Le 32 PORTUGAL FASHION VIBE se poursuit à l`édifice

Transcription

Le 32 PORTUGAL FASHION VIBE se poursuit à l`édifice
Suite à l’ouverture à Lisbonne
e
Le 32 PORTUGAL
FASHION VIBE se
poursuit à l’édifice
Alfândega avec plus de 26
défilés de mode
Neuf jeunes créateurs et une marque (Espace Bloom), neuf créateurs
consacrés, neuf marques de vêtements et sept marques de chaussures
présenteront leurs collections automne-hiver 2013-14
L’ouverture de la passerelle incombe à Katty Xiomara et la clôture à Luís
Onofre
Attention particulière pour les défilés de Miguel Vieira, qui célèbre ses noces
d’argent, de Luís Buchinho, avec sa ligne de mailles, et de Felipe Oliveira
Batista, qui montre toute son “ Inquiétude ” dans un travail sur les formes
presque obsessives
VIBE est le concept qui inspire cette 32e édition
Le 32e PORTUGAL FASHION VIBE recevra dans l’Édifice Alfândega de Porto sa dernière et
plus vaste étape. Après son ouverture à Lisbonne, le 20 mars, l’évènement se poursuit les
trois prochains jours avec plus de 26 défilés de mode. Du 21 au 23 mars, neuf jeunes
créateurs et une marque (Espace Bloom), neuf créateurs consacrés, neuf marques de
vêtements et sept marques de chaussures présenteront leurs collections automne-hiver
2013-14. S’ajoute également à ces chiffres, les quatre défilés à
Lisbonne,
avec
cinq
nouveaux
créateurs
et
le
duo
Alves/Gonçalves et Fátima Lopes.
Pour le Président de la Commission Exécutive de l’ANJE, l’entité
organisatrice de l’évènement, “ la qualité, la diversité et l’étendue du
programme des défilés démontrent la force du PORTUGAL FASHION,
même dans une conjoncture très difficile pour le pays. Avec une gestion
rigoureuse, beaucoup de travail et le soutien de nos partenaires, nous avons
réussi à mettre sur pied plus d’une édition du PORTUGAL FASHION sur le plan du
remarquable historique de l’évènement et de ce qui se fait de mieux dans la mode
internationale. Nous pensons que, grâce à cette démonstration supplémentaire de
vitalité, le PORTUGAL FASHION traduit un moment favorable que la mode portugaise
traverse en termes créatifs et en ce qui concerne la reconnaissance internationale ”,
garantit Manuel Lopes Teixeira.
L’autre démonstration visible du “ bon moment que traverse la mode portugaise ” est,
selon Manuel Lopes Teixeira, “ la nouvelle génération de créateurs qui pointe à l’Espace
Bloom ”, une plateforme créée par le PORTUGAL FASHION pour promouvoir des jeunes
designers. Pour le président de la Commission Exécutive de l’ANJE, “ la qualité mise en
évidence par les jeunes créateurs qui ont été soutenus par le PORTUGAL FASHION
est un gage que la mode portugaise a de l’avenir et que la créativité tend à renforcer la
compétitivité du secteur des vêtements et de la chaussure national ”.
Le même responsable souligne, également, que “ le choix de distribuer les défilés entre
Lisbonne et Porto est de renouveler le pari d’un modèle vainqueur ”. En effet, il ajoute,
“ la présence dans la capitale du pays a permis une visibilité accrue des nouveaux
créateurs et un renforcement de la marque PORTUGAL FASHION, sans froisser
l’historique relation de l’évènement avec Porto – centre névralgique de la Filière Mode
dans notre pays ”.
Contrariant légèrement la tendance au découragement vécu dans la société portugaise, le
PORTUGAL FASHION a choisi pour thème de cette édition un concept positif : VIBE. Le
terme en anglais pour vibration (contraction de vibration) est, probablement, ce qui définit au
mieux l’effet qu’une création artistique génère lorsqu’elle germe. Un cadre, une sculpture,
une pièce musicale, un film ou même un plat gourmet peuvent provoquer un frémissement,
ce chavirement, ce swing qui n’est autre que le plaisir esthétique qui se consume. Une
vibration, en somme.
