Novembre - Sustainable Business Associates
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Novembre - Sustainable Business Associates
THE DelTAreview an SBA Publication Year 3, Issue 31. November 2006 INDUSTRY • ENVIRONMENT • MEDITERRANEAN Dear Readers, Corporate Social Responsibility (CSR) is a concept which encourages companies to integrate social, environmental and economic concerns in their activities and their interactions with their stakeholders on a voluntary basis. The concept was institutionalised in 2002 during the World Earth Summit in Johannesburg with the participation of the World Business Council for Sustainable Development (WBCSD). In 1999, the SecretaryGeneral of the UN, Kofi Annan, instigated the Global Compact of 1999 which aims to promote civic responsibility within companies implicated in globalisation. The implementation of a CSR policy implies real changes in governance which companies do not seem to want to adopt yet. At best, CRS is used by companies as a means of improving their public image or as a tool for negotiation with trade unions. Moreover, CSR remains a western concept which finds difficulty in being integrated in emerging southern countries, in particular in the Maghreb and Mashreq. In order for CSR to truly become a global compact as seen by UNEP, it is important to integrate local, cultural, social and economic dimensions. CONTENTS/SOMMAIRE DOSSIER (CORPORATE SOCIAL RESPONSIBILITY) What is Corporate Social Responsibility (CSR)? - p. 2 CSR and Development - p. 4 ECONOMY / POLITICS L'Algérie veut peupler ses zones semi-arides - p. 7 INDUSTRY Gazprom explores North Africa - p. 8 CLEANER PRODUCTION The birth of a quieter, greener plane - p. 9 TECHNOLOGY New Technology Turns Food Leftover into Electricity - p. 10 ENERGY L'Egypte ouvrira sa première centrale nucléaire dans 10 ans - p. 11 ENVIRONMENT Sacs plastiques bio-dégradables - p. 12 OTHER NEWS AND UPCOMING EVENTS Fair Trade Incentives Through Ecolabelling - p. 14 Chères lectrices, chers lecteurs, La Responsabilité Sociale ou Sociétale de l'Entreprise (RSE) est un concept qui incite les entreprises à intégrer les préoccupations sociales, environnementales, et économiques dans leurs activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire. Ce concept a été institutionnalisé en 2002 lors du Sommet de la Terre à Johannesburg avec la participation du World Business Council for Sustainable Development (WBCSD). En 1999 déjà, le Secrétaire Général de l'ONU, Kofi Annan, a été l'instigateur du Pacte Mondial de 1999 qui vise à l'émergence d'une culture d'entreprise s'inscrivant au cœur de la stratégie économique. La mise en œuvre d'une politique de RSE implique un réel changement de gouvernance que les entreprises ne semblent pas encore vouloir adopter. Au mieux, la RSE est utilisée par les entreprises comme un moyen pour soigner leur image de marque et comme un outil de négociation avec les syndicats. De plus, la RSE reste un concept occidental qui peine à s'imposer dans les pays émergent du Sud notamment dans les pays du Maghreb et du Machreq. Pour que la RSE devienne ce véritable pacte global souhaité par le PNUE, il est important d'intégrer les dimensions locales, culturelles, sociales et économiques. WITH THE SUPPORT OF: -1- WHAT IS CORPORATE SOCIAL RESPONSIBILITY (CSR)? Qu'est-ce que la responsabilité sociale des entreprises? La responsabilité sociale des entreprises (RSE) est aussi connue sous diverses autres appellations : responsabilité des entreprises, reddition de comptes des entreprises, éthique des entreprises, conscience sociale des entreprises, durabilité, gérance, triple bilan et entreprises responsables, pour n'en nommer que quelques-unes. La RSE est un concept en pleine évolution pour lequel il n'existe pas, à l'heure actuelle, de définition universellement acceptée. Elle est généralement interprétée comme étant la façon dont les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales et économiques à leurs valeurs, à leur culture, à leur prise de décisions, à leur stratégie et à leurs activités d'une manière transparente et responsable, et donc la façon d'instaurer des pratiques exemplaires, de créer de la richesse et d'améliorer la société. Le World Business Council for Sustainable Development décrit la RSE comme étant la contribution de l'entreprise au développement économique durable. Fondée sur le respect des lois et des règlements, elle englobe ordinairement des engagements et des activités qui vont au-delà des exigences juridiques, notamment en matière : · · · · · · · · · · · · de gouvernance et d'éthique de l'entreprise de santé et de sécurité de gérance de l'environnement de droits de la personne (y compris les droits fondamentaux dans le domaine du travail) de gestion des ressources humaines de participation, de développement et d'investissement communautaires d'implication et de respect des autochtones de mécénat d'entreprise et de bénévolat des employés de satisfaction de la clientèle et de respect des principes de concurrence loyale de mesures anticorruption de reddition de comptes, de transparence et de production de rapports sur le rendement de relations avec les fournisseurs, tant pour les chaînes d'approvisionnement niveau national que pour celles à l'étranger. Ces éléments de la RSE sont souvent reliés et interdépendants et s'appliquent aux entreprises, peu importe l'endroit où elles exercent leur activités. Puisque les entreprises jouent un rôle essentiel dans la création d'emplois et de richesse dans la société, la RSE constitue une préoccupation centrale de gestion. Elle incite les entreprises à être proactives dans la gestion des risques et à tirer parti des occasions, surtout à l'égard de leur réputation et de la mobilisation générale de leurs parties prenantes. Ces dernières peuvent comprendre les actionnaires, les employés, les clients, les collectivités, les fournisseurs, les gouvernements, les organisations non gouvernementales, les organisations internationales et d'autres qui sont touchés par les activités de l'entreprises. Avant tout la RSE est une question de rendement : il s'agit d'aller au-delà des mots pour déboucher sur des gestes et des impacts sociétaux efficaces et observables. La production de rapports sur le rendement fait partie intégrante du comportement transparent, responsable - et par conséquent, crédible - de l'entreprise. Le risque de problèmes est considérable lorsque les parties prenantes d'une entreprise croient que celle-ci ne fait que se livrer à un exercice de relations publiques et qu'elle n'est pas en mesure de démontrer la prise de mesures concrètes qui procurent des avantages sociaux et environnementaux réels. Source: strategis.ic.gc.ca -2- BENEFITS OF CSR Avantages possibles de la mise en œuvre d'une approche de la Responsabilité Sociale de l'Entreprise Voici une liste partielle des principaux avantages possibles de l'instauration de la RSE : · Une prévision et une gestion améliorées d'un éventail toujours plus grand de risques. Une gestion efficace des risques sociaux, environnementaux, juridiques, économiques et autres, dans un marché de plus en plus complexe, avec une surveillance plus étroite et l'examen minutieux des activités de l'entreprise par les parties prenantes, peut améliorer la sécurité de l'approvisionnement et la stabilité générale des marchés. · Une meilleure gestion de la réputation. Les organisations qui connaissent un bon rendement au chapitre de la RSE peuvent se bâtir une réputation, alors qu'une piètre performance à cet égard risque, lorsqu'elle est exposée au grand jour, de réduire leur valeur et celle de leurs marques. · Une plus grande facilité à recruter, à former et à garder le personnel. Elle peut être la conséquence directe de la fierté suscitée par les produits et les pratiques de l'entreprise ou de la mise en place de meilleures pratiques sur le plan des ressources humaines, comme des politiques favorables à la famille. Elle peut aussi découler indirectement de programmes et d'activités qui améliorent le moral et la loyauté des employés. · Une amélioration de la compétitivité et du positionnement sur le marché. Elle peut se produire grâce à la différenciation et à l'innovation aux chapitres de l'organisation, des processus et des produits. De bonnes pratiques de RSE peuvent aussi faciliter l'accès à de nouveaux marchés par la certification (exemple : ISO). · Une