Felicien Chauveau - 06 62 96 99 59 1

Anthéa et La Machine
présentent
[email protected] – Felicien Chauveau - 06 62 96 99 59
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Sommaire
Distribution
p.3
Calendrier
p.4
Introduction au spectacle
p.5
Résumé du spectacle
p. 5
À propos de l'écriture
p. 6
Extrait du texte
p. 7
Note d'intention
p. 9
Scénographie
p. 11
Approches pédagogiques
p. 12
Création musicale
p. 13
Actions culturelles autour du spectacle
p. 14
Historique de la compagnie / Presse
P. 16 à la fn
Un DVD du spectacle se trouve en pièce jointe au présent dossier.
Si vous en désirez un supplémentaire, n'hésitez pas à nous contacter.
Don QuiXote (Guillaume Geoffroy) se tenant prêt à bousculer l’inéluctable.
Anthéa – Théâtre d'Antibes, le 8 Décembre 2015.
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2
«
Don QuiXote, L'Invincible »
CREATION
librement inspiré de
« L'Ingénieux Hidalgo Don Quichotte de la Manche »
de Miguel de Cervantès
Avec
Jean-Christophe Bournine
Silence
Felicien Chauveau
Le Frère Inquisiteur
Guillaume Geoffroy
Don QuiXote
Benjamin Migneco
Sancho Panza
Jean-Baptiste Nallino
Le Géant
Eva Rami
La Duchesse
Irène Reva
Dulcinea Del Toboso
Christophe Servas
Ginès de Pasamontès
Et la voix de
M. Jean-Claude Dreyfus
Miguel de Cervantès
Texte et direction artistique
Felicien Chauveau
Scénographie et masques
Jean Baptiste Nallino
Stagiaire Scénographie
Matteo Violante
Chef Costumière
Jennifer Beteille
Création Musicale
Merakhaazan
Création Lumières
Gregory Campanella
Stagiaire Lumières
Sam Dumas
Création Sonore
Gregory Campanella
Technique Vocale
Sarah Vernette
Esthétique du mouvement
Audrey Vallarino
Maitre d'armes
Lucas Sacchieri
Coproductions
Anthéa (Théâtre Communautaire d'Antibes)
La Machine (Compagnie théâtrale – Nice)
Miranda (compagnie théâtrale - Nice)
Avec le soutien chaleureux de
L'Entre-Pont (résidence d'artistes - Nice)
l'Espace Magnan (centre culturel – Nice)
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Calendrier
Don QuiXote, L'Invincible / Sortie Résid. L'Entre-Pont 28 Avenue Denis Sémeria 06300 Nice – 04 93 31 33 72
Vendredi 11 Septembre 2015 à 19h00
Don QuiXote, L'Invincible / Représentations Anthéa 260 Avenue Jules Grec 06600 Antibes - 04 83 76 13 13
Mardi 8 Décembre 2015 à 14h30 (Scolaire)
Mercredi 9 Décembre 2015 à 10h00 (Scolaire)
Mercredi 9 Décembre 2015 à 21hOO
Jeudi 10 Décembre 2015 à 14h30 (Scolaire)
Jeudi 10 Décembre 2015 à 20h30
Vendredi 11 Décembre 2015 à 21h00
Mardi 15 Décembre 2015 à 14h30 (Scolaire)
Mardi 15 Décembre 2015 à 20h30
Don QuiXote, L'Invincible / Représentations Théâtre de La Cité 3 Rue Paganini 06000 Nice – 04 93 16 82 69
Vendredi 15 Janvier 2016 à 14h15 (Scolaire)
Vendredi 15 Janvier 2016 à 21h00
Don QuiXote, L'Invincible / Représentations L'Espace Magnan 31 Rue Louis de Coppet 06000 Nice - 04 93 86 28 75
Jeudi 25 Février 2016 à 14h00 (Scolaire)
Vendredi 26 Février 2016 à 14h00 (Scolaire)
Vendredi 26 Février 2016 à 20h00
Samedi 27 Février 2016 à 20hOO
Don QuiXote, L'Invincible / Représentations Palais des congrès, 83700 Saint-Raphaël – 04 94 19 84 19
Mardi 11 Octobre 2016 à 14h00 (Scolaire)
Mardi 11 Octobre 2016 à 20h00
Peter Pan, La Prophétie de l'Oubli / Sortie Résid. L'Entre-Pont 28 Avenue Denis Sémeria 06300 Nice – 04 93 31 33 72
Jeudi 22 Décembre 2016 à 19h00
Don QuiXote, L'Invincible / Représentat. Salle Juliette Greco Boulevard de la collebelle, 06510 Carros – 04 93 08 76 07
Vendredi 27 Janvier 2017 à 14h00 (Scolaire)
Vendredi 27Janvier 2017 à 20h00
Don QuiXote, L'Invincible / Représentat. Théâtre National de Nice Promenade des Arts, 06000 Nice – 04 93 13 90 90
Vendredi 10 Février 2017 à 14h00 (Scolaire)
Vendredi 10 Février 2017 à 20h00
Samedi 11 Février 2017 à 20h00
Dimanche 12 Février 2017 à 15h