La mode fait également vibrer, et comment ! En établissant de
nouvelles
tendances
qui
détournent
l’archétype
et
qui
définissent des concepts d’avant-garde, la mode fonctionne
comme un diapason qui, lorsqu’il est percuté, provoque un
soubresaut esthétique. C’est d’ailleurs l’obligation primordiale de la
mode : provoquer des vibrations et, de cette façon, générer une énergie
transformatrice dans la façon dont nous nous habillons et dans notre propre
entendement des vêtements en tant que création non seulement fonctionnelle
mais aussi artistique.
En choisissant ce thème pour sa 32e édition, le PORTUGAL FASHION entend célébrer cette
sensation de vibration que la mode peut provoquer avec ses formes insolites, ses équilibres
précaires, ses combinaisons inspiratrices, ses couleurs stimulantes… Au fond, il s’agit
d’exalter la diversité de manières dont les personnes se laissent impressionner ou même
attendrir par les créations de mode.
Trois défilés à ne pas manquer
Dans l’Édifice Alfândega, le 32e PORTUGAL FASHION VIBE démarre en force avec les
défilés de Katty Xiomara, Júlio Torcato et Anabela Baldaque. Vers 20h30, le jeudi 21 mars,
la passerelle reçoit une collection féminine qui interprète les “ nouvelles formes d’art urbain,
alliées aux concepts ancestraux de décoration du patrimoine urbain ”. Dans les nouvelles
propositions de Katty Xiomara, “ le traditionnel azulejo portugais sert de toile à une
expression de street art, qui transposé aux vêtements révèle des contours simples et épurés.
Le grand ornement se centre sur l’élément graphique représentatif de ces deux visions
artistiques ”, affirme la créatrice.
Dans cette “ collection urbaine et féminine, à l’attitude forte ”, “ les formes sont géométriques,
mais le tracé fluide et elles sont toujours disposées avec une certaine symétrie. Quelques
pièces sont délimitées par des lignes contrastantes en noir et bleu cobalt. La première
couleur définit le tracé primaire et la seconde traduit la couleur traditionnellement utilisée
dans l’azulejo, et qui donne son nom à la faïence traditionnelle. Les couleurs de base se
concentrent sur un faux blanc, un noir et un gris givré, harmonisées par une palette plus
chaude d’oranges brûlées ”.
S’ensuit Júlio Torcato, avec une collection intitulée “ Porto ”, qui s’adresse à “ un public
masculin à forte personnalité, élégant et urbain, qui exige de l’originalité, une identité et de la
qualité ”, affirme le créateur. Il s’agit, selon lui, d’une “ collection d’inspiration classique, mais
très contemporaine, exécutée dans la meilleure tradition de tailleur sur mesure ”.
Caractéristiques de la collection : coupes strictes et personnalisées
pour des modèles exécutés avec des matières et des finitions
de grande qualité, comme les laines pures ou mélangées aux
soies dans des matières très techniques (néoprène et polyamide).
Les couleurs sont à prédominance sombres : marron foncé, gris,
bordeaux et bleu foncé, rehaussées de quelques touches plus vives,
telles que l’ocre, le rouge, le bleu canard et le violet.
Pour clore les défilés du 21, Anabela Baldaque présente la collection “ Et la lumière fut… ”,
où “ la femme redevient la diva décontractée, séductrice, romantique, mais cette fois plus
pop ”. Dans des looks irrévérencieux mais destinés au quotidien, Anabela Baldaque oppose
les unis intégraux aux modèles à carreaux et aux carrés, créant ainsi des ambiances années
60 et 70. Dans la collection on distingue les manteaux larges, certains sont croisés ou à
fermeture éclair ; les cols ; les textures appliquées en dentelles et en peaux ou cuirs ; les
robes chemisiers ; les pantalons près du corps et masculins ; les robes courtes en godé,
plissées. Quant aux matières, la créatrice a privilégiée les skaïs unis et évasés aux textures
nacrées, les laines unies et fantaisie, les draps en laine mélangée, les soies et les tissus à
paillettes.
