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LES PROMÉTHÉENS
Une Création de Matthieu Hornuss
Avec :
Benjamin Brenière
Samuel Glaumé
Ludovic Laroche
Ariane Mourier
Didier Niverd
Sandra Parra
Musique – Christophe Charrier
Création Sonore – Ludovic Champagne
Création Lumière – Jean-Yves Perruchon
Costumes – Marion Rebmann
Production La Compagnie des Barriques avec le soutient de la Maison du Théâtre et de la Danse
d’Epinay-sur-Seine, du Théâtre de la Grange de la Tremblaye à Bois d’Arcy, du Théâtre du Vieux
Marché à Jouy-en-Josas, du Théâtre de Léon.
Résumé
Gabrielle vient de regagner Paris et sa famille qu’elle avait abandonnée depuis plusieurs
années.
Son père, Lazare de Rinssac, illustre PDG de Rinssac Energie, premier groupe pétrolier
Français, vient de mourir.
Pourtant, en seul héritage, Gabrielle reçoit un mystérieux carnet contenant les recherches de
sa mère, morte peu après sa naissance, sur un inventeur de génie, Nikola Tesla et sur les
travaux de certains des plus prestigieux physiciens de notre histoire.
De la France à l’Iran en passant par les États-Unis, suivant les traces de ses parents à travers
tout le XXème siècle et au cœur des luttes secrètes entre deux mystérieux groupes, Gabrielle
entame une quête qui la mènera à percer le mystère des Prométhéens.
Au travers d’une aventure épique, Les Prométhéens pose la question de l’héritage :
Savoir d’où je viens pour savoir qui je suis.
Savoir qui je suis en sachant ce que je laisse derrière moi.
Nikola Tesla
Génie oublié ou mal connu, Nikola Tesla est pourtant à l'origine de la plupart des grandes
inventions modernes. C'est en effet ce Serbe émigré aux États-Unis qui a découvert une de
technologies liées à l'électricité. Notamment le courant alternatif (jusque-là les installations ne
fonctionnaient courant continu), une théorie sur la radioactivité, la télécommande, le
générateur, le moteur à induction électrique, la lampe à haute fréquence plus économique que
les néons, et la bobine Tesla des téléviseurs à tube cathodique. En 1893, bien avant Marconi,
il met au point un système de transmission des messages télégraphiques sans fil, en utilisant
les ondes hertziennes. Il découvre le principe de réflexion des ondes sur les objets, en 1900, et
publie des travaux qui permettront plus tard la mise au point des premiers radars. Il a déposé
en tout plus de 900 brevets qui, pour la plupart, ont été volés par Thomas Edison.Nikola Tesla
avait en effet une vision idéaliste de la science et voulait livrer les technologies gratuitement,
ce qui lui valu l'hostilité des milieux financiers de l'époque. Il avait, par exemple, imaginé que
la tour Eiffel émette un puissant champ électrique pour que tous les Parisiens puissent utiliser
l'électricité gratuitement.
En 1898, il fabrique une arme à résonance qui, grâce à une multitude de petits coups répétés,
fait trembler un immeuble entier. Il fabrique des bateaux lanceurs de torpilles télécommandés,
dont l'un peut même devenir sous-marin.
À la fin de sa vie, considérablement appauvri, Nikola Tesla travaille à un "rayon de la mort"
pour l'US Air Force. Il cherche à mettre au point sa fameuse "énergie libre", une source
d'énergie infinie et gratuite, ce qui achève de le discréditer aux yeux de ses collègues
scientifiques de l'époque. Il meurt le 7 janvier 1943. Le FBI confisquera toutes ses notes et
toutes ses maquettes de travail. Son nom est cependant resté comme unité de mesure de
l'induction magnétique : le tesla»
Extrait de la «Nouvelle Encyclopédie du savoir relatif et absolu» de Bernard Werber.
Note d’auteur
À l’origine il y a un livre, offert par un ami,qui parlait, entre autre, de Nikola Tesla. La brève
histoire de cet homme m’a tout de suite fascinée et j’ai immédiatement su qu’elle ferait un
prodigieux récit.
