Les Chiffres parient. LTDIOTE - Bibliothèque municipale de Senlis
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Les Chiffres parient. LTDIOTE - Bibliothèque municipale de Senlis
7S^ A nnée. — N» C IN Q C E N T IM E S — è 7 . le N o ro ê ro — Dimanche 17 Juillet f90A. 'i n ’r-.'-M T.-:; ; r j i Lonp B E K T B O ^ R édacteur en ehei. H a u ii ( ^ O H l S , A d n fiûiàtraléîir. P à r à ié s A n ï lé J ë ù ^ i e i ^ irrtç-ii i- iN é^^ ^B ^iaan ch î i ■ ;’c ; ; ; . ' . ! ; ^ s o x r x r a z f a x f r x s amoa W-MufeatMA*. • M/»ui MMUnu/iAv. ««IkMOlMi ^ Si^HOmi, AttmUr, ••••■••*••>' 6 fc Sfr. 1 . -Sfr. lixmoii.. Sfr. I Six a u b ... . . . . . . . . . . -Sfr. Sfr. Ou i'iMi ■ n x b B M n ^ 'je s n ia l «t daat tons IM IniMMix da potta. — L’xteanamàtt ait p«r»U*- ■ B U S IB A ^ T JS C , RtOAOTIOS v rr].;Al ] ADWNiSTRATHIN (fxTaiiea at eütinBa da plain droit Igaas’à idaaptwn d’aiia aontnira. Smtlü, U t e J td lk f i$04, Les Chiffres parient. - l û t flhiffrei a s sont pas senlsm snt d o f u n t s ; ils apportent la lom iére duis tonte distaMioB ^ jettent une Tire clarté soÿ ile i sitnations les pins embw i|t|fity Qnand un oonunerçant vent jsTOff exactement où il en est dans ses opérations, qne lait-il? Il s’adresse à son comptable qni Inialigne des chiffres. On place en regard Its recettes, les dé penses, et selon que la balance inclüie d’nn côté on de l’antre, on dit qn’ii y a gainsovipertes. n en est de même qnand il s’agit d’nne~adfflinistnition de l’Btat on de ses finances. Nous arons dernièrement comparé le monTomeat de nos exportations et im portations arec eelni de l’Angleterre, des Etats-Unis et de l’Allemagne ; on a TU qne la comparaison n'était pas en n o tre Isre n rh é la s! Le trafic da l’An gleterre atiteint ^ e sq n e 22 milliards, celtti des Etats-Unis 11 milliards et demi, l ’Allemagne accnte pins de 13 milliards, e t la France Tient à la suite avec 8 milliards 646 millions 1 Vent-on maintenant aro ir nne idée exacte de la prospérité, de la confiance qui régnent à l’intérieur? Le Journal officiel, est on juge impartial en la ma tière. Qee noos dit-il, an snjet des opé rations des Caisses d’épargne ordinaires avec la Caisse des dépôts et consignations du 1” au iO ju ille t iff0 4 J II nous apprend qne les dépôts de fonds ont atteint le chiffre de S.S98.sea fr. -J^,WWM»Wrtoi.*»ifrfrjW ti0«t,tiaàW«J0i randt». poi veaux établissements scolaires entraîne ron t, comme M. Guillien l’a démontré, une dépense de 69 millions pour écoles de garçons, de 50 millions pour .les écoles de filles.et.une augmentation de 34 millions au budget. Etait-ce bien le moment d’augmenter les dépenses, en froissant les conscien-: ces en portant un coup droit à la liberté,' à l’autorité du père de famille ? E t les chiffres que nous venons dé citer qni dénoncent le déficit toujours croissant dans nos finances ne sont-ils pas un précieux enseignement pour les contribuables? Qu’on ne l’onbUe pas, avec une mauvaise politique, on fait de mauvaises finances. Nous en faisons la triste expérience depuis trop longtemps. Loup B bbtboz. ê fo fe s d e fa S e m a in e VENWŒDI 8 JtnUÆT 1904 . Paris. — Conseil des Ministres. — Les ministres se sont réunis vendredi mafin, en conseil à l’Elysée sous, la présidence de M. Loubet. Ils se sont occupés des affaires courantes. Au Parlement. — A la Chambre SI. de Uontebello a interpellé le ministre de la guerre sur la seconde visite médicale à la quelle a été soumis le commandant Cnirâet. Cette interpellation a été rônvoyée à la suite des antres. Départements.— Les grives. — A Brest l’agitation continue. On craint des trou blés. — A Marseille les dockers menacent de nouveau de se mettre en grève. Etranger. —La guerre russo-japonaise. — Le général Kouropatkine semble se déparfir de la défensive passive pour passer 73 et les retraits celui de 8 048 008 ce que l’on pourrait appeler la détensive fr. 40. L’excédent dés retraits est aacfive. C’est ainsi que les reconnaissances donc de 8.748.448 fr . 67 et cela en de petits détachements isolés de cosaques ont fait place sur tout le front à des recon dix jours seulement! D'ailleurs, du l ” jan-rier au 10 juillet naissances en force. Le croiseur japonais partiellement proté de la présente année, soit pendant cinq gé Kai Mon a heurté une mine et a coulé mois et dix jours, les excédents de re mardi dans la baie de Talien-Wan. | traits atteignent le montant respectable SAUEDI 9 JUILLET 1904 i o t 38.888.749 francs 08 cent. > P aris. — La Chambre a voté hier un projetée loi réprimant les fraudes com Est-il utile de faire suirre ces chif merciales sur les vins. i fres de commenttûres 7 Que diront, non La commission d’enquête. — La com pas seulement les radicaux-socialistes, mission d’enquâte sur l’affaire des char-; mais les contribuables? D erant cette treux a adopté les conclusions du rappor-i teur, M. Colin. éTidence, osera t-on, même sous l’in Départements. — Les grèves. — Une fluence de la chaleur communicative sanglante bagarre s’est produite vendredi des banquets, affirmer que la situation soir à Brest entre les grévistes et la troupe de la France est prospère I Les indus qui violemment attaquée a dû se défendre.; triels, les commerçants, qui se plaignent , Etranger. — La guerre russo-japonaise} — Un rapportée l amiral Togo dit que le! du marasme des afiaires ont-ils to rt ? E t S juillet, le « Kaimon i, en exécutant une quelles mesures prennent nos gouvermission spéciale dans la baie de Talien-' Ouan, par un brouillard intense, a heurté nauts pour m ettre un terme à cette mine russe et a coulé. Trois officiers,! aèeonfisurei Qne &it-on pour rétablir une compris le commandant Akahashi et dixl’ordre sur la rôle publique et enrajrer yneuf hommes, manquent à l’appel. Le res le monvemeat des. gréTistes, qui répan te a été sauvé. dent la terreur dans les populations de omANIBE 10 JUILLET 1904 Boe centres industriels en pillant les Paris.—L’Enseignement congréganiste. magasins et incendiant les usines ? Que — Dimanche matin a paru, an Journal of fai^on pour défehidré la propriété, réta ficiel, une liste de trente-neuf établisse ments d’enseignement congréganiste. qui blir 1e calme, faire renaître la con vont être fermées, par suite du vote récent fiance ? Rien I Ou du moins, si on n’€^ de la loi qui les concerne. m fait de lois ouvrières, si le projet de M. Combes a adressé, à ce sujet, aux p r fets des instructions écrites concernant I loi de l’impôt su r le .révenu est resté en notifications qui devront être faites au su souffrance, comme tant- d’autres, on a, périeur général de chacune de ces congré par contre, voté la-loi de la suppression gations. Départements. — Ministres en'voyage. de l’ensei^em ent congréganiste. E t — M. Trouillot, ministre du commerce, a bien, laissons de.côté, pour un instant, présidé, à Pontarlier, un banquet de douze la question-de la liberté d’enseignement cents couverts, offert par le comité radical qu’on a violée comme tan t d’antres, et de l'arrondissement. | —M.Doumergue, ministre des colonies,a n’envisageons la nouvelle loi qu’au point présidé, à Sommières (Gard), dans sa cirde vue financier. Que vojons-nous ? la fête de l’Enseignement et a En vertu de cette loi liberticide dont conscripBon, distribué diverses disBnctions honorifi les Loges revendiquent à juste titre quesI ■ Etranger. — La guerre russo-japo l ’o d i e u s e paternité, plus de 10,000 naise. —Le général Oku a occupé Kaï-Ping, Frères et 12,000 Sœurs sont mis hors le le 8 juillet, après un combat acharné. d r o i t commun, et prés de 8,000 de leurs Le public de Saint Pétersbourg connaît établissements fermés. déjà par les télégrammes étrangers et par les nouvelles reçues ici en lieux compé La création du personnel qui devra tents la perte de la bataille de Haitcbjoou remplacer les congréganistes qu’on jette e tja . prise de Eai-Ping ; mais l’absence de mmiETON DU CXtOBUm DM L'OOM î (15} L T D IO T E PAU EMILE f l I CHEBOURG DBÜXliaiB PARTIE L ’ E N N £ M 1 IX tJN CŒÜS QUI S^OUVBB Quand la porte du boudoir s’ouvrit, ses paupières se levèrent lentement, et pendant îûstant, toujours immobile, elle reg^arda pjeune femme inconnue, que madame Deorme venait de faire entrer la première. Bonjour, mademoiselle, dit l’institui sa voix- douce et caressante. | Aussitôt Aurore se souleva, les yeux ^l^andis, comme si le son de la voix qu’elle tenait d’entendre eût produit en elle quelmystérieuse vibration. , **• Aurore, mafille, dit alors madame De**^6) cette dame est votre institutrice. Oui, mademoiselle, c’est à moi que vos parents veulent bien confier votre éducace sera pour moi une douce chose, ^ suis sûre. J e ferai to u t mon possible ^l^épondre à la confiance âe vos obéra toutmon possible pour vous rendre facile et agréable. , Wp fille ne quittait pas l’institu^ des yeux. Son visage s’était subite-, ^tépanoui, et quelque chose d’intra-' nyoxma^ ««.na son regard. •Ua H drciw p u H tjaçbçs^ et son front s'éclaira de la lumière de son regard. ‘ — Oh 1l'adorable enfant I se disait Tinstitutrice. Aurore s’avança vers elle et lui dit : ~ Je vous attendais. Mon père m’a parlé de vous ; ils est parti, mon père, et je ne sais pas quand il reviendra ; il m’a dit que vous seriez pour moi une amie, comme une sœur. Dites, eat-ce vrai que vous serez mon amie, ma sœur ? — Oui, mon enfant, répondit la jeune femme d’une voix vibrante d’émotion, je serai votre sœur. — Et un peu aussi votre mère, ajouta madame Delorme. L’institutrice tressaillit. — Ah ! je suis contente, bien contente, dit Aurore. n y eut un moment de silence. — Mon père m’a recommandé de bien vous écouter, reprit Aurore ; il m’a dit que vous m’apprendriez beaucoup de choses ; il m’a dit encore d’être bonne pour vous ; vous verrez, je ne suis pas méchante... Il m’a dit encore de bien vous aimer. Ah] 3ui, oui, je vous aimerai bien !... Et par un élan spontané, elle jeta ses bras autour du cou de l’institutrice. — Tenez, dit-elle avec feu, je vous aime déjà ! — Ah ! chère enfant, chère enfant, je vais trop vous aimer ! murmura la jeune femme toute frémissante, en serrant Au rore contre son cœur. Cette fois, elle ne put vaincre' son émo tion ; un sanglot s’édiappa de sa poitrine Bt ses larmes jaillirent. ^ — Excusez-moi, madame, di^U e en se tournant vers madame Delorme ; mademoîselle Aurore m’a surprise, je m’attendais si peu... je me suis ouWée..* je**, — J e ne suif pas jalo«M| ,éHB» Oaïoim 4B H v iiiri i r i m ta -F m •fonças iégWes-.-.,,...w.v„ Ô,2Q e. la lima. I Réeiitite».. < • Amonoaa TdîÀiidre»..,..,-.'.. 0,2S ' — i ■ f ïait# d i t a r i . . 5 OMn’aocxptx >a« s’ofSiaTiOH AU-DXBSODS Di 1 rùxo ' ^**Tjlfr‘aiiÀànces, réclamas, etc., concernant Paria'.rtiaa J aux baraaoxdft jdààM^rj.rr^.f '. -S ïW n & M f--' '.détails' et aussi de^ confirmation. ofidâelle ' amorüt évidemment l’impression pénibte jeusénonvt- résiélle itàit' (mmplàtemént et pfficfellement nt. 'côjâcopnuèi Ancnné'émction n’est éhi conséquence visibie. LUNDI 11 lUILLEr 1904 Paris. — Conseil dés ministres. Le conseil des ministres s’est occupé des ques' -Bons 'testant à i’erdrè -du jour dés Cnam‘bres avant la clôture de la session. Am P a rle m e n t..L a Chambre’ a validé l’élection de M. Chaleil, élu en Corse.. Le Sénat a voté nne loi nouvelle sur Je monopole des inhumations. Départements. —•Le bey de Tunis à } Marseille.— Le boy de Tunis, accompagné ' de ses fils et de son premier ministbe, le général Valensi, est arrivé à Mar8eiUe,Iunâi après-midi, à deux heures. ' Il est parti pour Paris le soir même. JÇee grèves. — K Brest, au cours de la nuit, deux arrestations ont eu Ueu pour insultes à l’armée et.trois.pour injures à la gendarmerie et à la police. A Horlaix, les patrons.convrenri n’ayant pris aucune.dédsion au sujet des revendicaBous des ouvriers,, ceux-ci sont résolus à se mettre en grève mardi matin. Etranger. J-L a guerre russo-japonaise. -r-.Le.général Oku a'commencé sés opéra tions le'fijnlliet.'èorvned’occüqierSeâpng. Après avom délogé successivement les Dus ses de leurs positions, il a finalement occuji^é^e^ing et les positions environnantes énormes. Les pertes de l’ennemi causées par les ..mines atteignent, ditmn, trente ' mille. r .commencent,à'i paraître à vingt kuomètres de Uao-Yang. fi mcpi 14 miLLer 1904 Paris. — La fêle ncÈEfimàîs. — La fête' nationale a été câMréeWreè nn éclat ex-' , ceptipmel,.;parmi4érap^ à Pa-l^ ris et ^ans départements. Les colonies i ; françaises à;Tétnuy[ersesont associées aux réjouissânces p a tn o t^ e s de la métropole. Le Bey deTunis .'sf assisté à ,,Ia,revue de I^gcham p. âux’çotés' du jwéi/idènt de la ■BfeubliqUe.-^ ,! j . DëparteiÉebtm;> —. Les grèves, r- plu sieurs patrouilles’de dragons et de gendar- ! mes parcourent les communes voisines, ! dispersant (es groupes d’ouvriers ; les usi nes de produits chimiques de l’ouest sont gardées militairement, les ouvriers mena- ' ’ çant d’y mettre le feu. I! Etranger. — Lo guerre russo-japonaise,' — D’après nn télégramme de Tokio, les Ja ponais ont occupé In-Keou sans rencon-1 trer de résistance. On entend nuit et jour nne violente canonnade du côté de Ka!-' : Ping. La canonnière russe c Sivontch > est ' tonjonrs à NioarChouang, préte.à combat-' treles navires japonais qui auraient: Ifin-' tenüon de remonter le fleuce Liao. | -jMort dupriiideni.Kragèr.,— Le prési dent Kruger est mort sttbitement'â'ClarénS.i L’autopsie a démontré que M. Krüger avait succombé à .une pneumonie sénile. L’autorisatioh de transférer le corps au Transvaal sera demandée par l’intermédiaire dn mi. nistre d’Aiacteterre à Beipp. ] UABOI 19 JUILLET 1904 j I Paris. — A« Parlement. — La Chambre a discuté le rapport de la commission d’ensur l’affiüre des chartrenx. L’ordre, â'néte u jour des groupes de ganche a été votéi dans son ensemble par 334 ;voix contra 1114. I' In eolréê de merdi — Le dîner 4 l’Élysée Le Sénat a voté nn certain nombre da Les toasts ' i irojets de loi. notamment le projet pour, Le grand dîner qui a été donné mardi 'organisation d’une chaire ponr li.Cnne. j Le Bey de Tunis à Paris. — Le Bey est soirau iKtlais deJ'Eiyséè comprenait cent arrivé mardi matin à9 h. lil à la gare de soixante couverts.'' t Lyon. Sajournée a été consacrée aux visites La table dressée dans la grande salle des officielles. Le soir, il a dîné à l’Elysée où des fêtes, était ornée de guirlandes de fleurs et toasts ont été échangés entre Ini et le Pré-I de'statuettes en biscuit de Sëvrés rmrésident de la Répnbliqne. 1 sentant des scènes de chasse et les « Dan Département^. — Les grèves. — Une seuses », de Léonard. convention signée à Toulouse entre les gar Le président de la République et le béy çons limonadiers grévistes et les patrons a de Tunis occupaient le centre de la table mis fin au conflit; le mouvementde grève d’honneur. générale qui se dessinait déjà est enrayé. | Au dessert,le président de la République — Dix patrouilles de drarans et de gen a porté le toast suivant : darmes circulent à Brest, à Beconvrance et ( Je suis heureux de recevoir à Paris la A Saint-HarUn, à partir de denx heures dn risite de Votre Altesse. Je vois dans la dé matin ; les autorités craignaient nne atta-| marche du souvemu protégé par le gou que imprévue des manifestants dont de vernement de la République une preuve nombreux groupes ont stationné très tard! -nouvelle du loyalisme avec lequel vous ré dans les rues. pondez à l’appui de la France. | Les entrepreneurs de Brest ont refusé » Vous pourrez vous rendre compte pend’accepter les revendications dn syndicat >dant votre voyage et par la réception qui du b&iiment. | vvons est faite,de lasabstaction avec laquelle Etranger.