Luís Buchinho révèle ses mailles
Le vendredi 22, vers 18h00 commencent les défilés de l’Espace Bloom, tandis que sur la
passerelle principale les créateurs Ricardo Preto, Luís Buchinho et Miguel Vieira sont les
principales attractions. Ricardo Preto a dessiné pour la marque Meam la collection “ Casa
Corpo ” (Maison Corps), qui s’adresse à “ une femme moderne et cultivée, saine et à
l’écoute des défis de la société actuelle, avec une ambition ultra féminine qui inspire l’amour
et l’admiration ”. La silhouette est fluette, avec des volumes en contrepoint et des pièces
moulantes. “ Modèles, tapis, camouflés, paysages, tigres et lions imprimés et brodés d’or et
de couleur accentuent les soies, les cotons et les laines ”, affirme le créateur. Pour ce qui est
des couleurs, Ricardo Preto a porté sa préférence sur les rouges, les verts et les bleus, qui
contrastent avec le noir, le jaune et le blanc.
Après la présentation de la collection “ Lady v.s. Boyish ” de Diogo Miranda, Luís Buchinho
fait défiler les dernières propositions de sa ligne de mailles. Sous l’étiquette de Luís
Buchinho Knitwear, le créateur révèle une collection dont “ la grande influence est le design
industriel des années 70, traduit dans une ligne de pièces pour un usage quotidien, avec une
tendance urbaine très marquée ”. Les “ graphismes simples et efficaces, avec des
combinaisons de couleurs insolites, où les barres et les blocs de couleur sont évidentes dans
toutes les silhouettes ” abondent. Dans les formes, il existe un “ contraste entre le thème
masculin/féminin dans des silhouettes droites et confortables ”. La
palette de couleurs comprend le noir, le blanc, le vert menthe,
le kaki, le taupe, le bordeaux et les bleus avec des pigments
gris. Finalement, les matières utilisées sont le jersey de viscose,
le jersey de coton, le cuir, la fourrure, le bouclé de laine et les mailles
tricotées dans différents jeux et fils.
Avant la clôture de la passerelle avec la collection “ Origens ” (Origines) de
TMcollection by Teresa Martins, Miguel Vieira propose des looks sophistiqués pour des
femmes à forte personnalité, charismatiques, confiantes mais aussi belles et élégantes. À un
moment où il célèbre 25 ans de carrière, le créateur a dessiné des pièces “ qui alternent la
silhouette en sablier et la silhouette rectangulaire, courte ou longue ; des manteaux
légèrement oversized et des pantalons larges ; des jupes et des robes mini ou à hauteur du
genou ”. Cette nouvelle collection de Miguel Vieira révèle des détails différents, comme les
jeux de volumes et les asymétries, les volants larges et les mélanges de couleurs et de
textures. L’autre détail intéressant sont les manches raglan, avec ou sans volumes. Le blanc
nuage, l’angora, le champagne, l’or nouveau, le marron liqueur, l’anthracite et le “ nuit noire ”
sont appliqués sur des matières aussi variées que les paillettes sur la base de soie, les
tissus jacquard aux modèles fleuris et animaliers, les tissus unis, les mailles, les draps unis
et les draps à paillettes.
Luís Onofre clôt les défilés
Le samedi, le programme des défilés commencent avec l’habituelle présentation collective
des marques de vêtements nationaux. Concreto by Helder Batista, Cheyenne, MDS – Mad
Dragon Seeker et Dom Colletto auront l’honneur d’ennoblir la qualité du prêt-à-porter
national – secteur de l’industrie textile dont les exportations ont le plus augmentées l’année
dernière. De même, il incombe aux marques Cohibas, Dkode, Fly London, Goldmud +
Alexandra Moura, Nobrand, J. Reinaldo et Silvia Rebatto la responsabilité de représenter la
vigueur esthétique et compétitive du secteur de la chaussure, qui exporte déjà 95% de sa
production et est le troisième avec les produits les plus chers du monde. Toutes ses
marques révèleront, dans un défilé collectif, leurs collections de chaussure pour la prochaine
saison automne-hiver.
