dossier de presse nouveaux locaux d`enseignement de la

DOSSIER DE PRESSE
NOUVEAUX LOCAUX D’ENSEIGNEMENT DE
LA FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE
DE L’UNIVERSITE
LYON 1
© Pierre VURPAS et Associés Architectes
SOMMAIRE
LES NOUVEAUX LOCAUX D’ENSEIGNEMENT
DE L’UNIVERSITE CLAUDE BERNARD LYON 1 (UCBL1) …………………..……..PAGE 3
PRESENTATION DE L’UNIVERSITE CLAUDE BERNARD LYON 1………………….PAGE 6
LES INTERVENTIONS DU DÉPARTEMENT
POUR L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET LA RECHERCHE……………………...….PAGE 8
DIRECTION DE LA COMMUNICATION- SERVICE DE PRESSE
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2
LES NOUVEAUX LOCAUX D’ENSEIGNEMENT DE
L’UNIVERSITE CLAUDE BERNARD LYON 1 - ROCKEFELLER
LES NOUVEAUX LOCAUX D’ENSEIGNEMENT ROCKEFELLER,
CŒUR DU CAMPUS UNIVERSITAIRE DE MEDECINE
UN
PROJET
AU
La
construction
des
nouveaux
locaux
d’enseignement sur le
site Rockefeller est une
opération du Contrat de
Plan Etat-Région (CPER)
2000-2006.
© Pierre VURPAS et Associés Architectes
Le domaine Rockefeller est implanté à l’Est de Lyon (8ème arrondissement)
dans le quartier de Grange Blanche, très fortement marqué par les activités
liées à la santé (Hôpital E.Herriot, Ecole d’infirmières, centre Anti-Cancer
L.Bérard notamment). Ce site constitue un emplacement majeur du secteur
Santé Université Claude Bernard Lyon 1. De part son emprise (environ
54 000 m²) et sa fonction administrative (siège de la fédération de Santé), il
constitue le centre névralgique de médecine & de pharmacie.
Les bâtiments du domaine Rockefeller ont été édifiés à différentes époques :
- Le bâtiment principal construit par l’architecte BELLEMAIN dans les années
1930
- Dans les années 1960-1970, ont été réalisés les extensions successives et
ponctuelles défigurant le bâtiment principal et participant à une lecture
chaotique du site, notamment l’amphithéâtre Hermann (qui sera démoli dans
le cadre du présent projet), et des locaux préfabriqués (déjà démolis dans le
cadre du projet)
- La médiathèque, réalisée à la fin des année 1990, d’architecture
contemporaine et marquée par un tissu végétal important.
Ce projet de locaux d’enseignement neuf s’inscrit en tant que première phase
de la requalification du site Rockefeller, qui comprendra en 2nde phase les
travaux de restructuration du bâtiment historique principal.
Ce projet porte sur la réalisation de locaux d’enseignements d’environ 5 060
m² Shon sur 5 niveaux, et comprenant :
- pour l’enseignement général de médecine :
o des amphithéâtres de grande capacité : deux d’une capacité de
500 places, et un d’une capacité de 250 places, soit 1 250 places
au total,
o 13 salles d’enseignement et de travaux dirigées (capacité : 40 à
60 personnes),
- pour l’Institut des Techniques de Réadaptation (Ergothérapie et
kinésithérapie, Orthoptie, Orthophonie) : salles de travaux pratiques et
dirigés : salles de moulage, d’orthèse, de massage, de biomécanique,
testothèque, salle de TP phonétique, salle de psychomotricité.
Les dominantes architecturales et morphologiques des bâtiments existants ont
été réinterprétées. Le volume principal des étages est un parallélépipède
3
simple, haut et compact. Il reprend l’alignement des bâtiments en peigne
pour former une nouvelle cour arborée. La cote d’altimétrie générale du
velum de l’université de Rockefeller est reprise avec exactitude. A l’échelle
du quartier, cette implantation affirme son statut d’extension du bâtiment
original de Bellemain.
