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MaguYMarin
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Meunier
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ÉricMassÉ
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baiLLiart
Cultures urbaines et d’ailleurs / Grand Lyon, Villefranche/Saône, Région…
MENSUEL GRATUIT - N°222 FÉVRIER 2016
© Bruno Pin
Yves
charpentier
Yves Charpentier
l’invité du mois
Yves Charpentier,flûtiste
etdirecteurartistique
del’ensemblemusical
Le Concert impromptu,
estàlatêtedelapremière
éditionduFestival
internationalde
crossopéra®quiauralieu
autobogganenfévrier.
UN COMBATIF
Yves, la cinquantaine, nous reçoit de son
sourire communicatif. Il est disponible,
concentré et nous perce de son regard vert.
Après quelques minutes de discussion,
nous remarquons toute l’envergure de cet
homme : artiste créateur, manageur,
producteur, metteur en scène, musicien et performeur.
Les journées sont trop courtes : il est aussi difficile de
dresser un portrait complet de cette personnalité complexe.
Il fonde Le Concert impromptu, quintette à vent (flûte,
clarinette, hautbois, basson et cor), il y a une vingtaine
d’années. Curieux de nature, il cherche à développer
son ensemble dans le paysage musical classique et
contemporain : récital par cœur, concerts dans des
lieux inattendus. Il se tourne très vite vers la mise en
scène et la création par le biais de commandes, pour
faire vivre la musique d’aujourd’hui. Sa démarche est
d’ouvrir des possibles, de créer des situations et des
rencontres, de dépasser le genre traditionnel de la
représentation scénique classique. Allant au-delà de la
rencontre des arts sur scène, il conçoit le musicien
comme danseur, comédien, créateur de son propre univers.
Ce lien profond avec le théâtre antique lui confère force
de conviction. Sur son terrain de jeu : la scène, les
mythes dialoguent avec le temps et les corps. Il donne
vie et sens aux origines premières de l'art.
Impasse de l’Ancienne Cure - 69620 Légny
Tél : 06 74 53 00 51
Email : [email protected]
www.491.fr - twitter.com/mensuel491
INCLASSABLE
Yves parcourt le monde entier à la tête du Concert
impromptu : du Japon aux Etats-Unis, du Brésil à
l’Afrique. De nombreux projets naissent de rencontres
et de hasard : avec la compagnie de danse américaine
Sokolov, avec la chanteuse Juliette ou Enzo Enzo et Kent.
Chaque proposition, que ce soient concerts, cross opéras®
ou interventions, est unique et originale. Ainsi pouvons-nous
voir Le Concert impromptu sur scène en short et crampons
sur la musique de Bach ou en plein déchaînement sur du
Zappa. Leur répertoire musical est donc très vaste. Actant
pour une création contemporaine, Yves travaille avec
de nombreux compositeurs, creusant ainsi plus profondément sa recherche d’expression. Il s’enquiert de toujours
être dans une interprétation de l’instant, dans la justesse
du moment, au service de la musique. Il ose jouer des
standards classiques comme La petite musique de nuit
de Mozart par une formation de musique de chambre
peu banale.
Chaque mois 491 offre une carte blanche à un acteur ou une actrice
de la vie culturelle
lié au désir d’être au plus proche de l’homme. Cette exigence
se ressent instrumentalement et musicalement. On sent à
travers ce corps qui parle toute la passion et l’engagement
de l’artiste qui fait de sa vie une œuvre. Cet art éphémère
de l’instant qu’est la musique parle à tout un chacun
du visible et de l’invisible, de l’onirique à la réalité.
Yves nous cite René Char, le poète : « Enfonce-toi dans
l’inconnu qui creuse. Oblige-toi à tournoyer. »
LE CROSS OPERA®
Le Cross Opéra® ?
Des musiciens auteurs de leurs propres spectacles,
des virtuoses inspirés par leurs instruments et soucieux
de les dépasser,
des interprètes fous de nouvelles musiques,
des artistes passionnés pour une scène musicale toujours
réinventée.
Parce que depuis trois décennies, la musique se rejoue
au Centre des Arts scéniques, il semble essentiel d’inscrire
ces nouvelles pratiques sous une définition qui leur
permet d’exister pleinement : le Cross Opéra®.
Aux côtés des représentations classiques, le récital
instrumental et vocal, l’opéra, nous voyons émerger de
nouvelles représentations musicales par des ensembles
dynamiques, souples et à taille humaine : des ensembles
tout-terrain et de haut niveau.
Par des ensembles inventifs
Ces ensembles qui écrivent une nouvelle scène musicale
se nomment Percussions de Strasbourg, Percussions Claviers
de Lyon, Ensemble Odyssée, Musicatreize, Quatuor
Belà, Quintette Pentaèdre, Concert impromptu, etc.
Le Cross Opéra® apparaît sous l’impulsion d’interprètes
créatifs qui dépassent leur mission première de passeurs
de musique pour devenir des interprètes créatifs.
L’émergence de ces pratiques constitue une alternative
d’avenir vis-à-vis des représentations classiques de la
musique.
Pour créer un événement
Le Festival International de Cross Opéra® est une
plateforme des nouvelles pratiques spectaculaires et
innovantes de la musique classique et contemporaine
pour une totale renaissance.
Le Festival International de Cross Opéra® invite
l’ensemble de percussions TaCTus, l’ensemble TARKA,
Le Piano Ambulant et Le Concert impromptu, tous
pionniers du CROSS OPERA®.
Le Festival International de Cross Opéra® est l’endroit
où être pour découvrir les facettes les plus osées,
ludiques et créatives de la musique classique et contemporaine en renouveau avec des spectacles proposés au
grand public et aux enfants.
Un livre Les aventures de Nick Adams |
Ernest Hemingway
Une musique La musique que je suis
Un film If | Lindsay Anderson
PAR AMOUR
Le Concert impromptu sort des sentiers battus et surprend
par sa créativité, toujours dans un esprit de qualité et
de grande humanité. Yves ne se restreint pas aux archétypes
établis, il se fie à son instinct et à sa sensibilité : en
témoignent la richesse, la diversité et la profusion de
son activité. Le désir de faire et de partage est intimement
Festival International de Cross Opéra®, 1ère édition
Toboggan, les 18, 19 et 20 février 2016
RÉDACTION ANNE HUGUET - CHRISTOPHE JACQUET - ELISE TERNAT
AGENDA COLINE PIN
SECRÉTAIRE FREDERIQUE MATAGRIN
PUBLICITÉ 06 82 37 53 38 - 06 74 53 00 51
MAQUETTE ET INFOGRAPHIE JEAN-MARC CLEYET-MARREL - Tél : 04 78 39 89 27
[email protected]
IMPRESSION IPS Reyrieux
...491 est édité par 491 Sarl de presse au capital de 305€ - Impasse de l’ancienne Cure - 69620 Légny
ISSN : 1268-9149 - SIRET : 4032501600021
DIRECTEUR DE PUBLICATION JEAN-MARC CLEYET-MARREL
© 491 2015. Tous droits de reproduction réservés. ...491 est édité sans aucune subvention
32000 exemplaires
/ Février 2016 / N°222 / 3
© Hervé Deroo
spectacles
vivants
c'estunretourenforce
quenousoffrela
Compagnie Maguy Marin
avecautantd’œuvres
galvanisantesd'unart
chorégraphique,
ôcombien,salvateur
encespériodesobscures.
piècesemblématiques
d'unedanseminimaliste
àlapuissancesans
cesserenouvelée,
umwelt,Mayb,bitet
singspiele composentles
îlotsd'unarchipeldansé.
séancederattrapage
fortementrecommandée.
May B
L’archipel
dansé de
Maguy
Marin
Propos recueillis par Elise Ternat
Créée en 2004 à Décines, Umwelt a été présentée
au dernier Festival d'Automne. En quoi est-il
nécessaire de reprendre cette pièce aujourd'hui ?
Maguy Marin - Nous avions envie de la reprendre
car elle fait partie des pièces marquantes pour la
compagnie. D'une part parce qu’à sa création elle a
été très mal accueillie, ce qui a suscité pour nous de
nombreuses questions. En effet, il y a eu beaucoup de
violence de la part du public, les gens se sont levés, sont
sortis avant la fin. Umwelt faisait certainement peur
à ce moment-là. C'est grâce à une vraie mobilisation
de la part des programmateurs que les choses se sont
peu à peu apaisées.
D'autre part, dans sa forme, Umwelt correspond à
un tournant dans ma manière de travailler. Je cherchais
à créer en quelque sorte un montage, comme au
cinéma, une série de plans, pour constituer une fiction,
un flux plutôt qu'un récit. En cela elle m'a permis
de trouver de manière évidente ce que je cherchais
depuis plusieurs années.
Par opposition à Umwelt, May B serait donc une
pièce narrative ? Montée en 1981, elle a été jouée
plus de 700 fois. Comment expliquez-vous un tel
succès ?
Elle s'inscrit dans une continuité, on peut dire qu'elle
est narrative. Elle raconte à travers les corps une
communauté de personnes, la terre, le monde...
Tous sont forcés de vivre les uns avec les autres alors
que personne ne peut se supporter. Dans May B il
y a cette tendresse du vivre ensemble. Si la pièce
résonne aujourd'hui, c'est parce que la parole de
Beckett traite de cette relation humaine si problématique. May B est une humanité faite d'amour,
de tendresse, de violence et de haine entre les êtres,
une essence qui transcende les époques.
L'installation en 2015 au Ramdam marque une
nouvelle étape, un nouveau projet pour votre
compagnie. Quel est-il ?
Nous avons acheté le Ramdam en 1997, initialement
pour nous y installer. Mais à ce moment-là, j'étais
au Centre Chorégraphique de Créteil, on m'a ensuite
proposé le CCN de Rillieux-la-Pape, puis Toulouse...
4 / Février 2016 / N°222 /
Le retour dans ce lieu avec notre équipe permanente
permet d’insuffler une énergie nouvelle. Le Ramdam
continue d’accueillir près de vingt compagnies par
an, parmi lesquelles nous nous glissons entre deux
tournées. Cela permet d'une part la rencontre, mais
également le mouvement entre artistes et compagnies.
Le projet est aujourd'hui de fédérer des artistes,
musiciens, comédiens, chorégraphes (...) autour de
projets communs. Une large place est également donnée
à la formation, la transmission avec des étudiants
de l'ENSATT, du Conservatoire, des chercheurs...
Enfin, chaque année durant une semaine nous présentons des pièces anciennes ou marquantes de la
compagnie comme c'est le cas pour Umwelt que
nous rejouerons du 3 au 6 février.
Vos œuvres sont parfois considérées comme
radicales. Cette forme-là est-elle un moyen de
faire passer un message au public, de le toucher ?
Ce n'est pas une volonté de ma part, mais plutôt
un effet provoqué par mes spectacles. Lorsque j'ai créé
Nocturnes par exemple, j'avais le souhait d'une pièce
poétique. C'est une forme très contemplative qui se
laisse regarder comme on observerait un paysage,
sans forcément penser. Or, le fait de prendre le temps
de contempler une série de scènes séparées les unes
des autres par une séquence dans le noir est insoutenable, voire très violent pour certains. À une période
où le zapping est permanent, le rythme donné à la
pièce l'a rendue politique. Il en a été de même pour
Turba, une pièce joyeuse et colorée. Là encore le fait
d'aborder la poésie de Lucrèce a bloqué certaines
personnes. Comme s'il y avait un complexe de la société
qui ne se sentirait pas capable, qui ne s'autoriserait pas
l'effort. Si tout est d'emblée accessible ne risque-t-on
pas de sombrer dans la facilité ? Et si tout est déjà
là, quelle place reste-t-il pour rêver ? Un effort est
toujours nécessaire pour pouvoir repenser les choser
et ainsi se les approprier, les faire siennes.
Umwelt au RamDam, du 3 au 6 février
« Archipel Maguy Marin » à la Maison de la Danse
May B à la Maison de la Danse, du 29 février au 2 mars
Bit au Toboggan à Décines, les 4 et 5 mars
Singspiele au TNP, les 16 et 17 mars
© Sonia Barcet
spectacles
vivants
Le Retour au désert
dans terreur dans l’hexagone, son
nouvelessai,gillesKepelradiographie
lasociétéfrançaise« entréedansl’ère
rétro-coloniale,retourdurefoulénordafricaindenotrehistoire ».cerefoulé,
bernard-Marie Koltès l’a traité bien
avant,demanièreinattendueetdécapante.Leretouraudésert,pièceécrite
un an avant sa mort, oppose une
sœuretunfrèreautourdel’héritage
familial.deretourd’algérieenguerre,
Mathilde débarque en Lorraine et
réclameàadrien,notableprochede
l’oas, la maison que lui ont laissée
leursparents.ilssedéchirentsousl’œil
desdomestiques.aprèsstefanoMassini
etMichelvinaver,ledirecteurdela
comédie de saint-etienne Arnaud
Meunier aborde Koltès avec cette
comédiefantastique,quitombeàpic.
Guerre
à domicile
Propos recueillis par Christophe Jacquet
Sans un bon duo d’acteurs, vous le dites,
la pièce ne tient pas…
C’est un projet singulier. Une pièce de troupe,
avec quatorze comédiens, écrite à l’origine
pour Jacqueline Maillan et Michel Piccoli.
Toute la dramaturgie est emportée par le couple
frère-sœur. Or, depuis sa création en octobre à
Saint-Etienne, personne n’a vu que leur
chamaillerie est une métaphore des relations
entre la France et l’Algérie. Adrien accueille
Mathilde comme un colon parle à un indigène.
Selon Heiner Müller, Koltès l’a pensée pour être
jouée par deux monstres sacrés. Pour moi,
elle n’a été possible qu’au moment où
Catherine Hiegel accepte d’interpréter Mathilde.
Chez Koltès, comme chez vous, Le Retour au
désert marque un vrai cap vers la comédie…
A l’époque du Retour…, Koltès ne supporte plus
que ses pièces soient prises très au sérieux, qu’on
ne perçoive pas la dimension comique. Le
Retour au désert est une comédie sans être
un vaudeville. A chaque représentation, on
marche sur une ligne de crête. Il faut déclencher
le rire sans faire virer la pièce, donner à entendre
son acidité, son grincement. La comédie arrive
naturellement dans mon parcours. Je n’avais
jamais fait la filiation entre Koltès et Michel
Vinaver et, pourtant, elle existe. Vinaver a écrit
un article entier sur Koltès, sa langue, sa
mécanique. Il se plaint aussi qu’on ne saisisse pas
l’ironie dans son œuvre. Alors que son modèle
ultime, c’est Gogol. J’ai glissé de l’un à l’autre
intuitivement. Ils dessinent un paysage de
poètes qui lient poétique et politique. A travers
la chimie de la langue. Ce point traverse
toutes les pièces que j’ai mises en scène.
Les Célestins, du 3 au 11 février
© Sonia Barcet
Pourquoi exhumer Le Retour au désert
aujourd’hui ?
Je veux faire depuis longtemps une pièce qui
parle de notre passé colonial, singulièrement de
notre rapport à l’Algérie. C’est une des clés du
malaise français. Le Retour au désert - c’est
évident - provoque le débat. Et prend son
écho le plus fort lors des monologues, quand
les personnages questionnent leur identité.
Quand Mathilde se demande « Où est ma
patrie / Ma patrie n’existe pas ». Quand le
parachutiste noir dit qu’un pays existe, puis
n’existe plus, que les frontières bougent,
qu’on ne sait plus où l’on habite. Quand
Aziz enfin affirme : « Je ne suis ni Français,
ni Algérien, mais un couillon. » Koltès était
précurseur. Il a senti qu’il fallait s’attaquer à
l’attachement du Français moyen à sa terre.
Il y a chez lui une haine de la médiocrité, de
la petite bourgeoisie, et un appel à une
France métissée. Je le rejoins.
Pourquoi est-ce elle et personne d’autre ?
Parce que Catherine est profondément « koltésienne ». Elle a un sens inouï de la partition,
du respect de la langue, de sa vivacité. C’est
la première raison. La seconde, c’est qu’elle a
quelque chose de Jacqueline Maillan. Elle aime
la comédie, le rapport avec le public, sans le
chercher de manière vulgaire mais en finesse.
Je pense que Koltès a aussi écrit la pièce pour elle,
sans le savoir. Elle me répond que, d’une certaine
manière, elle est une nouvelle Maillan. La rage
de Mathilde cache une forme de désarroi, de
fragilité. Catherine est comme cela.
/ Février 2016 / N°222 / 5
© Elisabeth Carecchio
spectacles
vivants
Rendez-vous Gare de l’Est
Emilie ou un conte
de la folie ordinaire
Par Christophe Jacquet
Avant même le début de la représentation,
elle est déjà attablée, assise sur sa chaise de
café pour seul décor. Elle regarde le public
s’installer, avec ses yeux doux, un discret
sourire. Puis elle commence à parler, à nous
parler comme si on était arrivé un peu en
retard dans son récit. Elle se raconte, on
prend le train en marche et elle ne va plus nous
lâcher pendant une heure. On rencontre une
femme on ne peut plus vivante, attachante, pas
toujours tout-à-fait là avec nous. Cette femme,
c’est Emilie. Une trentenaire d’aujourd’hui
qui vit avec son amoureux, des désirs
contradictoires d’enfant et de travail, et la
maladie. Emilie le dit, elle évolue sous
Liciture, Effexor, Haldol… « J’ai aussi de
l’Abilify, je trouve que le mot est poétique.
Abilify, ça fait papillon. J’en prends une
grosse dose et en fait c’est un médicament,
moi je trouve que ça fait papillon, fye, fly…
et en fait c’est un médicament qui t’empêche
de faire des interprétations… » Son existence
sous influences nous parvient, nous touche
dans un souffle au long cours, avec
quelques hoquets. Emilie ne raconte pas
son histoire d’un trait, elle tire son portrait
à plusieurs faces, aux coins coupés par des
séjours à l’asile. Guillaume Vincent l’a
écrit d’après les entretiens qu’il a menés,
pendant six mois, avec une amie maniacodépressive. Pour autant, Rendez-vous Gare
de l’Est, spectacle initié par l’ouvrage
Paroles prisonnières de Raymond Depardon,
créé en novembre 2012 à Reims, n’est pas
uniquement documentaire. S’il nous renseigne
sur le syndrome, le monologue composé par
cet ancien du Théâtre National de Strasbourg
agit avant tout sur le temps, le module au
gré des accès d’euphorie ou des chutes
d’Emilie. Pour tenir à la fois le rythme et le
cap de cette conversation fictive, dont les
questions ont été effacées, Guillaume
Vincent l’a confié à une complice du TNS
elle aussi, Emilie Incerti Formentini. Il a
bien fait. On a rarement vu comédienne
plus juste à la lisière de la folie.
Théâtre de la Croix-Rousse, du 9 au 13 février
Avec Ibsen, Braunschweig
sanctionne l’illusion
de la vérité
Par Christophe Jacquet
Les fils ne sauraient racheter la faute des
pères. En tout cas, ils s’y prennent mal. Et
le paient cher. C’est tout le propos du
Canard sauvage, pièce d’Henrik Ibsen
intercalée entre Un ennemi du peuple et
Rosmersholm. Une thématique prisée,
peaufinée par le dramaturge norvégien,
pour qui « le déni », comme l’indique
Stéphane Braunschweig, son metteur en
scène attitré aujourd’hui en France, « est à la
fois un moteur de vie et la clé du malheur ».