Peter Pan, La Prophétie de l'Oubli / Représentations Anthéa 260 Avenue Jules Grec 06600 Antibes - 04 83 76 13 13
Mardi 28 Février 2017 à 14h00 (Scolaire)
Mercredi 1er Mars 2017 à 21h00
Jeudi 2 Mars 2017 à 20h30 (scolaire)
Vendredi 3 Mars 2017 à 14h00 (Scolaire)
Vendredi 3 Mars 2017 à 21h00
Samedi 4 Mars 2017 à 20h00
Mardi 7 Mars 2017 à 14h00 (Scolaire)
Jeudi 9 Mars 2017 à 14h00 (Scolaire)
Jeudi 9 Mars 2017 à 20h30
Vendredi 10 Mars 2017 à 14h00 (Scolaire)
Vendredi 10 Mars 2017 à 21h00
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Introduction
« Je pense que nous arrivons au bout d’un cycle pour notre société. Elle s’essouffe. Elle se
fatigue. Ses rouages vont bientôt lâcher. -Il me tarde.- C’est d’ailleurs tout le thème de Don Quichotte :
quand Cervantès écrit son premier roman, l’Espagne est à bout de souffe, elle est en train de mondialiser
l’école catholique depuis plusieurs siècles (des Amériques jusqu’aux Indes). Le pays coute cher non
seulement en vies humaines (des armées de conquistadors partent se battre contre des peuples
inconnus et disparaissent), mais aussi en or (créations de nouveaux ports, de nouveaux matériaux pour
l’armée). L’espagnol moyen de cette époque, comme moi aujourd’hui, ne comprend pas ce qui lui arrive.
Et puis, je veux également adapter ce roman parce que j’adore les Road Movies et que c’est un rêve
d’enfant de faire ça au théâtre -malgré toute la complexité que ça implique-, heureusement, les choses
complexes me passionnent. »
Interview (extrait) de Felicien Chauveau
par Julie Baquet
pour le site d'art contemporain ARTANDFACTS
le 1er Septembre 2014
Résumé Du Spectacle
Lorsqu'il entend son Créateur lui annoncer que ses jours sont comptés, Alonzo QuiXana, un vieux
paysan qu'on dit dément, décide de bousculer l'inéluctable en devenant le maître de sa propre vie.
À l'image des chevaliers errants, ces héros littéraires qu'il idolâtre depuis toujours, il part sur les
routes d'Espagne pour combattre le mal et mettre fn aux injustices. Ainsi, il devient Don QuiXote de la
Mancha, le chevalier à la Triste Mine, celle avec laquelle il écrit son destin.
Le voici désormais lancer dans la vaste entreprise de marquer les esprits en devenant un
symbole. Mais le seul véritable combat que doit mener Don QuiXote est celui qui l'opposera à la froide
réalité, celle qui n'a pas le goût de ses fantasmes.
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Écriture
« Tout est parti d'une fascination pour l'auteur, pour sa vie, pour son écriture, pour son génie. Mais pourquoi
procéder à une réécriture de Don Quichotte ? Pour mieux le mettre en scène et pour qu'il colle au plus près de mon discours
(qui fnalement est le même que Cervantès avec cinq siècles d'écart) : faire une critique des structures sociales d'une
société rigide vécue comme absurde.
Je voulais garder la structure et les personnages du roman tout en me les appropriant. Je voulais, dans un désir
vaniteux, que mes mots soient dit par Don QuiXote, personnage éloquent et symbole de l'acteur-poète par excellence.
Toutefois il me semblait évident qu'il ne fallait pas uniquement écrire pour ce seul personnage, c'est pour cette raison que
j'ai tenté d'organiser une parole collective s'élevant contre le héros en permettant à chaque personnage de faire entendre
sa voix. Ces autres paroles offrent, dans les répliques des personnages secondaires, un allé simple à l'essentiel.
Cette réécriture prend une direction claire : ciseler une poésie qui serait la mienne, sculptée pour des acteurs que
j'admire. »
Felicien Chauveau, le 15.07.2015
Don QuiXote (Guillaume Geoffroy) confronté à ses angoisses.
Anthéa – Théâtre d'Antibes, le 8 Décembre 2015.
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Extrait Du Texte
Sancho Panza.
Qu'est ce qu'on fait Senor ?
Don QuiXote.