— La guerre russo-japonaise.^ ’ vôtre visite est accueillie et de la force que —Le rapport quotidien dn générai Sakarofi donnent à votre pays les sympathies du confirme que l’occupation de Kmping par . gouvernement protecteur. les Japonais n’a pas donné lien .à une lutte » Je saisis avec plaisir cette occasion d’af très vive, puisque les pertes russes ont été firmer les sentiments de la France pour les. seulement de 200 hommes, tantrtuéc’ populations musulmanes qui lui deman blessés. Par conséquent, la dm dent en toute confiance le respect de leurs kio, qui annonce la prise de Kalping après' traditions, qu’elle traite avec justice et dont une série de violents combats,est empreinte elle assure le bien-être. i d’une exagération ridicule. | r>En présence dès présidents des Cham — Le générai (Au rapporte que le major bres, des membres du gonvernement de la général Koisumi a été blessé a la hanche' République et des principaux représentants par nne balle dans le combat de EaIrPlng.1 de l’armée et de la marine. ftançaises, je HEBCBEDI 13 JUILLirr 1904 lève mon verre et je bois à la santé de Sou Paris. — Au Parlement. — La Chambre* Altesse le bey Sidi Mohamed el Hadj et à la' ( et le Sénat ayant voté les quatre contribu-j prospérité de la Tunisie. > Bons pour le prochain exercice, la session I Après ce toast, qui a été écouté debout par tous les convives, la mnsique de la ordinaire du Parlement a été close par dé-! garde républicaine a joué l’hymne beyli-, cret du Présidenl de la République. cal. Le Bey de Tunis à Paris. — Le bey de Puis, le bey de Tunis a porté, en français, Tunis a assisté au déjeuner donné en son le toast suivant ; honneur par le ministre de la guerre. Dans < Monsieur le président, l’après-midi, il a été reçu à l’Hotei de 'Ville.j ' r » La réception qui m’est faite, les paroles Il s’est rendu ensuite à la Monnaie. Le soir, il a assisté avec le Président de la Bépubii-i que vous aves (mmoncées et les sentiments que à la représentation dn c Trouvère >, à' que vous venez d’exprimer au nom de la i’()péra. ( Fïance mùmt très vivement touohé. » Je sais combien la motection dn gonDépartements. — Les grives. — Les de la RkmUiqcÿélait grèves continuent à Brest. Par crainte de' vonement . . V , . , ------------ r r v . . j i jIndispenH g nouveaux désordres, le préfets supprimé' bienvettla retraite aux flambeaux et invité, par affi. ches, la populaBon au calme. populations musulmanes de ta Tunisfe. I Tretnblements de terre. — Plnsienrs se I > Aussi suis-je heureux de vous renouve-1 cousses de tremblement de terre ont é û 1er Fassurance de leur fidélité à la France ressenties, de trois heuresdlxà trois heures et quart, à Bordeaux, à Pan, àAgen et à; ;etde boire à la nation protectrice, à votre Tarhes. i .santé,monsieur le président, et à votre gou-' Etranger.— La guerre russo-japonaise.' vernement. > — D’après des nouvelles de source japo-- L La masiqne de la garde républicaine a naise, une attaque des Japonais contre les joué la Marsetllatse après ce toast, qui a posiUons de Port-Arthur a eu lien le 11: ^ également écouté debout par tons les IBiUet: elle a été repoussée avec des pertes. ( Les jardins'de l’Elysée étaient féerique^ ment illuminés. La vision parut charmante :des bosquets piqués de lucioles mulBcoilbres, des pelouses dessinées par des globes lumineux, des lomtaihs baigaés par des' nappes de clarté. ' ' • . -i, onze heures et demie, le Bey quittait LA MATTNÏæ DE MERCREDI 1^ Le Bey de Tunis, qui -devait, le matin,< ifaire une .promenade .dans- Paris a donné ■contre ordre et les voitii res de la présidence qui étaient venues au Palace-Hôtel pour-lei prendre Ont dû retourner au Palais de TE-, lysée, — . ■ . |i I II a reçu plusieurs visites d’amis person-' inels. . , t I A 11 h. Ii2 le Bey est pàrfi pour sé ren- ' jdreau déjeuner offert par leininistre de Jaguerre. -.i.;., .< Un peloton de cuirassiers eSçi irtait les: iquatre landaus dans lesquels., Mob imed^l-; ‘Hadj et sa s'Uite avSienï'prîs pacé. Au ministère de la gUerie,''ta’gaide,' ràn-' gée dans la^ cour, attendait J ’airivée: du -w . . ' A midi.moins un quart, («..clairons de a garde ’sonnent aux champs; le' co'rtèft'e officiel pénètre dans la coùî’t'’’ ■■ ■ Le bey est reçu par le: commandant Ber nard, quilecondmt, précédéde depx huis sier;, dans lè salon uru o t, où u est pré senté à Mme André. 'f-:" déjeuner aéte servi dans le':Aa1on dés Armures, décoré à profusiôn'dÀ’rosès' et d’orchidées. Pendant ie.déieuner, ht mimique de. la nrde républicaine s’est fitit entendre dans LE BEY RE TUNIS A PARIS , E tu d itt a it lo ttT M m o to e . . . 1« ■- _ T e r r à ilr C’est : Jaurès Ponson dn Teimfl >, que nous .voulions d ite .. .. .. . . Ponson du Te i^  a u m -lit^istnre Dans {'Pftcmaafte dn 13juUlei, mmaJiUBs ceci, 4 propos .de ^ de la famille Combes ; < C’est -&ii.' La séance dliiw -M ilreit l’horizon, purifia le «iel,’-assainit:Satmosphêre, dissipa les nuages bas et ioudsjiet, eous.le Ciekserein les cdseasise: domiits. tUj/notaiits .au soleil dé Téeideppe, s’évpnomi ent dans une Itule èfiàréf;etperc' 'A'nôtré'arâyTMianariité, chnSJa"i tion des métaphores, est mférimfra'fr i ___ républicain qm, on ne saurait FuubHêiÿ a trouvé : « la salèmiere des reptiles * et < Jes-fimrUssettrs d/^ armes de l& etOomnie 111 Ti. ^ .£i Jaurès s a ^ t , c ^ U en te n it ^^^gaa. :i . .'siiu-j;.. llc tS è i ■D a a è l e Nfiepé. , Une importante T éà n ü tC il^ t irSéu 'a Vafeheiçnnes iottS”U ' . 'de la Jh.. b. Fédération républicaine. MM. Eugène Mottei président i d o l a ^ dératUm, F. Chatteleyn,. sénateur, et MêTard, avocat à la Cour d’appel .ds Farit, ont pris la parole. -3 Assc son éloquence imagée et pr& isefif. Eugène Motte a dévélop^ le promanms des républicàiTis d’action,. ' ; Après ldi', M Gtwttüejfn, a adressé un 'appel chaleureux aux T é^ltca in s-et UbérauXf -étM Bérard a tdit ensuite le-preeSs ducombisme, . ■ ; ■ Bonne journée pour la BipubUqm A Valendsnnes, ■ , . Les F erm etu re s d ’JSaoios. Far les a n étés qui viei(Deiù; dft.inratlie au Jçm nai ofineî, ên vertu da ju leâ suppruue l’euaeignement iàqigrégaïUsMwin président du conseil a otdMuié: la i e i é tore, a la fia de A'anSiie scutair^ ,dè deux .mille irQ û.ceulqaàue-yii^diA «lîilâs»ments, qui se repartissenl: aiisi.: j Eooies ués Frères de. la Doctrine .. C h rétien n e.r....-......... 324 EwOiet dirigées par (les Soeort 4«054 Ecoles'annexées à des eiabliuesi inents hospitaliers UemmeO— - __ 593 .. - . _ ..S Ü è: • Hort dQ Président Krüger ! Clarens, 13 juillet.— Le.prusiuuutaiijger ist mort dans la nuit de mercredi à jeudi, i 3 h. Il n’a été que ipielques jours malade. Samedi, ii vaqua encore a ses occupations habituelles, causant avec ,sa famille, lisant st se promenant. Dimanche, ii se sentit in disposé; ses torces déclinèrent rapide ment. Lundi on constata nne pneumonie con sécutive à sa maladie de cœur. Le président perdit connaissance et ést mort cetté nuit, entre trois et quatre heures sans avoir re pris ses sens. I) fut veillé à tour de rôle par m fille, Mme Eloff, son gendre M. Elofl,son médecin le docteur Heymann et son secré taire M. H.C.BedeU. L’état du malade était tenu secret ; ce pendant une virille domesüqne bernoise ]ni avait déjà été au service de l’ancien président Stein, puis était entrée au ser vice de M. Krüger, avait dit hier soir qne son maitre ne passerait pas la nuit A la première heure, des télégrammes ont été expédiés la famille à Bruxelles, à Rotterdam et à n'étoria. Depuis son arrivée à Clarens, le 97 mai, le président Krüger n’était sorti qu’une seule fois, et en voiture. M. Heymann, médecin Krüger depuis onze ans, surtout par frictions. ' jpsiedu corps faite par le D' Lausan----------- que M. Krüger a suoTombé à une pneumonie sénile, suite de la sclérose arténelle qui avait tait des pro grès rapides dans ces dernières semâmes.] Los CanfonBlops tio l’Oito. — Di manche R jtuiiev a en lien, à Thtny,-t(ps réunion de xheffi-cantoiuners et canton niers de la sobdivlsion dé Betz. Les camarades ont répondu en grand nombre à l’invitafion q u leur avwdté faite. A ronanimlté, lé camarade Flùcbe, chef-cantMinier 4 Betz, a été élu prési dent. La parole est donnée an .camarade iiotttonnet, chef cantonnier 4 Créi^.et^vta^ président de la Soriété, qui a, en qurimies mots, expliqué les biennits de 1associa tion, les avantages déjà obtenus, les se cours accordés en cas de nuiadie aiix mmhbres do la Société. U reiid enstiite compte dnj’ésnltat dn Congrès tenu 4 Paris les 5, Sri 7 décaisbra dernier. La Société uiiealfr des eheUMsatenniers et cantonniers de 10ise eritqgte ac tuellement 540 membres et a en ««iMe S.400 francs. Sa subdivision dé Eetz né liomptait ÿw 4 sociétàiret,. ét, 4 cette rétuion, se sont laitinsôire 48 nouveaux mônbres. On s’« t séparé en votant des félicitations aa cuiatade Berqrimr, le.déwmi président ds la Société, che^earionniarù Orandviliiws. ' m ^ 0- #• J navez pas à vous excuser d’une chose/ dont je suis ravie. I Elle ajouta d’un ton mystérieux : , — H faut tout cela pour que vous puis siez réussir. ‘ — Oh! nous réussirons, madame î s’écria la jeune femme ; il y a en moi quelque' chose qui me le dit. * — Allons, je vous laisse ensemble, dit madame Delorme. ' Et elle sortit en saluant la jeune femme d’un mouvement de tête affectueux. ' L’institutrice et l’élève restèrent un mo ment en face l’une de l’autre dans une sorte de contemplation muette.'Certes, ma dame Durand ne s’était pas attendue à se trouver, dans cet intérieur bourgeois, en présence d’une pareille merveille de grâce et de beauté. ‘ — Elle a dans le regard une clarté pé nétrante qui me fascine, se disait-elle. Idiote, cette enfant ! Non, non, elle n'est pas Î4iiote ! Qu’est-ce donc qui pétille dans ses beaux yeux, si ce n’est rintelligenco ? I , Aurore, toute souriante, prit la main de la jeune femme. ' — Venez là, lui dît-elle. ” Et elle l’entraîna vers l’ottomane où elles s’assirent tout près l’une de l’autre. | Ah ! je suis bien contente I murmura la jeune fille à l’oreille de madame Du rand. — Dites-moi donc pourquoi vous êtes si contente, chère nûgnonne r — Pourquoi i Farce que vous serez ma bonne amie, parce gue je serai toujours avec vous, I — Ainsi, vous savez que je viens ici pour vous faire travailler, et vous n’êtes i pas e&ayée ? — Non, m tip à a ÿ k , ‘ J a u r è s f/îô . — Âh I Et pourçnoi aviez-vous fermêl j — Pas avec vous^ répondit Aurore d’un les yeux? ' ' ton convaincu, tacha sur la' jeune fille un regard seruta— Je ne sais pas, je ne pourrais pas — Vous serez bien docile ? teur. ' _ j: Iclire... Mais je les ai vite ouverts pour vous' — Je ferai tout ce que vous voudrez. — (Jui est-ce, cet Adrien? demandaregarder. Vous me regardiez aüssi. Oh ( t-eUe.-:.. I■ — Allons, je vois que nous nous enten comme votre regard était doux et plein de drons à merveille. — 'Un jeune homme ? ( tendresse I... Aussitôt, il m’à semblé quel } — Qu’est-ce que vous allez m’appren Ahl c’est imjeune homme? tout remuait en*moi et j ’ai senti quelque dre ? . — Oui. chose là, dans mon cœur, quelque chose! L'înstitutnce sourit. — C’est ici qu’il vous a embraasée? que je ne peux pas expliquer. D m’a sem-j — Je ne sais pas encore, répondit-elle j — Non. ■ blé encore qu’il y avait longtemps que vous ^ faut que je sache d’abord ce que. vous — Où étiez-vous dono? étiez mon amie; je me suis., sentie si heu ^avez appris déjà. — A la Cordelière. reuse que je n’ai pu m’empêcher de vous — Je ne sais pas grand’chose. — Qn’est-ce que c’eet que' la Corde sauter au cou et de vous embrasser ! ! lière? — Nous verrons. y—Voyez-vous, je sens bien en moi qu’il — Chère petite, chère petite I murmura — Une maison, où il y a un jardiii^ ^ éxL«;tc une infinité de. choses que je ne l’institutrice vivement émue.. appartient à mon père. ! connais pas. Parfois, il y a certaines de-ces Aurore appuya doucèmenl sa tête sur —^ Je comprends,-â'I’instttutnee-enéeuchoses que je voudrais comprendre, m’ex l’épaule dé fa jeune femme et murmura à riant,’ M. Adrien est Un imii de votrupirer pliquer... Je ne peux pas. C^st là, dans.ma son oreille : -I- Non, répondit Aurore en' eeeaùànlila Lt et ça ne peut pas sortir. tête — Ah I je vous aime bien ! tête ; quand il ett_^venU-de^Eari^iL 4 lèat — Je vous aiderai, ina mignonne, et j ’esfâché... ohl mais une colère, et il a. ehassd Madame Durand l’étreignit dans ses bras ère bien que tout cela sortira. Adrien. ■ ‘ ^ . ' | lavec transport, et ce fut, pendant un instant, J La jeune'fille passa à plusieurs reprises ■ — Ainsi M. Adrien eififVmfu'Ù^ ta Ciffde- |cqmme'ûn grésillement de baisers. sa main sur son front. lière en l’absence de votre pète? . i ; — Pourquoi suis-je ainsi? (Juè se passe• — Oui.’ k . — Pourtant, ce n’est pas ma faute, fitt-il donc en mol? se demandaLrelle. pour — Pourqumyeat-ÜTaim? elle avec un charmant petit mouvement de quoi tant de tendresse pour cette ènfânt — Pour me voir et èauser aveo mei colère. que je ne connaissais pas il y a une heure? —•Avant, TOUS l’oviéi déjà reneontré — Mais on n’a donc rien fait pour déve 1 Aurore, la physionomie animée, le regard plusieurs fois? ■ i lopper l’intelligence de cette pauvre peilluminé, tenait ses deux mains appuyées . Je ne l’avais jamais vu. -t’.te ? pensait l’institutrice ; on n’a donc sur son cœur. — Mais il vous connaissait, lui?: 'jamais essayé de parler à son esprit? C'est I — Comme c’est bon d’être embrassée . — Je ne sais-pàS. Il m’a vait uatand|ie singulier, on dirait qu’on l’a volontairement ainsi! dit-elle.. imantar, ./ 1 laissée dans l’ignorance I I Et aussitôt, prenant un petit, air inystéi Et elle se mit à fredonner les' piemiaia rieux, elle repnt : j — Comme je me sens bien, reprit Au vers t e coiçlet : . V .' ‘i :: , 1 : — J ’m senti en moi cette même chose, rore d’une voix câline, en seserrant contre Un jonr,'lé Jour rit 4 là Btae qui fait battre mon aœur, quand ilm ’a em madame Durwdj il me semble que je ne : ■ . ' ..J . : . .. .: ' huis plus la même Aurore, que deptus tm • brassée. E U a r^ rit: :.v. toiiipcc — D e.quldonspulez-voiu?.. instant, depuis'mie vous êtes ici tout est i — Four : ‘changé pour mm. “ ! alotsj — Qni,luil i. : i I ,SUe resta un moment silencieuse et cbnAdrien,.:répondit Aurore &.l!«reiBe‘ t^ u a ) • ‘ j de-J’i w r i t r i r i s e i ^ F , Sto!SD<e,'frmriète| K a ‘') a 3 i a s s ‘Æ . “ " ' r 4 ■Il m 'J:;! u I t B CDXmBIEH DE .