A des degrés divers, il façonne tous les
personnages du Canard sauvage, dont le
mensonge de leurs vies se consume au
contact d’un arrière-plan fabuleux et
effrayant, cette forêt primaire que des
hommes, péché originel, ont détruite pour
s’enrichir, et qu’une famille, les Ekdal,
reconstitue dans son grenier pour l’expier.
6 / Février 2016 / N°222 /
Le mélodrame prend corps avec Gregers
Werle, un intellectuel forcené, névrosé :
en froid avec son riche négociant de père,
il croit enfin prendre sa revanche en voulant
affranchir son ami d’enfance Hjalmal Ekdal,
photographe raté. Les géniteurs de Gregers
et d’Hjamal ont fait affaire ensemble par le
passé, sur le dos de l’Etat et de la nature.
Mais seul le vieux lieutenant Ekdal en a
fait les frais. Mû par un « idéal de vérité et
de transparence » ou atteint d’une « fièvre
de probité aiguë » (c’est selon), Gregers
investi par Claude Duparfait - tout en retenue
et subtilité, à l’image de toute la distribution s’immisce dans le foyer d’Hjalmal et en
ronge l’équilibre factice. La révélation des
fautes - ce feu qui couve tout au long du
spectacle -, Stéphane Braunschweig la
contient à son habitude par sa mise en
➜
© Jean-Louis Fernandez
Fugue
L’amour en fuite
sur la banquise
Par Christophe Jacquet
pain dans un caquelon à Chamonix, et leur
station est de fortune. Un cabanon en plastique
où ranger et faire sonner le piano, la clarinette,
la batterie et le violoncelle. Sur cette neige de
gravier (de la litière pour chats ?), d’où l’on
sort table et chaises de camping, l’aventure
est prétexte. Comme l’énonce Samuel
Achache, il est encore « question de l’amour
et de la mort comme d’habitude », « et on
chante quand les mots manquent ou ne
suffisent pas ». Sans réel début ni fin, le récit
de cette expédition en surplace entrelarde
leurs petites histoires affectives d’airs de la
Renaissance ou baroques, interprétés sous
le régime complexe de la fugue.
Délicieusement péremptoire, leur quête
d’absolu ménage quelques morceaux de
bravoure hilarants. Comme quand le fantôme
d’un amour trop tôt perdu revient en plongeur
olympique en baignoire. Chez Achache et
ses complices, cette gratuité fait sens :
les dérives individuelles n’empêchent pas
de trouver l’unisson. Nous voilà émus de rire.
Théâtre de la Croix-Rousse, du 2 au 6 février
Espace des Arts, 9 février
Comédie de Valence, du 14 au 16 mars
© Elisabeth Carecchio
Comment s’accorder, comment trouver
l’harmonie à plusieurs, alors que chacun
est si seul ? Il y a deux ans, presque jour
pour jour, ici-même au Théâtre de la
Croix-Rousse, le Raoul Collectif se posait
déjà la question dans l’enthousiasmant
Signal du promeneur. Les cinq jeunes
acteurs belges cherchaient leur voie dans
l’obscurité du monde, du moins celle d’une
forêt, à travers la musique, l’érudition
scientifique, le chant, les péripéties extrêmes
et la loufoquerie. A la tête de La Vie Brève,
autre collectif, Samuel Achache emboîte
le pas, mais dans le Grand Blanc. Pour sa
première mise en scène personnelle, intitulée
Fugue, l’acolyte de Jeanne Candel sur la
tournée triomphale du Crocodile trompeur,
transporte six comédiens, chanteurs et
musiciens à la fois - dont lui-même - au Pôle
Sud. Deux nouvelles recrues rejoignent une
équipe de chercheurs hétéroclite, plus ou
moins résolue à déceler un lac souterrain
et son eau pure sous quatre kilomètres de
glace. Ils pérorent, font les fiers, mais n’ont
rien pour affronter l’Antarctique. Ils sont
plus habillés pour tourner les croûtons de
Le Canard sauvage
scène rigoureuse, aux contours expressionnistes, logée dans un décor sur
trois plans, impressionnant. Dans son
adaptation du Tartuffe, il s’écroulait
doucement sur lui-même. Là, seul le
plancher s’incline et conduit, dans une
surprenante veine comique, la petite
communauté vers l’issue fatale, le
sacrifice de l’un des siens. Dont tout le
monde, c’est la cruauté du final, se
remettra, contre toute logique.
TNP, du 2 au 6 février
Comédie de Saint-Etienne,
du 10 au 12 février
/ Février 2016 / N°222 / 7
par Christophe Jacquet
© Arnaud Bertereau - Agence Mona
■ Béatrice Dalle a de l’appétit. Son premier
véritable rôle au théâtre la voit revêtir
la longue robe tachée de sang de
Lucrèce Borgia. La princesse détestée
par toute l’Italie, elle la voit, elle, « plus
incestueuse que maternelle ». Dans sa
pièce, écrite en 1832 à la suite du Roi
s’amuse, Victor Hugo a voulu « mettre
une mère » dans le monstre, son héroïne
tragique devant faire autant pitié que peur.
Après Roméo et Juliette, le metteur en
scène David Bobée distille Lucrèce Borgia
et son romantisme noir dans un sombre
écrin. Une vaste cour noire irisée par
les néons, ouverte sur un bassin dans
lequel Béatrice Dalle se débat parmi une
troupe d’athlètes fougueux. Peut-être
encore impressionnée par son personnage
de Pythie manichéenne, elle n’évolue
pas à leur hauteur. Mais, de l’ouverture
festive à Venise à la conclusion mortuaire
à Ferrare, le spectacle déroule trois
tableaux puissants.
Lucrèce Borgia
© Henri Granjean
THÉÂTRE express
CHRONIQUE
Radiant-Bellevue, le 11 février
Théâtre de Villefranche, les 2 et 3 février
© Pascal Gély
Piscine (pas d’eau)
Chère Elena
© Pascal Gély
Nothing Hurts
L’Avare
8 / Février 2016 / N°222 /
■ Jeune metteur en scène du cru, Carlos Viera
n’a pas froid aux yeux. Un an à peine après avoir
adapté 4.48 Psychose de Sarah Kane, il renoue
avec le beau bizarre, l’exploration d’une vie en
marge. A la tête du Kane Collectif, il s’attaque à
Nothing Hurts de Falk Richter, pièce en forme de
duel imprégnée par le Crash de Ballard et Cronenberg,
pensée à l’origine pour une chorégraphe. Elle
confronte deux femmes : Sylvana, l’artiste, et Bibiana,
la journaliste, qui s’attirent mais jamais ne coïncident.
L’une repoussant sans cesse ses limites, l’autre
peinant à suivre cette fuite d’identité en avant.
Théâtre de l’Uchronie, du 17 au 20 février
Carré 30, du 19 au 22 mai
© DR
■ Sur scène, David Ayala est un ogre.
Il fait jeu de tout bois. Chez l’Anglais
Dan Jemmett, on l’a vu endosser, par
exemple, les deux jumeaux à la fois de
la cartoonesque Comédie des erreurs de
Shakespeare, et Macbeth (ou plutôt le
metteur en scène qui ne parvient pas à
monter Macbeth). Le Père Ubu chez
Pierre Pradinas. Cette année, il intègre
un groupe de joyeux drilles, la
Compagnie Gazoline. Près de quatre
ans après une première version au
Festival d’Avignon, elle reprend Piscine
(pas d’eau), la comédie désabusée de
Mark Ravenhill. Tirée de la vie de la
photographe Nan Goldin, elle réunit
quatre artistes ratés autour de leur
haine réciproque pour une ancienne
amie, devenue riche et célèbre. Quand
celle-ci les invite à profiter de sa piscine,
la nostalgie est vite balayée. A l’humour
cru de Ravenhill, Cécile Auxire-Marmouget
ajoute encore un peu de noirceur. Une
couleur qui amincit Ayala et sa nouvelle
bande.
Les Célestins, du 3 au 13 février
■ Les occasions de voir Myriam Boyer à Lyon
sont rares, alors que l’actrice rude et merveilleuse
ne cesse de vanter sa ville natale, son public
populaire et sa qualité d’écoute… Après avoir
entonné La Vie devant soi de Romain Gary au
Théâtre de la Croix-Rousse en 2009, et récupéré
le rôle de Simone Signoret dans Le Chat en fin
d’année dernière au Théâtre Tête d’Or, elle revient
vite, pour une fois, à nouveau dirigée par le metteur
en scène Didier Long. Dans Chère Elena, pièce de
Ludmilla Razoumovskaïa, aussitôt retirée de l’affiche
à Moscou en 1981 pour dépeindre aussi crûment
la jeunesse russe sous Brejnev, elle incarne un
professeur rivé à ses idéaux. Quatre élèves débarquent
chez elle un soir pour fêter son anniversaire et
mieux la contraindre, la prendre en otage, la forcer
à revoir ses copies de maths qui compromettent
leur entrée à l’Université. « Avec moi, vous êtes mal
tombés », qu’elle leur assène bientôt. Comme
tous ceux qui ont proposé à Myriam Boyer de
faire des concessions, de se compromettre…
■ Laurent Poitrenaux est grand, et heureusement
cela se sait de plus en plus. Le comédien au regard
troué, enfin trouvé par le cinéma, n’éblouit jamais
autant qu’aux côtés de son metteur en scène
fétiche, Ludovic Lagarde. Délaissant pour un
temps les personnages hallucinés inventés par
l’écrivain Olivier Cadiot, le patron de la Comédie
de Reims lui propose cette fois de sublimer
Harpagon. L’Avare de Molière est transposé en
pleine paranoïa contemporaine, et le fanatique
de sa cassette, l’usurier compulsif, est le nouveau
porteur de la banalité du mal, de la barbarie née
de l’argent. Il reste un tyran domestique d’un
nouveau genre. Au sein de son QG, un entrepôt
où les containers et les cartons s’accumulent,
balayés par les caméras de surveillance et les
alarmes, Harpagon orchestre sa terreur quotidienne.
Prête à exploser à la moindre étincelle. Et Poitrenaux
excelle en feu qui couve sous la cendre.
TNP, du 17 au 21 février
spectacles
vivants
Un Richard III
halluciné
JeanLambert-wild
© Tristan Jeanne-Valès
Par Elise Ternat
Richard III
Œuvreshakespeariennepar
excellence,richardiii estunepièce
historiquequi,àtraversl'unicité
desonpersonnage(monstredifforme
assoiffédepouvoir),n'acessé
defascinerdepuissacréation.
etc'estuneadaptationpourlemoins
hallucinéequeJeanLambert-wild
etassociéss'apprêtentàprésenter
surleplateaudutngdu3au6février.
Programmé au Théâtre des Ateliers la saison passée
et accueilli aux Célestins avec l'impressionnant War
Sweet War, Jean Lambert-wild manie le théâtre à
la manière d'un vecteur de recherche permanente.
L'œuvre qu'il construit et défend se veut par essence
un lieu d'ouverture, riche d'influences aussi
diverses que les nouvelles technologies, la magie
ou encore la philosophie. C'est un espace de dialogue
entre les disciplines qui s'y mêlent et s'y expriment,
un art par essence « multi-médiums ». Pour chacune
de ses créations, il convoque une équipe de fidèles
collaborateurs et permet ainsi la mise en réseau de
compétences dictées par les disciplines convoquées.
En interrogeant les codes de la narration comme ceux
de la représentation, Jean Lambert-wild donne vie
à des pièces aux ambiances pour le moins survoltées
à l'instar de ce dernier spectacle dont le caractère
hors norme se fait déjà « pré-sentir »...
A commencer par le personnage de Richard III.
Prenant le contrepied des incarnations canoniques
jusqu'alors adoptées, c'est sous l'apparence d'un clown
étrange, inquiétant, drôle et imprévisible qu'apparaît
l'habituel tyran auquel Jean Lambert-wild prête les
traits. Monstrueux et précieux, drôle sans cesser
d'être tragique, ce dernier veut ici donner à voir la
figure d'un individu aussi complexe et paradoxal
que l'est la nature humaine.
Myself upon myself fonctionne telle une devise et
annonce l'effet de miroir porté par un jeu en duo
avec la comédienne Élodie Bordas. À travers ce
choix, il s'agit de créer une mise en abyme et cela à
différents niveaux : celui des personnages, de l'histoire
et des acteurs eux-mêmes.
Comme dans chacune des créations de Jean
Lambert-wild entrent en jeu de multiples dispositifs.
Vidéos et nouvelles technologies se mêlent à des
techniques plus rudimentaires. Un mannequin en
coucou suisse en guise de roi Edouard, des bouches
éveillées sur une roue avec stroboscope pour les fils
de la reine Elisabeth, le visage du duc de York projeté
via des techniques de mapping sur des barbes à papa
composent une surprenante galerie de spectres et
de fantômes.
Le décor enfin, dessiné par l'artiste Stéphane
Blanquet, donne à l'ensemble des allures de fête
foraine surannée. Tel un troisième personnage, il
s'apparente à une façade de carrousel salon, un
train fantôme ou un infernal palais du rire.
Avec la volonté d'embarquer le spectateur en territoires
inconnus dans lesquels l'illusion interroge et enrichit
sans cesse le réel, cette nouvelle adaptation de
Richard III figurera à n'en pas douter parmi les
spectacles les plus déjantés de la saison.
Théâtre Nouvelle Génération – TNG, du 3 au 6 février
/ Février 2016 / N°222 / 9
© Dani Alvarez
© Martin Girard
spectacles
vivants
Révolution(s) annonce le Ballet de l’Opéra de Lyon qui
surprend, une fois de plus, par ses choix chorégraphiques
où les danseurs (et danseuses) sont capables de faire le grand
écart dans les styles. Après le chorégraphe néoclassique
Roland Petit entré au répertoire en novembre, c’est dans un
tout autre registre que le Ballet, reconnu pour sa technicité
et sa grande capacité d’interprétation, va s’illustrer en
reprenant deux pièces récentes : Sunshine de l’israélien
Emmanuel Gat et Tout autour de Rachid Ouramdane.
Nouvelle venue au programme, la lisboète Tañia Carvalho
présentera sa création pour 18 danseurs Xylographie où
elle s’intéresse « à l’idée d’imprimer le mouvement sur
la scène. Prendre une phrase chorégraphique et faire comme
si tous les danseurs étaient le même danseur, effectuant
le même mouvement, mais dans des timings différents.
Je me suis inspirée du procédé de la xylographie*,
notamment celles en couleurs.» Une pièce aux mouvements
très précis où l’on devrait retrouver la danse très physique
et sensible de la Portugaise qui signe également la musique,
avec le compositeur Ulrich Estreich. Une soirée idéale
pour découvrir la jeune garde de l’art chorégraphique
contemporain.
(*)procédé de reproduction multiple d'une image à l’aide d’une tablette de bois
Varekai
Avis aux amateurs de sensations fortes, le Cirque du Soleil
fera escale à Lyon avec Varekai (va-ré-kaille). On devrait
y voir la crème des circassiens mondiaux dans des numéros
tous plus fascinants les uns que les autres. Courroies et
cerceaux aériens, balançoires russes, solos d’équilibristes
sur béquilles et sur cannes, mais aussi la vieille tradition
circassienne de la danse géorgienne : les numéros vont
s’enchaîner au milieu d’un paysage imaginaire - dans une
forêt, au sommet d’un volcan - accompagnés d’une débauche
de lumières, de costumes incroyables et de musique live.
On sait qu’on approchera la perfection et que la prise de
risque sera maximale. On aimerait juste que les artistes
soient plus généreux et que quelques grains de sable
viennent gripper la machine pour donner un peu de
chaleur et d’émotion à un show sublime… trop parfait !
© Michel Cavalca
Toboggan, du 9 au 13 février
Sunshine
Violeta
Après l’annulation surprise des Suédois déjantés de Cirkus
Cirkör, place à Violeta, concert-cabaret qui mettra en
apesanteur sept acrobates de haut-vol, tous sortis des
meilleures écoles de cirque du monde entier (Bruxelles,
Lima, Londres, Barcelone...) - et déjà vus, pour certains,
chez La Scabreuse (Jordi Serra Baleri) ou Le Cirque Hirsute
(Joan Ramon Graell). A leurs côtés, cinq musiciens affûtés,
membres de Venancio y los Jóvenes de Antaño, joueront
live pendant que leurs petits camarades du Collectif La
Persiana s’amuseront à voler dans les airs au trapèze fixe,
grimperont à l’horizontal sur leur mât chinois, tiendront
l’équilibre sur une pauvre échelle ou feront rêver avec
un pas de deux à la roue Cyr. Tout ce beau monde défend
aussi l’idée d’un grand cirque collectif avec comme
mantra « rendre possible l’impossible ». Une manière
aussi de penser le monde différemment : utopique, qui
a l’odeur de l’été, plus lumineux et souriant.
De la précision, de la prise de risque, de l’humour, une
approche parfois théâtrale, quelques pas chorégraphiés et
une vitalité joyeuse sont les ingrédients essentiels de ce
spectacle sincère qui cherche à ne pas laisser indifférent.
Cirque Imagine à Vaulx-en-Velin La Soie, du 19 au 21 février
Biennale du Cirque de la CAPI, 27 au 29 mai
Halle Tony Garnier, du 3 au 7 février
Dancefloor géant chez Eun-Me Ahn
Par Anne Huguet
© Young-Mo Cheo
Eun-Me Ahn a mis du temps à être invitée en France.
Cette grande dame de la danse coréenne, affectueusement
nommée la « Pina Bausch de Séoul », revient avec une
pièce farfelue et haute en couleurs, Dancing with
grandmothers où elle fait danser, pari improbable, des
grands-mères (60 à 90 ans !) sud-coréennes, un spectacle
vivifiant et énergique qui raconte l’instinct de vie qu’est
la danse.
En 2010, alors qu’elle sillonne les routes et les campagnes,
elle demande à des femmes âgées - paysannes, mais aussi
pharmaciennes, bouchères et même sans-abri - de danser
pour elle sur leurs tubes de jeunesse. Le résultat est
Dancing with grandmothers
10 / Février 2016 / N°222 /
saisissant, les ajummas (femmes mariées, par extension
grands-mères en coréen) semblent revivre en redécouvrant
une part de leur jeunesse par le seul plaisir du mouvement.
« Leurs danses étaient si naturelles et si vivantes qu’elles
ont entraîné dans leur mouvement les jeunes danseurs
de ma troupe. Chacun de leurs gestes reflétait la rudesse
de leurs conditions de vie. Comme si on regardait un
extrait d’un documentaire qui parlerait à la fois du passé
et du sol », explique-t-elle dans sa note d’intention.
Conçue en trois actes, avec un entre-deux sous forme
de projections (images de ces grands-mères dansant),
cette pièce à l’énergie contagieuse démarre sur un solo
facétieux de la chorégraphe au crâne rasé. Avant un
déferlement de décibels et de mouvements lorsque
ses danseurs déboulent sur scène pour vingt minutes
de folie dansée, à la limite de la transe. Le 3e acte réunit,
enfin, jeunes et plus vieux (12 grands-mères et un papy
dansant le tango) pour un final jouissif et virevoltant,
où tout le monde, dans une joyeuse cacophonie colorée,
se laisse emporter par le plaisir de la danse collective
sur une bande-son détonante. On en sort éberlué par
ce tourbillon d’énergie qui fait se télescoper tradition
et modernité, transmission et transgression, techno et
folklore. Et à la fin le public peut même s’inviter à la
danse ! Improbable.
