La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI

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La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 13-27 1er Juillet 2013
La citation de la semaine
« Je ne veux pas atteindre l’immortalité grâce à mon œuvre.
Je veux atteindre l’immortalité en ne mourant pas. »
Woody Allen
Expérience multi-écrans pour la 100e édition du Tour de France
http://www.generation-nt.com/tour-france-2013-applications-iphone-ipad-android-tv-connectee-france-television-experience-multiecran-actualite-1753802.html
Pour la 100e édition du Tour de France, le groupe France Télévisions propose de vivre l’événement de manière
intense grâce à une expérience multi-écran.
Pour ceux qui aimeraient vivre de manière plus intense, plus privilégiée et où qu’ils
soient cette course à vélo surnommée La Grande Boucle, le groupe France Télévisions a
décidé de mettre le paquet cette année. En plus du direct, des entretiens, des résumés et
des reportages, il va proposer une expérience multiécran sur téléviseur, ordinateur,
tablette et smartphone.
À côté de son site Web, France Télévisions va proposer une application pour les
téléviseurs connectés, ainsi que des applications pour smartphone et tablette
tactile. Grâce à ces applications, il sera possible de suivre la course depuis la caméra
embarquée de son choix, de partager les extraits vidéo de son choix sur les réseaux sociaux et de disposer des données de la course
en temps réel (temps effectués, écarts, distances restantes et classements virtuels). Le groupe offrira également, via un canal
#francetvsport sur Twitter et une page Facebook, la possibilité de suivre l’information en direct, de participer aux pronostics en
temps réel et de répondre à des quizz.
IBM France redouble d'efforts sur son écosystème cloud
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-ibm-france-redouble-d-efforts-sur-son-ecosysteme-cloud-54168.html
Développer à l'échelle locale la montée en puissance de ses partenaires dans le cloud, c'est l'un des principaux
objectifs d'IBM France qui met en place une série de programmes pour les accompagner.
IBM France poursuit sur tous les fronts la construction de son écosystème cloud sur l'Hexagone, en insistant sur l'importance de le
développer localement. Un terrain sur lequel le fournisseur investit énormément, a rappelé ce matin Christian Comtat, directeur du
cloud computing chez IBM France, lors d'un point presse auquel participaient trois partenaires, l'hébergeur Aspaway, l'éditeur Izzili et
le fournisseur de services de stockage Zetark. « La richesse du cloud se crée vraiment au niveau local parce qu'il ne représente pas
uniquement une transformation informatique, mais aussi une transformation du business sur l'ensemble de l'écosystème ». Avec
des offres de plus en plus diversifiées qui permettent notamment aux éditeurs de compléter leurs services à travers un catalogue
applicatif en ligne, il constitue le moteur de croissance de demain, pointe Christian Comtat qui donne en exemple ce qui a été réalisé
avec Smarter Cities et « que nous n'aurions pas pu faire seul sans le cloud ». Pour IBM, il est donc primordial d'aider ses
partenaires à se transformer pour évoluer vers trois types de métiers selon qu'ils intègrent les couches technologiques du cloud,
prennent en charge l'hébergement ou revendent des services applicatifs. Le premier métier regroupe les « cloud builders » qui
intègrent les technologies et vont pouvoir s'appuyer sur des systèmes packagés comme les Pure Systems et sur une plateforme
d'automatisation telle que SmartCloud Orchestrator qui permet de gérer des environnements clouds hybrides.
Un choix stratégique : des API et standards ouverts Sur le deuxième métier, celui des fournisseurs de clouds managés qui
opèrent des clouds privés ou hébergent des éditeurs de logiciels SaaS, IBM pousse également ses Pure Systems, mais aussi la
plateforme Open Source OpenStack (à laquelle il contribue), ainsi que ses solutions de sécurité et analytiques. Enfin, sur le
troisième métier, celui des revendeurs de services applicatifs dans le cloud, l'objectif est que ces partenaires puissent interconnecter
plusieurs offres SaaS pour être en mesure d'offrir des solutions intégrées à leurs propres clients, ce que permet une solution
d'agrégation comme CastIron. Encore une fois, Christian Comtat insiste ici sur l'importance de s'appuyer sur des API et des
standards ouverts (comme OpenStack) pour que l'écosystème puisse multiplier les possibilités d'ajout de services. Sur la partie SDN
(réseaux virtualisés), IBM défend par ailleurs le projet OpenDaylight.
Se transformer pour s'adapter au cloud, une question de survie Se transformer dans ce contexte, « c'est une question de
survie » pour l'écosystème, estime Thomas Meunier, VP responsable chez IBM France de l'organisation d'un réseau de 2 000
partenaires qui, chez les clients, s'adressent de plus en plus aux directions métiers. « Sur les projets, on passe souvent d'une logique
très technologique à une vision métier. Il y a moins d'assets à installer ce qui entraîne aussi des évolutions dans les plans de
commissionnement chez nos partenaires informatiques. Nous proposons bien sûr des programmes pour accompagner toutes ces
transformations », indique Thomas Meunier. « Nous avons par exemple un programme de détachement d'IBMers pour mettre chez
nos partenaires des ressources techniques avant-vente qui font du transfert de compétences pendant 6 à 18 mois», cite-t-il en
exemple. Autre programme, le Cloud Specialty consiste à aider financièrement en co-marketing les partenaires certifiés les plus
volontaires, qui disposent déjà d'une référence client et sont prêts à communiquer sur des success stories.
Thomas Meunier cite exemple un troisième programme, « Pattern Expertise » plus orienté vers les éditeurs. L'objectif est ici de les
aider à rendre leurs applications « Pure ready ». Christian Comtat rappelle que la première chose que font les Pure Systems lorsqu'ils
démarrent est d'aller se connecter sur le Pure Center d'IBM, « notre applications store » qui propose maintenant 1 700 logiciels de
300 éditeurs, qui vont du firmware au volet applicatif (CRM, ERP...). « L'éditeur français Coheris nous a suivis dans ce programme »,
indique-t-il. Bon an, mal an, IBM épaule ainsi une centaine d'acteurs de son écosystème. Christian Comtat cite encore Keyword, sur
Montpellier, un éditeur qui travaille sur les outils de gestion des fraudes. IBM a voulu illustrer sa démarche en mettant en avant les
mises en œuvre de trois partenaires, intervenant dans des domaines distincts : Aspaway, Izzili et Zetark.
Adobe s'offre Neolane, une pépite de la high-tech française
http://www.challenges.fr/high-tech/20130628.CHA1414/l-americain-adobe-s-offre-neolane-une-pepite-de-la-high-tech-francaise.html
L'éditeur de logiciel vient d'acheter l'entreprise française Neolane pour $600 M
L'éditeur américain de logiciels Adobe va racheter une pépite française de la haute-technologie, Neolane, pour $600 M, selon un
communiqué du principal actionnaire de cette dernière publié vendredi 28 juin.
L'acquisition va permettre à Adobe de renforcer son offre dans les technologies de marketing utilisant le "cloud" (la gestion via
internet de données stockées sur des ordinateurs distants), a expliqué son VP Brad Rencher, cité dans le texte.
C'est la sixième opération de croissance externe menée par Adobe dans le domaine du marketing numérique, après les acquisitions
de Omniture (2009), Day Softwaire (2010), Demdex (2011), Auditude (2011) et Efficient Frontier (2012).
Un quart du chiffre d'affaires de Neolane réalisé en Amérique du Nord Neolane avait été créé en 2001 par quatre
entrepreneurs français, Stéphane Dehoche, Stéphane Dietrich, Thomas Boudalier et Benoït Gourdon. Après des premiers pas à
l'étranger, au Royaume-Uni et en Suède, Neolane avait procédé à partir de 2006 à plusieurs augmentations de capital pour accélérer
son expansion et accéder au marché nord-américain où il réalise désormais un quart de son chiffre d'affaires.
Ce changement de mains va permettre à Neolane d'"accélérer son expansion", a précisé de son côté son premier actionnaire, le
fonds d'investissements Auriga, qui détenait jusqu'alors plus de 20% du groupe français de logiciels marketing.
Grâce à cette opération, le fonds dit avoir multiplié par 33 sa mise de départ.
L'actuel patron de Neolane restera en fonction La transaction devrait être finalisée en juillet. En 2012, Neolane a vu son chiffre
d'affaires s'établir à 44 millions d'euros, en hausse de 40% sur un an, dont plus de la moitié à l'exportation. Neolane emploie plus de
300 collaborateurs et compte plus de 400 clients en Europe, en Amérique et en Asie, est-il encore indiqué dans le texte.
Son actuel patron Stéphane Dehoche restera en fonctions après la reprise, a précisé Adobe. "Neolane est la preuve que l'innovation
de qualité est bien présente en France et en Europe et que les investisseurs peuvent jouer un rôle déterminant dans l'émergence de
belles sociétés innovantes, génératrices d'emplois attrayants, exportant dans le monde entier", s'est félicité Auriga.
