Novembre - Sustainable Business Associates

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Novembre - Sustainable Business Associates
THE
DelTAreview
an SBA Publication
Year 3, Issue 31. November 2006
INDUSTRY • ENVIRONMENT • MEDITERRANEAN
Dear Readers,
Corporate Social Responsibility (CSR) is a concept which encourages
companies to integrate social, environmental and economic concerns in
their activities and their interactions with their stakeholders on a voluntary
basis. The concept was institutionalised in 2002 during the World Earth
Summit in Johannesburg with the participation of the World Business
Council for Sustainable Development (WBCSD). In 1999, the SecretaryGeneral of the UN, Kofi Annan, instigated the Global Compact of 1999
which aims to promote civic responsibility within companies implicated in
globalisation.
The implementation of a CSR policy implies real changes in governance
which companies do not seem to want to adopt yet. At best, CRS is used by
companies as a means of improving their public image or as a tool for
negotiation with trade unions. Moreover, CSR remains a western concept
which finds difficulty in being integrated in emerging southern countries,
in particular in the Maghreb and Mashreq. In order for CSR to truly become
a global compact as seen by UNEP, it is important to integrate local,
cultural, social and economic dimensions.
CONTENTS/SOMMAIRE
DOSSIER (CORPORATE SOCIAL RESPONSIBILITY)
What is Corporate Social Responsibility (CSR)? - p. 2
CSR and Development - p. 4
ECONOMY / POLITICS
L'Algérie veut peupler ses zones semi-arides - p. 7
INDUSTRY
Gazprom explores North Africa - p. 8
CLEANER PRODUCTION
The birth of a quieter, greener plane - p. 9
TECHNOLOGY
New Technology Turns Food Leftover into Electricity - p. 10
ENERGY
L'Egypte ouvrira sa première centrale nucléaire dans 10 ans - p. 11
ENVIRONMENT
Sacs plastiques bio-dégradables - p. 12
OTHER NEWS AND UPCOMING EVENTS
Fair Trade Incentives Through Ecolabelling - p. 14
Chères lectrices, chers lecteurs,
La Responsabilité Sociale ou Sociétale de l'Entreprise (RSE) est un concept
qui incite les entreprises à intégrer les préoccupations sociales, environnementales, et économiques dans leurs activités et dans leurs interactions
avec leurs parties prenantes sur une base volontaire. Ce concept a été institutionnalisé en 2002 lors du Sommet de la Terre à Johannesburg avec la
participation du World Business Council for Sustainable Development
(WBCSD). En 1999 déjà, le Secrétaire Général de l'ONU, Kofi Annan, a été
l'instigateur du Pacte Mondial de 1999 qui vise à l'émergence d'une
culture d'entreprise s'inscrivant au cœur de la stratégie économique.
La mise en œuvre d'une politique de RSE implique un réel changement de
gouvernance que les entreprises ne semblent pas encore vouloir adopter.
Au mieux, la RSE est utilisée par les entreprises comme un moyen pour
soigner leur image de marque et comme un outil de négociation avec les
syndicats. De plus, la RSE reste un concept occidental qui peine à s'imposer dans les pays émergent du Sud notamment dans les pays du Maghreb
et du Machreq. Pour que la RSE devienne ce véritable pacte global
souhaité par le PNUE, il est important d'intégrer les dimensions locales,
culturelles, sociales et économiques.
WITH THE SUPPORT OF:
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WHAT IS CORPORATE SOCIAL RESPONSIBILITY (CSR)?
Qu'est-ce que la responsabilité sociale des entreprises?
La responsabilité sociale des entreprises (RSE) est aussi connue sous diverses autres appellations : responsabilité des entreprises, reddition de comptes des entreprises, éthique des entreprises, conscience sociale des entreprises, durabilité, gérance, triple bilan et entreprises responsables, pour n'en nommer que quelques-unes.
La RSE est un concept en pleine évolution pour lequel il n'existe pas, à l'heure actuelle, de définition universellement acceptée. Elle
est généralement interprétée comme étant la façon dont les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales et
économiques à leurs valeurs, à leur culture, à leur prise de décisions, à leur stratégie et à leurs activités d'une manière transparente et
responsable, et donc la façon d'instaurer des pratiques exemplaires, de créer de la richesse et d'améliorer la société.
Le World Business Council for Sustainable Development décrit la RSE comme étant la contribution de l'entreprise au développement
économique durable. Fondée sur le respect des lois et des règlements, elle englobe ordinairement des engagements et des activités
qui vont au-delà des exigences juridiques, notamment en matière :
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de gouvernance et d'éthique de l'entreprise
de santé et de sécurité
de gérance de l'environnement
de droits de la personne (y compris les droits fondamentaux dans le domaine du travail)
de gestion des ressources humaines
de participation, de développement et d'investissement communautaires
d'implication et de respect des autochtones
de mécénat d'entreprise et de bénévolat des employés
de satisfaction de la clientèle et de respect des principes de concurrence loyale
de mesures anticorruption
de reddition de comptes, de transparence et de production de rapports sur le rendement
de relations avec les fournisseurs, tant pour les chaînes d'approvisionnement niveau national que pour celles à l'étranger.
Ces éléments de la RSE sont souvent reliés et interdépendants et s'appliquent aux entreprises, peu importe l'endroit où elles exercent
leur activités.
Puisque les entreprises jouent un rôle essentiel dans la création d'emplois et de richesse dans la société, la RSE constitue une préoccupation centrale de gestion. Elle incite les entreprises à être proactives dans la gestion des risques et à tirer parti des occasions,
surtout à l'égard de leur réputation et de la mobilisation générale de leurs parties prenantes. Ces dernières peuvent comprendre les
actionnaires, les employés, les clients, les collectivités, les fournisseurs, les gouvernements, les organisations non gouvernementales,
les organisations internationales et d'autres qui sont touchés par les activités de l'entreprises. Avant tout la RSE est une question de
rendement : il s'agit d'aller au-delà des mots pour déboucher sur des gestes et des impacts sociétaux efficaces et observables. La production de rapports sur le rendement fait partie intégrante du comportement transparent, responsable - et par conséquent, crédible
- de l'entreprise. Le risque de problèmes est considérable lorsque les parties prenantes d'une entreprise croient que celle-ci ne fait
que se livrer à un exercice de relations publiques et qu'elle n'est pas en mesure de démontrer la prise de mesures concrètes qui procurent des avantages sociaux et environnementaux réels.
Source: strategis.ic.gc.ca
-2-
BENEFITS OF CSR
Avantages possibles de la mise en œuvre d'une approche de la
Responsabilité Sociale de l'Entreprise
Voici une liste partielle des principaux avantages possibles de l'instauration de la RSE :
· Une prévision et une gestion améliorées d'un éventail toujours plus grand de risques. Une gestion efficace
des risques sociaux, environnementaux, juridiques, économiques et autres, dans un marché de plus en plus
complexe, avec une surveillance plus étroite et l'examen minutieux des activités de l'entreprise par les
parties prenantes, peut améliorer la sécurité de l'approvisionnement et la stabilité générale des marchés.
· Une meilleure gestion de la réputation. Les organisations qui connaissent un bon rendement au chapitre de
la RSE peuvent se bâtir une réputation, alors qu'une piètre performance à cet égard risque, lorsqu'elle est
exposée au grand jour, de réduire leur valeur et celle de leurs marques.
· Une plus grande facilité à recruter, à former et à garder le personnel. Elle peut être la conséquence directe
de la fierté suscitée par les produits et les pratiques de l'entreprise ou de la mise en place de meilleures
pratiques sur le plan des ressources humaines, comme des politiques favorables à la famille. Elle peut aussi
découler indirectement de programmes et d'activités qui améliorent le moral et la loyauté des employés.