efficience opérationnelle et des économies accrues. Elles résultent, en particulier, d'améliorations apportées à l'efficience qui ont été repérées grâce à une approche systématique de la gestion qui vise notamment le amélioration constant. Ainsi, en évaluant les aspects environnementaux et énergétiques d'un procédé, on peut découvrir des occasions de transformer des flux de déchets en sources de revenus et de réduire la consommation globale d'énergie. · Une capacité accrue d'attirer et d'établir des relations efficaces et efficientes avec les maillons de la chaîne d'approvisionnement. Les entreprises aux vues similaires peuvent établir des relations d'affaires à long terme qui s'avèrent profitables. Les grandes sociétés peuvent inciter des entreprises plus petites avec qui elles font affaire à instaurer une approche de la RSE. Par exemple, certains grands constructeurs d'automobiles insistent pour que leurs fournisseurs possèdent une certification attestant leur respect de normes relatives aux systèmes de gestion environnementale. · Une meilleure capacité d'adaptation aux changements. Une entreprise qui, grâce à des échanges constants avec les parties prenantes, se tient au courant de l'évolution des choses se trouve mieux placée pour prévoir les changements susceptibles de survenir sur les plans réglementaire, économique, social ou environnemental et pour y réagir. · Un soutien plus fort de la société à des interventions dans la collectivité. Une meilleure compréhension de l'entreprise, de ses objectifs et de ses activités par les citoyens et les parties prenantes se traduit par des relations plus fructueuses. Ce phénomène peut alors engendrer des alliances plus fortes et plus durables avec le public, le secteur privé et la société civile. · Un accès aux capitaux. Les institutions financières tiennent de plus en plus compte de critères sociaux et environnementaux lors de l'évaluation des projets. Quand il s'agit de décider où placer leur argent, les investisseurs cherchent les indices d'une gestion efficace de la RSE. · De meilleures relations avec les organismes de réglementation. Certaines administrations gouvernementales appliquent des processus d'approbation plus rapides à l'endroit des entreprises qui ont mené des activités sociales et environnementales qui vont au-delà des exigences de la réglementation. Source: strategis.ic.gc.ca -3- CSR AND DEVELOPMENT Can Corporate Social Responsibility Help Development Out? The proponents of CSR generally consider the concept as a pragmatic and innovative way of enhancing the contribution of the private sector to development. Many also see CSR initiatives as an alternative to government regulation. Others consider them as complement to regulations. The main reason they are a complement to regulations is because the public sector relies on regulation, and law-based sanction for implementation, while CSR relies on a set of market-based drivers. Apart from assessing the scale, scope and implementation of specific CSR policies and institutional arrangements, it is important to consider the wider developmental implications of CSR. There is a fairly generalized perception, shared by many individuals and organizations promoting CSR, that both CSR and partnerships, in any shape or form, must be good for development. We can look carefully at this assumption given the following characteristics and potential negative impacts of CSR in developing countries: · the CSR agenda tends to be "northern driven" and focuses on a fairly narrow set of issues, sectors and companies; · "Indigenous" approaches to CSR, which exist in all societies, don't receive much attention from the mainstream CSR community, which tends to focus on a fairly standardized set of approaches and instruments. · Small and medium-sized firms in developing countries that form part of multinational company supply chains are often expected to pay the costs of CSR. Multinationals or northern consumers may do little, if anything, to share these costs. Moreover, Multinationals and large northern retailers continue to impose onerous conditions on suppliers in terms of price and delivery schedules, which limits their ability to improve conditions. · CSR may reinforce trends involving the concentration of corporate power by squeezing small firms from supply chains and concentrating production in larger firms with greater capacity to implement CSR initiatives. · CSR may have protectionist implications by restricting access of southern firms to northern markets, although such implications are sometimes overstated. · CSR and partnerships may enhance the competitive advantage of multinationals at the expense of firms in developing countries. · Many developing country governments, constrained by international pressures associated with debt servicing, structural adjustment and "down-sizing", are unable to develop the type of regulatory and incentive structures that would encourage CSR. If CSR is to make a more significant contribution to development, its proponents face two major challenges. First, there needs to be a better integration of voluntary approaches and law or government regulation, rather than the present situation where voluntary initiatives are often seen as an alternative to legal instruments. Second, the CSR agenda needs to become more "south-centered". The Implementation Plan, issued after the 2002 World Summit on Sustainable Development moves beyond a reliance on voluntary approaches. It commits signatory governments to actively promote corporate responsibility and accountability, including through the full development and effective implementation of intergovernmental agreements and measures, international initiatives and public-private partnerships, and appropriate national regulations. There are some companies that will only take social responsibility on board if they have to. On the other hand, while there are many question marks regarding the future of CSR, in particular about its voluntary nature, engaged companies claim notable achievements. CSR has led to developments in company reporting, and in the elaboration of good principles and good practice in company behaviour. More and more often one can observe a trend in discussion on CSR that voluntary measures can help improve private-sector behavior, but voluntary activity is no- -4- CSR AND DEVELOPMENT CONTINUED substitute for regulation and there is evidence that companies that espouse voluntary approaches to meet environmental standards are frequently involved in resisting external regulations.This concerns mainly developing countries, where national legislation framework is weak. Even if necessary laws do exist, many governments including in developed countries do not have political will or effective instruments to enforce them. In contrast, the regulation in developed world tends to be stronger. The companies are bound by laws protecting the environment, human rights, etc. But these only extend to the activities of companies based or operating in those countries, and not to the overseas activities. One may argue that once there is no need for new extended governmental regulations in developed economies, definitely there is such a need in developing and in transition countries. On one hand Governments in the latter ones, with support of international institutions, might establish a regulatory framework - "a minimum requested by law", and on the other international community may consider building an international commonly accepted legal framework to regulate the global activities of multi-national enterprises. Such an approach would help in overcoming low enforcement capacity of developing countries. In fact, various elements of such an international framework already exist. There is no need for campaigning for new regulations; it's rather a need to merge existing mechanism in one comprehensive framework to be adopted by countries. This framework could be based on "plan, do, monitor, report, evaluate" model. The OECD convention of 1997 aimed at outlawing the bribery by business people of foreign public officials constitute a good example providing directions on the way to go. To push ahead work on the comprehensive CSR framework a collective action would be needed. Developed countries' governments would need to change their law so that companies from those countries are held accountable for their environmental impact worldwide.The next essential step would be strengthening existing OECD and EU guidelines so that they become binding regulation rather than just a voluntary code of conduct. The most difficult aspects would be to agree on and adopt concrete standards in fields such as management systems, assurance standards, performance standards, and performance reporting that jointly with national regulations, international law would constitute a holistic CSR framework. Source: worldbank.org Leading Companies Showcase commitment to marine environment In a move that showcases their commitment to Corporate Social Responsibility, major multinational and local businesses are among the sponsors of a key regional conference on marine conservation held in Abu Dhabi in September 2006. More than 80 environmental experts from the GCC, Iran and Yemen attended the Marine Conservation Forum, where a strategy on regional cooperation to preserve endangered marine turtles and coral reefs will be developed. The Forum which has taken place on 11 - 14 September 2006 at the Crowne Plaza, Abu Dhabi was organized by EWS-WWF (Emirates Wildlife Society - World Wildlife Fund for Nature) under the patronage of the UAE Ministry of Environment & Water. 