^ a u x ia tf ta to a n k — id iitt, te d» l’il»» « sttr9Mié Iw^rtcomA ÿ m itH * i& tardoM rn d n s tox . dtydolMMatf. M pour ootimi eaayUmoBtutw JMtaiUw do MnM il mmo prôMM do/OO/f*. MM. Charles Gonriand, iastttataor à p « t i ^ ; Gaétan Lastaeaid, institotaw à Sanlit. MUaiUe$ fa rg m t m m primes d$ 75 fr. m s- SmUnOafeat, institntear & GrandTilUars; BdM nd Mamie*, institateu à Yaldiiipinr*. Aopperde médaUla émargent. M. Laden Goncibns.institatsar &NenUl;-*n-Thella. MUntUn dê brtnxe mec primes de 50 fr. mm. A atnsuLefène,instilntsm à Ongla>Till*: n ti* u * Basnard, insUtnleur à Baanrais : Alexanlre Billard, instiratenr à SaiiM-GmBuiB-la-F*t*rie: JalianB inrgdml iMtitalam t Criselles ; L n ^ tiiatMir d Jari|nies ; Bofén* Bmgerin, jnsUmtMT d Wanianil-le-HMdoln. jb^M ie de mddciiiet de brtmxe. m i l Joies M aniar, institntear d Nojen ; Jêseph ÎM àn*. in stitntur d Rihéceort; Alk«rtB«wnds,institatenr d Abanranrt. Bons de Ueret. MM. J*s*pli Leiras, insUtnteir d Montia n : Quüt& Geôlfrin, institntear d Monta td ra : LanisPateL institntear d Bitry; Edoonra Mdnard, u stitu e a r d Beraa ; T,y.i«« Leisd, institatear d Therines; Français Hestia, institntear d Saint-Lend’B sM w t: Mile Rsnéé Ydritè, institntrice dSealU. „ , E M. S id ia Petithery, institatear d SainteGmiendie. K m adressens tontes nos félidtatioBs d ces excellents maîtres. Las Vétdpinaipaa d* l'Oiaa. ^ £a riu/niofc d* o'iermont. — Les Teiennaires dn oepartsmentaTaientpiofltd dn eonceors de penr tenir en cette n ü e lear rdnnioa triiMstdelle. . Penr lacoar ,dn temps et ponToir risiter ie conceon,' cas messieors ont lenn seai.ce en dejennant nae petiie salle da hoi-fetde Clarmont. _ ^ Itaiant ardsents : MM. Bonchet, de Crml,présidant; Godean, da Senlis, secré taire ; Andriea,Téiérinaira départemental ; Senex. de Ressons'sar>Matz; Bette, de GrandTilliers ; Comsin, de Pont-Samte* Mazence; Detcampaanx, de Clermont; Camns, da Saint-JasMa-Chanssae. Après q o elfu s discnssiens seientifiqaes, lAcnustiaa da concears de marechaierie, mu a en lien la Teille, est Tenae a l ordre a a jeor. A cepropos, les membres présenu e n tra tû e la décision da horean de du^ Uaiic de smihadgei nue somme de «0 Irancs ponr p e rm e tn ia distribution aox matechanx da quelques pnx snppléawntaires, da taile façon qM chacnn des coucorrent, poissa être an moins rémunéré de ses irau (to 4lpisce®sttt* U est, n entra, décidé qoe si désormais ia Société des Agricnlteors de l'Oise prend l'imtiatiTa de nonreanx concears ne ce genre, elle en confie l'organisation a la Seciét*4e Médecine Vétérinaire dn dépars tament, ceile-ci s’engageant a en patuger las&ais. ....... P lu T E S s e I x i s t o r i q u e ARRONDKSBMWrT DE SBNLIS. L e s E le c tio is à ------------------------- Couoils ia Jniei Feir; m x iB a tin ta u B . m ‘> Au congrès pédagogique duiOaTril 1881, Jules Feri'ÿ adressai, ces précieux con seils aux uisUtuteurs : La politique contre laquelle je liens à TOUS mettre en garde, c’est ia poiidque militante quotidienne, la poiiiique de parti, la ponùque de personnes, de coterie. Avec ceue-m n'ayez nen de commun t BLe se Oit, elle es. nécessaire, c'est un rouage naturel, indispensable dans un pays ue liberté ; mais ne vous laissez pas piéudre par ie ooui du doigt dans cet engrenage, il vous aurait bien vite emporté e. decou sidéré tout entier I Une école pour un parti, ud instituteur ne parti ou de coter.e, vous sen tz cela quand vous êtes les insututeius de la France e. de la Fauie 1 C'est la Hépubnque ene-meme qui pour rait être siuguiieremeot compromise si i on pouvait dire : < Voii* un gouvemement qm lait les eiecUoua avec les institu(ours comme ceux qu'il a remplaces ont essaye de les laire avec les cures s. ueia nous le soudrirous p a s , s'il sa renconvait des aominisu'ateurs moiscrets, s'il se trou vait — ce qur-peut etre plus vraisemulabre — des canmdaw trop présents, vous leur répondrez : « Moire ministre ne veut pas », Jules F srry . r e l i i ’• I s s a I - a o i B é r e z i g ' e x ’. jP p e m iè r e a p p l i c a t i o n c isu is l ’a r m é e . Cet io an damiers, a été faite, aa coaseil de gaerre de la 6* région, é Cbélons-sarMama, la preoiiére application de la loi da AO jain 4 »0 L-étendant aux militaires le héAflca de la loi Berenger da X6 mars 1894 • Le* soldat Cetteeye, da ISO* régiment d'infanterie, i Saint-Mihiel, a été ceniismn* é qaatre mois d'empiisannément, penr refos d’obéissance, mais arec snrsis. (jilM s ie ir Monaltre a tons cenx qui sont atteints d’nne maladie de la pean, dartres, eczemas, Iwatons, démmgeaisttu, bronctiites cbroniqaes, maladies de la poitrine, de l’estomac et de la Téssia, de rhomatismes, nn moyen infail lible de se gnérir promptement ainsi qn'U l’a été radicalement lai-méme, après avoir soniltat et essayé en vain tons les remèdes préconisés. Cette offre, dimt on qipréclera Il bat bnmuiitaire, est la conséquence jd’an Tcsn. ' zcrii*. par lettre on carte postale, à H . Vincent,. 8, place Yictor Bngo, a Grenabla, qni r^ e n d ra ira tu M f r ^ w « « ir r ie r e t envarra las indications da- 84f(H! N c m Blmekewr énm ul Canton da Bats. Le représeotant du canton de Betz au Conseil général e-t M. Halinbeurg qui fut élnde 34 juMiet 4898, par 4,iS0 voix, sans coàéorfent. M. Hsliabourg, qui est n n républicain sage et éclairé, a été élu, l’an dernier, vice président du Conseil général. Canton da Crail. M. laies Gaillard, conseiller général du canton de Creil, est né à Paris, le S4 juin 4839. • , . Secrétaire d’ambassade, puis secrétaire de M. de Rémusat, ministre des fiffairès étrangères, M. Gaillard fut élu conseiller général de Creil eu 4878, réélu eu 4880, en 4886 (par 3.475 voix centre 4.984 à M. Lebrun), eu 4898 (par 3.487 voix), en 4898 (par 3.098 vois). M. Gaillard fut élu député de 1 Oise en 4889 et réélu en 4893, 4898 et 4902. Très populaire dans son canton, M. Gaitlard jouit d’uns gtande infioenca au Con seil général. j L e i 4 Juillet A Parle — La revue de Longchamp Cette année la n v u e de l’armée de Paris l Longf^amp a été particulièrement réifiM lie ; elle s’est passée sans heurts, sans inci-i dents et ie nombre des soldats indisposés, ir la-chaleura été de beaucoup inférieur celui signaié les années précédentes. Cela est dù^ à l’heure matinale où elle a en lieu. I A neuf heures et demie ie défilé était ter-' miné et les troupes pouvaient rentrer sous bois et prendre quelque repos, juste au moment où ia chaleur devenait accablante. Le Président de ia République s’était ren du au Palace-Hôtei prendre le bey de Tunis et à huit heures précises un coup de canon annonçait sonnirivée à ia tribune officielle sur laquelle on hissait le drapeau tricolore et le drapeau tunisien. . La revue a commencé aussitôt. Comme les années précédentes, les troupes ont été acclamées par ia fouie nombreuse. Elles méritaient grandement les applau dissements qui leur étaient prodjgués par leur"ëntrain, leûFtenue, la précision des mouvements exécutés et le Bey,à plusieurs, reprises, à manifesté son approbation au: Président de la République. .. ,1 t Le défilé et la charge finale ont fait un( vive impression sur tous les assistants. Canton d’Aunaull. Une réunion des comiiés de l’Union ré publicaine a éu lieu dimanche à Annenil, en vue de désigner un candidat au siège de conseiller générri'devenu vacant par la mort de M. Pelietieer. Cette réunion était présidée par M. Ru cher, conseiller générid, maire de Beauvais, qui a présenté la candidature de M. Paul Mellon, propriétaire’du ch&leaude Yilletran, chevalier de la Légion d’hon neur, membre du conseil supérieur des Colonies. M. Panl Mellon a, très élequeinment, exposé son programme républicain libéral. Sa candidature a été acclamée avec en thousiasme par touie l’assistance. * * * ! Dimanche, le boreau du comité radical s’est réuni peur la désignatien de son can didat. M. Bouteille, censeillerd’arrondisiement, a été choisi cémms candidat radical' au Conseil genéraL Canton da Baauvaia (Nord-Est). ' M. le D'Magnier peso sa candidature au Conseil général dans le canton N.-B. de Beauvais. . M. Magnier qui appartient au parti radi cal socialiste, avait été batto, à 250 voix de majorité, en 1898, par l’honorable M. Loizel, conseiUor sortant. Un nouvel échec l’attend la 31 juillet. COISEIL S’ABBOIDISSEIEHT. Canton da Baauvaia (Sud-Ooest). Au cours d ’une réunion tenue à Voisin lieu, Iss radicaux-socialistes du canton ont choisi comme candidat au conseil d’arron dissement, H. Léon Garbet, conseiller municipal de Beauvais. On voit que jusqu’ici les élections du 31 juillet ne semblent pas devoir soule ver de lattes bien vives dans notre arrondissement. Nous donnons ci-des sous la situation électorale des autres arrondissements de l’Oise. I j © » c a - r è v e » A B re st Brest, 13 juillet. — Plusieurs patrouilles' de dragons et de gendrruies parcourent les communes voisines, dispersant les croupes d’ouvriers ; les usines de produits chimiques de l’ouest sont gardées militai-, rement, les ouvriers menaçant d y mettre le feu. a. ' Le préfet du Finistère a signalé particu lièrement au ministre de l’intérieur la belle conduite de M.TOurel, sous préfet de Brest, du président du tribunal de commerce, du résident de la chambre de commerce et u président de l’Union des syndicats com merciaux et industriels. -* § Élections Cantonales. Le retour aux ehamps C O N SE IL G E N E R A L Canton da Brataull. M. le D' Delpierre, conseiller général radical du canton de Bratsuil, a été élu, «n 4901, en remplacement de M. Guibon, décédé. ^ Le lô e de M. Dalpiene, au Conseil gé néral a été assez iaugeifl mt. M. Victor Delpierre est né le 24 mai 4859, à Béthuae. Docteur en médecine en 4885, il s'est fixé à cette époque à Ansauvillers. Canton de Clarmont. M. Guesnet, le &meux général des pom piers et grand ennemi des corbeaux, est entré au Coaseil général il y a 6 ans. Dès lé 4 " tour, il avait battu M. Stern, ce qui lui valut les beaux sourires de la Liire Parole. Au second tour de s c r u ^ il trouva en face de lui M. Fortin, maire radical de Clermont et le battit également. A l’Assemblée départementale, M. Gussnet a fait beaucoup de bruit et peu de besogne utile. M. Gsorges-Louis-Henri Guesnet est né à Paris, le 3 décembre 4859. A v u t d éire conseiller général radical, il fut conseiller d’urondissement modéré. Si, chose invrai semblable, de plus hautes destinées l’at tendaient, ses opiniOBS deviendraient sans doute socialistes. Il eut, en 4902, l'inten. tioa de se présenter à la députatien, mais sas chances de défaite étaient si grandes qa’il crut prudent de se désister. Il fit bien. Canton da LIanooupt. M. Charles Dupais (des Ageux), est né à Montrouge, le 49 août 4855 Il fut élu conseiller général de Liancourt le 34 joiUet 4892, par 4.789 voix contre 4.478 a M. Chedvenlie. A l renouvellement de 4898, M. Dupais féiilit rester sur le carreau. Au premier tour, il fut distancé par un candidat socia liste, le docteur Vincent Martin. Le désis tement da M. Bsjac amena, au deuxième toor. le succès de M. Dupais. Très radical et très riche, H. Charles Dopais sera le candidat préféré de ia Gazette de l'OitCi Canton do Maignalay. Le canton de Maiguelay est représenté, depuis 4902, p u le sympathique députe de Clermont, M. Panl Daquesnoi, qui conquit ce siège abandonné, dans un moment de mauvaise humeur, p u le farouche Rendu Ce dernier essaya bien de reconquérir lo nuûidst dont il s'éiait dénUp Uftis il lut battu à plates coutures. , „ „ ,1 Depuu, la populuité de M. Duquesnel n ’a fait qu’augmenter. , . . .* M. Paul Francois Duquesnel est né a Paris le 29 acût 4860. Inscrit au bureau de Paris en mars 4884, il entra ensuite, dans la magistratare et fut nommé socces-^ sivemant attaché au parquet da ia Seine le| 44févriœ 4885, juge suppléant à A m iw : le 6 aofit 4886, juge à Clermont le SOiuil-, l0t 4889I, joge d'instruettan _____ _ à Senlis le .7 février’48^, I^sjm * topjfiliMM Ml Mi^ là [tü ? M. DuquaiDsl est msire da a été élu dépoté en 490111 aété COI , d’arrondisssment peudaut dix ans, da4892 à 4909 Sou père, M. Léou DuquMnel, avilit, avant lu’, rqirésenté la cantM au Cànseil d’ammiissoment, de.4869 à 4880. Les élections au Conseil d’arrondis sement ne semblent pas devoir soulever non plus des lattes bien vifes dans l’a r rondissement de Senlis. A Senlis, l’honorable M. Turquet, qui jou it de la sympathie universelle, sera réélu sans difficultés. Dans le canton de P o n t-S a in teMaxence, l’honorable maire deV erberie, M.Oorbo a, qui est un adiainistrateur émérite, passera haut la main, et très probablement sans concurrent. _ Quant au canton de Crépy, il est re présenté au Coaseil d’arrondissement par MM. P anant e t Bourdillat, qui sont las «mis politiques de M. Choplnet, et professent des opinions radicales ; lu i s il ne semUe pas que nos amis se soient concertés pour leur opposer des concur rents. ______ U clicrehenr de perles. ♦ e t L’arrondissement de Senlis aora & réélire, le 31 ja ille t prochain, ses con seillers ^ é r a n x d û s quatre ieu to rà , ceux û Betz, .NaDteail-le-Haa4oaln, C r ^ et NenUly-en-Tbelle, et sm éonseiliers d’arrondissement dans trois eantons, ceox de Senlis, Crépy-en Valois e t Pont-Sainte-Maxence. Dans le canton de Bats, M. Halinbonrg, eonseUler sortant, n’a pas ^ conearrent. Son dévonement anx inté rêts dont il a la charge lai ont vala de vives sympathies e t ses collègues lui ont prouvé leu r estime en le nommant viee-préMdent du Conseil général. M. Halinboarg s’occupe notamment, avec beanconp de zèle, des questions si inté ressantes qni touchent à la mutaalité. Il est membre dn Conseil supérieor de la mutualité. Les éleetsnrs du canton de Betz tiendront i honneur de loi renou veler son mandat. M. le comte de Eersaint représente le canton de N anteuil-le-Hsadouin au Conseil général. Sa bienveillance, son aetivité, son vif désir d’être utile à tous, lo i ont Rut une excellente sltu tio h . A ux dernières élections municipales, M. de E ersaint a été rééla maire de Versigny k l’unanimité des voix. Jus qu’ici nous ne lui connaissons pas de concurrent au Conseil général, et s’il s’en produit un, nous ne doutons^ pas que cette opposition ne serve qu’à mieux affirmer la succès et la popularité du sympathique conseiller général sortant. Dans le canton de Creil, les succès antérieurs et répétés de M. Gaillard ne laissent aucun doute sur sa réélection., Nous ne croyons pas que personne essaie d’affronter la lu tte contre lui ; inais en tout cas le succès de l’honorable député ne fait aucun doute. Le oanton de Neuilly-en-Thelle a, depuis de très longues années pour con seiller général, l’honorable M. Serrin. M. Serrin a été élu pour la première fois en 1875 et depuis lors il n’a pas cessé d’obtenir des majorités considé rables. Sa réélection est certaine, et aucun concurrent ne paraît devoir essayer de lu tte r contre lui. < Rèthschild possède nne immense for< taneissae d a t r s i v f d l (ne) ; « I l e e « t c MOIS tiac lse a u c o u a e ,.. (reeys). » C’est tiré de la deuxième co.oune de ia première page de l'Ac/to républicain du 40 juillet ei eest signe: Aug. Catteiiant. De gréce, cooRèie, n'insiiiez pas ; par ces temps de cbaieur 1 — 3 i M 1 L e ttre du p ré sid e n t d e ia République, au m inistre d e la g u e rre | A l’issue de la revue de Longchamp, ie Président de la République a adressé au gé-v néral André, ministre de la guerre, la let-, tre suivante : j Mon cher ministre, I La revue que je viens de passer, en prér sence ce Son Altesse le bey de Tunis, nous permet de constater que les troupes du gouvernement de Pans sont toujours à la hauteur de leur tâche et montrent les mê mes qualités militaires. . J ' Le défilé des écoles militaires a été toutà feit irréprochable, et celui des trouiies de toutes armes, infanterie, cavalerie et artil lerie digne d’éioges. La population pari sienne venue en grand nombre, malgré l’heure matinale a pu admirer une fois de plus la bonne tenue, l’endurance et la dis cipline des troupes. 