„PROF EUROPE EN CHANTANT 46”

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„PROF EUROPE EN CHANTANT 46”
„PROF EUROPE EN CHANTANT 46”
Chers Collègues. Veuillez trouver ci-joint la deuxième fiche pédagogique élaborée lors de la Formation
COFRAN à Jastrzębie Zdrój le samedi 17 avril 2004, coorganisée par Renata KLIMEK-KOWALSKA
coordinatrice COFRAN pour la Silésie et moi-même pour le module “CHANSON FRANÇAISE ET FLE”.
Bonne lecture !
Richard SORBET
[email protected]
Fiche pédagogique élaborée par Joanna ADAMCZYK-STYPA et
Lidia MOSKAL
Chanson : « TÉLÉPHONE-MOI » - NICOLE CROISILLE
Niveaux : E (Élémentaire), I (Intermédiaire), A (Avancé)
Objectifs : exprimer son opinion
Thèmes : les relations entre les gens, l‟amour, la souffrance, l‟abandon.
1. Avant l‟écoute : les connotations concernant l‟amour.
2. Avec le CD :
a. Première écoute :quels instruments, quelle musique, le refrain (citer les mots qui
reviennent) ?
b. Deuxième écoute : De quoi/de qui parle la chanson ? Combien de personnes
distinguez-vous ? Comment expliquez-vous les paroles « téléphone-moi » ?
c. Pendant la troisième écoute : texte à trous.
3. Avec les paroles :
- Souligner dans le texte les mots inconnus (explications),
- Souligner les mots qui expriment les sentiment de la femme. Comment
appeler ces sentiments ?
- Souligner les phrases impératives.
4. Récapitulation :
- les sentiments des élèves envers la chanson,
- l‟emploi contextuel de l‟impératif.
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NICOLE CROISILLE : « TÉLÉPHONE-MOI » TEXTE INTÉGRAL
Paroles et Musique: C.Gaubert, P.A.Dousset 1976
© 1976 Editions C.Pascal
C'est décidé cette nuit je pars
Il n'en sait rien, il lit son journal
Je n'ai pas osé lui parler
Et lui dire que je le quittais
Mes yeux se posent ici et ailleurs
Mes souvenirs me parlent de ton cœur
J'ai besoin d'entendre ta voix
Le courage me manque, aide-moi.
{Refrain:}
Téléphone-moi, appelle-moi et dis-moi
Que tu m'aimes, que tu m'aimes, que tu m'aimes
Téléphone-moi, rassure-moi et dis-moi
Que tu m'aimes, que tu m'aimes, que tu m'aimes
Il me regarde et il me sourit
Il a toujours partagé ma vie
Il disait au prochain printemps
Il faudra me faire un enfant
Je me sens vide et tout au fond de moi
Pour le quitter, pour courir vers toi
J'ai besoin d'entendre ta voix
Le courage me manque, aide-moi
{au Refrain x 2}
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NICOLE CROISILLE : « TÉLÉPHONE-MOI » EXERCICE À TROUS
Paroles et Musique: C.Gaubert, P.A.Dousset 1976
© 1976 Editions C.Pascal
C'...... .............. cette nuit je ..........
Il n'en ............ rien, il ........ son journal
Je n'.... pas ........ lui ...........
Et lui ......... que je le .............
Mes yeux se ......... ici et ailleurs
Mes souvenirs me .......... de ton cœur
J'....... besoin d'.............. ta voix
Le courage me ..........., ...........-moi.
{Refrain:}
Téléphone-moi, ..............-moi et ........-moi
Que tu m' .............., que tu m'..........., que tu m'.........
Téléphone-moi, ...........-moi et .........-moi
Que tu m'............, que tu m'..........., que tu m'.........
Il me ............ et il me ..........
Il ....... toujours .............. ma vie
Il ............. au prochain printemps
Il .............. me .......... un enfant
Je me ............ vide et tout au fond de moi
Pour le .........., pour ........... vers toi
J'......... besoin d'.............. ta voix
Le courage me ..........., .........-moi
{au Refrain x 2}
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Nicole CROISILLE
(BIOGRAPHIE)
Nicole Croisille, une vie qui swingue.