· Une amélioration de la compétitivité et du positionnement sur le marché. Elle peut se produire grâce à la
différenciation et à l'innovation aux chapitres de l'organisation, des processus et des produits. De bonnes
pratiques de RSE peuvent aussi faciliter l'accès à de nouveaux marchés par la certification (exemple : ISO).
· Une efficience opérationnelle et des économies accrues. Elles résultent, en particulier, d'améliorations apportées à l'efficience qui
ont été repérées grâce à une approche systématique de la gestion qui vise notamment le amélioration constant. Ainsi, en évaluant
les aspects environnementaux et énergétiques d'un procédé, on peut découvrir des occasions de transformer des flux de déchets
en sources de revenus et de réduire la consommation globale d'énergie.
· Une capacité accrue d'attirer et d'établir des relations efficaces et efficientes avec les maillons de la chaîne d'approvisionnement.
Les entreprises aux vues similaires peuvent établir des relations d'affaires à long terme qui s'avèrent profitables. Les grandes
sociétés peuvent inciter des entreprises plus petites avec qui elles font affaire à instaurer une approche de la RSE. Par exemple,
certains grands constructeurs d'automobiles insistent pour que leurs fournisseurs possèdent une certification attestant leur respect
de normes relatives aux systèmes de gestion environnementale.
· Une meilleure capacité d'adaptation aux changements. Une entreprise qui, grâce à des
échanges constants avec les parties prenantes, se tient au courant de l'évolution des
choses se trouve mieux placée pour prévoir les changements susceptibles de survenir
sur les plans réglementaire, économique, social ou environnemental et pour y réagir.
· Un soutien plus fort de la société à des interventions dans la collectivité. Une meilleure
compréhension de l'entreprise, de ses objectifs et de ses activités par les citoyens et les
parties prenantes se traduit par des relations plus fructueuses. Ce phénomène peut
alors engendrer des alliances plus fortes et plus durables avec le public, le secteur privé
et la société civile.
· Un accès aux capitaux. Les institutions financières tiennent de plus en plus compte de
critères sociaux et environnementaux lors de l'évaluation des projets. Quand il s'agit
de décider où placer leur argent, les investisseurs cherchent les indices d'une gestion efficace de la RSE.
· De meilleures relations avec les organismes de réglementation. Certaines administrations gouvernementales appliquent des
processus d'approbation plus rapides à l'endroit des entreprises qui ont mené des activités sociales et environnementales qui vont
au-delà des exigences de la réglementation.
Source: strategis.ic.gc.ca
-3-
CSR AND DEVELOPMENT
Can Corporate Social Responsibility Help Development Out?
The proponents of CSR generally consider the concept as a pragmatic and innovative way of enhancing the contribution of the
private sector to development. Many also see CSR initiatives as an alternative to
government regulation. Others consider them as complement to regulations. The
main reason they are a complement to regulations is because the public sector
relies on regulation, and law-based sanction for implementation, while CSR relies
on a set of market-based drivers.
Apart from assessing the scale, scope and implementation of specific CSR policies
and institutional arrangements, it is important to consider the wider
developmental implications of CSR. There is a fairly generalized perception, shared
by many individuals and organizations promoting CSR, that both CSR and
partnerships, in any shape or form, must be good for development. We can look
carefully at this assumption given the following characteristics and potential
negative impacts of CSR in developing countries:
· the CSR agenda tends to be "northern driven" and focuses on a fairly narrow set of issues, sectors and companies;
· "Indigenous" approaches to CSR, which exist in all societies, don't receive much attention from the mainstream CSR community,
which tends to focus on a fairly standardized set of approaches and instruments.
· Small and medium-sized firms in developing countries that form part of multinational company supply chains are often expected
to pay the costs of CSR. Multinationals or northern consumers may do little, if anything, to share these costs. Moreover,
Multinationals and large northern retailers continue to impose onerous conditions on suppliers in terms of price and delivery
schedules, which limits their ability to improve conditions.
· CSR may reinforce trends involving the concentration of corporate power by squeezing small firms from supply chains and concentrating production in larger firms with greater capacity to implement CSR initiatives.
· CSR may have protectionist implications by restricting access of southern firms to northern markets, although such implications are
sometimes overstated.
· CSR and partnerships may enhance the competitive advantage of multinationals at the expense of firms in developing countries.
· Many developing country governments, constrained by international pressures associated with debt servicing, structural adjustment and "down-sizing", are unable to develop the type of regulatory and incentive structures that would encourage CSR.
If CSR is to make a more significant contribution to development, its proponents face two major challenges. First, there needs to be a
better integration of voluntary approaches and law or government regulation, rather than the present situation where voluntary initiatives are often seen as an alternative to legal instruments. Second, the CSR agenda needs to become more "south-centered".
The Implementation Plan, issued after the 2002 World Summit on Sustainable Development moves beyond a reliance on voluntary
approaches. It commits signatory governments to actively promote corporate responsibility and accountability, including through
the full development and effective implementation of intergovernmental agreements and measures, international initiatives and
public-private partnerships, and appropriate national regulations.
There are some companies that will only take social responsibility on board if they have to. On the other
hand, while there are many question marks regarding the future of CSR, in particular about its voluntary
nature, engaged companies claim notable achievements. CSR has led to developments in company
reporting, and in the elaboration of good principles and good practice in company behaviour.
More and more often one can observe a trend in discussion on CSR that voluntary measures can help
improve private-sector behavior, but voluntary activity is no-
-4-
CSR AND DEVELOPMENT CONTINUED
substitute for regulation and there is evidence that companies that espouse voluntary approaches to meet environmental standards
are frequently involved in resisting external regulations.This concerns mainly developing countries, where national legislation framework is weak. Even if necessary laws do exist, many governments including in developed countries do not have political will or effective instruments to enforce them.
In contrast, the regulation in developed world tends to be stronger. The companies are bound by laws protecting the environment,
human rights, etc. But these only extend to the activities of companies based or operating in those countries, and not to the overseas
activities.
One may argue that once there is no need for new extended governmental regulations
in developed economies, definitely there is such a need in developing and in transition
countries. On one hand Governments in the latter ones, with support of international
institutions, might establish a regulatory framework - "a minimum requested by law",
and on the other international community may consider building an international
commonly accepted legal framework to regulate the global activities of multi-national enterprises. Such an approach would help in overcoming low enforcement capacity
of developing countries.
In fact, various elements of such an international framework already exist. There is no
need for campaigning for new regulations; it's rather a need to merge existing
mechanism in one comprehensive framework to be adopted by countries. This
framework could be based on "plan, do, monitor, report, evaluate" model.
The OECD convention of 1997 aimed at outlawing the bribery by business people of foreign public officials constitute a good example providing directions on the way to go. To push ahead work on the comprehensive CSR framework a collective action would be
needed. Developed countries' governments would need to change their law so that companies from those countries are held
accountable for their environmental impact worldwide.The next essential step would be strengthening existing OECD and EU guidelines so that they become binding regulation rather than just a voluntary code of conduct. The most difficult aspects would be to
agree on and adopt concrete standards in fields such as management systems, assurance standards, performance standards, and performance reporting that jointly with national regulations, international law would constitute a holistic CSR framework.
Source: worldbank.org
Leading Companies Showcase commitment to marine environment
In a move that showcases their commitment to Corporate Social Responsibility, major multinational and local businesses are among
the sponsors of a key regional conference on marine conservation held in Abu Dhabi in September 2006.