1 t Je suis heureux de constater que la Fran ce peut être justement fière de son armée,, dont le patriotisme et le dévouement sont les plus sûrs garants de la sécurité et de la grandeur de ia République. Je vous prie de transmettre à M.le gouverneur militaire de Paris et aux troupes sous ses ordres, mes plus vives félicimtions et celles du gou vernement de ia République. I Agréer, mon cher ministre, l’assurance de mes sentiments affectueux. ' Emile LouBim. L e ttr e d u g é n é r a l A n d ré I Le général André a transmis en ces ter mes la lettre du président de la République au général Dessiner, gouverneur miiitaire de Paris. J’ai l’honneur de vous transmettre la let tre ci-jointe que M. ie président de la Répu blique a bien voulu m adresser après la re vue de ce jour. . ^ Je vous prie de la porter par la voie de l’ordre, à la connaissance des troupes un gouvernement militaire de Paris en y joi gnant mes félicitations personnelles. ® Général André . i A propos de la Revue faisons nous l’ériio des nombreuses plaintes qui se sont faites entendre sur la façon dont les cartes pour les tribunes ont été distribuées. Un trafic scandaleux s’est produit ; autour des tn-; bunes des individus en offraient moyen nant quelques francs. D'où provenaient-elles I .. v •. Le mmistère de ia guerre déclarait hmt jours avant la Revue qu’il ne lui restait plus une seule carte â distribuer. Il disait la vérité, il en avait à revendre. D an* la r u e Les rues de Paris sauf dans les quartier s des Champs-Elysées, de l’Etoiie,de la Plaine Monceau et du faubourg Saint-Germain ont été peu animées, mais dans les faubourgs, à Beilevilie, à Ménilmontant, à ia Viilette, à Vaugirard et aussi dans les coins popu leux qui restent encadrés par les grandes artères du Paris moderne, miilè petites fêtes particulières, ayant chacune un carac tère spécial, avaient été organisées par des comités. C’étaient des exercices de gymnas tique, offerts par les sociétés de i’arrondis sèment, ou bien des concours plus ou moins ingénieux,des jeux pour les garçons et pour les filles. La soirée a été dans ces quartiers des plus animée. . . . . Des bais s’étaient organises a chaque car-i ïefour et on a dansé jusqu’au lever du A VEeho Répuf>licmn, Des savants, taniours à la rasheKhe de l’inconnu, ont établi, dana Timaeoslté da U vofite eélasta, la situation exacte des plaoéies, la route qu’aUas p a m i ^ t , Ja vitesse de leur manme, leur diamètre, les datés de leur différentes éclipsas, etc... Il' en est qni eut sondé les profendeurs de l’Océan pour nous dévidler ses secrets jus qu’alors impénéirab'es. Enfin, oa a supirimé les distances pur la vapeur et l’élec;ricité, le téléphone, le phenographe, la télégraphie sans fil, etc..., etc... Et enrore le génie humain, dont les ambitions Sont tans bornes, n’a pas dit son dernier met ; maison vérité, je veut le déclare, ce que l’on ne découvrira pas ou plntét ce qui sera toujours impossible d’évaluer, même approximatieemeat, c’est la candetir naïve, la dose de simplicité qui caractérisent le confrère de Crépy, j’ai nommé VEeho Républicain. Oh 1certes,.'loin do moi l’intention de ini adresser un reproche ou da railler. Je l’admire daus sa simplicité! Tout en con servant précieusement son talent d’écrivain que la Nature lui a donné, Ü est resté étranger atu choses du journalisme 11 Sa conscience se révolte à l’idée qu’on peut faire tm compte-rendu d’une cérémanie ou d’une réunion i laquelle en n’assUtait pas) ' Bravo confrère I Et bien, il faut en faire votre deuil, que vous la vouliez ou non, que vous l’expli quiez ou que vous ne vouliez pas le com prendre, eela est. En terme de métier cela s'appelle faire un compte-rendu de ehie. On opère de cette façon très souvent, (no tamment quand l’heure du tirage du jour nal l’exige), pour les conférences non contradictoires, les mariages, les enterre ments, les distributions de prix, etc... Peur ces dernières, tout est si bien réglé qu’on connaît d’avance non seulement 10 palmarès, les discours et l'ordre dans lequel iis seront prononcés, les noms des personnages qui prendront place à la table d'honneur, mais mémo les morceaux de son répertoire que la musique exécutera, et vmie comment un journal paraissant d quatre fteures vous donne le compte-rendu d'une cérémonie qui ayant commencé à trois hewres n’est mémo pas terminée au moment bd le vendeur crie le journal sur le boulevard. Le public ott Riit à ces procédés, parce qu’il est exigeant et veut avant tout être infotmé rapidement. Aussi quand il ren contre quelques erreurs, il se montre in dulgent, sa rend compte de la rapidité avec laquelle se confectionne un journal. Mais vous; que le hasard a fait journaliste alors que vous auriez pu étte, par exemple, un excellent fonctionnaire supérieur des Pompes funèbres, vous vous montrez métlcuieux et sévère à l’égard de vos confréresT Pour faire diversion a votre po.itique qu’il vous est malaisé de défendre, vous relevez une erreur matérielle d un compte-rendu ; d’un pain de sucre vous en faites uoe mon tagne pour attirer l’a tention du public. Songez donc I Jt. Chopinet a prononcé m discours, et nous dtsens qu’%1 n'a pas parlé) C’est épouvantable, abominable! c est de U pure calomnie, on fiise ia cour d'assises én publiant de pareilles choses I Je sais bien qu’au fond vous ne prenez pas au serieux l'incideut que vous essayez de grossir, mais de g:éce, si voes me four nissez l’occasion — ce que je ferai toujours avec plaisir — de vous mettre au courant d’un usage constant dans la presse, ne soyez pas < estomaqué > en apprenant ce que vous ignoriez, n’allez jamais dire a Paris qu’on ne doit parler que de ce qu’on a «u ou entendu ; ponr passeriez pour sor tir frais émoulu de votre village I Si vous n’êtes pas journaliste par tempèramment, conservez-en au moins les apparences. L. B. C’est l’époque où les fortunés fuient la Grande Ville ponr respirer i’air plus pur de nos verdoyantes campagnes. Les uns vont à la mer, d’autres à ia montagne; ceuxKîi préfèrent ia plaine et chacun va se délasser au loin des grandes aggloméra ^°îfisons que les représentations gratuites, tions où la vie est trop intense et I air vicié. les illuminations tres réussies, et les feux Grâce au développement sans cesse gran d’artifices ont obtenu leur succès accoutu dissant des idées humanitaires, ce ne sont mé. pas seulement ceux auxquels la fortune a EN PROVINCE souri qui bénéficient de cet utile déplace La Fête nationale a été célébrée, en pr&i ment estival, ce sont encore les pauvres, les fatigués et les malades de toute sorte point vince, avec l’entrain des années précé lesquels, la Société chaque jour pins m i ^ dentes. Dans toutes les villes de garnison, la re ricordieuse fait de grands et utiles sacri fices. i vue des troupes a constitué la partie la, Parmi les Œuvres, actuellement nom plus intéressante du programme. Partout; breuses qui s’occupent d’envoyer dans nos t'armée a été chaleureusement acclamée les spectateurs. , . , i villages, loin de Paris, les déshérités de ia par Quelques accidents sont à signaler, i fortune, citons l’Œuvre des Colonies sco A Rayonne, le général d’Armagnac, com-! laires de vacances qui a déjà tant fait pour mandant la 36» division, revenant de passer les petits écoliers parisiens Elle les dirige revue des troupes de la garnison, s'est chaque année en groupe aussi nombreux la légèrement ia jambe droite en que possible pour passer uhe_ pturtie de firacturée sautant à bas de son cheval, qui. effrayé ^ le passage d’une automobile, s était ca-^ sion pour nos ruraux Relevé immédiatement, le général a été, ments inoccupés et de faire quelques béné transporté en voituré à l’hôtel de la am fices en logeant et hébergeant des enfants sion, où le maire de Bayonne lui a aussitôt qui s’installent sous la direction de convisite." , , J sciencieux surveillants et n’ont d’autres rendu A Castres, un artilleur désarçonné soucis que de prendre leurs ébats a u ^ a n d durant ia revue. En raisona été de son état jtra!! air et de faire une provision de santé pour l’année suivante. C’est un moyen de rendre •çôt il &été porté à rHôJ^lrDiêU.i^ à nos campagnes quelque peu délaissées un élément de prospérité et de vie qui leur manquait. Le retour momentané aux champs de D e M apsellie à T o u lo u se ces fils d’ouvriers qui sont venus de ia campagne à la grand'vilie ne vous rap- ! Marseille, 15 juillet. — Le départ de la: peiie-t li pas le flux et ie refiux de l’Océan troisième étape du Tour de France a été: qui nettoie et assainit les plages marines ? donné mercredi soir à 9 h. 8 à Saint-.4n-l Ainsi, ce va et vient annuel des enfants toine ; 37 concurrents se sont présen.és au de nos villes, ramènera sans nul doute poteau. Manquaient à ia liste : Frédérick, dans nos campagnes à l’instar des enfants Lardiiiier, Deflotière et deRaiiade. assistés qui souvent élisent domicile défi L’applvéo à T o u lo u se nitif chez leurs parents nourriciers, des Toulouse, 15 juillet. — L’arrivée à Tou amis de ia terre et de l’agriculture qni se fixeront là où ils ont recouvré la santé et louse de la course du Tour de France s’est f où ils ont éprouvé leurs meilleures et leurs zffectuée jeudi dans l’ordre suivant : plus vives sensations de liberté, an grand ler, Auçouturier, à 12 h. 51’55” lj5 ; 2», air de nos champs et au milieu de la belle Oomet, à 2 longueurs; 3«,- Beaugendre, à et souriante nature. { I h. 6” ;, 4«, Pothier, à I h. 7” ; 5«, Maurice. : L’œuvre des colonies scolaires de vacan Garin, à 1 h. 8’ ; 6«, Fily, à 1 h. 47’ ; 7«, Dor-j ces a n o n seulement pour but l’organisa tignac, à 1 h.; 34’ ; 8*, Carteau, à 4 h. 3y ;; tion de colonies scolaires à la campagne, 3«, Garin junior, à 4 h. 43’ ; 40», Jousselin, ia location, l’achat on l’aménagement de i 2 h. 22’ ; 44e et 42« (eûsemble) Dargasconstructions à l’usage de ces colonies mais sies et Carrère, à 3 h. 8 ; 43e, Faure, à 3 h. encore la création de bourses et de demi- 3’ • 4ie. Charles Prévost, à 4 h. 8 ; 4Se, Noél bourses pour les enfants dont les parènts Prév'm à 4 h. 40’ ; 46e, Danmam, à 4 h. n’ont pas de ressources suffisantes et aussi S7’ • 47e, Drioui, à 6 h. 28’ ; 48e, Samson, à .........etc. l’organisation de conférences et ia création î h, 28’ ; 49e, Gabory, à 6 h ,, 55”, de comités locaux dans les principaux cen tres de province. L’organisation de l'Œuvre des Colonies A lilodez 1 ' U nd eipyseblolense — D âgO ts c o n slscolaires de vacances est au nombre de cel pftdss It Mllet. — Il a éclaté mardi oMr, les qui peuvent rendre à l’agriculture lés plus grands services et nous ne saurions à si* ou attirer assez l’attention des châtelains et des d’une v io w a inouïe et g u i . privilégiés de ia fortune rurale vers cette soiument tous les caractères du cyclone. Sur une zone considérable des communes association à laquelle ils peuvent appoi . un p r^ e u x concours en devenant mem d’Onet, Le Château-d’Agen,. ^nto-Radegonde, la Loulrière, etc., il Mt tombé, en bres donateurs on fondateurs, ou trois ininntes,’uiiéçônche de grêle ! Après ia diflUsion des enfhnts de l’Assis- deux de huit à dix centimètres d’éprisseur. | tanc publique dans uos campagnes, nous ne connaissons point de mdlleur moyen I Les récoltes ont été hachées.n y a des do-, d’auDortar un d’aisançe a tn sle i d'apportir w surcroît i iqtii..|i» .ont Ji« Le Tour de France Nous devons de sincèm félicitations la Municipalité pour la décoration et ln> Oluminatfens des édifices pnbUes et das |r^ e n a d a s , qui étaient, vraiment s^ si' » - " ■■■ L e s M p r é s e n t a o i t o éte -l^ S |a e . Notre honorable sénateMé, K ^ ia n e k Chauveau, part demain pour Contrexéville. » .« ■ l o s t i t u t i o n S s d a t - V in c e ii t. La Fêle champêtre des Jeux sera deunée, par les élèves de l'Institution Saint-Vincent. le jeudi 21 juillet. Elle commencera à trois heures pré cises, et aura lieu sur le même emplace ment que l’an dernier, à l'intenecthm de la chaussée Pontpoint et de la route di Pont. C a r n e t m o n d a in . On annonce le prochain marirge de M»* Marie-CIotilde Conrcault, fille de M"' veuve Courcanlt, de Montipilloy, et petite-fiUe de M*” veuve Darras, avec M. Femand Basttn, de Nenilly-Saint-Front (Aisne). La bénèdictipn nuptiale sera donnée aux futurs époux, lé lundi 48 courant, à o s a heures précises da matin, en l’égliN NotreDame de Sentis. —— . ûsonnemtnt, M emérsmUe-j .'.isr 4 *”“1 'tatisa to m ^ 1 î^trsnss. Il rd b lOir en rsvsf S f s ^ - S S^travai’iAH ] naid. “ us* livra àdg, -en gain. A'iétl • y i ftir lâ T<n gappûensft. jiest eond-n A c te d e p r o b ité . Ayant trouvé sur la voie publique une montre et sa chaîne en argent, M ^Jautzen, demeurant rue du Haume, n° 7, s’« t empressée de la porter au commissariat de police où M"» Imbert, la propriétaire de cet objst, a été heureose de le retrouver. Nos félicitations à M'«* Janizen peur a n acte de probité. ■' ♦ ' N é c ro lo g ie . Nous avens ^ p ris avec ragrey la mort prématurée d’une charmante fillette, MHa lilienne-Marie Clément, emportée après une courte-maladie, à Tdge de 45 ans, à l’affection de ses parants. L’inhumation dé la pauvra enfant s’est faite hier au milieu d’un grand concours de pulatiéu. A la cérémonie, qui a en lieo en Tégtise Notre-Dame, nous avons remar qué au milieu de Tassistauce qui avaittenu a apporter au malheureux père, si cruelle ment éprouvé, des marques de sympathie, nous avons remarqué, disons-nous,les fil lettes vêtues de blanc, les camarades de l'institution de la jeiine EmlUenne Clé ment. Nous unissant aux nombreux amis de M. Clément, nous lui adressoes, ainsi qo’4 sa famille, nos plus sincères sentiments de condoléances. Espérons que les gages d’esume et da sympathie dont il est rébjet en cette circonstance contribueront à adoucir, dans la mesure du possible, sa vive donleur. » L a B s o p tid ité I n l à i i t i l c . Nous rappelons que la conférence de H. le docteur I h Daté, sur la mortalité iifaùtile, aura lieu demain dimanche, 4 deux heures et demie, salle de TEvéché. Les mères de famille surtout ne manque ront pas d’assister à cette conférence qui, le sujet l'indique, est pour elles du plus haut intérêt. 4-----L e s d é c o p a tlo n s m ilita ire s . Parmi les décorations sccordées à l’oc casion du 14 juillet, nous relevons à VOfficiel celle de M. Nougué, capitaine de gen darmerie de Senlis, qui vient d'éira nommé chevalier de la Légion d’honneur. Le nou veau promu possède à son actif 24 ans de services et 7 campigaes. Nous lui adres sons nos plus sincères féiicitations. ■ MtsUies and Taoraanx. Boeufs.... YoMies... Y eata....: Montons.. Pores. . . Marché i NÂT ---------- L e T i r à i ’A r b a l è t e . Situation des tireurs a u ) 6 juillet éiOi. B ^rtss, d« Dsnii............... bigusi 15 Finviot, ds Dsnii................ — 24 1/2 Ltndru, ErmtnouviU* — 27 ftibls. Hésault, dsMontrsifil iOfoit. Hathis, de MentreoU — 54 Boudiaund, Mtanx — 56 ftibis. Htrg's dsCramoisy — 7lfwt. Jaliisa, Vtri....................... — 78 Biadiiand, Msaux — 76 Mereaa, M o n t r e n i l . — 83 Pot, Mêinx........................ — 87 Bras, stn II......................... — 91 Gesset, Kimsnonviilt — 93 Poule eu plue grand nombre de bagues. Bcudineand, Msanx ....... 6 bigoai, Bru, San is .............................. 5 — Moretn, MouTealt.................... 4 — Pot, Mtaux^.............................. é — Hénanlt, Hontreail.................... 8 — ♦ -----■ ta it o It II Me S o i l i a du 9 au 16 juillet 1904. L a F ê t e lY a tio a a le . Favorisée par un temps supe.'be, quoique un peu lourd, la Fête nationale, à Semis, a eu son éclat accoatomé. Le programme que noos avons annoncé a été execnté militairement, sans le moin dre incident. A huit henres et demie, la Société mu sicale et ia Gompaguie des Sapeurs-Pempiers partaient de l’Hôtel de Ville pour se rendre à la place de la gare, où a eu lieu la Revue de la garnison passée par M. le ’ M. " Gonget‘ da Colonel dn 2* ht hnssards, Landre. Un public nombreux avait pris position aux abords de la place et anx côtés de la Tribune officielle. Le service d’ordre bien organisé était assuré par M. le commissaire de police, ses agents et la gendarmerie. A la tribune officielle, M. le Sous-Préfet Maissanets. était entouié des membres de la Munici palité ; MM. de Warn, maire ; Odent, 1 0 : Lsfori ('d'in* Eugénie), n e desTignu,! adjoint ; Audigier, député, et plusieurs 10 : Momtiint (Ragir-Oeorgis), rus anx tnmagei, 6. cumeillers municipaux : MM. Thiéquot, Saintt-Beuve, Frigault, Brenne, Gsnsse, I I : Gaiilet(Jaeqnes-Heiiri-Emile), rueVinlU' d*-Psri*,12. Mouret-Appert, Cuitru, Baibisr, Lécoyer, Mets. Paiie,MichelRobsrt,etc.; MM.War&iu, p o cureur ; Hadeiot, juge u'instmctien ; Fai 9 : Scwebseh (Jiaa-Wsrie-Angnste), maaiSIS', 78 ans, 4 IHSpitsI. „ sant, président du Tribunal ; Christophe, juge; Guillemot, juge; Yatin, juge de paix; 11 : Pontnier (lolaB*). sœur MsthaUe), nir glsBse. 2) ans, place Salat-iltmieA »• Saolet, directeur de l’octroi ; Caiais, secré (Louise-Adèle), vsuve DnriuaffNri taire de la Mairie ; Bsmard, employé des 11 : Devoy rent ère, 91 ans, rue eux Froms|«t ponts et chaussées ; Gaudrien, chef de la lil>l** prison; Leiiévte, secrétaire de la Sons 13 : Frigiuit (R<ln*-Blanehi), sans profasHA Préfecture, etc., etc. 4i IBS, i IHÔ >ital, . M. le Colonel, escorté de son Etat-Major 18 : Clément (Mena Bosaüe), stns profeis^ 14 ais.'rne du Hwliâ Saint-Ri* 18. dans lequel nous avons distingué la capitainé de l’armée grecque, qui accomplit un 15 Hiustrate (Aagusts-Arthnz), 8 moii,X" dn Hist-Villsvsrt, 8. stage au 2'” hussards, a salué les autorités D mer (Htnri-E»gèn>), cavalier an 2’tflr et tait défiler devant ia Tribune denx esca 16 sardi. 21 ans, à l’Hôpital. drons à piel et deux à cheval. La tenue et Mariages. l’allure de nos hiisiards leur ont valu dm, vifs applaudissements de la foule. ' 9 : Entis B'ebaut (Loais-Anguts) m is» vrisr. demsurut à MeitIifvéfO*,,ei *** Accom^gné de M. le Maire et de la m;>isr!le Prévost (Httée-EIis*-Addi«}> Muuicipaiité, M. ie Sous-Préfet a passé en ma-uonvrière, deoMurant 1 SaoUs. revue la compagnie des pompiers qui ont Entr» DrlerytPaOl-Prsngois-Jossptta®^ ensuite défilé. M. le Sons Préfet a vive9 v.'tsnr, et demoiselle Taodier (4 0 ^ m«nt félicité M. 1< Capitaine ponr la bonne IssbiUe), sans pntessloa, teoi *** tenue de ses homme:, du matériel et la demeurant 4 Senlis. correcten da leur défilé. La société de PiOUeatimis de mariages. gymnastique le Réoeil de Senlis, présentée par son chef, M. Millery a prodnit ia meil (Néant). leure impression. Le seul incident, sans importance d’ailleurs, à signaler pendant P o ilo e . eo rre o tto m a o ll* M* S * * ^ la revee, c’est le cri de : Fsve la Sociale t Audience du i l juillettDOi. poussé par un individu dont la téte était Présidence de M. P a isiir , présidiit^ SOI chauffée par le soleil ; en dit qu’il venait de Crépy. Ministèra public : M. Wauuhi , Pw cor» La Société colombipbile de Senlis a i«mon(. — LsndijMs (*o|è*e*wg)»*g procédé a un l&cher de pigeons-voyageurs, d* 33 ans, sst nn gatçm qni est brom w js et la Musique de la viile a reconduit.a ie travriL I! s’en vre nés souvert et IRôtei-de-ville le cortège municipal et ses rantre dans cet é st aa doioieUe d* s e y * ^ Uhrmaiise sauère quand èOe invités. L’aprés-midi, la foule s’«st portée vers denesr de l'argrnt, on M *»dM'.s. C’est ee qii.se J lohicsqua et sur les pionienades pour as vsise i e lé e t ‘8j7iad*tni*r, sister aux concerts-dot nés par la Société ne im dsnzMi PS* assrg ^ à l M f c o Musicale «Isla Fanfare du 2* nuvsards. Les àePU UsdeM ^. . - " 'i J . . mnsisians ont été, très applaudis. Ce fl's déwrinré est eeadsmié PM^ A l’issue dn concert, un rafratehissement tnds mob dhoqirweoowmsit, : a été offbrt aox moaieicnsat a ix gyamastae -ChnsAitN^ par la Monic^aiité. MM. te ^ a E L 6 0 M àé ■vde-ï” ' ■’ '« t e l . S y risn tq a p ij !ib o * r s e « ^ 0sa*séf<ared ^ s’e u te H Iromont il Avoine | ^ Farine, l ” ( Pam, le kilo | F kV l’argent pou L E C O U B K H R D E L ’OISB ^ â â ü É Dans nue commune, il exûto cinq gïes jenÏ Tirement ftnn ; nui» à M mcmeit I ain».etl* modMùerabYenUoa de .6Q fti. m uidne entonne Ut ctdâTatenrs, trou de ces cnltiTatenrs‘ sont aecordéejpréeedeinnwBt i l’IfD ioiin u fie^ I J.1K4 i« â» i»*’’« 4H*- Swh*«t q » rhanb d o i ^ d ë i 'm 'm t t r e i la' fenêtre I pn^riétaii»fonciers, donx ne posièdent ff^ïSsi^Tdo Htni tor«*y, eoBUwiwU'» d« | t dté mmteBBe, tlor» i{ae4&0tr. éUient donnés i la Panfsre. par^ _________________ .. , > a f f i « . i ™ * " î ' à â " S î l £ I PommerayeraT i ï ï B ï ï n " a " «préjudice u T S i ^de™« . >Couture, „ î;ïï' f Dans ces droons’ances; les membres devaient de presbtiens, et les autres n ont Enfis, le mairOj l’adjoint, les corseillers dn coDsril d’adminiitration, aTec regreb, municipaux, léa foncüonnnifoî prennent presque rien payé. Ils ent à peu près tous i qni£M ]«an d'ïBialiM- ^ t e u r incenno. décident i l’uninimité qne l’Union Mnsi- congé de H. Chaj^s après q ie Mde Bour«- le mê ne nomnre d’ouvriers, d’attelages qui : jiii r - La Pâte natiecalfl s’est La rt traita" a en tale ne répondra pas à la conTocation de cier'liit chanté une seconde fois It» con- parcourent les Chemins. Ceux qui ne^pos,, _ i t bitmatl e e tt^ PV miment municipalité pour les tét-:s des lUBuwut an «B pit^tam me «' n‘ nrés l’itinéla municipalit» _ 48 et pleb de la rosière; et on recondtut la sèdentpas dé propriétés font encore des (t.'2— 211^ non plus qu’à dnnfttm s ” ^ r a n t ^ ^ d i . eurent 144 jnülei, lontm an*MB autres ulté- rosière à son domicile, à Cavilié, où touto transports industneis qui leur sont payés. I t s s , p » '* f « I r f i tt»Btfl y, p o o r raire nxe. im pâma I rieores, arant qu’il ne Ini soit donné juste fixé. loe Le 4i» dans i Ou mencoro imposé à la taxe vicinale la population l’acclame avec frénésie. lien la réception des antoritto les pr^priébires fouciers qui habitent Paris, t t g l’une txpîditio i de la pré r « â MBrid. ChMItiny. et le soir, le banquet populaire et les bals. saiistactiou Cette fête a été admirable d'entrâin et sente dédbéra’ioa sera adressés au Coaieil BOUS félicitons très sincèremeiit nos bravM Senib, Nantenii, etc., quoique la loi du TH S9 et n Bud. i ■'"I* d* eoe-s«s » C^nmunicipal de Nmtanii. » E ta te in ld u S au a juillet 4904 sapeurs-pem'îiers ?t ïotre jenaeetsupe/be 21 m i 4836 n’impoie l-s propri-^bires que âÉBUflîâBi à Ftriff ont obôfoW b Fanfare masicale dirigée par M. Naetliier. dans la commana de leur doraicye et dans irataranee». 9 : JU iry. — FêTK db Vauckllbs. — I ’ est S^foWcr sw rhîppod*eiB* d* a»tW*y d « ttsBi»''el — l ï : Dumcst (Soimains-HteMt a : 0 irée s’est tesmicée par le banqi ot celle cù ils oct un établissement où ils décidé que la fé;e restera fixée à sa dite &V?/» Mom» h s i C« deux wdirtdM pri- C.iæevo). — 1* : Gitaidot (LBCinJeann»). dcsoav.'iers. l habituelle; elle a c ri donc lieu le 24 juil des pauvres ; on s’y est bien amusé, et les occupent £ltot oa’il» « « t «nx-Bidin*» YictiïW» et qn ili Si j'avais été dn C aseii manicipa’, j subons vieux ont dansé comme des jeunes Ditit. — 9 : Delaroafl» lS*S!3l ^ l9»^t k«8 «a-ils prdsmtaiœi «a let. rais proposé.cèsi : Poor appliquer la loi du ans — 9 : D«te o s (Ibicdora-AK.ad) *S«^É B tdt»i«B t ïiw». Chaenii d « i » gens. 24 mai 4836 ’d’dae manière démocratique, i —14 : D# Ji*eîre (PhUeMond-Edouaid), 42 IV o g e n t- le s - V le rg e s . , Fêib il faul supprimer la- ’irestaticn iiidividut lie R o s o y - e n - M u l t i e n . — É tU A iK A O n '»Çît»’Mt«deoBdiiBii«r à six mois d’«m- ans. PATBONAU. — Voici le programme de la Là commune de Ro.oy-eu- èt la vemplattr par une augmentation du fôiepaiionale de» dimancue 47, luadi 48 iLBCTBiQüK. i s i B i B t , *t D*8l«ad« à tt.:s mois. Pumations de wariopw. — Mulneu «ai éclairée par la lumière èlec- coefficient des chevaux et voitures attelées. et dimatche 24 joillet 1994 : ' - L« 17 BfttrsBd, oh»m- cUn-^alomo;’), repre e;tautd^ wmaaeio. Veu-rez.agréer, etc. X-.. Dimanche 47. — A 2 hîures précises: tr.qae depuis lé dimanche 40 juillet courTciad ertU», en s* WtossM sot son M msutani à Cr.li, «t l*vy tCaa.i 1 ), sans ptot«s■* wffibfT »on .Aw porte-Bonsjis nnrt^mnn fiôAti&âül ïSsi w nieust siOB, dsmtataai ‘ Kpatnay (Yain*;. Jeux direr» ; à 2 h. 4/î. granle Matité*- lUB*. , -A HstreURamy-E'igéEo), commis d’enirepiis», orgMisée par la Commission. AU nom de tous les habitants, merci a ^wnes. Il r s s’iporçai do s» dupstition qa. C h a ra d « '-R é l» v is ^ % i,g„,es, tirage de la M. Paul Gervais, maire, qui vient de dider LioJ «1 r»*»B»nt d*s ohimps; seeoftp g ii •t D,spiene» (B »-he-KogéM.), cowniiè s. Par T b e b r o n . jûnhdidsrs Doisonais, ü fi^ des recb*ir«n#s ions ^ i «* | tons ceux domioc— domio.îiéô i c «ü. (la Société musicale l o Fraier sa commune d’un éclairage moderne et a (Dédiée à H , T réval.) ' â f s S cS tecnsutie*) àiddsSSMS, Dabois vThropi e LosiO, gsison fait installer tons les appareys à ses frais. nelle prêtera son concours), s ira’s f ait pour le mêm» patron qu. B«- «tL bonr>*te h., s»n. p.oI,aV ertu qui fait supporter sans m urm ure la douLa force motrice est également fourme Ditnsncho 24. — A 2 heures, place de la siofi, tou* d*ux d-mic li«8 > Crejl. jrtd, qni!ta fiondypyiu» q^aïUB?’ leur. — Conjonction. — Etendue en longueur. — Mairie, grande Fête musicale avec le con- par un meuün à eau lui appartenant. A —. Ecorce pilée ï»TiTrt à d « «peosce pm »p f-ppo t sveo D épartement. — Adjectif num éral, cours de plusieurs Sociétés; à 9 h. 4/d, dans certaine industrie. • P artie la plus A t ê b i r o P .A « « < - f « n t n t . I . c u - d ’E o B e r e n t. — Un émployée éloignée de l’entrée. — Signe algébrique. — Sorte bril.ant feu d’artifice, salre» d’artiUene. InciHDiB. — Le feus’eai deciaiè meicredi, de m taüle. — Pufesjuice. — Signe de m oquerie. — ;îi m * *• ‘ <1*^ proiesAOï, tons desx drmiei lés i C e i. Grand Bal de nntt les 3 jours. Hy^pbobie. à iToU heures du matin, dans une chau Brillantes illuminations. Couver un proverbe connu. mière de la rue Coquerelle, appartenant à ®îfÎH2«iilïlOàliawlia'i»B'M»“ “ '* I cOTGBifemiWM. ■» — CoHTBATïnnOHS. — Un «yoUsie M. Gaston Triboulet. * * Les pompiers de la commune et des loca nommé Démbnt, rencontré le 42 juillet L é O g o g rip li^ l,ijii.y.inr-S»ina, antenr d. i ? I jH«Hpa et de la m e SaintThomas, n en - circulant sur un trottoir, a été l’objet d un lités voisines fi ent la part dit, leu. Ou n’a P&r H. TRâVÀL. aucun accident de pe.'sonnes à déplorer. procès verbal pour ce fait. Î Æ i S n K t i T i ; & fS?drode fernwr le. diu Mon to u t est le nom d 'un grand fleuve. *édés<»s.ègestirlaeh»nss4e et légèM- j étabUssemenb pour le 34 du mois M m c t. U. Frénoy, propriétaire d’un chien Les pertes, qui s’élèvent à 2,000 francs Comme le Nil et le Niger, ^ /••«*. a*,. I Les distributions de prix à leurs éieres, divaguant msig é 1arrêté du maire, s’est cour iimmenblést 900 fraucspouree qu’il KfflîbUsrtT'ert'coiideBaie à" 109 frene» d’aDans lequel — façon toute neuve — contenait, sont couvertes par une assu Voua trouverez à vous loger. auront üeu quelques jours avant le départ yu dresser contravention mardi dernier. giiadi evio f ppUcet on do la loi de snr^. rance. . . ' desreUgienses. Nous publierons les noms ou les pseu Les causes du sinistre ne sont pas con V o l db pêc h b . Lo 44 juillet, un vol des 'lecteurs ou leetrices qui jioaatfonta F p e o ix o y ”l e * l ‘i i a t , Chboniqdï du d’uce ceïtaine quantité de pêches a été nues. MM. Triboîlet ei Fleury, très estimés donymes auront trouvé lés* solutions de cette cha Jeudi, le feu éclatait chez llü . à Saint-Leu d’Esserent, n ent aucun en comm» au préjudice de Vèiez, menuisier. ^'j^Ùî âE-Sarval, «st eondamné à quin» jours rade ou de ce logogriphe. nemi ; c’est ce qui permet d’écarter toute p aA.^ I Auteur inconnu aHervaui n ,.u » et Rolland, pendanttoiêio AA„„A fmqidionnaittMit. La solution du logogriphe du numéro iiué.v» fin conoonTS dévoué do la ponale Grâce au conoours de lapoidée de malvmllance. Montleanon. — La 1 mii, ta ioaint avse n du 10 juillet est : O im e B . — ÂvmnssBiniti n’iHaüùra- , hoi citai ai io jeune Ccsàé iLten), âgé de nuIatioB et à l’arrivée dM S ^w m mm^^ rTAcmtnbtràlioü des Télégraphes va I V e r a e n U . — Rbhvehseb pab iwb TRAINE R u , a nlassé U ienna L.ndiyobCeaotg ite). U sO T o S iiS to esd el’i ^ ^ remer- I ^rep ro c é d e T à T é ta b ris^ ^ I bictclbWb”- Une pauvw vieiile de 72 I j^mBiequel on trouve : poorsaivi pour Waisiir» par impraeese^ lé»» ^ niaîgfé la ttte patro» ' .. . . i-— Anv-mt lAiéDhonwue I «n.. lumt nArnn. rAutièreà venieiiii. a diô 1 ^ ® I M ob5, est acqu't^ aosaine ayant agi RAINE ■— AIN E ■ AIN — TRAIN nu dliMinamaat et umis à son pè.e cftto» n’ont pns nésitô à furo Ift cbftino La solution do l’anagramme est t , é r s ï . - i e s . G ^ * . - AbmlDM^^^ î’ï ïio S t“ ^ , « fab8enMi"du*iMh“!*a I prepri«S~ptîvéës où il’dtïlt être I pmSiûVs qui avait tout fait pom MONDE — DÉMON dfriié te sOTvic^’ordte; les pompiers, qui J^p o rts, restera pendant trois jonw, à Reievéeavecune j«nbe fra(;turée, l8panOnt troiivé les deux soluiions : iêi^ds*9 sB8 ,q«•ue•Blefluïl«l*# au Htm j üe leurs cheb n ^ g r d u 48 jnület 4904, à la Mairie de vie fomnie a été rapportée caez elleet n a G. Cherché et G. Trouvé. — A. Boileau. E,si,»tpdtb86BBnri. TrbMxl I èt dont que QMS bus ont eu des blessures, ognes, où les intéressés pqurrtint en jiren- I p»s veultx porter plainte contre 1 auteur — ’lrébron.. — Un Nabot né à Villers^ S - M U S e r ^ r t ShSSme« ™ à h e m ê » U é i è r e s ; te personnel de la ^^®conuab.ance et présenter leurs obier- mveloutaire de sa blessure. Cotterète. S S V ÏÏîS r toriq u e de Bsauiain f « 1» I « tions ou réclamations. | vVi iUUee^r -sS'Saai ni at t-'P P a u L -— Vol db Ont trouvé le logogriphe : " de l'usine, a été d un grand secour s , les Un Futur Apache. — Mie B.ond et Mé O r r o u y . — NonntAiioii D’un Rzta- RicoLiB. — Un toi d’artichauts a étécgmmis au préjudice de MM. Chenu et Lejefine Brun. v e u r d b s P o s i b s . — Far a ri^ é du sous sertétatre d'Btat aux Postes et Télégraphes, mardi dernier. Auteur inconnu. C’est dire que î^ d a te du 8 juillet, M. Lesueur (Léon), L ,a C h a p e l l e 1 e n - S e w a l . - - facteur-receveur, vient d’êtte nemmé toA r r o i d is s e ie n t d e B e a iv a ls . rués 4s [fistrs. 