jon favreau robert downey jr sortie le 28 avril 2010

PARAMOUNT PICTURES et MARVEL ENTERTAINMENT
présentent
Une production
MARVEL STUDIOS
Un film de
JON FAVREAU
ROBERT DOWNEY JR
GWYNETH PALTROW
DON CHEADLE SCARLETT JOHANSSON SAM ROCKWELL
et SAMUEL L. JACKSON dans le rôle de Nick Fury.
MICKEY ROURKE
Producteurs éxécutifs
LOUIS D’ESPOSITO - DENIS L. STEWART - JON FAVREAU
SUSAN DOWNEY - ALAN FINE - STAN LEE - DAVID MAISEL
Produit par KEVIN FEIGE
Scénario de JUSTIN THEROUX
Réalisé par JON FAVREAU
SORTIE LE 28 AVRIL 2010
Durée : 2h08
www.ironman2.fr
Photos disponible sur
www.image.net
Distribué par
PARAMOUNT PICTURES FRANCE
www.paramountpictures.fr
DISTRIBUTION
Paramount Pictures France
1 rue Meyerbeer
75009 Paris
Tél. : 01 40 07 38 38
PRESSE
Muriel Kintziger
Caroline Martin
Tél. : 01 40 07 38 57 / 58
[email protected]
SYNOPSIS
Le monde entier sait que l’inventeur milliardaire Tony Stark et le super-héros Iron Man ne
font qu’un. Malgré la pression du gouvernement,
de la presse et du public pour qu’il partage sa technologie avec l’armée, Tony n’est pas disposé à di-
vulguer les secrets de son armure, redoutant que
l’information atterrisse dans de mauvaises mains.
Avec Pepper Potts et James «Rhodey» Rhodes à
ses côtés, Tony va forger de nouvelles alliances et
affronter de nouvelles forces toutes-puissantes...
NOTES DE PRODUCTION
Iron Man a fait sa première apparition en avril 1963,
dans un fascicule de Tales of Suspenses. Après des années
de succès, ce héros fétiche des Marvel Comics explose à
l’écran le 2 mai 2008 : lors de son premier week-end, IRON
MAN rapporte 98, 6 millions de dollars. Il engrangera plus
de 572 millions sur le marché mondial après avoir séduit les
critiques autant que le public, et décroché de nombreux prix
et distinctions, dont deux citations à l’Oscar. De l’écrit au cinéma, Iron Man est devenu une icône de la culture «mainstream».
«Nous entendons rester fidèles à nos héros», déclare
Kevin Feige, président des Studios Marvel et producteur
d’IRON MAN 2, «mais nous ne craignons pas de prendre certains risques avec eux. Nos histoires et nos personnages sont
tellement forts que nous pouvons nous le permettre. Faire
d’un playboy milliardaire un superhéros, un sauveur de la
planète et du genre humain, n’était pas dans l’air du temps
en 1962, et ne correspondait pas plus aux attentes du public
actuel. Il a fallu prendre en compte ces facteurs, et les réactions des fans au film et à son héros nous ont comblés.»
«J’avais envie de créer un superhéros hors-norme», explique Stan Lee, «père» d’Iron Man et producteur exécutif
du film. «Tony Stark est un personnage glamour, viril, qui
jouit d’un immense succès, mais a aussi un côté fragile. Aucun de mes héros de comics n’a jamais eu un tel impact auprès
de nos lectrices. Les femmes ont réagi à Tony Stark comme les
spectatrices d’aujourd’hui face à l’interprétation si sensible, si
nuancée, de Robert Downey, Jr. Les gens de tous âges ont apprécié l’humanité du personnage.»
Kevin Feige :
«Le plus beau compliment nous a été adressé par des personnes qui ne sont généralement pas réceptives à ce genre de
film : «Je vais rarement voir les adaptations de comics, mais
j’ai adoré IRON MAN», nous disaient-elles. Tous les personnages populaires de l’univers Marvel ont vocation à devenir
des héros de cinéma et d’inspirer des franchises. À nous de
leur assurer une transition harmonieuse. Nous sommes ravis
du succès d’IRON MAN. Il montre que nous avons su rendre ce
personnage intéressant en toutes circonstances, et charismatique de bout en bout grâce au travail de Robert Downey, Jr. et
du réalisateur Jon Favreau.»
Ce succès mondial fut une surprise pour tous les créateurs et interprètes du premier film.
Jon Favreau :
«Nous avons eu quelques pressentiments durant la tournée promotionnelle et au vu des réactions critiques. Mais c’est
seulement au cours du premier week-end, en faisant le tour
des salles, que nous avons mesuré l’ampleur du phénomène.
C’était extrêmement gratifiant de voir Robert s’imposer dans
un rôle aussi inattendu et en ressortir plus grand acteur que
jamais. C’est une vraie «success story», étrangement parallèle
à celle de Tony Stark. Lorsque l’art et la vie se rejoignent ainsi,
le résultat tient parfois du prodige.»
Gwyneth Paltrow :
«J’avais décidé de faire IRON MAN parce que j’ai toujours
voulu travailler avec Robert et que j’adore Jon Favreau. Ce
tournage a été une expérience merveilleuse. Le résultat, les
réactions du public et des fans m’ont d’autant plus emballée
que je tourne rarement dans de grands films d’action.»
Robert Downey, Jr. :
«Je pense que c’est la tonalité du film qui a plu. Les gens
ont senti que nous prenions le sujet au sérieux… sans nous
prendre nous-mêmes trop au sérieux. À l’époque des premiers
essais, je sentais déjà qu’il me faudrait mettre l’accent sur le
stoïcisme et la bravoure de Tony, mais sans négliger pour autant la dimension humoristique.»
PRÉLUDE
POUR UNE SUITE
Jon Favreau :
«Nous n’avions pas planifié cette suite durant le tournage
du premier film, mais nous savions qu’il y en aurait une en
cas de succès. Le problème avec IRON MAN 2 était de rester
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fidèle à ce que les gens avaient apprécié tout en élevant encore le niveau général. Ce n’est pas évident, car si vous compliquez trop les choses, vous tombez dans la lourdeur, mais
si vous ne faites rien de plus que la première fois, cela sentira
le réchauffé.»
Kevin Feige :
«Cela fait maintenant près de quatre ans que nous coopérons avec Jon, que nous réfléchissons ensemble à l’univers
d’IRON MAN. Nous avons noué une relation intuitive très
forte et sommes d’emblée sur la même longueur d’onde. Jon a
fait un travail prodigieux sur le premier film. C’est lui qui en
a défini la tonalité, la texture et l’humour, nous traçant du
même coup la voie. Tony est devenu ce qu’il est grâce à Jon et
à Robert : un superhéros qui ne se contente pas de bomber le
torse, mais qui est à la fois malicieux, cynique et mû par un
indéfectible optimisme.»
Jeremy Latham (Coproducteur) :
«Le ton a été un élément clé de la réussite du film. Il était
original, drôle, piquant, il ne versait jamais dans la mélancolie, il n’était pas «cartoon» et pas trop politique non plus. Il
fallait impérativement le préserver.»
Kevin Feige :
«Une fois que vous avez su créer un ton et mettre en place
un personnage qui a les faveurs du public, vous êtes pratiquement libre de raconter n’importe quelle histoire.»
Le développement d’IRON MAN 2 débuta avant que ne
soit écrite une seule ligne de scénario.
Jon Favreau :
«Cela a commencé par des réunions avec Robert, Kevin,
Jeremy et d’autres, où nous avons discuté l’évolution du personnage, la progression de l’histoire, etc. Il en est sorti une
structure de base, une ligne narrative et quelques scènes à
grand spectacle. C’est ensuite que l’écriture proprement dite
a démarré.»
Les producteurs choisirent comme scénariste Justin
Theroux, fan de longue date du personnage et coscénariste
de la comédie à succès TONNERRE SOUS LES TROPIQUES,
qui valut récemment à Downey une nomination à l’Oscar.
Justin Theroux :
«Ma principale motivation était de travailler à nouveau
avec Robert, qui a une approche globale, très organique, de ses
personnages et détecte immédiatement toute fausse note dans
un scénario.»
Robert Downey, Jr. :
«Justin est un artiste doublé d’un érudit. J’aime son langage, son humour, sa vision des choses. Après TONNERRE
SOUS LES TROPIQUES, j’ai su qu’il était l’homme de la situation. Par chance, tout le monde partageait ce point de vue.»
Les auteurs disposaient de plus de 600 histoires d’Iron
Man publiées par Marvel durant les 42 dernières années.
Jon Favreau :
«Je m’intéresse moins aux péripéties de l’intrigue qu’à
l’évolution d’un personnage, aux défis qu’il relève, aux changements qui s’opèrent en lui. Tony Stark doit affronter ici des
challenges qui sont à la fois proches et différents de ceux du
premier film.»
Kevin Feige :
«Un personnage aussi riche que Tony Stark vous donne envie d’explorer son cheminement et ses tribulations. Son aveu
final dans IRON MAN était totalement inhabituel pour un superhéros. C’était un clin d’œil au public, un rebondissement
annonciateur de nouveaux conflits, de nouvelles tensions que
nous avions envie d’illustrer. En se dévoilant, Tony nous donnait cette liberté et ouvrait la voie à un nouvel épisode.»
Jeremy Latcham :
«Durant le développement du premier film, nous avions
évoqué quantité de nos épisodes et personnages favoris de
l’immense saga Iron Man de chez Marvel. Nous avions alors
choisi de les garder en réserve car il fallait en premier lieu familiariser le spectateur avec cet univers. Nous disposions donc
de toutes sortes d’éléments que Justin a brillamment intégrés à
son scénario tout en sauvegardant sa tonalité.»
Justin Theroux :
«La première chose était d’établir une transition avec la fin
du premier film. Qu’a fait Tony dans l’intervalle ? Comment
les gens ont-ils réagi ? Que peut-il bien se passer lorsqu’un
homme aussi riche, doté du pouvoir changer le monde, annonce qu’il est Iron Man ? Quels problèmes cela pose-t-il à la
société et à lui-même ?»
Jon Favreau :
«Après en avoir longuement discuté, nous avons convenu
que IRON MAN 2 commencerait six mois après la tumultueuse
conférence de presse de Tony. Durant ce laps de temps, Tony a
fait l’objet d’un énorme battage médiatique et s’est demandé
quoi faire des Stark Industries, maintenant qu’il ne fabrique
plus d’armements. Il était devenu l’homme le plus célèbre
des États-Unis ; le voilà devenu l’homme le plus célèbre du
monde.»
Le succès du premier film a également propulsé à nouveau son interprète au rang de star mondiale.
Jon Favreau :
«Ceux qui ne connaissaient rien au personnage d’Iron
Man ont été attirés par le fait que Robert l’incarnait. Les gens
avaient envie de le revoir dans un projet digne de son talent.
Le matériau et l’acteur étaient faits l’un pour l’autre. Robert
s’est donné à fond, chassant du même coup tous les doutes sur
son sérieux et son engagement professionnel.»
Après deux nouveaux triomphes dans TONNERRE SOUS
LES TROPIQUES et SHERLOCK HOLMES, Downey était plus
qu’heureux de retrouver Tony Stark.
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Jon Favreau :
«Dans l’intervalle, Tony a préservé la paix et la sécurité
du monde. Ses concitoyens lui en savent gré, mais le gouvernement voit encore en lui un électron libre et un risque potentiel.
Cette armure pourrait aisément servir d’arme de destruction
massive aux mains d’un homme qui n’est pas des plus stables.
«C’était donc l’occasion pour notre héros d’attirer sur lui
les regards du monde entier et de susciter un grand élan unitaire autour de sa personne.»
Robert Downey, Jr. :
«Dans le premier film, Tony s’était enfermé dans sa bulle
et demandait à être contrôlé. Dans IRON MAN 2, il s’expose
délibérément au regard de tous pour faire croire que rien n’a
changé. En réalité, beaucoup de choses ont changé, et notre
homme traverse une crise aiguë. Ce qu’il cache aux autres est
ici bien plus significatif que ce qu’il fait au grand jour. Et son
tourment est d’autant plus vif qu’il ne peut le partager avec
Pepper.
«Autre souci : Tony remarque que sa batterie ne va pas tarder à rendre l’âme. Il consacre donc un temps considérable à
chercher une source d’énergie durable. Ses relations avec les
militaires se sont légèrement améliorées. Elles étaient passablement hostiles à la fin du premier film, mais maintenant,
il peut compter sur leur soutien, tant qu’il va dans leur sens.
