DOCUMENTAIRE : UKULÉLÉ FEVER - toxic

DOCUMENTAIRE : UKULÉLÉ FEVER Sur la vague du ukulélé 1/ SYNOPSIS Il est peu encombrant, léger, pratique, pas cher c’est devenu le compagnon idéal de l’interprète comme du compositeur. Nous nous invitons au « Ukulélé Boudoir », festival aux Trois Baudets (Paris) pour nous lancer à la recherche de l’origine de ce phénomène de mode et découvrir comment le ukulélé est passé du rang des instruments traditionnels à celui de star de la scène actuelle. Le marché du ukulélé a explosé en quelques années TOXIC-MUSIC
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2/ SOMMAIRE 1/ SYNOPSIS 2/ SOMMAIRE 3/ NOTE D’INTENTION 4/ NOTE DE RÉALISATION 4.0/ Cadre du tournage et illustration 4.1/ Interviews de spécialistes du ukulélé 4.2/ Artistes rencontrés 4.3/ Musique 5/ PHOTOS 6/ FILMOGRAPHIE DU RÉALISATEUR 7/ FILMOGRAPHIE DU PRODUCTEUR 3/ NOTE D’INTENTION Depuis 2006, les indicateurs montrent un marché du Ukulélé en croissance constante. Comme si subitement, les médias, les artistes, le public redécouvraient peu à peu un instrument désuet qui jadis semblait associé au traditionnel souvenir bon marché ramené de vacances paradisiaques à l’autre bout du monde. Si Marilyne Monroe ou Elvis s’étaient affichés avec un ukulélé dans les années 50, il n’y avait pas de quoi bouleverser l’hexagone. En 2006, le Ukulélé Orchestra of Great Britain reprenait le plus gros standard de Nirvana sur la BBC devant des millions de spectateurs. Si le groupe armé de 7 ukulélés a revisité les classiques et participe désormais aux plus gros festivals, ils fêtent cette année leurs 25 années au service de l’instrument. Il faut donc chercher ailleurs cet engouement récent pour la petite guitare soprano à 4 cordes. C’est à partir de 2006 que des musiciens français s’essaient à l’instrument, Mathias Malzieu (Dionysos) écrit « La femme Chocolat » sur un Ukulélé, qui sera nominé aux Victoires de la Musique en 2006. Puis c’est Julien Doré qui en fait un ingrédient de son style décalé. Une bonne reprise d’un hit au ukulélé devient un must, et certains artistes comme Cabrel ou Fersen revisitent leur propre répertoire avec cet instrument. On prétend que grâce à son timbre délicat et sa faible puissance, il mettrait en valeur la voix… Mieux, grâce à son jeu facile, ses 4 cordes, son registre medium étriqué, il ne garde que l’essence de la chanson ! Après avoir été branché, le « Uke » devient « mainstream » quand Universal ressort « Somewhere over the rainbow » interprété au ukulélé par un géant hawaïen mort 13 ans auparavant… succès immédiat. Nous décidons d’enquêter auprès des ukulélistes, des luthiers, des passionnes pour comprendre comment se déclenche un phénomène de mode. L’objectif est la réalisation d’un documentaire de 52’, filmé en Haute définition au format Broadcast (1080x1920p) destiné à la télévision. Des traductions en anglais sont envisagées. 4/ NOTE DE RÉALISATION 4.0/ CADRE DU TOURNAGE ET ILLUSTRATION Le 15 et 16 avril 2011, les aficionados du Ukulélé se retrouvent aux 3 Baudets à Paris lors d’un festival qui leur est dédié en présence notamment d’un des ambassadeurs du phénomène, le canadien James Hill. C’est l’occasion de rencontrer des artistes qui ont fait de cet instrument, un ingrédient capital dans la recette de leur succès, mais également des fabricants, luthiers, importateurs venu présenter leurs modèles. Avec eux nous cherchons les causes de ce succès foudroyant : eBay et son vide grenier ? YouTube et ses raretés ? le développement des réseaux communautaires ? Il semble que l’ère numérique soit pour quelque chose dans cette résurrection. On nous indique des gens à rencontrer absolument pour en savoir plus : Cocoon, Thomas Fersen, Mathias Malzieu, Julien Doré ou même Joseph Racaille, Syl’Uke, Danton Uke… 4.1/ INTERVIEWS DE SPÉCIALISTES DU UKULÉLÉ