Nicole Croisille est née à Neuilly-sur-Seine en 1936.
Un sacré tempérament... Enfant, elle voulait être une artiste. Un voeu plus qu‟exaucé :
quarante cinq ans passés à rouler gaillardement sa bosse sur tous les tréteaux, chapeau
bas Madame Croisille ! Quarante cinq années de bourlingues, de scèns, d‟émotions, de
chansons. Bref, quarante cinq années d‟amour ! Une artiste comme on n‟en fait plus
beaucoup, animée d‟une passion intacte pour « le métier ». Oui, Nicole Croisille est une
« pro », exigeante, rigoureuse, pointilleuse. « En tout cas, je passais pour une chieuse ! »,
lance-t-elle avec son franc parler de baroudeuse à qui on ne la fait pas.
Pour les minauderies, vous repasserez, la Croisille joue cartes sur table ... Et ça
swingue ! Mais, pas folle, l‟artiste conserve plus d‟un atout dans ses manches.
Aujourd‟hui elle abat son carré d‟as dans un récital à la carte où le public choisit ses
chansons parmi une liste de ses « très connues », « moins connues », « musiques de
films », « thèmes de jazz », « comédies musicales », et enfin ses « coups de coeurs »
empruntés au répertoire des plus grands (Jacques Brel, Barbara, Michel Legrand,
Claude Nougaro, Simon and Garfunkel ...).
« Je me réserve le privilège de choisir la première et la dernière chanson. Enfin, il y aura
aussi quelques surprises ... », glisse-t-elle. Le tour de force de ce « récital démocratique »
tient en fait dans les cinq minutes qui précèdent le lever de rideau. Le scrutin est clos.
Reste à composer le progamme des chansons élues. Effervescence dans la loge de
l‟artiste : des papiers étalés sur tous les sièges, le classeur des textes à portée de main en
cas de mémoire défaillante, et, le styo en main, Nicole s‟affaire avec son pianiste Aldo
Frank pour composer le bouquet de la soirée. Une formule originale qui ne doit rien au
hasard. « Ça me rappelle mes débuts aux États-Unis quand je faisais mes classes dans les
saloons », lâche la plus américaine des interprètes françaises. Faire ses classes,
l‟expression, pour une fois, n‟est pas en dessous de la vérité.
Jusqu‟à ses 17 ans, la jeune fille joue à cache-cache avec son père qui ne voit pas d‟un
très bon oeil sa fille unique s‟aventurer sur les planches. Au point, du reste, de lui
refuser l‟autorisation de passer l‟examen d‟entrée à l‟Opéra où, pourtant, sa voix de
coloratur eut pu faire merveille, Alors, pour faire plaisir au pater, Nicole fait semblant
de s‟intéresser à la dactylo la journée, et file le soir sur la scène de la Comédie
Française : « J‟apparaissais sur des échasses dans une pièce de Molière, « Les fâcheux »,
chorégraphiée par Jacques Chazot ! Nicole a même fait partie de la revue de Jos‟ephine
Baker ...
Sa rencontre « capitale » avec Marcel Marceau signe, en fait, le départ de sa véritable
carrière lorsque le mime l‟embarque, dare-dare, dans une tournée en Amérique du
Sud : « J‟avais intégré son école de mime quelques mois plus tôt en répondant à une
petite annonce ». Nicole n‟est pas encore majeure et l‟administratrice de la troupe est
obligée de se déclarer son tuteur. « Moi, je voulais faire des exercices de style comme
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marcher dans le vent, etc. Mais le problème des mimes, c‟est qu‟ils sont misogynes. Pour
eux, le corps des hommes est plus beau que celui des femmes.
J‟avais beau tanner Marceau, il n‟était pas question que je fasse des exercices de style à
ses côtés ». Tant pis pour le mime, Nicole revient des Amériques, avec une seule idée : y
retourner au plus vite ! « C‟était la meilleure école de music-hall ! », justifie-t-elle.