On reste à l'affut de nos futures tribulations pardi.
Sancho Panza.
Ça va bientôt faire six ou huit heures qu'on tourne et rien, pas une aventure digne de ce nom.
Don QuiXote.
Remercie la fortune Sancho. Tes prières ont été entendues. Ne te retourne pas tout de suite et continue
le plus naturellement à avoir cet air corniaud.
Sancho Panza.
Bien Senior. Que voyez vous ?
Don QuiXote.
Il se trouve derrière toi une créature démesurée.
Sancho Panza.
Ah oui ? Quelle genre ?
Don QuiXote.
Le genre de faune qu'un homme comme toi doit s'abstenir de chasser. Ne bouge pas, en attirant son
regard il pourrait faire de toi sa proie.
Sancho Panza.
Moi ? Sa proie ? Et vous ?
Don QuiXote.
C'est là toute la différence entre un chevalier et son écuyer, je suis un prédateur pour bien des fruits que
la nature a gâté. Et ce monstre là empeste le putride.
Sancho Panza.
Il est où ?
Don QuiXote.
Malheureux ! Nous sommes repérés.
Sancho Panza.
Où ça ? Mais où ça ?
Don QuiXote.
N'est il pas assez grand pour toi ? Le voilà qui agite ses bras immenses pour nous effrayer.
Sancho Panza.
Je n'entends qu'un piège à vent Senor.
Don QuiXote.
Celui-ci n'a pas encore atteint sa taille adulte, il sera facile à terrasser.
Sancho Panza.
du piège à vent.
Mais ça c'est un piège à vent. Et ça c'est les turbines du piège à vent. C'est le vent qui remue les turbines
Don QuiXote.
Ignorant. Sancho, voici l'une de tes premières leçons : les géants sont les fls de Vulcain, que leur géniteur
force à travailler jour et nuit jusqu'à épuisement. Ils sont capables de supporter de très lourdes charges. Ils sont grands,
féroces et inépuisables. Ils travaillent, travaillent, travaillent. La rentabilité est leur seule obsession et leur but ultime est
d'embarquer l'humanité dans leur délire.
Sancho Panza.
Je ne comprends pas.
Don QuiXote.
La vie collective Sancho ! Ces monstres sont en train de créer une mondialisation liberticide qui ouvrira la
voix à des enjeux individuels bien plus graves qu'une simple dangerosité de la concurrence et du commerce : manipulations,
corruptions, intimidations, assassinats, guerres... Et après ? Que faire quand tout ce système s’essouffera ? On reviendra à
la cueillette et au troc ! Je m'en vais éteindre cette nuisance.
Sancho Panza.
J'ai pas tout compris.
Don QuiXote.
Chargez !
Je m’occupe de sa tête, occupe toi de ramasser le butin que tu trouveras sur sa dépouille agonisante.
Don QuiXote, L'Invincible ou le manifeste de la vie singulière
Chapitre VII
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Sancho Panza (Benjamin Migneco) et Don QuiXote (Guillaume Geoffroy)
se préparant à l'attaque du Géant (Jean-Baptiste Nallino).
Anthéa – Théâtre d'Antibes, le 8 Décembre 2015.
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Note D'Intention
« Le point essentiel de ma mise en scène se situe au carrefour de tous les personnages que croise
Don QuiXote. Il s'agit d'une échelle des différentes réalités rencontrée par le lecteur lorsqu'il parcourt le
roman. J'ai transposé ces réalités afn de permettre au spectateur de vivre les mises en abyme et autres
fgures de styles employées par Cervantès.
Il me semble évident qu'il se dégage au moins trois réalités que j'ai classé dans un ordre ascendant
de 1 à 3 (partant de la matière terrestre et visant la hauteur, toute puissance spirituelle) :
•
Réalité 1.
(Univers bleuté) Le point de vue du reste du monde . Une réalité froide qui mettra en scène la
dureté du quotidien, l'avilissement de la race humaine et qui rentrera en contradiction avec la folie de Don
QuiXote, la mettant ainsi en relief. Exemple : Le naïf Sancho Panza (Benjamin Migneco) manipulé par La Duchesse
(Eva Rami).
•
Réalité 2.
(Univers rouge) Le point de vue de Don QuiXote. Une réalité désamorcée par le rêve, les
chimères, les visions, la magie, le spectacle, le surnaturel. Une réalité qui transporte le spectateur avec Don
QuiXote. C'est l'envie de mettre en scène cette réalité qui est à l'origine du spectacle. Exemple : La Duchesse fait
croire à Don QuiXote qu'il voyage dans l'espace.
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9
•
Réalité 3.