Dans son communiqué, Adobe a souligné que l'opération devrait être sans impact significatif sur ses résultats et son CA 2013.
Huawei renforce sa présence en Europe au travers de Bull
http://www.silicon.fr/huawei-renforce-sa-presence-en-europe-au-travers-de-bull-87357.html
Un contrat de partenariat allie Huawei et Bull en Europe. Il concerne principalement les technologies IT liées au
cloud computing, au réseau, au stockage…
À une époque où s’allier avec des entreprises chinoises est plutôt mal vu par les États occidentaux, l’annonce de partenariat faite
aujourd’hui par Bull et Huawei apparait presque audacieuse. Elle demeure toutefois logique. Huawei est un des leaders de la
fourniture de technologies IT, alors que Bull est particulièrement bien implanté en Europe. Le constructeur apportera ainsi son
savoir-faire en matière de mise en œuvre et d’assistance sur les technologies du constructeur chinois.
« Ce partenariat s’annonce solide et durable, explique Philippe Miltin, vice-président exécutif Computing Solutions chez Bull. Les
expertises de Bull et de Huawei sont très complémentaires. Les entreprises clientes en Europe bénéficieront de la combinaison de
TIC de pointe au niveau mondial grâce à Huawei et des services d’implémentation et de support de qualité grâce à Bull. »
Huawei affermit sa position en Europe Sont concernées par cet accord toutes les solutions d’entreprise, en particulier celles
liées au cloud computing, au réseau et au stockage.
« La collaboration entre Bull et Huawei offre de nombreux avantages, tant pour nos clients finaux que pour nos partenaires de
service. Il s’agit d’une autre grande avancée en termes de capacités de service pour Huawei sur le marché des entreprises en
Europe, » conclut Han Xiao, président de Huawei Enterprise Services.
Microsoft's mobile strategy: Where Android, iOS and Windows 8.1 fit in
http://www.zdnet.com/microsofts-mobile-strategy-where-android-ios-and-windows-8-1-fit-in-7000017352/?s_cid=e539&ttag=e539
Windows RT and Windows Phone 8 aren't doing well, but Microsoft can still make out with some help from Intel
and Windows 8.1 If its great ARM experiment doesn't work out, supporting Microsoft's key applications on
Android and iOS won't hurt.
This is not your dad's Microsoft. In the last few months Microsoft has been refocusing on Web services and devices instead of its
mobile operating systems, Windows RT and Windows Phone 8 (WP8). Neither OS have been cutting the mustard in the market.
Moving forward, I see Microsoft addressing its mobile OS issues in two ways.
First, in the long run, 2014 and beyond, I see Microsoft replacing RT and WP8 with Windows 8.1. As Ed Bott said, with Windows 8.1,
Microsoft is aiming squarely at mobile devices. How can Microsoft do this with ARM dominating tablets and smartphones?
By eventually replacing its ARM-powered RT devices with Intel
Silvermont/Bay Trail tablets running Windows 8.1.
It makes sense. This new Atom-based, long-battery life processor
family can give Microsoft a low-end tablet that can run "real" Windows
instead of crippleware RT or the unpopular WP8. This would also save
developers time. They can just focus on Windows 8.1 without worrying
about the underlying chip architecture. They would be working once
more with the familiar x86 architecture. Indeed, I think Microsoft may
go even farther and replace WP8 with Windows 8.1 on smartphones.
The Intel Silvermont/Merrifield chip family is designed for smartphones.
Just as with Bay Trail, Microsoft could give its developers the familiar
environment they already know. The tens of thousands of Microsoft
developers who now focus on the desktop could far more easily write
or port software to smartphones and tablets.
Can a new WinTel pairing win over ARM fans? Intel thinks so. Intel's Silvermont tablet and smartphone chips are expressively
designed to support Android and Windows 8.1. Some analysts also believe that Intel has a shot at disrupting ARM's hold on the
mobile space. As Wells Fargo analyst David Wong recently said, "Intel’s strong technology position could give Intel’s tablet and
smartphone products a competitive edge over ARM-based chips in 2014 and 2015, and beyond."
In the short run, it's a different story. The mobile world is an ARM world. Since Microsoft's own ARM-based mobile operating systems
aren't doing well, Microsoft has shown that it isn't afraid to support its applications and services on Android and Apple's iOS.
Although Windows 8 has had its issues, it's a rip-roaring success compared to Microsoft's mobile OS adoption rates. Microsoft has
made it crystal clear that it's advancing the Windows 8 family with Windows 8.1. It's not giving RT and WP8 the same confidence.
There's lots of Windows 8.1 news coming out of Microsoft's Build 2013 developer conference, but little said about RT or WP8.
Accélérer le surf : Google teste QUIC, protocole mariant les avantages de TCP et UDP
http://www.zdnet.fr/actualites/accelerer-le-surf-google-teste-quic-protocole-combinant-les-avantages-de-tcp-et-udp-39791935.htm
En combinant le meilleur des deux protocoles, Google espère aller plus loin que le SPDY, base du futur HTTP 2.0.
QUIC est implémenté dans certaines préversions de Chrome.
Google a implémenté cette semaine un nouveau protocole, QUIC (Quick UDP Internet Connections), au sein de la préversion Canary
du navigateur Chrome. Le protocole, expérimental, est vu comme une possibilité pour dépasser les limitations du TCP par le géant.
Prenant acte des améliorations de la version 2.0 de la norme HTTP, basée sur le protocole SPDY, Google souhaite aller plus loin. Sur
le billet de blog annonçant QUIC, il explique qu'il s'agit d'un protocole en cours de développement qui doit apporter des
fonctionnalités de TCP améliorées, mais avec un transport sur UDP.
Rapidité et sécurité Cette stratégie vise à contourner les limites des deux protocoles : UDP, plus rapide, n'est pas orienté
connexion. Il est donc incapable de contrôler l'état de la transmission, ce que permet TCP. Mais ce dernier est moins souple et a
tendance à ralentir la connexion, juge Google. La faute à la fonction de vérification des transmissions de TCP, justement.
Alliant la rapidité de l'UDP aux capacités de négociation (contrôle de la transmission par une connexion préalable à l'envoi de
paquets) de TCP, QUIC a été testé côté serveur et, depuis février, côté client sur certaines versions de Chromium. L'intégration dans
Chrome Canary doit pouvoir de tester le protocole en conditions réelles sur certains sites. "Les conditions de connexion du monde
réel diffèrent souvent considérablement" des tests effectués en interne, justifie ainsi Google. C'est pourquoi, même si "les premiers
tests sont prometteurs", il lui faut encore tester les avantages et inconvénients de QUIC en conditions réelles.
Test grandeur nature Pour les utilisateurs, outre une vitesse de connexion améliorée lors de requêtes sur les serveurs Google où
QUIC est implémenté, aucune différence ne sera visible. Parmi les avantages mis en avant par Google, on peut citer une sécurité du
niveau de TLS, une connectivité rapide, un contrôle des paquets pour réduire les pertes, une correction des erreurs de paquets pour
limiter la latence, etc. Ces avancées vont maintenant être testées, et Google espère ensuite passer à la phase suivante : "collaborer
avec le reste de la communauté pour développer ces fonctionnalités et techniques de QUIC au sein des standards de réseaux". Une
FAQ et un groupe de discussion ont été mis à disposition par Google.
Booke apporte les fonctionnalités du livre numérique au livre imprimé
http://www.atelier.net/trends/articles/booke-apporte-fonctionnalites-livre-numerique-livre-imprime_422175
Une startup américaine propose un compagnon pour les lecteurs de livres imprimés, qui offre une recherche
numérique, une fonction de copie et de prise de notes.
Lire les publications imprimées avec les fonctionnalités d'un format numérique, c’est ce que propose la
startup Booke. « Cette application combine les différents éléments des lectures analogique et numérique et
est conçu pour capturer, conserver et partager tous les moments importants de l'expérience de lecture »,
selon son co-fondateur Jaroslaw Bogulak, qui a en effet décidé de créer son entreprise après avoir réalisé
que malgré le nombre important de livres qu’il lisait, il avait tendance à en oublier le contenu et devait
souvent retourner le consulter.« J'essayais difficilement de retrouver un passage en particulier d’un livre, j’ai
finalement perdu patience et ai pensé: pourquoi n'y a-t-il pas de Ctrl + F ? ». L’application permet donc soit
de numériser une copie imprimée soit d’utiliser une copie numérique et le lecteur se voit proposer trois
fonctionnalités : la recherche, la copie et le partage.