8 sineaix au kiosque ds llior- CHaOBiQüB DU F b ü . — Un incendie dû très c S d T p o s t e ’s et télégraphes. Un* H isto ire d* C h ap ssu . Le nouveau receveur, le gendre de M. orobabiemeat à une imprunsnce de qaelP Se^fum 7 7 _______— n tjn u nprit r i t vvers e r s ccmq m n I LaBuIorsTe'itrepreneur a Orreuy, était au- I ^^’ou A’a d’enfanu, B e a u T a i* . — I j pbu a Auomrb. — bLSsU décia'ant ngreiur l’sets_ qnil a S Dans l’ombre de ton père, le ________ Kcomprinz nonis sous 1em.ars de la boisson, n sit con- Seures du soir, le 43 courant, à Une meuie par/vant farteur rural. Nous unissant à u n mcBudie qui P“. yécnt jusqu'à son départ pour l Université, imaé qn à to iranes é’sm.n'i.. ce D a llle appartetant à M. H.mst, maire nombreux amis, nous Im adressons de j conséquences,» est déclaré m e ic re ^ ^ tè s.rtmiratenr craintil et silenciaux. Ce n’esi ce paille appartetaat ses I__ ,, midi, à Aiionne, chez M. Anatole Dsla- admirateur---------------------_ VOlsrs (Léon), igi ds 43 ans, « t na htbl- de l a Chapelle, et à une autre meute con- sincères félicitations. pas, du reste, qu ù ait lenjouK ignoré tes neuville, ouvrier maqon, rue de l’Eglise. toi diS IribuB.sx eo rsetivnnals. 11a déjà sb - ticua de lazarne, loaie récemiDeat termiMprices et tes .oôiérs» où s affirma la vo O p F O U y . — LB vol db VOLAlLLBS DU Vers (llx heures et quart,, le fils de M. eoura jour vagibondags st mendicité 32 eos- nee, appartenant à M. Paul Pintat, culti PnBSBïiÈHB. — La gsndarm rie de Ver- Delaneuvilte prévenait son père qu’il ve lonté naibsaiita de» enfants. Comme cer tain diguiUüe de l'Eguse réformée reçu vateur. ™ M t sur la tr.ce de l’mdividu qui a ^urtntsnd ootroysr po u f lu m éjias faits u Himet, qai était assuré épreuve une tenté il y a quelques jours, de voler, In nait d’apercevoir de la fumée dans la Dir G^ilaume U s tuitieteiiaii avec son qutrs mois d’empiisoBnemsBt. grsLïgè donnant sur la rue. Sans plus tar pert^ ésamée à 540 fr., mais M. Pintat, qui buit. des volaiLes dans la basse-coar dn rouverain, te Eiomprinz et son fiére Eitelder, l’alarme fut donnée et les secours Fritz. qü'jctüaitsht dan» l'antichambre, ■ ■ — ne 1 était pas, en éprouve une bien plu. im presbytère. promptement organisés. ^ h »R,n4i. d e S e n l i e . s’empstéient du chapeau du grave personportante esttméô 2,670 Ir. Le feu, qui avait pris naissance dans le Bsee; Il y avait quetqucs minutes qu 11s P o n t - S a i n t e - M a x e n c e . — Lb Bat iu aumau* introdiiit» i VabatteW L a C F o im - S a ia t- O a e n . bâtiment i empli de bois et de paille^ se COUBOHHBliam DB LA fiOSIÙBB. — Ott UOUS s’en donnaient à cœur joie autour du sudu 9 eu 4ê juillet. piopagea à au pressoir et à un auq-e petit nerbe haute-forme, lorsque, l’audience ter Os DBBABDE DB l ’bau ! — Les habitants écrit: .. , Sttu Kilos. Foidsmoyus ioaemeat Inhabité situé en face ; en p«u de L a f ê t e d e la Rosière a eu lieu dimanche minée et la porie du cabinet s ouvrant du quartier de la Cuvee-anx-Vaches sont abïOlument prives d’eau ; ils doivent des dersier au milieu d’un grand enthou- temps toute la grange était la proie des tout-à-coup. Gui laume II aperçut son fils » Taureaux.. . flammes. 563 trem blant. oe colère et qui cnait à sou cendre «n chercher là où on vent bien leur omCSAVttO 9 5074 Saufs.......... Les pompiers d'Allonne, Bongenoult, cadet, en lui dt s , g ^ t le respectable couvre V e r » ' deux heures après-midi. Emigré la 546 4030 en la^ster prendre dans la ru« Saint2 Vaches........ Voisinlieu et de l’usme Dupont, ne tardée chaleur accablante, la fou e se massait à 443 chef délicatomani posé sur te sol :« Assieds49 2449 VeaiÉt.......... 46 1*. Hdtel de Ville ; les!.. sapeurs-pompiers for- renf pas à arriver sur les lieux et grâce à toi dessus 1Je t'ordonne de i asseoir ueasuti ^ L a municipaüté ferait bien d’étndier la 606 43 Montons.... 1A, CA/viAf.x mon_ leurs èdorts l’incendie, qui tnenapait de se 88 moyen de leur procurer nue eau potable, maieot maiect la haie et la Bouvelie Société mu- de se propager aux bâtiments «oisins, fut Je suis te Kromprinet » « Et mot, je sul» 82 2847 Porcs.......... ^ „ A A sicals, l’empereur 1», inieiytiit le père.________ sicale, dont tout to u t,le monde a fait 1 éloge, M o n t a t a i r e . — Pboilai. — Après des plus beaux morceaux de son circonscrit. Marché du ia r d i 43 Juillet 4904. Le capitaine Gautier, s est rendu sur es BU pvigliat en règle entre tes femmes MarEm ploi d e s vieux Journaux. tin it de Jontkeere, la première a porté * „ maire, ceint de son écharpe, l'adjoint, lieux, aACompagué d’une leiilion de pomPRIX NATURE plainte contre cette dernière et le mari de l-s conseillers mnnici»anx, tons le» fonç- pitrs, dans te chariot électrique de l’usine HAUSSE BAISSE SES SES lOOlilog. Ne jetez pas vos vieux journaux! ils CËREALES tioDuairos se tenaient sous le péristyle de Lainé, avec une pompe à bras et le dévi celle-ci. peuvent vous è.re d une grande utilité. doir. Etat civil deMontataire du 7 au 44 juillet M. Delaneuville, à qui appartient les Les vieux journaux no sont pas em "coinmsndement de M. Delaunay, j 1” qualité., 20 60 ! Haitteneet. — H : Pculst Matcal-8eorgM- sous-lieutenant de la Compagnie de sa bâtiments incendiés, évalue à 6.000 francs ployés seulement à empaqueier, à être 19 50 îromentj 2* — collés sur les murs, a ïame des sat» A la perte causée par le leu; il est assuré Gnstxv». — K'dy Pierre-A’phonse lodor.. — 18 60 (3 ’ peurs-pompiers, le cortège se met en Dufsu Msrihe Evgsïis. —13 : Gsndet Mirtills- marche aux son» des tambours et clairon» pour 40.000 fr. à la Compagnie la Mutuelle raisin; ils servent encore à bien d autres Seigle............................. 14 60 de Seme-et-Mame. “*^coupés en bandelettes et roulés ou 14 60 ^Défit. : Gérwd SDisnse-EngéDi», 18 des poispiers et aux J?,™ On croit que l’incendie est dù à 1im nliés. ils servent dans les bureaux do taivoinej 18 to Bois. —13 : Frameiy Adclphins-Sophie, veuve redoublé, pour aller chercher la rosière a prudence de René Delaneuvilte, qui, ayant Daog pour aUuiner le^ pipds ou le» cigarese lon domicile, dans lo quartier populeux L»itey,7Uns. Farine, 1" qualité........ 31 25 lait sa première communion, la veille, 11» remplacôut les catreaux casses. de Cavilié. e i e . 33 Pliés eu plusieurs épaisseurs et nus Le maire lui offre le bras ; une qainzm e faisait éciater, eu signe de réjouisoance, I V a n te u i l- I e - H a u â o u in . >7 ElbcPain, le küo e SI . 30 dans les cuaussures, ils donnent de otouIIONS AUCoHSBiL GÉNÉRAL. — Voici la Cir de jeune» flile», y compris PatiUneïagnier. des pétards à côté de la grange. des semeUes et évitent le froid de pieds. Pendant l’incendie, un vieillard 70 ans, culaire envoyée par M. te comte de K*r- la rosière de l'année dernière, forment Roulés autouVdes pieds et des jambeSi saint aux électeur» du canton de Nantenii : l’e.corte, avec la couronne et de nombreux M. Alexandre Binet, cuitivat»ur à Bonge- ils remplacent des bas de. laine. .1 nonlt, qui était accouru pour porter se et mageifiques bouquet». a» PlacM en plusieurs épaisseurs sur 1en Mes chers concitoyens. cours, a été pris de ma;aise et s’est affaissé Les habitants de Cavilié ont rivaUsé de droit où se trouve une douleur, celle-ci Le mandat que vous m’avez fait l’hon zèle et d’entrain pour décorer le quartier, snrla toute. Transpur.é à son domicile, disparaît; «a sorte qu’un radical petrt se B é th i s y - S a i n t- P i e p p e . Ldcu- neur de me confier expire le 34 juillet. M. Binet u’a pas tardé à succomber aux trouver soulage par un vieux numéro d un n s X bon hakcbù. — Une habituée de Je pense qne pendant cette période je me m f r ê M ’H t ’Î S Ï v L Le maire, suites d'une affection dont il souffrait de journal clérical et qu’un antiministériel Ifétel de» haricou de Senlis, la f.mme suis acquitté de mes devoirs envers vous du haut du balcon de la m ^ e , où se puis quelque temps. peut se trouver guéri pàr un vieux numéro C..., de Bétbisy-Saint-Pierre, a été sur et que fa i tenu mes promesses en vue de d un journal révolutionnairo. ■» -----tiennent la rosière et celle de 1 t ^ é e der Des fourrures ou dés. habits bien e n v ^ prise, ces jours derniers, volant des pois, l’amélioration de notre canton. nière, prononce une allocution dont voici loPDés de vieux journaux seront préserves st elle a escore été reprise, le 43, le tablier Travaux exécutés sur les chemins de le passage principal : d«M miles, l’odeur empyreumaüque de plein d’artichauts qu’elle venait de voler à grande communication dotés par te Con l’encte d’imprimerie étant aussi désagréa Julia Cbsrpeet'e' «st nte le 18 jsnviw 1W6, Vaacelle», an préjudice de M. Bourgeois. seil général sur les fonds du département: ble à ces insectes que celles du camphre La *uppr*s*ion d** Prastations Il ne faut pae croire que si elle a commis 4898-99 : Convertissement en empierre à Pom-Ssdnte-Mtxsnc», d« paient» liboiUux OUdd la layandOe „ .. i ou lo! antidémoeratiqua. ces vols c’est parce qu'elle aime les pigeons ment a Lagny-le-Sec, 5.200 fr. ; réfection «t DSuvMt, gui ont «n onze enfants. Je ne vosx Placés sous les tapis, ils garmitissent 1 (Suite). SDxpois et les fonds d’artichauts à la Ma- du pavege entre les points 4S3i et 424>‘5, pas rapp*l« ici de douloureux lonvesifs eu de 1usure et de ia pou.»ièie. ianant lesmalh nrs, IH p teUb d* nos liotems nous adrmsi l’intérts- ceux-ci inionle. E'ie vole pour vendre le produit 6.000 fr. Leur imperméabihté A l'air et à la cha- . mils C'a pesüer; «e »»r»lt de UOTitité d» ssnte l'ttrs qn« voici, à propos d» Tartiel* que leur les rend précieux en été pour con 4e ses larcins à bas prix et se procurer de 4899 04 : Convertissement en empierre server fraiohes les boissons; une bouteille l'argent pour boire une potée. ment entre Piusis et Ermenonville, 50 000 de champagne frappé, romée dans un C h su n a n t. — Foua ebttbb m a francs; jou rn alT ^rd era toute une journée la jote qn’alie qui nous avons exposé. 4904 - 02 : Redressement et relevé à bout r»nr«ux souveulrs mais par ia . SIS souvFaANttes — Jeudi matin, la femme même température. , ’ . épronvara «n rectvant le don de V. H Chapis Et on tes utilise avec succès pour teire Ceêile ^Octavie), âgée de 43 ans, née Ana- à Ognes, 5.500 fr. ; cgnvertiswment en qu’e le a si bleu mérité Monsieur le Rédacteur en chef, des couvertures dans lesquelles on s en talie Gohet, demeurant au Poteau, trou empienement dans la côte d'ErmenonSon pète est m. ri ie 3 «éeimbra 1903, après Votre article sur la suppression despre^ vait son mari pendu à use poutre dans sa ville, 5 000 fr. ; redressement et réfection être resté trente-trois ans cousioatib au seivice tâtions m’a paru teilemeut juste que je roule pour dormir. demeure. A ses cris, les voisins arrivèrent du chemin à la sortie de Baron, 4.000 fr. de H. Bouison, «t an moment où U allait rsct- crois devoir l’appuyer de quelques exemples. 4902 03 : Réfection de la chaussée pavée, voT du scuvernemsnt la médaiUa de vieux ser et coopèrent la corde. Tous les soins donLe Gérant r H. CAUtmis. Le Conseil municipal ue notre commune, lii an malheureux furent inutiles, il avait rue aux Fouarres, àNanteuil, 6 500 fr.; viteur et sa peuvre mère a suivi son maildans s’appuyant sur.la loi dn 34 mars 4903, a, la tonia d’un moi» jour pour jour. , ^ ^ , réfection de pavage à Silly, 6.100 fr. «ssé du vivre. Imprimerie du Courrier de l’Oise, Julia Charpentier reitait donc i’alnée de huit par une délibération de mai 4903, remplacé 4904 : Aménagement du chemiu 49 (nou La gendarmerie de Senlis prévenue, se les prestations par une taxe vicinale pour '■ plan» ^ l’H0 i«l-dt»-VilÉB.‘ Senlis 9-4t bansporta immédiatement sur tes lieux et veau classement) entre Nanteuil et Loiiy, entants. Prenent la direction de la miDon, par son 4904. wistata que le corps dn désespéré était 57.000 fr. abnégxtieii, inp dévouement et ces bons couMe trouvant frappé injastoment d itne Total: 445.700 fr. placé au pied d’un escalier et portait aulonr stUsalleva ses f èies «t iœ;rs, dontl’sl:é mé taxe de 30 francs, au lieu de 6 francs qne Etude de M' Aiuand BOLAND, Merci de la confiance que vous avez bien rite une mention spéciale ; c’est un travaillsur je 4i cenp une corde de moyenne grosseur. payais, nous avons, avec quelques con huissier a Crml. et nn honnête homme................... Le umlheureux Coêlle était souffrant de voulu me témoigner. tribuables qui se trouvaient dans le même Elle est une petite inèTe de famille-ponr eux J'espère pouvoir la mériter encore. puis deux ans et avait déjà manifesté l’inTeprolp* de Ppéoy-eup-oite, cas que moi, adressé une protestation au Si vous m’en croyez toujours digne, c’est tons ; elle ditige son petit ménsge avec le sa VlllePS-seus-falnt-Lau et tention d’en finir avec la vie. , , . , que gaguent les tUé», sans bruit et on Conseil municipal. Oreuy-en-Thella. H y a trois semaines environ, sa femme aux progrès de mes travaux et a la pros laire Cette prestation disait qne si la loi du l’écoute, on l’aime, on la vénère, cette panvn L» nimauebe 21 Juillet iSOé, lai avait retiré dss mains une corde avec périté de ce canton que je consacrerai, fl'lc qui trouve encore le moyen, après avoir I 34 jnars 4903 avait autori é les Conseils . . à n e e hEUf», laquelle il voulait se pendre. La veille, il comme par le passé, tous mes efforts. ions sss soins à sa grande netitc fa- I mpuciDaux à remplacer tes prestations Agréez, mes chers concitoyens, l’assu prodigué é Préey-tu<M>l«e, eup la plaea m il le , de rsccmmider la linge et d aller laver I par une ^ taxe vicinalo . . V ---------lai avait d’ailleurs dit de vendre ses réau moyen de ceitpublique, à la ^ntaine les bardes ds tout son petit peuple. times additionnels sur les quatre contri toltes sur pied; comme elle manifestait rance de mon entier dévouement. Avent de perdre sis parents (et, MeMleurs, bution», elie n’a pas abrogé la loi du 24 mai tonétonnement, il ne lui répondit pas. Cet COBIB DB KERSAINT, iv n’ixigère rin ) elle a scigité avec nn devouaV e n t e «e R é c o l t e s acte de désespoir est donc atiriouéanx Maire de Vertigny, mentsins berne» sa benne st panvtC mère 4836. q u n'impose à la prestation que les açaSrances qui empêchaient le j irdinier de consistsiit en : individus mâles valides, âgés de 48 ans au tendant les trois aenée> qu’elle «st restée Conseiller général sortant. t occuper lui-même de ses travaux. l* BIA, «nr 1 h»«tare U arM. clocé* sur son lit de soiff:aBC«s avant de ren moins et de 60 ans au plus. Que la texe 2' AToine,«urlbectare70*res. — L’Union Musulilk. —Dan» leur réu dre le derciar teupi'. vicmaie ne peut être compasée que par les 3‘ S a in f o in , sur 1 beetare nion du 4 2 jailli t, les m mbres du Conseil sommes produites par les hommes, cha-. Cetti allocution a été très applaudie par vaux et voitures attelées indiqués par cette 80 ares. ... .. d’administration de la Socitté l’Union Mutantisssnt sur divarse» plèee» de ticale, de Nanteuil-le-Haudouin ont p ru la foule qui assistait nombreuse à cette loi. Que ceux qui ne coneeurrent à la for terre sites terroir de Préey-fur-Oise, cérémonie. ^ La réunion db Crbil. — Les grands la décision soivante : mation de cette masse totale, ne peuvent saut une aise terroi.