'As an Abu Dhabi-headquartered organisation fully committed to supporting the sustainable development initiatives of the emirate's government and its private sector, First Gulf Bank had no hesitation in sponsoring this important international symposium' said André Sayegh, Chief Executive Officer, First Gulf Bank, the main sponsor of the Forum. 'The bank has prioritised sustainability and environmental awareness as key planks in its corporate social responsibility programme. These are issues which the bank believes are in line with its own philosophy of delivering best-of-breed environments to the communities it serves' Source: ameinfo.com -5- CORPORATE SOCIAL RESPONSIBILITY IN MENA Current situation in Mashreq countries Reports reveal that "CSR" in the region is generally driven by rational choices of business or political choice rather than by societies' expectations or pressure from below. Drivers of "CSR" are found to be common in the MENA countries: · The need to improve the investment climate; better governance, voluntary disclosure, transparency, accepting the rule of law and so on (Turkey, Morocco, Egypt) · · · · · Increased international and local competition due to liberalisation; concerns for efficiency and productivity ( Jordan, Turkey, Egypt) International business relations; learning by examples (all countries) International Codes of Conducts such as BSCI Code in the textile industry (Morocco, Turkey) The need to comply with International Standards (Morocco, Turkey) Government; new laws and regulations-Corporate Governance Codes, disclosure and reporting requirements, labour law (Turkey, Morocco, Palestine, Jordan) · Improved enforcement of existing laws and regulations (Turkey, Egypt) · International campaigns, programs, projects such as Global Compact, WB-IFC and UNDP programs(Turkey, Lebanon, Egypt) · Consumer preferences in developed countries for ethical Trading movement (Turkey, Morocco, Egypt) · Relations with European Union (Turkey, Jordan, Morocco) · Activism of Global Civil Society Organisations such as Green Peace, Transparency International directly or through local agents (Turkey, Lebanon) · Awards and ratings (Morocco, Turkey) The reports give an account of current "CSR" practices in the region. The common characteristics are as follows: · Subsidiaries of multinational companies demonstrate examples of "CSR" by simply complying with their corporate policies.They are also the primary source of funding for "CSR" oriented NGOs · Philanthropic activities are focused on supporting education, health care and other shortcomings in the social welfare · Business organisations and business funded Civil Society Organisations (CSOs) are more active in promoting the concept of "CSR" than Grassroots Civil Society Organisations (GCSOs). This drives the search for "business case". · Corruption and unregistered economy is a major issue · There is an upsurge of new laws and regulations in the region which include labour and environment related provisions induced by the willingness to comply with international agreements and/or standards · · · · · Businesses that are suppliers to European retailers are forced to comply with international or sector based codes of conduct International activism reaches the MENA countries and encourage emergence of local activist organisations A handful of local companies fund the NGOs which is a matter of concern in relation to their independence and motives Reputation and good image of companies are more important for the society than their observed behaviour In most countries the society does not differentiate between ethical behaviour and obeying the law in evaluating the business behaviour. The absence of free investigative press and restrictions on the rights to organise and freedom of speech put constrains on development of GCSOs. Source: worldbank.org More links and sources / Autres sources et liens · · · · · · · · · European Commission ec.europa.eu Government of Canada strategis.ic.gc.ca Responsible Business Forum in Estonia: csr.ee World Bank MENA Development Forum: worldbank.org World Bank CSR: worldbank.org World Business council for Sustainable Development: wbcsd.ch Mouvement des Entreprises de France: medef.fr UK Government: csr.gov.uk Observatoire de la responsabilité sociale: orse.org -6- Economy / Politics IMF comments Morocco for "sound macroeconomic policies and structural reforms" Washington - The International Monetary Fund (IMF) has commended Moroccan authorities on their implementation of sound macroeconomic policies and structural reforms, noting that, in recent years, these policies had supported the acceleration of non-agricultural growth in an environment characterized by low inflation and comfortable international reserves, and the steady rise of per capita income. IMF Directors, who concluded last week the Article IV consultation with Morocco, have viewed that, with macroeconomic conditions strengthening, short-term prospects are favorable.To this end, they supported a strategy of medium-term fiscal consolidation, enhancing the efficiency of financial intermediation, and deepening Morocco's integration into the global economy. Directors also noted that fiscal consolidation should be the top policy priority.They agreed that Morocco's fiscal strategy for gradually reducing the deficit to 3 percent of GDP over the medium term is appropriate. They welcomed the ongoing reform of the tax system and noted that a simpler and more transparent tax system and strengthened administration would help broaden the tax base and increase revenue. While they congratulated the authorities on the success of the 2005 early retirement program for civil servants, Directors stressed that the credibility of the fiscal strategy will depend on the authorities' ability to curb wage bill growth and reduce the fiscal cost of oil and food subsidies. They urged the authorities to seize the opportunity of the 2007 budget to send a strong signal on their commitment to fiscal consolidation. Source: map.ma 18/10/06 L'Algérie veut peupler ses zones semi-arides ALGER - L'Algérie, qui comptera 43 millions d'habitants en 2025, dont 80% urbanisés, veut redéployer sa population vers les zones semi-arides des hauts plateaux, au nord du Sahara, pour soulager sa fragile bande littorale. Le président Abdelaziz Bouteflika a relancé cette idée, dite "option hauts plateaux" émise dans les années 1970, en la qualifiant d'"impératif pour la profondeur stratégique" du pays, lors d'une séance de travail consacrée à l'aménagement du territoire, selon un communiqué de la présidence rendu public dimanche. L'objectif principal de ce projet est de réduire la pression démographique exercée sur l'étroite bande côtière, la plus fertile du pays, qui abrite la grande majorité de sa population. Deux tiers des 33 millions d'Algériens vivent actuellement sur 4% du territoire. L'Algérie comptera 36 millions d'habitants en 2010, selon les projections officielles, avec un taux d'urbanisation de plus de 60%. Depuis l'indépendance du pays en 1962, l'exode rural massif a entrainé une urbanisation anarchique, qui a dévoré les