En milieu d’après-midi, la passerelle principale du 32e PORTUGAL FASHION VIBE accueille
les créations d’un styliste très sollicité par le public lors des dernières éditions de
l’évènement. Il s’agit de Carlos Gil, qui propose “ un look qui mélange l’audace des années
60 à un style ‘glam révoqué’ des années 70 ”. La silhouette présente une “ coupe tailleur ”,
où “ la ceinture est le centre des attentions”. Les couleurs neutres, comme le blanc, le noir et
le camel abondent, elles se mélangent et se transforment en
couleurs azalées rose et vert sauvage. Quant aux matières, un
éventail de tissus “ transmet le plus pur style animal ”, ajoute le
créateur. Avec cette collection, Carlos Gil veut habiller “ une
femme sauvage qui s’affirme comme une femme moderne, nonconformiste, revendiquant sa positions dans une société machiste ”.
Ensuite, Vicri nous propose la collection “ Wonder Men ” de haut tailleur, dans
laquelle il propose un “ look total avec une forte influence du mouvement rockabilly
”.
Quant au défilé de Lion of Porches, sa principale nouveauté est de présenter, pour la
première fois, la collection Kids, pour fille et garçon. “ Cette collection conjugue des pièces
emblématiques de la marque, d’inspiration britannique et raffinées au niveau des détails et
des matières utilisées – canadiennes, cabans –, à des pièces plus confortables et
décontractées que les enfants aiment tant – sweats, polos et denims –, de sorte à créer un
look casual chic ”, révèle Lion of Porches.
L’un des moments forts du 32e PORTUGAL FASHION VIBE est, sans aucun doute, le défilé
de Felipe Oliveira Batista. Cette fois-ci, le créateur originaire des Açores mais vivant à Paris,
où il occupe le poste de directeur créatif de Lacoste, propose une collection où les formes
acquièrent une primauté presque obsessionnelle. Pour ce nouveau travail, l’influence
esthétique portugaise est très présente, plus concrètement les images-performance de
l’artiste plastique Helena Almeida, le film “ Tabu ” de Miguel Gomes et le “ Livre de
l’Intranquilité ” de Fernando Pessoa. “ Il s’agit d’une esthétique qui reste à définir, un
mélange d’austérité silencieuse et de sensualité lumineuse, qui trouverait une expression
naturelle dans une version à la fois souple et construite de vêtements ”, explique Felipe
Oliveira Batista.
Dans la collection intitulée “ Inquiétude ”, le créateur utilise des matières hétérogènes : des
tissus hybrides, de la laine avec des touches d’organdi, de la laine double face et de la
mousseline, du nylon et du lurex ultra brillant pour les imprimés, un satin liquide, le nylon et
la soie, le cuir délavé et la suède. Cette variété fait place à un “ jeu entre rigidité et flexibilité,
touche et effets de lumière ”. Les volumes, à leur tour, sont “ taillés ou asymétriques ”. On
retrouve des “ manteaux masculins reconstruits et aux épaules tombantes ” ; “ des formes
qui épousent le corps ou s’en éloignent, qui marquent ou effacent la coupe ” ; “ des robes et
des jupes anormalement grandes ”. La silhouette est “ fréquemment monochromatique,
même dans les imprimés, elle joue, parfois, avec les contrastes de noir. Les neutres
associés à une palette comme estompée par le temps, les demi-tons de gris, le rose
flamand, le bleu nuit et le bleu pétrole ” complètent l’ensemble
chromatique de cette collection de Felipe Oliveira Batista.
Puis après la présentation de la collection haut tailleur de
Dielmar, cette fois avec des looks vintage et rétro, Luís Onofre clôt
le 32e PORTUGAL FASHION VIBE avec sa plus récente collection de
chaussures pour femmes et sacs. Né à Oliveira de Azeméis, Luís Onofre
exporte plus de 90% de sa production et a des agents commerciaux qui
représentent sa marque en France, en Allemagne, en Grèce, en Hollande, en Italie, au
Danemark, en Suède, en Norvège, aux États-Unis, en Israël, au Canada, entre autres pays.