MC2 Grenoble, les 3 et 4 février
Maison de la Danse, les 10 et 11 février
Comédie de Valence, le 31 mars
© Samuel Poncet
spectacles
vivants
Sublime
Miroir,
suis-je beau ?
Par Anne Huguet
Revoilà les trublions de la Compagnie
Arcosm avec, cette fois-ci, un diptyque
composé de deux pièces qui devraient
graviter autour des mêmes thématiques
tout en prenant, évidemment, des chemins
de traverse différents. Au menu, du théâtre
musical puisque c’est leur marque de
fabrique, ce mélange iconoclaste de danse
et musique avec pour mission de véhiculer
l’émotion, de créer de la poésie, de faire rêver,
mais aussi de questionner et de titiller là où
le bât blesse. C’est donc Sublime qui ouvre
le bal, une pièce à quatre autour de l’apparence, créée en novembre 2015. « Une œuvre
sur le paraître, explique Thomas Guerry
le maître ès mouvements du duo qu’il forme
avec le musicien et compositeur Camille
Rocailleux. Comment on cherche à se
sublimer pour arriver à ses fins, pour
s’intégrer au groupe, pour exister. C’est un
spectacle très zappé avec plein de saynètes
qui s’enchaînent et dans lequel on joue
beaucoup avec les clichés. Pour une fois, il
n’y a pas d’évolution dans les personnages,
qui sont complètement interchangeables. »
Sur scène, deux musiciennes (altiste et
violoncelliste), une danseuse, un comédiendanseur, un écran vidéo et une poubelle
font le show pour questionner, sous une
apparente légèreté, pas mal de sujets sérieux
tels que la notion d’image, l’effet de
starisation ou de starification, l’uniformisation, la mode et la hype, le beau,
mais aussi la publicité, la manipulation
et au bout de la boucle une « vraie question
sur la surconsommation et simplement la
consommation. Et si on arrêtait de jeter
sans arrêt… ? »
Des projections, de la danse, de la musique,
une conférence absurde sur l’image avec
des mots savants et une gestuelle de plus
en plus délirante façon Arcosm, des
costumes qu’on jette dans une poubelle
bientôt pleine : « ça zappe en permanence,
on joue sur le cadre et le hors-cadre, ce qui
se passe à l’intérieur » ; le langage est
toujours léger et la galerie s’amuse. Même
si l’humour, arme souvent dégainée par
le duo Guerry/Rocailleux, est dorénavant
moins présent sur le plateau.
Thomas, lui, est déjà projeté sur
Subliminal, 2e acte de ce diptyque (création
en novembre 2016). « Pour Subliminal, je
prends la direction artistique à part entière,
Camille ne fera cette fois-ci que la
musique. J’ai envie de quelque chose de
plus intérieur, plus profond. Que ce soit
poétique, un peu dark même. Dans une
veine Solonely. J’ai envie de révolte, j’ai
envie qu’on se serre, qu’on soit conscient
de la force du groupe même s’il y a plein
de choses à surmonter, j’ai envie de donner
de l’espoir… » La pièce est en jachère
évidemment, c’est plutôt la phase où l’on
se nourrit de réflexions, d’écrits, d’images.
Manipulation est manifestement le terme
qui revient le plus souvent dans la bouche
de Thomas. On n’en sait guère plus, à part
qu’il sera de nouveau sur scène (« Je veux
être à l’intérieur, dans l’expérience de ce
que tu fais passer »), qu’il aspire à du
concret, à des sons plus électro.
Les deux artistes sont en plein questionnement sur leur processus de création :
comment évoluer, comment se renouveler.
Qu’est-ce qu’on fait rentrer dans la boucle
sans se perdre ? Autant de questions
métaphysiques essentielles lorsqu’on crée.
« Le créateur ne change jamais totalement,
mais ce sont les gens avec lesquels il
travaille qui peuvent le bousculer pour
l’amener à évoluer dans sa pratique, son
approche. On se renouvelle aussi par les
thèmes différents que l’on aborde. Il faut
savoir remettre les choses en question
pour se bonifier. Je crois aussi que l’on
grandit, les sujets qui nous intéressent
changent et tout cela, en même temps,
nous maintient en vie !
Sublime, La Rampe, le 5 février
La Mouche St Genis-Laval, les 9 et 10 février
C.C. La Ricamarie, le 10 mars
Solonely, Théâtre Théo Argence, le 29 avril
/ Février 2016 / N°222 / 11
spectacles
vivants
A bon entendeur,
Eric Massé
nous salue
Par Christophe Jacquet
Eric Massé ne cesse de repousser les frontières
du théâtre. De le sortir de la salle de répétition
ou de spectacle, d’ouvrir la cage de scène qui
le contraint. Nouvel artiste associé au Théâtre
de la Renaissance, le fondateur de la compagnie
stéphanoise des Lumas, revient à Oullins avec
Malentendus (l’enfant inexact). Une chronique
familiale, appelée à transcrire l’émotion qu’a
suscité chez lui la lecture du livre éponyme
de Bertrand Leclair. L’ancien critique de
La Quinzaine littéraire et des Inrockuptibles,
parent d’une fille pareillement handicapée,
y refait l’histoire d’un jeune homme sourd,
Julien Laporte. Enfant dans les années 60,
son père autoritaire le force à parler, le plie
à l’oralisme, rejetant en bloc son affliction
et la langue des signes. Il sortira de ce carcan
à l’adolescence, gagnant Paris. Le spectacle
qu’en tire Eric Massé le réintroduit à un moment
fondateur, quand, adulte, il retourne dans la
« maison de la tyrannie de la parole » régler
un problème d’héritage avec son frère et sa
sœur. Littéralement, ces trois protagonistes du
déchirement filial vont discuter et finir par
© DR
Guy Naigeon
12 / Février 2016 / N°222 /
s’entendre. C’est précisément ce que Massé met
en scène en associant quatre comédiens parlant
ou signant, sourds ou non. Un croisement
d’expressions rare, peu visible en France en
dehors de l’International Visual Theatre à
Paris, dirigé par Emmanuelle Laborit. Dans
ce laboratoire unique, proche de Pigalle, la
vie de Julien Laporte irriguait Héritages,
pièce déjà écrite par Bertrand Declair, qui
retrace le combat des sourds pour la reconnaissance de la langue des signes, interdite
par le congrès de Milan en 1880. Malentendus
empoigne ce mouvement sous une forme
plus complexe. Non content d’enchevêtrer
les langages, Eric Massé navigue entre petite
et grande histoire politique de la surdité, en
empruntant au cinéma son dispositif de
cadrage. Pour lui qui a déjà travaillé en prison,
usine, appartement ou asile, ce spectacle
ajoute une corde à sa pratique naturelle du
mélange des genres.
Comédie de Valence, jusqu’au 4 février
Théâtre de la Renaissance, du 9 au 12 février
L’Atrium, le 14 février
© Jean-Louis Fernandez
Malentendus, l'enfant inexact
Occupé
par le théâtre
Par Christophe Jacquet
Jusqu’à l’an dernier, le raout s’appelait
encore Salle 7 Underground. Indiquant
l’endroit où, un soir par mois, quinze
spectateurs pas plus pouvaient retrouver
Guy Naigeon et une lignée d’artistes, de
performers en devenir, avides de proférer
leurs textes aux confins de la poésie, de
la philosophie, de la musique et de la
politique. Cette saison, Naigeon semble
recentrer ces happenings sur la seule
poésie. Avec Poésie Underground, l’un
des plus aventureux, et anciens aussi,
compagnons du théâtre lyonnais partage,
distribue son amour des mots qui remuent
le corps. Le texte, quel qu’il soit, est chez
lui une expérience physique. C’est comme
cela qu’en octobre 2008, il traduit Boire,
le recueil de souvenirs de Fabienne Swiatly,
avec Anne de Boissy, sa camarade de la
compagnie des Trois-Huit - un spectacle
repris tel quel l’automne dernier. La même
année, il revient, à travers Théâtre Occupé,
sur mai 68, en chansons, en disputes, en
paroles et repas animés. Deux semaines de
transe collective, où quarante intervenants
se sont demandé si dire c’est vraiment faire.
Pas une vaine question pour Guy Naigeon,
qui fait du théâtre, partout à Lyon, tout le
temps, avec quantité de matériaux. En 2012,
il transpose ainsi, entre deux passes et
interrogations dérangeantes de l’auteure,
l’interview croisée de Marguerite Duras
et Michel Platini, que Libération a publiée
en décembre 1987. Duras est l’une de ses
marottes, tout comme l’Amérique latine.
A l’origine du projet Monstres d’or et de
sang avec Sylvie Mongin-Algan, dans
lequel il illustre la force subversive du
théâtre et de l’art avec Pedro Calderón
ou Federico García Lorca, il vient de
mettre en scène, fin 2015, une pièce de la
mexicaine Sabina Berman. Bienvenue
dans le nouveau siècle Doktor Freud part
du cas « Dora » et sanctionne l’erreur
majeure du père de la psychanalyse sur
la sexualité féminine. Si chez Naigeon
l’éclectisme est de mise, le goût d’enseigner
et de faire passer des textes, historiques
ou nouveaux, reste sa ligne de conduite.
NTH8 – Nouveau Théâtre du 8e, le 5 février.
Et un vendredi soir par mois, de mars à mai
/ Février 2016 / N°222 / 13
© Sarah Lowicki
spectacles
vivants
Vénus et Adonis
Vénus et Adonis :
unefêteancienne
d'aujourd'huiencompagnie
de Charly Marty
Propos recueillis par Elise Ternat
onconnaissaitles« ballades
spleenesques » et« poèmes
poubelles » deCharly Chanteur...
cedernierrevientcettesaison
àl'elysée,aveclacompagnie
Lesindiens,pouryprésenter
vénusetadonis,textepoétique
depierreKuentzadapté
del'œuvredeshakespeare
etdesMétamorphoses d'ovide.
aucœurdecespectacle
àmi-cheminentrethéâtre
etmusique,l’éternellehistoire
del'amouretdelamort.
Pourquoi avoir choisi de travailler sur le
mythe de Vénus et Adonis ?
Nous nous sommes d'abord intéressés à l'œuvre
de Shakespeare. Dans ce long et beau poème,
la langue oscille entre envolées poétiques et
humour. Le travail dramaturgique nous a
rapidement conduits vers d'autres textes comme
Les Métamorphoses d'Ovide dont Shakespeare
s'est probablement inspiré, mais également
des textes scientifiques sur les Adonies. Nous
nous sommes passionnés pour toutes les formes
artistiques en lien avec la légende (tableaux,
chants). Quant à Pierre Kuentz, le dramaturge,
il a recomposé un texte, sous forme de
« réduction » des poèmes, pour en extraire
tous les arômes. Ainsi, nous avons réécrit
l’histoire de façon collective.
Vous parlez de "scénographie auditive"
pour décrire les images du spectacle.
Qu'entendez-vous par là?
C'est ce par quoi le spectateur compose en
lui-même les images. Pour cela il était nécessaire
14 / Février 2016 / N°222 /
de travailler une certaine musicalité de la
langue. C'est une dimension très présente
chez Shakespeare : il convoque l'imaginaire
par ses métaphores pour décrire les choses.
Par exemple dans le poème, il décrit un baiser
de Vénus à Adonis comme « un aigle affamé
qui dévore sa proie » et nous montre ainsi la
violence du désir de Vénus. Il faut ainsi réussir
à transmettre cette vision au spectateur, pour
qu'il puisse imaginer cette scène de l'aigle et
la recomposer. Nous donnons ainsi un traitement spécifique à la diffusion sonore afin
d'amplifier les images que peuvent
produire les mots, les voix, les sons...
Qu'est-ce qui vous a amené à créer un
spectacle musical à partir de ce mythe?
La musicalité s'est imposée d'elle-même de
diverses manières. Dans nos recherches tout
d'abord, nous avons découvert que les mythes
ont souvent été mis en musique. De là est née
l'envie d'interpréter quelques airs d'opéra,
de chanter des citations pour transmettre des
émotions intraduisibles avec les mots.
Shakespeare a quelque peu modifié l'histoire
en décrivant un Adonis qui se dérobe aux
avances de Vénus, d'où la nécessité de séduire
l'oreille à travers un chant nuptial. Ensuite
vient la mort du jeune homme donnant lieu
à la plainte et au chant funèbre... Il était
donc nécessaire d'aborder ces chants tout en
gardant une forme théâtrale pour en faire
émerger une fragilité qui puisse rendre les
choses précieuses, à fleur de peau. Le texte
de Pierre Kuentz, enfin, est écrit comme une
partition musicale et nécessite un travail
spécifique de précision et d'invention de la
part des comédiens.
Théâtre de l'Elysée, du 24 au 27 février 2016
mot[s]
rose
Chaque mois deux artistes choisissent un mot afin de vous
livrer un texte court et une image autour de ce choix.
Sarah Mikovski
est une auteur/compositeur lyonnaise
En 2016 pourra-t-on voir la vie en ROSE ? Oui !
Sans recours aux psychotropes ? Oui !
Cette COULEUR ? J'en suis raide dingue. What a scandale ! Trip régressif ? Addiction au Nail Art ?
Surconsommation de smarties ? LES DEUX MON CAPITAINE. On la cherche ? On la trouve. Elle est partout !
Tac ! Là ! Tic ! Ici ! Rayonnante chez Demy, psyché chez Hendrix, provocatrice chez Minaj, toujours
franche et sympathique, même sur les chemises de Valls.
Alors mes chers Astres chéris, dites-moi TOUT, TOUT, TOUT : est-ce qu'en 2016, l'homme Lion portera
du ROSE pour attirer la femme Capricorne qui portera du BLEU ?
EXPERIMENTONS et en passant je checke le logo :
Rose - disent les spécialistes- porte etymocoliquement le "r" du renouveau et la glinjonction : "OSE !".
© Sarah Mikovski
Oser c'est cette impulsion rigolote, qui réveille ma pupille. Un grand trampoline sur lequel danse mon CŒUR.
Oser c'est une chanson chance. La comptine du voyageur assoiffé, quittant sa caverne pour
entreprendre plein d'espoir les 678 petits kilomètres le séparant de l'apéro toulousain.
Ré-oser donc, c'est avoir la bonne surprise en 2016 de se découvrir TITAN
prêt à voler le feu, l'HUMOUR et l'oxygène.
OFF COURSE BABY ! Je le sens au plus profond de moi,
c'est le ROSE, cette #couleur #odeur #saveur
qui me/nous permettra de passer l'hiver avec amour,
légèreté et une touche de CLASSE.
Rendez-vous donc au prochain printemps,
d'ici là chantons con brio
l'Hymne flashybarbie de tonton Brel :
rosa rosa rosam, rosae rosae rosa...
Nouvel EP
Ressuscitée - Disponible sur sarahmikovski.com
En concert
CDC, Paris, le 1er février
CCO, le 4 février
A Thou Bout d'Chant, les 19 et 20 février
+ les 27 et 28 mai
© François Herpeux
La Casa (St Cyr), le 4 mars
Mot
Guillaume Bailliart
est acteur et metteur en scène,
il dirige la compagnie
« Groupe Fantômas »
Un mot, mais pour qui, et quel mot, un mot comme ça, un mot choisi,
un mot symbolique, spectaculaire, intime, à la mode, à la mode de quand,
un mot pour quoi, pour l’exposer, pour le vider, le décortiquer, pour lui
faire dire autre chose que lui-même, pour le révéler, pour lui faire révéler
l’élégance de celui qui le décortique, pour le bafouer, pour s’en servir,
pour se faire mousser, pour le crucifier, le faire exploser pour de la pub,
salauds, un mot pour de la pub, trahison ! Mensonge ! Machiavélisme
de la faute à personne ! Détestation du monde et des autres, je les hais,
il fait froid, c’est l’hiver, il pleut, il neige, rendez-moi les édredons,
rendez-les tout de suite les beaux édredons doux et chauds, bien compacts
mais légers en même temps et tellement chauds mais toujours un peu
trop courts, rendez-les ! Pas mal « édredon », bouée aussi, ou pneu,
mazout on n’en parle même pas, carrément génial, autant que
saltimbanque, hallebarde, hémisphère ou Mésopotamie, cannibale te bouffe
sur place, gargarisme te fait dans le corps la sensation de ce qu’il décrit,
comme cataclysme, gargouillis, conciliabule, baffe, ribambelle ou
cloisonnement. Mais lequel choisir, lequel ? Ils sont tous bien, au hasard :
cagette, prunier, crépuscule, table, décroître, enculé, sermon et même
laptop. Procédons par élimination, à la recherche des mots pourris :
bol ? Plâtre ? Frigo ? Les mots dits sans aucun plaisir, les mots juste là
pour leur fonction : sel, trottoir, prochaine, main, slip ?
Oui mais « le sel de la vie », « je lui ai écrasé la gueule sur le trottoir »,
« à la prochaine! », « une bonne poignée de main », « t’as pas vu mon slip ? ».
C’est foutu ils sont tous bien j’ te dis.
Merlin (Partie I)
TJV Bourgoin-Jallieu, le 5 février
Théâtre Nouvelle Génération - Le TNG, du 16 au 19 mars
/ Février 2016 / N°222 / 15
par Christophepar
Jacquet
Elise Ternat
Sans titre (Les Figures avec Tania Carl), 2011-2012
Courtesy de la Galerie Xippas, Paris
Valérie Jouve
C'est une savante alchimie qui s'opère dans les photos de Valérie Jouve
entre l'humain et le paysage urbain. Après avoir exposé au Jeu de
Paume à Paris en juin dernier, c'est une mise en espace de nouvelles
photographies, spécialement prévue pour la Galerie Le Bleu du Ciel,
qu'elle propose ici. Ses images en apparence documentaires semblent
de prime abord presque banales mais, à ne pas s'y méprendre, c'est un
sentiment étrange qui s'en dégage très vite. Une sensation duale : de
l'objectivité initiale émerge une remarquable impression de modernité,
celle de l'intemporalité d'une approche photographique qui sonde
l'homme dans son territoire vital. Car à l'œil de la photographe vient
s'adjoindre le regard de l’anthropologue avec la spontanéité en prime.
Pour Valérie Jouve, l'image est un moyen de déjouer les réponses trop
figées, d’ébranler les explications logiques des sciences humaines,
mais aussi de créer un rapport moins statique au monde, à travers un
langage qui éveille le sensible.
© Géraldine Lay
© Valérie Jouve / ADAGP, 2015
THÉÂTRE
EXPOS express
CHRONIQUE
Manchester, 2015
Courtesy Galerie Le Réverbère, Lyon
Géraldine Lay
Destination le Royaume-Uni avec Géraldine Lay.
Lauréate 2015 du programme hors les murs de l'Institut français, l'artiste
sillonne depuis 2010 les villes traditionnelles ouvrières de l'Angleterre
et du nord de l'Ecosse. À cet égard Glasgow, Manchester, Cardiff,
Bristol ou encore Londres sont autant de destinations chargées d'une
identité sociale forte marquée du sceau d'une histoire post-industrielle
qui a laissé de multiples traces. En s'interrogeant sur le devenir de ces
lieux, véritables toiles de fond des nombreux mouvements sociaux qui
s'y sont déroulés au cours des années 80, Géraldine Lay crée un univers
mêlant des photographies de rue à des situations plus intimes montrant
les habitants dans leur quotidien. Jonglant sans cesse entre photo posée
et instantanée, son travail confronte l'intime au public, l'immobilité au
flux tout en convoquant la question de la fiction sous un jour nouveau.
