Bob Price reçoit les étudiants de BTS Com - St Louis
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Bob Price reçoit les étudiants de BTS Com - St Louis
avec le soutien de Bob Price reçoit les étudiants de BTS Com Les BTS com à la mairie d’Oxford. Numéro 18 - Mars 2014 Expériences en immersion Que sont-ils devenus ? Page 6 Les Bac pro commerce en stage Page 11 Page 12 Thierry CLEZIO 14 023 - 024 (014) Édito Aujourd’hui, la maitrise de plusieurs langues étrangères, les possibilités de stages, d’études à l’étranger et d’ouverture à d’autres cultures constituent des enjeux importants pour la future insertion sociale et professionnelle des lycéens et étudiants. A travers de nombreux articles, ce numéro du journal des lycées Saint-Louis -Notre-Dame de la Paix montre la volonté affirmée des équipes d’apporter des réponses à ces enjeux en développant de manière conséquente le volet international des établissements. Selon les lycées, les voyages en Espagne, Irlande, Angleterre, Chine, république Tchèque et les échanges avec des établissements d’Allemagne (Ludwigshafen), du Minnessota (Minneapolis), de la Floride constituent pour les lycéens ou étudiants des expériences concrètes d’ouverture linguistique et culturelle. Pour étudier à l’étranger, des dispositifs de mobilité individuelle sont également propo- sés par le lycée Notre-Dame de la Paix et le lycée Saint-Louis. Les étudiants du BTS MUC peuvent en effet bénéficier d’une convention signée par le lycée Notre-Dame de la Paix et l’université de Chicoutimi pour poursuivre leur cursus post BTS par une licence de gestion administration, dans cette ville du Canada. Au lycée Saint-Louis, les élèves de seconde ou de première peuvent partir étudier en Allemagne, dans le cadre des échanges de courte ou moyenne durée du programme Brigitte Sauzay. Cette année, un nouveau dispositif, de mobilité individuelle permet aux lycéens de secondes et de premières de partir étudier trois mois ou six semaines en Inde à Kodaikanal International School, dans le cadre du partenariat, mis en place en avril dernier, avec ce lycée international américain du Tamil Nadu. Les premiers lycéens venus de Kodaikanal ont été scolarisés, entre septembre et décembre, en classes de seconde générale et technologique ainsi qu’en classes de premières. Aujourd’hui, leurs correspondants Martin, Malo, Lucille et Marine élèves de seconde ont quitté le lycée Saint-Louis pour Kodaikanal où ils étudient, en anglais, les différents programmes qui caractérisent les disciplines du grade 9. Ce partenariat ouvre également des portes aux étudiants de BTS. Actuellement, Clément Gragnic, étudiant en 2e année B.T.S S.I.O (Services Informatiques aux Organisations) effectue son stage au service du développement du réseau informatique de Kodaikanal International School. Il nous fait part, dans ce journal, de ses premières impressions et de ses premières découvertes culturelles ! Bientôt, les étudiants de 1re année du BTS Commerce International effectueront leur stage les amenant à une immersion de deux mois à l’étranger dès la 1re année de leur cursus post-bac. C’est aussi par l’accueil des lycéens étrangers que nous pouvons mesurer l’ouverture internationale des lycées. Cette année, nous avons le plaisir d’accueillir au lycée NotreDame de la Paix, Jesus Manuel Elizondo Adalpe. Vous pourrez découvrir une partie de son parcours dans l’interview qui lui est consacré page 9 de ce journal. Au lycée Saint-Louis, la présence de plus en plus nombreuse d’élèves étrangers en mobilité individuelle ou collective, témoigne de la volonté d’ouverture de l’établissement. Récemment, nous avons eu le plaisir d’accueillir à nouveau, un groupe de jeunes d’Ariquipa, ville du Pérou. Ils ont suivi trois semaines de cours au lycée et, enthousiasmés par leur séjour, ont exprimé le souhait de poursuivre l’ensemble de leur année scolaire prochaine, dans l’établissement. Nous formulons le souhait de développer ce lien avec Ariquipa au profit d’un dispositif de mobilité individuelle de moyenne durée pour permettre aux lycéens de partir étudier au Pérou. D’autres projets contribueront, je l’espère, à la croissance de l’ouverture internationale des lycées, dans les prochains temps ou prochaines années. Le projet comenius consacré à la santé des jeunes, la création d’un échange avec un établissement espagnol et irlandais ou encore le développement du partenariat avec l’université de Chicoutimi sont autant de perspectives enthousiasmantes, porteuses de nouvelles opportunités d’ouverture culturelle et linguistique. Les projets à l’international se développent par l’implication des enseignants ou membres de l’équipe des lycées. Que l’ensemble des acteurs porteurs de ces projets soient ici vivement remerciés ! La directrice, Marie-Noëlle LOIZEL. Premiers pas en fac pour des terminales Léna Germanèse, Arthur Levayer, Matthieu Lamielle et Claire Iziquel font tous les quatre partie du partenariat avec l’UBS (Université de Bretagne sud). Ils ont quatre heures de cours chaque mercredi après-midi de 13 h 30 à 17 h 30 et ce pendant la moitié de l’année. Ils sont en tout dix du lycée Saint-Louis et trois de Jean Macé à suivre ce cursus. Les cours sont basés sur les sciences de l’ingénieur, décomposés en dix cours : un cours théorique, deux sur la bibliogra- phie (recherche sur un concept précis), cinq cours de TP où ils sont par groupe de deux à manipuler une machine et un cours de math. Pour finir, ils passent un oral et doivent réaliser un dossier entre dix et trente pages sur un des dix sujets imposés. Et ils doivent aussi rendre un compte rendu noté. C’est une bonne préparation et c’est un sujet très intéressant, surtout si l’on souhaite devenir ingénieur. Pour eux, c’est enrichissant mais ça prend beaucoup de temps (et oui n’oublions pas que c’est dix mercredis après-midi) ! Les sujets sont variés, tels que l’automobile, les moteurs électriques ou hydrogènes, les infrastructures routières etc. Il y a beaucoup d’analyses à faire. Leur professeur, M. Goualou est un ancien chercheur chez Peugeot et il leur donne les mêmes cours qu’aux L1 (1re année de licence). De quoi avoir une année d’avance. Malgré le fait que cela reste très prenant, ça reste une très bonne expérience à faire. Alors merci Des terminales S qui se projettent dans la vie étudiante. à eux pour avoir pris le temps de répondre à mes questions ! Louise DELMOTTE. Association pour le développement du Journal des Lycées 10 rue du Breil, 35 051 Rennes Cedex Tél. 02 99 32 67 47, [email protected] Lycée Saint-Louis Adresse : 5 rue Pérault, 56 100 Lorient Tél. 02 97 84 13 84 Mail : [email protected] Site : www.saint-louis-lorient. org Directrice de la publication : Mme Marie-Noëlle Loizel Réalisation : Bayard Service Édition Ouest - Tél. 02 99 77 36 36 Publicité : Bayard Service Régie - Tél. 02 99 77 36 39 Imprimerie Du Loch (56 Auray) Papier : 80 g terraprint couché mat PEFC (ce papier est fabriqué à partir de bois issu de forêts gérées de façon responsable) Associations et organisateurs lors de la remise des chèques des actions de la pastorale. “ Une réputation de sérieux et de qualité ” Depuis 1985 Rien n’est trop grand pour vous 166 rue de Belgique LORIENT 02 97 37 33 99 AURAY : 02 97 24 12 24 PONTIVY : 02 97 28 33 82 QUIMPERLÉ : 02 98 39 02 12 CONCARNEAU : 02 98 50 82 73 Projets personnalisés ➮ www.constructions-tygwenn.com C. 