(Univers vert) Le point de vue de Cervantès. Une réalité que j'imagine très obscure. Une réalité
de l'esprit, qui serait une trans-réalité (de l'ordre de la sensation) et symbolisé sur la plateau par la voix de
Cervantès (Jean-Claude Dreyfus). Exemple : Don QuiXote (Guillaume Geoffroy) dialoguant avec son Créateur.
Cette échelle, qui est l'un des axes principaux de ma mise en scène, se trouve un écho dans le travail
de chaque corps de métier participant à ce spectacle : créations des costumes, de la musique, des lumières,
de la scénographie mais aussi dans le jeu des comédiens. »
Felicien Chauveau, le 12.08.2015.
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Scénographie
Une Base : Le Désert.
Errance (nf) : Action d'errer, marcher longtemps sans but précis.
« Errance » : tout part de ce mot et pour que l'errance soit sans fn, il ne faut aucune limite, aucune frontière. C'est pour cette
raison que nous avons réféchi à une scénographie ouverte : un paysage Beckettien aride et désertique où il ne reste plus grand chose : une
carcasse, un panneau aux directions illisibles, et une porte se tenant debout (fère d'être certainement le dernier vestige d'un monde qui n'a
pas survécu).
Un Corps : Le Monticule.
Perdu dans ce vide, cette immensité trône un amas d'objets (des livres bien sûr, des instruments de musique, un fauteuil, … ).
Cette caravane massive est l'ingénieux habitat d'une société nomade en quête de reconstruction qui erre sur cette terre ingrate. Ce
monticule est l'équilibre précaire d'une civilisation constitués d'hommes et de femmes dépendant les uns des autres.
Ingénieux (adj) : se dit de ce qui témoigne d'un esprit inventif, imaginatif.
C'est ce mot (présent dans le titre du roman avant même que le héros ne soit nommé) qui qualife cette adaptation dans ce milieu
hostile. Cette ingéniosité, dont doivent faire preuve les peuples qui résistent pour survivre, se cache dans chaque tiroir et derrière chaque
porte de cet espace de la scénographie (cf p. 12 « Une Inspiration : Le Cabinet de Curiosités »).
Un Couronnement : Les Matières Brutes.
Nous avons choisi le blanc pour recouvrir toute la scénographie, y compris les sols, afn d'accentuer la dimension onirique des
aventures de Don QuiXote. Ainsi, nous obtenons un monde presque immatériel, en phase de reconstruction. Ou en phase terminale. Le Blanc
permet également de lier plus intensément la scénographie et les lumières. Ces dernières s'expriment avec s'avantage d'impact sur un
médium blanc. En passant d'une lumière à une autre, nous changeons de réalité, certaines vives et puissantes (comme celle des rêves de Don
QuiXote) et d autres plus ternes (comme celle du commun des mortels). Chaque surface devient alors un support sur lequel jouent les
lumières ; toute la scénographie s'anime, comme suspendue dans un noir de vide.
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Approche Pédagogique
Une Inspiration : Le Cabinet de Curiosités.
Par pure curiosité.
D'abord simple désir de voir ou de posséder des choses rares, la curiosité devient appétit de découverte, volonté
d'explorer la face secrète des merveilles inexpliquées. Liée au péché originel dans la pensée du XVIe siècle, elle nourrit la
volonté des collectionneurs de dévoiler l'étendue des créations divines. Au XVIIe siècle, la curiosité est au cœur d'un loisir
mondain fort prisé, que la révolution scientifque naissante va transformer en enjeu de connaissance.
Entre réel et imaginaire.
Le goût des collectionneurs pour le bizarre, voire le monstrueux, les conduit à rechercher et posséder les choses
les plus fabuleuses et les plus mystérieuses. À partir de certains objets investis de vertus magiques ou sujets à légendes, ils
content des histoires extravagantes. Ils alimentent ainsi les croyances populaires et religieuses, superstitions et récits
légendaires.
Les amateurs de curiosités se délectent aussi du plaisir de l'illusion qui, parfois, les conduits à recourir à la falsifcation et à
la supercherie.
Les objets hybrides, à la frontière des différents règnes de la nature, sont très recherchés. Diffciles à identifer et à classer,
sujets à diverses interprétations, ils suscitent discussions et controverses.
Certains curieux cherchent à percer les mystères de ces fabuleuses merveilles. Leur quête d'une explication objective à ces
phénomènes obscurs favorisera l’émergence d'une véritable pensée scientifque.
La Chimère (sirène).
Parmi les objets liés aux mythologies ou légendes, les chimères, très spectaculaires, tiennent une place particulière
dans les cabinets. Squelettes ou cadavres fabriquées de toutes pièces, elles sont très recherchées et les amateurs de
curiosités s'efforcent d'en acquérir à tout prix.
D'autres temps, d'autres contrées...
