Nivelles_ Capital_83

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Nivelles
CAPIT
AL
Urban magazine - Numéro 83 - Septembre 2014 - Gratuit
L’image de marques nivelloises
Céline Squélart
Une femme de défi
à la tête de la CCIBW !
Et vous, avez-vous déjà
votre carte de fidélité
du centre-ville ?
Nivelles Capital est
une publication de Xpresseo sprl
Rue Paquette 2c - 1400 Nivelles
Editeur responsable
Rédacteur en chef
Luc Pieltain
Rédaction
Anne-Laurence Dehont
Magaly Swaelens
Melissa Collignon
Olivier Duquesne
Philippe Gysen
Photographe
Magaly Swaelens
Luc Pieltain
Responsable commerciale
et publicité Nivelles Capital :
Josianne Lhote : 0497 499 284
[email protected]
Contacts rédaction :
Luc Pieltain : 0475 42 83 46
[email protected]
Prêt ? Partez !
C’est reparti pour un tour.
Depuis 12 années, Nivelles Capital vous accompagne à la
rentrée. Nouveaux portraits. Nouveaux événements. Nouvelles initiatives. Nivelles ne se tarira jamais.
Au programme de ce magazine: une rencontre avec la nouvelle directrice de la CCIBW, une rencontre avec nos jeunes
politiques, des focus sur tous les événements culturels de la
rentrée. Et je vous le promets, ils sont nombreux.
Enfin, ne ratez pas le deuxième marathon de Nivelles, le 21
septembre. Plus de 2000 personnes parcourront les rues de
notre ville. Certaines pour la bonne cause. Elles soutiennent
l’asbl Tipi dans les Etoiles. Les nombreuses étoiles nivelloises ne s’oublient jamais.
Bonne lecture et bonne rentrée,
Luc Pieltain
Adresse de la rédaction :
Rue des Frères Pierseaux 6 - 1400 Nivelles
Avertissement :
Nous déclinons toute responsabilité
pour le contenu des publicités.
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Tél : 0470/554 538 ou [email protected]
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Avec le soutien de
Au sommaire
Ne dites plus A l’Uche
à partir de ce 17 octobre
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Céline Squélart
Une femme de défi à la tête de la CCIBW !
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Quand la Thines
dévoile ses charmes
Magazine Nivelles Capital
A la découverte de
nos jeunes politiciens…
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PORTRAIT
Nivelles CApital
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Céline Squélart
Une femme de défi à la tête de la CCIBW !
Depuis le 1er mai 2014, Céline Squélart est devenue la nouvelle directrice de la Chambre de
Commerce et d’Industrie du Brabant wallon,
succédant ainsi à Marc Chapelle, directeur de la
CCIBW durant quarante ans. Femme brillante,
investie et passionnée, Céline Squélart assure
désormais la gestion générale de l’association
tout en encadrant avec compétence et dévouement les activités de networking qui permettent
aux entrepreneurs de se rencontrer de manière
conviviale.
Rencontre.
N.C : Vous êtes licenciée en droit de l’UCL
et vous envisagiez au départ une carrière
comme juge d’instruction. Pourquoi ce changement de cap à la sortie de vos études ?
C.S : A la fin de mes études de droit, j’ai eu ce
besoin de faire quelque chose de beaucoup
plus créatif, de beaucoup plus relationnel. Je
suis allée dans un organisme de formation en
management où j’étais responsable de projet.
C’est là que j’ai trouvé le point d’attache avec
le monde entrepreneurial puisque mes contacts
étaient d’une part les formateurs et d’autre part
les entreprises. De fil en aiguille, je me suis dirigée vers l’événementiel. J’ai été indépendante
en décoration d’événement «wedding planner».
Cela m’a énormément épanouie et beaucoup
Nivelles CApital
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formée en réalité. Je pense que c’est ce passage- là qui m’a permis de bien comprendre la
vie des entreprises.
N.C : Depuis quelques années maintenant,
vous gravitez en Brabant wallon avec vos
anciennes fonctions liées à la Chambre de
Commerce, puisque vous avez été responsable du networking durant cinq ans, et du
coup, l’interlocutrice privilégiée des entrepreneurs lors des nombreuses manifestations organisées par la CCIBW:
C.S : En effet: Quand j’ai été engagée en 2010,
c’était au départ pour chapeauter les événements et les formations. C’était un poste tout
à fait taillé à ma mesure, qui m’a permis d’aller
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vers les entreprises, de les comprendre, d’analyser leurs besoins et puis de prendre en charge
l’aspect communication, relationnel et événementiel puisque j’organisais des événements,
ici à la Chambre. J’ai passé plusieurs soirées
à aller représenter la Chambre de Commerce,
et relancer sans cesse cette dynamique de
proactivité vers les entreprises. C’était une mission très enrichissante car on rencontre énormément de gens, de tout secteur et de toute
culture.
N.C: Ce n’est donc pas un hasard si vous
êtes aujourd’hui la nouvelle directrice de la
CCIBW, c’était la suite logique ?
C.S : Chaque chose que j’ai faite au fur et à
mesure de ma carrière a ajouté une compétence supplémentaire par rapport à la fonction
que j’ai aujourd’hui et qui est complètement différente de ce que je faisais avant. C’est un très
beau challenge que je relève avec beaucoup
d’enthousiasme et un beau soutien au niveau
de l’équipe.
N.C : Vous êtes une toute petite équipe de
huit personnes au sein de la Chambre où la
polyvalence est de mise :
C.S : En effet. Chacun tient son département
mais chacun a aussi la mission et la volonté
d’être disponible en support pour les autres
services. Trois personnes travaillent à l’international, une personne travaille aux éditions, une
au guichet d’entreprise, une à la communication
et aux formations, enfin ma secrétaire de direction assume le back office. L’ambiance au
sein de l’équipe est très bonne et conviviale.
Ensemble, nous poursuivons le même objectif :
faire fonctionner notre ASBL qui est une clé
pour les entreprises en BW.
N.C : Désormais, vos missions quotidiennes par
rapport à la Chambre de Commerce concernent la gestion opérationnelle quotidienne. En
quoi cela consiste-t- il exactement?
C.S : Il faut savoir qu’une Chambre de Commerce
se structure en plusieurs niveaux, il y a un président, qui est issu du monde de l’entreprise, un
conseil de direction et un conseil d’administration. Je dirais que c’est vraiment le niveau
stratégique. Un conseil d’administration est
composé de plusieurs chefs d’entreprise, représentatifs du BW qui sont élus par les membres
de la Chambre. Ils donnent quelque part le sentiment et la voix des entreprises pour les faire
remonter au niveau du conseil de direction et
du président pour les traduire en stratégie.
Et le rouage qui met en place la stratégie déterminée, c’est le directeur avec son équipe. Cela
représente à la fois toute la gestion de l’équipe,
la gestion stratégique, les visions d’avenir et
puis tout ce qui tourne autour de la gestion
opérationnelle et quotidienne d’une entreprise.
N.C : Comment s’est passé le passage de
flambeau entre Marc Chapelle et vous ? La
transition s’est-elle faite en douceur ?
C.S : Tout a fait. Marc est quelqu’un de très
investi. Pendant quarante ans, il a construit
la Chambre au fur et à mesure des années, il
peut en être très fier. La transition s’est faite
de manière assez souple. Marc est d’ailleurs
encore quelques heures dans nos bureaux,
pour me remettre des dossiers, me transmettre
des informations. Il vient également par amitié
pour saluer l’équipe. Il a toujours été d’excellent conseil. Maintenant, il est clair que je n’ai
pas toujours la même vision que lui, j’entends
donc ses conseils et après je suis seule juge.
Par ailleurs, Marc a encore un rôle à jouer dans
la Chambre de Commerce dans le sens où il a
une fonction de chargé de missions à mi-temps
qu’il réalise de chez lui.
N.C : Pensez-vous que la CCIBW a besoin
d’un nouveau souffle ?
C.S: Je ne suis pas là pour chambouler tout ce
qui existe. Mais je pense en effet que des changements, des évolutions se produiront, et c’est
normal. J’ai une vision différente des choses,
une autre expérience, je suis plus jeune, je suis
une femme, j’ai beaucoup d’ambition pour la
CCIBW.
N.C : Quels sont concrètement les objectifs que
vous avez pour la Chambre, à moyen terme ?
C.S : Nous sommes reconnus comme un acteur
économique clé en Brabant Wallon, ça c’est
un fait indéniable. Raison pour laquelle notre
Chambre de Commerce et d’Industrie a vraiment besoin de visibilité. Je suis absolument
convaincue que nous avons des services excellents, et je pense que trop peu d’entreprises
savent tout ce que nous faisons. D’autres pensent que nous sommes un service public, une
Chambre formaliste et un peu poussiéreuse.
Cette image à renouveler est pour moi un des
premiers objectifs à atteindre. Faire en sorte
d’étendre notre réseau, d’assurer la stabilité
et la continuité de la Chambre, et établir une
confiance solide avec les entrepreneurs. Notre
rôle est vraiment d’être réactif par rapport aux
besoins de nos entreprises.
N.C : Quels sont justement les différents
services que vous offrez aux entreprises du
Brabant wallon ?