JAMES HILL (Canada), ukuléliste et conferentier spécialiste du ukulélé PHILIPPE KROUK, ukuléliste, ukuléléboudoir.com JANO, ukuléliste, ukuléléboudoir.com RENO RUDLOFF, ukuléliste, ukuléléboudoir DANTON UKE, ukuléliste, ukuléléboudoir, Hot Club de Pom Pom Gali CYRILE LEFEVRE, ukuléliste, ukulélé club de France JOSEPH RACAILLE, spécialiste du ukulélé KEN MIDDLETON (Uk), Importateur SAM HUTCHINGS (USA), Luthier SYLVAIN ENJOUBAUT (F, Ile d’Oleron), Luthier PASCAL NEGRE, PDG de Universal Music group, Maison de disques 4.2/ ARTISTES RENCONTRÉS De nombreuses interviews d’artistes ont été réalisées au Ukulélé Boudoir festival en avril 2011. Ce rassemblement unique en France nous a permis d’échafauder le documentaire, de lancer les pistes de notre enquête. Les références indiquées par certains artistes ont été sollicitées a leur tour pour une interview et c’est ainsi que nous avons pu organiser des rencontres avec THOMAS FERSEN ou COCOON, lors de leur passage a Toulouse. COCOON (F) : Mark Daumail et Morgan Imbeaud ‐ pop, Barclay/Universal – Festival a Toulouse APRIL SHOWER (F) : pop, autoproduit – Loges de festival THOMAS FERSEN (F) : chanson, Label Tot ou Tard – Loges du Bikini, Ramonville EDDY LA GOYATSH (F) : chanson, autoproduit – Bar parisien JAMES HILL (CA) : Instrumental folk, independant – Loges de festival AGATHE (F) : chanson, autoproduit – Bar parisien LES CHAUDS LAPINS (USA) : folk, Festival Ukulélé boudoir, Paris TONY TRUANT (F) : Ukulélé, guitariste de DOGS, WAMPAS – Loges DOROTHEE DE MONTFREID (F) : Ukuléliste – festival JULIEN DORE (F) : artiste pop (interview a programmer) 4.3/ MUSIQUE Les extraits de concerts choisis correspondent a certaines interviews d’artistes réalisées : JAMES HILL (CA) : Cafe concert a Paris UKULÉLÉ ORCHESTRA OF GREAT BRITAIN (UK) : concert a Paris COCOON (F) : Ramonville, festival des curiosité du Bikini, loges « Chuppy » version spéciale pour cette interview APRIL SHOWER (F) : Festival Ukulélé boudoir, Paris UKULÉLÉ BOUDOIR (F) : Festival Ukulélé boudoir, Paris EDDY LA GOYATSH (F) : Cafe concert a Paris AGATHE (F) : Cafe concert a Paris, vidéo clip « New born » LES CHAUDS LAPINS (USA) : folk, Festival Ukulélé boudoir, Paris JP NATAF (F) : folk, Festival Ukulélé boudoir, Paris KEN MIDDLETON (UK) interprété « amazing grace » DANTON UKE (F) : session Livequest, Paris HOT CLUB DE POM POM GALI (PPG) : vidéo clip « little boxes », Paris AAA (F) : vidéo clip UKULÉLÉ SMALL BAND 2 NASES (F) : concert a Cerny, 21/6/2007 ONE DAY ONE SONG (F) : vidéo clip « Seven nation Army » et « The man who sold the world » IZ (USA) : vidéo clip « Somewhere over the rainbow » ‐ VISA Universal Music / Mercury JULIEN DORE (F) : extrait des sélections de « La nouvelle star » ‐ VISA M6 5/ PHOTOS EDDY LA GOOYATSH KEN MIDDLETON (UK) LES CHAUDS LAPIN (USA) KROUK COCOON THOMAS FERSEN JAMES HILL (Canada) AGATHE (F/UK) APRIL SHOWER SAM HUTCHINGS (USA) 6/ FILMOGRAPHIE DU RÉALISATEUR Réalisateur et scénariste : Gwarr GREFF Gwarr GREFF a réalisé différents documentaires et vidéoclips1. Récemment, il s’est distingué par plusieurs documentaires court‐métrage (10’) sur le projet « One Day One Song », qui ont reunis des dizaines de ukulélistes autour d’un morceau, et qui ont atteint en quelques jours des dizaines de milliers de vues sur internet. Gwarr GREFF s’est également imposé comme le scénariste naturel de ce documentaire par sa connaissance du milieu . Son parcours : 
de 1996 à 2008, directeur de SASKWASH, une association de développement d’artistes 
directeur de plusieurs festivals (Les Bruits Défendus, Les Sélénites, All access, Découvertes d’Effervessonne) 
producteurs de plusieurs albums ou maxi d’artistes parmi lesquels FBI, ENOLA, JACK THE RIPPER, BIG SIR, LISA PAPINEAU 
de 1995 à 2003, membre du Jury des Polysonnies Ile de France, du Printemps de Bourges, membre de l’ADIAM 91 
de 2003 à 2005, président fondateur du Réseau Départemental REZONNE (91), réseau pour les musiques actuelles en Essonne. 