Toutefois, Marceau ne la laisse pas partir sans lui glisser deux ou trois conseils utiles
dans sa besace. « Utiles pour plus tard, car sur le moment, j‟étais incapable de les mettre
en pratique ... » Affaire à suivre.
L‟occasion de franchir de nouveau l‟atlantique se présente quelques mois plus tard
lorsqu‟une directrice de casting américaine débarque à Paris pour recruter des
danseuses. Dany Saval, pressentie, laisse sa place vacante. Et voici Nicole – enfin
majeure – qui s‟embarque pour Reno (la ville des divorces) dans un numéro intitulé
« Les Parisian Can Can Girls » : « On m‟a nommée capitaine des girls parce que les
autres n‟étaient pas majeures .
Si bien que j‟ai passé des moments incroyables à surveiller les bonnes moeurs de la
troupe dont j‟avais la charge. C‟est qu‟aux États-Unis, les patrons de salle ne plaisantent
pas avec la morale. Nous n‟avions pas le droit de frayer avec le cleint, ni dedans, ni
dehors. Et, bien sûr, avec un numéro de french can can et la réputation de filles faciles
que les GI‟s avait faite aux françaises au retour de la Libération, ce ne fut pas de tout
repos ! ». Reno, bled champêtre, peuplé de vachers heureux de claquer leur paye au
casino tous les soirs. Nicole, une fois son numéro terminé, et les autres girls couchées et
bordées, s‟aventure alors dans les boites de jazz à l‟écoute de se qui se fait de mieux à
l‟époque. « C‟est là que j‟ai appris tous mes standards. Je traînais, je chantais Sinatra, le
spleen, tout ça ... Je ne dormais qu‟une nuit sur deux. J‟avais le jazz dans le sang alors
que toute mon enfance avait été bercée par Chopin, Liszt ... Allez savoir pourquoi ! »
À la fin de son contrat de trois mois, Nicole prend la route de New York pour aller
travailler la danse moderne. Deuxième tournée avec Marceau entre Boston, Détroit et ...
Chicago où Nicole, 300 dollars en poche, pose ses bagages et laisse repartir la troupe.
Après quelques jours de recherche, un agent lui dégote un contrat au « Play Boy Club »
de Chicago, la boîte la plus chic dont l‟agencement particulier exigeait que Nicole chante
à portée des clients, ceux-ci étant réunis autour du piano : « Les premiers soirs, c‟était
terrible, jamais on ne m‟avais regardée de si près. Je chantais en fermant les yeux ou en
fixant la ligne bleue des Vosges. Et, bien entendu, personne ne m‟écoutait. Finalement,
après quelques couacs, j‟ai pris le truc. » Côté tenue de soirée, les patrons du Play Boy
Club ne manquaient pas non plus de fantaisie : « Il voulaient m‟affubler d‟u costume de
Bunny.