Puis je me suis posé la question : pourquoi cette histoire me touchait-elle tant ?
Alors vint « Forêt » de Wajdi Mouawad - un nouveau livre offert, une pièce de théâtre – qui
fit éclater en moi un questionnement profondément enfoui : celui de l’héritage.
Les liens du sang n’ont, pour moi, qu’une valeur fédératrice: c’est le noyau social. J’ai
toujours argué n’avoir que faire de l’histoire de ma famille, de mes origines. J’avais une peur
terrible de découvrir un schéma, un destin et de m’en sentir emprisonné, privé de la liberté de
choisir mon chemin.
Et pourtant c’est bien cet aspect de la pièce de Mouawad qui m’a le plus touché, c’est bien
cette dimension tragique de la vie de Tesla qui m’a le plus atteint. Cette histoire m’a
bouleversée et m’a renvoyée à ce questionnement très personnel : Suis-je le produit de mes
origines ? Et en sachant d’où je viens, puis-je savoir qui je suis ? Ou bien sont-ce mes actes
qui me définissent ? Et saurai-je qui je suis en sachant ce que je laisserai derrière moi ?
C’est bien cette réflexion sur l’héritage et notre place - notre trace - dans l’Histoire qui me
frappa, faisant écho avec une faille qui anime aussi mes désirs d’artiste. Ne montons nous pas
sur scène pour être vu, entendu, reconnu ? Pourquoi raconter une histoire et puis l’écrire si ce
n’est pour faire partie de l’Histoire ?
Ce sont ces mêmes nœuds qui tendent la psyché des personnages de la pièce. L’héritage du
sang pour Gabrielle qui part à la recherche de ses origines. Elle est le centre de mon histoire.
L’héritage des idées pour Nikola Tesla, « le découvreur ».Voilà un homme qui a passé toute
sa vie à chercher les moyens de faire avancer l’humanité et qui, pourtant, a été, pour ainsi
dire, rayé des livres d’Histoire. On lui a volé ses brevets, on a pillé ses idées. Lui a-t-on
seulement donné le choix de l’héritage qu’il souhaitait léguer ?
Je crois que chacun se questionne sur son héritage et tente d’écrire qui il est. Je souhaite me
demander, à travers cette pièce, s’il est réellement possible de s’en faire le maître ou bien si
l’on peut s’en affranchir.
Note de mise en scène
La lumière est présente partout dans la pièce : dans cet âge d’or de l’électricité et des
inventeurs qu’était la fin du XIXe siècle, dans le savoir transmis par tous ces génies, ces
Prométhéens, et dans la quête de Gabrielle pour combler les vides de son histoire. L’élément
principal de la scénographie s’en trouve être un immense mur d’ampoules couvrant tout le
fond du plateau sur environ quatre mètres de hauteur. Des ampoules pendues à des fils
électriques noirs, à vue du public et mises en relief par une légère lumière rasante. Chacune
des 200 ampoules peut être allumée indépendamment grâce à un système conçu spécialement
par le créateur lumière. Un ballet incessant qui crée les ambiances (le
tableau d’affichage déroulant d’un aéroport), les époques (les guirlandes lumineuses d’un café
populaire de Paris en 1882), qui permet de couper le plateau en deux pour installer une scène
quand une autre se termine, qui offre des effets d’ombres quand seules des silhouettes
viennent habiller une scène ou des chorégraphies de lumière pour accompagner un thème
musical, enfin qui éblouit les spectateurs pour créer la magie de la scène finale.
Ce mur d’ampoules est l’élément esthétique tout à fait original de la pièce.
Pour compléter la scénographie, six projecteurs sur pied, à cour et à jardin, et à vue du public,
viennent créer les espaces et découper les corps.
Les couleurs sont froides et avec un minimum de lumière en face. Il s’agit de créer un univers
irréel dans lequel se déroule l’histoire, chaque soir répétée, et dont les spectateurs sont les
témoins privilégiés.