More than 80 environmental experts from the GCC, Iran and Yemen attended the Marine Conservation Forum, where a strategy on
regional cooperation to preserve endangered marine turtles and coral reefs will be developed. The Forum which has taken place on
11 - 14 September 2006 at the Crowne Plaza, Abu Dhabi was organized by EWS-WWF (Emirates Wildlife Society - World Wildlife Fund
for Nature) under the patronage of the UAE Ministry of Environment & Water. 'As an Abu Dhabi-headquartered organisation fully committed to supporting the sustainable development initiatives of the emirate's government and its private sector, First Gulf Bank had
no hesitation in sponsoring this important international symposium' said André Sayegh, Chief Executive Officer, First Gulf Bank, the
main sponsor of the Forum.
'The bank has prioritised sustainability and environmental awareness as key planks in its corporate social responsibility programme.
These are issues which the bank believes are in line with its own philosophy of delivering best-of-breed environments to the communities it serves'
Source: ameinfo.com
-5-
CORPORATE SOCIAL RESPONSIBILITY IN MENA
Current situation in Mashreq countries
Reports reveal that "CSR" in the region is generally driven by rational choices of business or political choice rather than by societies'
expectations or pressure from below. Drivers of "CSR" are found to be common in the MENA countries:
· The need to improve the investment climate; better governance, voluntary disclosure, transparency, accepting the rule of law and
so on (Turkey, Morocco, Egypt)
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Increased international and local competition due to liberalisation; concerns for efficiency and productivity ( Jordan, Turkey, Egypt)
International business relations; learning by examples (all countries)
International Codes of Conducts such as BSCI Code in the textile industry (Morocco, Turkey)
The need to comply with International Standards (Morocco, Turkey)
Government; new laws and regulations-Corporate Governance Codes, disclosure and reporting
requirements, labour law (Turkey, Morocco, Palestine, Jordan)
· Improved enforcement of existing laws and regulations (Turkey, Egypt)
· International campaigns, programs, projects such as Global Compact, WB-IFC and UNDP programs(Turkey, Lebanon, Egypt)
· Consumer preferences in developed countries for ethical Trading movement (Turkey, Morocco, Egypt)
· Relations with European Union (Turkey, Jordan, Morocco)
· Activism of Global Civil Society Organisations such as Green Peace, Transparency International directly or through local agents
(Turkey, Lebanon)
· Awards and ratings (Morocco, Turkey)
The reports give an account of current "CSR" practices in the region. The common characteristics are as follows:
· Subsidiaries of multinational companies demonstrate examples of "CSR" by simply complying with their corporate policies.They are
also the primary source of funding for "CSR" oriented NGOs
· Philanthropic activities are focused on supporting education, health care and other shortcomings in the social welfare
· Business organisations and business funded Civil Society Organisations (CSOs) are more active in promoting the concept of "CSR"
than Grassroots Civil Society Organisations (GCSOs). This drives the search for "business case".
· Corruption and unregistered economy is a major issue
· There is an upsurge of new laws and regulations in the region which include labour and environment related provisions induced by
the willingness to comply with international agreements and/or standards
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Businesses that are suppliers to European retailers are forced to comply with international or sector based codes of conduct
International activism reaches the MENA countries and encourage emergence of local activist organisations
A handful of local companies fund the NGOs which is a matter of concern in relation to their independence and motives
Reputation and good image of companies are more important for the society than their observed behaviour
In most countries the society does not differentiate between ethical behaviour and obeying the law in evaluating the business
behaviour. The absence of free investigative press and restrictions on the rights to organise and freedom of speech put constrains
on development of GCSOs.
Source: worldbank.org
More links and sources / Autres sources et liens
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European Commission ec.europa.eu
Government of Canada strategis.ic.gc.ca
Responsible Business Forum in Estonia: csr.ee
World Bank MENA Development Forum: worldbank.org
World Bank CSR: worldbank.org
World Business council for Sustainable Development: wbcsd.ch
Mouvement des Entreprises de France: medef.fr
UK Government: csr.gov.uk
Observatoire de la responsabilité sociale: orse.org
-6-
Economy / Politics
IMF comments Morocco for "sound macroeconomic policies
and structural reforms"
Washington - The International Monetary Fund (IMF) has
commended Moroccan authorities on their implementation of sound macroeconomic policies and structural
reforms, noting that, in recent years, these policies had
supported the acceleration of non-agricultural growth in
an environment characterized by low inflation and
comfortable international reserves, and the steady rise of
per capita income. IMF Directors, who concluded last week the Article IV consultation with Morocco, have viewed that, with macroeconomic conditions
strengthening, short-term prospects are favorable.To this end, they supported a
strategy of medium-term fiscal consolidation, enhancing the efficiency of
financial intermediation, and deepening Morocco's integration into the global
economy. Directors also noted that fiscal consolidation should be the top
policy priority.They agreed that Morocco's fiscal strategy for gradually reducing
the deficit to 3 percent of GDP over the medium term is appropriate. They
welcomed the ongoing reform of the tax system and noted that a simpler and
more transparent tax system and strengthened administration would help
broaden the tax base and increase revenue. While they congratulated the
authorities on the success of the 2005 early retirement program for civil
servants, Directors stressed that the credibility of the fiscal strategy will depend
on the authorities' ability to curb wage bill growth and reduce the fiscal cost of
oil and food subsidies. They urged the authorities to seize the opportunity of
the 2007 budget to send a strong signal on their commitment to fiscal
consolidation.
Source: map.ma 18/10/06
L'Algérie veut peupler ses zones semi-arides
ALGER - L'Algérie, qui comptera 43 millions
d'habitants en 2025, dont 80% urbanisés, veut
redéployer sa population vers les zones semi-arides
des hauts plateaux, au nord du Sahara, pour soulager
sa fragile bande littorale. Le président Abdelaziz
Bouteflika a relancé cette idée, dite "option hauts
plateaux" émise dans les années 1970, en la qualifiant d'"impératif pour la
profondeur stratégique" du pays, lors d'une séance de travail consacrée à l'aménagement du territoire, selon un communiqué de la présidence rendu public
dimanche. L'objectif principal de ce projet est de réduire la pression démographique exercée sur l'étroite bande côtière, la plus fertile du pays, qui abrite la
grande majorité de sa population. Deux tiers des 33 millions d'Algériens vivent
actuellement sur 4% du territoire. L'Algérie comptera 36 millions d'habitants en
2010, selon les projections officielles, avec un taux d'urbanisation de plus de
60%. Depuis l'indépendance du pays en 1962, l'exode rural massif a entrainé une
urbanisation anarchique, qui a dévoré les riches terres agricoles du nord,
notamment la plaine de la Mitidja et le Sahel, près d'Alger. Le même phénomène
concerne aussi les régions agricoles de l'est et de l'ouest du pays. Des vergers
détruits ont laissé place à des villas cossues et des usines. Les hauts plateaux
représentent une bande semi-aride courant d'est en ouest sur toute la largeur
de l'Algérie à une altitude moyenne de 1.000 mètres. "L'option hauts plateaux",
vieux projet datant des années 70, prévoit la création sur le modèle de Brasilia,
d'une nouvelle capitale pour l'Algérie autour de la ville de Boughezoul près de
Djelfa, à 270 km au sud de la capitale actuelle, Alger.
