Dossier de presse
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Dossier de presse « Creil Colors » Concert gratuit Samedi 14 juin 2014 17h-22h30 Île St-Maurice - Creil Sommaire Présentation de l’événement « Creil Colors » p.3 1 concert, 3 artistes reconnus Amadou et Mariam FFF Tambours du Bronx p.4 p.5 p.6 p.8 Informations pratiques p.10 2 Présentation de « Creil Colors » l’événement Qu’est-ce que « Creil Colors » ? « Creil Colors » est un grand concert autour des musiques du monde, gratuit et en plein air, organisé par la Ville de Creil. Dans le même esprit que le Mix Up festival, des artistes de renommée internationale seront présents à Creil. Creil Colors c’est l’ouverture d’un grand week-end festif : samedi 14 juin concert de 17h à 22h30 et dimanche 15 juin de 11h à 19h la traditionnelle fête des associations. Et le 15 juin, à partir de 20h30 retransmission en direct sur écran géant du premier match de l’équipe de France pour la coupe du monde de football 2014. 3 Quand ? Cet évènement se déroulera le samedi 14 juin 2014 de 17h à 22h30. Où ? Sur l’île Saint-Maurice à Creil (Oise). Situé en plein coeur de la ville, cet espace naturel de 4 hectares est facile d’accès par les transports en commun. (Voir plan d’accès page 10) Quelques détails pratiques Parkings et restauration sur place. Entrée libre et gratuite pendant tout le concert 1 concert, 3 artistes Creil Colors, un grand concert populaire autour des musiques du monde Comme l’année dernière avec Manu Dibango, Idir et Bim Bam Orchestra, la Ville de Creil propose un grand concert gratuit et populaire dans le cadre naturel de l’Île Saint-Maurice. Cette année, encore, une programmation de qualité avec Amadou & Mariam, FFF et Les Tambours du Bronx. 4 Amadou et Mariam Welcome to Mali. Tout était déjà dit entre les lignes de leur précédent recueil. Amadou et Mariam cultivent depuis bien longtemps l’art de la rencontre, le sens du jeu collectif, un esprit d’ouverture qu’ils ont souvent mis en pratique auprès de musiciens de tous horizons et styles. D’allers en détours, leurs périples planétaires auront permis au couple de se forger des amitiés au long cours. M et Vincent Ségal furent leurs invités, Keziah Jones et K’naan ont également dialogué, le trompettiste libanais Ibrahim Maalouf et le guitariste anglais Johnny Marr ont été conviés à jammer, Manu Chao et Damon Albarn les ont produits avec doigté… Pas de doute, l’histoire du couple malien s’écrit au pluriel de leurs suggestives affinités, une manière de dire au-delà des notes qu’il est temps de briser les œillères et de repousser les frontières qui figent les esprits. « Les rencontres avec les autres nous font grandir », se plaît à répéter Amadou qui a eu l’heur de croiser sur scène Robert Plant et David Gilmour, deux idoles de sa jeunesse. Amadou Bagayoko et Mariam Doumbia ont développé un sens aiguisé de l’altérité qui rime avec diversité. Ce que confirme disque après disque, tournée après tournée, leur parcours dans le monde de la musique où leur fan-club s’élargit toujours plus. Pouvait-on imaginer alors qu’ils foulaient la scène des Transmusicales de Rennes en 1998, que dix ans plus tard Calexico, combo venu des plaines d’Arizona, se convertirait tout de go aux « plaisirs émouvants de ces deux cœurs essentiels à ce monde », à leur « style hypnotique, des spirales de guitare qui soutiennent des chansons sociales, personnelles, politiques »… L’improbable épopée est devenue une imparable leçon à méditer : impossible de s’entendre sur cette planète en oubliant ce qui fonde nos différences. 5 FFF 6 Décembre 1990, le public découvre FFF aux Transmusicales de Rennes. Convoités, c’est le label Epic chez Sony qui dégaine le plus vite et les signe. Au début des années 90, la crise du disque est encore loin, leur maison de disque qui ne compte pas (encore) ses sous les envoie chez Bill Laswell à Brooklyn pour trois mois. L’album est mis en boîte en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, le reste du séjour sera consacré au perfectionnement de la vie « rock ‘n’ roll ». Spike Lee et Don Letts réalisent leurs premiers clips… Le grand gourou funk George Clinton s’entiche des frenchies, et les adoubent sur les marches du Sacré Cœur dans une séquence culte aujourd’hui du clip New Funk Generation. Au nom du père, les membres de FFF sont chevaliers du funk ! Le père du Parliament Funkadelic les emmène aussi en tournée avec son gang sur les routes européennes. L’apprentissage est entre de bonnes mains.