Chercher, copier, partager Lorsque les utilisateurs lisent une publication imprimée, ils peuvent prendre une photo de la
couverture ou taper son code ISBN - International Standard Book Number (ISBN) ou Numéro international normalisé du livre
(NINL)- dans l'application. Ils peuvent ensuite taper les commandes ou les énoncer à voix haute, telles que la recherche de motsclés, la copie et l’enregistrement de paragraphes ou phrases spécifiques ou encore faire des commentaires et des notes. Les lecteurs
peuvent également partager leur activité avec des amis, ce qui permet aux autres de lire une publication avec leurs notes
personnalisées. « Grâce à Booke, les lecteurs n'oublieront pas les extraits importants de leurs livres préférés qu’ils ont lu et les
publications seront stockées en toute sécurité pour eux ». Ils auront également accès aux notes multimédias de leurs amis. « De
cette façon, vous pouvez lire la biographie de Amy avec les notes de Jack », ajoute Jaroslaw Bogulak.
Comment changer son smartphone en modem ?
http://www.francetvinfo.fr/comment-changer-son-smartphone-en-modem_358370.html
Vous avez emporté votre ordinateur portable en vacances, mais, sans connexion internet, impossible de
l'utiliser. Francetv info explique comment connecter n'importe quel appareil au réseau 3G de votre téléphone.
Dans le TGV, direction vos prochaines vacances, sous la tente au fond des bois, dans un hôtel mal équipé et pourquoi pas chez
vous, si vous avez par mégarde oublié de payer votre facture wifi… L'été est la saison de tous les dangers pour les accros au net, qui
accordent autant d'importance à leur connexion qu'à un accès à l'eau potable. Voici comment profiter de la connexion 3G de votre
mobile sur n'importe quel appareil (Mac, PC, tablette ou même console de jeu), en transformant votre smartphone en modem.
Est-ce autorisé ? Changer son téléphone en modem – le "tethering" en jargon informatique – a longtemps été interdit par les
opérateurs de téléphonie. Sans doute étaient-ils plus soucieux de vous vendre une clé 3G que de vous laisser profiter gratuitement
du plein potentiel de votre smartphone. En 2013, la plupart des opérateurs autorisent désormais cette pratique.
Certains vous obligent à souscrire une option spécifique (intitulée en général "partage de connexion"), d'autres l'incluent par défaut
dans votre forfait. C'est le cas par exemple de Sosh et de Free Mobile dans le cadre de leurs forfaits "internet illimité". Avant d'aller
plus loin, ce sera donc à vous de vérifier auprès de votre service client les conditions de votre abonnement. Attention, votre
opérateur est parfaitement capable de détecter le type d’appareil à partir duquel vous vous connectez au réseau. S'il interdit le
tethering, toute transmission de données vous sera facturée hors forfait et l'addition peut rapidement atteindre des sommets.
Vous possédez un téléphone Android Tout ce dont vous aurez besoin, c'est d'un téléphone Android récent, du cordon de
raccordement USB qui vous a été fourni au moment de son achat, et de pilotes correctement mis à jour sur l'appareil de destination
(c'est-à-dire celui auquel vous allez raccorder votre smartphone), par exemple votre ordinateur portable.
Pour mettre à jour ces pilotes, vous aurez besoin d'une connexion internet. Il serait donc judicieux de vous en soucier avant d'avoir
gagné le Larzac et de vous retrouver à des kilomètres du premier hotspot venu. En raccordant votre téléphone grâce au cordon USB,
la mise à jour devrait se faire automatiquement, que vous soyez sur un Mac ou sur un PC. […]
Google développe une montre connectée sous Android
http://web-tech.fr/2013/06/29/google-developpe-une-console-de-jeu-et-une-montre-connectee-sous-android/
Avec le succès d’Android, Google affirme sa volonté de sortir « ses nouveautés » sous ce
système d’exploitation. Lancé en 2008, Android alimente 75% de tous les
smartphones et 57% des tablettes livrées au niveau mondial au 1T, selon IDC.
De nombreux jeux qui fonctionnent sous Android se sont révélés particulièrement
populaires, et gagne en popularité s’ils sont fait pour les consoles de grands noms fournis
par Microsoft, Sony et Nintendo… Comme d’autres (Microsoft, Apple, Samsung),
Google travaillerait sur une montre intelligente (smartwatch). C’est ce que
répète aujourd’hui le WSJ, qui explique que c’est la branche « matériel » de Google qui
planche sur le sujet et non Motorola. Cette montre intelligente sous Android serait
une réplique à celle préparée par Apple.
IBM Watson devient conseiller commercial
http://pro.01net.com/editorial/598675/ibm-watson-revient-conseiller-commercial/
Après avoir terrassé les candidats du Jeopardy!, débuté en tant que diagnosticien, IBM Watson devient
commercial. Banquiers, assureurs et opérateurs de télécom vont exploiter son intelligence artificielle pour vous
vendre leurs services.
L’expérimentation vient de démarrer dans huit entreprises. L’intelligence artificielle du Watson d’IBM, bien connue pour s’être fait les
dents sur Gary Kasparov (vaincu en 1997 par Deep Blue, l'ancêtre de Watson) et avoir battu à plates coutures les meilleurs joueurs
de Jeopardy! au monde, va désormais vendre des produits d’assurance ou des services bancaires.
Quand vous allez décrocher votre téléphone ou chercher une information sur votre mobile, c’est peut être bien ce super-ordinateur
que vous allez avoir au bout du fil. Et, contrairement au discours complètement scripté des opérateurs de centre d'appel, il risque
bien de trouver les arguments qui vont faire mouche pour vous vendre ses assurances ou forfaits mobiles !
Patrice Poiraud, Directeur Big Data chez IBM France souligne l’intérêt de cette technologie unique au service des entreprises : « Il ne
s’agit pas de faire de l’analytique ou du prédictif tel qu’on en fait actuellement, c’est bien plus que ça. Watson est réellement capable
de comprendre la question d’un client et va pouvoir lui donner une réponse circonstanciée. Le client va réellement pouvoir interagir
avec lui que ce soit sur le Web, mobile ou le centre d'appel.»
6 semaines de formation pour transformer Watson en meilleur vendeur du mois Tout comme il l’a fait pour l’opération
Jeopardy!, IBM Watson va indexer ou plutôt comprendre toute les données structurée relatives aux comptes clients mais aussi
toutes les données non structurées relatives aux produits qu’il va proposer au client. L’entreprise va ensuite définir les règles
métiers, apprendre à Watson ce dont elle attend de lui, puis Watson va être mis au contact des clients, que se soit via le site web,
application mobile ou via le centre d’appel où il va guider les opérateurs. Patrice Poiraud estime à 6 semaines cette phase d’injection
des données nécessaire afin de transformer l’intelligence artificielle Watson en parfait vendeur. Ce spécialiste du Big Data précise
qu’IBM Watson s’appuie sur des technologies relativement classiques et n’a rien d’une usine à gaz impossible à exploiter dans le
cadre d’une entreprise : « Watson va être proposé en mode cloud mais pourra aussi être déployé dans les salles informatique de
l’entreprise. Il ne s’agit pas d’une infrastructure informatique exotique : Watson fonctionne sur des serveurs P Series 750 bien
connus et côté logiciel il s’appuie sur Linux et des solutions telles que Big Insight, notre distribution Hadoop, le moteur de recherche
IBM Content Analytics, nos solutions de Datawarehouse, d’ETL, les algorithmes prédictifs SPSS, etc. »
Pas encore de client français pour Watson Parmi les premiers utilisateurs entreprise de Watson l’assureur US Life, la Royal
Bank of Canada, la banque Australienne AMZ, les opérateurs Telstra et Celsom, et encore Nielsen. Pendant six mois ces entreprises
vont tester l’efficacité de Watson pour vendre des produits d’assurance pour les uns, des plans retraite ou des forfaits mobiles pour
les autres. Si Watson atteint ses objectifs et décroche le titre de meilleur vendeur du mois chez ces premiers utilisateurs, IBM étudie
une commercialisation de son offre à l’horizon 2014.
Comme l’a souligné Patrice Poiraud, Watson sera proposé en mode à la demande dans le cloud, mais aussi en installation classique,
un impératif pour percer dans le secteur bancaire notamment. « Toutes les entreprises qui ont potentiellement un très grand
nombre de clients et gèrent de grosses bases de données peuvent être intéressées par Watson. C’est le cas des secteurs banque et
assurances, des opérateurs télécoms et des grands sites d'e-commerce. » Toutefois, pour pouvoir percer en France, il manque une
chose à Watson : savoir parler français… l’affaire de quelques semaines sans doute pour cette intelligence supérieure.
Apple cherche à enregistrer la marque iWatch au Japon
http://www.clubic.com/univers-mac/apple/actualite-569044-apple-enregistrer-marque-iwatch-japon.html#ixzz2XmUe45LN
La montre connectée d'Apple a beau être techniquement un mystère, son existence n'est visiblement plus à
prouver : la firme de Cupertino cherche actuellement à déposer la marque iWatch au Japon.