C.S : Tout d’abord, il faut savoir que notre association d’entreprises est complètement privée, tout comme l’ensemble des Chambres de
Commerce, ici en Belgique. Notre rôle est de
servir de levier aux entreprises via une panoplie
de services qui correspondent à la fois au chef
d’entreprise qui dirige 5 personnes et à la fois
aux grosses entreprises. Le Brabant wallon étant
une terre de PME, voire même plus de TPE (très
petites entreprises), nous devons pouvoir nous
Nivelles CApital 1 0
adapter à ce type de tissu économique. Le service international que nous leur offrons est véritablement notre cheval de bataille : tout ce qui
est formalité à l’export, conseils et service d’intendance à l’exportation, rencontres avec les ambassades, les autres Chambres de Commerce,
etc. Nous disposons d’un réseau de 10.000
Chambres de Commerce dans le monde, tout ça
est géré aussi à partir de notre Chambre. Pour
les personnes qui souhaitent travailler au local,
nous leur offrons un service de networking avec
l’organisation de rencontres inter-patrons et la
création de contacts avec notre réseau d’acteurs
économiques en BW, tels que l’IBW, la Province,
Nivelles Invest ou les associations locales avec
lesquelles nous entretenons des rapports très privilégiés. Nous nous voulons également la vitrine
de nos entreprises via notre magazine «CCImag»,
qui est l’un des plus lus dans les entreprises de
Wallonie devant Trends ! L’enquête ‘Cadres et
Dirigeants’ de 2012 nous a élu numéro 1 de la
presse business belge pour les cadres et managers, nous sommes très fiers de ça et nous espérons réitérer cette première place sur le podium
lors de la prochaine enquête. N.C : Vous avez vécu de nombreuses années
à Lodelinsart et êtes d’ailleurs très fière de
vos origines carolo !
C.S : Oui, c’est une région où je retourne souvent, puisque mes parents y vivent toujours. J’y
suis très attachée. Je me suis dirigée vers le
Brabant wallon lors de mes études de droit à
Louvain-La-Neuve, où je vis d’ailleurs actuellement. Plus de la moitié de ma vie s’est passée
en Brabant wallon, les contacts se sont noués
au fil des années. C’est une magnifique
province, au niveau culturel et environnement.
Et puis quelle province riche au niveau des
entreprises !
Chambre de Commerce et d’Industrie
du Brabant Wallon
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Avenue Robert Schumann, 101 - 1400 Nivelles
+32 67 89 33 33
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Ann-Laurence Dehont
Event
En place pour le 738ème
Tour Sainte-Gertrude
La manifestation s’étale
sur les 4 et 5 octobre
Le Tour Sainte-Gertrude sortira pour la 738ème
fois le dimanche 5 octobre. Dès 5h, on procèdera
au transfert des reliques de Sainte-Gertrude sur
le char. À 6h, une messe sera célébrée en son
honneur en la collégiale portant son nom. La
procession démarrera vers 6h45.
Enfin, vers 15h30, l’ancien couvent des Récollets qui abrite les locaux du comité du Tour
présidé par Michel Delcourt, verra le départ de
la Rentrée historique et religieuse. De l’Esplanade du Souvenir, le cortège empruntera les
rues de Saintes, Saint-Georges, des Vieilles
Prisons, des Brasseurs, Bayard et de Mons,
avant de gagner la Grand-Place. Un Te Deum
suivra dans la collégiale. Voilà en résumé le
programme du dimanche à l’occasion de cet
événement pendant lequel on rend hommage
à la patronne de la ville, événement qui est inscrit au registre du patrimoine culturel immatériel
de Wallonie depuis 2004. C’est aussi une des
dernières processions de Wallonie accompagnée de cavaliers, avec Mons, Saintes (Tubize)
et Bousval.
Le Tour Sainte-Gertrude est sans conteste une
de nos manifestations immuables depuis des
centaines d’années, et une des plus anciennes
de Nivelles, profondément ancrée dans les
esprits et dans la tradition. Il se tient toujours le
dimanche qui suit le 29 septembre,
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date de la Saint-Michel, et rassemble de nombreux pèlerins nivellois, belges et venus parfois
de l’étranger pour accompagner le char contenant la châsse de Sainte-Gertrude dont on
célèbre cette année le 1355ème anniversaire
de la mort. Certains ne loupent jamais la rentrée historique et solennelle de la procession,
parfois simplement pour la beauté des costumes du XVème siècle, tandis que d’autres se
lèvent à l’aube pour parcourir le tracé formé de
près de quinze kilomètres dans un décor champêtre nivellois.
Pour en revenir au programme, le dimanche
n’est pas le seul jour où l’on peut participer à
la procession. Comme vous pouvez le constater, le samedi 4 octobre : cortège de transfert
de la châsse de Sainte-Marie d’Oignies et de
la statue de Saint-Paul à l’ancien couvent des
Récollets (18h) et dépôt de la châsse de SainteGertrude, suivie de la traditionnelle messe rehaussée par les choristes nivellois en la collégiale
(19h). Enfin, les samedi 4 et dimanche 5 octobre,
des animations médiévales se tiendront dans le
cloître (reconstitutions de combats, exposition
d’armes et d’armures, fauconnerie, petite restauration…). Pour bon nombre de Nivellois, le
Tour Sainte Gertrude est également l’occasion
de se retrouver.
Magaly Swaelens
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Associatif
Ne dites plus A l’Uche
à partir de ce 17 octobre
L’institution change de nom. Et il faudra attendre le 17 octobre à l’occasion d’un souper
pour le connaître.
Un vent de renouveau souffle sur l’AMO A
l’Uche, le service d’aide en milieu ouvert destiné aux jeunes éprouvant diverses demandes
d’aides et de soutiens dans de multiples
domaines (scolaires, relationnelles, familiales…), dont les locaux sont implantés au
12 boulevard des Archers à Nivelles ainsi qu’à
l’espace 200, 12 à Genappe.
Tout d’abord, il y a eu du changement au sein
de l’équipe. Pour rappel, une nouvelle directrice est entrée en fonction, fin 2013 déjà. Il
s’agit d’Angélique Capone. Et cette dernière
est arrivée avec une envie de moderniser l’institution, entre autres en la dénommant autrement et en y développant de nouveaux projets
comme par exemples une future Maison des
Jeunes (voir ci-dessous).
Nivelles CApital 1 4
« Je suis totalement consciente que le terme A
l’Uche est important car il représente beaucoup
et s’avère très évocateur pour les anciens
et habitués de chez nous. Mais, je souhaite
tourner l’AMO vers davantage d’ouverture et
donner envie aux jeunes qui en ressentent le
besoin, l’envie de pousser « notre AMO », explique la directrice.
Et le choix du nouveau nom s’opère via un processus participatif. En effet, tout un chacun a
l’occasion d’émettre une proposition de manière
anonyme. Une urne est dédiée à cet effet, dans
le couloir du bâtiment de l’AMO, jusqu’à ce 10
septembre. Les idées seront ensuite soumises
au conseil d’administration du 22 septembre,
lors duquel cinq propositions seront retenues
et feront, ensuite, office d’un vote. Patience,
patience…
Un souper sera organisé le 17 octobre prochain
à 19h, dans une salle du collège Sainte-Gertrude.
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Ouvert le lundi de 13h30 à 18h30 • Du mardi au vendredi de 10h00 à 18h30
Samedi de 10h00 à 18h00 • Fermé le dimanche
Angélique Capone
Directrice
cellule de prévention de la Ville. Le local est
officiellement ouvert aux jeunes depuis ce
mois de septembre les mercredis et vendredis,
de 13h à 18h. Il sera inauguré le 20 septembre
(en musique). Son nom : L’Annexe 13-26. Les
chiffres font référence à l’âge de fréquentation
autorisé. « Bien évidemment l’objectif est d’être
reconnus par la suite en tant que Maison de
Jeunes. Nous disposons de trois ans pour être
officiellement agréés par la Fédération et faire
partie du réseau des Maisons de Jeunes en
Belgique francophone.
Souper qui sera animé par deux troupes de
danse et où un coin jeux et grimage sera installé pour les enfants. C’est durant cette
soirée-là que sera dévoilé le nouveau nom de
l’organisme. Durant le repas, les gens pourront
toutefois encore voter (parmi les cinq), avant
que les responsables procèdent au dépouillement. Les réservations sont possibles jusqu’au
5 octobre (067 21 94 55).
Un local pour les jeunes
Voilà un des nouveaux projets en question.
Depuis la fin du mois de juin, un local est mis
à disposition des jeunes, rue Bayard 21, dans
le quartier Saint-Jacques. Il s’agit d’un rez-dechaussée, avec une petite cour.
Au sein de l’AMO A l’Uche, celui qui gère ce
projet avec le soutien de son équipe est Nicolas Farinari. Il est aidé de Naïma Nahib de la
Nivelles CApital 1 6
Pour l’instant, l’AMO poursuit toujours sa
mission d’aide en proposant divers ateliers
et services. Parmi ceux-ci, il y a l’Entre-Deux,
l’ARS (atelier de réussite scolaire), les programmes de prévention dans les écoles sur
le bien-vivre ensemble, la collaboration avec
l’antenne de Genappe, le projet Délibère-toi…
«J’ai à cœur d’explorer toutes les compétences
des enfants. Je souhaite que chacun s’y
retrouve chez nous en fonction de son âge
et de sa situation familiale ou scolaire et qu’il
s’y sente bien ». Angélique Capone clôture :
« Nous avons cette spécificité d’offrir une assistance gratuite au jeune et de travailler
en fonction de sa demande tout en étant
tenus au secret professionnel et en toute
confidentialité ».
Facebook : AMO Aluche ou L’Annexe 13-26
Magaly Swaelens
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Nivelles CApital 2 0
Le Phenicia Plaza
l’authenticité dans votre assiette
texte : Melissa Collignon
Photos : Luc Pieltain
Nombreux sont les Nivellois tombés sous le
charme du Phenicia Plaza. Tout d’abord, en
entrant, on remarque la déco, soignée et digne
d’un grand resto. Et puis, on goûte
les plats et on part carrément… en
voyage au Liban. L’authenticité à
l’état pur. Tester ce restaurant, c’est
l’approuver !
« Il n’y avait pas de restaurant libanais dans la région, » commence
Gabriel, patron de l’établissement
actif dans le métier depuis 15 ans.