La conquête du Nouveau Monde et la redécouverte de l'Antiquité suscitent un engouement dans toute l'Europe.
Les collections s'enrichissent de curiosités exotiques et de trésors surgis du passé, qui tiennent dès lors une place de choix
au sein des cabinets.
Animés d'un insatiable désir de découvertes, certains curieux se font aussi grands voyageurs. Ils explorent les mondes
lointains, dans le temps et dans l'espace, rencontrent des populations inconnues et collectent ce que ces mondes recèlent
de plus remarquable, comblant ainsi leur goût du merveilleux.
Un gigantesque réseau.
Les cabinets de curiosités jouent un rôle moteur dans la circulation du savoir et des idées. Les visites et les
échanges épistolaires au sein du monde des savants et des curieux sont nombreux et fertiles, nourrissants de nouvelles
questions et d'importants débats. Les esprits éclairés confrontent leurs hypothèses, entre crédulité et scepticisme. Le
réseau européen qui se constitue alors facilite le partage de la connaissance, d'abord entre élites, avant de s'ouvrir à une
large diffusion de la science, clé d'une meilleure compréhension du monde.
Apprendre, rêver, méditer.
Dans l'intimité de leur cabinet, les collectionneurs se questionnent sur la place éphémère de l'homme dans
l'Univers. La contemplation d'objets révélant les richesses de la nature et des activités humaines s'avère en effet propice
aux réfexions philosophiques ; alors s'ouvrent les portes de l'utopie, des productions littéraires, techniques ou scientifques.
Mais l'ampleur des énigmes à élucider reste vertigineuse. La mort, inéluctable s'invite alors dans les cabinets de
curiosités, à travers des objets rappelant la futilité des œuvres humaines et la vanité de l'existence.
D'autres pistes :
La question du réel dans « Don QuiXote, L'Invincible ».
Le roman picaresque.
L'adaptation et la mise en scène d'un roman.
Les frontières, l’immigration, l’émigration, ...
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Création Musicale
de Merakhaazan
Dans le roman, il est dit que toutes les connaissances que Cervantès a accumulé pour rédiger
son livre sont issues des écrits d'un historien musulman, Sidi Ahmed Ben Engeli. Partant de cette idée
que la base même du roman nous vient du monde arabe, Merakhaazan (contrebassiste) travaille
actuellement sur une création musicale aux consonances arabo-andalouses
.
"Le deuxième album de ce musicien visionnaire surprendra dans doute l'auditeur. Lequel, s'il est ouvert
d'esprit, se laissera rapidement entraîner dans un univers riche en surprises, en trouvailles sonores acoustiques et
électronique."
Elsa Songis
pour le magazine LONGUEURS D'ONDES
«
l’Espagne.
"cadence
Mancha et
Pour la création musicale de « Don QuiXote, L'Invincible », il était nécessaire d'évoquer
Le thème de Don QuiXote se décline donc en variations sur la progression d'accords dite
andalouse". Quelques sonorités orientalisantes évoquent les paysages désertiques de la
l'errance de nos héros.
Les apparitions du Frère Inquisiteur se font sur la base d'accords d'un demi ton, intervalle
"serré" qui procure un sentiment de suspense jusqu'a la scène d'autodafé qui s'appuie sur une cellule
rythmique martiale.
De façon générale, il était nécessaire d'utiliser des musiques récurrentes pouvant identifer les
personnages et les situations, ainsi la duchesse à son thème propre, lyrique sur une progression de
deux accords.
D'autres scènes utiliserons des procédés différents tels que bruitages et improvisations
"cartoonesques". »
Meraakhazan, le 10.09.2015
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Actions culturelles
Au fl de la saison La Machine organise et participe à de nombreuses actions telles que des représentations
scolaires, des rencontres avec les publics et des interventions en milieu scolaire. Notamment avec les élèves-céramistes du
Lycée Leonard de Vinci d'Antibes qui ont participé à la création d'éléments de la scénographie. Afn de développer le
dialogue public/artiste Felicien Chauveau interviendra pas moins de huit fois dans l'année au lycée du Parc Imperial de Nice
auprès des élèves de Premières et Terminales Littérature.
Jean-Luc Gagliolo, conseiller municipal au théâtre de la ville de Nice a évoqué le fait de mettre en avant les
différentes étapes de travail autour de la prochaine création du collectif La Machine « Peter Pan, La Prophétie De L'Oubli »
lors du Festival de théâtre de Nice « Lever de Rideau », le projet est actuellement en cours de réalisation.
LA MACHINE
Le Collectif LA MACHINE est créé en 2011 par Felicien Chauveau et Benjamin Migneco.
Emprunt d’un humour noir et dérangeant l’univers du collectif LA MACHINE est à la fois
cauchemardesque, drôle et poétique.
