Diseases subject to the Régulations 188 Maladies soumises au

Transcription

Diseases subject to the Régulations 188 Maladies soumises au
No. 25
1994, 69, 185-183
Organisation mondiale d elà Santé, Genève
World Health Organization, Geneva
24 JUNE 1994 a 69th YEAR
Deathsfrombreast cancer, 1991,
United Statesof America
Veterinary publichealth—
Control of Salmonella infections
Yellow-fevervaccinating centresfor international travel Amendmentstoi 991 publication _
Diseasessubject to the Régulations
6 9 'ANNÉE a 24 JUIN 1994
185
187
188
188
Décèspar cancerdusein, 1991,
Etats-Unisd'Amérique
Santépubliquevétérinaire—
LuttecontrelesinfectionsàSalmonella
Centresdevaccination contre lafièvrejaunepour lesvoyagesinternationauxAmendements àlo publication de 1991
MaladiessoumisesauRèglement
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187
188
188
Deaths from breast cancer
1991
Décès par cancer du sein
1991
U n ited S ta tes o f A m e r ic a . Breast cancer is the most
commonly diagnosed cancer and the second leading
cause o f cancer death among w om en in the United States
of America. For 1990, the National Cancer Institute re­
ported that the incidence o f breast cancer was approxi­
mately 109 per 100 000 women. T he annual incidence o f
breast cancer among w om en increased by approximately
52% during 1950-1990, while the death rate increased by
4% during the same period. This report summarizes epi­
demiological information about deaths from breast can­
cer in 1991 and describes mortality trends during 19801991.
W omen for whom the underlying cause o f death was
breast cancer (International Classification o f Diseases, N inth
Revision, codes 174.0-174.9) were identified from publicuse mortality data tapes. D enom inators for rate calcula­
tions were derived from census population estimates.
Rates were direcdy standardized to the age distribution o f
the 1970 United States population and were analysed by
state, age group, year, and race. T o increase the precision
o f the rates presented, race was characterized only as
“white”, “black”, and “other”.
E ta ts -U n is d ’A m é r iq u e . Aux Etats-Unis d'Amérique, le cancer
du sem est le cancer le phis fréquemment diagnostiqué et vient en
deuxième position parmi les causes de décès par cancer chez la
femme. Selon l'Institut national du Cancer, l'incidence du cancer
du sein a été d ’environ 109 pour 100 000 femmes en 1990. Au
cours de la période 1950-1990, l’incidence annuelle de ce cancer
chez la femme a augmenté d ’environ 52%, le taux de décès
s'accroissant de 4% au cours de la m êm e période. Le présent
rapport récapitule les données épidémiologiques relatives aux
décès par cancer du sein en 1991 et indique les tendances de la
mortalité pendant la période 1980-1991.
In 1991, 43 583 women died from breast cancer; the
overall death rate was 27.0 per 10Q 000 women {Table 1).
T he death rate for black w om en (31.9) was 19% higher
than for white women (26.8). Rates for black women and
white women were 2.6 times and 2.2 times higher, respec­
tively, than that for women o f other races (12.4). Since
1981, this rank order o f death rates by race has been
consistent.
During 1980-1991, death rates for breast cancer
among white women remained constant, increasing less
than 1%. In comparison, from 1980 to 1991, rates for
black women increased by 21%, from 26.4 to 31.9 per
100 000 women, and rates for women o f other races
increased by 29%, from 9.6 to 12.4.
C’est en dépouillant les données de mortalité sur bandes
magnétiques à usage public que l’on a identifié les femmes dont
la cause initiale de décès était un cancer du sein (Classification
internationale des M aladies, Neuvième Révision, codes 174.0174.9). Pour le calcul des taux, on a utilisé com m e dénomina­
teurs des valeurs tirées d’estimations démographiques émanant
des services de recensement des Etats-Unis. Ces taux ont été
directement corrigés de la structure d'âge d’après la pyramide des
âges de 1970 et analysés par Etat, tranche d’âge, année et race.