« C’est ce qui nous a poussé à nous
installer à Nivelles. Nous ne le regrettons pas du tout ! » Et à raison,
car ouvert depuis novembre 2013,
le resto ne désemplit pas. Le secret
de la réussite, selon Gabriel ?
« Il y a tout d’abord l’accueil, ensuite les prix
raisonnables et enfin, la qualité de la nourriture.
Le choix des aliments est primordial pour un repas de qualité. Des grillades au poisson, chez
nous, tout est sélectionné par mes soins ! »
Qualité et diversité
Si aujourd’hui, la cuisine libanaise
est considérée comme faisant partie des 5 meilleures cuisines du
monde, c’est parce qu’elle est à
la fois naturelle et diversifiée. « Ici,
tout est préparé au jour le jour, rien
n’est conservé jusqu’au lendemain. »
Ce qui fait la différence au Phenicia
Plaza, c’est que les plats sont cuits
au charbon, dans un feu de bois. Et
le goût est inimitable.
Avec plus de 45 choix d’entrées, la
carte est une véritable incitation à
la découverte : hors d’œuvre chauds et froids,
grillades et poisson, mais aussi des menus
Nivelles CApital
2 1
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‘découvertes’ qui feront découvrir les saveurs
exotiques du Liban (Hommos, Tabboulé, Fatouch, Falafel, Msakaa, salade al Raheb, etc).
En boisson, on retrouve des vins libanais de
qualité, du champagne mais aussi une belle
carte d’alcools. « Même les connaisseurs de
vins sont heureux de goûter nos bouteilles,
également sélectionnées avec choix. »
Des buffets pour varier les plaisirs
Tous les midis, l’établissement propose une formule de buffets à volonté. Pour 12,50€ par personne, le
choix du buffet est vaste. « J’ai voulu imaginer 2 concepts différents,
un pour le midi et un pour le soir.
Le midi, je voulais que mes clients
découvrent ce qu’est, chez nous
au Liban, la véritable cuisine de la
maison. Un peu ce qu’une maman
prépare à ses enfants. Le soir, nous
proposons une formule davantage
à la carte, avec des grillages cuites
au charbon, etc. Nous faisons également notre pain en direct. »
Les 2 plats chauds proposés quotidiennement
varient tous les jours. Le dimanche midi, le
restaurant sert des spécialités libanaises sous
Nivelles CApital 2 2
forme de grand buffet à volonté (25€ pour les
adultes et 15 € pour les enfants de moins de
12 ans). Comprenant pas moins de 22 choix
de plats et un grand assortiment de desserts,
la formule en séduit plus d’un car avec ses 55
couverts, le restaurant affiche bien souvent
complet ! Les réservations sont d’ailleurs vivement souhaitées, voire même nécessaires en
soirée et le weekend.
Pour ceux qui souhaitent organiser
un événement, le Phenicia Plaza
propose des plats de la carte à emporter avec une réduction de 10%
sur le prix initial.
La salle du restaurant peut également accueillir les baptêmes, communions, etc… ou encore, il est
possible d’organiser votre buffet à
domicile à partir de 20 personnes.
La cuisine est ouverte tous les jours
(sauf le lundi) de 12 à 15H et de
18H30 à 22H30.
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Qustomer
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Un meeting center moderne de qualité
Les entrepreneurs et entreprises peuvent
profiter chez Cap Agora, dans le Zoning sud
de Nivelles, d’une panoplie de services dans
un meeting center à la fois moderne et confortable. Cap Agora offre des salles de réunion et
d’événements polyvalentes entièrement équipées, à proximité des grands axes routiers.
Le centre de séminaires Cap Agora est un service
de Cap Innove incontournable depuis 2010
avec l’extension du bâtiment rue de l’Industrie
dans le Zoning sud. Caroline Pary, responsable
du Meeting Center, gère, avec son équipe, les
9 salles polyvalentes capables d’accueillir de 2
à 100 personnes. « Nous veillons à ce que la
qualité du service soit toujours assurée, même
en soirée et le week-end». Ainsi, Cap Agora a
veillé à offrir tous les outils et services indispensables : polyvalence des lieux, tableau blanc,
paperboard, vidéoprojecteur, connexion Internet, smart board, sonorisation intégrée, assistance technique et possibilité de stockage. Le
site dispose aussi de 150 places de parking
privatif entièrement gratuites.
Lumière du jour
Le confort n’est pas oublié non plus. « Nos salles
sont toutes éclairées par la lumière du jour » précise Caroline Pary. « Nos infrastructures disposent également de l’air conditionné, d’un desk
de réception et d’un accès de plain-pied pour
les personnes à mobilité réduite ».
De plus, Cap Agora propose des solutions
de catering et de lunch sur mesure. « Il n’y a
pas de limite pour l’organisation de réunions
et événements d’affaires. Nous trouverons
toujours la solution pour que les demandes
de nos clients soient réalisées. » Cela peut être
des besoins de sécurité renforcée ou un aménagement particulier.
Nivelles CApital 2 6
Caroline Pary,
responsable du Meeting Center
Les salles se louent à l’heure, à la demi-journée
ou à la journée. « Nous fonctionnons au forfait,
tout compris (assistance et équipements techniques inclus) hormis le catering et les demandes spéciales ». Le client pourra compter
sur l’expertise de toute l’équipe de Cap Agora.
Elle s’assurera que la réunion, la formation,
le séminaire, la cérémonie ou la conférence
puisse se tenir confortablement et sereinement, « sans surprises ». « Il est aussi possible
de visiter chaque salle virtuellement à 360° sur
notre site www.capagora.be ». Pour contacter
le meeting center, il suffit de visiter le site ou
d’appeler le 067/883.619.
Cap Innove au service des entrepreneurs
Cap Agora fait partie intégrante de l’asbl Cap
Innove. Celle-ci soutient la création et la
croissance d’entreprises innovantes à travers
4 activités : l’accompagnement, le conseil,
l’hébergement et le meeting center. Et en ce
moment, les entreprises de moins de 2 ans
choisissant l’hébergement profitent de 3 mois
de loyer gratuit et 6 mois de coaching.
La location fonctionne par modules de 12m²,
modulables selon la croissance. C’est une formule
all inclusive comprenant le parking, l’accueil des
visiteurs, la gestion personnalisée des appels
et du courrier, le networking, un coffee corner,
l’accès aux salles de Cap Agora, etc. « Cette
solution a aussi l’avantage d’être conviviale
avec des possibilités de rencontres et d’opportunités professionnelles » nous explique Virginie
Charlier, responsable animation et communication de Cap Innove.
Cap Innove
Rue de l’Industrie 20, 1400 Nivelles
www.capinnove.be
067/883.611
Cap Agora
Rue de l’Industrie 20, 1400 Nivelles
www.capagora.be
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Nivelles CApital
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Event
La Marathon de Nivelles
Où serez-vous le 21 septembre prochain ?
Le Semi marathon de Nivelles s’est organisé
pour la première fois le 15 septembre 2013.
L’événement a connu un vif succès puisqu’il a
rassemblé plus de 1700 coureurs sur la ligne
de départ. Une seule édition a donc suffi à en
faire l’événement running le plus important du
Brabant wallon en termes de participants.
Le départ et l’arrivée ont lieu de part et d’autre
de la Collégiale, sur la magnifique Grand Place
de la ville. Le parcours a été imaginé pour que
les coureurs traversent les différents villages et
pôles attractifs de l’entité.
La seconde édition aura lieu le 21 septembre
2014.
Tout pour le Jogging à Nivelles
067 / 485 484
Plus de 2000 coureurs sont attendus pour la
2ème édition du Semi-marathon de Nivelles.
Ils déambuleront dès 10h dans les rues du
centre ville et de l’entité nivelloise sur différents parcours de 21, 12, 5 et 1km (pour les
moins de 12 ans).
Les organisateurs cherchent à dynamiser le
parcours afin de laisser un souvenir mémorable
à tous les visiteurs d’un jour de notre belle cité.
Sans oublier les nombreux coureurs locaux !
Si vous habitez sur le parcours, vous êtes donc
cordialement invités à sortir pour encourager
les participants. Tambours, trompettes, casseroles, enceintes musicales, … Soyez inventifs.
L’ambiance sur le parcours est un élément primordial qui fait d’un événement sa réussite.
Alors, où serez-vous le dimanche 21/9 au matin ?
Vous désirez courir ? Parfait, inscrivez-vous
sans attendre sur runbox.be
Vous désirez être bénévole ? Génial, manifestez-vous par mail [email protected]. Sinon,
faites-vous entendre le long du parcours…
Infos pratiques
• Date : 21/09/2014
• Heure de départ : 10h00 pour les courses
adultes, 9h15 pour le kids run
• Lieu de départ et d’arrivée : La majestueuse
Grand-Place de Nivelles
• Accès & parkings : détails sur www.runbox.be
• Ouverture du secrétariat : à partir de 08h00
• Remise des prix & tombola : à partir de 12h30
MARATHON
Prêt-à-porter féminin
ONE STEP, IKKS, I Code, Sandwich, La Fée Maraboutée,
Smash, Lavand, Molly Bracken et également une sélection originale
de chaussures, sacs, bijoux, montres, foulards, ...
Nivelles
Rue de Namur 54
067 / 64 66 49
Fox & Cie,
Un projet, des partenariats
En pénétrant dans l’un des magasins de jouets
de Fox & Cie les enfants ont d’emblée le regard
brillant et leurs parents, le sourire pétillant. L’objectif du magasin de jouets est véritablement
d’apporter de la qualité, du rêve et de l’émerveillement. Que chacun puisse y trouver le bon produit
au bon prix, dénicher le jeu, le cadeau qui lui correspond grâce aux conseils avisés des personnes
qui y travaillent.
