque
sorte des « born again » tant ils ont craint le pire. A leur arrivée à Paris, ils ont habité dans
leur voiture pendant quelques jours puis ont été pris en charge par le Samu social qui les
a mis à l’abri en les séparant. Manuel seul à l’hôtel et Claudia avec les enfants dans un
centre d’accueil. Chaque jour Manuel attendait l’heure limite pour quitter sa famille et
retourner dormir dans son hôtel. Ils sont mus par une énergie vitale peu commune et leur
enthousiasme face à cette opportunité qu’est le départ à Aurillac irradie le film. Ils veulent
recréer une vie de famille et vivre « dans la dignité » tout simplement.
ET APRES
Après deux années d’expérimentation, le projet dont la genèse est racontée dans ce film
prend de l’ampleur. 5 familles ont rejoint ou sont sur le point de rejoindre le dispositif et
une vingtaine d’autres devraient prendre le chemin d’Aurillac au cours de l’année 2016.
L’association Aurore a détaché à Aurillac un travailleur social pour trouver des débouchés
professionnels et favoriser l’adaptation des nouveaux arrivants dans leur environnement.
De leur coté, les pouvoirs publics regardent attentivement ce dispositif et ont évoqué l’idée
de proposer à des familles de réfugiés syriens de « bénéficier » de cet accompagnement
dans le cadre de leur accueil en France. « Un toit, un emploi » pourrait à terme se
développer dans d’autres villes d’Auvergne mais aussi dans d’autres régions qui souffrent
de l’exode rural et bénéficient d’un parc locatif social disponible.
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Les auteurs
Connu à travers ses programmes pour France Inter (Périphéries chaque dimanche à
12h45), Edouard Zambeaux est aussi à l’origine de nombreuses autres initiatives
interrogeant la société française, notamment la déclinaison TV du Bondy Blog ou la
création de la Zone d’Expression Prioritaire (ZEP). Il est l’auteur d’un livre enquête « En
prison avec les ados, enquête au cœur de l’école du vice » éditions Denoël.
Stan Zambeaux, réalisateur et chef opérateur, formé à « l’école belge » du cinéma vérité
s’est lui déjà illustré par des œuvres sélectionnées dans nombre de festivals. Ses
documentaires témoignent des relations humaines profondes qu’il arrive à nouer avec ses
personnages et de son sens esthétique. Sa présence à la caméra favorise un regard
personnel, des choix de cadre pleinement assumés.
Edouard Zambeaux
Journaliste, producteur délégué à France Inter
(carte de presse 78 261 / obtention 1994)
Né le 19 avril 1971 à Paris
Diplômé de l’Institut Pratique de Journalisme en juin 1993
Radio
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Depuis septembre 2005 : producteur délégué à la rédaction de France Inter.
Création de la chronique « Périphéries » 7 minutes de reportage, diffusées le
dimanche à 13h 20
D’octobre 2006 à novembre 2010 producteur délégué de l’émission
« Microscopie », magazine hebdomadaire d’investigation sociale de 47 minutes sur
Radio France Internationale.
17 mars 2006 Conception et coordination de la journée spéciale « Tous aux
postes » permettant à 300 adolescents de Seine-Saint-Denis de s’emparer de
l’antenne de France Inter entre 6 h et 21 h après une préparation de 6 mois. Projet
mené en partenariat avec la Fondation 93.
Radio France Internationale (RFI) : Créateur et producteur délégué de l’émission
« Territoires de jeunesse » magazine de société sur la jeunesse (2002-2006).
Réalisateur et concepteur de séries spéciales d’émissions associant des jeunes sur
des thèmes de société en rapport avec la jeunesse des « quartiers » en partenariat
avec la Fondation 93 (1998-2002)
Europe 1 : correspondant à Jérusalem, Jéricho et Naplouse pour la signature des
accords d’Oslo en septembre 1993.
Radio France Toulouse : stage de fin d’étude (août 1993).
Edition
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« En prison avec des ados » enquête dans les quartiers de mineurs des prisons
françaises publiée aux éditions Denoël en 2001.