Rhodey y est sûrement pour quelque chose… mais ses rapports
avec Tony semblent s’être tendus.»
L’excentrique Tony Stark peut heureusement compter
sur la loyauté et les talents de Virginia «Pepper» Potts. Cette
fidèle assistante de direction n’incarne pas seulement la voix
de la raison au sein de son entreprise, mais a aussi un effet
apaisant sur lui. Après des années de bons et loyaux services, elle a été promue PDG des Stark Industries.
Le rôle est tenu, ici encore, par Gwyneth Paltrow.
Gwyneth Paltrow :
«Au début du film, Pepper et Tony sont totalement synchrones et animés de la même énergie. Ils se vannent sans
cesse et s’entendent fort bien, mais Tony n’en reste pas moins
le Boss. Au fil de l’histoire, Pepper accède à nouvelles fonctions : elle devient PDG des Stark Industries, poste pour lequel elle est toute désignée puisqu’elle gère depuis longtemps
les affaires courantes de la société.»
couple. Mais nous avons préféré maintenir encore cette tension qui fonctionnait si bien dans le premier film.»
Nous retrouvons aussi dans IRON MAN 2 l’excellent ami
de Tony, le lieutenant-colonel James «Rhodey» Rhodes. Les
relations des deux hommes se sont toutefois légèrement détériorées depuis le refus de Tony de céder ses précieuses armures aux militaires.
Kevin Feige :
«Rhodey était l’officier de liaison entre l’Armée et les
Stark Industries. L’attitude de Tony lui complique la vie, et
risque de le mettre en délicatesse avec le gouvernement. Par
ailleurs, Rhodey est, avec Pepper, l’une des rares personnes à
pouvoir critiquer ouvertement Tony.»
Le rôle est tenu par Don Cheadle, fan de longue date des
Marvel Comics.
Don Cheadle :
«J’ai toujours aimé leurs personnages, et tout spécialement les X-Men et Iron Man parce qu’ils sont faillibles et doivent livrer de gros efforts pour mener à bien leurs missions et
découvrir leur propre identité. Cette vision de l’homme est
tout sauf manichéenne.
«Dans ce film, Rhodey doit faire face à de lourdes responsabilités car Tony reste un playboy qui ne prend pas toujours
les choses au sérieux. «Maintenant que tu disposes de cette
incroyable technologie, que vas-tu en faire ?», lui demande
souvent Rhodey.»
La promotion de Pepper laisse vacant son poste d’assistante auquel Tony va appointer une nouvelle employée, très
sexy : Natalie Rushman.
Kevin Feige :
«Cette petite lui a «tapé dans l’œil», et il l’a tout de suite
promue. Nous verrons que la présence de Natalie ne doit rien
au hasard lorsqu’elle se muera en… Black Widow.»
Les deux rôles sont tenus par Scarlett Johansson.
Scarlett Johansson :
«J’avais été complètement emballée par le premier film,
son intrigue, son charme incroyable, ses grandes scènes d’action, mais surtout son côté romantique, son humour, son intelligence. Quand j’ai su qu’il y avait peut-être un rôle pour
moi dans IRON MAN 2, je me suis démenée pour l’obtenir.»
Louis D’Esposito (Producteur exécutif) :
«Cette nomination crée cependant une certaine distance
entre eux. Lui se calfeutre dans son atelier pour fabriquer
de nouvelles armures, tandis qu’elle reste dans son bureau
directorial, et se consacre tout entière à ses nouvelles responsabilités.»
Justin Theroux :
«Marvel est actuellement très impatient d’explorer au cinéma un autre de ses univers : les Avengers. Nous avons voulu
poser un premier jalon ici avec le personnage de cette «taupe»
qui va s’immiscer les affaires de Tony, l’aider à se remettre
d’aplomb, etc. Black Widow est le genre de femme qui fait craquer tous les hommes. Scarlett était idéale pour ce rôle.»
Kevin Feige:
«Cette relation est si forte, et chargée de tant d’émotions,
que le spectateur espère qu’ils finiront bien par former un
Scarlett Johansson :
«Elle aurait pu être une tentatrice venue chambouler
l’univers de Tony, mais elle a une autre motivation, qui com-
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pliquera et pimentera encore un peu plus leur relation. Elle
sait à son sujet quelque chose que Pepper ignore, ce qui introduit une dimension supplémentaire dans leurs rapports
et va au-delà de la simple séduction.»
Gwyneth Paltrow :
«C’était une belle idée d’avoir une deuxième protagoniste
féminine parce que cela enrichit la relation de Tony et Pepper et crée entre eux un obstacle de plus. Natalie, cette jeune
bombe, va immédiatement capter l’attention de Tony et dérouter Pepper. C’est une chance d’avoir eu dans ce rôle une
actrice aussi merveilleuse que Scarlett.»
Jon Favreau :
«Scarlett n’avait jamais tourné de film d’action, mais elle
était prête à travailler dur pour assurer toutes ses cascades.
Elle a tenu ses engagements et a consacré de longues heures
aux scènes physiques.»
«Avec elle, je devais partir de zéro», explique le chef
cascadeur Tommy Harper. «Le programme était chargé :
stretching, sprint, kickboxing… J’ai déjà entraîné beaucoup
d’actrices zélées, mais je n’en connais pas de plus consciencieuse que Scarlett.»
Scarlett Johansson :
«Black Widow est formée aux arts martiaux, à la danse,
à la gym. Tout cela en fait une vraie machine de guerre, et
m’a amenée à travailler pendant des heures avec les cascadeurs jusqu’à être parfaitement rodée.»
Tony Stark se heurte dans le film à plusieurs nouveaux
adversaires, dont un mystérieux expert en technologie, le
Russe Ivan Vanko, alias Whiplash.
Louis D’Esposito :
«C’est en parcourant le vaste catalogue des méchants de
chez Marvel que nous l’avons choisi pour sa présence très dynamique et parce qu’il était facile de l’adapter à notre temps
à la technologie de Tony.»
Le rôle est tenu par Mickey Rourke.
Louis D’Esposito :
«Il aimait ce personnage légèrement rétro, inquiétant,
dangereux, au corps tatoué. Les criminels qui nous arrivent de Russie passent pour être plus endurcis que nos
propres malfrats, et Vanko est un spécimen particulièrement féroce.»
Mickey Rourke :
«Pour préparer ce rôle, je me suis rendu en Russie et j’ai
passé quelque temps dans une prison pour comprendre le
fonctionnement de la pègre locale. J’ai étudié la pratique du
tatouage chez les gangsters, qui se font graver sur la peau
l’histoire entière de leur vie.
«J’ai eu du mal à apprendre à parler russe. J’y ai travaillé
avec mon coach trois heures par jour, six jours sur sept rien
que pour assimiler l’équivalent d’un paragraphe.
La décision de Tony d’arrêter la fabrication d’armes
ouvre de nouvelles opportunités à son concurrent, Justin
Hammer, interprété par le très éclectique Sam Rockwell.
Justin Theroux :
«Sam est un acteur fabuleux qui prend un immense plaisir à jouer. Il s’amuse avec la scène, à l’image d’un grand basketteur, qui s’empare de la balle, feinte, la fait rebondir entre
ses jambes et zigzague à travers tout le terrain avant de marquer. Il joue avec l’histoire, avec le personnage de façon très
savoureuse, il en extrait toute la substance, et il est toujours
amusant à observer, même dans un rôle de méchant.»
Samuel L. Jackson, qui faisait une brève apparition dans
le premier film, incarne à nouveau Nick Fury, chef de l’organisation S. H. I. E. L. D., chargée de surveiller le comportement de l’imprévisible Tony.
Kevin Feige :
«Agissant avec toute la fermeté d’un «ange gardien» des
Alcooliques Anonymes, il retrouve Tony en pleine déprime.
Il va alors lui livrer une information capitale sur son père,
Howard (John Slattery). Bien que ce dernier soit mort depuis vingt ans, Stark se reproche encore d’avoir eu avec lui
un conflit durable et jamais aplani.»
La distribution comprend aussi Clark Gregg (l’Agent
Coulson), Leslie Bibb (Christine Everhart), Paul Bettany (Jarvis), Garry Shandling (le Sénateur Stern) ainsi que plusieurs
célébrités dans de petits rôles, tels Larry Ellison et Stan Lee.
LE TON APPROPRIÉ
Le tournage débuta à Pasadena (Californie) par la comparution de Tony Stark devant la commission sénatoriale.
Louis D’Esposito :
«Robert, par sa présence «magnétique», a galvanisé l’équipe
dès le premier jour, installant d’emblée une merveilleuse atmosphère de travail, pleine d’humour et de convivialité.»
La présence du comique Garry Shandling contribua aussi à cette bonne ambiance par ses hilarantes improvisations
et joutes verbales avec Downey.
Jon Favreau :
«J’encourage toujours les improvisations. Robert est très
agile, totalement imprévisible, et il a besoin de partenaires
capables de lui répondre du tac au tac. Garry est un ami, et je
savais que sa confrontation avec Robert donnerait des résultats explosifs et assez fous.»
L’alchimie Downey/Paltrow se révéla tout aussi «magnétique».
Kevin Feige :
«C’est l’arme secrète de la franchise IRON MAN ! Gwyneth et Robert ont le chic pour broder à partir du script, s’en
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éloigner, y revenir, créant à eux deux quelque chose de magique et de très émouvant. Les obstacles que nous avons placés entre Tony et Pepper intensifient leurs relations, surtout
lorsqu’il s’agit de Black Widow…mais la réaction de Pepper
sera aussi surprenante et inattendue que l’évolution de ce
triangle amoureux.»
La production retourna à la Base Edwards (un des rares
sites communs aux deux films) et bénéficia une fois de plus
du soutien du Département de la Défense (DOD).
Jeremy Latchman :
«Ces scènes y gagnent un irremplaçable parfum d’authenticité de par la présence d’avions mythiques et d’un personnel
abondant et très motivé.»
Le Capitaine Brian McGarry servit d’agent de liaison
entre le DOD et la production, et fournit à Don Cheadle
toutes les informations nécessaires pour devenir un vrai officier d’Aviation.
DE NOUVELLES ARMURES
L’équipe regagna ensuite les Studios Marvel pour travailler sur les nouvelles armures d’Iron Man.
Kevin Feige :
«Les armures conçues par le regretté Stan Winston avaient
contribué à la réussite du premier film. Elles constituaient un
accessoire high-tech crédible, elles n’étaient pas une cape magique ou un costume doté de pouvoirs surnaturels, elles étaient
nées, laborieusement, du sang, de la sueur et des larmes du
héros et avaient gardé un côté artisanal. Stan était un authentique génie. Son équipe avait fait un travail prodigieux, parachevé par les créations numériques d’ILM.
«Pour IRON MAN 2, nous avons fait appel une fois de plus à
Shane Mahan, qui poursuit désormais le travail de Stan sous
la bannière de Legacy Effects, et nous a rapidement proposé
d’excellents concepts.»
Shane Mahan :
«À l’époque du premier film, Marvel nous demanda de
respecter à l’écran les proportions du personnage dessiné, et
de faire en sorte qu’Iron Man n’ait pas l’air «déguisé». C’était
un challenge, parce qu’aucun être humain ne possède une telle
carrure avec des hanches aussi étroites et une tête de taille à
remplir un casque. Il a donc fallu procéder à certaines modifications et trouver des cascadeurs assez doués et assez athlétiques pour répondre à ces exigences.
«Cette fois, la production voulait une armure plus légère,
plus flexible, que Robert mettrait moins de temps à enfiler.»
Pour faciliter les déplacements de l’acteur, l’équipe construisit seulement une moitié d’armure, les jambes étant créées en
numérique à partir de «captations d’images» de Downey.
Kevin Feige :
«Ce travail se base sur les illustrations des comics et s’inscrit dans le prolongement du premier film. Deux idées nous
ont guidés en la matière : Tony ne cesse d’améliorer sa tenue,
de lui ajouter de nouveaux accessoires, et son visage rouge et
or doit rester quasi inchangé car il est devenu la marque du
personnage. Il a fallu jongler avec une double exigence : coller à l’image d’Iron Man tout en nous adaptant à l’histoire. Si
vous comparez l’armure Mark IV à l’ancienne Mark III, vous
verrez ainsi qu’elle est plus aérodynamique, plus high-tech et
plus délicate.»
L’équipe dut aussi dessiner et fabriquer la tenue du nouvel ennemi juré de Tony, Whiplash.