Depuis le 1er septembre, le Zèbre à Pois a
changé de nom ! Désormais, c’est le magasin de jouets Fox & Cie, des jouets pour
la vie ! qui accueille petits et grands au
centre ville mais également, depuis le 4 août
dernier, dans la galerie du Shopping. Sans
oublier le magasin au centre de Waterloo.
Que les clients se rassurent ! Seul le nom
du magasin change, l’équipe en place, professionnelle, souriante et disponible reste
la même ! Et si le Zèbre devient Fox, c’est
non seulement pour encore mieux vous servir, mais aussi pour assurer l’avenir de nos
belles boutiques !
Nivelles CApital 3 0
Partant du constat que c’est de plus en plus compliqué pour des petites boutiques comme les
siennes d’exister et de se maintenir sur le long
terme, Olivier Fieuw, gérant des trois magasins
du Zèbre à Pois (les deux de Nivelles et celui de
Waterloo) a eu l’idée de créer un projet de partenariat avec deux collègues d’association de fait :
Frédéric, ancien directeur commercial de chez
Lilliputiens, l’un de ses fournisseurs et Xavier,
propriétaire d’un magasin de jouets à Mont- surMarchienne. «Le but premier était de retrouver
des économies d’échelle. Mais nous voulions
aussi permettre à des petites boutiques comme
les nôtres de pouvoir communiquer de manière
plus professionnelle, de toucher une clientèle plus
large par du folder, du catalogue, des insertions
dans les journaux», explique le gérant du magasin.
« Seul on va plus vite. Ensemble on va plus loin. »
Et pourquoi Fox & Cie alors ?
Comme ils sont trois à avoir mis le projet sur pied ,
la contraction des trois initiales de leur prénom a
donné naissance à la nouvelle enseigne de Fox
& Cie. « Et la compagnie regroupe nos familles,
collègues, fournisseurs et fidèles clients, précise
Olivier Fieuw. La deuxième raison pour laquelle
nous avons créé le projet Fox & Cie, c’est que
nous sommes arrivés à la constatation que dans
d’autres pays comme la France, la Hollande,
l’Allemagne, les grandes surfaces ont envahi la
majorité du marché du jouet, alors que c’est un
secteur qui a été relativement épargné par la
des jouets pour la vie !
crise. Nous ne voulons pas d’une telle situation
en Belgique et c’est une des raisons qui a poussé
à la création de Fox & Cie». Pour Olivier et ses
partenaires, il fallait s’armer pour faire face à cet
‘envahisseur’ et pérenniser les marques qu’ils
défendent comme Haba, Djeco ou encore Lilliputiens : « ces marques de très grande qualité,
nous voulons qu’elles puissent continuer à grandir
dans nos magasins plutôt que de les voir un jour
dans les grandes surfaces ». L’objectif des trois
associés est que d’autres boutiques partagent
leur concept, adhèrent à leur projet : « nous les
accueillerons volontiers mais pas à n’importe quel
prix, précise Olivier, car Fox & Cie véhicule des valeurs fortes auxquelles il est essentiel d’adhérer ».
Rien ne change, ou alors...en mieux !
Hormis le changement d’enseigne, les équipes en
place restent donc les mêmes et continueront à
vous conseiller au mieux. « Nous ne changeons
pas notre relation avec les clients, assure Olivier
Fieuw, notre manière de travailler sera toujours la
même ! ». Les célèbres soirées jeux de société,
par exemple, seront toujours organisées. Et puis
quelques avantages s’ajoutent : un site internet
professionnel sera mis en place, régulièrement
mis à jour, avec une newsletter à laquelle les gens
pourront s’abonner. « Nous souhaitons apporter
de l’info à nos clients, précise le gérant, en faisant
par exemple des petits reportages chez nos fournisseurs afin de comprendre comment un jouet est
fabriqué, comment un jeu de société est créé». Olivier et ses deux partenaires de Fox & Cie ont le désir de partager des expériences avec leurs clients
mais aussi avec leurs fournisseurs : « lorsque nos
fournisseurs ont des actions spéciales, des évènements particuliers, comme les vingt ans d’un jeu,
ou la sortie d’une édition spéciale, nous mettons en
avant ces informations sur notre site ! »
Toujours dans le souci de servir au mieux sa clientèle, le magasin Fox & Cie du centre-ville s’est
agrandi pendant l’été, offrant désormais près de
220 m2 d’espace, avec toujours un vaste choix de
jouets et encore plus de jeux de démo ! « La force
de notre concept est d’offrir à nos clients un large
stock entre nos deux magasins de Nivelles, celui
de Waterloo et celui de Mont- sur- Marchienne,
c’est très important, surtout lors des périodes
phares telles que la Saint-Nicolas ou les fêtes de
fin d’année », conclut Olivier, un gérant heureux.
Dès la porte de leur magasin franchie, le souhait
de toute l’équipe de Fox & Cie est plus que jamais
d’apporter du rêve et de la magie...!
Fox & Cie
www.foxetcompagnie.be
Place Emile de Lalieux, 9 - 1400 Nivelles
067 84 25 75
[email protected]
--------------------------------------------------Shopping Center
Chaussée de Mons, 18 - 1400 Nivelles
067 33 52 17
[email protected]
--------------------------------------------------Chaussée de Bruxelles, 294 - 1410 Waterloo
02 351 69 99
[email protected]
Nivelles CApital
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Plus que 9 appartements disponibles
• A partir de 281.783 euros htva
Event
«Jugez par vous-même
votre djote préférée !»
Un événement du
Rotary Club de Nivelles
L’évènement marquant du mois d’octobre 2014
sera assurément ce «taste-djote» grandeur
nature ouvert au public qui se déroulera le dimanche 19 octobre 2014 à 12h00 au Palais de
Justice 2 à Nivelles, Rue Clarisse, 115.
Le Rotary Club de Nivelles propose de vous
faire déguster «à l’aveugle» 6 morceaux de
Târte al djote provenant de 6 fabricants labellisés différents suivants les critères retenus
habituellement par la Confrérîye dèl Târte al
djote de Nivelles.
Ces critères sont notamment, outre certaines
données «techniques», relatifs aux arômes et
aspects de la tarte, au goût et à la consistance
de la «makayance» («l’appareil» garnissant la
pâte), l’authenticité de la tarte et à la qualité de
la pâte.
Rassurez-vous, vous serez guidés dans cette
démarche par des Chevaliers de la Confrérîye
qui, à chaque table, vous aideront à apprendre
à «taster» notre délicieuse spécialité nivelloise
« comme si vous y étiez »...
Vous aurez également l’occasion de rencontrer
différents fabricants à qui vous pourrez poser
toutes les questions qui concernent la production, la fabrication et la distribution de leur produit.
Nivelles CApital 3 4
Quelles sont les modalités pratiques pour
participer à cette première édition ?
Il vous suffit de vous inscrire pour le 10 octobre
2014 au plus tard
• soit (et de préférence) sur le site internet :
www.nivelles.rotary2170.org
• soit par mail à l’adresse : [email protected]
• soit par téléphone au 0478.56.43.04.
Il faut alors impérativement créditer le compte
bancaire BE80 7320 0201 0577 du Rotary Club
Nivelles d’un montant de 40 € par personne
comprenant l’apéritif, la djote et le dessert (hors
boissons et café). Seul le paiement confirmera votre réservation (sous réserve des
disponibilités).
Ne tardez pas car le nombre de places est strictement limité !
Quel est le but de cette opération caritative ?
Le Rotary Club de Nivelles affecte une grande
partie de ses fonds, mis à disposition de ses
actions sociales, au financement d’une aide
aux futures mères et familles précarisées qui
vont accoucher à la Maternité de Nivelles.
Cette action est le fruit d’une collaboration
harmonieuse avec les services sociaux, nursing et médicaux de la Maternité de notre ville
de Nivelles.
Un événement
nivellois unique
Des colis , d’une valeur de 150€, sont distribués anonymement à ces familles, par les
sages-femmes, avant la naissance attendue.
Sur la première année de mise en oeuvre, environ 70 dons ont été réalisés. Cette aide ( vêtements pour le bébé , produits d’hygiène et de
soins , matériel de première nécessité) permet
de parer au plus urgent et procure un apport
matériel très apprécié à toutes les futures mamans qui en bénéficient.
Cette action d’accompagnement , adaptée aux
circonstances délicates de ces départs dans la
vie , permet au Rotary de Nivelles de participer
à l’aide à la prime enfance.
Elle est motivante pour tous les amis, membres
de du Club, et promeut leur engagement au
sein du Rotary.
Pourquoi la Confréryie del Tarte al djote de
Nivelles ?
En mars 2014, à l’initiative du Rotary, un «tastedjote» avait été organisé avec la collaboration
de la Confrérîye dèl Târte al djote de Nivelles.
Après une visite de la Maison du Tourisme et
de la garde-robe de Djan Djote (mascotte de la
Confrérîye) (n’hésitez pas à rentrer dans cette
belle bâtisse), le Club a été reçu par le Grand
Bailly et quelques Chevaliers dans les locaux
de la Rue de Saintes.
Il s’est agi pour les membres du Club de «taster»
à l’aveugle des tartes de différents producteurs
et de s’atteler aux cotations habituelles usitées par les Commanderies de tasteurs de la
Confrérïye. Enchanté de cette expérience exaltante pour les papilles, emplie de convivialité
et riche en tradition et en folklore, notre Club
a décidé de lancer cette première opération :
«Jugez par vous-même votre djote préférée ! ».
Pourquoi avoir demandé le soutien de la
Confrérïye dèl Târte al djote ?
Le but premier de cette confrérie est la défense
du patrimoine historique, culturel, folklorique et
gastronomique de notre région avec en priorité
la sauvegarde de notre ancestrale tarte al djote.