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Une obligation… Un choix… Après ma 3e, j’ai dû choisir entre faire une seconde générale et une seconde professionnelle. J’ai choisi la voie générale, pensant que j’allais réussir. Je n’ai pas opté pour la filière professionnelle car, pour moi, cette filière était destinée à ceux qui savaient déjà ce qu’ils voulaient faire plus tard. Dès le début de ma seconde générale, mes notes ont régulièrement baissé, passant même sous la moyenne. J’étais découragée. Je ne savais pas quel métier je voulais faire jusqu’à ce je découvre celui d’hôtesse de l’air. Pour y arriver, j’ai choisi de passer un bac profession- Marielle PUYAU Difficile de définir à quinze ans un plan de formation qui engage une vie professionnelle. Manque de connaissance de soi, offre très large de filières… le parcours peut s’avérer sinueux. Pas grave, chacun trouve finalement sa voie. Justine témoigne. Justine aime le commerce. nel Restauration. Très vite, mes notes étaient bonnes et supérieures à celles des autres car j’avais déjà travaillé les matières générales. Cela me paraissait facile… J’ai commencé à m’ennuyer… Seules les matières professionnelles étaient nouvelles pour moi. Après quatre mois, j’ai quitté cette section, par manque de motivation. Une vente flash chez King Jouet simulations de vente dans lesquelles il fallait développer une accroche-client, une argumentation, pour enfin conclure cette vente flash de baby-foot. Après avoir salué le client, il faut trouver une accroche dans laquelle il sera impossible au client de répondre «non», l’accroche doit être ouverte, par exemple «j’ai le plaisir de vous présenter…» ou encore «je vous informe…». Le vendeur pourra alors enchaîner et proposer une vente. Les parfums antiques n’ont plus de secrets D’après Stéphanie, il faut également que nous apprenions à maîtriser notre gestuelle et à développer l’argumentation de manière rythmée. Et pour conclure… Fabien proposera ensuite à Stéphanie de nous montrer ses talents lors d’une simulation où elle apparaîtra très sûre d’elle. Pour preuve, elle convaincra même Fabien d’acheter un baby-foot, lui qui venait chercher une Barbie pour ces deux filles en bas âge ! Kévin et Dylan LB. Les parfums, une histoire de chimie. Isabelle COEFFIC Après plusieurs heures de travail sur l’organisation d’une vente flash de baby-foot, elle est intervenue en classe pour nous donner des conseils. Tout d’abord, nous avons écouté les annonces micro de Pierre et Manon. D’après elle, nous avions déjà acquis ce qu’il fallait dire ou non. En effet il ne faut parler ni trop vite ni trop lentement, il faut articuler, être dynamique et éviter les annonces trop longues. Ensuite, Sabrina, Gaël et Mustafa se sont chargés des Conseils avisés pour les Bac pro commerce. Justine (1re bac pro commerce). Yoann LE GALLUDEC Le jeudi 7 novembre, nous avons eu le plaisir d’accueillir Stéphanie, responsable du magasin King Jouet de Lorient. J’ai quitté ce lycée pour me rendre à la Mission Locale qui m’a dirigée vers la MIJEC (Mission d’Insertion des Jeunes de l’Enseignement catholique). De janvier à juin, j’y ai fait des recherches et des «exercices» pour trouver ma voie professionnelle. J’ai découvert le commerce. Cela semblait m’intéresser, j’ai donc voulu en savoir plus. Pour cela, j’ai effectué plusieurs stages qui m’ont permis de découvrir ce corps de métier. J’ai trouvé le lycée La Paix qui m’a acceptée après mon année de réorientation. Depuis septembre, j’ai découvert de nouvelles choses qui me paraissent très intéressantes. J’ai effectué un premier stage chez Giffi. Une première expérience à compléter par un stage en vente traditionnelle au mois de juin. Aujourd’hui, j’ai trouvé ma voie professionnelle, celle du commerce et je suis enfin motivée ! Lors de la fête de la science 2013, les CAP «employé technique de laboratoire» ont rencontré à l’Université Bretagne Sud à Lorient un archéologue, M. Fraire et M. Boué, chimiste pour découvrir les parfums antiques. Leurs travaux mettent en relation recherches archéologiques et la chimie moderne. Ils nous ont montré la préparation de fars à joue : en mélangeant des oxydes métalliques naturels, ils obtiennent une couleur proche de celle de la peau humaine et ajoutent un corps gras (huile végétale ou graisse animale) pour lier. Puis M. Fraire a préparé un parfum de menthe par une méthode antique avec des instruments anciens. Il faut chauffer l’huile sans ébullition, faire macérer une préparation de miel et de feuilles de menthe dans l’huile chaude et laisser infuser le parfum, filtrer pour obtenir un liquide odorant sans matière solide. Cette opération peut durer deux jours mais ne marche pas à tous les coups ! Cette matinée nous a permis de voir et d’apprendre une autre utilisation de la chimie que celle de notre quotidien. La cosmétique étant très présente dans notre monde et la chimie y prend une place de plus en plus importante ! Immersion 6 Un échange, une aventure Les langues en valeur Dans le monde entier, des enfants ou des adolescents font des séjours en immersion à l’étranger. Ils partent et ils accueillent pour un temps déterminé. C’est un moyen de découvrir le monde, différents modes de vie et de parler une autre langue. Ces expériences favorisent l’indépendance. Je suis partie deux fois pour des échanges de six mois en Allemagne et en Écosse. Ces expériences ont été extrêmement enrichissantes. Elles m’ont permis de découvrir deux modes de vie différents et de rencontrer des personnes avec qui je suis toujours en contact. En Allemagne, j’étais dans un Gymnasium qui, comparé à mon collège, était gigantesque. En Écosse c’était la campagne, j’étais dans un petit village, Kirknewton, avec des champs et des moutons partout. Pour moi, le plus difficile dans un échange, ce n’est ni de partir, ni d’accueillir mais c’est de revenir. Reprendre sa place à l’école et reprendre son mode de vie peut être très difficile après être partie six mois. L’année dernière plusieurs élèves de seconde ont passé des certifications de langues en mars et en mai. Les disciplines concernées étaient la compréhension orale et écrite, ainsi que l’expression orale et écrite en anglais et/ou en allemand. Après une longue attente et un suspense insoutenable, les élèves diplômés en classe de première se sont enfin réunis le lundi 18 novembre pour recevoir leur certificat : le certificat B1 en Allemand et le Cambridge avec l’option euro Anglais. Une vingtaine d’élèves ont obtenu le diplôme B1 alors qu’une cinquantaine obtenait le Cambridge. C’est une bonne occasion de confirmer son niveau et de se préparer à des oraux et des écrits de langue. Élèves de seconde, à vous de jouer, your turn, du bist dran ! En ce moment Maëlig Tréhin une élève de seconde 2 se prépare à partir pour trois mois en Allemagne. Elle vient juste de prendre contact avec sa correspondante Sophie. Si vous décidez de partir c’est peut-être la meilleure décision que vous aurez prise mais il faut être prêt à tout laisser derrière soi pendant la durée du voyage. Nous ne sommes jamais vraiment prêts à partir mais le plus important c’est la détermination, il faut être conscient que pendant la durée du séjour nous n’avons pas beaucoup de contact avec notre famille et nos amis, c’est une immersion totale. Lucille GUIFFAUT. Lucille et Éva sa correspondante allemande, âgées de 11 ans toutes les deux. Gabrielle JOUET-PASTRE, Johanne THIERRY. Une escapade réussie : les Indiens à Paris Du 21 novembre au 20 décembre, trois élèves de première ont reçu leurs correspondants indiens. À l’origine se trouve un échange entre Kodaikanal international school et Saintt-Louis instauré pour la première fois cette année. Après avoir pris leurs marques, les trois Indiens ont suivi leurs partenaires en cours et dans leurs activités du quotidien. Ils nous ont apporté leur côté exotique (surtout en nous cuisinant leurs spécialités) et nous leurs avons donné les clefs de la culture