Source: avmaroc.com 29/10/06
-7-
Coopération économique en Libye
Le secrétaire du comité populaire général libyen
de l'Economie, du Commerce et de l'Investissement, Tayeb Saffi, s'est réuni dimanche après-midi
à Tripoli avec le vice-ministre italien du Commerce
international, Maoro Ogustino, sur les moyens de
promouvoir la coopération écono-mique entre les
deux pays. L'ambassadeur d'Italie en Libye,
Francesco Trupiano, qui a assisté à la rencontre a
déclaré que les deux parties ont décidé de réactiver les clauses de la Déclaration conjointe libyo-italienne à travers la création de sociétés commerciales et de projets d'investissements dans tous les
domaines. Cette Déclaration conjointe, dans
laquelle l'Italie a présenté des excuses au peuple
libyen pour sa colonisation et s'est engagée à le
dédommager pour les drames causés par ce colonialisme a, été signée par les deux pays le 9 juillet
1998, rappelle-t-on. Elle préconise, entre autres, la
création d'une société libyo-italienne pour
soutenir l'économie libyenne dans l'exécution des
projets d'infrastructure et de développement ainsi
que la construction d'un centre spécialisé destiné
au traitement de mutilés et à la fabrication de
prothèses.
Source: jeuneafrique.com 29/10/06
Grosse délégation nippone au Maroc
Une importante délégation d'hommes d'affaires
japonais est au Maroc du 29 octobre jusqu'au 4
novembre. Conduite par le Centre nippon de
productivité pour le développement socioéconomique, cette délégation devra examiner des
opportunités de partenariat et d'investissement,
notamment dans le domaine du portuaire, des
zones franches, de l'industrie, de la microélectronique, de l'énergie, du câblage ou encore de
l'énergie… La délégation prévoit également de se
rendre au siège de la CGEM à Casablanca.
Source: leconomiste.com 30/10/06
Egypt ranking
Out of the 175 economies reviewed by World Bank
Group's Doing Business Index, Egypt is ranked 165,
putting it ahead of only poverty-stricken countries
such as Sierra Leone and Eritrea, many of them
with active civil wars. The index ranks the
economies based on the ease of doing business.
Using 10 equally-weighted indicators developed
by the World Bank Group's finance and private
sector vice presidency, economies are assessed in
various categories, from the ease of starting a
business and hiring employees, to the degree of
investor protection. While the rankings are based
on studies of existent laws and regulations, interviews with regulators or private-sector professionals, and cooperative arrangements with other
departments of the World Bank and other donor
agencies, the index is still limited in scope, as
admitted by the index methodology documents.
Source: businesstodayegypt 30/10/06
Industry
Gazprom explores North Africa
Libye-Telecom signe un nouveau contrat
Publicly traded but government controlled,
Gazprom is the world's largest producer of
natural gas, and in mid-October signed a
memorandum of understanding with the
Egyptian government to provide assistance
with exploration and marketing of Egyptian
gas. In August, Gazprom also signed a memorandum with Algeria's state-run
energy company, Sonatrach, to coordinate on many aspects of Algeria's natural
gas operations. "Gazprom believes it is becoming a 'global energy company'
and therefore should develop relations with a large number of companies in
different parts of the world," according to Jonathan Stern, the director of the
Gas Program at the Oxford Institute for Energy Studies. Gazprom's foreign
operations are growing all over the world, especially Europe. In 2005 a Gazprom
pipeline that runs to Turkey began operating at full capacity, and an agreement
with two German companies, BASF AG and E.ON AG, for the North European Gas
Pipeline went into effect.The pipeline will connect Russia and Germany through
the Baltic Sea, and will likely move 55 billion cubic meters per year, according to
Gazprom. The company's ongoing interest in expanding overseas may partially
explain its moves into North Africa, but governments in the region have their
own motivations for cooperating with Gazprom. For Algeria and Egypt, whether
or not they profit directly from relations with Gazprom could be beside the
point. "Gazprom is a useful counterpart to use as a negotiating lever" with other
international energy companies, Stern said. Indeed, with demand for natural gas
skyrocketing in China, the United States, and Europe over the next 25 years,
exporting countries will be using whatever leverage they can to maximize their
profits.
Source: metimes.com 30/10/06
La société libyenne des postes, communications et
technologie de l'information, Libye-Télécom, et les
sociétés Alcatel et Sirti ont signé mercredi soir à
Tripoli un contrat d'exécution d'un projet destiné à
connecter toutes les régions libyennes à un réseau
de communication de pointe. S'exprimant au cours
de la cérémonie, le secrétaire du comité de direction de Libye-Télécom, le Dr Mohamed Mouammar
Kadhafi, a affirmé que ce projet constitue le nerf
des projets d'infrastructure de base du pays. Il a
souligné l'importance du projet qui servira tous les
autres secteurs et les projets qui seront exécutés
étant donné qu'ils ont été pris en compte lors de la
conception du projet notamment en matière de
câbles en fibre optique couvrant la Libye pour une
période de plus de 50 ans.
Source: jeuneafrique.com 20/10/06
Thirty Egyptian Tech Firms to Participate in GITEX Dubai 2006
CAIRO: Over thirty Egyptian companies will participate in the
GITEX Dubai 2006 exhibition scheduled for Nov. 18-22 this year
with support from the Egyptian Ministry of Communication
and Information Technology. The Information Technology
Industry Development Agency (ITIDA) will be responsible for
the organization and arrangement of Egyptian companies'
participation in the event. Mohammad Emran, chief executive
officer of ITIDA, said his agency organized meetings with representatives from
Egyptian technology companies to discuss ways of support for their participation in the exhibition, which is expected to attract more investments in the
Egyptian technology industry. ITIDA provides participants with 85 percent of
the total cost of participation, especially for events on outsourcing mainly
organized in Britain and Germany. The Egyptian companies' showroom is
expected to reach 350 square meters and Egyptian technology companies will
focus on the promotion of their software evaluation services. GITEX Dubai 2005
attracted about 1163 participants, representing companies from 61 countries
worldwide.
Source: dailystaregypt.com 30/10/06
-8-
Yahoo! Unveils Alternative Fuel
Automotive Site
Yahoo! Autos, one of the most comprehensive
automotive resources on the Internet, today
announced the launch of the new Yahoo! Autos
Green Center. The new Green Center provides consumers with the most comprehensive, unbiased
source of information, resources and community
about alternative fuel vehicles (AFVs), including
hybrid, flex fuel/E85, bio-diesel, compressed natural
gas and others. The Green Center brings together
industry information from expert partners as well
as consumer-generated content from Yahoo!'s
leading social media properties, Yahoo! Answers,
del.icio.us and Yahoo! Groups.
Source greenbiz.com 02/11/06
Greenpeace se fait chasser de Mac Expo sur
fond d'environnement
Pour Greenpeace, " nous aimons
nos Mac mais détestons le fait
qu'ils soient pleins de produits
chimi-ques et toxiques. " Pour
l'association, " Mac Expo n'aime pas le vert de nos
pommes. " Greenpeace a tenter de mener une
action coup de poing contre Apple lors de son
show le Mac Expo. Les militants de l'association
écologiste avaient pris un stand sur le salon Mac
Expo. Mais l'organisateur de l'événement les a
expulsés après seulement quelques heures, suite à
plusieurs plaintes anonymes. Nos volontaires
avaient installé un stand pour inciter les fans du
Mac à pousser Apple vers une meilleure démarche
de protection de l'environnement. Pour Greenpeace, " tout que nous voulons est une avancée de
la politique d'Apple dans l'environnement."
" Est-ce hérétique au point de nous jeter nous
dehors ? "s'interroge l'association.
