face addict - Amka Films Productions SA
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face addict - Amka Films Productions SA
SÉLECTION OFFICIELLE, HORS-CONCOURS Projection de presse : jeudi 4 août, 14h00, Teatro Kursaal Projection officielle: vendredi 5 août, 16h15, Salle Fevi 1ère répétition : samedi 6 août, 9h00, l’Altra Sala ème 2 répétition: dimanche 7 août, 18h30, Otello Ascona Downtown Pictures Amka Films Productions Avec la participation de SSR/RTSI – Télévision Suisse Mako Productions présentent FACE ADDICT d’Edo Bertoglio une production italo-suisse Avec le soutien de: Ministère de la Culture, Département du Spectacle, Italie Office Fédéral de la Culture (DFI), Suisse République et Canton du Tessin, Suisse Bureau de presse Italie Studio PUNTOeVIRGOLA Bureau de presse Suisse Tina Boillat Communications www.downtownpictures.it / www.amka.ch Équipe technique réalisation scénario co-scénaristes EDO BERTOGLIO EDO BERTOGLIO, GAIA GUASTI LORENZO BUCCELLA, LINDA YABLONSKY photographie EDO BERTOGLIO scénographie ANDREA CRISANTI organisation générale Italie opérateurs prise de vue son ALFONSO CUCCI GIANFRANCO ROSI, VITO ROBBIANI ADRIANO SCHRADE montage GILLES DINNEMATIN, JACOPO QUADRI musiques JOHN LURIE, FRANCO PIERSANTI secrétariat de production Italie coordination de production, Suisse production ELENA VAI, FRANCESCA ZERBETTO TINA BOILLAT DOWNTOWN PICTURES (Italie) AMKA FILMS (Suisse) En partenariat avec SSR/RTSI-Télévision Suisse Mako Productions, USA Avec le soutien de Ministère de la Culture, Département du Spectacle, Italie Office Fédéral de la Culture (DHA), Suisse Repubblica e Cantone Ticino, Suisse Producteurs Marco Müller - Downtown Pictures (Italie) Tiziana Soudani - Amka Films (Suisse) Viviana Queirolo Bertoglio - Downtown Pictures (Italie) Nationalité Durée et informations techniques Bureau de presse Italie Bureau de presse Suisse Italie et Suisse 102 min, coul. + b/n, 35mm, 1:85, 2976 m Studio PUNTOeVIRGOLA tel. +39.06.39388909 - [email protected] portable +39 335 6793144 ou +39 335 6303795 Tina Boillat Communications tel. +4191 950 01 08 – [email protected] portable +4179 423 78 44 2 Interprètes principaux Walter Steding Glenn O’Brien John Lurie Maripol Deborah Harry Wendy Whitelaw James Nares Victor Bockris Interprètes secondaires Stewart Meyers George Steding Gloria Steding 3 Face Addict le titre Face Addict, c’est à dire “obsédé par les visages”. Et ne pourrait-il pas se définir “obsédé” celui qui fait de la photographie son instrument de connaissance, celui qui fixe à tout jamais l’expression la plus intense sur les visages, celui qui a pu photographier les personnalités les plus intéressantes des années de la Downtown Scene? le film Face Addict raconte l’histoire d’une expérience unique, celle de la communauté artistique de la New York fin années 70 - début années 80, appelée “Downtown Scene”. C’est de cette scène que des personnalités du niveau de Jean-Michel Basquiat, Keith Haring, Jim Jarmusch, Deborah Harry, John Lurie et bien d’autres émergèrent. Edo Bertoglio partagea avec eux ses expériences et ses passions. Pendant plusieurs années, Bertoglio a été photographe pour la revue “Interview” d’Andy Warhol, et aussi pour “Vogue”, “Rolling Stone” et bien d’autres encore, il a aussi été auteur de clips vidéo et de pochettes de disques de groupes qui s’affirmaient ; il a vécu à New York pendant quatorze ans. Face Addict, un walk-movie, le long du fil de la mémoire, raconte leurs vies, et la sienne, passées et actuelles, un mélange de souvenirs personnels, de films et de photographies originales. Dans ce parcours à la redécouverte de New York, sur les traces d’une époque et d’une communauté dispersée, Bertoglio est guidé, 20 ans plus tard, par son ami Walter Steding, ancien assistant d’Andy Warhol, peintre et musicien d’avant-garde. La musique du film est de John Lurie et de Franco Piersanti. 