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Télévision
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Bondy Blog Café présentation et rédaction en chef : émission d’interview
politique et de reportage sur les thématiques liées aux quartiers populaires 52’ sur
LCP (Octobre 2011- Juillet 2012 campagne présidentielle)
Clichy sous Bois, périphérie de la République documentaire TV auteur et co réalisation avec Emmanuel Hamon Production Zadig (en cours)
Productions Personnelles
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« Marchands de sommeil, le business de la misère » enquête dans Médiapart,
février 2011
« En prison avec des ados » Enquêtes radio diffusée dans le magazine
« Interception » de France Inter le 27 janvier 2002 (45’) et dans l’émission
« Ecoutez des anges passent » sur France Inter le 9 avril 2004.
« Au chevet des enfants de la guerre » reportage sur les conséquences
psychologiques du conflit israélo-palestinien dans les deux jeunesses publié dans
La Vie en dossier central avec la Une le 20 mai 2004. Diffusion radio sur RFI
« J’ai l’âge de mon pays » galerie de portraits de douze citoyens israéliens né en
1948 réalisée pour les 50 ans de la création de ce pays et publiée par les
magazines Géo (décembre 98) et Historia (mai 98) disponible sur le site
www.dazibao.net.
« L’ambre, l’or gris des Océans » enquête sur une matière première de la
parfumerie, publiée dans les magazines Sciences et Vie (mai 96), Mer & Océan
(juillet 96), Challenges (octobre 96), Géo Grèce (été 2001), Quo (Italie) et
supplément d’El Mundo (Espagne). Vente de l’enquête à Thalassa France 3
(26’diffusé en janvier 97).
« Chronique de la vie quotidienne en communes isolées » parution dans le
magazine Mer & Océan (février 96).
« Le petit peuple des Samaritains » reportage sur les Samaritains, communauté
de 700 personnes dont la moitié vit en Israël et l’autre dans les Territoires
palestiniens. Publication dans Ouest France (février 94) et Grands Reportages
(décembre 97).
« Albanie, le réveil du pays des Aigles » et « Kosovo, le pays frère » reportages
en Albanie sur le « renouveau » des religions et à la frontière du Kosovo sur les
installations militaires, publiés dans La Vie et Ouest France (avril 93).
« Banlieue, l’amour en cage » enquête collective sur l’éveil amoureux des jeunes
filles de banlieue publiée par Marie Claire (août 99).
Presse écrite
-
Coordination et rédaction en chef d’un numéro spécial du cahier sciences de
Libération (1997) et d’un supplément à Télérama (1999) écrits par des
adolescents de ZEP dans le cadre d’ateliers d’écriture en partenariat avec la
Fondation 93
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- Pigiste pour Les Echos, Le Figaro Magazine, Historia, Grands Reportages, Géo,
VSD, Zurban, Sciences et Avenir, Phosphore, Talents, Eurêka
Autres
-
-
-
Lauréat du deuxième prix national du journalisme décerné par la commission
européenne dans le cadre de l’année européenne de lutte contre la pauvreté et
l’exclusion sociale (2010) pour un reportage diffusé sur France Inter
Lauréat du prix radio 2009 « Stop aux clichés sur les jeunes » décerné par
L’Anacej (association nationale des conseils d’enfants et de jeunes)
Lauréat du 3è prix de la Fondation Varenne en 2006 et en 2011 avec des
reportages diffusés sur France Inter et intitulés « la cité c’est ton pays, ta capitale »
et « 10ème étage escalier B un taudis qui rapporte gros »
Membre du jury du prix Goretta de la Radio Suisse Romande entre 2004 et 2010
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Stanislas Zambeaux
Auteur – Réalisateur - Cadreur
Né en 1985 à Levallois-Perret
Filmographie
2013/2014
- Documentaire « Des Hommes » (53 min) Prod: Dérives (société de Luc et Jean-Pierre
Dardenne) / Wallonie image Production https://www.youtube.com/watch?v=6gEnLfTPf6o
2012
- Documentaire « La gamme de la liberté » 24 min (France-Albanie) CME/La fougue
- Documentaire « Ulysse et la grotte de Polyphème » 23 min. (France-Belgique-Albanie)
https://www.youtube.com/watch?v=qkcaPTcuDmc
2011
- Promoteur encadrant des étudiants de journalisme pour leur film de fin d'études (Niveau
bac + 3) Malines – Belgique
- Documentaire et de trois clips musicaux autour de le rencontre de musiciens européens
et Africains à Ouagadougou dans le cadre des « Axes Nord Sud - Musiques sans
frontières » financé par le BIJ/ULULE.