Jeremy Latcham :
«Nous aimons beaucoup ce personnage, mais dans les comics, il ressemble à un adepte du SM, avec sa combinaison
noire, ses gros ceinturons, et cette fermeture Éclair qui lui
barre la bouche. Pas exactement l’effet que nous recherchions !
Nous avons donc décidé d’innover et d’intégrer davantage ce
personnage à l’esthétique Iron Man avec le concours de Ryan
Meinerding, un des meilleurs concept artists du cinéma.»
Ryan Meinderling :
«Nous voulions ajouter une touche de réalisme au personnage, et dès que j’ai su que Mickey Rourke le jouerait, j’ai refait
le dessin pour accentuer l’âpreté et la noirceur de Whiplash.
Mickey avait apprécié les dessins originaux, les tatouages, les
pantalons plus que fatigués, et cela avait été pour lui une incitation supplémentaire à faire le film.»
Mickey Rourke :
«Le costume qu’ils m’ont fabriqué était en peau et en cuir,
ce qui me plaisait, mais il pesait une vingtaine de kilos ! Au
premier essayage, j’ai cru que j’allais m’écrouler après quelques
minutes. Pour tenir le coup au tournage, j’ai dû m’entraîner
sept semaines d’affilée, en endossant à chaque séance une veste
du même poids pendant 45 minutes.»
IRON MAN,
HOMME DU MONDE ET
PHÉNOMÈNE PLANÉTAIRE
C’est sur le circuit du Grand Prix de Monaco que Whiplash, en tenue de combat, va défier pour la première fois
Tony Stark, en l’envoyant dans le décor.
Robert Downey, Jr. :
«Cette course révèle l’autre visage de Tony. Ce n’est plus le
grand industriel qui s’affiche ici, mais l’homme du monde, le
pilote amateur, mû par une passion qui lui vient sans doute
de son père… et qui va lui coûter cher.»
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Louis D’Esposito :
«Tony échappe à la mort, mais sort très marqué de cet
affrontement. Whiplash vient de lui démontrer qu’il n’était
pas seul à maîtriser un équipement de haute technologie.»
Kevin Feige :
«Seul remède pour Tony : tester sa nouvelle Mark V, encore au stade expérimental, mais qu’il peut transporter
n’importe où. Elle ne dispose pas du même armement, ni de
la même protection, mais elle peut rendre des services.
«Cette séquence monégasque est l’occasion de montrer le
rayon d’action international d’Iron Man. Spider-Man est intrinsèquement lié à New York, et quantité d’autres héros Marvel restent enracinés dans une seule et même région, alors
qu’Iron Man est susceptible de voyager dans le monde entier.»
Jon Favreau :
«La dernière fois, nous l’avions fait passer par Las Vegas,
ville pour millionnaires. Cette fois, c’est Monte-Carlo, ville
de… milliardaires. Mais comment innover autrement que
par le décor ? Les histoires de superhéros semblent avoir du
mal à se renouveler. D’où l’idée de donner à Tony le panache
d’un James Bond et de faire interférer ses aventures de superhéros avec sa vie privée.»
Au cours de cet épisode mouvementé, Tony va se mettre
en danger pour honorer la mémoire de son père, sponsor
du Grand Prix dans les années 1970. Pour préparer cette séquence spectaculaire, les producteurs allèrent en repérages
à Monaco et y rencontrèrent le Prince Albert.
Jon Favreau :
«Le Prince nous a réservé un accueil très cordial. Notre
vision de la scène lui a plu, il a aimé l’image qu’elle donnait
de la ville. Nous avons alors parcouru tout le circuit en prenant quantité de photos afin de faire une présentation détaillée de la scène aux officiels.
«Comme il n’était pas question d’amener toute l’équipe
sur place, nous avons délimité la portion du circuit qui nous
intéressait et avons filmé une série de transparences quelques
jours avant la manifestation. Nous disposions ainsi d’images de
l’ensemble des stands et de la signalisation. Nous avons ensuite
reconstruit cette même portion de circuit et disposé sur les côtés d’immenses fonds verts. Nous avons également dupliqué les
stands de Monaco pour y placer nos milliers de figurants. C’est
dans ce vaste décor que nous avons tourné les cascades, explosions, tonneaux et carambolages qui rythment la scène.»
Dan Sudick (Superviseur des effets spéciaux) :
«Jon préfère filmer les choses «en vrai», quitte à les améliorer à la postproduction. Pour le crash du Grand Prix, nous
avons construit pas moins de 17 voitures de course conformes
aux paramètres de la scène : longueur de la piste, découpage,
nature de la cascade, capacité d’accélération du véhicule sur
une distance donnée, etc.»
Jon Favreau :
«Ces images de course sont parmi les plus dynamiques
que j’aie jamais vu. Les voitures effectuent de vrais tonneaux,
explosent pour de bon, sont catapultées dans les airs, et on
a vraiment l’impression que Tony roule sur cette piste. Tout
paraît absolument authentique.»
Dans une autre grande scène d’action, Black Widow et
Happy Hogan (Jon Favreau) forcent l’entrée des Hammer
Industries et voient débouler dans le hall une bonne douzaine de vigiles. Le coordinateur combats Tommy Harper
décrit la suite :
«Tandis que Hogan et un premier vigile entament un
match de boxe en règle, Black Widow fonce à toute allure
le long du couloir, attaquant les vigiles un à un. Elle les ligote, les suspend au plafond, leur botte les fesses avec entrain, tandis que Happy et le premier garde continuent de
boxer consciencieusement. À la fin, le hall est envahi de corps
inertes, étales ou suspendus, et Happy réalise un peu mélancoliquement qu’il a encore de gros progrès à faire !
«Pour Scarlett, ce fut l’aboutissement de huit semaines
d’entraînement quotidien à raison de 4 heures/jour avec une
équipe de cascadeurs comprenant le chorégraphe combats
Jon Eusebio, la doublure Heidi Moneymaker et des spécialistes des cascades volantes.»
Scarlett Johansson :
«Je hais ces scènes d’action factices, où l’on cadre un personnage de dos trois plans sur quatre avant de faire un beau
raccord sur l’acteur prenant une pose héroïque pour nous
convaincre qu’il a assuré lui-même toute la scène. C’est la
pire des facilités. Tout le monde a envie que l’acteur prenne
des risques physiques dans ces scènes, et c’est pour cela que
je me suis préparée pendant des mois. C’était un vrai plaisir
de travailler avec toute l’équipe de Tommy Harper qui était
formidable et incroyablement attentionnée. Il y a eu des
moments frustrants, bien sûr, mais je pense que nous avons
réussi notre coup, et que la scène sera aussi divertissante que
possible.»
Jon Favreau :
«Cette scène associe des luttes de styles contrastés, et en
premier lieu la Lucha Libre, d’origine mexicaine, que je trouvais au départ un peu comique de par son exubérance acrobatique. Mais, pratiquée par une Black Widow plutôt que
par un type masqué et bedonnant, ça a vraiment de l’allure.
C’est très original et cela fonctionne parfaitement lorsque
c’est aussi bien chorégraphié.
«Scarlett a aussi fait ses propres cascades volantes
avec harnais et filin. Cela a transformé son corps et l’a
aidée à étoffer son rôle. C’est une actrice d’une grande intelligente, qui possède déjà une vaste expérience en dépit
de sa jeunesse. Je pense que le public réagira très positivement à son personnage.»
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LA WAR MACHINE
Cette armure est une nouveauté fort attendue d’IRON
MAN 2, basée sur l’ancienne Mark II, que Rhodey va s’approprier et modifier à son propre usage face au comportement
erratique de son ami Tony.
Kevin Feige :
«Dans le premier film, nous avions établi un certain style
de tenue de combat que nous souhaitions développer et diversifier. Les silhouettes d’Iron Man et de la War Machine, par
exemple, sont très différentes. Elles reflètent des personnalités
tout aussi distinctes, qui doivent transparaître, même derrière une visière opaque.»
Louis D’Esposito :
«En concoctant la War Machine, Rhodey et les militaires
visent l’efficacité plutôt que l’élégance et l’ingéniosité. Le but
est de pouvoir porter sur une épaule la plus grosse arme possible, sur l’autre un lance-missiles et de compléter cet arsenal
par des armes de calibre 50 fixées sur les avant-bras.»
Kevin Feige :
«Toutes les armes ont au départ une réalité physique qui
sera «augmentée» par des effets visuels. Jon et nous tous refusons de nous en remettre totalement à l’imagerie numérique. La tenue de Whiplash, par exemple, a été pensée pour
que Mickey Rourke puisse réellement la mettre sur le plateau
et jouer avec. Il devient de plus en plus facile de bâtir des séquences entières à l’ordinateur, mais nous préférons associer
intimement images réelles et images de synthèse de manière à
ce que le spectateur ne fasse plus la différence.»
Le garage/atelier high-tech de Tony est un des décors
réels que les fans avaient le plus apprécié dans le premier
IRON MAN. La production demanda au chef décorateur J.
Michael Riva de lui donner une plus grande ampleur.
«Nous avons commencé par ajouter un couloir pour y
aligner les armures successives d’Iron Man», indique Riva.
«L’image vient directement du comic-book. Dans le premier
film, le sol du garage était en béton. Cette fois, il est translucide,
avec toute une série d’affichages interactifs en 3D émergeant
des profondeurs – un signe parmi d’autres des incessantes
avancées technologique de Tony. La résidence est davantage
exploitée que dans le premier film. Elle devient le lieu d’un
affrontement majeur, ce qui nous incita à y inclure une cuisine
ultra-équipée pour fins gourmets, un gymnase et un patio avec
vue sur le Pacifique. La Stark Expo, qui ouvre et clôt le film, a
été mon plus grand challenge. Il s’agit d’une version futuriste
de la Foire Mondiale de 1964, mettant en vedette toutes les
ressources durables de la planète. Ce complexe était tellement
immense que nous avons dû le fragmenter avant d’établir une
circulation continue entre ses différentes sections et de vraies
interactions entre décor et personnages.»
QUELQUES RÉFLEXIONS
APRÈS TOURNAGE…
«IRON MAN 2 est encore meilleur, plus grand, plus «méchant», plus profond, plus intéressant que le premier», déclare Don Cheadle. «C’est une incitation à continuer notre
exploration de la saga, à la recherche d’histoires et de péripéties toujours plus intéressantes.»
«Marvel sait rendre ses films accessibles à tous, y compris
à ceux qui n’en connaissent pas les sources», dit Scarlett Johansson. J’ai vécu sur IRON MAN 2 une formidable expérience,
avec mes partenaires et avec Jon Favreau. J’ai toujours pensé
que les acteurs font les meilleurs réalisateurs, et Jon a un rapport très simple, très direct avec ses comédiens. Venu de l’improvisation, il est toujours prêt à tester avec vous une réplique
inventée au dernier moment, et c’est ainsi que les scènes continuent de s’améliorer au fil des prises.»
«Jon et moi sommes un peu fous», reconnaît Downey,
«mais nous avons également les pieds sur terre et nous avons
une relation très ouverte qui nous pousse à user de toutes nos
capacités d’invention.»
«J’ai eu la chance d’avoir à ma disposition des acteurs extraordinairement doués, de styles très différents», conclut
Favreau. «Je n’avais jamais travaillé avec des artistes de cette
envergure. Le premier film avait pris le public au dépourvu,
mais celui-ci met la barre encore plus haut. Les gens sont prévenus, ils auront du mal à se dire surpris. Espérons seulement
qu’ils trouveront IRON MAN 2 aussi bon, et peut-être même
meilleur que le premier…»
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DEVANT LA CAMÉRA
ROBERT DOWNEY, JR.
PICK-UP ARTIST de James Toback, avec Molly Ringwald,
COUPABLE RESSEMBLANCE de Joseph Ruben, avec James
Tony Stark
Robert Downey, Jr. a obtenu cette année le Golden Globe
du meilleur acteur dans le rôle-titre de SHERLOCK HOLMES
de Guy Ritchie après avoir décroché en 2009 sa deuxième citation à l’Oscar dans la comédie d’action de Ben Stiller TONNERRE SOUS LES TROPIQUES. Le rôle de Kirk Lazarus, acteur
australien déjanté grimé en star black, lui a aussi valu d’être
cité au Golden Globe, au British Academy Award et au Screen
Actors Guild Award. À l’été 2008, Downey connu un des plus
beaux succès critiques et publics de sa carrière dans le rôletitre du blockbuster de Jon Favreau IRON MAN, qui rapporta
plus de 585 millions de dollars sur l’ensemble des marchés.
