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Les ensembles en master
Trio Iris
Quatuor Yako
Duo Arar
Trio Verthé
KontakteDuo
Trio Iris
Alice Szymanski, flûte
Estelle Gourinchas, alto
Aurélie Bouchard, harpe
C’est à l’occasion du centenaire de la création de la Sonate pour flûte, alto et harpe de Debussy
que le Trio Iris se forme, réunissant trois musiciennes issues du CNSMD de Lyon.
A l’origine, on y trouve le Duo Alure constitué de la flûtiste Alice Szymanski et de la harpiste
Aurélie Bouchard. Réunies tout au long de leurs études au sein de différents groupes de
musique de chambre, leur complicité artistique s’affirme lors du concert hommage à Jacques
Fustier donné aux Subsistances en 2014, avec l’œuvre Transparence de Robert Pascal. Elles
développent un répertoire XX et XXI° siècle, et se fait reconnaître par le Concours Jeunes
Talents de Paris.
En 2015, l’altiste Estelle Gourinchas et la harpiste se retrouvent réunies pour enregistrer les
œuvres de Luca Antignani au sein de l'ensemble Les Temps Modernes. En parallèle, Aurélie
Bouchard rencontre Alain Louvier et travaille avec lui le trio Envols d’Ecailles, inspirée de
l’écriture de la Sonate de Debussy. Convaincues des vertus de cette formation si particulière et
tant défendue par la recherche du compositeur Alain Louvier, le duo initial s’étoffe avec le
concours d’Estelle Gourinchas.
Le Trio Iris est invité par le Festival Les Inouïes à Arras, ou encore le Festival de Gargilesse, et
intègre le CNSMD de Lyon en Master de Musique de Chambre en 2016.
Quatuor Yako
Ludovic Thilly, Pierre Maestra, violons
Vincent Verhoeven, alto
Alban Lebrun, violoncelle
Formé en octobre 2014, le Quatuor Yako intègre l'année suivante le master de musique de
chambre du CNSMD de Lyon, avec Yovan Markovitch et Agnès Sulem, ainsi que la classe de
Luc-Marie Aguera au CRR de Paris.
Invité à participer à de nombreuses académies, parmi lesquelles celles du Festival d'Aix-enProvence et de Villecroze, il bénéficie de conseils de grands artistes tels que Johannes Meissl,
Andras Keller, David Alberman, Isabelle Charisius, ou encore les membres des quatuors Danel
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et Modigliani.
L'envie de partage mène les quatre jeunes gens à se produire notamment avec le chorégraphe
américain Bill T Jones en direct sur Arte Concert, à la Maison de la Danse de Lyon (Novembre
2015).
Prochainement, le quatuor Yako est invité à Montepulciano où il bénéficiera des conseils de
Christophe Poppen, à Amsterdam pour une masterclass avec les membres du Kronos Quartet,
au festival Cordes en Ballade avec le Quatuor Debussy, et prendra part au Festival
International de Musique de Chambre du Lubéron dans le cadre d'une session ProQuartet avec
Tim Vogler.
En 2016, le quatuor Yako est lauréat du concours européen « Musique d'Ensemble » de la
FNAPEC et est soutenu par le Mécénat Musical Société Générale.
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Duo Arar
Alexis Rousseau, violon
Jodyline Gallavardin, piano
C’est au sein de la formation sonate que la pianiste Jodyline Gallavardin et le violoniste Alexis
Rousseau, chambristes passionnés, se découvrent une grande complicité. Ils se rencontrent au
Conservatoire National Supérieur Musique et Danse de Lyon et créent le Duo Arar en 2013. La
même année, ils participent au Concours International de Musique de Chambre de Lyon où ils
sont vivement encouragés à s’investir pleinement dans le duo.
Ils se perfectionnent alors notamment auprès de Laurence Ketels, Franck Krawczyk, MarieJosèphe Jude, Hélène Bouchez et Marc Danel. Après avoir chacun obtenu leur Master
d’interprète en juin 2015, ils intègrent le cursus de Master de musique de chambre du
CNSMDL avec un projet réunissant musique romantique et musique de nos jours. Ils se
produisent régulièrement dans plusieurs salles de la région lyonnaise, à l’Amphithéâtre de
l’Opéra, à la Salle Varèse, au Temple Lanterne, aux médiathèques de Vaise et de Bron, mais
également dans le cadre de festivals comme Les Musicales en Anjou. Nourri par une curiosité
artistique commune qui s’ouvre sur de bien nombreux domaines, le Duo Arar interroge
l’espace musical du XXIème siècle. Au-delà de leur connivence musicale, Jodyline Gallavardin
et Alexis Rousseau mettent en effet un point d’honneur à rendre la musique classique
accessible au plus grand nombre, ayant à cœur de faire évoluer l’image du concert traditionnel.
> en savoir + sur le duo Arar
Trio Verthé
Nagao Maria, violon
Hirano Tomoni, violoncelle
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Omori Masahiko, piano
Fondé par trois musiciens d’origine japonaise, le Trio Verthé est composé de Maria Nagao au
violon, de Tomomi Hirano au violoncelle, et de Masahiko Omori au piano. Ils se sont rencontrés
en France, lors de leurs études dans les CNSMD de Paris et de Lyon.
En 2013, ces trois musiciens se retrouvent à Tokyo pour une série de concerts privés, qui
s’étendent à d’autres villes de l’archipel (Saitama, Kumamoto…). De retour en France, ils
poursuivent l’aventure soutenu par les conseils de Simon AddaReyss, professeur assistant de
piano du CNSMD de Paris depuis 2008.
Afin de perfectionner leur travail artistique, le Trio Verthé est admis en master de musique de
chambre du CNSMD de Lyon, en 2015.
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KontakteDuo
Carlos Puga, percussions
Patricia Martins, piano
Ce duo pour une musique d'aujourd'hui, s'inspire d'une œuvre écrite de 1958 à 1960 par
Stockhausen, pour piano, percussions et électronique. Il est naît d'une réflexion approfondie sur
la musique du XXe siècle et sur l'impact de la technologie dans la musique savante occidentale.
Son objectif est de parcourir les nouvelles voies qui émergent de cette esthétique moderne et
s'ouvrent sur des performances musicales, en quête de l'Art, tel un reflet de nous-mêmes.
Kontakte est une œuvre qui privilégie une rupture dans la pensée musicale, et occupe un rôle
fondamental dans l’émancipation de ce que l’on peut appeler la “grammaire de la musique
électronique”. Avec l’ascension de celle-ci, naît le concept de la "nouvelle virtuosité" où
l’interprète, à la limite de ses capacités physiques et cognitives, intéragit avec une identité sans
visage, sans limites ni souffle. Avec l’esthétique de l’artificiel, en tant que création/imitation de
la nature, la musique électronique gagne en logique d'interaction, dans la création de nouvelles
réalités sonores et formelles. Le travail exigé sur scène transcende les frontières habituelles de
la performance, et excède les capacités humaines, tout en dévoilant un monde primitif de
stimuli.
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