Cette confrérie, fondée en 1980, qui va donc
fêter l’an prochain ses 35 ans est une réussite dont le secret est le parfait équilibre entre
une quarantaine de membres (tous masculins...) issus d’horizons professionnels, philosophiques et sociaux différents. Outre le but
rappelé, la Confrérîye agit également dans un
esprit de service comme en témoigne la Fête
du Katamay (Fête du 4 de mai) où elle va généreusement distribuer djotes, bons vins et
fraîches bières, rires et chansons, aux aînés de
la maison de retraite «Nos Tayons « à Nivelles.
La Confrérîye nous paraissait donc le partenaire idéal dans cette nouvelle activité qui veut
s’inscrire dans le paysage local nivellois, qui
souhaite promouvoir un produit de qualité et de
terroir mais aussi qui rejoint les moteurs fondamentaux que sont la convivialité, la rencontre
des autres et la richesse dans la diversité.
Il ne s’agit évidemment pas pour la Confrérîye
de soutenir tel ou tel fabricant ou promouvoir
telle ou telle tarte mais seulement prêter un
soutien à une action altruiste et solidaire dont
Nivelles CApital
3 5
Nivelles CApital 3 6
les profits seront directement affectés aux
personnes les moins favorisées de notre région.
Pourquoi le Palais de Justice 2 (Rue Clarisse, 115 à Nivelles) ?
Puisqu’on vous demande : «Jugez par vousmême quelle est votre djote préférée !», il fallait
bien un lieu digne de ce titre... en l’occurrence
un Palais de justice !
La Justice est un des piliers de la démocratie.
Elle doit attirer le respect et faire peur à ceux
qui enfreignent la loi. Le Palais de Justice participe à l’image que doit donner la justice. Dans
beaucoup de villes, le palais de justice est l’un
des bâtiments publics les plus importants. Il
représente la puissance de l’Etat, face à la
puissance du clergé, symbolisé par ses églises,
collégiales et cathédrales.
Sur la Grand-Place de Nivelles, le palais de
Justice fait face à la collégiale. Jean de Nivelles
y a également sa place. De par son architecture, il rappelle que l’Etat a sa place dans notre
communauté.
Suite à l’évolution démographique, le palais du
centre-ville est devenu trop petit. Les Nivellois
se rappelleront que durant les années 90, le
tribunal de Commerce était à la rue Soignies,
le tribunal de police au boulevard Fleur de Lys,
le tribunal du Travail occupait l’ancien athénée
à la place du Souvenir. Il fallait trouver une
solution.
Le palais de justice II, de l’avenue du Centenaire a été construit entre 1998 et 2001. Le défi
était de taille. Il y avait une volonté de construire
une œuvre monumentale, symbolique et fonctionnelle. Ce nouveau palais est occupé par la
Cour d’assises, la justice de paix, le tribunal du
travail, le tribunal de police et celui du commerce. Des dizaines de personnes y travaillent
tous les jours. La prestigieuse salle des pas
perdus est entourée de cinq salles d’audience.
Nivelles CApital 3 8
Le reste du bâtiment est occupé par les bureaux de l’administration, des juges et du personnel des greffes. Il y a même des cellules
pour les accusés à la Cour d’assises.
Les architectes H. Natowitz, F. Jadot, et B.
du Pré Werson ont également voulu souligner
l’évolution de la justice. Elle n’est plus exclusivement répressive. La conciliation et le dialogue ont une place de plus en plus importante
dans la société actuelle.
Vu de face, et avec un peu d’imagination, vous
constaterez que l’architecture de ce bâtiment
présente l’image d’un livre ouvert… telle que la
justice veut se présenter. La grande baie vitrée
et les nombreuses fenêtres qui illuminent la
salle des pas perdus symbolisent également la
transparence d’une justice qui n’a rien à cacher.
L’utilisation de matériaux naturels, tels que
la pierre et le bois apportent un sentiment de
force et de solidité.
Depuis son inauguration, en 2001, de nombreuses activités extrajudiciaires y ont été organisées. En 2003, un téléfilm y a été tourné
avec Jean-Claude Brialy, dans le rôle d’un juge.
Bruno Coppens a également présenté « IMPRO JUSTITIA » , le procès de la langue française, dans la salle de la Cour d’assises. L’asbl
ARTEMIS organise de nombreuses expositions
artistiques dans la salle des pas perdus. Même
le Rotary Club de Nivelles y a fêté ses « 50 années d’existence » en septembre 2005. Il s’agit
d’un cadre prestigieux qui donne aux artistes,
l’occasion de présenter leurs œuvres, dans de
bonnes conditions.
Le but est de rapprocher la justice et le citoyen.
Vous aurez donc l’occasion de rentrer dans un
bâtiment public parfois méconnu.
C’est tout naturellement que ce palais a été
choisi par le Rotary Club de Nivelles pour vous
permettre de « juger votre djote préférée »...
© François Sechet
Culture
Une rentrée musicale
au centre culturel !
Deux concerts se partagent l’affiche de ce début de saison. Deux registres musicaux totalement différents.
C’est parti pour une nouvelle saison culturelle !
Elle allie découvertes, plaisir et émoi positifs.
Directement, en route vers le premier rendezvous de l’agenda. Le spectateur ne pourra être
que charmé par le concert «Haïti, Un autre regard»
(Hors abonnement) qui sera joué le mercredi 24
septembre, à 20h, sur les planches du WauxHall. La troupe, en tournée du 15 septembre
au 15 octobre, nous fait l’honneur d’une halte.
Avant d’être un ravissement auditif et visuel de
par les rythmes enjoués et souriants que les
artistes dégagent sur scène, «Haïti, Un autre regard» est avant tout un projet culturel qui s’inscrit dans le cadre d’échanges entre la Fédération Wallonie-Bruxelles et la République d’Haïti.
Ici, on peut souligner notamment la bonne collaboration de différents partenaires tels que le
centre culturel du Brabant wallon, l’ONG haïtienne Fokal (Fondation Connaissance et Liberté),
la plateforme Haïti.be, ainsi que le Conseil
consultatif Nord-Sud. La mise en scène résulte
de la confrontation d’idées entre l’Haïtienne
Yole Dérose et le Belge Pierre Vaiana.
Nivelles CApital 4 0
On a droit, principalement, à une heure de morceaux traditionnels revisités à la sauce de la
modernité et à la présentation de compositions
originales qui invitent à poser un autre regard
sur le pays et sa musique, tout comme à
balayer certains clichés.
En résumé, sur scène : chant, danse et couleurs ! Ce qui est certain, c’est que ça bouge.
Le spectateur se contentera-t-il de rester
confortablement assis dans son fauteuil? L’univers est joyeux et tout sourire. Ils sont neuf face
au public. BIC, Tamara Suffren, Renette Désir
et Donaldzie Théodore assurent le chant et le
font avec le coeur, aux côtés des musiciens
Johnson Saint-Cyr (bassiste), Josué Alexis
(pianiste), Johnbern Thomas (batteur), Clifood
Voltaire (guitariste) et Marc-Harold Pierre
(percussionniste).
Le second concert que le centre culturel propose dans sa programmation s’intitule «Est»
(Abonnement B), du nom de l’album conçu
par deux musiciens chevronnés que sont l’accordéoniste Vincent Peirani et le violoncelliste
classique François Salque.
Le duo se produira mercredi 1er octobre, à 20h.
En bref, on a droit à une heure de talent et à
un répertoire qui oscille entre du Béla Bartok
(compositeur et pianiste hongrois) et du guitariste compositeur Samuel Strouk, sans oublier
des œuvres créées avec Kristian Schott.
Le volet cinéma
La rentrée culturelle s’accompagne bien évidemment de la reprise des cycles «Lundis du
cinéma» et «Exploration du Monde». Première
projection le 26 septembre (20h): «La Marche»
(novembre 2013). Il s’agit d’une comédie dramatique de Nabil Ben Yadir, avec comme
acteurs principaux Olivier Gourmet, Tewfik Jallab et Jamel Debbouze. Davantage inscrit dans
le registre de l’émotion, le film «Philomena» sera
retransmis sur écran géant le 13 octobre (20h).
Ce drame, signé Stephen Frears, met à son
affiche des noms comme Judi Dench, Steve
Coogan ou encore Sophie Kennedy Clarck.
L’histoire se déroule entre l’Irlande et les EtatsUnis. Sans perdre trop de temps, on embarque
pour une autre (ultime pour le moment) destination. «Bienvenue au Vietnam». Patrick Christian
Vérot nous dévoile son authentique documentaire Vietnam : Princesses et Dragon, dans le
cadre de la série «Exploration du Monde».
À découvrir le 3 octobre, dès 18h30.
www.centrecultureldenivelles.be
067 88 22 77
CARPE DIEM
Local des Arlequins, de l’AS football et du Royal Judo Club
KARAOKE tous les 2ème samedis du mois
NOUVEAU : Petite restauration – spécialités roumaines
Place E. de Lallieux, 34 – 1400 NIVELLES – 0478/96 15 89
PORTRAITS
Une
A larentrée
découverte
musicale
de
nosaujeunes
centrepoliticiens…
culturel !
Cela s’est encore vérifié à l’issue des dernières
élections du mois de mai, la politique peut être
violente et il faut une carapace résistante et un
caractère en acier si l’on veut réussir à encaisser les coups. Qu’est-ce qui peut donc motiver de jeunes adultes à s’investir dans l’univers
complexe de la politique ? Nous avons posé la
question à Eléonore Bertrand et Gaëtan Thibaut.
Ils ont tous les deux 25 ans et ils siègent au
conseil communal nivellois depuis 2012.
Commençons par une brève présentation…
Qui es-tu ?