Outre IRON MAN 2, on le verra cette année dans la comédie de Todd Phillips DUE DATE, dont la sortie est annoncée
pour l’automne.
Outre les récompenses précitées, Downey a reçu le British
Academy Award et une citation à l’Oscar dans le rôle-titre
du CHAPLIN de Richard Attenborough, le Golden Globe, le
Screen Actors Guild Award et une citation à l’Emmy pour ses
débuts en prime time dans la série culte «Ally McBeal», une
citation au SAG Award, décernée à l’ensemble des interprètes
de GOOD NIGHT, AND GOOD LUCK, un Prix spécial du Jury
du Festival de Sundance (également attribué à titre collectif)
pour A GUIDE TO RECOGNIZING YOUR SAINTS.
En trente ans de carrière, Downey a travaillé avec certains
des meilleurs réalisateurs actuels, de Robert Altman (SHORT
CUTS, THE GINBERGBREAD MAN) à David Fincher (ZODIAC),
en passant par Oliver Stone (TUEURS NÉS), Neil Jordan (PRÉMONITIONS), Mike Figgis (POUR UNE NUIT…), Curtis Hanson (WONDER BOYS), George Clooney (GOOD NIGHT, AND
GOOD LUCK), Richard Linklater (A SCANNER DARKLY), Steven Soderbergh (EROS), Steven Shainberg (FUR).
Fils du scénariste et réalisateur indépendant Robert
Downey (PUTNEY SWOPE, UP THE ACADEMY, LE PARADIS
DU MEXICAIN) et de la chanteuse/comédienne Elsie Downey,
Robert Downey, Jr. tourne pour son père dès l’âge de cinq
ans. Abandonnant le lycée pour passer professionnel, il tient
en 1983 un petit rôle dans BABY, IT’S YOU de John Sayles,
puis enchaîne une série de comédies à succès, dont UNE
CRÉATURE DE RÊVE, avant de rejoindre en 1985 l’équipe de
l’émission satirique «Saturday Night Live». Alternant avec
brio les emplois comiques et dramatiques, Downey interprète, aux côtés de George C. Scott, le fils de Mussolini dans
la mini-série MUSSOLINI : THE UNTOLD STORY avant d’apparaître en vedette dans NEIGE SUR BEVERLY HILLS (d’après
le roman culte de Bret Easton Ellis «Less Than Zero»), THE
Woods, LE CIEL S’EST TROMPE d’Emile Ardolino, avec Cybill Shepherd, AIR AMERICA de Roger Spottiswoode, avec
Mel Gibson, SHORT CUTS de Robert Altman (pour lequel
il partagera avec ses camarades un Golden Globe collectif), TUEURS NÉS d’Oliver Stone (dans le rôle du reporter
vedette Wayne Gale), ONLY YOU de Norman Jewison, avec
Marisa Tomei, UN WEEK-END EN FAMILLE de Jodie Foster
(dans le rôle du frère gay d’Holly Hunter), LE DON DU ROI de
Michael Hoffman, RICHARD III de Richard Loncraine, avec
Ian McKellen, POUR UNE NUIT… de Mike Figgis, avec Wesley Snipes et Nastassja Kinski, THE GINGERBREAD MAN de
Robert Altman, avec Kenneth Branagh, TWO GIRLS AND
A GUY et BLACK AND WHITE de James Toback, PRÉMONITIONS de Neil Jordan, avec Annette Bening, WONDER BOYS
de Curtis Hanson, avec Michael Douglas, THE SINGING DETECTIVE, d’après la série BBC de Dennis Potter, avec Adrien
Brody, Katie Holmes et Robin Wright Penn, GOTHIKA, avec
Halle Berry et Penélope Cruz, le thriller/comédie d’action
SHANE BLACK’S KISS KISS, BANG BANG, avec Val Kilmer,
GOOD NIGHT, AND GOOD LUCK de George Clooney, FUR –
UN PORTRAIT IMAGINAIRE DE DIANE ARBUS, avec Nicole
Kidman, LE SOLISTE de Joe Wright, avec Jamie Foxx.
Downey a sorti en 2004 son premier album : «The Futurist» regroupant huit chansons originales sous le label Sony
Classics.
GWYNETH PALTROW
Pepper Potts
Depuis SHAKESPEARE IN LOVE, qui la révéla et lui valut
l’Oscar, le Golden Globe et le Screen Actors Guild Award de
la meilleure actrice, Gwyneth Paltrow a été l’une des comédiennes les plus populaires et les plus actives de sa génération, et l’une des rares à avoir triomphé des changements de
modes et remporté autant de succès critiques dans le cinéma
indépendant que dans les blockbusters des grands studios.
Gwyneth Paltrow retrouve ici son personnage d’IRON
MAN, film qui avait totalisé plus de 585 millions de dollars au box-office international. Entre ces deux épisodes,
l’actrice tourna notamment le drame romantique de James
Gray TWO LOVERS avec Joaquin Phoenix et le premier film
de son frère, Jake Paltrow, THE GOOD NIGHT, dans le rôle
d’une ancienne pop star réduite à composer des jingles. (Les
autres rôles vedettes y étaient tenus par Penélope Cruz et
Danny DeVito.)
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Gwyneth Paltrow compte aussi parmi ses derniers films
PROOF, adaptation d’une pièce qu’elle joua récemment à
Londres dans une mise en scène de John Madden (SHAKESPEARE IN LOVE), et pour laquelle elle avait remporté une
citation à l’Olivier Award de la meilleure actrice. Le film,
également signé Madden, et interprété par Anthony Hopkins, Jake Gyllenhaal et Hope Davis, a rapporté à Paltrow
une nouvelle citation au Golden Globe.
Au cours des quatre dernières années, Gwyneth Paltrow
a également tourné COURIR AVEC DES CISEAUX de Ryan
Murphy, d’après le best-seller d’Angusten Burroughs, et
SCANDALEUSEMENT CÉLÈBRE de Douglas McGrath, dans
le rôle d’une chanteuse de cabaret à la Peggy Lee.
Citons aussi parmi ses films récents : CAPITAINE SKY ET LE
MONDE DE DEMAIN, avec Jude Law et Angelina Jolie, SYLVIA,
dans le rôle de la poétesse Sylvia Plath, le drame romantique
de Neil LaBute, POSSESSION, avec Aaron Eckhart, LA FAMILLE
TENENBAUM de Wes Anderson, avec Gene Hackman, Anjelica
Huston et Ben Stiller, la comédie burlesque des frères Farrelly
L’AMOUR EXTRA LARGE, avec Jack Black et Jason Alexander.
Née à Los Angeles, où elle a passé les onze premières années de sa vie, Gwyneth Paltrow est la fille du producteur de
télévision Bruce Paltrow et de la comédienne Blythe Danner. Elle fait ses études à St. Augustine by the Sea (institution connue aujourd’hui sous le nom de Crossroads), puis
à la Spense School de New York, et à l’Université de Santa
Barbara, où elle entame une licence d’histoire de l’art, rapidement abandonnée en faveur du théâtre.
Après avoir tenu la tête d’affiche de divers spectacles du
Williamstown Theater, dont «Picnic» (avec Blythe Danner)
et «La Mouette», et une première apparition à l’écran dans
SHOUT, une rencontre fortuite avec Steven Spielberg lui vaut
le rôle de la jeune Wendy dans HOOK. Elle tourne ensuite avec
Blythe Danner la mini-série DOUTE CRUEL, puis FLESH AND
BONE de Steve Kloves, où on la remarque pour la première fois
dans le rôle de l’énigmatique compagne de James Caan.
Suivront notamment : MALICE d’Harold Becker, avec Nicole Kidman, MRS. PARKER ET LE CERCLE VICIEUX d’Alan
Rudolph, dans le rôle de la flamboyante «Paula Hunt», SEVEN de David Fincher, où elle interprète la femme de Brad
Pitt, THE PALLBEARER, en vedette avec David Schwimmer,
EMMA de Douglas McGrath, d’après Jane Austen, la version
contemporaine des GRANDES ESPÉRANCES, dans le rôle de
la blonde et froide Estrella, la comédie romantique PILE ET
FACE, les thrillers MEURTRE PARFAIT (avec Michael Douglas) et DU VENIN DANS LES VEINES (avec Jessica Lange) et,
en 1998, le rôle de Viola de Lesseps dans SHAKESPEARE IN
LOVE, titre charnière que suivront LE TALENTUEUX MR. RIPLEY d’Anthony Minghella, d’après Patricia Highsmith, avec
Matt Damon et Jude Law, THE ANNIVERSARY PARTY de
Jennifer Jason Leigh et Alan Cumming, le documentaire de
Rosanna Arquette SEARCHING FOR DEBRA WINGER, DUO
D’UN JOUR de Bruce Paltrow et les films déjà cités.
Gwyneth Paltrow a fait ses débuts dans la réalisation avec
le court-métrage «Dealbraker», co-écrit et coréalisé avec
son amie Mary Wigmore. Elle est depuis 2005 l’égérie d’Estée
Lauder pour laquelle elle a déjà assuré les campagnes presse
et télé des parfums «Pleasures» et «Pure White Linen» et de
la ligne de produits de toilette «New Pleasures».
DON CHEADLE
Rhodey
Don Cheadle a obtenu, entre autres récompenses, des citations à l’Oscar, au Golden Globe, au Critics’ Choice Award
et au Screen Actors Guild (SAG) Award du meilleur acteur
pour le rôle de Paul Rusesabagina dans HOTEL RWANDA de
Terry George ; une citation au British Academy Award et un
SAG Award collectif dans COLLISION de Paul Haggis, dont il
était également l’un des producteurs ; un SAG Award collectif pour TRAFFIC de Steven Soderbergh et une citation à ce
prix pour HOTEL RWANDA.
Cheadle a tourné récemment en vedette dans L’ÉLITE DE
BROOKLYN d’Antoine Fuqua, PALACE POUR CHIENS, TRAHISON (dont il était également l’un des producteurs), REIGN OVER
ME/À CŒUR OUVERT, avec Adam Sandler, et, à titre d’acteur/
producteur exécutif, TALK TO ME de Kasi Lemmons, où il interprétait Ralph «Petey» Greene, un ancien prisonnier devenu
militant et vedette de talk-show dans les années soixante.
Cheadle entretient aussi une collaboration régulière
avec Steven Soderbergh, sous la direction duquel il a tourné
HORS D’ATTEINTE, TRAFFIC et la trilogie OCEAN.
Couronné meilleur acteur secondaire par les Los Angeles Film Critics et la National Society of Film Critics pour
le rôle de Mouse dans LE DIABLE EN ROBE BLEUE de Carl
Franklin, lauréat du Golden Globe et de l’Emmy pour son
interprétation de Sammy Davis Jr. dans le téléfilm LES ROIS
DE LAS VEGAS, Cheadle a été cité à l’Emmy pour les téléfilms DITES-LEUR QUE JE SUIS UN HOMME (où il avait pour
partenaire Cicely Tyson) et THINGS BEHIND THE SUN et la
série «Urgences» et a également tenu la vedette du téléfilm
d’Eriq LaSalle L’ÉTOILE DE HARLEM et interprété la version
TV «live» en noir et blanc de POINT LIMITE sous la direction de Stephen Frears et aux côtés de George Clooney.
Originaire de Kansas City, Don Cheadle séjourne durant sa jeunesse à Lincoln (Nebraska) et Denver (Colorado)
avant de se fixer à Los Angeles. Il passe un diplôme d’art
dramatique à la CalArts de Valencia et décroche dès la fin
de ses études un rôle récurrent dans la série «Fame». Consacré par la série «Un drôle de shérif», où il incarna pendant
deux ans le District Attorney John Littleton, il a également
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tourné dans BOOGIE NIGHTS de Paul Thomas Anderson,
VOLCANO de Mick Jackson, ROSEWOOD de John Singleton (où il remporta sa première citation à l’Image Award
de la NAACP), BULWORTH de Warren Beatty (sa deuxième
nomination à l’Image Award), MISSION TO MARS de Brian
De Palma, FAMILY MAN et COUP D’ÉCLAT de Brett Ratner,
OPÉRATION ESPADON de Dominic Sena, avec John Travolta et Halle Berry, L’ASSASSINAT DE RICHARD NIXON, avec
Sean Penn et Naomi Watts.