2010
- Documentaire de 26 min. « Recardo Muntean Rostas » sur le destin de traducteur
d'un enfant Rom de 7ans vivant à Bruxelles :
https://www.filmdocumentaire.fr/Recardo_Muntean_Rostas.html,film,27790
*Prix de la diversité A.C.S.E Festival Traces de Vies de Clermont-Ferrand en 2010.
*Prix des auteurs SCAM / SACD Festival Media 10/10 de Namur en 2010
*Prix du Public SACD Bruxelles en 2010
*Prix du documentaire Biennale du documentaire de Gammarth (Tunis) en 2010
*Diffusé palais des Beaux Arts de Bruxelles dans le cadre du Festival Trafik Balkans
*Coup de coeur du jury et du public au festival Point doc – Paris – 2011
*Prix des centres culturels au festival Filmer à tout prix – Bruxelles – Nov 2011
*Mention Spéciale au Festival International de Bergame – Italie en 2010
*Prix de l'équipe au festival « Inconnu » Paris – Mai 2011
*Sélection au festival Corsica doc d'Ajaccio
*Sélection au FIPA – Biarritz – 2011
*Sélection au festival Belo Horizonte – Brésil – Nov 2011
*Sélection au festival Aguilar de Campo – Déc 2011...
communauté française, le CGRI, et le WBI.
- Documentaire « Dare Waté Yacouba » (26 min.) tourné au Burkina Faso en partenariat
avec la communauté française, le CGRI, et le WBI. Ce film accompagne un enfant de 14
ans qui a quitté son village en brousse dix ans plus tôt avec sa mère, et qui décide de
retourner, retrouver son père et ses racines. Ce film accompagne un enfant de 14 ans qui
a quitté son village en brousse dix ans plus tôt avec sa mère, et qui décide de retourner,
retrouver son père et ses racines.
*Sélection au festival des films d'Afrique et des Îles à La Réunion en 2010.
*Sélection au festival de Casablanca (Maroc) Nouzah Fennia en 2011
www.film-documentaire.fr/Dare_Wate_Yacouba.html,film,28629
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- Documentaire M.A.C.O (19 min) dans le quartier mineur de la prison de Ouagadougou
(Burkina Faso). Le film suit des jeunes incarcérés, de 11 à 14 ans.
*Sélection au festival Traces de Vies – Clermont-Ferrand – Novembre 2011
*Sélection au festival Tous courts d'Aix en Provence – Décembre 2011
*Sélection au festival international du cinéma numérique de Cotonou – Décembre
2011
http://www.film-documentaire.fr/M.A.C.O.html,film,33787
- Création vidéo : « Danse avec le ciel » autour du spectacle de danse de la chorégraphe
Coréenne Kyung-A-Ryu intitulé « Miss ». À la Raffinerie de Bruxelles
http://charleroidanses.be/Public/Festival.phpID=4548&child1=4541&page=1&show=
calendar&language=fre
- Captation du concert du musicien Burkinabé Victor Démé à Anvers. Chapa blues
Record/La Fougue
- Dramatique radio « Pense que tu es Dieu » adapté d'un texte de Mateï Vicniek. (15
minutes), Responsable d'ateliers cinéma avec des classes de jeunes de 10 à 12 ans dans
une école primaire de Bruxelles sur le thème des identités.
2008/2009
- Reportage radio « Le monde de l'amour » enregistré avec des enfants de 8 à 12 ans
dans une école de Cergy Pontoise. Diffusé sur la radio « Première » (RTBF) en juin 2009
et rediffusé en Juillet 2010
2007
- Documentaire court métrage dans un service de psychiatrie à Bruxelles intitulé 9ème
http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&VideoID=53965073
Nord West
2006
- Mini portraits en banlieue parisienne dont “Dans la peau de Craouch”
2005
- Premier documentaire « Rêve d'un ailleurs » (26 min) en Casamance et en France sur
le décalage de vie d'un immigré dans son pays d'origine et dans son pays d'immigration.