occidentale. Après ce long mois dans les beaux paysages bretons leur voyage s’est terminé à Paris. Paris, la ville des amoureux, de la tour Eiffel, des balades en bateaux-Mouches et des Champs Élysée. Paris qui fait rêver à travers le monde, même en Inde. Nos correspondants indiens, Smrithi, Isheeta, Valarika en première mais aussi Quomel, Ashray, Maya et Megan en seconde ont pu voir un de leurs rêves se réaliser. Nous sommes donc partis le mercredi 18 décembre de la gare de Lorient vers Paris. Nous ? Sept élèves indiens de Kodaikanal international school, sept élèves de Saintt-Louis ainsi que M. Morvant. S’est également joint au voyage, un ancien élève de KIS, Jason, qui nous a fait part Montmartre : un beau souvenir pour les Indiens. de son expérience dans cette école. À l’arrivée nous avons déposé nos bagages à l’auberge de jeunesse et avons fini l’après-midi sur les champs Élysée tout illuminés par les décorations de Noël. Le lendemain nous avons visité la butte de Montmartre ainsi que le Sacré-Cœur où le dessinateur du groupe, Théo, a pu trouver l’inspiration. L’après-midi nous avons fait un détour par la tour Eiffel où le vertige de certains s’est avéré être plus paralysant que prévu et après un joli tour de Paris dans les bateaux-mouches nous avons fini la journée dans la folie du shopping parisien. Le programme du lendemain, plus culturel, nous a conduits dans les galeries du Louvre et à l’une des plus belles visites de ce voyage : l’Opéra Garnier. Nous avons une fois de plus fini notre belle escapade parisienne dans les rues bordées de magasins et toujours éclairées par la magie de Paris. Et c’est les pieds douloureux que nous avons retrouvé l’auberge de jeunesse ce soir-là qui était malheureusement la dernière nuit française pour nos Indiens. Bien sûr nous nous sommes quittés pour mieux nous retrou- Un au revoir à la France devant la tour Eiffel. ver, en février prochain pour les secondes et en août pour les premières. Merci à M. Morvant de nous avoir accompagnés dans cette belle aventure pa- risienne qui restera pour tous un moment inoubliable. Gabrielle JOUET-PASTRE, Johanne THIERRY. Nouveaux horizons à Saint-Louis 7 Une marche parisienne plus grande et plus ancienne collection de pièces anatomiques d’Europe. La journée s’est terminée par une visite sur les Champs-Elysées en temps libre. Les illuminations de l’avenue nous ont impressionnés. Mercredi 18 décembre, nous sommes allés visiter le Louvre. Dans l’après-midi nous avons visité le musée des égouts, un Paris insolite dans les entrailles de la capitale. Nous avons beaucoup marché dans les rues de Paris et les pieds ont apprécié le repos du retour dans le bus. À la suite de ce voyage, les secondes ont dû rendre un travail écrit sur un thème donné par les professeurs. Nous garderons un très bon souvenir de ce voyage. Pour la troisième année consécutive, les enseignants de seconde et des terminales ST2S ont lancé un projet commun pour rapprocher les deux niveaux et leur faire découvrir un lieu qui illustre un domaine de la santé, en l’occurrence le musée Dupuytren cette année. Pause photo devant le musée du Louvre pour les deux classes. Merci pour tout ! sonnes, Ms Lair et Le Port étaient du voyage. Mardi 17 décembre, nous avons visité l’Assemblée Nationale, où nous avons ren- contré le député du Morbihan, M. Gwendal Rouillard. Nous avons continué cette journée par la visite du musée Dupuytren, dans lequel un The London Trip En cette deuxième semaine de décembre, 58 élèves du lycée Saintt-Louis se retrouvent pour un fabuleux voyage : direction Londres ! Après un départ du lycée matinal, nous nous dirigeons en direction du mémorial de Caen accompagnés de notre guide Bryan. Londres et ses symboles. Les premiers liens d’amitié commencent déjà à se former. Arrivés à Londres, les élèves enthousiastes et angoissés s’apprêtent à rencontrer leur famille, avec laquelle ils vont passer le séjour. Les journées sont bien remplies et nous découvrons les lieux scientifique nous a fait découvrir différentes maladies extraites du corps humain et conservées dans des bocaux. Ce musée regroupe en effet la Romane GUÉRIN et Tanguy PIEL. Petit goût de Noël allemand emblématiques de cette capitale tels que Westminster Abbey, Trafalgar Square, Covent Garden, Big Ben, Buckingham Palace et tant d’autres, sans oublier la relève de la garde. Nos moments préférés sont la comédie musicale Thriller, le shopping à Oxford street, la visite des studios de la BBC (radio, TV), London by night et le Shakespeare’s Globe Theater où nous jouons quelques scènes. Nous passons de bons instants dans le British Museum à découvrir la pierre de Rosette, les momies… ou encore dans la Tate Modern à explorer les expositions de différents artistes. La fin de notre semaine est dédiée au temps libre à Camden Street et Canterburry où nous dépensons nos derniers livres avant d’aller sur le ferry pour traverser la Manche. De retour en France, la nostalgie de cet inoubliable voyage nous envahit et les nouvelles amitiés sont d’autant plus fortes. Nous tenons à remercier les accompagnatrices Mmes Todd et Cargoët sans qui notre anglais n’aurait pu être amélioré ! Emma C. et Julline G. 1 Mmes Nédellec et Schouler-Pocher ont organisé un voyage à Paris pour leurs classes respectives qui sont la seconde 4 et la terminale ST2S1. Nous pouvons souligner que nos deux professeurs ont fait un travail remarquable pour l’organisation du voyage. Nous sommes partis le lundi 16 décembre de Lorient et avons fini cette journée par une visite en bus de Paris, by night. Cela a été l’occasion de voir les principaux monuments que certains découvraient pour la première fois. Pour accompagner ce groupe de 70 per- Quelques heures de train pour fêter un anniversaire. En décembre 2013, 24 élèves de seconde et de Première ont participé à l’échange Franco-Allemand organisé par le lycée Saint- Louis et le lycée Max-Planck-Gymnasium de Ludwigshafen. Le week-end en immersion totale dans les familles des correspondants nous a permis de découvrir les traditions et coutumes allemandes en période de Noël (chocolats de Saint-Nicolas par exemple). Nous avons visité différentes villes comme Heidelberg, Speyer ou bien sûr Ludwigshafen. Les guides des différents monuments que nous avons visités nous en ap- prirent plus sur l’histoire de l’Allemagne. Le voyage étant organisé durant la période de Noël, nous avons eu la chance de faire du shopping dans des marchés de Noël réputés. À nous le vin chaud, le pain d’épices et les «Currywurst» (saucisses au curry). Nous avons également découvert la vie lycéenne allemande de nos correspondants. Et oui, même en voyage scolaire, nous allons en cours… Fin mai, nos correspondants nous rejoindront pour une semaine de séjour à Lorient. Bleuenn BASLE et Claire CHOFFIN. Des étudiants tournés vers l’international 8 Back to London soon ! sited the Science Museum, Camden market and spent a few hours at the British Museum to see the Rosetta stone and the Crystal skull. This trip was worth it. I hope to go back to England soon ! Erwan Georget (BTS SIO) Grâce à nos professeurs, mes camarades et moi avons découvert l’Angleterre de visu. L u n d i 1 3 j a n v i e r, n o u s avons débarqué du ferry à Portsmouth. Nous avons atteint Londres pour une visite guidée des principaux monuments de la capitale ainsi que la Tour de Londres. Le deuxième jour, nous avons eu la visite technique de Sophos à Oxford qui vend des solutions antivirus pour les entreprises et puis nous avons apprécié la visite de Christchurch, l’un des lieux utilisés pour le tournage des films Harry Potter. La troisième journée a été consacrée au shopping de Westfield, le plus