Gabrielle croise de très nombreux personnages et l’histoire nous emporte également à
différentes époques. À l’exception de la comédienne qui incarne le rôle de Gabrielle, les cinq
autres comédiens interprètent les vingt-huit autres personnages de la pièce.
Les changements de personnages très rapides sont rendus possibles par des costumes
facilement modifiables, conçus par une spécialiste : Marion Rebmann. Elle fut notamment
nommée aux Molières en 2014 pour son travail sur les costumes des pièces d’Alexis
Michalik.
Je souhaitais donner une impression de simplicité, de jaillissement ; que d’un plateau nu,
réunissant juste quelques comédiens et des bouts de costumes, puisse jaillir une histoire
formidable. C’est pourquoi les seuls éléments de décor sont quatre chaises installées et
retirées du plateau par les comédiens en fonction de chaque scène.
L’histoire nous faisant voyager d’un lieu à un autre et dans des époques très différentes, il est
particulièrement important qu’un univers sonore habille chaque scène, qu’il vienne souligner
les ambiances et facilite la compréhension du public.
Quant aux musiques, la narration étant très cinématographique, le compositeur a fait le choix
de s’inspirer de musiques de films. Il s’amuse de thèmes qui ont accompagné nos vies de
cinéphiles, dans des orchestrations simples et envoûtantes.
Matthieu Hornuss – Auteur et metteur en scène
Les Vibrants d’Aïda Asgharzadeh (m.e.s. Quentin Defalt) à la MTD d’Épinay-sur-Seine, en
tournée et au festival Off d’Avignon / Partisans de Régis Vlachos (m.e.s François Bourcier) à
l’Espace Confluence, en tournée et au Festival Off d’Avignon / Le Fantôme de Canterville
d’après Oscar Wilde (m.e.s Bruno Bernardin) au Studio Théâtre de Charenton et en tournée /
Si Molière m’était conté d’après Molière (m.e.s François Bourcier) au théâtre de Bandol et
en tournée / Violette sur la Terre de Carole Fréchette (m.e.s Pauline Corvellec) au Sudden
Théâtre / Roméo et Juilette de William Shakespeare (m.e.s Raymond Acquaviva) au Sudden
Théâtre et à Bonifacio / Barricades! d’Alain Guyard (m.e.s François Bourcier) au Sudden
Théâtre, au Vingtième Théâtre, au Théâtre Mouffetard, au Festival d’Avignon 2009, 2010 et
2011, et en tournée / Panique au Ministère de Jean Franco et Guillaume Mélanie (m.e.s
Raymond Acquaviva) au Théâtre de la Renaissance / Le Songe d’une Nuit d’été de William
Shakespeare (m.e.s Raymond Acquaviva) au Sudden Théâtre et en tournée / L’importance
d’être Constant d’Oscar Wilde (m.e.s Astrid Hauschild) au Théâtre Lucernaire /
Andromaque de Jean Racine (m.e.s François Bourcier) au Sudden Théâtre / L’éveil du
printemps de Frank Wedekind (m.e.s Clémence Carayol) au Sudden Théâtre et en tournée /
Le Bourgeois Gentilhomme de Molière (m.e.s Raymond Acquaviva) au Sudden Théâtre /
Beyond Therapy de Christopher Durand (m.e.s Bella Grushka) au Sudden Théâtre.
Benjamin Brenière – Comédien
Les Fils de la Terre d’après le documentaire d’Edouard Bergeon (adaptation et m.e.s. Elise
Noiraud) / Le Porteur d’histoire (MOLIÈRE 2014) d’Alexis Michalik (m.e.s. Alexis
Michalik) / Les Vibrants de Aïda Asgharzadeh (m.e.s. Quentin Defalt) / ALICE d’Aïda
Asgharzadeh et Anaïs Laforêt (m.e.s. Aïda Asgharzadeh et Anaïs Laforêt) / Les Jumeaux
Vénitiens de Carlo Goldoni (m.e.s. Anthony Magnier) / Don Juan de Molière (m.e.s.
