Arthur H en concert à Cahors
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Arthur H en concert à Cahors
DOSSIER DE PRESSE Arthur H en concert à Cahors Mardi 27 septembre - 9h Les Docks de Cahors Arthur H en concert à Cahors communiqué de presse Sommaire >> communiqué de presse Page 3 >> Arthur H, un nouvel album Pages 4 & 5 >> première partie : Ornette Page 6 CONTACTS PRESSE / DIRECTION DE LA COMMUNICATION - VILLE DE CAHORS Céline JULIEN - directrice de la communication 05 65 20 87 07 // [email protected] Emmanuelle LABRUYERE - chargée de communication 05 65 20 87 12 // [email protected] Fax : 05 65 20 87 09 Mail communication : [email protected] Arthur H en concert à Cahors communiqué de presse Chaque saison, la Municipalité met tout en œuvre pour que la programmation culturelle soit de haute qualité et permette également de proposer à Cahors des têtes d’affiche comme dans n’importe quelle grande ville de France. L’élan, donné il y a trois ans, continue de porter ses fruits avec la venue, après Moriarty, les Têtes Raides, Gotan Project, Yann Tiersen, Philippe Katherine ou encore Diam’s, d’une nouvelle tête d’affiche qui n’était pas prévue et qui se produira aux Docks de Cahors : Arthur H !!! L’artiste français, qui sort un nouvel album, Baba Love, ne s’était jamais produit à Cahors. Cette nouvelle date permet d’enrichir l’offre de la saison 2011 - 2012 du premier trimestre car le concert de Cocoon, prévu initialement le 19 novembre, a du être reporté en 2012. Mais la saison culturelle fait d’ores et déjà le plein, avec plus de 700 abonnements vendus, 1 200 personnes qui ont déjà acheté leur billet pour assister à l’un des deux concerts de Zebda le 14 octobre... ARTHUR H - Vendredi 25 novembre à 21h - Les Docks Points de vente Les Docks, allées des Soupirs - Cahors Tel 05 65 22 36 38 Théâtre de Cahors, place Mitterrand - Cahors Tel 05 65 20 88 60 >> Plein tarif : 15 € >> Tarif réduit : 12 €, étudiants, moins de 25 ans, chômeurs, RSA. Arthur H en concert à Cahors Un nouvel album Baba Love, un titre qui sonne comme une ode à l’amour Dans sa quarantaine, Arthur H nous livre un album aussi mature qu’audacieux. Mu par un désir impératif de liberté, il a largué les amarres, monté sa propre boîte de production et d’édition, changé de musiciens, confirmant sa réputation d’ovni musical, aventurier tous risques. La musique est là, sobre, élégante, moderne, classieuse. Pour ce faire, une équipe de choc. Le jeune Joseph Chedid à la guitare, une section rythmique infernale tenue par Aymeric Westrich et Alexander Angelov des groupes Aufgang et Cassius accompagnés de Vincent Taurelle, entre autre pianiste du groupe Air. Le tout réalisé par Arthur H et Derya Uzun, son compagnon de son. Enregistrement à la cosaque, sur bandes analogiques au Studio Black Box. Un Steinway, un Yamaha, un Vox Electra, l’orgue des Doors, Un Rhodes 1974 et un Mellotron antédiluvien, le sampler des sixties. Un son pur et organique, un espace musical libre où il fait bon s’abandonner. Arthur H se balade, il se perd et on le suit, toujours plus loin. Il nous livre la quintessence de ce qu’il sait faire le mieux, de la poésie avec de la musique. Pas de consensus, pas de faux-semblants, pas de sentimentalisme gratuit, juste une livraison immédiate d’émotions pures. Les ingrédients : de l’amour, de l’art, de l’humour, des voyages, du sexe. Équipe de choc, invités d’honneur. Jean-Louis Trintignant, qu’on ne présente plus, Saul Williams, chanteur poète américain considéré comme l’une des grandes figures du hip-hop soul, la délicieuse et très solaire Izia et la mystérieuse Claire Farah. >> suite... Arthur H en concert à Cahors Un nouvel album (…) La voix d’Arthur est complètement libérée, chaude, légère, vivante, passant sans difficulté du grave à l’aigu, avec une diction précise et efficace. La langue française vit et vibre dans le palais ultrasensible de notre French cow-boy. Comme dans Prendre corps, un poème fleuve de Ghérasim Luca, un délire sexuel porté à l’incandescence digne des meilleurs Gainsbourg. Ou encore L’Ivresse des hauteurs, un conte fantastique et mystique porté par les timbres hypnotiques de Trintignant et de H. Des mots qui sonnent, des mots qui claquent, en français comme en anglais. On n’a jamais entendu rapper Arthur avec une telle puissance sur Basquiat, un hip-hop funk-rock bâtard sur le peintre rock-star où sa voix se marie à la perfection avec celle du grand Saul Williams, un des inventeurs du slam new-yorkais. L’Homme du Monde a grandi et Adieu Tristesse semble loin derrière nous. Du coup, Baba Love nous communique une joie explosive, une quête du sentiment amoureux, un abandon heureux. C’est la Beauté de l’amour, l’Ivresse des hauteurs, l’Arc en ciel, un rayon de soleil, c’est BABA LOVE ! Melinda Brosse Arthur H en concert à Cahors première partie : Ornette Ornette ou comment une fille de l’air de l’empire austro-hongrois, italienne de surcroît, s’installe Porte de Bagnolet. C’est tout un roman, urbain et romantique, une pop sobre pleine de soul et mâtinée de groove qui nous embarque dans des voyages de nuit, lovés dans des chansons d’amour. Elle commence le piano à trois ans parce qu’elle aime quand le «tonnerre gronde» (les graves) et «la pluie tombe» (les aigus). Elle grandit dans les théâtres au gré des spectacles de ses parents comédiens. Puis c’est le conservatoire. Elle y fait la plupart de ses études musicales (prix de piano à 16 ans, solfège, analyse, histoire de la musique, écriture, orchestration, saxophone et percussions). A 15 ans, elle se tourne vers le jazz et exprime un véritable besoin d’improvisation et d’expression. Elle commence la musique improvisée, les big band et peaufine sa formation dans d’autres conservatoires : E.N.M. Montreuil, CNR Courneuve, Bill Evans Piano Academy. Aujourd’hui, Ornette, c’est Bettina Kee, membre du groupe Electric Mop, une sidewoman qui, après avoir collaboré avec Arthur H, Alain Bashung, Renan Luce et Micky Green, se lance dans son projet solo. Ses chansons, elle les a écrites en tournée, dans les camions, les avions, les trains, les halls de gare, les hôtels, les salles encore vides. Des blues principalement, qui devaient rester dans son ordinateur, mais l’envie de les chanter a pris le dessus. Elle a découvert… sa voix ! Remarquée en première partie de Yael Naïm à Jazz à la Villette en septembre, elle a confirmé son aisance et sa capacité à kidnapper le public à la Cigale en octobre en première partie de Cœur de Pirate. En passe de devenir une artiste incontournable, une révélation à découvrir sur scène en attendant son album dont la sortie est imminente...