La volumétrie du soubassement correspondant au rez-de-chaussée, et celle
des amphithéâtres superposés se projettent vers l’extérieur du volume
principal afin de créer des liens avec le site et de l’ancrer sur le terrain. Le
projet peut ainsi être « connecté » à la structure universitaire et à la vie
quotidienne des étudiants. Le volume des amphithéâtres superposés,
s’articule avec les caractéristiques définies par la trame du campus amorcée
par la médiathèque, l’accueil et la zone de livraison, puis se prolonge
jusqu’en limite de propriété.
La lisibilité de l’organisation des flux étudiants a été particulièrement étudiée.
La qualité des vides, et leurs rapports avec les autres équipements, a été
privilégiée. A l’image d’un campus, l’espace est fluide, les circulations se font
naturellement. Le hall principal du bâtiment sera clairement accessible
depuis le parvis réaménagé entre lui et le bâtiment Bellemain. Ce hall
constituera l’entrée principale pour tous les utilisateurs.
Le projet prévoit également une mise en valeur de l’espace végétal existant
entre l’entrée du site (rue Ch.Jung) et la médiathèque. Les plantations de
bonne valeur seront conservées, la pelouse sera replantée. Cet espace
deviendra un véritable lieu de détente et de respiration accessible
directement depuis la coursive menant du hall principal de l’entrée à la
médiathèque. Mis en valeur, il perpétuera son rôle de filtre vis-à-vis des
logements environnants. Mis en scène par le nouveau bâtiment, il devient un
véritable jardin d’agrément dans le prolongement de l’espace boisé de la
médiathèque.
Le projet s’inscrit donc comme l’articulation entre les différentes époques de
constitution du domaine Rockefeller. Il crée la jonction entre les deux
principales forces du site : la rigueur universitaire héritée du bâtiment
principal, et l’esprit de campus amorcé par la construction de la
médiathèque. Il respecte les lignes directrices du quartier, les intègre et les
retranscrit dans une volumétrie ordonnée en dialogue avec les éléments
existants. Le bâtiment se situe à l’articulation entre le passé et le futur du
domaine Rockefeller.
Ces amphithéâtres sont la condition indispensable pour la mise en place de la
réforme de la première année commune de santé qui va réunir, dès 2010,
près de 2000 étudiants sur le site universitaire Lyon-Est.
LE FINANCEMENT DU PROJET
Le coût d’opération représente une enveloppe globale de 11,434 M€ TTC.
Les contributions financières, au titre du CPER 2000-2006, en sont les
suivantes (par ordre décroissant) :
Département du Rhône
: 5,016 M€
Etat
: 3,811 M€
Région Rhône-Alpes
: 2,058 M€
Ville de Lyon
: 0,549 M€
4
S’ajoute au titre du 1er équipement (Audiovisuel des amphithéâtres et
bouclage Wi Fi du bâti), une participation de 0,704 M€ de l’Université Claude
Bernard Lyon 1.
LE DÉPARTEMENT DU RHÔNE, MAITRE D’OUVRAGE DE L’OPÉRATION
Le Département du Rhône assure la maîtrise d’ouvrage de la construction,
assisté par un mandataire public : la Société d’Equipement du Rhône et de
Lyon (SERL), SEM spécialisée dans les opérations d’aménagement et de
constructions publiques.
La maîtrise d’œuvre de l’opération a été attribuée à l’issue d’une procédure de
Concours sur Esquisses.
La composition de l’équipe de maîtrise d’œuvre est la suivante :
-
Architecte mandataire du groupement : Pierre VURPAS et Architectes
Associés (Lyon),
Economiste : Pierre VURPAS et Architectes Associés (Lyon),
Bureau d’études structures : AGIBAT INGENIERIE (Ecully),
Bureau d’études fluides : CERA (Ecully),
Bureau d’études acoustique : EUROPE ACOUSTIQUE INGENIERIE
(Vénissieux)
L’équipe de maîtrise d’œuvre est une équipe expérimentée dans le domaine
des bâtiments d’enseignement. Elle a présenté un projet très bien inséré
dans son environnement, notamment en terme de morphologie et
volumétrie, de matériaux utilisés, et d’espaces végétalisés.