riches terres agricoles du nord, notamment la plaine de la Mitidja et le Sahel, près d'Alger. Le même phénomène concerne aussi les régions agricoles de l'est et de l'ouest du pays. Des vergers détruits ont laissé place à des villas cossues et des usines. Les hauts plateaux représentent une bande semi-aride courant d'est en ouest sur toute la largeur de l'Algérie à une altitude moyenne de 1.000 mètres. "L'option hauts plateaux", vieux projet datant des années 70, prévoit la création sur le modèle de Brasilia, d'une nouvelle capitale pour l'Algérie autour de la ville de Boughezoul près de Djelfa, à 270 km au sud de la capitale actuelle, Alger. Source: avmaroc.com 29/10/06 -7- Coopération économique en Libye Le secrétaire du comité populaire général libyen de l'Economie, du Commerce et de l'Investissement, Tayeb Saffi, s'est réuni dimanche après-midi à Tripoli avec le vice-ministre italien du Commerce international, Maoro Ogustino, sur les moyens de promouvoir la coopération écono-mique entre les deux pays. L'ambassadeur d'Italie en Libye, Francesco Trupiano, qui a assisté à la rencontre a déclaré que les deux parties ont décidé de réactiver les clauses de la Déclaration conjointe libyo-italienne à travers la création de sociétés commerciales et de projets d'investissements dans tous les domaines. Cette Déclaration conjointe, dans laquelle l'Italie a présenté des excuses au peuple libyen pour sa colonisation et s'est engagée à le dédommager pour les drames causés par ce colonialisme a, été signée par les deux pays le 9 juillet 1998, rappelle-t-on. Elle préconise, entre autres, la création d'une société libyo-italienne pour soutenir l'économie libyenne dans l'exécution des projets d'infrastructure et de développement ainsi que la construction d'un centre spécialisé destiné au traitement de mutilés et à la fabrication de prothèses. Source: jeuneafrique.com 29/10/06 Grosse délégation nippone au Maroc Une importante délégation d'hommes d'affaires japonais est au Maroc du 29 octobre jusqu'au 4 novembre. Conduite par le Centre nippon de productivité pour le développement socioéconomique, cette délégation devra examiner des opportunités de partenariat et d'investissement, notamment dans le domaine du portuaire, des zones franches, de l'industrie, de la microélectronique, de l'énergie, du câblage ou encore de l'énergie… La délégation prévoit également de se rendre au siège de la CGEM à Casablanca. Source: leconomiste.com 30/10/06 Egypt ranking Out of the 175 economies reviewed by World Bank Group's Doing Business Index, Egypt is ranked 165, putting it ahead of only poverty-stricken countries such as Sierra Leone and Eritrea, many of them with active civil wars. The index ranks the economies based on the ease of doing business. Using 10 equally-weighted indicators developed by the World Bank Group's finance and private sector vice presidency, economies are assessed in various categories, from the ease of starting a business and hiring employees, to the degree of investor protection. While the rankings are based on studies of existent laws and regulations, interviews with regulators or private-sector professionals, and cooperative arrangements with other departments of the World Bank and other donor agencies, the index is still limited in scope, as admitted by the index methodology documents. Source: businesstodayegypt 30/10/06 Industry Gazprom explores North Africa Libye-Telecom signe un nouveau contrat Publicly traded but government controlled, Gazprom is the world's largest producer of natural gas, and in mid-October signed a memorandum of understanding with the Egyptian government to provide assistance with exploration and marketing of Egyptian gas. In August, Gazprom also signed a memorandum with Algeria's state-run energy company, Sonatrach, to coordinate on many aspects of Algeria's natural gas operations. "Gazprom believes it is becoming a 'global energy company' and therefore should develop relations with a large number of companies in different parts of the world," according to Jonathan Stern, the director of the Gas Program at the Oxford Institute for Energy Studies. Gazprom's foreign operations are growing all over the world, especially Europe. In 2005 a Gazprom pipeline that runs to Turkey began operating at full capacity, and an agreement with two German companies, BASF AG and E.ON AG, for the North European Gas Pipeline went into effect.The pipeline will connect Russia and Germany through the Baltic Sea, and will likely move 55 billion cubic meters per year, according to Gazprom. The company's ongoing interest in expanding overseas may partially explain its moves into North Africa, but governments in the region have their own motivations for cooperating with Gazprom. For Algeria and Egypt, whether or not they profit directly from relations with Gazprom could be beside the point. "Gazprom is a useful counterpart to use as a negotiating lever" with other international energy companies, Stern said. Indeed, with demand for natural gas skyrocketing in China, the United States, and Europe over the next 25 years, exporting countries will be using whatever leverage they can to maximize their profits. Source: metimes.com 30/10/06 La société libyenne des postes, communications et technologie de l'information, Libye-Télécom, et les sociétés Alcatel et Sirti ont signé mercredi soir à Tripoli un contrat d'exécution d'un projet destiné à connecter toutes les régions libyennes à un réseau de communication de pointe. S'exprimant au cours de la cérémonie, le secrétaire du comité de direction de Libye-Télécom, le Dr Mohamed Mouammar Kadhafi, a affirmé que ce projet constitue le nerf des projets d'infrastructure de base du pays. Il a souligné l'importance du projet qui servira tous les autres secteurs et les projets qui seront exécutés étant donné qu'ils ont été pris en compte lors de la conception du projet notamment en matière de câbles en fibre optique couvrant la Libye pour une période de plus de 50 ans. Source: jeuneafrique.com 20/10/06 Thirty Egyptian Tech Firms to Participate in GITEX Dubai 2006 CAIRO: Over thirty Egyptian companies will participate in the GITEX Dubai 2006 exhibition scheduled for Nov. 18-22 this year with support from the Egyptian Ministry of Communication and Information Technology. The Information Technology Industry Development Agency (ITIDA) will be responsible for the organization and arrangement of Egyptian companies' participation in the event. Mohammad Emran, chief executive officer of ITIDA, said his agency organized meetings with representatives from Egyptian technology companies to discuss ways of support for their participation in the exhibition, which is expected to attract more investments in the Egyptian technology industry. ITIDA provides participants with 85 percent of the total cost of participation, especially for events on outsourcing mainly organized in Britain and Germany. The Egyptian companies' showroom is expected to reach 350 square meters and Egyptian technology companies will focus on the promotion of their software evaluation services. GITEX Dubai 2005 attracted about 1163 participants, representing companies from 61 countries worldwide. Source: dailystaregypt.com 30/10/06 -8- Yahoo! Unveils Alternative Fuel Automotive Site Yahoo! Autos, one of the most comprehensive automotive resources on the Internet, today announced the launch of the new Yahoo! Autos Green Center. The new Green Center provides consumers with the most comprehensive, unbiased source of information, resources and community about alternative fuel vehicles (AFVs), including hybrid, flex fuel/E85, bio-diesel, compressed natural gas and others. The Green Center brings together industry information from expert partners as well as consumer-generated content from Yahoo!'s leading social media properties, Yahoo! Answers, del.icio.us and Yahoo! Groups. Source greenbiz.com 02/11/06 Greenpeace se fait chasser de Mac Expo sur fond d'environnement Pour Greenpeace, " nous aimons nos Mac mais détestons le fait qu'ils soient pleins de produits chimi-ques et toxiques. " Pour l'association, " Mac Expo n'aime pas le vert de nos pommes. " Greenpeace a tenter de mener une action coup de poing contre Apple lors de son show le Mac Expo. Les militants de l'association écologiste avaient pris un stand sur le salon Mac Expo. Mais l'organisateur de l'événement les a expulsés