grand centre Isabelle THIEBLEMONT Thanks to our teachers, I and my classmates saw with our own eyes what England is like. On Monday 13 th January, we disembarked the car-ferry in Portsmouth and we drove to London for a guided tour of the main monuments of the capital city and a visit of the Tower of London. On the second day, we had the technical visit of Sophos in Oxford which provides antivirus solutions for businesses and then we enjoyed the visit of Christchurch, one of the places used for filming the Harry Potter movies. The third day was devoted to shopping at Westfield, the biggest shopping centre in Europe. We had a guided tour with a communication manager who explained to us the attractive concept for customers. Then, we went to the BBC headquarters where we saw some parts of the backstage. Back to Oxford, we had dinner in a traditional pub. The atmosphere was very friendly. We also vi- Voyage à Londres pour les étudiants de La Paix coulisses. De retour à Oxford, nous avons dîné dans un pub traditionnel. L’ambiance fut très sympathique. Nous avons aussi visité le Musée des Sciences, le marché de Camden et avons commercial d’Europe. Un responsable de la communication nous a détaillé ce concept attractif pour les clients. Puis nous sommes allés au siège de la BBC où l’on a vu une partie des Apprentissage de l’autonomie au Québec domadaires partagés en deux semestres. Depuis quatre mois, j’ai suivi des cours de finance, de comptabilité, management, gestion, langue. Chaque cours doit être validé, donc impossible de ne travailler que ceux que l’on préfère pour viser la moyenne ! On a énormément de travail personnel à faire, cependant des modules de rattrapage encadrés par des étudiants en maîtrise sont mis en place par l’université, à nous d’y aller pour résoudre une difficulté ! Réellement, ce que je retiens de ce système, c’est la responsabilisation de l’étudiant : on apprend à se gérer, pas de maternage ! L’université dispose d’une bibliothèque énorme avec des salles de travail de groupe. En extrascolaire, je vais à des cours de self defence ; il y a aussi des salles de musculation extrêmement bien équipées. Tout est prévu par l’université, même les sorties du week end pour aller voir les baleines à Tadousac. Je loge en colocation avec d’autres étudiants, cela permet de partager nos expériences et de se sentir moins seul les longues soirées d’hiver.» Dépaysement garanti à Kodaikanal. Maryse SALIOU «Après un BTS MUC (management des unités commerciales), je poursuis ma formation à Chicoutimi grâce au partenariat entre le lycée Notre-Dame de la Paix et l’université québécoise qui me permet de bénéficier du tarif réservé aux Canadiens. Le système est tout différent là-bas : les cours sont plus humains, basés sur l’écoute. Ils me permettent d’avoir une vision plus large, d’envisager une autre façon de faire du business. Pour valider mon année, je dois travailler dix cours de 2 h 45 heb- En route pour Kodaikanal Christine PAYNE Thomas Bordas témoigne de son expérience d’étudiant en licence Gestion Administration à l’Université de Chicoutimi. Madame Larouche présente l’UQAC (Chicoutimi) aux étudiants. passé quelques heures au British Museum pour voir la pierre de Rosette et le crâne de cristal. Ce voyage en valait la peine. J’espère retourner en Angleterre bientôt ! Me voilà parti en Inde pour un mois et demi grâce à l’échange entre le lycée SaintLouis et l’école KIS (Kodaikanal International School) pour faire mon stage de 2e année de BTS SIO (Services Informatiques aux Organisations). Après un long voyage de 24 h : changement culturel radical dans cette ville du sud de l’Inde, perchée à 2 000 m, offrant de merveilleux paysages. Les gens sont souriants et accueillants ; mes collègues et les professeurs m’ont vite mis à l’aise. La vie est ici très étonnante : plein de conducteurs circulent sans permis, les motards roulent sans casque avec deux passagers parfois… la circulation se fait avec les klaxons ! Question nourriture, c’est très bon si on aime les épices ! On mange végétarien ou non selon le lieu, la plupart des habitants mange végétarien. Le thé est leur boisson favorite, partout des stands en vendent à 10 roupies (12 cts d’euro !) Pour les courses, oublions les supermarchés : ici, que des petites échoppes, où l’on demande ce qu’on veut ; on trouve souvent son bonheur ! Ce séjour est une expérience unique, enrichissante et très dépaysante ! Clément GRAGNIC. Amitié franco-mexicaine 9 L’aventure mexicaine des étudiants lorientais légumes, sauce tomate et piment). Nous aimons beaucoup les plats épicés. Vanina Deroubaix et Zakariae Berhili, étudiants de 1re année BTS Commerce international, partiront huit semaines au Mexique pour faire leur stage au sein d’une entreprise d’import-export (mai-juin 2014). ¿En qué ciudad vivirán ? Viviremos en la Ciudad de Mérida en Yucatán, cerca del golfo de México a una hora de Cancún Quintana Roo. ¿Qué esperan de este tiempo en México ? Esperamos aprender muchísimo dentro de las prácticas, somos 6 personas que iremos y estamos muy emocionados ya que todos somos amigos y esperamos pasar un buen rato. Primero que nada las prácticas nous accueille puisse exporter ses produits. Dans quelle ville serez-vous ? À Mérida, dans le Yucatán, près du Golfe du Mexique, à une heure de la mégapole touristique Cancún. es lo más importante, pero al igual queremos ir a hacer turismo en la costa y conocer las ciudades importantes de este grandioso país. Qu’attendez-vous de votre séjour au Mexique ? Nous espérons apprendre beaucoup de notre stage en entreprise. Nous serons 6 étudiants de 1re année BTS Commerce International à partir au Mexique. Nous sommes très contents car nous en entendons tous bien, nous espérons passer un bon séjour. Avant toute chose, le stage est le plus important mais nous voulons aussi profiter de notre séjour pour visiter la côte et les villes importantes de ce pays gigantesque. ¿ En que consisten sus prácticas ? Nuestras prácticas consisten en buscar clientes al internacional, tenemos que encontrar nuevos clientes que quieran que les exportemos nuestros productos (dependiendo de la empresa). Pourquoi avoir choisi le Mexique ? Le Mexique est pour nous un très beau pays avec une histoire très riche comme celle des Mayas et des Aztèques. Sa gastronomie l’est tout autant avec ses tacos et enchiladas (galettes de maïs typiques mexicaines garnies de viande, En quoi consiste votre stage ? Caroline PINARD ¿Porqué han escogido México ? México para nosotros es un país muy bello con una cultura muy rica como sus antepasados los mayas y los aztecas, al igual que sus platos como los tacos, las enchiladas, y todo aquello que es picante nos encanta. Prospecter sur des marchés internationaux et trouver des clients pour que l’entreprise qui Jesús Manuel Elizondo Aldape, Vanina Deroubaix et Zakariae Berhili, étudiants de 1re année BTS Commerce International. Un Mexicain à Lorient Je m’appelle Jesús Manuel Elizondo Adalpe, j’ai 20 ans et je viens de Saltillo, dans la province de Coahuila au Mexique. Je vis en France depuis 3 ans pour mes études. Actuellement, je suis en 1re année BTS Commerce International au lycée Notre-Dame de La Paix. Pourquoi as-tu choisi la France ? J’ai choisi la France parce que c’est un très beau pays avec une grande culture et une belle langue. Tu aimes les défis ? Oui, j’aime beaucoup les défis et l’un d’eux est d’apprendre la langue française, car elle est très difficile, très différente de l’espagnol. Qu’est-ce qui te plaît le plus en France ? J’adore ses paysages, la culture française est pour moi l’une des plus intéressante du monde, son histoire est impressionnante ! Caroline PINARD Où as-tu vécu en France ? Je vis en France depuis 3 ans. J’ai passé 2 ans à Paris et maintenant je suis à Lorient. Jesús Manuel Elizondo Aldape. Qu’as-tu fait à Paris pendant deux ans ? La première année que j’ai passée à Paris a été très particulière car je suis venu suivre des études de philosophie à l’Université avec des amis et apprendre le français. Pendant mon temps libre, je faisais du bénévolat au sein de l’Association Simon de Cyrène auprès de personnes handicapées. La deuxième année j’étais en compagnie de mon frère Roberto, en 2e année de philosophie. Mais j’ai arrêté mes études parce que ça ne me plaisait pas. J’ai alors travaillé à Disneyland Paris pendant six mois et ça a été pour moi une expérience formidable. Depuis septembre, je suis à Lorient. Pourquoi avoir choisi le Commerce International ? J’aime beaucoup la vente et le commerce. Mon père est chef d’entreprise et depuis tout petit je suis attiré par le commerce. Je suis convaincu que je suis fait pour ça car au Mexique j’ai eu l’occasion de travailler avec mon père et j’ai réussi à réaliser des ventes et à signer plusieurs contrats avec des fournisseurs. Comment tu t’imagines dans dix ans ? Je me vois marié, aux États-Unis et travaillant dans une grande entreprise. Pourquoi avoir choisi la France et pas un autre pays ? La France est pour moi un très beau pays avec une culture très intéressante. Comme je l’ai déjà dit, la langue française est une langue difficile et j’aime les défis. C’est pourquoi j’ai décidé de l’apprendre et de faire mes études ici, en France. Qu’est-ce qui te plaît le plus à Lorient ? Les gens sont très ouverts, très aimables. J’aime ses plages et ses paysages. Son histoire en rapport avec la seconde guerre mondiale m’intéresse beaucoup. Dans quel pays feras-tu ton stage de 1re année ? Au Mexique dans l’entreprise PepsiCo, à Saltillo Coahuila. J’ai choisi de le faire là-bas pour pouvoir revoir ma famille et mes amis. Projets de Saint-Louis 10 «Adolescence et prise de risques» Toutes les secondes ont participé à une intervention sur les addictions animée par M. Kervella, chargé de prévention à l’ANPAA (Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie). La présence des professeurs n’étant pas demandée, il était plus facile de parler librement et d ‘échanger sur ces sujets. La cigarette, l’alcool, les drogues et leurs conséquences ont donc été abordés. En effet, ces substances sont des produits psycho-actifs qui ont un effet sur l’organisme et sur le cerveau. Elles ont donc de lourdes conséquences sur la santé à plus ou moins long terme. Sur une courte période, par exemple la consommation de cannabis entraîne un manque de concentration et de mémoire, ce qui pourrait produire à terme une démotivation voire un échec scolaire. De plus, elles influent sur le sens de l’équilibre, sur le champ visuel ainsi que sur la perception du danger qui s‘en Les élèves échangent sur «s’amuser sans dépasser les limites» avec M. Kervella. trouve réduite. De ce fait, une personne ivre acceptera plus facilement de commettre des actes qu’elle aurait refusés en temps normal. L’alcool peut également provoquer un coma éthylique. Dans ce cas, certains gestes sont à connaître et à appliquer. Tout d’abord, il est important de vérifier que l’individu respire et qu’il est encore conscient. Il faut ensuite Attention danger ! un accidenté de la route, Yann Jondot, éducateur sportif et champion de tennis de table est venu partager son expérience avec les élèves et répondre à leurs questions. Les élèves ont apprécié cette intervention qui a été très interactive. Beaucoup de questions ont été posées et les échanges avec l’intervenant ont été fructueux. Ce témoignage de vie a sans doute permis aux jeunes de prendre véritablement conscience des dangers de la route. En MPS SVT les élèves ont traité les traumatismes, leurs causes, leurs conséquences ainsi que les techniques d’ima- M. Yann Jondot entouré des enseignants et d’élèves de MPS. Alix LIVORY BOILLOT et Marie CHAPUY. Les secondes au TGI gerie médicale. La production finale était la réalisation d’une affiche de prévention primaire. Sur chaque panneau devaient se trouver un slogan, un traumatisme et un examen d’imagerie médicale. Les affiches ont été exposées dans le hall du CDI. Un concours a été organisé et a récompensé l’affiche ayant le slogan : «Alcool au volant : 100 % sang ou sans ! ». Amélie Dedarary, Chloé Trichereau et Élisa Vallernaud ont reçu chacune une place cinéma. Les professeurs de MPS. Des élèves de seconde 2 accompagnés de Mme Pérès devant le tribunal. 1 Toutes les classes de seconde participent à un projet «adolescence et prises de risques». Durant l’année les élèves vont travailler le thème en ECJS, en enseignements d’exploration littérature, santé sociale et MPS. Des ateliers animés par des professionnels et un spectacle de théâtre forum clôtureront ces actions. Dans le cadre des MPS (méthodes et pratiques scientifiques) qui concernent les maths, physiques et sciences et vie de la terre les élèves ont réfléchi sur les «aléas de la circulation routière». Pour illustrer leurs recherches contacter le Samu (15) ou les pompiers (18). En attendant les secours, il est conseillé d’installer la personne inconsciente en Position Latérale de Sécurité (dite PLS) et de la couvrir. Sur le long terme, l’alcool et la drogue, le cannabis en particulier peuvent également provoquer une dépendance et ainsi entraîner des maladies. C’est pourquoi le code de la santé stipule qu’il est interdit aux mineurs de consommer des boissons alcoolisées et des stupéfiants. La possession de cannabis peut en effet conduire à une amende allant au maximum jusqu’à 3 750 €, un an de prison. Dans la continuité de cette intervention il y a eu une réunion d’enseignants le lundi 27 janvier et une conférence pour les parents le jeudi 10 avril à 20 h à Saintt-Louis. Dans le cadre du cours d’ECJS, toutes les classes de seconde ont assisté à une audience au Tribunal de Grande Instance de Lorient. Les visites ont eu lieu les jeudis, jour où les audiences sont publiques. Nous avons pu y découvrir le déroulement d’un procès ainsi que les acteurs qui y interviennent. L’accusé était appelé à la barre, au centre de la pièce et en face de lui se trouvaient les juges. Le greffier était à leur gauche et de l’autre coté était placé le procureur. Nous étions installés sur les bancs de la plaidoirie. Les avocats étaient situés à l’avant de ces bancs ; à droite, la défense et à gauche, les accusés. Plusieurs cas nous ont été présentés. En toile de fond de toutes les affaires qui ont été traitées l’alcool et la drogue étaient en cause. Cette expérience était intéressante puisque nous ne nous serions sans doute pas rendus au Tribunal en d’autres circonstances. De plus, cela nous a apporté des connaissances dans le domaine juridique. Alix LIVORY BOILLOT et Marie CHAPUY. Pêle-mêle de Saint-Louis 11 Que sont-ils devenus ? Les reconnaissez-vous ? Anass, ancien élève de Saint-Louis, relate son expérience au Japon. Pour valider ma deuxième année dans mon école EMBA-ISUGA. j’ai choisi de faire un stage de trois mois au Japon pour mon Master 1, une maîtrise en administration des affaires (ou MBA) dans les marchés Europe-Asie. Je voulais confirmer mon envie de travailler là-bas et réaliser aussi le rêve d’une enfance de mangas et d’animés. L’organisation a pris du temps, de l’argent, et de la réflexion. L’EMBA nous a désigné une école pour poursuivre notre formation sur la langue japonaise, à Osaka, c’était à nous de débrouiller pour le reste. Qu’est-ce qui t’a vraiment marqué hormis le dépaysement ? L’hospitalité japonaise, l’attention qu’ils vous