LE CALENDRIER
-
-
2006 – 2007 : études de conception ;
2nd semestre 2007 : choix des entrepreneurs suite à appel d’offres
travaux ;
démarrage des travaux : Janvier 2008 ;
livraison du bâtiment : Septembre 2009.
5
PRESENTATION DE L’UNIVERSITE CLAUDE BERNARD
LYON 1
Les activités de formation et de recherche dans les secteurs des sciences de la
santé, des sciences et technologies et des sciences du sport, situent Lyon 1
au tout premier rang des universités françaises, quels que soient les critères
retenus.
LA QUATRIEME UNIVERSITE DE FRANCE.
L’université, installée sur 13 sites (surface totale bâtie de 473 000 m2) dans le
Grand Lyon, à Bourg-en-Bresse, à Roanne et à St-Etienne, contribue
efficacement au développement des territoires de l’ouest de la région RhôneAlpes qui soutient ses initiatives.
2 480 enseignants chercheurs et enseignants dont 850 exercent également en
milieu hospitalier, plus de 2 500 personnels de Bibliothèques, Ingénieurs,
Administratifs, Techniques, Ouvriers et personnels de Service (BIATOS),
assurent les missions d’enseignement et de recherche de l’université. Du fait
des compétences élargies, depuis le 1er janvier 2009, l’Université Claude
Bernard Lyon 1 fonctionne avec un budget de près de 350 millions d’euros.
L’Université Claude Bernard Lyon 1 est ainsi un des premiers employeurs
publics de la région.
UNE UNIVERSITE ACCUEILLANTE, AVEC
PRES DES BESOINS DE LA SOCIETE.
DES
FORMATIONS
AU PLUS
L’université accueille cette année près de 35 000 étudiants (soit près de 20 %
des étudiants de la région Rhône-Alpes), dont 54% sont des jeunes femmes.
18% des étudiants sont boursiers sur critères sociaux. Les étudiants
étrangers qui représentent 125 nationalités constituent 12% de cet
ensemble.
Près de 80% des étudiants sont inscrits dans des filières professionnalisantes
et ce ne sont pas moins de 9250 diplômes que l’université délivre chaque
année.
• Dans le secteur santé, les formations proposées permettent d’accéder à
l’ensemble des professions médicales (médecins, dentistes, sages-femmes),
pharmaceutiques et paramédicales (audioprothésistes, ergothérapeutes,
kinésithérapeutes, orthophonistes, orthoptistes, psychomotriciens, qui
peuvent en parallèle préparer une licence et un master spécifiques). Par
ailleurs, des compétences complémentaires spécifiques sont dispensées dans
de nombreux diplômes d’université (DU) ;
• Dans le secteur sciences, l’université forme des techniciens supérieurs dans
17 spécialités au niveau DUT (bac + 2), des cadres intermédiaires dans 40
Licences professionnelles et des cadres supérieurs dans 110 Masters
recherche et/ou professionnels, sans oublier les formations générales du
niveau Licence : 12 mentions en sciences, 4 en activités sportives . De plus,
6 filières de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Ingénieur de Lyon
(ISTIL), future Ecole Polytechnique Universitaire, conduisent au diplôme
d’ingénieur ; l’Institut de Science Financière et d’Assurances (ISFA) délivre le
diplôme d’actuaire de Lyon ;
6
• Pour la formation aux métiers de l’enseignement, l’Institut Universitaire de
Formation des Maîtres de l’Académie de Lyon (IUFM) est devenu depuis
juillet 2007 une composante de notre université.