après seulement quelques heures, suite à plusieurs plaintes anonymes. Nos volontaires avaient installé un stand pour inciter les fans du Mac à pousser Apple vers une meilleure démarche de protection de l'environnement. Pour Greenpeace, " tout que nous voulons est une avancée de la politique d'Apple dans l'environnement." " Est-ce hérétique au point de nous jeter nous dehors ? "s'interroge l'association. Source: actualites-news-environnement.com Cleaner Production Un nouveau label dans le secteur de la construction The birth of a quieter, greener plane Le label Haute performance énergétique (HPE) correspond à une diminution de 10% par rapport à la consommation de référence de la réglementation thermique (RT) 2005, qui établit une consommation entre 80 et 205 kilowattheures d'énergie primaire par mètre carré et par an (kWh/m2/an). Quant à la Très haute performance énergétique (THPE), elle exige une baisse de 20% par rapport aux mêmes consommations de référence. Les autres labels, type Haute qualité environnementale, ou encore Habitat et environnement, affichent des objectifs énergétiques similaires. Or, les exemples allemands (Passiv Haus) et suisses (Minergie) montrent que l'on peut atteindre, avec le savoir-faire actuel, une consommation comprise entre 30 et 45 kWh/m2/an. Autant dire que, malgré les opérations publicitaires autour des labels français, ces derniers restent un effort mineur consenti par le secteur de la construction. A l'instar de Bouygues immobilier qui s'est engagé le 19 octobre à certifier Habitat et environnement la totalité de ses programmes de logements en France. Les choses pourraient évoluer d'ici la fin de l'année avec l'intégration de trois nouveaux niveaux dans l'arrêté qui fixe les conditions d'attribution des labels HPE et THPE. "Tout n'est pas fixé, mais nous voudrions créer des labels qui poussent les maîtres d'ouvrage à faire mieux, notamment en intégrant toujours plus d'énergies renouvelables (ENR)", explique Alain Jacq, directeur adjoint à la Direction générale de l'urbanisme, de l'habitat et de la construction (DGUHC). Deux niveaux intermédiaires associeraient la diminution de la consommation d'énergie, entre 30 à 40% inférieure aux consommations de référence, et l'obligation d'utiliser des ENR. L'un des deux labels porterait plus précisément sur l'utilisation du bois. Et enfin, attendu depuis longtemps, un label Très basse consommation énergétique serait créé. Pour l'instant, il est question de fixer le curseur à 50 kWh/m2/an. Source: journaldelenvironnement.net 23/10/06 Now a team of researchers in Britain and the US has come up with a revolutionary new aircraft design that could make a dramatic contribution to curbing climate change. The SAX-40, which has been developed by the Cambridge-MIT Institute, is a radically different shape of aircraft. Officially, it is what is known as a "blended wing". It has a tailless wedgeshaped body with two bat-wings.The Silent Aircraft Initiative (SAI) team has succeeded in coming up with a radically quieter plane. Crucially, the SAX-40 is also 35% more fuel-efficient than any airliner currently flying. Oil prices may no longer be the $78 a barrel they were a few months ago, but with high fuel costs likely to continue; fuel efficiency is a major factor in all airlines' calculations. Yet none of this means the SAX-40 will necessarily be built. Ever since the Boeing 707 first flew in 1957 and ushered in the commercial jet age, airliners have changed very little in their basic appearance. Source actu-environnement 29/08/06 Dubai Recycling Park first to manage region's waste National Projects Holding Co, a subsidiary of the National Real Estate Co. of Kuwait has signed an agreement with Dubai Industrial City, a subsidiary of Tatweer (a Member of Dubai Holding), to establish Dubai Recycling Park, the first fully integrated waste management and recycling park in the Middle East. "We plan to revolutionize the way the Middle East manages waste by establishing up to a dozen different recycling plants within the Dubai Industrial City,' said Musaed Al-Saleh, Vice Chairman and CEO of National Projects Holding Co. 'This will not only handle the in-flow of waste from the booming Dubai Industrial City from its green field commencement, but from across the Emirate of Dubai and the greater UAE as well.' The concept was developed from the message of HH Sheikh Mohammed Bin Rashid Al Maktoum, UAE Vice President, Prime Minister and Ruler of Dubai, which delivered that it is the responsibility of industrialized nations to safeguard the environment. Most GCC countries rank in the top ten worldwide in terms of waste production per capita. Dubai's current construction boom ranks it fourth worldwide. Both these factors provided the compelling argument for Al-Saleh to approach Dubai Industrial City where he received an immediate welcome. Source: ameinfo.com 31/10/06 -9- Clean coal "both green and competitive" Andris Bielbalgs visited the construction site of the Torrevaldalliga Nord project that will create a clean coal power plant out of a former fuel oil plant, cutting emissions from the plant by 80%, as part of a visit to Italy to discuss the EU energy green paper. As well as cutting emissions the project hopes to help balance Italy's electricity generation mix, according to Italian electricity retailer Enel, the company behind the project. The EU expressed its confidence in the controversial technology's future during last week's Fossil Fuels Forum in Berlin, where EU officials called for coal-fired plants to start preparing for the advent of CCS technology even before it becomes commercially viable - most likely around 2020. Source: edie.net 19/10/06 USA, le recyclage des déchets en hausse 32% des déchets ménagers solides ont été recyclés en 2005 selon l'Agence de protection de l'environnement (EPA). Soit 79 millions de tonnes sur un total de 245 millions composés de papiers (34,2%), de plastiques (11,8%), etc. Le tonnage des déchets recyclés a augmenté de 2% par rapport à 2004, tandis que le tonnage global de déchets ménagers a baissé de 2%. Les emballages (40%) et le papier (50%) ont les taux de recyclage les plus importants. Source journal environnement.net 24/10/06 Technology Forum à Hammamet sur les investissements dans les Technologie de l'Information et des Communications (TIC) Les habitants du continent africain, dont le nombre avoisine 14% de la population mondiale,ne représentent que 3,4 % des internautes dans le monde, tandis que nombre des ordinateurs dont dispose l'Afrique ne dépasse guère les 2,2% du total des ordinateurs dans le monde avec des disparités importantes d'un pays à l'autre. Au niveau du raccordement des institutions d'enseignement et des entreprises au réseau Internet, les pays africains occupent les dernières places dans les classements publiés par les organismes internationaux spécialisés selon des chiffres datant de 2005. C'est autour de cette problématique et en vue de rechercher les moyens d'y remédier que se tient depuis jeudi et pendant deux jours à Hammamet, une station balnéaire située à 70 km au sud-est de Tunis, le "Forum sur les technologies de l'information et de la communication pour tous: les investissements dans les TIC en Afrique".A l'ouverture des travaux,le Premier ministre tunisien Mohamed Ghannouchi a fait valoir que l'organisation de ce forum, un an après la tenue à Tunis du Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI),constitue une occasion pour assurer le suivi des recommandations et des décisions de ce sommet, consignées dans "l'Engagement de Tunis" et "l'Agenda de Tunis pour la société de l'information".Il a rappelé qu'au cours du sommet de Tunis,les participants avaient mis en place des mécanismes de coordination et de suivi avec la participation active de l'Union internationale des télécommunications (UIT), du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et de la Banque mondiale. Source: jeuneafrique.com 26/10/06 New Technology Turns Food Leftover into Electricity Tons of table scraps from the San Francisco Bay Area's finest restaurants are being turned into renewable energy at a new University of California Davis research and technology demonstration facility. The Biogas Energy Project will process eight tons of leftovers weekly (and later as much as eight tons daily) from premier restaurants such as San Francisco's Slanted