renforcement du secteur privé dans les pays en développement

Transcription

renforcement du secteur privé dans les pays en développement
Le développement humain durable par le
RENFORCEMENT DU SECTEUR PRIVÉ
DANS LES PAYS EN DÉVELOPPEMENT
Société belge d‘Investissement pour les Pays en développement
(Côte d’Ivoire, Mars 2014)
MISSION DE BIO
WWW.ENDPOVERTY2015.ORG
• combattre la pauvreté et
• promouvoir le développement humain durable
BIO est le bras d’investissement de la Coopération belge au
Développement.
Elle s’inscrit dans le cadre des UN Millennium Development Goals.
Un secteur privé fort et durable est un vecteur incontournable
d’améliorations globales, significatives et durables des
conditions de vie  surtout les MPME.
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DEVELOPMENT FINANCE
 3 canaux d’investissement, tous avec un focus MPME :
• En direct
• Via des banques et/ou institutions locales
• Via des fonds
 Paramètres de complémentarité de BIO par rapport au
secteur financier local:
• Type d’intervention : prêts + equity
• Durée des prêts plus longue
• Taux de marché
• Suivi local
• Assistance technique
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LES SOCIÉTÉS SOUTENUES…
• Fournissent des services financiers aux MPME et aux individus :
accès à des facilités de crédit, d’épargne et de transfert sûres,
ainsi que d’autres services de base (eau, habitat, transport,…)
• Produisent, traitent, commercialisent
de la nourriture et incluent si possible
les petites producteurs
• Génèrent et distribuent de l’énergie
renouvelable, ou améliorent leur
efficacité énergétique
• Aident les populations locales à
améliorer leur niveau de vie, en
fournissant des emplois durables.
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FINANCEMENTS ET SUBSIDES
Outre le financement de projets, BIO octroie des subsides pour financer
• intervention d’experts lors d’études de faisabilité
• assistance technique (AT) ou programmes de formation
Pré-investissement
Investissement
Post-investissement
Etudes de faisabilité
Financement
AT/Formation
• Projets d’entreprises
ou promoteurs locaux
• Intervention:
‐ max. 50% coûts
‐ plafond 100.000€
• Prêts
• Participation aux
fonds propres
• Pour les sociétés
financées par BIO
• Appui aux
investissements
de BIO
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INVESTISSEMENTS
Entreprises
Secteur financier
Infrastructure
Les sociétés privées, surtout les MPME, souffrent d’un accès limité au
financement. Or ce segment de l’économie présente le plus de potentiel de
croissance. BIO est reconnue par ses pairs comme un acteur ciblant les
petites entreprises.
Cibles
• Agro-industrie • Petites infrastructures
• Mésofinance • Services sociaux de base
• Transformation industrielle
Portfolio 31.12.13
k€
Engagements
nets
En cours
Entreprises
70,662
49,517
13 %
Total BIO
556,087
13 %
374,547
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BIO EN QUELQUES CHIFFRES
Staff : +/- 40 personnes à Bruxelles
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BIO EN QUELQUES CHIFFRES
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SEDIMA - SÉNÉGAL
Secteur : aviculture
Interventions de BIO : prêt 700.000€ en 2008 pour une unité de
traitement d'aliments aviculture/bétail; 2013 : prêt 3M€ pour une
minoterie + AT 150.000€ (formation + démarche qualité ISO 22000).
Sedima aujourd’hui : couvoir (14 millions poussins d’1jour/an), ferme de
reproduction (150.000 poulets/an) et d’élevage (750.000 poulets),
oeufs (350.000 poules pondeuses), usine
de transformation alimentaire (capacité
150.000T/an), minoterie (capacité
250T/jour), vente d’équipement avicole.
Leader au Sénégal avec 39% du marché
des poulets d’1 jour et 35% du marché
de l’alimentation animale.
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LAITERIE DU BERGER - SÉNÉGAL
Secteur : production et collecte de lait auprès des populations
peules semi-nomades
Interventions de BIO : prêts de 380.000€ en 2008 et 1M€ en
2010 ; subventions de 87.803€ en 2010 et 45.000 € en 2013
pour assistance technique (mise en place d’une ferme pilote).
Impacts : amélioration du niveau de vie des bergers (revenus
triplés), valorisation de leur lait, mise sur le marché de produits
répondant aux standards européens à des prix « sénégalais ».
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MOABLAOU – BURKINA FASO
Secteur : aviculture
Interventions de BIO :
- 2007 : prêt 600.000 € pour une
extension de la ferme avicole (cheptel
50.000 à 100.000 unités + système
Pad-cooling).
- 2009 : prêt 100.000 € pour terminer le
projet d’extension des infrastructures.
Activités :
- Oeufs (100.000 poules pondeuses)
- Unité de fabrique d’aliments pour les
besoins de la ferme avicole
Leader ‘oeufs’ au Burkina Faso.
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SITA – CÔTE D’IVOIRE
Secteur : noix de cajou
Intervention de BIO : prêt 700.000 € en 2009 pour la
construction d’un hangar de stockage de 3.000T.
Objectif : permettre de transformer localement le produit
toute l’année et pas seulement de février à juin.
La Côte d’Ivoire est producteur
leader d’Afrique (250.000T/an
soit 14% production mondiale)
SITA est l’un des 3 principaux
transformeurs de noix de cajou
de Côte d’Ivoire.
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SOCIETE DES CULTURES LEGUMIERES - SENEGAL
Secteur : production, conditionnement et exportation de légumes
frais au Royaume-Uni en hiver en Europe quand les pays
traditionnellement producteurs (Maroc, l’Espagne, Israël et
l’Egypte) ne rencontrent pas la demande.
Interventions de BIO :
- 2007 : acquisition de matériel
- 2010 – 2011 : 36.000€ pour 2 projets AT : amélioration
production d’asperges et autres légumes + amélioration
irrigation et techniques de gestion de l’eau
- 2013 : prêt 4M€ pour projet d’extension : production de
maïs doux, patates douces et butternut, station de
pompage pour irrigation, extension de l’usine de
transformation et l’infrastructure.
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MERCI POUR VOTRE ATTENTION !
BIO - SOCIETE BELGE D’INVESTISSEMENT POUR LES PAYS EN DEVELOPPEMENT
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