- de Villers-sonsLa Société musicale joue immédiatement être appelés à.payer la taxe vicinale qui la aélëgnès du Comdé radictl donnèrent, < M. le Président expose que, dans tou 8aint-len, et une antre située lerla Marseillaise. flatanche, l’investiture aux candidats qui, asstmblée générale du 29 février 4484, le» remplace. Ensaite, M“* Isaballe Bourcier, dont la “ 34 juillet, se présen’.eiont au Conseil membres de l’Union n usicale ont, à l’ura"^'AwaSnsnt ’è M asdti^ et H. Nous ne nous sommes pas adressés aux Hnéra! eu au Conseil d’airondissementr nmïré,'doiûié misiion spéciale à M. le Di- 1 roix est superbe, chante é g a l^ e n td ^ 1 ”ygj,^gg gQnr la'réclamation que Geivais, »t cultivées par M. LHrÇs Far nn sentiment de timidité, ou, peut- reweu; d’intervenir auprès du Conseil du b a l c o n la chanson de la Rosière, comF -------«t tes erfaats. avons faite,* cependant leair position, °bo, par crainte d’uce discussion trop m u n ic ip a l de Nanteuil aux fl îs d’obtevir posée par M. Chapis. ,v „,h«tA ‘ ' ' vis-à vis de cette loi, est encore pltts inté lU COiPTIIT.- FMI* OBOIMIIES rive de leurs programmes, les candidats une majoration à la subvention de 50 fr. Le maire remet alors, tous pli cacheté, ressante que 1a nôtre. Une pauvre femme (P onrladéslgnatiob, voirlesafflsbes.) 30 manifestent aucune hàle à se faire con accordée pour les année» 4902 et 4903. la somme de 500 touc». veuve, qui possède une petite maison sou naître. En sons-mains, dans te plus grand c Lesdito membre» espéraient que, dans La cérémoitie t e n t é e à la 1“ “ ” ®']® vent grevée d'hypothèques et un petit mo étjitère, ils préparent leur campagne. le désir d’étendre leurs bienfa t iudi. tinc- cortège se rend chez M-ÇhaMs, bilier, est appelee à payer plus de six francs tiiKB ÙTVDB tement à tous leurs concitoyenf, MM. le» reux b'enfaittur de la Ville de P ont, çe de taxe vicinale. Un poivroi. — Le sieur Charbin Toprolp d* Priey-auptiMea. se feraient nn devoir d’iccéder F^H^rejrieillard de 88^m ^^^ ro tere**te reVoici encore un axm ple de Vapplioation ), 4^é de 34 ans, rencontré le 42 comailter» A îpnr A-n..«a« maire vient le féliciter et la ro»iére le reMBiêUMhlIélaliUMUO^ da fiotta n a n n ; lHl'Ot, quai d'Afflont, en état cmoplel g jflX w m i*«*»t, Il ■’M » P»» Été warcier an Vmbtttuul.vm iffMion, 1* ê iTmia, s’est tb dyeuer preets-verbêl. ii-„ — YoL. - ÜB Tol de wl»»!**» gBimnx de b M » ^ w 1 S ’^ £ s a “ isîïB SSki.'S îSSTd.’S .^ i .ïSSi»; lï& S s ïS v ; a iïS ïîS iîŒ A îS ’Æ Choses et Autres. —8 F A IT S J ^ C A Ü X a F tE IX i I 4 Jeoxbeutes, A Préey-sui'-Ote*, NHi> la aises publlqaé. F a r le B 'nii«è’'« de V 'B oland VENTE eux snehêPis,, ■: 4 b'cttres 50 ires B lé - . 1 bcetsre fO >r«s d A v o in e . 70 ares de S a in fo in . 8K>re» d« S e to fe . E tl8 ér< is'd e» io ^ o . • “ stni- «IvîTse» ().è««s «e terre *pp»7t»n»rt è Mesd'mis Tsgpié. *xploitéd par.M. legros et s u «fuits, «t fiiuée» toutes terroir de Préeysur 0'.3«. __ lU COMPTINT.- FHIS 6RDIB!2ES (Pour U déstgnelioa, voir lu »fflob«s.) si A nnonocB ja d ic ia lp e s* Aittr 1. St«i« dUM Aac^SlHfTB-lB0TBy «tob4 i ScrUs. Vente au x enchères pubrtques 1' de t t p o p la de là s o c i : É 'r : É du Cbeiin de Fer des Carrières ' de Saifit-laast, la raison soeiàk lOLLOT et C", en II lois, avic fxenlté de réunion partislla on touli, S03S *• l a m o itié In d iv is e D’ona G a r r i è r © eitsèe à SADIIINES, d’oB» rontEnsnes de S A a r e s 7 1 centijEires. L’aéjadieation aura lien la J e u d i 1 1 A o û t tS O A , è deue Aettns di rtletie, • «n l’étude et par 1* m nidère de H* bisABiB, notaiie a Crefi, eommié 4 c e t «S«t. Ea >xéontion d’un jDgsmaatrendn sur leqaêt» par le Tribunal civil de preisiéra Isstuùe de 8en!i>, le trente stna mii mil ncnf cent qnatfe, «nregisvé; A la requête, ponisalte et dUl> genu de : Konsienr Gnstave Bsndeloqu, eommis-gîifl».' dn Iilbniul oivu de S.nUs, d.mearaht andtt Senlis, « AgUsant an ncmei eonuu « onratear i la sneeession va, oajiM dn slanr Pierre-Att< toine-Ioiissaint FonmiqiMt, Ayant M. Sainte-Benve ponr avotld centtitné. . Il lera procédé, te deudl e e s i Août mil neuf w iit quatre, d d.ux heures ue relevée, en l’étude «t u.r le miuiitére oc a ' Sesabie, noaire 1 Cr.ii, eommis 4 cet ift.i, a 1* vente des parts et immenbles ci-api è> désignes : D É S I6 N A T 1 0 M FBEMlÉREliEMX Les drcits.de 11/156“ qni m p.i.et 4 ferM. Fsarniqnit du-----Sud. té Do l»t «t Ci.fflpagaie dont le Siège «SI a Pan». P*»» « i* Hadeleina,n ' 16, »y»iu pour objetl’exploitatioa du chemin de fer des carfiéreède Saint-Vaa»t, sons la ralMB sociale e Dollot e t C* ». ttetteso-ieté aneapiidi de 165.COO francs lb:méssaiEeat acte rsça par H' D..gB«t, noiure iCfivi’, lel4 niars 1869 0 -cr BBS duiée do 10 ins, pro rogée jdiqu’e u l ’ jinViu 1909 aux tetiKu de deux ac«i reçus par ledit H’ Dognet, te p. «nier le 32, 23 et 81 maré i8>8 et le second lu 16,21,28 février et 26 m m 1888. Ladite suttiéié existe actneUement entre M. Angaste DoLoi, ingéaienr, denenrant a Paris, benievard SaintGeimain, n* 136, comme senl associé en nom coUacuL et en commandite à l’égard de divers nattes personnes parmi leiqaelles M. Founiqn.t. Les dioits dont il s’agit seront vendus en onxe lots de 4I4B5** avec laenlté de rénition totale on partielle. Miseàprixdechaqnepart. 600** DEUXIÉMEMENI Lamoitié indivise.apparteaant àla sneeession de A F.armqnet avec M. LOnia-Lanrent Quesael, m b l tant de carrières, demeurent à P d u , n e d’OtssL n* 10, pro«i«eita M l’antre moitié desimmenblesci-apivs fermant l’snsembie d’nne earnére ntnee terroir d» Saïntiw, escnÿ : 1' La première partie lUmée déi nnm«es 617, 618,795paitie,,enaprend l’ancienne carrim .elte est uiiVirs^ pftt 4# dit d# Ui Cavee de l’EgiUe;^ tenant an levant eeau nord à Rabbé (Lnçian). an iud 4 ia teire qal suit, appartenant 4 M. Qeeuéi et M. Fontniqnet (npmdro U20 et sBifanis), et an RiUon, à l’ouest 4 venve Harmand Leqneax, an n«d 4 Bnfenr (OKave), et veuve Cibois-Vala. 2* La deuxième partie formée dm numéros lllfi partie, 1117, 1118, 1119 et lliO, q u est en partie caltivable et tient au nord 4 la prenièN pait'.e ci-d«asas, d'un bont est à Mélaye (Aitbnr), d’actre bout oneU a Didtiot Gtecgne (Utarles), an sud à LaniUgeois-PneA Mise à prix : 1 0 0 fr. Fait et rédigé pajr l’avoné ponrsnivant sonuigié, A Senlis, le 16 JaQietltOA ^ Signé : SAOUR-BEUTE. S’adresser p o u r lei m seip n em é n fe ; 1‘ A M' SAOilE-BEBYl, avoué à Siniis, ponrseivant ia vdiie; r A M. BADDSLOQDB. cevmisgrelB.r dulribm sl <i'ii de Sentis; 3- Et 4 M' DÉSABIE, detaire à Crel!, dépeMttlre dn cMiisr de» cbugas. (Signé) A. 8AINTE-BK0TE. AIT. 2. Soivant acte sons seings ptidis, enngiatré. M. Moolv, bouangif, damenrant an Hesail-Saint-Omia (OlR-). a vénda 4 M” GibrieQe-Jd-UenacGrlfflQnia AnvBBi.>pcaiB «e. M. AUred Cabon, garçon boalasger, demenrint an ücsnil S’iet Dante, te fond» de eoæmerae de BmHanfert* quii «xoloitait an dit Eia, nant piix «t eondlBw» MteScAaK dit llftll.' ”^ Le» oppcsWonsbeiwM' rsçïeitem- ^ doittlcile onvendent-'r-. « f» êt Adviît, tsmmê Cabon, Mg M e i ^ *iW - ■ ■ ...00000- m II irày.#à-idewriel^' l.H- “ d a .r de fïtJ lr, ^* m .- : A '''E n m e r ' ’ 4 è êéU ë j BMaAX-' BdmOnd iÉBRY Hawl OAIWWfüflieaMar. ’Jj'MtaîstiWs 'nlffîiêtaU'irïimtif ISC-:--.AÜSMUS ^ a d r ^ fo M k trm ritm m m t* f aaaadafe ÿ atttaaBt^moârd'dailaii;' 1*▲H’* sADm-iiinrB « im  D E U X M A IS O N S (tttt m üiM i'sonsG r-sim -aB ^ a ^ » fr. ^ La P . 60 eanfc lÜÔD, aasads ü Sioiis ; B m o x À vbFM findttm w it J M m V in KAt-ltuddBg. î s t a ^ (frtaM). lÿto à Ttaûs, eoranns' da M ty, «a i^aiB rapport; , r K iir p m r .B ta ir a iB iiiM il ■ m A v en d r e par adindisaiim todtatadra da caUar das eha^as. I « à a lien !• Tumalm ptoatd dataMiw, tontahè, à Muy, a h iaairia da 40*.AinBB :îM M .A « ù t t 9 0 A , \ wnunina, la Dimandia 17| küiidad PCKDB RIS. ^ WÊüâi ê L ^ u i, A Cèdér de SùiSe aatta AiUat .1801, i nna banrA par lal Énida da M ‘ £M n te-B aaT «,|saatoad aP (^ r 8 AnTE'IUXSIia, ’MImeadmüUetralieh B i r«ifiM*i t a enéH'ta SiiiMBd ponreanudaddcA Blntoièfa da X* Farry. notaira. arood à Swlis. que le lonBSAL n u Dixoisillxs sur la' icmta aationala dyil 4« lwlh: if ii t au Palais da daParU ALilla, laitiaa dt ladiU Tita raa «a la Btnda da X* Raa FEm, netafra VENTE SUR UCITATION i CipxinilU da la Ftat d’Htlalia. i Baran:(OiM0>^ O r d in a ir e s , d e p u is 5 le c e n t. T in a & lj^pielB|ra m : r , S*adrâtiar : poar âUtar, i Una M àldon avèë^aMln, à E rta TODBliAL DBS FBÎilBS FILLBS Car tàlta da la tn n ta è it tinu*é»puù;tgt4i.'~ Iflaniü, da Fleaniias; atpearlas raaA fe r m o ir , — dritiia t a s aft 6 n f * da .SitaadI nwvilto (OlM), à ven d ra par adr: [ntataSBU i lI*^aDeataps. 6 il S’adrassar i ir* iw ns AlLABl, indicatia velontaira, la Danandia lUnstrd da800 nàvnru anviratt dans atrftia taiBa, la aàitfjalUat Bril a ta I l, raa da Baatda-Tlilaaart, SaallT. NUniUat la taxia. 1804, i danx banru ptda t a t a t a f anragiiuaa at dda«aié*| __________ V 768 aisfo, à ErmanonviUa, a la salla e oo itea ta ta tiia lo i: SiM A 8 E N U 8 , A4I, r n e D ren o t, A V B Z > rx > i% s ; Xairia, |a xaintotira da ronta da Coavüiaa, ■* 18, H . XieTier, da a iu t a t, ia- la l l à landoUa da lL 'Jiafclfaria-l X’ B a n d ^par a. — »i«a oa Paris....................... 7fr. 8BBBB (orma 1* public q»’U m» r é M a d I t a i Ribaiiiiar, prtaMUira-etat*! PROPRE A L'INDIfOTRIE . Saina.... sfr. pau Aea dettea qae peut mitai^ dtiataraMi Osy, etauaiiaal Bdeartamuts sfr. ow atracfar M faaam% F la r â d« l" Bhoix. MRMBéTtiM da SeiMar-sar^ian. D dapoatala...... iiir . " n t a ^ f t a la i qalttd la dtaisUa -•'•■-tan ^ffadraaaar 1 H 800i»AIU>,(diHn osftjagal. 8 U Aladaon' avao 'ilapdin, AXont-IRavoigratattd'maaiaeroaptaiman. C o m p a g n i e d ’A S g n r a n c e a a n r l a V r i a AytapaaiaraiidOMiliuidJI'fiL. , pigMUiSta i Goattax. 758 logtten(OiMj, A v en d re par adt a Ita , damoraat à Stais; lierai da 8 8 atM 741 aanbarw, BtRIllB SX I t M Saiat-PMoal dirita avadla £Oda da M- MULLOn^l, notàira i!4tau!lt^9Ôiî'î^\,x‘• b £ ^ ^ Tarrairda SKNLI8. A c e a e e d u T a lo io . fllMflp Ü -liftBVnOT^n fQ in /ounuU m# Demot^ r x b lA ffitto 17, Bt ïB i P i i i B t w m , 1 , r iR is . l a prdmea on mB' Alfslie iOim;. danitoa lu Mors da SaisPLuani l ^ i l e r p t ^ m i S a n ^ y.jwtaawiutaminantdoandiapiaya. p ilftit: utanotoadanssai prts l’anetan Fanr à ClUBx: à Liouèr de euite RanoFatü, notaira. 1* HTBanii Aadata, :e^idttira, io n u M ■ w lii oU in, mU n , i loM b i OiindCA6IiBD,ili)ritiiil(0iM} L’édneatien da là paüta filto par la (T«8t a ; ’ S* . poar antrar an Joniaunoa sprii là ponpia, taUa; aat la paasda da oatta . (laiéptioDa n* 9.) Btnda e x* LQiaou, notaira tdcoital904. r Kir. 6 aaf(07, ^Kidtalras, dapnblimtion, Vivamant appricida t a U lü E ’PitO PR im à taey-snr*OlM. luannttàOsp: A « M «r : Itamiltos : penr tu prix du pins'mo- G M M M iM U D iK I^ IP M rM T M in R Itl TMTEttEltiTUTMit r H. I t a s BapjagaaB, prepriéB ella e R é c o lte s an Avoine,' 'iraÿ tronvamamts r a A 8SD R A M C W D O T A U n H6taKRa«tanra« (ailla da rôiw). talra,aMiiBtta a'WF; . ntuu, at l’aniat t a [4 5 0 f r . d e R e n t e 3 7 « — C«U aTMaania(AisMi.— labac- dans JM canton d> CBXSJEi (Oiaa). sisa» tatrolr* da Yniars-sona-8aintattadbaita, instmstiVH, t a Un, Saitu-Lafrd’Bsiaratit, Craneiay 4* ir. H<HMrta Sappinaan, praBeaux BAdmants. ’ Boaatta. — Tiu Sutaoraïu. — RbbNm vimgéreÉ iaxtaédiaNB* «USiries. iwr e s tâ t Frtmçaü; toqonra aavunx, t a pridialra i Osp; FlBS-TafeM-Epioarla. — Chanata- Coàtaaanêis : 160 ta ta m da at Biaineonri, A ven d ra par adjn* aotlens aata da tou a u patita travaux tatUon pnbbqna at voiatalra, à, , . ^ ---------------V m a’ Adjadiaawifa» aafaacMtto; ilM. — Boacliatiu. — Fnutaiia. — Tenu labonrabias, t a n t a ÿèou, fiUan-aona-Saint-Lan. an la saltoltales fammudoivant eonattia, at ACHATS i)E NÜES-PROraiÉTÉS ET USüPRCns nota' (ailla Imptaasta da l’taai.— BailaGnitora. ' H’ayaat p u flMstitad aasad;da la aaairia. la Diaunoba 17 Tnillat I‘“ Unaii, grisa i nos modXu at t 5*11. NiaaUi Baouard. cbtoipi-| lUISOii D’HlBlIlTilMIl Ipieiriaa da aboix. — Baois. — b TaiiË et renseigneaieiKts g n tx iti ehez K. S'adrasiar à X. 'LàFOIirAin, rd- 1804,A danx banru da catovda, pari "0* patrons, lu fUlattu s’initiant gaouMa, daa w aat à la Fanaada 8 m à TILbEBS-ADX-ËBABU8 . titalM da Cbarpanta at Jlùiiiaaria. liaMiirijda S.mtaa da JUio, ai|i la mlnistàra da X- Lombois, notatfa. Htaqna sans s’a dontar. r^AMitf da Cenatntamu taeaailaliie-Aaiia,oaiM«aia da CtaTtaaxJ canton da aotaoil H . MAHON, r A SE N m "Btra^iMda Conaartara- H >muoiTÉE, xotairali «alto. AptapeÛsÛTl îaTâiM at ta o tl Oboqua «cnttaon rs^erMa m outra; . (Samiu). 881 Btada da H* DBERBB, - BoalanHUBf AWUS ~ I I --- Au i — itaafa. \ * » * in p n m ife tU tM ie tte F m . kdiill'Lairpsiirataid; Çatannagu oïdorièa — Hgniiau bntosiar a.Pont-8ainia-Maxanaa. 8 r dadaMAana-Cledlte «««««H I t ’adjudièatlon aataaan,aaTolrrpoBrij»« P . ,Décora da tbéàtra — lutt<>Upraiala»iot»,laM«rdl|«raBdolMlxd’aiilraa FomIs . 7« V i ï N b R C Q bceta x ; J o a té r le l d e c n ltn r e atl, à dtanpar— Fatras ponr prapéa - I C i l U l l C sa« oa artc Bnmr| JoU le* 19041, d daWI Maimin, atdirant at acinaUainattt à Raoeltes, d v en d r e a u an-ISarpriauda tanta snta — Xnalna C harreM e « n g la la e. h m m da ratapSa, à Sands, m SibU-Laiid'KjaïraBt, Taâta da M. «baru pabiiqnu, pu siuta da eas>f A v e n d i s d ’o c c a s i o n S'adraisar cbts Bma TBtLir, 8, la CfMoibpa Bas. Natalras, Alpbaaaa-Bogiaa-AfauBd Rananx; oïtz HS. HAUNGRS, salliar, rna da la FOntaina-er-Aj^u, a aaïuadaeaUars, i u Bna du Bois, ! Envoyer un mandat de posta plaoa «la la Oatliédpaia, par . à tordre dm Bireettur. T «alasa âana-MIthiUa «ois* S ialis. . ' 888 coHunana na ^araani, u donlalla I piaoa H auiir, adanlit, la mlnlstèré Oa M* MTIT, nada .M. Alargat, la Dmansba 171 sud,dpo****Mitéiat aniaiiida da à aaniiti Miaati a e<i ont été créés Tniliat 18u4, a daéx banru aa rala-j X . Aiazaata-Tosapb Qoinapta, alat;tt pour la quàttièau ICI, TU, par la nunisiira da X* Dbarba. I abaaipfgaoBniiti^ stsolaqnat aUa dapar la Harqne Nationale IT AUTRES la IH mwnohe 8 A d o illa s hnissiar. ' luara a Üunrllto, at aa oartar tant 1 9 0 « , d «eualMNFSt.da raii- B o n z i e s S e l l e s aai s a nam patMnnal an tant qia da n m iiA i «M, « a la liaiaan oannauna JMsaitt qaa p a r aisistar at amerisar D'Hoxan ar'Di dîme S’adraHat i tou eanx qui, anx da viliaiw-dux-nPdbiM, par N t M k B É B lB X n li B t l ' fiio ffa d a la JustiOB de Paix] banru MB épOBMr da loisir, après lu travaux da la mtaiMAra da M- 811111% A -v en d r e o n A l o u e r M POXT-SamTB-lUZIHCB 8* Xadama Xaiia-Add’a ite Bons-L pdlalpa â 8opouU (tu a w a), la jonméa, oharaant i. s’instruira 8 M « a 8 fc lB B a e 3 modélés visant et répondaatà un besoin ■nard. dpoiMa da M. aiba?t-lUdaiiel aoBUals à est affat. VOllDIES B£ lAUOE T e n te M o h illè r e , anx u - t Mdistrafra,iu Leetuna pour 2btti, b u ta «8 d t a s t a dp i w » cbi.M différest. IxTdida, antcta«>aardaaiiirprafM, pnbbqius, par sait* d. dàcit,, qupiibba la Librairie Bacbatta at C*, H a rn a is, S slld s at Bridas. an a laquai aUadaaHara a Gluttdil}, tadreiser peur Isa m aa ta w w iti, - Voibtfie, rue dn Xa»hé, a la sonttoraaall la ptos enrayant ' nst alMdaralar tant a son nom paroù' u i décédu X~ vanvai *** cunosité a Consaavie&naire : H . B o im o t t e - T llle f » r d ,l6 . si. Haui-n KMdu da 8* DELAUNAY, notaire mairon jon al M tant qna da basoin q a A 8 ’ SAiNn.BEyVB;aTCné i j éSÏN U S. ' « “ «I, Xuiar Baauigiiièrai, la djnatha jtlpnblic. Châqne numéro dn Laeturu S38 iSenlis (Olsaj ; poar assistir at antsisar tw SpogM; I Sadlis, peaisamun 1» Twta ; Il a dté paidn, C h ien 8da 8* DAUBER, jidliail8U4, a iinebanrseid.niade loua oBra nna vanéta da sunotaira i Lenlma S etter^ fio rd o n noiP r4iavée,par la mliusiarace x-Po-lil^* ■***‘* tomours atta8;itrdana«^itaa-TietoflnaBta-i r AX“ KSCATT,M0RABDat8A• (Saine-atiOiu). at;fau, t4iNiBdaniattnoin tanoiar, gnfflw de la josJu da paix] < *«»•* PbwrjMqu. Anssl e-ut la ?