Sans doute échaudé par ses soucis de marques en Chine et au Brésil, Apple semble désireux de
prendre les devants pour protéger ses produits futurs aux quatre coins du globe. C'est sans doute
pour cette raison que l'entreprise vient de faire une demande d'enregistrement pour la marque
iWatch au Japon. iWatch, c'est le terme, jusque-là officieux, visant à qualifier la future montre
connectée d'Apple. Évoqué depuis de longs mois, ce dispositif, que la firme n'a pour l'heure pas
encore officialisé, pourrait donc porter ce nom… ou pas. Bien que le terme rappelle les noms des
produits de la société, comme l'iPhone ou l'iPod, il est également possible qu'Apple protège cette
appellation pour éviter que quelqu'un d'autre en profite pour baptiser ainsi son produit et entraîner
une confusion.
Bloomberg précise que ce dépôt ne date pas d'aujourd'hui, puisqu'il daterait du 3 juin. Il n'a cependant été dévoilé que la semaine
dernière. A noter que, début juin, le site 9 to 5 Mac rapportait de son côté qu'Apple avait déposé la marque iWatch en Russie… de
quoi relancer la rumeur concernant l'arrivée prochaine d'une montre connectée chez l'Américain.
Sony SmartWatch 2: prix et date de lancement en France
http://www.clubic.com/smartphone/android/actualite-569944-sony-xperia-z-ultra-smartwatch-2-handset-prix-date.html#ixzz2Y9fbAgvu
Sony a présenté ce matin en France les nouveautés qu'il a récemment annoncées. L'occasion de
découvrir le prix et la date de lancement de la SmartWatch 2.
Sony a récemment annoncé la SmartWatch 2, qui avaient fait l'objet de communiqués de presse en France, mais
dont le prix et la date de lancement n'avait pas encore été révélé. Le fabricant a profité ce matin d'une
conférence de presse pour les officialiser.
La Sony SmartWatch 2 sera donc lancée fin septembre en France et en Europe. Elle y sera vendue €200 avec un
bracelet en caoutchouc, €220 avec un bracelet en cuir.
Imagine this: A Windows 8 hybrid by BlackBerry
http://www.zdnet.com/imagine-this-a-windows-8-hybrid-by-blackberry-7000017506/
BlackBerry isn't selling a lot of phones running the latest OS. The company has lots of cash so what if it hedged
its bets and built a Windows 8 hybrid for the enterprise?
When you think of BlackBerry you think of phones because that's what the company has usually built. Like other companies,
BlackBerry made a brief foray into the hot tablet space, but that may be over given the admission that it won't be releasing
BlackBerry 10 (BB10) for the Playbook. I've been thinking about that and I can't shake the crazy idea that to replace the Playbook
the company should build a Windows 8 hybrid for the enterprise.
Une première tablette Tizen
http://www.silicon.fr/une-premiere-tablette-tizen-87474.html
Tizen trouvera-t-il son marché ? Dans l’attente d’une réponse, le Japonais Systena Corp. lève le voile sur la
première tablette équipée de ce nouvel OS mobile.
Tizen, système d’exploitation mobile open Tizen s’appuie sur des technologies web pour la création des applications. À ce titre, cet
OS mobile est donc plus proche de l’open source à la croisée des chemins entre MeeGo (Maemo + Moblin) et LiMo (sans compter les
apports issus de bada), continue de progresser. Basé sur un noyau Linux, Firefox OS, qui se profile à l’horizon, que d’Android.
Son héritage LiMo devrait en faire une offre très populaire au Japon. C’est donc sans
surprise que la première tablette Tizen vient du pays du soleil levant.
Un écran intéressant LinuxGizmos.com explique que le constructeur japonais
Systena Corp. proposera la première tablette Tizen. Elle s’appuiera sur un
processeur ARM Cortex-A9 à quatre cœurs, cadencé à 1,4 GHz. Il sera épaulé par 2
Go de RAM et 32 Go de flash. Wifi et lecteur de cartes SD seront de la partie.
L’écran d’une diagonale de 10,1 pouces affichera une résolution relativement inédite
de 1920 x 1200 points. Un écran qui permet à cette offre de se distinguer…
contrairement aux capteurs d’images (2 Mpx à l’arrière, 0,3 Mpx à l’avant).
Si d’autres constructeurs suivent Systena Corp., le marché de la mobilité en 2013 pourrait s’enrichir d’un nouvel acteur. La guerre à
quatre (Android, BlackBerry OS, iOS, Windows Phone) pourrait se transformer en guerre à 6 (Android, BlackBerry OS, iOS, Windows
Phone, Firefox OS, Tizen), voire à 7 si Ubuntu Mobile entre dans la danse.
Internet Explorer 11 compatible avec Windows 7
http://www.zdnet.fr/actualites/internet-explorer-11-compatible-avec-windows-7-39791907.htm
L'information a été confirmée par Microsoft mais aucun calendrier de disponibilité n'a été annoncé.
Il y a quelques jours, la conférence développeurs Build de Microsoft a été l'occasion de découvrir la première mouture d'Internet
Explorer 11, la future version du navigateur de Microsoft présente dans Windows 8.1.
Mais cette mise à jour majeure ne sera pas réservée aux utilisateurs du nouvel OS de Redmond. L'éditeur vient en effet de confirmer
qu'IE 11 sera également compatible avec Windows 7. La firme n'a néanmoins pas précisé quand.
Rappelons qu'une des principales améliorations d'Internet Explorer 11 concerne l'interface de la console pour les développeurs, au
design rafraîchi et très inspiré de Metro. Elle contient quelques nouveaux outils, comme "UI Responsiveness" qui peut être utilisé
pour analyser la performance d'une page web ; DOM Explorer, un outil d'émulation de différentes résolutions ; une mise-à-jour de
l'outil Memory ; et la possibilité d'utiliser le clic droit pour inspecter un élément HTML.
Côté grand public, la principale nouveauté est l'arrivée de WebGL. Comme avec Firefox 22, récemment publié, il s'agit d'apporter un
meilleur rendu des graphismes, notamment 3D, permettant ainsi, par exemple, du jeu vidéo au sein du navigateur.
Enfin, Microsoft prévoit d'améliorer la durée de la batterie en effectuant un certain nombre d'opérations, comme la suspension
autonome d'un onglet, le rendu de vidéos HTML5 sans plug-in, ou la délégation du chargement d'images au GPU.
La marque de prestige, Vertu, sort un nouveau mobile en titane
http://www.01net.com/editorial/598935/la-marque-de-prestige-vertu-sort-un-nouveau-mobile-en-titane/
L'or, les diamants et les saphirs, c'est démodé. Aujourd'hui, les téléphones de luxe s’ habillent de titane et de
cuir... en toute simplicité.
Vous trouvez que l’or et les diamants font trop bling-bling ? Que les iPhone sont démodés ? Alors optez
pour un smartphone Android habillé de titane. C’est le dernier matériau de luxe à la mode. Il sert à la fois à
optimiser la résistance du smartphone, à souligner son élégance et à en réduire le poids.
La marque Vertu vient de sortir deux nouveaux modèles en série limitée, baptisés Sunset Red et Midnight
Blue. Il n’en existe que 1000 exemplaires, tous numérotés et signés.
La structure des deux appareils est en titane gris mat et le dos est revêtu de cuir de veau. L’écran de 3,7’’
est composé de cristal de saphir afin de le protéger des rayures.
Ils sont tous deux munis d’un processeur Snapdragon double coeur cadencé à 1,7 GHz, d’un capteur photo
8 millions de pixels, de hauts-parleurs de 11×15 mm intégrés dans le châssis, d’une mémoire de 64 Go et
d’une puce sans contact NFC et tourne avec Android 4.0 (Ice Cream Sandwich). Le prix de ce joli jouet ?
Rien moins que €8 900. Services de protection de l’appareil et de conciergerie inclus.
10 open source projects that are leading innovation
http://www.techrepublic.com/blog/10things/10-open-source-projects-that-are-leading-innovation/
Think most tech innovation is driven by proprietary development? Think again.
Technology depends upon Innovation. Without boundary-pushing ideas, technology (and those who depend upon it) would get
nowhere. Innovation also drives businesses and society. Many people assume that most innovation is derived from closed source
software and developers. That assumption is, in many instances, very wrong. There are thousands upon thousands of open source
projects that bring about innovation. Some do so on a small scale, while others are thinking massive and global. Of the hundreds of
thousands of open source projects out there, I have come up with a list of 10 that are leading innovation in the world of technology.
1: OpenNebula OpenNebula has a goal: to offer standards-compliant, virtualized enterprise data centers. But OpenNebula doesn’t
believe in the one-size-fits-all mantra of many data center providers, nor does it produce turnkey solutions. The driving force behind
OpenNebula is evolution. At the core of this project is a management layer to help automate and orchestrate the operation of data
centers. This is achieved by leveraging and integrating existing technologies for networking, storage, virtualization, monitoring,
and/or user management. OpenNebula will do everything it can to provide cloud builders with a modular system that can be used to
implement a variety of cloud-based architectures.