Source: actualites-news-environnement.com
Cleaner Production
Un nouveau label dans le secteur de la construction
The birth of a quieter, greener plane
Le label Haute performance énergétique (HPE) correspond
à une diminution de 10% par rapport à la consommation
de référence de la réglementation thermique (RT) 2005,
qui établit une consommation entre 80 et 205
kilowattheures d'énergie primaire par mètre carré et par an
(kWh/m2/an). Quant à la Très haute performance énergétique (THPE), elle exige une baisse de 20% par rapport aux
mêmes consommations de référence. Les autres labels, type Haute qualité
environnementale, ou encore Habitat et environnement, affichent des objectifs
énergétiques similaires. Or, les exemples allemands (Passiv Haus) et suisses
(Minergie) montrent que l'on peut atteindre, avec le savoir-faire actuel, une consommation comprise entre 30 et 45 kWh/m2/an. Autant dire que, malgré les
opérations publicitaires autour des labels français, ces derniers restent un effort
mineur consenti par le secteur de la construction. A l'instar de Bouygues immobilier qui s'est engagé le 19 octobre à certifier Habitat et environnement la totalité de ses programmes de logements en France. Les choses pourraient évoluer
d'ici la fin de l'année avec l'intégration de trois nouveaux niveaux dans l'arrêté
qui fixe les conditions d'attribution des labels HPE et THPE. "Tout n'est pas fixé,
mais nous voudrions créer des labels qui poussent les maîtres d'ouvrage à faire
mieux, notamment en intégrant toujours plus d'énergies renouvelables (ENR)",
explique Alain Jacq, directeur adjoint à la Direction générale de l'urbanisme, de
l'habitat et de la construction (DGUHC). Deux niveaux intermédiaires
associeraient la diminution de la consommation d'énergie, entre 30 à 40%
inférieure aux consommations de référence, et l'obligation d'utiliser des ENR.
L'un des deux labels porterait plus précisément sur l'utilisation du bois. Et enfin,
attendu depuis longtemps, un label Très basse consommation énergétique
serait créé. Pour l'instant, il est question de fixer le curseur à 50 kWh/m2/an.
Source: journaldelenvironnement.net 23/10/06
Now a team of researchers in Britain and the US has
come up with a revolutionary new aircraft design
that could make a dramatic contribution to curbing
climate change. The SAX-40, which has been developed by the Cambridge-MIT Institute, is a radically
different shape of aircraft. Officially, it is what is
known as a "blended wing". It has a tailless wedgeshaped body with two bat-wings.The Silent Aircraft
Initiative (SAI) team has succeeded in coming up
with a radically quieter plane. Crucially, the SAX-40
is also 35% more fuel-efficient than any airliner
currently flying. Oil prices may no longer be the $78
a barrel they were a few months ago, but with high
fuel costs likely to continue; fuel efficiency is a
major factor in all airlines' calculations. Yet none of
this means the SAX-40 will necessarily be built. Ever
since the Boeing 707 first flew in 1957 and ushered
in the commercial jet age, airliners have changed
very little in their basic appearance.
Source actu-environnement 29/08/06
Dubai Recycling Park first to manage region's
waste
National Projects Holding Co, a subsidiary of the
National Real Estate Co. of Kuwait has signed an
agreement with Dubai Industrial City, a subsidiary of
Tatweer (a Member of Dubai Holding), to establish
Dubai Recycling Park, the first fully integrated waste management and recycling
park in the Middle East. "We plan to revolutionize the way the Middle East
manages waste by establishing up to a dozen different recycling plants within
the Dubai Industrial City,' said Musaed Al-Saleh, Vice Chairman and CEO of
National Projects Holding Co. 'This will not only handle the in-flow of waste from
the booming Dubai Industrial City from its green field commencement, but
from across the Emirate of Dubai and the greater UAE as well.' The concept was
developed from the message of HH Sheikh Mohammed Bin Rashid Al Maktoum,
UAE Vice President, Prime Minister and Ruler of Dubai, which delivered that it is
the responsibility of industrialized nations to safeguard the environment. Most
GCC countries rank in the top ten worldwide in terms of waste production per
capita. Dubai's current construction boom ranks it fourth worldwide. Both these
factors provided the compelling argument for Al-Saleh to approach Dubai
Industrial City where he received an immediate welcome.
Source: ameinfo.com 31/10/06
-9-
Clean coal "both green and competitive"
Andris Bielbalgs visited the
construction site of the
Torrevaldalliga Nord project that will create a clean
coal power plant out of a
former fuel oil plant,
cutting emissions from the plant by 80%, as part of
a visit to Italy to discuss the EU energy green paper.
As well as cutting emissions the project hopes to
help balance Italy's electricity generation mix,
according to Italian electricity retailer Enel, the
company behind the project. The EU expressed its
confidence in the controversial technology's future
during last week's Fossil Fuels Forum in Berlin,
where EU officials called for coal-fired plants to
start preparing for the advent of CCS technology
even before it becomes commercially viable - most
likely around 2020.
Source: edie.net 19/10/06
USA, le recyclage des déchets en hausse
32% des déchets ménagers solides ont été recyclés
en 2005 selon l'Agence de protection de l'environnement (EPA). Soit 79 millions de tonnes sur un
total de 245 millions composés de papiers (34,2%),
de plastiques (11,8%), etc. Le tonnage des déchets
recyclés a augmenté de 2% par rapport à 2004,
tandis que le tonnage global de déchets ménagers
a baissé de 2%. Les emballages (40%) et le papier
(50%) ont les taux de recyclage les plus importants.
Source journal environnement.net 24/10/06
Technology
Forum à Hammamet sur les investissements dans les Technologie
de l'Information et des Communications (TIC)
Les habitants du continent africain, dont le nombre
avoisine 14% de la population mondiale,ne représentent que 3,4 % des internautes dans le monde, tandis
que nombre des ordinateurs dont dispose l'Afrique ne
dépasse guère les 2,2% du total des ordinateurs dans
le monde avec des disparités importantes d'un pays à
l'autre. Au niveau du raccordement des institutions
d'enseignement et des entreprises au réseau Internet, les pays africains occupent les
dernières places dans les classements publiés par les organismes internationaux
spécialisés selon des chiffres datant de 2005. C'est autour de cette problématique et
en vue de rechercher les moyens d'y remédier que se tient depuis jeudi et pendant
deux jours à Hammamet, une station balnéaire située à 70 km au sud-est de Tunis, le
"Forum sur les technologies de l'information et de la communication pour tous: les
investissements dans les TIC en Afrique".A l'ouverture des travaux,le Premier ministre
tunisien Mohamed Ghannouchi a fait valoir que l'organisation de ce forum, un an
après la tenue à Tunis du Sommet mondial sur la société de l'information (SMSI),constitue une occasion pour assurer le suivi des recommandations et des décisions de ce
sommet, consignées dans "l'Engagement de Tunis" et "l'Agenda de Tunis pour la
société de l'information".Il a rappelé qu'au cours du sommet de Tunis,les participants
avaient mis en place des mécanismes de coordination et de suivi avec la participation
active de l'Union internationale des télécommunications (UIT), du Programme des
Nations unies pour le développement (PNUD) et de la Banque mondiale.
Source: jeuneafrique.com 26/10/06
New Technology Turns Food Leftover into Electricity
Tons of table scraps from the San Francisco Bay Area's finest
restaurants are being turned into renewable energy at a new
University of California Davis research and technology
demonstration facility. The Biogas Energy Project will process
eight tons of leftovers weekly (and later as much as eight tons
daily) from premier restaurants such as San Francisco's Slanted
Door, Jardiniere, Scoma's, Boulevard, and Zuni Cafe, and
Oakland's Oliveto and Scott's Seafood. If all goes well, each ton
of broccoli spears, cantaloupe rinds and fish bones will produce enough energy to
provide electricity to power 10 average California homes for one day. The Biogas
Energy Project is the first large-scale demonstration in the United States of a new
technology developed in the past eight years by Ruihong Zhang, a UC Davis professor of biological and agricultural engineering. The technology, called an "anaerobic
phased solids digester," has been licensed from the university and adapted for
commercial use by Onsite Power Systems Inc.The goal of this innovative public-private alliance is to divert organic matter -- stuff made from plants and animals,such as
food waste and yard clippings -- away from landfills and into the energy grid. That
reduces greenhouse gas emissions from landfills and turns trash into a substantial
source of clean energy.