Anthony Magnier) / Rouge ! de Camilo Pellegrini (m.e.s. Gustavo De Araujo) / Italienne
Scène de Jean-François Sivadier (m.e.s. Victorien Robert) / Orphelins d’après Rainer Maria
Rilke (m.e.s. Olivier Déhnin) / Le Nouveau Testament de Sacha Guitry (m.e.s. Isabelle
Ratier) / La mégère à peu près apprivoisée d’après William Shakespeare (m.e.s. Alexis
Michalik) / La Double Inconstance de Marivaux (m.e.s. Raymond Acquaviva) / L’Opéra
de Quat’Sous de Bertolt Brecht (m.e.s. Franck Berthier) / L’Alpenage de Knobst de JeanLoup Horwitz (m.e.s. Xavier Lemaire) / Andromaque de Racine (m.e.s. François Bourcier) /
Le Songe d’une Nuit d’été de William Shakespeare (m.e.s. Raymond Acquaviva) /
Britannicus de Jean Racine (m.e.s. Raymond Acquaviva) / La Mort de Danton de Georg
Büchner (m.e.s. Héloïse Levain) / Les joyeuses Commères de Windsor de William
Shakespeare (m.e.s. Idriss) / Mesure pour mesure de William Shakespeare (m.e.s. Béla
Grushka) / Mondays at seven d’après Tennessee Williams et William Shakespeare, en
anglais (m.e.s. Béla Grushka) / Les Femmes Savantes de Molière (m.e.s. Raymond
Acquaviva) / Camino Real de Tennessee Williams, en anglais (m.e.s. Béla Grushka).
Samuel Glaumé – Comédien
Victor ou les enfants au pouvoir de Roger Vitrac (m.e.s. Léonie Pingeot) au Théâtre Actuel
Avignon / Tailleur pour Dames de Georges Feydeau (m.e.s. Marie Lagrée et Samuel
Glaumé) au théâtre Clavel / La Cerisaie d’Anton Tchekhov (m.e.s. Camille de la
Guillonniere) / Paroles Gelées de François Rabelais (m.e.s. Jean Bellorini) au théâtre du
Rond-Point / La Noce de Bertolt Brecht (m.e.s. Camille de la Guillonniere) / Citoyen
Podsékalnikov d’après Nikolai Erdman (m.e.s. Jean bellorini).
Ludovic Laroche – Comédien
Nuit Gravement au Salut de Henri-Frédéric Blanc (m.e.s Ludovic Laroche) au théâtre des
Nouveautés / Par gourmandise, Création Collective / À la folie Feydeau d’Après Georges
Feydeau (m.e.s Leonard Matton) au Théâtre de Poche Montparnasse / Le cercle de
Whitechapel de Julien Lefebvre (m.e.s. Christian Bujeau) / Les Bodin’s Grandeur nature
de Vincent Dubois et Jean-Christian Fraiscinet / Le bar sous la mer de Stefano Benni (m.e.s.
Ludovic Laroche) au théâtre Ranelagh et théâtre Mouffetard / À petit feu de Henri-Frédéric
Blanc (m.e.s. Ludovic Laroche) au théâtre Le Mélo d’Amélie / En attendant le sous prefet
de Vincent Dubois et Jean-Christian Fraiscinet / Le système Ribadier de Georges Feydeau
(m.e.s. Ludovic Laroche) au Sudden Théâtre / Macbeth de William Shakespeare (m.e.s. Bela
Gruchka) / La double inconstance de Marivaux (m.e.s. Raymond Acquaviva).
Ariane Mourier – Comédienne
Les lapins sont toujours en retard d’Ariane Mourier (m.e.s. David Roussel) au théâtre des
Béliers Parisiens / Le fils du comique de Pierre Palmade (m.e.s. Agnes Boury) au théâtre
Saint-Georges / Des pieds et des mains de Ray Galton et John Antrobus (m.e.s. Arthur
Jugnot et David Roussel) au théâtre Fontaine / Gueule d’ange d’Anthony Michineau (m.e.s.