Chanteur, compositeur et saxophoniste, Don Cheadle
a notamment joué dans «The Grapes of Wrath», «Liquid
Skin», «Cymbeline», «Dommage qu’elle soit une putain»,
«Blood Knot» d’Athol Fugard, «Top Dog/Underdog» de Suzan-Lori Parks (pièce couronnée au Pulitzer). Il a également
mis en scène «Cincinnati Man», «The Trip» et «Three, True,
One». Il a été cité au Grammy en tant que récitant du livre
audio «Fear Itself» de Waler Mosley, et a cosigné récemment avec John Prendergast un essai sur le Darfour : «Not
on Our Watch – A Mission to End Genocide in Darfur and
Beyond» (édité par Hyperion).
SCARLETT JOHANSSON
Natalie - La Veuve Noire
Actrice professionnelle dès l’âge de huit ans, Scarlett
Johansson est une des comédiennes les plus douées de sa
génération, qui totalise pas moins de quatre citations consécutives au Golden Globe, pour MATCH POINT de Woody
Allen, LOST IN TRANSLATION de Sofia Coppola, LA JEUNE
FILLE À LA PERLE de Peter Webber et A LOVE SONG FOR
BOBBY LONG de Shainee Gabel. LOST IN TRANSLATION lui
a aussi valu le prix d’interprétation féminine du Festival de
Venise le British Academy Award de la meilleure actrice et
les trophées de plusieurs associations de critiques, dont la
Boston Society of Film Critics.
Scarlett Johansson a sorti en mai 2008 l’album
«Anywhere I Lay My Head», une anthologie de chansons de
Tom Waits incluant aussi un morceau original. Elle a tourné
récemment dans la comédie à succès CE QUE PENSENT LES
HOMMES, ainsi que dans THE SPIRIT de Frank Miller, après
avoir joué Cristina dans VICKY CRISTINA BARCELONA de
Woody Allen et Mary Boleyn, face à Natalie Portman, dans
DEUX SŒURS POUR UN ROI.
Originaire de New York, Scarlett Johansson a étudié au
Lee Strasberg Theatre Institute. Après avoir tenu son premier rôle professionnel à huit ans dans le spectacle offBroadway «Sophistry», elle remporte à douze ans le Young
Star Award et une citation au Blockbuster Entertainment
Award dans L’HOMME QUI MURMURAIT À L’OREILLE DES
CHEVAUX de Robert Redford.
Sélectionnée à l’Independent Spirit Award de la
meilleure actrice pour MANNY & LO de Lisa Krueger, Scarlett compte parmi ses autres films : SCOOP de Woody Allen, LE DAHLIA NOIR de Brian De Palma, LE PRESTIGE de
Christopher Nolan, GHOST WORLD de Terry Zwigoff (qui
lui a valu le Toronto Film Critics Circle Award), AMERICAN
RHAPSODY d’Eva Gardos, avec Nastassja Kinski, L’IRRÉSISTIBLE NORTH de Rob Reiner, JUSTE CAUSE d’Arne Glimcher,
avec Sean Connery, THE BARBER/THE MAN WHO WASN’T
THERE des frères Coen, avec Billy Bob Thornton et Frances
McDormand, EN BONNE COMPAGNIE de Paul Weitz, avec
Dennis Quaid et Topher Grace, THE ISLAND de Michael
Bay, avec Ewan McGregor, et le rôle-titre de la comédie satirique JOURNAL D’UNE BABY-SITTER.
SAM ROCKWELL
Justin Hammer
Alternant productions indépendantes et films de studio, variant les emplois et multipliant les challenges, Sam
Rockwell s’est imposé comme l’un des acteurs les plus dynamiques de sa génération. Au cours des derniers mois,
il a été notamment le partenaire de Robert De Niro dans
EVERYBODY’S FINE et a remporté un large succès personnel dans MOON après avoir incarné James Reston Jr. dans
FROST/NIXON de Ron Howard et Charley Ford, face à Brad
Pitt, dans L’ASSASSINAT DE JESSE JAMES PAR LE LÂCHE ROBERT FORD d’Andrew Dominik.
Rockwell compte parmi ses autres créations mémorables ; CONFESSIONS D’UN HOMME DANGEREUX de
George Clooney (où son interprétation de l’animateur de
télévision et hypothétique agent secret Chuck Barris lui a
valu le prix du Meilleur acteur au Festival de Berlin), SNOW
ANGELS de David Gordon Green, avec Kate Beckinsale,
BRAQUAGES de David Mamet, avec Gene Hackman, BIENVENUE À COLLINWOOD des frères Anthony et Joe Russo,
avec George Clooney, LA LIGNE VERTE de Frank Darabont
(dans le rôle de «Wild Bill»), CHARLIE ET SES DRÔLES DE
DAMES, avec Drew Barrymore, Cameron Diaz et Lucy Liu,
GALAXY QUEST, avec Sigourney Weaver.
Sam Rockwell a également tourné dans la comédie policière de Ridley Scott LES ASSOCIÉS (en vedette avec Nicolas Cage), H2G2 : LE GUIDE DU VOYAGEUR GALACTIQUE de
Garth Jennings, JOSHUA (qui lui rapporta le Prix du meilleur
acteur au Festival international de Sitges), LE SONGE D’UNE
NUIT D’ÉTÉ de Michael Hoffman, avec Kevin Kline et Michelle Pfeiffer, BOX OF MOONLIGHT de Tom DiCillo, etc.
Fils d’un couple de comédiens, Sam Rockwell a fait ses études
à la High School for the Performing Arts de San Francisco et
tient son premier rôle professionnel à New York, aux côtés de sa
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mère à l’âge de dix ans. Parvenu en terminale en 1988, il débute
à l’écran dans le film d’horreur de Victor Salva CLOWNHOUSE,
produit par Roman Coppola. Suivront notamment : DERNIERE
SORTIE POUR BROOKLYN d’Uli Edel, avec Jennifer Jason Leigh,
DRUNKS de Peter Cohn, avec Faye Dunaway, LIGHT SLEEPER
de Paul Schrader, CELEBRITY de Woody Allen et trois succès
du Festival de Sundance : LAWN DOGS de John Duigan (qui lui
vaudra un prix d’interprétation aux Festivals de Montréal et Barcelone), CASSES EN TOUS GENRES de John Hamburg et JERRY
AND TOM de Saul Rubinek.
Outre un rôle récurrent dans la série NBC «Dream
Street», Rockwell a tourné dans les séries «New York Police Blues» et «Equalizer», ainsi que dans un épisode de
«New York District» couronné à l’Emmy. Citons parmi ses
créations théâtrales «Hot L Baltimore», «Zoo Story» et
«Le Monte-charge» de Pinter, au Festival de Williamstown,
«Face Divided», à l’Ensemble Studio Theatre, un spectacle
off-Broadway de Mike Leigh : «Goosepimples» et «The Last
Days of Judas Iscariot», au Public Theater, sous la direction
de Phillip Seymour Hoffman.
MICKEY ROURKE
Ivan Vanko - Whiplash
Mickey Rourke est des derniers authentiques acteurs
«Méthode», issus de l’Actor’s Studio de New York. Son fulgurant retour à l’écran, dans THE WRESTLER de Darren Aronofsky, lui a valu une citation à l’Oscar du meilleur acteur
et trois récompenses majeures : le Golden Globe, le British
Academy Award et l’Independent Spirit Award.
Mickey Rourke s’est imposé parmi les grands héros destroy et romantiques de sa génération avec RUSTY JAMES de
Francis Coppola et a joué, entre autres emplois : le truand
velléitaire du PAPE DE GREENWICH VILLAGE, le flic fanatique de L’ANNEE DU DRAGON, l’érotomane déliquescent
de 9 SEMAINES 1/2, le détective à la dérive d’ANGEL HEART,
l’écrivain alcoolique de BARFLY, le boxeur sonné de HOMEBOY (film tiré de son propre scénario et dont il assurera
également la production exécutive), le chef de bande mégalomane de DESPERATE HOURS, l’avocat marron de L’IDÉALISTE, etc.
Né à Schenectady, dans l’État de New York, Rourke s’initia à la boxe et disputa plusieurs combats amateurs avant
de commencer une formation d’acteur à New York. Établi
à Los Angeles en 1978, il y remportera ses premiers succès
personnels dans BODY HEAT de Lawrence Kasdan et DINER
de Barry Levinson.
Rourke aussi compte parmi ses films récents DESPERADO 2 – IL ÉTAIT UNE FOIS AU MEXIQUE et SIN CITY de Robert Rodriguez.
SAMUEL L. JACKSON
Nick Fury
Samuel L. Jackson est l’une des stars les plus populaires d’Hollywood qui compte à son actif quelque 125
longs métrages, téléfilms, mini-séries et épisodes de séries. Consacré par PULP FICTION, Jackson a remporté,
entre autres distinctions : le British Academy Award,
assorti de citations à l’Oscar et au Golden Globe, pour
le rôle de Jules, le tueur philosophe de PULP FICTION ;
l’Ours d’Argent du Festival de Berlin et une citation au
Golden Globe dans JACKIE BROWN ; l’Image Award
de la NAACP et une nomination au Golden Globe dans
LE DROIT DE TUER ? ; le New York Film Critics Award et
l’unique prix du «meilleur second rôle» jamais décerné au
Festival de Cannes dans JUNGLE FEVER ; un prix spécial
au Festival de Deauville 2000 en hommage à l’ensemble
de sa carrière.
Citons parmi ses nombreux titres : SCHOOL DAZE, DO
THE RIGHT THING et JUNGLE FEVER de Spike Lee, LES
AFFRANCHIS de Martin Scorsese, JEUX DE GUERRE de
Phillip Noyce, TRUE ROMANCE de Tony Scott, JURASSIC
PARK de Steven Spielberg, DIE HARD 3 de John McTiernan, NÉGOCIATEUR de F. Gary Gray, avec Kevin Spacey,
PEUR BLEUE et CLEANER de Renny Harlin, L’ENFER DU
DEVOIR de William Friedkin, INCASSABLE de M. Night
Shyamalan, SHAFT de John Singleton, BASIC de John
McTiernan, les épisodes II et III de la saga STAR WARS,
dans le rôle de Mace Windu, le drame psychologique de
Roger Michell DÉRAPAGES INCONTRÔLÉS, le thriller DES
SERPENTS DANS L’AVION, le drame de guerre d’Irwin
Winkler HOME OF THE BRAVE, la comédie policière LE
BOSS, le drame de Craig Brewer BLACK SNAKE MOAN,
ainsi que THE SPIRIT de Frank Miller, le thriller de S. F. de
Doug Liman JUMPER, la comédie SOUL MEN, avec Bernie
Mac et film d’animation ASTRO BOY, où il prêtait sa voix
au personnage de Zog.
Jackson a exercé les fonctions de producteur exécutif
sur EVE’S BAYOU (pour lequel il reçut l’Independent Spirit
Award), THE CAVEMAN’S VALENTINE, LE 51ème ÉTAT et la
mini-série AFRO SAMURAI.
Diplômé d’art dramatique du Morehouse College d’Atlanta, Jackson s’est produit au Festival Shakespeare de New
York dans «Mère Courage», «Spell # 7» et «The Mighty
Gents». Interprète de nombreux spectacles de la Negro
Ensemble Company, dont «A Soldier’s Play» de Charles
Fuller, il a créé au Yale Rep deux célèbres pièces d’August
Wilson : «The Piano Lesson» et «Two Trains Running», et
a également interprété «Fences» de cet auteur au Seattle
Repertory Theatre, et «Distant Fires» au Coast Playhouse
de Los Angeles.
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DERRIÈRE LA CAMÉRA
JON FAVREAU
ENGLISH de Zoe R. Cassavetes, THE TEN de David Wain, etc.
Réalisateur - Producteur exécutif
Jon Favreau a révélé ses talents de scénariste sur la comédie
à succès SWINGERS, dont il était également coproducteur et
interprète. Il a, depuis, multiplié les défis sur des projets aussi
divers qu’IRON MAN et le film pour enfants ZATHURA – UNE
AVENTURE SPATIALE, interprété par Tim Robbins, sous la bannière de Radar Pictures et Sony Entertainment. Favreau a réalisé
en 2003 la comédie à succès ELFE, avec Will Ferrell, pour New
Line Cinema, deux ans après avoir fait ses débuts de scénariste/
réalisateur avec MADE (en vedette avec Vince Vaughn).
Il est actuellement en préproduction sur sa prochaine
réalisation : COWBOYS AND ALIENS, produite par Steven
Spielberg, Brian Grazer et Ron Howard.