Galerie le Réverbère, du 29 janvier au 30 avril
© Dorothée Thébert Filliger
Galerie Le Bleu du Ciel, du 29 janvier au 26 mars
Collectif OutCast
Performance dans une installation sonore,
Théatre de l’Usine, Genève 2015,
Lou Masduraud
et Antoine Bellini
Avec l’électrisante installation From You Through Them to Situation
– From Them to Situation to You, Lou Masduraud et Antoine Bellini
interrogent le phénomène de la conduction électrique dans son potentiel
esthétique et poétique. Depuis 2013, ces deux jeunes artistes interviennent
et conçoivent des installations et performances sonores comme autant
de temps de présentations chorégraphiques qui interrogent nos relations
aux objets. Ici c'est un réseau de flux électriques, sensitifs et fantasmagoriques qui envahissent la BF15 transformée pour l'occasion en
un espace où tout deviendrait potentiellement conducteur : les éléments
de l’installation mais également les visiteurs dont les corps soumis à
différents flux énergétiques, sonores et électromagnétiques, deviennent
à leur tour partie intégrante du réseau.
BF15, du 29 janvier au 26 mars + Performance, le 2 mars à 18h
Rencontres n°6.
OutCasT invite EOS
C'est un climat de fin du monde qui règne cette saison au Polaris mais en
version lucide, ludique et amusée. Au programme de ce 6e volet du cycle
Rencontres, une carte blanche est donnée au Collectif OutCasT. Né en 1999
ce « trouple » composé de Rachel Decloitre, Frédéric Bauby et Karine Delerba
a pour champ de prédilection le flou, érigé en arme contre une société qui tend
au formatage et à la normalisation. Avec Ceux qui regardent ne peuvent être
tenus pour responsables, ce n'est rien de moins que la fin du monde en tant
qu'anéantissement qui est interrogée à travers un étonnant questionnement
sur la mémoire et l'admiration des désastres. Des matériaux aussi divers que
des fils de coton sur des toiles de canevas, des dalles de perles en plastique,
des aimants en aluminium sont mis à l'œuvre dans un travail architecturé
à la scénographie très précise. Au premier collectif vient s'adjoindre EOS,
littéralement Étude pour l'Occupation des Sols, créée en 2014 par Benoît
Stéfani et Rodolphe Montet. Orage, leur dernière création, est une œuvre
multiple, un campement à la dérive prenant la forme d'un radeau rescapé
d'un cataclysme. À travers ce dispositif constitué de matériaux de récupération,
ils embarquent le visiteur vers des nouveaux horizons...
Polaris, du 11 février au 11 mars
Visite & vernissage, le 11 février à 18h
16 / Février 2016 / N°222 /
© Ernest S. Mandap
MUSIQUE
Leshumeursvoyageuses
d’Orange Blossom
Propos recueillis par Anne Huguet
Orange Blossom estunovni
danslepaysagemusical
actuel.uneformationà
géométrievariable
(troischanteursentroisalbums)
quivitàsonrythmepoursortir
sesalbums(neufansd’attente
pourle3eetdernier-né),loin
desmodesetdiktats,sefiant
justeàsoninstinct,sesenvies
etsapassionpourlaworld
music etlesmusiquesde
l’âme.depuisplusdevingtans,
legroupeexploretoutes
lescombinaisonspossibles
autourdessonsdumonde
etinventesafusionethno-world
envoûtantefaitedemélopées
arabesques,d’électronique
etdefièvrerock.
Aux manettes, on retrouve l’architecte sonore
Carlos Robles Arenas qui incarne à lui seul l’esprit
vagabond d’Orange Blossom. Mexicain d’origine,
plus ou moins basé en France (Nantes comme QG),
il a vécu au Mexique, a appris la batterie à Cuba
avant de tomber littéralement amoureux de l’Afrique :
Côte d’Ivoire, Maroc, Jordanie, Egypte sont autant
d’escales marquantes dans sa vie voyageuse. « Je suis
mexicain, je vis en France et je trouve mon inspiration
à travers le monde, explique-t-il avec son accent
espagnol. Aujourd’hui la musique africaine me touche
énormément ; elle me parle littéralement. Je pense
que de nos jours c’est une source d’inspiration
inépuisable. » Il avoue, bien sûr, d’autres influences
qui vont de Perez Prado (la musique de ces jeunes
années), Joy Division (sa révélation) et Pink Floyd
à Portishead, Femi Kuti, Nina Simone ou même
Cocteau Twins, de sacrés grands écarts quand
même ! Mais la musique traditionnelle reste, pour lui,
quelque chose d’essentiel. « J’aime l’idée d’entretenir
une tradition, reprend-il, mais toujours en évoluant.
En donnant un autre souffle, une autre façon de
faire de la musique moderne aujourd’hui. On ne
cherche pas à copier, on fait à notre manière, en
étant le plus sincère et le plus authentique possible. »
Il lui aura donc fallu neuf ans pour accoucher de
ce 3e opus Under The Shade Of Violets. Outre le
travail à l’ancienne où il traque les bonnes acoustiques, il y a la philosophie du bonhomme qui ne
fonctionne, dans sa quête esthétique et musicale,
qu’au feeling. « Je n’ai pas de méthode. Mais je fais
totale confiance à mon cœur et à mon ressenti. La
qualité du son est toujours prioritaire, je travaille
donc avec les musiciens qui me touchent. Hend
Ahmed (la voix du dernier album sorti déjà en
2014), je l’ai trouvée en Egypte. J’avais fait toute la
musique mais j’étais en quête d’une chanteuse qui
me fasse vibrer ; j’ai pas mal cherché cette « voix »
que je ne trouvais pas. Jusqu’à ce que je découvre
Hend. C’est une grande chanteuse, elle arrive à nous
toucher avec son interprétation très personnelle où
elle réussit à transmettre une authentique émotion. »
Peut-être même peut-on parler d’alchimie quand
on apprend que Hend ne comprend ni l’anglais ni
le français, que Carlos ne pratique pas l’arabe.
« On a trouvé une manière de communiquer avec
des gestes et un peu l’aide d’un traducteur ! Je me
suis contenté de la diriger en lui transmettant quelques
consignes comme couplet/refrain, crescendo/decrescendo… Je l’ai ensuite laissé interpréter à sa manière. »
Le résultat est assez magique et bluffant, des mélopées
qui s’étirent et vous enveloppent, la voix qui habite
littéralement chaque titre, la richesse des sonorités
(violons, percussions, guitares électriques), les
rythmiques ici et là afro-beat sans oublier les
samples et la pulsation électro qui donnent à Orange
Blossom ce parfum capiteux de transe ethno-world
orientalisante.
Musiques à pleurer, musiques à danser, mais surtout
musiques à voyager à l’autre bout du monde, la
version scénique à cinq (guitare, violon, percussions,
machines et Hend en princesse des Mille et une
Nuits) est tout aussi explosive. « On vous invite à
un voyage musical pour découvrir l’autre, la beauté
du monde, de ce qui se passe ailleurs. Si l’on écoute
les médias, on a l’impression que tout va mal, c’est
la fin du monde, alors qu’il existe plein de choses
tellement belles. Montrer la beauté autrement,
peut-être est-ce de l’espoir, je ne sais pas… »
Transbordeur, le 9 février
La Source à Fontaine (38), le 11 février
/ Février 2016 / N°222 / 17
Daphné et Clarika
Faik
© Simon Gosselin
Pneu
The Limiñanas et Pascal Comelade
■ Pour auditeurs curieux sans œillères : le Bal des Fringants se fait
plaisir avec son Quirky Festival en misant sur des artistes en marge
et des concerts en dehors des clous. Au menu entre autres Butch
McKoy (vu récemment chez David Bobée) et sa folk torturée, les
indociles de La Colonie de Vacances et leur pop dépenaillée, le
cabaret déjanté du Skeleton Band ou encore la pop singulière de
Sombre.
Quirky Festival au Bal des Fringants, jusqu’au 14 février
■ L’Aqueduc ne perd pas le rythme et organise sa cinquième, déjà, édition
des Nuits Givrées, rendez-vous hivernal autour de la chanson avec
des artistes qui n’ont pas froid aux yeux sur scène. Qui aurait prédit
que La Grande Sophie, l’adepte de la « kitchen music », deviendrait
l’une des auteurs-compositeurs-interprètes les plus accomplies de la
scène française ? Elle vient de sortir son 7e album Nos histoires se fiant
à ses envies et toujours plus ou moins fidèle à son style, la chanson
pop. Egalement à découvrir le duo fantasque Daphné et Clarika qui
explore, entre chanson et poésie, toutes les ivresses… du vin, de
l’amour, du hasard, de la vie.
L’Aqueduc à Dardilly, les 5 et 6 février
■ Le CCO organise un happening mensuel labellisé Jardin du Monde
avec débat, concerts de musiques du monde, transats et boissons
fruitées ! En février, outre le débat autour des « musiques tziganes
vivantes ici », on pourra y entendre les iconoclastes musiciens du
Fat Bastard Gang Band et leur groove ethno-folklorico-world qui
fait voyager des Balkans à l’Amérique du Sud. Tout aussi explosif, le
duo suisse Dj Olga et Dr. Schnaps dégaine plus vite que son ombre
avec ses mashups délirants et ses sonorités électro-balkanisées
revues selon l’humeur en version ragga, dub ou hip-hop.
CCO, le 9 février,
Fat Bastard Gang Band aux Abattoirs, le 13 février
■ FAIK (ex-Fake Oddity) chante toujours de cette voix souple et chaude
qui sait caresser mais aussi escalader les octaves ou dégringoler
sans coup férir. Il vient de sortir, dans un registre brit-pop et folk, un
1er EP (Share Mountains), condensé d’expériences et de rencontres
fortes lorsqu’il est parti en quête de racines familiales enfouies. On
fêtera ça joyeusement au Transbordeur avec Le French Kiss de Faik,
où, en maître de cérémonie diligent, il convie quelques amis triés sur
le volet à venir pousser la chansonnette avec lui, dont Buridane,
Grimme ou Sterotypical Working Class.
Transbordeur, le 10 février
■ Le 29 février, la Cave à Musique ne fêtera exceptionnellement pas
son anniversaire (24 ans, c’est bâtard !), préférant se préparer en
secret et en grande pompe à son futur passage au quart de siècle qui
aura lieu en 2017. Par contre, on peut se rattraper en allant secouer
de la tête avec les foutraques de Pneu et leur noise décomplexée, qui
adore les expérimentations convulsives, les cordes distordues et
surtout jouer au milieu du public.
Cave à Musique, 20 février
© Thierry Grillet
© Laurent Devaud
Skeleton Band
© Julia Gragnon
par Anne Huguet
CONCERTS express
CHRONIQUE
Savages
■ Bruit Noir est le nouveau projet de Pascal Bouaziz et Jean Michel
Pirès, respectivement voix et batterie de Mendelson. I/III est donc le
premier volume de leurs expérimentations sonores basées sur la
contrainte (en l’occurrence, ici, n’utiliser que des percussions et
cuivres et un chant totalement improvisé sur la musique). On vous
prévient, c’est rugueux et intransigeant, plutôt très sombre et il faut
être psychologiquement prêt à s’avaler ces 10 titres exigeants. Rock ?
Free jazz ? Expérimental ? Oui, un peu tout cela mais aussi répétitif,
minimaliste, poétique (Je regarde les nuages), troublant (Requiem
ou comment on ose écrire sa propre oraison funèbre), glaçant (Adieu)
et surtout sans concession. Leur spleen bruitiste et dissonant risque
bien de secouer les esprits et les cœurs.
Sonic, le 24 février
■ Ce ne devait être qu’un projet discographique (instrumental et plutôt
barré) - Traité de Guitarres Triolectiques (à l’usage des Portugaises
endiablées) - mais seuls les imbéciles ne changent pas d’avis !
Les Catalans de The Limiñanas et Pascal Comelade s’offrent aussi
quelques sessions live, histoire de transcender cette bande-son
hallucinogène où ils font se croiser boucles répétitives, airs à la
Morricone, rock psyché, jerk, musiques de série Z ou british pop des 60’s.
Quelque part entre Las Vegas Parano et ambiance Burning Man
avec, en prime, la magie sonore des instruments-jouets (ou pas) de
Comelade.
Transbordeur, 26 février
■ Foals opère, lui, du côté de la pop grand format avec ses rythmes
élastiques et la voix en lamento de Yannis Philippakis. Quoique.
Le quintet anglais alterne, avec ce 4e album What went down, morceaux
costauds et chansons d’amour mélancoliques, démontrant une fois de
plus tout l’art des British quand ils font de la pop, le tout enveloppé
dans une production chiadée. Tout aussi convaincants en concert, ce
ne sont pas leurs fans qui le démentiront.
Amphi 3000, 26 février
■ Jehnny Beth et ses trois copines musiciennes n’ont rien perdu de leur
mordant altier, elles ont même resserré leurs propos avec un rock
encore plus compact et tendu. Savages est fier de présenter son 2e opus
Adore Life - qui parle, oui, d’amour - très attendu par tous ceux qui ont
vu les quatre filles sur scène. On s’en doute, un album qui leur
ressemble : plein de rage et de tension, avec, évidemment, la voix
habitée de Jehnny qui tient, du début à la fin, tout son monde en haleine :
écoutez Mechanics, tout est dit. En 10 titres, les Londoniennes
rappellent qu’elles ne sont pas là pour amuser la galerie avec une
rythmique lourdement martelée qui encadre et pousse en permanence
le chant dans ses ultimes retranchements. De Fuckers à Husbands en
passant par The Answer, Evil ou T.I.W.Y.G., Savages a tout ce qu’il
faut pour taper dans le mille avec un set obligatoirement flippé,
fiévreux, féroce. LE concert du mois ?
L’Epicerie Moderne, le 27 février
© Nabil Elderkin
Bruit Noir
Gipsy Sound System / Dj OLga & Dr Schnaps
Foals
18 / Février 2016 / N°222 /
agenda
Pour mars, envoyez vos infos avant le 18 février à [email protected] et [email protected]
CONCERTS
MARDI 2 FÉVRIER
NIGHT BEATS - QASAR
Marché Gare à 20h. 13€ - 11€
MERCREDI 3 FÉVRIER
ALEXANDRE CASTILLON
Sous le Caillou à 20h. 13€ - 10€
NIGHT BEATS + QASAR
Marché Gare à 20h. 13€ - 11€
INNA MODJA
Club Transbo à 19h. 29€
BAL FOLK
CCO à 20h30. 8€ - 4€
JEUDI 4 FÉVRIER
LYS - Kraspek Myzik à 20h30. 8€ - 6€
LES HURLEMENTS D’LEO
CHANTENT MANO SOLO - SARAH MIKOVSKI
CCO à 20h. 20€ - 16€
SOOM-T
Club Transbo à 20h. 24€ - 20€
GANG GREEN - FASTERIA
Mistral Palace Valence à 20h30. 12€
VENDREDI 5 FÉVRIER
TRIO EBREL / LE BUHÉ / VASSALLO
Amphi-Opéra à 20h30. 16€ - 10€
CHRISTOPHER PAUL STELLING - KEPA
Kraspek Myzik à 20h30. 8€ - 6€
BUTCH MC KOY
Bal des Fringants à 18h30. 6€ - 4€,
pass/ 18€ - 9€
CARTE BLANCHE À JEAN LUC PEILHON
Agend'Art à 20h. 10€ - 5€
RÉMO GARY / JB VEUJOZ
CHANSONGS feat. CLÉLIA BRESSAT-BLUM
Salle des Rancy à 20h30. 12€ - 9€
DJ LITTLE TUNE - OMAR
& MON ACCORDÉON
6e Continent à 21h. 3€
SHINÉAR - BAYILMA NOC
TRANS MAGRHEB-ORIENT & ENM
Toï Toï Le Zinc à 20h30. 6€
SEGFAULT - XI - OUTSHAPE
Jack Jack à 20h. 8€ - 5€
A FILETTA / PAOLO FRESU /
DANIELE DI BONAVENTURA
Espace Albert Camus à 20h30. 18€ - 10€
KARIMOUCHE
Théâtre Jean Marais à 20h30. 15€ - 6€
ANGE
Karavan Théâtre à 20h. 20€ - 15€
Nuits Givrées#16 :
DAPHNÉ & CLARIKA - EVELYNE GALLET
L’Aqueduc à 20h30. 16€ - 7€, 2J/24€
SLONOVSKI BAL
Espace Jean Carmet à 20h30. 17€ - 10,5€
ZONE LIBRE & MARC NAMMOUR
« DEBOUT DANS LES CORDAGES »
Les Abattoirs à 20h30. 15€ - 12€
SELIM - NICOLAS JULES
Le Galet à 20h30. 15€ - 7€
CELIA KAMENI & VINCENT PERIER 7TET
Crescent à 20h30. 12€ - 5€
LIZ CHERHAL
Le NEC à 20h. 22€ - 18€
SAMEDI 6 FÉVRIER
LAURENT LAMARCA
A Thou Bout d'Chant à 20h30. 12€ - 8€
DES LALLES - LIONEL AUBERNON SOLO
Kraspek Myzik à 20h30. 8€ - 6€
BESS OF BEDLAM - NAZCA
Bal des Fringants à 18h30. 6€ - 4€,
pass/ 18€ - 9€
CARTE BLANCHE À JEAN LUC PEILHON
Agend'Art à 20h. 10€ - 5€
POPPY GRASS feat. CLÉLIA BRESSAT-BLUM
LE BAL D'OBSTINATO
Salle des Rancy à 20h30. 12€ - 9€
EUSTACHE MCQUEER
Bibliothèque de la Part-Dieu à 15h30. Gratuit
St-Fons Jazz#16 :
WYNTON MARSALIS
& JAZZ AT LINCOLN CENTER ORCHESTRA
Auditorium de Lyon à 20h. 46€ - 16€
LES GLOBES GRATTEURS
MIALY & MARIANNA
6e Continent à 21h. 3€
LE BAL DES ENRAGÉS - DOBERMAN
Salle du Kao à 20h. 25€ - 21€
LANIMAL - SIDE EFFECTS - JISER
HUMAN ELEMENT - BLACK MUFFIN
Salle du Kao à 23h59. 18€ - 15,5€
LEGOWELT - SAMUEL KERRIDGE - RROSE
MY THUD UNIE AREA - CELOME
Transbordeur à 23h30. 17€
HK & LES SALTIMBANKS - OUMSE DIA
Toï Toï Le Zinc à 20h30. Gratuit
ALAIN SOURIGUES
Théâtre de l'Iris à 20h. 15€ - 4€
Nuits Givrées#16 :
LA GRANDE SOPHIE - BAPTISTE W. HAMON
L’Aqueduc à 20h30. 18€ - 9€, 2J/24€
LA LÉGENDE D'EBOA KING
Maison du Peuple à 19h30. 15€ - 8,5€
AUFGANG - CÉSAR TALLERICO
& SAMUEL GADEA
Théâtre de la Ville Valence à 20h30.
15€ - 10€
PETER WOLF - LE PETIT OHM VERT
GOFY - BEETLE JOHN etc.