portent. Ils sont très gentils, même si vous ne les connaissez pas. J’ai été malade, pas grand-chose, et quatre Japonais sont venus chez moi me ramener des médicaments. Une voisine, un professeur de mon école, un ami d’ami, et un simple passant. Tu projettes d’aller travailler au Japon ou d’y aller occasionnellement ? Oui, j’ai l’intention d’y travailler. De base sur l’import et export, mais je voudrais m’orienter dans le management en entreprise pour mon projet de réaliser un restaurant au Japon. En terminale, je projetais de travailler à l’international. J’ai eu la chance de découvrir ISUGA grâce à Mme Fidon, la professeure de japonais. À partir de là, c’était sûr que c’était le commerce, l’international et surtout le Japon. L’idée du restaurant était là, mais je manquais encore de confiance en moi pour me lancer dans les recherches sur ce projet La course de Mathieu Mathieu dans sa course. Mathieu Nestour, élève de terminale S, a participé au cross régional UNSS. Après avoir terminé à la 5e place, il répond à nos questions. Où se trouvait le cross et quelle distance as-tu parcouru ? Le cross se déroulait à Plouay (56) et nous avions 5 kilomètres à effectuer. Comment s’est passé le déroulement de la course, étiez-vous nombreux ? Nous étions environ 150 au départ. C’est parti sur un rythme rapide, j’ai mené la course au début puis un groupe s’est formé et je m’y suis accroché. Nous avons terminé à six au sprint final, mais les autres ont mieux terminé que moi. Anass lors de son séjour au Japon. Que veux-tu dire aux élèves qui vont te lire, que ce soit sur le Japon, ton voyage ou même l’orientation ? Et bien. N’ayez pas peur, prenez des risques. Soyez avenant, parlez aux gens, apprenez de leurs expériences mais faites tout pour atteindre le top de vos objectifs. Mon petit cadeau pour ceux qui veulent vraiment bosser, c’est un programme sur Internet : Anki. Je vous conseille de vous y lancer le plus tôt possible. Quant aux erreurs, on est jeune, on a le temps devant nous. Vous avez le droit de vous tromper dans vos choix, mais ne lâchez pas pour autant. Comme tous les ans les documentalistes vous proposent un concours où il faut vous transformer en Sherlock Holmes. Ces trois enfants sont devenus des professeurs du lycée Saint-Louis, mais qui sont-ils ? Quelques indices pour vous aider : deux garçons, une fille. Ils ont tous un point commun, ils aiment les sciences, certains les sciences physiques, d’autres les sciences de la vie et de la terre. Un indice supplémentaire : un de ces enfants est cité dans un article de ce journal. Ca y est, vous avez des pistes… recoupez vos informations et lancez-vous ! Vous pensez avoir trouvé les trois noms ? Venez les inscrire sur les bulletins à votre disposition au CDI, deux places de cinéma sont à gagner. Haude CHAUVEL et Monique MAHOUDO. Estelle LE DORSE. Curiosités chinoises La gymnastique chinoise est pratiquée dans toutes les écoles en Chine. Les élèves apprennent des exercices et les exécutent en musique lors de rassemblements tous les jours. Les élèves de seconde en option chinois se sont donc immergés dans cette culture en mettant en pratique ces mouvements. Dirigés par leur professeur, Mme Cai et son assistante, les garçons et les filles, bien qu’un peu gênés, se sont «affrontés» en plein milieu de la cour un jeudi après-midi. Le Nouvel An Chinois suivant le calendrier lunaire était le 29 janvier, il est décalé par rapport au Nouvel An que nous fêtons au soir du 31 décembre. Cette année, nous rentrons dans l’année du cheval. Pour l’occasion, la classe de seconde est allée au self cuisiner des raviolis au bœuf et aux poivrons. Ils ont été rejoints par la classe des terminales. La classe a été séparée en quatre groupes afin de répartir les tâches. Lorsque les raviolis ont été terminés, les élèves les ont mangées avec de la sauce soja et du piment pour ceux qui en avait envie. Lucille GUIFFAUT et Marie CHAPUY. A B Comment t’es-tu senti quand la course s’est terminée et que tu as réalisé le classement que tu avais ? J’étais vraiment content et un peu étonné aussi. Je ne m’étais pas mis trop de pression et cela m’a sans doute bien aidé. Es-tu sélectionné pour les nationales ? Vas-tu y aller ? Seules les deux premières équipes de cross étaient sélectionnées. On ne peut plus y aller en individuel depuis deux ans, c’est dommage ! Gabrielle JOUËT-PASTRE. Démonstration de gymnastique de santé dans la cour de Saintt-Louis. C Les Bac pro commerce en stage 12 Les stages : de multiples opportunités Peux-tu nous parler de la venue du soldeur ? Lors des trois dernières semaines nous avons très bien vendu donc il ne restait pas beaucoup de marchandise. Le prix fixé par le soldeur, dans un premier temps, ne convenait pas à M. Millotte car il trouvait que ce n’était pas suffisant. Après une petite négociation, le soldeur a accepté de payer un peu plus cher et il a emporté toute la marchandise. Quelles sont les tâches que t’a confiées M. Millotte lors de ce stage ? J’ai participé au déstockage, car le magasin allait changer de propriétaire. J’ai regroupé les produits qui allaient être mis en vente lors de la promotion ainsi que ceux qui seront gardés par le repreneur. J’ai créé des affiches pour pouvoir les coller sur la vitrine et à l’intérieur du magasin pour indiquer aux clients, le changement de propriétaire, ainsi que les articles vendus par marques et leur prix «tout Quel bilan fais-tu de ce stage ? Je remercie M. Millotte car dans ces différentes activités (le déstockage, la publicité, l’inventaire, la négociation avec le soldeur) il a toujours eu confiance dans mes capacités. C’est très motivant pour la suite de ma formation. Marielle PUYAU L’an dernier, Baptiste, élève en Bac pro Commerce, nous avait raconté son expérience lors de son stage en magasin chez Look. Son tuteur lui avait permis de participer au choix de la nouvelle collection en participant à un showroom. Aujourd’hui nous retrouvons Baptiste après 4 semaines passées chez Look. Encore une belle expérience pour Baptiste. à 20 €». J’ai créé moi-même la publicité presse. J’ai réalisé l’inventaire du magasin une fois que le soldeur était passé récupérer les produits non vendus.» Peux-tu nous expliquer comment tu as pu mener Sabrina chez Lili & Cop’s pour l’Apéro’mode à bien la réalisation de la publicité presse ? Lorsque mon tuteur m’a demandé de réaliser la publicité pour le magasin, j’ai eu le trac car je ne savais pas comment m’y prendre. Mon tuteur m’a montré un exemple, ce qui m’a rassuré. Le soir, j’ai travaillé sur le projet que je lui ai présenté dès le lendemain. Ma proposition visuelle et le slogan correspondaient tout à fait à ce qu’il recherchait. Après quelques corrections, mon travail a été publié dans le Ouest-France du lendemain. Même si son projet n’est pas encore finalisé nous lui souhaitons bonne route car comme il le dit «la vente c’est une passion». Aurélie chez Aigle : la botte de pluie d’hier à aujourd’hui Gaël en formation chez Micromania J’ai effectué mon stage du 18 novembre au 14 décembre 2013 à Lili & Cop’s, un magasin indépendant de prêt-à-porter féminin et accessoires se situant dans la zone de Keryado. Mon action a été l’organisation d’un Apéro’mode. Cet événement consistait à réunir les clientes, pour quelques heures dans le magasin en leur proposant des conseils mode ainsi qu’une collation. L’ambiance du magasin restait dans le thème «girly» - espace dédié aux jeunes filles et jeunes femmes aimant la mode et où les couleurs, rose et noir, vous accueillent dès l’entrée. Pour la soirée, un «nail bar» avait été installé avec une esthéticienne. C’était intéressant de pouvoir participer à une action d’animation