Door, Jardiniere, Scoma's, Boulevard, and Zuni Cafe, and Oakland's Oliveto and Scott's Seafood. If all goes well, each ton of broccoli spears, cantaloupe rinds and fish bones will produce enough energy to provide electricity to power 10 average California homes for one day. The Biogas Energy Project is the first large-scale demonstration in the United States of a new technology developed in the past eight years by Ruihong Zhang, a UC Davis professor of biological and agricultural engineering. The technology, called an "anaerobic phased solids digester," has been licensed from the university and adapted for commercial use by Onsite Power Systems Inc.The goal of this innovative public-private alliance is to divert organic matter -- stuff made from plants and animals,such as food waste and yard clippings -- away from landfills and into the energy grid. That reduces greenhouse gas emissions from landfills and turns trash into a substantial source of clean energy. Source: greenbiz.com 27/10/06 - 10 - " Nasma TV " La chaîne satellitaire maghrébine privée "Nasma TV" diffusera ses programmes vers la fin de l'année en cours, ont annoncé les fondateurs de la chaîne, les frères Nabil et Ghazi Al Karoui. Cette nouvelle chaîne, qui débutera par la diffusion du programme "Star Academy Maghreb", vise à promouvoir la culture musicale maghrébine et à faire revivre le patrimoine tout en demeurant ouverte sur les cultures du monde, selon ses fondateurs. Ce nouveau-né de l'audiovisuel ambitionne de répondre à tous les goûts, et ce à travers la mise en place d'une grille de programmes viariés comprenant notamment les jeux télévisés, les feuilletons, les débats, les programmes musicaux et le sport ainsi que des émissions pour enfants, a indiqué Nabil Karoui dans un point de presse à Tunis. Source: jeuneafrique.com 14/10/06 Alcoa Develops "engineered Natural Systems" to Reduce Discharges Alcoa says it is actively developing, evaluating, and implementing natural sustainable technologies to reduce the environmental footprint at its aluminum smelting, refining, and production facilities. The innovative technologies, called Engineered Natural Systems, use a variety of plants, soils, and microbes to reduce the volume of discharged stormwater and process water as well as the concentrations of pollutants in the discharged water. These passive "green" technologies are helping Alcoa to achieve environmental goals stated in its "2020 Strategic Framework for Sustainability," which calls for the company to reduce process water usage by 70% from 2000 to 2010 and achieve zero water discharge by 2020. Source: greenbiz.com 25/08/06 Biotechnologie: Bioprocédé de production de biocarburant L'institut de microbiologie de l'université de Munster a en effet développé par modification génétique d'E.Coli une souche de bactéries capable de réaliser une transestérification des acides gras des huiles végétales. Avec l'aide de glucose comme substrat pour les bactéries, on obtient à partir des acides gras un éthylester et non un méthylester comme c'est le cas avec l'utilisation de méthanol dans les procédés de synthèse traditionnels. Ces éthylesters, appelés microbiodiesel par les chercheurs allemands, peuvent tout aussi bien être utilisés comme biocarburants. L'intérêt de ce procédé breveté est triple : il consomme moins d'énergie que la transestérification classique, évite l'usage d'un produit toxique (le méthanol) et permet surtout la production de biocarburant d'origine totalement renouvelable. Source: environnement-online.com 26/10/06 Energy L'Egypte ouvrira sa première centrale nucléaire dans 10 ans Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Ahmed Aboul-Gheit, a annoncé vendredi que son pays ouvrirait sa première centrale nucléaire d'ici dix ans, a rapporté l'agence de presse officielle d'Egypte, MENA. M. Aboul-Gheit a tenu ces propos avant son départ pour Alicante, un port espagnol où il se rend pour participer au forum du Moyen- Orient pour discuter du processus de paix dans la région et de la coopération euro-méditerranéenne. Interrogé sur le programme nucléaire pacifique du pays, le ministre a répondu que l'Egypte devait trouver des ressources énergétiques alternatives, comme le nucléaire, l'énergie solaire ou éolienne, pour générer de l'électricité en raison de la hausse des prix du pétrole et du gaz naturel. Le président égyptien Hosni Moubarak a annoncé le 21 septembre que l'Egypte poursuivait ses recherches scientifiques pour développer la technologie nucléaire pacifique malgré son coût élevé. L'Egypte a commencé la recherche nucléaire de manière très limitée en 1957 mais a décidé de geler son programme en 1986 suite à l'accident de Tchernobyl. En 1968, l'Egypte a signé le Traité de non-prolifération nucléaire. Elle soutient officiellement l'élimination des armes nucléaires dans la région. Source: jeuneafrique.com 27/10/06 Turkey Keeps Expanding Natural Gas Network Natural gas is being used more and more frequently for heating purposes in Turkey. Accordingly, new pipelines are being built to meet the demand, and a 10,000-km line was incorporated in the system over the last four years. Turkish Minister of Energy and Natural Resources Hilmi Guler spent the Ramadan holiday in Turkey speaking with citizens in the city of Ordu. Guler emphasized they did not plan just to make promises, but also to keep them. Noting Turkey had made important progress in natural gas investments, Guler said: "We keep our promises. We will overcome all obstacles for natural gas investments. A 4,500 km-natural gas pipeline was built in Turkey over 20 years, but now we've built a 10,000-km natural gas pipeline during our four year term." Guler also mentioned the hazelnut issue and asked that speculations not to be taken into account. "The Turkish Soil Products Office will definitely continue its purchases," Guler said. Turkish cities that can currently use natural gas are Istanbul, Ankara, Bursa, Eskisehir, Kocaeli, Sakarya, Bal?kesir, Konya, Kayseri, Corum, Kutahya and Erzurum. More than 20 cities, including Samsun, Trabzon, Manisa, Malatya, Sanliurfa and Denizli will start using natural gas soon. Source: zaman.com 25/10/06 - 11 - Italy Photovoltaic Capacity Seen up 50 Percent in 2006 The installed capacity of photovoltaic systems that turn sunlight into power will rise 50 percent to some 60 megawatts in Italy in 2006 and will grow fast due to new incentives, an energy analyst said on Thursday. "This year the new capacity will be 20 MW. It's a four-fold increase from last year's (new capacity of ) 5 MW," Gianni Silvestrini, energy adviser to Italy's Economic Development Minister Pierluigi Bersani, told a photovoltaic conference. "There is room for four or five-fold increases in the next few years," Silvestrini said. Sun-washed Italy, which lags behind Europe's solar energy leader Germany, installed only 5 MW of photovoltaic power generation last year, raising the total capacity to some 40 MW, while Germany built 603 MW of new capacity. Italy would install 80-100 MW of photovoltaic systems in 2007 and 100-120 MW in 2008 as new tariff subsidies, aimed at boosting this segment of renewable energy, and new energy-savings rules for buildings were due to kick in next year Source: planetark.com 27/10/06 Débat sur l'énergie au Maroc Le Premier ministre Driss Jettou a souligné hier à Skhirat que le secteur de l'énergie au Maroc est appelé à renforcer ses structures et à moderniser ses modes de gestion pour pouvoir faire face à une conjoncture internationale marquée par la fluctuation de l'évolution des marchés et l'accroissement des cours du pétrole. M. Jettou, qui s'exprimait à l'ouverture du débat national sur l'énergie (30 octobre 2006), a affirmé que le Royaume doit tenir compte de " cette nouvelle donne et de ses effets négatifs sur les pays non producteurs " pour pouvoir couvrir les besoins croissants de l'économie nationale et des secteurs productifs. Source: lematin.ma 30/10/06 Nouakchott et Bamako signent un accordcadre de recherche pétrolière Le ministre mauritanien de l'Energie et du Pétrole, Mohamed Ali Ould Sidi Mohamed, et son homologue malien chargé de l'Energie, des Mines et de l'Eau, Mohamed Diane Séméga, ont conclu un accord-cadre de coopération bilatérale axé sur la recherche pétrolière. Aux termes de cet accord, les deux pays vont procéder à "un échange d'informations techniques, géologiques, géophysiques, géochimiques