Cave à Musique à 22h. 12€ - 8€
LOMEPAL - SKRIB - LETO - MOJO
POSSE’TILLON
LaPéniche à 21h. 10€ - 6€
DIMANCHE 7 FÉVRIER
SOMBRE
Bal des Fringants à 18h30. 6€ - 4€,
pass/ 18€ - 9€
MICRO ZEN ORCHESTRA (MZO)
Agend'Arts à 10h30 et 17h. 10€ - 5€
PARKWAY DRIVE - ARCHITECTS
THY ART IS MURDER
Transbordeur à 19h. 35€ - 27€
LUNDI 8 FÉVRIER
ANIMALI - ROSEMARY MARTINS
Marché Gare à 21h. Gratuit
MARDI 9 FÉVRIER
ORANGE BLOSSOM
Club Transbo à 19h. 20€
GYPSY SOUND SYSTEM ORCHESTRA
THE FAT BASTARD GANG BAND
CCO à 19h30. Prix libre
MERCREDI 10 FÉVRIER
ANDY ELMER / XAVIER DESANDRE NAVARRE
Amphi-Opéra à 12h30. Gratuit
DEUCE
Kraspek Myzik à 20h30. 8€ - 6€
LES BLOUZAYEURS
Sous le Caillou à 20h. 13€ - 10€
LA FRENCH KISS DE FAIK avec BURIDANE
GRIMME ...
Club Transbo à 20h. Gratuit sur invitation
STEPHAN EICHER UND DIE AUTOMATEN
Théâtre Théo Argence à 20h30. 26€ - 14€
JEUDI 11 FÉVRIER
ANDY ELMER TRIO
Amphi-Opéra à 20h30. 16€ - 10€
D PRIZE MACHINE - LIPPIE
Kraspek Myzik à 20h30. 8€ - 6€
GENEVIÈVE MORISSETTE
À Thou Bout d'Chant à 20h30. 12€ - 8€
NEUROLAST
Toï Toï Le Zinc à 20h30. 6€
GLASGOW - MIRABO - LES TRIGONES+
Jack Jack à 20h. Gratuit
VENDREDI 12 FÉVRIER
SKELETON BAND
Bal des Fringants à 18h30. 6€ - 4€,
pass/ 18€ - 9€
ANDY ELMER / MÉDÉRIC COLLIGNON
Amphi-Opéra à 12h30. Gratuit
ANDY ELMER TRIO
Amphi-Opéra à 20h30. 16€ - 10€
JIM YOUNGER'S SPIRIT - MIDDLE CLASS
Kraspek Myzik à 20h30. 8€ - 6€
BENSÉ
À Thou Bout d'Chant à 20h30. 12€ - 8€
MARIA ROCKMORE
Marché Gare à 20h. 5€
DAVID LAFORE
Salle Léo Ferré à 20h30. 12€ - 9€
SLAMARILLA
6e Continent à 20h30. Gratuit
BREAKBOT - BROKEN BACK
Transbordeur à 20h. 25€
BÖRECK - PAPRIKA PARADIZ
Toï Toï Le Zinc à 20h30. 6€
ASHEY - LOWNY TIDE
Aux Bons Sauvages - La Mulatière à 21h.
Prix libre
TOCCA TRAM feat. TRAM DES BALKANS
& VIOLAINE COCHARD
L’Allégro à 19h30. 10€
FEU ! CHATTERTON
Théâtre Bourg-en-Bresse à 20h30.
30€ - 20€
MARIAN BADOÏ - JEAN-LOUP BONNETON
& FRANÇOIS GALLIX
Crescent à 21h. 8€
LA MAISON TELLIER - MY LADY'S HOUSE
Moulin de Brainans à 20h30. 15€ - 11€
SAMEDI 13 FÉVRIER
ANDY ELMER TRIO
Amphi-Opéra à 20h30. 16€ - 10€
THE PATRIOTIC SUNDAY
Bal des Fringants à 18h30. 6€ - 4€,
pass/ 18€ - 9€
BENSÉ
À Thou Bout d'Chant à 20h30. 12€ - 8€
DAVID LAFORE
Salle Léo Ferré à 20h30. 12€ - 9€
ROBSE LA PLUME NOIR
6e Continent à 21h. 5€ - 3€
DJ MÉLANIE - DJ FABIEN - DJ ROBERTO...
Club 48 Lyon 8e à 22h. 10€ - 8€
TROLLPHACE - LONDON NEBEL
PARANOISE COLLISION - BLISSKRYPT
Club Transbo à 23h. 17€
RONA HARTNER & DJ TAGADA
FAT BASTARD GANG BAND
Les Abattoirs à 20h30. 17€ - 14€
NACH
Le Pax St-Étienne à 20h30. 15€
L'AFFAMEUSE - TORV - DJ ACCUMBASS
Salle Georges Brassens à Tournon/Rhône
à 20h. 10€ - 8€, 06 51 21 75 61
FEU ! CHATTERTON
Train-Théâtre à 20h30. 15,5€ - 13,5€
JOE PILGRIM & THE LIGERIANS
SELECTA CURTIS NEWTON
LaPéniche à 21h. 10€ - 6€
DIMANCHE 14 FÉVRIER
ODESSEY & ORACLE
Bal des Fringants à 18h30. 6€ - 4€,
pass/ 18€ - 9€
MARDI 16 FÉVRIER
LUCA TURILLI'S RHAPSODY
TEMPERANCE - QANTICE
Salle du Kao à 20h. 25€ - 20€
MERCREDI 17 FÉVRIER
KABARET BISCORNU
Sous le Caillou à 20h. 13€ - 10€
DISCLOSURE - POMO
Halle Tony Garnier 19h. 34€
BAL FOLK
CCO à 20h30. 8€ - 4€
JEUDI 18 FÉVRIER
RAFOU & CIE - FOUGÈRE
Kraspek Myzik à 20h30. 8€ - 6€
ESKELINA
À Thou Bout d'Chant à 20h30. 12€ - 8€
AKILA - THE CLARKS PROJECT
Les Abattoirs à 20h30. Gratuit
VENDREDI 19 FÉVRIER
ABRAHAM MURDER - COMBINAISON
Kraspek Myzik à 20h30. 6€ - 4€
CARTE BLANCHE À NEÔMME :
SARAH MIKOVSKI - AMÉLIE-LES-CRAYONS
MORIKAN - FAIK…
À Thou Bout d'Chant à 20h30. 17€ - 12€
VEDETT - THE REBELS OF TIJUNA
ELIOTT JANE
Marché Gare à 20h. 11€ - 9€
OMAR & MON ACCORDÉON
6e Continent à 21h. 3€
BESS OF BEDLAM - SCAMPI - GHST
Toï Toï Le Zinc à 20h30. 6€
HYPNOTIC BRASS ENSEMBLE
L’Épicerie Moderne à 20h30. 16€ - 12€
DEBOUT SUR LE ZINC - ALFONCE
Cave à Musique à 21h. 20€ - 12€
GIEDRÉ - Salle Jeanne d'Arc à 20h30. 21€,
04 77 20 04 86
SAMEDI 20 FÉVRIER
CARTE BLANCHE À NEÔMME :
SARAH MIKOVSKI - AMÉLIE-LES-CRAYONS
MORIKAN - FAIK…
À Thou Bout d'Chant à 20h30. 17€ - 12€
HENHOUSE PROWLERS
Kraspek Myzik à 20h30. 6€ - 4€
/ Février 2016 / N°222 / 19
agenda
VENDREDI 26 FÉVRIER
HORLA
À Thou Bout d'Chant à 20h30. 12€ - 8€
TRALALA LOVERS & BAL FOLK
6e Continent à 21h. 5€ - 3€
THE LIMINAÑAS & PASCAL COMELADE
202 PROJECT
Club Transbo à 20h. 20€
HUNEE - PATRICE SCOTT - QUARANTE&UN
Club Transbo à 23h30. 16€
ZATO - THE SHOP
Toï Toï Le Zinc à 20h30. 6€
JOHN MILK - EPHEMERALS
Cave à Musique à 21h. 10€ - 6€
BLOOM
Crescent à 21h. 12€ - 8€
LEILA MARTIAL - HIPPOCAMPE FOU...
Moulin de Brainans à 20h. 12€ - 8€
COCTEAU MOT LOTOV / HARVEY ASPHALTE /
SANDENKR
Agend'Arts à 20h. 10€ - 5€
VERONIC DICAIRE
Amphi/Salle 3000 à 20h. 60€ - 48€
TACTICAL GROOVE ORBIT
DJ TURBO BOOM BOOM
6e Continent à 21h. 3€
MADLY WISE - PHYLEMON - HEARSCAPE
Toï Toï Le Zinc à 20h30. 1€
PNEU - 2 BOULES VANILLE
Cave à Musique à 21h. 6€ - 2€
NACIM BRAHIMI & KARIM ZIAD
Crescent à 21h. 13€ - 9€
DIMANCHE 21 FÉVRIER
COCTEAU MOT LOTOV / HARVEY ASPHALTE /
SANDENKR
Agend'Arts à 18h. 10€ - 5€
MARDI 23 FÉVRIER
NIET POPOV
Train-Théâtre à 14h30 et 18h30. 9€ - 6€
MERCREDI 24 FÉVRIER
BRUIT NOIR - AWAC
Sonic à 20h30. 10€
LIONHEART - DESOLATED
KUBLAI KHAN - FALL BRAWL
MJC Ô Totem à 20h. 18€ - 14€
LUNDI 29 FÉVRIER
JOE JACKSON
Transbordeur à 19h. 50€
FESTIVALS
LES POLY’SONS
DE MONTBRISON (13E)
Théâtre des Pénitents - Place des Pénitents
Montbrison - 04 77 96 39 16
+ Le Fil, Théâtre Iris + Théâtre du Parc etc.
21 concerts, 38 artistes sur 8 lieux
+ Découvertes Poly’Sons (24/01)
Jusqu’au 18 fév. à 20h30 (ou 19h). 27€ - 5€
ALAIN CHAMFORT 2/02
BARCELLA 4/02
CLARIKA & DAPHNÉ 6/01
ENTRE DEUX CAISSES 9/02 etc.
MERCREDI 3 FÉVRIER
COLLECTIF IMPROVISATION
CNSMD DE LYON
Amphi-Opéra à 12h30. Gratuit
PIERRE HAMON & DÉPARTEMENT DE
MUSIQUE ANCIENNE CNSMD DE LYON
« Los Pasos Perdidos »
Salle Varèse à 20h. Gratuit
JEUDI 4 FÉVRIER
CLASSES DE CHANT, ACCOMPAGNEMENT
PIANO & CULTURE MUSICALE
CNSMD DE LYON
Messager, Boulanger, Bizet, Poulenc, Gounod…
Salle Varèse à 20h. Gratuit
VENDREDI 5 FÉVRIER
COLLECTIF IMPROVISATION
CNSMD DE LYON
Amphi-Opéra à 12h30. Gratuit
BERTRAND CHAMAYOU - Ravel
Salle Rameau à 20h30. 40€ - 5€,
04 78 47 87 56
CLASSES DE PIANO CNSMD DE LYON
Scriabine, Ravel, Messiaen…
Salle Varèse à 18h et 20h. Gratuit
OLIVIER ROBIN / DOMINIK BARANOWSKI /
RAPHAËL GINZBURG / LOUIS BARME
Mozart, Bach, Beethoven
Théâtre de Villefranche à 12h15.
15€ - 10,5€
SAMEDI 6 FÉVRIER
MUSICIENS DE L’ORCHESTRE
DE L'OPÉRA DE LYON
Chostakovitch
Opéra de Lyon à 16h30. 24€ - 12€
DIMANCHE 7 FÉVRIER
MUSICIENS DE L’ORCHESTRE
DE L'OPÉRA DE LYON - Chostakovitch
Opéra de Lyon à 11h30. 24€ - 12€
DE BEETHOVEN À SCHUBERT
ORCHESTRE DE L'OPÉRA DE LYON
Dir. : Emmanuel Krivine
Opéra de Lyon à 16h. 52€ - 10€
JORDI SAVALL /
ANDREW LAWRENCE-KING
& FRANK MCGUIRE
Chapelle de la Trinité à 17h. 45€
LUNDI 8 FÉVRIER
CLASSES D’ACCOMPAGNEMENT
AU PIANO CNSMD DE LYON
Couperin, Debussy, Chopin
Salle Varèse à 20h. Gratuit
DÉPARTEMENT DE MUSIQUE DE CHAMBRE
CNSMD DE LYON
Mozart, Bach, Haydn, Beethoven…
Loft-Goethe Institut à 20h. Gratuit
www.491.fr
JEUDI 25 FÉVRIER
KOKOMO
Kraspek Myzik à 20h30. 8€ - 6€
KOSH
À Thou Bout d'Chant à 20h30. 12€ - 8€
À Vaulx Jazz 2016 :
L'ONJ - CHROMB!
L'Épicerie Moderne à 20h30. 16€ - 18€
AKILA
Les Abattoirs à 20h30. Gratuit
SAMEDI 27 FÉVRIER
FOALS
Amphi/Salle 3000 à 20h30. 35€ - 30€
THE HOLLERS - SHEEZAHEE
Kraspek Myzik à 20h30. 8€ - 6€
HORLA
À Thou Bout d'Chant à 20h30. 12€ - 8€
SNAKES CREW
6e Continent à 21h. 5€ - 3€
TEXTURES
CCO à 19h30. 25€ - 21€
SAVAGES
L'Épicerie Moderne à 20h30. 14€ - 16€
JEAN GLOUTE DE BRAGA
Crescent à 20h30. 5€
CÉLESTE - PLÈVRE - TEMPS MORT
LaPéniche à 21h. 8€ - 5€
COWBOYS FROM OUTERSPACE
NEUROTIC SWINGERS
Mistral Palace Valence à 20h30. 12€
CLASSIQUE
20 / Février 2016 / N°222 /
MARDI 9 FÉVRIER
LES MUSICIENS DU LOUVRE
Dir. : Marc Minkowski - Gluck, Rameau
Auditorium de Lyon à 20h. 46€ - 16€
CONCERT POUR LE TEMPS PRÉSENT
Cie Inouïe - Thierry Balasse
Mâcon Scène Nationale à 20h30. 24€ - 6€
MERCREDI 10 FÉVRIER
JULIETTE HUREL / HÉLÈNE COUVERT
Bach, Schubert, Debussy, Fauré, Poulenc
Salle Molière à 20h. 33€ - 10€
JEAN-FRANÇOIS ROUCHON /
HONORÉ BÉJIN
Bordes, Chausson, Castéra…
Salle Varèse à 20h. Gratuit
JEUDI 11 FÉVRIER
CLASSES DE CHANT & ACCOMPAGNEMENT
PIANO CNSMD DE LYON
Lied allemand et mélodie française
pendant la 1ère Guerre Mondiale
Musées Gadagne à 20h30. Sur réservation,
04 37 23 60 45
ENCORE, MAIS EN CORDES !
CNSMD DE LYON
Bach, Brahms, Schumann, Beethoven…
Salle Varèse à 20h. Gratuit
VENDREDI 12 FÉVRIER
CHŒUR ÉMELTHÉE
Dir : Marie-Laure Teissèdre
Fauré, Rheinberger
Temple du Change Lyon 5e à 20h30.
30€ - 10€, 06 49 58 16 83
CLASSES DE CHANT & ACCOMPAGNEMENT
PIANO CNSMD DE LYON
Lied allemand et mélodie française
pendant la 1ère Guerre Mondiale
Musées Gadagne à 12h30. Sur réservation,
04 37 23 60 45
JEUNE ORCHESTRE SYMPHONIQUE
DU CONSERVATOIRE DE LYON
Dir. : Serge Paloyan
Théâtre Astrée à 20h20. Gratuit
SAMEDI 13 FÉVRIER
MARIE VERMEULIN /
WILHEM LATCHOUMIA
Mozart, Debussy, Poulenc, Bartók
Salle Varèse à 20h. 12€
14 FEVRIER
MARIANA FLORES
& LEONARDO GARCÍA ALARCÓN
Espace C.J. Bonnet, Jujurieux à 17h.
14€ - 11€, 04 74 38 74 04
MARDI 16 FÉVRIER
CLASSES DE DIRECTION DE CHŒUR
CNSMD DE LYON
Purcell, Byrd, Holst…
Salle Varèse à 20h. Gratuit
MERCREDI 17 FÉVRIER
DÉPARTEMENT DE MUSIQUE DE CHAMBRE
CNSMD DE LYON
Salle Varèse à 18h et 20h. Gratuit
MERCREDI 24 FÉVRIER
ENSEMBLES LES BIGARRURES
& ENM VILLEURBANNE
Amphi-Opéra à 12h30. Gratuit
JEUDI 25 FÉVRIER
ENSEMBLE ORCHESTRAL CONTEMPORAIN
Dir : Daniel Kawka - Adámek
Bourse du Travail St-Étienne à 12h30.
Gratuit, 04 72 10 90 40
VENDREDI 26 FÉVRIER
ENSEMBLES LES BIGARRURES
& ENM VILLEURBANNE
Amphi-Opéra à 12h30. Gratuit
LUNDI 29 FÉVRIER
CLASSES DE PIANO CNSMD DE LYON
Salle Varèse à 20h. Gratuit
OPÉRA
SPECTACLES
MUSICAUX
ESPACE 44
44, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 39 79 71
UN JOUR SANS RIRE EST UN JOUR GÂCHÉ
Cie Soulier Rouge - Cpt, MS : Hélène Saïd
23 au 28 fév. à 20h30, me. je. à 19h30.
15€ - 8€
LES CLOCHARDS CÉLESTES
51, rue des Tables Claudiennes - Lyon 1er
04 78 28 34 43
TOUT C'QUI TOMBE
Cie Une Autre Carmen
MS : Sandrine Le Brun Bonhomme
21 fév. au 2 mars à 10h et 15h,
sa. di. à 11h et 17h. 8€
OPÉRA DE LYON
Place de la Comédie - Lyon 1er
04 69 85 54 54
LADY MACBETH DE MZENSK
de Chostakovitch
ORCHESTRE & CHŒURS DE L’OPÉRA DE LYON
Dir. : Kazushi Ono - MS : Dmitri Tcherniakov
2, 4 et 6 fév. à 20h. 94€ - 10€
+ PRÉLUDES LITTÉRAIRES avec l’Ensatt
2 fév. à 19h. Gratuit
THÉÂTRE DES MARRONNIERS
7, rue des Marronniers - Lyon 2e
04 78 37 98 17
C.E.L.I.A. [Chanteuse Électronique Légère
à Intelligence Artificielle]
Cie Les Empreint’heures
Thomas Saby / Stéphane Meygret / Simon Cholat
25 au 29 fév. à 20h30. di. à 17h, lu. à 19h.
15€ - 8€
THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE
Place Joannès Ambre - Lyon 4e
04 72 07 49 49
FUGUE
La Vie Brève - MS : Samuel Achache
9 fév. à 20h. 23€ - 9€
MÉDIATHÈQUE DE VAISE
Place Valmy - Lyon 9e - 04 72 85 66 20
CONTRE LE PROGRÈS. CONTRE L'AMOUR.