comme celle-ci, car pour les nombreuses tâches de préparation j’ai dû être autonome. J’ai créé l’affiche et suis allée chez l’imprimeur pour commander les divers supports de communication : les flyers et des carnets pour le tirage au sort. J’ai aussi été faire les courses, acheter les boissons, commander les pâtisseries. Le 3 décembre, le jour de l’apéro mode, mon objectif était d’accueillir les clientes dès leur entrée dans le magasin et de leur servir une collation. Je les conseillais aussi. Pour conclure, participer à cet événement a été une très bonne expérience, on en apprend beaucoup (même si j’ai regretté de ne pas passer plus de temps avec chacune des clientes). La vie au grand air fait partie de l’histoire d’Aigle depuis ses débuts avec son créateur Hiram Hutchinson en 1853. Aigle inspire le partage et lance le concept «esprit de famille». La marque interagit avec sa grande famille en proposant fréquemment diverses activités et concours. Les gaAurélie en action gnants auront la chance de gagner des prix qui les rapchez Aigle. procheront encore plus de la marque. Un souvenir original : la fabrication de leur propre paire de bottes au sein de l’usine française à Châtellerault où la fabrication est artisanale. Aigle fête cette année ses 160 ans ! À cette occasion, Aigle a décidé de mettre en avant son savoir-faire made in France à travers la création d’une collection anniversaire «vintage» composée de quelques-unes de ses pièces emblématiques éditées et numérotées à 160 exemplaires et d’un concours pour vous faire découvrir les coulisses de fabrication du tout premier produit de la marque : la fameuse botte bleue en caoutchouc ! J’ai participé à une animation pour les clients «fidèles» qui ont reçu un mailing les invitant pour un cocktail. J’ai recueilli l’avis de quelques clients : certains trouvaient l’idée originale et agréable. tandis que d’autres se sentaient gênés et ne voulaient pas consommer. J’ai constaté que j’avais une bonne connaissance des produits et que le cocktail était bien préparé, bien présenté. L’offre de prix, cependant, n’était valable uniquement sur trois heures. Pour moi, il aurait été plus intéressant de la prolonger. pour les clients aussi bien sûrs ! J’ai effectué mon action de promotion dans l’enseigne Micromania, située dans la galerie marchande du Géant Lanester. Mon projet d’action était lié au lancement de la fameuse XBOX ONE. Cette console est sortie le 22 novembre 2013 en Europe et le 15 novembre aux États-Unis. Le but de l’action était d’attirer un maximum de clientèle dans le point de vente en leur faisant tester la console pendant que moi, je vantais chaque caractéristique de cette console. Mais au-delà de tout cela, cette action devait dynamiser les ventes de la XBOX ONE. Pour preuve j’ai réussi à vendre trois consoles à 500 € chacune, soit 1500 € pour mon action. C’est plutôt un bon résultat ! Mais aussi, cela m’a permis de faire de la véritable «vente-conseil» car si dans certaines enseignes le client a déjà fait son choix, chez Micromania le client a besoin de conseils. Je ressors de cette expérience très satisfait de part mon implication et ma motivation. Une expérience professionnelle positive grâce aussi à l’encadrement de mon tuteur, M. Le Guen, un ancien élève du lycée. Sabrina COEFFIC (TBPC). Aurélie DA SILVA (TBPC). Sabrina participe à l’Apéro’mode. Gaël LE BOURDOUIL (TBPC). Gaël et M. Le Guen, son tuteur à Micromania. S’ouvrir à la culture et à la connaissance 13 Située sur la Tamise, Oxford est l’une des cités du savoir les plus connues dans le monde. Elle symbolise l’excellence de l’éducation anglaise. Dans le cadre d’un séjour technique et culturel en Grande-Bretagne, nous avons eu l’honneur de rencontrer Bob Price du parti labour, Councillor de la ville d’Oxford élu pour quatre ans, ce qui est l’équivalent du maire en France. La mairie d’Oxford emploie 1 200 personnes. M. Price a eu la gentillesse de nous présenter les points forts de sa ville tant sur le plan démographique, économique que social. Dans la décennie 2010, la population de la ville d’Oxford et de sa périphérie a augmenté de 12 % et sa population étudiante de 24 % pour atteindre aujourd’hui 33 000 étudiants. À peu près la moitié des emplois relève des secteurs de l’administration, de l’éducation et de la santé publique. On peut faire remarquer la forte représentation des uni- Catherine PIQUET Rencontre avec Bob Price, leader de la ville d’Oxford Les étudiants concentrés lors de la conférence de Bob Price. versitaires qui constituent près de 20 % des emplois. Le taux de chômage est relativement peu élevé puisqu’il atteint seulement 5, 7 % de la population active. C’est pourquoi l’on peut dire qu’Oxford est une ville attractive de part sa population jeune et dynamique par une large représentation de diffé- rentes nationalités. Notamment 28 % des résidents sont nés hors Grande Bretagne (Europe de l’est, sous continent indien et sud est asiatique). Un habitant On discute bien à Alpha jeune jets très différents à chaque séance. (Ex : l’amour, le mal, le destin…). Ce qui est à retenir de ces petites séances est la bonne ambiance, les personnes très attentives et souriantes qui nous entourent, et surtout, la liberté avec laquelle nous pouvons nous exprimer. Je recommande alors, à tous ceux qui se posent beaucoup de questions, ou simplement à ceux qui aiment parler de leurs visions de la vie de ne pas hésiter à aller faire un tour à Alpha jeune. Christophe LELIEVRE Mes amies et moi avons donc choisi de nous inscrire. Lors de la première séance, le père Jean-Christian qui travaille en équipe avec la pastorale du lycée nous a accueilli. Nous nous sommes présentées avant de manger une pizza autour de laquelle nous avons commencé à discuter. Le père nous a montré un petit film documentaire ainsi qu’un extrait de film. Il était intéressant de savoir ce que d’autres personnes pouvaient penser du «sens de la vie». Il a alors explicité les vidéos en les illustrant d’exemples personnels toujours très intéressants. Ainsi, nous avons parlé de su- Catherine PIQUET. Prêts à brûler les planches Camille RONFARD (TL Saint-Louis). Des comédiens en pleine répétition. Marie-Pierre HERVE Commençons par le début. Quand a été proposé le dîner Alpha jeune à Notre-Dame de la paix, j’ai pensé dès le début que ça serait bien d’y participer. Il s’agissait d’une réunion entre jeunes le mercredi lors de laquelle, le sujet que nous aborderions serait : «le sens de la vie». Grande question n’est-ce pas ? Tout le monde se l’ai déjà plus ou moins posée. Pourtant, seul, aucun débat n’est possible, et rester sur ses a priori est une mauvaise chose en soi, car nous pensons rarement à élargir notre pensée ou à demander à ses amis ce qu’il ou elle en pense. sur six a comme langue maternelle une autre langue que l’anglais. La ville d’Oxford a choisi de mettre en place un programme ambitieux en terme de développement durable par lequel elle tente de limiter les émissions de gaz à effets de serre en favorisant l’utilisation des transports en commun par la mise à disposition de parkings en périphérie et en favorisant la circulation à vélo dans l’hyper centre, mode de transport déjà prisé par les étudiants des nombreux Colleges d’Oxford. Cette présentation a été très enrichissante pour les étudiants de BTS communication et la rencontre avec le Councillor Bob Price a montré l’implication des élus pour promouvoir leur ville et les habitants qu’ils représentent. Marie Pierre Hervé et le père Jean-Christian animent ces séances à La Paix. Dans le cadre d’un projet d’accompagnement, une activité théâtre a été mise en place. Ce projet a pour but de permettre