[email protected] – Felicien Chauveau - 06 62 96 99 59
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MACHINE n.f (du latin machina signifant : astuce, invention ingénieuse)
Une MACHINE est un mécanisme capable d’utiliser une source d’énergie disponible pour
effectuer par elle-
même une tâche spécifque sur une matière à façonner.
Au temps de la Rome antique, au théâtre, on
utilisait des grues «mecane», ce qui donnera plus tard
machina, puis enfn machine. Le nom du collectif est
un clin d’oeil aux origines de cet art et un petit
hommage aux Machinistes, les techniciens qui
travaillent hors- scène.
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Historique de la compagnie
2010
•
DÉCEMBRE.
« ProZak » (texte et mise en scène Felicien Chauveau). Pièce mettant en scène de jeunes
acteurs cherchant à monter une pièce qui met en scène de jeunes acteurs cherchant à monter un pièce...
2011
•
JANVIER.
Benjamin Migneco met en scène « Crack » (pièce de Felicien Chauveau) mettant en scène un
jeune homme commandant sur internet une conscience afn de réaliser les pires atrocités tout en ayant « bonne
conscience ».
•
AVRIL.
Reprise de « ProZak » au Théâtre de L'Impasse à Nice pour 25 représentations.
•
MAI.
Création du collectif La Machine sur la proposition de Benjamin Migneco.
Deux double-page du Nice Code (édition 2012) présentant Felicien Chauveau et sa prochaine pièce : C.O.C
2012
•
JANVIER.
« C.O.C (Cabaret Oeuvrant Caritativement) au proft de nous-mêmes » (texte et mise
en scène Felicien Chauveau) est la suite de « ProZak » monté un an plutôt. On retrouve les mêmes personnages le
soir de la représentation qui doit se jouer.
[email protected] – Felicien Chauveau - 06 62 96 99 59
16
•
OCTOBRE.
Benjamin Migneco se penche sur « L e
20
Novembre » de Lars Norèn en associant La Machine à l'atelier
d'artistes KKF pour un work in progress. Cette résidence de
quelques jours fut ponctuée de rencontres avec le public afn de le
faire participer au processus de création.
•
DÉCEMBRE.
« L'Homme Qui Prenait Sa Femme Pour Un
Chapeau » d'après Oliver Sacks (Adaptation Eva Rami et Benjamin
Migneco, Mise en scène Felicien Chauveau) est présenté à l'Espace
Magnan de Nice qui décide à son tour de soutenir la compagnie lors
de ses prochaines créations.
2013
•
SEPTEMBRE.
Le Théâtre National de Nice
fait appel à La
Machine pour réaliser son spectacle
itinérant : « Zoo Story » (texte
d'Edward Albee). Plus
de trente représentations dans de nombreux
établissements scolaires des Alpes Maritimes.
•
SEPTEMBRE.
La Machine obtient une résidence accompagnée
d'après l'oeuvre de Franz
•
pour sa prochaine création : «Le Procès »
Kafka (texte et mise en scène Felicien Chauveau).
OCTOBRE.
Reprise du « Le 20 Novembre » au Théâtre de La
Cité qui décide de soutenir la compagnie.
MARS.
Création du « Procès » au Théâtre de la Semeuse (Nice).
AVRIL.
Reprise du « Procès » au Théâtre du Lavoir (Menton).
2014
•
•
Critique du Procès dans Nice Matin (Menton).
•
MAI.
Reprise du « Procès » au Théâtre de La Cité (Nice).
[email protected] – Felicien Chauveau - 06 62 96 99 59
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2015
•
JANVIER.
Reprise du « Procès » à
l'Espace Magnan (Nice)
•
MARS.
Reprise du « Procès » à
Anthéa (Antibes).
Nice Matin annonce le Procès à Anthéa.
Nice Matin se réjouit du succès du Procès
et fait un portrait de Benjamin Migneco
qui incarne le rôle principal.
•
MAI.
Anthéa décide de coproduire la prochaine création de La Machine qui sera « Don QuiXote,
L'Invincible ou Le Manifeste De La Vie Singulière » d'après l'oeuvre de Miguel de Cervantès (texte et mise en scène Felicien
Chauveau).
•
•
NOVEMBRE.
Reprise du « Procès » à l'Espace Robert Manuel des Issambres (83).
DÉCEMBRE.
Création de « Don QuiXote, L'Invincible ou Le Manifeste De La Vie Singulière ».
Critique pour Nice Matin, lendemain de la première.
Interview pour Nice Matin, la veille de la première.
2016
•
•
JANVIER.
Reprise de « Don QuiXote, L'Invincible» au Théâtre de La Cité (Nice).
FÉVRIER.
Reprise de « Don QuiXote, L'Invincible» à l'Espace Magnan (Nice).