membre de la SACEM, de la SPPF, membre fondateur de la FLIM (Fédération des Labels Indépendants de Midi Pyrénées) Voici la liste des documents audiovisuels réalises par Gwarr GREFF : 1
vidéoclips pour BIG SIR (USA), XTRL CTRL(F), TOC, SAIDI, FLASTI…actuellement il travail sur 2 clips du HOT CLUB DE POM POM GALI, groupe de Ukulélistes
Documentaires
© Nouvelle economie de la musique : 52’ (TOXIC-MUSIC, tournage de mars à octobre 2011)
© Ukulélé fever : 52’ (TOXIC-MUSIC, tournage avril à septembre 2011)
© Le Flamenco, entre tradition et renouveau : 52’ (TOXIC-MUSIC, tournage mai à septembre 2011)
© Ukulélé Boudoir, le Festival : 10’ (UKULÉLÉBOUDOIR.COM, 2011)
© Les Sélénites voient rouge : 20’ (SASKWASH, 2004) - http://youtu.be/LjaQyuyOn6Q
© Festival les Bruits Défendus : 20’ (SAKWASH, 2003)
Séries
© Livequest : 20’ (LIVEQUEST.FR, 40 épisodes, hebdomadaire depuis octobre 2010) – http://livequest.fr
© One Day One Song : 15’ (UKULÉLÉBOUDOIR.COM, 2 épisodes, 2010/2011) - http://youtu.be/hyiukIcDgyE
 Café numériques : 52’ (A FLEUR DE ROCK, 3 épisodes, conférences sur la musique 2010)
 Ritmo Live : 26’ (TELESSONNE, 2 épisodes, 2007) - http://youtu.be/cclZ6pLV0HY
Animations, teasers, captation, authoring
 Festival Rio Loco (MAIRIE DE TOULOUSE, film partenaire, programmes, 2009/2010/2011) - http://youtu.be/C6HyyEEzF2A
 Yves Rechteiner, Concert a la Dalbade (2 clips extraits du concert a Toulouse les Orgues! 2010)
 Live DVD : And also the trees (AndAlsoThêtrees, 12 titrès, 2011)
 Live DVD : Chorale Michelet (12 titrès, 2009/2010/2011)
Réalisation de vidéoclips :
© HOT CLUB DE POM POM GALI : Little Boxes/On the Beach at Waikiki (2011)
© BIG SIR : The pistol chaser (Gwarr & Simon Saad, 2003) - http://youtu.be/Obk7Cu9puM4
© HILIGHT TRIBE : Live at Les Sélénites (Gwarr, 2004) - http://youtu.be/EyqJ3C-I0x8
© XTRL CTRL : choi young (Gwarr & Pétér Scerba, 2005) - http://youtu.be/0WpuQLiTH4k
© SAIDI : Le loup dans la bergerie (Gwarr & Simon Saad, 2007) - http://youtu.be/A6rdeeUTV2c
© FLASTI : 91150 raisons d'le dire (Gwarr & Simon saad, 2007) - http://youtu.be/A6rdeeUTV2c
© T.O.C : Sauvâge/tout ce qui nous tue (Gwarr & David Goguet, 2007) - http://youtu.be/RRNPGjxwIAQ
7/ FILMOGRAPHIE DU PRODUCTEUR ©
NOUVELLE ECONOMIE DE LA MUSIQUE Format : 52’ 16/9 HD numérique Production : TOXIC‐MUSIC ‐ Réalisateur : Gwarr GREFF Tournage : mars à octobre 2011, Toulouse, Paris Peut‐on sortir de la crise qui frappe les producteurs de disques? Quels seront les moyens futurs pour consommer, produire, créer de la musique ? Comment profiter des nouvelles technologies et nouveaux médias, comment leur survivre ? Agrémenté de nombreux témoignâges d’artistes internationaux, de représentants de Labels, et illustre d’extraits de concerts dans des lieux varies, ce documentaire nous emmène en quête du nouveau modèle économique du monde de la musique.
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UKULÉLÉ FEVER (Sur la vague du Ukulélé) Format : 52’ 16/9 HD numérique Production : TOXIC‐MUSIC / UKULÉLÉ BOUDOIR‐ Réalisateur : Gwarr GREFF Début du tournage : 15 avril 2011, Paris Il est peu encombrant, léger, pratique, pas cher c’est devenu le compagnon idéal de l’interprète comme du compositeur. Nous nous invitons au « Ukulélé Boudoir » pour nous lancer à la recherche de l’origine de ce phénomène de mode et découvrir comment le ukulélé est passé du rang des instruments traditionnels à celui de star de la scène actuelle. ©
FLAMENCO, ENTRE TRADITION ET RENOUVEAU Format : 52’ 16/9 HD numérique Production : TOXIC‐MUSIC ‐ Réalisation : Gwarr GREFF ‐ Journaliste : Manuela Papino Début du tournage : mail 2011, Toulouse Classée au patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’UNESCO il y a quelques mois, le Flamenco a su intégrer 3 mémoires de l’Andalousie, la musulmane, savante et raffinée, la juive mélancolique et la gitane, rythmique, populaire. Il demeure ancré dans les traditions, toujours populaire et respecté, mais continue son évolution au gré des rencontrés et des courants artistiques.