Paint Atonik présente : Homme
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Paint Atonik présente : Homme
Paint Atonik présente : Homme-Machine Direction : Simon Couratier La situation actuelle nous montre à quel point l’homme cultive une dépendance démesurée à la machine. La technologie est en constante progression mais n’a, jusque-là, jamais subi une évolution aussi exponentielle. Les optimistes voient le développement technologique comme bénéfique, d’autres s’interrogent sur son ampleur et ses conséquences sur l’homme et son environnement. Le transhumanisme, ce mouvement intellectuel qui prône un usage des innovations technoscientifiques pour accroître les capacités physiques et mentales des êtres humains, préfigure l’avènement d’une nouvelle espèce mi-homme mimachine : le posthumain. En mettant en exergue notre évolution technique et robotique, le spectacle Homme - Machine souhaite questionner le rapport de l’homme à son devenir cybernétique. L’humanité maîtrise-t-elle ou subit-elle ses progrès technologiques ? La modification de l’humain par les Nanotechnologie, Biotechnologie, Informatique et Sciences Cognitives (NBIC) n’estelle pas contre-nature ? L’homme sera-t-il bientôt capable de télécharger sa conscience sur un support numérique ? La réalité augmentée n’est-elle pas un moyen de nous déconnecter de la vie biologique ? Internet est-il un outil propice à la destruction ou à la production de lien social ? Présentation du projet Paint Atonik « Homme - Machine » est un ciné-concert d’environ une heure, sur le rapport qu’entretient l’homme à la technologie C’est en 2004 que Simon Couratier découvre le Soundpainting, lors d’un stage à Tours. Il expérimente cette technique au actuelle. C’est un patchwork éclectique et contrasté de différents propositions visuelles mis en musique en temps réel sein du groupe Nonet. L’intérêt pour cette discipline les amène à rencontrer Walter Thompson en juin 2005, qui accepte par sept musiciens. de travailler étroitement avec eux. Paint Atonik donne régulièrement des concerts sous sa direction, notamment en juin La volonté de traiter ce sujet au travers d’un ciné-concert vient de la place qu’a pris l’image dans notre société moderne. 2010 lors du festival Orléans Jazz. Ce spectacle a pour vocation de remettre en question notre rapport à l’image et aux écrans. La passivité qu’engendre En 2010, Marc Béguin (sax alto), Simon Couratier (sax baryton), Jérôme Damien (piano) et Jean-Baptiste Lacou la télévision, la transformation des rapports humains par avatar interposé des réseaux sociaux ou la désensibilisation (trombone) décident d’optimiser la pratique du langage musical du Soundpainting en créant le quartet Paint Atonik. due au matraquage publicitaire et à la banalisation des images violentes qui inondent notre quotidien représentent Cette formation réduite explore alors un univers original mêlant plusieurs courants artistiques (musique classique et aujourd’hui des enjeux d’une portée considérable. Homme - Machine tente de bousculer ces codes en proposant un contemporaine, jazz, musique du monde) où chacun des membres est à la fois interprète et compositeur à part entière. ciné-concert immersif avec des installations vivantes et participatives et de la musique en temps réel. Ils participent en 2011 à la rencontre de trois formations de Soundpainting organisée par Angélique Cormier lors du L’utilisation d’une multitude de médias différents constitue le socle de cette création. En effet, la diversité stylistique de « Concert Phénomène » réunissant Tours Soundpainting Orchestra et Surnatural Orchestra. En 2013, une autre la musique et des images, de même que la pluralité technique des moyens de transmissions qui seront utilisés lors de collaboration décisive avec le collectif lyonnais Le SPANG! voit le jour. Des performances sont organisées à Lyon avec ce ciné-concert, plongeront le spectateur au coeur d’un dispositif révélateur de toutes ces