Favreau a également tourné dans des films comme THÉ-
RAPIE DE COUPLES, I LOVE YOU MAN, TOUT… SAUF EN FAMILLE, LA RUPTURE, TOUT PEUT ARRIVER, LA PLUS BELLE
VICTOIRE, DAREDEVIL, LES REMPLAÇANTS, VERY BAD
THINGS, MRS. PARKER ET LE CERCLE VICIEUX, DEEP IM-
Theroux a également tourné en vedette dans de nombreux épisodes de séries. Interprète régulier de «Six Feet
Under» et «Washington Police», il a notamment participé à
«Sex and the City», «Alias», «Spin City», «Ally McBeal» et
«New York Undercover», et a incarné John Hancock dans la
mini-série JOHN ADAMS.
Il a réalisé en 2007 la comédie romantique aigre-douce
DEDICATION, interprétée par Billy Crudup, Mandy Moore,
Dianne Wiest et Tom Wilkinson.
Licencié du Bennington College et du Beijing Foreign
Language Institute, il a remporté plusieurs prix d’interprétation à Broadway et off-Broadway dans des pièces de
Shakespeare, et a également inscrit à son répertoire «Shopping and Fucking», avec Philip Seymour Hoffman, «Les
Trois Sœurs», avec Calista Flockhart, Jeanne Tripplehorn
et Lily Taylor, et «Observe the Sons of Ulster Marching Towards the Somme» de Frank McGuinness, qui lui a valu le
Lucille Lortel Award et le prix des Boston Critics.
PACT, RUDY et le téléfilm ROCKY MARCIANO.
Né dans le district de Queens, Jon Favreau exerça de
multiples emplois avant de s’établir à Chicago pour étudier
la comédie. Il a également incarné le milliardaire Peter Becker dans «Friends», et joué son propre rôle dans un épisode
des «Soprano». Il est outre le créateur, producteur exécutif
et présentateur de la série «Dinner for Five», citée à l’Emmy.
JUSTIN THEROUX
Scénario
Justin Theroux a fait ses débuts de scénariste avec la comédie à succès TONNERRE SOUS LES TROPIQUES, dont il
était également producteur exécutif. Le film, interprété par
Ben Stiller, Jack Black et Robert Downey Jr. a valu à ce dernier une nomination à l’Oscar.
Theroux s’est bâti en quelques années une solide réputation d’acteur au cinéma, à la scène et la télévision. Révélé par le
rôle du réalisateur Adam Kersher dans MULHOLLAND DRIVE,
Theroux a également tourné INLAND EMPIRE sous la direction de David Lynch et s’est illustré dans des films aussi divers
que MIAMI VICE de Michael Mann, I SHOT ANDY WARHOL
et AMERICAN PSYCHO de Mary Harron, ROMY & MICHELE’S
HIGH SCHOOL REUNION de David Mirkin, ZOOLANDER de
Ben Stiller, CHARLIE’S ANGELS : LES ANGES SE DÉCHAÎNENT
de McG, THE BAXTER de Michael Showalter, HAPPY END
d’Amos Kollek, DUPLEX POUR 3 de Danny DeVito, BROKEN
KEVIN FEIGE
Producteur
Kevin Feige est coprésident de Marvel Entertainment et
superviseur artistique des films, dessins animés télévisés,
DVD et parcs à thèmes Marvel. Entré dans la firme en 2000,
il a été étroitement associé à l’ensemble de ses productions
cinématographiques, dont les franchises IRON MAN, XMEN, SPIDER-MAN et LES 4 FANTASTIQUES, qui ont connu
un succès international.
Feige a produit récemment IRON MAN, L’INCROYABLE
HULK, THOR (à sortir prochainement), et a exercé les fonctions
de producteur exécutif sur 4 : THE RISE OF THE SILVER SURFER, PUNISHER : WAR ZONE, HULK, ELEKTRA et PUNISHER. Il
a aussi coproduit DAREDEVIL de Mark Steven Johnson.
Licencié de l’École de Cinéma & Télévision de l’USC,
Feige travailla d’abord au sein de la Donner Company sur
des films comme VOLCANO et VOUZ AVEZ UN MESSAGE
avant d’occuper le poste de producteur associé sur le film
qui consacrerait Marvel à ‘Hollywood : X-MEN.
ALAN FINE
Producteur exécutif
Alan Fine est Vice-président exécutif de Marvel
Worldwide, Inc., Directeur du marketing de Marvel Cha-
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racters, Inc. et Président des Theatrical and Animation
Creative Committees de Marvel. Il a occupé antérieurement le poste de PDG des départements Jouets et Publications de la firme ainsi que celui de Président des Kay
Bee Toy Stores.
Fine a passé sa jeunesse dans le Rhode Island. Licencié
de psychologie de l’Université de cet État, il se partage entre
West Palm Beach (Floride) et Mattapoisett (Massachusetts).
STAN LEE
Producteur exécutif
Stan Lee est Président et Directeur de Création de POW !
Entertainment. La société, fondée en 2001, chapeaute actuellement le développement de plus de 40 films, productions télévisuelles, DVD, jeux vidéo et autres projets.
Président émérite de Marvel Comics, Stan Lee a créé des
centaines de superhéros qui ont fait la renommée mondiale
de Marvel. Spider-Man, The Incredible Hulk, X-Men, The
Fantastic Four, Iron Man, Daredevil, The Avengers, Silver
Surfer, Dr. Strange et Thor sont tous sortis de sa fertile imagination.
Côté cinéma, Lee a exercé les fonctions de producteur
exécutif sur la légendaire trilogie SPIDER-MAN de Sam
Raimi, interprétée par Tobey Maguire et Kirsten Dunst.
Il a également assuré la production exécutive de : GHOST
RIDER (qui rapporta 200 M$ sur le marché international),
X-MEN, X-MEN 2, X-MEN : L’AFFRONTEMENT FINAL et XMEN ORIGINS : WOLVERINE, LES QUATRE FANTASTIQUES,
HULK, DAREDEVIL, ELEKTRA et la trilogie BLADE.
Lee a inauguré l’«Ère Marvel» au début des années 1960
en créant plusieurs nouveaux superhéros et en donnant un
nouvel élan à des figures traditionnelles comme Captain
America, The Human Torch et The Sub Mariner.
Cumulant durant ses premières vingt-cinq années Marvel les fonctions de rédacteur, directeur artistique et scénariste principal, Lee écrira chaque semaine de deux à cinq
fascicules complets, tout en collaborant à des journaux,
émissions, scénarios de films, etc.
En 1972, lorsqu’il est nommé directeur de publication de
Marvel Comics, ses comic-books sont déjà des best-sellers
nationaux. Cinq ans plus tard, Lee lance la bande quotidienne «Spider-Man» qui paraît encore aujourd’hui sous sa
signature, dans plus de 500 journaux internationaux.
En 1981, Lee monte un studio d’animation sur la
côte ouest et s’installe à Los Angeles pour superviser les
nouvelles activités cinématographiques et télévisuelles
de Marvel. Il transpose alors pour la télévision «Spider
Man» et «Hulk», préparant ainsi l’accession de Marvel au
septième art. Après le rachat, en 1986, de Marvel Comics
et Marvel Productions par New World Entertainment, il
participe étroitement à la création et au développement
de projets cinématographiques ou télévisuels tirés de ses
créations.
Sous la bannière de POW ! (Purveyors of Wonder) Entertainement, Inc., Lee est le créateur/producteur exécutif de
la collection de DVD d’animation «Stan Lee Presents», dont
les deux premiers titres : MOSAIC et THE CONDOR, sortirent en 2007. Il a aussi assuré chez POW ! la double fonction
de producteur exécutif/interprète vedette de la série de téléréalité futuriste «Who Wants to Be a Superhero ?» (saisons
1 et 2) et de coproducteur/créateur sur «Stripperella» (diffusé par le réseau Spike), après avoir collaboré en tant que
producteur exécutif aux séries TV «Nick Fury», «The Incredible Hulk», «Génération X», «Spider-Man» et «X-Men».
Lee a écrit plus d’une douzaine de best-sellers dont : «The
Origins of Marvel Comics», «The Best of the Worst», «The
Silver Surfer», «How to Draw Comics the Marvel Way»,
«The Alien Factor», «Bring on the Bad Guys», «Riftword»,
The Superhero Women» et la biographie «Excelsior ! The
Amazing Life of Stan Lee».
DAVID MAISEL
Producteur exécutif
David Maisel a exercé les fonctions de Vice-président
exécutif des Studios Marvel de 2005 à 2009, après avoir occupé des postes de direction chez Endeavour, à la Creative
Artists Agency et au sein de la Walt Disney Company. Il est
licencié de la Duke University et de la Harvard Business
School.
DENIS L. STEWART
Producteur exécutif
Denis L. Stewart a coproduit récemment INDIANA
JONES ET LE ROYAUME DU CRÂNE DE CRISTAL. Collaborateur de longue date de Steven Spielberg et Frank Marshall, il a travaillé comme assistant réalisateur sur AMISTAD
et comme directeur de production sur MUNICH, ANTARC-
TICA - PRISONNIERS DU FROID, LA MORT DANS LA PEAU
et LA VENGEANCE DANS LA PEAU. Il est actuellement en
préproduction sur le film de Jon Favreau COWBOYS AND
ALIENS, que produira Spielberg.
Stewart a notamment occupé le poste de directeur de production sur PANIC ROOM, SPIDER-MAN 2 et 3 et CHARLIE’S
ANGELS : LES ANGES SE DÉCHAÎNENT après avoir été premier assistant sur plus de vingt films dont THE MASK, SPEED
2 et le drame de Sydney Pollack L’OMBRE D’UN SOUPÇON.
- 14 -
LOUIS D’ESPOSITO
Producteur exécutif
Louis D’Esposito est coprésident de Marvel Entertainment et superviseur artistique des films, dessins animés télévisés, DVD et parcs à thèmes Marvel.
D’Esposito a été récemment producteur exécutif sur
IRON MAN et exerce actuellement cette fonction sur THOR,
après avoir inscrit à son actif des succès comme À LA RECHERCHE DU BONHEUR, avec Will Smith, S. W. A. T. UNITÉ
D’ÉLITE, avec Samuel L. Jackson et Colin Farrell, ainsi que
ZATHURA. Il a travaillé comme premier assistant réalisateur
sur près de trente films, dont BASIC INSTINCT, HÉROS MAL-
de Neil Jordan À VIF, avec Jodie Foster et Terrence Howard,
la comédie policière ROCKNOLLA de Guy Ritchie, interprétée par Gerard Butler, Tom Wilkinson, Thandie Newton,
Idris Elba, Chris «Ludacris» Bridges et Jeremy Piven, et le
thriller ESTHER, avec Vera Farmiga et Peter Sarsgaard.
Licenciée de l’école de cinéma et télévision de l’USC, Susan Downey a fait ses premières armes sur MORTAL KOMBAT de Paul Anderson et MORTAL KOMBAT DESTUCTION
FINALE de John R. Leonetti, et dirigé le développement des
séries télévisées live et animées qui en furent tirées.
JEREMY LATCHAM
GRÉ LUI, PREMIERS PAS DANS LA MAFIA, L’HOMME SANS
Coproducteur
OMBRE, SOUVIENS-TOI… L’ÉTÉ DERNIER, THE SHADOW,
DEMOLITION MAN, PREMIÈRE SORTIE, STUART LITTLE 2,
LA PRISON DE VERRE et FASHION VICTIME.
D’Esposito a débuté comme deuxième assistant réalisateur sur des films comme CHORUS LINE, COTTON CLUB et
BRIGHTON BEACH MEMOIRS.
Né à New York, il réside actuellement à Los Angeles.
SUSAN DOWNEY
Jeremy Latcham a tenu le poste de producteur associé
sur IRON MAN et exercé les fonctions de producteur exécutif sur PUNISHER 2. Il développe actuellement les propriétés
Marvel «Captain America», «Avengers» et «Thor».
Licencié de la Northwestern University, Latcham débuta
chez Miramax et Dimension Films, avant de rallier, en 2003,
Marvel, où il a aussi travaillé comme directeur d’écriture et
chargé de création.
Productrice exécutive
Susan Downey est une productrice prolifique, qui a
travaillé avec certains des plus grands artistes et créateurs
d’Hollywood et accumulé une vaste expérience dans les
genres les plus divers, du blockbuster au drame et de la comédie au film d’horreur.