2: Ubuntu Unity Ubuntu Unity may not be everyone’s desktop of choice, but there’s no denying that it has seriously challenged the
way users think about and use the desktop interface. In fact, the Unity Dash search feature is already starting to find its way into
Windows 8. The whole of Unity itself is also helping drive a sort of melding between desktops and mobile devices. The need to have
one interface to rule them all will eventually extend its reach onto more and more platforms.
3: OpenClinica OpenClinica is the world’s first open source clinical trial software for electronic data capture (EDC) and clinical data
management (CDM). In just a few years, OpenClinica has become the most highly adopted clinical trial software. It has been built
with open standards to make clinical research possible in more than one hundred countries. It’s a modular solution and offers both a
Community and Enterprise edition.
4: OpenStack OpenStack is an open source cloud operating system that allows you to control the different systems it has created:
Compute (provision and manage large networks of virtual machines), Storage (object and block storage for use with servers and
applications), and Networking (network and IP management). All control and management is done through a single user-friendly
dashboard, where you can provision and automate cloud-based resources.
5: Kitware Kitware is a company committed to open source development. Currently, it has created software for software process,
scientific computing, computer vision, medical computing, informatics, and data management. It is well known for major
contributions to the VTK, ITK, Cmake, and ParaView projects and has made its mark by creating a cross-platform software process
to enable open source tools to thrive. Kitware also provides custom consulting services to support a wide range of endeavors. It’s
constantly pushing the envelope and using open source tools in data mining/mapping for a number of fields. Out of this, Kitware has
created a number of tools, such as Visomics,
6: OpenDaylight OpenDaylight is a community-led, open source framework to enable the creation of innovative, transparent
software-defined networks (SDNs). With an SDN-deployed network, you need the right tools to help you manage the infrastructure.
That’s where OpenDaylight comes in. At its core, OpenDaylight has a modular, pluggable, and flexible controller contained within its
own Java Virtual Machine (JVM), so it can be deployed on any platform that supports Java. This controller contains a collection of
modules that perform much-needed network tasks.
7: ForgeRock ForgeRock has created an open identity stack to redefine identity and access management across enterprise, cloud,
mobile, and social environments. By leveraging open source, ForgeRock’s OIS can work with multiple APIs to ensure seamless
identity and access management across platforms. ForgeRock offers the only all-in-one open identity stack on the market and has a
very active community that is constantly fixing bugs in the code. And by keeping the software open, ForgeRock maintains a
transparency that proprietary software can’t achieve.
8: Facebook Open Compute Facebook Open Compute is set on hacking the conventional computer infrastructure. Long ago
Facebook decided to create one of the most efficient computing infrastructures at the lowest possible cost. That project has
developed open specs for storage, motherboards, racks, virtual I/O, compliance and interoperability, hardware management, and
data center design. Considering what Facebook has achieved for itself here, the world’s data centers should jump on board.
9: Hadoop Hadoop is a project associated with Apache that allows for the distributed processing of large data sets across clusters
of computers. Hadoop is designed for anything from a single server to thousands of machines. With Hadoop, you don’t depend upon
hardware to deliver high availability — you get that from the software itself. The Hadoop library was designed to detect and handle
failures at the application layer. Hadoop can handle petabytes of structured and unstructured data.
10: Android Android can’t be denied now. The open source mobile platform has pushed every boundary possible in the mobile
landscape. Up until Android arrived, iPhone, Blackberry, and Palm were the only names in the smartphone game. When Android
appeared, both Blackberry and Palm took major hits and finally fell off the face of the planet or were relegated to niche markets.
Now Android is constantly redefining how the mobile device is used. Factor in the fire Android has lit under the complacent feet of
the competition and it becomes clear who is leading innovation in the mobile space.
Médecine : l''impression 3D bientôt utilisée pour les plâtres ?
http://www.clubic.com/technologies-d-avenir/imprimante-3d/actualite-569176-medecine-impression-3d-utilisee-platres.html
Après la construction de nouveaux os ou de tissu humain, l'impression 3D vient de trouver une nouvelle place
dans le domaine de la médecine : elle pourrait être utilisée pour fabriquer des alternatives aux plâtres,
contraignants mais nécessaire à la consolidation d'une fracture.
Un plâtre, ça tient chaud, c'est lourd, ça empêche de se gratter et de
se laver. Mais lorsqu'il s'agit de réparer une fracture, c'est un mal
nécessaire… qui pourrait cependant être minimisé grâce à l'invention
d'un diplômé de l'université de Victoria de Wellington, Jake Evill.
Baptisé Cortex, le prototype de plâtre de Jake Evill est léger, aéré et
résistant à l'eau. Il n'empêche pas son porteur de prendre une
douche, et peut être glissé dans une chemise ou une veste. Il est peu
encombrant, car conçu selon la morphologie du malade.
Dans le cadre d'une fracture de l'avant-bras, par exemple, une série de radiographies est réalisée pour définir la blessure, puis des
scans 3D permettent de disposer d'une vision numérique des muscles. Via une imprimante 3D, le plâtre –conçu à l'aide de
polyamides – est alors fabriqué, avec un soutien renforcé à l'endroit de la fracture. Il est ensuite installé sur le patient, qui le gardera
jusqu'à sa guérison. L'autre atout d'un tel objet, c'est qu'il recyclable. Parmi ses inconvénients, on trouve un temps de fabrication
nettement plus long que celui d'un plâtre classique : ce dernier peut être posé en 10 mn, mais mettra entre 24 et 72h pour être
consolidé. L'alternative Cortex demande 3 h de fabrication. « Avec l'amélioration de l'impression 3D, nous pourrons réduire cette
durée à l'avenir ». Un tel dispositif pourrait se démocratiser dans les hôpitaux dans les prochaines années, et faciliter le quotidien de
milliers de patients. Le créateur de ce concept travaille avec des orthopédistes pour l'optimiser.
Google intègre Quickoffice au sein de Chrome OS
http://www.clubic.com/linux-os/chrome/actualite-569180-google-integre-quickoffice-sein-chrome-os.html#ixzz2XtOwg0zw
Google souhaite renforcer davantage ses outils bureautiques et commence à intégrer la suite bureautique
Quickoffice directement au sein de Chrome OS.
En juin 2012, Google procédait au rachat de la suite bureautique Quickoffice proposant des outils
d'édition avancée pour les documents de type Word, Excel et PowerPoint. Quickoffice est disponible
sur iPhone, sur iPad ainsi que sur Android et bientôt sur les Chromebook. Alors que Microsoft a
récemment annoncé plancher sur des fonctionnalités en temps réel pour sa suite hébergée Office
Web Apps, le français Francois Beaufort, développeur au sein du projet Chromium, explique que
Google amorce l'intégration de Quickoffice au sein de Chrome OS en version développeur.
En février, Sundar Pichai, VP du département Chrome expliquait que Quickoffice était la pierre
manquante à Google dans le domaine bureautique. En avril, Google avait publié l'extension Chrome
Office Viewer pour consulter les fichiers .doc, .docx, xls., .xlsx, .ppt et .pptx au travers du navigateur.
Chromebook Pixel Google
Pour embarquer l'intégralité de Quickoffice, Google fait usage des interfaces de programmation de Native Client permettant d'écrire
des modules en C ou en C++ afin de les faire communiquer avec des éléments HTML ou Javascript et de les exécuter au sein d'un
mode sandbox. Les testeurs de Chrome OS Dev peuvent déjà retrouver ces outils en activant l'option cachée disponible sur l'URL
chrome://flags/#enable-quick-office-editing.
Google Glass fête un vrai navigateur Internet et des commandes mains-libres
http://www.generation-nt.com/google-glass-fete-arrivee-vrai-navigateur-internet-nouvelles-commandes-mains-libres-actualite-1755582.html
Controversés ou jalousés, les Google Glass continuent leurs tests à grande échelle avec une nouvelle mise à jour.
Parmi les premières requêtes des utilisateurs de Google Glass Explorer à Google, la question d’un
véritable navigateur Internet faisait l’unanimité. Jusqu’à présent, les recherches effectuées avec la
voix étaient affichées sur les lunettes sous la forme de titres et de quelques résumés rapides. Une
disposition pas toujours idéale et qui ne remplace pas un véritable navigateur.
Google a donc profité de la mise à jour déployée ce début de semaine pour apporter un véritable
navigateur affiché en plein écran sur ses Google Glass.
Désactivé par défaut, il s’affichera automatiquement au besoin. Et si la navigation parait assez
complexe à mettre en place, Google a véritablement travaillé sa copie.