… Entre temps leur premier disque Blast Culture est sorti, 13 titres dont une reprise signée Gainsbourg, Le requiem pour un con… Bilan comptable 80 0000 disques écoulés. Essai transformé ! Un concert de FFF sonne comme une déflagration. Pour le toujours décisif second album, FFF investit la campagne anglaise, au Ridge Farm Studio avec à la coproduction Mark Wallis (U2, Talking Heads). Avec Free For Fever ils « inventent » le son de FFF… Grooves lourds et saturés, et paroles « concernées ». Ils défendent l’album dans les plus grands festivals européens : Glastonbury, Roskilde, les Eurockéennes etc. Pour leur troisième album, plus aguerris, ils restent à Paris et produisent eux-mêmes le disque intitulé FFF. Une tournée mondiale (et française) s’ensuit et les amène en Amérique du Sud et en Asie. Suite à cette tournée, ils obtiennent La Victoire de la Musique du meilleur concert. Au meilleur de sa forme, la Fédération participe à la bande originale du film de Mathieu Kassovitz La Haine. En 2001, le groupe fait un « break ». 6 ans plus tard, FFF se réforme pour le festival Solidays. Ce 7 juillet 2007, les membres du groupe comprennent que les fans « en manque » sont nombreux à les attendre. Le concert suivant n’aura pourtant lieu qu’à l’automne 2013, au Bus Palladium, toujours pour la bonne cause, celle du Secours Populaire. Mais cette fois c’est la bonne. FFF décide de se retrouver et de partir en tournée, et on l’espère, d’enregistrer un nouveau disque dans la foulée. 7 Tambours du Bronx 8 Leur première prestation ne devait être qu'un événement unique : depuis 25 ans, l'exception se rejoue chaque soir. Les Tambours du Bronx sont nés en 1987 dans une commune adjacente à Nevers (Nièvre), à Varennes-Vauzelles. Quartier de cheminots et d'ouvriers, ce Bronx local engendre un bloc, une meute au milieu des machines. La cadence de l'usine et des ateliers sera son rythme. Le quadrillage urbain se fera motif et la musique surgira de leur matière première, le métal. Des bidons, des mailloches : être radical c'est effectivement "prendre les choses à la racine". Révélés en 1989, par Jean-Paul Goude, lors du bicentenaire de la Révolution, les Tambours du Bronx ont alors porté leur blason musical de 225 litres hors de leurs terres : ils enregistrent l'album Grand Mix composé par Ris et Sauvageot, avec l'Orchestre Philarmonique des Pays de Loire et les Voix Bulgares ; le Festival de Roskilde (Danemark) les découvre en première partie de Jimmy Page et Robert Plant (Led Zeppelin) en 1995. Ils sont acclamés par le public de Johnny Hallyday en 2000 sous la Tour Eiffel ; En novembre de la même année, les Tambours du Bronx envahissent le sol américain : d'Est en Ouest, la horde traverse les États-Unis pour y sévir 38 fois lors d'une tournée de 60 jours. Budapest (Hongrie) les applaudit lors de la première partie de KoRn en 2005. Les Tambours du Bronx galvanisent le Stade de France en 2006. Ils s'unissent à l'Orchestre des Lauréats du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris en 2007, aux Young Gods et à Didier Wampas, les bidons retentissent alors au Zénith de Paris. Ils créent en 2008, trois titres avec Jaz Coleman (Killing Joke). En 2009, les Frères Morvan et les Tambours soulèvent, ensemble, le public du festival Les Vieilles Charrues. En 2011, ils résonnent au Brésil avec Sepultura pour un spectacle commun au festival Rock in Rio. Et si la scène reste leur terrain d'expression le plus évident car le plus immédiat, les Tambours du Bronx ont réussi la gageure d'une traduction, d'un médium à un autre, du live à l'image, du concert exalté au DVD exaltant : Fukushima mon amour (sorti en octobre 2011, sur le label At(h)ome ) fusionne scènes live, captures inopportunes et mises en scène : cet alliage gardant pour fil rouge, toujours, l'humeur de l'événement. Un quart de siècle. Vingt-cinq ans de shows, de routes, de colère et de rencontres. Une date anniversaire qui donne lieu, en septembre 2012, à la sortie d'un documentaire historique, musical, retraçant la vie d'un groupe hors-norme et indépendant. 9 Informations pratiques n Accès : Venir par la route : Autoroute A1 – sortie n°8 (Creil, Senlis) Autoroute A16 – sortie n°14 (Beauvais centre) Paris : 62 km – 55 minutes Lille : 203 km – 2H20 Beauvais : 44 km – 40 minutes Amiens : 99 km - 1H15 Venir à Creil par le train : RER ligne D TER / Corail Intercités / Paris-Gare du nord : 30 minutes 10 n Contact presse Sylvie Dervitsiotis 03 44 29 52 48 [email protected] Thomas Hennebicque 03 44 72 21 40 [email protected]