Environ 300 diplômes de doctorat sont délivrés chaque année, à l’issue d’une
formation par la recherche dans les laboratoires de l’université, en co-tutelle
avec des universités étrangères ou en collaboration avec les laboratoires des
entreprises partenaires.
L’université, à côté de la formation initiale, accompagne aussi bien les
demandeurs individuels que les entreprises privées à travers la formation
continue des cadres et techniciens lors de la réalisation de parcours de
professionnalisation, de qualification professionnelle ou de validation des
acquis de l’expérience.
UNE UNIVERSITE RESOLUMENT TOURNEE VERS L’INNOVATION.
L’Université Claude Bernard Lyon 1 est une université multidisciplinaire dont la
recherche va de la recherche fondamentale à ses applications (plus de 2 500
publications internationales par an et 14 dépôts de brevet) ce qui fait d’elle
la première université française pour les dépôts de brevets. Elle comprend
actuellement 84 unités de recherche contractualisées (pour un grand nombre
d’entre elles) dont les activités s’exercent en particulier dans les domaines
de la santé, de l’environnement et des matériaux. Des regroupements au
sein de structures fédératives de recherche favorisent, par la mise en
commun de moyens et la pluridisciplinarité, l’émergence de nouvelles
thématiques, le développement de la valorisation et contribuent à
l’enrichissement des formations liées.
Les laboratoires, avec l’appui des filiales de valorisation Ezus Lyon1 et Lyon
Ingénierie Projet (LIP), entretiennent des relations étroites avec les
entreprises du secteur privé et répondent efficacement aux appels d’offres
de recherche contractuelle nationaux et internationaux.
UNE UNIVERSITE RECONNUE EN FRANCE ET A L’INTERNATIONAL.
L’université est impliquée dans plus de 80 projets européens et s’est lancée
avec dynamisme dans le 7ème Programme Cadre de Recherche et de
Développement Technologique de l’Union Européenne (PCRDT).
Le haut niveau et la reconnaissance internationale des activités de recherche
des laboratoires se sont traduits récemment :
• Par les financements accordés par l’Agence Nationale pour la Recherche
(ANR),
• Par la participation au Réseau thématique de Recherche Avancée (RTRA) «
Innovations thérapeutiques en Infectiologie »,
• Ainsi qu’aux Réseaux Thématiques de Recherche et de Soins (RTRS) «
NeuroCap » (Neurosciences), «Centaure » (Transplantation d’organes) et «
Synergie Lyon Cancer »
• Et à l’Institut Carnot I@L (Matériaux et Transport).
Parallèlement l’université apporte ses compétences aux Pôles de compétitivité
« LYONBIOPOLE » (santé), « MINALOGIC » (nanotechnologies), « AXELERA
» (chimie, environnement), « Plastipolis » (filière plasturgie), « TECHTERA »
(textiles techniques et fonctionnels), « SPORALTEC » (industries du sport et
des loisirs) et « Lyon Urban Truck&Bus 2015 » (transports collectifs).
LYON 1 EN QUELQUES CHIFFRES.
• 4ème université française
• 1ère université française en santé
7
•
•
•
•
•
•
•
35000 étudiants
84 unités de recherche
Plus de 250 diplômes nationaux
12 % d’étudiants étrangers de 125 nationalités
5000 personnels
Un budget de 350 millions d’euros
13 sites géographiques
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LES INTERVENTIONS DU DÉPARTEMENT DU RHÔNE
POUR L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET LA RECHERCHE
Si l’Enseignement supérieur et la Recherche n’entrent pas dans ses
compétences propres, le Département mène une politique volontariste en ces
domaines. En participant à la création d’un pôle universitaire fort qui rayonne
sur le développement économique, il entend ainsi renforcer le positionnement
du département du Rhône comme grand centre européen à vocation mondiale,
porteur d’un développement économique et culturel indiscutable auprès des
décideurs étrangers.