*^^•®“S i î A>^ » .*»t a -Arsàial taby, aTonds i Saïuls, pmants i U du canton d. PoBi.g.iiia.u.T «.ff^ tavu ibutraa la plu popnlaira at Baa«a,ataeiaqaat ada duaeuaifTanta : >r* i (M«rue. Fiièia da ta tanaaar ebiZ A V iB N D F lB la Farna da SaiMta-Aasa, eitarantf ■s a ImmanMsdooès va toqoors erolsM. Wallon, à BoarMUii. U« par adjndlsattôn vbiouiaira, aat. tt aotsaltomat à Paiis, 86, rua La r A H* n m , notalré 1 SmUs, C lm i*roniut8 6 a n to n n R enren. Xarois, a(X . Kinaàx,taatâ sm| at à M* XABIBit. noialrè à Meraaii, U Dimanehe S4 Juillet iPOi, AbonnamantJ En u : Paris, 6 fr. î m m m ET O F T i ^ I Stpartamants, S ïta n T a tiiî^ îiïa t a t a “ * •>« àwMhmmtegrtt-miài, 7 fr. Etranger, 8 fr. — pour auistar MamotlsaraonépoaN;!***' I cwbMU. A OBBT-LA-riLLB Som -cette. rubrique, noue inigro&t' Leir,60( 4’ B à X* nELADKAT, notaiia i | i i u iitrw, aoua, m it i niauaa ai Btfndans: SaUa d'Eeoia du Gargona, lu d—andet «t offiMS demi te bonttaos, tofS, franco roin gara- Parw lala miniatèra u u u Ayant X‘Saiata>Bina pour a*aad;| Sialis. e X'DnLuntAT, — S’adraaaar: Bigiaaaar Donaina b i Miniiale g an an latonlle notaira i Saniis, «oniln.d-raat près Anbals (dard). n saïa^eddA la 8apdi Muf m AoOl mil Baal oanf qmtpa, A nüal junda e X* OKLAUNAT, notaira e n S S S e S U S S T im S S S S ï at dami, à l'aaaiuea du '«iéu dn , aSaalis. BU SSA N G Zribnnai clTil da Sinds, t la rata at iBtnda da X' FEIII, notaira à Sanlia, adladloattbn.anxaannèfupabiÿiat, A la O U K R iTosi^). t a ininsabiM ci-apièi daugné* sof e t DApdnddiiMs, '■am & R i ta I hsndMiipiixsniTatasconpuaatl avio jardin da 600 à M io u e r d e e u i t e t Lu analysu faitu à la Faculté da Sis à HONTGRiÉSlN, da prix da la pramièrè ad udioàtlonl.^^** eiritou, écutU at rtnisa, i .P o e te s A T eléxrsm b ee. médaclna de Paris as^ncnt à l'E a conunnnad’Oiryqa-Vlda; 'Maiis, roniaoiCampUgna, n*U tar. 1' En totaütf en an paitla, nna moulant da la anrannbèra : jinaldon bourgreolsej sitaéa ____ ..^ ra g parmi t a r On damada, .an. B m un u da| Ban, Clti at Caenflra. 1* uns |ma oa Yiilavatt, la, a aaniia. P Bladson, avac Jardin, daaria, D É ra eiV A T IO Ill f ï ï S ï i S l S S L W T i î ? T ' ï ïïr .S ; raaüsa al dapiiuancai, à Sanbs, raa S* Bna antra inaüdoia b on r- W m rH A B IT A T IO D K eolse,m a da la Fonlailtanaj 8 dn Cbâtal, n'SA Ban te la aida. B fIS B S A p a i x [atauis. 761 C o c h e r , mahé. contais-1‘"‘‘^nu néptarétiqnu, la gravaUe, 8’ M adooa i SaalU,na drla HOntagua, n* 3. saut servies in.e.ûnr, on pan da jar-li* ^ Premier Lot A XORIGRBSIM A C é d e r d e o u it e Dix ans anairon dapr<, sis tarroirl 4* P r o p r ié té i SaaUi, ma da 3- nv J iî t ' ! * = c o ' T e t |.r r r i.i t r r i ^ l. supénorito d e m . 5 , m ie d o P a r is , & Ç ^ P Y - Œ N - V A L O I S . daDomacy4nr.Uica, uaa 8 t laCralia Bapub^qw, n‘ 6, aaac pavillon I 6 0 iwot. 3 2 ares 0 8 oenb d é e i r e p l a c e s i a e a n i p a g n a . t o a t é l ' ' * d i g a s h v u a , da U Fanna, tanant d’on i6té SAot Iraa aa u Iiuoatla, jardla, i.u n m.a. | Usine : Avanne de Paris (prés dn la garn). l'annév. I c’ut qn* w manguésa, un alémai PS (AmbralM), d’antté cOm llioaptca dalBin. Ëaiorifara gin lassanual du sang, y figura dau des 8’adr. an borsan dn jturaal. i 6* P r o p r ié té i Saniû, i l’angla I arreo qnauitlté d e b e ie Iproporttou plus foitas que dau On tronva to8on?s du Rouan tontes (abu ans s^asnres. les pins coiniWi bout Àwuin (Henri). I dt la ra* Ma isiou tt <!• m riu Saoni*ar M . B O C F F R ll B R l-n’impotta qnaua un nunaraïa. Da la ainsi que du Volluros et 1|embM*aHX de .bma. 'utué prto da CuirnuT. En Si Pareeilee, Mise à prix : 42 fra |6UtM» eeaiitfcntas : maison a’nabidem sw de nn c p p ren tt épl>lsaacbonsMMM. BrouotlMidanis |L4 fr. 1a Ùèaa. 7i . | .L’E u de Bunang u t an^loyéa g’ad. an bnraa du joumsL 618 Aux tarroirs-d'ORRY- La-TILLE, c le v . D ûoxièm Lot. I “1 * ^ “ I „ ^-Ijatdinaioépandakoas.Banalgu. . -_ . ^ luauna unie un oa tabla pér bunPONTARVË C sm b o isp lén m ponr lu eonuijvatien t a bois destiBés i élis Nanf arwwTnoads tatra, aiinOsr ». „ * ... it a F e r e o n n a habitat 8a-1 coup da docteurs at par tontu lu «LA CHAFBUbB-XN-SXRTAL. m isà l’hnBidité. mena tariita, lian h t 1ObuaBoicbon, | „ I URp %i MOiIaat OIM tem ié I nBgxftnaAt ftOQUSQAM û% IMUT A V E X D R E S taantd'oncOit Cooanot lTun-Bip-jA»*®*j“ . d em an d e b esw ec o n Jonr-lnquivaniat m presarvar ta,mat è u sas immanblas dlpsadam da la A l’<ainiable tuta), d’anua s6ii hirtuan Manoon-f** ma a» la Ciepiaa. Baa e la villa. | snccasaion da X. TaUlBami. ta ÿ ^ . . . _|iàdiuepidémiqnu. Elia donna nna nat d'eif 'beu^iM iot (laanBap-l r SBrauadaaippnrteinentp •adr. au Bnrun dn JonmaL 6871saveur agreauia au vin. tisMjatBibulii lFtan{^ia),«i d’antrali Saaba, a .'«agiâ ttas mas Baiiua al Ladéfipnation dttaülée sera adrebout Qanlioyptra. Ida la Bapobbqoa, nonaauanuni at lée t toute personne qui m fera ta* Ou demanda a m éiM xe si >8 fr. 50 la caisM da 25 boutaiiln mari v a le t <sc c h a m b re, faune i*b(*Ta Bossang. S’adresser à l’AdMise b prix: 70 £r. |aoaiwiao.tav^**Btaagta. Baa,'giis 8iM 1 NAliTli:iI{.-LB-HADlH)UIN, ta demande d X* OeUûintp. 8ta TWa des Ans, lat ealonfara. o n leln iérc. ImiuistraLonduSonrcudaBussang, iProisiéme Lot. 737 j è Mancy (Mauitha-«-Xesalls). „ . . . . . I 8* D e u x Bladeons raa S a i n t - léoasiatut m maison d’habitaba Btada da X* DELAUNAY, notaira S’adr. au oihun dn jounal. Manf arasdajarra environ, «Ibéslp lcontort.bla. cotaoaaa da 8 piècu, I L^daBasaangM trouve dent àSanlû'. mêjto larroir, b a dU U Rotha aul“ “ T ^ ^ ^ ^ I v u n b id a . abamb'a ponr nwtanr at On dunuda a achatar, prix I tontu lU b e a u pnannaeiu dn déRenard, tauni d'un cété R«ppanaan,l B^adrsassr, pour atittar at -pour fdinamo. paraïonwarra. A v e n d re pu adjndieation, .. Uottéra, c h ie n d e v a c h e , uèsipartamant. d’Mtra céié bécttitts xanaonbat, i traiter, a X‘DnLaoHST,notmra. I ciz at «laoiricilé dansla piopriété. Ssuus, a ratuda et par lamtoiatara doaila, méa* nn pan figs- o’*ar,^sscr d 'a bout E^iriilars Bernard, d’H ^ I _ „ ^ iK^aoondantat6Umétraa cuba da t S X* Daistmay, la aiardl as JuiUat à X. A. tUARTlER, an P.assis-BdiaATB-Tons JHS ATB-T0U8 ISOé,-'! dtox nauru, m B o le sis villa(Oissj. n S CBBVZ L A T O I L in iS D U I F lE T S an MRoir da Qiaiiat. lUu dll la M iseàp n i: 35fr. F to S a X I ^ ^ S ïjlS Î » * ? ^ ^ rraognvuE t XarslAar. .t a X. TERBYSI, I Baron, da-i . Beeueü de Uodte enfantines, Quatrième Lot. Idanx piècu at eabuiai noir aurtz-J mandaiin h o à b e r c e r . 8J8| u m fs m U aerai, QulMaaru aviron da taira, “ ] S ^ , ehanU, ta«de'voSÏM^laplI4 t, m e D roael» t« > P a r is . •«X CSmoB^grif te K txn Atudb méea larroir, lian dit lat làiuaa, to-|p *ÏJ^ •* ■A*** **|nièrea. MteMM t a C d s in lè r e tgéa da 38 ans,, «tete nonta’we6Alacbtnua,d'aiitracSié|A*V"**‘*<*> ■ ^ tnnt d’an uni tanant. A yandp. par adjudication, _ Hcbat la v e r , c e n d r e e t r^lparis at départamants,m a loaobim (Iau|, d'un naat la ebamin,! Sfeàrttter : pour neiter d X* Dn-1 potagar etos da mnrs. d’aviron Orry-la'Yiiia, a l a saua d tala t a psMser, u ta a da buiuu refé-f UnionpMtaiaiifr. 60. BSigMF ntr flifitkp kf M t loi» at d’antra bout Rappanaan. fS rM Il» * .’ ! H»m -----l iA m t, atpoy^toutadXG mi^ I so, m ^ a lau la ptopiiaté, dau Batgons, is IbmaaMa 81 Joiltot 1804, ABftCM ylltfflUJtMPlMfa I ptypnctatra a « huw. 68i||^pi,{«xtttauseurauaipttitauig- a nna taaua da taiavéa, iiar .la mi* S’adr. an borau dn ionrasl. 8171 Poratssant le 4" de cbagtM mois. 98..7tibX> dl’7Bba£M€R&e Fêcba 8 ebasH très giboyaua. aiaiéta da N* Dataunay, netaira, u a Laoibtar du efaargis, cianau « Gn denunla, dans nna ferma da P r é siu u terroir da t aou* easittou anxqnaïUt sarou adjngés Bade da X* DELAUNAY, notaira Entrée an jobissanu an gré t a pièM avirons, 9 . b o n s «dssu^l Sneogtr un maiedat de peete ’ontarmé. lu .uamaubias cmtassu est dapoaé WpûtA-SlHLIS U r A ï .R O r f V fCoUsnrtafWwr. lamatants. a su iis. ponr ta moUsun. . i t l’ordre du direetur. dbei iU . V i. A lr O L J U I , f 7 'n a e d e b HiUs, an BraEa dn tribasai dvil da S o u , n adr. u bnraadn jounal. 7681bveLgratnit d*u numéro spécima. F a c ilité e d e p a iem en t. Sncer de H. YVOREL, BIhda de XPBXII, notaira S Saniis. où ebacu pant ra pradra annaisA. v & n d r e : aanaa. __ On peuteietter teejeudû et om Oa damada d u o n v riere a l’àU'àslx dimaneaet en s'adressant d la A v e n d r e par adindtoatibn vo> e b a rren s. S’adrassar eu s a . BaBrenda U Confoplabla proprdté. ' tontilra, mariion sim i vidm- om , a U uej. L. Fait « rédigé par l’avoné pourtuito8{ Saint FrambùiAg, a la Brànda-Rue, Tuit souiimnâ. Ponr ransalgasmgts < ’« traiter, avuJardin, n tx at ad aru 81 eantiaras I H A M DE Ü J m m I i’adrauar a X* Xézièra^ notaire a A Salis, la 16 Jaaitt 1834. B eiccea Nîermsata férrei, an terroir da TiUars-Stsùa-érFUURlKBS (OiUl. Bau(Otaa). 810 dé S.gaé : 6. LOŒ. fraaboiug, la Dmancba 17 Jnlilat Bt anragiatré. 18C4, i 8 baaru, à TiUtrs-SbFramL E f i W J O D filA L Tutu comanu, jarta- d’agré>| A SENLIS : Pour la taiB: benrg,.m la malsa d’éoola. S’adras- n ix bu NDiaino :10 cranias Aoédir ajràsfortus Imant « grtuid potagar piutédar^ S’adresser pour las ransetpnemmts ; - Béeege, phannadss. 'soM aîa» an S 0 ÏB S (S ^ T de M E M  C Œ { aar i X' Petit, notaira a Baba. bru fraibars a plein roport. w r a iB tn a v s as M cm ro ea a tn e ' À'POWT-Sn-StAXKSa < 1* A 8-.B. LOIR, avoué à SinUs, La ton! clos da mnrs, d'iua super* Maison fondé, depuis nn siéde, Admiifistratia « Rédactten : Revenant de^ u w ^ « g g ^ ^ r ' m o i t a . ponrralvutt la-vaata; tu n e par le vudrar fioia da 10.744 mètru. SfÉMB ÙTVBn ' FAB1S, 86, me Ruina, 86, PARIS. I ^i^CIBl.llUIro f 1 DanoT' 3^ « finuot. ‘ depuis 85 a u . 9* AX'SAINIB-BEDYE, avoué i A K tti^pÉBWK; Shtos* Saniis,, prfeMnt à la vanta; - ftjggaTiê_JoonE. -^ A/battr OM»oüar nmtlfw) 00/fi potfi/> A v e n d re par atadieation vo> laSon Joumal parait deux Ma G roè e t DétsdL 8* A X” BALËZBADK. notaiia à u m i u i i i jiDiir e f f l w v r i i B i u m ' i i t s w to i^ a , RRoiieen SrSsnlis, ma da, : dabSaàaiTrBziRlBU* ar samOsa, la jcodiu. la diminah», laiantiily, DaLAURAY, notoire i têoinmiE de m m d j u m E s e a m n tttte ninaoi^ - BtimsT • TiilivMt, n -i, u Xardt,3 Août 1904, jtaqnonuméro a« illustré d’nna gra-1 8anUs,«R00tlER, notaira àTézilay E P H R ^ ilM U "cr. ôQntaBDtoir, FivMitaHNtani}.^ CUO.T. diux banru, i Sanlis, a l’éindc varo a .téta at dC^dusins dans la A Acéaea» aie tacite ---------(Yanu). iiaX*Fatii,notiira. mtc, exécbtés par nu- maUtonn isMizxtaeiiâeeataniiru artieiu TailTBS É F ÎŒ IS ^ Ponrinsarttox: COE7R A J A tiD I N tfdlttSa M. C ta (ta ,B ’astjétns dtaritaire d . Btm; J ta t a ba .ânfrdfiigoiic. ^ 838 agné:6.L0IR. Àffairet proutiee, LoBm JoupiMt ne publie q uota Btnda da X* FltllZON, notaire EAU ET GAZ romans que tout la mode peut lire;! à Stais. ednei que Btné/leet nete. e^a« lejonnial de la xuiiia par 4 , IxipARM S a ln M le e la s . 1 La malsa u t saule dSn u chaf- A Im ia « e ll e T illa (coitraaS’adrassar ; i X. CSIARtElOIBR. !ta da canton de l’arrodissemant S a da styu nwdaiM}, t Seadis,; M éim gfviMitei à tout aoartl Btnda d a .r 8AUZB-BBVTB, on a X- DBLAOMAI. notaira, w é | £ ' avonéteanlis. rontcda Qépy, n* T. Vue très éta»« .ateautement oa teotrttouTtflMUBtl (Aiaaj. I X-* HABDY, l é . Fanbonig Samir^p • mporta66inètru dabgidé dna. Ban, «Baz, CalaMèta. BenrUAfe pQV agf «” 4* . . . ' " - a O t o t a — Paris, dtartcmr le milia da la plau; Mda gru- Raaaiu. Brabd Jardin piûto . Algéna « Tunisie : six aois, | VENTE SUR UCrrATK)N|**«“ -loyer onuaL660 fr. *” t a Mvu parsauiat la eomnisna bru at aibiMts,'S’jtdruser t IP RtümRs MfRMS, DEdÉ9M8t Iffml»)> le p r ^ .n a t îraBAB PPB nn : 1* tmn 8X'.;nnan,16tr. de Wlne'em c r o c , qui tait làit, Fébzon, nètsira. n^^^tei» : «x meisi 10 fr.: CoiùBervatlon indéMalé - P rix de revlèmt : O Ir. RM IB Utre d’ailleurs, par.ua piadétasaurs. A AOUER Btada da X* QUENliEtl, notaire On s’abonna sans frais d»»« tons M M lhÿM» | A W aadire o n b L io n er ACtanbiytOisSi. Sitnée A fiOZC^RES, I préfiurU tenou ftpd««s.tete-#eêReWbte,^wett les bnrunxda peste. GSrmilts faeiStitdepaiéatiet. rne dn Ldto. P E T IT E Q I ÎS eN .. Tente'en'groe r X-. «ITOttailIBitfttaé A vdRSlp. ou é i«M P i l’amla-< -8* n 8 Ponr tons rettsaignemaats,s’adrM- bla, 'une àtaiaofi av«e ta ta a i DEMANDEZ PARTOUT “ EXTRAIT ■OIIWT”'tr-a:'ta.-toriaeea. ------------. dn. Paan. _ b. lia àGhauJny, rna da Psiisi n- ffl E V A S IJ B A-TACHEMl s *^H£%.!^sar àX.«RDLE. 8, plaw Nsirm^teridap i à IL ^ B i n , 7, r a da la Nnd^cidpy-ea-Talois, S i i X . VAMBn à «drvMMmAmitaW* *~*— tav— 8;iWÙlME«» i Ot w*a pas assu da^db»,qiu ‘“ 'c M s fw ta M r 716 alsA a a é U y , neU*! rMdXtX8. DÉCÈS P E T IT E Ê P IiE R IE L1 POUPEE MODELE . Cî«.a3BI. lU IE PIEE£8E:TESB £| :''ii H im ilS DE CABBIOLEI WEÜX n s « O tai - mur e O ai déUv l’pbjett lita i ' mnfisvd PUpei à Mgf^ n’àbsL soeii dqt *BtaUv( le'taxi p» oifptnif ktauMil expédit poniTon^ atms Tufr Mut e’s. buioindd polhiqn doBf qn tixnpar| tnt utdr’ m^mai •triaanU évèl}BMI diqnu fiùre I croit ntili d a dive qnpnti èvÀquea,s ponmrqu LECTURE FOUR TODS VIN MEDAUC, 3 9 % a piropos^ STuiaH-r oellMdeB ministéreil tion. Il I M oD i ie le it ^ s in ruit,i CdUe-el I Agiçittdip gonrerne nnMci Atut frac le&it,leq| docrob E. DIEUX Terres, Prés et Bois lU fA ‘ i être très 1 IL.Coinb mont ( tauMdn ministrmd ■oatenn, qnclba T deùxteé cordnt.H poôrj •tdial eonteater,^ eoiiaelei datnoirl üi Técitublel Lcpwnon è tri? •w listtresi (ig ’i; m e m i Le I M A IS O N Itaqnafrmfiénda tollftPitaPN tir ' jtîr«P''^v ■,'V*"*' ' b; die '