Pour en accroître la précision, la race n ’a été définie que par
«blanche», «noire» ou «autre».
En 1991, 43 583 femmes sont décédées d ’un cancer du sein;
le taux global d e décès a été de 27,0 pour 100 000 femmes
{Tableau 2). Chez les femmes de race noire, le taux de décès
(31,9) était de 19% supérieur à celui des femmes blanches (26,8).
Chez les femmes noires et les femmes blanches, ce taux était
respectivement 2,6 e t 2,2 fois plus élevé que chez les femmes
appartenant à d ’autres races (12,4). Depuis 1981, les taux de
décès par race sont demeurés dans cet ordre.
Pendant la période 1980-1991, les taux de décès par cancer
du sein sont restés constants chez les femmes blanches, l'augmen­
tation étant inferieure à 1%. En revanche, de 1980 à 1991, ces
mêmes taux ont augmenté de 21% chez les femmes noires, pas­
sant de 26,4 à 31,9 pour 100 000 femmes, et de 29% chez les
femmes d’autres races, passant de 9,6 à 12,4.
185
WEEKLY EPIDEMIOLOGICAL RECORD, N *. 2 5 ,2 4 JUNE 1994 •
Table ] Number of breast caacer deaths" and age-adjusted death
RELEVE ÉPIDÉMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE, N * 2 5 ,2 4 J U IH 1994
Tableau 1 Nombre de décès par cancer du sein" et taux de décès corrigés de
rates11, by race1 and age group, United States of America,
1991
l'âge,bpar race* et par tranche d'âge, Etats-Unis d'Amérique, 1991
R ate-Toux
Race
Number of deaths
Age group (years) - Tranche d'âge (années)
Nombre de décès
Total
<50
3 *5 0
White— Blanche
Black-Noire
Other-A utre
38 250
4 809
519
26.8
319
12.4
5.7
9.1
3.7
92.0
102.1
39.0
Total
43 583<>
27.0
6.0
91.8
° lateim lim l (hsakatm of Oiseuses, Huufi Semm, codes 174 0-174 9. - Üossifiœlm mlemulmale ks MaUes, llemrne Simm, codes 174 0-174 9.
bFer 100 000 women, odiusled to die 1970 United States population - Pour 100 000 femmes, comgé en fonction de lo pyramide des âges eux Etats-Unis d'Aménqoe en 1970
cfo inaeose the precision of die rates presented, race wos cotegonzed only os 'white*, "bind*, and ‘ olhei* - Pout occioiiie lo precision des toux, lo race n'o été définie que pai les quoldicolds de iblonche>, «noire» et (autre»,
é Fixe deaths occulted among pesons of imltoovn race - Dans 5 cas, lo race était inconnue
In 1991, death rates for breast cancer were 15-fold
higher for women aged 50 years or over (91.8) than for
women aged less than 50 years (6.0) (Table i) . In both age
categories, death rates were higher for black w om en than
for white women and women o f other races.
Death rates varied from 17.6 In Hawaii to 35.9 in the
District of Columbia. Based on regional analysis, rates
were highest in the Northeast. For white women, death
rates ranged from 20.4 in Hawaii to 32.9 in N ew Jersey
and for women o f races other than white,1 from 14.5 in
Washington State to 39.6 in the District o f Columbia. For
women aged less than 50 years, rates ranged from 2.8 in
Alaska to 10.7 in the District of Columbia, and for
women aged 50 years or over, from 58.5 in Hawaii to
113.1 in N ew Jersey.
En 1991, les taux de décès par cancer du sein ont été 15 fois
plus élevés chez les femmes âgées de 50 ans ou plus (91,8) que
chez les femmes âgées de moins de 50 ans (6,0) (Tableau T). Dans
les deux cas, les taux de décès ont été plus élevés chez les femmes
noires que chez les femmes de race blanche ou autre.