EB : Je suis l’ainée de 4 filles. Mon papa est
pédiatre à Nivelles depuis plus de 20 ans et
ma maman est sage femme. J’ai démarré des
études de droit pendant 2 ans mais j’ai finalement changé d’orientation pour choisir la voie
de la communication politique et des relations
internationales.
GT : Je viens de terminer des études de droit.
J’ai 2 frères, un plus âgé et un plus jeune et
nous habitons avec nos parents à Nivelles. Je
suis gille à l’Argayon depuis très longtemps
puisqu’en 2014, j’ai fêté mon … 23ème carnaval
aclot !
Et en dehors des études, des passions ?
EB : Je joue au hockey au pingouin à Nivelles.
Cela me détend beaucoup.
Nivelles CApital 4 2
GT : Je suis passionné par le sport, notamment
le cyclisme et le tennis. Depuis tout jeune, je suis
aussi passionné par les mouvements de
jeunesse. Je m’y suis beaucoup investi et ce
n’est pas fini.
Quand a démarré ton engagement en politique ?
EB : Je me suis engagé au sein des Jeunes MR
en 2006, notamment avec Margaux Nothomb.
A l’époque on allait à la rencontre des jeunes en
soirée pour différentes actions de sensibilisation :
effets de l’alcool, distribution de préservatifs, etc.
GT : Lors de la campagne communale de 2006,
j’ai beaucoup aidé ma maman qui figurait sur la
liste ‘NivL’. Cela m’a beaucoup plu et dès la fin
de la campagne, j’étais devenu accro. J’ai acheté
la carte du parti et j’ai continué à m’y investir.
Pourquoi le MR(PS) plutôt qu’un autre parti ?
EB : J’ai grandi dans une famille dans laquelle
une valeur comme le travail a toujours été mise
en avant. A la maison on discutait souvent des
choix de société et de la politique en général. Le
choix du MR s’est imposé tout seul. J’y retrouve
beaucoup d’idées qui me conviennent.
GT : Parce que le PS correspond parfaitement
à mes valeurs et à ce que je défends. Mon papa
est délégué syndical et la solidarité a toujours
beaucoup compté dans la famille. La réflexion
n’a donc pas duré longtemps. Cela reste néanmoins un choix très personnel.
Y a-t-il un modèle qui t’a inspiré ?
EB : J’ai eu l’occasion de rencontrer Charles
Michel il y a quelques années. Quand je vois le
chemin parcouru depuis ses débuts et la façon
dont il a grimpé les échelons, je me dis que si lui
a réussi, alors d’autres jeunes peuvent le faire
aussi. C’est aujourd’hui un homme politique qui
m’inspire. Il va au fond des choses tout en sachant mettre l’essentiel en évidence. De plus,
il reste très accessible, qualité essentielle en
politique.
GT : Au départ, franchement non. Puis en m’investissant de plus en plus dans le PS nivellois,
j’ai appris à connaître André Flahaut alors qu’il
était ministre de la défense. Je dois dire qu’il
m’impressionne beaucoup. C’est un homme de
terrain et j’ai découvert tout son travail à Nivelles
et à quel point il a pesé sur l’avancement de
nombreux dossiers.
Et à l’étranger ?
EB : J’ai toujours admiré Nicolas Sarkozy. C’est
quelqu’un qui a de la prestance et qui s’exprime
très bien. Il a aussi le don de captiver son audience. J’ai suivi de près sa dernière campagne
présidentielle et j’ai regretté qu’il échoue dans
la quête d’un second mandat. Sa politique n’a
pas toujours été irréprochable mais il faut reconnaître qu’il a aussi fait de très bonnes choses.
Et puis, en tant que femme, j’ai un faible pour
les femmes au pouvoir. Je pense par exemple à
Angela Merkel mais il y en a d’autres…
GT : Il nous a quitté il y a déjà un moment mais
j’ai beaucoup lu au sujet de François Mitterand.
C’était un homme de passion et de valeurs et je
peux dire qu’il a influencé mon engagement politique. Malgré de nombreux échecs, il n’a jamais
baissé les bras et il s’est toujours relevé.
Comment t’es-tu retrouvé(e) sur les listes aux
dernières élections communales ?
EB : Ce n’est pas quelque chose qui était planifié. A force de m’investir dans les activités locales
du parti, le bourgmestre sortant m’a proposé de
rejoindre la liste qu’il formait. J’étais réticente car
je voulais donner l’entière priorité à mes études
que je cumulais déjà à un job d’étudiant. J’avais
donc été très claire dès le départ : je n’aurais pas
le temps nécessaire à investir dans une campagne électorale. Finalement je m’en suis plutôt
bien sortie en réalisant le meilleur score parmi
les « non-sortants ».
GT : Dès 2007, je me suis attelé à dynamiser
les jeunes du PS nivellois. Puis en 2010, le parti
commençait à chercher des candidats pour les
communales et j’ai décidé de tenter ma chance
en proposant ma candidature. On m’a rappelé
Nivelles CApital
4 3
pour me dire que je serais 10ème sur la liste
mais aussi le 1er parmi les nouveaux candidats.
J’étais très content. Je l’ai pris comme la reconnaissance de tout le travail abattu depuis 2007.
Et tu as été élu(e). Bravo ! C’était comment le
jour des élections ?
EB : La veille j’étais très stressée. Je me disais
que personne ne me connaissait et que seuls
ma famille et quelques amis voteraient pour moi.
J’ai passé un dimanche paisible en famille avant
de prendre la direction du QG du parti. « Tu as
cartonné ! » m’annonça-t-on dès mon arrivée.
Je tombais vraiment des nues. En me portant
candidate, je voulais avant tout soutenir la droite
nivelloise via la « Liste du Bourgmestre ». A aucun moment, je n’imaginais être élue. Et encore
moins avec un score si élevé (363 voies, ndlr).
Je me suis même sentie un peu gênée car mon
excellent score a fait des jaloux.
GT : Tout le weekend a été très stressant. Le
samedi soir, j’avais donné rendez-vous à tous
les autres ‘jeunes’ candidats de tous les partis
confondus afin de décompresser. On s’est
retrouvé à 22h et on a copieusement fêté la fin
de la campagne. Du coup, j’ai peu dormi cette
nuit là… Le dimanche matin, j’étais anxieux
même si pour moi, c’était déjà une victoire d’être
arrivé là. J’ai fait le tour des bureaux de vote à la
rencontre des citoyens puis j’ai rejoint ma famille
autour d’un bon repas. A 23h30, c’était officiel :
élu avec 301 voix.
Et quelques semaines plus tard, le premier
conseil communal et la prestation de serment. Impressionnant ?
EB : Très impressionnant ! C’était une journée
que j’attendais avec impatience car c’est un acte
très important. C’est là que l’on entre vraiment
dans la fonction. L’appel se faisait par ordre
alphabétique, j’ai donc été parmi les premiers
à prêter serment. J’avais répété les 3 phrases
à prononcer mais cela ne m’a pas empêché de
bafouiller.
GT : C’est un moment d’émotion très prenant.
C’est là qu’on repense à la confiance que nous
ont fait les citoyens et c’est le vrai début de 6
Nivelles CApital 4 4
années de mandat. J’ai réussi à prêter serment
sans bafouiller.
Dirais-tu que ta vision de la vie communale a
changé depuis que tu sièges au conseil communal ?
EB : Ce qui me frappe, c’est de voir que de l’extérieur, on voit le produit fini. On voit apparaître
des nouvelles normes, des décisions arrêtées
et des mesures bien ficelées. Mais de l’intérieur
c’est autrement plus compliqué et tout est sujet à la discussion et au compromis. C’est vraiment plus complexe que je ne le pensais. On ne
fait pas sortir un lapin d’un chapeau d’un coup
de baguette magique ! Et puis maintenant, j’ai
une vision bien plus large de la politique de ma
commune. La critique est facile mais il faut être
dedans pour connaître toute la complexité de la
gestion de la ville.
GT : Non pas du tout car, dès 2007, j’étais
membre du comité PS chargé notamment
d’analyser les dossiers qui sont ensuite traités
au conseil communal. J’étais donc déjà impliqué
dans le fonctionnement du conseil communal et
au courant des différents dossiers traités.
Quelle est ta réputation parmi tes collègues
de travail ?
EB : Je suis souvent en retard, c’est plus fort
que moi ! Mais pour compenser, je suis de nature
joyeuse et toujours souriante. Certains ne me
croient pas fiable. A cause de ma jeunesse peut
être. En fait, entre ma jeunesse et mon joli score
électoral, j’imagine que je dérange parfois.
GT : Je pense être perçu comme un travailleur
qui analyse ses dossiers à fond. Par ailleurs, j’ai
tendance à me faire remarquer en intervenant
fréquemment lors du conseil. Au début, même
si le fond était bon, je pêchais un sur la forme.
Je pense avoir corrigé cela. Plus simplement, je
pense avoir une « grande gueule ». En politique
c’est à la fois un défaut et une qualité.
Qu’est-ce qui te plait le plus (le moins) lors du
conseil communal ?
EB : Je n’y interviens pas beaucoup et c’est frustrant. La majorité présente au conseil des dossiers
Si c’était à refaire, que changerais-tu ?
EB : Je recommence sans hésiter. On dit que l’appétit vient en
mangeant. Alors je voudrais avoir la chance d’encore plus
progresser !
GT : Je signe à nouveau et je refais tout pareil !
Où seras-tu dans 5 ans ?
EB : Pour autant que la population m’accorde sa confiance, je serai toujours en politique. J’ai eu la chance d’accompagner V. De
Bue lors de la dernière campagne électorale et c’est là que j’ai
réalisé que c’est ce que je voulais faire. La politique est bien plus
qu’un simple passe-temps, c’est un métier ! C’est d’ailleurs ce
qui a incité un changement d’orientation de mes études. J’espère
gravir les échelons au niveau communal ou peut être à d’autres
niveaux de pouvoir. J’adore tellement la politique que je me verrais
bien travailler dans un cabinet de ministre ou collaborer avec un
parlementaire.