Romain Thunin) au théâtre des Béliers Parisiens / Le coup de la cigogne de Jean Claude
Islert (m.e.s. Jean Luc Moreau) au théâtre Saint-Georges / Bonjour Ivresse de Franck Le
Hen, (m.e.s. Christine Hadida), au théâtre Le Temple / Couscous aux lardons de Farid Omri
au théâtre Montorgueil / Fais-moi une place d’Anthony Michineau (m.e.s. Anthony
Michineau et Jordy Karakassian) au théâtre Trévise / Cendrillon (m.e.s. de Julien Alluguette)
au Vingtième Théâtre
Didier Niverd – Comédien
Les Coquelicots de Tranchées (MOLIERE) Atelier théâtre actuel (m.e.s. Xavier) / Les
Méfaits du Tabac d’A. Tchekov (m.e.s. Esmeralda Kroy)/ La Journée des Dupes de
Jacques Rampal (m.e.s. Yves Pignot) / L’Ours d’A. Tchekov (m.e.s. F. Frapier) / La Vie est
un songe de Calderon (m.e.s. de W. Mesguich) / Si Guitry m’était conté – Trois pièces
courtes de Sacha Guitry (m.e.s. F. Frapier) / 12 Hommes en Colère de R. Rose (m.e.s. S.
Meldegg) / Augustin de R. Loucif / Victor et Juliette de V. Hugo et J. Drouet / Le Mariage
de Le Trouhadec de J. Romains / Les Philosophes Amoureux de Destouches / Tartuffe de
Molière / La Colonie et l’Ile des Esclaves de Marivaux / L’illusion Comique de Corneille /
Cosroès de Rotrou / Bradamante de Garnier / Heraclius de Corneille / Medée de Corneille /
La Troade de Garnier / Pyrame et Thisbe de T. de Viau / Phèdre de Racine / Les Innocents
Coupables de Brosse / La Magie sans Magie de Lambert / Le Fantôme Amoureux de
Quinault / Les Joyeuses Commères de Windsor de W. Shakespeare (m.e.s. de Jean-Marie
Villegier) / La Baie de Naples de J.Dragutin (m.e.s. du même) / La Tentation d’Antoine de
Y. Reynault (m.e.s. C. Boskovitz) / Le Vaisseau Amiral de José Pierre (m.e.s. Patrick
Simon) / Palais Mascotte de E. Cormann (m.e.s. A. Simond) / L’Eternel Mari de
Dostoievsky (m.e.s. F. Frapier) / En Attendant Godot de S. Beckett (m.e.s. M. Dussin) /
L’Eté de R. Weingarten (m.e.s. de M. Rouvray) / Le Prix Martin de E. Labiche / L’Histoire
du Soldat de Ramuz et Stravinsky (m.e.s. J. Darie) / Titus Andronicus de W. Shakespeare
(m.e.s. M. Dubois).
Sandra Parra – Comédienne
Les Jumeaux Vénitiens de C. Goldoni (m.e.s. Anthony Magnier) / Dom Juan de Molière
(m.e.s. Anthony Magnier) / La jeune fille à son miroir d’Alan Rossett (m.e.s. Alan Rossett) /
Fool For Love de Sam Shepard (m.e.s. Fred Tourvieille) / Un Air de Famille d’Agnès Jaoui
et Jean Pierre Bacri (m.e.s. Fred Tourvieille) / Comme dans un rêve de Molière, d’après
Molière (m.e.s Compangie les Uns Visibles) / Cuisine et Dépendances d’Agnès Jaoui et Jean
Pierre Bacri (m.e.s. Oriane Blin) / Traitement de Choc de Chris Orlandi (m.e.s. Olivier
Belmondo) / Destination Feydeau (m.e.s. Compagnie Les Uns Visibles) / Cuisine et
Dépendances d’Agnès Jaoui et Jean Pierre Bacri (m.e.s. Telmo Herrera) / Huis Clos de JeanPaul Sartre (m.e.s. Fred Tourvieille) / Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux (m.e.s.