C’est par l’aide à l’immobilier et à l’équipement des universités, et l’aide aux
chercheurs que se manifeste son soutien au monde universitaire (lire cidessous). Dans le cadre du précédent Contrat de plan, il s’était déjà impliqué
en assurant la maîtrise d’ouvrage de nombreuses opérations pour un montant
total de 51,05 M€. Dans le Contrat de projet 2007-2013 auquel il apporte une
contribution de 32 M€, on le retrouve de nouveau maître d’ouvrage dans des
réalisations comme l’Institut de Génomique Fonctionnelle à l' ENS, le nouvel
amphithéâtre à l'IEP de Lyon, ou encore Neurocampus qui va regrouper toutes
les forces de recherche en neurosciences, neurologie.
AIDE A L’IMMOBILIER ET L’EQUIPEMENT
Pour marquer son intérêt le Département s’est porté maître d’ouvrage d’un
certain nombre d’opérations :
RÉHABILITATION ET AGRANDISSEMENT DES LOCAUX POUR LE NOUVEAU
DÉPARTEMENT «TELECOM ET USAGE» DU PÔLE NTIC DE L’INSA-LYON
SUR LE SITE DE LA DOUA A VILLEURBANNE
La restructuration (1450 m2) et l’extension (1 450 m2) du bâtiment Claude
Chappe inscrite au contrat de plan Etat-Région 2000-2006 permet
d’accueillir le Département « Télécommunications, Services et Usages » et
le Département « Génie Energétique et Environnement » depuis octobre
2008. Salles de cours et amphithéâtre de 150 places. Le bâtiment sera
inauguré au printemps 2009.
Coût de l’opération : 8, 382 M€ dont
€ 3,791 M€ du Département du Rhône
€ 2,531 M€ de l’Etat
€ 1,281 M€ de la Région Rhône-Alpes
€ 0,460 M€ de l’INSA
€ 0,319 M€ de la ville de Villeurbanne
CONSTRUCTION DE L’INSTITUT DE GENOMIQUE FONCTIONNELLE SUR LE
CAMPUS CHARLES MERIEUX A GERLAND- ( LABORATOIRE DE RECHERCHE)
Ce projet conforte le développement du nouveau campus scientifique et médical
de l’université Claude Bernard Lyon. Il s’inscrit dans une complémentarité
scientifique évidente, sur le site, au voisinage des laboratoires de biologie de
9
l’Ecole Normale supérieure de Lyon et du Centre Européen en virologie et
immunologie. Prévu dans le cadre du CPER (Contrat de Projet État Région)
2007-2013, ce nouveau bâtiment trouve sa cohérence avec le projet « Lyon
Cité campus ».
Le bâtiment rassemblera les fonctions de l’Institut : laboratoires, services
administratifs, service commun, hébergement d’animaux.
Coût total de l’opération: 10,8 M€ dont
€ 2,104 M€ de l’Etat
€ 0,56 M€ de la Région Rhône-Alpes
€ 9,174 M€ du Département du Rhône
Travaux terminés au printemps 2011.
CRÉATION D’UN CENTRE DE RESSOURCES INFORMATIQUES
A L’ECOLE CENTRALE DE LYON
Création de Salles de cours et de salles pour le service de gestion informatique
Coût de l’opération : 2,1 M€ dont
€ 1,6 M€ du Département du Rhône
€ 0,5 M€ de l’Etat
€ 0,03 M€ de la Région Rhône-Alpes
Ce projet est en cours de concertation.