Source: greenbiz.com 27/10/06
- 10 -
" Nasma TV "
La chaîne satellitaire maghrébine privée "Nasma
TV" diffusera ses programmes vers la fin de l'année
en cours, ont annoncé les fondateurs de la chaîne,
les frères Nabil et Ghazi Al Karoui. Cette nouvelle
chaîne, qui débutera par la diffusion du programme
"Star Academy Maghreb", vise à promouvoir la culture musicale maghrébine et à faire revivre le patrimoine tout en demeurant ouverte sur les cultures
du monde, selon ses fondateurs. Ce nouveau-né de
l'audiovisuel ambitionne de répondre à tous les
goûts, et ce à travers la mise en place d'une grille de
programmes viariés comprenant notamment les
jeux télévisés, les feuilletons, les débats, les programmes musicaux et le sport ainsi que des émissions pour enfants, a indiqué Nabil Karoui dans un
point de presse à Tunis.
Source: jeuneafrique.com 14/10/06
Alcoa Develops "engineered Natural
Systems" to Reduce Discharges
Alcoa says it is actively developing, evaluating, and
implementing natural sustainable technologies to
reduce the environmental footprint at its aluminum smelting, refining, and production facilities.
The innovative technologies, called Engineered
Natural Systems, use a variety of plants, soils, and
microbes to reduce the volume of discharged
stormwater and process water as well as the concentrations of pollutants in the discharged water.
These passive "green" technologies are helping
Alcoa to achieve environmental goals stated in its
"2020 Strategic Framework for Sustainability,"
which calls for the company to reduce process
water usage by 70% from 2000 to 2010 and achieve
zero water discharge by 2020.
Source: greenbiz.com 25/08/06
Biotechnologie: Bioprocédé de production
de biocarburant
L'institut de microbiologie de l'université de
Munster a en effet développé par modification
génétique d'E.Coli une souche de bactéries capable
de réaliser une transestérification des acides gras
des huiles végétales. Avec l'aide de glucose comme
substrat pour les bactéries, on obtient à partir des
acides gras un éthylester et non un méthylester
comme c'est le cas avec l'utilisation de méthanol
dans les procédés de synthèse traditionnels. Ces
éthylesters, appelés microbiodiesel par les
chercheurs allemands, peuvent tout aussi bien être
utilisés comme biocarburants. L'intérêt de ce
procédé breveté est triple : il consomme moins
d'énergie que la transestérification classique, évite
l'usage d'un produit toxique (le méthanol) et
permet surtout la production de biocarburant
d'origine totalement renouvelable.
Source: environnement-online.com 26/10/06
Energy
L'Egypte ouvrira sa première centrale nucléaire dans 10 ans
Le ministre égyptien des Affaires étrangères,
Ahmed Aboul-Gheit, a annoncé vendredi que son
pays ouvrirait sa première centrale nucléaire d'ici
dix ans, a rapporté l'agence de presse officielle
d'Egypte, MENA. M. Aboul-Gheit a tenu ces propos
avant son départ pour Alicante, un port espagnol
où il se rend pour participer au forum du Moyen- Orient pour discuter du
processus de paix dans la région et de la coopération euro-méditerranéenne.
Interrogé sur le programme nucléaire pacifique du pays, le ministre a répondu
que l'Egypte devait trouver des ressources énergétiques alternatives, comme le
nucléaire, l'énergie solaire ou éolienne, pour générer de l'électricité en raison de
la hausse des prix du pétrole et du gaz naturel. Le président égyptien Hosni
Moubarak a annoncé le 21 septembre que l'Egypte poursuivait ses recherches
scientifiques pour développer la technologie nucléaire pacifique malgré son
coût élevé. L'Egypte a commencé la recherche nucléaire de manière très limitée
en 1957 mais a décidé de geler son programme en 1986 suite à l'accident de
Tchernobyl. En 1968, l'Egypte a signé le Traité de non-prolifération nucléaire. Elle
soutient officiellement l'élimination des armes nucléaires dans la région.
Source: jeuneafrique.com 27/10/06
Turkey Keeps Expanding Natural Gas Network
Natural gas is being used more and more frequently for heating purposes in
Turkey. Accordingly, new pipelines are being built to meet the demand, and a
10,000-km line was incorporated in the system over the last four years. Turkish
Minister of Energy and Natural Resources Hilmi Guler spent the Ramadan holiday in Turkey speaking with citizens in the city of Ordu. Guler emphasized they
did not plan just to make promises,
but also to keep them. Noting Turkey
had made important progress in
natural gas investments, Guler said:
"We keep our promises. We will overcome all obstacles for natural gas
investments. A 4,500 km-natural gas
pipeline was built in Turkey over 20
years, but now we've built a 10,000-km natural gas pipeline during our four year
term." Guler also mentioned the hazelnut issue and asked that speculations not
to be taken into account. "The Turkish Soil Products Office will definitely continue its purchases," Guler said. Turkish cities that can currently use natural gas are
Istanbul, Ankara, Bursa, Eskisehir, Kocaeli, Sakarya, Bal?kesir, Konya, Kayseri,
Corum, Kutahya and Erzurum. More than 20 cities, including Samsun, Trabzon,
Manisa, Malatya, Sanliurfa and Denizli will start using natural gas soon.
Source: zaman.com 25/10/06
- 11 -
Italy Photovoltaic Capacity Seen up 50
Percent in 2006
The installed capacity of photovoltaic systems that
turn sunlight into power will rise 50 percent to
some 60 megawatts in Italy in 2006 and will grow
fast due to new incentives, an energy analyst said
on Thursday. "This year the new capacity will be 20
MW. It's a four-fold increase from last year's
(new capacity of ) 5 MW," Gianni Silvestrini, energy
adviser to Italy's Economic Development Minister
Pierluigi Bersani, told a photovoltaic conference.
"There is room for four or five-fold increases in the
next few years," Silvestrini said. Sun-washed Italy,
which lags behind Europe's solar energy leader
Germany, installed only 5 MW of photovoltaic
power generation last year, raising the total capacity to some 40 MW, while Germany built 603 MW of
new capacity. Italy would install 80-100 MW of photovoltaic systems in 2007 and 100-120 MW in 2008
as new tariff subsidies, aimed at boosting this segment of renewable energy, and new energy-savings rules for buildings were due to kick in next year
Source: planetark.com 27/10/06
Débat sur l'énergie au Maroc
Le Premier ministre Driss Jettou a souligné hier à
Skhirat que le secteur de l'énergie au Maroc est
appelé à renforcer ses structures et à moderniser
ses modes de gestion pour pouvoir faire face à une
conjoncture internationale marquée par la fluctuation de l'évolution des marchés et l'accroissement
des cours du pétrole. M. Jettou, qui s'exprimait à
l'ouverture du débat national sur l'énergie (30 octobre 2006), a affirmé que le Royaume doit tenir
compte de " cette nouvelle donne et de ses effets
négatifs sur les pays non producteurs " pour
pouvoir couvrir les besoins croissants de
l'économie nationale et des secteurs productifs.
Source: lematin.ma 30/10/06
Nouakchott et Bamako signent un accordcadre de recherche pétrolière
Le ministre mauritanien de l'Energie et du Pétrole,
Mohamed Ali Ould Sidi Mohamed, et son homologue malien chargé de l'Energie, des Mines et de
l'Eau, Mohamed Diane Séméga, ont conclu un
accord-cadre de coopération bilatérale axé sur la
recherche pétrolière. Aux termes de cet accord, les
deux pays vont procéder à "un échange d'informations techniques, géologiques, géophysiques,
géochimiques et de forages relatifs aux données ou
résultats de travaux antérieurs" menés de part et
d'autre des frontières qui constituent le bassin de
Taoudéni, indique un communiqué officiel remis
samedi à la PANA. L'accord prévoit également des
échanges de compétences et de savoir- faire dans
les domaines de la promotion, de la mise en oeuvre
et de la gestion des banques de données brutes et
physiques issues de travaux relatifs à la recherche
pétrolière.