•
SEPTEMBRE.
Collaboration avec le Festival Lever De Rideau (Nice).
[email protected] – Felicien Chauveau - 06 62 96 99 59
18
•
OCTOBRE.
Reprise de « Don QuiXote, L'Invincible» au Palais des Congrès (Saint Raphaël).
Double-page dans Arty Trendy Magazine. Excellente critique.
Le Crabe Des Arts consacre deux pages de bonne critique à Don QuiXote.
2017
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JANVIER
Reprise de « Don QuiXote, L'Invincible» à la Salle Juliette Greco (Carros).
FÉVRIER
Reprise de « Don QuiXote, L'Invincible» au Théâtre National de Nice (CDN Côte d'Azur).
FÉVRIER/MARS.
Création de «Peter Pan, La Prophétie De L'Oubli » à Anthéa (Antibes).
AVRIL.
Reprise de «Peter Pan, La Prophétie De L'Oubli » à l'Espace Magnan (Nice).
[email protected] – Felicien Chauveau - 06 62 96 99 59
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FELICIEN CHAUVEAU
Auteur, Comédien, Metteur en scène
Issu du Conservatoire National de Nice, il intègre en 2008 les scènes nationales ( Théâtre National de
Nice, Théâtre de La Criée Marseille, Théâtre de La Manufacture Nancy, Théâtre de La Tempête à Vincennes ...)
en tant que comédien, assistant à la mise en scène, machiniste et régisseur video.
Sa formation se poursuit sur le terrain au Théâtre National de Nice. Au théâtre, il est comédien sous la
direction de Benoit Galera (La Nuit des merveilles), Gaele Boghossian (Choc des civilisations pour un ascenseur
piazza Vitorio ; Electronic City de Falk Richter), Paulo Correia (L’ile des esclaves de Marivaux ; Antigone de
Sophocle ; Double assassinat dans la rue Morgue d’après Edgar Poe ; ZooStory d’Edward Albee), Claudine
Hunault (Fin de Partie de Samuel Beckett) ; Alice Anne Fillipi- Monrocher ( Le nouvel ordre mondial d’Harold
Pinter), Benjamin Migneco (Le 20 novembre de Lars Norèn), Mathieu Gerin (Violet de Jon Fosse).
En 2014 il effectue trois stages au Théâtre National de Nice notamment avec Joss Houben (Le Corps
du Rire), Renato Giuliani (Le Clown) et Scott Koehler (Living Theatre).
Egalement auteur, il écrit deux pièces seul ( Crack et Le Temps des Trompettes) avant d’en coécrire
deux autres avec Julie Cardile ( C.O.C et ProZak) qu’il mettra en scène. Il adapte également et met en scène
Le Procès d’après Kafka, Le Baron Perché d’après Calvino et Don Quichotte d’après Cervantès. Pour la saison
2016/17, Daniel Benoin lui donne carte blanche. L'occasion pour le jeune homme de retrouver l'un des
mythes de son enfance : James Hook en adaptant : Peter Pan d'après James Matthew Barrie.
Au cinéma, il réalise de nombreux court-métrages (dont «Documentaire sur la vie de Camille Hecquet»,
diffusé sur Canal +). Il joue sous la direction de Antoine Duret (Nowhere’s Paradis, La chevelure), Olivier
Michalsky (Un brin de haine, La Boutique du dernier recours, School-Dating). Dans la série « La Vengeance Aux
Yeux Clairs » réalisé par David Morley pour TF1, il incarne tout au long de la saison Marco aux cotés de Lannick
Gautry et Lola Dewaere.
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BENJAMIN MIGNECO
Comédien, Metteur en scène
Issu du Conservatoire National de Nice et du Studio de formation théâtrale de Vitry sur
Seine.
Il travaille au théâtre avec Paulo Correia ( Stop the tempo, Double assassinat dans la rue
Morgue, Zoo Story), Jean Louis Jacopin (Funérailles d’hiver), Elisabeth Mazev (L’oeil du prince),
Florian Sitbon (Hagen ou l’hymne à la haine), Fabrice Pierre (Yvonne, princesse de bourgogne), Paul
Pinceloup (Dom Juan), Felicien Chauveau (C.O.C, ProZak, L’homme qui prenait sa femme pour un
chapeau et Le Procès) et Nicole Cardinali (Loup y es-tu?).
Parallèlement à sa carrière de comédien, il se lance dans la mise en scène ( L’inattendu,
Crack, L’envoutement, Le 20 novembre). En 2011, il s’associe à Félicien Chauveau pour créer le
collectif La Machine.
Au cinéma, il joue sous la direction de Caroline Baude ( Le cirque en éveil) et Paul Guerin
(Animalus, Iago, Football). En 2012, il participe à la réalisation du clip « Knock before come in» du
groupe de rock Little d Big B.