CONTRE LA DÉMOCRATIE d'Esteve Soler
Cie Germ 36
11 et 12 fév. à 19h, 13 fév. à 17h. Gratuit
THÉÂTRE ASTRÉE
Campus de la Doua - 6, av. G. Berger
Villeurbanne - 04 72 44 79 45
CONFÉRENCE EN FORME DE POIRE
MS : Benoît Richter
2 fév. à 19h19. 12€ - 6€
LE TOBOGGAN
14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 14
1er Festival international Cross Opera
18 au 20 fév. 10€ - 8€, pass/20€
DÉDALES
Ensemble TaCTuS & Jacques Bonaffé
18 fév. à 20h30
ALLEMAGNE-BRÉSIL
Le Concert Impromptu & Yves Charpentier
19 fév. à 15h
ENSEMBLE TARKA - 19 fév. à 20h30
GALIMATIAS - Cie Le Piano Ambulant
20 fév. à 15h
LE FEU AUX POUDRES
Le Concert Impromptu / Yves Charpentier
et Violaine Dufès
20 fév. à 20h30
LE POLARIS
Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55
K ETC. d'après Dino Buzzati et Marcel Aymé
Cie Rêvages
5 fév. à 20h30. 15€ - 9€
+ Les Trois-Huit, à 19h30
CENTRE CULTUREL
CHARLIE CHAPLIN
Place de la Nation - Vaulx-en-Velin
04 72 04 81 18
DZAAA !
Delphine Noly / Rebecca Handley
9 fév. à 19h, 10 fév. à 15h. 11€ - 6€
THÉÂTRE THÉO ARGENCE
Place Ferdinand Buisson - St-Priest
04 78 20 02 50
LES FRANGLAISES
6 fév. à 20h30. 26€ - 14€
CHANSONS À RISQUES
Duo Bonito / Raquel Esteva Mora
& Nicolas Bernard
12 fév. à 20h30. 20€ - 8€
THÉÂTRE DE VÉNISSIEUX
8, bd Laurent Gérin - Vénissieux
04 72 90 86 68
LE BEL EXCENTRIQUE d'après Eric Satie
Collectif La Forge & Théâtre Et Cie
MS : Michel Belletante
5 fév. à 20h. 11€ - 6€
agenda
THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE
7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91
CARRÉS SONS
La Corde à Vent & Collectif L'Arbre
Canapas
MS : Emilie Flacher
5 fév. à 19h, 6 fév. à 15h. 24€ - 5€
THÉÂTRE DE BOURG-EN-BRESSE
11, place Grenette - Bourg-en-Bresse
04 74 50 40 00
VINGT MILLE LIEUES SOUS LES MERS
d'après Jules Verne
Les Percussions Claviers de Lyon
MS : Emmanuelle Prager
4 fév. à 20h30. 22€ - 10€
TOUS LES CHEMINS MÈNENT À CUBA
Coralia Rodriguez
5 fév à 20h30. 10€ - 6€
LE FIL
20, bld Thiers - St-Étienne - 04 77 34 46 40
LES HOMMES...MAINTENANT !
La Marmite Infernale & Jean-Paul Delore
11 fév. à 20h30. 12€ - 6€
LA COMÉDIE DE VALENCE
Place Charles Huguenel - Valence
04 75 78 41 70
L'EMPEREUR D'ATLANTIS de Viktor
Ullmann
Dir. : Vincent Renaud
MS : Richard Brunel
9 et 10 fév. à 20h. 24€ - 7€
Du jeudi 11 au samedi 13 février
et du jeudi 18 au samedi 20 février - 20h
Théâtre Sous Le Caillou - Lyon 4
www.souslecaillou.net
HUMOUR
COMÉDIE
IMPRO
13E FESTIVAL DES ARTS
BURLESQUES DE SAINT-ÉTIENNE
Plus de 50 artistes dans 10 lieux
St Etienne & agglo. - 04 77 46 31 66
Burlesque, humour au féminin et focus jeune
génération
+ Tremplin Nouveaux Talents d’Humour
(22/2) + Festival Off
21 au 27 fév. 31€ à 15€
Nouveau Théâtre (NT) Beaulieu - St-Etienne
ALBERT MESLAY. Je délocalise
21 fév. à 19h30
GABRIEL DERMIDJIAN & ERIC BLANC.
Mon frère blanc
23 fév. à 19h
QUENTIN JAFFRES. Cent prises de têtes
25 fév. à 17h30
ARIANE BRODIER. Mytho
26 fév. à 20h30
LE CABARET DES ACROSTICHES
27 fév. à 19h
Centre de Congrès de St-Etienne
CAROLINE VIGNEAUX. Quitte la robe
23 fév. à 21h
ISSA DOUMBIA. Première Consultation
24 fév. à 21h
CHRISTELLE CHOLLET. Comic-Hall
25 fév. à 20h30
FELLAG. Bled Runner
26 fév. à 20h30
JÉRÉMY FERRARI. Vends 2 pièces à Beyrouth
28 fév. à 17h
Le Fil - St-Etienne
FILLS MONKEY. Incredible Drum Show
24 fév. à 20h30
Salle Jeanne-d’Arc - St-Etienne
FARID CHAMEKH & BOUCHERA BENO
22 fév. à 21h
LES CHICHE-CAPONS. La 432
25 fév. à 21h
CHANSON PLUS BIFLUORÉE
fête ses 25 ans… et des brouettes
26 fév. à 19h
Théâtre de l’Université - St-Etienne
ACIDE LYRIQUE. Opéra Pastille 2
25 fév. à 19h00
Salle la Forge - Le Chambon-Feugerolles
ANNE ROUMANOFF.
Aimons-nous les uns les autres
21 fév. à 17h
KRASPEK MYZIK
20, montée St-Sébastien - Lyon 1er
THÉÂTRE D'IMPRO - Cie Les Zôotres
2 fév. à 20h30. Gratuit
THÉÂTRE D'IMPRO - Cie Schmürtz
16 fév. à 20h30. Gratuit
BOURSE DU TRAVAIL
205, place Guichard - Lyon 3e
CHANTAL LADESOU. Nelson
10 fév. à 20h. 45€ - 38€
LE PÈRE NOËL EST UNE ORDURE
La Troupe à Palmade
12 au 16 fév. à 20h. 44€ - 41€
SOUS LE CAILLOU
23, rue d’Austerlitz - Lyon 4e - 04 27 44 34 38
ON VIT DANS UN MONDE MERVEILLEUX
ET MON CHIEN A LA RAGE
Cie Objectif Spectacles
4 au 6 fév. à 20h. 13€ - 10€
BIKINI PARADISE
Jean Christophe Acquaviva /
Bertrand Ducrocq
11 au 13 fév., 18 au 20 fév. à 20h.
13€ - 10€
GARAGE CITROËN
35, rue de Marseille - Lyon 7e - 06 37 13 37 18
ENDORMIE de Camilo Pellegrini
Cie Chariot de Thespis
MS : Thai-Son Richardier
4 au 6 fév. à 20h30. 14€ - 9€
RADIANT-BELLEVUE
1, rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19
ELIE SEMOUN. À Partager
3 fév. à 20h. 48€ - 43€
CHRISTELLE CHOLLET. Made in Chollet
9 et 10 fév. à 20h30. 36€ - 30€
LE KARAVAN THÉÂTRE
60, rue de la République - Chassieu
04 37 42 14 40
NEW-YORK PARADIS - Dominic Palandri
12 fév. à 20h. 20€ - 15€
LE NEUTRINO
Place du Général de Gaule - Genas
04 72 47 11 11
ANTHONY KAVANAGH
19 fév. à 20h30. 24,5€ - 5,5€
L’IRIS
Montée des Roches - Francheville
04 78 59 66 66
CARTE BLANCHE AUX TROMPETTES DE LYON
11 fév. à 20h. 15€ - 8€
A TABLE !!! LA FAMILLE EST UN PLAT
QUI SE MANGE FROID
Cie Rouve
25 au 27 fév. à 20h30. 15€ - 8€
THÉÂTRE DU VELLEIN
Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85
FELLAG. Bled Runner
4 et 5 fév. à 20h30. 26€ - 18€
CAVE À MUSIQUE
119, rue Boullay - Mâcon - 03 85 21 96 69
ÇA FROMET de Frédéric Fromet
14 fév. à 17h. 15€ - 11€
ESPACE DES ARTS
5 bis, av. Nicéphore Niepce - Chalon/Saône
03 85 42 52 12
FELLAG. Bled Runner
11 fév. à 20h. 23€ - 9€
SPECTACLES
TRANSDISCIPLINAIRES
NTH8 / NOUVEAU THÉÂTRE DU 8E
22, rue Commandant Pégout - Lyon 8e
04 78 78 33 30
DE ÇA, DE ÇA ET DE ÇA
Groupe MOI / Yoann Tivoli, Lyndon
Holmes, Vincent Delpeux …
12 fév. à 20h. Prix libre
CENTRE CULTUREL
CHARLIE CHAPLIN
Place de la Nation - Vaulx-en-Velin
04 72 04 81 18
LOVE ME SOFTLY / KILL ME TENDER
Cie Atou - Chor : Anan Atoyama
2 au 5 fév. à 20h30, me. je. à 19h30.
13€ - 6€
L’ALLÉGRO
Place de la République - Miribel
04 78 55 80 20
LE FILM DU DIMANCHE SOIR
Cie Annibal et ses Elé-FAN
MS : Evelyne Fagnen
5 fév. à 20h30. 20€ - 12€
MÂCON SCÈNE NATIONALE
1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon
03 85 22 82 81
MICROMACROMEZZE
La Générale d’Expérimentation
8 et 9 fév. lu. à 12h30, ma. à 19h.
Gratuit sur réservation
ARTS DU CIRQUE
CLOWN
AGEND’ARTS
4, rue Belfort - Lyon 4e - 09 51 62 58 77
MOMENTS CLOWNS
27 fév. à 20h, 28 fév. à 18h. 10€ - 5€
ÉCOLE DE CIRQUE DE LYON /
MJC MÉNIVAL
29 avenue de Ménival - Lyon 5e
04 72 38 81 61
LES INSUBMERSIBLES
Cie Un de ces 4
6 fév. à 20h30. 9€ - 6€
HALLE TONY GARNIER
20, place A. Perrin - Lyon 7e
VAREKAI - Cirque du Soleil
3 au 6 fév. à 20h. 80€ - 37€
LE PETIT DRAGON
Les Étoiles du Cirque de Pékin
& Les Moines Shaolin
Création, MS : Alain M. Pacherie
9 fév. à 20h. 50€ - 35€
CARRÉ DE SOIE
CIRQUE IMAGINE
5 av, des Canuts - Vaulx-en-Velin
04 72 04 81 18
CIRQUE VIOLETTA
Collectif La Persiana /
Venancio y los Jovenes de Antaño
19 et 20 fév. à 20h30, 21 fév. à 17h.
14€ - 10€
ESPACE DES ARTS
5 bis, av. Nicéphore Niepce - Chalon/Saône
03 85 42 52 12
BLAST - Cirque Farouche Zanzibar
3 au 6 fév. à 20h. 23€ - 9€
TRAIN-THÉÂTRE
1, rue Aragon - Portes-lès-Valence
04 75 57 14 55
NO/MORE
Cie La Tournoyante
MS : Simon Carrot
9 fév. à 20h30, 10 fév. à 18h30.
13,5€ - 10,5€
THÉÂTRE
ESPACE 44
44, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 39 79 71
PETIT THÉÂTRE SANS IMPORTANCE
de Gildas Bourdet
Floriane Durin, Jacques Pabst, Pierre
Tarrare
2 au 7 fév. à 20h30, me. je. à 19h30,
di. à 16h. 15€ - 8€
UN CONTRAT de Tonino Benacquista
MS : Lodoïs Doré
9 au 14 fév. à 20h30, me. je. à 19h30,
di. à 16h. 15€ - 8€
LES CLOCHARDS CÉLESTES
51, rue des Tables Claudiennes - Lyon 1er
04 78 28 34 43
LE HORLA d'après Maupassant
Cie Les Yeux Grand Ouverts
MS : Grégory Benoit
Jusqu'au 6 fév. à 20h, je. à 19h, sa. à 17h.
15€ - 8€
MADEMOISELLE RODOGUNE
Cie Nosferatu - MS : Claudine Van Beneden
10 au 19 fév. à 10h et 15h ou 17h. 8€
THÉÂTRE DES VORACES
9, place Colbert - Lyon 1er - 09 54 92 94 51
RÉSURRECTION de Frédéric Juyaux
MS : Cécile Lopez
4 et 5 fév. à 20h30. 12€
THÉÂTRE DE L'ANAGRAMME
27, rue Royal - Lyon 1er - 04 78 27 83 12
LES FEMMES SAVANTES de Molière
MS : Stéphan Meynet
18 au 27 fév. à 20h30. 8€ - 5€
CÉLESTINS, THÉÂTRE DE LYON
4, rue Charles Dullin - Lyon 2e - 04 72 77 40 00
LE RETOUR AU DÉSERT
de Bernard-Marie Koltès
MS : Arnaud Meunier
3 au 11 fév. à 20h, sa. à 16h et 20h, di. à
16h. 36€ - 9€
PISCINE (PAS D'EAU) de Mark Ravenhill
MS : Cécile Auxire-Marmouget
3 au 13 fév. à 20h30, di. à 16h30.
22€ - 12€
THÉÂTRE DES MARRONNIERS
7, rue des Marronniers - Lyon 2e
04 78 37 98 17
WOYZECK d'après Georg Büchner
Cie À Titre Réciproque
MS : Angèle Peyrade
3 au 12 fév. à 20h30, di. à 17h, lu. à 19h.
15€ - 8€
THÉÂTRE DE LA CROIX-ROUSSE
Place Joannès Ambre - Lyon 4e
04 72 07 49 49
RENDEZ-VOUS GARE DE L'EST
Texte, MS : Guillaume Vincent
9 au 13 fév. à 19h. 26€ - 5€
LE CHAGRIN
Les Hommes Approximatifs
MS : Caroline Guiela Nguyen
9 au 13 fév. à 20h30. 26€ - 5€
AGEND’ARTS
4, rue Belfort - Lyon 4e - 09 51 62 58 77
RUINES ROMAINES de Philippe Minyana
MS : Marion Poincelet-Leroy
11 au 13 fév. à 20h, 14 fév. à 18h. 10€ - 5€
MUSÉES GADAGNE
1, place du Petit Collège - Lyon 5e
04 37 23 60 46
POILU ! PURÉE DE GUERRE
Cie Chicken Street
18 et 19 fév. à 16h30. 10€ - 8€
THÉÂTRE DU POINT DU JOUR
7, rue des Aqueducs - Lyon 5e
04 72 38 72 50
Philippe Vincent fait son Théatre Permanent
« Étranges étrangers »
HAMLET-MACHINE de Heiner Müller
MS : Philippe Vincent / David Mambouch
Jusqu'au 6 fév. à 20h. 5€
+ Lecture Heiner Müller inédit,
6 fév. à 16h30
+ Performances-installations SEAN HART
(réseau Styral, diverses stations métro),
jusqu’au 28 fév.
OÙ ET QUAND NOUS SOMMES MORTS
Riad Gahmi / Philippe Vincent
11 au 20 fév. à 20h. 5€
JEAN-PAUL DELORE
Autour de ses Carnets Sud/Nord
23 fév. à 20h. 5€
CAHIER D’UN RETOUR AU PAYS NATAL
Aimé Césaire / Olivier Borle
24 fév. à 20h. 5€
45 MILLIONS D’UKRAINE
Cie Collapse / Clément Peretjatko
25 fév. à 20h. 5€
DÉCRIS-RAVAGE
Adeline Rosenstein
26 fév. à 20h. 5€
L’ÉLYSÉE
14, rue Basse Combalot - Lyon 7e
04 78 58 88 25
SEX, BLOOD AND GOURMANDISES
MS : Alban Dussin
9 au 13 fév. à 19h30. 12€ - 10€
THÉÂTRE DE L’UCHRONIE
19, rue de Marseille - Lyon 7e - 06 51 91 24 10
NOTHING HURTS de Falk Richter
Kane Collectif - MS : Carlos Viera
17 au 20 fév. à 20h30. 14€ - 9€
THÉÂTRE NOUVELLE GÉNÉRATION
LE TNG
23, rue de Bourgogne - Lyon 9e
04 72 53 15 15
RICHARD III, LOYAULTÉ ME LIE
d'après Shakespeare
Jean Lambert-wild
3 au 6 fév. à 20h. 18€ - 10€
RADIANT-BELLEVUE
1, rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19
LE TOMBEUR de Robert Lamoureux
MS : Jean-Luc Moreau
5 et 6 fév. à 20h30. 40€ - 34€
CHÈRE ELENA
de Ludmilla Razoumovskaïa
MS : Didier Long
11 fév. à 20h30. 33€ - 21€
THÉÂTRE ASTRÉE
Campus de la Doua - 6, av. G. Berger
Villeurbanne - 04 72 44 79 45
LES 7 JOURS DE SIMON LABROSSE
(SI SA VIE VOUS INTÉRESSE)
Collectif Chantiers Libre
MS : Joséphine Caraballo et Christophe Mirabel
4 fév. à 19h19. 12€ - 6€
LES YEUX OUVERTS
MS : Béatrice Chatron et Olivier Papot
10 fév. à 19h19. 12€ - 6€
THÉÂTRE DE L’IRIS
331, av. de Préssensé - Villeurbanne
04 78 68 72 68
...ET ON S'EST EMBRASSÉ
Cie Anda Jaleo
Texte, MS : Frédéric Joannès
9 au 14 fév. à 20h, me. à 15h, di. à 16h.
15€ - 4€
TNP
8, place Lazare-Goujon - Villeurbanne
04 78 03 30 00
LE CANARD SAUVAGE
d’Henrik Ibsen
MS : Stéphane Braunschweig
2 au 6 fév. à 20h. 25€ - 10€
L'AVARE de Molière
MS : Ludovic Lagarde
17 au 21 fév. à 20h, di. à 15h30. 25€ - 10€
THÉÂTRE DE LA RENAISSANCE
7, rue Orsel - Oullins - 04 72 39 74 91
MALENTENDUS [L'ENFANT INEXACT]
d’après Bertrand Leclair
Cie des Lumas
MS : Éric Massé
9 au 12 fév. à 20h. 24€ - 5€
ESPACE ALBERT CAMUS
1, rue Maryse Bastié - Bron - 04 72 14 63 40
LA REVANCHE
Cie Anteprima
MS : Antonella Amirante
3 fév. à 20h30. 16€ - 10€
LE SÉMAPHORE,
THÉÂTRE D’IRIGNY
Centre Culturel Champvillard - Rue de Boutan
Irigny - 04 72 30 47 90
SOUVENIRS D'UN GRATTEUR DE TÊTES
Bernard Pivot
5 fév. à 20h30. 28€ - 12€
THÉÂTRE DE L’ATRIUM
35, av. du 8 Mai - Tassin - 04 78 34 70 07
DANS MA TÊTE
Cie Entre Eux Deux Rives
Cpt, MS : Claire Petit & Sylvain Desplagnes
7 fév. à 17h. 7€
MALENTENDUS [L'ENFANT INEXACT]
d’après Bertrand Leclair
Cie des Lumas
MS : Éric Massé
14 fév. à 17h. 18€ - 8€
/ Février 2016 / N°222 / 21
agenda
THÉÂTRE DE GIVORS
2, rue Puits Ollier - Givors - 04 72 24 25 50
FRAGMENTATION D’UN LIEU COMMUN
de Jane Sautière
Cie Drôle d’Équipage
MS : Yves Neff
4 et 5 fév. à 20h30. 10€ - 5€
+ « Du Livre à la Scène »
avec Jane Sautière
Médiathèque de Givors, 5 fév. à 19h
THÉÂTRE DE VILLEFRANCHE
Place de la Sous-Préfecture - Villefranche
04 74 68 02 89
LUCRÈCE BORGIA d'après Victor Hugo
MS : David Bobée
2 fév. à 20h30, 3 fév. à 19h30. 28,5€ - 14€
HISTOIRE D'ERNESTO
MS : Sylvain Maurice
13 fév. à 15h. 15€ - 8€
MÂCON SCÈNE NATIONALE
1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon
03 85 22 82 99
DON QUICHOTTE OU LE VERTIGE DE SANCHO
d'après Cervantès - Cie PubLic Chéri
2 fév. à 20h30. 24€ - 6€
ESPACE DES ARTS
5 bis, av. Nicéphore Niepce - Chalon/Saône
03 85 42 52 12
FUGUE - La Vie Brève
MS : Samuel Achache
9 fév. à 20h. 23€ - 9€
NOVECENTO
Alessandro Baricco / André Dussollier
27 fév. à 20h, 28 fév. à 17h. 23€ - 9€
HORS-LES-MURS
THÉÂTRE JEAN VILAR
Salle Polyvalente - Av. du Professeur Tixier
Bourgoin-Jallieu - 04 74 28 05 73
VIVIPARES-POSTHUME.