aux élèves de développer leurs capacités à l’oral tant dans le corps que dans la voix. Mais ces belles paroles n’expliquent pas le but final de ce programme. Que fait-on exactement ? On déniche, on transforme, on juxtapose bref on bricole des textes. C’est ainsi que progressivement le projet se construit. À tel point qu’il se pourrait bien qu’on se produise… Si vous voulez être parmi les privilégiés qui auront la chance de nous voir (on vous le dit parce que c’est vous) réservez une soirée de mai ou de juin, on ne sait pas encore laquelle, cela dépend de l’avancée de la mise en scène… Tout cela n’est pas très précis mais que voulez-vous «c’est comme ça» avec les artistes… Matthieu ANFRAY, Jonathan BERRIOT, Alison BOTHOREL, Apolline CAUDAL, Hortense FIGAROL, Theo HENRY, Christophe LELIEVRE, Alexandre MAHEO, Tristan OLLIVIER, Maryse SALIOU, Nathalie TANGUY. DIAGNOSTICS IMMOBILIERS Tél. 02 97 840 844 ■ Certification de surface « Loi Carrez » ■ Diagnostic Etats parasitaires (termites) ■ Diagnostic Plomb ■ Diagnostic Amiante ■ Diagnostic Performance Énergétique (DPE) ■ Diagnostic Installation Électrique ■ Diagnostic Installation Gaz 25 rue Auguste Brizeux - 56100 LORIENT - Fax 02 97 84 08 45 www.diagimm.com - [email protected] PEINTURE RAUB Lorient s.a.s. Entretien - Rénovation Ravalements Revêtements murs et sols E. 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Certains d’entre eux ont même été édités. Marie Hinault, élève de seconde, se passionne pour les récits historiques et Alix Livory Boillot, elle aussi élève de seconde, écrit des récits modernes. Les techniques d’écriture sont bien sûr très différentes mais la passion est tout de même omniprésente. Il faut d’ailleurs beaucoup de détermination et de persévérance pour mener son projet à bien et voir enfin son roman entre les mains d’un lecteur. Pour Marie, auteure de «La passion secrète de Stella», le temps de documentation est très important. Il représente d’ailleurs près de la moitié du travail. En effet, pour un roman historique, il est important de respecter le cadre spatio-temporel puisque certains lieux et événements ont réellement existé. Cependant, pour Alix, auteure de «Que tu te souviennes…», ces recherches ne sont pas nécessaires à la rédaction. Le cadre peut être C’est ma vie Les livres de Marie et d’Alix sont au CDI, venez les emprunter. imaginé de toutes pièces, de même que les personnages qui intègrent le récit. Pour ces deux styles d’écriture, il faut faire appel à l’imagination afin de créer des péripéties qui tiennent le lecteur en haleine ainsi que des protagonistes uniques et dignes d’intérêt. Alors, l’inspiration est partout, autant dans le quotidien que dans les rêves ou dans d’autres lectures. Car oui, un bon auteur est avant tout un bon lecteur ! Les deux auteures sont d’ailleurs de ferventes lectrices et ce depuis leur plus jeune âge. Ainsi, l’écriture relève plus d’un besoin que d’une simple envie. C’est une passion et non un passe-temps, bien que l’un n’aille pas sans l’autre. Les récits sont personnels, dans les débuts. Mais le temps passe et l’envie de parta- «Écriture bretonne» En novembre 2013, l’écrivaine bretonne Nathalie de Broc est venue parler à toutes les secondes de son métier dans l’amphithéâtre du lycée Saintt-Louis. Le groupe de littérature et société a également eu la chance de pouvoir mieux faire sa connaissance et réaliser différents ateliers d’écriture deux séances de suite. C’est une femme pleine de gentillesse, de générosité, de bienveillance, d’intelligence et de connaissances, elle nous a proposé de créer des personnages qui iront dans son prochain livre. Et l’invention s’est passée dans une très bonne ambiance, chacun émettant sa petite idée ! Elle a déjà publié une dizaine de romans et sait vraiment donner de la vie aux mots. Elle nous a longuement parlé de son métier, qu’elle exerce à plein temps. Nous avons pu découvrir tout le travail qui réside derrière l’élaboration d’un livre : recherches, photographies, recherches historiques - car la majorité de ses histoires se déroulent dans le passé. Le point commun de ses écrits est qu’ils se déroulent tous – ou presque – en Bretagne. En «littérature et société», durant les ateliers d’écriture, Animation de l’atelier d’écriture par Nathalie de Broc. ger ses écrits croît. En effet, un auteur écrit autant pour lui que pour ses lecteurs. Les premiers sont en général les proches, les parents et les amis. Viennent ensuite des connaissances par le biais du bouche à oreille. Et avec un peu de chance, ce sont un jour des parfaits inconnus qui lisent vos mots ! L’écriture de fanfiction me permet d’avoir des contacts dans le monde, et ce n’est plus seulement une passion pour moi, c’est ma vie depuis que j’ai treize ans. Jamais je ne pourrais me séparer de l’écriture. Etant sur un site international, mes textes sont lus par tous. Lorsque l’on communique, pour répondre ou commenter un texte, je suis toujours ravie parce que je peux rencontrer des lecteurs et auteurs qui viennent d’un pays différent. Bien sûr, il y a des restrictions d’âge quand c’est nécessaire. Je vis dans une communauté où je me sens à l’aise, et j’en apprends toujours plus. Je peux aussi partager mes passions pour les univers de base, et échanger mes idées. C’est ce qui me plaît le plus dans cette communauté. Morine REZZAI. Alix LIVORY. «Autour d’un livre» nous avons pu nous surpasser tout en nous amusant, créant toutes sortes d’histoires au travers de plusieurs exercices tous très intéressants : continuer un incipit donné - les suites ont été pour le moins personnelles et diverses - ou encore créer une histoire à l’aide de mots n’ayant aucun sens entre eux. Nous nous sommes aussi présentés à l’aide d’un acrostiche, le tout dans la bonne humeur. Merci à Nathalie de Broc d’être venue ! Morgane THIBAUT et Marie HINAULT, 2nde 1. Plaidoiries et réquisitoires sur «Andromaque». Avant les vacances de la Toussaint et pour marquer la fin de l’étude du roman «Tobie des Marais» de Sylvie Germain, les élèves de 1re S1 se sont retrouvés autour d’un café littéraire avec Mme Besnard notre professeur de Français. Avec un muffin et un jus d’orange, nous avons débattu sur différentes thématiques, préparées par groupes de quatre. Les premiers groupes ont discuté des personnages et de leur aspect didactique tandis que les groupes suivants confrontaient la place de la nature dans le livre. L’objectif final était de créer un article de presse sur le sujet qui leur était attribué. Ce rendez-vous surprenant fut une façon conviviale d’approfondir nos connaissances sur l’œuvre. Nous nous sommes réunis à nouveau pour une expérience théâtrale autour du procès d’Oreste : certains se sont improvisés juges, avocats, greffiers ou procureurs pour condamner ou défendre le régicide. Ce café littéraire nous a permis de discuter littérature autour d’un goûter, ce qui est bien plus amusant qu’autour d’un cahier. Johanne THIERRY et Gabrielle JOUET-PASTRE. Page de communication JDL Le prix Ouest-France Étonnants Voyageurs Devenez l’oiseau rare Vous avez entre 15 et 20 ans, participez au jury du prix Ouest-France Étonnants Voyageurs et devenez celui qui fera décoller son roman préféré. Date limite des inscriptions : 19 mars 2014. Renseignements et inscriptions sur http://bit.ly/19Z61OT Prix parrainé par ENCART_ETONNANTS VOYAGEURS_210X148 A5 paysage.indd 1 Loïc BRISSET Gildas LE TOUZE Notaires à Lorient 25 place Jules Ferry BP 637 - 56106 Lorient Cedex Tél. 02 97 21 32 31 - Etude fermée le samedi MAISONS ET APPARTEMENTS À VENDRE ET À LOUER Consultez notre service de Gérances : 02 97 21 07 12 et notre service Transactions : 02 97 21 05 66 26/12/2013 16:10:15