Downey a produit récemment le blockbuster SHERLOCK
HOLMES, interprété par Robert Downey Jr. et Jude Law, ainsi que le film d’action des frères Hughes LE LIVRE D’ELI, avec
Denzel Washington. Suivront en 2010 : le film d’horreur
THE FACTORY, réalisé par Morgan O’Neill, avec John Cusack (à titre de productrice) et la comédie de Todd Phillips
DUE DATE, avec Robert Downey Jr., Zach Galifianakis et Michelle Monaghan (à titre de productrice exécutive).
Downey a occupé récemment le double poste de coprésidente de Dark Castle Entertainment et de vice-présidente exécutive chargée de production de Silver Pictures.
Entrée chez Silver Pictures en 1999, elle y supervisa le
développement et la production d’OPÉRATION ESPADON
de Dominic Sena et 13 FANTOMES de Steve Beck avant de
coproduire LE VAISSEAU DE L’ANGOISSE du même Steve
Beck et EN SURSIS d’Andrzej Bartkowiak, puis de produire
GOTHIKA de Mathieu Kassovitz et LA MAISON DE CIRE de
Jaume Collet-Serra.
Susan Downey a aussi exercé les fonctions de productrice exécutive sur le film noir SHANE BLACK’S KISS KISS,
BANG BANG et de productrice sur le drame psychologique
VICTORIA ALONSO
Coproductrice
Victoria Alonso a coproduit le premier IRON MAN,
ainsi que THOR, de chez Marvel (en tournage). Venue du
monde des effets visuels, elle a produit les effets visuels de
KINGDOM OF HEAVEN, BIG FISH, SHREK, AMOUR ET AM-
NÉSIE, FUSION – THE CORE, NUIT DE TERREUR, COMME
CHIENS ET CHATS et À L’AUBE DU 6ème JOUR.
MATTHEW LIBATIQUE
Directeur de la photographie
Matthew Libatique a révélé ses talents aux côtés de
Darren Aronofsky, dont il a éclairé à ce jour quatre courts
métrages et quatre longs métrages : PI (cité à l’Independent Spirit Award de la meilleure photo), REQUIEM FOR A
DREAM (couronné à ISP et cité au Boston Society of Film
Critics Award et à l’Online Film Critics Society Award de la
meilleure photo), THE FOUNTAIN (cité au Satellite Award)
et, tout récemment, BLACK SWAN, avec Natalie Portman et
Mila Kunis.
Libatique a également signé la photo d’IRON MAN de
Jon Favreau, SHE HATE ME, INSIDE MAN et MIRACLE À
SANTA ANNA de Spike Lee, TIGERLAND, PHONE GAMES et
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LE NOMBRE 23 de Joel Schumacher, GOTHIKA de Mathieu
Kassovitz, ABANDON de Stephen Gaghan et TOUT EST ILLUMINÉ de Liev Schreiber.
Libatique a débuté en 1995 sur des vidéos musicales de
The Cure, Usher, Death in Vegas, Erykah Badu, Incubus,
Tupac Shakur, Moby, Snoop Dogg, Jay-Z, etc. Il a obtenu
en 2002 le prix de la Music Video Production Association
pour la vidéo «Mad Season» de Matchbox 20, et a collaboré
avec des réalisateurs comme Floria Sigismondi, Phil Harder,
Terry Richardson, Mark Pellington, Chris Robinson, Little
X et Traktor.
J. MICHAEL RIVA
Chef décorateur
J. Michael Riva a été cité à l’Oscar pour les décors de LA
COULEUR POURPRE de Steven Spielberg, et a notamment
conçu les décors d’IRON MAN, SPIDER-MAN 3, L’ARME FA-
TALE 1, 2 et 4, PRÉSIDENT D’UN JOUR, À LA RECHERCHE DU
BONHEUR, CHARLIE ET SES DRÔLES DE DAMES, CHARLIE’S
ANGELS : LES ANGES SE DÉCHAÎNENT, ÉVOLUTION, ZA-
THURA, FURTIF, LES AVENTURES DU BUACKAROO BANZAÏ.
Il a cumulé les fonctions de chef décorateur et de réalisateur
2ème équipe sur GOONIES, DES HOMMES D’HONNEUR, RADIO FLYER et FANTÔMES EN FÊTE.
Fils de l’actrice Maria Riva et petit-fils de Marlène Dietrich,
Riva est né à New York, où son père travaillait comme directeur artistique. Après avoir mené des études très diversifiées
à Londres et Paris (théâtre, cinéma, ingénierie, dessin industriel), il travaille comme photographe publicitaire et débutera
directeur artistique sur JAMAIS JE NE T’AI PROMIS UN JARDIN DE ROSES d’Anthony Page, BRUBAKER de Stuart Rosenberg et DES GENS COMME LES AUTRES de Robert Redford.
J. Michael Riva a également réalisé en 1986 un épisode de la
série de Steven Spielberg «Histoires fantastiques».
tation de la comédie musicale RENT, la comédie d’humour noir A LITTLE TRIP TO HEAVEN, le film d’action et
d’aventures de Peter Berg BIENVENUE DANS LA JUNGLE
et MEN IN BLACK 2 de Barry Sonnenfeld (avec Steven
Weisberg).
Pearson a remporté une citation à l’Emmy pour ses
contributions à la prestigieuse série HBO «De la Terre à la
Lune», dont il monta en 1998 quatre des 13 épisodes.
Issu de la London International Film School, Pearson
débute à Los Angeles. Il travaille d’abord en freelance pour
de grands producteurs de spots et de clips comme Propaganda ou Satellite Films, et collabore ainsi avec les meilleurs
réalisateurs de ces domaines : Michael Bay, Antoine Fuqua,
Spike Jonze…
Outre de nombreuses vidéos de Michael Jackson, Melissa Etheridge, Paul Simon et Madonna, Richard Pearson
a travaillé sur des productions télévisées comme «New York
Undercover» (3 saisons), «South Beach», «Mann and Machine» et le pilote THE INVISIBLE MAN, pour Universal Television.
Son nom a figuré en outre aux génériques de : THE
SCORE et BOWFINGER, ROI D’HOLLYWOOD de Frank Oz,
LES MUPPETS DANS L’ESPACE de Tim Hill et MAIS QUI A
TUÉ MONA ? de Nick Gomez.
DAN LEBENTAL
Chef monteur
Dan Lebental a travaillé avec Jon Favreau sur le film familial ZATHURA, la comédie ELFE et le succès international IRON MAN, après avoir notamment inscrit son nom aux
génériques de FROM HELL et DEAD PRESIDENTS des frères
Hughes, VERY BAD THINGS de Peter Berg et EN TOUTE
COMPLICITÉ de Marek Kanievska. Également à son actif : la
comédie LA RUPTURE, avec Vince Vaughn, THE WOODS de
Lucky McKee et le documentaire VINCE VAUGHN’S WILD
WEST COMÉDY SHOW : 30 DAYS AND 30 NIGHTS – HOL-
RICHARD PEARSON
LYWOOD TO THE HEARTLAND.
Chef monteur
Richard Pearson a monté récemment QUANTUM OF
MARY ZOPHRES
SOLACE de Marc Forster et les comédies MAX LA MENACE
et LES ROIS DU PATIN après avoir signé avec Clare Douglas
et Christopher Rouse le montage du docudrame de Paul
Greengrass VOL 93, pour lequel il remporta le British Academy Award, une citation à l’Oscar et une citation à l’Eddie
Award des American Cinema Editors.
Figurent également parmi ses titres le film d’action
et d’espionnage de Paul Greengrass LA MORT DANS LA
PEAU (en collaboration avec Christopher Rouse), l’adap-
Chef costumière
Mary Zophres a créé les costumes de neuf films des
frères Coen : FARGO, THE BIG LEBOWSKI, O BROTHER,
THE BARBER, INTOLÉRABLE CRUAUTÉ, LADYKILLERS, NO
COUNTRY FOR OLD MEN, BURN AFTER READING et A SE-
RIOUS MAN. Sa collaboration avec les Coen débuta sur LE
GRAND SAUT, à l’époque où elle était assistante costumière.
- 16 -
Zophres a aussi travaillé comme chef costumière sur
plusieurs films de Steven Spielberg, dont LE TERMINAL, ARRETE-MOI SI TU PEUX, qui lui valut une citation au British
Academy Award, et INDIANA JONES ET LE ROYAUME DU
CRÂNE DE CRISTAL.
Native de Fort Lauderdale, licenciée de Vassar, elle a travaillé avec les Frères Farrelly sur DUMB AND DUMBER, KINGPIN et MARY À TOUT PRIX, et a également inscrit à son actif L’ENFER DU DIMANCHE d’Oliver Stone, GHOST WORLD
de Terry Zwigoff, DIGGING TO CHINA de Timothy Hutton,
PLAYING GOD d’Andy Wilson, HÔTESSE À TOUT PRIX de
Bruno Barreto, MA SORCIÈRE BIEN-AIMÉE de Nora Ephron,
MI$E À PRIX de Joe Carnahan et le drame politique de Robert Redford LIONS ET AGNEAUX.
Mary Zophres débuta auprès de la créatrice de mode
Norma Kamali avant d’occuper le poste d’assistante costumière sur TUEURS NÉS d’Oliver Stone, PRÉSIDENT D’UN
JOUR d’Ivan Reitman, LA VIE, L’AMOUR… LES VACHES de
Ron Underwood, JENNIFER 8 de Bruce Robinson, BLESSURES SECRÈTES de Michael Caton-Jones, etc.
JOHN DEBNEY
Compositeur
Cité à l’Oscar pour la musique de THE PASSION OF CHRIST
de Mel Gibson, John Debney entretient des collaborations régulières avec Garry Marshall (PRINCESSE MALGRÉ ELLE, UN
MARIAGE DE PRINCESSE, FASHION MAMAN et GEORGIA
RULE, VALENTINE’S DAY), Robert Rodriguez (SPY KIDS, SPY
KIDS 2, SIN CITY et LES AVENTURES DE SHARK BOY ET LAVA
GIRL), Tom Shadyac (MENTEUR MENTEUR, BRUCE TOUTPUISSANT, APPARITIONS, EVAN TOUT-PUISSANT) et Jon Favreau (ELFE, ZATHURA). Il a signe récemment la musique du
prochain film d’Eddie Murphy, A THOUSAND WORDS, réalisé par Brian Robbins.
Musicien de formation classique, lauréat en 2005 du
prestigieux Henry Mancini Lifetime Achievement Award
de l’ASCAP pour ses nombreuses contributions au cinéma,
Debney a exercé ses talents sur des genres aussi divers que
la comédie (PAULIE, LE PERROQUET QUI PARLAIT TROP
de John Roberts, COMME CHIENS ET CHATS de Lawrence
Guterman, DICK - LES COULISSES DE LA PRÉSIDENCE d’Andrew Fleming, BEAUTÉS EMPOISONNÉES de David Mirkin,
SPOT de John Whitesell, HANNAH MONTANA de Peter
Chelsom), le thriller (SOUVIENS-TOI… L’ÉTÉ DERNIER de
Jim Gillespie, SUDDEN DEATH, RELIC et LA FIN DES TEMPS
de Peter Hyams), la comédie romantique, le fantastique et la
BD (HOCUS POCUS - LES TROIS SORCIÈRES de Kenny Ortega, INSPECTEUR GADGET de David Kellogg), le film d’aventures (L’ÎLE AUX PIRATES de Renny Harlin, LES NOUVELLES
AVENTURES DE CROC BLANC de Ken Olin) et le cinéma
d’animation (JIMMY NEUTRON : UN GARÇON GÉNIAL, LUCAS, FOURMI MALGRÉ LUI, LA FERME EN FOLIE).
Formé à la Loyola University et à la CalArts, John Debney
travailla d’abord chez Disney comme copiste, orchestrateur
et arrangeur et écrivit des musiques pour plusieurs parcs à
thèmes, dont l’EPCOT Center, Walt Disney World et EuroDisney, avant de passer freelance au début des années 80.
Debney a collaboré avec Steven Spielberg et Amblin Entertainment sur «Class of ’61» et le film LITTLE GIANTS.
Il a également travaillé sur des téléfilms comme SUNSTROKE, UN PRIVÉ AU PARADIS et KANSAS, et sur diverses
séries dont «Cagney & Lacey», «Fame», «Le Caméléon»,
«Docteur Who», «Star Trek : la nouvelle génération», «Star
Trek : Deep Space Nine», etc. Lauréat de l’Emmy pour ses
contributions aux séries «L’Équipée du Poney Express»,
«Seaquest, police des mers» et «Les Héros de Cap Canaveral», on lui doit aussi les musiques des génériques de Disney,
Touchstone et Transworld Pictures.