Ainsi le défilement se fait naturellement en faisant glisser son doigt sur la partie tactile de la
branche des lunettes, il est possible de zoomer sur une page en glissant deux doigts sur le
trackpad vers l’avant, ou vers l’arrière pour réduire l’affichage.
Plus intéressant, en maintenant deux doigts appuyés sur la branche de Google Glass, il suffit d’orienter sa tête pour que la vue
s’adapte vers des zones précises des pages Internet. Mais Glass gagne également quelques nouvelles commandes mains-libres au
cours de cette mise à jour. Il est ainsi possible de demander aux lunettes de lire un message à voix haute puis de répondre
automatiquement aux SMS ou aux Mails via contrôle vocal. L’envoi de photos vers un contact précis est désormais de la partie.
Enfin, la mise à jour permet également aux utilisateurs d’accéder à l’intégralité de leur liste de contact Gmail, balayant la limite de 10
contacts établie jusqu’ici. La mise à jour est actuellement progressivement déployée sur les dispositifs.
Navigating today's end-user devices: From thin clients to smartphones
http://searchvirtualdesktop.techtarget.com/feature/Navigating-todays-end-user-devices-From-thin-clients-to-smartphones
There is a greater variety of devices and clients today that can host your desktops and applications, so let's review what's out there.
End-user devices are no longer labeled as PCs but are now referred to as "endpoints." Why the change in terminology? The answer
is simple: A flood of alternative devices has hit the market, and mobile usage is on the rise.
A Windows Server connected to a Windows PC has become an outdated paradigm. Add to that the explosion of bring your own
device (BYOD) initiatives and the ever-evolving smartphone, and you have a landscape that has become incredibly complex to
navigate, leaving many IT managers wondering what could possibly be next.
Supporting dissimilar devices doesn't have to be a horror story. IT managers can turn to some powerful tools, as well as collective
knowledge, to tame the wild beasts of themodern endpoint world. What's more, allowing workers to use their favorite devices may
lead to improved productivity. When investigating the viability of a given endpoint, administrators should consider connectivity,
operating systems, security, wireless support, applications and management.
It's important to understand all endpoints that you could implement or support in your environment. Endpoints fall under two
classification schemes -- device type and client.
Client classifications The best place to start is with the following client classifications:
Thick clients: These are traditional PCs, which have their own operating systems and locally installed applications. Thick
clients interface with the network to create and access data, and they communicate with other users.
Thin clients: Thin clients are similar to thick clients, with one major exception -- the operating system, applications and other client
elements are all stored out on the network. Execution of applications can take place on the client, but only by accessing the network
infrastructure.
Zero clients: Different from other endpoint technologies, zero clients do not have any local software installed and rely on firmware
to attach to a remote desktop that is hosted elsewhere.
New devices -- such as zero clients from Fujitsu, Dell Wyse, Hewlett-Packard and Teradici -- are readily available. Note that zero
clients are not normally deployed under a BYOD initiative. These endpoints fall squarely under the realm of desktop virtualization
and virtual desktop infrastructure.
The differences between client classifications affect how networks are configured, how applications are delivered and, most
importantly, what the end user may experience.
For instance, thin clients and zero clients require server processing power, large amounts of storage and significant bandwidth. On
the other hand, fat clients may require only local resources and may have low throughput and latency requirements.
Devices to run those clients
A plethora of devices can take on any of the above client classifications. IT managers have to pick and choose which devices to
support and how a device's connectivity will affect the network and associated servers, storage devices and security systems. Enduser devices include the following:
Portable PCs/Macs: This category includes laptops, netbooks, ultrabooks, notebooks and so on. They run various flavors of
Windows, different versions of Mac OS and Linux, and whatever else the software community may throw at them.
Portable computers also may use different CPUs, offer different screen resolutions and use different connectivity options. Ironically,
this is one of the easier end-user devices to support, simply because portable PCs have a lot in common with traditional desktops.
A portable PC can be configured as a thick client or a thin client with relative ease; all you need is reliable connectivity, which you
can get with a physical Internet connection or a Wi-Fi hotspot.
The real trick for IT managers is to secure those devices and, more importantly, the corporate resources that those devices can
access. After all, when something is portable, it is also losable. Here, IT managers can turn to VPNs, intrusion-detection systems,
mobile device management (MDM) software and user authentication tools such as Network Access Control to protect those devices.
Tablets: It is no secret that tablet computers are on the rise, led by Apple's iPad. Apple is not the only player in this market, and
other available tablets run Windows, Android and other operating systems.
Integrating and supporting tablets may present the biggest challenge to enterprise IT managers. These consumer devices are also
becoming the cornerstone of many BYOD initiatives, simply because end users (including many executives) love them.
However, tablets are often incompatible with most corporate applications and are tied to proprietary app stores, making it almost
impossible to install customized applications on the end-user devices.
Many IT departments have been forced to rely on Web applications, which are hosted on the businesses' own servers (or those of a
cloud services provider). The problem with Web apps is that they may behave differently on different devices because of different
display resolutions or incompatible browser technologies.
Smartphones: These are perhaps the most volatile of all endpoint devices. Smartphones can be broken down into a few
subcategories based on operating systems: Android, iOS, BlackBerry OS and ones that run something else altogether. It doesn't end
there, though. Smartphones come in all shapes and sizes and offer many different options. What's more, the associated OSes come
in multiple versions, each with its own nuances.
Fortunately, there are tools that can bring order to some of the chaos. To get the most out of these tools, IT admins need to accept
added complexity and a high level of maintenance. And they should brace themselves for sticker shock. Still, MDM suites can help
organizations secure and deploy apps to smartphones and tablets.
The days of "plug and play" are in the past, so enterprise IT shops are going to have to adapt to this new landscape of multiple enduser devices. To stay ahead of the curve, IT must take more of a "plan and play" approach.
Samsung ATIV Q : prix en € pour l'hybride tactile avec dual-boot Windows / Android
http://www.generation-nt.com/samsung-ativ-q-hybride-notebook-tablette-windows-android-prix-tarifs-euros-actualite-1755742.html
On dispose désormais d'un prix en euros pour le Samsung ATIV Q, un hybride notebook / tablette doté d'un dualboot Windows / Android. Gros coup de chaud pour la carte bleue.
À la fin du mois de juin, Samsung avait dévoilé son Ativ Q, un hybride notebook /
tablette tactile avec dual-boot Windows 8 / Android Jelly Bean. Le groupe sud-coréen
n’avait pas donné de date de disponibilité ou de prix.
Et c’est auprès d’ARLT Computer, un site allemand, que l’on obtient ces informations.
Celui-ci évoque en effet une arrivée sur les étals le 8 juillet avec un tarif de… €1 599.
Côté technique, le Samsung Ativ Q un processeur Intel Core-i5 dual-core 1,6-2,6 GHz (génération Haswell), une mémoire vive 4
Go DDR3-1600, une dalle IPS 13,3’’ en 3 200 x 1 800 pixels (utilisable au doigt ou avec le stylet S-Pen fourni) alimentée par une
solution graphique Intel HD 4400, une webcam 720p, un dispositif SSD de 256 Go et un lecteur de cartes mémoire MicroSD / SD.
Celui-ci propose également des interfaces Wi-Fi 802.11n, Gigabit Ethernet, Micro-HDMI, mini-jack, USB 2.0 et USB 3.0.
Aux dimensions 32,7 x 21,8 x 1,4 cm pour 1,29 kg, il embarque une batterie Lithium-Po autorisant 9 heures d’autonomie.
Samsung lance ses téléviseurs Ultra HD évolutifs en France
http://www.clubic.com/television-tv/television-lcd/actualite-569464-samsung-f9000-ultra-hd-evolutif-date-prix-france.html#ixzz2Xy5egmNe
Samsung présente finalement ses téléviseurs Ultra HD de tailles raisonnables. Il en annonce même le prix et la
date de lancement en France.
Samsung lève enfin le voile sur ses téléviseurs Ultra HD de 55 et 65’’, attendus depuis le CES 2013, et
en annonce aussitôt la commercialisation dans le monde entier. Il succède ainsi à Sony, puisque la
concurrence n'a lancé ses produits qu'en Asie et/ou en Amérique du Nord. Ces 2 téléviseurs
complètent le modèle très haut de gamme de 85’’ (€30 000), une nouvelle gamme plus accessible.
Contrairement à la série S9 distincte, la nouvelle série F9000 chapeaute le reste de la gamme.
Une esthétique banale mais une connectique évolutive On retrouve donc une esthétique plus
commune, abandonnant finalement le cadre d'enceintes initialement prévu pour une bordure fine
surmontée d'une webcam, comme sur la série F8000. On retrouve en revanche comme prévu le «
Micro Dimming Ultimate », c'est-à-dire le rétro-éclairage local (plusieurs centaines de zones) et le «
Quadmatic Picture Engine », la fonction de mise à l'échelle de la Full HD en Ultra HD.