possibilités que nous offre des soundpainters des deux ensembles (CNSMD de Lyon, salle Léo Ferré). la technologie actuelle. Films, documentaires, animations, found footage, expérimentations visuelles en temps réel, classique, jazz, électro, improvisation libre seront toutes les possibilités exploitables par la formation musicale Paint Atonik. C’est à la suite de ces rencontres que Paint Atonik a intégré trois nouveaux membres venus du SPANG! : Benjamin Nid Tout cela peut être fédéré par cet ingénieux outil qu’est le Soundpainting. (saxophones, machines), Stéphane Giner (basse, violon) et Maurizio Chiavaro (batterie). Cette nouvelle création va amener Paint Atonik à utiliser de nouveaux procédés technologiques pour mettre l’image Le Soundpainting et le son au service d’un thème. L’utilisation de logiciels et de différentes interfaces (capteurs, joystick, Wiimote, Ipad) permettent de transformer le son et l’orchestration du groupe en temps réel ; ainsi la matière sonore de départ, plutôt acoustique (basse, batterie, piano, soufflants), devient beaucoup plus synthétique. Le Soundpainting est un langage gestuel de composition en temps réel créé à New York par le chef d’orchestre Walter Thompson dans les années 1970 pour les musiciens, les danseurs, les acteurs, les techniciens lumières, bref, tous les artistes dont l’art peut être improvisé. L’organisation est la même que celle d’un orchestre classique. Le chef d’orchestre/compositeur (soundpainter) est placé devant l’ensemble et demande aux pratiquants de réagir en fonction de ses gestes. Il peut ainsi former avec son corps des phrases très complexes. Le Soundpainting est devenu un langage complet permettant la réalisation spontanée de créations faisant appel à l’improvisation structurée. Il n’y a pas réellement de genre musical. Le Soundpainting traite de la matière sonore, sous différents angles, à l’aide d’outils variés comme le décalage, la superposition, l’imitation, la caricature, la désynchronisation, ou encore les nouveaux modes de jeu instrumentaux. Les musiciens Simon Couratier Soundpainter, saxophoniste, flûtiste, machiniste, compositeur Il débute ses études musicales au Conservatoire à Rayonnement Départemental d’Orléans, où il obtient entre 1999 et 2002 un premier prix de musique de chambre, puis un premier prix de saxophone et un premier prix de formation musicale. Il poursuit son cursus à Tours (Jazz à Tours) puis à Aubervilliers La Courneuve afin d’approfondir ses connaissances dans les domaines du jazz et des musiques improvisées. Depuis 2000 Simon Couratier enseigne le saxophone, dirige des ateliers musicaux et anime des conférences dans divers organismes tels que les Conservatoires, les écoles de musique ou encore les écoles primaires. Sa rencontre avec Vincent Lê Quang (professeur au CNSMD de Paris) lors d’une masterclass en 2004 à Tours est décisive. Il découvre le Soundpainting et se passionne pour ce langage. Walter Thompson (le créateur du Soundpainting) l’invite régulièrement à participer au stage «Think-Tank» (réunion internationale annuelle des soundpainters) organisé en Suède en 2005, à New York en 2009, en Belgique en 2011 puis à en Angleterre en 2013. Sa connaissance dans le domaine l’a régulièrement amené à encadrer des projets pédagogiques dans des stages ou master class avec, comme public, des enfants, des adultes, des professeurs de musique, des enseignants, des harmonies, des chorales, des ateliers de jazz et musiques actuelles, etc. Membre du Tricollectif, sa diversité musicale et sa polyvalence instrumentale l’invite à jouer dans une multitude de groupe très diversifiés. En effet, on peut le retrouver dans NaughtyBrigitte.com (spectacle de théâtre musical) où il pratique le saxophone alto et la comédie. Membre fondateur et leader du groupe Paint Atonik depuis 2005, il rejoint, en 2013, le collectif SPANG! à la flûte traversière, dans le projet « Naked City ». Il fait aussi partie de la formation Machaut (quatuor de saxophone : musique ancienne/improvisée) en tant que saxophoniste baryton. Il est flûtiste et saxophoniste dans le groupe Majnun (musique du monde). Sa passion pour la musique électronique l’amène à travailler dans le groupe 4.5 G/Richter où il y pratique la MAO (Musique Assisté par Ordinateur). Il est actuellement en création, en tant que machiniste, avec le duo improvisé Mise en boite, qui travaille autour de la transformation du son acoustique par l’ordinateur. Enfin, son expérience dans le jazz et sa polyvalence instrumentale le pousse à jouer différent soufflants dans le bigband OjazzO. Marc Béguin Saxophoniste, soundpainter, arrangeur, compositeur Après ses études au conservatoire d’Orléans où il obtient son prix de saxophone en 2001 dans la classe de Frédéric Juranville, Marc Béguin poursuit ses études musicales dans l’école Jazz à Tours aux côtés de Jean-Baptiste Réhault et Christophe Lardeau. C’est lors d’une masterclass de Walter Thompson qu’il découvre le Soundpainting. Cette nouvelle approche de l’improvisation l’interpelle, et avec Simon Couratier, il fonde le collectif Paint Atonik. Il est invité en 2008 à participer au Think-Tank de Tours. En parallèle, il mène de front d’autres projets : le quartet de saxophones et batterie Tetrak, au sein duquel il arrange et compose. Il forme avec le saxophoniste Jonathan Vinolo le duo d’improvisation Nokxtet ; enfin il participe au bigband OjazzO dont il arrange le répertoire. Jean-Baptiste Lacou Tromboniste, soundpainter De formation classique, Jean-Baptiste Lacou obtient son DEM de trombone à Orléans en 2005 avant d’étudier dans les classes de Daniel Brezynski et Christophe Sanchez au conservatoire d’Aubervilliers La Courneuve. Il parvient à intégrer le CNSMD de Lyon en 2008 où il se perfectionne dans la classe de trombone de Michel Becquet et Arnaud Boukhitine, soliste à l’Ensemble Intercontemporain avec lequel il approfondit ses connaissances en musique contemporaine. Il est maintenant invité dans les orchestres français (Orchestre national du Capitole de Toulouse, Opéra de Lyon, Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo) ainsi qu’à l’Académie de musique contemporaine de Lucerne dirigée par Pierre Boulez. Jérôme Damien Pianiste, compositeur, accompagnateur Jérôme Damien reçoit l’enseignement de Daniel Benzakoun au conservatoire d’Orléans, où il obtient les premiers prix de piano, de musique de chambre et d’accompagnement de 1996 à 1999. Parallèlement, il reçoit une initiation au jazz, enseigne le piano dans diverses écoles de musique de la région Orléanaise, et se passionne pour l’accompagnement qu’il pratique très fréquemment. Il obtient en 2000 le Diplôme d’Etat d’enseignement du piano, puis en 2001 le Diplôme d’Etat d’accompagnateur, après avoir passé une année à étudier l’accompagnement à la Guildhall School of Music and Drama à Londres. Il est accompagnateur au CNR d’Aubervilliers-La Courneuve en 2005, et devient chef de chant au conservatoire d’Orléans en 2008. Benjamin Nid Soundpainter, saxophoniste, compositeur, artiste visuel, traitement sonore Il s’intéresse très jeune au théâtre musical puis se forme à la faculté de Musicologie de Saint Etienne et à l’ENM de Villeurbanne en Saxophone Jazz. En 2007 il est diplômé du Centre de Formation de Musiciens Intervenants de Lyon et travaille auprès de la chorégraphe Carla Frison. La rencontre avec Serge de Laubier au studio Puce Muse lui ouvre les chemins d’une programmation de contrôleurs alternatifs ou détournés qu’il met en œuvre dans le collectif Le MaTriCe. Aujourd’hui Soundpainter Certifié et membre du Think-Tank (réunions internationales des soundpainters), il participe à l’évolution de cette langue vivante, élabore de nouveaux signes et travaille sur les dispositifs faisant intervenir l’image. Depuis 2008 il dirige Le SPANG!, ensemble pluridisciplinaire avec lequel il pratique le Soundpainting sur scène, dans les lieux publics, dans les transports en