4 L’exposition de photos Après la projection du film, il y aura le vernissage de l’exposition de photographies d’Edo Bertoglio et de quelques tableaux de Walter Steding à la Casorella (entrée par le Castello Visconteo), vendredi 5 août à 19h00, en présence du réalisateur et de Walter Steding, qui fut l’assistant d’Andy Warhol et qui est un des personnages principaux de “Face Addict. L’exposition présente plusieurs photos qui furent publiées sur la revue “Interview” entre 78 et 82 et des portraits de Basquiat, Warhol, John Lurie et beaucoup d’autres personnages de la “Downtown Scene”, images qui ont représenté cet extraordinaire moment artistique en faisant le tour du monde. Une visite guidée en présence de l’auteur est prévue pour la presse accréditée jeudi 4 août à 16h00, à la fin de la projection pour les journalistes. L’exposition sera ouverte au public tous les jours de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00, du 5 au 14 août 2005 (entrée par le Castello Visconteo, Rue al Castello) 5 Note de Réalisation Pourquoi Face Addict FACE ADDICT naît de l’intérêt de régler les comptes avec mon passé, de la nécessité de clore un chapitre intense, et parfois difficile, de ma vie. Et c’est cette nécessité qui m’a poussé à réaliser un film qui puisse raconter les expériences collectives de quelques-uns des protagonistes de la «Downtown Scene». Je suis l’un d’entre eux, car j’ai participé directement à cette période new-yorkaise. À la fin des années 70 à New York une vraie communauté d’artistes était en train de se créer: des années de passions intenses, d’expérimentations de nouveaux langages. Des personnalités comme Jean-Michel Basquiat, Keith Haring, Jim Jarmusch ont émergé et des phénomènes comme la musique New Wave ont eu une diffusion mondiale. Quand je laisse New York, en octobre 90, je sais que cette période qui m’a radicalement marqué est terminée. New York n’est plus la même ville d’il y a dix ans. La communauté de la «Downtown Scene» que j’avais vu naître et qui m’avait formé, désormais n’existe plus, elle s’est dissipée au fil du temps. Je suis en train de fuir. J’ai un billet de seule allée pour l’Europe, et mon unique bagage est une malle remplie de photos: mon archive, mes images, mes rebuts, les émulsions et les émotions des années qui m’ont laissé des traces profondes. Ainsi, en 1994, quand je sens la nécessité de repenser à mon expérience dans la «Downtown Scene», je commence par mon archive. Et le matériel photographique que je retrouve dans ma vielle malle servira à une exposition et à un livre. Mais c’est en 2000 que le projet d’un film s’affirme, qu’il devient plus urgent et nécessaire. Downtown 81, mon premier film, sort enfin, tourné en 1981, terminé seulement en 1999, après plusieurs vicissitudes, puis sélectionné à Cannes pour la Quinzaine des réalisateurs. La vision publique de Downtown 81, les réactions qu’elle provoque suscitent ma surprise et ma curiosité. Vingt ans ont passé, et je sens que 6 le temps parcouru me donne une vision différente et plus précise. Downtown 81 photographiait la vitalité artistique de la «Downtown Scene», l’exubérance d’une communauté unie, au comble de la créativité. Que reste-t-il aujourd’hui de notre expérience de jadis? Seulement après vingt ans, je sens que j’ai reconquis la sérénité pour pouvoir revivre cette période sans troubles ou regrets, grâce à un détachement à la fois léger et intense. Ainsi naît l’idée de FACE ADDICT: retourner sur les lieux, retrouver ceux qui les ont vécus avec moi, ceux qui n’ont pas survécu à ces annéeslà, ceux qui les ont traversées pour devenir quelque chose ou quelqu’un, pour les oublier ou pour se faire oublier. FACE ADDICT veut être tout ceci : souvenirs personnels, films originaux, photographies et musiques de l’époque pour arriver à un récit collectif composé de témoignages significatifs. Pendant la préparation du film, j’ai sélectionné quelques noms choisis parmi les protagonistes de la «Downtown Scene» sur la base des liens artistiques qui nous unissaient à l’époque et pour le fait d’être resté en contact avec eux malgré la