Par rapport aux autres téléviseurs Ultra HD (anciennement appelés 4K), ceux de la série F9000 présentent l'immense intérêt d'être
évolutifs. Comme sur les modèles les plus haut de gamme des deux dernières générations, ces téléviseurs disposent d'un module
amovible que l'utilisateur final peut remplacer pour mettre à niveau les fonctionnalités mais aussi et surtout la connectique de son
téléviseur existant. C'est un argument décisif puisque le HDMI 1.4 encore en vigueur ne permet pas de dépasser 30 i/s en Ultra HD,
et ne permet donc pas de profiter de la 3D ou des jeux vidéo dans cette définition.
Les Samsung UE55F9000 et UE65F9000 seront commercialisés en France au début août pour « environ » 5000 et €7000.
Skype publie une nouvelle version Android pour fêter les 100 millions d’installations
http://www.zdnet.fr/actualites/skype-publie-une-nouvelle-version-android-pour-feter-les-100-millions-d-installations-39791995.htm
Skype célèbre ce cap franchi sur Android en proposant une mise à jour 4.0 qui adopte la même
interface que celle de la version Windows Phone.
Skype a eu droit hier à une importante mise à jour dans sa version Android qui a passé le cap des 100
millions d’installations. Une nouvelle mouture revue de A à Z qui adopte l’interface style « Metro » inspirée de la
version Windows Phone de Skype. Le service VoIP promet une application plus performante et plus rapide,
notamment pour lancer une conversation depuis les contacts et les favoris. Skype promet également que cette
mise à jour n’est qu’un début et que d’autres suivront dans les mois à venir afin de rendre l’application encore
plus performante. Il est également assez probable que la version iOS de Skype ait droit au même traitement afin
d’aligner son interface sur l’esthétique Windows Phone.
Le patron d’Yves Saint Laurent rejoint Apple pour des "projets spéciaux"
http://www.zdnet.fr/actualites/le-patron-d-yves-saint-laurent-rejoint-apple-pour-des-projets-speciaux-39792039.htm
Apple a recruté Paul Deneve en tant que vice-président. Ce dernier était jusqu’à présent PDG du groupe de luxe
Yves Saint Laurent. Paul Deneve est recruté pour travailler sur de mystérieux « projets spéciaux ».
Les univers de la marque Yves Saint Laurent et d’Apple ont-ils des points en commun ? Manifestement oui puisque le géant
américain a décidé d’embaucher le PDG du groupe de luxe, Paul Deneve.
Ce dernier doit-il rejoindre la division d’Apple en charge des boutiques en remplacement de John Browett, démissionnaire fin 2012 et
toujours pas remplacé ? Apparemment non, même si comme à son habitude Apple reste particulièrement avare d’informations.
L'iWatch comme projet spécial ? D’après Bloomberg, Apple a fait savoir que Paul Deneve travaillerait à des « projets spéciaux
» en tant que VP reportant directement à Tim Cook. Naturellement, un tel mystère suscite bien des hypothèses et spéculations.
Exemple : en mai dernier, lors de la conférence D11, Tim Cook a exprimé un « profond intérêt » à l’égard des objets et vêtements
connectés, faisant référence notamment aux montres. C’est là qu’interviendrait Paul Deneve ?
Le PDG d’Apple avait notamment rappelé que la majorité des jeunes ne portaient pas de montre et que par conséquent un argument
de poids était nécessaire pour les convaincre de changer leurs habitudes.
EDF installera à Saclay le plus grand centre de Formation et R&D d’Europe en 2015
http://www.directgestion.com/sinformer/filactu/23952-paris-saclay--edf-installera-le-plus-important-centre-de-formation-et-de-recherche-industrielle-deurope-en-2015
L’Etablissement public Paris-Saclay a signé avec EDF-Sofilo la promesse de vente du terrain qui accueillera le futur
campus du groupe. Le bâtiment de 26 000 m² ouvrira ses portes en 2015, alors que le chantier débutera avant la fin de l’année. Il
sera situé à côté du centre de recherche et développement d’EDF, actuellement en construction dans le quartier de l’Ecole
Polytechnique aménagé par l’Etablissement public. Il constituera à terme le plus important centre de formation et de recherche
industrielle d’Europe. Ce projet concrétise l’engagement d’EDF dans le projet d’innovation et de recherche de Paris-Saclay. Le groupe
participe déjà à de nombreux projets de recherche communs avec des entreprises et des centres de recherche présents sur le
territoire, comme Air Liquide, l’Ecole polytechnique, le CNRS, Supélec ou le CEA.
Le campus EDF, conçu par les architectes Emmanuel Combarel et Dominique Marrec (agence ECDM), comportera 70 salles de
formation, 270 chambres et 7 500 m² qui seront dédiés à la formation technique. Il disposera de nombreux équipements, dont
notamment un simulateur de conduite de centrale de nouvelle génération, des chantiers écoles pour la formation liée à la
production, et des agences de conduite et des réseaux extérieurs pour la formation liée à la distribution de l’électricité.
Le campus sera le lieu privilégié d’intégration et de rencontre pour les 160 000 salariés du groupe EDF en France et à l’international,
et permettra de favoriser les synergies entre innovation et compétences. Il y formera 20 000 stagiaires de toutes nationalités par an.
Why the COPE model isn't a slam-dunk alternative to BYOD
http://searchconsumerization.techtarget.com/feature/Why-the-COPE-model-isnt-a-slam-dunk-alternative-to-BYOD
On paper, the COPE model sounds like a win-win for IT and end users, but if you pull back the curtains, you'll
find that it has its own set of challenges.
Compared to BYOD, the corporate-owned, personally enabled (COPE) model gives IT administrators more control. But users might
see such a move as a Big Brother situation, rather than a partnership with their employers. Finances can also pose problems.
Parsing the COPE model's details COPE imposes fully managed and monitored devices. IT might offer multiple devices, apps and
services from which to choose, but the available options might not be what users want or need. And employees today are used to
getting exactly what they want when they want it from their mobile devices. Users don't want to juggle different devices for work
and play, which is one issue that bring your own device (BYOD) helps to avoid. Under the COPE model, workers use devices for
personal tasks that are within reason, but it's that "within reason" part that companies have to worry about. On the surface, it might
sound like a sensible approach, but trying to get any two people -- let alone an entire organization-- to agree on what is "within
reason" is almost impossible when it comes to personal use.Another challenge is managing the financial details of COPE. Making
sure that users stay within their service plans' stated cost thresholds, deciding who pays for it when they exceed those thresholds,
etc., can become a burden. All these transactions must be carefully managed.
How to make COPE work Despite the challenges associated with the COPE model, some organizations might greatly benefit from
the control it returns to their IT departments, especially when it comes to protecting sensitive data. But COPE calls for a shift in
thinking on everyone's part. IT must be willing to relinquish some of its control to allow workers to use company devices for personal
tasks. Workers must be willing to give up some of their freedom so IT can control their devices. In the end, it comes down to the
same old battle that BYOD creates: management and security concerns versus flexibility and productivity.
An organization willing to corral its workers into the COPE model will need to build a short list of approved services and devices and
be willing to reconsider and update that list as needed. The company will also need a concrete mobility policy in place and will have
to invest the resources necessary to educate users about that policy. It's worth noting that these are things a company should be
doing for BYOD programs, as well.
Google pourrait se lancer dans le marché de la voiture électrique
http://www.caradisiac.com/Google-pourrait-bientot-se-lancer-dans-le-marche-de-la-voiture-electrique-87808.htm
Google voit dans le secteur des voitures électriques d'importantes opportunités de développement. Selon le PDG,
Eric Schmidt, les possibilités offertes par les futures voitures électriques pourrait mener à d'importants
investissements de leur part, rapporte nos confrères britanniques d'Autocar.
L'entreprise est déjà fortement impliquée dans l'industrie automobile grâce à ses systèmes de connectivité embarquée et les projets
de voiture sans conducteur. Mais Eric Schmidt – surpris en train d'assister il y a peu à la tentative (réussie) du record du monde de
vitesse pour un véhicule électrique. Une performance réalisée par Lord Drayson, dans le Yorkshire, la semaine dernière - a révélé
que Google dépense déjà massivement dans la R & D et ce dans tous les secteurs de l'industrie.
« C'est le début d'une nouvelle industrie. L'histoire a prouvé que les nouvelles technologies se développent mieux dans de nouvelles
entreprises. Je pense que dans un délai de 20 ans, les voitures électriques feront partie du courant dominant ».
« La technologie elle-même est simple et l'application de celle-ci progresse rapidement. Finalement, les gens devront se pencher sur
leurs voitures à moteur à combustion interne et se demander pourquoi nous conduisons ces véhicules complexes. Les appareils
photo numériques ont remplacé les appareils analogiques, la même chose se passera avec nos voitures ».