commun,... pour transformer chaque lieu en espace de jeu, et alimenter des créations spontanées grâce au flux vivant. Cette formation participe au en octobre 2013 au premier festival mondial de Soundpainting à Paris. Stéphane Giner Violon et basse électrique Il commence le violon classique à l’âge de sept ans à l’ENMD de Valence et découvre la basse électrique à Jazz Action Valence où le jazz serra une révélation pour lui. Il se forme, par le biais du Conservatoire de Valence et Jazz Action Valence (1993/2004) ainsi que du Conservatoire de Lyon (CRR) en violon classique et jazz (2007/2011), Ses nombreuses expériences de scène, allant du classique au métal, en passant par le funk, le jazz et le rock progressif, font de lui un musicien polyvalent, à la basse ainsi qu’au violon: Tifah (reggae), Inlakesh, (chanson du monde), Pacush Swing, Michtololgy, Tikno Swingtet (jazz manouche), Les nuits d’été (duo de violons baroque), Incontrolados (free rock), Le Caramantran (compagnie de marionnettes géantes, pyrotechnie et musique, Le SPANG! (collectif de Soundpainting), la compagnie Pierre et Chausson (spectacles pour enfants), Improjection (ciné-concert improvisé). Maurizio Chiavaro Batterie Il commence la musique à trois ans en étudiant le piano. A onze ans, il commence la batterie à l’école de musique de Campobasso. Puis il suit des cours de percussions classiques au conservatoire L. Perosi de Campobasso. En 2004, il déménage à Rome où il étudie le jazz au Saint Louis College of Music. Il joue dans différentes formations avec lesquelles il a enregistré plusieurs disques, dont Caterina Palazzi Quartet (Sudoku killer - Zone di Musica 2010), BAAP ! (Sweet dreams, Baby - Monk records 2010), Franco Ferguson (Amazing recordings - 2010), BarJazz (Nessuno - 2009). Il a collaboré avec divers artistes dont John Tchicaï, Gianluca Petrella, Pierre Vaiana, Salvatore Bonafede, Jim Snidero... Les vidéastes Trois équipes de vidéastes travaillent sur l’élaboration d’un film sur le thème de l’homme et la machine. Animation : Y et Bam travailleront à l’élaboration d’un film d’animation d’une dizaine de minutes. Bam Dessinateur, peintre, animateur Il débute ses études à l’ IAV en 2008, au cours et au-delà desquelles il expérimente le domaine de l’animation (initié par Y). Il enseigne le dessin depuis 2009 (Bande dessinée et Manga) dans différents ASELQO. Recalé au diplôme en 2011, il lance, avec un équipier de l’association BB&C (Benjamin Foulny), un projet d’exposition intitulé La Carna : décor mobile et interactif de 120m² de surface et 2,40m de hauteur, mêlant dessins, peintures, pyrogravures, trompe-l’oeil, jeux de lumière, personnages, scénographie, simulation de vol en montgolfière, vidéo, mobilier, interactions... L’histoire fictive qui traverse le décor est introduite par le dessin animé La Carna (d’une durée de 3’30 minutes, avec la participation de Y). Il travaille actuellement avec Benjamin Foulny sur la réalisation d’un clip/dessin animé pour Scoop et J.Keuz (rap). Y Dessinateur, peintre, animateur 1988. À 2 ans, il tombe amoureux du crayon, et ne le quittera jamais plus. 1996. À 10 ans, il expose pour la première fois ses œuvres avec les grands, les prémices des 34 expositions suivantes. 2009. Quelques temps après avoir fui l’ IAV en cours de 1ère année, il devient graphiste-illustrateur, mais préfère l’appellation « artiste », puisque ses productions sont très variées : réalisation d’affiches (concerts, théâtre...), communication visuelle, conception de costumes, de décors, photographe pour le théâtre, scénographie et composition plastique (La fin du monde sont sur un bateau, D.Hatton...), courts métrages d’animation traditionnel et de stop motion (NaughtyBrigitte.com, WarsoftTV), assistant animateur, compositeur, et plasticien pour le film d’animation et l’exposition La Carna de l’asso BB&C (avec BAM), rendus 2D pour des projets d’architecture (Créa’ture architectes), travaux personnels en