Les taux de décès vont de 17,6 à Hawaï à 35,9 dans le district
de Columbia. L ’analyse par région montre que c’est dans le
Nord-Est que les taux ont été les plus élevés. Chez les femmes
blanches, ils vont de 20,4 à Hawaï à 32,9 dans le N ew Jersey et,
chez les femmes des autres races,1 ils vont de 14,5 dans l’Etat de
Washington à 39,6 dans le distria de Columbia. Chez les femmes
âgées de moins de 50 ans, les taux vont de 2,8 en Alaska à 10,7
dans le distria de Columbia et, chez les femmes de 50 ans ou
plus, de 58,5 à Hawaï à 113,1 dans le N ew Jersey.
M M W R E d itoria l N ote: T he findings in this report
indicate that, in 1991, death rates for breast cancer varied
substantially by race. These variations may reflect racespedfic differences in stage o f disease at diagnosis, surviv­
al rates, and prevalence o f risk factors for breast cancer.
For example, a report for 19902 (the most recent year for
which data are available) indicated substantial differences
in the 5-year relative survival rate for white women
(80.5%) compared with black women (64.1%). In addi­
tion, stage-specific data3 indicated that survival among
white women exceeded that for black women at all stages,
and among white women breast cancer was more likely to
be diagnosed at an earlier stage.
Established risk factors for breast cancer include fam­
ily history of breast cancer, history o f benign breast dis­
ease, prior history o f breast cancer, exposure to ionizing
radiation, early age at menarche, late age at menopause,
late age at first live birth, nulliparity, white race, and high
socioeconomic status. Because m any of these established
N o te d e la R éd a ctio n d u M M W R: Les observations rapportées
par le présent rapport indiquent qu’en 1991 les taux de décès par
cancer du sein ont fortement varié d’une race à l’autre. Ces
variations peuvent correspondre à des différences interraciales
concernant le stade de la maladie lors du diagnostic, le taux de
survie et la prévalence des facteurs de risque. Far exemple, un
rapport établi en 19902 (données les plus récentes) révèle l’exis­
tence de différences notables dans le taux relatif de survie à
5 ans chez les femmes blanches (80,5%) par rapport aux femmes
noires (64,1%). En outre, lorsqu’on ventile les données selon le
stade de la maladie,3 on constate qu’à tous les stades, la survie ;
chez les femmes blanches est supérieure à celle des femmes i
noires, le cancer du sein ayant en outre plus de chances d’être ;
diagnostiqué à un stade précoce chez les femmes blanches.
Les différences qui apparaissent dans les taux de décès par
Etat en 1991 peuvent provenir de faaeurs iels que la composition
raciale de la population, la situation socio-économique, la possi­
bilité de se faire dépister et traiter et l’utilisation effective de cette
possibilité. Par exemple, chez les fem m es n ’appartenant pas à la
race blanche, c'est dans le distria de Columbia que le taux a été le
plus élevé, 97% des habitantes appartenant à cene catégorie étant
noires, et c'est dans l’Etat de Washington qu'il a été le plus faible,
30% seulement des habitantes de cette catégorie appartenant à la
race noire.
Parmi les facteurs de risque de cancer du sein bien établis
figurent des antécédents familiaux de cancer du sein, des antécé­
dents de mastopathie bénigne, l'existence antérieure d'un cancer
du sein, l’exposinon à des rayonnements ionisants, la précocité
des règles, la survenue tardive de la ménopause, une primiparité
tardive, la nulliparité, l’appartenance à la race blanche et une
1Because of the small number of breast cancer deaths among women in
other racial/ethmc groups and small populations of these groups in some
states, the categories “black” and “other races” were combined for this
state-specific analysis
3 For women with breast cancer diagnosed during 1983^1989.
3 For women with breast cancer diagnosed during 1983-1987
1 En raison du faible nombre de décès par cancer du sein chez les femmes appartenant
à d’autres groupes raciaux ou ethniques et du fait que ces groupes sont très minori­
taires dans certains Etau, les categories «noire* et «autres races» ont été regroupées