Benoît Guibert).
Ludovic Champagne – Créateur Son
Création son
Les Vibrants (m.e.s. Quentin Defalt).
Régie Générale
Théâtre 13, Paris.
Régie technique
Les Vibrants (m.e.s. Quentin Defalt) / Lettre d’une inconnue (m.e.s. Christophe Lidon) /
Amédée (m.e.s. Côme de Bellescize) / Le Cercle de craie caucasien (m.e.s. Fabian Chappuis).
Jean-Yves Perruchon – Créateur lumière
Création lumière
Jouliks, Cie Et plus si affinités (m.e.s. Clemence Carayol) / 2H14, Cie Et plus si affinités
(m.e.s. Clemence Carayol) / Euh... , Mr Max production (m.e.s. Violette Campo) / Au bout
du rouleau, Bonni&prod (m.e.s. François Bourcier) / Simon et Lena, Cie Waverley (m.e.s.
Eva Dumont) / Liberté, Mr Max production (m.e.s. François Bourcier) / Le Magicien d’Oz,
Cie Waverley (m.e.s. Eva Dumont) / Los Demonios, Cie Artefact (m.e.s. Philippe Boronad) /
L’encens et le goudron, Cie Le tyr et la lyre (m.e.s. Violaine De Carne) / La traversée des
faux plis, Cie Tangible (m.e.s. Edwine Fournier) / Le Jour des âmes, Théâtre de l'Eclipse
(m.e.s. Jacques Dor).
Construction décors
Et pendant ce temps, Simone veille, Mr Max prod (m.e.s. Gil Galliot) / Simon et Lena, Cie
Waverley (m.e.s. Eva Dumont) / Dog & cat story, Team Creative (m.e.s. Julie De Laurenti) /
Les coquelicots des tranchées (MOLIÈRE 2015), Atelier Théâtre Actuel (m.e.s. Xavier
Lemaire) / Le peuple de la nuit, Ankinéa théâtre (m.e.s. Frank Berthier) / Le magicien d’Oz,
Cie Waverley (m.e.s. Eva Dumont)/
Regie Général
Les coquelicots des tranchées (MOLIÈRE 2015), Atelier théâtre Actuel (m.e.s. Xavier
Lemaire) / Poussiv’ Dance, Cie Arsène (m.e.s. Michel Jacquelin) / Attention peinture
fraiche, Cie Arsène (m.e.s. Michel Jacquelin) / Résister c’est exister, Ze prod (m.e.s.
Isabelle Starkier) / Lettre de délation, Ze prod (m.e.s. François Bourcier).
Marion Rebmann – Costumière (Nommée aux Molières 2014, création
visuelle)
Vice Versa (m.e.s. Michelle D’angelo), Académie Fratellini / Le temps des Surricates
(m.e.s. Benjamin Bellecour), Acme Production / Les Vibrants (m.e.s. Quentin Defalt), Cie
Teknaï / Le cercle des illusionnistes (m.e.s. Alexis Michalik, MOLIÈRE 2014), Acme
Production / Jean Martin ou la vie normale (m.e.s. Beanjamin Bellcour), Cie mises en
capsules / La chèvre de Mr Seguin (m.e.s. Philippe Gouin), Cie Kicekafessa / La maîtresse
en maillot de bain (m.e.s. Fabienne Galula), Cie Atchoum / Le Porteur d’histoire (m.e.s.
Alexis Michalik, MOLIÈRE 2014), Cie Los Figaros / Les pieds dans le plat (Création
collective), Cie illico Echo / Nino et ses copo’s (m.e.s. Philippe Sohier), Cie Atchoum / La
mort en sus (m.e.s. Oriane Blin), Cie Les Uns invisibles / Alice au pays des merveilles
(m.e.s. Philippe Gouin), Cie Kicekafessa
Durée du spectacle : 1h30