2004
- Fondateur d'une association culturelle « La Fougue » autour du thème le cinéma dans la
ville près des gens.
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PHOTOS DU FILM
01 – La famille Whithanagé à Aurillac
© YUZU Productions / Zambeaux / 2015
02 – La famille Whithanagé à Aurillac
© YUZU Productions / Zambeaux / 2015
03 – La famille Morris à Paris
© YUZU Productions / Zambeaux / 2015
04 – Dessin réalisé par Thalia Morris avant le départ de sa famille pour Aurillac
© YUZU Productions / Zambeaux / 2015
05 – Hamza Mekfi dans les locaux de l’association Aurore à Paris
© YUZU Productions / Zambeaux / 2015
06 – Stéphane Giraud à Aurillac
© YUZU Productions / Zambeaux / 2015
07 – La famille Whithanagé près d’Aurillac
© YUZU Productions / Zambeaux / 2015
08 – Hamza Mekfi et Stéphane Giraud à Aurillac
© YUZU Productions / Zambeaux / 2015
09 – Aurillac
© YUZU Productions / Zambeaux / 2015
10 – Hamza Mekfi près d’Aurillac
© YUZU Productions / Zambeaux / 2015
11 – La famille Whithanagé à Aurillac
© YUZU Productions / Zambeaux / 2015
12 – Stan Zambeaux filme Palika Whithanagé près d’Aurillac
© YUZU Productions / Zambeaux / 2015
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Générique
Un grand merci pour leur confiance à
Athula, Palika, Sakun, Stéphane, Hamza, Claudia, Manuel, Thalia, Ainhoa et Adrian
Un film écrit et réalisé par
Stan Zambeaux
Edouard Zambeaux
Image
Stan Zambeaux
Son
Edouard Zambeaux
Thierry Marsilhac
Montage
Stéphanie Goldschmidt
Montage son
Pierre Carrasco
Mixage
Pierre Carrasco
Aurélien Guilloteau
Etalonnage
Alexandre Sadowsky
Voix off
Edouard Zambeaux
Assistanat montage
Yann Varenne
Antoine Challeil
Traductions
Jacqueline Martinez Severac
Sofia Navarette Donoso
Isabel Vendrell
Direction de production
Marilyn Belbenoit
Production exécutive
Fabrice Estève
Thomas Schmitt
Administration de production
Nathalie Beaslas
Philippe Bedfert
Stagiaires de production
Eugénie Gaubert
Hélène Carbonnel
Mona Flammer
Julien Welter
Bingyuan Xu
Moyens techniques
Cinéplume / TVM
Circle Line
CTM Solutions
Découpages
Glob Editions
Télim TV
Montage Trailer
Gabriel Piron
Musique originale composée et interprétée par
YUZU Productions
Kevin Seddiki
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Musiques additionnelles :
« Rivages »
Interprété par Kevin Seddiki
© 2012 & ℗ 2012 Wildner Records
« A la belle étoile »
Interprété par Kevin Seddiki
© 2013 & ℗ 2013 Pierre Hégé
Avec l’aimable autorisation de World Village / Harmonia
Mundi
Remerciements
Eric Pliez et l’Association Aurore, Michèle Attar, Pascal Lacombe, Franck Lapié, Norman Delis,
Monique Sevère, Manu Arvy, Jean-Marc Escurier, Joachim Soëtard, Annie Palurovic, Amélie
Viguier, Mairie d’Aurillac.
une coproduction
YUZU PRODUCTIONS
Fabrice Estève
Christian Popp
PUBLIC SENAT
Hélène Risser
Elise Aicardi
TVM Est parisien
Sylvain Poubelle
Bruno Niepceron
Télim TV
Vanessa Finot
Emmanuel des Moutis
avec le soutien de Polygone, de l’Union sociale pour l’habitat et d’Amallia
avec la participation du Centre national du cinéma et de l’image animée
avec le soutien de la Commission Images de la Diversité – CGET / Acsé
avec le soutien de la Procirep - Société des producteurs et de l'Angoa
avec le soutien de la Communauté d’Agglomération du Bassin d’Aurillac
© Yuzu Productions – Public Sénat – TVM Est parisien – Télim TV – 2016
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