distance et le temps qui a passé. Mais c’est au cours du tournage que sept d’entre eux se sont littéralement «imposés», avec la générosité de leur intervention et avec la force de leur présence sur l’écran, en tant que personnages fondamentaux de FACE ADDICT, amis, acteurs et trame de mon film. C’est dans leurs histoires que la mienne peut se refléter continuellement, car un analogue parcours existentiel nous unis. Dans Downtown 81, Walter Steding avait le rôle plus important juste après celui de Jean-Michel Basquiat, un gamin blond et mince qui exhibait ironiquement ses absurdes lunettes électroniques. Aujourd’hui Basquiat, peintre de succès, n’est plus parmi nous. Il y a Walter. Et cette fois-ci c’est Walter qui m’accompagne dans ma redécouverte de New York, après 20 ans, sur les traces d’une époque et d’une communauté dispersées. Un long parcours guidé en suivant notre mémoire commune, un walk-movie, exactement comme Downtown 81, mais dans une ville 7 différente, que je ne reconnais presque plus mais qui est encore pleine de souvenirs, à chaque angle de rue. 8 Note sur les interprètes principaux Glenn O’Brien, poète, entertainer, aujourd'hui la chance et le succès lui ont souri. Glenn est le genre de personne désenchantée qui se vend comme produit, le livre avec Madonna, la publicité pour Calvin Klein, mais aussi les revues et les soirées de poésie. Glenn incarne la littérature qui devient industrie, le signe qui se transforme en succès, l’écriture qui fabrique consensus et richesse; qui génère aussi amertume. Debbie Harry, chanteuse, actrice, les Blondie, Cronenberg, les plusieurs vies vécues par elle, parcourues en elle, rise and fall, années surmenées par les émotions, start up sensoriels et artistiques. Les drogues. Addicted de désir d’expérience, de l’exaltation de l’expérience. John Lurie, les Lounge Lizards, son parcours artistique, musical et cinématographique long et articulé. Un vrai dandy version pop et photogénique, mais affligé aujourd'hui par une rare maladie qui touche les centres nerveux, cueilli aussi dans cette nouvelle fragilité. Maripol, styliste, ma compagne pendant six ans, muse et principale collaboratrice. Le lien artistique avec Madonna, les croix, les objets en gomme. Maripol, la mémoire en commun: le différent point de vue de la personne avec qui j’ai découvert New York. James Nares, artiste, pour raconter le monde de l’art, la machine à spectacles de l’art aux États-Unis. James Nares qui, dans les années 80, filmait et qui, maintenant peint d’énormes toiles, son histoire, l’underground, le succès, le marché. Wendy Whitelaw, le make-up comme art, fascinante “diva” à la beauté tapageuse. Son exceptionnel succès dans le monde des stars, subit et fugace, perdu à cause 9 d’une toxicomanie impossible à gérer. La fugue loin de New York, une vie toute à reconstruire, une personnalité forte, perdue dans la banlieue des États-Unis. Victor Bockris écrivain et biographe d’Andy Warhol, de Lou Reed, des Ramones et de tant d’autres personnages de la période new-yorkaise des années 70 et 80, lié par une grande amitié à William Borroughs. Et surtout, Walter Steding, ancien assistant d’Andy Warhol, peintre et musicien d’avant-garde, d’une musique qui n’est pas entrée dans le marché, qui n’a pas fait coup, qui n’a pas été et qui n’est pas un succès. Encore plus que les autres, Walter m’a touché, dès le premier jour de tournage, par l’émotion qui se dégage de chacun de ses gestes, par sa fragilité extrême liée à une malice presque enfantine et à une émouvante détermination à continuer son parcours artistique sans aucun compromis. Un vieil ami, un artiste tenace, un personnage extraordinaire. 