RÉALISATION DE LOCAUX D’ENSEIGNEMENT DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE
ET DE PHARMACIE DE L’UNIVERSITÉ LYON CLAUDE BERNARD LYON 1
SUR LE SITE DE ROCKEFELLER-LYON 8E
Ce projet inscrit au contrat de plan Etat-Région 2000-2006 porte sur la
réalisation de locaux d’enseignements sur le site de l’Université de médecine
Rockefeller (UCBL1) comprenant :
Pour l’enseignement général de médecine :
-
des amphithéâtres de grande capacité : deux d’une capacité de 500 places,
et un d’une capacité de 250 places, soit 1 250 places au total,
13 salles d’enseignement et de travaux dirigés (capacité : 40 à 60
personnes),
Pour l’Institut des Techniques de Réadaptation (Ergothérapie et kinésithérapie,
Orthoptie, Orthophonie) :
-
salles de travaux pratiques et dirigés : salles de moulage, d’orthèse, de
massage, de biomécanique, testothèque, salle de TP phonétique, salle de
psychomotricité.
Coût de l’ opération: 12, 138 M€ dont
€ 5, 015 M€ du Département du Rhône
€ 3,811 M€ de l’Etat
€ 2,058 M€ de la Région Rhône-Alpes
€ 0,549 M€ de la Ville de Lyon
€ 0,704 M€ de l’Université Claude Bernard Lyon 1
Livraison septembre 2009
10
AMÉNAGEMENT DE LA SALLE LECLAIR EN AMPHITHÉATRE ET SALLES DE COURS
INSTITUT D’ÉTUDES POLITIQUES DE LYON-14 AVENUE BERTHELOT LYON 7E
Aménagement d’un amphithéâtre de 240 places
Aménagement des sous-sols en salles associatives.
Travaux terminés en juillet 2010.
Coût de l’ opération: 1,372 M€ dont
€ 0,702 M€ du Département du Rhône
€ 0,457 M€ de l’Etat
€ 0,213 M€ de la Région Rhône-Alpes
RESTRUCTURATION ET MISE EN SÉCURITE DU PALAIS DE L’ UNIVERSITÉ ,
UNIVERSITÉ LYON 3 -15 , QUAI CLAUDE BERNARD
Aménagements inaugurés en octobre 2008.
Coût de l’ opération : 4,2 M€
€ 2,5 M€ du Département du Rhône
€ 0,6 M€ de l’Etat (sécurité)
€ 0,5 M€ de l’Etat
€ 0,4 M€ de l’Université Lyon 3
€ 0,2 M€ de la Région Rhône-Alpes
RESTRUCTURATION ET EXTENSION DE L’IUFM –LE CLOS - LA CROIX ROUSSE
L’IUFM (Siège et Centre de Lyon) sont hébergés dans deux sites appartenant
au Département du Rhône qui assume les charges de propriétaire et qui en
est le Maître d’Ouvrage :
f Le site du Clos situé 5, rue Anselme , Lyon 4e
f Le site de la Tourette, 80 boulevard de la Croix Rousse - Lyon 4e
Objectifs principaux de l’opération :
f Réunir les activités de l’ IUFM sur le site du Clos
f Intégrer au projet la création d’un centre de documentation et
d’information sur le site du Clos
f Profiter de ce projet pour mettre à niveau les bâtiments du site du Clos
tant fonctionnellement que techniquement (sécurité , sûreté …)
Les travaux sont réalisés en 3 phases :
f Mise en conformité électriques des bâtiments existants
Opération réalisée (réception des travaux le 2 juin 2008)
f Extensions de l’IUFM par un bâtiment neuf composé d’ un CDI , d’un
amphithéâtre de 120 places et d’une salle de sport ( en cours de
construction, démarrage des travaux, avril 2008)
f Restructuration des bâtiments existants de l’ IUFM (7000 m2 )
Coût de l’ opération : 18,8 M€ dont
€ 14,1 M€ du Département du Rhône
€ 4,7 M€ de l’Etat
CRÉATION DU NEUROCAMPUS DE LYON
Il s’agit de regrouper dans un bâtiment unique , situé au cœur du NeuroCampus , les équipes de recherche et plate-formes technologiques en
11
Neurosciences actuellement localisées en dehors du site (campus de GerlandLaennec- Rockefeller)
Ce projet n’est pas engagé , le montage est en cours.