John Debney a dirigé certains des plus grands orchestres
du monde dans ses œuvres. Il a engagé récemment le virtuose du violon Joshua Bell pour enregistrer la musique
de DREAMER : INSPIRED BY A TRUE STORY et le légendaire
trompettiste Arturo Sandoval pour IDLEDWILD. Après la
triomphale sortie de THE PASSION OF CHRIST, il dirigea luimême cette musique en concert à Rome, à la tête de 96 instrumentistes et 83 choristes. Cette «Passion of Christ Symphony» sera jouée en juin 2010 sur la Place Saint-Pierre par
200 musiciens et 600 choristes.
DAVE JORDAN
Superviseur musical
Dave Jordan a supervisé les musiques d’une bonne quarantaine de films, dont plusieurs succès internationaux dans
les domaines de l’action et du fantastique tels IRON MAN,
TRANSFORMERS, L’INCROYABLE HULK, LES 4 FANTAS-
TIQUES, ELEKTRA, FAST AND FURIOUS, PUNISHER et DAREDEVIL. Également à son actif : TREIZE À LA DOUZAINE,
EH MEC ! ELLE EST Où MA CAISSE ? LES BIENFAITS DE LA
COLÈRE, MAN ABOUT TOWN, SEXY MOVIE, GHOST RIDER,
CHARLIE BARTLETT, SPARTATOUILLE, PAPY-SITTER et
FIGH­TING.
- 17 -
FICHE ARTISTIQUE
FICHE TECHNIQUE
ROBERT DOWNEY JR......................................................................Tony Stark
GWYNETH PALTROW ................................................................ Pepper Potts
DON CHEADLE . ......................................... Lt. Col. James “Rhodey” Rhodes
SCARLETT JOHANSSON . .............. Natalie Rushman / Natasha Romanoff
SAM ROCKWELL .....................................................................Justin Hammer
MICKEY ROURKE ...........................................................................Ivan Vanko
SAMUEL L. JACKSON . ..................................................................... Nick Fury
CLARK GREGG ......................................................................... Agent Coulson
JOHN SLATTERY ........................................................................ Howard Stark
GARRY SHANDLING ............................................................... Sénateur Stern
PAUL BETTANY .........................................................................................Jarvis
KATE MARA .................................................................................. U.S. Marshal
LESLIE BIBB .........................................................................Christine Everhart
JON FAVREAU ............................................................................. Happy Hogan
CHRISTIANE AMANPOUR . ..........................................................Elle-même
PHILIPPE BERGERON .................................................... Inspecteur Lemieux
JAMES BETHEA ............................................................ Agent de sécurité n° 1
MICHAEL BRUNO . ...................................................... Agent de sécurité n° 2
KATIE CLARK . ............................................................................... Fan à l’Expo
LUMINITA DOCAN .............................................................. Journaliste russe
FRANÇOIS DUHAMEL . ...............................................Photographe français
LARRY ELLISON ............................................................................... Lui-même
ADAM «DJ AM» GOLDSTEIN . ...................................................... Lui-même
TIM GUINEE ................................................................................... Major Allen
ERIC L. HANEY .........................................................................General Meade
ALI KHAN..............................................................................................Gangster
EUGENE LAZAREV ..................................................................... Anton Vanko
STAN LEE . .......................................................................................... Lui-même
ISAIAH GUYMAN MARTIN IV ..................................................... Opérateur
HELENA MATTSSON .......................................................................... Rebecca
KEITH MIDDLEBROOK ............................................................... Flic à l’Expo
ANYA MONZIKOVA ..............................................................................Rebeka
MARGY MOORE ..................................................................... Bambi Arbogast
OLIVIA MUNN ........................................................................... Chess Roberts
ELON MUSK . ..................................................................................... Lui-même
BILL O’REILLY ................................................................................... Lui-même
ALEJANDRO PATINO ........................................................ Vendeur de fraises
DAVIN RANSOM ..................................................................Tony Stark, jeune
KARIM SALEH . ......................................................................................... Vigile
BRIAN SCHAEFFER .........................................Technicien à l’Expo Hammer
PHILLIPE SIMON . ..................................................................Serveur français
JACK WHITE ................................................................................................ Jack
Réalisé par................................................................................... JON FAVREAU
Scénario de.......................................................................... JUSTIN THEROUX
Produit par.................................................................................... KEVIN FEIGE
Producteurs éxécutifs...................................................... LOUIS D’ESPOSITO
DENIS L. STEWART
JON FAVREAU
SUSAN DOWNEY
ALAN FINE
STAN LEE
DAVID MAISEL
Directeur de production......................................... BASIL BRYANT GRILLO
Premier assistant réalisateur............................................. ERIC N. HEFFRON
Deuxième assistant réalisateur..........................................CHRIS CASTALDI
Productrice effets visuels..................................................... SUSAN PICKETT
Réalisateur 2ème équipe............................................... JONATHAN TAYLOR
Superviseur effets visuels ILM.......................................................BEN SNOW
Superviseur animation ILM . ........................................................ MARC CHU
Producteur effets visuels ILM .................................... WAYNE BILLHEIMER
Superviseur effets costumes physiques............. SHANE PATRICK MAHAN
Prises de vues aériennes................................................... DAVID B. NOWELL
D’après le Comic Book Marvel de............................STAN LEE, DON HECK,
LARRY LIEBER, JACK KIRBY
Administratrice de production............................................. NOELLE GREEN
Directeur artistique en chef................................................. DAVID KLASSEN
Directeurs artistiques............................................................SUZAN WEXLER
MICHAEL E. GOLDMAN
Designer personnages.....................................................RYAN MEINERDING
Cadreur/Steadicam...........................................................COLIN ANDERSON
Prises de vues additionnelles........................................GABRIEL BERISTAIN
Scripte....................................................................................TRUDY RAMIREZ
Superviseur postproduction......................................PETER MAVROMATES
Ingénieur du son........................................................... MARK ULANO, C.A.S.
Chef accessoiriste.............................................................. RUSSELL BOBBITT
Chef électricien................................................................ MICHAEL BAUMAN
Chef machiniste........................................................................... TANA DUBBE
Assistante costumière............................................................... JENNY EAGAN
Chef habilleur....................................................................... JAMES W. TYSON
Décoratrice de plateau.............................................................. LAURI GAFFIN
Chef coiffeuse........................................................................ LINDA FLOWERS
Chef maquilleur............................................................................ JOHN BLAKE
Superviseur effets spéciaux...................................................DANIEL SUDICK
Construction et animatroniques
des costumes d’Iron Man/Whiplash . .............................. LEGACY EFFECTS
THOMAS ROBINSON HARPER ............................................Chef cascadeur
KEITH WOULARD ........................................... Chef cascadeur 2ème équipe
JONATHAN EUSEBIO . ...............................................Coordinateur combats
JEFF IMADA ..........................................................................Designer combats
CLAY DONAHUE FONTENOT ...................................... Doublure iron Man
KIANTE ELAM ........................................................... Doublure War Machine
GLENN FOSTER ........................................................................ Doublure Tony
HEIDI MONEYMAKER .......................................................Doublure Natasha
GARRET WARREN .................................................................... Doublure Ivan
DAVID ROWDEN ................................................................... Doublure Happy
DONNA EVANS ..................................................................... Doublure Pepper
MICHEL JULIENNE ..................................... Chef cascadeur équipe Monaco
SYBILLE BLOUIN ................................................Doublure Pepper – Monaco
ERIC ORAM....................................................................... Consultant combats
DEUXIÈME ÉQUIPE
Transparences / Réalisateur 2ème équipe.................................JANEK SIRRS
Directeur photo.................................................JONATHAN TAYLOR, A.S.C.
Effets visuels et Animation par.................. INDUSTRIAL LIGHT & MAGIC
A Lucasfilm Ltd. Company
Effets visuels et Animation par...................................... DOUBLE NEGATIVE
Effets visuels et générique de début................................. PROLOGUE FILMS
Effets visuels par.................................................PIXEL LIBERATION FRONT
FUEL VFX
PERCEPTION
EVIL EYE PICTURES
LOLA|VFX
[Hy*drau»lx]
Feebles créés par . ................................. GREG STRAUSE, COLIN STRAUSE
et LIAM O’DONNELL
Effets visuels par....................................................... GOAT VISUAL EFFECTS
Moyens postproduction audio par.............................. SKYWALKER SOUND
A Lucasfilm Ltd. Company
Marin County, California
Générique de fin................................................................SCARLET LETTERS
Musique additionnelle............................................................TOM MORELLO
Musique composée et dirigée par........................................... JOHN DEBNEY
- 18 -
Chansons
“Should I Stay Or Should I Go”
De Mick Jones and Joe Strummer
Interprété par The Clash
Avec l’aimable autorisation de
Epic Records and Sony
Music Entertainment
(UK) Limited
En accord avec
Sony Music Entertainment
“Shoot to Thrill”
De Angus Young, Malcolm Young
et Brian Johnson
Interprété par AC/DC
Avec l’aimable autorisation de
Columbia Records
En accord avec
Sony Music Entertainment
“Monaco”
De John O’Brien
Interprété par
The Declanator
“Make Way For Tomorrow Today”
Musique et paroles de
Richard Sherman
Produit par John Debney
et Richard Sherman
Interprété par
The Stark Expo Singers
“Concerto in C Major
For Flute and Harp”
Arrangé par John Slowiczek
Avec l’aimable autorisation
de FirstCom
“The Magnificent Seven”
De Topper Headon,
Mick Jones and Joe Strummer
Interprété par
The Clash
Avec l’aimable autorisation de
Epic Records and
Sony Music Entertainment
(UK) Limited
En accord avec
Sony Music Entertainment
“California Love”
(Single Version)
De Roger Troutman,
Larry Troutman, Ronnie Hudson,
Mikel Hooks, Joe Cocker
and Chris Stainton
Interprété par
2Pac avec Dr. Dre
& Roger Troutman
Avec l’aimable autorisation de
WIDEawake-Death Row
Entertainment, LLC
Sous licence
EverGreen Copyrights, Inc.
“Good Old Days”
Écrit et interprété par
Brad Hatfield
“Another One Bites the Dust”
De John Deacon
Interprété par Queen
Avec l’aimable autorisation de
Hollywood Records
and EMI Records Ltd.
“Robot Rock”
De Thomas Bangalter,
Guy Christo et Kae Williams, Jr.
Interprété par
Daft Punk
Avec l’aimable autorisation de
Daft Life Ltd./
EMI Music France
Sous licence
EMI Film & Television Music
Contient un sample of
“Release the Beast”
Interprété par Breakwater
Avec l’aimable autorisation de
Arista Records, Inc.
En accord avec
Sony Music Entertainment
“Groove Holmes”
De Michael Diamond,
Adam Horovitz,
Mark Nishita
et Adam Youch
Interprété par Beastie Boys
Avec l’aimable autorisation de
Capitol Records, LLC
Sous licence
EMI Film & Television Music
“It Takes Two”
De Rob Ginyard et James Brown
Interprété par
Rob Base and DJ E-Z Rock
Avec l’aimable autorisation de
Profile Records, Inc.
En accord avec
Sony Music Entertainment
“Pimpin’ Guns”
De John O’Brien
Interprété par
The Declanator
“Pick Up the Pieces”
De Roger Ball, Malcolm Duncan,
Alan Gorrie, Robbie McInstosh,
Owen McIntyre and Hamish Stuart
Interprété par
Average White Band
Avec l’aimable autorisation de
Atlantic Recording Corp.
En accord avec
Warner Music Group
Film & TV Licensing
“The Caissons Go Rolling Along”
De Edmund Gruber
Arrangé par
Robert Haring
“The U.S. Air Force”
Paroles et musique de
Robert Crawford
“The Marines Hymn”
Traditionnel
AC/DC: Iron Man 2
disponible sur
COLUMBIA RECORDS
“Anchors Aweigh ”
De Alfred Hart Miles
et Charles Zimmerman
“Highway to Hell”
De Angus Young, Malcolm Young
de Brian Johnson
Interprété par AC/DC
Avec l’aimable autorisation de
Columbia Records
En accord avec
Sony Music Entertainment
“Make Way For Tomorrow Today”
Musique et paroles de
Richard Sherman
Produit et interprété par
John Debney
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