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EDIALUX NEWS N°15 / Novembre 2009 Réservez le 04 Février 2010 : Nous parlerons TERMITES ! Le 04 février prochain, dans les salons du Novotel de Paris Bercy et pour la première fois, l’industrie européenne aura sa conférence internationale sur le contrôle des termites. termites Des chercheurs, techniciens de service, distributeurs, et fabricants pourront se rencontrer, discuter et écouter des interlocuteurs internationales. Des traducteurs assureront une interprétation simultanée anglais-français. Des spécialistes en provenance des Etats-Unis, d’Asie, d’Australie et d’Europe interviendront pour animer les interventions. Les présentations comprendront une revue du marché européen et du marché global des termiticides. Elles parlerons des plus récentes recherches européennes sur les termites, et des systèmes de contrôles intégrés utilisés en Australie et aux Etats-Unis. Les frais d’inscription sont de 350 euros mais les clients d’Edialux bénéficieront d’un tarif préférentiel de 250 euros. Ne ratez pas l’évènement ! Pour de plus amples informations : www.pestbusiness.com ou www.edialux.fr ou appelez au 03.85.31.89.10. NOUVEAUTES EDIALUX Un nouveau concept de traitement non chimique en étables et salles de traite : FLY CONTROL ROLLER et FLY CONTROL FIL FLY CONTROL FIL est constitué d’un système double de dévidoirs suspendus de 500 mètres de fil englué, à installer sur des longueurs simples ou sur des trajets plus complexes. FLY CONTROL ROLLER comporte un rouleau adhésif de 9 m de longueur à suspendre sur les murs les plus fréquentés par les diptères. EDIASOURIS, la nouvelle boîte... plus pratique, plus économique et moins encombrante Système 2 en 1 composé de 2 coupelles en plastique thermoformé, utilisables comme telles ou pouvant être emboitées pour se transformer en poste d’appâtage souris. Lorsqu'une des deux parties est dégradée, elle se remplace sans jeter la boîte entière. Astucieux ! DIFE PASTA : pour retrouver de l’attractivité en situation de forte compétition alimentaire Il s’agit d’une nouvelle pâte, polyvalente (testée, elle a démontré son efficacité sur rats noirs, surmulots, et souris) d’attractivité renforcée. renforcée Elle s’utilise dans les milieux les plus exigeants (industries agroalimentaires, cuisines, entrepôts) et donne de très bons résultats. résultats Ecologique, économique Présentée en seaux de 5 kilos, la pâte se trouve dans une sache plastique souple, seul élément à devoir être éliminé en déchets industriels dangereux. Le réapprovisionnement se fait ensuite en cartons de 4 saches de 5 Kg ce qui permet une réduction du volume de déchet. Le sur emballage (seau) devient un déchet industriel banal (D.I.B) Le DEET classé toxique ? Découvert en 1953, le diéthyltoluamide (DEET) est un répulsif efficace contre les moustiques, mais l’utilisation sécuritaire du DEET est de nouveau mise en doute, cette fois par une étude française qui établit que ce populaire ingrédient des répulsifs antiinsectes montre un potentiel de toxicité neurologique chez les mammifères. Cet insecticide inhibe une enzyme du système nerveux central nommée acétylcholinestérase qui joue un rôle-clé dans l’échange d’informations entre les cellules nerveuses. Or, les chercheurs ont découvert que le DEET interagit avec les insecticides carbamates en augmentant leur toxicité neurologique. D’autres études sont nécessaires avant de conclure à un réel danger… Revoilà la punaise ! CIMEX LECTULARIUS, LECTULARIUS la punaise des lits, « explose» sur dans le Sud-Ouest, notamment dans les gîtes des chemins pèlerins de St Jacques de Compostelle, mais aussi partout en France, jusque dans les wagons couchettes de la SNCF. Hôtels bas de gamme ou palaces, résidences particulières, tout le monde est touché, on entend même dire que les applicateurs londoniens traitent plus de punaises que de cafards ! Sa recrudescence est peut-être imputable à l’abandon des insecticides de contact en traitement des blattes. Ces produits avaient pour vertus d’être polyvalents et répulsifs vis-à-vis de Cimex. Le manque d’hygiène, parfois évoqué comme origine des infestations, constitue sans aucun doute un facteur aggravant , mais la punaise peut infecter un endroit propre ( un palace !) ceci à cause de son mode de vie, nocturne et dissimulé, de ses déplacements, et de son implantation, difficile à localiser. D’ailleurs il n’existe pas de « pistes de punaises » que nous puissions traiter comme pour les « pistes de cafards ». Cela explique la difficulté à mettre en place des traitements préventifs contre Cimex. Tout au plus, pour des clients sous contrats, est-il possible de définir une politique de contrôles renforcés et de traiter à apparition des premières traces du nuisible pour limiter l’impact des infestations. C’est de ce monitoring que nous attendons, pour un proche futur, les produits les plus innovants (phéromones, postes attractifs …) Pour les traitements curatifs, les choses se compliquent . Le traitement d’une infestation grave de punaises est l’un des plus délicats de notre métier. Pour peu que l’on soit opposé à un grand nombre d’individus, à une configuration complexe de locaux et à un client exigeant sans être aucunement « participatif » la chose peut tourner au cauchemar pour l’applicateur ! Certains utilisateurs incriminent, parfois justement, le produit utilisé, le choix de ce produit est d’ailleurs crucial. Pour autant la maîtrise d’une infestation importante est souvent dépendante d’un nombre minimum de réinterventions, rapprochées de 7 à 15 jours, et surtout d’une méthode globale incluant : • contrôles poussés (chambre infestée, locaux adjacents, locaux reliés par des gaines techniques) • traitement de tous les endroits infestés mis en évidence au contrôle, • maîtrise de l’hygiène (nettoyage des textiles amovibles, réoccupation des locaux …) On ne peut entrer ici dans le détail de ce protocole, et d’ailleurs ... Nouveau module de formation sur le sujet : MCM 12 Choix du produit : dans la majorité des cas, les « grands classiques », correctement appliqués, donnent entière satisfaction : PERMAX 250 COMBI (alliant effet choc et rémanence à une très faible toxicité) et FICAM WP avec ses qualités de stabilité, de rémanence et sa faible répulsivité. La conduite de chantiers plus difficiles peut nécessiter la mise en place systématique d’un double traitement (lui-même réitérable pour les cas les plus graves) incluant une première application de pyréthrinoïdes (PERMAX 250 Combi EC , FENDONA, CANASTA, DEMAND CS….) et une deuxième application d’un organophosphoré ou d’un carbamate (EDIAZON ou FICAM WP). La mise en œuvre de micro-encapsulés (DEMAND CS, EDIAZON) visera la rémanence et l’action à distance (matelas, cloisons) l’emploi de régulateur de croissance (CANASTA) visera la régulation de populations à l’état larvaire (combinée à l’effet choc de l’alphaméthrine du CANASTA). Il ne faudra pas négliger, pour le traitement des goulottes électriques ou, en cas de forte implantation, le traitement des cloisons, le poudrage au PERMAX D NOUVEAUTE : Edialux prépare une plaquette : « Punaises, biologie, mode de vie, infestations et lutte » Vous serez informés de sa disponibilité dès sa parution. Vous pourrez la télécharger ou en obtenir une version papier