Coût des de l’opération : 14,3 M€ dont
€ 4,75 M€ du Département du Rhône
€ 3,8 M€ de la région Rhône-Alpes
€ 3,75 M€ de l’Etat
€ 2 M€ du Grand Lyon
Le Département a souhaité soutenir, en dehors de sa responsabilité de
maître d’ouvrage, d’autres opérations conduites par ses partenaires
mais qui participent aussi un rayonnement départemental.
REALISATIONS INAUGURÉES
¾
EN
2008 …
Centre de recherche pour l’Enseignement et la gastronomie lyonnaise à
l’Institut Paul Bocuse à Ecully (inauguré en décembre 2008)
L’objectif du centre de recherche est d’apporter les réponses aux enjeux de
société liés à l’alimentation. En ce sens, il se veut un outil au service du bien
manger et de tous les acteurs qui produisent une offre alimentaire. Il
constitue un véritable outil pour les étudiants, les scientifiques et les
professionnels. Ce centre de recherche a pour objectif de travailler sur les
comportements alimentaires et leurs relations : goût, plaisir, santé, bienêtre et économie.
Le coût total de l’investissement est de 1 573 000 € dont Subvention du
Département de 475 000 €.
¾
Extension du Centre de Recherche Astronomique de Lyon à Saint-GenisLaval (inauguré en janvier 2008)
L’observatoire de Lyon a une double vocation : activités scientifiques de
recherche et diffusion de connaissances auprès de différents types de publics
(chercheurs , scolaires et particuliers ).
Il a été décidé de doter l’ observatoire de Lyon, situé sur la commune de Saint
Genis Laval de nouveaux locaux :
- une salle de conférence en extension du bâtiment administratif actuel .
- l’extension de l’atelier mécanique pour l’assemblage et les tests de
l’instrument MUSE .
Le Département a participé à hauteur de 80 000 € pour un coût total de
1,824 M€.
¾
Centre collaborateur de l’Organisation Internationale de la Santé Animale
pour la Formation des Vétérinaires officiels de l’Ecole Nationale des
Services vétérinaires sur le campus de Marcy-L’étoile.( inauguré octobre
2008)
Le Département du Rhône, associé aux autres collectivités territoriales et à
l’Etat, s’est engagé dans le projet d’édification d’un bâtiment destiné à
héberger le Centre Collaborateur de l’OIE pour la formation des vétérinaires
officiels.
12
Afin de souligner l’importance que revêt, pour le Département, le
développement de programmes ambitieux et le devoir de pourvoir à la
formation de professionnels de haut niveau, notre institution s’est engagée
au financement de la construction de ce centre à hauteur de 500 000 €.
…ET EN PROJET :
¾
Centre Universitaire des quais (ancien terrain de l’ hôpital Saint Luc –
Saint Joseph Lyon 7e )
Le Département du Rhône participe à cette opération dont la maîtrise
d’ouvrage est portée par l’Etat et a fléché ses financements sur la
construction d’un IUT pour L’université Jean Moulin Lyon 3 afin de lui donner
des locaux propres actuellement sur le site de la manufacture des tabacs. Le
Département participe à hauteur de 2,805M € pour un coût total de
10 300 M €.
AIDE A LA RECHERCHE CONTRE LE CANCER : LE CANCÉROPÔLE
Le
cancéropôle
départemental.
CLARA
bénéficie
également
d’un
financement
Le Département s’est engagé dès 2001 dans la recherche en
cancérologie aux côtés de l’État dans le cadre du contrat de plan ÉtatRégion pour un montant de 15 M€. Une participation qui s’est concrétisée
dans la constitution du Cancéropôle Lyon-Auvergne-Rhône-Alpes
(CLARA).
Le CLARA, structure fédératrice et ambitieuse, vise à la constitution d’un
réseau d’excellence dans la lutte contre le cancer en fédérant et valorisant
toutes les forces universitaires, hospitalières, industrielles et de recherche en
oncologie présentes sur le territoire. Il s’agit de donner une plus grande
efficacité à la recherche.