Ajoutons que le designer a déjà développé des collections pour Kenzo et pour Cacharel, et a
également chaussé, sous sa griffe, des célébrités telles que la princesses espagnole Letizia
Ortiz, la socialite Paris Hilton, l’actrice Naomi Watts et la première-dame des États-Unis,
Michelle Obama. La clôture de l’évènement par Luís Onofre est aussi la reconnaissance de
l’importance socio-économique de l’industrie portugaise de la chaussure, l’une des plus
compétitives, créatives et à valeur ajoutée du monde.
Le Portugal Fashion est un projet sous la responsabilité de l’ANJE – Association Nationale
des Jeunes Chefs d’Entreprise en partenariat avec l’ATP – Association du Textile et du
Vêtement du Portugal, actuellement financé par le QREN dans le cadre du Programme
Compete – Programme Opérationnel Facteurs de Compétitivité.
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
BUREAU DE PRESSE PORTUGAL FASHION - Rafael Alves Rocha
t. (351) 91 9408071 | e. [email protected] | w. www.portugalfashion.com
Le PORTUGAL FASHION
parie à nouveau sur les
jeunes créateurs avec 12
défilés à l’Espace Bloom
Dans l’Édifice Alfândega de Porto défileront les collections des créateurs Cláudia
Garrido, Carla Pontes, Stefano Ficetola, Joana Ferreira, Teresa Abrunhosa, Carlos
Couto, Mafalda Fonseca, Diana Matias, João Melo Costa et la marque KLAR
Au Carpe Diem Arte & Pesquisa, à Lisbonne, se tiendront les défilés de Susana
Bettencourt et Hugo Costa et de Andreia Lexim, Estelita Mendonça et Daniela
Barros
Coordination des défilés à la charge de Miguel Flor
Le 32e PORTUGAL FASHION VIBE se compose de 12 défilés (individuels et collectifs) de jeunes
créateurs. Après avoir démarré à Lisbonne, avec les créations de cinq talents émergents, c’est au
tour de neuf jeunes créateurs et d’une marque d’avoir la possibilité de montrer leurs collections de
la saison automne-hiver, dans le cadre de la 6e édition de l’Espace Bloom, les 22 et 23 mars.
Rappelons que l’Espace Bloom est une plateforme créée par le PORTUGAL FASHION pour
justement découvrir et consolider de nouveaux talents de la mode portugaise, en leur permettant
de présenter leur travail dans une passerelle alternative de l’événement. Ainsi, le PORTUGAL
FASHION contribue au renouvellement générationnel de la Filière Mode portugaise et, par
conséquent, à la qualification de leur capital humain, étant donné qu’il s’agit de jeunes qui, dans
l’ensemble, ont une formation spécifique dans le domaine.
À Lisbonne, Susana Bettencourt partage la passerelle avec Hugo Costa
et Andreia Lexim, Estelita Mendonça et Daniela Barros intègrent un
défilé commun. À Porto neuf jeunes créateurs et une marque à
définir présentent leurs collections sur la passerelle de l’Espace Bloom,
dans des défilés individuels. Il s’agit de Cláudia Garrido, Carla Pontes,
Stefano Ficetola, Joana Ferreira, Teresa Abrunhosa, Carlos Couto, Mafalda
Fonseca, Diana Matias, João Melo Costa et de la marque KLAR (Alexandre
Marrafeiro, Andreia Oliveira et Tiago Carneiro).
Tous ces jeunes créateurs ont une expérience au Portugal Fashion, bien que Mafalda Fonseca ait
participé au défilé collectif de MODATEX Porto et qu’elle débute maintenant avec un défilé
individuel. Estelita Mendonça, Daniela Barros et Hugo Costa participent, sans interruption, depuis
la 1ère édition de l’Espace Bloom, réalisée au 27e PORTUGAL FASHION, en octobre 2010.