BRÈVE HISTOIRE DE L'HUMANITÉ
Groupe La Galerie
Texte, MS : Céline Champinot
10 fév. à 19h, 11 fév. à 20h30. 22€ - 10€
MERLIN (Partie I) d'après Tankred Dorst
Groupe Fantômas
MS : Guillaume Bailliart
5 fév. à 20h30. 18€ - 6€
THÉÂTRE DE VIENNE
4, rue Chantelouve - Vienne - 04 74 85 00 05
L'HOMME QUI RIT d'après Victor Hugo
Collectif 8
MS : Gaële Boghossian
5 fév. à 20h30. 20€ - 9€
YAËL TAUTAVEL OU L'ENFANCE DE L'ART
de Stéphane Jaubertie
MS : Nino D'Introna
12 fév. à 19h30. 9€ - 5€
LA COMÉDIE DE VALENCE
Place Charles Huguenel - Valence
04 75 78 41 70
LE PAS DE BRÊME
Cie Théâtre Déplié
MS : Adrien Béal
Comédie itinérante (07 + 26), jusqu'au 12 fév.
à 20h. 13€ - 7€
LA FABRIQUE / LA COMÉDIE
78, av. Maurice-Faure - Valence
04 75 78 41 70
TU HONORERAS TON PÈRE ET TA MÈRE /
TU NE TUERAS PAS
Samira Sedira / Julie Binot
Jusqu’au 3 fév. à 20h. 24€ - 7€
THÉÂTRE DE LA VILLE /
LA COMÉDIE
Place de l’Hôtel de Ville - Valence
04 75 78 41 70
MALENTENDUS, UN HÉRITAGE
d'après Bertrand Leclair
Cie des Lumas
MS : Éric Massé
Jusqu’au 4 fév. à 20h. 24€ - 7€
LE DOME THEATRE
135, place de l’Europe - Albertville
04 79 10 44 80
CE QUELQUE CHOSE QUI EST LÀ
d'après Antoine Choplin
MS : Chantal Morel
Théâtre itinérant, du 2 au fév. à 20h.
10€ - 6€
UN BEAU TÉNÉBREUX d'après Julien Gracq
Cie The Party
MS : Matthieu Cruciani
10 fév. à 20h30. 25€ - 9€
LECTURES
RENCONTRES
CONFÉRENCES
AMPHI-OPÉRA
Place de la Comédie - Lyon 1er - 04 69 85
54 54
FESTIVAL « POUR L'HUMANITÉ »
Débats, projections et concerts
6 et 7 fév. 11h/19h30. Gratuit sur réserv.
6 février
11h - LA CRÉATION COMME RÉSISTANCE /
Muriel Mayette-Holtz
12h - RÉINVENTER LA LIBERTÉ /
Jodyline Gallavardin
14h - WALTER BENJAMIN, UNE PENSÉE EN EXIL /
Bruno Tackels
15h30 - LE BEAUTÉ PEUT-ELLE ENCORE
SAUVER LE MONDE ? /
B. Tackels et Ph. Morier-Genoud
18h - RÉGIS DEBRAY RACONTE WALTER
BENJAMIN
18h30 - THÉÂTRE DE L'EXIL / Comédiens
de l’ENSATT
19h30 - ANDREÏ ROUBLEV
(extraits de « À Travers l’art… »
d’Andreï Tarkovsky)
19h30 - MUSIQUES INTERDITES / MATHIEU
GARDON & URSULA ALVAREZ
(de Mahler à Stravinsky)
7 février
11h - SUR LES ROUTES DE L'EXIL /
Philippe Morier-Genoud
12h - CRÉER MALGRÉ TOUT /
Quatuor Confluence
14h - LE ROI ET L'OISEAU de Paul Grimault
et Jacques Prévert
17h - TEREZÍN OU LE REFUS DE LA BARBARIE /
Christophe Sirodeau
18h30 - EXISTE-T-IL UN OPÉRA ENGAGÉ ? /
Olivier Py
ÉLISABETH HOCHARD & SIMON BOLLENOT
À la rencontre de Debussy
29 fév. à 18h30. Gratuit
ARCHIPEL CENTRE
DE CULTURE URBAINE
21, place des Terreaux - Lyon 1er
04 78 30 61 04
ANTOINE PECQUEUR
converse avec PAUL ANDREU
4 fév. à 18h30
GILLES AYMARD / GILLES FRAMINET /
REGAN MATHIEU / ALINE PERIER
« Lyon, Architectures intimes »
6 fév. à 11h30
DES TERREAUX À PERRACHE,
LECTURE DE VILLE / Nicolas Jacquet
13 fév. à 14h. 10€ - 6€, 06 84 81 97 50
LES ARCHIVES MUNICIPALES
DE LYON
1, place des Archives- Lyon 2e
L'ART DU TIMBRE GRAVÉ
8 fév. à 18h15. Gratuit
FNAC BELLECOUR
85, rue de la République - Lyon 2e
04 72 40 49 49
PHILIPPE BESSON
6 fév. à 16h. Gratuit
FRANÇOIS DURPAIRE
ET FARID BENDJELLOUL / La Présidente
12 fév. à 17h30. Gratuit
BOULET
13 fév. à 15h30. Gratuit
NICOLAS REY
13 fév. à 16h. Gratuit
BENJAMIN RENNER
17 fév. à 14h30. Gratuit
GRAND LYON
HÔTEL DE LA MÉTROLE
20, rue du Lac - Lyon 3e - 04 78 63 40 40
GILLES BABINET - BIG DATA ? PENSER
L'HOMME ET LE MONDE AUTREMENT
2 fév. à 18h. Gratuit sur réservation
BIBLIOTHÈQUE DE LA PART-DIEU
30, bd Vivier-Merle - Lyon 3e - 04 78 62 18 00
TENTATIVE D'ÉVASION (FISCALE)
Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon
2 fév. à 18h30
22 / Février 2016 / N°222 /
VILLA GILLET
25, rue Chazière - Lyon 4e - 04 78 27 02 48
LA FAMILLE GILLET :
UNE HISTOIRE LYONNAISE.
Avec HERVÉ JOLY
9 fév. à 19h30. 6€ à gratuit
MUSÉES GADAGNE
1, place du Petit Collège - Lyon 5e
04 78 42 03 61
GUIGNOL AU FRONT ET À L'ARRIÈRE :
LE REPERTOIRE LYONNAIS
DE LA GRANDE GUERRE
6 fév. à 14h30. 3€
ÉCOLE NORMALE
SUPÉRIEURE DE LYON
15, parvis René Descartes - Lyon 7e
04 37 37 60 00
AUTONOMIE DES ÉTABLISSEMENTS,
AUTONOMIE DES ENSEIGNANTS.
PANORAMA EUROPÉEN :
QUELLES VALEURS SOUS-JACENTES ?
6 fév. 9h30/16h. Gratuit
NTH8 /
NOUVEAU THÉÂTRE DU 8E
22, rue Commandant Pégout - Lyon 8e
04 78 78 33 30
POÉSIE UNDERGROUND, Guy Naigeon
5 fév. à 19h. Prix libre
THÉÂTRE ASTRÉE
Campus de la Doua - 6, av. G. Berger
Villeurbanne - 04 72 44 79 45
IGNORANCE ET CONNAISSANCE.
La connaissance scientifique peut-elle,
à elle seule, garantir l'ordre du monde ?
29 fév. à 18h18. Gratuit
ESPACE ALBERT CAMUS
1, rue Maryse Bastié - Bron
04 72 14 63 40
LE THÉ DES POISSONS
SPIRITO - CHŒURS & SOLISTES DE LYON /
GIUSEPPE MOLINO
Piret Raud / Samuel Sighicelli et Benjamin
de La Fuente / Ambra Senatore
11 fév. à 19h30. 18€ - 10€
PLANÉTARIUM
DE VAULX-EN-VELIN
Place de la Nation - Vaulx-en-Velin
04 78 79 50 13
LES COMÈTES : PIERRE DE ROSETTE
DU SYSTÈME SOLAIRE
17 fév. à 20h. Gratuit
CENTRE CULTUREL
CHARLIE CHAPLIN
Place de la Nation - Vaulx-en-Velin
04 72 04 81 18
REUTEULEU. Festival de Théâtre Étudiant
3 fév. à 19h30
CINÉMA
CINÉ-CONCERT
ON CARTOON DANS LE GRAND
LYON ! (6E)
28 salles Lyon & Grand Lyon.
« Le meilleur du cinéma d’animation européen »,
16 films dont 3 avant-premières
(MA PETITE PLANETE VERTE
de Joe-Dess-Samuelson / LES NOUVELLES
AVENTURES DE PAT ET MAT
de Marek Benes …)
Projections, rencontres & invités
(RAUL GARCIA, RÉMI CHAYÉ….),
master-class (Rémi Chayé)
13 fév. au 4 mars
Au Comœdia - Lyon 7e
EXTRAORDINARY TALES de Raul Garcia (2015)
7 mars à 20h. 8,8€ - 4€
THÉÂTRE ASTRÉE
Campus de la Doua - 6, av. G. Berger
Villeurbanne - 04 72 44 79 45
LES PRINCES DES FATRAS...
DE L'OR DANS LES POUBELLES d'André Zech
8 fév. à 19h19. Gratuit
CINÉMA LES ALIZÉS
214, av. Franklin Roosevelt - Bron
04 78 41 05 05
LA MOINDRE DES CHOSES
de Nicolas Philibert (Fr, 1997)
4 fév. à 20h30. 6,5€ - 4€
HORS-LES-MURS
THÉÂTRE JEAN VILAR
Salle Polyvalente - Av. du Professeur Tixier
Bourgoin-Jallieu - 04 74 28 05 73
BOBINES MÉLODIES 2 /
TRIO EFFET VAPEUR & ARFI
16 fév. à 18h30. 18€ - 6€
LA PASSERELLE
La Cure, Le Bourg - Champoly (42)
06 66 94 71 09
L'HEURE FUGITIVE (ciné-concert)
Mus : François Salès
4 fév. à 20h. Gratuit
DANSE
LES SUBSISTANCES
8 bis, quai St-Vincent - Lyon 1er
04 78 39 10 02
LE MOI DE LA DANSE - jusqu’au 7 fév.
DUB LOVE
Chor : Cécilia Bengolea & François
Chaignaud
5 fév. à 21h, 6 fév. à 20h. 14€ -10€
Entretien « Grands Témoins » :
6€ à gratuit
MATHILDE MONNIER - 5 fév. à 19h
LA RIBOT - 6 fév. à 18h
MAISON DE LA DANSE
8, av. Jean Mermoz - Lyon 8e
04 72 78 18 00
#HASHTAG, Pockemon Crew / Riyad Fghani
+ HARMONIZE, Morning of Owl / Sez
3 au 6 fév. à 20h30, me. à 19h30,
sa. à 15h et 20h30. 29€ - 9€
DANCING GRANDMOTHERS
Chor : Eun-Me Ahn
10 et 11 fév. à 19h30, je. à 20h30. 29€ - 9€
Archipel Maguy Marin :
MAY B - Chor : Maguy Marin
29 fév. au 2 mars à 19h30, ma. à 20h30.
29€ - 9€
ESPACE DU BOURBONNAIS
65/73, rue du Bourbonnais - Lyon 9e
04 78 64 84 98
FESTIVAL CHORÉGRAPHIQUE « 1.2.3.SOLI »
5 fév. à 20h30
RADIANT-BELLEVUE
1, rue Jean Moulin - Caluire
04 72 10 22 19
JE T'AI RENCONTRÉ PAR HASARD
Pietragalla & Derouault
26 au 28 fév. à 20h30, di. à 16h. 48€ - 41€
CCNR [CENTRE
CHORÉGRAPHIQUE NATIONAL
DE RILLIEUX-LA-PAPE]
30 ter, av. du Général Leclerc
Rillieux-la-Pape - 04 72 01 12 30
MIKIKO KAWAMURA
4 fév. à 19h30. Gratuit
THOMAS HAUERT & Cie ZOO
24 fév. à 19h30. Gratuit
LE TOBOGGAN
14, av. Jean Macé - Décines - 04 72 93 30 14
RÉVOLUTION(S) / Ballet de l'Opéra de Lyon
[SUNSHINE - Chor : Emanuel Gat
XYLOGRAPHIE - Chor : Tânia Carvalho
TOUT AUTOUR - Chor : Rachid Ouramdane]
9 au 13 fév. à 20h30, je. à 19h30. 21€ - 10€
THÉÂTRE DE VÉNISSIEUX
8, bd Laurent Gérin - Vénissieux
04 72 90 86 68
DYPTIK
Cie Dyptik / Cie Dogmen G
Chor : Souhail Marchiche
12 fév. à 20h. 18€ - 6€
LA MOUCHE
8, rue des École - St-Genis-Laval
04 78 86 82 28
SUBLIME
Cie Arcosm
Cpt, mus, chor : Thomas Guerry
& Camille Rocailleux
10 fév. à 19h30. 16€ - 9€
LE SÉMAPHORE,
THÉÂTRE D’IRIGNY
Centre Culturel Champvillard - Rue de Boutan
Irigny - 04 72 30 47 90
RÉSISTANCES - Cie Stylistik
Chor : Abdou N'Gom
12 fév. à 20h30. 20€ - 8€
THÉÂTRE DU VELLEIN
Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85
CONCERTO FOR TWO VIOLINS
+ MEN'S QUINTET + WRINTING GROUND
Alonzo King Lines Ballet - Chor : Alonzo King
9 et 10 fév. à 20h30. 30€ - 21€
RAMDAM
16, chemin des Santons - Ste-Foy-lès-Lyon
09 83 03 22 80
UMWELT - Cpt, chor : Maguy Marin
3 au 6 fév. à 20h. 20€ - 15€
HORS-LES-MURS
THÉÂTRE JEAN VILAR
Salle Polyvalente - Av. du Professeur Tixier
Bourgoin-Jallieu - 04 74 28 05 73
FLEISCH - Cie La Seconde Tigre
Chor : Pauline Laidet
11 fév. à 20h30. 18€ - 6€
LE DOME THEATRE
135, pl. de l’Europe - Albertville - 04 79 10 44 80
L'EXTENSIBLE VOYAGE D'ÉVÉA
Carré Blanc Cie - Chor : Michèle Dhallu
2 au 5 fév. à 9h45 et 14h15, me. à 9h45 et 17h.
25€ - 7€
EXPOSITIONS
BF15
11, quai de la Pêcherie - Lyon 1er
04 78 28 66 63
Biennale Musiques en Scène 2016 :
ANTOINE BELLINI / LOU MASDURAUD
From you through them to situation from.
From them through situation to you
Jusqu'au 26 mars, me. au sa. 14h/19h
MAPRAA
9, rue P. Chenavard - Lyon 1er - 04 78 29 53 13
HUBERT TOURASSE - CLAIRE CHAUVEL
11 au 27 fév., ma. sa. 14h30/18h30,
me. je. ve. 10h/12h30 - 14h30/18h30
GALERIE PHOTO
DE L'INSTITUT LUMIÈRE
3, rue de l'Arbre Sec - Lyon 1er
JACQUES-HENRI LARTIGUE. Chic, Le Sport !
Jusqu'au 13 mars, me. au di. 12h/19h
MUSÉE DES BEAUX-ARTS
20, pl. des Terreaux - Lyon 1er- 04 72 10 17 40
COLLECTIONS PERMANENTES
Me. au lu.10h/18h. 7€ à gratuit
UN REGARD SUR LA SCÈNE ARTISTIQUE
LYONNAISE AU 20e SIÈCLE
Jusqu'au 10 juil., me. au lu. 10h/18h.
8€ à gratuit
LES COULEURS DE LA KORÉ
Jusqu'au 29 fév., me. au lu. 10h/18h.
8€ à gratuit
SPACEJUNK ART CENTERS
16, rue des Capucins - Lyon 1er
04 78 72 64 02
NICOLAS THOMAS. Escapitalisme
5 fév. au 2 avr., ma. au sa. 14h/19h
GALERIE FRANCOISE BESSON
10, rue de Crimée - Lyon 1er - 06 07 37 45 32
CHANTAL FONTVIELLE. Entre Arbre et Cible
4 fév. au 29 mars, me. au sa. 14h30/19h
LE BLEU DU CIEL
12, rue des Fantasques - Lyon 1er
04 72 07 84 31
VALÉRIE JOUVE
Jusqu'au 26 mars, me. au sa. 14h30/19h30
GALERIE REGARD SUD
1/3, rue des Pierres Plantées - Lyon 1er
04 78 27 44 67
GRÉGOIRE ELOY. Ressac
Jusqu'au 27 fév., ma. au sa. 14h/19h
GALERIE VINGTCINQ CAPUCINS
25, rue des Capucins - Lyon 1er
07 60 39 49 60
JULIEN GRENIER
4 fév. au 10 mars, me. au sa. 15h/19h
GALERIE ATELIER 28
28, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 28 07 72
JEAN-JACQUES PIGEON - ZÉLIE ROUBY
FANNY RICHARD
Jusqu'au 12 mars, me. au sa. 14h30/19h30
NÉON
41, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 78 39 55 15
PIZZA NOISE MAFIA
Jusqu'au 19 mars, me. au sa. 15h/19h
+ concert, 18 fév. à 21h
agenda
GALERIE POME TURBIL
45, rue Burdeau - Lyon 1er - 06 11 37 91 53
LES VIES SILENCIEUSES
Nicole Berrut - Eric Dessert - Fernando X.
Gonzalez - Alexandre Hollan - Claire
Illouz
Jusqu'au 12 mars, je. au sa. 14h/19h
MUSÉE DES CONFLUENCES
86, quai Perrache - Lyon 2e - 04 28 38 11 90
PARCOURS PERMANENT.
Origines, les récits du monde /
Espèces, la maille du vivant /
Sociétés, le Théâtre des Hommes /
Éternités, Visions de l'au-delà
Ma. au ve. 11h/19h, je. 22h, sa. di. 10h/19h.
9€ à gratuit
DANS LA CHAMBRE DES MERVEILLES
Jusqu'au 10 av., ma. au ve. 11h/19h,
je. 11h/22h, sa. di. 10h/19h. 9€ à gratuit
SIGNES DE RICHESSE
Jusqu'au 17 av., ma. au ve. 11h/19h,
je. 11h/22h, sa. di. 10h/19h. 9€ à gratuit
FONDATION BULLUKIAN
26, place Bellecour - Lyon 2e - 04 72 52 93 94
JÉRÉMY LIRON.