peinture, sculpture, gravure, collage, vidéo, musique, BD, stop motion. Found footage : Samuel Archambault réalisera montage vidéo en recueillant des images sur internet. Samuel Archambault Vidéaste Formé au cinéma documentaire à l’université Paris VIII, Samuel Archambault a depuis travaillé sur de nombreux projets dans des styles variés : portraits documentaires, clips, films expérimentaux... Son intérêt pour la musique et la danse l’ont souvent amené à mettre la vidéo au service du spectacle vivant, en travaillant notamment avec Dimitri Hatton (La fin du monde sont sur un bateau), Nathalie Ageorges (Le Sacre du Printemps), ou encore Majnun (Kindépili). Fiction : Robin Mercier et Jean-Pascal Retel sont de vieux complices. Robin Mercier et Jean-Pascal Retel Vidéastes Une curiosité sans faille les anime. La dispersion, au contraire, les agace profondément. Alors quand ils travaillent ensemble et qu’il s’agit de mêler leurs expériences acquises dans divers champs artistiques (dessin, graphisme, sculpture, photographie, musique, théâtre et arts de rue) et associatifs (Radio Campus Orléans, Tricollectif, La Briche Foraine), ils cherchent en profondeur et sans détour. Ils fouillent jusqu’à plus soif. En 2012, ils réalisent ensemble le film Lüdicke (26 minutes). Le film est entièrement silencieux. Il est en effet conçu pour un ciné-concert, en étroit complément de la musique du duo Durio Zibethinus. Le film est une fiction qui suit les différentes tâches d’un employé d’un service de tri. Et les terrifiantes dérobades mentales qui l’accompagnent. L’esthétique est volontairement naturaliste et le film a été tourné in situ, dans les locaux d’une entreprise de gestion et de traitement du courrier. En 2013, il a été diffusé, entre autres, à la médiathèque d’Orléans dans le cadre du festival de Jazz de la ville et lors de la Fête des Duits. Planning 2013/2014 Des périodes de résidence ont été prévues pour la création musicale du ciné-concert : Du 28 au 31 octobre 20Du 28 au 31 octobre 2013 au Rexy à Saint-Pierre-des-Corps: Cette résidence fut la première rencontre de l’équipe de musiciens. Elle a été axée sur la pratique musicale et l’inventaire de nos moyens matériels numériques. Du 26 au 30 décembre 2013 à la Passerelle 109 à Champoly: Nous nous sommes concentrés sur l’écriture et l’improvisation électro-acoustique. Un gite nous avait été mis à disposition pour une semaine. Nous nous représenterons lors de leur festival annuel en septembre 2015. Du 27 mars au 7 avril 2014 au conservatoire d’Olivet: L’optimisation du confort auditif des musiciens a été l’axe principal de cette résidence. La concrétisation des paramètres techniques nous a permis d’augmenter la qualité de notre musique. Du 20 au 25 avril au Fort du Bruissin à Francheville: Une session de 7 jours nous a permise d’évaluer nos capacités à interagir avec le média vidéo. Nous avons joué sur de longs formats vidéo. Du 21 au 31 aout à La Fabrique de Meung sur Loire: Première représentation publique du projet grace à un montage vidéo de l’équipe de création visuelle. Cela a aussi été l’occasion de tester notre «Glökuteur» (robot mécanique muni de bras percussifs frappant des lames de glockenspiel). Du 20 au 21 octobre à l’Astrolabe: Nous avons filmé notre travail pour monter plusieurs teasers vidéo. La qualité du système de diffusion de la salle a permis à notre ingénieur du son de perfectionner l’acoustique live du Ciné-concert. Du 22 au 23 octobre à Polysonik: Nous avons profité des locaux de Polysonik pour enregistrer notre répertoire musical dans des conditions optimales. L’enregistrement obtenu a été monté sur nos différentes vidéos promotionnelles. Du 19 au 22 décembre: Résidence programmée ; en recherche d’un lieu Du 9 au 15 janvier: Résidence programmée ; en recherche d’un lieu Du 26 avril au 1 mai: Résidence programmée ; en recherche d’un lieu Du 29 juin au 3 juillet: Le Petit Faucheux nous acceuil dans ses locaux pour finaliser la création.