Mentionnons aussi que Daniela Barros a participé, avec le soutien du PORTUGAL FASHION, au
showroom Zip Zone, pendant la Semaine de la Mode de Paris (septembre/octobre 2012). Ajoutons
également que, en décembre dernier, le PORTUGAL FASHION a permis aux designers Carla
Pontes, Daniela Barros, Estelita Mendonça, Hugo Costa, Joana Ferreira et João Melo Costa de
présenter ses collections au Matadero – Centre de Création Contemporaine, à Madrid.
Il existe donc un travail déjà mûr de promotion de ces jeunes créateurs de la part du PORTUGAL
FASHION, un évènement qui parie sur de nouveaux talents de la mode portugaise et sur la
formation technique qui leur a été donné. Dans ce contexte, le PORTUGAL FASHION a permis
non seulement d’exposer publiquement les créations de ces designers, mais il leur a aussi permis
de gagner de l’expérience dans un évènement de mode de grandes dimensions et de les
rapprocher de l’industrie textile. Ajoutons que ce travail promotionnel est également développé à
l’échelle internationale, dans le but de stimuler l’entrée de nouveaux créateurs portugais sur les
marchés extérieur et de rafraîchie l’image de la mode portugaise à l’étranger.
“ Sangue novo ” (sang neuf) sous l’orientation de Miguel Flor
Créé en 2010, l’Espace Bloom s’éloigne du concept traditionnel de passerelle, de façon à
permettre aux nouveaux créateurs de défiler dans un environnement plus informel, urbain et multiartistique. La coordination de l’Espace Bloom est depuis toujours confiée au styliste Miguel Flor,
qui sélectionne les jeunes créateurs et structure ses performances de mode.
Parier sur de jeunes créateurs est, depuis longtemps, l’un des piliers de la stratégie du
PORTUGAL FASHION. L’évènement vise à agir comme un levier de talents émergents, de sorte à
renouveler le panorama de la mode nationale, à faciliter l’intégration de nouveaux designers sur le
marché du travail et à combler d’éventuelles lacunes que les entreprises
du secteur textile, vestimentaire et de la chaussure ont au niveau du
design.
En lançant de nouvelles promesses, le PORTUGAL FASHION dynamise
également tout le circuit de la mode nationale. Plus de créateurs sur le
marché, cela signifie une valeur ajoutée à la production industrielle et un plus
grand volume d’activités dans la Filière Mode (défilés, show-rooms, salons,
castings…), avec tout ce que cela implique en termes de moyens humains (mannequins, coiffeurs,
accessoiristes, maquilleurs, techniciens du son et lumière, photographes…) et matières.
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
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PORTUGAL FASHION
good vibes…
Une vibration. C’est, probablement, la sensation qui définit au mieux l’effet
qu’une création artistique génère lorsqu’elle germe. Un cadre, une sculpture, une pièce
musicale, un film ou même un plat gourmet peuvent provoquer un frémissement, ce
chavirement, ce swing qui n’est autre que le plaisir esthétique qui se consume. Une
vibration, en somme.
La mode fait également vibrer, et comment ! En établissant de nouvelles tendances qui
détournent l’archétype et qui définissent des concepts d’avant-garde, la mode fonctionne
comme un diapason qui, lorsqu’il est percuté, provoque un soubresaut esthétique. C’est
d’ailleurs l’obligation primordiale de la mode : provoquer des vibrations et, de cette façon,
générer une énergie transformatrice dans la façon dont nous nous habillons et dans notre
propre entendement des vêtements en tant que création non seulement fonctionnelle mais
aussi artistique.
VIBE est le thème de ce 32e PORTUGAL FASHION. Le terme en anglais pour vibration naît
de la contraction de vibration, en renforçant l’idée d’énergie qui insuffle la vie au corps et
des idées, des rêves et des sensations à l’esprit. Sentir une vibe c’est donc profiter des
agréables ondes de choc que les créations artistiques en général libèrent sur les
personnes.
En choisissant ce thème pour sa 32e édition, le PORTUGAL FASHION entend célébrer
cette sensation de vibration que la mode peut provoquer avec ses formes insolites, ses
équilibres précaires, ses combinaisons inspiratrices, ses couleurs stimulantes… Au fond, il
s’agit d’exalter la diversité de manières dont les personnes se laissent impressionner ou
même attendrir par les créations de mode.
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