« En fin de compte, je ne sais pas où Google entrera en jeu. Mais si nous pouvons intervenir dans tout ce qui favorise les nouvelles
technologies, l'innovation, les matériaux et ainsi de suite, alors nous serons de la partie »assure le PDG de Google.
Avec un chiffre d'affaires de $38 Bn en 2012, Google peut se permettre d'investir tout azimut. Dans le détail, on peut noter $350 M
pour l'installation de trois parcs éoliens dans le Dakota, l'Oregon et la Californie, $800 M pour raccorder entièrement la ville de
Kansas City en fibre optique ou encore $20 M dans le projet de voiture sans conducteur.
Montre connectée : Samsung dépose la marque Gear
http://www.clubic.com/mobilite-et-telephonie/objets-connectes/montre-connectee/actualite-569714-connectee-samsung-depose-marque-gear.html#ixzz2Y3SaMuje
Alors qu'Apple dépose actuellement le terme iWatch dans plusieurs pays, c'est au tour de Samsung de lever
officieusement le voile sur ce qui pourrait être le nom de sa montre connectée.
Ce n'est pas un secret et c'est même officiel : Samsung travaille actuellement sur un nouveau modèle de montre connectée. Et, aux
dernières nouvelles, cette dernière pourrait être nommée Samsung Gear, à en croire un dépôt de marque effectué récemment.
A première vue, le terme ne fait pas particulièrement penser à une montre – « gear » signifie « équipement »
ou « outil » - et est un peu vague. Mais Frandroid, qui a mis la main sur les documents d'enregistrement,
permet d'avoir une idée plus précise de ce Samsung a derrière la tête. Ainsi, parmi les mots-clés du dépôt, on
trouve « horloge, bracelet de montre, montre-bracelet » ce qui laisse assez peu de doute quant à la démarche.
Who watches the iWatch ? Après les récentes informations concernant le dépôt de la marque iWatch par
Apple dans plusieurs pays, dont la Russie, le Japon et le Mexique, et l'officialisation par Sony fin juin de la
SmartWatch 2, il n'est pas étonnant que Samsung montre des signes d'accélération de sa stratégie sur le
marché. On peut également souligner l'arrivée de la Pebble, une montre connectée dotée d'un écran à encre
électronique et financée via KickStarter, sur le marché américain cette semaine.
Face à une concurrence qui s'annonce rude sur un secteur que le Sud-Coréen avait déjà embrassé en 2011. Une chose est sûre, la
course est lancée, et la fin de l'année pourrait être placée sous le signe des montres connectées.
Samsung rachète Boxee pour mieux concurrencer Apple dans le salon
http://www.20minutes.fr/high-tech/apple/1183983-20130703-samsung-rachete-boxee-mieux-concurrencer-apple-salon
Le fabricant asiatique veut booster son offre de smart TV...
C'est la petite surprise de ce début d'été: Samsung vient de racheter la startup israélienne
Boxee, à qui l'on doit l'une des box TV les plus réussies, grâce à son interface conviviale.
Samsung a confirmé la nouvelle au NYT. Selon la presse israélienne, Samsungaurait
déboursé $30 M pour acquérir la technologie et les 45 salariés de Boxee.
La startup venait de lancer son «Boxee Cloud DVR», une box permettant d'enregistrer ses
programmes non pas en local mais dans le cloud, et donc d'y accéder en streaming depuis
n'importe quel terminal (PC, smartphone, tablette).
Une guerre américaine Pour Samsung, il s'agit d'un joli coup. Jusqu'à présent, ses smart
TV compliquaient plus la vie du téléspectateur qu'autre chose, et la perspective de voir Apple
débarquer dans le salon avec un téléviseur intégrant l'Apple TV devient plus sérieuse. Selon
Bloomberg, il est prêt d'un accord sur un partenariat avec le câblo-opérateur Time Warner.
A l'heure actuelle, cette guerre de la télé connectée se joue surtout aux Etats-Unis. Microsoft avec la Xbox, Apple, Google, tous les
géants veulent se faire une place dans le salon. En Europe, la présence en force des opérateurs Internet avec leur box a façonné un
marché différent. Outre-Atlantique, les offres «triple play» coûtent environ 100€, avec des bouquets de chaînes imposées. Le
développement d'offres «à la carte» est combattu avec l'énergie du désespoir par Hollywood, qui a peur de voir son gâteau se
réduire et de ne plus pouvoir financer des programmes ambitieux. Dans le giron de Samsung, Boxee, qui poussait jusqu'ici pour
«couper le câble», pourrait rentrer dans le rang.
L'inventeur de la souris, Douglas Engelbart, est mort
http://www.20minutes.fr/high-tech/1184017-20130703-inventeur-souris-douglas-engelbart-mort
C'était l'un des pionniers de l'informatique. Il avait 88 ans...
Si vous venez de cliquer sur cet article, c'est grâce à lui. L'ingénieur et pionnier de l'informatique
Douglas Engelbart, inventeur de la souris d'ordinateur, est décédé mardi soir à l'âge de 88 ans en
Californie. Le scientifique est décédé à son domicile d'Atherton, au cœur de la Silicon Valley, a
précisé l'Institut qui porte son nom à l'AFP.
Né dans l'Oregon, Doug Engelbart s'était installé en Californie pour devenir chercheur au Stanford
Research Institute, après des études d'ingénierie électrique et informatique dans les années 1950,
une époque où les ordinateurs occupaient encore des pièces entières. Le travail de l'ingénieur et de
son équipe allait porter sur les fondements qui ont mené à l'informatique moderne.
21 brevets déposés Ses recherches ont ainsi porté sur la visioconférence, la téléconférence, le courrier électronique, les
«fenêtres» et le lien hypertexte mais il est surtout connu pour avoir inventé la souris d'ordinateur. Le brevet de cette souris, au
départ une boîte en bois avec deux roues en métal, avait été déposé en 1967 et accordé en 1970.
Le 9 décembre 1968, à l'occasion d'un congrès et devant un millier de personnes à San Francisco, il avait projeté pour la première
fois devant un public une liaison par vidéoconférence, en se servant de la souris. L'événement avait été surnommé «la mère de
toutes les démonstrations». Son groupe de recherches avait aussi créé Arpanet, précurseur d'internet. L'ingénieur était à l'origine de
21 brevets. Il avait reçu en 2000 la Médaille nationale de la technologie, la plus haute distinction du secteur.
>> Un extrait de sa présentation de 1968:
La France est le cancre européen de l’ADSL
http://www.indexel.net/actualites/la-france-est-le-cancre-europeen-de-l-adsl-3855.html
Dans 6 cas sur 10, les débits réels d’accès internet hexagonaux sont plus faibles que ceux annoncés par les FAI. C'est très peu
comparé à la moyenne européenne qui atteint 60 % de promesses tenues.
"22 Mb/s", "jusqu'à 100 Mb/s" : les fournisseurs d'accès internet vous promettent la lune en termes de débit. Mais qu'en est-il dans
la réalité ? Cette question n'est pas anodine puisqu'un nombre croissant de PME se connectent à internet avec une offre grand public
ou assimilée. Or, le débit réel dimensionne le nombre d'utilisateurs potentiels.
Dans un récent rapport, la Commission européenne estime que la France est le plus mauvais élève de la zone Euro. Un quart de la
population française n'a toujours pas goûté au haut débit. Et le débit annoncé par les fournisseurs d'accès internet (FAI) français
n'est au rendez-vous que dans 40 % des cas. C'est très peu comparé à la moyenne européenne - 60 % de promesses tenues - et à
des pays tels que la Slovaquie (97 % de promesses tenues) ou l'Allemagne (75 % de promesses tenues). "Les consommateurs ne
reçoivent pas le débit pour lequel ils ont payé" confirme le rapport.
7 Mb/s en moyenne : peut mieux faire Alors que 54 % des internautes européens disposent d'un accès internet égal ou
supérieur à 30 Mbits par seconde (Mb/s), en France, une box internet délivre 7 Mb/s de bande passante en débit descendant
(download) et 0,77 Mb/s en débit montant (upload). De très fortes disparités géographiques se cachent derrière cette moyenne. Les
débits moyens atteignent parfois plus de 20 Mb/s au cœur des grandes villes contre moins de 2 Mb/s dans les nombreuses zones
"grises" du territoire. C'est-à-dire que les FAI ne fournissent même pas un "haut débit de base" tel qu'il est défini par le sénateur
Hervé Maurey dans un rapport de fin 2011 : "débit symétrique de 2 Mb/s en 2012 et de 8 Mb/s en 2015".
En revanche, la qualité de la bande passante est meilleure que la moyenne avec 41 ms de temps de latence en France contre 46 ms
pour la moyenne européenne. On est cependant loin de l'optimum qui est d'environ 28 ms aux Pays-Bas où une page web se charge
en une seconde contre deux pour la moyenne européenne.