10 Période historique, la Downtown Scene En 1976, avec la crise énergétique qui garda l’Amérique presque dans le noir et au froid et les automobiles presque bloquées, la faillite de la ville de New York fut officiellement déclarée. Malgré cela, l’underground culturel de la ville vécut une période très prolifique et vitale. Des jeunes artistes, des compositeurs, des filmmakers, des photographes et des écrivains commencèrent à se déplacer dans les édifices industriels abandonnés de la zone Sud de Manhattan nommée SoHo et dans les immeubles branlants de l'East Village. Isolés de l’establishment à cause de la difficulté du moment économique (à l’époque ceux qui arrivaient en ville n’avaient pas un sous), les membres de cette communauté créative misaient seulement sur leur imagination. Les idées et le style étaient fondamentaux et l’expérimentation dans tous les champs, art, sexe, drogues, rock était à l’ordre du jour. Vu que l’argent contait très peu et n’ayant rien à perdre, les artistes ouvrirent des galeries no–profit, des night-clubs et des restaurants, qui furent vite le centre de la vie sociale sur la scène new-yorkaise et ils fondèrent des revues pour la documenter. Les galeries d’art unissaient l’exposition d’objets artistiques, généralement conceptuels ou minimaux, avec des performances live d'artistes tels que Joan Jonas et Laurie Anderson, des vidéos de Vito Acconci et Bruce Naumann et des concerts de nouveaux compositeurs comme Philip Glass. Sur la Bowery – qui était restée jusquelà seulement un boulevard de taudis et refuges pour clochards – un bar appelé CBGB's présentait des jeunes bands comme les Ramones, les Blondie, les Television, Patti Smith et les Talking Heads. Ces bands réinventèrent la rock music comme new wave, elles furent à l’origine de la révolution dans la mode et elles définirent le look e et les attitudes appelés par la suite tout simplement "downtown". Pendant que le Studio 54 d’uptown – grand souverain des discothèques mondiales– commençait à perdre quelques coups, la nouvelle communauté downtown (la 11 "Downtown Scene") influençait déjà de façon significative le monde actuel. Certains art dealers affirmés ouvrirent des galeries dans des grands lofts de SoHo, qui allait devenir le centre le plus actif du monde artistique contemporain. Des clubs comme Tier 3 à TriBeCa et Club 57 à St. Marks Place lançaient le new wave de groupes musicaux tels que les Contortions, les Lounge Lizards, les Bush Tetras, et les Teenage Jesus and the Jerks, et des interprètes comme Klaus Nomi et Ann Magnuson. Au printemps 1979 Steve Maas ouvrit un petit club à sud de Canal Street appelé the Mudd Club. C’était là que la "Downtown Scene", la nouvelle génération d’artistes, musiciens, designers, filmmakers et écrivains, se réunissait, en se rencontrant aux partys à thème qui firent démarrer les performances, les fashion shows et les projections de courts-métrages et de films Super-8 qui créaient leur univers de stars. Marianne Faithful fit son grand retour, les B-52 leur début à New York. Nan Goldin photographiait la majorité des habitués du club et montrait son travail photographique sous forme de slide shows accompagnés d’une colonne sonore. Les photographes David Armstrong, William Coupon et Edo Bertoglio invitaient leurs amis et les clients du Mudd Club dans leurs studios; des poètes et des écrivains comme Gary Indiana, Max Blagg, Glenn O'Brien, Cookie Mueller et David Wojnarowicz lisaient leurs œuvres en public. Dans la même période, un nouveau genre musical appelé hip-hop commençait à se faire connaître, en émergent des ghettos de Harlem et du Bronx, avec une nouvelle forme d’art “publique” appelé graffiti. Eux aussi ils arrivèrent à downtown. Le Pyramid Club ouvra dans l’East Village, sur l’Avenue A et attira de nouveaux talents tels que Madonna. Artistes comme Keith Haring, Jean-Michel Basquiat, George Condo et Kenny Scharf émergeaient dans une nouvelle galerie de l’East Village appelé the Fun. En 1980 Diego Cortez et Arto Lindsay organisaient l’expo "New York, New Wave" au P.S.1 (une école publique inutilisée dans le Queens) qui réunit et consacra, non sans scandales des critiques d’art du régime, tous les artistes de cette scène. 