et de forages relatifs aux données ou résultats de travaux antérieurs" menés de part et d'autre des frontières qui constituent le bassin de Taoudéni, indique un communiqué officiel remis samedi à la PANA. L'accord prévoit également des échanges de compétences et de savoir- faire dans les domaines de la promotion, de la mise en oeuvre et de la gestion des banques de données brutes et physiques issues de travaux relatifs à la recherche pétrolière. Source: jeuneafrique.com 28/10/06 Environment Le coût du réchauffement climatique pourrait atteindre 5500 milliards d'euros Le réchauffement climatique pourrait coûter à l'économie mondiale jusqu'à 5,5 trillions d'euros (5 500 milliards d'euros) si les gouvernements ne prennent pas des mesures radicales au cours des dix prochaines années, avertit une étude d'un ancien responsable de la Banque mondiale. Ce coût serait alors supérieur à celui des deux guerres mondiales et à celui de la Grande Dépression de 1929, tout en rendant de grandes parties de la planète inhabitables. L'étude, dont l'hebdomadaire britannique The Observer publie des extraits et qui doit être présentée, lundi 30 octobre, par Sir Nicholas Stern, ancien chef économiste de la Banque mondiale, prévient également que le nombre de réfugiés, victimes de la sécheresse ou d'inondations, pourrait s'élever à quelque 200 millions de personnes. Selon l'Observer paru dimanche, cette étude de 700 pages est la première contribution de poids d'un économiste à un phénomène qui avait été jusque-là l'apanage des scientifiques. Le rapport de M. Stern, qui avait été commandé voilà un an par le ministère de l'économie britannique pour mieux cerner les répercussions du réchauffement climatique sur l'économie du globe, prévoit que celui-ci pourrait provoquer une récession mondiale. Même si une fin immédiate était mise à la pollution, ajoute l'Observer, les gaz à effet de serre déjà dans l'atmosphère continueraient à provoquer un réchauffement du climat pendant encore une trentaine d'années, le niveau des mers s'élevant encore pendant un siècle. L'ancien économiste de la Banque mondiale a calculé que l'humanité devrait dépenser 1 % du PIB annuel de la planète, soit près de 350 milliards de dollars (275 milliards d'euros) sous peine de voir le coût du réchauffement climatique être de 5 à 20 fois plus élevé. Source: lemonde.fr 30/10/06 Gaz é effet de serre : bilan 1990-2004 mitigé pour les pays industrialisés BONN - Les émissions de gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique ont légèrement diminué dans les pays industrialisés entre 1990 et 2004 mais la tendance est à la hausse pour la période plus récente de 2000 à 2004, révèle un rapport des Nations Unies publié lundi à Bonn. Globalement, les émissions de ces gaz à effet de serre (GES), dont le principal est le dioxyde de carbone (CO2), ont diminué de 3,3% dans les pays industrialisées de 1990 à 2004, selon le Secrétariat de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (UNFCCC). Mais cette baisse correspond pour l'essentiel à une réduction de 36,8% des émissions de GES constatée dans beaucoup de pays d'Europe centrale, avec une économie de transition. Les autres pays ont vu au contraire leurs émissions progresser de 11%, souligne le rapport. Et "le problème, c'est que ces pays en transition, qui ont été largement responsables jusqu'alors de la réduction globale des émissions des pays industrialisés, ont vu leurs émissions augmenter de 4,1% entre 2000 et 2004", a souligné à cette occasion le secrétaire exécutif de l'UNFCCC basé à Bonn. "Ce qui veut dire que les pays industrialisés vont devoir intensifier leurs efforts pour mettre en place des politiques plus efficaces afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre", a-t-il ajouté. Des progrès doivent impérativement être réalisés dans le secteur des transports ; les émissions de GES ont augmenté de 23,9% dans ce secteur entre 1990 et 2004. Source: avmaroc.com 30/10/06 - 12 - Water shortage remains constant problem in Jordan Although Jordan takes its name from the Biblical Jordan River, which runs along its western border with Israel, the name hardly reflects the reality of the water situation. Jordan is one of the most stable countries in the Middle East, but it lacks enough water to quench the thirst of its citizens, let alone its farms and wildlife, said Salameh Hiaria, a water expert and former member of Parliament. A shortage of the precious resource will become one of the most vexing conundrums facing Jordan in the not too distant future, he warned. By 2010, the Kingdom will need about 1.54 billion cubic metres of water to meet the needs of its population and fall short by 319 million cubic metres. Source: .wanadoo.jo 28/10/06 Carbon Market might help rain forests Cutting down tropical forests often makes people poorer, hurts endangered species and emits greenhouse gases, so perhaps rich countries could pay to help keep trees standing, the World Bank said on Monday.The global carbon markets, set up in response to the Kyoto Protocol and other carbon-limiting arrangements, could offer the way. The markets -- where polluters pay for allowances that let them exceed their limits on carbon emissions -- may be able to put a value on the carbon locked up in jungles and savannahs, according to the new report.When carbon is stored in trees and other plants, it's not being emitted as the greenhouse gas carbon dioxide, which holds heat close to Earth and spurs global warming. As it stands now, farmers and ranchers might clear an acre of prime rainforest to create a pasture worth $300, and in the process, release 500 tons of carbon dioxide Source: today.reuters.co.uk 23/10/06 Lula annonce un recul de 30% de la deforestation en Amazonie Au cours des douze mois précédents (d'août 2004 à juillet 2005), le recul des déboisements, fruits de l'extraction de bois et de l'extension des cultures de soja notamment, avait atteint 31%. La superficie totale déboisée s'était élevée à 18.793 km2. Le président Luiz Inacio Lula da Silva a déclaré que ces résultats prouvaient que le Brésil est capable de préserver la plus grande forêt tropicale de la planète, rejetant toute "ingérence" étrangère dans ce domaine. Les pays développés "n'ont pas à nous donner de conseils sur la façon de préserver notre environnement car ils ont découvert qu'il fallait le préserver quand eux avaient pratiquement déboisé tous leurs territoires", a souligné Lula au cours d'une cérémonie au palais présidentiel. Source: avmaroc.com 27/10/06 Environment Over USD 974K to fund Morocco's environment-friendly programs Brussels - Some USD 974,908 will be allotted to two Moroccan environment-friendly projects within the frame of the 2006 Financial Instrument for the Environment (LIFE)-Third countries program, said here Thursday the European Commission. Initiated by the El Jadida University (west), The first project is granted USD 548,882 to implement a longer lasting management operating system of solid waste. The second project, to get USD 426,026, is to study at the University of Settat (center) the best available technologies for treating liquid waste. Since 1992, the LIFE program has co-funded almost 2,500 projects covering 40 countries and territories and made commitments of USD 1.63Bn. The programme has supported a wide range of projects, tackling problems and developing solutions across a number of sectors and has addressed most key environmental issues, in line with EU environmental policy priorities. LIFE-Third countries is part of the life Program. It aims to contribute to the establishment of capacities and administrative structures needed in the environmental sector and in the development of environmental policy and action programmes in third countries bordering on the Mediterranean and the Baltic Sea other than central and east European accession candidate countries. Source: map.ma 19/10/06 Sacs plastiques bio-dégradables C'est une discrète révolution industrielle, à base de maïs et de graines de tournesol, qui est en train de naître à Terni, une ville moyenne d'Ombrie située à une centaine de kilomètres au nord de Rome. Sur ce pôle naguère prospère de la sidérurgie et de la chimie, la société italienne Novamont, pionnière dans le secteur des produits biodégradables, a inauguré, vendredi 13 octobre, la "première bio-raffinerie verte au monde, capable de produire des