Infinie distance des choses dans leur temps
2 fév. au 26 mars. ma. au sa. 13h/19h
LA SUCRIÈRE
Quai Rambaud - Lyon 2e
« NÉS QUELQUE PART » :
UNE EXPOSITION À VIVRE.
Parcours immersif
4 fév. au 12 mars à 14h, 15h40 et 17h20 +
11 h, we & vac. scolaires. 15€ - 6€
BIBLIOTHÈQUE DE LA PART-DIEU
30, bd Vivier-Merle - Lyon 3e - 04 78 62 18 00
CONTRE LES MURS :
150 AFFICHES d’AUTEURS
Jusqu'au 6 fév., ma. au ve. 10h/19h,
sa. 10h/18h
PEINTRES & VILAINS. IMPRIMER L'ART
9 fév. au 30 av., ma. au ve. 10h/19h,
sa. 10h/18h
MUSÉES GADAGNE
1, place du Petit Collège - Lyon 5e
04 78 42 03 61
MUSÉE D’HISTOIRE DE LYON
& MUSÉE DES MARIONNETTES DU MONDE
COLLECTIONS PERMANENTES
Me. au di. 11h/18h30. 8€ à gratuit
GUIGNOL 14-18.
MOBILISER, DIVERTIR, SURVIVRE
Jusqu'au 28 fév., me. au di. 11h/18h30.
7€ à gratuit
MUSÉES GALLO-ROMAINS
LYON-FOURVIÈRE
17, rue Cléberg - Lyon 5e - 04 72 38 49 30
COLLECTIONS PERMANENTES
Plus de cinq siècles de découvertes
Ma. au di. 10h/18h. 4€ à gratuit je.
BERNARD ZEHRFUSS.
ARCHITECTE DE LA SPIRALE DU TEMPS
Jusqu'au 14 fév., ma. au di. 10h/18h.
4€ à gratuit je.
+ Parcours « SUR LES PAS DE ZEHRFUSS »
4, 11, 14, 18, 21, 25 et 28 fév. à 15h (+ 2€)
+ L'ARCHITECTURE A LYON
DANS LES ANNEES 70
4 fév. à 14h30 et 16h. (+ 2€)
LES GALERIES DE LA TOUR
16, rue du Boeuf - Lyon 5e - 06 87 95 17 98
ORIGIN - 14 Artistes évoquent la matière
[Pierre Souchaud / André Le Mauff /
Mélanie Nitting / Pierre Riba / ...]
Jusqu'au 29 fév., ma. au ve. 14h/ 19h,
sa. di. 11h/19h.
CENTRE D’HISTOIRE DE LA
RÉSISTANCE ET DE LA DÉPORTATION
14, av. Berthelot - Lyon 7e - 04 78 72 23 11
COLLECTIONS PERMANENTES.
L’HISTOIRE DE LA 2E GUERRE MONDIALE À LYON.
Vie quotidienne / Politiques antisémites /
Résistance / Répression
Me. au di. 10h/18h. 6€ à gratuit -18 ans
RÊVER D’UN AUTRE MONDE. Représentations
du migrant dans l’art contemporain
Expo collective : Bertrand Gaudillère /
Karim Kal / Kimsooja / Mathieu Pernot /
Bruno Serralongue etc.
4 fév. au 29 mai, me. au di. 10h/18h.
6€ à gratuit -18 ans
GALERIE LA RAGE
33, rue Pasteur - Lyon 7e - 04 37 28 51 27
ÉRIC MARTIN
5 au 27 fév., ma. je. ve. sa. 15h/19h
GALERIE ROGER TATOR
36, rue d’Anvers - Lyon 7e - 04 78 58 83 12
Biennale Musiques en Scène 2016 :
ONDŘEJ ADÁMEK & CAROL JIMENEZ
Air Machine
1er fév. au 9 mars, lu. au ve. 14h/19h
INSTITUT D’ART CONTEMPORAIN
11, rue Dr Dolard - Villeurbanne - 04 78 03 47 00
COLLECTION'15 - SAADANE AFIF /
ULLA VON BRANDENBURG / JASON DODGE /
ALEXANDER GUTKE / UNTEL
DEMAIN DANS LA BATAILLE PENSE À MOI
[OTIUM#2]
Jusqu'au 14 fév., me. au di. 13h/19h.
6€ à gratuit
URDLA CENTRE INTERNATIONAL
ESTAMPE &LIVRE
207, rue Francis-de-Pressensé - Villeurbanne
04 72 65 33 34
BENJAMIN HOCHART / MAX SCHOENDORFF
Happy few - Jusqu'au 20 fév., ma. au ve.
10h/18h, sa.14h/18h
LE RIZE
23/25 rue V.-Haüy - Villeurbanne - 04 37 57 17 17
LE SPORT A VILLEURBANNE - Bouge !
4 fév. au 18 sept., ma. au sa. 12h/19h, je.
17h/21h. Gratuit
+ Visite-encontre Christian BergerVachon, médecin du sport- 13 fév. à 15h
LA SPIRALE / LE TOBOGGAN
14, av Jean Macé - Décines-Charpieu
04 72 93 30 14
ROMINA DE NOVELLIS - Sacra Famiglia
Jusqu’au 14 fév.16, ma. au ve. 13h/21h,
sa. di. 14h/21h + sa. 10h/13h
PLANÉTARIUM DE VAULX-EN-VELIN
Place de la Nation - Vaulx-en-Velin
04 78 79 50 13
HISTOIRE D’UNIVERS, DU BIG BAND
AU GRAIN DE SABLE. Expo permanente
Me. 13h30/17h, sa. di.. + vac. scolaires
10h30/18h. 9€ à gratuit
COMÈTES, À LA POURSUITE DE ROSETTA
Jusqu'au 31 juil. me. 13h30/17h,
sa. di. + vac. scolaires 10h30/18h.
9€ à gratuit
LE POLARIS
Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55
OUTCAST - EOS - 11 fév. au 11 mars, ma.
au ve. 9h/19h, sa. 10h/12h
LA FERME DU VINATIER
CH Le Vinatier - 95, bd Pinel - Bron
04 37 91 51 11
SENS DESSUS DESSOUS
Le vêtement à l’hôpital psychiatrique,
usages et représentations
Jusqu'au 3 juil.16, me. au ve. 14h/17h,
sa. di. 14h/18h. 3€
MÉDIATHÈQUE D'ÉCULLY
1, ave. Aynard - Écully - 04 72 18 10 02
SVETLANA AREFIEV. Portraits de l’âme
Jusqu'au 10 fév., ma. ve. 14h/19h,
me. 10h/18h, je. sa. 9h/13h
MUSÉE PAUL-DINI
2, place Faubert - Villefranche-sur-Saône
04 74 68 33 70
POSTIMPRESSIONNISME ET RHÔNE-ALPES
(1886-1914). La couleur dans la lumière.
Jusqu’au 7 fév.16, je. ve. 10h/12h30 13h30/18h, me. sa. di. 14h30/18h. 5€ - 3€
MONASTÈRE ROYAL DU BROU
Église & musée - 63, bd du Brou
Bourg-en-Bresse - 04 74 22 83 83
COLLECTIONS PERMANENTES
Tlj 9h/12h-14h/17h. 7,5€ à gratuit
MAISON D’IZIEU, MÉMORIAL
DES ENFANTS JUIFS EXTERMINÉS
70, rte de Lambraz - Izieu (01)
04 79 87 21 05
MÉMORIAL. Visite, photos, dessins,
lettres, extraits films
Lu. au ve. 9h/17h, sa. di. 10h/18h. 7€ - 3,5€
MUSÉES GALLO-ROMAINS
SAINT-ROMAIN-EN-GAL/VIENNE
Route Départementale 502
St-Romain-en-Gal - 04 74 53 74 01
COLLECTIONS PERMANENTES
Ma. au di. 10h/18h. 4€ à gratuit je.
CITÉ DU DESIGN
3, rue Javelin Pagnon - St-Étienne
04 77 49 74 70
MIRAGES.
3 matériaux, 11 designers
Jusqu’au 27 mars, ma. au di. 11h/18h.
6,2€ - 4€
CULTURE INTERFACE,
NUMÉRIQUE ET SCIENCE-FICTION
Jusqu'au 19 juil., ma. au di. 11h/18h.
6,2€ - 4€
MAMC
+ SAINT-ÉTIENNE MÉTROPOLE
Rue Fernand Léger (La Terrasse)
St-Priest-en-Jarez - 04 77 79 52 52
PIERRE SEINTURIER.
I want to believe
Jusqu'au 27 fév., me. à lu. 10h/18h.
7€ - 4,5€
LIEUX DE CONCERTS
6e Continent - 51, rue St-Michel - Lyon 7e - 04 37 28 98 71
Abattoirs - Route de L’Isle d’Abeau - Bourgoin - 04 74 19 14 20
Agend’Arts - 4, rue Belfort Lyon 4e - 09 51 62 58 77
Allégro - Place de la République - Miribel - 04 78 55 80 20
Aqueduc - chemin de la Liasse - Dardilly - 04 78 35 98 03
Auditorium - 149, rue Garibaldi - Lyon 3e - 04 78 95 95 95
À Thou Bout d'Chant - 2, rue de Thou - Lyon 1er - 07 56 92 92 89
Amphithéâtre Astrée - 6,av. Gaston Berger - Villeurbanne - 04 72 43 19 11
Bar L’Absynthe - 22, rue de Flesselles - Lyon 1er - 06 76 72 14 26
Bastringue - 14, rue Laurencin - Lyon 2e
Bistro Fait Sa Brocante - 3, rue Dumenge - Lyon 4e - 04 72 07 93 47
Boulangerie du Prado - 69, rue Sébastien Gryphe - Lyon 7e - 06 21 21 41 33
Bourse du Travail - Place Guichard - Lyon 3e
CCO - 39, rue Courteline - Villeurbanne - 04 78 93 41 44
Casa Musicale - 1, ch. de Fontenay - Lyon St-Rambert - Vergoin - 06 14 02 81 40
Cave à Musique - 119, rue Boullay - Mâcon - 03 85 21 96 69
Caveau du Chien à 3 Pattes - Croix-Rouge - Belleville - 04 74 66 14 61
Centre Charlie Chaplin - Place de la Nation - Vaulx-en-Velin - 04 72 04 81 18
Centre Culturel d’Écully - 21, avenue Edouard Aynard - Écully - 04 78 33 64 33
Chapelle de la Trinité - 31, rue de la Bourse - Lyon 1er - 04 78 38 09 09
Citron - 20, rue St-Georges - Lyon 5e - 04 78 37 63 97
Clef de Voûte - 1, place Chardonnet - Lyon 1er - 04 78 28 51 95
Crescent Jazz Club - Place St-Pierre - Mâcon - 03.85.39.08.45
De l’Autre Côté du Pont - 25, cours Gambetta - Lyon 7e - 04 78 95 14 93
Double Mixte - 19, Avenue Gaston Berger - Villeurbanne - 04.72.44.60.17
DV1 - 6, rue Violi - Lyon 1er - 06 61 64 43 69
Épicerie Moderne - Place. R. Lescot - Feyzin - 04 72 89 98 70
Espace Baudelaire - 83, av. de l’Europe - Rillieux-la-Pape - 04 37 85 01 50
Espace Jean Carmet - Bld du Pilat - Mornant - 04 78 44 03 12
Espace des Arts - 5 bis, av. Nicéphore Niepce - Châlon-sur-Saône - 03 85 42 52 12
Espace St-Germain - 30, av. Général Leclerc - Vienne
Espace Tonkin - 1, av. Salvador Allende - Villeurbanne - 04 78 93 11 38
Fnac Bellecour - 85, rue de la République - Lyon 2e - 04 72 40 49 49
Fnac Part-Dieu - 17, rue du Docteur Bouchut - Lyon 3e - 04 78 71 87 00
Hall C - Plaine Achille - St-Étienne - 04 77 48 76 16
Halle Tony Garnier - 20, place Antonin Perrin - Lyon 7e - 04 72 76 85 85
Hot Club - 26, rue Lanterne - Lyon 1er - 04 78 39 54 74
Îlo Café d’Expression - RN 89 - Rte de Lyon - St-Genis l’Argentière - 04 74 72 26 12
Jack Jack / Mjc Aragon - Place Gaillard Romanet - Bron - 04 78 26 87 25
Jazz Club Lyon St-Georges - 4, Rue St-Georges - Lyon 5e 04 78 03 88 71
Johnny’s Kitchen - 48, rue St-Georges - Lyon 5e - 04 78 37 94 13
Karavan Théâtre - 60, rue de la République - Chassieu - 04 78 90 88 21
Kraspek Myzik - 20, montée St-Sébastien - Lyon 1er - 04 69 60 49 29
Kotopo - 14, rue René Leynaud - Lyon 1er - 04 72 07 75 49
L’Apéro Rock - 31, rue Ste-Geneviève - Lyon 6e - 06 63 95 09 94
L’Atribut - 122, rue Marietton - Lyon 9e - 04 72 29 10 66
La Mouche - 8, rue des Écoles - St-Genis-Laval - 04 78 86 82 28
LaPéniche - 52, quai St-Cosme - Chalon/Saône - 03 85 94 05 78
Le 13 Espace d’Interventions - 13, rue Leynaud - Lyon 1er - 06 03 94 23 14
Le Fil - 20/22, bld Thiers - St-Étienne - 04 77 34 46 40
Le Galet, Espace culturel - rue du Collège - Reyrieux - 04 74 08 92 81
Le Rize - 23/25, rue Valentin-Haüy - Villeurbanne - 04 37 57 17 17
Le Sou - 19, rue Romain Rolland - La Talaudière - 04 77 53 03 37
Le Sucre - 50, quai Rambaud -Lyon 2e
Les Trois Gaules - 10, rue Burdeau - Lyon 1er - 04 72 87 08 25
Les Valseuses - 1, rue Chappet - Lyon 1er
L'Impromptu Kafé - 7 place Colbert - Lyon 1er - 06 61 18 67 24 / 06 17 52 45 75
Lyon’s Hall - 21, rue Joannes Carret - Lyon 9e - 06 61 43 45 35
Mâcon Scène Nationale - 1511, av. Ch. de Gaulle - Mâcon - 03 85 22 82 99
Marché Gare - 34, rue Casimir Périer - Lyon 2e - 04 78 38 49 69
Marquise - 20, quai Augagneur - Lyon 3e - 04 72 61 92 92
Médiathèque de Vaise - Place Valmy - Lyon 9e - 04 72 85 66 20
MJC Le Cadran - 15, chemin de Feyzin - Vénissieux - 04 72 50 00 69
MJC de Chazelles - rue Joanny-Désage - Chazelles/Lyon - 04 77 54 29 21
MJC Jean Cocteau - 23, rue du 8 Mai - St-Priest - 04 78 20 07 89
MJC Ô Totem - 11, av. G. Leclerc - Rillieux - 04 78 88 94 88
MJC de Ste-Foy-lès-Lyon - 112, av. Foch - Ste-Foy-lès-Lyon - 04 78 59 66 71
MJC de Tassin - 16, av. de Lauterbourg - Tassin - 04 78 34 28 78
Moulin de Brainans - Poligny - 03 84 37 50 40
Nakamal - 36, av. Joannès Masset / Angle rue L. Loucheur - Lyon 9e - 04 78 47 20 16
Ninkasi / Kafé / Kao - 267, rue Marcel Mérieux - Lyon 7e- 04 72 76 89 00
Opéra National de Lyon - 1, place de la Comédie - Lyon 1er 04 72 00 45 45
Péniche Loupika - 47, Quai Rambaud - Lyon 2e - 04 72 41 75 24
Périscope - 13, rue Delandine - Lyon 2e - 04 78 42 63 59
Plateforme - Face au 4, quai Augagneur - Lyon 3e - 04 37 40 13 93
Polaris - Av. de Corbetta - Corbas - 04 72 51 45 55
Pub des Capucins - 5, place des Capucins Lyon 1er - 06 76 37 63 67
Radiant-Bellevue - 1 rue Jean Moulin - Caluire - 04 72 10 22 19
Salle 3000 - Cité Internationale - 50, quai Charles de Gaulle - Lyon 6e
Salle Aristide Briand - Jardin des Plantes - Av. Antoine Pinay - St-Chamond - 04 77 31 04 41
Salle Genton - 21, rue Genton - Lyon 8e - 04 37 90 55 93
Salle des Iris - Montée des Roches - Francheville - 04 78 59 66 66
Salle Jean Carmet - Mornant - 04 78 44 05 17
Salle Jeanne d'Arc - 16, rue Jean-Claude Tissot - St-Étienne - 04 77 25 01 13
Salle Léo Ferré / MJC Vieux Lyon - 5, place St-Jean - Lyon 5e - 04 78 42 48 71
Salle Molière - 18-20, quai de Bondy - Lyon 5e
Salle Rameau - 29, rue de la Martinière - Lyon 1er
Salle des Rancy - 249, rue Vendôme - Lyon 3e - 04 78 60 64 01
Salle Varèse - CNSMD - 3, quai Chauveau - Lyon 9e - 04 72 19 26 59
Sémaphore - Théâtre d’Irigny- rue de Boutan - Irigny - 04 72 30 47 90
Sirius - Face 4, quai Augagneur - Lyon 3e - 04 78 71 78 71
Sonic - Face au 4, quai des Étroits - Lyon 5e - 04 78 38 27 40
Subsistances - 8, quai St-Vincent - Lyon 1er - 04 78 39 10 02
Tannerie - 123, place de la Vinaigrerie - Bourg-en-Bresse 04 74 21 04 55
Théâtre Antique Vienne - Rue Pipet - Vienne - 0892 702 007
Théâtre Astrée - Campus de la Doua - 6, av. G. Berger Villeurbanne - 04 72 44 79 45
Théâtre de L’Atrium - 35, avenue du 8 mai 1945 - Tassin-la-Demi-Lune - 04 78 34 70 07
Théâtre des Pénitents - Place des Pénitents - Montbrison - 04 77 96 39 16
Théâtre de Vénissieux - 8, bld. Laurent-Gérin - Vénissieux - 04 72 90 86 68
Théâtre de Villefranche - Pl. de la Sous-Préfecture Villefranche - 04 74 68 02 89
Théâtre du Vellein - Av. du Driève - Villefontaine - 04 74 80 71 85
Théâtre Jean Marais - 53, rue Carnot - Saint-Fons 04 78 67 68 29
Théâtre Jean-Vilar - 12, rue de la République - Bourgoin-Jallieu - 04 74 28 05 73
Théâtre Théo Argence - Pl. Ferdinand Buisson - Saint-Priest - 04 78 20 02 50
Toï Toï le Zinc - 17/19, rue Marcel Dutartre - Villeurbanne - 04 37 48 90 15
Train Théâtre - 1, rue Aragon - Portes-lès-Valence - 04 75 57 14 55
Transbordeur - 3, bld Stalingrad - Villeurbanne - 04 72 43 09 99
Trokson - 110, montée de la Grande Côte - Lyon 1er - 04 78 28 52 43
Zenith - St-Étienne - Rue Scheurer Kestner - St-Étienne
/ Février 2016 / N°222 / 23
prépare
son numéro
de l’été 2016
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