Vous me voyez, derrière le piano, en petit lapin rose, avec deux grandes oreilles ? Là,
j‟ai dit non ! Mais j‟ai été quitte pour me payer moi-même mes robes de scène et mes
bijoux. Une robe chaque soir, la ruine ! » Entre le tours de chant, pas question de rester
dans la salle. « Nicoli » et ses musiciens black – ces derniers accompagneront plus tard
Sarah Vaughan – étaient sommés de se retirer au vestiaire... Une blanche qui paote avec
trois blacks dans une boîte pour blancs ? Promiscuité impensable pour l‟époque ! « J‟ai
été convoquée et on m‟a priée de ne plus adresser la parole à mes copains black... Sinon,
c‟était la porte. Je me suis rebellée mais, il a bien fallu que je m‟incline. »
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Nicole s‟accroche dans cet univers hostile ...jusqu‟à la prochaine étape : le « Band Box »
de Denver. Cette fois, les 2 mètres carrés de la scène surplombent le bar. Autrement dit,
Nicole s‟égosille à plus de deux mètres de hauteur tandis qu‟enbas, du côté des chopes de
bière, les clients redressent la tête dans l‟espoir d‟apercevoir les dessous d‟une petite
française. « Pas de chance pour eux : je me produisais en robe longue. Disons-le, c‟était
un bar pour célibataires, sauf qu‟il n‟y avait pas de dames seules, dieu merci. Mais là,
vraiment, j‟étais au bout du rouleau. J‟avais 24 ans, Noël approchait, le mal du pays, ô
Maman ... »
Retour en France avec l‟urgence de « faire le point » : « Je n‟avais pas vraiment de plan
de carrière. Ou plutôt si. Il tenait sur un billet de théâtre : être sur scène. »
Les années soixante vont passer, douloureuses ; la comédie musicale de Raymond
Queneau, « Loin de Rueil » qui ne tient l‟affiche que trois mois ; un contrat chez
Fontana mais pas de tube à l‟horizon : « De 1961 à 1964, la rame ...Parfois, j‟avais si
peur d‟oublier le jazz ... si peur aussi qu‟on m‟oublie. Pour survivre : une télé tous les
six mois. Un petit contrat à l‟étranger. »
Les affaires reprennent en avril 1964 : Les « Folies Bergères » s‟envolent pour la Foire
Internationale de New York. Nicole qui n‟a pas la taille mannequin, se voit proposer un
numéro en solo. Histoire de ne pas perdre ses habitudes, à la fin du contrat, devinez
quoi ? Elle reste ! Apprendre, apprendre, apprendre encore et toujours. Et, au passage,
enregistrer quatre bossa-novas qu‟elle sortira en France chez Barclay : un flop.
Cependant, ces bossas ne tombent pas dans l‟oreille d‟un sourd. En 1966, Claude
Lelouch va faire son entrée dans sa vie, par l‟intermédiaire du parolier Pierre Barouh.
Le réalisateur, encore inconnu du grand public, réfléchit à son prochain film : l‟histoire
d‟un homme qui aimerait les voitures de course, et d‟une femme, jeune veuve, qui
aimerait ... les rythmes brésiliens. Mis dans la confidence, Pierre Barouh et Francis Lai,
les copains de traîne de Nicole, lui font écouter les Bossa-novas de leur copine. C‟est le
flash ! Lelouch s‟enthousiasme pour cette voix, un peu rauque, qui parle à son âme. Une
amitié inaltérable va naître en même temps qu‟un grand succès. « On s‟est retrouvés en
studio, avec Francis et Pierre, pour faire une maquette de la musique de « Un homme et
une femme », raconte Nicole. « Nous n‟aviona pas les paroles et il fallait faire très vite.
Alors, ma foi, pour combler l‟absence de texte, on chantait « dabadabada » parce que
« lalalalala », ça nous insupportait ! Et alors, je ne sais pas pourquoi, le « Dabadabada »
est devenu, sous la plume des journalistes, un « Shabadabada ». Qui a inventé ce « Sha »
qui n‟existe pas ? Toujours est-il que Lelouch est parti tourner avec notre maquette. Les
paroles ont été écrites ultérieurement. »
Toute la France fredonne sur sa voix, et bientôt, arrive un autre tube enregistré sous le
pseudonyme de Tuesday Jackson, à la demande expresse de Marcel Carné : « I‟ll never
leave you », musique du film « Les jeunes loups ». C‟est la fin des années de galère,
Nicole enchaîne les succès : « Vivre pour vivre », « Quand nous n‟aurons que la