pour cette analyse par Etat
3 Pour les femmes dont le cancer du sein a été diagnostiqué entre 1983 et 1989.
3 Pour les femmes dont le cancer du sein a été diagnostiqué entre 1983 et 1987.
Differences in state-specific death rates for breast can­
cer in 1991 may reflect factors that include racial compo­
sition, socioeconomic status, and access to and use o f
breast cancer screening and treatment. For example, for
races other than white, the rate was highest in the District
o f Columbia, where 97% o f the female residents in this
combined category were black, and low est in Washington
State, where 30% o f the female residents in this category
were black.
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WEEKLY EPIDEMIOLOGICAL RECORD, No. 2 5 ,2 4 JUIN 1 994 •
nsk factors are not alterable, secondary prevention is the
current strategy for reducing mortality associated with
breast cancer.
Programmes to reduce breast cancer mortality should
emphasize the role o f routine mammography screening to
detect breast cancer at earlier, more treatable stages. The
importance o f this approach is underscored by findings
indicating a 5-year relative survival rate o f 93.2% for
women with local disease compared with 18.2% for
women with distant disease. Randomized clinical trials of
breast cancer screening demonstrate an approximately
30% reduction in mortality for women aged 50-69 years;
however, there has been no statistically significant de­
crease among women aged 40-49 years. For women aged
50 years or over, routine screening with mammography
and clinical breast examination has been recommended
every 1-2 years.
A national health objective for the year 2000 is to
reduce breast cancer deaths to no more than 25.2 per
100 000 women (baseline: 27.2 in 1987); specific age,
racial/ethnic, and socioeconomic groups have been tar­
geted for increases in screening. Recent results o f the
Behavioral Risk Factor Surveillance System indicate that,
in 1992, a median o f 56% o f women aged 50 years or over
reported having had a mammogram and clinical breast
examination within the preceding 2 years. Based on the
rapid increases in screening during the 1980s, breast
cancer death rates could be reduced by the m id-1990s.
RELEVÉ ÉPIDÉMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE, N ' 2 5 ,2 4 JUIN 1994
situation socio-économique élevée. Comme nombre de ces fac­
teurs ne sont pas modifiables, c’est sur la prévention secondaire
qu’est fondée la stratégie actuelle de réduction de la mortalité par
cancer du sein.
Dans les programmes qui visent à réduire la mortalité par
cancer du sein, il importe de privilégier le dépistage par mammo­
graphie systématique afin de pouvoir déceler le cancer du sein à
un stade précoce, plus facile à traiter. On a constaté que le taux
relatif de survie à 5 ans des femmes présentant un cancer localisé
était de 93,2% contre 18,2% pour celles dont la maladie avait déjà
diffusé, ce qui fait ressortir l’importance de cette approche. D es
essais cliniques randomisés portant sur le dépistage du cancer du
sein montrent que chez les femmes âgées de 50 à 69 ans, on
obtient une réduction de la mortalité d ’environ 30%; en revan­
che, chez les femmes de 40 à 49 ans, la réduction n ’est pas
statistiquement significative. Chez les femmes âgées de 50 ans ou
plus, le dépistage systématique par mammographie et palpation
des seins est recommandé tous les 1 à 2 ans.
U n objectif national a été fixé pour l’an 2000, à savoir de
ramener la mortalité par cancer du sein à 25,2 pour 100 000
femmes au maximum (taux de référence: 27,2 en 1987); il est
également prévu d’accroître l’effort de dépistage dans certains
groupes bien définis par leur âge, leur appartenance raciale ou
ethnique et leur situation socio-économique. D ’après de récentes
observations du Système de surveillance des facteurs de risque
comportementaux, la proportion médiane des femmes âgées de
50 ans ou plus et ayant subi une mammographie ou un examen
clinique des seins dans les 2 années précédentes se situait à 56%
en 1992. Si l'on se base sur l'augmentation rapide du dépistage au
cours des années 80, la courbe des décès par cancer du sein
devrait s’infléchir à partir du milieu des années 90.