12 Une part de l’énergie – et certainement une partie de cet esprit d’aventure – tenait son origine de l’accès facile aux drogues lourdes, comme la cocaïne et l’héroïne. Ces drogues étaient un élément de cohésion sociale, elles cimentèrent plusieurs relations et en détruirent beaucoup d’autres. À partir de 1982, avec l’arrivée du SIDA, le Mudd Club ferma ses portes et un autre club plus grand, appelé Area le remplaça, ainsi que de nouveaux cafés comme l'Odeon. Entre-temps, les lumières de New York s’étaient à nouveau allumées et le marché de l’art explosa totalement, en apportant beaucoup d’argent, de grands médias, les collectionneurs d’uptown, des grandes galeries et des designers connus dans le monde entier, en modifiant toujours plus profondément la Downtown Scene. À la moitié des années 80, l'underground avait perdu son énergie en laissant sa place au SIDA et aux drogues, mais aussi au succès commercial et depuis lors il n’y a jamais eu plus rien de semblable à New York. La plupart de ces années fébriles ne sont maintenant plus qu’un souvenir, mais le travail qui fut fait en cette période reste certainement et continuera à influencer notre culture à un niveau mondial. Nous le voyons dans les livres, dans les musées, dans les films. Il ne faut pas oublier que c’est l’environnement social de la Downtown Scene qui a généré une telle culture, qui lui a donné un visage et une signification. Les relations qui s’étaient formées à l’époque la supportaient, la promouvaient e la soutenaient. Plusieurs de ceux qui contribuèrent significativement à son développement sont maintenant méconnus, même s’ils continuent à travailler. C’est leur histoire qui doit être écrite et FACE ADDICT avait cet objectif et va exactement dans cette direction. 13 Edo Bertoglio Diplômé à Paris en 1975 en réalisation et montage, il s’établit avant à Londres, puis à New York, où il restera pendant 14 ans. Il travaille comme photographe pour plusieurs revues de mode, art et coutumes américaines, japonaises, françaises et italiennes, telles que “Rolling Stone”, “GQ”, “Vogue”, “Vanity”, “Spin”, “Paper Magazine”, “I.D.”, “Art Forum”. À partir de 1978 jusqu’à 1982 il collabore régulièrement avec la revue “Interview” d’Andy Warhol. Il réalise les pochettes de disques pour des étiquettes américaines telles que Warner Brothers, Arista, Atlantic Records et des clips vidéo pour des sociétés de production de vidéos et de films. En 1981 il dirige Downtown 81. Le film raconte une journée de la vie du jeune artiste Jean-Michel Basquiat, à l’époque méconnu, et donne un aperçu représentatif de la mouvementée communauté artistique new-yorkaise du début des années quatrevingt. Terminé en 1999, après plusieurs vicissitudes, il est sélectionné en 2000 au Festival International du Cinéma de Cannes, section “Quinzaine des Réalisateurs”. Après avoir laissé New York en 1990, il se concentre sur la production audiovisuelle, en réalisant des documentaires pour la télévision et des vidéos institutionnelles. EXPOSITION DE PHOTOS 1976 1979 1981 1983 1984 1986 1988 1992 1990 Collective GALERIE MEDIA - Neuchâtel Collective STEFANOTTI GALLERY- New York Collective "NEW YORK NEW WAVE" P.S.1- New York Personnelle CENTURY CAFE' - New York Personnelle 303 PARK AVENUE GALLERY- New York Collective "FORM & COLOR" SWISS INSTITUTE - New York Collective "ARTISTI DEL TICINO A NEW YORK" Villa Malpensata - Lugano Collective "ARTISTS IN THE CITY" Whitney Downtown - New York Personnelle "DATED" ORTI- Lugano 14 2001 2003 2003 2004 2004 2005 Collective Galleria Pack Milano Collective Museo cantonale d'arte di Lugano Fondo Cotti Personnelle Galleria Barbara Mahler Lugano “Basquiat” Galerie Benedicte Siroux Paris “Paris-New York” The Andy Warhol Show Triennale di Milano Basquiat by Edo Bertoglio, Museo di Arte Moderna, Lugano. PRIX 1981 Prix spécial du jury de la TRIENNALE INTERNAZIONALE DELLA FOTOGRAFIA - Fribourg 1982 1er et 2e Prix pour les meilleurs clips vidéo de l’année au Festival de Salsomaggiore 2000 Film "Downtown 81" sélectionné à la "Quinzaine des Réalisateurs" Festival du Cinéma de Cannes. 15