GT : J’habiterai toujours Nivelles ça c’est sur. Lors des prochaines
élections communales, j’espère à nouveau être candidat et être
réélu. Mais ça dépendra bien sur des nivellois. Pour l’instant je
préfère faire mes armes au niveau communal. C’est là qu’il y a
une énorme proximité avec les citoyens et c’est ce que je préfère.
C’est toi le futur bourgmestre de Nivelles ?
EB : Pourquoi pas… Mais ce n’est pas encore à l’ordre du jour.
C’est une responsabilité immense et il me manque des années
d’expérience avant de prétendre à un tel poste. Ce n’est pas tellement le côté puissant de la fonction qui m’intéresse mais plutôt
l’influence constructive que l’on peut apporter sur la vie des
nivellois.
GT : C’est forcément un but mais ce n’est pas un objectif direct. Si
d’aventure cela devait arriver, je ne dirais pas non.
Philippe Gysens
En bref
déjà discutés et il appartient à l’opposition de les contester. J’ai
donc rarement la parole. Cela n’enlève rien au fait que j’adore avoir
cette vue d’ensemble sur tous les dossiers de la ville. Je suis au
courant de ce qui se décide dans ma ville et cela me permet de
mieux répondre aux demandes des nivellois.
GT : Je trouve dommage l’absence de positions personnelles sur
certains dossiers (et cela s’étend au-delà de la politique communale). Chaque vote suit toujours la ligne du parti et c’est dommage.
Surtout qu’en coulisses, on sait très bien qu’il n’y a pas toujours
l’unanimité. Du côté positif, j’adore les échanges de points de vue.
On démarre avec des visions initiales tout à fait différentes puis on
lance les discussions et les négociations pour convaincre. J’aime
aussi titiller mes adversaires politiques.
Une avenue Altiero Spinelli
Pour ceux qui ne l’auraient
pas encore remarqué, les
allées du site industriel des
Portes de l’Europe portent le nom des principaux
pères fondateurs de l’Union
Européenne. Exemples : les
avenues Robert Schuman
(1886-1963), Jean Monnet (1888-1979), Konrad
Adenauer (1876-1967) ou
encore Paul-Henri Spaak
(1899-1972).
Prochainement, une nouvelle avenue
verra le jour et celle-ci sera
dédiée à Altiero Spinelli
(1907-1986). Cette nouvelle voirie est une nouvelle
étape du processus de développement du Nivaxis.
Le conseil communal, qui
s’est réuni le lundi 25 août
dernier, a approuvé cette
dénomination.
Des conférences-débats
C’est la rentrée également
pour l’antenne interuniversitaire UCL-ULB des aînés
(AIDA Nivelles ASBL) qui
organise une conférence
par mois durant l’année,
à chaque fois suivie d’un
débat, et portant sur des
sujets scientifiques, culturels, médicaux et philosophiques. Tout cela en collaboration avec le centre
culturel de Nivelles. Le programme des sujets est déjà
arrêté. La conférence inaugurale 2014-2015 se tiendra le lundi 29 septembre, à
14h30, au Waux-Hall. Titre
: La démocratie en crise.
Orateur : François De Smet,
docteur et maître-assistant en philosophie (ULB).
Chaque séance comporte
un droit d’entrée de 5€. Informations, programme et
inscriptions : Mme Canart
067 21 25 97
Nivelles CApital
4 5
En bref
ROM SWING TO BOP with
Jack Gondry and his New Music
Pour ou contre des éoliennes au sud de Nivelles ?
Un projet, conduit par une
société de Tournai nommée
Ventis, vise l’implantation
d’un parc éolien au sud de
Nivelles, le long de l’autoroute E19, sur une zone
agricole proche du contournement sud. Il prévoit notamment l’installation de cinq
éoliennes. La population intéressée est invitée à découvrir
la présentation de ce plan qui
sera donnée par le promoteur
et à formuler des éventuelles
remarques, avant que celuici ne puisse introduire une
demande de permis unique
pour cette activité. Dans ce
cadre, une séance d’information se tiendra mardi 16
septembre, à 19h, à l’hôtel-restaurant Nivelles-Sud,
chaussée de Mons. L’entrée
est libre.
Nivelles CApital 4 6
Le 5 septembre dernier , 70 ans jour pour jour après l’entrée des
forces alliées dans la cité aclote, l’orchestre nivellois ‘Jack Gondry
and his New Music’ faisait revivre musicalement l’ambiance de
la Libération sur la Grand-Place de Nivelles. Les plus anciens
se souviennent certainement du bal de la Libération que Jack
Gondry, le père de Jean-Jacques, avait animé avec son premier
orchestre et des musiciens militaires britanniques stationnés à Nivelles. C’était le 5 septembre 1944 !
Le 7 novembre prochain à 20h, c’est un programme sensiblement
différent que l’orchestre de jazz ‘Jack Gondry and his New Music’
, dirigé par Jean-Jacques Gondry, nous présentera sur la grande
scène du Waux-Hall. ‘From Swing to Bop’, ne sera pas un ‘copiécollé’ mais plutôt un prolongement du concert du 5 septembre .
L’orchestre nous proposera bien entendu des morceaux particulièrement ‘swing’ de l’époque de gloire des big bands de Benny
Goodman, Charlie Barnet , Count Basie, Duke Ellington, Glenn
Miller etc., popularisés par l’arrivée des GI’s en Europe mais il
évoquera également des individualités fascinantes qui, au sein,
ou en marge de ces formations, ont développé dès le début des
années 40 un langage musical particulièrement original, le
bebop : Charlie Parker, Dizzy Gillespie, Charlie Christian ...
Des nouvelles sonorités voyaient le jour et enrichissaient à leur
tour, la palette sonore des big bands . Ajoutons à tout cela un
vibrant hommage musical au pianiste Horace Silver récemment
disparu et nous sommes assurés que Jean-Jacques Gondry et
ses musiciens nous proposeront un passionnant voyage dans
l’univers du swing et de créativité musicale .
Réservations au Centre Culturel, Waux-Hall de Nivelles,
place Albert 1er à 1400 Nivelles. Tél.:067/88 22 77
PORTRAIT
Nivelles CApital 4 8
Par Magaly Swaelens
La photo nature by Olivier Declercq
Il immortalise fleurs et autres beautés
qu’offre la nature. Rencontre.
Olivier Declercq le dit lui-même. « Je ne tiens
pas en place. Je suis plutôt du genre nomade ».
Par contre, ce qu’il ne dit pas d’emblée mais on
ne tarde pas à le remarquer, c’est qu’il ne quitte
que très rarement son domicile sans son matériel de chasseur d’images. Bientôt, cet ancien
élève de l’Athénée et de l’IPET, à présent papa
de trois enfants, aménagera normalement son
studio dans la cité aclote. La panoplie Nikon
glissée dans le sac et c’est le début de l’aventure ! À l’heure de notre rencontre, par exemple,
il avoue avoir traîné quelques heures avant le
rendez-vous au parc de la Dodaine à la recherche de nouvelles sources d’inspiration. Car
il les trouve en général plutôt dans les cadres
verdoyants. « J’ai toujours été, dès l’enfant,
fasciné par l’image et la nature. Petit, on me retrouvait très souvent la tête plongée dans des
livres où j’étudiais les différentes races animales
ou autres », sourit-il. La curiosité le pique souvent et en général, une envie de prendre une
photo s’impose de manière imprévue. Il suffit
de peu parfois. Une lumière particulière, une rafale de vent ou une silhouette… Les voyages,
c’est son dada aussi. « Mais il ne faut pas forcément aller au bout du monde pour découvrir de
belles choses ! J’ignore encore si c’est la photo
qui m’a donné goût aux voyages ou si c’est
l’inverse. C’est pareil avec la marche. J’aime
prendre le temps d’observer les richesses de la
biodiversité en me promenant ».
Une auto-formation
Olivier Declercq a suivi une formation de dessin
technique et s’est dirigé vers le huitième art
un peu par hasard. Il n’y a d’ailleurs pas si
longtemps que le jeune homme a acquis son
premier reflex. « Au fur et à mesure, j’ai évolué
dans la pratique en apprenant seul, même si j’ai
reçu de bons conseils de la part d’amis.
Petit à petit, j’ai trouvé mon style personnel et
mon côté nature a refait surface. Cela m’a amené à la macro-photo. J’immortalise les fleurs
en tentant de faire dégager une certaine ambiance de l’image et en actionnant la manette
artistique. Je suggère des éléments et ne me
focalise pas que sur le sujet. L’environnement
du végétal a toute son importance », explique
Olivier Declercq. On l’aura bien compris, le but
n’est pas de créer un guide botanique mais de
traduire un travail minutieux de technique et de
réglages. Et les clichés sont pris au gré des envies du maître de l’instantané. Le hobby s’est
rapidement transformé en passion dévorante.
« La photo est une remise en question en
permanence. Je veux toujours obtenir une
meilleure image que les précédentes. La photo
nous permet d’apprendre sur nous-mêmes et
aussi de créer des liens. Elle nous pousse à aller
vers l’autre et à rencontrer des gens. De plus, elle
est accessible à chacun». Pourquoi s’en priver ?
Olivier Declercq s’est construit une petite vitrine
sur les réseaux sociaux. Comme en témoignent
ces deux pages Facebook (Olivier, Partageur
d’images et de couleurs et Olivier, Passion Chevaux) qui méritent d’être partagées et likées !