bio-polyesters à base d'huile végétale". Leader européen des bio-plastiques à base d'amidon grâce à son produit vedette, le Master-Bi, dont 35 000 tonnes sortent déjà du site de Terni, la firme porte sa capacité de production à 60 000 tonnes, soit environ 60 % du marché mondial. Comparé aux 40 millions de tonnes de plastiques d'origine pétrolière consommées en Europe, ce n'est qu'un balbutiement. De plus, l'intérêt des bio-plastiques est encore occulté par l'engouement actuel pour les bio-carburants.Toutefois, les objets de tous les jours fabriqués à base de produits agricoles ne sont plus une utopie. Les bio-plastiques comme le Master-Bi cumulent les qualités environnementales. Ils sont renouvelables, recyclables, réutilisables, biodégradables et "compostables". On les utilise pour faire des sacs, des emballages, des films de paillage pour l'agriculture, des couches-culottes, des gobelets et des couverts jetables, des cotons-tiges solubles, etc. Les applications sont infinies : Novamont a collaboré notamment avec l'équipementier américain Goodyear pour développer un pneu "écologique" qui réduit de 40 % la résistance au roulement. Source: lemonde.fr 16/10/06 - 13 - Global warming said threat to world heritage Global warming is threatening archaeological sites from Peru to Egypt as well as natural wonders such as the Caribbean's largest coral reef, a U.N. report said on Tuesday. Heritage sites linked to thousands of years of civilisation "may by virtue of climate change very well not be available to future generations," said Achim Steiner, head of the U.N. Environment Programme. Rising sea levels, more frequent storms, erosion and flooding are accelerating damage to heritage sites around the world, according to an Atlas of Climate Change issued on Tuesday during a Nov. 6-17 U.N. global warming conference. UNEP said fear of cultural losses, such as a Viking camp in Scotland at risk from erosion or rising seas threatening Alexandria in Egypt, was an extra reason for action to rein in a warming widely blamed on human use of fossil fuels. Source: reuters.com 07/10/06 Un navire amianté de retour dans le port d'Amsterdam Selon un communiqué de Reuters, l'Otapan est arrivé le 16 octobre aux Pays-Bas après avoir été envoyé en Turquie au mois de juillet. Fin août, les autorités turques ont refusé de procéder à son désamiantage car il contenait plus d'amiante que ce qui était déclaré, soit 56 tonnes au lieu d'une seule. L'Otapan est resté amarré dans le port d'Amsterdam pendant 7 ans avant d'être récemment acquis par le chantier naval turc Simsekler, qui souhaite que le navire soit de retour en Turquie avant le mois de juin 2007. Un appel d'offres va donc être lancé pour déterminer la société qui sera chargée de réduire la masse d'amiante pour la ramener à une tonne. Le coût du remorquage et le désamiantage du bateau aux Pays-Bas était estimé à environ deux millions d'euros par le ministère chargé de l'environnement. Cette somme doit être prise en charge par l'Etat néerlandais qui a indiqué vouloir demander un remboursement à Simsekler. Source: journal environnement.net 19/10/06 Paludisme: quand le changement climatique amène la malaria au Kenya Dans les montagnes du Kenya, le changement climatique a favorisé ces dernières années l'apparition du paludisme et menace la vie d'habitants autrefois préservés des moustiques et de cette maladie, s'alarment des chercheurs qui insistent sur les conséquences des activités humaines." Selon des sources concordantes, la malaria a commencé à apparaître dans ces régions montagneuses au milieu des années 80, avec des épidémies très graves dans les années 90 et notamment en 1997/98 alors que le Kenya était frappé par le phénomène climatique El Nino. Source: jeuneafrique.com 17/11/06 Other news & upcoming events Participation du CMPP au " Clean Globe1 " Fair Trade Incentives Through Ecolabelling Le CMPP a participé aux conférences organisées dans le cadre du "Clean Globe 1", qui a eu lieu du 18 au 20 Septembre 2006 au Caire, Egypt. "Clean Globe1" est la 1ére édition du salon international sur la production propre créé à l'initiative de la Société Internationale pour les activités Scientifiques (GPS) afin de regrouper des experts, des économistes, des industriels, des universitaires des organisations internationales et des responsables politiques pour échanger sur le thème de la production plus propre. Le CMPP a participé aux travaux de l'atelier sur" l'application de la production propre dans le secteur de l'industrie agroalimentaire". Ainsi le CMPP a présenté ses réalisations en termes d'accompagnement des entreprises de ce secteur, en particulier l'industrie de conserve de poisson, pour mettre en place des solutions pour l'économie d'eau, d'énergie et gestion et traitement des déchets. Source: cmpp.ma We are pleased to invite you to the regional seminar on environmental labelling on fair-trade and eco-labelling which will take place in Beirut from 14-15 December 2006. For further information, please refer to the promotional brochure at the following link: www.sba-int.ch/pdffiles/FairTradeIncentives.pdf .You can also consult other documents prepared for the seminar on the theme of labels at the following link: http://www.sba-int.ch/Library.htm#14 . The seminar in the Beirut is organised be the DELTA association, in collaboration with DELTA Lebanon (International Chamber of Commerce - ICC), the Jordanian DELTA network (Jordanian Network of Environmentally Friendly Industry - EOES/JNEFI) and sba. This event will take place within the DELTA Programme framework supported by the Swiss Agency for Development and Cooperation (SDC). As you know, during the past few years, businesses in developing countries have had to comply increasingly with international requirements related to environmental impacts. Emerging countries are in the process of upgrading their regulations in order to change this constraint into a growth factor. Source: sba-int.ch Corporation as political actors ? Facing the postnational constellation In collaboration with the UN Global Compact, the first Swiss Master Class in CSR will be held on 8/9 December 2006 at the HEC Lausanne. It is generously supported by our corporate sponsors Banque Privée Edmond de Rothschild S.A, Hewlett Packard and Nobel Biocare. Media coverage will be guaranteed by our media partners Brand Eins and Bilan. Source: http://www.hec.unil.ch/csr Sommet euro-méditerranéen sur l'investissement Un sommet euro-méditerranéen sur l'investissement est prévu le 21 novembre prochain à Marseille (sud de la France). Sous le thème "Risques et opportunités d'investissement dans la zone Euromed", l'édition 2006 de l'"EuroMediterranean Business Summit", intervenant à quelques jours seulement de la tenue à Tampere (sud-est de la Finlande, pays qui préside actuellement l'Union européenne) d'une réunion des ministres des Affaires étrangères des membres du Processus de Barcelone, à laquelle l'Algérie est représentée par Mohammed Bedjaoui. Pour le rendezvous marseillais, l'Algérie sera également représentée par une personnalité de haut niveau en plus d'une délégation comprenant notamment des hommes d'affaires et des chefs d'entreprise nationaux. Organisée par Economist Conference, une institution internationale spécialisée dans l'organisation de rencontres à caractère économique, ce sommet, dans la continuité de l'édition précédente, vise, comme le rapporte l'agence APS, à mettre en lumière "le potentiel d'investissement d'une région en plein développement". Source: algerie-monde.com The DELTA Review, SBA's monthly e-newsletter, compiles and reports recent news and events in the fields of economy, politics, new technologies, cleaner production. The information contained in this newsletter is for information purposes only.SBA does not represent or endorse the accuracy or reliability of any advice, opinion, statement or other information contained in this review. Sustainable Business Associates (SBA) is an international NGO based in Switzerland. It cooperates with enterprises within the context of sustainable development, to encourage their participation in environmental action, in order to simultaneously improve their economic efficiency and reduce their ecological impacts. - 14 - Compiled by: Sustainable Business Associates 56, Ch. du Châtelard CH-1018 Lausanne, Switzerland Email: [email protected] Web: http://www.sba-int.ch