Source: jeuneafrique.com 28/10/06
Environment
Le coût du réchauffement climatique pourrait atteindre 5500
milliards d'euros
Le réchauffement climatique pourrait coûter à l'économie mondiale jusqu'à 5,5 trillions d'euros (5 500
milliards d'euros) si les gouvernements ne prennent
pas des mesures radicales au cours des dix
prochaines années, avertit une étude d'un ancien
responsable de la Banque mondiale. Ce coût serait alors supérieur à celui des
deux guerres mondiales et à celui de la Grande Dépression de 1929, tout en rendant de grandes parties de la planète inhabitables. L'étude, dont l'hebdomadaire
britannique The Observer publie des extraits et qui doit être présentée, lundi 30
octobre, par Sir Nicholas Stern, ancien chef économiste de la Banque mondiale,
prévient également que le nombre de réfugiés, victimes de la sécheresse ou d'inondations, pourrait s'élever à quelque 200 millions de personnes. Selon
l'Observer paru dimanche, cette étude de 700 pages est la première contribution
de poids d'un économiste à un phénomène qui avait été jusque-là l'apanage des
scientifiques. Le rapport de M. Stern, qui avait été commandé voilà un an par le
ministère de l'économie britannique pour mieux cerner les répercussions du
réchauffement climatique sur l'économie du globe, prévoit que celui-ci pourrait
provoquer une récession mondiale. Même si une fin immédiate était mise à la
pollution, ajoute l'Observer, les gaz à effet de serre déjà dans l'atmosphère continueraient à provoquer un réchauffement du climat pendant encore une
trentaine d'années, le niveau des mers s'élevant encore pendant un siècle.
L'ancien économiste de la Banque mondiale a calculé que l'humanité devrait
dépenser 1 % du PIB annuel de la planète, soit près de 350 milliards de dollars
(275 milliards d'euros) sous peine de voir le coût du réchauffement climatique
être de 5 à 20 fois plus élevé.
Source: lemonde.fr 30/10/06
Gaz é effet de serre : bilan 1990-2004 mitigé pour les pays
industrialisés
BONN - Les émissions de gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique ont légèrement diminué dans les pays industrialisés entre 1990 et 2004
mais la tendance est à la hausse pour la période plus récente de 2000 à 2004,
révèle un rapport des Nations Unies publié lundi à Bonn. Globalement, les émissions de ces gaz à effet de serre (GES), dont le principal est le dioxyde de carbone
(CO2), ont diminué de 3,3% dans les pays industrialisées de 1990 à 2004, selon le
Secrétariat de la Convention-Cadre des Nations Unies
sur les Changements Climatiques (UNFCCC). Mais cette
baisse correspond pour l'essentiel à une réduction de
36,8% des émissions de GES constatée dans beaucoup
de pays d'Europe centrale, avec une économie de transition. Les autres pays ont vu au contraire leurs émissions progresser de 11%,
souligne le rapport. Et "le problème, c'est que ces pays en transition, qui ont été
largement responsables jusqu'alors de la réduction globale des émissions des
pays industrialisés, ont vu leurs émissions augmenter de 4,1% entre 2000 et
2004", a souligné à cette occasion le secrétaire exécutif de l'UNFCCC basé à Bonn.
"Ce qui veut dire que les pays industrialisés vont devoir intensifier leurs efforts
pour mettre en place des politiques plus efficaces afin de réduire les émissions
de gaz à effet de serre", a-t-il ajouté. Des progrès doivent impérativement être
réalisés dans le secteur des transports ; les émissions de GES ont augmenté de
23,9% dans ce secteur entre 1990 et 2004.
Source: avmaroc.com 30/10/06
- 12 -
Water shortage remains constant problem
in Jordan
Although Jordan takes its name from the Biblical
Jordan River, which runs along its western border
with Israel, the name hardly reflects the reality of
the water situation. Jordan is one of the most stable
countries in the Middle East, but it lacks enough
water to quench the thirst of its citizens, let alone its
farms and wildlife, said Salameh Hiaria, a water
expert and former member of Parliament. A shortage of the precious resource will become one of
the most vexing conundrums facing Jordan in the
not too distant future, he warned. By 2010, the
Kingdom will need about 1.54 billion cubic metres
of water to meet the needs of its population and
fall short by 319 million cubic metres.
Source: .wanadoo.jo 28/10/06
Carbon Market might help rain forests
Cutting down tropical
forests often makes people poorer, hurts endangered species and emits
greenhouse gases, so
perhaps rich countries could pay to help keep trees
standing, the World Bank said on Monday.The global carbon markets, set up in response to the Kyoto
Protocol and other carbon-limiting arrangements,
could offer the way. The markets -- where polluters
pay for allowances that let them exceed their limits
on carbon emissions -- may be able to put a value
on the carbon locked up in jungles and savannahs,
according to the new report.When carbon is stored
in trees and other plants, it's not being emitted as
the greenhouse gas carbon dioxide, which holds
heat close to Earth and spurs global warming. As it
stands now, farmers and ranchers might clear an
acre of prime rainforest to create a pasture worth
$300, and in the process, release 500 tons of carbon
dioxide
Source: today.reuters.co.uk 23/10/06
Lula annonce un recul de 30% de la deforestation en Amazonie
Au cours des douze mois précédents (d'août 2004 à
juillet 2005), le recul des déboisements, fruits de
l'extraction de bois et de l'extension des cultures de
soja notamment, avait atteint 31%. La superficie
totale déboisée s'était élevée à 18.793 km2. Le
président Luiz Inacio Lula da Silva a déclaré que ces
résultats prouvaient que le Brésil est capable de
préserver la plus grande forêt tropicale de la
planète, rejetant toute "ingérence" étrangère dans
ce domaine. Les pays développés "n'ont pas à nous
donner de conseils sur la façon de préserver notre
environnement car ils ont découvert qu'il fallait le
préserver quand eux avaient pratiquement déboisé
tous leurs territoires", a souligné Lula au cours
d'une cérémonie au palais présidentiel.
Source: avmaroc.com 27/10/06
Environment
Over USD 974K to fund Morocco's environment-friendly
programs
Brussels - Some USD 974,908 will be allotted to two
Moroccan environment-friendly projects within the frame
of the 2006 Financial Instrument for the Environment
(LIFE)-Third countries program, said here Thursday the
European Commission. Initiated by the El Jadida
University (west), The first project is granted USD 548,882 to implement a longer
lasting management operating system of solid waste. The second project, to get
USD 426,026, is to study at the University of Settat (center) the best available
technologies for treating liquid waste. Since 1992, the LIFE program has co-funded almost 2,500 projects covering 40 countries and territories and made commitments of USD 1.63Bn. The programme has supported a wide range of projects,
tackling problems and developing solutions across a number of sectors and has
addressed most key environmental issues, in line with EU environmental policy
priorities. LIFE-Third countries is part of the life Program. It aims to contribute to
the establishment of capacities and administrative structures needed in the
environmental sector and in the development of environmental policy and
action programmes in third countries bordering on the Mediterranean and the
Baltic Sea other than central and east European accession candidate countries.