Nivelles CApital
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Nivelles CApital 5 2
EXPO
Quand la Thines
dévoile ses charmes
Le cours d’eau est au cœur de l’exposition du photo club Entre Nous.
À ne pas manquer les 20, 21, 27 et 28 septembre et 4 et 5 octobre !
Nivelles CApital
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La vallée de la Thines a longuement été sous le feu
des projecteurs ces derniers temps. Tout au long de
sa traversée des cinq villages de l’entité nivelloise, le
cours d’eau a d’abord patiemment été observé avant
d’être finalement capturé par d’étranges boîtes noires
numériques… Et pas qu’une seule fois s’il vous plaît.
Il fut l’objet de toutes les attentions, de regards et
de remises en question. Ses plus charmants recoins
ont été immortalisés par les membres du Royal Photo
Club Entre Nous qui ont réalisé un travail d’envergure,
valorisant au mieux ses richesses naturelles. Ce travail, on pourra le découvrir lors de l’annuel et incontournable Salon d’art photographique qui investira la
salle des mariages (et celle des marbres) de l’hôtel
de ville.
Trois week-ends durant lesquels on pourra apprécier,
de 10h à 18h, la mise en exposition de près de deux
cents photos au total, classées selon des thèmes.
Celui de la Thines a été décliné en partenariat avec
l’ASBL Contrat de Rivière Senne, le service Environnement de la Ville et l’Académie. Un diaporama sera
projeté lors du vernissage le vendredi 19 septembre,
à 19h. Des panneaux didactiques embelliront les cimaises de l’hôtel de ville, présentant alors quelques
clichés du photo club de Saintes, ville française jumelée avec Nivelles. Enfin, on pourra également découvrir les travaux individuels réalisés en cours d’année
par les « élèves ». Pour eux, cette exposition compte
double, elle est la brillante apothéose d’une année
de recherche, de découvertes, de travail, mais aussi
d’investissement personnel et humain.
Nivelles CApital 5 4
La porte est toujours grande ouverte
Bon à savoir ! Le club, présidé par William Delange
et vice-présidé par Norbert China, est toujours ouvert à celui qui désire partager sa passion, recevoir
des conseils, échanger en la matière et évoluer dans
sa technique. Chacun a la possibilité de progresser
suivant son propre rythme. C’est le principal. Le club
Entre Nous est réputé pour l’ambiance qui règne
lors de ses réunions, une ambiance conviviale, et
le principe veut que chacun trouve sa place au sein
du groupe. Ce n’est évidemment pas pour rien que
le club se réunit depuis plus de quatre-vingts ans !
Même s’il aura néanmoins fallu attendre l’année 1950
pour que le cercle accepte de nouveaux candidats…
En règle générale, il tourne avec une moyenne de
trente-cinq membres. Les plus expérimentés accueillent les « nouveaux » pour les orienter dans le
domaine plus technique. L’accent est strictement
porté sur le progrès, la liberté d’exercer son art, l’épanouissement et la convivialité. Les membres se rassemblent tous les vendredis de l’année à 20h et une
activité est organisée tous les mercredis après-midi.
Et puis, s’il le désire, l’amateur pourra s’engager dans
un projet du club portant sur du plus long terme. Pour
mieux apprécier ses œuvres et avoir l’honneur de les
montrer au public lors du salon annuel !
www.photoclub-nivelles.be
Magaly Swaelens
En bref
Exposition sur 1914-1918
Le cycle d’expositions reprend en ce mois de
septembre à la galerie Espaces de Libertés,
rue des Brasseurs. Jusqu’au 15 octobre, de
14h à 16h en semaine, le public est invité à
découvrir des panneaux didactiques, des objets divers issus d’une collection privée, ainsi
qu’une série de photos de la vie nivelloise
sous l’occupation allemande durant la Grande
Guerre 14-18. L’exposition est organisée par
la Ligue de l’Enseignement du Brabant wallon,
la Maison de la Laïcité, en collaboration avec
l’ASBL Nivelles Historical Militaria Association,
dans le cadre du 100ème anniversaire de l’invasion du pays par l’Allemagne et du 70ème
de la libération de Nivelles. Infos : 067 21 21 66
Bel exploit sportif et humain !
Cinquante participants ont fait halte à Nivelles
le 21 août dernier, pour prendre un peu de repos au cœur de leur challenge Paris-Bruxelles,
avant de gagner la capitale le lendemain matin.
Seulement, ce défi, ils ne l’ont pas remporté à
vélo ou à pied mais bien en rollers et en fauteuils roulants ! Histoire de prouver qu’il est
toujours possible de réaliser de grands projets,
même dans de telles circonstances, et que la
solidarité reste primordiale dans ce genre
d’épreuve. Tout au long du parcours, la caravane de Paris-Bruxelles a tenté de sensibiliser
le public à cette constatation. Deux associations sont à l’origine de cette idée : Mobile en
Ville et Rouli Roula.
L’Aclote et ses cuvées spéciales
Qui n’a pas encore goûté la Blonche Aclote
confectionnée par les Brasseurs Nivellois ?
Ces derniers poursuivent une habitude installée depuis maintenant un certain temps qu’est
de donner un petit nom sympathique, en
guise de clin d’œil à certains faits d’actualité
à l’échelle locale ou nationale, à chaque brassin. Vous rappelez-vous de leur cuvée spéciale
« Flupke Ier », à l’occasion de l’accession au
trône du Roi Philippe (2013) ou encore des
autres appelées « Aosta », en l’honneur des
cyclistes qui ont parcouru Nivelles-Aosta, et «
Copa do Mundo », pour soutenir nos Diables
durant la Coupe du Monde. Et la dernière en
date n’est autre que la « Cuvée de la Libération
». On a d’ailleurs pu la déguster lors des commémorations de ces 5, 6 et 7 septembre du
70ème anniversaire de la libération de Nivelles
par les troupes américaines.
En bref
Appel aux producteurs nivellois
Julie Fonteyn (photo), une
jeune habitante de Loupoigne, vient de lancer une
«Ruche qui Dit Oui » à Genappe et est à la recherche
de producteurs et artisans
locaux, dont de Nivelles,
désireux de se lancer dans
l’aventure. Le principe est
simple. Une « Ruche qui Dit
Oui » est une plateforme web
sur laquelle s’inscrivent les
producteurs pour y proposer
leurs produits. Le client passe
sa commande sur Internet et
une vente, sous forme de petit marché, est organisée (1 ou
2 fois/ mois) dans un point de
retrait. Six enseignes ont déjà
répondu à l’appel, dont le Soleil Levain et la Ferme du Duc
à Nivelles. Le but de ce projet
est de favoriser l’achat local,
frais, de saison et à juste prix,
de renforcer le lien entre le
producteur et le consommateur et la convivialité entre les
habitants et, en même temps,
de soutenir les agriculteurs de
la région en leur offrant une
vitrine pour leurs produits.
www.laruchequiditoui.fr/5167
Facebook: La Ruche de
Genappe
La fête des potirons
Rendez-vous incontournable
très attendu par de nombreux habitués, le grand marché du potiron et de la coloquinte (plus de cent variétés),
organisé par et au profit de
l’association Emeraude (7,
avenue de la Gare à Baulers),
se tiendra le week-end des
20 et 21 septembre, de 10h
à 21h. Comme de coutume,
outre la vente des produits,
des expositions et des animations rythmeront ces deux
journées de festivités.
Infos : 067 21 51 04.
Nivelles CApital 5 8
Et si vous appreniez
le chinois à Nivelles ?
L’apprentissage du chinois permet non seulement d’accéder à un
riche patrimoine historique et culturel, mais aussi de comprendre
une culture millénaire. Le chinois est un merveilleux moyen de
communication qui donne l’occasion de s’imprégner d’une logique de raisonnement différente et de découvrir une autre vision
du monde.
Comme toutes les autres langues, la langue chinoise reflète des
traditions, valeurs et idées transmises par les générations.
L’écriture chinoise est un excellent exercice de mémorisation et
de gestion de l’espace. De plus, elle possède une dimension esthétique impressionnante et mystérieuse, cependant, une analyse
des caractères ainsi que quelques explications étymologiques la
rendent abordable par tous. L’apprentissage de l’écriture ouvre
une porte sur l’histoire et la pensée chinoises.
La maîtrise de la langue et de l’écriture constitue un véritable défi,
qui exige de la persévérance pour bien réussir son apprentissage.
Par ailleurs, les bases de la langue et de l’écriture, présentées
sous forme d’activités à la fois intellectuelles et créatives, sont
accessibles à tous.
Ayant commencé à apprendre le chinois en 1994, Benedicte Prevost a obtenu le niveau HSK 5 (expérimenté). Elle enseigne aujourd’hui le chinois aux enfants et aux adultes, et ce, depuis 2006.
Elle dispense actuellement des cours de chinois chez Vatel, International Business School à Bruxelles. Elle donne également des
cours pour enfants et adultes, ainsi que pour les entreprises.
Envie de tenter l’aventure ?
Contact : +32 474 555 920
Email: [email protected]
Service
personnalisé
Essai de 1 mois
au domicile
5 ANS
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*Voir conditions en magasin
Consultation le lundi de 9h à 13h avec
ou sans rendez-vous et sur rendez-vous les autres jours.
Parking réservé à la clientèle.
Centre auditif Martine Deplanche
Chemin du Vert Baty 39 - 1400 Nivelles - 067 84 21 38
PROLON
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JUSQUE IONS
F
SEPTEM IN
BRE
101,6 fm
Mélodie Fm, partenaire de Nivelles Capital
www.melodiefm.be
FIZAINE S.P.R.L. Chaussée de Bruxelles 226, 1401 NIVELLES (Nivelles nord, direction Waterloo)
067/21.40.27 • [email protected]
Portes ouvertes du 15 au 20 septembre