En 2015, Benjamin Migneco a joué dans «Le Souper» mise en scène par Daniel Benoin, aux
côtés de Patrick Chesnais et Niels Arestrup, à Anthéa, Antibes et au Théâtre de la Madeleine, à
Paris.
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EVA RAMI
Comédienne
Initiée au CNR de Nice, son parcours de formation s’est poursuivi à l’ESAD où Eva a travaillé
sous la direction de Christine Gagnieux, Marc Ernotte, Christophe Patty, Alan Boone, Marie
Christine Orry, Sophie Loucachevsky, Jean-Claude Cotillard et Laurent Hatat.
La rencontre avec Mario Gonzalez lui permet d’interpréter plusieurs rôles dans "Tartuffe"
(off d’Avignon 2014) et "Dom Juan" m.e.s par ce spécialiste du masque tout en s’engageant dans
diverses créations ou adaptations et m.e.s collectives (Cie Maëlström, Collectif La Machine).
Admise au CNSAD en cycle II, elle intègre les classes de Sandy Ouvrier puis de Xavier Gallais.
Au Théâtre 95, puis au JTN et enfn au Festival Femmes en scènes à Nice, elle présente sa création
"VOLE!" m.e.s par Marc Ernotte.
Parallèlement à ce monologue, elle tourne actuellement avec d’autres spectacles,
notamment : "Le Procès" (Collectif La Machine) m.e.s par Felicien Chauveau et " Cami" (Cie H3P)
m.e.s par Nicolas Ducron.
Début 2015, elle a joué dans "Richard III" d’après William Shakespeare m.e.s par Margaux
Eskenazi au Théâtre de Belleville à Paris.
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CHRISTOPHE SERVAS
Comédien
En 2003, il entame sa formation théâtrale en option lourde au lycée Bristol de Cannes où il
fait la connaissance de Thierry Surace et Alain Terrat (intervenants) et il fait, grâce à celle-ci
plusieurs stages aux îles de Lérins. Dans un souci de perfectionnement artistique, il effectuera une
multitude de stages : Atelier pré Professionnel avec Thierry Surace ; Stage conventionné AFDAS «
Rencontres, duos, duels » avec Christophe Marchand de l’école Jacques Lecoq (masque neutre,
commedia, clown...) ; travail spécifque sur le côté clownesque des artisans dans Le Songe d’une
Nuit d’été avec Alain Gautré ; stage sur le masque neutre et le clown avec Mario Gonzales à la suite
duquel il jouera dans Dom Juan sous la direction de Mario Gonzales et Thierry Surace ; stage
conventionné AFDAS « les voies de la créativité de l’acteur, au quotidien » avec Paul Chiributa de
l’école du théâtre du Limousin (mémoire affective, réalité subjective et intelligence intuitive,
personnalité artistique...).
Il intervient dans de nombreux groupes scolaires pour des stages de jeu mais également
pour des stages de sensibilisation à la violence au collège (reconstitution de procès, tables
rondes...). Au théâtre, il joue avec la compagnie Miranda (Grandeur et décadence de la ville de
Mahagonny, La Castellada, Cloclo et Huguette, Le songe d’une nuit d’été, Le Cabarte sexuel,
Monsieur Chasse, le ouf du roi, Les Cadows et L’odyssée Burlesque).
Également musicien, il compose la plupart des créations musicales des pièces auxquelles il
participe.
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IRENE REVA
Comédien, Dramaturge
Issue d’un double cursus, elle suit la classe d’Art Dramatique du Conservatoire National de Nice, et obtient une
licence d’Arts du Spectacle à l’Université de Lettres et de Sciences Humaines de Nice.
En 2013, elle assiste à la mise en scène Paulo Correia, pour «Zoo Story» (spectacle itinérant du Théâtre National
de Nice). Puis rejoint le Collectif La Machine pour la reprise du 20 Novembre, la même année.
En 2014, elle assiste Félicien Chauveau à la mise en scène dans «Le Procès» et accompagne la Tournée en ville du
TNN , Une Odyssée.
Elle est engagée en tant que comédienne par Irina Brook pour la création «Pandora». Elle intervient également dans
les écoles avec Renato Giuliani et sa création «Storia del Teatro».
JEAN-BAPTISTE NALLINO
Scénographe
Après une formation et une carrière menée en tant que décorateur, Jean-Baptiste Nallino décide de s’orienter vers
les métiers de l’art. En effet, déjà peintre, sculpteur, mouleur, mosaïste, fabriquant d’objet décoratif ainsi que de bijoux, cet
artiste aux nombreux talents c’est associé en 2013 au collectif La Machine et prend la place de scénographe au sein celuici.
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