tendresse » (premier prix d‟interprétation à la Rose d‟Or d‟Antibes), « Parlez-moi de
lui » et puis ... The Tube : « Une femme avec toi», en 1975, et « Téléphone-moi », un an
avant son premier Olympia en vedette. Pourquoi si tard ? « Parce qu‟on ne m‟a jamais
ouvert la porte », répond-elle sans amertume. « Ils n‟y croyaient pas. Pas plus Coquatrix
que les autres. Ils pensaient que ma façon de chanter était trop élitiste. Dans les années
60, je cherchais des auteurs capables d‟écrire des mots qui swinguent, comme Claude
Nougaro qui m‟a écrit « Sur un thème de Duke Ellington ». Mas ça n‟était pas du tout
dans l‟air du temps ! »
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Qu‟importe. Pour l‟instant, l‟Olympia 76 se présente devant elle, il s‟agit de ne pas le
rater. Nicole jette toutes ses forces dans la bataille, et touche aux sommets lorsque Paris,
debout, lui fait une ovation de plus d‟une demie heure ... Pourtant, une chose chagrine
encore la chanteuse. Elle se souvient des conseils que lui prodiguait le Mime Marceau :
« Tu as une très belle voix, mais tu ne laisses pas passer l‟émotion. Tu ne seras une
artiste accomplie que le jour où tu auras trouvé la clef du passage. » Cette clef, elle la
trouvera enfin dans la foulée de l‟Olympia, au cours d‟une „emission sur Europe 1, sous
le regard de Jean-Loup Dabadie, l‟un de ses paroliers fétiches : « Je brûlais de lui
montrer de quoi j‟étais capable. Il m‟avait fait un cadeau magnifique en écrivant « Au
revoir et merci », la seule chanson autobiographique de mon répertoire, avec laquelle je
finissais l‟Olympia. Cette chanson racontait fort joliment les années de galère qu‟il
m‟avait fallu traverser : « Pour les jours difficiles qui reviendront peut-être, les bravos
sont fragiles ...
Tout le monde prend des couloirs sans fenêtre pour aller décrocher la lune ... » Oui,
vraiment, j‟avais envie de le séduire. Or, ce jour-là, il est prévu que je chante
« L‟accident », une chanson tirée du film « Les choses de la vie ». Je n‟ai pas le temps de
répéter. J‟arrive dans le studio avec la partoche. Panique totale ! Je ne sais même pas
dans quelle tonalité je vais la chanter. Tant pis, je me lance et je rentre dans le scénario
de la chanson : engros, une femme dont l‟amant agonise dans ses bras. Elle est là, et elle
lui dit tout ce qu‟on dit à quelqu‟un qui est en train de mourir. Ensuite, il y a l‟hôpital,
la salle de réanimation, et elle qui reste là, derrière la porte, sans nouvelle. Passent les
minutes, et elle devine l‟issue fatale. Et alors, je vis la situation. Je suis cette femme
derrière la porte. Et je craque ! Je craque comme ça ne m‟était jamais arrivé. Je me vois
pleurer, la boule dans la gorge. J‟ai du mal à finir la chanson. Dans le studio, les gens
pâlissent ! Et je m‟écroule dans les bras de Dabadie, en sanglotant : « Jean-Loup, je
trempe ta cravate, je trempe ta cravate ... » Si ça ne vaut pas trois Waterloo, ça !
Au cours de la tournée d‟hiver 1996 d‟est en ouest et du nord au sud de notre beau pays
de France, les spectateurs ont demandé à Nicole Croisille d‟enregistrer un nouveau
disque ; ce qu‟elle a fait dans le style « piano-voix » en sortant en 1997 l‟album « Nicole
Croisille...Une Femme ».
Nicole Croisille a fait le bonheur de ses fans en faisant une apparition remarquée en
2002 dans un numéro spécial de « Vivement Dimanche » consacré au Cirque d‟Hiver de
Paris, invitée par Michel Drucker. En effet, Nicole a participé plusieurs fois, dans cet
endroit mythique, à plusieurs galas de l‟Union des Artistes.
À la scène comme à la ville, Nicole Croisille incarne le courage et la grâce. Le courage
d‟une fonceuse que rien n‟arrête, et la grâce d‟une interprète au faîte de son art, à l‟aise
dans tous les styles, subtile dans tous les registres et ... tellement authentique.
(Décembre 20020
(Biographie rédigée par Richard SORBET d’après le livret de l’album « Croisille ... Une
Femme » et actualisé)
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