Source: map.ma 19/10/06
Sacs plastiques bio-dégradables
C'est une discrète révolution industrielle, à base de
maïs et de graines de tournesol, qui est en train de
naître à Terni, une ville moyenne d'Ombrie située à une
centaine de kilomètres au nord de Rome. Sur ce pôle
naguère prospère de la sidérurgie et de la chimie, la
société italienne Novamont, pionnière dans le secteur des produits biodégradables, a inauguré, vendredi 13 octobre, la "première bio-raffinerie verte au
monde, capable de produire des bio-polyesters à base d'huile végétale". Leader
européen des bio-plastiques à base d'amidon grâce à son produit vedette, le
Master-Bi, dont 35 000 tonnes sortent déjà du site de Terni, la firme porte sa
capacité de production à 60 000 tonnes, soit environ 60 % du marché mondial.
Comparé aux 40 millions de tonnes de plastiques d'origine pétrolière consommées en Europe, ce n'est qu'un balbutiement. De plus, l'intérêt des bio-plastiques
est encore occulté par l'engouement actuel pour les bio-carburants.Toutefois, les
objets de tous les jours fabriqués à base de produits agricoles ne sont plus une
utopie. Les bio-plastiques comme le Master-Bi cumulent les qualités environnementales. Ils sont renouvelables, recyclables, réutilisables, biodégradables et
"compostables". On les utilise pour faire des sacs, des emballages, des films de
paillage pour l'agriculture, des couches-culottes, des gobelets et des couverts
jetables, des cotons-tiges solubles, etc. Les applications sont infinies : Novamont
a collaboré notamment avec l'équipementier américain Goodyear pour développer un pneu "écologique" qui réduit de 40 % la résistance au roulement.
Source: lemonde.fr 16/10/06
- 13 -
Global warming said threat to world
heritage
Global warming is threatening archaeological sites from
Peru to Egypt as well as natural wonders such as the
Caribbean's largest coral reef,
a U.N. report said on Tuesday. Heritage sites linked
to thousands of years of civilisation "may by virtue
of climate change very well not be available to
future generations," said Achim Steiner, head of the
U.N. Environment Programme. Rising sea levels,
more frequent storms, erosion and flooding are
accelerating damage to heritage sites around the
world, according to an Atlas of Climate Change
issued on Tuesday during a Nov. 6-17 U.N. global
warming conference. UNEP said fear of cultural
losses, such as a Viking camp in Scotland at risk
from erosion or rising seas threatening Alexandria
in Egypt, was an extra reason for action to rein in a
warming widely blamed on human use of fossil
fuels.
Source: reuters.com 07/10/06
Un navire amianté de retour dans le port
d'Amsterdam
Selon un communiqué de Reuters, l'Otapan est
arrivé le 16 octobre aux Pays-Bas après avoir été
envoyé en Turquie au mois de juillet. Fin août, les
autorités turques ont refusé de procéder à son
désamiantage car il contenait plus d'amiante que
ce qui était déclaré, soit 56 tonnes au lieu d'une
seule. L'Otapan est resté amarré dans le port
d'Amsterdam pendant 7 ans avant d'être récemment acquis par le chantier naval turc Simsekler, qui
souhaite que le navire soit de retour en Turquie
avant le mois de juin 2007. Un appel d'offres va
donc être lancé pour déterminer la société qui sera
chargée de réduire la masse d'amiante pour la
ramener à une tonne. Le coût du remorquage et le
désamiantage du bateau aux Pays-Bas était estimé
à environ deux millions d'euros par le ministère
chargé de l'environnement. Cette somme doit être
prise en charge par l'Etat néerlandais qui a indiqué
vouloir demander un remboursement à Simsekler.
Source: journal environnement.net 19/10/06
Paludisme: quand le changement
climatique amène la malaria au Kenya
Dans les montagnes du Kenya, le changement
climatique a favorisé ces dernières années l'apparition du paludisme et menace la vie d'habitants
autrefois préservés des moustiques et de cette maladie, s'alarment des chercheurs qui insistent sur les
conséquences des activités humaines." Selon des
sources concordantes, la malaria a commencé à
apparaître dans ces régions montagneuses au
milieu des années 80, avec des épidémies très
graves dans les années 90 et notamment en
1997/98 alors que le Kenya était frappé par le
phénomène climatique El Nino.
Source: jeuneafrique.com 17/11/06
Other news & upcoming events
Participation du CMPP au " Clean Globe1 "
Fair Trade Incentives Through Ecolabelling
Le CMPP a participé aux conférences
organisées dans le cadre du "Clean
Globe 1", qui a eu lieu du 18 au 20
Septembre 2006 au Caire, Egypt.
"Clean Globe1" est la 1ére édition du
salon international sur la production
propre créé à l'initiative de la Société Internationale pour les
activités Scientifiques (GPS) afin de regrouper des experts, des
économistes, des industriels, des universitaires des organisations
internationales et des responsables politiques pour échanger sur
le thème de la production plus propre. Le CMPP a participé aux
travaux de l'atelier sur" l'application de la production propre dans
le secteur de l'industrie agroalimentaire". Ainsi le CMPP a présenté ses réalisations en termes d'accompagnement des entreprises
de ce secteur, en particulier l'industrie de conserve de poisson,
pour mettre en place des solutions pour l'économie d'eau,
d'énergie et gestion et traitement des déchets.
Source: cmpp.ma
We are pleased to invite you to the regional seminar on environmental labelling on fair-trade and eco-labelling which will take
place in Beirut from 14-15 December 2006. For further information, please refer to the promotional brochure at the following
link: www.sba-int.ch/pdffiles/FairTradeIncentives.pdf .You can also
consult other documents prepared for the seminar on the
theme of labels at the following link:
http://www.sba-int.ch/Library.htm#14 .
The seminar in the Beirut is organised be the DELTA association,
in collaboration with DELTA Lebanon (International Chamber of
Commerce - ICC), the Jordanian DELTA network (Jordanian
Network of Environmentally Friendly Industry - EOES/JNEFI) and
sba. This event will take place within the DELTA Programme
framework supported by the Swiss Agency for Development
and Cooperation (SDC).
As you know, during the past few years, businesses in developing countries have had to comply increasingly with international requirements related to environmental impacts. Emerging
countries are in the process of upgrading their regulations in
order to change this constraint into a growth factor.
Source: sba-int.ch
Corporation as political actors ? Facing the postnational constellation
In collaboration with the UN Global Compact, the first Swiss Master Class in CSR will be held on 8/9 December 2006 at the HEC
Lausanne. It is generously supported by our corporate sponsors Banque Privée Edmond de Rothschild S.A, Hewlett Packard and Nobel
Biocare. Media coverage will be guaranteed by our media partners Brand Eins and Bilan.
Source: http://www.hec.unil.ch/csr
Sommet euro-méditerranéen sur l'investissement
Un sommet euro-méditerranéen sur l'investissement est prévu le 21 novembre prochain à Marseille (sud de la France).
Sous le thème "Risques et opportunités d'investissement dans la zone Euromed", l'édition 2006 de l'"EuroMediterranean Business Summit", intervenant à quelques jours seulement de la tenue à Tampere (sud-est de la
Finlande, pays qui préside actuellement l'Union européenne) d'une réunion des ministres des Affaires étrangères des
membres du Processus de Barcelone, à laquelle l'Algérie est représentée par Mohammed Bedjaoui. Pour le rendezvous marseillais, l'Algérie sera également représentée par une personnalité de haut niveau en plus d'une délégation comprenant
notamment des hommes d'affaires et des chefs d'entreprise nationaux. Organisée par Economist Conference, une institution internationale spécialisée dans l'organisation de rencontres à caractère économique, ce sommet, dans la continuité de l'édition précédente,
vise, comme le rapporte l'agence APS, à mettre en lumière "le potentiel d'investissement d'une région en plein développement".
Source: algerie-monde.com
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