(Based on: Morbidity and Mortality Weekly Report, 43,
N o. 15, 1994; U S Centers for Disease Control and Pre­
vention.)
(D ’après: Morbidity and Mortality Weekly Report, 43, N* 1-5,
1994, U S Centers for Disease Control and Prevennon.)
Veterinary public health
Control of Salmonella infections
Santé publique vétérinaire
Lutte contre les infections à Salmonella
Following the increase in Salmonella infections in humans
in many countries and suggestions made by the Federal
Ministry o f Health, Germany, the W HO Veterinary Pub­
lic Health U nit organized a Consultation on the Control
o f Salmonella Infections in Animals in Jena, Germany, on
21-26 November 1993.
Recent developments on patho-immunogenesis, diag­
nostics, epidemiology, and control of Salmonella infec­
tions and contamination in animal producnon were re­
viewed. Pamcular attention was paid to S. emeritidis con­
sidering its current major impact on poultry and poultry
products, trade, and the related upsurge in related Salmo­
nella cases in humans.
Participants stressed the importance and efficacy o f
programmes for the control of Salmonella infections in
humans which start at the preharvest level of production
o f food of animal origin.
Results of the application o f available biologicals for
Salmonella control in animals have shown that Salmonella
infections in poultry and other animals can be effectively
reduced by using live and inactivated vaccines. Vaccina­
tion must always be considered as a complement to an
overall control programme which should include strict
hygiene measures and management practice.
The participants recommended the following:
Suite à l’augmentation des infections à Salmonella chez l’hom m e
dans de nombreux pays et à des suggestions formulées par le
Ministère fédéral de la Santé d’Allemagne, l’unité de la Santé
publique vétérinaire de l’OMS a organisé une consultation sur la
lutte contre les infections à Salmonella chez l’animal à Iéna,
Allemagne, du 21 au 26 novembre 1993.
Les récents développements de la patho-immunogenèse, du
diagnostic, de l’épidémiologie et de la lune con n e les infections à
Salmonella et contre la contamination des produits animaux ont
été examinés. On s’est particulièrement intéressé à 5 . enteritidis
compte tenu de l'importance de son impact actuel sur la volaille et
les produits dérivés, le commerce, et la recrudescence des cas
d ’infecuons à Salmonella chez l’homm e.
Les participants ont souligné l’im portance et l’efficacité des
programmes de lutte contre les infections humaines à Salmonella
qui commencent à un stade précoce (avant la récolte ou l’abat­
tage) de la production des aliments d’origine animale.
Les résultats de Tutüisation des produits biologiques actuels
dans la lutte contre Salmonella chez l’animal ont montré que les
infections à Salmonella chez les volailles et les autres animaux
peuvent être efficacement réduites grâce à des vaccins vivants et
des vaccins inactivés. La vaccination doit toujours être envisagée
en complément d ’un programme global de lutte comportant des
mesures d'hygiène strictes et des pranques de gestion rigoureuses.
Les pamcipants ont formulé les recommandations suivantes:
Les vaccins inactivés doivent être administrés par voie paren­
térale. Il existe des vaccins vivants buvables à base de Salmo­
nella formes rough et de souches auxotrophes de Salmonella, et
d’autres mutants atténués sont1en cours de développement.
Les vaccins vivants doivent:
- être sans danger et efficaces pour l’espèce cible, les autres
animaux non visés, et l’homme;
|
- être stables sur le plan génétique et pouvoir être distingués
des souches sauvages;
Inactivated vaccines must be administered by the par­
enteral route. Orally administered live rough and
auxotrophic Salmonella vaccines are available and
other attenuated mutants are being developed.
Live vaccines must:
- be safe and efficacious for the target species, other
non-target animals, and humans;
- be genetically stable and distinguishable from
wild-type strains;
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