11, 551 M€ ont été déjà attribués au CLARA dont 7,50 M€ pour la
construction, désormais achevée, du Centre de recherche intégré à la
plate-forme de génomique fonctionnelle et structurale de Lyon est /
CLB. Situé au Centre Léon Bérard, ce centre appelé Cheney D, doit être
inauguré en 2009. Le Cheney D accueille d’ores et déjà onze équipes de
chercheurs et constitue l’une des plates-formes technologiques au service
des grands projets de recherche du CLARA.
Le Département contribue aussi au financement de la tête de réseau, en
d’autres termes de l’équipe chargée de l’animation, de la communication, de
la coordination et de la promotion des projets de recherche du Cancéropôle.
Cette équipe développe depuis 2004 des appels à projets spécifiques au
CLARA via le dispositif preuve du concept. Une des étapes clé des
projets de R&D dans le domaine de la santé que ce soit en phase pré clinique
ou clinique est de faire la preuve de leur intérêt en vue d’un transfert
industriel. Cette étape est souvent difficile à financer car considérée comme
trop à risque pour les financeurs privés ou les industriels de la santé et ne
bénéficie pas de fonds publics souvent réservés à la recherche
fondamentale. Le dispositif preuve du concept initié par CLARA a bénéficié
d’évaluation extrêmement positives, montrant sa pertinence dans la
consolidation de partenariats publics privés. En 2008, le Département a
décidé de soutenir cette action spécifique du CLARA en apportant un soutien
13
financier de 1, 3 M€ et de maintenir son engagement jusqu’en 2012. La
nouvelle convention triennale prévoit le soutien de l’animation du réseau et
du dispositif preuve du concept à hauteur de 1, 5 M€.
L’enjeu de cette recherche sur le cancer concerne tout d’abord l’évolution
actuelle de la médecine, qui s’oriente vers une médecine prédictive et
personnalisée. La recherche fondamentale, en génomique notamment,
doit en effet permettre la compréhension des mécanismes moléculaires de la
maladie mais également l’identification de cibles thérapeutiques et des
marqueurs diagnostics. Elle doit permettre de développer des thérapies
rationnelles et ciblées que l’on appelle également traitements
personnalisés. Au final, le patient pourra ainsi bénéficier d’un traitement
qui lui sera adapté ainsi qu’aux paramètres de sa tumeur, avec un confort et
une qualité de traitement supérieurs à ce qui existe actuellement. Il
apparaît donc essentiel d’adopter un positionnement stratégique en
direction de l’innovation et de la recherche médicale.
La géographie du Cancéropôle recouvre celle de l’une des grandes régions
économiques européennes, prouvant par là-même la pertinence de son
périmètre. Ce rayonnement européen est favorisé par la présence du Centre
international de recherche sur le cancer dont le Département soutient, à
hauteur de 600 000 €, le projet de constitution d’un Observatoire européen du
cancer.
ET AUSSI
Dans le cadre du Fonds d'Intervention de l'Enseignement Supérieur et
de la Recherche, le département attribue 60 000 € de subventions par an,
pour la tenue de colloques et de congrès afin de valoriser la recherche.
Dans ce cadre le Département a soutenu plus de 50 manifestations en 2008.
Le Département du Rhône soutient également des opérations à fort
rayonnement international comme les Entretiens Jacques Cartier
(22 870 €) ou Biovision (700 000 €), ainsi que le bureau de l’OMS de Lyon,
en charge de la mise en œuvre opérationnelle du nouveau règlement
sanitaire international. La contribution du Département à Biovision participe
d’une approche globale de soutien à la recherche et aux sciences du vivant
dont l’impact en terme de valorisation du territoire est indéniable. Par
l’intermédiaire du pôle de compétitivité Lyonbiopôle, la collectivité finance
quatre projets de R&D en infectiologie et cancérologie.
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